mardi 7 mai 2019

LE HARAS DES SEVICES DU COMTE DE LA ROSE


Je m’appelle Shawn.
J’ai 18 ans.
Je suis une jolie beauté scandinave.
Je suis une brune aux yeux verts. J’ai des pieds fins et latins, des jambes longues bronzées, musclées qui inquiètent par leur perfection. Mon pénil est bombé, ouvert, couronné de noir. Mon pubis est encore velu, tout comme ma chatte et j’ai une superbe croupe. Les lèvres de mon sexe sont une plaie rouge entre mon entrecuisse. Mes hanches s'incurvent et délimitent le ventre plat, délicieusement renflé autour du nombril, les hanches sont larges et rondes, mais sans lourdeur. La taille est affinée. Les seins parfaits intégralement bronzés sont un peu volumineux mais fermes, et leurs pointes marron clair, toujours dressées, cernées par une large aréole marron attirent le regard. J’ai une peau lisse et patine. Finition parfaite, un seul grain de beauté entre mes superbes seins. De longs cheveux plats blonds flottant comme des algues, battent mes épaules rondes et gracieusement athlétiques. Je suis intégralement bronzée. Mes yeux verts limpides s'allument, ma bouche charnue se fend. J’ai des sourcils bruns bien dessinés et des lèvres pulpeuses. J’ai de longs doigts fins et de belles mains. Je fais du 85B de poitrine, 56 de taille, 90 de hanches, 1,72 m.

LE HARAS DES SEVICES DU COMTE DE LA ROSE

Je suis une lycéenne et une cavalière émérite, dans mon lycée alpin.
A dix-huit ans, je n’ai jamais fait l’amour avec un garçon. Ma mère m’a appris à me masturber la chatte et à me caresser les seins.
Un après-midi de mars, lors de mon retour du lycée, je trouve mes parents en compagnie d’une jolie brune aux seins plantureux, en tailleur strict, qui me toise.
- Tu dois être la cavalière émérite, Shawn. J’ai vu tes résultats aux concours équestres. Cela te dirait de devenir la cavalière pour un haras prestigieux. Va te changer.
Je retire mon tee-shirt et mon jean, mes escarpins à petits talons.
Je choisis un ensemble soutien-gorge, slip en dentelle transparente blanche et porte-jarretelles blanc, pour mettre en valeur mon corps sexy. Je les cache sous une robe fuchsia entièrement boutonnée devant et des escarpins blancs à hauts talons. Je me maquille et me coiffe d’une queue-de-cheval.
Je retrouve la femme.
- Voici une avance de 3500 pour ton premier mois. Je vais te conduire au haras. Tu es très élégante. Ouvre ton corsage, je veux voir tes seins.
J’obéis.
Mes seins sont drapés de dentelle.
- Tu as de beaux petits seins mis en valeur. Le Comte va adorer. Au fait, au niveau sexuel, tu n’as pas de petits amis, tu es lesbienne et tu es encore vierge.
- Je n’ai pas de petits amis, ni de liaisons avec des filles. Je me réserve à mon futur mari.
- Très bien, nous verrons cela.
Nous prenons une limousine conduite par un superbe étalon africain.
Après deux heures de route, où Miss Beauté Saint Désir m’annonce :
- Tu es aussi trop habillée. Défais tes jarretelles, tes bas »
J’ouvre ma robe entièrement. Je libère mes bas et retire mon porte-jarretelles. Je me déchausse et retire mes bas.
Je suis jambes nues et pieds nus.
- Tu es mieux ainsi. Retire ton slip. Je veux voir ta chatte.
Cela, c’est facile, il suffit de passer les mains derrière les reins et de se soulever un peu. Elle me prend des mains le porte-jarretelles et le slip, les bas, ouvre le sac et les y enferme, puis dit :
Il ne faut pas t’asseoir sur ta combinaison et ta jupe, il faut les relever et t’asseoir directement sur la banquette. »
Je retire ma robe pour être plus  l’aise, dévoilant mon soutien-gorge.
La banquette est en moleskine, glissante et froide, c’est saisissant de la sentir coller aux cuisses.
Je reste immobile et muette, si dénudée et si offerte, mais je n’ose ni croiser les jambes ni serrer les genoux. J’ai mes deux mains appuyées de chaque côté d’elle, sur la banquette.
Elle tranche avec un petit canif les bretelles du soutien-gorge, qu’elle enlève. J’ai les seins libres et nus comme elle a nus et libres les reins et le ventre, de la taille aux genoux.
Nue, en escarpins, je descends avec Miss, devant le portail du haras.
Deux gardes à cheval surveillent le portail.
- Allez, ma chérie, ta première leçon. Tu vas sucer un des chevaux et l’autre va te baiser.
- Ma chatte est trop étroite pour un tel sexe.
Je me suis agenouillé sous lui doucement. Sans un mot,  je prends son énorme sexe entre mes doigts et je commence des va-et-vient très sensuels avec mes deux mains. Sa bite gonfle immédiatement. Elle s’allonge et est devenue très grosse et dure. Elle fait au moins 80 centimètres. C’est chaud et doux, une fantastique sensation ! J’approche ma bouche et je passe ma langue sur un étonnant petit tuyau qui est en plein centre de son gland dilaté. C 'est dur et bizarre Ma langue passe et repasse sur cette chose. Tout à coup du liquide blanc très important mais très clair au goût de rouille m’inonde le visage et le menton, coulant sur mes seins. J’essaie de mettre son sexe dans ma bouche au plus profond.
