dimanche 14 avril 2019

PUTE DE PRISON


Je m’appelle Olympe.
J’ai 22 ans.
Je suis une jolie beauté scandinave.
Je suis une brune aux yeux verts. J’ai des pieds fins et latins, des jambes longues bronzées, musclées qui inquiètent par leur perfection. Mon pénil est bombé, ouvert, couronné de noir. Ma pilosité brune couvre mon pubis. Ma chatte est velue et j’ai une superbe croupe. Les lèvres de mon sexe sont une plaie rouge entre mon entrecuisse. Mes hanches s'incurvent et délimitent le ventre plat, délicieusement renflé autour du nombril, les hanches sont larges et rondes, mais sans lourdeur. La taille est affinée. Les seins parfaits intégralement bronzés sont un peu volumineux mais fermes, et leurs pointes marron clair, toujours dressées, cernées par une large aréole marron attirent le regard. J’ai une peau lisse et patine. Finition parfaite, un seul grain de beauté entre mes superbes seins. De longs cheveux plats blonds flottant comme des algues, battent mes épaules rondes et gracieusement athlétiques. Je suis intégralement bronzée. Mes yeux verts limpides s'allument, ma bouche charnue se fend. J’ai des sourcils bruns bien dessinés et des lèvres pulpeuses. J’ai de longs doigts fins et de belles mains. Je fais du 90B de poitrine, 56 de taille, 90 de hanches, 1,72 m.

PUTE DE PRISON




20 août

Je suis une escorte girl reconnue depuis l’âge de mes dix-huit ans. Mon père et mon grand frère m’ont déflorée, puis m’ont baisée, avant de livrer aux amis de mon grand frère. Je suis devenue une suceuse exemplaire. J’ai toujours refusée de me faire enculer, même comme escorte girl. Je gagne bien ma vie. J’ai de nombreux amants réguliers, dans le quartier chaud.
J’aime la lingerie de luxe, les soutien-gorges, les strings, les porte-jarretelles et les bas, les guêpières et les corsets. Je suis collectionneuse d’escarpins et de sandales à hauts talons.
J’aime garder ma toison pubienne et ma chatte velue. Cela plait aux hommes et aux lesbiennes que je côtoie.
Je suis connue par la section sexuelle, de la police spéciale, sous Lady Olympe. Je suis une beauté recherchée par mon visage de femme-enfant et surtout mon regard limpide.
Un après-midi, au baisodrome « Les Plaisirs d’Eros », je fais l’amour avec mon amant régulier, le superbe Adonis musclé, le banquier Alban. Il aime que je le suce et me baiser longuement jusqu’à au moins trois orgasmes successifs, avant d’éjaculer dans ma bouche.
Allongée sur le dos, mes mollets sur ses épaules, Alban me caresse mes cuisses, mes mollets, mes chevilles, tout en me baisant. Il est agenouillé. Il me baise avec vigueur.
Nos ébats sont interrompus par le colonel Brice, le lieutenant-colonel Charles Edouard et le commandant, Diane, de la section sexuelle.
- Voici, la belle Lady Olympe, encore de train de baiser avec son chéri, Alban, annonce Diane.
- Jamais, enculée, cette pute, chienne, elle a violé la loi 6956 du code sexuel, annonce Charles Edouard.
- Laissez-la moi, je m’en charge, de cette pute, annonce Brice.
Restant dans la même position, Brice exhibe son gros mandrin, vingt-six centimètres de long et six de diamètre.
Jamais mon œillet va pouvoir le recevoir. J’essaye de détendre mon sphincter au maximum.
– Non, non, arrête, tu es trop gros, ta bite est trop  dure!
– Ton œillet est si serré que mon gland arrive à peine à s’y engager et que ma bite plie sous l’effort de ma poussée.
- Ton chibre est trop énorme!
Mon  gland  appuie de plus en plus fort sur ma rosette et je m’abandonne sous la poussée un peu plus forte et mon sphincter cède enfin. Je respire profondément quand je sens la grande tête épaisse glisser en moi .
– Ta bite est énorme ! Putain c’est gros ! La douleur est à peine supportable. Je la sens passer mais elle rentre ! Incroyable ! Tu me l’a mets dans le cul !
Je serre les dents lors de ma sodomie.
Mon anus est extrêmement serré autour de son mandrin et mon tunnel sombre masse toute la longueur de son mandrin qui ne va pas résister longtemps à cette pression.
Son mandrin glisse lentement dans mon anus. Je crie quand, sans attendre j’ appuie encore plus fort et que progressivement mon énorme queue s’introduit dans son étroit conduit. Je sens le gland écarteler mes chairs au fur et à mesure de la progression de son mandrin. Je m’écris:
- La douleur est insupportable et j’ai l’impression que mon anus va se déchirer. mais ça s’estompe lentement.
Mon anus est capable d’accepter son monstrueux mandrin, si dur et si imposant.
Lorsque la totalité du mandrin se trouve enfoncé au plus profond de ses entrailles, il s’immobilise afin que je m‘habitue au monstre à l’intérieur de mon rectum :
 – Tu es gros…Vas-y, encule moi, maintenant défonce moi le cul !
Son mandrin m’encule. J’ondule mon bassin, pour m’empaler dessus.
Il m’encule sauvagement.
- C’est comme un manche énorme qu’il enfonce dans mon cul. Mon trou du cul va éclater ! Je commence vraiment à sentir ce que c’est que de se faire enculer par une bite hors norme.
Je suis enculée sur quinze centimètres à chaque poussée.
Ma jouissance arrive et mon anneau se contracte, se resserre à plusieurs reprises, en cadence, avec des ondes de jouissance presque irréelles et je tombe presque en syncope.
Mon oeillet est serré et contracté autour de l’immensité de son mandrin qui me martèle.
La tête du gland cogne contre le fond de mes entrailles et j‘ai encore un autre orgasme!
Après cinq minutes  endiablée, je commence à faiblir et mon cul est en feu, sauvagement enculée.
- Les muscles de mon cul serrent ta queue et je m’attends à ce que tu exploses à l’intérieur de moi à tout moment, mais tu tiens le coup mon salaud ! Enfonce ta bite gigantesque dans mon cul… j’aime ça, c’est bon.
Quelques instants plus tard, je retire ma bite avec un énorme bruit de succion.
Charles Edouard me fait asseoir sur son mandrin imposant, trente centimètres et cinq de diamètre.
Je suis enculée, assise entre ses cuisses, empalée jusqu’aux testicules.
Brice m’attrape les fesses et me fends en deux avec son mandrin qui s’enfonce jusqu’aux testicules. Je monte et descends.
- Rempli mon puits de ton sperme.
Je sens les vibrations et les contractions de sa queue dans mes intestins dilatés à l’extrême.
Quatre énormes jets de sperme giclent profondément à l’intérieur de mon anus, avec une telle force qu’il remplit mes entrailles de son jus! Ma rosace se resserre sur son merveilleux mandrin.
- Je te sens bien….oui… donne-moi tout….que c’est bon… encore…. oui… continu…
Je peux sentir son sperme qui m’inonde et recouvre sa bite quand il soulève mon cul et qui coule même sur ses couilles qui continuent de se vider.
Il gémit bruyamment quand brusquement je sors sa bite de mon cul. Il continu de cracher et m’inonde le dos de deux jets d’une incroyable puissance envoyant son foutre jusque dans mes cheveux.
Le bouchon ayant sauté une incroyable quantité de sperme s’écoule lentement sur mes cuisses et coule sur le canapé. Mon cul tremble encore, en feu et trempé par son jus, complètement dilaté, mais quelle baise !
– Oh mon Dieu…Tu as baisé mon cul comme un dieu ! C’était…c’était…unique, formidable, incroyable… j’aime ta bite géante, elle est intarissable… et je t’aime, toi, pour le plaisir et l’amour que tu me donne.
Cette double sodomie m’a révélée.
Je dois m’habiller sous l’œil de Diane, une grande blonde aux seins plantureux.
- Désolé, ma belle, plus de strings, plus de soutien-gorges. Tes seins et ta chatte doivent toujours être nus sous tes vêtements et ton entrejambe jamais dissimulée. Ni bas, ni porte-jarretelles et peut-être corset et guêpière seins nus. Tu as, les seins libres et nus comme tu as nus et libres les fesses et le ventre. Pour tes pieds, soit tu seras pieds nus dans des escarpins ou sandales ou mules à hauts talons. Je vais te mettre un bijou d’anus pour garder le sperme.
Il me dilate, prépare mon anus à la sodomie, la rendre plus facile et moins douloureuse aussi. Il mesure vingt-huit centimètres de long, avec son gland gonflé et sept de diamètre pour m’écarteler à la base. Je sens le gland qui monte et descende à l’intérieur de mon anus ; le gland va encore plus vite de haut en bas dans mon anus conjuguée aux vibrations qui s’arrêtent et qui recommencent et des vibrations dont l’intensité augmente progressivement. Il s’allonge à chaque mouvement grâce à sa texture réaliste ultra-souple et ultra-douce et rétrécit à chaque mouvement de va-et-vient grâce à son enveloppe qui s’étire ou se contracte en suivant les montées et descentes du gode. J’ai l’impression d’avoir un véritable homme à ma disposition qui me fait l’amour en étant infatigable.
J’enfile une robe courte couvrant à peine mes fesses nues, au décolleté en V plongeant, montrant mes seins nus et je chausse mes pieds nus de mules à très hauts talons, je suis maquillée et coiffée d’une queue-de-cheval.
Je quitte le baisodrome « Les Plaisirs d’Eros », les mains menottées dans le dos, sous la garde d’un capitaine, d’un lieutenant et d’un sous-lieutenant. Je monte à bord d’un minibus de la police spéciale.
Le capitaine James m’invite à m’asseoir en relevant ma jupe, les fesses nues, cuisses écartées.
La banquette est en moleskine, glissante et froide, c'est saisissant de la sentir coller aux cuisses.
- Baisse les yeux et garde la bouche entrouverte, pendant le trajet.
Mon bassin ondule sur ce vibromasseur anal. Je me retiens de jouir, proche de mon nouvel orgasme anal.
Nous traversons toute la ville, puis la campagne. Je suis la seule femme.
Puis nous arrivons devant une grande porte d’entrée.
La fourgonnette entre.
- Bienvenue à la prison des femmes, section 10, dressage, sous les ordres du colonel Hermine, tu dois coopérer ma belle.
J’entre au rez-de-chaussée, dans une grande pièce, avec de nombreuses caméras de sécurité, des miroirs et des glaces sur les murs et au plafond. Le colonel Hermine est une superbe brune aux petits seins.
- Elle a eu deux orgasmes anaux avec Brice et Charles Edouard. Vierge anale récemment déflorée, future pute anale, Colonel Hermine, annonce Diane.
Les yeux baissés, la bouche entrouverte, je me laisse soulever ma jupe.
- Toison pubienne, chatte velue, très bien, elle va plaire à ses nouveaux amants.
- Colonel Hermine, Lady Olympe a été déflorée lors d’incestes.
- Très bien, incestueuse, suceuse experte, clitoridienne et vaginale, tu vas devenir une perverse anale. Déshabillez-la.
On me libère quelques instants les mains, puis on me remet les menottes.
- Tu es très belle. Jamais fouettée, ni menottée, tu vas devenir une soumise docile. Emmenez-la à la douche, sans son vibromasseur. Elle sera offerte à Adam, pour sa première. Le major Iris et l’adjudant Jasmin s’occupent de son éducation. Elle porte les carcans réglementaires et elle sera nue pour son premier jour et en mules.
Je rejoins une pièce minuscule entièrement carrelée ; sur les murs, des tas de pommes de douches orientées dans tous les sens. Hermine m'attache les bras tendus en l'air, sur la pointe des pieds nus, telle une danseuse, puis saisit un tuyau annelé qui sort du mur devant moi, terminé par une espèce de canule, au-dessous de laquelle se détachent deux chaînettes. Elle s'accroupit devant moi, enfile la canule dans mon anus.
Elle dirige le jet d’eau glacé sur mon corps. Je garde les yeux baissés, de l’eau tiède inonde mon anus. Je suis transie de froid, l'eau tiède continue à ressortir de mon derrière.
Le major Iris, une superbe blonde aux petits seins.
Elle me cravache mon dos, mon ventre, mes cuisses, mes reins. Avant d'arrêter la correction, d'un habile revers du poignet, elle me frappe violemment de bas en haut entre mes jambes maintenues écartées par la barre ! Avec une précision diabolique, la cravache frappe du clitoris à l'anus, s'insinuant entre mes grandes lèvres pour atteindre mes fragiles nymphes. Mais la douleur est trop intense et je m'évanouis, restant suspendue par les bras.
- Très bien, Lady Olympe a subi sa première correction.
Je reprend conscience. Jasmin, la brune aux seins plantureux décroche ma sonde anale et me la retire : l'eau continue à s'écouler d'entre mes fesses, mêlée d'excrément qui ont en partie coulé le long de mes cuisses. J'ai à nouveau droit à une douche à grand jet, mais chaude cette fois, puis elle me savonne partout, douche de rinçage et enfin elle me sèche en me frottant tout le corps avec une serviette assez rêche qui ranime les douleurs provoquées par la cravache qui a laissé de longues lignes rouges s'entrecroisant.
- Tu es endurante. La section 10 te fera un grand bien, dit Jasmin, en m’embrassant langoureusement sur la bouche et en caressant mes grandes lèvres humides encore douloureuses.
- Tu me plais.
Nue et en mules, avec le vibromasseur remis en place, je reçois mes carcans : collier en cuir autour du cou, bracelets en cuir également, aux poignets et aux chevilles. Chacun de ces accessoires muni d'un mousqueton. Voici comment ils sont faits : en plusieurs épaisseurs de cuir, chaque épaisseur assez mince, au total pas plus d'un doigt, verrouillés par un système à déclic, qui fonctionne automatiquement comme un cadenas quand on le referme, et ne peut s'ouvrir qu'avec une petite clé. Dans la partie opposée à la fermeture des bracelets, pris dans le milieu des épaisseurs de cuir, et n'ayant presque pas de jeu, il y a un anneau de métal, qui donne une prise pour fixer, et qu'on positionnait du côté intérieur du poignet. Pour le collier, l'anneau pend devant le cou, reposant sur la saillie des clavicules, et brinquebalait au rythme des mouvements de celui qui le porte.
Je rejoins le second étage, suivie par Iris et Jasmin.
- Quelle croupe, Adam va être servie, dit Iris.
- Elle mouille bien, pour une pute, me susurre Jasmin, lors de passages des grilles, gardées par des sergents féminins et masculins et des maîtres-chiens, tenant en laisse de superbes bergers allemands, dobermans et dogues allemands.
- C’est la nouvelle pute de la section 10, messieurs. Son œillet a été défloré par Brice puis Charles Edouard. Adam va l’ouvrir un peu plus, n’est-ce pas, la vicieuse, annonce Iris.
Je découvre ma cellule, avec un lit, une grille fermant la fenêtre assez haute, un lavabo et un urinoir, un seau pour mes déjections.
- Ma belle, tu vas apprendre à pisser debout.
C’est un vrai supplice de pisser debout, avec le vibromasseur. J’ai des difficultés pour uriner par compression, et surtout quand les doigts d’Iris me fouillent ma chatte. Cela m’est très pénible.
- Je ne veux aucune goutte à côté de l’urinoir, ma belle. Tu vas devenir une pute obéissante, quelques coups de cravache sur tes fesses.
J’arrive à me soulager, malgré les puissants va-et-vient anaux, je suis au bord de l’orgasme.
Iris me caresse la chatte.
- Tu es jouisseuse, toute humide.
J’ai un violent orgasme que je ne peux retenir. Humiliée, exhibée, les mamelons tendus sous les doigts d’Iris, je ne me reconnais plus.
- Très bien, Jasmin, amène-la à Adam, sur le chevalet, pour son premier jour. Elle va sucer les sergents et les caporaux. Ma belle, les sergents et les caporaux décident, s’ils veulent t’enculer après Adam ou te cravacher.
Je suis menottée toute nue, déchaussée sur le chevalet, dans ma cellule. Mon postérieur est plus haut que ma tête. Mes bras sont fixés le long des pieds avant, mes jambes le long des pieds arrières, et une large sangle m'est passée au niveau de la taille. Mes cuisses, légèrement fléchies sont empêchées de se resserrer par la largeur de la poutre, ainsi d'ailleurs mes fesses que je me peux refermer.
- Ainsi, tu es prête à tous les désirs, dit Jasmin, qui me laisse seule, la porte de la cellule grande ouverte.
Des mains caressent mes fesses encore brûlantes sans un mot. Je mouille, mon clitoris se tend à l’extrême, tout comme mes mamelons. Je ne peux me libérer, malgré mes supplications.
Je bois beaucoup et j’avale un laxatif.
Enfin, j’entends du bruit.
L’anus libre, je sens une fourrure contre mon dos. Son sexe de dix-sept centimètres de long et cinq de diamètre m’encule. Il me donne de longs coups de bassin, rapides comme un homme, vigoureusement. Je commence à jouir. Je sens mes fesses s’élargir sous la pression du nœud. J’ai un peu mal. Je m’empale inconsciemment sur son sexe. Il me tient fermement entre ses pattes avant, la bouche ouverte, il tire la langue d’où coule un mince filet de bave sur mon dos. Les hommes me prennent en photo. Je connais trois orgasmes anaux.
Au bout de trois quart d’heure, il se retire et m’offre son sexe à sucer. C’est un superbe berger allemand.
Je le nettoie, comme si c’était mon amant.
J’aime le goût de son sperme. Mon anus dégouline de son sperme.
- A nous deux, ma belle, dit le plus âgé des sergents. Ton œillet est bien lubrifié.
Les mandrins sont ornés de picots qui me font très mal et me donnent l'impression qu'on m'arrache l’anus. Il y a aussi la cravache sur les fesses, les pinces sur mes lèvres intimes et des glaçons dans ma chatte. 
Au bout d’une heure, je perds connaissance, par mes orgasmes anaux que je regarde, selon les désirs des sergents et caporaux, des nord africains. On me cravache les fesses, avant qu’Adam m’encule à nouveau, après que je l’ai sucé.
- Tu vois, Adam, c’est une formalité. Tu es sa chienne.
Je connais un long jet de pisse, sous l’excitation.
Je passe un long moment sur le chevalet, ma chatte est toute trempée, les glaçons ont fondu.
Au coucher du soleil, je suis en sueur.
Iris vient me voir.
Je suis détachée du chevalet. Elle examine mes fesses brûlantes et m’écarte bien les fesses.
- Ton œillet est encore béant, dégoulinant de spermes. Tu es une vraie pute anale, maintenant. Je vais te doucher avec tes nouvelles copines.
Nous sommes menottées debout, sur la pointe des pieds, les bras en l’air, avec chacune une canule d’eau froide pour nos lavements anaux, sous l’eau tiède qui s’écoule du pommeau de la douche.
Cuisses écartées, les yeux baissés, la bouche entrouverte, je m’abandonne aux caresses de ma chatte par les autres surveillantes, des majors.
Je suis vite repérée comme la chienne d’Adam.
- Regarde, comme elle aime ça, les caresses de sa chatte et de son clitoris tendu, belle chienne, me susurre une des surveillantes.
Après une rapide douche, l’anus propre, je me sèche avec une serviette assez rêche qui ranime les douleurs provoquées par la cravache sur mes fesses.
Je mange rapidement avec mes doigts, de la semoule et une soupe froide composée d’un mélange d’œufs, de carottes, de concombres, de courgettes, de bananes, pimentée. Je suis agenouillée, cuisses écartées, constamment surveillée. Je peux me soulager.
Je dois garder l’odeur de ma pisse, l’anus est nettoyé par une poire anale.
- Très bien, ma belle, je vais te menotter pour la nuit. Adam va revenir. Ton œillet a besoin de son sexe.
Je me retrouve ainsi nue, attachée en croix sur le lit, bras et jambes écartés
Iris pince mes mamelons, me palpant les cuisses, glissant même une main entre elles, titillant mon clitoris, enfonçant ses doigt dans ma chatte, me tâtant l'anus, me masturbant littéralement. Je mouille d’excitation.
Dans un 69 torride, je lui donne du plaisir en léchant sa chatte et son œillet, comme une bonne lesbienne. J'aspire son clitoris très gros, enfonçais ma langue le plus loin possible dans sa chatte et dans son anus. Iris me tourne le dos et je sens ses doigts m'ouvrir la chatte puis la pénétration de ma chatte par un gode canin moulé sur le sexe d’un doberman, trente-deux centimètres de long et quatre de diamètre, pour me goder. Je me retiens de jouir.
Iris connaît un orgasme et arrête de me branler, me bloquant brutalement dans la montée du plaisir, enfonçant le gode du doberman dans mon anus encore un peu dilaté.
Je reste ainsi, excitée, le gode qui m’encule.
 Un peu plus tard, Jasmin connaît elle aussi un orgasme, je bois sa mouille comme pour Iris, elle aussi me laisse en plan. Avant de me quitter, elle retire le gode de mon anus.
- Nettoie-le.
Il est mouillé de mes sécrétions anales. J’obéis.
- Très bien, alors ce soir, ce sera Hadès qui va te saillir, Lady Olympe.
La lumière éteinte, la porte de la cellule restant ouverte, éclairée par l’allée, je sens une présence.
Sans attendre, je suis enculée d’une seule traite, jusqu’au nœud. Le sexe est un peu plus gros qu’Adam. J’explose dans un premier jusqu’au quatrième orgasme anal, sous les éjaculations canines.
Le chien reste en ma compagnie, tout en débandant, attachée à lui, sans le noeud.
Au bout d’un certain temps, il rebande et la saillie reprend jusqu’au nœud. Je ne me maîtrise plus, tellement c’est bon.
Pour mieux satisfaire le chien, on me libère après le retrait du nœud, pour me menotter sur le ventre, attachée en croix, pour un meilleur accès à mon anus.
Le chien redouble de vigueur, attaché à moi. J’hurle dans l’oreiller.
Après son retrait, il est vingt-deux heures, quand j’entends la fermeture des portes.
Je voudrais bien me masturber, caresser ma chatte humide, mon clitoris et mes mamelons tendus, par l’excitation. Je ne peux pas.

