dimanche 14 avril 2019

PUTE DE PRISON


Je m’appelle Olympe.
J’ai 22 ans.
Je suis une jolie beauté scandinave.
Je suis une brune aux yeux verts. J’ai des pieds fins et latins, des jambes longues bronzées, musclées qui inquiètent par leur perfection. Mon pénil est bombé, ouvert, couronné de noir. Ma pilosité brune couvre mon pubis. Ma chatte est velue et j’ai une superbe croupe. Les lèvres de mon sexe sont une plaie rouge entre mon entrecuisse. Mes hanches s'incurvent et délimitent le ventre plat, délicieusement renflé autour du nombril, les hanches sont larges et rondes, mais sans lourdeur. La taille est affinée. Les seins parfaits intégralement bronzés sont un peu volumineux mais fermes, et leurs pointes marron clair, toujours dressées, cernées par une large aréole marron attirent le regard. J’ai une peau lisse et patine. Finition parfaite, un seul grain de beauté entre mes superbes seins. De longs cheveux plats blonds flottant comme des algues, battent mes épaules rondes et gracieusement athlétiques. Je suis intégralement bronzée. Mes yeux verts limpides s'allument, ma bouche charnue se fend. J’ai des sourcils bruns bien dessinés et des lèvres pulpeuses. J’ai de longs doigts fins et de belles mains. Je fais du 90B de poitrine, 56 de taille, 90 de hanches, 1,72 m.

PUTE DE PRISON




20 août

Je suis une escorte girl reconnue depuis l’âge de mes dix-huit ans. Mon père et mon grand frère m’ont déflorée, puis m’ont baisée, avant de livrer aux amis de mon grand frère. Je suis devenue une suceuse exemplaire. J’ai toujours refusée de me faire enculer, même comme escorte girl. Je gagne bien ma vie. J’ai de nombreux amants réguliers, dans le quartier chaud.
J’aime la lingerie de luxe, les soutien-gorges, les strings, les porte-jarretelles et les bas, les guêpières et les corsets. Je suis collectionneuse d’escarpins et de sandales à hauts talons.
J’aime garder ma toison pubienne et ma chatte velue. Cela plait aux hommes et aux lesbiennes que je côtoie.
Je suis connue par la section sexuelle, de la police spéciale, sous Lady Olympe. Je suis une beauté recherchée par mon visage de femme-enfant et surtout mon regard limpide.
Un après-midi, au baisodrome « Les Plaisirs d’Eros », je fais l’amour avec mon amant régulier, le superbe Adonis musclé, le banquier Alban. Il aime que je le suce et me baiser longuement jusqu’à au moins trois orgasmes successifs, avant d’éjaculer dans ma bouche.
Allongée sur le dos, mes mollets sur ses épaules, Alban me caresse mes cuisses, mes mollets, mes chevilles, tout en me baisant. Il est agenouillé. Il me baise avec vigueur.
Nos ébats sont interrompus par le colonel Brice, le lieutenant-colonel Charles Edouard et le commandant, Diane, de la section sexuelle.
- Voici, la belle Lady Olympe, encore de train de baiser avec son chéri, Alban, annonce Diane.
- Jamais, enculée, cette pute, chienne, elle a violé la loi 6956 du code sexuel, annonce Charles Edouard.
- Laissez-la moi, je m’en charge, de cette pute, annonce Brice.
Restant dans la même position, Brice exhibe son gros mandrin, vingt-six centimètres de long et six de diamètre.
Jamais mon œillet va pouvoir le recevoir. J’essaye de détendre mon sphincter au maximum.
– Non, non, arrête, tu es trop gros, ta bite est trop  dure!
– Ton œillet est si serré que mon gland arrive à peine à s’y engager et que ma bite plie sous l’effort de ma poussée.
- Ton chibre est trop énorme!
Mon  gland  appuie de plus en plus fort sur ma rosette et je m’abandonne sous la poussée un peu plus forte et mon sphincter cède enfin. Je respire profondément quand je sens la grande tête épaisse glisser en moi .
– Ta bite est énorme ! Putain c’est gros ! La douleur est à peine supportable. Je la sens passer mais elle rentre ! Incroyable ! Tu me l’a mets dans le cul !
Je serre les dents lors de ma sodomie.
Mon anus est extrêmement serré autour de son mandrin et mon tunnel sombre masse toute la longueur de son mandrin qui ne va pas résister longtemps à cette pression.
Son mandrin glisse lentement dans mon anus. Je crie quand, sans attendre j’ appuie encore plus fort et que progressivement mon énorme queue s’introduit dans son étroit conduit. Je sens le gland écarteler mes chairs au fur et à mesure de la progression de son mandrin. Je m’écris:
- La douleur est insupportable et j’ai l’impression que mon anus va se déchirer. mais ça s’estompe lentement.
Mon anus est capable d’accepter son monstrueux mandrin, si dur et si imposant.
Lorsque la totalité du mandrin se trouve enfoncé au plus profond de ses entrailles, il s’immobilise afin que je m‘habitue au monstre à l’intérieur de mon rectum :
 – Tu es gros…Vas-y, encule moi, maintenant défonce moi le cul !
