dimanche 22 septembre 2019

CANDAULISTE ET PERVERSE


Je m’appelle Cyrielle.
J’ai 20 ans.
Je suis une jolie beauté scandinave.
Je suis une brune aux yeux verts. J’ai des pieds fins et latins, des jambes longues bronzées, musclées qui inquiètent par leur perfection. Mon pénil est bombé, ouvert, couronné de noir. Ma pilosité brune couvre mon pubis. Ma chatte est velue et j’ai une superbe croupe. Les lèvres de mon sexe sont une plaie rouge entre mon entrecuisse. Mes hanches s'incurvent et délimitent le ventre plat, délicieusement renflé autour du nombril, les hanches sont larges et rondes, mais sans lourdeur. La taille est affinée. Les seins parfaits intégralement bronzés sont un peu volumineux mais fermes, et leurs pointes marron clair, toujours dressées, cernées par une large aréole marron attirent le regard. J’ai une peau lisse et patine. Finition parfaite, un seul grain de beauté entre mes superbes seins. De longs cheveux plats blonds flottant comme des algues, battent mes épaules rondes et gracieusement athlétiques. Je suis intégralement bronzée. Mes yeux verts limpides s'allument, ma bouche charnue se fend. J’ai des sourcils bruns bien dessinés et des lèvres pulpeuses. J’ai de longs doigts fins et de belles mains. Je fais du 90B de poitrine, 56 de taille, 90 de hanches, 1,72 m.