Juste avant l’aube, la porte de la cellule s’ouvre. On me cravache les fesses quelques instants, puis Adam vient m’enculer à son tour, à deux reprises.
Pantelante, je deviens la chienne à nouveau du doberman Hadès. Mon anus s’est fait à son sexe, mon anus est forcé. Hadès me prend à deux reprises.
Je bois ma soupe entre deux amants canins.
Vers neuf heures, je viens d’achever ma dizaine saillie anale canine. J’aime de plus en plus.
Avant de me détacher, on me fait un lavement anal, pour que je sois propre.
Nue, en mules, un des sergent me saisit les deux mains. Il fait glisser l'un dans l'autre les deux anneaux de mes bracelets, ce qui me joint étroitement les poignets, et ces deux anneaux dans l'anneau du collier. Je me trouve donc les mains jointes à la hauteur du cou. Je suis tenue en laisse, par une ceinture autour de ma taille.
Pantelante, à moitié endormie, je suis le sergent, escortée par deux majors.
- La chienne a bien jouie cette nuit. On n’entendais qu’elle.
- Hadès et Adam l’ont bien montée.
Nous descendons au rez-de-chaussée.
Je rejoins le cabinet gynécologique. Je suis menottée au fauteuil, les cuisses écartées, des bracelets sont passés à mes chevilles, pour m’immobiliser. Je sens les lèvres de ma chatte qui s'entrouvrent toutes seules. Mon bassin est à la hauteur du visage du gynécologue.
Il s’occupe de mon clitoris, tout en entrouvrant les lèvres de ma chatte
- Tu es toute mouillée. Les saillies t’ont excitée.
Il m’enfonce un spéculum pour regarder ma chatte, en compagnie des majors.
Mon anus est resté entrouvert.
- On va s’occuper aussi de ton œillet de chienne. L’œillet est suffisamment souple pour supporter des pénétrations volumineuses et répétées. Cependant l’œillet doit préalablement faire l'objet d'un élargissement et toujours être préparé par une lubrification.
Il m’enfonce l’écarteur anal dans l’anus, je me sens esclave soumise et cette situation m’excite.
L’écarteur anal est différent du spéculum et se présente comme une paire de ciseaux qui s’écarte par crans d’arrêt. Mon anus s’ouvre jusqu’à cinq centimètres et sur huit de profondeur.
Une vis de blocage pratique permet, de pouvoir laisser exposer la dilatation plus longtemps.
Mon anus est maintenant réellement ouvert, et mon humiliation grandit. Il espace l’ouverture de chaque cran supplémentaire, il doit remarquer que je commence à couiner.
Après le retrait d’écarteur anal, le gynécologue m’encule.
- Elle est de facile à prendre. 
- Cette pute est douée. » Répond une des majors « Mais elle doit encore se perfectionner. »
Puis les sergents et les majors de service la nuit dorment, et ceux de jour m’enculent ensuite et je dois les sucer, sans perdre une seule goutte.
Je déjeune seule dans ma cellule, l’anus propre et la douche commune, cravachée comme les autres prisonnières.
Toujours nue, je suis à nouveau menottée sur le chevalet, pour mes saillies anales canines.
Je suis offerte au malinois Lancelot, au beauceron Atlas et à nouveau à Adam et à Hadès.

Pendant une semaine, j’ai droit à mes quatre amants canins, comme les autres prisonnières.
A chaque nouvelle visite gynécologique, mon œillet devient plus souple et je le garde plus longtemps entrouvert. La sodomie est devenue mon vice.

27 août
Avant l’aube, menottée, nue, sur le ventre, l’anus encore béant et débordant de spermes canins, on me détache, me fait un rapide lavement anal et on me met un bijou d’anus moulé sur le devant du sexe d’un doberman.
Les mains jointes à mon cou, tenue en laisse, nue et en mules, je suis le major. Je quitte le second étage pour le premier. Je découvre la section 8, pour jeunes chiennes dressées.
Mais avant, menottée sur un chevalet, on me tatoue à l’encre noire, en lettre gothique, les lettres C et S pour pute canine, juste à quelques centimètres au-dessus de la naissance de mes fesses et on me marque au fer rouge, l’intérieur de ma chatte du numéro 6996, auquel je réponds désormais.
Je partage ma cellule, avec une blonde aux seins plantureux, Pénélope, doté d’un mandrin imposant. Il mesure trente et un centimètres et sept de diamètre.
Pénélope se masturbe devant moi. J’ai une hâte la sucer.
Je m’accroupis et je tente de prendre en bouche son mandrin bien dur.
- Dis donc, ma belle, tu as envie.
- Oui.
- On dit Oui, à Miss P. Je vais t’enculer, ma chienne.
Nous faisons l’amour en 69 torride. Je m’allonge sur Pénélope tête bêche. Je lape son gland, enroule ses testicules, tandis que ses doigts fouillent mon anus libre, sa langue s’occupe de mon clitoris tendu et de ma chatte humide. Je lui lèche tendrement son anus, le doigte, le détendre puis revenir à son mandrin avant de repasser à son cul, pendant que Pénélope s’occupe de moi. Je masturbe son mandrin, le caresse, touche et excite les zones érogènes, ça peut rapidement virer en de supers préliminaires. Je suce le gland des lèvres, je l’aspire bien avant de descendre jusqu’à la racine du mandrin et de commence des mouvements de va et vient. Une fois le mandrin en bouche je passe ma langue sur ce mandrin offert en dilatant son anus.
- Tu me plais.
Pénélope m’encule, allongée sur le ventre, cuisses écartées. Pénélope m’enserre les hanches, glisse ses mains autour de mes seins. J’agite ma croupe pour qu’elle bande davantage en moi.
-Tu vas me faire éjaculer, chienne. Mets-toi à quatre pattes, sans que je quitte ton œillet.
J’obéis. Empalée jusqu’aux testicules, je suis fessée. Je coulisse sur son mandrin.
Je connais un orgasme anal rapidement puni par des coups de cravache sur mes fesses.
- Tu mouilles davantage, quand je te cravache.
Pénélope éjacule en moi.
Je me retire et nous reprenons le 69, je le nettoie.
Je m’empale sur le mandrin de Pénélope, qui est allongée sur le dos, je suis adossée à ses cuisses, jusqu’aux testicules, offrant la vue de ma chatte humide.
- Tu es toute humide, cela t’excite que je t’encule.
Je connais un orgasme anal lors de sa nouvelle éjaculation dans mon anus.
Sans débander, je me retrouve à mon tour, allongée sur le dos, cuisses relevées et bloquées par Pénélope, en traction, qui m’immobilise avec ses cuisses. Je ne peux me dérober.
Pénélope bande à nouveau et je suis la subir.
- Tu es bien ouverte, chienne.
Pénélope éjacule et je dois rester ainsi, pour que Conan, un doberman puisse m’enculer jusqu’au nœud. Je connais quatre orgasmes anaux en sa compagnie, suçant Pénélope, ravie.
Il t’encule bien, ma belle chienne, Conan est le seul chien de la section. Si tu veux, il t’enculeras tous les jours.
A peine remise de mes orgasmes anaux, l’anus rempli par mon bijou d’anus, en sueur, Pénélope me conduit, nue et en mules, à la douche et me met une canule pour mon lavement anal, à l’eau froide.
Les rares surveillants m’observent, je garde les yeux baissés. Ils se masturbent.
C’est la chienne 6996, la reine des orgasmes canins, dit l’un des sergent-chef, un africain noir, bien monté.
Il est accompagné de deux adjudants, musclés, africains noirs, bien montés.
Une fois propre, sèche, accroupie, cuisses écartées, je dois sucer des mandrins longs de vingt-cinq centimètres à trente centimètres et cinq à six de diamètre.
Mes poignets sont joints à mon cou.
Je suis complimentée comme une excellente suceuse.
Sans attendre, je suis suspendue par une chaîne passée à l’anneau de mon collier, sur la pointe des pieds nus, déchaussée, cuisses écartées.
Tous m’enculent jusqu’aux testicules, me fessent, je dois retarder mes orgasmes anaux.
Des fois, je suis prise en double pénétration et voir, deux mandrins me remplissent simultanément l’anus. J’ai un peu mal.
Les dix surveillants me libèrent et je les nettoie.
- Très bien, la pute a eu son compte pour aujourd’hui, annonce le plus âgé des adjudants.
Prosternée, l’anus libre, je suis aussitôt, enculée par Conan, qui ne demande pas son reste. J’y reste une heure au total, après plus deux heures avec les sergent-chefs et adjudants, devant Pénélope.
Pantelante, je suis à nouveau livrée à dix autres africains noirs.
Je peux enfin me reposer, menottée dans un carcan.
Ma tête et mes poignets sont emprisonnés dans un carcan accroché par des chaînes au plafond. On referme le morceau de bois qui m’immobilise.
Je reste penchée en avant, cravachée sur les fesses, les cuisses, de lourdes clochettes étirent mes mamelons tendus à l’extrême, tout comme mon clitoris, léché par Conan. L’anus libre, je suis enculée par les surveillants, Pénélope et divers godes à picots, vibromasseurs et godes canins qui se gonflent. Je ne compte plus mes orgasmes. Je ne sais combien m’ont enculée, embrassée, masturbée. Je ne compte plus les jours, sous la lumière constamment allumée. Je bois beaucoup. Conan m’encule le plus souvent possible.