Son mandrin m’encule. J’ondule mon bassin, pour m’empaler dessus.
Il m’encule sauvagement.
- C’est comme un manche énorme qu’il enfonce dans mon cul. Mon trou du cul va éclater ! Je commence vraiment à sentir ce que c’est que de se faire enculer par une bite hors norme.
Je suis enculée sur quinze centimètres à chaque poussée.
Ma jouissance arrive et mon anneau se contracte, se resserre à plusieurs reprises, en cadence, avec des ondes de jouissance presque irréelles et je tombe presque en syncope.
Mon oeillet est serré et contracté autour de l’immensité de son mandrin qui me martèle.
La tête du gland cogne contre le fond de mes entrailles et j‘ai encore un autre orgasme!
Après cinq minutes  endiablée, je commence à faiblir et mon cul est en feu, sauvagement enculée.
- Les muscles de mon cul serrent ta queue et je m’attends à ce que tu exploses à l’intérieur de moi à tout moment, mais tu tiens le coup mon salaud ! Enfonce ta bite gigantesque dans mon cul… j’aime ça, c’est bon.
Quelques instants plus tard, je retire ma bite avec un énorme bruit de succion.
Charles Edouard me fait asseoir sur son mandrin imposant, trente centimètres et cinq de diamètre.
Je suis enculée, assise entre ses cuisses, empalée jusqu’aux testicules.
Brice m’attrape les fesses et me fends en deux avec son mandrin qui s’enfonce jusqu’aux testicules. Je monte et descends.
- Rempli mon puits de ton sperme.
Je sens les vibrations et les contractions de sa queue dans mes intestins dilatés à l’extrême.
Quatre énormes jets de sperme giclent profondément à l’intérieur de mon anus, avec une telle force qu’il remplit mes entrailles de son jus! Ma rosace se resserre sur son merveilleux mandrin.
- Je te sens bien….oui… donne-moi tout….que c’est bon… encore…. oui… continu…
Je peux sentir son sperme qui m’inonde et recouvre sa bite quand il soulève mon cul et qui coule même sur ses couilles qui continuent de se vider.
Il gémit bruyamment quand brusquement je sors sa bite de mon cul. Il continu de cracher et m’inonde le dos de deux jets d’une incroyable puissance envoyant son foutre jusque dans mes cheveux.
Le bouchon ayant sauté une incroyable quantité de sperme s’écoule lentement sur mes cuisses et coule sur le canapé. Mon cul tremble encore, en feu et trempé par son jus, complètement dilaté, mais quelle baise !
– Oh mon Dieu…Tu as baisé mon cul comme un dieu ! C’était…c’était…unique, formidable, incroyable… j’aime ta bite géante, elle est intarissable… et je t’aime, toi, pour le plaisir et l’amour que tu me donne.
Cette double sodomie m’a révélée.
Je dois m’habiller sous l’œil de Diane, une grande blonde aux seins plantureux.
- Désolé, ma belle, plus de strings, plus de soutien-gorges. Tes seins et ta chatte doivent toujours être nus sous tes vêtements et ton entrejambe jamais dissimulée. Ni bas, ni porte-jarretelles et peut-être corset et guêpière seins nus. Tu as, les seins libres et nus comme tu as nus et libres les fesses et le ventre. Pour tes pieds, soit tu seras pieds nus dans des escarpins ou sandales ou mules à hauts talons. Je vais te mettre un bijou d’anus pour garder le sperme.
Il me dilate, prépare mon anus à la sodomie, la rendre plus facile et moins douloureuse aussi. Il mesure vingt-huit centimètres de long, avec son gland gonflé et sept de diamètre pour m’écarteler à la base. Je sens le gland qui monte et descende à l’intérieur de mon anus ; le gland va encore plus vite de haut en bas dans mon anus conjuguée aux vibrations qui s’arrêtent et qui recommencent et des vibrations dont l’intensité augmente progressivement. Il s’allonge à chaque mouvement grâce à sa texture réaliste ultra-souple et ultra-douce et rétrécit à chaque mouvement de va-et-vient grâce à son enveloppe qui s’étire ou se contracte en suivant les montées et descentes du gode. J’ai l’impression d’avoir un véritable homme à ma disposition qui me fait l’amour en étant infatigable.
J’enfile une robe courte couvrant à peine mes fesses nues, au décolleté en V plongeant, montrant mes seins nus et je chausse mes pieds nus de mules à très hauts talons, je suis maquillée et coiffée d’une queue-de-cheval.
Je quitte le baisodrome « Les Plaisirs d’Eros », les mains menottées dans le dos, sous la garde d’un capitaine, d’un lieutenant et d’un sous-lieutenant. Je monte à bord d’un minibus de la police spéciale.
Le capitaine James m’invite à m’asseoir en relevant ma jupe, les fesses nues, cuisses écartées.
La banquette est en moleskine, glissante et froide, c'est saisissant de la sentir coller aux cuisses.
- Baisse les yeux et garde la bouche entrouverte, pendant le trajet.
Mon bassin ondule sur ce vibromasseur anal. Je me retiens de jouir, proche de mon nouvel orgasme anal.
Nous traversons toute la ville, puis la campagne. Je suis la seule femme.
Puis nous arrivons devant une grande porte d’entrée.
