Je m’appelle Hermine.
J’ai 23 ans.
Je suis une jolie beauté scandinave.
Je suis une brune aux yeux verts. J’ai des pieds fins et
latins, des jambes longues bronzées, musclées qui inquiètent par leur
perfection. Mon pénil est bombé, ouvert, couronné de noir. Ma pilosité brune
couvre mon pubis. Ma chatte est velue et j’ai une superbe croupe. Les lèvres de
mon sexe sont une plaie rouge entre mon entrecuisse. Mes hanches s'incurvent et
délimitent le ventre plat, délicieusement renflé autour du nombril, les hanches
sont larges et rondes, mais sans lourdeur. La taille est affinée. Les seins
parfaits intégralement bronzés sont un peu volumineux mais fermes, et leurs
pointes marron clair, toujours dressées, cernées par une large aréole marron
attirent le regard. J’ai une peau lisse et patine. Finition parfaite, un seul
grain de beauté entre mes superbes seins. De longs cheveux plats blonds
flottant comme des algues, battent mes épaules rondes et gracieusement
athlétiques. Je suis intégralement bronzée. Mes yeux verts limpides s'allument,
ma bouche charnue se fend. J’ai des sourcils bruns bien dessinés et des lèvres
pulpeuses. J’ai de longs doigts fins et de belles mains. Je fais du 90B de
poitrine, 56 de taille, 90 de hanches, 1,72 m.
CHATELAINE VEUVE VICIEUSE
10 avril
Cela fait
un an, que j’ai perdu mon mari, un riche collectionneur de tableaux érotiques,
qui décore notre luxueux château, isolé. J’ai connu grâce à lui, mes multiples
amants et amantes. Je suis partageuse, mais j’aime aussi être seule. Ma grâce,
mon élégance, m’attirent de beaux Apollons, Adonis.
Bien sûr,
je suis modèle de charme à mes heures perdues.
Mon fidèle
majordome, Alban, m’a quitté dernièrement, pour être devenu l’époux d’une amie,
une riche comtesse vivant dans un luxueux domaine à une journée de route de
chez moi. Je dois rechercher aussi une nouvelle soubrette, la dernière, Marie
Alexandra, fille d’un lointain de feu mon mari, m’a fait une scène de jalousie,
quand elle m’a surprise, empalée sur mon chauffeur, le superbe Nathan, dans la
cuisine.
Aujourd’hui,
c’est Brice, un ancien comptable, que mon feu mari a embauché, qui vient me
porter mon petit déjeuner au lit.
Il est
neuf heures. Je dors nue, la nuit, pour me masturber jusqu’à l’orgasme.
- Madame
Hermine a bien dormi.
- Oh oui,
j’ai encore ma chatte encore toute humide, mon clitoris est encore un peu tendu
et mes mamelons tendent aussi.
- Puis-je
vous honorer ?
- Après
mon petit déjeuner, préparez ma douche, je veux mon corset et ma jupe fendue,
mes sandales à hauts talons prêtes, Brice.
- Bien
madame, cela sera prêt.
Tout en
déjeunant, je lis les dernières nouvelles. Je découvre une étrange
annonce :
Recherche
femme célibataire pour tournage, lesbienne, bon salaire.
Je compose
le numéro de téléphone.
- Bureau
du Baron Donatien de Mont Plaisir à votre écoute, c’est pour le tournage.
- Oui, je
m’appelle Hermine. Je serais intéressée par le tournage.
-
Avez-vous eu des rapports sexuels avec plusieurs hommes simultanément ?
- Oui,
j’aime faire l’amour avec plusieurs hommes.
- Votre
œillet a-t-il déjà été rempli par un sexe ?
- Jamais,
je déteste qu’on me fouille l’œillet, même une femme.
- Vous
devez être une femme aussi chaude que vous ne s'est jamais faite enculer ?
Je n’ose
répondre.
-
Exercez-vous avec un puis deux doigts et vous prenez goût, Hermine. Je compte
sur vous, dans deux heures, au club privé « Désir et Eros ».
Je me
douche, savonnée par l’éponge de Brice, s’attardant sur mes seins, mes reins,
mes fesses, mes jambes. Une fois rincée, il m’épile les jambes. Je brosse
soigneusement ma toison pubienne.
Fardée,
maquillée et parfumée, je m’habille.
Une fois
sèche, j’enfile mon corset noir qui me font des hanches de courtisane, offrant
mon dos cambré et mes fesses en arrière, tandis que mes seins nus tendent même
leurs mamelons, mon corset moule mon corps, pour en épouser les formes et les
mettre en valeur.
Ma jupe
fuchsia est fendue par derrière sur mes fesses nues, que l’on devine par une
discrète fente. Je chausse mes sandales blanches à hauts talons. Je me coiffe
d’une queue-de-cheval.
Brice
m’offre son long mandrin de vingt-centimètres et six de diamètre que je suce,
avant me pencher en avant, les cuisses écartées. Ses assauts me conduisent à
l’orgasme, tenue par les hanches, m’ouvrant davantage les fesses. Il éjacule en
moi, lors de mon orgasme.
Remise de
mon orgasme, Brice me conduit au club privé « Désir et Eros », dans
une berline, à une demi-heure du château. Je suis la seule femme. Je ne vois
pas le Baron, mais trois hommes : un Européen, un nord Africain et un
superbe étalon d’Afrique noir, comme je les aime, musclés.
L’Européen
Dan me retire ma jupe et exhibe son gros mandrin, vingt-deux centimètres de
long et sept de diamètre. Il me fait me pencher en avant, les mains appuyés au
comptoir. Il m’écarte bien les fesses et m’encule d’une seule traite. Je gémis
un peu. Il me caresse le clitoris qui se tend. Je mouille.