3 septembre
A l’aube, le colonel Hermine vient me voir.
- Alors, Lady Olympe, tu te comportes désormais comme une pute obéissante, perverse anale canine. Tu me plais davantage. Je connais des clients fortunés qui me demandent de tes nouvelles. Tu as un peu maigrie. Tu vas reprendre des forces, de l’exercice.
En guise d’exercices, dans la salle de sports, il y a un vélo, lequel laisse dépasser par un conduit traversant leur selle, un vibromasseur anal muni d’un va-et-vient, relié au pédalier. Lorsque je suis empalée sur le vibromasseur, je suis cravachée sur leurs fesses et je pédale. Je suis profondément enculée, à chaque coup de pédale. On me cravache régulièrement les fesses, je pédale et donc m'encule avec plus de vigueur. Chaque jour, le vibromasseur change de calibre humain, canin et équin, pour m’assouplir. Je muscle mes cuisses, empalée sur un gode anal de bonne dimension, les bras tendus en l’air, l’intérieur des cuisses cravachée. Je dois faire des pompes, saillie par Conan, pour me muscler ou par une machine à enculer, fixée entre mes cuisses, munie d’un puissant va-et-vient.
Je me promène dans la cour centrale interne grillagée, nue et en mules, à quatre pattes, enculée par un dogue allemand, Olaf. Son sexe long de vingt-cinq centimètres et quatre centimètres de diamètre, ainsi qu'un beau nœud à la base, quand il est à l'intérieur, il fait bien huit à dix centimètres, m’écartèle bien l’anus. J’ai un peu mal, mais je dois parcourir la cours, tout en prenant du plaisir, subissant ses coups de reins puissants. Finalement, il éjacule dans mon anus et se retire avant de m’enculer à nouveau pour une nouvelle promenade, plus jouissive.
Des clients fortunés, derrière des glaces sans tain, m’observent, me notent, fixent un prix pour de futures enchères. Après Olaf, ce sont Sultan et Brutus qui prennent le relais, pour de nouvelles saillies anales canines. Pantelante, par mes nombreux orgasmes anaux, l’anus alourdi par les litres de spermes, je suis douchée, avec une canule pour me nettoyer l’anus.
Je passe la nuit, cravachée, au pilori, pendant une semaine.

6 septembre
On me rase la chatte et je peux porter l’uniforme de prisonnière : un boléro fermé au cou. Il suffit d'enlever le boléro pour que les épaules et les seins soient nus, et sans même enlever le boléro, de l'ouvrir, si l'on désire voir les seins. Il est complété par une jupe éventail, qui se retrousse d'un geste, accompagnée par les clochettes à mes mamelons constamment tendus par un mystérieux processus, ainsi que mon clitoris. Ils sont devenus hyper sensibles, le souffle du vent m’excite énormément. Mes mamelons pointent au maximum tout le temps, vingt-quatre heures sur vingt-quatre et de même pour mon clitoris. Je suis frustrée et la douleur provoquée par le fait que mes mamelons et mon clitoris soient constamment tendus. Mon clitoris est  gros comme une cerise, saillant et volumineux. Mes mamelons sont particulièrement saillants, gros et longs.
Je porte aussi des clochettes à mes grandes lèvres de ma chatte toutes lisses, pour pouvoir me repérer et les étirer, comme mes mamelons tendus. Chacune des prisonnières a un tintement cristallin particulier.

9 septembre
Je deviens serveuse seins nus, dans un luxueux complexe hôtelier. Je garde mes clochettes à mes mamelons et à mes grandes lèvres de ma chatte, sous un tablier blanc et mes mules à très hauts talons, coiffée d’une queue-de-cheval, avec mes carcans en cuir. Je porte un gros bijou d’anus, prête à me faire enculer, sucer, selon les envies des clients fortunés. Je suis même cravachée pour mes fautes, par les clients et la direction.
J’y reste la journée et je rentre le soir en prison, offerte à mes amants canins.

20 septembre
Cela fait un mois que je suis prisonnière, pute anale, docile, véritable chienne. Je suis officiellement marquée au fer rouge, sur mes fesses : V sur ma fesse gauche et O sur ma fesse droite et je porte à mes grandes lèvres, deux anneaux de fer mat inoxydable, avec un ressort intérieur qui les bloque de façon définitif. La tige en était ronde, épaisse comme un gros crayon de couleur, et ils sont oblongs : les maillons des grosses chaînes sont semblables. Chacun est formé de deux U qui s'emboîtent l'un dans l'autre. Chaque anneau est long comme deux phalanges du petit doigt, qu'on y peut glisser. A chacun est suspendu, comme un nouveau maillon, ou comme au support d'une boucle d'oreille un anneau qui doit être dans le même plan que l'oreille et la prolonger, un disque de même métal aussi large que l'anneau est long. Sur chacun, se trouvent les initiales de mes Maîtres, qui m’ont acheté aux enchères secrètes, avec mon nom, et au-dessous, un fouet et une cravache entrecroisés.
J’appartiens désormais à des inconnus. Mon anus reste encore un peu entrouvert, mais je sais qu’il peut s'ouvrir tout grand pour me faire enculer.
Je suis perverse.
Mais c’est le colonel Hermine qui décide de mon retour au baisodrome.
Après les dogues allemands, je suis conduite, juste vêtue de mon boléro et de ma jupe éventail, de mes mules, ma bouche fardée avec un rouge clair, un peu liquide, au pinceau, et qui fonce en séchant, ainsi que mes mamelons et mes aréoles de mes seins libres de mes clochettes et les petites lèvres de ma chatte, en soulignant la fente du giron. Je me suis poudrée le visage.
Non loin de la prison, se trouve un haras abritant des écuries. Dont le superbe Zéphyr, un magnifique trotteur français.
Nue, les mains jointes à mon cou, je le suce, juste au niveau du gland. Celui-ci sous les caresses labiales entre en érection.
Le colonel Hermine me fait pencher en avant, sur un chevalet, sous Zéphyr.
Hermine me prépare bien l'anus pour bien le lubrifier et le préparer à la monstrueuse intromission anale qui se prépare. Positionnant le gland du membre devenu moins dur sur sa rondelle, mon muscle cède. J’hurle de douleur, mais ne lâche rien.  S'étant habituée à cette grosseur, je reprends ma progression millimètre par millimètre en serrant les dents. Je suis empalée sur plus de vingt-cinq centimètres de bite de cheval et je commence à m'agiter doucement puis, mon anus se dilatant, accélère le mouvement mais m'arrête net en poussant un hurlement de douleur : le cheval, sous l'effet du coulissement sur sa queue, rebande. L'anus est tendu à la limite de la déchirure. Je ne bouge plus, mais pousse des cris de douleur qui bientôt s’éteignent. Je reprends alors mes va-et-vient sur le sexe monstrueux sur plus trente centimètres et j’hurle de plaisir.
Je dois sucer aussi d’autres hommes du haras, qui se vident dans ma bouche, j’avale tout.
Pendant ce temps, le cheval éjacule ce qui provoque un orgasme. Le sexe  débandé sort de mon anus rougi complètement distendu et ce qui libère un flot de sperme. Mais Hermine demande à Eclair des Haies, un pur-sang, de me saillir à nouveau.
Cette double saillie anale équine me met en un tel état d’excitation, que j’ai mal à mes mamelons et à mon clitoris tendus à l’extrême.
J’allais être une pute chevaline. Je passe quelques jours au haras, saillie par divers étalons équins et suçant les hommes, les clients.

20 octobre
Après l’alternance entre le haras et un chenil privé, offert à vingt-cinq chiens par jour, ferrée, marquée, avec ma bouche très bien dressée et soumise au fouet, je quitte la prison, nue sous mon boléro et ma jupe éventail et mes mules, fardée et parfumée. Le banquier Alban a du payer une importante caution pour ma remise en liberté. J’ai du sacrifier ma longue chevelure pour une coiffure à la garçonne, laissant deviner mon tatouage sur mon cou, C et S, tatoués à l’encre noire, en lettre gothique. Je ne porte plus mes carcans en cuir, mais je suis une pute anale, perverse, docile, nue sous mes vêtements. Je porte la bague sertie d’un petit anneau à l'annulaire gauche.
Je loge quelques jours dans la villa d’Alban. Je vis totalement nue, exhibant mes fers, mes fesses marquées au fer rouge et mon anus entrouvert. Alban me trouve plus désirable, avec ma taille affinée par le corset ou la guêpière seins que je porte souvent, pour mes sorties. La guêpière est tenue rigide par de larges baleines très rapprochées, courbées vers l'intérieur au ventre et au-dessus des hanches, sans jarretelles, qu'un busc, sur un côté derrière, permet de boucler et de déboucler. Par-derrière aussi, un large laçage se serre ou se desserre à volonté. Ma taille et mon ventre se creuser sous la pression des baleines, qui sur le ventre descendent presque jusqu'au pubis, qu'elles dégagent, ainsi que les hanches. La guêpière était plus courte par-derrière et laisse la croupe entièrement libre.
Ainsi, je suis facilement accessible pour me faire enculer, en relevant ma jupe éventail.

mercredi 3 avril 2019

ETUDIANTE VICIEUSE

Je m’appelle Shawn.
J’ai 18 ans.
Je suis une jolie beauté scandinave.
Je suis une brune aux yeux verts. J’ai des pieds fins et latins, des jambes longues bronzées, musclées qui inquiètent par leur perfection. Mon pénil est bombé, ouvert, couronné de noir. Ma pilosité brune couvre mon pubis. Ma chatte est velue et j’ai une superbe croupe. Les lèvres de mon sexe sont une plaie rouge entre mon entrecuisse. Mes hanches s'incurvent et délimitent le ventre plat, délicieusement renflé autour du nombril, les hanches sont larges et rondes, mais sans lourdeur. La taille est affinée. Les seins parfaits intégralement bronzés sont un peu volumineux mais fermes, et leurs pointes marron clair, toujours dressées, cernées par une large aréole marron attirent le regard. J’ai une peau lisse et patine. Finition parfaite, un seul grain de beauté entre mes superbes seins. De longs cheveux plats blonds flottant comme des algues, battent mes épaules rondes et gracieusement athlétiques. Je suis intégralement bronzée. Mes yeux verts limpides s'allument, ma bouche charnue se fend. J’ai des sourcils bruns bien dessinés et des lèvres pulpeuses. J’ai de longs doigts fins et de belles mains. Je fais du 90B de poitrine, 56 de taille, 90 de hanches, 1,72 m.

ETUDIANTE VICIEUSE






 