La fourgonnette entre.
- Bienvenue à la prison des femmes, section 10, dressage, sous les ordres du colonel Hermine, tu dois coopérer ma belle.
J’entre au rez-de-chaussée, dans une grande pièce, avec de nombreuses caméras de sécurité, des miroirs et des glaces sur les murs et au plafond. Le colonel Hermine est une superbe brune aux petits seins.
- Elle a eu deux orgasmes anaux avec Brice et Charles Edouard. Vierge anale récemment déflorée, future pute anale, Colonel Hermine, annonce Diane.
Les yeux baissés, la bouche entrouverte, je me laisse soulever ma jupe.
- Toison pubienne, chatte velue, très bien, elle va plaire à ses nouveaux amants.
- Colonel Hermine, Lady Olympe a été déflorée lors d’incestes.
- Très bien, incestueuse, suceuse experte, clitoridienne et vaginale, tu vas devenir une perverse anale. Déshabillez-la.
On me libère quelques instants les mains, puis on me remet les menottes.
- Tu es très belle. Jamais fouettée, ni menottée, tu vas devenir une soumise docile. Emmenez-la à la douche, sans son vibromasseur. Elle sera offerte à Adam, pour sa première. Le major Iris et l’adjudant Jasmin s’occupent de son éducation. Elle porte les carcans réglementaires et elle sera nue pour son premier jour et en mules.
Je rejoins une pièce minuscule entièrement carrelée ; sur les murs, des tas de pommes de douches orientées dans tous les sens. Hermine m'attache les bras tendus en l'air, sur la pointe des pieds nus, telle une danseuse, puis saisit un tuyau annelé qui sort du mur devant moi, terminé par une espèce de canule, au-dessous de laquelle se détachent deux chaînettes. Elle s'accroupit devant moi, enfile la canule dans mon anus.
Elle dirige le jet d’eau glacé sur mon corps. Je garde les yeux baissés, de l’eau tiède inonde mon anus. Je suis transie de froid, l'eau tiède continue à ressortir de mon derrière.
Le major Iris, une superbe blonde aux petits seins.
Elle me cravache mon dos, mon ventre, mes cuisses, mes reins. Avant d'arrêter la correction, d'un habile revers du poignet, elle me frappe violemment de bas en haut entre mes jambes maintenues écartées par la barre ! Avec une précision diabolique, la cravache frappe du clitoris à l'anus, s'insinuant entre mes grandes lèvres pour atteindre mes fragiles nymphes. Mais la douleur est trop intense et je m'évanouis, restant suspendue par les bras.
- Très bien, Lady Olympe a subi sa première correction.
Je reprend conscience. Jasmin, la brune aux seins plantureux décroche ma sonde anale et me la retire : l'eau continue à s'écouler d'entre mes fesses, mêlée d'excrément qui ont en partie coulé le long de mes cuisses. J'ai à nouveau droit à une douche à grand jet, mais chaude cette fois, puis elle me savonne partout, douche de rinçage et enfin elle me sèche en me frottant tout le corps avec une serviette assez rêche qui ranime les douleurs provoquées par la cravache qui a laissé de longues lignes rouges s'entrecroisant.
- Tu es endurante. La section 10 te fera un grand bien, dit Jasmin, en m’embrassant langoureusement sur la bouche et en caressant mes grandes lèvres humides encore douloureuses.
- Tu me plais.
Nue et en mules, avec le vibromasseur remis en place, je reçois mes carcans : collier en cuir autour du cou, bracelets en cuir également, aux poignets et aux chevilles. Chacun de ces accessoires muni d'un mousqueton. Voici comment ils sont faits : en plusieurs épaisseurs de cuir, chaque épaisseur assez mince, au total pas plus d'un doigt, verrouillés par un système à déclic, qui fonctionne automatiquement comme un cadenas quand on le referme, et ne peut s'ouvrir qu'avec une petite clé. Dans la partie opposée à la fermeture des bracelets, pris dans le milieu des épaisseurs de cuir, et n'ayant presque pas de jeu, il y a un anneau de métal, qui donne une prise pour fixer, et qu'on positionnait du côté intérieur du poignet. Pour le collier, l'anneau pend devant le cou, reposant sur la saillie des clavicules, et brinquebalait au rythme des mouvements de celui qui le porte.
Je rejoins le second étage, suivie par Iris et Jasmin.
- Quelle croupe, Adam va être servie, dit Iris.
- Elle mouille bien, pour une pute, me susurre Jasmin, lors de passages des grilles, gardées par des sergents féminins et masculins et des maîtres-chiens, tenant en laisse de superbes bergers allemands, dobermans et dogues allemands.
- C’est la nouvelle pute de la section 10, messieurs. Son œillet a été défloré par Brice puis Charles Edouard. Adam va l’ouvrir un peu plus, n’est-ce pas, la vicieuse, annonce Iris.
Je découvre ma cellule, avec un lit, une grille fermant la fenêtre assez haute, un lavabo et un urinoir, un seau pour mes déjections.
- Ma belle, tu vas apprendre à pisser debout.
C’est un vrai supplice de pisser debout, avec le vibromasseur. J’ai des difficultés pour uriner par compression, et surtout quand les doigts d’Iris me fouillent ma chatte. Cela m’est très pénible.
