Je m’appelle Cyrielle.
J’ai 20 ans.
Je suis une jolie beauté scandinave.
Je suis une brune aux yeux verts. J’ai des pieds fins et
latins, des jambes longues bronzées, musclées qui inquiètent par leur
perfection. Mon pénil est bombé, ouvert, couronné de noir. Ma pilosité brune
couvre mon pubis. Ma chatte est velue et j’ai une superbe croupe. Les lèvres de
mon sexe sont une plaie rouge entre mon entrecuisse. Mes hanches s'incurvent et
délimitent le ventre plat, délicieusement renflé autour du nombril, les hanches
sont larges et rondes, mais sans lourdeur. La taille est affinée. Les seins
parfaits intégralement bronzés sont un peu volumineux mais fermes, et leurs
pointes marron clair, toujours dressées, cernées par une large aréole marron
attirent le regard. J’ai une peau lisse et patine. Finition parfaite, un seul
grain de beauté entre mes superbes seins. De longs cheveux plats blonds
flottant comme des algues, battent mes épaules rondes et gracieusement
athlétiques. Je suis intégralement bronzée. Mes yeux verts limpides s'allument,
ma bouche charnue se fend. J’ai des sourcils bruns bien dessinés et des lèvres
pulpeuses. J’ai de longs doigts fins et de belles mains. Je fais du 90B de
poitrine, 56 de taille, 90 de hanches, 1,72 m.
CANDAULISTE
ET PERVERSE
10 avril
Je suis une
jeune étudiante en littérature. J’attire le regard des garçons, dont je note
tous leurs qualités. J’ai perdu ma virginité à seize ans, avec mon frère Brice,
lors d’une fête. Il m’a initié aux jeux érotiques avec ses copains et j’ai
découvert mon premier baiser lesbien avec ma cousine Aimée. Je ne me sens pas
bisexuelle, ni libertine.
Ce matin-là,
élégamment vêtue d’un tailleur strict fuchsia, avec une jupe fendue derrière,
sur un chemisier blanc, cachant mon soutien-gorge et mon slip en dentelle
transparente, mon porte-jarretelles assorti et mes bas blancs, chaussée
d’escarpins blancs, les cheveux libres, je dois rencontrer le doyen, pour un
rendez-vous dans une bibliothèque du centre-ville.
Arrivée à la
bibliothèque, le doyen, Xavier Henri, du triple de mon âge, brun, musclé,
m’attends :
-
Mademoiselle Cyrielle, tu es un peu en avance sur l’heure. Tu es très en
beauté. Allons au rayon que je t’ai réservé.
Nous montons
à l’étage. Je découvre un rayonnage avec un rideau tiré.
- Prends un
des livres derrière le rideau, Cyrielle.
Je glisse la
main derrière le rideau et je prends « Vices et Cravache ». Je manque
de le faire tomber.
- Tu sembles
surprise. Ce rayonnage comprend des romans d’histoires vécues dans un milieu
très spécial. Je compte de faire de toi, une de ses héroïnes. Un ami recherche
de jeunes vierges comme toi.
- Mais, je
ne suis plus vierge depuis longtemps.
- Non, je
veux vierge entre tes jolies fesses.
- Jamais, je
ne pourrais me faire prendre par derrière, Xavier Henri.
- D’abord,
tu ne dois ni regarder un homme au visage, ni lui parler. Tu ne le dois pas
davantage à moi, mais te taire, et obéir. Tu n'ouvres désormais ici la bouche,
en présence d'un homme, que pour crier ou sucer. Tu ne peux te dérober, tes
lèvres restent entrouvertes, ni ne croises les jambes, ni ne serres les genoux
pour rendre ta bouche, ta chatte et ton œillet sont ouverts à quiconque.
Donne-moi immédiatement ton slip, ton porte-jarretelles et tes bas, pour
commencer.
Je dois
relever ma jupe, tandis que des inconnus m’observent. Xavier Henri prend mon
slip, le sent et le met dans un foulard de soie, avec mon porte-jarretelles et
mes bas. Je glisse mes pieds nus dans mes escarpins. J’ai les fesses nues et
cela m’excite tout en m’interrogeant.
-
Maintenant, donne-moi ton soutien-gorge.
Je dois
retirer mon chemisier et dégrafer mon soutien-gorge, qu’il me prend des mains.
- Laisse ton
chemisier ouvert, sur tes seins nus.
