mardi 7 mai 2019

Je m’appelle Nathalie. J’ai 18 ans. Je suis une jolie beauté scandinave. Je suis une brune aux yeux verts. J’ai des pieds fins et latins, des jambes longues bronzées, musclées qui inquiètent par leur perfection. Mon pénil est bombé, ouvert, couronné de noir. Ma pilosité brune couvre mon pubis. Ma chatte est velue et j’ai une superbe croupe. Les lèvres de mon sexe sont une plaie rouge entre mon entrecuisse. Mes hanches s'incurvent et délimitent le ventre plat, délicieusement renflé autour du nombril, les hanches sont larges et rondes, mais sans lourdeur. La taille est affinée. Les seins parfaits intégralement bronzés sont un peu volumineux mais fermes, et leurs pointes marron clair, toujours dressées, cernées par une large aréole marron attirent le regard. J’ai une peau lisse et patine. Finition parfaite, un seul grain de beauté entre mes superbes seins. De longs cheveux plats blonds flottant comme des algues, battent mes épaules rondes et gracieusement athlétiques. Je suis intégralement bronzée. Mes yeux verts limpides s'allument, ma bouche charnue se fend. J’ai des sourcils bruns bien dessinés et des lèvres pulpeuses. J’ai de longs doigts fins et de belles mains. Je fais du 90B de poitrine, 56 de taille, 90 de hanches, 1,72 m. NATHALIE ET LE MYSTERIEUX MANOIR DU BARON


Je m’appelle Nathalie.
J’ai 18 ans.
Je suis une jolie beauté scandinave.
Je suis une brune aux yeux verts. J’ai des pieds fins et latins, des jambes longues bronzées, musclées qui inquiètent par leur perfection. Mon pénil est bombé, ouvert, couronné de noir. Ma pilosité brune couvre mon pubis. Ma chatte est velue et j’ai une superbe croupe. Les lèvres de mon sexe sont une plaie rouge entre mon entrecuisse. Mes hanches s'incurvent et délimitent le ventre plat, délicieusement renflé autour du nombril, les hanches sont larges et rondes, mais sans lourdeur. La taille est affinée. Les seins parfaits intégralement bronzés sont un peu volumineux mais fermes, et leurs pointes marron clair, toujours dressées, cernées par une large aréole marron attirent le regard. J’ai une peau lisse et patine. Finition parfaite, un seul grain de beauté entre mes superbes seins. De longs cheveux plats blonds flottant comme des algues, battent mes épaules rondes et gracieusement athlétiques. Je suis intégralement bronzée. Mes yeux verts limpides s'allument, ma bouche charnue se fend. J’ai des sourcils bruns bien dessinés et des lèvres pulpeuses. J’ai de longs doigts fins et de belles mains. Je fais du 90B de poitrine, 56 de taille, 90 de hanches, 1,72 m.

Je m’appelle Nathalie.
J’ai 18 ans.
Je suis une jolie beauté scandinave.
Je suis une brune aux yeux verts. J’ai des pieds fins et latins, des jambes longues bronzées, musclées qui inquiètent par leur perfection. Mon pénil est bombé, ouvert, couronné de noir. Ma pilosité brune couvre mon pubis. Ma chatte est velue et j’ai une superbe croupe. Les lèvres de mon sexe sont une plaie rouge entre mon entrecuisse. Mes hanches s'incurvent et délimitent le ventre plat, délicieusement renflé autour du nombril, les hanches sont larges et rondes, mais sans lourdeur. La taille est affinée. Les seins parfaits intégralement bronzés sont un peu volumineux mais fermes, et leurs pointes marron clair, toujours dressées, cernées par une large aréole marron attirent le regard. J’ai une peau lisse et patine. Finition parfaite, un seul grain de beauté entre mes superbes seins. De longs cheveux plats blonds flottant comme des algues, battent mes épaules rondes et gracieusement athlétiques. Je suis intégralement bronzée. Mes yeux verts limpides s'allument, ma bouche charnue se fend. J’ai des sourcils bruns bien dessinés et des lèvres pulpeuses. J’ai de longs doigts fins et de belles mains. Je fais du 90B de poitrine, 56 de taille, 90 de hanches, 1,72 m.

NATHALIE ET LE MYSTERIEUX MANOIR DU BARON
 
 
15 mai

Je suis une cavalière émérite. Lors de mes seize ans, mon frère Brice m’a accidentellement déflorée et m’a fait découvrir mes premiers orgasmes avec un vrai sexe. Je suis adepte des godes pour satisfaire ma chatte en feu, tout en caressant mon clitoris tendu, ainsi que mes mamelons tendus sous l’excitation. Je rêve de mon amant imprécis, qui me baisera tendrement puis violemment, musclé, bien monté, tout me sachant capricieuse, mon dieu de tous les plaisirs.
Cet après-midi là, après ma promenade avec Alizé, mon cheval favori, je rejoins mon box, pour la toilette.
Je suis intriguée par l’érection d’Alizé.
Un bel homme, du double de mon âge, un ami du directeur du centre équestre, me surprend, svelte et sportif.
- Je suis le Baron Damien de Saint Mon Plaisir, propriétaire du Domaine des Biches, qui est mitoyen.
Le Baron guide ma main vers le sexe en érection.
- C’est la première fois que tu vois un sexe en érection.
Je n’ose répondre, faisant la timide. Mais mon pantalon trempé, lui signifiait que je mouille de désir.
Il me fait engouffrer l'énorme gland dans ma bouche et je le suce, comme me l’a appris Brice. Damien baisse son pantalon et me dévoile son mandrin en érection, quarante centimètres et sept de diamètre.
Je quitte le sexe d’Alizé pour Damien, que je suce.
Je continue à masturber le sexe d’Alizé. J’ai le mandrin de Damien au fond de ma gorge.
Alizé éjacule dans ma main et Damien éjacule dans ma bouche.
Malgré l’érection un peu dure d’Alizé, je me glisse toute nue sous Alizé, Damien m’écarte bien la chatte trempée. Alizé est excité, lorsqu’il me baise. Il rebande et Damien me fait à nouveau sucer. Je connais un violent orgasme.
Puis sans attendre, profitant que je sois toute nue, dans la paille, pantelante.
Il me fait prosterner, cuisses écartées. Il enduit discrètement mon anus du sperme d’Alizé et m’encule d’une seule traite, jusqu’aux testicules. Il est en appui sur ses jambes.
- Tu es vierge de l’œillet, ma belle. Pousse pour te relaxer.
Je me caresse mon clitoris tendu, tout en étant enculée, vigoureusement.
- Ca commence à te plaire.
Je m’empale sur lui.
Il éjacule longuement en moi.
- Ca y est, tu n’es plus une vierge anale.
- Merci, Damien, je n’ai connu pareil plaisir.
- Venez au Domaine, tu vas apprendre beaucoup.
Je mets quelques minutes à reprendre mes esprits. Dans un demi-sommeil, je sens le mandrin redevenu flasque de Damien qui sort de mon logement. Mon anus s’est peu à peu refermé. Je sens la langue de mon dépuceleur qui me nettoie l’anus.
Je me rhabille, l’anus rempli par un bijou d’anus.
Il est très beau, il est en aluminium brillant orné par un magnifique cristal rose à son sommet : c’est ce cristal rose qui est visible entre mes fesses une fois qu’il est introduit dans l’anus. Il est très doux et très petit, il peut facilement être porté pendant toute la journée, il me provoque une délicieuse excitation anale permanente. Il mesure cinq centimètres de long et trois de diamètre pour 34 grammes. Sa forme en sapin  et sa large base me garantissent un excellent maintien dans l’anus. La section qui relie les deux extrémités est très fine et douce afin de laisser l’anus se refermer dessus sans gêne La tige de la taille de l’auriculaire sert de support lorsque le sphincter se referme.
Détendue, quand il le pousse doucement sur la pastille anale et j’avale la partie charnue. Mon anus se resserre autour du bijou d’anus, pour entretenir l'élasticité de l'anus. En contractant, j’avance le bijou d’anus contre ma chatte et stimule ma chatte. Mon anus est ainsi dilaté, pour des sodomies, plus faciles et moins douloureuses.
Je reprends mon vélo pour rentrer chez moi, à une demi-heure de là.
Tout en pédalant, je connais un violent orgasme, par le frottement de mon pantalon sur la selle. Je dois m’arrêter et glisser ma main sous mon pantalon et mon slip trempé, pour me faire jouir.
De retour à la maison, je retrouve mon frère Brice. Je me déshabille, me douche, la porte de la salle de bains entrouverte. Brice aime me regarder nue sous la douche, me masturbant.
- Tu es plus excitée que les autres jours, Nathalie.
- Oh oui, j’ai la chatte en feu. Caresse-moi.
Son long baiser sur ma bouche, mes mamelons tendus, mon clitoris tendu et sur les lèvres humides de ma chatte, me conduisent à un violent orgasme, accentué par le plaisir du au bijou d’anus.
Brice ne prête pas attention au cristal rose entre mes fesses.
Nue, je m’allonge sur le dos, devant mon grand miroir, cuisses écartées, tout en lisant l’enveloppe que m’a remise Damien, avec le sceau du Domaine des Biches « un fouet et une cravache entrecroisés au-dessus d’un O ».
Désormais, tout dessous t’est interdit. Tes seins doivent être nus et libres, tout comme ta chatte, ton entrejambe ne doit être dissimulée, sous des jupes ou des robes mais à la condition qu'en aucun cas elles ne soient plus longues que le milieu de tes cuisses. Tu restes pieds nus dans tes chaussures à talons. Le Domaine va t’apprendre à te farder et à te parfumer. Surtout, tu dois jamais te dérober, les lèvres de ta bouche restent entrouvertes, les cuisses toujours écartées, pour donner libre accès à ta bouche, ta chatte et ton oeillet. Tes yeux restent fixés sur le mandrin à découvert, pour le sucer. Tu es contrainte.
Je suis un peu surprise.
J’ouvre ma commode et je découvre ma collection de godes, dont certains que je n’ai jamais encore utilisés.
Je prends un double gode très réaliste, avec deux têtes phalliques et deux corps veinés ultra réalistes. Les glands sont parfaitement modélisés. Ma chatte est remplie par un gode de quinze centimètres de long et quatre de diamètre et mon anus par onze et trois de diamètre.
Je me retire le bijou d’anus et je découvre un double orgasme en faisant coulisser ce double gode. Je mouille abondamment, j’ai un peu mal aux hanches, au clitoris tendu à l’extrême. J’enchaîne les positions, sur le dos, sur le ventre, agenouillée, cuisses écartées, pour me regarder me faire jouir.
Pantelante, je m’endors, fantasmant sur Alizé et Damien.
Après le souper, j’attends nue Brice, j’ai mis mon bijou d’anus en place.
Lorsque Brice me baise, à quatre pattes, sur le lit, j’éprouve de voluptueuses sensations et je connais de violents orgasmes. Brice ne remarque même pas mon bijou d‘anus.
Sous la douche, je me laisse caresser et je connais un nouvel orgasme violent, en contractant mon anus.
Je dors nue, en me masturbant longuement, connaissant plusieurs orgasmes. Je suis toute mouillée.