- Tu es
serrée de l’œillet, ma belle. C’est ta première fois.
Une mini
caméra me filme discrètement.
- Arrêtez,
tu me fais mal.
- Non, ma
belle, je vais continuer. Ahmed prend la suite puis Horace te finit.
Après
quelques fessées, je sens une étrange sensation de plaisir. Je me mets à jouir.
- Ca y
est, tu prends goût. Ahmed prend la, elle est chaude.
Ahmed
m’encule avec un mandrin long de vingt-huit centimètres et six de diamètre. Il
m’encule jusqu’aux testicules, qui claquent contre mes fesses brûlantes.
Je me
retrouve à quatre pattes, cuisses écartées, sur le tapis. Mes râles de plaisir
envahissent la pièce. Je suis fessée et insultée :
- Tu es
une bonne chienne, pute, vicieuse.
- Oh oui,
défonce-moi l’œillet, Ahmed.
Dan
m’enfonce son mandrin dans ma bouche pour que je le suce. Je le fais en
experte.
Quant Horace
m’encule, c’est un mandrin de trente-un centimètres et huit de diamètre. Je
gémis un peu, mais la lubrification par le sperme d’Ahmed et de Dan facilite ma
sodomie. Je suis écartelée.
Je nettoie
Ahmed.
- Ca y
est, avec trois étalons, tu es bien préparée, me complimente Horace.
Ahmed
m’écarte les fesses et m’insère un objet froid.
Il mesure
dix-huit centimètres et sept de diamètre, pour 400 grammes, pour que je reste
bien ouverte, pour rendre mes sodomies moins douloureuses. Il est muni d’un
discret va-et-vient. Le gland m’encule encore plus vite de haut en bas, vibrant
par à-coups jusqu’aux vibrations dont l’intensité augmente progressivement.
Ainsi, j’ai l’impression d’être constamment enculée.
Les trois
hommes disparaissent et soudain, je découvre un bel athlète, du double de mon
âge, qui me fait le baise-main.
- Belle
Hermine, épouse de feu le Marquis Sacha de Beau Dionysos, son pseudonyme, je ne
me trompe pas. Reste les jambes nues, j’aime regarder vos jambes. Une
silhouette plus élancée, vos chevilles et vos mollets sont tendus, cela vous
fait des jambes superbes. Votre chatte est encore velue, comme celle d’une
adolescente. J’aime ça chez les femmes. Votre bassin ondule, cela est normal,
les vibrations sont au maximum, ainsi que le va-et-vient.
- Baron,
je vais jouir, sans me masturber.
- Bien
sûr, Hermine, tu es ici pour jouir selon mes envies et tes désirs sexuels.
Le Baron
me caresse mon clitoris tendu et dénude mes seins avec le corset. Je suis
totalement nue, les yeux clos.
J’explose
en un violent orgasme anal.
- Encore,
un orgasme anal, ce n’est pas le dernier. Mon chauffeur Horace te conduit au
studio, à deux heures de route. Tu restes nue et en sandales. Tu t’assois
cuisses écartées.
Le Baron
disparaît. Horace me fait monter dans une limousine.
Il est
onze heures, nous quittons le village, par une route qui m’est inconnue,
longeant les prés.
Puis en
cours de route, Horace me bande les yeux et me menotte les poignets dans le
dos. Un nouvel orgasme anal m’envahit.
Horace
m’allonge sur le côté, l’anus libre. Les mains d’Horace caressent mes seins,
aux mamelons tendus, le ventre, la chatte, ainsi les hanches, les fesses.
Il
m’encule lentement, tout en caressant mon clitoris tendu. Je connais l’orgasme
anal.
- Tu es
sacrément chaude de l’œillet. Tu as encore envie.
Je n’ose
répondre. Il éjacule en moi et me remet le bijou d’anus au même stade de
vibration et la même vitesse du va-et-vient.
Enfin,
nous arrivons au studio.
Je suis
assise dans une scène pour me maquiller, les mains menottées dans le dos. On
farde ma chatte en rouge, mes mamelons en rouge, en plus de mon visage.
Le studio
est entièrement recouvert de glaces et de miroirs sans tain pour me filmer
discrètement.
Je
découvre ma partenaire, une belle brune aux petits seins, intégralement épilée,
munie d’un double gode ceinture. Le premier gode vaginal mesure trente
centimètres de long et l’anal quarante centimètres et tous les deux, sept de
diamètre.
Je m’offre
à quatre pattes, à cette double jouissance.
Mon anus
écartelé accueille sans peine le gode, le clitoris est masturbé par Albane, son
pseudonyme.
Nous
varions les positions : même allongées sur le côté, allongée sur le dos,
les cuisses grandes ouvertes, les mains menottées dans le dos, livrée à ses
caresses jouissives. Les deux godes sont de véritables vibromasseurs, aux
glands proéminents, veinés, réalistes, qui se décalottent à chaque va-et-vient
à vitesse variable.
Même en
face à face, en appui sur mes bras, les mains libres, en arrière et sur mes
jambes, je jouis.
Puis
Albane m’équipe d’un double gode spécial, similaire à insérer dans ma chatte et
mon anus, tandis que je la baise et l’encule simultanément. Je ne compte plus
nos orgasmes presque simultanés. J’ai envie d’un vrai étalon.
Un bel
étalon africain noir entre, tenant en laisse, un superbe berger allemand. Je
découvre sa cape dévoilant son corps musclé, nu, et son mandrin en érection, de
vingt-cinq centimètres de long et six de diamètre, puis la cravache, puis que
l'homme est masqué par une cagoule noire, où un réseau de tulle dissimule même
les yeux - et enfin, qu'il a des gants aussi, et de fin chevreau.