CANDAULISTE ET PERVERSE


10 avril
Je suis une jeune étudiante en littérature. J’attire le regard des garçons, dont je note tous leurs qualités. J’ai perdu ma virginité à seize ans, avec mon frère Brice, lors d’une fête. Il m’a initié aux jeux érotiques avec ses copains et j’ai découvert mon premier baiser lesbien avec ma cousine Aimée. Je ne me sens pas bisexuelle, ni libertine.
Ce matin-là, élégamment vêtue d’un tailleur strict fuchsia, avec une jupe fendue derrière, sur un chemisier blanc, cachant mon soutien-gorge et mon slip en dentelle transparente, mon porte-jarretelles assorti et mes bas blancs, chaussée d’escarpins blancs, les cheveux libres, je dois rencontrer le doyen, pour un rendez-vous dans une bibliothèque du centre-ville.
Arrivée à la bibliothèque, le doyen, Xavier Henri, du triple de mon âge, brun, musclé, m’attends :
- Mademoiselle Cyrielle, tu es un peu en avance sur l’heure. Tu es très en beauté. Allons au rayon que je t’ai réservé.
Nous montons à l’étage. Je découvre un rayonnage avec un rideau tiré.
- Prends un des livres derrière le rideau, Cyrielle.
Je glisse la main derrière le rideau et je prends « Vices et Cravache ». Je manque de le faire tomber.
- Tu sembles surprise. Ce rayonnage comprend des romans d’histoires vécues dans un milieu très spécial. Je compte de faire de toi, une de ses héroïnes. Un ami recherche de jeunes vierges comme toi.
- Mais, je ne suis plus vierge depuis longtemps.
- Non, je veux vierge entre tes jolies fesses.
- Jamais, je ne pourrais me faire prendre par derrière, Xavier Henri.
- D’abord, tu ne dois ni regarder un homme au visage, ni lui parler. Tu ne le dois pas davantage à moi, mais te taire, et obéir. Tu n'ouvres désormais ici la bouche, en présence d'un homme, que pour crier ou sucer. Tu ne peux te dérober, tes lèvres restent entrouvertes, ni ne croises les jambes, ni ne serres les genoux pour rendre ta bouche, ta chatte et ton œillet sont ouverts à quiconque. Donne-moi immédiatement ton slip, ton porte-jarretelles et tes bas, pour commencer.
Je dois relever ma jupe, tandis que des inconnus m’observent. Xavier Henri prend mon slip, le sent et le met dans un foulard de soie, avec mon porte-jarretelles et mes bas. Je glisse mes pieds nus dans mes escarpins. J’ai les fesses nues et cela m’excite tout en m’interrogeant.
- Maintenant, donne-moi ton soutien-gorge.
Je dois retirer mon chemisier et dégrafer mon soutien-gorge, qu’il me prend des mains.
- Laisse ton chemisier ouvert, sur tes seins nus.
Xavier Henri caresse mes seins sous mon chemisier et mes mamelons se tendent.
- Cela t’excite, assis-toi sur le banc, jupe relevée, cuisses écartées et lit un passage.
Un miroir permet aux inconnus de voire mes seins par l’ouverture de mon chemisier et mes jambes nues.
Le passage m’intrigue, m’excite et je ne comprends pas le jeu de Xavier Henri.
A la fin de la lecture, je dois me pencher en avant, exhibant mes fesses nues.
- Ecarte tes fesses, Cyrielle.
Xavier Henri lubrifie un doigt, pour tester l'élasticité de l'anus. C’est froid, dans il glisse dans mon anus vierge. Il fait pénétrer le bijou d’anus sur trois centimètres, pour me détendre l’anus. La pointe lubrifiée du bijou d’anus appuie sur la pastille anale et pousse doucement. En quelques secondes la partie charnue du bijou d’anus est avalée. Ne reste visible que la partie décorative qui sert aussi de butée.
Après l'introduction du bijou d’anus, il se resserre sur la tige dont le diamètre est plus ou moins celui d'un petit doigt, ce qui correspond à l'ouverture normale et naturelle de l'anus pour permettre les échanges gazeux. Il entretient l'élasticité de l'anus.
En marchant, l’objet est au final assez excitant. Je suis obligée de contracter l’anus pour être sûre que l’objet ne tombe pas. Cette contraction avance le bijou d’anus contre ma chatte et stimule cette partie hautement érotique.
Je garde l’objet une heure environ. Il mesure dix centimètres de long.
- Ainsi, la prochaine sodomie sera plus aisée et moins douloureuse, Cyrielle.
Je quitte la bibliothèque vers onze heures, en compagnie de Xavier Henri.
Il me conduit dans un bar, où je dois m’asseoir sur une chaise, en relevant bien ma jupe, pour m’asseoir fesses nues, sur le cuir froid.
- Cyrielle, tu n’es plus vierge de la chatte, mais sache que désormais, tu es une jeune novice anale. Dans quelques heures, tu seras enculée par de beaux étalons, après tes cours. Tu feras tes besoins, avant tes ébats. Tu es libre de te masturber le clitoris, ma coquine et de faire tendre mes mamelons et de te faire jouir en solitaire.
Pendant le repas, Xavier Henri ne cesse de m’embrasser sur la bouche langoureusement, d’exhiber mes seins au serveur pour qu’il les pelote. Je mouille sur le cuir froid.
Après le paiement de la note, Xavier Henri me conduit aux toilettes pour hommes. Je suis un peu gênée.
Il m’intime à retirer mes fesses, au-dessus d’un des urinoirs. J’ai une folle envie de pisser. Je me lâche, ce qui plait à Xavier Henri.
Les clients me tournent autour, me caressent les fesses, les écartent, me pelotent les seins.
- Allez-y, cette jeune vierge anale attend vos queues pour son dépucelage.
En effet, Xavier Henri me retire le bijou d’anus, lubrifie mon anus avec ma mouille abondante.
- Penche-toi, détends-toi, cela est une formalité.
Un premier mandrin de bon calibre, quinze centimètres de long et six de diamètre, m’encule en douceur, centimètre par centimètre, jusqu’aux testicules.
Elle est un peu serrée, mais elle se détend.
- Cyrielle, détends-toi, il pourra mieux t’enculer, masturbe ton clitoris.
Une vague m’irradie. Je jouis, sous les coups de boutoir dans mon anus dilaté.
Elle prend son pied, dit l’inconnu en pelotant mes seins qui se balancent au rythme de ses coups de boutoir.
Il éjacule en moi, puis un second me prend, doté d’un mandrin plus imposant, trente centimètres et sept de diamètre. Je dois m’ouvrir davantage, mais j’ai un peu mal.
Bien lubrifié, la seconde sodomie est plus aisée.
- C’est une future déesse anale. Elle s’ouvre bien, Alban l’a bien travaillé.
- Oh oui, pine-moi le cul. J’ai l’œillet en feu.
- Suce-moi, ma belle.
Mes râles de plaisir sont étouffés, en suçant Alban. Un orgasme anal me terrasse, par les masturbations de mon clitoris tendu et les fessées magistrales qui me font mouiller.
Avalant le sperme d’Alban, l’Européen, tout en recevant celui de Jason, l’Africain, je suis aux anges.
Tandis que Jason m’offre son mandrin, Xavier Henri m’encule à son tour, avec son mandrin long de trente et un centimètres et huit de diamètre, je suis servie, préparée par Alban et Jason. La troisième sodomie est un plaisir.
Xavier Henri éjacule dans mon anus. il me remet mon bijou d’anus, pour conserver mon anus lubrifié.
- Tu as été parfaite. Trois sodomies, pour t’écarteler l’œillet. Tu as découvert le plaisir anal, comme une vraie prostituée anale. Je garde la monnaie.
Je retourne en cours. Les regards insistants sur mes seins nus sous mon chemisier entrouvert, provoquent une excitation qui fait tendre mes mamelons, les rendant plus visibles.
En cours, je m’assois, la jupe relevée, cuisses écartées. Je me retiens de jouir, en jouant avec le bijou d’anus.
Des copines sont intriguées par ses jambes nues.
- Cela est plus pratique, sans slip, je me sens plus libre, les fesses nues. Ainsi, on peut me baiser plus aisément.
Aux toilettes pour les femmes, je baisse ma jupe et les copines sont intriguées par la pierre précieuse blanche entre mes fesses.
- Cela te fait mal, Cyrielle.
- Non, cela me prépare l’œillet pour de nouveaux amants bien montés, qui aiment aussi me baiser.
Ces questions m’excitent et mon clitoris se tend au maximum tout comme mes mamelons sous mon chemisier.
Rhabillée, je retrouve à la fin des cours, Xavier Henri.
- Alors, tu es prêtes à t’exhiber dans d’autres lieux, Cyrielle.
- J’accepte.
- Tu consens à offrir ton corps à quiconque, au premier venu, à lui obéir.
- Oui, je suis prête, Xavier Henri.
Xavier Henri me conduit à pied, dans un parc, à une demi-heure de l’université. Il veille à ce que mon chemisier reste ouvert, pour le vent effleure mes mamelons tendus.
- Cyrielle, tes mamelons et ton clitoris ne sont encore assez sensibles à mon goût. Une crème fera d’effet.
Devant l’entrée du parc, se trouve une limousine aux vitres teintées et un superbe étalon musclé, brun, comme je les aime.
- Monte, Cyrielle. Je vais te préparer.
Rapidement, je me retrouve nue, avec mes escarpins à mes pieds nus, cuisses écartées, les yeux bandés par un bandeau de velours. Il se renfle un peu au-dessous des orbites, et s'applique exactement aux pommettes : impossible de glisser le moindre regard, impossible de lever les paupières. Il lie mes mains dans le dos.
Il pelote mes seins, mon clitoris, juste pour le faire tendre, tout comme mes mamelons, par l’air frais à l’arrière de la limousine.
On m’aide à descendre de la limousine. Je monte quelques marches d’un escalier, tenue fermement par des mains masculines.
Je franchis des portes, puis je me retrouve seule, sans mon bandeau, dans une grande pièce entourée de miroirs et de glaces sans tain. Il y a juste un tapis sous mes escarpins.
Dès que les portes s’ouvrent, je baisse les yeux et laisse ma bouche entrouverte.
Deux superbes femmes, dotées d’un imposant mandrin, entrent, vêtue de corsets seins nus, d’une jupe largement ouverte sur leurs mandrins nus et libres, aux testicules ornés d’anneaux dorés, avec des colliers et des bracelets en cuir à leurs poignets, fardées et parfumées.
Je n’ose les regarder.
Elles me libèrent les mains et me baignent longuement. Je dois m’accroupir, cuisses écartées, dans la baignoire, puis m’asseoir dans un grand fauteuil. Cela dure toujours au moins une heure. Cela a duré plus d'une heure en effet, mais je suis assise sur ce fauteuil, nue, et les cuisses écartées, on m’a retiré le bijou d’anus pour que je m’empale l’anus sur un imposant vibromasseur anal. Et comme il y a en face de moi une grande glace, du haut en bas de la paroi, que n'interrompt aucune tablette, je me voit, ainsi ouverte, chaque fois que mon regard rencontre la glace.
Le vibromasseur anal est doté de va-et-vient et de vibrations intensives, mesure entre dix-neuf et vingt centimètres selon ses mouvements, il a un diamètre de sept centimètre. Le vibromasseur s’allonge et rétrécit à chaque mouvement de va-et-vient grâce à son enveloppe ultra-souple qui s’étire ou se contracte en suivant les montées et descentes du vibromasseur. J’ai l’impression d’avoir un véritable homme à ma disposition qui me fait l’amour en étant infatigable. Je mouille de plaisir.
On farde ma bouche avec un rouge clair, un peu liquide, appliqué au pinceau, et qui fonce en séchant. On me peint du même rouge l'aréole et les mamelons qui se tendent constamment par une mystérieuse crème, et les petites lèvres entre mes cuisses, en soulignant la fente du giron. Mes paupières sont légèrement ombrées, du parfum longuement passé sur mes aisselles lisses et ma fourrure pubienne, dans le sillon entre les cuisses, dans le sillon sous les seins, et au creux des paumes. Une des femmes m’assujettit à mon cou et à mes poignets, mes carcans de cuir. Ils sont faits : en plusieurs épaisseurs de cuir, chaque épaisseur assez mince, au total pas plus d'un doigt, verrouillés par un système à déclic, qui fonctionne automatiquement comme un cadenas quand on le referme, et ne peut s'ouvrir qu'avec une petite clé. Dans la partie opposée à la fermeture des bracelets, pris dans le milieu des épaisseurs de cuir, et n'ayant presque pas de jeu, il y a un anneau de métal, qui donne une prise pour fixer, et qu'on positionnait du côté intérieur du poignet. Pour le collier, l'anneau pend devant le cou, reposant sur la saillie des clavicules, et brinquebale au rythme des mouvements de celui qui le porte.
Je glisse mes pieds nus dans des mules à très hauts talons.
J’entre dans une pièce où un miroir à trois faces et un quatrième miroir au mur permettaient de se bien voir.
Je m’assois sur le pouf au milieu des miroirs, et d'attendre, cuisses écartées. Le pouf est couvert de fourrure, qui me pique un peu, et il y a un tapis au sol. Sur une des parois du petit boudoir, il y a une grande fenêtre qui donne sur un beau parc.
A nouveau, je subis l’assaut du vibromasseur anal pour me préparer.
Au bout d’un certain temps, il s’arrête et se rétracte dans son logement, comme dans le fauteuil.
Les yeux baissés, la bouche entrouverte, j’aperçois dans les miroirs, deux superbes étalons nus sous des capes, aux mandrins bien montés, avec des anneaux aux testicules, cagoulés.
- Voici, la nouvelle, Cyrielle, la prostituée anale, il faudra élargir son œillet étroit. Allonge-toi sur le pouf, sur le dos, dit l’un d’eux.
Debout, je me fais caresser les seins, pincer mes mamelons mystérieusement constamment tendus, hyper sensibles, tout comme mon clitoris, comme jamais auparavant. Ils sont durs et me font très mal, mais je suis frustrée de ne pouvoir me caresser. Mes mamelons sont saillants, gros et longs. Mon clitoris est gros comme une cerise, volumineux.
Le premier à m’enculer est doté d’un mandrin vingt-six centimètres et six de diamètre.
Je dois poser mes mollets sur ses épaules. Il est agenouillé et m’encule violemment, entrant et sortant pour mieux me faire sentir son mandrin. Je lutte pour ne pas jouir, tellement il m’encule bien. Il me caresse les cuisses, les mollets, les chevilles.
Il se retire et le second s’allonge sur le pouf, sur le dos. Je m’empale sur lui, son mandrin long de trente centimètres et sept de diamètre, me remplit l’anus dilaté par le premier, cuisses écartées de part et d’autre du bassin du second. J’accroche mes deux mains à son buste. A chaque va-et-vient sur son mandrin, je sens ses testicules contre mes fesses, brûlantes par les claques magistrales du premier. Tout comme le premier, avec mes balancements d’avant en arrière, il éjacule en moi.
Je les nettoie.
Je retrouve mon bijou d’anus remis en place.
Je prends seule mon dîner en effet, toujours nue, dans une sorte de petite cabine où une main invisible me tend les plats par un guichet.
Enfin, le dîner fini, les deux femmes reviennent me chercher.
Dans le boudoir, elles fixent ensemble, derrière mon dos, les deux anneaux de mes bracelets. Une femme avançait devant elle et ouvre les portes, l'autre la suit et les referme. Nous traversons un vestibule, deux salons, et pénétrons dans la bibliothèque, où quatre hommes prennent le café. Ils portent des capes et laissent leurs mandrins nus et libres, sont bottés, non cagoulés.
- Approche, ma belle, que ton royal anus va devoir subir la pénitence.
Un des hommes s’allonge sur le tapis. On me retire le bijou d’anus.
Je me retrouve empalée, les mains dans le dos, assise sur un des hommes, bien monté, trente et un centimètres de long et sept de diamètre, enculée jusqu’aux testicules. Mes genoux sont repliés vers mon buste, mes pieds agacent les jambes de l’inconnu, qui me saisit sous les cuisses. Il me fait coulisser son mandrin en érection.
Puis on m’écarte bien les cuisses, pour honorer ma chatte trempée, tandis qu’un troisième me fait sucer son gros mandrin, long de vingt-cinq centimètres et six de diamètre.
Je suis fessée magistralement par le premier.
Je jouis sous les coups de reins de mes violeurs. Le mandrin du troisième me laboure la bouche. Celui qui me baise.
- Allez y, jouissez, je veux qu'elle avale votre foutre jusqu'à la dernière goutte.
- Je vais t'inonder, tu vas jouir comme une folle.
- Laisse-lui ta bitte dans la bouche qu'elle ne puisse pas crier, retiens-toi ne jouis pas tout de suite.
- Tu mouilles comme une chienne... t'aime te faire enfiler.
La bouche grande ouverte, je reçois le sperme se répandre dans ma bouche. Me voyant avaler le sperme, mon enculeur, surexcité, me remplit l’anus, alors que l’autre me baise. Il éjacule en dernier entre mes jambes.
Pantelante, recouverte de sperme, prosternée, cuisses écartées, je suis enculée par le quatrième, doté d’un mandrin de seize centimètres de long et six de diamètre. Il se met en appui sur ses jambes, entrant et sortant de mon anus débordant de sperme. Je suce celui qui m’a baisée.
Celui qui m’a baisée, me prend alors, doté d’un mandrin de vingt-six centimètres et sept de diamètre, m’encule latéralement et enjambe mes fesses brûlantes, pour me fesser et caresser mes seins aux mamelons tendus à l’extrême. Il éjacule en moi.
Je suce un des trois autres.
Ces sodomies m’ont mise dans un état d’excitation. Je prends de plus en plus de plaisir à me faire enculer.
Deux des hommes sont debout. Un autre est assis, une cravache sur les genoux, et allongés sur le côté, les jambes légèrement repliées, le quatrième est dans mon dos et m’encule. Ses mains caressent mes seins, ma chatte trempée. Il m’encule lentement. J’ajuste mon bassin en face du mandrin. Il caresse mon clitoris constamment tendu par l’excitation. Il m’embrasse langoureusement, m’enculant jusqu’aux testicules. Je garde mes mains liées dans le dos
- Ainsi, tu as vu tes violeurs. Tu seras fouettée, les yeux bandés, ma belle. Que tu es chaude.
Sans débander, il me fait asseoir entre ses cuisses, pour caresser mes reins, mes fesses, mes seins, mon cou, mes épaules et mon dos. Je suis encore enculée jusqu’aux testicules.
On me montre la cravache, longue et fine, de fin bambou gainé de cuir, comme on en voit dans les vitrines des grands selliers ; le fouet de cuir est long, fait de six lanières terminées par un noeud ; il y a une garcette, de cordes assez fines, faite de sept lanières, terminées chacune par plusieurs noeuds, et toutes raides, trempées dans l'eau, je le constate, lorsqu’on me caresse l’intérieur des cuisses, pour mieux sentir combien les cordes sont humides et froides sur la peau tendre de l'intérieur.
- Offrons-la à Hadès. Prosterne-toi, avant d’être fouettée en principe que sur les reins et les cuisses, de la taille aux jarrets,
Hadès me saillit, m’encule avec son sexe long de trente-deux centimètres et six de diamètre, jusqu’au nœud. Je gémis un peu, mais je connais quatre orgasmes anaux, l’anus rempli de son sperme, en plus des autres hommes qui m’ont enculée. Je suis aux anges en une demi-heure.
Je nettoie Hadès, un superbe doberman.
Puis je suis suspendue, bras tendus en l’air, sur la pointe des pieds nus, sur le tapis.
Un des hommes, le plus trapu des quatre, enfile une paire de gants en cuir, il les ajuste soigneusement sur les poignets, et il prend la garcette.
 Il fait siffler à plusieurs reprises les lanières au ras de mes fesses. Puis soudain, sans prévenir, il frappe.
Quand les nœuds en cuir s'incrustent en travers de ses cuisses, je m'arque en recroquevillant les orteils, je me tends pour tenir et me taire le plus longtemps possible, par défi.
- Arrêtez, cessez un instant.
Je me tords avec frénésie pour échapper aux morsures des lanières, mes cheveux voler en tous sens, mon ventre, et le devant de mes cuisses et mes fesses.
- Il faut l’enculer, ses fesses sont brûlantes.
Celui doté d’un mandrin de trente-un centimètres et sept de diamètre m’écarte bien les fesses et m’encule jusqu’aux testicules, tout en pelotant mes seins aux mamelons constamment tendus sous l’excitation. Mon gros clitoris me fait mal aussi.
- Son œillet doit être rendu plus commode.
- On va lui mettre le gode Arès. Maintenez les fesses bien écartées pour l’insertion du gode.
L’anus bien lubrifié, je sens un nouveau objet : long de vingt-sept centimètres et cinq de diamètre, avec son nœud pour m’écarteler, comme un vrai sexe canin.
Le gode Arès est doté de trois petits trous percés dans le nœud, trois chaînettes qu'il laisse pendantes. Le gode est un sexe canin en érection. Puis on attache une étroite ceinture autour de ma taille, et l'on y accroche les trois chaînettes, une par derrière qui suit le sillon des fesses, et les deux autres par-devant, qui longent le pli des aines en contournant le triangle pubien. On les ajuste au plus court, de façon que le mouvement intérieur des muscles ne peut repousser le gode et permettre de se resserrer à l'anneau de chair qu'il doit forcer et distendre, et on les attache avec de petits cadenas, pour s'assurer que, lorsque je suis seule, je ne peux être tenté de me soulager de cette contrainte. Le gode se révèle être un puissant vibromasseur anal similaire à celui du fauteuil.
- Les va-et-vient te rappellent ton statut de chienne. Retiens-toi de jouir, enculée par ton amant canin.
Le fouet reprend et me cingle sur les meurtrissures précédentes, puis je suis cravachée pas trop fort pour ne pas me marquer tout de suite.
Quand on me détache, chancelante et groggy, le haut de mes cuisses traversé par deux lignes d'un rouge sombre, presque parallèles, on me laisse debout, nue, pieds nus, avec les va-et-vient intenses du vibromasseur Arès.
Les deux jeunes femmes restent à mes côtés.
Voici le discours que l'on me tient.
« Tu es ici au service de tes maîtres. A tout moment, tu seras enculée, fouettée. Toujours, tu ne peux te dérober, les lèvres de ta bouche entrouverte, les cuisses écartées, pour les honorer. Le fouet ne t’es appliqué qu'entre le coucher et le lever du soleil. Le vibromasseur est porté pendant huit jours  entre ton lever et le repas de midi, puis entre la tombée du jour où finit ton service dans la bibliothèque et l'heure de la nuit, dix heures généralement, il est ôté pour satisfaire tes amants canins lors de rencontre à la bibliothèque, de plus en plus gros, pour assouplir ton œillet. Tu ne dois jamais lever les yeux sur celui qui te parle ou te prend : tu ne dois jamais regarder un de nous au visage. Ta bouche est vouée à nous sucer, fixer nos mandrins nus et découverts. En outre, à la nuit, tu suces, cuisses écartées, les mains liées au dos, et nue ; on ne te bande les yeux que pour te maltraiter, et pour te fouetter. A ce propos, s'il convient que tu le reçois chaque jour pour ton instruction. Tu es contrainte. Quand à la sortie, tu portes un anneau de fer à l'annulaire, qui te fais reconnaître : tu as appris à ce moment-là à obéir à ceux qui portent ce même signe - eux savent à le voir que tu êtes constamment nue sous tes vêtements, et que c'est pour eux. Ceux qui vous trouvent indocile te ramènent ici. On va te conduire dans votre cellule. Tu mouilles et tu ondules ton bassin, de désir, sur le gode Arès. C’est très bien, tu es une bonne chienne. »
Les mules claquent sur les carrelages rouges des couloirs, où des portes se succèdent, discrètes et propres,
« Tu es dans l'aile des vicieuses, et ton valet s'appelle Pénélope et son chien, un superbe Danois, doté d’un sexe de trente-six centimètres et six de diamètre, Lancelot.
- Quel valet ? dis-je saisie par la douceur de la voix, et comment t’appelle-tu ?
- Je m'appelle Anal Beauté. Nous sommes des soumises transsexuelles.
- Et moi Jouisseuse Vicieuse », dit la seconde.
La première reprend : « C'est le valet qui a les clefs, qui t’attaches et te détaches, te fouettes quand tu es punie et quand on n'as pas de temps pour toi.
- J'ai été dans l'aile des vicieuses l'année dernière, dit Jouisseuse Vicieuse, Pénélope y était déjà. Il vient souvent la nuit avec Lancelot, pour te faire saillir ; les valets ont les clefs et dans les chambres qui font partie de leur section, ils ont le droit de se servir de nous.
Pénélope est une superbe beauté aux seins plantureux, doté d’un mandrin de vingt-cinq centimètres de long et six de diamètre, nu, sous sa cape, botté. Pénélope porte aussi à la ceinture un fouet à lanière de cuir. Pénélope m’allonge sur la banquette, sur le dos, me retire le vibromasseur et me fait empaler sur son mandrin, m’enculant, face à face. Accoudée, Pénélope me saisit par la cuisse droite et le mollet gauche, pour me rapprocher, à chaque coup de rein. Je dois me retenir de jouir, le clitoris constamment tendu sous la langue de Lancelot.
- Lancelot, lèche bien le clitoris de ta nouvelle chienne. Son œillet est chaud. Je vais éjaculer en toi et retiens-toi de jouir.
A peine Pénélope s’est retirée, que Lancelot m’encule, allongé sur moi. Je passe mes jambes par-dessus le dos de Lancelot, et je m'agrippe à lui, les mollets croisés sur ses reins, jusqu'à me coller étroitement sous lui. Je connais quatre orgasmes en sa compagnie, tout en suçant Pénélope, en trois quart d’heure.
- Tu es une bonne chienne.
Dès le retrait et le léchage de mon anus, Pénélope me remet le vibromasseur en place.
Pénélope sort un passe de sa poche de gilet, ouvre la porte et nous entrons.
Il y a la fenêtre, éclairant un chevalet et une croix de Saint-André pour me fouetter, mais aucun lit.
- Ainsi, tu es plus facile à saillir, sur le chevalet.
- Nous devons vous faire prendre votre bain, dit Jouisseuse Vicieuse.
La salle de bains comprend une baignoire transparente, accessible par des marches et les parois sont entièrement revêtues de glace.
Pénélope me menotte les bras en l’air, pendant tout la durée de mon bain, accroupie, cuisses écartées. Les yeux baissés, la bouche entrouverte, mon bassin ondulant sur le vibromasseur, je me laisse laver avec des éponges, sur mon dos, mes fesses, ma chatte, mon clitoris et mes mamelons sont constamment tendus par l’application de la mystérieuse crème.
A la sortie du bain, mon collier, mes bracelets et ma ceinture de cuir ont durcis et me serrent davantage. Je reste nue.
Pénélope me retire le vibromasseur et m’installe sur le chevalet.
Je suis solidement immobilisée dans cette posture dégradante, le postérieur plus haut que la tête. Mes bras sont fixés le long des pieds avants, mes jambes le long des pieds arrières, et une large sangle m'est passée au niveau de la taille. Mes cuisses, légèrement fléchies sont empêchées de se resserrer par la largeur de la poutre, ainsi d'ailleurs mes fesses que je me peut refermer.
Il caresse mes fesses et invite Lancelot à m’enculer à nouveau. Je connais quatre nouveaux orgasmes et de longues éjaculations de spermes canins. Je nettoie Lancelot.
Ma chatte est humide, trempée, ouverte au valet Pénélope. Je m’endors, menottée au chevalet.
Mon repos est de courte durée, dans la pénombre, un superbe berger allemand, prénommé Adam, m’encule avec son sexe long de vingt-cinq centimètres et cinq de diamètre jusqu’au nœud comme Lancelot et Hadès.
Mon anus s’habitue à ce nouveau sexe qui m’écartèle, comme une chienne.
Puis le beauceron et le malinois prennent le relais, pour raccourcir mon sommeil.
Mon anus s’ouvre sur commande et dégouline de spermes canins abondants jusqu’à une heure pour les plus endurants, jusqu’au nœud, pour que je reste attachée à eux.
Aux dernières heures de la nuit, quand elle est plus noire et plus froide, juste avant l'aube, Pénélope revient.
- Alors, cinq amants canins te comblent depuis ton arrivée : Hadès, Lancelot, Adam, Cœur de Lion et Atlas. Rare, les chiennes stoppent après trois amants canins. Ton œillet est en feu.
Pénélope me cravache les fesses, à toute volée. Pénélope n'attend pas que je me taise, et recommence quatre fois, en prenant soin de cingler chaque fois ou plus, haut ou plus bas que la fois précédente, pour que les traces soient nettes.
Il remet le vibromasseur anal Arès, pour que je limite l’expulsion de spermes canins.
Il ouvre la porte-fenêtre et me fait accroupir, cuisses écartées, sur la pointe des pieds, bras tendus en l’air, menottée à un crochet au plafond. Le vent fait tendre davantage mes mamelons et mon clitoris constamment tendus.
Pénélope me cravache le devant de mes cuisses.
Le tout avait duré cinq minutes.
Il me libère, m’allonge sur le dos, sur le chevalet, cuisses écartées, immobilisée.
Pénélope me baise, tandis que je suis enculée par le gode Arès. Je me retiens de jouir, sous la double pénétration.
Pénélope éjacule sur mon pubis et dans ma bouche. Pénélope me retire le gode et Lancelot m’encule dans la foulée.