16 mai
Vers huit heures, j’émerge. Je déjeune, me douche.
Je choisis un chemisier blanc sur mes seins nus et libres, aux mamelons tendus par mes caresses, une jupe fuchsia ample couvre mes fesses nues, je garde mes jambes et mes pieds nus. Je me chausse d’escarpins blancs à hauts talons et je me coiffe d’une queue-de-cheval et me maquille.
Cette sensation de nudité sous ma tenue, m’excite, mon clitoris se tend lui aussi. Je mouille de désir.
Une limousine m’attends devant la maison.
Un bel Apollon musclé brun, un peu plus âgé que moi, me fait monter à l’arrière. Je dois relever ma jupe pour exhiber mes fesses et mes jambes nues, qui plaisent à Nathan. Je garde mes yeux baissés et ma bouche entrouverte, pour lui montrer que je le respecte.
- Superbes fesses, Miss Nathalie, de belles jambes musclées, le Baron a fait un excellent choix.
Une fois assise, sur la banquette est en moleskine, glissante et froide, je la sens coller à mes cuisses.
Nathan s’assoit à mes côtés, déboutonne mon chemisier. J’offre mes seins nus et libres. Il me pelote les seins, étirant mes mamelons tendus.
- Superbes seins, bien galbés, des mamelons tendus, tu es toute excitée. Tu te montres docile, Désiré, le chauffeur sait te satisfaire.
Il me met un bandeau sur les yeux et il me fixe des bracelets à mes poignets. Ils sont faits : en plusieurs épaisseurs de cuir (chaque épaisseur assez mince, au total pas plus d'un doigt), fermées par un système à déclic, qui fonctionne automatiquement comme un cadenas quand on le ferme et ne peut s'ouvrir qu'avec une petite clef. Dans la partie exactement opposée à la fermeture, dans le milieu des épaisseurs de cuir, et n'ayant, presque pas de jeu, il y a un anneau de métal, qui donnait une prise sur le bracelet, si on veut le fixer, car il est trop serré au bras, bien qu'il y a assez de jeu pour ne pas du tout blesser, pour qu'on y peut glisser le moindre lien.
Aveugle, menottée, je reste silencieuse.
Le trajet dure une éternité.
Dans une allée forestière, à proximité du Domaine des Biches, la limousine s’arrête.
On me fait descendre. On glisse ma jupe et je me retrouve offerte, penchée en avant, les mains dans le dos.
On me retire le bijou d‘anus. On me lubrifie l’anus.
Puis soudain, je sens un mandrin long de trente et un centimètres et huit de diamètre en érection, m’enculer jusqu’aux testicules, qui claquent contre mes fesses.
Je gémis un peu, mais le plaisir anal m’envahit. Des mains caressent mes seins, jouant avec mes mamelons tendus et d’autres mains m’écartent bien les fesses, brûlantes par les claques magistrales. De temps à autre, on caresse mon clitoris tendu. Je connais un violent orgasme anal, largement inondée de spermes.
L’inconnu se retire, on me remet le bijou d‘anus en place.
Accroupie, cuisses écartées, je suce l’inconnu, tandis qu’une autre voix commente :
- Elle aime la queue de Désiré, cette soumise.
- Je vais encore éjaculer, dans sa bouche. Avale, Miss Nathalie.
J’obéis.
L’Apollon veut sa part.
Je me retrouve à nouveau enculée, sur un mandrin long de vingt-cinq centimètres et six de diamètre, agenouillée en sa compagnie. Mon dos contre son buste musclé, il me pelote les seins, me doigte la chatte trempée, masturbe mon clitoris tendu. Je sens ses testicules.
Désiré me prend par devant, pour une double pénétration.
Je me sens plus excitée par ses deux mandrins qui me remplissent, me rappelant mon double gode.
Je connais un double orgasme, doublement remplie.
- La soumise a eu son compte, dit Désiré. Carl, elle aime ça se faire enculer.
- Oh oui, le Baron l’a bien ouverte, mais encore assez à mon goût.
Je me rassois, pantelante, sans ma jupe, aveugle, menottée.
La limousine s’arrête ensuite devant la grille. On m’aide à descendre, toujours menottée dans le dos. On me fixe mon collier à mon cou, l'anneau pend devant le cou, reposant sur la saillie des clavicules, et brinquebale au rythme des mouvements de celui qui le porte.
Je marche dans les graviers de l’allée. J’entends des chevaux hennir et des chiens aboyer. Une longue chaîne est attachée à l’anneau de mon collier. Je suis l’inconnu. L’air frais sur mes mamelons et mon clitoris, provoque une excitation énorme, après l’application d’une mystérieuse crème. Je découvre la frustration et la douleur que cela procure en plus de la douleur provoquée par le fait que mes mamelons et mon clitoris soient constamment tendus. Mes mamelons et mon clitoris sont complètement tendus et très dur au point de me faire vraiment mal tellement ces endroit sont devenus sensibles.
Un chien vient me lécher la chatte et je jouis immédiatement.
- Tu auras l’occasion de te faire jouir avec tes amants, me susurre une voix masculine. Tu es très en beauté, ma chérie.
Après un quart d’heure de marche dans les graviers, je monte des marches en pierre, franchit un hall d’entrée. On me déchausse. Je marche pieds nus sur le marbre glacé. Je monte un escalier. On me retire mon chemisier, pour que je sois totalement nue, toujours aveugle et menottée dans le dos.
On caresse mes seins, mes fesses, on m’embrasse langoureusement. Je ne sais combien d’inconnus s’occupent de moi.
Une porte s’ouvre et on me retire la longue chaîne à mon collier. Je reste seule nue, ayant recouvré la vue, dans une grande pièce entièrement recouverte de glaces et de miroirs sans tain. Je suis à la fois excitée et curieuse.
Deux jeunes femmes entrent par un grand miroir qui est en partie futé sur une porte.
Elles portent elles aussi des carcans de cuir, une robe à corselet seins nus, aux mamelons percés d’anneaux dorés, la jupe est largement ouverte par devant juste au-dessus du pubis totalement lisse, tout comme la chatte aux grandes lèvres percées de trois anneaux dorés sur chacune des lèvres. Elles sont fardées, leurs bouches fardées avec un rouge clair, un peu liquide, appliqué au pinceau, et qui fonce en séchant et leurs mamelons et leurs aréoles du même rouge et les petites lèvres de leurs chattes, en soulignant la fente du giron. Elles sont coiffées d’un chignon et sont chaussées de mules à très hauts talons. Un sergent, nu sous sa veste, botté, ganté, cagoulé, les escorte. Je regarde le mandrin bandant dans sa gaine à picots.
- Voici, Miss Nathalie, la nouvelle invitée du Baron, elle sera bien soumise. N’est-ce pas Jouisseuse Danoise et Anale Canine ? Préparez-la pour la présentation. Quant à moi, tu restes sage et docile.
J’entre dans une luxueuse salle de bains, entièrement recouverte de miroirs et de glaces sans tain sur les murs et au plafond.
Avant de prendre mon bain, je dois m’asseoir sur le bidet, courbée en avant. On me savonne l’anus, libre du bijou d’anus. Puis on m’enfonce une canule, montée à l'extrémité du flexible de la douche, par laquelle je suis aspergée d'eau tiède. Cuisses écartées, devant le miroir, les yeux baissés, je me retiens de jouir et de me masturber, tenter par ce lavement.
L’anus propre, j’entre dans la baignoire transparente. Je dois m’accroupir, cuisses écartées, les bras tendus en l’air, menottée à un crochet au-dessus de ma tête par le sergent, qui reste en notre compagnie. Jouisseuse me frotte le dos et les fesses, Anale me savonne les seins, la chatte, le clitoris. Je reste les yeux baissés, me retenant de jouir. On me lave aussi les cheveux, que l’on rince tout comme mon corps à l’eau froide. Mes mamelons et mon clitoris sont tendus à l’extrême et me font mal.
Je m’assois dans un grand fauteuil d’un coiffeur, cuisses écartées, les yeux baissés, libre. Le sergent m’écarte bien les fesses et je sens un gode m’enculer. Il mesure vingt-quatre centimètres et quatre de diamètre, au corps veiné, doux comme de la peau, son gros gland bien dessiné. Son prépuce qui glisse le long du gland, doté d’un va et vient.
Et comme il y a en face de lui une haute glace que n'interrompait aucune tablette, je me vois ainsi, chaque fois que mon regard rencontre mon reflet, exposé.
Je coulisse sur le gode, tandis mes paupières sont légèrement ombrées, ma bouche très rouge, mes mamelons et l'aréole de mes seins rosies, le bord des lèvres de ma chatte rougi, du parfum longuement passé sur mes aisselles lisses et ma toison pubienne, dans le sillon entre les cuisses, dans le sillon sous les seins, et au creux des paumes.
Le sergent me désire.
Je rejoins une pièce où un miroir à trois faces et un quatrième miroir au mur permettent de me bien voir.
« Alors la belle dame », dit le sergent. Et il me saisit les deux mains. Il fait glisser l'un dans l'autre les deux anneaux de ses bracelets, ce qui me joint étroitement les poignets, et ces deux anneaux dans l'anneau du collier. Je me trouve donc les mains jointes à la hauteur du cou, allongée sur le pouf de fourrure, au milieu des miroirs, et d'attendre. Il y a un tapis au sol. La pièce possède une grande fenêtre qui donne sur un beau parc.
L’anus encore béant par les va-et-vient du gode, est rempli par le mandrin gainé de picots.
Il m’ouvre complètement les cuisses, me saisit par les chevilles, je suis pieds nus. Jambes tendues, je le subis, les reins soulevés, pour une sodomie violente, il entre et sort de mon anus. Je gémis un peu. Un lieutenant bien monté, me fait sucer son mandrin bien dur, habillé comme le sergent.
- Elle aime ça, se faire enculer. Son bassin ondule.
- Elle sait sucer, la belle.
Avant mon orgasme anal, le sergent se retire et je dois le sucer, tandis que le lieutenant me relève complètement les cuisses, bloquées par les cuisses du lieutenant. Il m’encule en traction. Il a mis aussi une gaine à picots.
A peine remise de mes sodomies avec les picots, les deux hommes me caressent la chatte, l’anus et les seins.
- Elle va prendre vite goût, son œillet est un peu serré.
Je me restaure seule, agenouillée, cuisses écartées, les mains libres, empalée sur le gode de vingt-quatre centimètres et quatre de diamètre, au corps veiné, doux comme de la peau, son gros gland bien dessiné. Son prépuce qui glisse le long du gland, doté d’un va et vient, qui m’encule.
Mon anus doit rester béant et lubrifié.
Une main invisible me tend les plats par un guichet.
Enfin, le dîner fini, les deux femmes reviennent me chercher. Un capitaine les accompagne, nu, sous sa cape, bien monté, cagoulé, ganté.
- Penche-toi, pour que je t’honore.
Je me penche en avant, les mains au sol. Il m’écarte bien les fesses et m’encule jusqu’aux testicules, qui claquent contre mes fesses brûlantes par les claques magistrales. Il masturbe mon clitoris tendu à l’extrême.
- Tu es bien ouverte, retiens-toi de jouir.
Il éjacule sur mes fesses.
Je chausse mes mules à très hauts talons, avec un nouveau bijou d‘anus. Il mesure dix-huit centimètres, en pyramide, jusqu’à sept centimètres de diamètre. J’ai un peu mal.
Dans le boudoir, le capitaine fixe ensemble, derrière mon dos, les deux anneaux de mes bracelets. Une femme avance devant moi et ouvre les portes, l'autre me suit et les referme. Nous traversons un vestibule, deux salons, et pénétrons dans la bibliothèque, où quatre hommes prennent le café. Ils portent des capes, mais aucun masque.
On me met un masque de nuit pour m’aveugler.
Deux mains descendent le long de mes fesses après avoir vérifié l'attache des bracelets : elles ne sont pas gantées, et je suis doublement doigtée. Je me retiens de jouir, l’anus libre.
Une main me prend un sein, une bouche saisit le mamelon de l'autre.
Allongée sur le dos, mes mollets posés sur les épaules d’un des hommes, je suis sauvagement enculée, par sa gaine à picots, juste assez pour ne pas me faire jouir, ma bouche suce un autre inconnu.