- Ne bouge
pas, ma belle chienne. Je m’appelle Etalon Pilon d’Amour, voici mon berger
allemand, Conan. Il est là, pour te saillir. Tu n’as jamais été monté par un
chien, ma belle. Mets-toi à quatre pattes pour que je t’écarte les fesses.
J’obéis,
je suce Conan, tandis que le vibromasseur anal de sept centimètres de diamètre
me prépare.
Conan
m’encule jusqu’au nœud, d’une seule traite. Il accélère rapidement son rythme
pour aller et venir dans ce fourreau si étroit. Je connais un premier orgasme
anal en même temps que Conan éjacule dans mon anus dans un dernier coup de rein
qui fait rentrer le nœud dans l'anus. Conan s’immobilise, attaché à moi. Je
connais trois orgasmes anaux de plus en plus violents par les coups de reins de
Conan.
L’anus
béant et dégoulinant, pantelante, je suis sauvagement enculée par Etalon.
- Conan
t’a bien enculée, en faisant claquer ses testicules contre mes fesses brûlantes
par les fessées magistrales.
Je dois
sucer Conan, tandis qu’Etalon m’encule. Je découvre un nouveau vice inconnu par
moi.
Etalon
éjacule aussi dans mon anus et je le suce, tandis qu’il m’enfonce un
vibromasseur canin similaire à celui de Conan, en érection, jusqu’au noeud.
- Ainsi,
tu seras constamment enculée par Conan, ma belle chienne.
Le Baron
apparaît, sur le plateau.
Alors,
Hermine se fait à sa condition de chienne et de pute, Etalon.
- Oh oui,
regardez, les mouvements de son bassin ne trahissent pas son envie sexuelle.
- Mets-lui
la ceinture, pour qu’elle s’habitue quelques heures à Conan. Les saillies
durent en moyenne trois quart d’heure, Hermine. Tu dois être à la hauteur,
comme chienne. J’ai des amateurs de chienne de ta beauté, qui recherchent
l’excellence. Bien sûr, tu es payée, mieux que comme modèle de charme. Ton
œillet sera élargi, selon les critères exigés, ma belle chienne.
Trois
chaînettes pendent à la base du vibromasseur. On attache une étroite ceinture
autour de ma taille, et l'on y accroche les trois chaînettes, une par derrière
qui suit le sillon des fesses, et les deux autres par-devant, qui longent le
pli des aines en contournant le triangle du ventre. On les ajuste au plus
court, de façon que l’anus ne peut repousser le vibromasseur et permettre de se
resserrer à l’anus qu'il doit forcer et distendre, et on les attache avec de
petits cadenas, pour s'assurer que, lorsque je suis seule, je ne peux être
tenté de me soulager de cette contrainte.
-
Rhabille-toi de ton corset et de ta jupe, maquille-toi un peu, tu as faim.
- Oui,
Baron, j’ai une grand faim.
Les
va-et-vient du vibromasseur sont similaires au vibromasseur anal que j’ai porté
au club. Je dois me retenir de jouir, mais le plaisir est tellement fort, même
sans me masturber le clitoris tendu à l’extrême.
-
J’oublie, ton clitoris et tes mamelons sont devenus maintenant hyper sensibles,
par la crème appliquée. Le moindre frottement de tissus ou même ne sait ce que
l'air sur tes mamelons ou ton clitoris te provoquent une excitation énorme. Le
résultat, c'est que tes mamelons pointent au maximum tout le temps,
vingt-quatre heures sur vingt-quatre et de même pour ton clitoris. Je
t'interdis de te faire jouir. Tu découvres ainsi la frustration et la douleur
que cela procure en plus de la douleur provoquée par le fait que tes mamelons
et ton clitoris soient constamment tendus.
Mes
mamelons et mon clitoris sont complètement tendus et très dur au point de me
faire vraiment mal et le moindre effleurement même involontaire devient une
véritable torture tellement ces endroit sont devenus sensibles. Mon clitoris
est gros comme une cerise, volumineux, saillant, tandis que mes volumineux
mamelons, saillants sont gros et longs.
Rhabillée,
sous les coups de queue du vibromasseur Conan, je connais un nouvel orgasme
anal plus violent, nous allons déjeuner dans un restaurant en plein air, à
quelques minutes du studio.
Je
m’assois cuisses nues, sur la chaise de fer, les cuisses écartées, à la demande
du Baron. Je mords mes doigts pour ne pas hurler mon plaisir anal.
Les hommes
me dévisagent, me draguent. Je garde les yeux baissés et la bouche entrouverte.
-Très bien, Hermine, tu commences à obéir, ma
chienne.
- Baron,
j’ai ma chatte trempée, par les vagues de plaisir.
- Ce n’est
qu’un début. Tes mamelons tendus sous ton corset attirent les regards.
Pendant le
déjeuner, je me confesse sur mes amants et surtout mes amantes, mon refus de
l’acte anal à mon feu mari et mes fessées jouissives.
- Je vais
choisir ton nouveau majordome et ta soubrette, Hermine. Quand à toi, tu es
soumise à mes moindres appels téléphoniques, courriers et à mes chauffeurs. Peu
importe ce que tu fais, tu dois me rejoindre dans un endroit secret.
L’après-midi,
je tourne de nouvelles scènes de saillies anales canines avec un nouveau
partenaire, le doberman Hadès, avec son sexe long de trente-deux centimètres et
cinq de diamètre. Je jouis rapidement sous ses rapides va-et-vient et je ne
compte plus mes orgasmes. Je suce aussi Conan, pour ma première double
pénétration canine.
Je me fais
baiser par Conan et Hadès m’encule simultanément. Je m’évanouis sous mon double
orgasme.
Doublement
ouverte, je suis aussi prise en double pénétration par Horace dans ma chatte et
Etalon qui m’encule.