Xavier Henri
caresse mes seins sous mon chemisier et mes mamelons se tendent.
- Cela
t’excite, assis-toi sur le banc, jupe relevée, cuisses écartées et lit un
passage.
Un miroir
permet aux inconnus de voire mes seins par l’ouverture de mon chemisier et mes
jambes nues.
Le passage
m’intrigue, m’excite et je ne comprends pas le jeu de Xavier Henri.
A la fin de
la lecture, je dois me pencher en avant, exhibant mes fesses nues.
- Ecarte tes
fesses, Cyrielle.
Xavier Henri
lubrifie un doigt, pour tester l'élasticité de l'anus. C’est froid, dans il
glisse dans mon anus vierge. Il fait pénétrer le bijou d’anus sur trois
centimètres, pour me détendre l’anus. La pointe lubrifiée du bijou d’anus
appuie sur la pastille anale et pousse doucement. En quelques secondes la
partie charnue du bijou d’anus est avalée. Ne reste visible que la partie
décorative qui sert aussi de butée.
Après
l'introduction du bijou d’anus, il se resserre sur la tige dont le diamètre est
plus ou moins celui d'un petit doigt, ce qui correspond à l'ouverture normale
et naturelle de l'anus pour permettre les échanges gazeux. Il entretient l'élasticité
de l'anus.
En marchant,
l’objet est au final assez excitant. Je suis obligée de contracter l’anus pour
être sûre que l’objet ne tombe pas. Cette contraction avance le bijou d’anus
contre ma chatte et stimule cette partie hautement érotique.
Je garde
l’objet une heure environ. Il mesure dix centimètres de long.
- Ainsi, la
prochaine sodomie sera plus aisée et moins douloureuse, Cyrielle.
Je quitte la
bibliothèque vers onze heures, en compagnie de Xavier Henri.
Il me
conduit dans un bar, où je dois m’asseoir sur une chaise, en relevant bien ma
jupe, pour m’asseoir fesses nues, sur le cuir froid.
- Cyrielle,
tu n’es plus vierge de la chatte, mais sache que désormais, tu es une jeune
novice anale. Dans quelques heures, tu seras enculée par de beaux étalons,
après tes cours. Tu feras tes besoins, avant tes ébats. Tu es libre de te
masturber le clitoris, ma coquine et de faire tendre mes mamelons et de te
faire jouir en solitaire.
Pendant le
repas, Xavier Henri ne cesse de m’embrasser sur la bouche langoureusement,
d’exhiber mes seins au serveur pour qu’il les pelote. Je mouille sur le cuir
froid.
Après le
paiement de la note, Xavier Henri me conduit aux toilettes pour hommes. Je suis
un peu gênée.
Il m’intime
à retirer mes fesses, au-dessus d’un des urinoirs. J’ai une folle envie de
pisser. Je me lâche, ce qui plait à Xavier Henri.
Les clients
me tournent autour, me caressent les fesses, les écartent, me pelotent les
seins.
- Allez-y,
cette jeune vierge anale attend vos queues pour son dépucelage.
En effet,
Xavier Henri me retire le bijou d’anus, lubrifie mon anus avec ma mouille
abondante.
-
Penche-toi, détends-toi, cela est une formalité.
Un premier
mandrin de bon calibre, quinze centimètres de long et six de diamètre, m’encule
en douceur, centimètre par centimètre, jusqu’aux testicules.
Elle est un
peu serrée, mais elle se détend.
- Cyrielle,
détends-toi, il pourra mieux t’enculer, masturbe ton clitoris.
Une vague
m’irradie. Je jouis, sous les coups de boutoir dans mon anus dilaté.
Elle prend
son pied, dit l’inconnu en pelotant mes seins qui se balancent au rythme de ses
coups de boutoir.
Il éjacule
en moi, puis un second me prend, doté d’un mandrin plus imposant, trente
centimètres et sept de diamètre. Je dois m’ouvrir davantage, mais j’ai un peu
mal.
Bien
lubrifié, la seconde sodomie est plus aisée.
- C’est une
future déesse anale. Elle s’ouvre bien, Alban l’a bien travaillé.
- Oh oui,
pine-moi le cul. J’ai l’œillet en feu.
- Suce-moi,
ma belle.
Mes râles de
plaisir sont étouffés, en suçant Alban. Un orgasme anal me terrasse, par les
masturbations de mon clitoris tendu et les fessées magistrales qui me font
mouiller.