En même temps, Miss enfonce l’autre sexe bien dur dans ma chatte que j’ai masturbé pendant le trajet. Le cheval tape un peu des pieds arrières d'excitation lorsque elle fourre enfin sa bite dans mon vagin. C'est lui qui me baise Il me remplit totalement la chatte qu'il dilate excessivement : c'est trop bon. je jouit comme une femelle en chaleur... je perds mon pucelage. A un moment, je pousse très fort en même temps que l'animal, et tout d’un coup je sens une douleur dans mon sexe. Le cheval pousse très fort. L’autre cheval éjacule dans ma chatte.
Pantelante, je me relève.
- Excellente première leçon, en plus de tes cours d’équitation, tu vas découvrir le sexe avec des chevaux. Je tiens à ce que chacune des élèves ait des rapports sexuels avec des chevaux, en plus des hommes. Toi, ce sera double ration. Comme tu es vierge de l’œillet, le gynécologue va te préparer.
Nous remontons la longue allée à pied, escortées par les chevaux. Les hommes du double de mon âge, ne cessent de regarder mes fesses musclées et mes seins.
Au bout de l’allée, se trouve une grande villa avec un étage.
- Voici, la villa du Comte Donatien Sire des Mille Baise. Tu loges au premier étage avec les autres filles. Nous allons chez le docteur pour les examens et le gynécologue. Je vais te mettre tes carcans pour ton séjour. Tu vas passer deux semaines à connaître le plaisir.
Elle me présente mon collier et mes bracelets pour mes poignets qui sont en plusieurs épaisseurs de cuir, chaque épaisseur assez mince, au total pas plus d'un doigt, verrouillés par un système à déclic, qui fonctionne automatiquement comme un cadenas quand on le referme, et ne peut s'ouvrir qu'avec une petite clé. Dans la partie opposée à la fermeture des bracelets, pris dans le milieu des épaisseurs de cuir, et n'ayant presque pas de jeu, il y a un anneau de métal, qui donne une prise pour fixer, et qu'on positionnait du côté intérieur du poignet. Pour le collier, l'anneau pend devant le cou, reposant sur la saillie des clavicules, et brinquebale au rythme des mouvements de celui qui le porte.
- Te voilà prête.
- Pourquoi, je dois porter des carcans.
- Désormais, tu te prêtes à quiconque. Tout le monde est libre de te fouiller. Tu ne peux te dérober, tes cuisses restent toujours écartées, ta bouche entrouverte, pour donner libre accès à ta bouche, ta chatte et ton œillet. Tu es fouettée qu'entre le coucher et le lever du soleil, et les yeux bandés. Tu es fouettée pour avoir manqué de complaisance, ou levé les yeux sur celui qui te parle ou te prend. Tu dois désormais toujours regarder un homme au niveau du sexe qui est à découvert, pour que tu le suces. Tu te masturbes la chatte et prépare l’œillet, avant chaque soirée. Tu dois rester constamment lubrifiée. Tu es fouettée tous les jours pour ton instruction. Tu es enchaînée nue à ton lit, prête à t’offrir, cuisses grandes ouvertes. Tu ne dois, ni regarder un homme au visage, ni lui parler. Tu dois te taire et obéir. Tu n'ouvres désormais ici la bouche, en présence d'un adulte, que pour crier ou caresser.
Dans le cabinet du médecin, plusieurs tables d'examen, des armoires vitrées remplies de matériel chromé, de grandes paillasses d'éviers. Dans un angle, un bel étalon musclé, nu sous sa blouse, me pose des questions sexuelles et mes habitudes sanitaires.
- As-tu été souvent sodomisée ?
 Je réponds :
- Non, je n'ai jamais été pénétrée par là...
- Comment, une petite garce aussi chaude que toi ne s'est jamais faite enculer ?
- Non, je vous le jure...
- De toute façon, on aura la preuve au cours de l'examen clinique que tu vas subir tout à l'heure : ton oeillet parlera pour toi...
- On va... m'examiner cet endroit ?
- Mais oui, et pas que l'oeillet crois-moi !!!
 L'interrogatoire se poursuit encore un moment, à ma grande confusion, puis la femme se lève et avant de quitter la salle, me dit simplement :
- Tu vas attendre un peu qu'on vienne s'occuper de toi. Reste tranquille.
 Je suis très intimidée de me retrouver toute nue en présence de tous ces gens en blouse blanche. On me fait étendre sur une table d'examen et ils font cercle autour de moi et il commence l'examen en prenant ma tension puis m'ausculte longuement la poitrine et le dos, après m'avoir fait asseoir, avec son stéthoscope. Il examine mon coeur, mes poumons, me demandant de respirer ou de tousser
Je suis retournée sur le ventre, deux mains se posent sur mes fesses et les écartent au maximum et je sens le thermomètre pénétrer mon anus. Je dois rester ainsi deux ou trois minutes, alors qu'ils discutent entre eux. Me sentant complètement ridicule.
 Remise sur le dos, il me palpe longuement le cou, les aisselles, le ventre, les aines, les jambes, il fait jouer toutes les articulations de mes membres, puis me fait mettre à plat ventre pour me palper longuement le dos et les fesses. Tout en m'examinant, il dicte ses observations à la secrétaire. En terminant son examen, il me demande de me remettre sur le dos.