Puis je me retrouve agenouillée, cuisses écartées, fléchie un peu en arrière, à demi assise sur les talons.
- Elle n’a jamais été attachée et fouettée. Elle doit y prendre plaisir, jusqu’aux larmes.
On me remet à genoux, mais cette fois le buste reposant sur un pouf, toujours les mains au dos, et les fesses plus haut que le torse,
Le premier m’encule, en étreignant ma taille avec ses bras, avec sa gaine à picots, jusqu’aux testicules qui claquent contre mes fesses. Il me caresse les seins aux mamelons tendus et le clitoris tendu. J’ondule mes fesses tendues, tout en subissant ses coups de mandrin profondément.
Le second m’encule aussi, écarte mes fesses bien rebondies, saisie à la taille, pour coulisser sur son gros mandrin, par rapport au premier. Il s’agrippe à mes hanches.
Le troisième m’encule, allongée sur le côté, sur le divan. Il me caresse les seins, la chatte pour mon plaisir et caresse mon clitoris tendu.  il m’encule longuement et lentement. Il possède un peu plus gros que le second.
Le quatrième m’encule dans la même position.
Je suis remise à genoux, le buste sur le pouf.
Un nouveau sexe long de vingt centimètres et six de diamètre me remplit l’anus jusqu’au nœud. Je gémis un peu, mais les vingt minutes de saillie canine deviennent un vrai plaisir, avec quatre orgasmes anaux. Je nettoie même le sexe.
Sans mon masque, je découvre une grande pièce entièrement recouverte de glaces et de miroirs sans tain. Un superbe doberman est assis, le sexe encore un peu en érection, entouré par deux hommes. Un m’encule à nouveau, je suis allongée sur le côté, sur le divan, me caresse un sein, au mamelon tendu à l’extrême. J’ai toujours les mains menottées dans le dos.
Mais tous quatre m’ont prise.
- Tu vois les visages de ceux qui te violent ou te tourmentent, mais jamais la nuit, et tu ne connais jamais quels sont les responsables du pire. Que lorsqu'on te fouette, c’est pareil, sauf qu'on veut que tu te vois fouettée, qu'une première fois sans ton masque, mais qu'eux mettent leurs masques, et que tu ne les distingue plus. Hadès a fait un excellent travail, pour t’ouvrir un peu plus.
- Oui, dit l’homme qui m’encule. Son œillet est un peu plus ouvert.
On me montre la cravache, qui est, longue et fine, de fin bambou gainé de cuir,; le fouet de cuir est long, fait de six lanières terminées par un noeud ; il y a la garcette de cordes assez fines, qui se terminent par plusieurs noeuds, et qui sont toutes raides, trempées dans l'eau, on m’en caresse le ventre, la chatte, entre mes cuisses que j’écarte et l’intérieur de mes cuisses, je sens combien les cordes sont humides et froides.
J’ai droit à mon orgasme anal.
Déchaussée, je suis menottée à une Croix de Saint-André.
D’abord de face, les yeux baissés, je suis fouettée, sur les cuisses.
Puis de dos, je suis fouettée sur les fesses.
Je crie et je pleure, la bouche libre, mais quand je reprends haleine, on recommence, jugeant des traces plus ou moins vives ou durables, que les fouets laissent sur ma peau.
On commence avec la garcette, puis la cravache.
Une fois, mes fesses bien zébrées et brûlantes, un des hommes m’encule, en m’écartant les fesses.
- Son œillet n’est pas encore assez élargi. Le César va bien l’élargir.
L’anus encore béant et humide du sperme d’Hadès, je sens le gland volumineux et les veines, ses va-et-vient. Il mesure vingt-trois centimètres et six de diamètre.
Aux trois petits trous percés dans la base, trois chaînettes qu’il accroche, à l’étroite ceinture autour de ma taille, une par derrière qui suit le sillon des fesses, et les deux autres par-devant, qui longent le pli des aines en contournant le triangle pubien. On les ajuste au plus court, de façon que le mouvement intérieur des muscles ne peut repousser le César et permettre de se resserrer à l'anneau de chair qu'il doit forcer et distendre, et on les attache avec de petits cadenas, pour s'assurer que, lorsque je suis seule, je ne peux me soulager de cette contrainte. Les va-et-vient provoquent l’ondulation de mon bassin.
- Elle a adopté le César.
On me détache, chancelante et presque évanouie, pour me donner les consignes.
Devant moi, une des femmes, écarte sa jupe et se fait enculer par un des hommes, avec une gaine à picots. Je dois m’accroupir, cuisses écartées et lécher la femme qui se fait enculer.
 « Tu te prêtes au premier venu, contrainte. Les lèvres toujours entrouvertes, les cuisses écartées, pour nous offrir ta bouche, ta chatte et ton oeillet. Tu es fouettée qu'entre le coucher et le lever du soleil. Tu es fouettée le soir pour manquement à la règle dans la journée : c'est-à-dire pour avoir manqué de complaisance, ou levé les yeux sur celui qui te parle ou te prend : tu fixes nos queues que tu suces. La nuit, tu es nue, cuisses écartées, les mains dans le dos. Tu es fouettée les yeux bandés, chaque jour, pour ton instruction. A ta sortie, tu portes un anneau de fer à l'annulaire, qui te fait reconnaître : tu sais obéir à eux qui portent ce même signe - eux savent à le voir que tu es constamment nue sous ton vêtement, et que c'est pour eux. Ceux qui te trouvent indocile te ramènent ici. On va te conduire dans ta cellule. »
Je me lève, je me sens pas d'aplomb sur les mules à semelles surélevées et très hauts talons qu'une bande de satin épais, empêche seule d'échapper au pied.
Un autre doberman est présent. Il se prénomme Hannibal.
Je dois me mettre à quatre pattes, sur le champ, les bras tendus pour que mes fesses bien rebondies, puissent l’accueillir.
Un des hommes me libère de César.
Il m’encule longuement jusqu’au nœud, qui m’écartèle. Je le sens gicler presque aussitôt dans mon anus, mais Hannibal reste un moment dans sa position et gicle à nouveau. Il ne me libère qu'après avoir largué cinq salves de sperme. J’ai quatre violents orgasmes anaux.
L’anus béant et dégoulinant de sperme, léché par Hannibal et Hadès. Je jouis.
L’homme me remet le César en place, sans difficultés.
Je suce Hannibal et Hadès, comme une vraie chienne soumise. Ils éjaculent à nouveau dans ma bouche.
On me relève, un orgasme anal m’irradie.
Je rejoins l’aile des chiennes soumises.
Les deux femmes la relèvent, et cette fois on m'emmène.
Les mules claquent sur les carrelages rouges des couloirs, où des portes se succédaient, discrètes et propres, avec des serrures minuscules.
 - Tu es dans l'aile des chiennes soumises, et ton valet s'appelle Sergent Sacha.
- Quel valet ? dis-je saisie par la douceur de la voix, et comment t’appelles-tu ?
- Je m'appelle Anale Canine.
- Et moi Jouisseuse Danoise », dit la seconde.
- C'est le valet qui a les clefs, qui t’attaches et te détaches, te fouettes quand tu es punie et quand on n'as pas de temps pour toi.
- J'ai été dans l'aile des chiennes soumises l'année dernière, dit Jouisseuse Danoise, Sergent Sacha y était déjà. Il vient souvent la nuit ; les valets ont les clefs et dans les chambres qui font partie de leur section, ils ont le droit de se servir de nous.
Sergent Sacha est un bel étalon musclé, brun, vêtu d’un gilet sur son torse nu, le mandrin nu, dans une gaine à picots, botté et porte à la ceinture un fouet à lanière de cuir. Il tient en laisse un superbe Danois, arlequin, qui me lèche la chatte.
- Oui, Lancelot, elle est pour toi, ce soir. Allez, la belle, tu vas le sucer, pendant que je t’encule.
Le sexe de Lancelot grandit jusqu’à vingt centimètres de long et six de diamètre.
L’anus libre, allongée sur le dos, les cuisses relevées et bloquées par les cuisses du Sergent Sacha, je suis sauvagement enculée. Lancelot bande dans ma bouche.
Le Sergent Sacha se retire, l’anus bien ouvert. Il me renverse en arrière, les genoux sur mes épaules pour Lancelot puisse m’enculer jusqu’à l’éjaculation, jusqu’au noeud. Je connais de violents orgasmes anaux.
Une fois Lancelot retiré, Sergent Sacha me remet le César en place.
Il sort un passe de sa poche de gilet, ouvre la porte et nous escortent, avec Lancelot.
La cellule comprend une antichambre menant à la cellule et une baignoire encastrée dans le plancher, entièrement entourée de glaces et de miroirs sur les murs et au plafond. Il y a juste un chevalet au centre de la cellule et une Croix de Saint-André, avec un tapis au sol.
En face de la porte il y a la fenêtre.
Nue, je me glisse dans mon bain, accroupie, cuisses écartées, une canule m’inonde d’eau froide l’anus. Mes bras sont tendus en l’air, je suis menottée à un crochet, pour éviter que je me masturbe. Je suis masturbée par les deux femmes et je me retiens de jouir, sous le jet d’eau froide.
- Nous venons te chercher demain matin. 
Anale Canine sourit en partant, et Jouisseuse Danoise, avant de la suivre, caresse, un de mes mamelons tendus à l’extrême, je reste debout au pied du lit, interdite. A la réserve du collier et des bracelets de cuir, que l'eau a durcis quand je me suis baignée, et qui me serrent davantage, je suis nue.
« Alors la belle dame »
Il me menotte au chevalet. Je suis solidement immobilisée dans cette posture dégradante, le postérieur plus haut que la tête. Mes bras sont fixés le long des pieds avant, mes jambes le long des pieds arrières, et une large sangle m'est passée au niveau de la taille. Mes cuisses, légèrement fléchies sont empêchées de se resserrer par la largeur de la poutre, ainsi d'ailleurs mes fesses que je me peux refermer. Toute mon intimité est ainsi très accessible et on peut me faire tout subir.
Il examine l'entrebâillement de mes cuisses. Mes mamelons tendus à l’extrême sont emprisonnés dans des pinces à seins, pour sensibiliser les seins et les mamelons. La clochette en métal fixée par un anneau s'anime au moindre mouvement, émettant un tintement cristallin. J’en porte aussi aux grandes lèvres de ma chatte humide. Il éteint  la lumière, qui est une applique entre les deux portes, et sort. Je ne peux toucher mes propres genoux, ni ma chatte, dont mes lèvres me brûlent, me sont interdites, et me brûlent peut-être parce que je les sais ouvertes à qui veut : au valet Sergent Sacha, s'il lui plait d'entrer.
A plusieurs reprises, Hadès, Hannibal et Lancelot m’enculent jusqu’au nœud. Je ne compte plus mes orgasmes anaux. Je sens que mon anus s’assouplit.
Aux dernières heures de la nuit, quand elle est plus noire et plus froide, juste avant l'aube, Sergent Sacha revient. Il me libère du chevalet, l’anus libre, dégoulinant de spermes canins et me met de face à la Croix de Saint-André, pour me cravacher le travers des fesses, à toute volée. Il recommence quatre fois, en prenant soin de cingler chaque fois ou plus, haut ou plus bas que la fois précédente, pour que les traces soient nettes. Puis il me met dos à la Croix de Saint-André, pour me cravacher le devant des cuisses. Le tout a duré cinq minutes.
Il détache et me menotte, debout, les cuisses écartées, bras tendus, le César remis en place, à un crochet suspendu dans la main d’uns statue d’un superbe Apollon nu, au gros mandrin.
La grande fenêtre, vers laquelle je suis tournée, est orientée vers l'est, et va du plafond au sol, sans aucun rideau. Je regarde naître une lente aurore, qui traîne ses brumes. Devant la fenêtre, il y a une pelouse, au bout de la pelouse une allée. Il faisait grand jour et depuis longtemps je ne bouge plus.
Un jardinier m’aperçoit et regarde mes marques de la cravache sur mes cuisses. Les balafres sont gonflées, et forment des bourrelets étroits.