Avalant le
sperme d’Alban, l’Européen, tout en recevant celui de Jason, l’Africain, je
suis aux anges.
Tandis que
Jason m’offre son mandrin, Xavier Henri m’encule à son tour, avec son mandrin
long de trente et un centimètres et huit de diamètre, je suis servie, préparée
par Alban et Jason. La troisième sodomie est un plaisir.
Xavier Henri
éjacule dans mon anus. il me remet mon bijou d’anus, pour conserver mon anus
lubrifié.
- Tu as été
parfaite. Trois sodomies, pour t’écarteler l’œillet. Tu as découvert le plaisir
anal, comme une vraie prostituée anale. Je garde la monnaie.
Je retourne
en cours. Les regards insistants sur mes seins nus sous mon chemisier
entrouvert, provoquent une excitation qui fait tendre mes mamelons, les rendant
plus visibles.
En cours, je
m’assois, la jupe relevée, cuisses écartées. Je me retiens de jouir, en jouant
avec le bijou d’anus.
Des copines
sont intriguées par ses jambes nues.
- Cela est
plus pratique, sans slip, je me sens plus libre, les fesses nues. Ainsi, on
peut me baiser plus aisément.
Aux
toilettes pour les femmes, je baisse ma jupe et les copines sont intriguées par
la pierre précieuse blanche entre mes fesses.
- Cela te
fait mal, Cyrielle.
- Non, cela
me prépare l’œillet pour de nouveaux amants bien montés, qui aiment aussi me
baiser.
Ces
questions m’excitent et mon clitoris se tend au maximum tout comme mes mamelons
sous mon chemisier.
Rhabillée,
je retrouve à la fin des cours, Xavier Henri.
- Alors, tu
es prêtes à t’exhiber dans d’autres lieux, Cyrielle.
- J’accepte.
- Tu consens
à offrir ton corps à quiconque, au premier venu, à lui obéir.
- Oui, je
suis prête, Xavier Henri.
Xavier Henri
me conduit à pied, dans un parc, à une demi-heure de l’université. Il veille à
ce que mon chemisier reste ouvert, pour le vent effleure mes mamelons tendus.
- Cyrielle,
tes mamelons et ton clitoris ne sont encore assez sensibles à mon goût. Une
crème fera d’effet.
Devant l’entrée
du parc, se trouve une limousine aux vitres teintées et un superbe étalon
musclé, brun, comme je les aime.
- Monte,
Cyrielle. Je vais te préparer.
Rapidement,
je me retrouve nue, avec mes escarpins à mes pieds nus, cuisses écartées, les
yeux bandés par un bandeau de velours. Il se renfle un peu au-dessous des
orbites, et s'applique exactement aux pommettes : impossible de glisser le
moindre regard, impossible de lever les paupières. Il lie mes mains dans le
dos.
Il pelote
mes seins, mon clitoris, juste pour le faire tendre, tout comme mes mamelons,
par l’air frais à l’arrière de la limousine.
On m’aide à
descendre de la limousine. Je monte quelques marches d’un escalier, tenue
fermement par des mains masculines.
Je franchis
des portes, puis je me retrouve seule, sans mon bandeau, dans une grande pièce
entourée de miroirs et de glaces sans tain. Il y a juste un tapis sous mes
escarpins.
Dès que les
portes s’ouvrent, je baisse les yeux et laisse ma bouche entrouverte.
Deux
superbes femmes, dotées d’un imposant mandrin, entrent, vêtue de corsets seins
nus, d’une jupe largement ouverte sur leurs mandrins nus et libres, aux
testicules ornés d’anneaux dorés, avec des colliers et des bracelets en cuir à
leurs poignets, fardées et parfumées.
Je n’ose les
regarder.
Elles me
libèrent les mains et me baignent longuement. Je dois m’accroupir, cuisses
écartées, dans la baignoire, puis m’asseoir dans un grand fauteuil. Cela dure
toujours au moins une heure. Cela a duré plus d'une heure en effet, mais je
suis assise sur ce fauteuil, nue, et les cuisses écartées, on m’a retiré le
bijou d’anus pour que je m’empale l’anus sur un imposant vibromasseur anal. Et
comme il y a en face de moi une grande glace, du haut en bas de la paroi, que
n'interrompt aucune tablette, je me voit, ainsi ouverte, chaque fois que mon
regard rencontre la glace.