- Je ne veux aucune goutte à côté de l’urinoir, ma belle. Tu vas devenir une pute obéissante, quelques coups de cravache sur tes fesses.
J’arrive à me soulager, malgré les puissants va-et-vient anaux, je suis au bord de l’orgasme.
Iris me caresse la chatte.
- Tu es jouisseuse, toute humide.
J’ai un violent orgasme que je ne peux retenir. Humiliée, exhibée, les mamelons tendus sous les doigts d’Iris, je ne me reconnais plus.
- Très bien, Jasmin, amène-la à Adam, sur le chevalet, pour son premier jour. Elle va sucer les sergents et les caporaux. Ma belle, les sergents et les caporaux décident, s’ils veulent t’enculer après Adam ou te cravacher.
Je suis menottée toute nue, déchaussée sur le chevalet, dans ma cellule. Mon postérieur est plus haut que ma tête. Mes bras sont fixés le long des pieds avant, mes jambes le long des pieds arrières, et une large sangle m'est passée au niveau de la taille. Mes cuisses, légèrement fléchies sont empêchées de se resserrer par la largeur de la poutre, ainsi d'ailleurs mes fesses que je me peux refermer.
- Ainsi, tu es prête à tous les désirs, dit Jasmin, qui me laisse seule, la porte de la cellule grande ouverte.
Des mains caressent mes fesses encore brûlantes sans un mot. Je mouille, mon clitoris se tend à l’extrême, tout comme mes mamelons. Je ne peux me libérer, malgré mes supplications.
Je bois beaucoup et j’avale un laxatif.
Enfin, j’entends du bruit.
L’anus libre, je sens une fourrure contre mon dos. Son sexe de dix-sept centimètres de long et cinq de diamètre m’encule. Il me donne de longs coups de bassin, rapides comme un homme, vigoureusement. Je commence à jouir. Je sens mes fesses s’élargir sous la pression du nœud. J’ai un peu mal. Je m’empale inconsciemment sur son sexe. Il me tient fermement entre ses pattes avant, la bouche ouverte, il tire la langue d’où coule un mince filet de bave sur mon dos. Les hommes me prennent en photo. Je connais trois orgasmes anaux.
Au bout de trois quart d’heure, il se retire et m’offre son sexe à sucer. C’est un superbe berger allemand.
Je le nettoie, comme si c’était mon amant.
J’aime le goût de son sperme. Mon anus dégouline de son sperme.
- A nous deux, ma belle, dit le plus âgé des sergents. Ton œillet est bien lubrifié.
Les mandrins sont ornés de picots qui me font très mal et me donnent l'impression qu'on m'arrache l’anus. Il y a aussi la cravache sur les fesses, les pinces sur mes lèvres intimes et des glaçons dans ma chatte. 
Au bout d’une heure, je perds connaissance, par mes orgasmes anaux que je regarde, selon les désirs des sergents et caporaux, des nord africains. On me cravache les fesses, avant qu’Adam m’encule à nouveau, après que je l’ai sucé.
- Tu vois, Adam, c’est une formalité. Tu es sa chienne.
Je connais un long jet de pisse, sous l’excitation.
Je passe un long moment sur le chevalet, ma chatte est toute trempée, les glaçons ont fondu.
Au coucher du soleil, je suis en sueur.
Iris vient me voir.
Je suis détachée du chevalet. Elle examine mes fesses brûlantes et m’écarte bien les fesses.
- Ton œillet est encore béant, dégoulinant de spermes. Tu es une vraie pute anale, maintenant. Je vais te doucher avec tes nouvelles copines.
Nous sommes menottées debout, sur la pointe des pieds, les bras en l’air, avec chacune une canule d’eau froide pour nos lavements anaux, sous l’eau tiède qui s’écoule du pommeau de la douche.
Cuisses écartées, les yeux baissés, la bouche entrouverte, je m’abandonne aux caresses de ma chatte par les autres surveillantes, des majors.
Je suis vite repérée comme la chienne d’Adam.
- Regarde, comme elle aime ça, les caresses de sa chatte et de son clitoris tendu, belle chienne, me susurre une des surveillantes.
Après une rapide douche, l’anus propre, je me sèche avec une serviette assez rêche qui ranime les douleurs provoquées par la cravache sur mes fesses.
Je mange rapidement avec mes doigts, de la semoule et une soupe froide composée d’un mélange d’œufs, de carottes, de concombres, de courgettes, de bananes, pimentée. Je suis agenouillée, cuisses écartées, constamment surveillée. Je peux me soulager.
Je dois garder l’odeur de ma pisse, l’anus est nettoyé par une poire anale.
- Très bien, ma belle, je vais te menotter pour la nuit. Adam va revenir. Ton œillet a besoin de son sexe.
Je me retrouve ainsi nue, attachée en croix sur le lit, bras et jambes écartés
Iris pince mes mamelons, me palpant les cuisses, glissant même une main entre elles, titillant mon clitoris, enfonçant ses doigt dans ma chatte, me tâtant l'anus, me masturbant littéralement. Je mouille d’excitation.