17 mai
Aucune femme n'a les clefs, ni celles des portes, ni celles des chaînes, ni celles des bracelets et des colliers, mais tous les hommes portent à un anneau les trois sortes de clefs qui, chacune dans leur genre, ouvraient toutes les portes, ou tous les cadenas, ou tous les colliers.
Les sergents les ont aussi. Mais, au matin, les sergents qui ont été de service la nuit dorment, et c'est l'un des maîtres ou un autre sergent qui vient ouvrir les serrures.
L’homme est un major, habillé d’un blouson de cuir sur son torse nu, le mandrin en érection, portant des anneaux aux testicules, botté.
Il me retire le César, offrant mon anus bien rougi et béant.
Il me détache les poignets, m’allonge sur le tapis, sur le dos. Il me relève et me bloque les cuisses, par ses cuisses, en traction contrôlée. Il m’encule jusqu’aux testicules.
Le doberman, Conan, attend, assis, le sexe en érection.
Le major n’éjacule en moi, il me fait sucer, tandis que Conan m’encule jusqu’au nœud. Je garde la même position.
Je suis doublement inondée.
L’anus encore béant, je dois subir aussi Lancelot, tout en suçant Conan.
Pantelante, le César remis en place, je me lève, l’anus alourdi par le sperme canin.
- Tu es une bonne chienne.
Anale Canine et Jouisseuse Danoise, sont entrées avec lui, et qui attendent debout lit. Sur quoi il s'en va.
Jouisseuse Danoise tire vers le chevet une table roulante qui a été amenée dans le couloir et porte du café, du lait, du sucre, du bain, du beurre et des croissants.
« Mange vite, dit Anale Canine, il est neuf heures, tu peux ensuite dormir jusqu'à  midi, et quand tu entends sonner il est temps de t’apprêter pour le déjeuner. Tu te baignerez et tu te coiffes, je viens te farder
- Tu n’es de service que dans l'après-midi, dit Jouisseuse Danoise, pour la bibliothèque servir le café, les liqueurs et entretenir le feu.
- Mais vous ? dis-je
- Ah ! nous sommes seulement chargées de toi pour les premières vingt-quatre heures de ton séjour, ensuite te sois seule et tu n'as affaire qu'aux hommes. Nous ne pouvons pas te parler, et vous non plus à  nous.
- Restez, dis-je, restez encore, et dites-moi... »
Deux inconnus entrent, tous les deux nus, leurs mandrins en érection.
Les deux femmes disparaissent, sans autre bruit que le crissement de la soie lorsqu'elles relèvent leurs jupes (toutes les jupes traînaient un peu) - sur les tapis les mules ne s'entendent pas.
Je reste debout. Le brun, musclé, me caresse mes fesses balafrées, tout en m’embrassant langoureusement.
- Le César, plus les assauts d’Hadès, Hannibal et Lancelot vont bien t’élargir l’œillet.
J’ondule mon bassin, prise d’un orgasme anal.
Le blond, aux seins plantureux, au gros mandrin, mon premier transsexuel, me susurre :
- Elle vient de jouir avec le César.
Les yeux baissés, la bouche entrouverte, je me laisse caresser les seins, libérés de mes clochettes et mes fesses par le blond.
Petits seins, fesses musclées, tous les critères requis pour une belle soumise, elle est prête à tous les désirs.
Le brun me retire le César, pour enfoncer trois doigts dans mon anus béant et lubrifié par le sperme canin. Il me soutient debout, appuyée du dos contre lui qui est debout aussi. Son bras droit entoure ma taille, tandis que le blond enfonce son gros mandrin, long de trente-deux centimètres et six de diamètre dans ma chatte, aux grandes lèvres étirées par les clochettes, tout en masturbant mon clitoris tendu davantage par la crème sur ses doigts.
- Sa chatte est brûlante.
- Tout comme son œillet bien chaud.
Je me retiens de jouir.
J’entoure avec mes jambes, le transsexuel qui me baise et le brun me soutient une partie de mon poids et m’encule.
Celui qui m’encule, s’allonge sur le dos, pour que je m’encule davantage. Ma chatte ne reste pas libre longtemps. Mes mains jointes dans mon dos, je suce le transsexuel jusqu’à l’éjaculation.
Hadès me défonce la chatte jusqu’au nœud, dans cette seconde double pénétration.
Je connais quatre orgasmes avec Hadès.
Doublement inondée dans ma chatte et mon anus, plus ma bouche, je suis pantelante.
A peine le brun s’est retiré, qu’il me fait prosterner, pour qu’Hadès m’encule et je connais de nouveau orgasmes anaux plus violents.
L’anus béant et dégoulinant de spermes, on m’installe mon nouveau gode : Eros, un gode long de vingt-quatre centimètres de long et huit de diamètre, veiné, avec un va-et-vient. J’ai un peu mal.
Je me baigne avec, devant le brun, qui me regarde, les mains libres, cuisses écartées. L’eau tiède me fait frémir sur les fesses.
- Tu es une belle soumise, le Baron a fait un bon choix.
Je me coiffe, me farde la bouche, non mes yeux, me poudre, et toujours nue, mais les yeux baissés, revient dans la cellule.
Jouisseuse Danoise, a les yeux baissés, muette elle aussi.
Je reste nue, pour montrer ma ceinture et mes chaînettes.
Accroupie, cuisses écartées, je dois lécher la chatte de Jouisseuse Danoise, qui se fait enculer par le brun.
Jouisseuse Danoise se retient de jouir, sous ma langue.
Jouisseuse Danoise me prend par la main et m'entraîne dans le couloir. Nos mules claquent de nouveau sur le carrelage, et nous trouvons, le sergent Val, un transsexuel brun, au mandrin long de trente centimètres et sept de diamètre, avec des anneaux aux testicules. Il nous précéda, et nous fait entrer dans une antichambre où, devant une porte en fer forgé qui se découpe sur de grands rideaux, deux autres sergents attendent avec des dogues allemands, je reconnais Lancelot et un autre couleur fauve.
Jouisseuse Danoise et moi sommes mises à quatre pattes.
Le transsexuel me retire l’Eros et le dogue fauve m’encule, tandis que Lancelot encule Jouisseuse Danoise.
Puis, je suis contrainte à une double pénétration canine, la chatte remplie par Lancelot, tandis que le dogue fauve continue à m’enculer. Je connais un double orgasme. Et lorsque les deux dogues éjaculent, à quelque minutes d'intervalles, je sens mes orifices abondamment trempés de sperme tiède, qui sortait de ma chatte  et de mon anus, dégoulinant le long de mes jambes, j’ai un tel orgasme que la tête me tourne et que je faillis s'évanouir.
Enfin, les sergents me prennent en double anale, cette fois, l’anus bien béant, tandis que je suce le transsexuel, qui a sa part pour m’enculer, lors de la seconde double anale.
On me remet l’Eros et je vais au réfectoire.
Le réfectoire est dallé avec une table longue en verre épais, et chaque fille a pour s'asseoir un tabouret rond recouvert de cuir noir. Je m’assois cul nu sur le cuir lisse et froid sous mes cuisses écartées. Inversement, lors de mon départ du Domaine,  vêtue comme tout le monde, mais les fesses nues sous mes tenues, relever à chaque fois ma jupe pour m'asseoir aux côtés de quiconque, c'est le Domaine que je retrouve. Je prends goûts aux multiples assauts sexuels, plus souvent enculée  par mes amants canins, jusqu’à sept fois par jour, fouettée.
A la bibliothèque, je suis seule, nue, avec  Eros en place. Les portes-fenêtres ouvrent à l'ouest. Mes fesses jusqu'à la taille, mes cuisses, mes fines jambes offrent les cinq balafres noires. Un major mince, si jeune, blond, et un blond aussi, musclé, s’occupent de moi.
J’apporte le pouf. L’anus libre, je suis enculée par les deux hommes, plus le dogue Lancelot, entre deux services de café. Ma bouche est remplie de leurs spermes.
- Son œillet commence à s’élargir, dit l’un d’eux.
- Regarde, comment, elle jouit avec Lancelot.