Son collègue gynécologue prend le relais : un grand brun musclé, du double de mon âge, s'attaque à mes seins. Il les palpe, les presse, pince les mamelons, tire dessus, les tord dans tous les sens "Les seins sont petits, très fermes, solides... aréoles larges, mamelons d'un centimètre et demie, bien érectiles." Elle palpe également le bas de mon ventre.
Je me retrouve menottée au fauteuil gynécologique : fesses au bord de la table, cuisses grandes ouvertes, mollets reposant sur des sortes de gouttières. Les lèvres de ma chatte s’écartent toutes seules, encore humides de ma baise équine.
Il ouvre la chatte de la main gauche et introduit deux doigts gantés de la droite très profondément dans ma chatte, qu'il fouille soigneusement pendant un bon moment, m'appuyant sur bas-ventre de son autre main. Puis mise en place du spéculum, ouvert en grand, "Vulve étroite, vagin souple, assez serré, utérus en bonne position." Il introduit un doigt bien profond dans mon anus
- Son œillet est étroit, trop serré : prévoir une dilatation anale
Quand il retire son index d'entre mes fesses. Sans ses gants, il caresse mon clitoris qu’il fait tendre.
- Clitoris facile à décapuchonner, assez développé, très sensible et érectible, gland bien dégagé... méat urinaire d'apparence normale, petites lèvres assez fines, grandes lèvres longues et charnues, glandes de bartholin de taille normale, bien lubrifiée
Il me masturbe le clitoris à toute vitesse, complètement écartelée et en public, est profondément humiliant, mais son doigt tournant follement autour de mon petit bouton, en haut de ma fente sexuelle finit par m'émouvoir bien malgré moi ! Je sens ma fente s'humecter de plus en plus et inexorablement, le plaisir monte dans mon ventre, jusque dans mes reins. Je ne peux m'empêcher de gémir, de bouger les fesses et assez rapidement, comble de la honte, j'éprouve un fantastique orgasme, sentant ma vulve se contracter, s'ouvrir et se refermer de façon spasmodique malgré la présence de tous ces gens. Après mon orgasme clitoridien, l’homme me baise profondément, longuement. J’ai un second orgasme.
Profitant que ma chatte est trempée, il entreprend de la dilater au maximum, m'enfonçant ses doigts, les tournant, les écartant pour m'élargir, sans s'occuper de mes gémissements de douleurs que j'essaie en vain de retenir. Toutefois, il arrive à introduire quatre doigts dans mon vagin.
- Maintenant, avec le docteur, nous allons t’enculer. Tu ne peux te dérober, menottée. Ouvre-toi bien : ça va rentrer tout seul, pousse fort...
J'obéis, mais le passage du gland au travers de ma collerette anale me fait tout de même mal. Il marque une pause avant d'aller de l'avant et d'augmenter la profondeur de la pénétration, son gode repoussant mes tissus s'ouvrant littéralement un chemin entre mes fesses vierges. Il marque une nouvelle pause avant d'entamer un lent mouvement de va et vient, ressortant presque entièrement de mon anus, pour y replonger aussitôt. Peu à peu, la douleur de mon anus forcé cède la place à un certain plaisir, puis à un plaisir certain, j’atteins mon premier orgasme anal.
Puis il se retire en douceur et le docteur réclame sa part. J’ai un nouvel orgasme anal.
 Profitant de ma fatigue due aux orgasmes, je ressens une étrange sensation à mes aréoles, mes mamelons et mon clitoris. Les deux hommes m’ont piqué, avec un produit stimulant.
Maintenant, tes mamelons et ton clitoris vont être hyper sensibles. Le moindre frottement de tissus ou même ne serait ce que l'air sur tes mamelons ou ton clitoris te provoqueront une excitation énorme. Le résultat, c'est que tes mamelons pointeront au maximum tout le temps, vingt quatre heures sur vingt quatre et de même pour ton clitoris. Inutile de te dire que malgré cette hyper excitation, je t'interdis de te faire jouir. Tu découvres ainsi la frustration et la douleur que cela procure en plus de la douleur provoquée par le fait que tes mamelons et ton clitoris soient constamment tendus.
Miss me cravache les fesses, pour m’apprendre à connaître la soumission. Je me retiens de gémir, malgré la douleur.
Détachée, je me chausse de cuissardes transparentes et je reste nue. Mes fesses sont brûlantes.
Miss me conduit aux écuries, qui sont derrière. Je retrouve les deux chevaux que j’ai sollicité. Je choisis Désir Sauvage, un superbe pur-sang.
Je rejoins son box, caresse mon buste contre son corps, pour l’imprégner de mon odeur.
Soudain, je sens qu’on m’écarte les fesses. Je me laisse faire. Un mandrin de vingt centimètres en érection m’encule. On m’enserre les hanches et de temps à autre, on m’écarte davantage les fesses pour m’enculer plus profondément. Je jouis.
Le mandrin se retire et je m’accroupis pour le sucer. Je découvre une superbe poitrine plantureuse au-dessus de mes yeux.
Je m’appelle Iris. Je suis un transsexuel, chargé des chevaux. Tu me plais. Tu es encore un peu étroite, mais les sexes des chevaux vont t’ouvrir davantage.
Iris éjacule dans ma bouche.
L’anus béant et humide, j’enfourche ma selle que m’a installé Iris. Il y a un double gode, un équin pour ma chatte et un canin pour mon anus. Les godes sont luisants car ils avaient été soigneusement lubrifiés. Je m’assois en premier, d'abord sur l'avant de la selle, puis je me laisse m'empaler dessus dans mon anus, sous mon propre poids.