Dans un 69 torride, je lui donne du plaisir en léchant sa chatte et son œillet, comme une bonne lesbienne. J'aspire son clitoris très gros, enfonçais ma langue le plus loin possible dans sa chatte et dans son anus. Iris me tourne le dos et je sens ses doigts m'ouvrir la chatte puis la pénétration de ma chatte par un gode canin moulé sur le sexe d’un doberman, trente-deux centimètres de long et quatre de diamètre, pour me goder. Je me retiens de jouir.
Iris connaît un orgasme et arrête de me branler, me bloquant brutalement dans la montée du plaisir, enfonçant le gode du doberman dans mon anus encore un peu dilaté.
Je reste ainsi, excitée, le gode qui m’encule.
 Un peu plus tard, Jasmin connaît elle aussi un orgasme, je bois sa mouille comme pour Iris, elle aussi me laisse en plan. Avant de me quitter, elle retire le gode de mon anus.
- Nettoie-le.
Il est mouillé de mes sécrétions anales. J’obéis.
- Très bien, alors ce soir, ce sera Hadès qui va te saillir, Lady Olympe.
La lumière éteinte, la porte de la cellule restant ouverte, éclairée par l’allée, je sens une présence.
Sans attendre, je suis enculée d’une seule traite, jusqu’au nœud. Le sexe est un peu plus gros qu’Adam. J’explose dans un premier jusqu’au quatrième orgasme anal, sous les éjaculations canines.
Le chien reste en ma compagnie, tout en débandant, attachée à lui, sans le noeud.
Au bout d’un certain temps, il rebande et la saillie reprend jusqu’au nœud. Je ne me maîtrise plus, tellement c’est bon.
Pour mieux satisfaire le chien, on me libère après le retrait du nœud, pour me menotter sur le ventre, attachée en croix, pour un meilleur accès à mon anus.
Le chien redouble de vigueur, attaché à moi. J’hurle dans l’oreiller.
Après son retrait, il est vingt-deux heures, quand j’entends la fermeture des portes.
Je voudrais bien me masturber, caresser ma chatte humide, mon clitoris et mes mamelons tendus, par l’excitation. Je ne peux pas.

Juste avant l’aube, la porte de la cellule s’ouvre. On me cravache les fesses quelques instants, puis Adam vient m’enculer à son tour, à deux reprises.
Pantelante, je deviens la chienne à nouveau du doberman Hadès. Mon anus s’est fait à son sexe, mon anus est forcé. Hadès me prend à deux reprises.
Je bois ma soupe entre deux amants canins.
Vers neuf heures, je viens d’achever ma dizaine saillie anale canine. J’aime de plus en plus.
Avant de me détacher, on me fait un lavement anal, pour que je sois propre.
Nue, en mules, un des sergent me saisit les deux mains. Il fait glisser l'un dans l'autre les deux anneaux de mes bracelets, ce qui me joint étroitement les poignets, et ces deux anneaux dans l'anneau du collier. Je me trouve donc les mains jointes à la hauteur du cou. Je suis tenue en laisse, par une ceinture autour de ma taille.
Pantelante, à moitié endormie, je suis le sergent, escortée par deux majors.
- La chienne a bien jouie cette nuit. On n’entendais qu’elle.
- Hadès et Adam l’ont bien montée.
Nous descendons au rez-de-chaussée.
Je rejoins le cabinet gynécologique. Je suis menottée au fauteuil, les cuisses écartées, des bracelets sont passés à mes chevilles, pour m’immobiliser. Je sens les lèvres de ma chatte qui s'entrouvrent toutes seules. Mon bassin est à la hauteur du visage du gynécologue.
Il s’occupe de mon clitoris, tout en entrouvrant les lèvres de ma chatte
- Tu es toute mouillée. Les saillies t’ont excitée.
Il m’enfonce un spéculum pour regarder ma chatte, en compagnie des majors.
Mon anus est resté entrouvert.
- On va s’occuper aussi de ton œillet de chienne. L’œillet est suffisamment souple pour supporter des pénétrations volumineuses et répétées. Cependant l’œillet doit préalablement faire l'objet d'un élargissement et toujours être préparé par une lubrification.
Il m’enfonce l’écarteur anal dans l’anus, je me sens esclave soumise et cette situation m’excite.
L’écarteur anal est différent du spéculum et se présente comme une paire de ciseaux qui s’écarte par crans d’arrêt. Mon anus s’ouvre jusqu’à cinq centimètres et sur huit de profondeur.
Une vis de blocage pratique permet, de pouvoir laisser exposer la dilatation plus longtemps.
Mon anus est maintenant réellement ouvert, et mon humiliation grandit. Il espace l’ouverture de chaque cran supplémentaire, il doit remarquer que je commence à couiner.
Après le retrait d’écarteur anal, le gynécologue m’encule.
- Elle est de facile à prendre. 
- Cette pute est douée. » Répond une des majors « Mais elle doit encore se perfectionner. »
Puis les sergents et les majors de service la nuit dorment, et ceux de jour m’enculent ensuite et je dois les sucer, sans perdre une seule goutte.
Je déjeune seule dans ma cellule, l’anus propre et la douche commune, cravachée comme les autres prisonnières.
Toujours nue, je suis à nouveau menottée sur le chevalet, pour mes saillies anales canines.