Jusqu’au
coucher du soleil, j’enchaîne les scènes de double pénétration canine et
lesbienne.
Epuisée,
je me réveille dans ma chambre, nue, avec le vibromasseur Conan, maintenue par
les chaînettes.
Ma chatte
est toute trempée, mes mamelons et mon clitoris sont tendus à l’extrême par le
vent frais de ma porte-fenêtre. Je n’ose me masturber et je jouis sous les
va-et-vient du vibromasseur.
Brice me
surprend
- Madame,
vos râles de plaisir me surprennent.
- Brice, je
jouis enculée par un puissant vibromasseur. C’est divin.
- Votre
chatte est toute ruisselante, votre clitoris est gros comme une cerise et vos
mamelons sont durcis.
-
Lèche-moi et pince mes mamelons.
L’effet
est immédiat, l’orgasme anal devient un peu plus violent.
Les doigts
de Brice découvrent la forme du vibromasseur.
- C’est un
sexe.
- Oui, de
berger allemand, je suis une vraie chienne, une pute, une vicieuse, comme m’a
appris le Baron.
Je soupe
nue, en sandales, cuisses écartées, bercée par mes orgasmes.
Je me
douche. Le cuir de la ceinture, que l'eau durcit, et qui me serre davantage, ma
taille.
Je
m’allonge sur le lit, fantasmant sur mes nouveaux amants.
Je me
mords les doigts, lors de violents orgasmes, me faisant arc-bouter. Je m’habitue
à la douleur et au plaisir à mes mamelons et à mon clitoris tendu.
11 avril
A
l’aurore, épuisée par mes orgasmes, je me lève, pieds nus et me rafraîchis à ma
salle de bains.
Je
découvre par la fenêtre de ma chambre, des formes avec des chiens. Curieuse, je
chausse mes sandales et je rejoins mon jardin.
Des hommes
nus cagoulés, avec des capes et bottés, tiennent en laisse Conan et Hadès.
Sans
attendre, je me mets à quatre pattes. Un des hommes me retire le vibromasseur,
vérifie mon anus béant et humide et Conan et Hadès se relaient pendant deux
heures à m’enculer jusqu’au nœud. Mes râles de plaisir percent le calme de la
nuit.
Mes amants
épuisés et vidés de leurs spermes que j’avale, les hommes cagoulés m’enculent
ensuite, me fessant, me cravachant les fesses. Mon anus se lubrifie davantage,
les testicules claquent contre mes fesses. Mes râles sont étouffés par les
mandrins que je suce. Je suis portée dans les bras d’un des hommes, prise sous
les bras et aux jarrets.
Ce n’est
qu’au lever du soleil, j’émerge, le vibromasseur Conan remplacé par Hadès, du
même calibre qu’Hadès. Mon anus expulse le surplus de spermes canins et
humains.
Brice
m’apporte mon petit déjeuner avec un petit mot dans une enveloppe :
Conan,
Hadès et vos nouveaux amants vous attendent pour le déjeuner au studio. Votre
béance anale démontre vos capacités d’actrice de premier choix.
Pendant
une semaine, après les sexe des bergers allemands, des dobermans, je suis
offerte à mon premier dogue allemand, un danois prénommé Olaf. Il mesure trente-six
centimètres et huit centimètres. Je gémis un peu, mais la saillie anale se
conclut par quatre orgasmes.
Je suis
offerte jusqu’à cinq fois à Olaf en une journée, sans compter mes saillies au
aurore le premier jour de mes saillies avec lui.
Je dois
porter un vibromasseur similaire au calibre d’Olaf, en moyenne entre huit à dix
heures chaque jour, entre deux saillies.
Je me suis
habituée à être seins nus, fesses nues et jambes nues sous mes tenues
adaptées : ni strings, soutien-gorges sous mes jupes ou des robes mais à
la condition qu'en aucun cas elles ne soient plus longues que le milieu de tes
cuisses, seins nus sous mes corsages ou chemisiers. Je me suis achetée une
collection d’escarpins, de sandales et de mules à très hauts talons.
17 avril
Je suis
doublement ouverte, et le Baron veille à ce que je le demeure. Mon plaisir anal
s’est décuplé depuis la première sodomie au club privé.
Mes fesses
et mes cuisses portent des marques récentes de la cravache, de la garcette (de
cordes assez fines, faite de sept lanières terminées chacune par plusieurs
nœuds, et qui sont toutes raides trempées dans l'eau), dont je prends goût,
même si je gémis un peu.
- Hermine,
ton instruction n’est pas encore achevée. Les saillies anales canines ont eu
pour effet, de forcer et élargir ton œillet, selon les critères requis par les
producteurs. Tu fait partie d’un album d’actrices avec tes mensurations, ta
bouche dressée, fouettée et œillet élargi. Tu seras marquée et ferrée d’ici
quelques temps. Je vais faire épiler ta chatte et tu gardes ta toison pubienne
brune.
Menottée
sur un fauteuil gynécologique, entourée de miroirs sur les murs, cuisses
écartées, le gynécologue m’épile avec de la cire chaude, dégageant aussi le
pourtour de mon anus. Je retrouve ma chatte d’adolescente toute lisse et
humide.
Le
gynécologue, le frère jumeau d’Horace, m’encule jusqu’aux testicules, tout en
étirant mes mamelons tendus avec des pinces à seins, pour me sensibiliser les
seins et les mamelons tendus. Je m’arc-boute lors de l’orgasme anal.
- Je vais
te remplir l’œillet, ma chienne. Tu y as pris goût.
- Oui,
c’est trop bon.
Adonis
d’œillet me complimente :
- Ma
chienne, prend son pied.