10 février

C’est mon premier jour, à l’université. Je suis vêtue d’un chemisier fuchsia sur mon soutien-gorge blanc transparent et une longue jupe blanche sur ma culotte blanche transparente, avec mon premier porte-jarretelles assorti et des bas blancs, assortis à mes escarpins blancs à talons moyens.
A seize ans, j’ai eu mon rapport lesbien avec ma cousine Aimée et ma sœur jumelle, Natacha. Tous les deux m’ont fait connaître mon premier orgasme, tout en me léchant le clitoris et en doigtant ma chatte trempée. Je tiens à rester vierge jusqu’au jour où je rencontre l’homme qui me fera vibrer.
Chaque été, en Grèce, j’attire les regards, dans mes bikinis et cette année, je pense bronzer seins nus. Mes petits seins sont pelotés chaque soir, par mon père, Dan et mon frère, Brice, de deux ans mon aîné, qui collectionne les filles.
Je me fais remarquer par Sam, une jolie brune aux petits seins.
Elle m’embrasse sur la bouche langoureusement, devant ma sœur, Natacha. Je glisse sa main entre ses cuisses et je découvre un mandrin sous sa jupe. Est-ce un homme ?
- Oh la coquine, tu aimes ce que j’ai entre mes cuisses. Natacha, a déjà goûté et s’est délectée.
Natacha collectionne les aventures sexuelles.
Je n’ose répondre.
Sam me conduit aux toilettes pour femmes.
Sam me soulève la jupe, me baisse la culotte et me doigte longuement la chatte. Je jouis.
- Tu aimes ça, te faire doigter ton écrin humide.
Sans attendre, je sens un drôle d’objet. Je suis penchée en avant, dos à Sam.
- Ecarte bien les fesses, ma belle.
Le mandrin bien dur m’encule lentement. Je gémis un peu. Mes seins se balancent au rythme de ses coups. Ses mains se posent sur mes hanches. Elle m’écarte bien les fesses pour mieux m’enculer.
- Tu n’es pas assez ouverte. Tu es encore vierge, du puits. Je m’occupe de cela.
Sam m’encule avec vigueur. Je me détends, sous les caresses et le léchage de mon clitoris tendu, par une autre langue, celle de Natacha.
- Détends-toi, comme tu allais aux toilettes.
Un orgasme anal me terrasse, combiné à de longs jets de spermes chauds dans mon anus défloré.
Sam m’encule à nouveau et cela dure une éternité.
Je dois sucer Sam, tandis que le sperme coule de mon anus.
C’est ma première fellation que j’exécute comme j’ai vu avec mon père.
Sam me récupère ma culotte.
- Ma chérie, finis les culottes sous ta jupe. Tu vas fesses nues à l’université.
Je suis les cours, assise cul nu, l’anus qui dégouline. Je n’ose serrer mes cuisses.
Le professeur ne cesse de m’observer. Je dois lui plaire. Il a le double de mon âge, musclé, athlétique, brun. Il me laisse une enveloppe sur ma feuille. Je n’ose l’ouvrir.
Après le déjeuner, Sam me déflore la chatte, dans la même position que celle qu’elle m’a enculée. Je deviens femme.
- Ça y est, je t’ai défoncé la chatte et tu es devenue femme. Ma chérie, tu vas devoir te masturber la chatte et l’œillet tous les jours, pour t’élargir. Donne-moi ton soutien-gorge, ton porte-jarretelles et tes bas.
J’obéis, dans les toilettes.
Nue, je me rhabille.
- Maintenant, tu dois être attentive aux hommes, toujours présentable, douchée, avec une queue-de-cheval haute), et sans maquillage. Ton œillet doit reste épilé. Je dois porter ton attention sur un des hommes lors de conservation, afin d'être toujours prête à le servir et à rendre de menus services. Tu t’assois toujours cul nu sur le siège, comme en cours. Tu portes des talons hauts supérieurs à dix centimètres, avec tes cuisses toujours écartées, nue ou habillée. Tu ne peux plus croiser les jambes, nue ou habillée, ni plier les genoux pour te pencher ou t’incliner et tu t’inclines et te penches toujours jambes droites, bien tendues, et ce quelle que soit la longueur de ta jupe. En compagnie d’un homme, tu reste agenouillée et cuisses écartées. Tu ne parles que si l’on t’adresse la parole. Si restes nue, en chaussures ou habillée. Tu bronzes entièrement nue. Tu ne débutes jamais une conversation avec un étranger, et répondre si ce dernier lui adresse la parole. A la piscine ou à la plage, tu es toute nue, aucun bikini. Les hommes sont libres de te caresser sur tout ton corps. Tu portes des vêtements : attrayant, attractif, sexy et sensuel, de manière à attirer tous les regards sur moi, sans jamais être ou paraître vulgaire. En voiture, qu'elle soit conductrice ou passagère, tu t’assois directement fesses nues sur le siège et bien écarter les cuisses. Si Laura porte un chemisier, celui-ci devra être suffisamment ouvert pour montrer tes seins. En voiture, tu ne regardes personne à l’extérieur, ni croiser les jambes ni de rapprocher tes cuisses. Habillée, tu relèves ta jupe et montrer discrètement tes fesses ou ta chatte, ne serait-ce qu'un bref instant. Tu fais l’amour dans n’importe lieu. Tu seras nue en privé, exhibée, fessée, photographiée, filmée, sans aucun dessous, slips, strings, soutien-gorge, pantalons, short et similaires mais tu dois porter Guêpière, corset tous modèles seins nus. tu dois sucer, être baisée et enculée, avec godes, bijoux d’anus et occasionnellement, porte-jarretelles et bas. Tu ne dois jamais regarder un homme en face, baisser les yeux et la bouche entrouverte. Si un homme te choisis, il t’utilise, baiser, cunnilingus, fellation, caresses, pénétrations. Tu acceptes d’être traitée de Chienne, Esclave, Pute. Voici un recueil de ce que je t’ai dit, apprend-le par cœur. Il y a des dessins et des photos pour les exemples.
De retour chez mon studio, non loin de l’université, je reste totalement nue, comme les autres filles à l’université.
Dans ma chambre, nue, après ma douche, j’ouvre l’enveloppe qui contient un message codé que je dois déchiffrer, assise, cuisses écartées.
150 la fellation, 300 la chatte et 500 la sodomie, 1000 la DP, 2000 la double anale.
RDV immeuble D23 à 20 heures, tailleur sans chemisier, aucun dessous, sandales à hauts talons.
Il y a un numéro de téléphone.
Je le compose :
- Baron Désir des Mille Vices à votre service.
- Je m’appelle Shawn. J’ai 18 ans, récemment déflorée. J’ai vu votre mot.
- Tu es prête à tout. Sam t’a initié.
Je n’ose répondre.
- Réponds, ma belle. J’ai des amis qui vont te conduire au septième ciel.
- Oui, c’est Sam. J’ai jamais autant joui que lorsque je suis avec une autre fille.
- Tu es lesbienne.
- Non, mon père Dan et mon frère Brice, m’ont juste doigté la chatte.
- Tu n’as jamais été enculée par un mec.
- Non, cela a été très perturbant, ma première sodomie.
- T’es fais pas, ici, c’est plusieurs fois que tu offres ton œillet à tes amants. Habille-toi et je t’attends.
Je suis à la fois excitée et inquiète.
Habillée, je me rends à l’immeuble D23, à trois pâtes de mon studio.
L’endroit est désert.
Six beaux étalons de mon âge, africains noirs et nord africains m’entourent.
- C’est la nouvelle du Baron. Il a du goût, dit l’un d’eux, Mustapha.
Un des étalons me baisse ma jupe, sans me prévenir.
Je suis les jambes nues, la chatte velue exhibée. Je n’ose pas bouger.
Deux autres me retirent ma veste de tailleur. Je suis totalement nue, en sandales. Je tente avec maladresse de dissimuler mon intimité avec ses mains.
- Elle est prude, la belle. Le Baron n’aime pas les prudes, menottez-la, dit César.
Des menottes sont fixées ensemble, derrière mon dos, immobilisant mes mains. Je ne peux plus rien cacher.
Nous montons au second étage, après ouvert par le digicode.
Là, le Baron m’accueille, nu. C’est le professeur. Inconsciemment, je baisse les yeux, la bouche entrouverte, devant lui, fixant son mandrin en érection.
- Très bien, tu es obéissante. Je déteste que tu couvres ton corps. Voici mon berger allemand, Adam, il va te faire jouir, la débutante. Messieurs, enculez-la jusqu’aux testicules et fessez-la.
Il y a les nord africains Ahmed, Mustapha et Kamal et les africains noirs César, Désiré et Hercules, dotant de mandrins impressionnants. Je découvre le chien, un superbe berger allemand, Adam.
Je suis agenouillée, déchaussée, cuisses écartées, fléchie un peu en arrière, à demi assise sur les talons.
Puis mon buste repose sur un pouf, toujours les mains au dos, et les fesses plus haut que le torse, et les six se relaient pour m’enculer et je dois sucer un autre, soit qu’il m’a enculé soit pour me faire enculer. Totalement soumise à mes six amants d’un soir, je suis longuement fessée et je dois m’empaler sur leurs gros mandrins qui m’écartèlent bien l’anus.
- Elle n’est pas assez élargie, dit Hercules, avec un mandrin de six centimètres.
- Adam va l’ouvrir davantage, dit le Baron.
- Elle a de violents orgasmes anaux, elle prend goût, dit Désiré.
Pantelante, au bout de deux heures de sodomies, je garde la pose.
Le berger allemand m’offre sa queue de dix-sept centimètres et cinq de diamètre en bouche.
Le Baron lui saisit son phallus et en place le bout, devenu rouge, brûlant, à l’entrée de l’anus bien lubrifié. Il m’encule, ses pattes de devant agrippées à mes épaules, tandis que sa nuque se couvre de sueur sous l’effet conjugué de mon souffle chaud et de sa propre excitation. J’enchaîne orgasme sur orgasme. Puis il m’encule d’une seule traite. Il éjacule en moi au bout d’une demi-heure.
Il se retire et le Baron m’encule, l’anus bien lubrifié.
J’ai un peu mal.
- Tu es facile, me dit-il. Tu as envie de tous les hommes qui te désirent. J’ai éjaculé en toi, en forçant ton œillet, pour que ton œillet se fasse à moi et je vais forcer ton œillet. Adam l’élargira chaque fois.
Adam m’encule encore une fois et les six amants ensuite. Je m’évanouis, par mes nombreux orgasmes.
Quand j’émerge, je suis dans une grande chambre, de l’immeuble, sans rideaux, nue, attachée en croix sur le lit, bras et jambes écartés, sur le dos et Adam m’encule, ses pattes avant sur mes seins.
- Eh bien, Adam a pris goût à t’enculer. Il aime ça. Toute nue, tu es disponible. Ensuite, je vais cravacher tes cuisses. Demain, tu ne vas pas en cours. J’ai d’autres amis à te présenter, la future vicieuse.
Je ne compte plus les orgasmes et les saillies anales d’Adam.

11 février
Au lever du soleil, dans la chambre, sans aucun rideau, j’émerge.
Sam me rejoint, nue.
- Ma chérie, tu as bien dormie. Adam t’as fait donner beaucoup de plaisir, ton œillet est un peu béant, dégoulinant de spermes chauds. Le devant de tes cuisses ont été cravachés, tu n’as pas été sage.
J’ai envie de me soulager.
Sam me détache et je fais mes besoins debout, dans un seau, entre mes cuisses écartées, le sperme dégouline de mon anus. Sam me menotte les mains dans le dos.
Elle me lave, me démaquille, me fait mon lavement.
Je suis assise sur le bidet, courbée en avant.
Sam me savonne l’anus et me m’enfonce une canule, montée à l'extrémité du flexible de la douche, par laquelle elle m’asperge d'eau tiède. Je connais un violent orgasme anal sans me caresser.
Je suis ainsi propre.
- Tu as l’œillet propre, si Adam veut te prendre. Laisse-moi t’enculer.
Prosternée, je m’offre à Sam, en appui sur ses jambes.
- Ton œillet s’est un peu assoupli, ma belle. Le Baron est très exigeant.
Je connais un nouvel orgasme anal.
- Fais-moi éjaculer.
Des jets de spermes chauds m’inondent l’anus.
Je me détends. Sam appuie la pointe lubrifiée du Bijou d’anus sur la pastille anale et pousse doucement. En quelques secondes la partie charnue du bijou d’anus est avalée. Ne reste visible que la partie décorative qui sert aussi de butée. La pointe est glacée, Sam joue un peu avec juste à l’entrée, et elle pousse un peu pour l’enfoncer. C’est froid et c’est rentré tellement vite, une petite poussée du doigt et ça a suffit, il s’est mis en place. Il fait six centimètres de diamètre et 170g.
Après l'introduction du bijou d’anus, il se resserre sur la tige.
Le Bijou d’anus va entretenir l'élasticité de ton anus pour tes nombreuses sodomies.
Je ne peux l’expulser. Mon anus va devenir plus sensible.
Sam me menotte à mon lit, mais sur le ventre, cuisses écartées.
- En position de rut, l’œillet détendu, tu pourras agiter ta croupe sur les queues. Tu peux dormir jusqu’à midi. Je prendrais tes cours. Tu es seule et tu n'as affaire qu'aux hommes.
Sam ferme la porte à clé et repart avec Adam.
Je joue avec le bijou d’anus.
Une demi-heure après, la porte s’ouvre.
Le Baron entre, avec trois amis. Ils sont nus et bien montés.
Son anus est parfaitement rodé car elle se fait enculer régulièrement, annonce le Baron.
Un des hommes, un grand européen musclé, brun, m’encule sauvagement, l’anus libre du bijou d’anus, me tenant par les hanches, fermement
- Ça va ma belle ? 
Je suis contente d’être enculée
Les va-et-vient sont rapides, avec des entrées et sorties partielles, pour voir comment mon anus reste ouvert. Prise d’un orgasme, je serre son mandrin et le masse divinement, en agitant ma croupe, les seins pelotés par l’homme. Il éjacule en moi.
- Je suis fier de toi. Tu t'es comportée comme une pute anale.
Un autre homme, un africain noir, prend le relais. Son mandrin mesure vingt-cinq de long et cinq de diamètre contre vingt et quatre de l’européen.
L’anus lubrifié, je suis à nouveau sauvagement enculée et fessée. J’agite ma croupe pour le faire bander davantage. Il m’écartèle l’anus.
Enfin, le troisième avec un court mandrin de dix-sept centimètres et six de diamètre, m’ouvre davantage.
Je dois sucer mes trois amants, tandis que le Baron m’encule à son tour.
Je suis en sueur, l’anus béant, refermé par le bijou d’anus, à moitié endormie par mes orgasmes successifs, qui sont punis par plusieurs coups de cravache sur mes fesses par le quatuor. Je dois compter les coups.
Un nouveau chien m’est présenté. Un mastiff doté d’un sexe long de dix-neuf centimètres et quatre de diamètre.
Je dois subir ses assauts pour m’enculer, sans relâche, attachée à lui, multipliant mes orgasmes anaux.
Le Baron et ses amis sont satisfaits de moi.
Pantelante, je suce le mastiff.
Trois mastiff m’enculent à tour de rôle, jusqu’à l’épuisement, nourrie de leurs spermes.
Quand j’émerge, je suis suspendue, nue, les bras en l’air, avec mes carcans en cuir. Ils sont faits : en plusieurs épaisseurs de cuir (chaque épaisseur assez mince, au total pas plus d'un doigt), fermées par un système à déclic, qui fonctionne automatiquement comme un cadenas quand on le ferme et ne peut s'ouvrir qu'avec une petite clef. Dans la partie exactement opposée à la fermeture, dans le milieu des épaisseurs de cuir, et n'ayant, presque pas de jeu, il y a un anneau de métal, qui donnait une prise sur le bracelet, si on veut le fixer, car il est trop serré au bras et le collier trop serré au cou, bien qu'il y a assez de jeu pour ne pas du tout blesser, pour qu'on y pût glisser le moindre lien. Pour le collier, l'anneau pend devant le cou, reposant sur la saillie des clavicules, et brinquebale au rythme des mouvements de celui qui le porte. Je porte ce collier et ces bracelets à mon cou et à mes poignets. Je suis sur la pointe des pieds nus, cuisse écartées, l’anus libre, dégoulinant de spermes.
Un lycéen m’encule sauvagement. Je me retiens de jouir sur ordre du chef. Je garde les yeux baissés, la bouche entrouverte. Il éjacule sur mes fesses rougies par les fessées et les coups de cravache du chef.
Une vingtaine de jeunes se relaient.
Je ne sais combien ils me payent.
Je ne retourne chez le Baron que pour dormir et me laver, avec lavement anal. Les mastiff m’enculent pendant la nuit, je suis allongée sur le ventre, menottée, cuisses écartées.