25 mai
A l’aube, détachée du chevalet, je suis conduite nue à la bibliothèque, menottée à la Croix de Saint-André, de face, on me libère l’anus d’Eros.
Le sergent Sacha me cravache les fesses jusqu’au sang.
Les hommes présents, deux capitaines, deux majors et un colonel, m’enculent et éjaculent sur mes fesses. Je me retiens de jouir.
Le Baron vient me chercher vers huit heures.
Jouisseuse Danoise me baigne une dernière fois, dans ma cellule, me farde, me parfume, mon anus est libre de ton gode.
Mais le Baron est venu avec un nouveau bijou d‘anus. Il mesure quarante centimètres et huit de diamètre, moulé sur le sexe en érection d’un dogue allemand.
J’écarte bien mes fesses pour le recevoir.
Je porte, une fois mes carcans de cuir retirés, ma bague à l’annulaire gauche, sertie d’un petit anneau sur mesure. Je ne porte plus mes clochettes ni à mes mamelons ni aux grandes lèvres qui se sont étirées davantage par le port. Mes mamelons sont devenus plus sensibles.
Le Baron examine mes reins et mes fesses. Il passa les doigts sur les nombreuses traces du fouet, plus ou moins estompées selon leur ancienneté, sur les marques des carcans. Je suis reprise en main par le Baron.
Je remets mon chemisier blanc, sans boutons, sur mes seins nus et libres, aux mamelons constamment tendus vingt-quatre heures sur vingt-quatre, ma jupe fuchsia éventail couvre mes fesses nues zébrées, je garde mes jambes et mes pieds nus. Je me chausse de mules blanches à hauts talons, avec une bande sur le cou-de-pied, dévoilant mes orteils et je me coiffe d’une queue-de-cheval. Le gode me rappelle combien je suis la chienne du Baron.
Avant de quitter le Domaine, le Baron me conduit au chenil, où je caresse une dernière fois mes amants canins Hadès, Hannibal et Lancelot. Grâce à leurs saillies régulières, mon anus est désormais assoupli. J’en suis fière.
- Nathalie, désormais tu deviens Soumise Elégante. Tu ne réponds plus qu’à ce nom, quand on t’appelles. Tu vas travailler comme secrétaire dans la holding qui gère le Domaine. Un étage te sert comme appartement privé. Ce sont les hommes et les clients qui décident de tes punitions et de t’enculer.
Je mouille d’avance.
La tour qui abrite la holding, se trouve à trois heures de route du Domaine. La tour possède une hélisurface.
Le Baron a invité des amis du patron, le Marquis Donatien des Bons Sévices. Il est un plus âgé que le Baron. Le Baron m’apprend :
- Le Marquis est un homosexuel, mais qui ne dédaigne pas se faire sucer par sa soumise. Il possède un berger allemand, prénommé Sultan. Tu seras sa secrétaire personnelle, obéissante et docile. Tu passeras la moitié de la journée, nue et en mules, pour que tout le monde voit tes attraits. Tu seras toujours maquillée.
Assise, cul nu, les yeux baissés, la bouche entrouverte, sur la banquette, la jupe éventail relevée, le chemisier grand ouvert, cuisses écartées, offerte au regard du chauffeur, Désiré. Il m’a déjà enculée.
Le Baron me pelote longuement les seins, étirant mes mamelons constamment tendus, je me retiens de jouir. Sa main glisse entre mes cuisses pour exciter mon clitoris.
Ce n’est qu’au bout de trois quart d’heure de caresses que je peux enfin jouir.
Au pied de la tour, Désiré m’ouvre la portière. Je me dirige vers le hall d’accueil.
Le Marquis m’attend. Les yeux baissés, la bouche entrouverte, je me présente à lui.
- Voici, Soumise Elégante, la belle cavalière émérite, je connais votre palmarès. Désormais, les saillies équines seront une formalité. Nous possédons une écurie de trotteurs et de pur-sangs arabes, de grands reproducteurs, pour des soumises chevalines. Nous irons prochainement aux Haras. Soulève ta jupe.
J’obéis.
- Pubis et chatte velus, tu me plais. Tu portes le gode Hannibal. Je vais te le retirer tout à l’heure.
Dans l’ascenseur, jusqu’au septième étage, je m’abandonne à ses caresses sur mes seins, mes reins, mes fesses, mon clitoris, tandis qu’il m’embrasse langoureusement. Je perds haleine.
- Tu es très docile, tu es doublement ouverte, ma pute. Olympe va vous montrer vos appartements et votre agenda. J’attends des invités à l’hélisurface, dans une heure. Soyez ponctuelle, ou je vous punis devant eux.
- Bien, Maître, je serais nue.
Bien sûr, nue, sous une tenue transparente. Je tiens à ce que mes invités découvrent votre corps de soumise.
Au septième étage, je fais la connaissance d’Olympe, une superbe transsexuelle brune aux petits seins, doté d’un mandrin long de trente-cinq centimètres et huit de diamètre, avec des anneaux aux testicules, sous une robe décolletée en V, dos nu, arrivant à mi-cuisses, en mules.
- Vois-tu, Olympe aime les putes anales de ton style élégant. Tu lui dois obéissance. Olympe retire-lui le Hannibal, pour la préparer pour nos invités. Elle soit belle, parfumée et épile-lui l’anus. Elle portera le modèle Pénélope, avec des poids de cent grammes pour commencer.
Mes appartements sont un duplex, avec de nombreuses glaces et miroirs sur les murs et au plafond, pour me voir et me faire filmer et photographier.
Nue, je me baigne, cuisses écartées, les yeux baissés, avec un lavement par une canule.
Une fois propre, fardée, parfumée, je revêts une très belle guêpière seins nus en satin, sans jarretelles, tenue rigide par de larges baleines très rapprochées, courbées vers l'intérieur au ventre et au-dessus des hanches, qu'un busc, sur un côté derrière, permet de boucler et de déboucler. Par-derrière aussi, un large laçage se serre ou se desserre à volonté. Ma taille et mon ventre se creusent sous la pression des baleines, qui sur le ventre descendent presque jusqu'au pubis, qu'elles dégageaient, ainsi que les hanches. La guêpière est plus courte par-derrière et laisse la croupe entièrement libre.
- Ainsi, les invités pourront t’enculer avec aisance. Ton œillet est assez souple, le Domaine a fait de toi, une vraie Soumise Elégante. Viens me sucer.
J’obéis et Olympe éjacule dans ma bouche, j‘avale tout. Elle me refait le maquillage de ma bouche.
- Tu es une vraie suceuse experte. Ecarte les fesses, je dois te mettre, un étireur anal, pour le temps des invités. Ainsi, ils pourront t’enculer plus ouverte.
Une fois le spéculum anal en place, je sens mon anus s’ouvrir davantage avec les vis. Olympe m’enfonce jusqu’à trois doigts. Je me retiens de jouir.
En mules, guêpière, avec mes carcans de cuir à mon cou, mes poignets et mes chevilles, je rejoins l’hélisurface. Un Ecureuil vient de décoller, un Dauphin atterrit.
Le vent frais des pales excite mes mamelons emprisonnés dans des pinces, étirés vers le bas, par les poids, mes grandes lèvres sont elles aussi étirées vers le bas, mon clitoris me fait un peu mal. Je reste discrète.
Le Marquis caresse mes fesses, et me doigte l’anus.
- Tu es toute trempée, déjà. C’est bon signe.
Les invités me sont présentés, ce sont un Européen, un oriental, un sud américain, un asiatique, un australien et un africain.
Ils ont payé pour me voir.
Chacun apporte une mallette en monnaie locale.
Je m’abandonne à leurs caresses, les yeux baissés, la bouche entrouverte.
Ils regardent mes genoux, mes mains et enfin mes lèvres mais si tranquillement, et avec une attention si précise et si sûre et mon annulaire gauche.
Elle possède toutes les qualités de soumise, dit l’Européen, Alban, exhibant son gros mandrin que je masturbe.
Mon anus est rapidement investi par l’oriental, Mustapha.
Je me retiens de jouir, la bouche remplie par la langue agile du sud-américain, Charles.
L’asiatique, Nam, me remplit la chatte trempée avec ses doigts.
L’australien, Dan et l’africain, Hercules, s’occupent de mes seins, étirant mes mamelons tendus à l’extrême. Je ne sais plus où donner de la tête.
Nam enfonce ses doigts trempés de ma mouille dans mon anus ouvert, provoquant une double anale.
Mon bassin ondule.
Nous rejoignons le salon sous l’hélisurface.
Allongée sur le côté, les jambes légèrement repliées, je suis enculée par chacun, après Mustapha. Leurs mains caressent mes seins, mon ventre, ma chatte, mon dos, mes reins, mes hanches, mes fesses. Mon clitoris n’est pas oublié.
Tous éjaculent dans ma bouche, que j’offre pantelante, ayant retardé chacun de mes orgasmes anaux.
Le Marquis me retire le spéculum anal et je dois me soulager, assise, cuisses écartées, les mains dans le dos, sur la cuvette des toilettes, la porte ouverte, le clitoris masturbé, les mamelons étirés, tout en gardant les yeux baissés et la bouche ouverte.
Puis j’assiste, voyeuse, agenouillée, cuisses écartées, aux ébats sexuels entre Alban et Mustapha. Mustapha encule Alban, qui bande de plus belle. Mustapha commence de petits va et vient, c’est agréable. Il accélère et il fait des mouvements beaucoup plus amples. Maintenant il met de grands coups de bassin en sortant presque sa verge à chaque fois. Je suce Alban, à quatre pattes, tout en me faisant enculer par Charles, lui-même enculé par Nam. Ce qui décuple mon plaisir, je m’empale sur Charles. Ils éjaculent presque simultanément. L’éjaculation d’Alban contracter l’anus ce qui serre le mandrin de Mustapha, qui éjacule et jouit à son tour. Je suis comblée, les invités renouvellent les ébats sexuels homosexuels, pour que je les suce, enculée à mon tour.
Au bout de deux heures, je suis épuisée.
Sans attendre, en 69, je suce le Marquis, qui est allongé sur le lit. Je suis tête bêche. Je lèche, suce, mordille son mandrin, ma langue lape son gland, que je suce avec mes lèvres, l’aspire et je descends jusqu’à la racine du mandrin, titille son urètre, son frein, avant de s’enrouler autour de ses testicules ! Je lui lèche tendrement son anus, le doigte, le détendre et repasse à son cul, pendant qu’il me lèche la chatte humide.
Soudain, mes fesses s’écartent et je sens un sexe me remplir jusqu’au nœud. C’est le berger allemand Sultan. Je ne peux plus reculer, enculée par Sultan, les flashs crépitent, on me filme.
- Regarde, comme cette chienne se fait prendre.
- Elle aime ça, Sultan l’encule bien à fond.
Le Marquis éjacule dans ma bouche, alors que Sultan éjacule au bout d’une demi-heure.
Sultan se retire quelques instants pour mieux m’enculer.
J’explose dans de nouveaux orgasmes anaux violents.
Puis les hommes m’enculent, l’anus lubrifié par le sperme de Sultan.
Je suis pantelante.
J’ai droit à une longue douche, avec une canule pour un bon lavement.
La journée continue, avec des saillies anales de Sultan, uniquement, selon ses envies.
Chacun des invités passe une demi-journée en ma compagnie pour me soumettre à ses désirs vicieux et pervers. J’obéis, docile.