Il se
retire et enfile une gaine à picots pour m’enculer. Je gémis un peu, l’anus
stimulé par les picots.
Le Baron
est présent, en compagnie de sept autres hommes, dont l’un d’eux se présente
comme le Docteur Sacha de Beau Maso.
Sacha me
palpe les seins, les presse, pince les mamelons tendus à l’extrême, tire
dessus, les tord dans tous les sens
- Les
seins sont petits, très fermes, solides... aréoles larges, mamelons d'un
centimètre et demie, bien érectiles.
Il palpe
également ma chatte et me prend ma température vaginale et anale simultanément.
Je garder les deux thermomètres.
Les lèvres
de ma chatte trempée sont bien ouvertes, comme je le constate sur un grand
écran de télévision dans la pièce du gynécologue.
- Nous
avons une excellente attraction, un œillet qui s’ouvre sur commande, un écrin
humide, une bouche bien dressée et une adepte anale, le summum pour la clinique
« Paradis des Biches », en plus d’être une actrice. Feu son mari me
l’avait chaudement recommandé pour une instruction plus poussée.
Je suis choquée d’apprendre que le Marquis Sacha de Beau Dionysos,
souhaitait me faire passer entre ses mains.
Détachée
du fauteuil gynécologique, je porte mes carcans en cuir : collier en cuir
autour du cou, bracelets en cuir également, aux poignets et aux chevilles, tous
sont munis d'un mousqueton. Ils sont faits : en plusieurs épaisseurs de cuir,
chaque épaisseur assez mince, au total pas plus d'un doigt, verrouillés par un
système à déclic, qui fonctionne automatiquement comme un cadenas quand on le
referme, et ne peut s'ouvrir qu'avec une petite clé. Dans la partie opposée à
la fermeture des bracelets, pris dans le milieu des épaisseurs de cuir, et
n'ayant presque pas de jeu, il y a un mousqueton, qui donne une prise pour
fixer, et qu'on positionne du côté intérieur du poignet. Pour le collier,
l'anneau pend devant le cou, reposant sur la saillie des clavicules, et brinquebale
au rythme des mouvements de celui qui le porte.
Mes
poignets sont reliés entre eux dans mon dos, une barre rigide de métal fut
accrochée entre mes chevilles, les maintenant écartées en permanence. Sacha
accroche une laisse au mousqueton de mon collier et tire dessus pour m'inviter
à le suivre. Je dois m'exécuter, tenue en laisse, de plus la barre d'écartement
entre mes cheville m'oblige à marcher grotesquement à petits pas, les jambes
très écartées, pieds nus, sur le carrelage froid. Je porte mon bijou d’anus
Olaf pour garder le sperme dans mon anus.
Vers neuf
heures, je quitte le rez-de-chaussée de la clinique, pour le premier étage, par
les escaliers en marbre. Je garde les yeux baissés, la bouche entrouverte.
Lors de
pauses, dans l’escalier, Sacha me doigte la chatte et masturbe mon clitoris
tendu à l’extrême et me susurre à l’oreille :
- Ta
chatte est brûlante, ma belle chienne. Je ne sais combien de queues ont joui
dans ton écrin. Désormais, c’est ton œillet qui sera uniquement rempli. Tout écart
de conduite est sanctionné à la cravache, à la garcette, mais aussi par des
défis sportifs, sodomie sur un vélo, pompes avec saillie anale canine et divers
autres plaisirs. Tu dois rester belle, désirable, sportive, tout en restant
naturelle, sans maquillage.
Au premier
étage, après la visite gynécologique, je suis confiée à un expert médical anal
et urologue, dans un cabinet recouvert de glaces et de miroirs sur les murs et
au plafond. Dans des positions érotiques, je me fais fouiller, pour divers examens.
Bien sûr,
le Docteur Jean Charles m’encule sauvagement. Je ne peux résister à avoir un
orgasme anal violent, avec son gros mandrin du calibre d’Olaf.
Jean
Charles me fait cingler la cravache sur mes fesses. Je dois compter tout haut
les coups.
Puis Jasmine,
une superbe beauté orientale, en blouse d’infirmière, cachant une guêpière
seins nus, chaussée de mules à très hauts talons, me tient en laisse.
- C’est
toi, la chienne du Baron. Ici, finis les tutoiements, le vouvoiement est
accepté. Si tu désires quelque chose, tu diras vous. Tu es docile. Les yeux
baissés et la bouche entrouverte sont uniquement autorisés.
Je rejoins
un bidet, dans la pièce attenante où je m’assois et courbée en avant, l’anus
libre du vibromasseur.
- Je dois
te faire ton lavement. Tu as reçu une bonne dose de spermes, la coquine.
Jasmine
enfonce son doigt chargé de savon dans mon anus qu’elle lave soigneusement.
Puis elle m’enfonce une canule, montée à l'extrémité du flexible de la douche,
par laquelle elle m'asperge d'eau tiède. Je me retiens de jouir.
Jasmine
recommence jusqu’à ce que je sois propre.
- Ainsi,
ton œillet est propre, ma belle. Tu vas faire un peu de sport, du vélo
d’appartement, spécialement équipée.
Libérée de
ma barre d’écartement, je m’assois sur la selle du vélo d’appartement. Le gros
vibromasseur anal long de trente-un centimètres et sept de diamètre me comble.
Je retombe sous mon poids sur la selle, je m'empale sur le gode en poussant un
râle profond. Mes pieds nus sont immobilisés sur les pédales. Mes mains sont
fixées également dans des bracelets en cuir fixés au guidon. Je pédale,
cravachée par Jasmine, devant des scènes de films X anaux avec des hommes, des
lesbiennes et des chiens, pour m’exciter. Un ventilateur m’envoie un vent frais
sur mes mamelons et mon clitoris tendus à l’extrême, décuplant mes orgasmes
anaux. Je dois compter les coups sans me tromper.