13 février
A l’aube, après une ultime saillie par deux Mastiffs, pour m’enculer, je suis douchée, toute nue, avec mes carcans de cuir, je suis conduite par le Baron.
Au second étage, il m’annonce :
- Tu t’es correctement comportée depuis ton arrivée. Tu acceptes de te faire enculer par des hommes et des chiens. Tu vas retourner à l’université. L’université a reçu un mot d’excuse que je t’ai fait signée. Voici ta nouvelle tenue : un corset seins nus, avec une jupe éventail, un boléro, sans tes carcans de cuir et une paire de mules à hauts talons. Tous les hommes savent que tu as les seins, les fesses et les jambes nus, pour leur plaisir.
Je m’habille. Le corset est durement baleiné, long et rigide, comme au temps des tailles de guêpes, et comporte des goussets où reposent les seins. A mesure qu'on serre, les seins remontaient, s'appuient par-dessous sur le gousset, et offrent davantage leur pointe. En même temps, la taille s'étrangle, ce qui fait saillir le ventre et cambrer profondément les fesses. La jupe éventail, qui se retrousse d'un geste, et portée avec un boléro fermé au cou. Il suffit d'enlever le boléro pour que les épaules et les seins soient nus, et sans même enlever le boléro, de l'ouvrir, si l'on désire voir les seins.
J’éprouve de la fierté à montrer mon corps nu, avec mes fesses et mes cuisses marquées par les coups de cravache. Je porte aussi mon bijou d’anus, moulé sur le noeud du berger allemand, pour me rappeler que je suis une chienne soumise.
Avant de retourner à l’université, Sam me conduit chez un gynécologue, dans l’immeuble E25.
Là, je suis offerte toute nue, au beau gynécologue blond et son assistante brune aux seins plantureux.
Je passe une longue heure à me faire fouiller avec le spéculum, sucer et enculer.
Je suis allongée sur la table d'examen avec les deux étriers. Les étriers sont réglés, mes pieds nus sont immobilisés. Il m’attache les deux mains bras tendus avec des fixations identiques qui se situent de chaque côté de la table.
J’ai un tout petit coussin long et circulaire sous mes reins, je suis encore plus offerte, offrant encore mieux mon anus et ma chatte.
Je suis écartée au maximum, offrant en même temps ma chatte ainsi que son anus. Les lèvres de ma chatte sont ouvertes, il les touche doucement, elles sont très souples. Ils les bouge et joue avec un court instant. Il me caresse la chatte, sans la pénétrer. Le spéculum m’écarte, ma chatte étant très souple, elle s’est ouverte d'un bon diamètre.
- Tu possèdes une très belle chatte, récemment déflorée.
Mes saillies ont assoupli mon anus avec l’écarteur anal.
- Ton œillet est parfait, souple. Tu te fais souvent enculée.
Je n’ose répondre.
Il m’encule sauvagement. Il soulève mes jambes en hauteur en m’écartant les cuisses à fond, ma chatte et mon anus sont maintenant offerts à son mandrin. queue. Je suis enculée à fond, les testicules battent sur mes fesses au rythme de ses coups de butoirs. Il lâche mes cuisses qu'il tient écartées en hauteur depuis un bon moment, miracle de l’enculage, je me laisse moi-même mes jambes en l'air dans la même position. Il caresse mon clitoris d'une main et l’assistante me pelote les seins, étirant mes mamelons tendus. Il éjacule par saccade dans mon anus. Je suce le gynécologue.
A la fin de l’examen, le gynécologue me fait saillir par son doberman, avec son sexe long de trente-deux centimètres et quatre de diamètre, qui m’encule, à quatre pattes, libre, avant de me remettre le bijou d‘anus. C’est un ami du Baron.
Il me fait un courrier que je dois remettre au Baron.
A l’université, je suis désormais des cours sur la psychologie, sur les choix du Baron.
Je suis la seule femme dans l’amphithéâtre. Je suis assise cul nu, empalée sur mon bijou d’anus et je me retiens de jouir, cuisses écartées, attirant tous les regards sur moi.
A la fin du cours, je vais pour me restaurer.
Un des jeunes me reconnaît. C’est un de ceux qui m’a enculée dans une des caves.
- Tiens, la pute anale Shawn, alors ça va, beauté. Tu t’es remise de tes jouissances dans la cave.
- Oui, je me suis remise.
- Le Baron te cravache les fesses. Montre-les moi.
Je retrousse ma jupe, dévoilant mes fesses nues, mon bijou d’anus. Les cinq balafres sont noires.
Le jeune me conduit dans un coin discret, où se trouve d’autres jeunes.
La jupe retroussée, fessée, je suis d’abord enculée sauvagement, puis je reçois jusqu’à quatre doigts dans mon anus lubrifié et je dois retarder à chaque fois mes orgasmes anaux, tout en suçant, penchée en avant, cuisses écartées. Je leur suis soumise.
Pantelante, ils me font boire un peu d’eau, tout pelotant mes seins et étirant mes mamelons tendus, doigtant ma chatte trempée, le bijou d’anus remis en place.
- Elle aime ça, qu’on la masturbe. Elle est trempée, la vicieuse, me susurre l’un d’eux.
- Combien de chiens l’ont saillie, la vicieuse, réponds ?
- Cinq fois par un berger allemand et une vingtaine de fois par des mastiffs.
- Tu aimes les grosses queues, vicieuse.
Ils m’abandonnent.
Je reprends les cours, tourmentée par les saillies que j’ai subie.
A la fin des cours, avant de retourner au studio, je croise Natacha.
- Alors, comme ça, tu es devenue une pute anale du Baron. Quelle rapide montée en vices.
- Je suis fière d’être humiliée, exhibée, soumise à un autre. Je sais que les hommes me désirent, soumise, enculée, cravachée.
- C’est vrai, tu es plus désirable dans ta tenue. Tu es toute nue dessous, ma chérie.
Au studio, je me soumets aux désirs lesbiens de Natacha. Elle m’enfonce ses doigts dans mon anus, tout en léchant ma chatte dans un torride 69. Je lui rends la pareille dans de violents orgasmes lesbiens, qui nous épuisent.
Pantelante, après une douche lesbienne, le téléphone. Je décroche, juste vêtue de mon corset, que lace étroitement  Natacha.
- Baron Désir des Mille Vices, ma pute anale, se donne du plaisir avec mon ancien soumise Natacha.
- Oui, Baron.
- Tu m’as désobéi. C’est moi, qui décide de tes ébats sexuels. La bande qui t’a prise à l’université a été payé et elle a trouvé que tu es une excellente chienne. Ce soir, tu passe la nuit avec un danois, qui va t’enculer jusqu’au nœud, jusqu’à l’aube. Viens à l’immeuble E25, cinquième étage, de suite.
Je m’habille. Natacha me quitte après un baiser langoureux.
J’arrive en sueur, haletante, parce que le corset me coupe la respiration. Mes hauts talons m’empêchent de marcher vite.
Je prends l’escalier.
Je sonne.
- Te voici enfin, ma pute anale. Déshabille-toi et allonge-toi sur le dos, cuisses relevées, pour me présenter tes fesses.
Je dois compter les coups de cravache sur mes fesses et l’arrière de mes cuisses.
Je dois garder la position et le danois, un superbe dogue allemand m’encule, l’anus libre, jusqu’au nœud.
- Défonce-lui le cul ! Remplis-lui les fesses.
La saillie anale canine dure plusieurs minutes avant que le dogue allemand réussisse à insérer son nœud dans mon anus écartelé.
Le nœud est bloqué dans mon anus.
Son sexe mesure vingt centimètres de diamètre. Il éjacule longuement en moi. Je connais quatre orgasmes.
Le dogue me fait sucer son sexe, tandis que le Baron m’encule dans la même position. Mon anus béant et lubrifié est rempli jusqu’aux testicules contre mes fesses brûlantes. Le Baron est en traction. Il éjacule à son tour.
Le dogue m’encule à trois reprises, décuplant mes orgasmes anaux.
Pantelante, je suis enculée par le Baron, les jambes ankylosées.
- Très bien, ton œillet se fait à Sultan, ma belle. Tu aimes ça, les grosses queues, le must des chiens.
Il me remet le bijou d’anus et mes carcans, pour me cravacher, à quatre pattes, devant Sultan.
- Tu seras conduite au Domaine des Biches, pour ton instruction. Comme tu es déjà une adepte des sodomies et de la cravache, tu n’auras aucun mal à obéir. Je vais te baigner, pour que tu sois belle et présentable.
Il me remet mes carcans de cuir.
Je dois rester accroupie, cuisses écartées, avec une canule enfoncée dans l’anus, pendant toute la durée du bain. Je peux ensuite expulser le sperme canin et celui du Baron.
Toute nue, je suis fardée, par Sam. Elle me farde la bouche avec un rouge clair, un peu liquide, qu'elle applique au pinceau, et qui fonce en séchant. Elle me peint du même rouge l'aréole et les mamelons, et les petites lèvres de ma chatte, en soulignant la fente du giron. La teinture ne s'efface pas quand on l'essuie. Mes paupières sont légèrement ombrées, du parfum longuement passé sur la fourrure des aisselles et du pubis, dans le sillon entre les cuisses, dans le sillon sous les seins, et au creux des paumes, tout en portant mon bijou d’anus moulant sur le noeud du danois, pour m’écarteler davantage.
Je revêt mon corset seins nus, étroitement lacé, ma taille et mon ventre se creuse sous la pression des baleines. J’ai du mal à respirer. Je remets ma jupe et mes mules.
Une limousine nous attend au pied de l’immeuble E25. J’ai descendu l’escalier à pieds, sans prendre l’ascenseur, faisant claquer mes mules.
Le chauffeur n‘est autre que Hercules.
- Baron, c’est la chienne soumise de Sultan.
- Oui, Hercules, elle se rend au Domaine des Biches. Je vais lui bander les yeux. Elle est à ta disposition.
Les yeux bandés avec un bandeau de velours, mes poignets sont fixés ensemble dans mon dos, je suis assise, la jupe relevée, fesses nues sur la banquette arrière.
Après un long trajet, aveugle, la limousine fait une halte.
Hercules me déchausse, il s’agenouille, sur ses jambes ouvertes et repliées, m’encule, l’anus libre. Je dois poser mes mollets sur ses épaules. Il me maintient sous les reins et m’encule jusqu’aux testicules. J’atteins l’orgasme anal et il éjacule en moi.
Il se retire et me fait sucer son mandrin.
Après une demi-heure de route, la limousine longe l'interminable mur d'un grand parc pour s'arrêter devant la porte cochère, qui s’ouvre. J’entends des chiens aboyer et des chevaux marcher au trot.
- C’est la chienne soumise du Baron, messieurs.
La limousine s’arrête. On m’aide à sortir de voiture, mes mules font du bruit dans les graviers, on fait glisser ma jupe. Je reste en corset seins nus. On me passe une ceinture autour de mes hanches et je suis tenue en laisse, montant des marches, faisant claquer mes mules sur le carrelage. On m’écarte les fesses brûlantes par quelques fessées, pour m’enfoncer jusqu’à trois doigts dans mon anus.
- Quel œillet souple, elle est prête à se faire fouiller. Tout doux, retiens ton orgasme, ma belle.
Je dois subir une dizaine de doigtés anaux, qui me comblent.
Des portes s’ouvrent et je les franchis, toujours à l'aveugle. Je me retrouve seule, quelques instants, mon bandeau enlevé, debout, mes mules sur un épais tapis par terre, mais sans un meuble, tout entourée de placards avec des miroirs, où se reflète mon corps. La laisse est fixée à un crochet au-dessus de ma tête.
Deux femmes jeunes et jolies, vêtues avec de courtes jupes légères et bouffantes dénudant entièrement le pubis et la chatte totalement lisses, des corselets serrés qui font jaillir la poitrine et sont lacés ou agrafés par-devant, les seins totalement nus, aux mamelons percés, sans manches, aux yeux et la bouche fardés. Elles ont un collier serré autour du cou, des bracelets serrés autour des poignets.
Elles libèrent mes mains, mais je suis toujours en laisse par un valet, nu sous un gilet, bottés, dont je n’ai pas le temps de voir son mandrin.
Elles délacent mon corset. Nue, déchaussée, pieds nus, je m’assois sur le bidet, courbée en avant, le corps savonné par les femmes, l’anus savonné. Le valet m’enfonce la canule, montée à l'extrémité du flexible de la douche, par laquelle il m'asperge d'eau tiède.
Menottée, les bras en l’air, cuisses écartées, je suis offerte à une grande glace. Mon regard m’offre une vue de moi, ouverte, à chacun de mes regards.
On me frotte le dos et les fesses, les seins et la chatte, ainsi que mon clitoris encore tendu.
- Le jet l’excite.
Les yeux baissés, la bouche entrouverte, je n’ose répondre.
On me lave aussi les cheveux que l’on rince, sans que je quitte le bidet.
On me coiffe longuement, ainsi que mes poils pubiens.
Je me lève pour expulser l’eau tiède et on recommence jusqu’à ce que je sois propre.
Fardée, tenue en laisse par le valet, avec mes mules, je rejoins une pièce où un miroir à trois faces et un quatrième miroir au mur permettent de me bien voir. Je m’assois sur le pouf au milieu des miroirs, et d'attendre, cuisses écartées, les yeux baissés, la bouche entrouverte. Le pouf était couvert de fourrure, qui me piquait un peu, et avec un tapis. Je découvre le parc, avec des chiens tenus en laisse, montant des soumises, ainsi que des chevaux faisant hurler d’autres soumises.
Je vais devoir m’offrir à des chevaux.
Un homme entre seul, vêtu d'un gilet sur son torse nu musclé, dévoilant son long mandrin en érection, avec une gaine à picots, botté, masqué d’une cagoule qui dissimule même les yeux.
- Voici, la fameuse chienne soumise, tu es très belle. Ton œillet va être bien rempli. Lève-toi et penche-toi en avant, cuisses écartées, les mains au sol.
Il m’encule d’une seule traite, me faisant un peu mal avec les picots, l’anus libre du bijou d’anus. Je résiste.
- Tu es déjà bien souple.
Il me fesse magistralement et masturbe mon clitoris, tout en me faisant retarder mon orgasme.
Il se retire juste avant mon orgasme.
Puis il me reprend. Il est agenouillé sur le pouf, je suis collée avec mon dos contre son buste. Il a joint mes bracelets dans mon dos. Je subis une sodomie profonde, le clitoris tendu sous ses doigts, mes lèvres de ma chatte sont trempées, enfonce ses doigts dans ma chatte, décuplant mon plaisir et me pelote les seins aux mamelons tendus.
- Tu es une sacrée chienne anale.
Il se retire après mon orgasme anal et me remet mon bijou d’anus en place.
- Tu vas prendre ton repas seule.
Je le prends seule en effet, agenouillée, cuisses écartées, toujours nue, gardant mon bijou d’anus, dans une sorte de petite cabine où une main invisible me tend les plats par un guichet. Je mange avec les doigts, mon bol de taboulé.
Enfin, le dîner fini, l’homme revient, me fixe ensemble, derrière mon dos, les deux anneaux de mes bracelets, pelote mes seins, caresse ma chatte trempée, je garde les yeux baissés et la bouche entrouverte.
- Tu es très sage.
Tenue en laisse par la ceinture, je suis l’homme. Je croise en franchissant les portes ouvertes par les femmes qui les referment ensuite, divers valets qui me toisent. Certains m’écartent les fesses, s’attardent sur mes seins aux mamelons encore tendus, d’excitation. Mes mules claquent sur le carrelage. Je traverse un vestibule, deux salons, et entre dans la bibliothèque, où quatre hommes prennent le café. Ils sont nus, mais aucun masque.
On me bande les yeux et je suis doublement fouillée simultanément par des mains non gantées, l’anus libre. Je me retiens de jouir.
Cette double pénétration m’excite davantage.
- Regarder son bijou d’anus est à l’effigie d’un nœud d’un danois. C’est une sacrée chienne anale.
Je passe entre les mains des quatre hommes, qui pelotent mes seins, me doigtent la chatte, l’anus, force ma bouche pour sucer.
Allongée sur le dos, je suis enculée jusqu’aux testicules, tenue par les cuisses. L’homme porte une gaine à picots. Je dois retarder mon orgasme.
Un autre me prend grand écart, m’enculant avec la même vigueur, avec une gaine à picots.
Un troisième me fait m’empaler sur son mandrin, assise entre ses cuisses. Il caresse mon dos, mes reins, mes fesses qu’il écarte pour mieux m’enculer, les seins et le cou.
A peine remise, l’homme me fait me mettre à genoux, fléchie un peu en arrière, à demi assise sur les talons.
Je suis ensuite agenouillée, le buste reposant sur un pouf, toujours les mains au dos, et les fesses plus haut que le torse, et tous les quatre m’enculent et je les suce après chaque sodomie profonde. Je coulisse sur leurs mandrins, tenue à la taille, et agrippée aux hanches.
On me laisse enfin, captive à la renverse.
On me retire le bandeau.
Je suis installée dans un pilori. Les planches sont placées autour des bras et du cou et fixés à un poteau, et je me tiens debout. Je dois garder les cuisses écartées.
La grande pièce est faiblement éclairée par une lampe sur une console.
Je suis à nouveau enculée, en alternance avec des coups de cravache sur mes fesses, mes cuisses. Je ne peux retenir mes orgasmes anaux violents, sans recevoir le sperme de mes amants.
Un des hommes m’explique :
- Ici, tu es aveugle lors de tes viols nocturnes et quand tu es fouettée.
On me montre la cravache, qui est longue et fine, de fin bambou gainé de cuir,; le fouet de cuir est long, fait de six lanières terminées par un noeud ; il y a la garcette de cordes assez fines, qui se terminent par plusieurs noeuds, et qui sont toutes raides, trempées dans l'eau, que je sens sur la peau tendre de l’intérieur de mes cuisses.
Après plusieurs coups, on remarque que le fouet de cuir, sous lequel j’ai d'abord gémi, me marque beaucoup moins (ce qu'on obtient presque avec la garcette, et au premier coup avec la cravache). Je suis longuement cravachée.
Puis l’un des quatre m’écarte bien les fesses brûlantes et m’encule longuement, avec une gaine à picots.
- L’œillet devrait être plus commode.
- On va prendre les moyens.
Les fesses écartées, je sens un nouveau sexe. C’est celui d’un dogue allemand, qui est en appui sur ses pattes arrière et qu’il m’encule vigoureusement jusqu’au nœud. Je connais quatre orgasmes en trois quart d’heure. Cela comble les quatre hommes.
- Une vraie chienne soumise que nous avons là. Olaf est le meilleur amant de saillie anale.