Je suis offerte au malinois Lancelot, au beauceron Atlas et à nouveau à Adam et à Hadès.

Pendant une semaine, j’ai droit à mes quatre amants canins, comme les autres prisonnières.
A chaque nouvelle visite gynécologique, mon œillet devient plus souple et je le garde plus longtemps entrouvert. La sodomie est devenue mon vice.

27 août
Avant l’aube, menottée, nue, sur le ventre, l’anus encore béant et débordant de spermes canins, on me détache, me fait un rapide lavement anal et on me met un bijou d’anus moulé sur le devant du sexe d’un doberman.
Les mains jointes à mon cou, tenue en laisse, nue et en mules, je suis le major. Je quitte le second étage pour le premier. Je découvre la section 8, pour jeunes chiennes dressées.
Mais avant, menottée sur un chevalet, on me tatoue à l’encre noire, en lettre gothique, les lettres C et S pour pute canine, juste à quelques centimètres au-dessus de la naissance de mes fesses et on me marque au fer rouge, l’intérieur de ma chatte du numéro 6996, auquel je réponds désormais.
Je partage ma cellule, avec une blonde aux seins plantureux, Pénélope, doté d’un mandrin imposant. Il mesure trente et un centimètres et sept de diamètre.
Pénélope se masturbe devant moi. J’ai une hâte la sucer.
Je m’accroupis et je tente de prendre en bouche son mandrin bien dur.
- Dis donc, ma belle, tu as envie.
- Oui.
- On dit Oui, à Miss P. Je vais t’enculer, ma chienne.
Nous faisons l’amour en 69 torride. Je m’allonge sur Pénélope tête bêche. Je lape son gland, enroule ses testicules, tandis que ses doigts fouillent mon anus libre, sa langue s’occupe de mon clitoris tendu et de ma chatte humide. Je lui lèche tendrement son anus, le doigte, le détendre puis revenir à son mandrin avant de repasser à son cul, pendant que Pénélope s’occupe de moi. Je masturbe son mandrin, le caresse, touche et excite les zones érogènes, ça peut rapidement virer en de supers préliminaires. Je suce le gland des lèvres, je l’aspire bien avant de descendre jusqu’à la racine du mandrin et de commence des mouvements de va et vient. Une fois le mandrin en bouche je passe ma langue sur ce mandrin offert en dilatant son anus.
- Tu me plais.
Pénélope m’encule, allongée sur le ventre, cuisses écartées. Pénélope m’enserre les hanches, glisse ses mains autour de mes seins. J’agite ma croupe pour qu’elle bande davantage en moi.
-Tu vas me faire éjaculer, chienne. Mets-toi à quatre pattes, sans que je quitte ton œillet.
J’obéis. Empalée jusqu’aux testicules, je suis fessée. Je coulisse sur son mandrin.
Je connais un orgasme anal rapidement puni par des coups de cravache sur mes fesses.
- Tu mouilles davantage, quand je te cravache.
Pénélope éjacule en moi.
Je me retire et nous reprenons le 69, je le nettoie.
Je m’empale sur le mandrin de Pénélope, qui est allongée sur le dos, je suis adossée à ses cuisses, jusqu’aux testicules, offrant la vue de ma chatte humide.
- Tu es toute humide, cela t’excite que je t’encule.
Je connais un orgasme anal lors de sa nouvelle éjaculation dans mon anus.
Sans débander, je me retrouve à mon tour, allongée sur le dos, cuisses relevées et bloquées par Pénélope, en traction, qui m’immobilise avec ses cuisses. Je ne peux me dérober.
Pénélope bande à nouveau et je suis la subir.
- Tu es bien ouverte, chienne.
Pénélope éjacule et je dois rester ainsi, pour que Conan, un doberman puisse m’enculer jusqu’au nœud. Je connais quatre orgasmes anaux en sa compagnie, suçant Pénélope, ravie.
Il t’encule bien, ma belle chienne, Conan est le seul chien de la section. Si tu veux, il t’enculeras tous les jours.
A peine remise de mes orgasmes anaux, l’anus rempli par mon bijou d’anus, en sueur, Pénélope me conduit, nue et en mules, à la douche et me met une canule pour mon lavement anal, à l’eau froide.
Les rares surveillants m’observent, je garde les yeux baissés. Ils se masturbent.
C’est la chienne 6996, la reine des orgasmes canins, dit l’un des sergent-chef, un africain noir, bien monté.
Il est accompagné de deux adjudants, musclés, africains noirs, bien montés.
Une fois propre, sèche, accroupie, cuisses écartées, je dois sucer des mandrins longs de vingt-cinq centimètres à trente centimètres et cinq à six de diamètre.
Mes poignets sont joints à mon cou.
Je suis complimentée comme une excellente suceuse.
Sans attendre, je suis suspendue par une chaîne passée à l’anneau de mon collier, sur la pointe des pieds nus, déchaussée, cuisses écartées.
Tous m’enculent jusqu’aux testicules, me fessent, je dois retarder mes orgasmes anaux.
Des fois, je suis prise en double pénétration et voir, deux mandrins me remplissent simultanément l’anus. J’ai un peu mal.
Les dix surveillants me libèrent et je les nettoie.