Au bout
d’une heure, je suis pantelante. Jasmine me fait boire une soupe froide épicée,
pour me revigorer, combinée à un stimulant sexuel. J’ai l’œillet et la chatte
en feu. Chaque va-et-vient provoque une violente ondulation de mon bassin.
-
Monsieur, Xavier Philippe, votre sportive est à point. La cravache lui fait un
grand bien.
Xavier
Philippe est très bien monté, exhibant son mandrin nu sous sa blouse.
- Tout à
l’heure, ma chienne, tu viendras me sucer. Un danois vous enculera en même
temps.
- Vous
avez de superbes équipements sportifs, Monsieur.
-
Appelle-moi, XP pour les intimes. JC a reconnu que votre œillet est bien
souple.
Vers onze
heures, après une douche rapide, je rejoins XP dans un cabinet gynécologique au
second étage par un escalier carrelé. C’est un expert en sexologie. Menottée au
fauteuil gynécologique, je dois me confesser sur ma vie sexuelle, mes
déflorations anales et vaginales, mes double pénétrations, mes premières
fellations et donnez le nom de mes amants, tandis qu’il fouille longuement ma
chatte brûlante, tout en me retenant de jouir.
-
Enculez-moi, XP, j’ai envie.
- Qui vous
a autorisé à me parler, chienne Hermine ?
- Je
pensais que vous allez m’enculer.
Il me
cravache longuement l’intérieur de mes cuisses, pour me punir. Je gémis en
comptant les coups.
Libérée du
fauteuil gynécologique, je suis tenue en laisse, menottée dans le dos, avec ma
barre d’écartement.
J’entre
dans une nouvelle pièce, sombre, avec un chevalet. Je suis équipée d’une vraie
ceinture de chasteté. Ma chatte n’est plus accessible à la pénétration par un
mandrin : une fente de sept centimètres de long (sur une largeur maximale d’un
centimètre) me permet d’uriner, le clitoris et les petites lèvres sont étirés à
travers la fente étroite. La ceinture comporte un orifice anal pour que la
femme soumise puisse aller aux toilettes. Il est également possible d’utiliser
l’orifice anal pour m’enculer. La ceinture est réalisée en inox brossé très
esthétique, très solide et simultanément très souple. Les bords de la ceinture
sont recouverts d’un rembourrage en caoutchouc moelleux pour assurer un confort
de port. Je suis menottée, solidement immobilisée dans cette posture dégradante,
le postérieur plus haut que la tête. Mes bras sont fixés le long des pieds
avant, mes jambes le long des pieds arrières, et une large sangle m'est passée
au niveau de la taille. Mes cuisses, légèrement fléchies sont empêchées de se
resserrer par la largeur de la poutre, ainsi d'ailleurs mes fesses que je me
peux refermer. Toute mon intimité est ainsi très accessible et on peut me faire
tout subir. Je bois beaucoup et je prends un laxatif.
Des
vibromasseurs ornés de picots me font très mal et me donnent l'impression qu'on
m'arrache la chatte ou le cul. Il y a aussi la cravache sur les fesses; les
pinces sur mes lèvres intimes ; on me met des glaçons dans l’anus.
Bien sûr,
un harem de chiens du berger allemand au danois m’est adjoint, prêts à me
saillir enculée, à tout moment, je dois les sucer avant et après. Je suis
filmée discrètement et photographiée. Le Baron, SBM, JC, XP et d’autres hommes,
en compagnie de Jasmine, qui est elle aussi enculée, sont présents à divers
moments de mon séjour dans la pièce. Aucun des hommes m’enculent dans la pièce.
Je bois ma soupe, pisse dans une bassine entre mes cuisses écartées. Je reste
plus de trois heures, tant que l’ensemble du harem ne m’a entièrement saillie.
J’ai droit
à un lavement rapide et je dois garder ma ceinture de chasteté, pendant mon
séjour.
23 avril
Après
avoir dormie, nue, attachée en croix sur le lit, bras et jambes écartés, avec
ma ceinture de chasteté, SBM vient me voir :
- Ma
chienne, ton séjour prend fin, mais avant, je vais te libérer ta chatte.
La chatte
libre, les jambes libres, SBM me hausse la jambe droite sur son épaule gauche.
Il s’accroupit, me baise, jusqu’aux testicules, me caresse l’intérieur de mes
cuisses zébrées, mes seins offerts, me caresse mon pubis velu et ma chatte
toute lisse.
Il se
retire et me fait percer mes grandes lèvres de mystérieux anneaux dorés, qui
étirent mes grandes lèvres, la chatte lisse est mise en valeur.
- Tes
anneaux vous feront reconnaître dans la vie quotidienne. Un jour, vos reins
seront marqués, ainsi que vos fesses. Vous allez retourner chez vous quelques
jours, pour exhiber vos anneaux. Vous serez nue à votre bain de mer à toutes
les occasions.
Libre,
nue, je me regarde dans un grand miroir. Je suis fière de mes anneaux dorés.
Je revêts
ma nouvelle tenue : une robe pour le grand soleil composée d'une jupe
éventail, qui se retrousse d'un geste, mais toujours à corselet montant jusque
sous les seins, et portée avec un boléro fermé au cou. Il suffit d'enlever le
boléro pour que les épaules et les seins soient nus, et sans même enlever le
boléro, de l'ouvrir, si l'on désire voir les seins.
Horace me
ramène chez moi, le vibromasseur Olaf est remis en place.