L’anus encore béant et dégoulinant de spermes, je découvre un coffret en bois entre les mains de Jason qui l'ouvrit. Il contient, sur un lit de velours brun, dans un compartiment un assortiment de chaînette et de ceintures, et dans l'autre un choix de godes réalistes canins, en érection, qui vont des plus minces aux plus épais.
Les fesses écartées, je sens le gode du berger allemand me remplir jusqu’au nœud, qui est gonflé, une fois en place, à la taille d’une balle de tennis, pour éviter que je n’expulse.
A la base du nœud, se trouve trois petits trous percés dans la base, trois chaînettes qu'il laissa pendantes. On utilise la ceinture à laquelle est attachée ma laisse, et l'on y accroche les trois chaînettes, une par derrière qui suit le sillon des fesses, et les deux autres par-devant, qui longent le pli des aines en contournant le triangle pubien. On les ajuste au plus court, de façon que le mouvement intérieur des muscles ne peut repousser le gode et permettre de se resserrer à l'anneau de chair qu'il doit forcer et distendre, et on les attache avec de petits cadenas, pour s'assurer que, lorsque je suis seule, je ne peux être tentée de me soulager de cette contrainte. Ce sexe de berger allemand me comble. Il est doté d’un puissant va-et-vient, me rappelant mes saillies anales.
Désormais, huit jours durant, entre mon lever et le repas de midi, puis entre la tombée du jour et l'heure de la nuit, dix heures généralement, je suis enchaînée, nue, je porte fixée au centre de mes reins un de ces godes qui m'écartèlent, et chaque jour davantage, car Jason, qui me fait prosterner, pour recevoir un nouveau gode, plus épais. Au repas du soir, après le bain, nue, parfumée, je le porte encore, et du fait des chaînettes et de la ceinture, tout le monde peut voir que je le porte.
Le valet m’enchaîne, l’anus libre, les mains au dos pour me faire enculer en orgie. Mon anus devient plus souple.
On me détache, chancelante et presque évanouie, je m’assois dans un grand fauteuil près du feu, cuisses grandes ouvertes et on sonne. Les deux jeunes femmes qui m’ont accueillie apportent de quoi m'habiller pendant mon séjour et de quoi me faire reconnaître auprès de ceux qui ont été les hôtes du Domaine. Le costume est semblable au leur : sur un corset très baleiné, et rigoureusement serré à la taille, et sur une jupe dévoilant le pubis et la chatte, un corsage dénudant entièrement les seins, remontés, par le corset.
- Tu ne seras pas habillée ce soir et pendant les huit jours de port du gode, juste tu es chaussée de tes mules, fardée et parfumée.
Un des quatre hommes saisit l'une d'elles au passage, elle doit ouvrir sa jupe par-derrière, en écartant les deux côtés de la jupe pour que la croupe soit nue. Comme moi, la jeune femme a sur le travers des fesses de fraîches marques de cravache. La fille est sauvagement enculée par l’homme, qui éjacule en elle. Elle s'en va. Voici le discours que l’on me tient :
« Tu es ici au service de tes maîtres. Le jour durant, tu es de corvée et tu te prêtes au premier mot ou signe. Ta chatte, ton œillet et ta bouche nous sont ouverts et forcés. Tu ne peux te dérober, les lèvres entrouvertes, les cuisses toujours écartées pour laisser libre accès à ta bouche, ta chatte et ton œillet. Tu ouvres ta jupe pour t’offrir et tu refermes ensuite ta jupe. Le fouet n’est appliqué qu'entre le coucher et le lever du soleil. Le manquement à la règle dans la journée : c'est-à-dire pour avoir manqué de complaisance, ou levé les yeux sur celui qui te parle ou te prend : tes yeux doivent fixer uniquement nos mandrins nus et libres, pour les sucer. En outre, à la nuit, tu suces, les cuisses écartées, les mains liées au dos, nue, pour subir le fouet. Le fouet est donné chaque jour, pour ton instruction. Tu es contrainte. A ta sortie tu portes un anneau de fer à l'annulaire, qui te fait reconnaître : tu es constamment nue sous ton vêtement, et que c'est pour eux. Ceux qui te trouvent indocile te ramènent ici. On va te conduire dans ta cellule. »
Je me lève donc, je ne me sens pas d'aplomb sur les mules à semelles surélevées et très hauts talons qu'une bande de satin épais, empêche seule d'échapper au pied.
Mon bassin ondule sous les va-et-vient du gode canin, tapissant mon anus de spermes canins.
Les mules claquent sur les carrelages des couloirs, où des portes se succèdent, discrètes et propres, avec des serrures minuscules.
« Tu es dans l'aile des chiennes, et ton valet s'appelle Xavier.
- Quel valet ? dis-je saisie par la douceur de la voix, et comment t’appelles-tu ?
- Je m'appelle Anale Jouisseuse.
- Et moi Chienne Vicieuse », dit la seconde.
- C'est le valet qui a les clefs, qui t’attaches et te détachera, te fouette quand tu es punie et choisit le chien qui va te saillir, dit Anale Jouisseuse.
- J'ai été dans l'aile des chiennes l'année dernière, dit Chienne Vicieuse, Xavier y était déjà. Il vient souvent la nuit ; les valets ont les clefs et dans les chambres qui font partie de leur section, ils ont le droit de se servir de nous.
Xavier est assis sur une banquette, un bel étalon musclé, au gros mandrin muni d’une gaine à picots, avec un gilet sur son torse nu, et des bottes et porte à la ceinture un fouet à lanière de cuir.
Il sort un passe de sa poche de gilet, ouvre la porte
Nous escortent dans la cellule.
Il me libère du gode, quelques instants.
Je dois me mettre à quatre pattes sur le tapis de la cellule.
Il m’encule jusqu’aux testicules, m’étreint la taille, caresse mes seins et doigte ma chatte. Je ne peux résister longtemps en ondulant mes fesses brûlantes.
- Chienne, retiens-toi de jouir ou je te punis.
Je me retiens et il se retire, juste avant mon orgasme.
Mon orgasme a lieu dans la minute de la remise en place du gode.
Il n’y a aucun lit, juste un chevalet et une Croix de Saint-André et des chaînes suspendues au plafond, une porte-fenêtre. Une salle de bains avec une baignoire accessible par des marches.
Je suis accroupie, cuisses écartées, les bras tendus en l’air, menottée à la chaîne, par Xavier.
- Tu seras ainsi toute sage, chienne.
Je suis savonnée, rincée, les fesses et le dos lavés avec précaution.
- Nous viendrons te chercher demain matin. »
Anale Jouisseuse sourit en partant, et Chienne Vicieuse, avant de la suivre, caressa, mes mamelons tendus, je reste debout, interdite. A la réserve du collier et des bracelets de cuir, que l'eau a durcis quand je me suis baignée, et qui me serrent davantage, je suis nue.
Xavier me menotte au chevalet, solidement immobilisée dans cette posture dégradante, le postérieur plus haut que la tête. Mes bras sont fixés le long des pieds avant, mes jambes le long des pieds arrières, et une large sangle m'est passée au niveau de la taille. Mes cuisses, légèrement fléchies sont empêchées de se resserrer par la largeur de la poutre, ainsi d'ailleurs mes fesses que je me peux refermer. Toute mon intimité est ainsi très accessible et on peut me faire tout subir.
Il me pose des pinces à mes mamelons tendus, munis de clochettes pour les étirer. Je gémis un peu, surtout quand d’autres pinces emprisonnent mes grandes lèvres humides de ma chatte.
- Ainsi, je sais si tu prends du plaisir. Je te retire le gode, pour te faire saillir ou si un des invités veut t’enculer dans la nuit.
Il caresse ma chatte qu’il doigte sans me faire jouir.
Prisonnière, je ne peux masturber les lèvres de ma chatte, ouvertes au premier venu. Je n’ai jamais connu autant de plaisir sous le fouet et enculée.
Quelques instants après, on libère mon anus pour trois heures de saillie continue par des bergers allemands, des dobermans, des labrador et des dogues allemands.
J’enchaîne les orgasmes anaux par période d’une demi-heure, suçant mon amant à l’aveugle, dans la pénombre. Mon anus dégouline de spermes canins.
Aux dernières heures de la nuit, quand elle est plus noire et plus froide, juste avant l'aube, Xavier revient. Il allume la lumière de la salle de bains en laissant la porte ouverte, j’offre ma croupe.
Il me cravache les fesses par le travers des fesses, et j’hurle. Xavier me cravache à toute volée. Il n'attend pas que je me taise, et recommence quatre fois, en prenant soin de cingler chaque fois ou plus, haut ou plus bas que la fois précédente, pour que les traces soient nettes.
Il fait coulisser la Croix de Saint-André face à la grande fenêtre. Il me libère du chevalet et me menotte de face, à la Croix. Je suis attachée avec le dos à la croix. Il cravache le devant des cuisses.
Le tout a duré cinq minutes.
Quand il part, après avoir refermé la lumière et, la porte de la salle de bains, gémissante je réussis à me taire, immobiliser sur la Croix, le gode remis en place.
La grande fenêtre, va du plafond au sol, sans aucun rideau. Je regarde naître une lente aurore pâle, qui traînait ses brumes. Devant la fenêtre, il y a une pelouse, au bout de la pelouse une allée. Il fait grand jour et depuis longtemps je ne bouge plus, enchaînant un nouvel orgasme anal.
Un jardinier se rapproche et me découvre enchaînée nue et les marques de la cravache sur mes cuisses. Les balafres sont gonflées, et forment des bourrelets étroits.
Aucune femme n'a les clefs, ni celles des portes, ni celles des chaînes, ni celles des bracelets et des colliers, mais tous les hommes portent à  un anneau les trois sortes de clefs qui, chacune dans leur genre, ouvrent toutes les portes, ou tous les cadenas, ou tous les colliers. Les valets les ont aussi. Mais, au matin, les valets qui ont été de service la nuit dorment, et c'est l'un des maîtres ou un autre valet qui vient ouvrir les serrures. L'homme qui entre dans ma cellule est habillé d'un blouson de cuir et d'une culotte de cheval, et bottes.
Il me détache de la Croix de Saint-André, mais avant, il caresse ma chatte trempée, aux grandes lèvres de ma chatte étirées par les clochettes. Je garde les yeux baissés, la bouche entrouverte, émettant un faible râle de plaisir.
Il me libère du gode et m’allonge sur le dos, sur le chevalet, menotte mes poignets.
- La chienne, tu as besoin de te faire enculer.
Il me relève les jambes et m’encule avec son mandrin avec une gaine à picots.
Je dois le subir, tout en retardant mon orgasme anal. Mes clochettes se balancent.
Il éjacule dans ma bouche, avant de me libérer.
Anale Jouisseuse et Chienne Vicieuse, sont entrées. Chienne Vicieuse tire vers le chevet une table roulante qui a été amenée dans le couloir et porte du café, du lait, du sucre, du bain, du beurre et des croissants.
Je suis assise sur le chevalet, le gode canin, changé. C’est celui d’un dogue allemand.
« Manges vite, dit Anale Jouisseuse, il est neuf heures, tu peux ensuite dormir jusqu'à  midi, et quand tu entends sonner il sera temps de t’apprêter pour le déjeuner. Tu te baignes et tu te coiffes, je viens te farder
- Tu n’es de service que dans l'après-midi, dit Chienne Vicieuse, pour la bibliothèque.
- Mais vous ? dis-je
- Ah ! nous sommes seulement chargées de toi pour les premières vingt-quatre heures de votre séjour, ensuite tu es seule et tu n'as affaire qu'aux hommes. Nous ne pouvons pas te parler, et toi non plus à  nous.
- Restez, dis-je, restez encore, et dites-moi...
La porte reste ouverte. Deux beaux étalons entrent. Je baisse les yeux et garde la bouche entrouverte, assise sur le chevalet, cuisses écartées. Mes clochettes tintent entre mes cuisses.
- C’est la belle chienne au Danois. Regarde comme son bassin ondule, elle aime ça.
Ils s’approchent, m’embrassent langoureusement sur la bouche, étire mes mamelons tendus, pincés par les clochettes qui tintent.
- Tu es sacrément chienne. Tu es baptisée Divine Chienne, dit l’un qui examine les balafres, appuyant légèrement la pointe de ses doigts tout le long de celle des cuisses, puis, le tournant, posant ses lèvres fraîches sur celles des fesses, m'embrassant tendrement.
- Ecarte les jambes, je vais te libérer du gode. Obéis, dit-il, en me soutenant debout, appuyée du dos contre lui qui est debout aussi. Et sa main droite me caresse un sein, et l'autre me tient l'épaule.
Je me retrouve ensuite allongée sur le dos, sur le chevalet, les poignets immobilisées, cuisses écartées.
L’autre homme me saisit et lentement ouvert, en tirant sur les poils pubiens, la chatte trempée.
- Son écrin est tout humide, son clitoris est tendu à l’extrême.
J’ondule sous le plaisir.
- Reste allongée, détends-toi.
L’inconnu me relève complètement les cuisses sur mes seins, donnant libre accès à mon anus encore un peu béant et humide, par le noeud.
Il m’encule avec vigueur, jusqu’aux testicules. Je les sens sur mes fesses brûlantes.
- Quel puits, mais il n’est pas encore assez souple.
Il éjacule en moi et je le suce pour le nettoyer.
L’inconnu repart et je reste avec le premier.
Il me détache et me menotte dos à lui, à la Croix de Saint-André.
Il m’écarte les fesses et il m’encule longuement, entrant et sortant partiellement.
- Tu es sacrément chaude de l’œillet.
Il éjacule à son tour, ainsi que sur mes fesses.
Vers neuf heures, il me libère, équipée du gode.
Il me tient par le collier et m’annonce que je suis désormais mise en commun entre tous les hommes du Domaine, soumise, respectueuse, consentante. Je dois garder les yeux baissés, la bouche entrouverte, ne pouvant que crier et sucer. Il me retire les clochettes aux mamelons et aux grandes lèvres de ma chatte.
Je me baigne, cuisses écartées, accroupie, l'eau tiède me fait frémir quand mes fesses et mes cuisses meurtris y plongent, et je dois m'éponger sans frotter, pour ne pas réveiller la brûlure.
Les va-et-vient reprennent à la sortie du bain. Un orgasme anal me terrasse.
Je farde ma bouche, non mes yeux, me poudra, et toujours nue, mais les yeux baissés, reviens dans la cellule.
Devant Chienne Vicieuse, il me retire le gode, me menotte au chevalet.
Je suis saillie par un berger allemand, un doberman, un labrador et un dogue allemand, les fesses écartées par Chienne Vicieuse, pour le nœud m’écartèle l’anus. Je reçois une grosse quantité de spermes canins.
L’anus béant et humide, je reçois le gode d’un doberman, pour la journée.
Détachée, je reste nue.
L’inconnu regarde Chienne Vicieuse, qui est entrée, et se tient debout au chevet du lit, elle aussi les yeux baissés, muette elle aussi.
Chienne Vicieuse me prend par la main et l'entraîna dans le couloir. Nos mules claquent de nouveau sur le carrelage, et nous trouvons de nouveau sur la banquette, entre les portes, un valet. Il est vêtu comme Xavier, un beau brun musclé, au gros mandrin gainé de picots. Il nous précède, et annonce :
- Voici, Divine Chienne, la chienne soumise du Baron, messieurs. Elle porte le gode Apollo.
Nous entrons dans une antichambre où, devant une porte en fer forgé qui se découpe sur de grands rideaux, deux autres valets attendent, un doberman et un dogue allemand.
A quatre pattes, toutes les deux, sur le dallage.
Un des valets me retire le gode et me fait enculer par le dogue allemand, tandis que Chienne Vicieuse se fait enculer par le doberman.
Nous suçons les mandrins pour étouffer nos râles.
- Regarde comment Divine Chienne, prend du plaisir, elle sait onduler son bassin de chienne.
Inconsciemment, je m’empale sur le sexe.
Après l’éjaculation du dogue allemand, je suis contrainte d’être enculée par le doberman, qui bande dans mon anus.
Chienne Vicieuse disparaît et les trois valets m’enculent à tour de rôle, tandis que je nettoie les sexes canins.
Je rejoins ensuite le réfectoire, le gode remis en place. La salle au sol dallé, avec une table longue en verre épais, et chaque fille a pour s'asseoir un tabouret rond recouvert de cuir. Je m’assois le contact du cuir lisse et froid sous mes cuisses. A la sortie du Domaine, nue sous mes tenues, je dois relever ma jupe pour m’asseoir, les fesses et les jambes nues.
A la bibliothèque, seule, avec mes clochettes remises à mes mamelons tendus, par une mystérieuse crème et à mes grandes lèvres de ma chatte, je reçois l’ordre d’un valet.
Désormais, tes mamelons sont hyper sensibles, tout comme ton clitoris. Ainsi, tes mamelons pointent au maximum tout le temps, vingt-quatre heures sur vingt-quatre et de même pour ton clitoris.
Je suis frustrée et j’ai mal par le fait que mes mamelons et mon clitoris soient constamment tendus. Mon clitoris est gros comme une cerise, saillant et volumineux et mes mamelons sont particulièrement saillants, gros et longs, pour être pincés.
Je sers le café. Les cinq balafres sont noires. Mon bassin ondule sur le sexe du doberman, enfoncé jusqu’au nœud.
Un autre valet entre, pose sur la console, un plateau avec des tasses et le café, puis s'en va.
A ce moment-là deux hommes entrent, et le premier valet sort à son tour.
- Divine Chienne, que tu es resplendissante. Tes saillies t’ont rendue plus désirable.
Je garde les yeux baissés, la bouche entrouverte.
Un garçon mince, si jeune, blond, me parle encore, et un autre blond aussi, trapu, avec une figure épaisse. Tous deux assis dans les grands fauteuils de cuir.
J’apporte le pouf. Je m’agenouille, me pencha, la poitrine écrasée contre la fourrure et tenant à pleines mains les deux coins du pouf.
Un des hommes me retire le gode :
- Quelle magnifique vue, le puits est bien ouvert, lubrifié.
L’autre homme m’écarte bien les fesses.
L’homme m’encule avec vigueur, munie d’une gaine à picots. Je me retiens de jouir.
L'autre homme, me fait ensuite basculer en avant sur un des bras du fauteuil - et me doigte à plusieurs doigts l’anus encore béant.
- Elle est encore trop étroite, il faut l'élargir.