L’homme, qui nous accompagne, avec d’autres filles, empalées elles aussi sur un double gode, se prénomme Brice. C’est un bel étalon musclé. Il est torse nu, avec son pantalon ouvert sur son mandrin nu. Je regarde son mandrin, les yeux baissés.
Il me fixe mes mains dans le dos.
- Ainsi, tu ne seras pas tentée de te masturber pendant la promenade.
Nous allons d’abord au trot. Les godes se révèlent être de puissants vibromasseurs. En effet, chacun s’allonge et rétrécit à chaque mouvement de va-et-vient grâce à son enveloppe ultra-souple qui s’étire ou se contracte en suivant les montées et descentes du gode. Mon bassin ondule violemment sur ces godes. Je ne compte mes orgasmes. Nous allons au galop. Je manque à m’évanouir.
Nous marquons une pause.
Brice s’approche de moi et me dit :
- Lève-toi un peu des godes.
Ma chatte dégouline et mon anus est bien ouvert.
- Tu es excitée, ma belle. Je vais te punir.
Brice me descend du cheval et siffle.
Un imposant doberman nous rejoint.
- Voici, Adam, il va t’enculer pendant que tu vas sucer Désir. Tu peux rester attachée jusqu’à trois quart d’heure à Adam. C’est lui qui décide.
Et il me saisit les deux mains. Il fit glisser l'un dans l'autre les deux anneaux de ses bracelets, ce qui lui joint étroitement les poignets, et ces deux anneaux dans l'anneau du collier. Je me trouve donc les mains jointes à la hauteur du cou.
Agenouillée, dans l’herbe, cuisses écartées, je me laisse écarter les fesses, mes mains jointes à mon cou.
Adam me monte. Je sens le gland du chien ouvrir mes parois anales jusqu’au noeud. Bâillonnée par le sexe de Désir, je gémis un peu.  Mais plus Adam allait de l'arrière vers l'avant rapidement, mieux mon anus supporte cette sodomie canine. Au bout de trois quart d’heure, il éjacule dans mon anus. Je sens le noeud d’Adam grossir dans mon anus. Je sens le noeud arrêter de grossir. À chaque fois qu’Adam bouge, j’ai un orgasme. J’ai quatre orgasmes puis je sens le noeud rétrécir. Un bruit de succion accompagne la sortie de la bitte d’Adam de mon anus.
Brice revient avec les filles, ma bouche est remplie du sperme de Désir et mon anus dégouline du sperme d’Adam. Sans attendre, Brice m’encule à son tour. Il m’écarte bien les fesses et m’encule jusqu’aux testicules. Il me donne quelques claques magistrales sur les fesses. Je m’empale sur lui. Tenue par la taille, il me fait coulisser sur son gros mandrin. Il s’agrippe de plus en plus fort à mes hanches jusqu’à l’éjaculation.
Il me fait asseoir sur les deux godes pour le retour.
J’ai de violents orgasmes, le sperme tapisse mon anus.
De retour aux écuries, je suis douchée à l’eau froide avec les autres filles avant un lavement à l’eau froide, avec une poire. Je me soulage dans un urinoir pour hommes.
Miss me retrouve :
Ma vierge se révèle une jouisseuse. Je crois que la sodomie quotidienne va te plaire. Je vais te cravacher les fesses pour avoir regardé Iris.
A quatre pattes, je suis cravachée et je me retiens de gémir.
Je me restaure avec les autres filles.
L’après-midi, je soigne Désir et le masturbe, pour qu’il éjacule dans ma bouche.
Le Comte me surprend. C’est un bel étalon du double de mon âge, qui se masturbe, exhibant son gros mandrin.
- Ma belle, ça te dirait de faire enculer, par ton amant.
Je pense aussitôt au Comte.
Mais je me retrouve prisonnière sur un chevalet, menottée, cuisses écartées.
Le Comte m’enfonce le sexe de Désir dans mon anus. Après quelques minutes, je me mets à jouir. Il me claque les fesses, la queue finit par rentrer. Je commence à prendre du plaisir, va et vient sur le sexe, prise par un orgasme. Le Comte me doigte ma chatte trempée et me cravache les fesses.
- Ca y est, tu y prends goût. Laisse Désir éjaculer en toi.
En quelques minutes, hennissant comme un sauvage je sens une énorme quantité de purée de sauce de semence dans mon anus. Le liquide épais jaillit de  mon anus, dégouline le long de mes jambes jusqu’aux mollets.
Le Comte retire le sexe et m’encule longuement, profitant de mon anus béant et humide jusqu’à l’orgasme.
Les hommes du haras se relaient jusqu’au coucher du soleil. Mes fesses sont zébrées par les nombreux coups de cravache. Je ne sais combien d’orgasmes me submergent. Je suis rincée à l’eau froide.
Une fois propre, je suis à nouveau piquée aux mamelons et au clitoris. L’effet est immédiat, mes mamelons deviennent rapidement saillants, gros et longs et mon clitoris devient gros comme une cerise, saillant et volumineux.
Une des filles m’apprend à me maquiller dans ma chambre. La chambre est un simple lit, dans une grande pièce avec un chevalet, une croix de Saint-André, une coiffeuse avec un gode. Les seules glaces et miroirs sont à la salle de bains qui en entièrement recouverte sur les murs et au plafond.