11 avril

Au dehors, plus tard, une lente aurore naît jusqu’au grand jour.
Un jardinier me découvre par la porte-fenêtre, dans ma position, exhibant mes cuisses cravachées, l’anus dégoulinant de spermes canins.
Aucune soumise n'a les clefs, ni celles des portes, ni celles des chaînes, ni celles des carcans, mais tous les hommes portent à un anneau les trois sortes de clefs qui, chacune dans leur genre, ouvrent toutes les grilles, ou tous les cadenas, ou tous les colliers. Les valets les ont aussi. Mais au matin, ceux qui ont été de service la nuit dorment, et c'est l'un des maîtres ou un autre valet qui vient ouvrir les serrures.
 L'homme qui entre dans ma cellule, accompagné d'Anal Beauté et de Jouisseuse Vicieuse, est nu sous sa cape, botté, doté d’un mandrin long de trente et un centimètre et sept de diamètre.
Il me libère les chevilles et m’encule sur le champ, jusqu’aux testicules, en saisissant mes cuisses cravachées.
- Tu es une bonne chienne. Sept amants canins depuis ton arrivée. Je me retiens de jouir.
Il éjacule dans mon anus et sur mon pubis.
Je le nettoie.
Il me remet un nouveau gode : long de trente-deux centimètres et sept de diamètre, le nœud passe de la taille d’un œuf à une balle de tennis pour m’écarteler davantage. Je gémis un peu, une fois mis en place.
A son départ, libre, je m’assois sur le chevalet, cuisses écartées. Mon bassin ondule sous les coups du gode Romulus.
Jouisseuse Vicieuse pousse vers le chevet une table roulante qui porte du café au lait, du sucre, du pain, du beurre et des croissants.
- Mange vite, il est neuf heures, tu pourras ensuite dormir jusqu'à midi. Quand tu entendras sonner, il faudra que tu te prépares pour le déjeuner. Tu prends ton bain et tu te coiffes. Tu restes nue avec ta chaîne et en mules.
– Tu ne seras de service que pour l'après-midi », dit Anal Beauté. « Dans la bibliothèque : servir le café, les liqueurs, et entretenir le feu.
– Mais vous... » dis-je.
- Ah, nous sommes chargés de toi que pour la première journée. Ensuite, tu es seul. Nous pouvons plus te parler, et toi non plus tu peux pas.
– Restez, restez encore, dites-moi... »
Deux superbes étalons entrent, nus, dotés d’imposants mandrins de trente-six centimètres et sept de diamètre.
- Voici, la superbe chienne Cyrielle, la favorite du doyen, sept chiens pour la combler. Son bassin ondule avec Romulus. Approche, ma belle, dit l’un d’eux.
Je garde les yeux baissés et la bouche entrouverte.
Je reste debout. Le premier examine les balafres, appuyant légèrement la pointe de ses doigts tout le long de celle des cuisses, puis, me tournant, posant ses lèvres fraîches sur celles des fesses, l'embrassant tendrement, léchant mon clitoris constamment tendu, je mouille.
Le second pelote mes seins aux mamelons constamment tendus. Mon bassin ondule violemment sur le gode Romulus. Je suis au bord de l’orgasme anal, je me retiens.
Le second me soulève par les cuisses, et me fait empaler sur son mandrin en érection. Je ne peux refuser. Il me fait jouir.
- Sa chatte est chaude aussi, dit le second.
L’anus libre, je connais ma première double anale.
Celui qui a le plus gros s’allonge sur le dos pour que je m’empale sur lui et puisse tendre le plus possible ma croupe et l’autre m’encule simultanément progressivement, m’encule doucement, puis plus rapidement ou violemment l’anus.
Sans débander, un des hommes me prend dans ses bras, je l'entoure avec mes jambes, enculée et le second me soutenant également une partie de son poids et m’encule. J’explose de plaisir, doublement inondée.
Ils me remettent Romulus en place et je les nettoie.
Je suis menottée au chevalet, l’anus libre, prête à de nouvelles saillies anales canines, par de nouveaux amants canins jusqu’à midi.
A midi, on me détache. Je suis baignée, menottée, avec le gode Romulus en place.
Nue, en mules, accompagnée par Jouisseuse Vicieuse, je fais l’objet de deux valets, nus, en cape, bottés, avec deux superbes Danois, Luxure et Vice.
Je m’offre à quatre pattes, l’anus libre, rapidement enculée par Luxure jusqu’au nœud, suçant Vice, qui m’encule ensuite.
Après huit orgasmes anaux canins, les deux valets m’enculent aussi, tandis que je nettoie Luxure et Vice.
On me remet Romulus en place et je rejoins le réfectoire.
Au réfectoire, une salle dallée, la table longue, en verre épais, pour que les valets puissent voir ce que les soumises y ont pu faire par-dessous, et chacune a pour siège un tabouret rond recouvert de cuir. Je retrouve au contact du cuir lisse et froid sous mes cuisses écartées, livrée aux assauts de Romulus. Inversement, lors de mon départ mais les fesses et les seins nus sous mon tailleur, à chaque fois relever ma jupe pour m'asseoir, à même la banquette d'une auto ou d'un café, je retrouve, les seins et les fesses offerts, les mains et les bouches à qui tout est permis, et le silence fascinant.
Après le repas, je retrouve la bibliothèque, seule, avec le valet et le Danois Luxure. Les portes-fenêtres ouvrent à l'ouest.
Deux jeunes hommes entrent nus sous leurs capes, bottés. Je garde les yeux baissés, la bouche entrouverte, mon bassin ondulant, trahit mon orgasme anal.
Ils regardent mes fesses, mes cuisses. Je reste debout.
- C’est la fameuse chienne à sept amants canins, dit l’un d’eux.
Il me masturbe mon clitoris constamment tendu et joue avec mes mamelons tendus par le vent frais.
- Tu as envie de Luxure, ma belle chienne. A quatre pattes, tu vas te faire saillir et tu es libre de jouir.
A quatre pattes, l’anus rapidement rempli par le sexe de Luxure, jusqu’au nœud, j’explose dans quatre nouveaux orgasmes anaux.
Puis les deux hommes m’enculent à tour de rôle, l’anus bien lubrifié.
L’œillet est encore un trop étroite, malgré Romulus. D’ici quelques jours, l’œillet sera bien élargi.
Je passe l’après-midi, alternant entre les deux hommes et Romulus.
Malgré la fatigue de mes nombreux orgasmes anaux, je dois attendre l’heure de la nuit, pour ne plus porter mon gode Romulus. Je le porte au dîner du soir, nue, baignée et parfumée.
A la bibliothèque jusqu’à l’aube, je suis enculée soit par des inconnus soit par des chiens de garde de bon calibre pour m’écarteler.

18 avril
A l’aube, menottée au chevalet, de retour de la bibliothèque, Luxure, Vice et Lancelot se relaient pour m’enculer. Le sexe des Danois m’a bien ouvert, mon anus s’ouvre sur commande.
Peu après le déjeuner au réfectoire, encore nue et en mules, avec mon gode Arès, long de trente-six centimètres et six de diamètre, avec un nœud de la taille d’une balle de tennis, je reçois la visite de Xavier Henri.
- Alors ma chienne Cyrielle, le séjour t’a bien ouvert l’œillet. Je vais te retirer Arès et t’enculer sur le champ.
Menottée au chevalet, je suis sauvagement enculée par Xavier Henri. Il éjacule en moi et me met un bijou d’anus de vingt-neuf centimètres et sept de diamètre, moulé sur l’avant du sexe de Lancelot.
- Tu es doublement ouverte, ma chienne Cyrielle. Tu vas recevoir ta bague. Nous partons.
Un des valets me retire mes carcans. Je choisis ma bague pour mon annulaire gauche. C’est une bague sertie d’un petit anneau.
Je remets mon chemisier sans boutons sur mes seins nus, ma jupe largement fendue derrière, dévoile mes fesses nues, fraîchement cravachées, je garde mes mules à hauts talons à mes pieds nus. Les lèvres de ma chatte sont toutes lisses et mon gros clitoris est percé avec un anneau serti d’une pierre précieuse, pour l’étirer vers le bas. Ceci a lieu pendant mon séjour.
Xavier Henri m’embrasse langoureusement sur la bouche, en caressant mes fesses brûlantes.
Nous quittons le lieu mystérieux par un dédale de couloirs vers un parc, où se trouve la limousine. Le même étalon brun nous attend.
- J’oublie, chienne Cyrielle, voici, Alban, ton chauffeur et qui te fouette selon tes fautes. Nous n’allons pas à l’université. Tes cours te seront fournis. Tu dois parfaire ton instruction de prostituée anale et de chienne.
Je m’assois cul nu, seins nus sans mon chemisier, les yeux baissés, la bouche entrouverte. Un second inconnu nous accompagne.
C’est un athlète grisonnant, du même âge que Xavier Henri, prénommé Sir Donatien, Baron Mon Plaisir
- Il faudra mettre un fard plus foncé, le vôtre est trop clair, dit-il en pelotant mes seins, pinçant mes mamelons constamment tendus par le vent frais de la fenêtre ouverte.
Alban m’observe. Je mouille d’excitation et cela se voit.
- Tes mamelons se tendent et ton clitoris se tend sous ta jupe, chienne Cyrielle.
- Oui, Sir, je suis excitée sous vos doigts.
- Tu es très docile, comme chienne.
La limousine s’arrête dans une allée forestière, non loin du lieu secret.
- Baisse ta jupe que je prenne, annonce Sir Donatien.
J’obéis, après être descendue de la limousine.
Les fesses nues, Sir Donatien les caresse, les écarte, me retire mon bijou d’anus et m‘encule d’une seule traite jusqu’aux testicules qui claquent contre mes fesses. Je me cambre, les doigts de Xavier Henri dans ma bouche, pour couvrir mes râles et les doigts experts d’Alban sur mon clitoris tendu.
Sir Donatien éjacule longuement en moi, tandis que des cavaliers armés passent à proximité.
- Messieurs, c’est la chienne Cyrielle, que vous connaissez.
- Oui, celle qui s’offre à sept amants canins. Son œillet est un vrai plaisir pour ses amants canins.
Ce qui provoque un orgasme anal et Sir Donatien éjacule à nouveau.
- Cela te fait de l’effet, chienne Cyrielle.
- Oui, Sir, les saillies m’ont rendues plus perverses.
Un des cavaliers que je semble connaître, malgré mes yeux baissés, m’invite :
- Tu veux goûter au sexe équin de ce superbe étalon pur sang, prénommé Zéphyr du Plaisir.
J’écarte bien mes cuisses et l’homme plonge son sexe chaud et dur dans ma chatte jusqu’au fond. Je dois sucer aussi l’autre cavalier.
Sir Donatien m’écarte le plus largement possible les lèvres de ma chatte humide. Son sexe de quatre-vingt centimètres me remplit jusqu’à trente centimètres.
Zéphyr tape un peu des pieds arrières d'excitation, enfoncé jusqu’au fond de ma chatte.
Je ne dois quasiment rien faire, c'est lui qui me baise !
Zéphyr me remplit totalement la chatte qu'il dilate excessivement : c'est trop bon. je jouis comme une femelle en chaleur, tout en suçant un des cavaliers.
- La saillie équine de la chatte se passe à merveille, une future pouliche.
Ses coups de boutoir sont violents comme j’aime, jusqu’à ce que je jouisse une deuxième fois.
Lorsqu’il jouit à son tour, je sens son sperme chaud au fond de ma chatte, c’est chaud.
Bien sûr, les cavaliers m’enculent sur le champ, laissant Zéphyr m’offre son sexe en bouche. Zéphyr éjacule dans ma bouche. Je suis aux anges.
Le bijou d’anus en place, la limousine nous dépose, devant un luxueux pavillon de chasse. Je descends, nue et en mules, en sueur.
- Vas te doucher, te rafraîchir, te parfumer et te faire belle pour tout à l’heure. Tu restes nue, ici, comme au Domaine des Vicieuses.
La grande salle de bains au rez-de-chaussée est entièrement recouverte de glaces et de miroirs sans tain, sur les murs et au plafond.
Déchaussée, je rejoins la douche, passe le jet d’eau froide sur mon corps, faisant tendre davantage mes mamelons et mon clitoris. La douleur devient supportable.
Anal Beauté me rejoint nue et m’encule sauvagement, l’anus libre, tandis que l’eau froide ruisselle sur mon dos, mes reins et je retarde au maximum mon orgasme. Mais Anal Beauté n’éjacule pas. Je suis surprise. Elle a été opéré pour faire l’amour sans éjaculer, tout comme Jouisseuse Vicieuse, mais elles peuvent bander.
Sir Donatien nous surprend.
- Tu prends ton pied, chienne cyrielle. Tu seras fouettée par Anal Beauté, tout à l’heure. Un bon lavement te fera du bien.
Anal Beauté me conduit sur le bidet où je m’assois, courbée en avant, cuisses écartées, devant un grand miroir, dévoilant ma chatte épilée ruisselante.
Anal Beauté me savonne l’anus puis m’enfonce une canule, montée à l'extrémité du flexible de la douche, par laquelle elle m’asperge d’eau froide. Mon clitoris se tend, sous l’excitation sexuelle.
Une fois propre, fardée et parfumée, nue et en mules, je rejoins au rez-de-chaussée du pavillon de chasse, dans une terrasse couverte de vitres, cinq hommes cagoulés et leurs chiens, tous des Danois. Je porte mes carcans de cuir au cou, aux poignets et aux chevilles.
- Chienne Cyrielle, mets-toi à quatre pattes. Les bras tendus pour que tes fesses accueillent le sexe raide des Danois. Tu es libre de jouir avec les Danois et de sucer les clients.
Le premier Danois, prénommé Attila, m’encule longuement, tandis que je suce son maître, un superbe étalon bien monté.
Le second Danois, Beau Désir, m’encule avec plus de vigueur qu’Attila. Avec le troisième, Comte César, me fait exploser sous mes orgasmes anaux.
Les saillies durent entre une bonne demi-heure à trois quart d’heure en moyenne, selon leurs excitations.
Mais pour le quatrième et le cinquième, Désir Divin et Ejaculateur Eros, je suis prise en double pénétration canine, une première pour moi.
Je m’empale sur Désir et Ejaculateur m’encule. Je suis couchée sur Désir de tout son long sur mon amant vaginal que je gratifie de nombreuses caresses avant sa prochaine réplique.
Je sens les deux nœuds de ses partenaires coincés en moi. Et lorsque les deux chiens éjaculent, à quelque minutes d'intervalles, que je sens mes orifices abondamment trempés de sperme tiède, qui sort de ma chatte et de mon anus, dégoulinant le long de mes jambes, je connais un tel orgasme que la tête me tourne et que je faillis m'évanouir. À chaque mouvement, un peu plus de sperme animal s'échappe de mes orifices, prouvant que je deviens de moins en moins hermétique. Puis Ejaculateur se retire de mon anus en m’arrachant un incroyable râle de douleur. Je me retire ensuite de Désir.
Les yeux mi-clos, je découvre des billets circulés devant moi.
- Chienne Cyrielle, mes amis ont parié 15.000 sur le temps de ta double pénétration, mais tu as dépassé le temps parié. Tu gagnes le droit de te faire prendre en double pénétration par les maîtres de Beau Désir et Ejaculateur Eros, mais en double anale.
A peine remise de mon orgasme, les deux maîtres aux gros mandrins m’enculent en cadence, tandis que je suce Désir et Ejaculateur à tour de rôle.
Mon anus déborde de spermes chauds. Je suis aux anges.
Je suis menottée à un chevalet pour être fouettée.
Je me retiens de gémir sous la garcette et la cravache sur mes fesses et mes cuisses brûlantes. Mon anus est humide.
Je reste menottée, pendant que les invités se restaurent avec Sir Donatien. Un des hommes cagoulés m’apporte le plat de résistance et me nourrit. Les Danois m’enculent à tour de rôle, me donnant de nouveaux orgasmes anaux de plus en plus violents.
L’homme m’annonce :
- Chienne Cyrielle, je suis ton frère Brice. Ton cousin Sacha t’a enculée aussi. Il aime ton œillet bien chaud.
Mon dos est brûlant sous le soleil qui perce les vitres de la terrasse.
A la cinquième et ultime saillie anale, Anal Beauté me met de la crème solaire sur mon dos et de la crème apaisante sur mes fesses et mes cuisses.
- J’aime tes fesses et tes cuisses zébrées, chienne Cyrielle.
- Peut-être, dis-je. Et je ne me plains pas, mais l'habitude, ah non, je ne peux pas m'habituer...
Eh bien, tu as de quoi faire, parce que c’est bien rare que tu ne le sois qu'une fois par jour ici. Avec ta bouche très bien dressée et à fouetter, tes seins et tes fesses sont vraiment faits pour la cravache, les invités en ont envie, tu peux toujours supplier.
Je vois qu’Anal Beauté indique la procédure du pavillon de chasse, dit Sir Donatien en me faisant sucer son gros mandrin. Je vais éjaculer dans ta bouche bien dressée et tu avales tout.
J’obéis.
- Tu seras détachée tout à l’heure, Ejaculateur doit encore te faire jouir.
Dans l’instant, enculée jusqu’au nœud, j’explose dans un premier et long orgasme anal. Je me retiens de recracher le sperme de Sir Donatien.
Ejaculateur se retire partiellement pour mieux m’enculer avec vigueur, tandis que son maître, Sacha me fait sucer son gros mandrin et m’encule à son tour, tandis que je suce à mon tour Ejaculateur.
Pantelante, je reprends mes esprits, allongée sur le lit, sur le dos, dans un grand lit, bras et jambes écartées, menottée par mes carcans de cuir, mon anus dégouline de spermes chauds humains et canins, entourée de miroirs et de glaces sans tain sur les murs et au plafond.
Un autre Danois, prénommé Olaf l’enculeur, m’encule d’une seule traite, ses pattes pelotent mes seins, provoquant une tension extrême, ainsi qu’à mon clitoris. Je me cambre sous ses coups de boutoir, son nœud écartelant mon anus. Olaf reste en moi, même après son éjaculation et son sexe mou.
Quelques instants après, Olaf reprend ses vigoureux assauts et j’explose dans une série de quatre orgasmes anaux violents, qui m’épuise.
Après son retrait, je suis menottée sur le ventre, bras et cuisses écartées.
- Alors, ma belle chienne Cyrielle, je te vais te défoncer ta chatte affamée et toute humide, m’annonce Sir Donatien.
Il est équipé d’un extenseur de mandrin qui ajoute instantanément quatre centimètres de longueur à votre pénis et il compresse son mandrin en améliorant immédiatement sa rigidité tout en restant très doux et très souple et il est élargi d’un centimètre grâce à l’épaisseur du fourreau en silicone dans lequel sera serré son mandrin. Dès les premiers coups dans ma chatte, je ressens des nodules et des picots souples qui stimulent de manière très agréable ma chatte et mon clitoris tendu à l’extrême. Il me baise pendant une éternité, m’abandonnant à une série d’orgasmes.
Puis il m’encule avec le même extenseur. Je gémis un peu, mais je prends du plaisir.
- Je te baiserais chaque jour, jusqu’à ta grossesse.
Il choisis un double vibromasseur canin qui me remplit complètement la chatte et une bonne longueur de mon anus, maintenu par des chaînettes reliées à une ceinture de cuir, comme au Domaine.
En mules, détachée, fardée et parfumée, je dois exhiber mon corps à des inconnus, qui sont libre de me caresser les seins, mes mamelons tendus sont pincés par des pinces avec clochettes, tout comme mes grandes lèvres humides. La clochette en métal fixée par un anneau s'anime au moindre mouvement, émettant un tintement cristallin. De violents va-et-vient simultanés ou alternés provoquent l’ondulation de mon bassin, je dois me retenir de jouir, sous peine de punitions.
Au coucher du soleil, nue, en bottes, avec mes clochettes aux mamelons et aux grandes lèvres, je rejoins les écuries, à un quart de marche à pied.
Là, menottée sur un chevalet, Zéphyr m’encule, l’anus bien lubrifié par quelques saillies anales d’Olaf. Mes gémissements et mes râles sont étouffés par les mandrins des invités qui me filment, me photographient, commentent mes orgasmes anaux. Zéphyr bande et débande un long moment dans mon anus, pour que je m’y habitue. Au bout d’une heure, je suis offerte au trotteur Français, Alizé des Plaisirs, pour une nouvelle saillie de ma chatte et s’achevant par une saillie anale.
Après Alizé, c’est Tornade des Vices qui m’encule. Je reste trois jours aux écuries, offerte à mes trois amants équins, pour que mon anus s’habitue à leur diamètre. Sir Donatien me baise, menottée sur le chevalet, entre deux saillies.