Le
vibromasseur anal est doté de va-et-vient et de vibrations intensives, mesure
entre dix-neuf et vingt centimètres selon ses mouvements, il a un diamètre de
sept centimètre. Le vibromasseur s’allonge et rétrécit à chaque mouvement de
va-et-vient grâce à son enveloppe ultra-souple qui s’étire ou se contracte en
suivant les montées et descentes du vibromasseur. J’ai l’impression d’avoir un
véritable homme à ma disposition qui me fait l’amour en étant infatigable. Je
mouille de plaisir.
On farde ma
bouche avec un rouge clair, un peu liquide, appliqué au pinceau, et qui fonce
en séchant. On me peint du même rouge l'aréole et les mamelons qui se tendent
constamment par une mystérieuse crème, et les petites lèvres entre mes cuisses,
en soulignant la fente du giron. Mes paupières sont légèrement ombrées, du
parfum longuement passé sur mes aisselles lisses et ma fourrure pubienne, dans
le sillon entre les cuisses, dans le sillon sous les seins, et au creux des
paumes. Une des femmes m’assujettit à mon cou et à mes poignets, mes carcans de
cuir. Ils sont faits : en plusieurs épaisseurs de cuir, chaque épaisseur assez
mince, au total pas plus d'un doigt, verrouillés par un système à déclic, qui
fonctionne automatiquement comme un cadenas quand on le referme, et ne peut
s'ouvrir qu'avec une petite clé. Dans la partie opposée à la fermeture des
bracelets, pris dans le milieu des épaisseurs de cuir, et n'ayant presque pas
de jeu, il y a un anneau de métal, qui donne une prise pour fixer, et qu'on
positionnait du côté intérieur du poignet. Pour le collier, l'anneau pend
devant le cou, reposant sur la saillie des clavicules, et brinquebale au rythme
des mouvements de celui qui le porte.
Je glisse
mes pieds nus dans des mules à très hauts talons.
J’entre dans
une pièce où un miroir à trois faces et un quatrième miroir au mur permettaient
de se bien voir.
Je m’assois
sur le pouf au milieu des miroirs, et d'attendre, cuisses écartées. Le pouf est
couvert de fourrure, qui me pique un peu, et il y a un tapis au sol. Sur une
des parois du petit boudoir, il y a une grande fenêtre qui donne sur un beau
parc.
A nouveau,
je subis l’assaut du vibromasseur anal pour me préparer.
Au bout d’un
certain temps, il s’arrête et se rétracte dans son logement, comme dans le
fauteuil.
Les yeux
baissés, la bouche entrouverte, j’aperçois dans les miroirs, deux superbes
étalons nus sous des capes, aux mandrins bien montés, avec des anneaux aux
testicules, cagoulés.
- Voici, la
nouvelle, Cyrielle, la prostituée anale, il faudra élargir son œillet étroit.
Allonge-toi sur le pouf, sur le dos, dit l’un d’eux.
Debout, je
me fais caresser les seins, pincer mes mamelons mystérieusement constamment
tendus, hyper sensibles, tout comme mon clitoris, comme jamais auparavant. Ils
sont durs et me font très mal, mais je suis frustrée de ne pouvoir me caresser.
Mes mamelons sont saillants, gros et longs. Mon clitoris est gros comme une
cerise, volumineux.
Le premier à
m’enculer est doté d’un mandrin vingt-six centimètres et six de diamètre.
Je dois
poser mes mollets sur ses épaules. Il est agenouillé et m’encule violemment,
entrant et sortant pour mieux me faire sentir son mandrin. Je lutte pour ne pas
jouir, tellement il m’encule bien. Il me caresse les cuisses, les mollets, les
chevilles.
Il se retire
et le second s’allonge sur le pouf, sur le dos. Je m’empale sur lui, son
mandrin long de trente centimètres et sept de diamètre, me remplit l’anus
dilaté par le premier, cuisses écartées de part et d’autre du bassin du second.
J’accroche mes deux mains à son buste. A chaque va-et-vient sur son mandrin, je
sens ses testicules contre mes fesses, brûlantes par les claques magistrales du
premier. Tout comme le premier, avec mes balancements d’avant en arrière, il
éjacule en moi.
Je les
nettoie.
Je retrouve
mon bijou d’anus remis en place.
Je prends
seule mon dîner en effet, toujours nue, dans une sorte de petite cabine où une
main invisible me tend les plats par un guichet.