Elle ombre légèrement mes paupières, peint en rouge ma bouche, en rose mes mamelons tendus et l'aréole de mes seins, en rouge le bord des lèvres de ma chatte trempée, du parfum longuement passé sur la fourrure pubienne et mes aisselles lisses, dans le sillon entre les cuisses, dans le sillon sous les seins, et au creux des paumes. Je me retiens de jouir quand le pinceau passe sur mes mamelons et que la fille me caresse le clitoris pour qu’il soit bien tendu.
La fille a déjà ses mamelons et son clitoris constamment tendus. Sa chatte est totalement lisse. Elle porte un anneau doré à son gros clitoris.
Fardée et parfumée, je retrouve les autres filles qui sont nues. Tous portent des marques de cravache sur les fesses et les cuisses.
Avant le souper, le Comte me fait mettre à quatre pattes et choisit dans un coffret où dans un compartiment il y a un assortiment de chaînettes et de ceintures, et dans l'autre un choix de ces godes, qui vont des plus minces aux plus épaisses. Ils sont moulés sur des sexes équins et canins, pour que je m’habitue.
Le Comte choisit un sexe canin de bonne dimension : le gode mesure treize centimètres de long et de trois à cinq de diamètre une fois gonflé. Six centimètres de long entre le gland et le nœud, le nœud mesure dix de long pour quatre de diamètre. Il a la taille d’une balle de ping-pong. Il le prépare en attachant, à trois petits trous percés dans la base, trois chaînettes qu'il laisse pendantes. Il me l’enfonce jusqu’au nœud puis jusqu’aux testicules. Je sens le sexe canin en érection, c'est-à-dire avec une extrémité renflée.
Je me relève, je porte une étroite ceinture autour de ma taille, et l'on y accroche les trois chaînettes, une par derrière qui suit le sillon des fesses, et les deux autres par-devant, qui longent le pli des aines en contournant le triangle pubien. On les ajuste au plus court, de façon que mon muscle anal soit forcé et distendu, et on les attache avec de petits cadenas
Ainsi, quand tu es seule, tu n’es pas tentée de te soulager de cette contrainte.
A chacun de mes pas, le gode bouge en moi, en même temps que mon bassin ondule dessus. Je me retiens de jouir.
Désormais, huit jours durant, entre mon lever et le repas de midi, puis entre la tombée du jour et l'heure de la nuit, dix heures généralement, enchaînée, nue, et trempée, je suis enculée par des godes qui m'écartèlent, et chaque jour davantage,  je me prosterne, pour le recevoir, plus épais chaque jour. Au souper, lors du repas en commun, après leur bain, les filles, nues et parfumées, voient mes chaînettes et de la ceinture. Le Comte me la retire que me faire saillir ou enculer par les godes-ceintures des filles.

Au bout de huit jours, aucun appareil n’est plus nécessaire, et le Comte est fier que je sois doublement ouverte.
Ce soir-là, nue, je me fais saillir par six chiens de garde, connaît ma première double pénétration canine et par des hommes et enculée par trois chevaux dans les box, sans être attachée.
Je suis fière d’être enculée et fouettée. Mes mamelons et mon clitoris sont désormais constamment tendus. Je porte désormais un ample pantalon, dont l'aspect plus sévère tenait sans doute à l'étoffe, le large pantalon était fendu d'avant en arrière selon l'axe du corps et, alors qu'il paraissait fermé, tout l'entrejambe est ouvert, du ventre jusqu'au bas du dos ; ce sont en réalité deux jambes retenues ensemble par un cordon. Le cordon est tiré, laissant une vue imprenable sur ma chatte et mon pubis, mes fesses zébrées, mes lèvres vaginales plus proéminentes et ma rosette anale plus large.. Je garde mes cuissardes transparentes. Je porte aussi un corset seins nus pour affiner ma taille, le corset est durement baleiné, long et rigide, comme au temps des tailles de guêpes, et comportent des goussets où reposent les seins. A mesure qu'on serrait, les seins remontent, s'appuyaient par-dessous sur le gousset, et offraient davantage leur pointe. En même temps, la taille s'étrangle, ce qui faisait saillir le ventre et cambrer profondément les fesses. L'étrange est que cette armature est très confortable, et jusqu'à un certain point reposante.
Je ne compte plus mes nombreuses sodomies canines, équines et avec les hommes. Mon anus est bien assoupli pour le plus grand bonheur du Comte et de la Miss.
Je réalise des sauts d’obstacles et des parcours en forêt, portant un double gode, pour continuer mon éducation.

Lors d’un concours de sauts d’obstacles, je suis remarquée par deux propriétaires d’un grand centre équestre. Je porte depuis quelques jours, mes anneaux dorés à mon gros clitoris et à mes petites lèvres de ma chatte, signe de reconnaissance du haras. Ma chatte est constamment épilée, mais je garde mon pubis velu.
Je me présente nue et en cuissardes auprès du Comte et des deux propriétaires, qui ont le double de mon âge. Ils exhibent leurs mandrins et m’enculent, menottée au siège gynécologique, après une visite gynécologique jouissive.
- Très bien, elle est bien ouverte de l’œillet.
- Elle sait jouir enculée, dit le second, en faisant claquer ses testicules contre mes fesses brûlantes et zébrées par les coups de cravache du Comte.
- Combien, pour l’intégrer comme élève au centre équestre ? annonce le Comte.