Je fais la
connaissance de mon nouveau majordome, un bel Adonis européen, bien monté,
Nathan, doté de petits seins, mon premier transsexuel et Orchidée, mon homme
soubrette, entièrement épilé, portant des anneaux aux testicules et au frein,
empêchant toute relation sexuelle avec moi. Il est vêtu comme une soubrette,
coiffée à la garçonne et mules à très hauts talons.
La jupe
relevée, Nathan m’encule sauvagement pour me soumettre à ses désirs sexuels, il
me fesse magistralement.
- Que tu
es chaude, Madame Hermine. Tu as un œillet bien élargi.
- Oui, les
saillies anales canines m’ont conduit au plaisir anal, Nathan. Quel plaisir de
recevoir votre queue dans mon puits de chienne.
- Elle est
plus grosse qu’Horace, ma belle chienne.
- Ejacule
dans mon puits de chienne.
Il obéit
et je le suce, accroupie, cuisses écartées.
Je me
douche, savonnée par Brice.
- Madame,
vous avez les grandes lèvres lisses et percées. Cela vous va à merveille. Votre
clitoris est toujours aussi désirable.
-
Lèche-moi le clitoris et pince mes mamelons tendus.
Mon corps
se cambre, sous la langue experte et les doigts qui pincent mes mamelons,
fouille ma chatte trempée.
- Je vais
jouir, encule-moi s’il te plait.
Sans
attendre, penchée en avant, cuisses écartées, l’eau coulant sur mon dos, Brice
m’encule sauvagement, en me fessant.
- C’est la
première fois que je vous encule, madame. C’est divin.
Sans
attendre, Brice me masturbe le clitoris et des doigts étrangers me fouillent la
chatte.
J’entrouvre
les yeux, c’est Orchidée, qui veut sa part.
-
Orchidée, non, s’il te plait.
Un double
orgasme m’envahit, tandis que Brice éjacule en moi.
Je le suce
et me repose, avec mon vibromasseur anal Olaf en place.
Le Baron
me téléphone et prend de mes nouvelles :
- Alors,
ma belle chienne, remise du « Paradis des Biches », Nathan et
Orchidée sont à ton goût.
- Oh oui,
je vais encore jouir, tellement le vibromasseur Olaf me fait un bien fou.
- Des
Danois sont à ta disposition, à toute heure, à ton chenil, dont Olaf, ton
favori.
Chaque
fois que je le peux, nue, en sandales, je me fais saillir par mes Danois, en
commençant par Olaf.
Des amis
du Baron me rendent visite pour mes saillies. Nathan continue à m’enculer
sauvagement.
25 avril
Un
après-midi, nue, dans ma chambre, Nathan, le mandrin en érection, m’invite à
m’empaler sur lui. Je m’accroche à son cou, en plaçant mes mollets sur ses
épaules, Nathan écarte largement ses propres cuisses, je suis enculée.
Maintenue
sous les reins, je m’encule profondément jusqu’aux testicules. Nous échangeons
des baisers profonds. Il éjacule en moi.
Je le
nettoie, tandis que le Danois Odin m’encule jusqu’au nœud, doublant mon plaisir.
Le soir,
je reçois la visite du Comte Marc de Beau Désir de Sévices, un bel athlète du
double de mon âge, directeur d’un haras renommé.
Nue, en
sandales, l’anus libre, je sens son index droit dans mon anus, plus son majeur,
jusqu’à son poignet dans mon anus. Je gémis un peu, le fait d’avoir le poignet
me remplir l’anus, me surprend.
L’anus
bien ouvert, le Comte ouvre sa mallette et sort un gode de trente-cinq de long
et huit de diamètre, sa forme est particulière est différente de celle des
chiens que je connais.
- Ecarte
bien tes fesses, je vais te l’enfoncer, détends-toi.
Je suis
surprise, mais cela me plait.
Il me
caresse simultanément le clitoris.
- Tu es
sacrément chaude, il est presque en entier dans ton œillet.
-
Continuer, je veux qu’il m’encule.
Ses
va-et-vient me font exploser dans de longs râles violents, jamais connus
auparavant.
- Tu es
une vraie pute chevaline, Hermine. Mes étalons pourront te satisfaire.
Il retire
le gode et son gros mandrin me comble, enculée jusqu’aux testicules. Il éjacule
en moi, satisfait de mes orgasmes.
Je déjeune
en compagnie du Comte, nue, empalée sur le gode équin dans ma chatte.
Le soir,
Horace m’accompagne en voiture, en compagnie du Comte. Je suis nue, cuisses
écartées, en mules à très hauts talons.
Nous arrivons
devant le haras. Je suis tenue en laisse, les mains menottées dans le dos,
jusqu’à un box.
Là, se
trouve un superbe pur-sang arabe, baptisé Zéphyr d’Eros.
L‘anus
bien lubrifié, je suis menottée sur un chevalet, sous Zéphyr. Le Baron
positionne le gland du membre devenu moins dur sur ma rondelle, je commence à
pousser. Le sphincter cède. J’hurle de douleur, mais ne lâche rien. S'étant habituée à cette grosseur, je
m’empale sur vingt-cinq centimètres de bite de cheval car j’adore me faire
enculer profondément ! Mon anus se dilate, le cheval bande dans mon anus. Je
reprends va-et-vient sur le sexe monstrueux et m'agite. Baron me fait sucer son
mandrin et deux autres employés. Le cheval éjacule en moi, jusqu’à l’orgasme.
Les trois
hommes éjaculent dans ma bouche.
Puis le
trotteur français profite de mon anus rougi complètement distendu, pour
m’enculer à son tour. Je dois satisfaire cinq autres étalons jusqu’à l’aube. Je
suis rincée à l’eau froide et me repose sur le chevalet, avant de prochaines
saillies. J’ai droit à que les étalons me défoncent ma chatte en feu.