- Très bien, la pute a eu son compte pour aujourd’hui, annonce le plus âgé des adjudants.
Prosternée, l’anus libre, je suis aussitôt, enculée par Conan, qui ne demande pas son reste. J’y reste une heure au total, après plus deux heures avec les sergent-chefs et adjudants, devant Pénélope.
Pantelante, je suis à nouveau livrée à dix autres africains noirs.
Je peux enfin me reposer, menottée dans un carcan.
Ma tête et mes poignets sont emprisonnés dans un carcan accroché par des chaînes au plafond. On referme le morceau de bois qui m’immobilise.
Je reste penchée en avant, cravachée sur les fesses, les cuisses, de lourdes clochettes étirent mes mamelons tendus à l’extrême, tout comme mon clitoris, léché par Conan. L’anus libre, je suis enculée par les surveillants, Pénélope et divers godes à picots, vibromasseurs et godes canins qui se gonflent. Je ne compte plus mes orgasmes. Je ne sais combien m’ont enculée, embrassée, masturbée. Je ne compte plus les jours, sous la lumière constamment allumée. Je bois beaucoup. Conan m’encule le plus souvent possible.

3 septembre
A l’aube, le colonel Hermine vient me voir.
- Alors, Lady Olympe, tu te comportes désormais comme une pute obéissante, perverse anale canine. Tu me plais davantage. Je connais des clients fortunés qui me demandent de tes nouvelles. Tu as un peu maigrie. Tu vas reprendre des forces, de l’exercice.
En guise d’exercices, dans la salle de sports, il y a un vélo, lequel laisse dépasser par un conduit traversant leur selle, un vibromasseur anal muni d’un va-et-vient, relié au pédalier. Lorsque je suis empalée sur le vibromasseur, je suis cravachée sur leurs fesses et je pédale. Je suis profondément enculée, à chaque coup de pédale. On me cravache régulièrement les fesses, je pédale et donc m'encule avec plus de vigueur. Chaque jour, le vibromasseur change de calibre humain, canin et équin, pour m’assouplir. Je muscle mes cuisses, empalée sur un gode anal de bonne dimension, les bras tendus en l’air, l’intérieur des cuisses cravachée. Je dois faire des pompes, saillie par Conan, pour me muscler ou par une machine à enculer, fixée entre mes cuisses, munie d’un puissant va-et-vient.
Je me promène dans la cour centrale interne grillagée, nue et en mules, à quatre pattes, enculée par un dogue allemand, Olaf. Son sexe long de vingt-cinq centimètres et quatre centimètres de diamètre, ainsi qu'un beau nœud à la base, quand il est à l'intérieur, il fait bien huit à dix centimètres, m’écartèle bien l’anus. J’ai un peu mal, mais je dois parcourir la cours, tout en prenant du plaisir, subissant ses coups de reins puissants. Finalement, il éjacule dans mon anus et se retire avant de m’enculer à nouveau pour une nouvelle promenade, plus jouissive.
Des clients fortunés, derrière des glaces sans tain, m’observent, me notent, fixent un prix pour de futures enchères. Après Olaf, ce sont Sultan et Brutus qui prennent le relais, pour de nouvelles saillies anales canines. Pantelante, par mes nombreux orgasmes anaux, l’anus alourdi par les litres de spermes, je suis douchée, avec une canule pour me nettoyer l’anus.
Je passe la nuit, cravachée, au pilori, pendant une semaine.

6 septembre
On me rase la chatte et je peux porter l’uniforme de prisonnière : un boléro fermé au cou. Il suffit d'enlever le boléro pour que les épaules et les seins soient nus, et sans même enlever le boléro, de l'ouvrir, si l'on désire voir les seins. Il est complété par une jupe éventail, qui se retrousse d'un geste, accompagnée par les clochettes à mes mamelons constamment tendus par un mystérieux processus, ainsi que mon clitoris. Ils sont devenus hyper sensibles, le souffle du vent m’excite énormément. Mes mamelons pointent au maximum tout le temps, vingt-quatre heures sur vingt-quatre et de même pour mon clitoris. Je suis frustrée et la douleur provoquée par le fait que mes mamelons et mon clitoris soient constamment tendus. Mon clitoris est  gros comme une cerise, saillant et volumineux. Mes mamelons sont particulièrement saillants, gros et longs.
Je porte aussi des clochettes à mes grandes lèvres de ma chatte toutes lisses, pour pouvoir me repérer et les étirer, comme mes mamelons tendus. Chacune des prisonnières a un tintement cristallin particulier.

9 septembre
Je deviens serveuse seins nus, dans un luxueux complexe hôtelier. Je garde mes clochettes à mes mamelons et à mes grandes lèvres de ma chatte, sous un tablier blanc et mes mules à très hauts talons, coiffée d’une queue-de-cheval, avec mes carcans en cuir. Je porte un gros bijou d’anus, prête à me faire enculer, sucer, selon les envies des clients fortunés. Je suis même cravachée pour mes fautes, par les clients et la direction.
J’y reste la journée et je rentre le soir en prison, offerte à mes amants canins.