21 avril
A l’aube, les hommes des écuries m’enculent lors d’une longue orgie, où je suce et nettoie leurs mandrins.
Sir Donatien fait marquer mes fesses au fer rouge : sur la fesse gauche XH entrelacés et SD sur l’autre, ainsi que sur mon épaule gauche, une cravache et un fouet entrecroisé. J’ai perdu ma longue crinière pour une coiffure à la garçonne. J’ai toujours gardé ma toison pubienne.
Je passe plusieurs nuits en compagnie d’Anal Beauté, qui me baise et m’encule, sous le regard de divers inconnus, des couples avec leurs chiens de garde, qui m’enculent aussi.

2 mai
Brice et Sacha me baisent aussi, pour me faire mettre enceinte, lors de visites fréquentes.
Menottée au fauteuil gynécologique, nue, je suis fouillée par un bel étalon brun, Ken, au mandrin imposant, de trente-deux centimètres et sept de diamètre, avec un spéculum et un écarteur anal, une caméra filme l’intérieur de ma chatte et de mon anus humide d’excitation. Depuis mon arrivée chez Sir Donatien, il m’a enculée à plusieurs reprises, après mes saillies anales canines puis équines.
Il révèle devant Sir Donatien :
- La chienne Cyrielle n’a pas ses règles. Elle est enceinte. Son régime anal continuera et vous seul, Sir Donatien vous la baiserez encore.

En quelques mois, tous les soirs Sir Donatien continue à me baiser, ainsi que Zéphyr et Olaf.
Malgré mon état de grossesse, après quelques mois, Juliette était restait superbe et désirable : mes jambes et mes hanches ont gardé leur finesse première. Il n'y a que mon ventre et mes seins qui augmentent de volume.
Je fais du sport tous les matins pour garder un corps ferme et désirable.

Enfin, je donne naissance à des jumeaux, un garçon et une fille.
Brice et Sacha me baisent à nouveau, jusqu’à la naissance d’un garçon.

Après deux années au service de Sir Donatien, je retrouve mes poils autour de ma chatte, je garde ma bague, mes marques au fer rouge et mon anneau à mon gros clitoris.
Je deviens professeur de l’art de la sexualité. Je suis nue sous ma blouse, avec ma collection de bijoux d‘anus. Xavier Henri me choisit les meilleurs élèves, pour des orgies anales, avec double pénétration anale, comme il se doit, avec de nombreux Danois qui m’enculent.
J’ai retrouvé mon corps de femme. Je suis devenue une véritable chienne, prostituée et très perverse.

A bientôt, votre chienne adorée et perverse, Cyrielle.

LIBRAIRE VICIEUSE


Je m’appelle Olympe.
J’ai 23 ans.
Je suis une jolie beauté scandinave.
Je suis une brune aux yeux verts. J’ai des pieds fins et latins, des jambes longues bronzées, musclées qui inquiètent par leur perfection. Mon pénil est bombé, ouvert, couronné de noir. Ma pilosité brune couvre mon pubis. Ma chatte est velue et j’ai une superbe croupe. Les lèvres de mon sexe sont une plaie rouge entre mon entrecuisse. Mes hanches s'incurvent et délimitent le ventre plat, délicieusement renflé autour du nombril, les hanches sont larges et rondes, mais sans lourdeur. La taille est affinée. Les seins parfaits intégralement bronzés sont un peu volumineux mais fermes, et leurs pointes marron clair, toujours dressées, cernées par une large aréole marron attirent le regard. J’ai une peau lisse et patine. Finition parfaite, un seul grain de beauté entre mes superbes seins. De longs cheveux plats blonds flottant comme des algues, battent mes épaules rondes et gracieusement athlétiques. Je suis intégralement bronzée. Mes yeux verts limpides s'allument, ma bouche charnue se fend. J’ai des sourcils bruns bien dessinés et des lèvres pulpeuses. J’ai de longs doigts fins et de belles mains. Je fais du 90B de poitrine, 56 de taille, 90 de hanches, 1,72 m.