Enfin, le
dîner fini, les deux femmes reviennent me chercher.
Dans le
boudoir, elles fixent ensemble, derrière mon dos, les deux anneaux de mes
bracelets. Une femme avançait devant elle et ouvre les portes, l'autre la suit
et les referme. Nous traversons un vestibule, deux salons, et pénétrons dans la
bibliothèque, où quatre hommes prennent le café. Ils portent des capes et
laissent leurs mandrins nus et libres, sont bottés, non cagoulés.
- Approche,
ma belle, que ton royal anus va devoir subir la pénitence.
Un des
hommes s’allonge sur le tapis. On me retire le bijou d’anus.
Je me
retrouve empalée, les mains dans le dos, assise sur un des hommes, bien monté,
trente et un centimètres de long et sept de diamètre, enculée jusqu’aux
testicules. Mes genoux sont repliés vers mon buste, mes pieds agacent les
jambes de l’inconnu, qui me saisit sous les cuisses. Il me fait coulisser son
mandrin en érection.
Puis on
m’écarte bien les cuisses, pour honorer ma chatte trempée, tandis qu’un
troisième me fait sucer son gros mandrin, long de vingt-cinq centimètres et six
de diamètre.
Je suis
fessée magistralement par le premier.
Je jouis
sous les coups de reins de mes violeurs. Le mandrin du troisième me laboure la
bouche. Celui qui me baise.
- Allez y,
jouissez, je veux qu'elle avale votre foutre jusqu'à la dernière goutte.
- Je vais
t'inonder, tu vas jouir comme une folle.
- Laisse-lui
ta bitte dans la bouche qu'elle ne puisse pas crier, retiens-toi ne jouis pas
tout de suite.
- Tu
mouilles comme une chienne... t'aime te faire enfiler.
La bouche
grande ouverte, je reçois le sperme se répandre dans ma bouche. Me voyant
avaler le sperme, mon enculeur, surexcité, me remplit l’anus, alors que l’autre
me baise. Il éjacule en dernier entre mes jambes.
Pantelante,
recouverte de sperme, prosternée, cuisses écartées, je suis enculée par le
quatrième, doté d’un mandrin de seize centimètres de long et six de diamètre.
Il se met en appui sur ses jambes, entrant et sortant de mon anus débordant de
sperme. Je suce celui qui m’a baisée.
Celui qui
m’a baisée, me prend alors, doté d’un mandrin de vingt-six centimètres et sept
de diamètre, m’encule latéralement et enjambe mes fesses brûlantes, pour me
fesser et caresser mes seins aux mamelons tendus à l’extrême. Il éjacule en
moi.
Je suce un
des trois autres.
Ces sodomies
m’ont mise dans un état d’excitation. Je prends de plus en plus de plaisir à me
faire enculer.
Deux des
hommes sont debout. Un autre est assis, une cravache sur les genoux, et
allongés sur le côté, les jambes légèrement repliées, le quatrième est dans mon
dos et m’encule. Ses mains caressent mes seins, ma chatte trempée. Il m’encule
lentement. J’ajuste mon bassin en face du mandrin. Il caresse mon clitoris
constamment tendu par l’excitation. Il m’embrasse langoureusement, m’enculant
jusqu’aux testicules. Je garde mes mains liées dans le dos
- Ainsi, tu
as vu tes violeurs. Tu seras fouettée, les yeux bandés, ma belle. Que tu es
chaude.
Sans
débander, il me fait asseoir entre ses cuisses, pour caresser mes reins, mes
fesses, mes seins, mon cou, mes épaules et mon dos. Je suis encore enculée
jusqu’aux testicules.
On me montre
la cravache, longue et fine, de fin bambou gainé de cuir, comme on en voit dans
les vitrines des grands selliers ; le fouet de cuir est long, fait de six
lanières terminées par un noeud ; il y a une garcette, de cordes assez fines,
faite de sept lanières, terminées chacune par plusieurs noeuds, et toutes
raides, trempées dans l'eau, je le constate, lorsqu’on me caresse l’intérieur
des cuisses, pour mieux sentir combien les cordes sont humides et froides sur
la peau tendre de l'intérieur.
- Offrons-la
à Hadès. Prosterne-toi, avant d’être fouettée en principe que sur les reins et
les cuisses, de la taille aux jarrets,
Hadès me
saillit, m’encule avec son sexe long de trente-deux centimètres et six de diamètre,
jusqu’au nœud. Je gémis un peu, mais je connais quatre orgasmes anaux, l’anus
rempli de son sperme, en plus des autres hommes qui m’ont enculée. Je suis aux
anges en une demi-heure.