- Voyons, elle est doublement déflorée, elle a un beau physique. Elle sait jouir, se soumettre et elle a des qualités équestres.
- 2500, dit le premier.
- 3200, dit le second. 
- 4500, dit le Comte.
- Prenez-moi pour 3000, annonce-je, pantelante, l’anus béant et dégoulinant de spermes.
- Alors, 3000 plus 1500 pour l’abattage au centre équestre, dès ce soir, j’ai des amis qui seront ravis de cette poupée.
Libérée, je me douche, me farde, me parfume et revêts une robe bustier moulante et transparente, fendue devant jusqu’au dessus de mon pubis et dévoilant mes fesses zébrées par des ouvertures. Je chausse des mules à très hauts talons. Le Comte me retire mes carcans de cuir.
Nous prenons un hélicoptère Dauphin qui me conduit au centre. Le vol dure trois heures.
Je me retrouve rapidement nue, caressée de toutes parts, suçant en échangeant de sodomies violentes. Je suis aux anges.
Nous posons derrière le grand centre équestre, dans une vallée.
Un des propriétaires me remet mon collier de cuir et mes bracelets à mes poignets. Il fixe mes poignets dans mon dos. Il me tient en laisse par mon collier. Je suis nue et en mules. Le vent frais cingle mes mamelons et mon clitoris constamment tendus. Je me retiens de jouir.
Je suis conduite dans une superbe villa. Là, je descends au sous-sol.
 Je suis menottée debout au milieu de la pièce, et ses bras levés et joints, que les bracelets maintiennent par une chaînette à l'anneau du plafond d'où jadis pendait un lustre, font saillir ses seins. Je suis pieds nus, sur la pointe des pieds, sur le carrelage froid.
Le Duc Brice Sévices Mécaniques et le Marquis Donatien Saint Baise me tutoient.
- Tu vas porter un bandeau sur les yeux et ta bouche reste libre.
- Nous allons te fouetter et te goder en même temps. Acceptes-tu ?
- Je suis tout à vous et aux autres invités.
Justement, un riche émir, un proxénète chinois et un propriétaire d’un bordel allemand vont assister à ta séance. Garde les cuisses écartées.
Brice et Donatien caressent mes seins, les baisent, puis ma bouche, en doigtant simultanément ma chatte trempée et mon anus béant et humide. Je ne sais si je dois jouir.
Aveugle, je sens une langue me lécher mon clitoris tendu. J’ondule inconsciemment mon bassin. La cravache cingle à plusieurs reprises mes fesses, mes reins et mon dos, à chaque jouissance.
Je tente de me retenir, mais le plaisir est plus fort.
On pince alors mes seins avec de lourdes clochettes d’un kilo chacun, ainsi qu’à mes grandes lèvres de ma chatte en feu.
On m’enfonce un écarteur anal que je dois garder. Je suis au bord de l’orgasme.
La cravache reprend, puis la garcette et la raquette en bois sur mes fesses brûlantes.
Lors de la pause, je reçois un vibromasseur réaliste dans mon anus doté d’un excitateur clitoridien. Le vibromasseur s’allonge et se rétrécit comme un vrai mandrin.
J’ai le droit de jouir. Mon orgasme me fait me cambrer et m’arc-bouter, malgré les menottes.
A peine remise de mon orgasme, on me retire le vibromasseur et l’écarteur anal.
Je suis cette fois fouettée sur les cuisses avec une cravache et sur mes seins avec un martinet de poche, faisant tinter les clochettes.
Puis je sens que l’on m’encule avec de vrais mandrins. Une langue lèche ma chatte et mon clitoris. Je sens les testicules de mes amants, malgré ma fatigue.
Tous éjaculent en moi, leurs mandrins sont tous gros et longs. Je suis aux anges.
On me retire le bandeau et je découvre dans un grand miroir, mes seins, mes cuisses zébrées et un autre miroir reflète mon dos, mes fesses, mes reins zébrées, mes fesses sont aussi rougies par la raquette en bois. Le sperme coule entre mes cuisses.
Je suis alors prise en double pénétration : un des hommes me prend dans ses bras, je l'entoure avec mes jambes et me laisse baiser. Le deuxième homme est derrière soutenant également une partie de son poids et m’encule.
Sans changer de position, je reçois ensuite deux mandrins simultanément dans mon anus béant et humide. Le plus gros des mandrins m’encule d’abord, le plus petit rentre progressivement au-dessus de l’autre pour commencer à limer doucement, puis plus rapidement ou violemment le trou. Le premier qui m’a enculé, m’encule en même temps en rythme, afin de créer un maximum d’effet pour moi. Ils alternent en rentrant par surprise, donnant quand c’est possible des petits coups plus sauvages et ardents, pour que les deux mandrins fassent un maximum d’effet. Ils modifient régulièrement les cadences. Je connais plusieurs orgasmes avant une double éjaculation anale.
Détachée, je suce mes amants, l’anus rempli par un imposant bijou d’anus très lourd. La pomme de pin frotte en bougeant ma chatte humide. Je suis enculée sur douze centimètres et cinq de diamètre, pour 600 grammes. J’aime avoir l’anus bien rempli. Mon anus se contracte dessus jusqu’à la jouissance.
J’ai droit à un long lavement, menottée sur un chevalet, une canule dans mon anus, reliée à une poche juste au-dessus de mes fesses. Je suis nettoyée jusqu’à ce que je sois propre.