LIBRAIRE VICIEUSE


10 avril
Je possède une librairie que j’ai racheté il y a deux ans, après la mort du libraire, son fils me l’a vendue, en échange de mon pucelage de ma chatte. La librairie est située dans une arrière-cour discrète.
Ce matin, élégamment vêtue d’un chemisier blanc sur mon soutien-gorge corbeille transparent blanc et ma jupe droite fendue derrière fuchsia sur mon string assorti, mon porte-jarretelles et mes bas blancs, chaussée d’escarpins blancs à hauts talons, coiffée de ma queue-de-cheval, je me rends au fond de la librairie, dans le rayon œuvres pour lecteurs avertis, dont certains raffolent.
Je me contente d’histoires érotiques qui me font mouiller la chatte et tendre mon clitoris.
La porte s’ouvre, tandis que je lis « Le Lien », une jeune femme de mon âge, blonde, aux seins plantureux, en robe décolletée blanche et sandales blanches, les cheveux libres, m’interpelle :
- Miss Olympe, je désire une œuvre très spéciale. Tu es dans le rayon des œuvres interdites.
- Oui, Miss Hermine, quelle œuvre cherches-tu ?
- Une variante d’Histoire d’O, par un autre écrivain, le Baron.
- Je ne connais pas, cet auteur.
- Il paraît qu’il est très distingué, en plus de nouvelles histoires SM avec de nouvelles héroïnes. Il paraît que tu es son style de femme.
- Comment, j’ai plusieurs amants.
- As-tu déjà été enculée, Olympe ?
- Quoi, tu veux dire…
- Oui, un mandrin qui a honoré ton œillet, ma chérie.
- Non, jamais de la vie, je refuse que l’on me fouille l’anus, même mes copines.
La porte s’ouvre et un bel Adonis apparaît, en costume, me dévisageant :
- Voici, la fameuse libraire Olympe et sa collection d’œuvres interdites.
Le livre tombe de mes mains.
Je m’accroupis pour le ramasser.
- Non, tu dois te pencher en avant en gardant les jambes tendues. Quelque soit la longueur de ta robe ou de ta jupe et ou que tu sois. Jamais d'exception à cette règle.
- Je ne peux pas, cette position est obscène.
- Obéis, Olympe, sinon, je te cravache.
- Qui êtes-vous ?
- Tu dois me tutoyer.
- Qui es-tu ?
- L’auteur du roman dont tu es ma muse.
Je reprends le livre en main.
- Retire ta jupe de suite, Olympe. Je ne le dis une fois. Hermine est témoin.
J’obéis et je reste avec mon string, mon porte-jarretelles et mes bas.
- Je te veux les jambes nues et la chatte non dissimulée. Donc plus de culottes ou de strings, plus de soutien-gorges et jamais non plus de body. Tes seins et ta chatte doivent toujours être nus sous tes vêtements et ton entrejambes jamais dissimulée. De ce fait, jamais plus non plus de collants, de shorts, de jupes culottes ni bien sur de pantalons. Tu ne porte que des jupes ou des robes mais à la condition qu'en aucun cas elles ne soient plus longues que le milieu de tes cuisses. Jamais de tee-shirt ou autres vêtements sous tes corsages ou chemisiers. Pour tes pieds, soit tu soit pieds nus soit tu portes des chaussures toujours à talons.
Les jambes et les fesses nues, je me sens un peu gênée. Je cache mon pubis et ma chatte trempée, sous l’excitation, mon clitoris est tendu.
- Retire ton chemisier et ton soutien-gorge aussi. Je te veux toute nue, pour ta première leçon d’éducation anglaise.
- Oui, monsieur, je m’exhiber toute nue à vous.
- A toi, Olympe.
- Je m’exhibe tout nue à toi.
- Tu m’appelles Maître, désormais.
 -Oui, Maître, dis-je en cachant partiellement mes seins et ma chatte, par pudeur.
 -Penche-toi en avant, cuisses écartées et écarte bien tes fesses.
J’obéis.
Le mandrin de seize centimètres et six de diamètre bien dur s’enfonce dans mon anus vierge.
– Elle, très serrée !
– Pousse, chéri, pousse, pète lui sa rondelle !
A force de persévérance et après un certain nombre de tentatives infructueuses. Il poursuit aussitôt la pénétration pour ne pas rester coincé et mon anus est contraint de s'assouplir. Il me saisit par les hanches et me fait coulisser son gros mandrin.
- C’est ta première sodomie, Olympe.
- Oui, j’ai un peu mal.
- Je suis jusqu’aux testicules, détends-toi.
Il me caresse les seins aux mamelons tendus.
- Pose les mains au sol, pour que je t’encule davantage.
- C’est bon, masturbe mon clitoris tendu.
- Tu commences à prendre goût, Olympe.
- Je vais éjaculer en toi et tu vas jouir en même temps.
Un premier orgasme anal me submerge et je sens son long jet de sperme chaud dans mon anus.
- Accroupis-toi et tu vas me sucer. Garde bien mon sperme, Olympe.
J’obéis.
- Tu es une excellente suceuse, Olympe.
Je le nettoie.
- Ecarte les fesse, je vais te mettre un bijou pour conserver ton anus dilaté et tu auras cinq centimètres d’ouverture. Cela te permet que je t’encule plus aisément la prochaine fois.
Le bijou est très beau, il est en aluminium brillant orné par un magnifique cristal rose à son sommet : c’est ce cristal rose qui est visible entre les fesses une fois qu’il est introduit dans l’anus. Il est très doux et très petit, ne provoque aucune gêne mais au contraire une délicieuse excitation anale permanente, et vous pouvez facilement vous asseoir avec le bijou dans l’anus.
La forme en sapin et sa large base vous garantissent un excellent maintien dans l’anus.
La section qui relie les deux extrémités est très fine et douce afin de laisser l’anus se refermer dessus sans gêne. Cette tige de la taille de l’auriculaire sert de support lorsque le sphincter se referme.
- Gardez-le jusqu’à midi. Je prends vos dessous.
- Je vais passer la journée, seins nus, jambes et fesses nues sous ma tenue. Cela est un peu provocant.
- Surtout, si je découpe les boutons de votre chemisier. Tous vos clients auront une vue imprenable sur vos seins nus aux mamelons tendus. Tu es excitée par cette situation, Olympe.
- Oui, Maître, m’exhibée ainsi, me gêne mais aussi m’excite.
L’auteur disparaît comme il est venu.
- C’était le Baron, ma chérie. Il vient de te dépuceler l’anus. Il semble connaître tes goûts sexuels.
- J’ai eu un peu mal, mais cela n’est pas désagréable. Je me suis trompée.
- Olympe, mon mari et mes amants m’enculent plusieurs fois par jour. C’est divin, même en double pénétration.
Je pense le reste de la matinée, avec mon chemisier déboutonné. Quand je me baisse pour ranger un livre, je vois mes seins bouger doucement et le regard voyeur de tout autant les hommes et les femmes. Je m’habitue à cette exhibition contrainte.
Vers midi, je ferme la librairie. Le Baron m’attends et m’annonce :
- Alors, tu es toute humide. Tu as du contracter ton anus, pour faire avancer le bijou contre ta chatte humide.
- Oui, cela m’a stimulé et la sensation est très agréable, j’aime ça.
Allons au restaurant, j’ai réservé une table pour deux.
Au restaurant, je dois me confesser, sur ma sexualité, mes goûts sexuels, ma défloration, mes longueurs et grosseurs de mandrins favoris, mes masturbations en solitaire.
 - Maître, je dois me soulager. J’ai aussi envie de faire.
- Je sais, tu dois te vider l’anus. Ce sera plus tard, Olympe. Je règle la note.
- Allons, aux toilettes pour hommes, tu retires ta jupe et tu restes fesses nues et obéissante. Sinon, je te fesse.
Aux toilettes hommes, je dois patienter, les fesses nues, face au mur, en compagnie du Baron :
- Cette beauté rêve de vos queues dans son œillet de soumise. Elle adore ça. Mais avant, tu vas pisser debout dans l’urinoir.
Je me concentre, tandis qu’un des hommes me masturbe le clitoris tendu.
– Alors vas-y.
Le Baron me sollicite doucement la chatte de la main droite, tandis qu’une main gauche, un second homme me pelote les seins, faisait saillir mes tétons, frotte mon plexus, un troisième homme descend sa main sur mon pubis qu'il presse, cherchant la vessie pour y appuyer.
Bientôt je me lâche. Une fine ligne transparente partit d'entre ses jambes, formant une légère parabole. Le Baron met sa main en coupole sur mon pubis. Le liquide tiède emplit sa main, discrètement parfumé, un peu salé. Il me contraint à boire le liquide s’en perdre une goutte.
C’est le signal.
L’anus libre, je suis sauvagement enculée par les troisième hommes de divers calibres au-delà de cinq centimètres. Je me détends, fessée magistralement par le Baron.
- Empale-toi à fond jusqu’aux testicules, ma soumise.
Je connais de nouveaux orgasmes anaux, l’anus rempli de spermes chauds.
Le Baron m’encule en dernier.
- Tu te montres plus vicieuse, tu prends goût, Olympe.
- Oui, Maître, encule-moi profondément.
Il éjacule à son tour et me remet le bijou d’anus. Je reprends mes esprits. Je remets ma jupe. Je lui donne mon numéro de téléphone de mon appartement, sur la place, à un quart d’heure du restaurant.
- Je peux aller ouvrir ma librairie, Maître.
- Non, cet après-midi, je dois te présenter à d’autres hommes. Mais tu vas changer de tenue. Tu vas porter les tenues que nous allons choisir ensemble. D’abord une guêpière seins nus, qu'un busc, sur un côté derrière, permet de boucler et de déboucler. Par-derrière aussi, un large laçage se serre ou se desserre à volonté. Ta taille et ton ventre doivent se creuser sous la pression des baleines, qui sur le ventre descendent presque jusqu'au pubis, qu'elles dégagent, ainsi que les hanches. La guêpière est plus courte par-derrière et laisse la croupe entièrement libre, pour faciliter l’accès à ton oeillet. De nouvelles jupes largement fendues devant et derrière, si possible transparentes et courtes et des robes de même longueur, dénudant tes jambes, mises en valeur par des mules à très hauts talons à tes pieds nus.
Nous faisons une boutique de lingerie où je parade nue, puis en guêpière que je dois porter toute la journée.
Le marchand de chaussures me fait un prix pour plusieurs paires de mules, dont j’en porte une paire.
Les jupes sont mesurées par le Baron.
J’en porte une assez courte, fine, laissant deviner mon pubis et mes fesses nues, par de discrètes fentes, pour me faire caresser.
Je porte des décolletés sur mes seins nus, transparents, dos nu.
Ainsi tout le monde sait que j’ai les seins, les fesses et la chatte nus, à disposition.
Je ne réagis à aucun regard, ni jamais je ne serre les jambes et à ne jamais me croiser les bras pour masquer mes seins. Je suis terriblement excitée. Plus je suis  excitée et plus parfois c'est gênant car ça ce voit parfaitement bien.
Nous faisons ensuite la tournée des sex-shop où je suis enculée par des inconnus qui payent le Baron, devant des films lesbiens, anaux et de double pénétration pour m’exciter davantage.
Vers quinze heures, je marque une pause, la bouche et l’anus remplis de spermes chauds. Nous prenons un jus de fruit. Je sens mes mamelons et mon clitoris se durcir davantage.
Après les sex-shops, les clubs libertins me sont ouverts. Je suis nue avec mon bijou d’anus, faisant l’amour avec des couples hétérosexuels, lesbiens et homosexuels, comme suceuse et lécheuse, récompensée par de longues sodomies et doubles pénétrations jouissives.
Vers vingt et une heure, nous allons à mon appartement. J’ai droit à mon premier lavement anal, après ma douche et mon démaquillage. Je m’assois sur le bidet, courbée en avant, cuisses toujours écartées, exhibant ma toison pubienne. Le Baron me lave soigneusement l’anus. Il enfonce une canule, montée à l'extrémité du flexible de la douche, par laquelle il m'asperge d'eau froide. Cette inondation intime provoque la tension extrême de mes mamelons et de mon clitoris, masturbés avec soin par le Baron. Je jouis, sous le jet d’eau froide.
- Ainsi, ton œillet sera toujours propre. Remet ton bijou d’anus. Tu ne connais pas encore la cravache. Des amis vont venir te voir ce soir.
Je mange nue, cuisses écartées, agenouillée, aux côtés du Baron, qui visionne un film d’éducation anglaise, que je regarde aussi excitée.
Les rideaux ouverts, les lumières allumées, je sais que mes voisins vont me faire des commentaires.
Le Baron m’allonge sur le dos et me menotte les poignets dans des carcans de cuir, les bras écartés, aux barreaux de la tête du lit et met une barre d'espacement et attache mes chevilles au pied du lit.
Les carcans sont faits : en plusieurs épaisseurs de cuir, chaque épaisseur assez mince, au total pas plus d'un doigt, verrouillés par un système à déclic, qui fonctionne automatiquement comme un cadenas quand on le refermait, et ne peut s'ouvrir qu'avec une petite clé. Dans la partie opposée à la fermeture des bracelets, pris dans le milieu des épaisseurs de cuir, et n'ayant presque pas de jeu, il y a un anneau de métal, qui donnait une prise pour fixer, et qu'on positionne du côté intérieur du poignet. Pour le collier, l'anneau pend devant le cou, reposant sur la saillie des clavicules, et brinquebalait au rythme des mouvements de celui qui le porte.
- Ainsi, tu es menottée à ton lit, pour la soirée.
Il ouvre un sac de golf et sort un martinet, une cravache, une garcette.
La garcette, est faite de cordes assez fines, faite de sept lanières terminées chacune par plusieurs nœuds, et qui sont toutes raides, trempées dans l'eau, le Baron me caresse l’intérieur de mes cuisses écartées, je sens mieux combien les cordes sont humides et froides contre la peau tiède de mes cuisses.
- Cela est pour tout à l’heure. Tu vas jouir, enculée par mes amis.
Je dois les sucer, ils sont longs jusqu’à trente-un centimètres et sept de diamètre en érection. Ce sont des Africains noirs, des Musulmans et des étalons musclés.
Ils m’enculent jusqu’aux testicules.
Ils éjaculent soit dans ma bouche, je dois tout avaler, soit sur mon pubis, soit sur mes seins, soit dans mon anus.
Ils sont une douzaine à se relayer.
Pantelante, je suis menottée sur le ventre, avec un coussin pour me relever les fesses.
Tous me cravachent, me donnent des coups de martinet sur mes fesses et mes reins, puis le Baron me finit à la garcette.
Les fesses et les reins brûlants, le Baron examine les balafres, posant ses lèvres fraîches sur celles des fesses, l'embrassant tendrement, le léchant là – et sous ses caresses, ma chatte mouille d’excitation.
Les sodomies reprennent, entre deux séances de cravache jusqu’à l’aube.
Je dors menottée, buvant beaucoup, sur ordre du Baron.

11 avril
A l’aube, je suis détachée et je regarde mes marques sur mes fesses et mes reins, tout en me soulageant, debout, devant la cuvette. Je porte mon bijou d’anus, l’anus rempli de spermes chauds.
Je me rendors jusqu’à neuf heures.
Mes sodomies et mes coups de cravache me rendent plus fière de moi, la promise du Baron.
Vers neuf heures, le Baron vient me voir.
Il me tient par le collier, deux doigts glissés entre le cuir et le cou
- Tu es désormais mise en commun entre moi et ceux dont je décide, et ceux que je ne connais pas. Tu es leur soumise et les accueillir avec le même respect avec lequel tu m’accueille. Tu es ma prostituée. Tu ne peux pas ne pas te révolter. On obtient ta soumission malgré toi, non seulement pour l'incomparable plaisir que moi ou d'autres y trouverons, mais pour que tu prennes conscience de ce qu'on a fait de toi. Tu ne dois ni regarder un homme au visage, ni lui parler. Tu ne le dois pas davantage à moi, mais te taire, et obéir. Tu n'ouvres désormais ici la bouche, en présence d'un homme, que pour crier ou sucer. Va te doucher et te farder.
Je me farde la bouche avec un rouge clair, un peu liquide, que j'applique au pinceau, et qui fonce en séchant. Je me peins du même rouge l'aréole et le mamelon durci, et les petites lèvres entre mes cuisses, en soulignant la fente du giron. Je me poudre le visage. Des glaçons permettent de faire tenir la couleur sur mes mamelons.
Le Baron prend soin d’enduire d’une crème mes mamelons et mon clitoris qui déclenche une hyper sensibilité. Le moindre frottement de tissus ou même ne serait ce que l'air sur mes mamelons et mon clitoris me provoquent une excitation énorme. Mes mamelons pointent au maximum tout le temps, vingt quatre heures sur vingt quatre et de même pour mon clitoris. Je suis interdite de me faire jouir. Je suis frustrée et la douleur que cela procure en plus de la douleur provoquée par le fait que mes mamelons et mon clitoris soient constamment tendus.
Mes mamelons et mon clitoris sont complètement tendus et très dur au point de me faire vraiment mal et le moindre effleurement même involontaire devient une véritable torture tellement ces endroit sont devenus sensibles.
Mon clitoris est gros comme une cerise, saillant et volumineux, tandis que mes mamelons sont particulièrement saillants, gros et longs tétons. Tout le monde peut voir mon excitation sexuelle.
Au choix, un chemisier sans bouton, une nuisette ou une guêpière seins nus qui dégage tes fesses, sans aucun dessous bien sûr.
J’opte pour la nuisette et mes mules à très hauts talons. Il me retire mes carcans de cuir.
Je dois faire un trajet en voiture d’un quart d’heure, assise, cuisses écartées, fesses nues sur la banquette, puis à pied d’une demi-heure. Je reste comme la veille. Je porte mon bijou d’anus, long de douze centimètres et six de diamètre, muni d’un discret va-et-vient, avec un prépuce, me rappelant combien j’aime être remplie et enculée par un vrai étalon. Le gland monte et descend à l’intérieur de mon anus encore plus vite de haut en bas dans mon anus, tout en vibrant, par à-coups et à intensité progressive. Je dois me retenir de jouir, mais ma chatte est toute trempée, quand j’ouvre ma librairie.
De discrètes caméras installées par le Baron lui permettent d’observer mon comportement de soumise. Mes fesses zébrées interrogent mes clients habituels.
Certains n’hésitent pas à m’enculer, à l’improviste. Je reçois dans mes colis habituels, trois tomes du Baron : dressage, éducation anglaise et écrin ou œillet. J’ai trois livres dédicacés par le Baron, à lire secrètement.
A midi, je retourne au restaurant, où je déjeune seule, mais je continue mes sodomies aux toilettes pour hommes.
En fin d’après-midi, le Baron me présente aux jumeaux Donatien et Dan, deux superbes étalons africains aux mandrins imposants : Donatien trente centimètres et Dan vingt-cinq centimètres de long pour tous les deux sept de diamètre.
Je me fais enculer par chacun, nue, dans ma librairie, offerte, à quatre pattes, les bras tendus, les fesses bien rebondies, faisant claquer leurs testicules contre mes fesses, qui sont magistralement fessées. Ils me saisissent à la taille, pour me faire coulisser sur leur gros mandrin qui m’écartèle l’anus. Ils m’agrippent de plus en plus fortement mes hanches. Tandis qu’un m’encule, je suce l’autre.
Je m’empale sur chacun.
Je subis ma double pénétration : Dan me prend dans ses bras, je l'entoure avec mes jambes et me laisse baiser. Donatien m’encule, soutenant également une partie de mon poids. Un double orgasme m’irradie, doublement inondée de leurs spermes.
Pantelante, je les nettoie.
Je les retrouve le soir à mon appartement, pour me faire fouetter, menottée à mon lit.