Je nettoie
Hadès, un superbe doberman.
Puis je suis
suspendue, bras tendus en l’air, sur la pointe des pieds nus, sur le tapis.
Un des
hommes, le plus trapu des quatre, enfile une paire de gants en cuir, il les
ajuste soigneusement sur les poignets, et il prend la garcette.
Il fait siffler à plusieurs reprises les lanières
au ras de mes fesses. Puis soudain, sans prévenir, il frappe.
Quand les
nœuds en cuir s'incrustent en travers de ses cuisses, je m'arque en
recroquevillant les orteils, je me tends pour tenir et me taire le plus
longtemps possible, par défi.
- Arrêtez,
cessez un instant.
Je me tords
avec frénésie pour échapper aux morsures des lanières, mes cheveux voler en
tous sens, mon ventre, et le devant de mes cuisses et mes fesses.
- Il faut
l’enculer, ses fesses sont brûlantes.
Celui doté
d’un mandrin de trente-un centimètres et sept de diamètre m’écarte bien les
fesses et m’encule jusqu’aux testicules, tout en pelotant mes seins aux
mamelons constamment tendus sous l’excitation. Mon gros clitoris me fait mal
aussi.
- Son œillet
doit être rendu plus commode.
- On va lui
mettre le gode Arès. Maintenez les fesses bien écartées pour l’insertion du
gode.
L’anus bien
lubrifié, je sens un nouveau objet : long de vingt-sept centimètres et
cinq de diamètre, avec son nœud pour m’écarteler, comme un vrai sexe canin.
Le gode Arès
est doté de trois petits trous percés dans le nœud, trois chaînettes qu'il
laisse pendantes. Le gode est un sexe canin en érection. Puis on attache une
étroite ceinture autour de ma taille, et l'on y accroche les trois chaînettes,
une par derrière qui suit le sillon des fesses, et les deux autres par-devant,
qui longent le pli des aines en contournant le triangle pubien. On les ajuste
au plus court, de façon que le mouvement intérieur des muscles ne peut
repousser le gode et permettre de se resserrer à l'anneau de chair qu'il doit
forcer et distendre, et on les attache avec de petits cadenas, pour s'assurer
que, lorsque je suis seule, je ne peux être tenté de me soulager de cette
contrainte. Le gode se révèle être un puissant vibromasseur anal similaire à
celui du fauteuil.
- Les
va-et-vient te rappellent ton statut de chienne. Retiens-toi de jouir, enculée
par ton amant canin.
Le fouet
reprend et me cingle sur les meurtrissures précédentes, puis je suis cravachée
pas trop fort pour ne pas me marquer tout de suite.
Quand on me
détache, chancelante et groggy, le haut de mes cuisses traversé par deux lignes
d'un rouge sombre, presque parallèles, on me laisse debout, nue, pieds nus,
avec les va-et-vient intenses du vibromasseur Arès.
Les deux
jeunes femmes restent à mes côtés.
Voici le
discours que l'on me tient.
« Tu es ici
au service de tes maîtres. A tout moment, tu seras enculée, fouettée. Toujours,
tu ne peux te dérober, les lèvres de ta bouche entrouverte, les cuisses
écartées, pour les honorer. Le fouet ne t’es appliqué qu'entre le coucher et le
lever du soleil. Le vibromasseur est porté pendant huit jours entre ton lever et le repas de midi, puis
entre la tombée du jour où finit ton service dans la bibliothèque et l'heure de
la nuit, dix heures généralement, il est ôté pour satisfaire tes amants canins
lors de rencontre à la bibliothèque, de plus en plus gros, pour assouplir ton
œillet. Tu ne dois jamais lever les yeux sur celui qui te parle ou te prend :
tu ne dois jamais regarder un de nous au visage. Ta bouche est vouée à nous
sucer, fixer nos mandrins nus et découverts. En outre, à la nuit, tu suces,
cuisses écartées, les mains liées au dos, et nue ; on ne te bande les yeux que
pour te maltraiter, et pour te fouetter. A ce propos, s'il convient que tu le
reçois chaque jour pour ton instruction. Tu es contrainte. Quand à la sortie,
tu portes un anneau de fer à l'annulaire, qui te fais reconnaître : tu as
appris à ce moment-là à obéir à ceux qui portent ce même signe - eux savent à
le voir que tu êtes constamment nue sous tes vêtements, et que c'est pour eux.