Je retrouve les invités au salon.
Je partage le repas. Je suis empalée, l’anus libre, sur chacun, assise, cuisses écartées entre leurs cuisses. La sodomie est profonde, j’aime ça. L’homme caresse mes reins, mes fesses, mes seins étirés par les clochettes, mon cou, mes épaules et mon dos. Je jouis, en coulissant sur chacun, entre deux bouchées.
Lors du dessert, je me fais saillir par leurs trois chiens, un doberman, un berger allemand et un dogue allemand, tous les trois m’enculent jusqu’au nœud. Je connais de multiples orgasmes.
Pantelante, les trois invités me cravachent les fesses. Je reste à quatre pattes, bras tendus, offrant mes fesses bien rebondies.
Je porte à nouveau le bijou d’anus pour garder le sperme canin.
Je rejoins ma chambre au premier étage, en compagnie de la fille qui m’a léchée au sous-sol. Elle est grande, brune, aux petits seins. Elle porte un anneau à son gros clitoris tendu, deux aux petites lèvres de sa chatte et deux à ses mamelons tendus. Le Marquis m’a retiré mes clochettes à mes mamelons et à mes grandes lèvres humides.
Nous faisons l’amour.
Sans attendre, un doberman vient me saillir. La fille me retire le bijou d’anus et j’explose en de violents orgasmes anaux, attachée à lui.
Je le suce en retour. Un autre doberman encule la fille.
Nous embrassons langoureusement nos bouches, enculées par nos amants canins.
Dans un 69 torride, je me fais enculer par un dogue allemand, je suis installée au-dessus de la fille. Je n’arrive plus à la lécher et je dois la masturber et lui doigter la chatte.
Un peu plus tard, dans la nuit, l’anus rempli par mon bijou d’anus, je suis baisée par deux dobermans sans le nœud, sollicitant ma chatte resserrée de vierge. Je connais l’orgasme.
Ma chatte dégouline de spermes.

Le lendemain, au lever du soleil, je découvre ma chatte béante et humide, tapissée de spermes canins.
Je me douche, accroupie, cuisses écartées, dans une grande salle de bains, entièrement recouverte de glaces et de miroirs sur les murs et au plafond.
Je regarde mes reins et je découvre les lettres V et S pour vicieuse sodomite, tatoués à l’encre noire, à quelques centimètres au-dessus de la naissance de mes fesses.
Je me farde, me parfume. Je descends déjeuner avec la fille. Nous sommes nues et en mules, avec nos carcans de cuir. J’ai gardé mon bijou d’anus.
Je me rends aux écuries, en pantalon fendu, cuissardes, pour choisir mon amant équin. Je choisis Zéphyr, un bel étalon pur-sang. Il a un long sexe que je suce, avant de le monter.
Je fais quelques parcours de saut et du galop, empalée sur un imposant double gode réaliste équin qui me fait jouir.
En sueurs, je me douche.
Le Marquis me fouette cul nu, aux écuries, avant de m’enculer longuement jusqu’à l’éjaculation. Entre les chiens et les chevaux, mes journées sont bien remplies.
Le soir, c’est soirée lesbienne à deux ou trois filles, avec gode-ceinture et godes et vibromasseurs réalistes humains, canins et équins. Je suis aux anges.

Pendant un mois, je suis l’objet d’orgies sexuelles anales, avec des hommes, des chiens et aux écuries, fouettée et experte en jeux lesbiens.
Un riche propriétaire qui vit dans un fjord, me rachète pour le double du prix auquel m’a vendu le Comte.
Après un vol en hélicoptère et en jet privé, nue sous mon imperméable, en mules, je rejoins en yacht privé, ma nouvelle résidence. C’est un château moderne, caché dans une forêt, très bien protégée par des maîtres-chiens, des hommes à cheval et un hélicoptère. Aucune évasion n’est possible.
Dès mon arrivée, Sir Donatien Maître Baise me fait un examen gynécologique. Menottée au fauteuil gynécologique, cuisses bien écartées, je me fais poser mes fers à mes petites lèvres, me laissant mes anneaux à mes grandes lèvres.
Je gémis un peu sous le bâillon-pénis.
Ce sont des anneaux de fer mat inoxydable, comme le fer de la bague doublée d'or. La tige en est ronde, épaisse comme un gros crayon de couleur, et ils étaient oblongs : les maillons des grosses chaînes sont semblables. Chacun est formé de deux U qui s'emboîtent l'un dans l'autre. Le ressort intérieur sur lequel est forcé pour le faire pénétrer dans la rainure où il se bloque. Chaque anneau est long comme deux phalanges du petit doigt, qu'on y peut glisser. A chacun est suspendu, comme un nouveau maillon, ou comme au support d'une boucle d'oreille un anneau qui doit être dans le même plan que l'oreille et la prolonger, un disque de même métal aussi large que l'anneau est long. J’en porte deux, un à chaque lèvre. Le premier est au nom du Comte et le second au nom de Sir Donatien, avec à chaque fois mon nom, et au-dessous, un fouet et une cravache entrecroisés.
- Plus tard, quand tu auras donner naissance à un héritier, je te ferais marquer au fer rouge sur les fesses. Je vais te baiser pendant plusieurs jours jusqu’à ta grossesse. Les autres hommes, les chiens et les cheveux t’enculeront. Je vais rééduquer ton œillet, pour qu’il soit plus présentable.