15 avril
A l’aube, encore une nouvelle fois fouettée et enculée par de nouveaux inconnus, avec mes carcans de cuir, je reçois la visite du Baron.
- Ma chère Olympe, ton éducation et ta soumission n’ont pas encore le degré requis. Tu dois rejoindre un lieu secret pour continuer ta transformation en une vraie soumise docile. Mets ta guêpière, un boléro et une mini-jupe transparente et tes mules, nous partons, fardons-toi aussi.
Je m’exécute.
Habillée, je monte seule dans la limousine, aux vitres teintées, assise cul nu. Elle est conduite par un élégant chauffeur, un Africain noir. Je porte mon bijou d’anus vibrant comme depuis le 11 avril et mon collier et mes bracelets en cuir.
Nous quittons la ville par un chemin inconnu.
A mi-chemin, le chauffeur, Hercules, ouvre la porte de la limousine.
Il me retire mon boléro, ma jupe. Il me menotte dans le dos, me met un masque de nuit avec un bâillon-pénis.
Aveuglée et muette, je suis allongée sur le dos, mes mollets posés sur ses épaules, cuisses écartées. Il sort son imposant mandrin, long de trente-deux centimètres et sept de diamètre, libère mon anus trempé de spermes chauds.
Il s’agenouille et il m’encule près d'une heure, sans qu'une seconde je me dérobe, dans un silence absolu avec lequel Hercules m’encule, et laissant à peine échapper, une plainte aiguë au moment du plaisir, va jusqu'à l'épuisement de ses forces. La bouche libre, je suce le mandrin enfoncé jusqu'à la gorge que chaque mouvement par lequel il heurte de ce bélier le fond de mon palais me fait jaillir de nouvelles larmes.
- Ton œillet est chaud, Olympe. Tu es une soumise docile.
Il me remet le bijou d’anus en place et nous entrons dans un souterrain menant à une grande allée.
On m'aide à sortir de voiture, je monte quelques marches, puis franchis une ou deux portes toujours à l'aveugle, je me retrouve seule, le masque de nuit et le bâillon-pénis enlevés, debout dans une pièce avec un épais tapis par terre, mais sans un meuble, tout entourée de placards.
Deux femmes ouvrent la porte, deux femmes jeunes et jolies, vêtues avec de courtes jupes légères, les pieds nus dans des mules à très hauts talons, des corselets serrés qui font jaillir la poitrine et sont lacés ou agrafés par-devant et des manches à demi longues. Les yeux et la bouche sont fardés. Elles ont un collier serré autour du cou, des bracelets serrés autour des poignets.
Alors je sais qu'elles me libèrent les mains
- On va te baigner et te farder.
On m'a donc mise nue, et on a rangé ses vêtements dans un des placards. On ne me pas laisse me baigner seule, et on me coiffe, comme chez le coiffeur, en me faisant asseoir dans un de ces grands fauteuils qui basculent quand on vous lave la tête, et que l'on redresse pour vous mettre le séchoir, après la mise en plis. Cela dure toujours au moins une heure. Cela a duré plus d'une heure en effet, mais je suis assise sur ce fauteuil, nue, et il y a en face d'elle une grande glace, du haut en bas de la paroi, que n'interrompt aucune tablette, je me vois, ainsi ouverte, chaque fois que mon regard rencontre la glace. Je suis empalée sur un vibromasseur anal, long de douze centimètres et six de diamètre, muni d’un discret va-et-vient, avec un prépuce, me rappelant combien j’aime être remplie et enculée par un vrai étalon. Le gland monte et descend à l’intérieur de mon anus encore plus vite de haut en bas dans mon anus, tout en vibrant, par à-coups et à intensité progressive.
Quand je suis prête, et fardée, les paupières légèrement ombrées, la bouche très rouge, la pointe et l'aréole des seins rosies, le bord des lèvres du ventre rougi, du parfum longuement passé sur la fourrure des aisselles et du pubis, dans le sillon entre les cuisses, dans le sillon sous les seins, et au creux des paumes, je rejoins une pièce où un miroir à trois faces et un quatrième miroir au mur permettent de me bien voir. Je m’assois sur le pouf au milieu des miroirs, et d'attendre. Le pouf est couvert de fourrure, qui me pique un peu, et il y a un tapis. J’ai des mules à très hauts talons aux pieds. Sur une des parois du petit boudoir, il y a une grande fenêtre qui donne sur un beau parc.
Un homme entre seul, vêtu d'une longue cape, le mandrin nu et libre, gainé, l’extenseur de pénis ajoute instantanément quatre centimètres de longueur à son mandrin et il compresse son mandrin en améliorant immédiatement sa rigidité tout en restant très doux et très souple grâce à sa fabrication en silicone de dernière génération. Il ajoute les quatre centimètres du gland à la longueur de son mandrin.
C’est le mandrin que je vois d'abord, à son premier pas, puis le fouet de lanières de cuir passé à la ceinture, puis que l'homme est masqué par une cagoule, où un réseau de tulle dissimule même les yeux - et enfin, qu'il avait des gants aussi, et de fin chevreau.
- Lève-toi, ma belle.
Il s'assoit à ma place sur le pouf de fourrure, et me caresse les seins, aux mamelons constamment tendus, me pelote gentiment les seins et fouille ma chatte trempée et masturbe mon clitoris constamment tendu.
Il s’allonge dans le lit et je viens m’allonger sur lui.
Je lèche, suce, mordille son mandrin, ma langue lape son gland, titiller son frein, avant de s’enrouler autour de ses testicules ! je lui lèche tendrement son anus, le doigter, le détendre puis revenir à sa bite avant de repasser à son cul, il stimule mon clitoris par sa bouche et ses doigts experts, me doigte l’anus jusqu’à deux doigts. Je mouille de désir.
Il me met à quatre pattes sur le pouf et m’encule profondément et je dois retarder mon orgasme anal.
Je déjeune seule, agenouillée, nue, cuisses écartées, empalée sur le vibromasseur anal, retardant mon orgasme anal. Une main invisible me tend les plats par un guichet.
Enfin, le déjeuner fini, les deux femmes reviennent me chercher.
L’homme seul revient aussi et m’encule sauvagement, prosternée, cuisses écartées, en appui sur ses jambes, sans sa gaine. Je me retiens de jouir, l’anus rempli de son sperme chaud.
Les deux femmes fixent ensemble, derrière mon dos, les deux anneaux de mes bracelets. Une femme avance devant moi et ouvre les portes, l'autre me suit et les referme. Nous traversons un vestibule, deux salons, et pénétrons dans la bibliothèque, où quatre hommes prennent le café. Ils portent des capes, le mandrin nu et libre, bottés, sans masque.
Une lampe-phare m’aveugle, on me remet le bandeau sur les yeux. Deux mains fouillent simultanément ma chatte et mon anus. Je me retiens de jouir.
- Elle est doublement ouverte, mais encore assez de l’œillet, très serré.
L’homme m’encule sans répit, tandis qu’une main me prend  un sein, une bouche saisit le mamelon constamment tendu de l'autre.
Je bascule à la renverse, cuisses écartées, on m’encule à nouveau. L’homme est couché sur moi.
Je retrouve ensuite agenouillée, cuisses écartées, fléchie un peu en arrière, à demi assise sur les talons.
Mon buste repose sur un pouf, toujours les mains au dos, et les fesses plus haut que le torse, et les trois hommes bien montés m’enculent à tour de rôle, je me retiens de jouir, suçant l’un après l’autre.
Puis un quatrième sexe différent m’encule. C'est le nœud qui entre dans le rectum. Je me détends. L'animal éjacule bien avant de s'attacher à moi et continue de le faire jusqu'à ce qu'il soit capable de se retirer. Le sexe mesure dix-sept centimètres et cinq de diamètre.
Une fois retiré, je dois le sucer.
Je reste captive, cuisses écartées, à nouveau enculée, allongée sur le dos, suçant à nouveau.
Je recouvre la vue et je vois un superbe berger allemand, le sexe encore en érection.
- C’est Adam qui t’a enculée, ma belle, pour ta première saillie anale canine, dit l’un d’eux.
Adam vient lécher ma chatte et mon clitoris constamment tendus. Je tente de résister à l’orgasme décuplé.
La grande pièce avec des glaces et des miroirs sur les murs, les portes-fenêtres ouvrent à l'ouest, et il y a une commode.
Deux des hommes sont debout. Un autre est assis, une cravache sur les genoux, et le quatrième caresse le sein, tandis que je suis empalée jusqu’aux testicules, enculée, cuisses écartées. Il caresse aussi mes reins, mes fesses, mon cou, mes épaules et mon dos. Mais tous quatre m’ont enculée.
- Ici, tu vois les visages de ceux qui te violent ou te tourmentent. Que lorsqu'on te fouette, c’est pareil, sauf qu'on veut que tu te vois fouettée, qu'une première fois tu n’as donc pas de bandeau, mais qu'eux mettent leurs masques, et que je ne les distingue plus.
On caresse mes cuisses avec une cravache, la garcette, aux nœuds raides, trempés dans l’eau, que l’on caresse sur mon ventre et sur l’intérieur de mes cuisses. Je sens les cordes qui sont humides et froides sur la peau tendre de l'intérieur.
- Mets-la en position de soumission totale. Les fesses bien tendues, elle sera plus facile à fouetter.
Je subis la cravache, la garcette en alternance, sur les fesses et les cuisses, enculée par un des hommes, munie d’une gaine à picots, qui me font mal à l’anus sollicité par les va-et-vient. Je me retiens de jouir.
Elle aime ça, être fouettée, dit l’homme. La cravache est mieux adaptée.
Entre deux pauses, celui le mieux monté, avec sa gaine, m’écarte mes fesses brûlantes et m’encule vigoureusement, faisant claquer ses testicules contre mes fesses.
- Il faut lui élargir l’œillet. Adam l’a partiellement ouverte.
- Le vibromasseur Atlas lui sera inséré.
Je suis chancelante et presque évanouie, mais je dois me prosterner pour le recevoir.
Je découvre le vibromasseur canin Atlas, du même calibre qu’Adam, un des hommes m’écarte bien les fesses.
Il attache, à trois petits trous percés dans la base, trois chaînettes qu'il laisse pendantes. Je gémis lors de son introduction et pousse. Il est en érection et doté de puissants va-et-vient me rappelant combien j’aime être enculée à tout moment.
Il se plaça derrière Y, pointa l'organe minéral au centre de ses reins, et poussa.
Je me relève, on attache une étroite ceinture autour de ma taille, et l'on y accroche les trois chaînettes, une par derrière qui suit le sillon des fesses, et les deux autres par-devant, qui longent le pli des aines en contournant le triangle pubien. On les ajuste au plus court :
- Ainsi ton œillet sera forcé et distendu et cadenassé, tu ne peux te soulager de ce vibromasseur.
On me présente un corset très baleiné, et rigoureusement serré à la taille, et une longue robe à jupe assez courte dont le corsage laisse les seins, remontés, par le corset, dénudés.
Je porte juste le corset, qui est fixé à l’étroite ceinture de cuir. Mon bassin ondule sur les va-et-vient du vibromasseur canin.
- Tu es ici au service de tes maîtres. Dès l’instant que tu te prêtes, au milieu de tes corvées, tu abandonnes tes mains, tes seins, ta chatte et ton œillet qui sont fouillés. Tu ne peux te dérober, les lèvres entrouvertes, les cuisses toujours écartées, laissant libre à ta bouche, ta chatte et ton oeillet. En soulevant ta jupe, tu t’offres à celui qui te prend. Tu es fouettée qu'entre le coucher et le lever du soleil et le soir pour manquement à la règle dans la journée : c'est-à-dire pour avoir manqué de complaisance, ou levé les yeux sur celui qui te parle ou te prend : tu dois fixé nos mandrins uniquement à découvert, que tu suces. En outre, à la nuit, tu suces, les cuisses écartées, les mains liées au dos, et nue ; tu es fouettée les yeux bandés. Tu es fouettée chaque jour, ton instruction. Tu es contrainte. A ta sortie, tu portes un anneau de fer à l'annulaire, qui te fais reconnaître : tu es constamment nue sous tes tenues. Ceux qui te trouvent indocile te ramènent ici. On va te conduire dans ta cellule. »
Je me lève, marche avec mes mules à semelles surélevées et très hauts talons qu'une bande de satin épais, empêche seule d'échapper au pied.
Agenouillée, je dois sucer les quatre hommes et Adam, soumise.
Ma bouche refermée et resserrée sur le mandrin que j’ai saisi, et le long duquel je monte et descend, mon visage défait qui s'inonde de larmes chaque fois que le mandrin gonflé me frappe jusqu'au fond de la gorge, repoussant la langue et m’arrachant une nausée. Chacun éjacule dans ma bouche et j’avale tout.
Les mules claquent sur les carrelages des couloirs, où des portes se succèdent, discrètes et propres, avec des serrures minuscules
- Tu es dans l'aile rouge, et ton valet s'appelle Horace.
- Quel valet ? dis-je saisie par la douceur de la voix, et comment t’appelles-tu ? 
- Je m'appelle Anale Doberman.
- Et moi Justine Danoise », dit la seconde.
La première reprend : « C'est le valet qui a les clefs, qui t’attache et te détache, te fouette quand tu es punie et quand on n'a pas de temps pour toi.
- J'ai été dans l'aile rouge l'année dernière, dit Justine Danoise, Horace y était déjà. Il vient souvent la nuit ; les valets ont les clefs et dans les chambres qui font partie de leur section, ils ont le droit de se servir de nous.
Horace, vêtu d’une cape, un colosse musclé, avec un mandrin imposant, long de trente-deux centimètres et sept de diamètre, botté.
Lui aussi porte à la ceinture un fouet à lanière de cuir.
- Approche ma belle que je te prenne.
Sans prévenir, je me retrouve offerte sur la banquette, les cuisses grandes ouvertes, l’anus libre du vibromasseur. Il me tient par les chevilles pour mieux m’ouvrir. Il me saisit les deux mains. Il fait glisser l'un dans l'autre les deux anneaux de mes bracelets, ce qui me joint étroitement les poignets, et ces deux anneaux dans l'anneau du collier. Je me trouve donc les mains jointes à la hauteur du cou.
Il me soulève les reins et m’encule sauvagement, entrant et sortant. Je dois retarder mon orgasme anal. Il éjacule en moi et me remet le vibromasseur canin en place.
- L’Atlas va bien forcer et élargir ton œillet de vierge.
Il sort un passe de sa poche de gilet, ouvre la porte et fait entrer les trois femmes. Il reste avec nous. Il me libère mes bracelets de mon collier.
La cellule est toute petite, et comporte en réalité deux pièces. La porte qui donne sur le couloir refermée, on se trouve dans une antichambre, qui ouvrait sur la cellule proprement dite ; sur la même paroi ouvre, de la chambre, une autre porte, sur une salle de bains.
En face des portes il y a la fenêtre.
Il y a un chevalet et des chaînes suspendues au plafond par des crochets. Les murs sont recouverts de glaces, il y a un tapis.
- Tu dois prendre ton bain, dit Justine Danoise. Je vais défaire ton corset. Tu dois garder la ceinture et le vibromasseur canin.
Je dois m’accroupir nue dans la baignoire transparente, après montée des marches.
Accroupie, cuisses écartées, je suis menottée, les bras tendus en l’air. Les yeux baissés, la bouche entrouverte, je suis sous le regard d’Horace, qui caresse mes seins aux mamelons tendus, ainsi que mon clitoris tendu à l’extrême, ma chatte est toute trempée.
- C’est une jouisseuse anale, soumise Olympe. Regarde les ondulations du bassin. Elle est toute humide.
Après le départ d’Anale Doberman et Justine Danoise, je reste debout au pied du lit, interdite. A la réserve du collier et des bracelets, de la ceinture de cuir, que l'eau a durcis quand je me suis baignée, et qui me serrent davantage, je suis nue.
Menottée au chevalet, le postérieur plus haut que la tête. Mes bras sont fixés le long des pieds avants, mes jambes le long des pieds arrières, et une large sangle m'est passée au niveau de la taille. Mes cuisses, légèrement fléchies sont empêchées de se resserrer par la largeur de la poutre, ainsi d'ailleurs mes fesses que je me peux refermer. Toute mon intimité est ainsi très accessible. Il me retire le vibromasseur anal et me doigte l’anus jusqu’à trois doigts. Je gémis un peu.
Les bergers allemands sont tes initiateurs, puis les doberman avec trente-deux centimètres de long et quatre de diamètre, et enfin les danois avec vingt centimètres de long et six de diamètre pour parfaire ton œillet de soumise. Laisse-moi t’enculer un peu, avant tes amants canins.
Sans mes mains immobilisées, je dois m’abandonner à Horace. Il éjacule encore dans mon anus débordant de spermes. Je suis pantelante.
Endormie, je suis enculée par Adam, puis Conan et Balzac, entre une bonne demi-heure à trois quart d’heure, avec éjaculation. Je dois sucer chacun d’eux.
Vers midi, les dobermans Apollo, Hannibal et Hadès prennent le relais. Je suis nourrie sur le chevalet.
Horace me fait sucer son mandrin, tout en cravachant mes fesses, puis mes cuisses, dans une position, accroupie, cuisses écartées, les bras tendus à l’air, à des chaînes. Le vibromasseur est remis en place.
Puis je retourne au chevalet, livrée aux bergers allemands et aux dobermans.
A la tombée du jour, je suis conduite dans la salle aux miroirs, pour me faire enculer par des inconnus avec leurs chiens.