20 septembre
Cela fait un mois que je suis prisonnière, pute anale, docile, véritable chienne. Je suis officiellement marquée au fer rouge, sur mes fesses : V sur ma fesse gauche et O sur ma fesse droite et je porte à mes grandes lèvres, deux anneaux de fer mat inoxydable, avec un ressort intérieur qui les bloque de façon définitif. La tige en était ronde, épaisse comme un gros crayon de couleur, et ils sont oblongs : les maillons des grosses chaînes sont semblables. Chacun est formé de deux U qui s'emboîtent l'un dans l'autre. Chaque anneau est long comme deux phalanges du petit doigt, qu'on y peut glisser. A chacun est suspendu, comme un nouveau maillon, ou comme au support d'une boucle d'oreille un anneau qui doit être dans le même plan que l'oreille et la prolonger, un disque de même métal aussi large que l'anneau est long. Sur chacun, se trouvent les initiales de mes Maîtres, qui m’ont acheté aux enchères secrètes, avec mon nom, et au-dessous, un fouet et une cravache entrecroisés.
J’appartiens désormais à des inconnus. Mon anus reste encore un peu entrouvert, mais je sais qu’il peut s'ouvrir tout grand pour me faire enculer.
Je suis perverse.
Mais c’est le colonel Hermine qui décide de mon retour au baisodrome.
Après les dogues allemands, je suis conduite, juste vêtue de mon boléro et de ma jupe éventail, de mes mules, ma bouche fardée avec un rouge clair, un peu liquide, au pinceau, et qui fonce en séchant, ainsi que mes mamelons et mes aréoles de mes seins libres de mes clochettes et les petites lèvres de ma chatte, en soulignant la fente du giron. Je me suis poudrée le visage.
Non loin de la prison, se trouve un haras abritant des écuries. Dont le superbe Zéphyr, un magnifique trotteur français.
Nue, les mains jointes à mon cou, je le suce, juste au niveau du gland. Celui-ci sous les caresses labiales entre en érection.
Le colonel Hermine me fait pencher en avant, sur un chevalet, sous Zéphyr.
Hermine me prépare bien l'anus pour bien le lubrifier et le préparer à la monstrueuse intromission anale qui se prépare. Positionnant le gland du membre devenu moins dur sur sa rondelle, mon muscle cède. J’hurle de douleur, mais ne lâche rien.  S'étant habituée à cette grosseur, je reprends ma progression millimètre par millimètre en serrant les dents. Je suis empalée sur plus de vingt-cinq centimètres de bite de cheval et je commence à m'agiter doucement puis, mon anus se dilatant, accélère le mouvement mais m'arrête net en poussant un hurlement de douleur : le cheval, sous l'effet du coulissement sur sa queue, rebande. L'anus est tendu à la limite de la déchirure. Je ne bouge plus, mais pousse des cris de douleur qui bientôt s’éteignent. Je reprends alors mes va-et-vient sur le sexe monstrueux sur plus trente centimètres et j’hurle de plaisir.
Je dois sucer aussi d’autres hommes du haras, qui se vident dans ma bouche, j’avale tout.
Pendant ce temps, le cheval éjacule ce qui provoque un orgasme. Le sexe  débandé sort de mon anus rougi complètement distendu et ce qui libère un flot de sperme. Mais Hermine demande à Eclair des Haies, un pur-sang, de me saillir à nouveau.
Cette double saillie anale équine me met en un tel état d’excitation, que j’ai mal à mes mamelons et à mon clitoris tendus à l’extrême.
J’allais être une pute chevaline. Je passe quelques jours au haras, saillie par divers étalons équins et suçant les hommes, les clients.

20 octobre
Après l’alternance entre le haras et un chenil privé, offert à vingt-cinq chiens par jour, ferrée, marquée, avec ma bouche très bien dressée et soumise au fouet, je quitte la prison, nue sous mon boléro et ma jupe éventail et mes mules, fardée et parfumée. Le banquier Alban a du payer une importante caution pour ma remise en liberté. J’ai du sacrifier ma longue chevelure pour une coiffure à la garçonne, laissant deviner mon tatouage sur mon cou, C et S, tatoués à l’encre noire, en lettre gothique. Je ne porte plus mes carcans en cuir, mais je suis une pute anale, perverse, docile, nue sous mes vêtements. Je porte la bague sertie d’un petit anneau à l'annulaire gauche.
Je loge quelques jours dans la villa d’Alban. Je vis totalement nue, exhibant mes fers, mes fesses marquées au fer rouge et mon anus entrouvert. Alban me trouve plus désirable, avec ma taille affinée par le corset ou la guêpière seins que je porte souvent, pour mes sorties. La guêpière est tenue rigide par de larges baleines très rapprochées, courbées vers l'intérieur au ventre et au-dessus des hanches, sans jarretelles, qu'un busc, sur un côté derrière, permet de boucler et de déboucler. Par-derrière aussi, un large laçage se serre ou se desserre à volonté. Ma taille et mon ventre se creuser sous la pression des baleines, qui sur le ventre descendent presque jusqu'au pubis, qu'elles dégagent, ainsi que les hanches. La guêpière était plus courte par-derrière et laisse la croupe entièrement libre.
Ainsi, je suis facilement accessible pour me faire enculer, en relevant ma jupe éventail.

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