Mes anneaux font de moi, une soumise. L'état de mon anus distendu, élargi, a nécessité une rééducation de ses muscles pour lui rendre sa tonicité, à l'aide d'un appareil d'électrothérapie : il est maintenant redevenu tout à fait normal, tel un poinçon strié de rose, très serré, mais il peut s'ouvrir tout grand pour me faire enculer. Les fers me descendent jusqu'au tiers de la cuisse, et à chacun de mes pas bougent entre mes jambes comme un battant de cloche, le disque gravé étant plus lourd et plus long que l'anneau auquel il pend.
Le soir, Sir me baise, me saisit les hanches et me pistonne en levrette rapidement pour finir par éjaculer dedans. A genoux, bras tendus, offrant mes fesses bien rebondies, zébrées par les coups de cravache de la journée et rougies par les coups de raquette en bois, il me saisit à la taille pour me coulisser sur son gros mandrin, me complimentant en accompagnant ses coups de bassin. Il s’agrippe de plus en plus fortement à mes hanches. Il me fait jouir, en sollicitant mon gros clitoris. En cinq minutes, je reçois sa semence féconde et, puis il me prend en 69. Enfin, il lèche ma chatte encore dégoulinante du sperme que je viens d'engloutir. Une heure plus tard, après ce traitement délicieux l'Emir présenta son pénis encore au repos à ma bouche, puis il m’encule d'un violent coup de rein. A quatre pattes, je contrôle aisément ma sodomie, soumise, il plaque une main sur mes reins et me donne quelques claques magistrales sur les fesses, enculée jusqu’aux testicules. Je m’empale sur lui en retour. Après dix minutes de pistonnage, j’explose d'un coup : une violente houle de plaisir me laboura entièrement le ventre, secouant un par un chacun de mes organes internes. Pour ce faire, il me baise à nouveau en levrette et recommença à me pomper rapidement comme en début de nuit. Il ne tarde pas à y éjaculer par saccades abondantes. Après ce deuxième orgasme, j’aperçois ma chatte gonflée et rose se fermer et garder dans son ventre la semence de Sir, suintant à peine du sperme de ce dernier. Au cours de la nuit, Sir se réveille encore une fois et me prend  en missionnaire. Cette fois-ci, il me pistonne longuement. Sir me saisit les cuisses, pour m’empêcher de me dérober. Il embrasse, caresse mon visage, mes seins, mes reins. Sir arrive au bout de 10 minutes à l'orgasme et il se déversa à nouveau dans ma chatte. Je sens le sien arriver à son tour et pour accompagner son plaisir, je me tends, arquant mon dos, soulevant le chétif vieillard dont le dard vibrant en saccades était toujours enfoncé dans ma chatte. Nous retombons brusquement sur le lit. Les mains de Sir, dans le même mouvement sont fermement accrochées à mes seins, les comprimant fortement.
Quelques minutes après, la jeune soubrette blonde aux seins plantureux, seins nus dénudés par son corset sous sa tenue, en mules à très hauts talons, vient me chercher, me lave à la baignoire de ma luxueuse chambre, devant plusieurs miroirs. Je reste accroupie, cuisses écartées. Elle prend d'éviter ma chatte pour que la fécondation se fasse. Des semaines durant, le même rituel m’est imposé, chaque fois je couche avec lui, il prend soin de lâcher son sperme dans ma chatte.
En quelques jours, mes règles disparaissent ; mon ventre augmente petit à petit de volume après quelques semaines, quelques mois. Je tombe enceinte selon les désirs de son maître. Je subis chaque soir ses assauts sexuels, baisée et enculée, mon ventre et mes seins augmentent de volume.
Je donne naissance à un garçon.
Quelques jours après, je reçois ma marque au fer rouge sur mes fesses, devant un harem de clients venus du monde entier, pour l’achat de chevaux que j’ai monté et qui m’ont aussi enculée.
Je suis menottée, les bras en l’air, cuisses écartées, une barre d’écartement fixée à mes chevilles, sur la pointe des pieds, avec un bâillon-pénis en bouche.
Soudain, une seule et abominable douleur me transperce. On enfonce dans la chair de mes fesses les deux fers rouges à la fois, ni quelle voix a compté lentement, jusqu'à cinq, ni sur le geste de qui ils ont été retirés. Je porte les lettres S et V sur mes fesses.
Pendant ma perte de connaissance, je suis violemment enculée par les clients, mes fesses marquées sont recouvertes de spermes frais. Je connais l’orgasme à plusieurs reprises, bâillonnée.
Les marques imprimées par le fer rouge, hautes de trois doigts et larges de moitié leur hauteur, sont creusées dans la chair comme par une gouge, à près d'un centimètre de profondeur. Rien que de les effleurer, on les perçoit sous le doigt. De ces fers et de ces marques, j’éprouve une fierté insensée.
Dans les deux années suivantes, je donne naissance à des jumeaux, un garçon et une fille.
Sir me fait aussi piquer mes seins, après l’effet de ma grossesse. Désormais, j’ai pris vingt centimètres de tour de poitrine supplémentaires, passant d’un bonnet B à un bonnet D. Je garde désormais ma chatte et mon pubis totalement lisses. Sir m’a fait marqué au fer rouge mon pubis d’une cravache et d’un fouet entrecroisés.
Je continue les compétitions, je gagne de nombreux concours, avant de retourner dans les Alpes, comme cavalière émérite et soumise. Je garde mes fers, mes marques et mon désir anal vorace.

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