16 avril
A mon retour avant l’aube, je suis cravachée sur le chevalet et menottée les bras en l’air, avec le vibromasseur Atlas en place, pour me préparer.
Devant la fenêtre, il y a une pelouse, au bout de la pelouse une allée. Il fait grand jour et depuis longtemps je ne bouge plus. Les balafres ont gonflées, et forment des bourrelets étroits.
Aucune femme n'a les clefs, ni celles des portes, ni celles des chaînes, ni celles des bracelets et des colliers, mais tous les hommes portent à un anneau les trois sortes de clefs qui, chacune dans leur genre, ouvrent toutes les portes, ou tous les cadenas, ou tous les colliers.
Les valets les ont aussi. Mais, au matin, les valets qui ont été de service la nuit dorment, et c'est l'un des maîtres ou un autre valet qui vient ouvrir les serrures. L'homme qui entre dans ma cellule est habillé d'une cape, et bottes. Il est musclé.
Il regarde attentivement la marque que j’ai devant les cuisses, il me passe la main entre les jambes. Il me caresse le clitoris tendu à l’extrême, par le vent frais de la porte-fenêtre ouverte. Puis il caresse mes fesses zébrées, celles au dos des cuisses.
L’homme s’assoit sur la banquette, me retire le vibromasseur canin. Je dois m’empaler, enculée jusqu’aux testicules, les mains accrochées à son cou, les mollets posés sur ses épaules. Maintenue sous les reins, il me fait coulisser. Je dois retarder mon orgasme anal jusqu’à son éjaculation.
Il me menotte au chevalet pour de nouvelles saillies anales canines.

Désormais, huit jours durant, entre mon lever et le repas de midi, puis entre la tombée du jour où finit mon service et l'heure de la nuit, dix heures généralement, où on m'y ramène enchaînée, nue, et tendu, je porte fixé au centre de ses reins un de ces vibromasseurs qui m'écartèlent, et chaque jour davantage, prosternée, pour que je porte un vibromasseur plus épais, allant jusqu’à vingt centimètres de long et six de diamètre.
Au repas du soir, au réfectoire, après leur bain, nues et parfumées, je le porte encore, et du fait des chaînettes et de la ceinture, tout le monde peut voir que je le porte.
On me retire, les mains enchaînées dans le dos, pour me faire saillir par d’autres chiens similaires et d’autres inconnus.

23 avril
Aucun vibromasseur canin n’est plus nécessaire, car mon œillet est bien ouvert.
C’est l’après-midi, le Baron me retrouve nue dans ma chambre, menottée au chevalet. Je viens de subir ma quinzième saillie anale par un danois. Mon anus dégouline de spermes canins.
Détachée, Justine Danoise me baigne. Elle me brosse les cheveux, je me parfume, Justine Danoise sort.
- Ecarte tes fesses, voici ton nouveau bijou d’anus.
Il est moulé sur le devant du sexe du Danois Lancelot.
Dans ma cellule, je retrouve ma guêpière, mon boléro et une mini-jupe transparente et mes mules.
Je baisse les yeux, la bouche entrouverte, ressentant le plaisir de me savoir enculée par Lancelot.
Un des hommes me défait le collier et les bracelets qui me tient captive.
Je mets ma bague sertie d’un petit anneau à l’annulaire gauche.
Désormais, mes mamelons et mon clitoris sont constamment tendus vingt-quatre heures sur vingt-quatre.
Je mets ma guêpière que me lace étroitement le Baron, tout en examinant mes reins et mes fesses.
Je mets mon boléro et ma mini-jupe et glisse mes pieds nus dans mes mules.
Hercules m’attend et m’encule sur le champ, jupe relevée, l’anus libre, me conduisant à un nouvel orgasme anal.
Il me remet le bijou d’anus en place.
Nous quittons par une autre sortie secrète.
Je ne loge plus dans mon appartement, mais dans une luxueuse villa, éloignée du centre-ville, sans rideaux, pour que je m’offre aux voyeurs, nue.
Le Baron m’a offert le Danois Romulus, pour mes saillies anales quotidiennes.
L’anus libre, Romulus m’encule sur le champ pendant trois quart d’heure. J’explose dans de violents et bruyants orgasmes anaux, l’anus rempli par ses jets de spermes chauds.
A la tombée du jour, je suis menottée à mon lit, allongée sur le ventre, écartelée, pour être fouettée par Hercules et enculée par Romulus. Je m’autorise des orgasmes anaux refoulés depuis huit jours.
Des inconnus viennent me fouetter aussi pendant la nuit.

24 avril
A l’aube, j’émerge, en sueur, l’anus bien rempli du sperme de Romulus. Je prends une douche froide, sans me masturber.
Le téléphone sonne. Je décroche :
- Chienne soumise Olympe, désormais sera ton nom, tu ne réponds qu’à ce nom. Tu as aimé être fouettée hier soir. Tu vas travailler dans ta nouvelle librairie, au coin de la rue. Des caméras t’observent, pour guetter tes moindres désirs et envies de plaisir. Tu portes juste ton boléro et ta mini jupe sera de plus en plus courte et de plus en plus fine chaque jour, dans ta garde-robe. Tu n’as pas besoin de décolleté, le boléro suffit à couvrir tes seins nus et tes mules à hauts talons. Choisis le bijou d’anus le plus large.
Le boléro est fermé au cou. Il suffit d'enlever le boléro pour que les épaules et les seins soient nus, et sans même enlever le boléro, de l'ouvrir, si l'on désire voir les seins aux mamelons constamment tendus. Je porte mon collier en cuir, en signe de reconnaissance, en plus de ma bague. Je suis fardée et parfumée.
Je choisis un bijou d’anus de trente centimètres et sept de diamètre, moulé sur le devant du sexe de Romulus, muni d’un discret va-et-vient.
Je me rends à pied à ma nouvelle librairie, au fond d’une discrète cour, reliée à un sex-shop.
Les clients me prennent pour une prostituée. Entre deux rangements, souvent un, deux voir trois clients viennent m’enculer, sans que je leur demande, alternant avec leurs films. Je suis fessée magistralement et je dois tout avaler, sans jouir. Le Baron m’observe à l’improviste, avec une liasse de billets.
- Tu es très rentable. Je sais que tu es facile. Tu as envie de tous les hommes qui te désirent.
Les fesses brûlantes, je suis cravachée, à quatre pattes, nue, sur le tapis, devant des clients voyeurs, qui éjaculent sur mes fesses.
Je ne compte plus mes sodomies violentes, avec entrée et sortie de mon anus dégoulinant de spermes chauds.
L’après-midi, je ferme la librairie pour m’offrir à Romulus, nue dans ma villa. Le Baron m’a confié sa soubrette Val. Val est une superbe brune aux yeux bleus, avec de petits seins et sous son tablier, se cache un imposant mandrin de vingt-deux centimètres et sept de diamètre, avec ses testicules rasés et percés d’anneaux dorés. Val porte des mules à hauts talons, et tient toujours sa cravache.
Val m’encule avant ou après Romulus. Toutes les situations sont bonnes, pour m’enculer, me cravacher et me fesser. Je me retiens de jouir, malgré les ondulations de mon bassin.
Je nettoie Val et Romulus.
Pour me punir, Val me fait me mettre ma ceinture de chasteté, restreignant l’accès à ma chatte par une fente de sept centimètres de long (sur une largeur maximale d’un centimètre) qui me permet, mon clitoris constamment et les petites lèvres sont étirés à travers la fente étroite. La ceinture comporte un orifice anal pour que je puisse aller aux toilettes. Val y insère des boules de geisha ou des godes ou des vibromasseurs dans mon anus ou son mandrin, selon ses envies. La ceinture est confortable, elle est verrouillée par un cadenas livré. Je dois la garder une ou plusieurs jours.

A la librairie, je dois m’exhiber avec ma ceinture de chasteté, me laissant enculer par le premier venu. Tous tentent de me libérer de cette contrainte. J’éprouve à la fois un sentiment de honte et de fierté à porter en permanence cette ceinture de chasteté. Je sais que le Baron me porte de l'attention. Je suis dépendante et humiliée.
Dès que le Baron me la retire, c’est pour passer de longues heures à me baiser, dans de longs orgasmes que je lui offre.
Le plus souvent, il s’allonge sur le dos, tête-bêche, me baise jusqu’à la garde, ainsi Romulus ou Val peuvent m’enculer simultanément pour un double plaisir. Mes orgasmes sont décuplés.
Pour finir, enculée par le Baron, nous sommes allongés sur le côté, jambes légèrement repliées, le Baron est dans mon dos. La sodomie est longue et lente, il me caresse les seins aux mamelons constamment tendus, le ventre, la chatte, mon clitoris constamment tendu. J’ajuste mon bassin en face du mandrin. Il m’embrasse langoureusement dans de longs baisers profonds. Lorsqu’il est prêt, je tends ma croupe brûlante par ses fessées magistrales vers son ventre, pour le recevoir davantage, écartelée.
- Romulus t’a encore bien ouverte, aujourd’hui.
- Oh oui, donne-moi ton sperme dans mon puits de chienne.
Après son retrait, Val m’encule dans la même position et je connais un violent orgasme anal que j’ai retenu pour le Baron, me valant une bonne correction à la cravache par Val.