Au bout de huit jours aucun appareil n’est plus nécessaire et un des hommes annonce :
- Elle est doublement ouverte, et elle le demeure. Ce soir, tu es autorisée à sortir du Domaine, munie de ta bague, la chatte épilée, avec tes anneaux à la chatte et au clitoris.
Nue, je me retrouve suspendue par des chaînes au plafond, au sous-sol.
Mes cuisses sont complètement ouvertes, des bracelets emprisonnent mes chevilles.
Une fois épilée, on perce mes grandes lèvres encore humides, libérées des clochettes, pour poser quatre petits anneaux dorés, symétriques, deux de chaque côté, pour ma future chasteté et mon clitoris percé, reçoit un anneau doré plus lourd, serti d’une pierre précieuse.
Les hommes présents m’enculent sauvagement, tandis que je les suce et les nettoie, avant d’être longuement cravachée et fouettée à la garcette sur mes fesses, mes cuisses et l’intérieur de mes cuisses.
Libre, je suis baignée et parfumée. Je revêts mon corset de satin, agrafé sur le devant, lacé par-derrière. Le corset est durement baleiné, long et rigide, et comporte des goussets où reposent les seins. A mesure qu'on serre, les seins remontent, s'appuient par-dessous sur le gousset, et offrent davantage leurs mamelons tendus. En même temps, la taille s'étrangle, ce qui fait saillir le ventre et cambrer profondément les fesses. Je remets ma jupe éventail et mes mules.
Hercules regarde mon corps. Il m’encule sauvagement dans ma cellule, la jupe relevée.
- Tu m’as manquée, Divine Chienne.
Il éjacule en moi et me remet mon bijou d’anus du dogue allemand.
La sensation d’être les seins nus, les fesses et les jambes nues, me font éprouver de la fierté.
On me retire mes carcans de cuir.
Je porte la bague sertie d’un petit anneau à mon annulaire gauche.
Je porte mon boléro, sans le mettre, dévoilant mes seins nus et libres.
Désiré, le frère jumeau d’Hercules, conduit la limousine.
Je monte à l’arrière, la jupe relevée, fesses nues sur la banquette arrière, en compagnie d’Hercules.
Mon boléro est mis sur le siège à l’avant.
- Tes mamelons sont constamment tendus comme ton clitoris, Divine Chienne.
- Oui, je suis excitée de te retrouver.
- Nous n’allons pas à l’immeuble E25, mais dans une luxueuse villa, dans la forêt, appartenant à la Marquise Sam de Bijoux et Désirs.
A la sortie du Domaine dont la porte cochère est grande ouverte, au bout de quelques centaines de mètres, Hercules m’embrasse. C'est juste avant un village petit et paisible que nous traversons en repartant.
- Ton corps est devenu provocant, avec tes mamelons tendus.
- Hercules, j’ai envie que tu me prennes.
- Tu es bien cambrée dans ton corset.
- J’ai envie de ton gros mandrin dans mon puits.
- Non, c’est César, qui va t’enculer, Divine Chienne.
Sans attendre, la limousine s’arrête dans une discrète ruelle.
Accroupie, cuisses écartées, en mules, sans ma jupe, je suce César. Son mandrin veiné long de vingt-trois centimètres et quatre de diamètre, me comble. J’aime son gland, ses testicules remplis de spermes chauds.
L’anus libre, je m’offre à César, à quatre pattes sur la banquette arrière.
Il m’encule d’une traite, jusqu’aux testicules, qui claquent contre mes fesses encore brûlantes, tandis que je suce Hercules. Il est doté quand à lui de vingt-huit de long et cinq de diamètre. Cela fait une semaine qu’un homme ne pas enculée.
- Regarde comme elle ondule son bassin, sous les fessées et qu’elle s’empale sur ma queue.
- Elle suce à merveille.
Tous les deux éjaculent en moi et je les nettoie.
Le bijou d’anus remis en place, nous rejoignons la villa.
Après quatre heures de route, avant de franchir le portail de la villa, étroitement surveillée par des maîtres-chiens, Hercules m’invite à descendre, nue et en mules.
Je marche, escortée par deux superbes dobermans, qui bandent, excitée par l’odeur de ma chatte.
Nous remontons une longue allée, bordée d’arbres.
Puis au milieu de l’allée, un des maîtres-chiens m’invite :
- Prosterne-toi, Hadès va s’occuper de toi.
J’obéis, cuisses écartées, l’anus libre. Hadès me monte d’une seule traite et jusqu’au nœud dans mon anus écartelé.
Hercules et César m’observent.
- Regardes, comme elle aime ça, son bassin ondule sous les coups de son amant, dit Hercules.
- J’aime être à la place d’Hadès, dit César.
Quatre orgasmes me terrassent.
- Elle a l’habitude, Divine chienne. Rarement, je n’ai jamais vu une soumise prendre son pied avec Hadès.
Pantelante, je suis sauvagement enculée par les trois hommes, debout, penchée en avant, les mains contre un arbre. Tous sont comblés par mon œillet bien dilaté par Hadès.
On me remet le bijou d‘anus en place.
Je reprends ma marche, jusqu’à l’entrée de la villa.
Les yeux baissés, la bouche entrouverte, je découvre un superbe transsexuel blond, aux seins plantureux, doté d’un mandrin long de trente et un centimètres et six de diamètre, des anneaux dorés aux testicules, sous un déshabillé transparent, intégralement épilé, en mules.
- Voici, la fameuse Divine Chienne, doublement ouverte, à la bouche bien dressée, aux critères recherchés par Baron Désir. Une parfaite pute anale, sa chatte a été épilée, je verrais s’il faut lui épiler le pubis. Ici, elle sera à mon service, docile. Bien sûr, comme Chienne, un chenil va te satisfaire et aussi, mon haras, va te transformer en pute chevaline, d’abord dans ta chatte puis dans ton puits.
Je retrouve mes carcans de cuir. Hercules et César m’embrassent langoureusement sur la bouche, me donnant une grande claque sur les fesses.
Sam me susurre :
- Shawn, je suis ton cousin, qui t’a défloré lors de tes seize ans. Tu as joui comme jamais. Ma queue a gardé un cuisant souvenir de ta chatte brûlante.
Je n’ose lui avouer que j’ai aimé, cette relation incestueuse.
- Tu n’as rien craindre, je vais aussi t’enculer, pour combler ton puits. Zéphyr sera ton nouvel amant. Il aime bien les œillets bien souples. Penche-toi en avant, cuisses écartées et écarte bien les fesses.
Sam enfonce sa main jusqu’au poignet dans ma chatte humide.
- Tu es toute mouillée, d’excitation.
- J’aime ça, ta main dans ma chatte de pute.
Mon œillet s’ouvre sans aucune résistance.
La main est rentré paume vers la bas, la jouissance est alors déjà très forte. De légers mouvements de rentrée-sortie permettent de bien assouplir l’oeillet. Très délicatement, quand la main est passé, on peut essayer d'écarter les doigts à l'intérieur. Je connais un orgasme puissant, mon muscle anal se contracte très fortement autour de ses doigts.
- Tu es bien ouverte, pour Zéphyr.
Il me conduit auprès de Zéphyr, dans son box.
C’est un magnifique selle français. Accroupie, cuisses écartées, les mains liées dans mon dos, je lèche le gland. Zéphyr bande et il éjacule dans ma bouche. Je suis surprise.
- C’est délicieux, le sperme de Zéphyr.
- Penche-toi sous lui, je vais enduire ton œillet.
Mon sphincter résiste, mais je recule un grand coup et le muscle cède. J’hurle de douleur, mais ne lâche rien. Je m’empale sur trente centimètres et coulisse dessus. Il bande dans mon œillet. J’hurle, mais le plaisir m’envahit, la chatte doigtée et le clitoris caressé par Sam.
- Tu aimes ça.
- Mon œillet va y prendre goût.
Je coulisse dessus et j’ai un orgasme anal.
- Suce-moi.
J’obéis et tous les deux éjaculent, lors d’un nouvel orgasme anal.
Lors du retrait du sexe de Zéphyr, j’offre un œillet rougi complètement distendu et boursouflé ce qui libère un flot de sperme.
Sam me remet le bijou d’anus en place.
Mon œillet se referme doucement sur le bijou d’anus, laissant déborder un peu de spermes, quand je me relève.
- Tu es sublime, Zéphyr est un amant pour toi.
- Merci, Maîtresse Sam, jamais je n’avais su qu’un tel sexe équin pouvait remplir mon œillet de soumise.
- Tu as le plaisir anal en toi. Cet après-midi, tu vas porter une guêpière seins nus avec porte-jarretelles et des bas assortis, pour te présenter à des propriétaires de putes chevalines de ton rang. Voici tes nouveaux tarifs : 300 la fellation, 600 la chatte et 1500 la sodomie, 2000 la DP, 4000 la double anale, 5000 la saillie anale canine et 8000 la saillie anale équine. Des hommes vont payer une fortune pour te voir exercer tes talents.
- Aurais-je une part ?
- Bien sûr, ton compte bancaire sera alimenté.
Je découvre ma luxueuse chambre au premier étage, entièrement recouverte de miroirs et de glaces sur les murs et au plafond, dévoilant mon corps nu.
Dans ma garde-robe, je découvre des dizaines de guêpières, corsets, à ma taille, tous seins nus, avec ou sans jarretelles, des bas, mais ni collants, des jupes éventails, des boléros et des dizaines de paires de mules de toutes hauteurs de talons, coloris et avec des plumes, à ma pointure.
Sam fixe à mes petits anneaux dorés aux grandes lèvres de ma chatte encore humide, des clochettes reliées par des chaînes.
- Ainsi, je ne vais pas te perdre.
L’effet est immédiat, mes grandes lèvres s’étirent davantage vers le bas.
Un autre transsexuel, Jasmin, une beauté brésilienne, aux petits seins et au gros mandrin, s’occupe de moi, me baigne longuement, accroupie, cuisses écartées, dans une baignoire transparente. Un jet d’eau tiède rince mon anus tapissé du sperme de Zéphyr.
Je me retiens de jouir, sous les caresses sensuelles sur mon corps. Les yeux baissés, la bouche entrouverte, pensant au mandrin de Jasmin dans ma chatte.
- Tu es toute trempée, ma belle. Tes mamelons sont constamment tendus. Tu es en plein fantasme.
Je n’ose lui répondre.
Une fois sèche, empalée sur un imposant gode équin, moulé sur le sexe de Zéphyr, sur trente centimètres, cuisses écartées, je suis fardée et parfumée.
Jasmin profite que je sois pieds nus et déchaussée pour me glisser sur mes jambes nues, des bas de soie, qui ne sont pas l’apanage des prostituées. Jasmin les tire en haut de mes cuisses. Leur contact sur ma peau m’électrise et il me manque des caresses pour que j’éprouve la différence. Je me sens exhibitionniste.
Debout, Jasmin ceint mon ventre par un porte-jarretelles. J’ai l’impression de fermer l’agrafe d’une robe et d’être habillée. Quant en fait, mon anus, ma chatte, ma toison sont accessibles à tous et à tout. J’aime tendre mes bas pour les accrocher aux jarretelles. Ainsi harnachée, je sens toute la tension des bas tendus sur ce porte-jarretelles, qui s’accroche sur mes reins. Mes fesses, ma chatte sont tirés vers le bas, dès lors que la tension est établie. Immédiatement, je suis à la recherche d’une autre, contraire, qui me pourfend dans la chute de mes trésors intimes : un mandrin, le tien, bien raide; Je suis sûre qu’il soit notre trait d’union qui équilibre tout, avant qu’il ne soit trop tard.
Habillée de ma guêpière, étroitement lacée, ma taille et son ventre se creusent sous la pression des baleines, qui sur le ventre descendent presque jusqu'au pubis, qu'elles dégagent, ainsi que les hanches. La guêpière est plus courte par-derrière et laisse la croupe entièrement libre.
J’aime cette guêpière, mettant en valeur mes seins nus, tendant leurs mamelons mes hanches de courtisane, mon dos cambré et mes fesses en arrière. Ma guêpière moule le corps, pour en épouser les formes et les mettre en valeur.
Nul besoin de slip ou de string, cela m’est interdit, sous peine de me gratter.
Les clochettes se balancent entre mes cuisses à chacun de mes pas.
En milieu d’après-midi, comme convenu, au salon, les yeux baissés, la bouche entrouverte, je découvre cinq beaux étalons musclés de divers âges, nus, aux longs et gros mandrins en érection, dans des gaines à picots.
- Voici ma nouvelle pute chevaline de Zéphyr, Divine Chienne, une superbe beauté au corps provocant, soumise du célèbre Domaine des Biches, doublement ouverte. Ecarte tes fesses, pour montrer ton œillet qui est redevenu presque normal.
J’obéis. Les doigts s’enfoncent à plusieurs reprises, pour me tester. Du sperme de Zéphyr dégouline un peu.
- Quelle souplesse, c’est divin, dit le premier, un Européen, du double de mon âge.
- Son œillet a été forcé et déchiré, dit le second, un prince arabe, un peu plus âgé que moi.
- Pourtant, au Domaine, ils l'ont préparé en l'élargissant. N’est-ce pas Divine Chienne ?
J’hoche la tête, retardant mon orgasme anal.
- Très bien, Divine Chienne, tu vas te faire saillir par le doberman Hannibal, puis c’est ensuite mon trotteur français, Typhon le Grand Etalon.
Je me mets à quatre pattes et Hannibal m’encule d’une seule traite jusqu’au nœud.
Je connais quatre orgasmes, suçant l’Européen et le prince arabe, un milliardaire texan, âgé d’une trentaine d’années et un général d’Afrique noir.
Mes qualités de suceuse sont reconnues.
Au bout de trois quart d’heure, mon anus est largement inondé par Hannibal, presque autant que ma bouche. J’avale tout, sans m’étrangler.
Hannibal me lèche l’anus, ce qui me fait encore jouir.
Sam me remet le bijou d’anus. Je suis portée chancelante, par la taille, par le texan et le prince arabe. Ils apprécient mes hanches et mes seins.
Je suis menottée à un chevalet et je suis enculée sur le champ, devant les voyeurs qui se masturbent. Mes râles de plaisir anal me submergent, avec trente centimètres qui m’enculent.
Je suce Sam, Jasmin, qui sont enculées par les invités. J’ai droit à de nouvelles éjaculations en bouche.
Des mallettes de billets sont remises à Sam.
Lors du retrait du sexe de Typhon, mon œillet rougi complètement distendu et boursouflé est rapidement rempli par les mandrins en érection de mes voyeurs. Je ne sais plus où donner de la tête. Je perds connaissance, sous l’effet de mes multiples orgasmes anaux de plus en plus violents.
J’ai droit à une courte pause pour me rafraîchir et boire un excitant sexuel.
Les ébats durent jusqu’au coucher du soleil, alternant entre Zéphyr et Typhon.
Je suis épuisée, mais les coups de cravache m’excitent.
En sueur, menottée, nue, sur le chevalet, je suis détachée, après ma dixième saillie anale équine et presque autant par les invités.
Je suis portée à ma chambre.
Je suis menottée à mon lit, allongée sur le ventre, cuisses écartées, l’anus rempli par une canule d’eau tiède.
L’anus propre, Jasmin apporte un boîtier muni d’un imposant gode de trente centimètres, moulé sur le sexe équin.
L’anus dilaté, Jasmin me l’enfonce sur la moitié de la longueur, le gonfle des testicules de la base jusqu’à environ la moitié de la hauteur de la tige, ce qui crée un effet de «ficelage» progressif et doux. Ce long lobe «tire» naturellement et doucement dans les derniers centimètres et assure une pénétration maximale contre les gros testicules.
Ainsi je suis attachée au gode, entre neuf à treize centimètres de diamètre. C’est un peu douloureux.
La cadence de va-et-vient est très aisément réglable en temps réel grâce à une télécommande : jusqu’à trois cent sodomies par minute.
Je ne contrôle plus mes orgasmes anaux, me rappelant mes saillies avec Zéphyr et Typhon.
Je suis nourrie, menottée à mon lit.
L’anus libre du gode, je suis sauvagement enculée par les invités.
Je passe la nuit, enculée par le gode jusqu’à l’aube. De temps à autre, je suis cravachée sur les fesses et saillie aussi par Hannibal, qui remplit mon anus, facilement mes sodomies par le gode.