30 mai
A l’aube, je viens de passer la nuit avec Hercules, doté d’un mandrin de trente-cinq centimètres et huit de diamètre, souvent en double pénétration Je suis enculée par Sultan, tandis que Hercules me baise, décuplant mon plaisir.
Chacun des invités a remis une enveloppe avec une note sur moi, que je ne connais pas et une valeur estimée.
Le Marquis voit que je suis la Soumise Elégante requise.
Après les départs de l’Ecureuil et du Dauphin avec les invités, encore nue, en mules, avec mon spéculum anal en place, mes pinces à mes mamelons, j’apprends par le Marquis :
- Je t’invites au restaurant, non loin de la tour. Tu t’habilles.
Olympe m’a longuement douchée, je dois garder mon spéculum anal, après mes besoins, toute propre, fardée. Je revêts un dos nu, laissant voir mes seins, sans les pinces à seins, une jupe m’arrive au ras de mes fesses nues, mes mules à hauts talons qui rende ma silhouette plus élancée, mes chevilles et mes mollets tendus, cela te fait des jambes superbes.
Je me sens complètement nue dans cette tenue.
La limousine de Désiré nous attend.
Arrivée au restaurant, le serveur m’adresse un regard de pervers et me traite :
- C’est la Soumise Elégante, la jeune pute du Domaine, docile, avec une bouche bien dressée et cravachée. Votre table est prête.
Je porte un spéculum anal pour que mon œillet soit à votre disposition, monsieur. Je suis prête à vous sucer, lui dis-je à l’oreille.
Le serveur bande.
Après l’entrée, je me rends avec lui aux toilettes.
Son gros mandrin me remplit bien la bouche.
J’exhibe mes seins et mes fesses, sans qu’il me touche. Il me caresse les seins, avec une excitation, que mes mamelons sont extrêmement durs.
Je lui lèche les testicules, avec quelques claques magistrales sur les fesses.
Il éjacule dans ma bouche.
Je me confesse ensuite au Marquis.
- J’ai beaucoup aimé, son mandrin, Marquis. J’en veux davantage.
- Mais, ma pute Soumise Elégante, on verra plus tard.
Je suce le Marquis, offrant une vue imprenable sur mes fesses nues.
Le Marquis éjacule dans ma bouche.
Nous prenons le plat de résistance et le dessert.
Entre les deux, dans les toilettes, Désiré m’encule longuement jusqu’à l’orgasme, l’anus libre du spéculum. Je le nettoie.
- Tu es devenue une vraie pute, Miss Nathalie.
Le spéculum remis en place, me permet de ne pas perdre le précieux sperme.
Rentrons, ma pute Soumise Elégante, après le dessert. Tu es à point.
Je laisse pendre ma mule au bout du pied.
Après le paiement de la note, le Marquis change d’avis, nous ne prenons pas la limousine.
Nous rentrons à pied.
Je dois ainsi m’exhiber, tenant la main du Marquis. Le vent frais remonte sous ma jupe, excitant mon clitoris et par mon décolleté, mes mamelons tendus.
Les couples me draguent. Certains sont invités à la tour.
Ils caressent mes fesses et mes seins.
- Soumise Elégante est adepte de la cravache et des doubles anales, susurre le Marquis aux couples.
Après une demi-heure de marche, je suis toute excitée.
Le Marquis m’encule sans attendre, devant les vitres de l’accueil. Je me retiens de jouir, tandis qu’il éjacule en moi, dans le spéculum anal.
Mon agenda se remplit avec les rendez-vous des couples, toujours accompagnée par Sultan, le doberman Apollo et le dogue allemand Romulus. Les femmes des couples n’hésitent pas à se faire baiser par mes amants canins. J’ai droit à un bon salaire hebdomadaire, déduit de la part qui revient au Marquis et au Baron. Je n’ai pas besoin de m’acheter de nouvelles tenues dans ma garde-robe.
 