2 mai
Vers 14 heures, alors que je suis à ma librairie, nue, avec ma ceinture de chasteté, enculée par un habitué du sex-shop, le téléphone sonne. En plein râle, j’entends :
- Chienne Soumise Olympe, un colis t’attends à la villa. Ferme la librairie pour quelques jours. Mets le vibromasseur anal Marquis sous ta robe, tu gardes ta ceinture de chasteté. Prends une douche froide, fais ton lavement, farde et parfume-toi, avant de t’habiller et mets tes plus belles mules dorées à hauts talons.
L’habitué éjacule longuement en moi. Je le nettoie, mets mon bijou d’anus Romulus. Je revêts mon boléro, ma mini-jupe encore un peu plus courte que les jours antérieurs et plus fine.
Je rejoins la villa et je découvre nue, dans ma chambre. Val qui m’a ouvert le colis.
La robe est un modèle dos nu, fendu au niveau des mamelons et au niveau du pubis discrètement, entièrement blanche transparent, laissant deviner mes mamelons, mon pubis brun par un nouveau modèle de ceinture de chasteté, en cuir, mais interdisant toute pénétration de ma chatte très humide. Val cadenasse ma ceinture de chasteté. Je me douche à l’eau froide, décuplant la tension maximale de mes mamelons et durcissant le cuir de ma ceinture de chasteté. Je me farde la bouche, les paupières, les mamelons, me parfume trois fois avec un vaporisateur qui le projetait en brume épaisse. Sur ma peau, la brume fond et coule, sur mes aisselles lisses, mes poils pubiens, se fixe en gouttelettes minuscules. Je laisse à chaque fois le parfum sécher sur moi.
Val me brosse les cheveux et mes poils pubiens. J’enfile ma robe. L’effet est osé : ma nudité et ma ceinture de chasteté sont bien visibles, ainsi que les récentes marques des coups de cravache de Val.
Je glisse mes pieds nus dans mes mules dorées à très hauts talons, ma silhouette est plus élancée, mes chevilles et mes mollets sont tendus, cela me fait des jambes superbes.
Hercules et le Baron viennent me chercher. Je relève la jupe de ma robe, pour exhiber ma ceinture de chasteté et mon anus rempli par le vibromasseur anal Marquis, similaire à celui de Romulus, doté d’un puissant va-et-vient qui étire ou contracte suivant les montées du vibromasseur, tel un chien qui me saillit. Je ne reste pas insensible à ce plaisir décuplé.
Nous prenons la limousine, conduite par Hercules. Les yeux recouverts par mon masque de nuit, la bouche bâillonnée par un bâillon-pénis canin, assise cuisses écartées, fesses nues sur la banquette arrière, je m’abandonne aux caresses de mes seins, au pincement de mes mamelons constamment tendus.
Après un long trajet à l’aveugle, la limousine s’arrête devant un portail qui s’ouvre. J’entends des chiens aboyer, alertés par mon odeur de chienne soumise.
Le Baron me fait retirer ma robe. Je sens l’air frais sur mes mamelons constamment tendus, décuplant mon excitation.
Je suis tenue en laisse par un anneau dans ma ceinture de chasteté. Je dois marcher derrière un des maîtres-chiens.
Lors du trajet qui dure un quart d’heure, on marque une pause. Je dois me prosterner, cuisses écartées.
- Aime-t-elle se faire saillir, votre Chienne Soumise Olympe, Sir ?
- Bien sûr, son œillet est prêt à recevoir jusqu’au sexe d’un Danois.
On me retire le vibromasseur, mon anus est bien écartelé et humide.
Sans attendre, un berger allemand, prénommé Conan, un doberman, prénommé Hadès et un Danois, Olaf, m’enculent jusqu’au nœud entre une demi-heure à trois quart d’heure. Je connais de multiples orgasme anaux, l’anus dégoulinant de spermes chauds, l’anus léché par mes amants canins.
Bien sûr, pantelante, je dois subir l’assaut de leurs maîtres-chiens aux mandrins imposants de trente centimètres et sept de diamètre, qui éjaculent ensuite.
On me remet le vibromasseur en place. Pour faire les derniers mètres, le Baron me tient par la taille. Je réponds par l’affirmative, au plaisir que j’ai reçu, en bougeant la tête.
Je franchis des marches menant à une entrée puis à un grand salon, où j’entends des râles de plaisir. On me retire mon masque de nuit et mon bâillon-pénis. Je baisse les yeux et garde la bouche entrouverte.
Des jeunes femmes intégralement épilées, marquées au fer rouge, tatouées, se font enculer, certaines en double anale, par des hommes nus et masqués.
Puis je découvre devant moi, un imposant mandrin de trente-six centimètres et six de diamètre, nu.
- Voici la fameuse Chienne Soumise Olympe, cher Baron, elle ne connaît pas le Marquis Donatien des Bijoux des Sévices. Elle n’est pas encore ferrée. Ses grandes lèvres sont prêtes pour ses anneaux d’ici quelques jours. Son corps de rêve me ravit. Elle ne connaît pas l’éditeur Sacha Baiseur de Milles Désirs, dont son épouse Chienne Soumise Aimée est mienne depuis deux ans.
Aimée m’est présentée. Elle est brune avec des petits seins aux mamelons tendus percés de gros anneaux dorés, auxquels sont suspendus une chaîne constituée de plusieurs pierres précieuses, qui étirent ses mamelons et ses seins vers le bas, ses grandes lèvres sont aussi percées de petits anneaux dorés, fermés par de petits cadenas, la rendant chaste, comme moi. Chaque cadenas est en fait un poids, qui étire les grandes lèvres. Son pubis et sa chatte sont totalement lisses. Elle porte sur le pubis, un sexe canin tatoué à l’encre noire, sur ses fesses, sur la fesse gauche, le fouet et la cravache entrecroisés et sur l’autre, les lettres ACS et DB entrelacés, le tout marqué au fer rouge. Elle porte sur l’épaule gauche, un cœur avec les lettres ACS SBMD entrelacés marqués au fer rouge.
- Olympe, tu vas faire l’amour avec Hermine devant nous.
On me retire le vibromasseur anal Marquis, exhibant mon anus rougi et écartelé, dégoulinant de spermes.
Dans un 69, je m’allonge tête-bêche au-dessus d’Aimée, nous léchons nos anus, que nous doigtons. Je peux caresser le gros clitoris percé d’un anneau avec une pierre précieuse. Hermine me doigte longuement l’anus, jusqu’à mon orgasme, que je partage en sa compagnie.
Aimée retire ses doigts pour que le Marquis m’encule jusqu’aux testicules, sans jouir. Je résiste, puis les autres invités se relaient pour m’enculer. Je me retiens à chaque fois, la bouche remplie de leurs spermes chauds.
Pantelante, le bijou d’anus remis en place, Aimée me conduit à notre cellule commune.
Je porte mon collier et mes bracelets aux poignets et aux chevilles, en fer. Ils sont de fer inoxydable, articulés et à demi rigides, sont larges de près de deux doigts et avaient chacun un anneau de même métal. Mon collier entoure exactement le cou dans son milieu, sans le serrer mais suffisamment pour qu'il soit difficile de le faire tourner, et plus difficile encore d'y glisser un doigt entre la peau et le métal. De même, à mes poignets et à mes chevilles, juste au-dessus de l'articulation qui était laissée libre, les bracelets. Je dois les garder constamment.
Le Baron me retire ma ceinture de chasteté et me pose des pinces à mes grandes lèvres, des clochettes en métal fixée par une pince s'anime au moindre mouvement, émettant un tintement cristallin. Il m’annonce :
- Tu vas aussi en porter à tes mamelons constamment tendus, pour te suivre.
Je me glisse dans la baignoire transparente, accroupie, cuisses écartées, bras tendus en l’air, menottée à un crochet, par un des valets cagoulés, entièrement nu, bien monté.
Il me baigne, il savonne tout le corps et me douche à l’eau tiède et prolongée accompagnée du balayage soigneux d'une énorme éponge sur laquelle je me frotte plusieurs fois. Lorsque l'éponge passe entre mes cuisses ou sur mes seins, je garde les yeux baissés. Mes clochettes tintent dans l’eau.
Une fois propre, l’anus libre, je dois faire mon lavement, assise sur un bidet, à l’eau froide par une canule. Les clochettes tintent entre mes cuisses humides.
Le valet m’encule longuement jusqu’à l’éjaculation, tandis que je me retiens de jouir. Il éjacule dans ma bouche.
Il me cravache, menottée, prosternée sur le lit, sur les fesses, les cuisses et les reins et sur le dos.
Une fois cravachée, je rejoins les autres soumises au réfectoire.
Le sol est dallé, une table longue en verre épais, pour que les valets voient ce que les soumises peuvent faire par-dessous, et chacune a pour siège un tabouret rond recouvert de cuir. Au contact du cuir lisse et froid sous mes cuisses, je redécouvrir le plaisir de m’asseoir fesses nues.
Le valet de permanence, cagoulé, nu, botté, me toise.
- Voici la fameuse Chienne Soumise Olympe, l’amante des Danois, qui l’encule jusqu’au nœud. Tu es très belle.
Les yeux baissés, je mange. Je suis juste interrompue par la caresse de mes seins aux mamelons tendus à l’extrême, par le vent frais.
Il me pose des pinces à clochettes qui enserrent mes mamelons tendus avec de minuscules rangées de dents minuscules en métal, pour me faire gémir.
Cuisses écartées, mon clitoris tendu à l’extrême est caressé, déclenchant des ondulations de mon bassin et faisant tinter les clochettes de mes mamelons et de mes grandes lèvres.
Puis il me fait pencher en avant, étirant davantage mes mamelons pincés, laissant bien tomber les seins sous le poids des pinces ensuite le sang cesse de circuler, le mamelon devient froid et là je ne sens plus rien, tandis qu’il m’encule jusqu’aux testicules.
Il éjacule dans ma bouche, je le nettoie.
Pendant la journée, en compagnie d’Aimée, je me fais enculer à de nombreuses reprises par les amants canins jusqu’au nœud, suçant les maîtres-chiens, dans les jardins.
En fin d’après-midi, un superbe valet cagoulé, botté, me conduit par un petit pont, tenue en laisse par mon collier, les mains jointes à mon cou, les yeux bandés, nue, avec mon vibromasseur Marquis.
Il me retire le bandeau et je découvre, vingt étalons étaient divisés en deux rangées, une sur chaque mur. Là encore un dispositif spécial est disposé sous leur ventre et une jeune femme attend, courbée en deux et entravées chevilles et poignets, l'instant de la saillie anale. Elles sont enculées jusqu'à l'éjaculation. Le sperme est alors recueilli dans une grande bassine posée sous les fesses de la jeune femme. Pendant la phase de sodomie forcée, les valets en profitent pour baiser les bouches des jeunes soumises, maintenues ouvertes par des écarteurs buccaux et ils y déversent généralement leur sperme.
Je prends place. Le valet me retire le vibromasseur anal, me doigte l’anus déjà  dilaté et il déclare
Une chienne soumise qui est aussi ouverte pour se faire enculer par un cheval, mais tu sauras apprécier cette monstrueuse sodomie!
Une fois l’anus bien lubrifié par ma mouille abondante et les doigts experts pour me pour bien le lubrifier. Positionnant le gland du membre en érection sur ma rondelle, il commence à pousser. Le sphincter cède. Je suis enculée sur trente de quatre-vingt centimètres de long et onze de diamètre. Mon anus se dilatant, habitué, j’hurle maintenant de plaisir. Les valets me font sucer jusqu’à l’éjaculation en bouche. Je connais un violent orgasme anal.
Dès qu’on me retire le sexe, mon anus est rougi complètement distendu et boursouflé ce qui libère un flot de sperme.
Après Sultan, j’ai droit à Alizé, un autre pur-sang arabe, pour une seconde saillie anale équine et enfin, Zéphyr des Haies, un trotteur français.
Je suis épuisée, quand je retourne à ma chambre. J’ai droit à un long lavement et je passe la nuit, menottée, cuisses écartées, nue, l’anus libre, enculée et fouettée, prosternée à toute heure, par des inconnus.
Des fois, des amants canins viennent me faire jouir, enculée.

2 juin
Mon corps s’est transformé, mon anus reste en partie ouvert, par mes multiples saillies anales canines et équines. Je porte désormais à ma chatte entièrement épilée, des anneaux dorés à chacune de mes grandes lèvres, pour me rendre chaste. Je garde ma toison pubienne.
Le Baron assiste à la pose de mes anneaux dorés. Je suis suspendue dans le vide, les cuisses complètement ouvertes, les bras tendus en l’air, nue.
Après la pose, on me marque juste au-dessus de mon pubis, à l’encre noire, OCS 696 et je reçois dans l’intérieur de ma chatte, la marque au fer rouge, OCS 696. Je perds connaissance.
Des dizaines d’hommes cagoulés m’enculent jusqu’à l’épuisement, toujours suspendue aux crochets. J’avale leurs spermes.
Remise de la pose de mes anneaux, je regarde mon gros clitoris qui porte aussi un anneau doré avec une pierre précieuse. Je suis fière de mes marques.
Mon éducation n’est pas encore achevée.
Le Baron me réserve d’autres plaisirs.
- Ma chère Chienne Soumise Olympe, tu vas quitter le « Haras des Sévices » pour un nouveau lieu. Remets ta guêpière et ta jupe éventail, ton boléro, tes mules. Farde-toi et parfume-toi.
On me retire mes carcans en fer.
Je porte toujours mon bijou d’anus Marquis.
La limousine conduite par Hercules quitte le parc du haras, où j’ai marché, tenue en laisse, pour une grille ouverte. J’apprends que je me trouve dans un domaine privé, appartenant à une riche famille d’éleveurs d’étalons de course, renommé.
Après une longue heure de route, les yeux bandés, avec mon bâillon-pénis, la limousine marque une halte.
On me déchausse. Je monte à bord d’un yacht.
Je reste debout, nue, les mamelons et le clitoris tendus à l’extrême par le vent frais sur le pont arrière.
Des mains caressent mon corps, pelote mes seins, me masturbent mon clitoris. Je me retiens de jouir.
Après une longue traversée, je suis invitée à monter à bord d’un hélicoptère Dauphin, sur la plate-forme aménagée. Je suis assise, cuisses écartées.
Nous atterrissons sur une plage. Je sens le sable chaud sous mes pieds nus, puis des marches en pierre, jusqu’à un palier.
Je suis sauvagement enculée, l’anus libre. Je me retiens de jouir.
On me retient le bandeau et je découvre une luxueuse villa avec piscine. Des hommes soubrettes m’accueillent. Je baisse les yeux.
Une des voix masculines m’informe :
- Chienne Soumise Olympe, tu seras la prostituée de mes invités triés sur le volet. Aucune relation sexuelle avec le personnel, sauf sur ordre. Tu seras nue tout le temps, prête à te donner, sans te dérober. Ta chatte sera cadenassée pendant ton séjour et ne seras utilisée que pour assurer une descendance au Baron. Tu es bien sûr fouettée comme il se doit, lors de tes fautes. Tu feras perdre la virginité à de jeunes garçons, avant qu’ils t’enculent. Dès aujourd’hui, tu seras intégralement épilée, pour être plus désirable.
Aussitôt, je reçois un cadenas léger qui me rend la chatte chaste.
Je découvre ma chambre que je partage avec des chiens qui peuvent me saillir à n’importe quel moment de la journée.
L’après-midi, je suis présentée, intégralement épilée, les yeux baissés, la bouche entrouverte, à des invités, qui me caressent, me pelotent les seins, masturbent mon clitoris, me doigtent l’anus. Je dois me retenir de toute jouissance sans aucune autorisation sous peine de sanctions.
Je passe de longues heures, enculée dans diverses positions, suçant les autres invités.
L’un d’eux me fait allonger sur le dos, il se met tête-bêche et m’encule, tandis que je dois relever mes jambes écartées et le subir, avec son gros mandrin qui m’écartèle l’anus. Il éjacule en moi.
Un second, profitant de ma position, m’invite à fléchir mes jambes au maximum sur mon buste, pour me faire enculer. J’ai un peu mal, il m’encule tête-bêche, jusqu’à l’éjaculation.
Un troisième s’allonge sur le dos, cuisses écartées. Je dois m’empaler, dos à lui, enculée, assise sur ses cuisses, cuisses contre cuisses, je sens ses testicules contre mes fesses brûlantes de quelques fessés magistrales. Je reçois ses profonds jets de spermes dans mon anus écartelé par son gros mandrin.
Un quatrième, allongé sur une chaise longue, m’invite à m’empaler, sur lui, de face, enculée, ma jambe droite à l’extérieur de la chaise longue. Il immobilise ma cuisse droite pour me faire subir les mouvements de son bassin. Mes seins qui se balancent l’excite tout comme mon orgasme anal violent et son éjaculation.
Un cinquième, dans un face-à-face, cuisses écartées tous les deux, enculée jusqu’aux testicules, je le subis jusqu’à son éjaculation.
Pantelante, je me douche en leur compagnie, livrée à leurs caresses, à de violentes sodomies. Je les guide vers le désir. Je les suce pour de nouvelles sodomies plus violentes et plus jouissives.
Le soir, je mange, en leur compagnie, empalée, entre leurs cuisses, enculée, offrant mes reins, mes fesses, mes seins, mon cou, mes épaules et mon dos, me faisant masturber mon clitoris tendu à l’extrême. Je mange plus ou moins épicé, jusqu’à l’éjaculation de chacun des invités.
Je dors menottée à mon lit, nue, allongée sur le ventre, offrant mon anus aux visites des invités et des chiens, pour de longues et violentes sodomies jouissives, l’anus débordant de spermes chauds.

5 juin
D’autres invités m’enculent dans d’autres positions plus osées.
Penchée en avant, les mains en appui, les jambes soulevées en arrière au niveau de la taille de l’invité, la sodomie est profonde, je sens ses testicules, qui se balancent et frappent ma chatte trempée. L’éjaculation est rapide.
Un autre m’encule, assis sur ses jambes ouvertes et repliées, ventre tendu en avant. On m’aide à m’enculer, empalée, mes mollets posés sur ses épaules, jusqu’aux testicules, renversée très en arrière en appui sur mes bras. Mes seins sont pelotés par d’autres invités. Il retarde son éjaculation en moi.
En appui sur mes bras en arrière et sur mes jambes écartées, je suis enculée jusqu’aux testicules, tenue par la taille, jusqu’à l’éjaculation.
Allongée sur le dos, enculée, jusqu’aux testicules, je reçois mon invité, face à face, enserre sa taille avec mes jambes, pour qu’il éjacule en moi, mes pieds sur ses fesses.
Toujours allongée sur le dos, je reçois l’invité, en traction, mes cuisses relevées et bloquées. Je suis massée fortement et je sens ses testicules contre ma chatte trempée. Il éjacule longuement en moi.
Allongée sur le côté, cuisses serrées, je suis enculée, par l’invité, assis sur ses jambes ouvertes et repliées, jusqu’aux testicules et je reçois son sperme, lorsqu’il se dresse au-dessus de moi, en m’écartant les jambes.
Toujours offerte, en position ouverte, cuisses écartées, je suis enculée, par l’invité, au-dessus de moi, jusqu’aux testicules. Le jet de spermes est intense.
En appui sur les bras, le corps légèrement relevé de l’invité, je m’empale sur lui, en traction sur une de mes jambes, je connais l’orgasme anal violent et une longue éjaculation.

25 juin
En plein après-midi, je suis menottée au chevalet, entourée d’hommes cagoulés. Je porte un bâillon-pénis canin.
On remplace mes anneaux dorés qui m’ont rendue chaste, par des anneaux de fer mat inoxydable, comme le fer de la bague doublée d'or. La tige en est ronde, épaisse comme un gros crayon de couleur, et ils sont oblongs : les maillons des grosses chaînes sont semblables. Chacun est formé de deux U qui s'emboîtent l'un dans l'autre. Un ressort intérieur sur lequel on doit forcer pour le faire pénétrer dans la rainure où il se bloque. Une fois posé, il est impossible de l'ôter, il faut limer. Chaque anneau est long comme deux phalanges du petit doigt, qu'on y pouvait glisser. A chacun est suspendu, comme un nouveau maillon, ou comme au support d'une boucle d'oreille un anneau qui doit être dans le même plan que l'oreille et la prolonger, un disque de même métal aussi large que l'anneau était long. Sur une des faces, CSO niellé d'or, sur l'autre, mon nom, le titre, les noms et les prénoms de mes Maîtres, et au-dessous, un fouet et une cravache entrecroisés.
Une fois posés à mes grandes lèvres, on me marque les fesses, sur la fesse gauche, le fouet et la cravache entrecroisés et sur l’autre, les lettres OCS et DB entrelacés, le tout marqué au fer rouge. Je porte sur l’épaule gauche, un cœur avec les lettres OCS SBMD entrelacés marqués au fer rouge.
Inconsciente, les hommes cagoulés m’enculent violemment, la bouche libre, je dois sucer. Je ne compte plus mes orgasmes anaux, les quantités de spermes, ni les chiens qui me saillissent comme une chienne en chaleur.

Quelques jours après, je me retrouve à la villa, nue. Je suis enceinte d’un inconnu, dont je donne naissance à des jumeaux : un garçon et une fille. Je reprends mon métier de libraire, toujours à côté du sex-shop, nue sous mes tenues.
 
Je vous attends, votre Chienne Soumise Olympe, mon œillet est tout ouvert à vos désirs.