5 mai
Je ne
compte plus mes saillies anales équines et canines au haras. Mon anus s’ouvre
sur commande.
Depuis
quelques jours, à la demande du Baron, mes reins sont marqués au fer rouge,
Pute Hermine, ma chatte est marquée à l’intérieur 6996, mon numéro de chienne
et ma fesse gauche est marquée au fer rouge V pour Vicieuse et ma fesse droite
S pour Sacha. Mes anneaux seront prochainement remplacés par des fers.
J’aime mon
corps transformé. Le port régulier du corset seins nus lors de mes saillies a
affiné ma taille.
Le Comte
m’encule fréquemment et me baise pour que je lui assure une descendance.
8 mai
A l’aube,
je quitte le haras pour rejoindre un nouveau lieu. Je suis juste vêtue de ma
robe pour le grand soleil composée d'une jupe éventail, qui se retrousse d'un
geste, mais toujours à corselet montant jusque sous les seins, et portée avec
un boléro fermé au cou. Je porte mon bijou d’anus Olaf, toujours les fesses
nues, les jambes nues. Je suis chaussée de mes mules à très hauts talons,
coiffée d’une queue-de-cheval.
Horace me
dépose après huit heures de route en bord de mer, devant une grande porte
cochère, gardée par un gardien à cheval, monté sur un pur-sang arabe et deux
maîtres-chiens avec des danois.
Les yeux
bandés, sans mon boléro, les mains menottées dans le dos avec mes carcans de
cuir, tenue en laisse par une chaîne fixée aux anneaux de mes grandes lèvres
humides, je suis l’inconnu. Mes mules claquent sur le marbre. Je monte un grand
escalier, franchit plusieurs portes, à l’aveugle.
Des fois,
je suis sauvagement enculée par des inconnus. Je me retiens de jouir.
Enfin, je
me retrouve seule, dans une grande pièce, avec une porte-fenêtre ouverte, nue,
suspendue, mes bras levés et joints, que les bracelets de cuir maintiennent par
une chaînette à l'anneau du plafond, font saillir mes seins, je suis la pointe
de mes pieds nus. Ayant recouvré la vue, une barre d’écartement m’empêche de
resserrer mes cuisses. Un garde caresse mes seins, étirant mes mamelons tendus
à l’extrême, m’embrasse langoureusement, tout en masturbant mon clitoris tendu
à l’extrême.
Balancée
par la chaîne, je chancèle sur mes pieds nus. La cravache, la garcette et la
chicotte font d'épaisses balafres violettes comme des cordes en travers des
épaules, du dos, des fesses, du ventre et des seins, et parfois
s'entrecroisent. De place en place un peu de sang perle.
Je suis
sauvagement enculée entre deux séries que je dois compter sans me tromper, sous
peine de recommencer.
Je reste suspendue,
une éternité.
Des jeunes
femmes nues me mettent de la crème apaisante sur mes balafres.
Vers onze
heures, je suis détachée, baignée, accroupie, cuisses écartées, les bras tendus
en l’air, menottée à un crochet, avec une canule pour mon lavement anal, par un
des valets, cagoulés, nu, le mandrin en érection. La petite pièce comprend
juste une baignoire transparente et des miroirs sur les murs et au plafond.
Il
m’encule sauvagement, menottée à un chevalet, je dois le sucer et avaler tout.
Des
bergers allemands, des dobermans et des dogues allemands se relaient pour
m’enculer jusqu’au nœud. Je ne compte plus mes orgasmes.
Pantelante,
je suis à nouveau fouettée, suspendue
debout dans une autre pièce, entourée de miroirs et de glaces sans tain sur les
murs, sans fenêtre, isolée du bruit.
J’alterne
pendant une semaine les pièces.
Des fois,
on me fait enculer par les chevaux, pour le plaisir du Maître des lieux.
14 mai
Au lever
du soleil, encore suspendue, les bras en l’air, on me rase intégralement à l’ancienne.
On me marque au fer rouge sur mon pubis, d’un fouet et d’une cravache
entrecroisés et mes anneaux sont remplacés par des fers. Ce sont des anneaux de
fer mat inoxydable, comme le fer de la bague doublée d'or. La tige en est
ronde, épaisse comme un gros crayon de couleur, et ils sont oblongs : les
maillons des grosses chaînes sont semblables. Chacun est formé de deux U qui
s'emboîtent l'un dans l'autre, un ressort intérieur sur lequel pénètre dans la
rainure où il se bloque. Une fois posé, il est impossible de l'ôter, il faut
limer. Chaque anneau est long comme deux phalanges du petit doigt, qu'on y peut
glisser. A chacun est suspendu, un anneau qui doit être dans le même plan que
l'oreille et la prolonger, un disque de même métal aussi large que l'anneau est
long. Il y a les noms du Baron, de SBM et du Comte et au-dessous, un fouet et
une cravache entrecroisés.
Les fers
qui trouent les grandes lèvres de ma chatte me descendent jusqu'au tiers de la
cuisse, et à chacun de ses pas bougent entre mes jambes comme un battant de
cloche, le disque gravé étant plus lourd et plus long que l'anneau auquel il
pend. Les marques imprimées par le fer rouge, hautes de trois doigts et larges
de moitié leur hauteur, sot creusées dans la chair comme par une gouge, à près
d'un centimètre de profondeur. Rien que de les effleurer, on les perçoit sous
le doigt. De ces fers et de ces marques, j’éprouve une fierté insensée.
Enfin, je
suis enceinte. Mes Maîtres continuent à me faire enculer et fouetter sur le
dos, les fesses et les reins.
Je donne
naissance à des jumeaux : un garçon et une fille. Je redeviens soumise
pour des amis de mes Maîtres.
A bientôt,
votre veuve soumise, Marquise Hermine de Sade.