15 juin
Olympe me rase la chatte de façon définitive, pour que je sois encore plus désirable.
Elle me baise la chatte longuement, d’abord à quatre pattes, puis je m’empale sur son mandrin, tandis que Romulus m’encule. J’explose en un violent orgasme, doublement inondée.
Le Marquis tatoue à l’encre noire, mes reins, à quelques centimètres de la naissance de mes fesses : « Jouisseuse Anale Désir Eros ». J’éprouve de la fierté d’être tatouée. Mes amants me complimentent de mon tatouage et de ma chatte totalement lisse, entretenue, mon clitoris devient plus visible. Je porte aussi un anneau doré qui perce mon gros clitoris, avec une pierre précieuse, signe de ma soumission, en plus de ma bague.
Chaque léchage de mon clitoris durci me fait mouiller davantage.
Mais l’accès à ma chatte est limitée à certains membres et invités, lors de doubles pénétrations jouissives. Je dois rester une Jouisseuse Anale soumise.

20 juin
Nue au secrétariat, en mules, avec mon bijou d’anus, le plus gros, avec un serpent malicieux vous fait pénétrer dans le jardin des délices. Il darde impudiquement sa langue sur ma chatte et mon clitoris, et me conduit au paradis. Long de treize centimètres, diamètre de cinq, pour 600g. J’aime beaucoup le porter.
Le Baron vient me voir.
- Alors Soumise Elégante ou dois-je t’appeler « Jouisseuse Anale Désir Eros ». ou JADE pour les intimes, comme la pierre de jade que tu vas porter à ton cou.
Je garde les yeux baissés, la bouche entrouverte. Le Marquis m’observe de loin.
Le Baron caresse mes fesses, encore marquées par les coups de cravache et découvre le serpent entre mes fesses. Il joue avec mes mamelons étirés par les poids reliés aux pinces à seins et avec mes grandes lèvres étirées par d’autres poids reliés aux pinces.
- Tu es toute trempée d’excitation. Tu sais, que je dois te punir. Je viens te conduire aux Haras, par l’hélicoptère. Il est à trois heures de vol, loin des regards indiscrets. Le major Alban t’attends. Il est le maître des lieux. Il aime les putes chevalines, belles comme toi.
Je revêts ma tenue de cavalière : ma veste sur mes seins nus, mon pantalon qui possède une large ouverture circulaire au niveau de ma chatte, je mets mes bottes de cavalière à mes pieds nus, je garde mon bijou d’anus.
Nous prenons l’Ecureuil. Je reste les cuisses écartées.
J’ai désormais une démarche plus déhanchée, mes lèvres vaginales plus proéminentes et la rosette anale plus large.
Arrivés aux Haras, je découvre qu’il est étroitement surveillé par des maîtres-chiens avec des bergers allemands, des dobermans et des dogues allemands.
Il me présenta Eros des Haras un magnifique alezan qui était d'après le directeur le chéri de ces dames. Alban m’encule, déjà dilatée par l'envie d'une telle sodomie et qui n'oppose guère de résistance. Je me glisse sous le cheval et observe son sexe. Je suis fascinée par sa taille et n'y tenant plus, je me mets le lécher avec gourmandise. J’essaye de le prendre en bouche, mais n'y arrive pas. Me distendant la mâchoire, je réussis à faire rentrer le gland monstrueux et commence à sucer le cheval. Celui-ci, sous les caresses labiales, entre en érection et je pousse un cri étouffé causé par la douleur ressentie. Je continue cependant ma fellation et le cheval éjacule. Je suis surprise par une telle quantité de sperme et manque de m'étouffer.
Le goût est différent mais agréable !
Reprenant mon souffle, je prends le membre à demi-dur maintenant pour le guider Récupérant de ma mouille de ma chatte, je m'en enduis les mains et me fiste l'anus déjà  béant pour bien le lubrifier et finir de le préparer à  la monstrueuse intromission anale. Positionnant le gland du membre devenu moins dur sur sa rondelle, je commence à pousser. Le sphincter résiste, et le muscle cède. J’hurle de douleur, mais ne lâche rien. M'étant habituée à cette grosseur, je reprends ma progression millimètre par millimètre en serrant les dents. Je ne m'arrête avec trente centimètres qui m’enculent profondément! Je commence à m'agiter doucement puis, mon anus se dilatant, accélère le mouvement mais s'arrête net en poussant un hurlement de douleur: le cheval, sous l'effet du coulissement sur sa queue, rebande. Mon anus est tendu à la limite de la déchirure. Je ne bouge plus, mais pousse des cris de douleur qui bientôt s'éteignent. Mon anus s'étant habitué au sexe énorme qui le pourfend, je reprends mes mouvements et hurle maintenant de plaisir. Je m’agite à présent comme une furie sur le vit monstrueux qui m’encule. Alban me fait sucer jusqu'à  la jouissance. Pendant ce temps, le cheval éjacule ce qui me provoque un orgasme ! Je fais le sexe débandé de son anus rougi complètement distendu et boursouflé ce qui libère un flot de sperme.
Après un peu de repos, je suis à nouveau saillie, mais par Alizé, un trotteur français et Eclair des Haies, un selle français, pour que je m’y habitue. J’en raffole, à la fin de la journée.
Alban me fait aussi enculer par les bergers allemands, les dobermans et les dogues danois, entre deux saillies anales équines. L’anus béant et lubrifié, je ne peux me refuser à eux. Je suce uniquement les maîtres-chiens comme les autres soumises du haras.
Le soir, je dors, enculée par un des chevaux, menottée à un chevalet, profitant de l’érection et de la masturbation du cheval.