Chaque jour, pendant une semaine, j’alterne entre les godes équins et les vrais sexes équins.
Je prends un peu plus de valeur comme soumise.
Les saillies deviennent un pur plaisir.

1er mars
A l’aube, après une ultime saillie par Hannibal et le gode équin, je récupère. Je porte encore mes marques de la cravache sur mes fesses, l’intérieur de mes cuisses, le devant de mes cuisses, mes grandes lèvres se sont étirées par le port fréquent des clochettes.
Sam vient me voir :
- Alors, Divine Chienne, ce séjour t’a plu.
- Oui, jamais, je n’ai connu un tel plaisir, après les chiens, me voici devenue pute chevaline. Mon œillet reste encore un peu partiellement ouvert.
- C’est normal, l’élargissement du Domaine te permet de recevoir de gros sexes. Tu vas te reposer quelques jours, nue, dans ma superbe résidence en bord de mer. Tu as besoin de bronzer et de montrer ton corps à d’autres hommes. Tu es facile, et tu as envie de tous les hommes qui te désirent, à qui tu te livres. Mais avant, comme tu as les grandes lèvres et ton clitoris percés, tu seras tatouée juste au-dessus de la naissance de tes fesses, des lettres BMC, en lettres gothiques. Cela signifie Beauté Mystérieuse Chienne.
Menottée, sur le chevalet, nue, le tatoueur fait l’opération. Je ne ressens presque rien.
Il m’encule sauvagement avec un imposant mandrin qui m’écartèle. Je me retiens de jouir. Il éjacule dans ma bouche.
Après un nouveau bain, fardée et parfumée, je monte à bord d’un EH-101 VIP, simplement vêtue d’une courte nuisette transparente, dévoilant mon corps, ma toison pubienne, fendue au niveau des mamelons tendus, avec un décolleté en V plongeant, couvrant à peine mes fesses, chaussée de mes mules à hauts talons sans plate-forme, sans mes carcans de cuir, les yeux bandés, assise cul nu, cuisses écartées. J’ai gardé mon dernier modèle de bijou d’anus.
Après un long vol, l’EH-101 atterrit sur une hélisurface installée dans une ancienne piscine.
On m’aide à descendre. Mes mules claquent sur le marbre.
Tenue en laisse par mes anneaux à mes grandes lèvres, je suis conduite au salon.
Des mains musclées caressent mon corps. Je m’abandonne, sans jouir.
D’autres mains musclées m’écartent mes fesses, doigtant mon anus jusqu’à quatre doigts. Je me retiens, mais ma mouille et les ondulations de mon bassin me trahissent.
Offerte à quatre pattes, je suis offerte à un lévrier, offrant un sexe long de sept centimètres et trois de diamètre, prénommé Lancelot. Lancelot m’encule jusqu’au nœud, avec une telle vigueur, que mes orgasmes sont décuplés.
Sans mon bandeau, je découvre mon bel amant noir, qui me donne de violents coups de bassin, tandis que j’ondule mes fesses, attachée à lui.
Lancelot se retire quelques instants, pour mieux éjaculer en moi.
L’anus béant et lubrifié, je deviens la levrette d’Eros, le frère jumeau de Lancelot. Ses assauts sont plus violents. Je me prosterne pour mieux m’offrir. Il éjacule en moi.
Lancelot se couche sur le dos et pantelante, je m’empale la chatte sur le sexe bien dur. Puis, je m'aplatis sur Lancelot et offrant le bas de son dos à son chien. Eros m’encule d’une seule traite jusqu’au noeud. La douleur était contrebalancée par le plaisir de la queue de Lancelot dans ma chatte. Douleur-plaisir. plaisir-douleur,  assez vite, la douleur disparaît pour ne laisser place qu'au plaisir. et il fut royal ! Prise par deux chiens, baisée et enculée, je jouis comme jamais ! Et lorsque les deux chiens éjaculent, à quelque minutes d'intervalles, que je sens mes orifices abondamment trempés de sperme tiède, qui sort de ma chatte et de mon anus, dégoulinant le long de mes jambes, j’ai un tel orgasme que la tête me tourne et que je faillis m'évanouir.
Cette double pénétration m’a épuisée.
Je dois subir ma première double anale.
Celui qui est bien monté s’allonge sur le dos pour que je me plante sur son mandrin et puisse tendre le plus possible ma croupe et mon anus dilaté à l’autre partenaire masculin qui vient tout simplement rentrer progressivement son mandrin au-dessus de l’autre pour commencer à limer doucement, puis plus rapidement ou violemment l’anus. Celui qui est dessous me lime aussi en même temps. Je les subis en rythme, afin de créer un maximum d’effet. Tantôt ils rentrent par surprise, donnent quand c’est possible des petits coups plus sauvages et ardents, pour que les deux mandrins fassent un maximum d’effet. Ils modifient régulièrement les cadences et, je redescends un peu et réclame, connaissant un double orgasme anal.
On me remet le bijou d‘anus en place.
- Divine Chienne, tu mérites ton titre.
- Quel puits, une double après une saillie canine, c’est le top.
Je les suce, accroupie, cuisses écartées, j’avale tout.
Je peux me reposer, toujours nue, après une douche jouissive masturbatoire avec les deux amants. La chambre est au rez-de-chaussée, ouvrant sur un grand parc, où j’entends hennir des chevaux au haras voisin. Je n’ose me masturber en repensant à leurs sexes qui m’enculent.
Derrière les miroirs et les glaces, des caméras automatiques et des appareils photographiques pour immortaliser mes poses, je suis plongée dans mes fantasmes, rêves canins et équins. Je tends mes fesses vers le mandrin de l’amant imprécis, pour m’enculer tendrement puis violemment, tel Dionysos, le dieu de tous les plaisirs.
Allongée sur le ventre, cuisses écartées, sur les draps, la fenêtre ouverte, à moitié endormie, je sens des pattes sur mon dos. Je n’ose bouger. Les miroirs me dévoilent un superbe danois, Odin, qui m’encule d’une seule traite. Je suis sa déesse de l’amour. Ses violents coups de bassin m’amènent à de longs râles, mes orgasmes se succèdent. Attachée à lui, je ne forme qu’un. J’ondule mes fesses sur son sexe, pour recevoir son sperme chaud.
A peine remise de mes quatre orgasmes, Odin me reprend, pour solliciter ma chatte trempée, jusqu’au nœud. Ma chatte dégouline de spermes, dès les premiers coups de bassin.
Je me rendors.

Quand j’émerge, il fait nuit. Je me soulage aux toilettes. Je me douche rapidement et j’ai faim. Je découvre un plateau avec diverses assiettes sur une table roulante. Je me restaure et m’endors jusqu’au lever du soleil.

Pendant huit jours et sept nuits, les saillies anales se succèdent, en alternance avec les deux hommes, en double anale.
Des fois, le chien se retourne, pour mieux m’enculer, fesses contre fesses, après vingt va-et-vient. Je me laisse faire.

10 mars
J’éprouve de la fierté, tatouée, avec mes anneaux dorés.
- Alors Divine Chienne, le séjour t’a plu.
- Oh oui, surtout avec Odin. Son gros sexe m’a bien écartelé l’anus, j’ai ressenti beaucoup de plaisir.
Avant de rentrer à l’université, où j’ai suivi mes cours pendant mon absence, je découvre mon corps transformé. Ma taille est affinée.
Un des hommes me rase intégralement le pubis, pour que je sois totalement lisse.
- Dans quelques jours, tu vas porter des fers à la place de tes anneaux dorés.
Le Baron Désir des Mille Vices atterrit dans l’après-midi.
Je crains de lui déplaire : mais il me trouve plus émouvante, ma chatte ressemble tout à fait à celle d'une petite fille avec son aspect bombé et charnu très émouvant.
- Tu es plus désirable, que lors de notre premier rendez-vous.
Le Baron m’encule longuement, me laissant libre de mes orgasmes anaux.
Nous retournons au Domaine des Biches, conduits par Hercule, dans la limousine.
Je suis aux anges, quand Hercules me reprend.
- Ta chatte toute lisse attire les regards désormais, ainsi que ces anneaux, me susurre Hercules, qui m’encule penchée en avant, nue, cuisses écartées, sur le capot.
- Oui, Hercules, défonce-moi avec ta grosse queue. J’ai l’œillet tout ouvert.
Puis je revêt un étrange uniforme sur mon corps nu.
Une large jupe, s’arrêtant à mi-cuisse, largement fendue devant juste au-dessus du pubis épilé, ouverte dans le milieu du dos de la jupe, facilitant toute sodomie. Un boléro couvre à peine les seins nus, sans aucun corset, ni boutons. Le boléro dévoile sur les côtés, le galbe des seins. Je dois porter une queue-de-cheval haute. Je chausse de simples tongs avec une large bande en cuir dans laquelle on glisse le pied, à hauts talons.
Ainsi, tout le monde peut voir que je porte des anneaux et voir mon tatouage.
Au Domaine des Biches, je retrouve Anale Vicieuse et Chienne Vicieuse, Xavier, Marquise Sam de Bijoux et Désirs et Jasmin.
Xavier, Sam et Jasmin m’enculent sauvagement au bar. Je reste à quatre pattes, à leur disposition, suçant, l’anus dégoulinant de spermes. Je suis ensuite saillie par Olaf, Hadès et Hannibal, mes anciens amants canins, longuement enculée jusqu’à une bonne demi-heure. Mon anus assoupli, j’enchaîne les orgasmes.
Je suce mes amants canins.
Bien sûr, je suis cravachée, toute nue, menottée debout, sur la pointe des pieds nus, à un lustre, par les invités du bar, sur les fesses, les cuisses, les reins et la chatte. Je perds connaissance, lors de coups portés sur ma chatte trempée. Avec une précision diabolique, la lanière de cuir tressée à frappé longitudinalement toute mon intimité, du clitoris à l'anus, s'insinuant entre mes grandes lèvres pour atteindre mes fragiles nymphes. Mais la douleur est trop intense et je m'évanouis, restant suspendue par les bras.
Je reprend conscience.

15 mars
Allongée sur une table, on relève mes genoux, et je sens le froid du métal glisse dans ma chair, remplaçant deux de mes anneaux dorés. Au moment d'emboîter la seconde partie de l'anneau dans la première, la face niellée d'or soit contre la cuisse, et la face portant l'inscription vers l'intérieur. Les deux chaînons sont rivés.
De retour à l’université, les fers qui trouent mes grandes lèvres de ma chatte et portent en toutes lettres que je suis la propriété conjointe du Baron, et de la Marquise, me descendent jusqu'au tiers de la cuisse, et à chacun de ses pas bougent entre mes jambes comme un battant de cloche, le disque gravé étant plus lourd et plus long que l'anneau auquel il pend. Mes fesses marquées au fer rouge, des lettres BD sur ma fesse droite et SM sur la fesse gauche, hautes de trois doigts et larges de moitié leur hauteur, sont creusées dans la chair comme par une gouge, à près d'un centimètre de profondeur. Rien que de les effleurer, on les perçoit sous le doigt. De ces fers et de ces marques, j’éprouve une fierté insensée.
Je reprend mes abattages, ferrée et marquée. Ce qui réjouit mes nouveaux amants humains et mes amants canins.
Mon œillet bien ouvert, me fait découvrir de nouveaux vices. De la fille prude, je suis devenue une femme provocante, totalement lisse.

A bientôt, votre sensuelle soumise Shawn, pleins de baisers coquins à vous mes admirateurs.