27 juin
Fraîchement épilée intégralement, je reçois mes fers aux grandes lèvres de ma chatte étirée par le port des poids. Ce sont des anneaux de fer mat inoxydable. La tige en est ronde, épaisse comme un gros crayon de couleur, et ils sont oblongs : les maillons des grosses chaînes sont semblables. Chacun est formé de deux U qui s'emboîtent l'un dans l'autre. Le ressort intérieur sur lequel on doit forcer pour le faire pénétrer dans la rainure où il se bloque. Une fois posé, il est impossible de l'ôter, il faut limer. » Chaque anneau est long comme deux phalanges du petit doigt, qu'on y peut glisser. A chacun est suspendu, comme un nouveau maillon, ou comme au support d'une boucle d'oreille un anneau qui doit être dans le même plan que l'oreille et la prolonger, un disque de même métal aussi large que l'anneau était long. Sur une des faces, JADE, sur l'autre, mon nom, le titre, le nom et le prénom du Marquis et du Baron, et au-dessous, un fouet et une cravache entrecroisés. Les fers qui trouent mes deux grandes lèvres de ma chatte et me descendent jusqu'au tiers de la cuisse, et à chacun de ses pas bougent entre mes jambes comme un battant de cloche, le disque gravé étant plus lourd et plus long que l'anneau auquel il pend
Mes fesses sont marquées au fer rouge des lettres : S sur la fesse gauche et E sur la fesse droite. Elles sont hautes de trois doigts et larges de moitié leur hauteur, sont creusées dans la chair comme par une gouge, à près d'un centimètre de profondeur. Rien que de les effleurer, on les percevait sous le doigt. De ces fers et de ces marques, j’éprouve une fierté insensée.
Mes robes sont composée d'une jupe éventail, qui se retrousse d'un geste, mais toujours à corselet montant jusque sous les seins, et portée avec un boléro fermé au cou. Il suffit d'enlever le boléro pour que les épaules et les seins soient nus, et sans même enlever le boléro, de l'ouvrir, si l'on désire voir les seins. Je me baigne nue.
Après mon séjour aux Haras, divers propriétaires d’étalons proposent que je me fasse saillir par eux, je ne peux refuser, sur ordre du Marquis et du Baron.
Je suis mes cours par correspondance et j’obtiens de bonnes notes.

Je monte aussi, en compagnie des propriétaires, sur leurs chevaux, nue, empalée dos à eux, enculée, soumise au trot et au galop de l’étalon, pour mieux m’enculer profondément.

20 juillet
Je retourne au Domaine des Biches, ferrée, marquée, intégralement lisse, pour parfaire mon éducation. Je porte désormais un collier et des bracelets de fer inoxydable, articulés et à demi rigides, sont hauts de près de deux doigts et portent chacun un anneau de même métal.
Je porte un nouvel uniforme : un corset seins nus, le ventre, monte jusque sous les seins, qu'une légère armature maintient écartés, et qu'un étroit rebord soutient si bien qu'ils sont projetés en avant et paraissent d'autant plus libres et fragiles. La jupe est fendue dénudant toute l’entrejambe, du ventre jusqu'au bas du dos ; Un cordon dénude entièrement les fesses. Je me chausse de simples tongs avec une large bande en cuir brun dans laquelle on glisse le pied, à hauts talons. Je porte aussi un boléro entièrement transparent, dévoilant mes aréoles fardées.
C’est le major Hermine, une superbe brune aux petits seins, qui s’occupe de moi.
Dès le premier jour, je suis saillie comme il se doit par mes amants canins, Sultan, Hadès, Hannibal et Lancelot. Les clients parient sur la durée de mes saillies, même lors de mes doubles pénétrations canines.
Je suis longuement prise en double anale par les clients qui me cravachent, me fouettent, sur la Croix de Saint-André ou sur le chevalet, selon leurs envies.
J’initie les nouvelles soumises, en les faisant enculer par mes amants canins.

14 août
Le Baron m’invite à me rendre dans une station balnéaire privée et sécurisée. Là, des dizaines de couples nus, me toisent, me font l’amour, me fouettent, dans mon duplex, entre deux bains de soleil.
Je suis devenue une vraie libertine bisexuelle soumise, prête à tous les vices et désirs. Je suis une femme moderne au corps provocant. Mes seins tendent en permanence leurs mamelons tendus et durcis au ciel. Mon ventre arrondi s’est tendu par la rigueur et s’est cambré. Le Baron me baise fréquemment pour que je puisse assurer sa descendance.
Ce qui arrive au bout de quinze jours de baise intense, je ne compte plus mes orgasmes. Une fois enceinte, je suis constamment saillie par mes amants canins, enculée à toute heure. Mon excitation sexuelle est décuplée.
Un gynécologue me suit et m’encule aussi à chaque rendez-vous à la station balnéaire.

Au bout de neuf mois, je donne naissance à des jumeaux, un garçon et une fille.
Je suis à nouveau fouettée. Le Baron me baise à nouveau, pour que je sois encore enceinte.

Mon œillet bien ouvert, me fait découvrir de nouveaux vices. De la fille prude, je suis devenue une femme provocante, totalement lisse.

A bientôt, votre sensuelle soumise Nathalie, pleins de baisers coquins à vous mes admirateurs.

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