Ceux qui vous trouvent indocile te ramènent ici. On va te conduire dans votre
cellule. Tu mouilles et tu ondules ton bassin, de désir, sur le gode Arès.
C’est très bien, tu es une bonne chienne. »
Les mules
claquent sur les carrelages rouges des couloirs, où des portes se succèdent,
discrètes et propres,
« Tu es dans
l'aile des vicieuses, et ton valet s'appelle Pénélope et son chien, un superbe
Danois, doté d’un sexe de trente-six centimètres et six de diamètre, Lancelot.
- Quel valet ? dis-je saisie par la douceur
de la voix, et comment t’appelle-tu ?
- Je m'appelle Anal Beauté. Nous sommes des
soumises transsexuelles.
- Et moi Jouisseuse Vicieuse », dit la
seconde.
La première
reprend : « C'est le valet qui a les clefs, qui t’attaches et te détaches, te
fouettes quand tu es punie et quand on n'as pas de temps pour toi.
- J'ai été
dans l'aile des vicieuses l'année dernière, dit Jouisseuse Vicieuse, Pénélope y
était déjà. Il vient souvent la nuit avec Lancelot, pour te faire saillir ; les
valets ont les clefs et dans les chambres qui font partie de leur section, ils
ont le droit de se servir de nous.
Pénélope est
une superbe beauté aux seins plantureux, doté d’un mandrin de vingt-cinq
centimètres de long et six de diamètre, nu, sous sa cape, botté. Pénélope porte
aussi à la ceinture un fouet à lanière de cuir. Pénélope m’allonge sur la
banquette, sur le dos, me retire le vibromasseur et me fait empaler sur son
mandrin, m’enculant, face à face. Accoudée, Pénélope me saisit par la cuisse
droite et le mollet gauche, pour me rapprocher, à chaque coup de rein. Je dois
me retenir de jouir, le clitoris constamment tendu sous la langue de Lancelot.
- Lancelot,
lèche bien le clitoris de ta nouvelle chienne. Son œillet est chaud. Je vais
éjaculer en toi et retiens-toi de jouir.
A peine
Pénélope s’est retirée, que Lancelot m’encule, allongé sur moi. Je passe mes
jambes par-dessus le dos de Lancelot, et je m'agrippe à lui, les mollets
croisés sur ses reins, jusqu'à me coller étroitement sous lui. Je connais
quatre orgasmes en sa compagnie, tout en suçant Pénélope, en trois quart
d’heure.
- Tu es une
bonne chienne.
Dès le
retrait et le léchage de mon anus, Pénélope me remet le vibromasseur en place.
Pénélope sort
un passe de sa poche de gilet, ouvre la porte et nous entrons.
Il y a la
fenêtre, éclairant un chevalet et une croix de Saint-André pour me fouetter,
mais aucun lit.
- Ainsi, tu
es plus facile à saillir, sur le chevalet.
- Nous
devons vous faire prendre votre bain, dit Jouisseuse Vicieuse.
La salle de
bains comprend une baignoire transparente, accessible par des marches et les
parois sont entièrement revêtues de glace.
Pénélope me
menotte les bras en l’air, pendant tout la durée de mon bain, accroupie,
cuisses écartées. Les yeux baissés, la bouche entrouverte, mon bassin ondulant
sur le vibromasseur, je me laisse laver avec des éponges, sur mon dos, mes
fesses, ma chatte, mon clitoris et mes mamelons sont constamment tendus par
l’application de la mystérieuse crème.
A la sortie
du bain, mon collier, mes bracelets et ma ceinture de cuir ont durcis et me
serrent davantage. Je reste nue.
Pénélope me
retire le vibromasseur et m’installe sur le chevalet.
Je suis
solidement immobilisée dans cette posture dégradante, le postérieur plus haut
que la tête. Mes bras sont fixés le long des pieds avants, mes jambes le long
des pieds arrières, et une large sangle m'est passée au niveau de la taille.
Mes cuisses, légèrement fléchies sont empêchées de se resserrer par la largeur
de la poutre, ainsi d'ailleurs mes fesses que je me peut refermer.
Il caresse
mes fesses et invite Lancelot à m’enculer à nouveau. Je connais quatre nouveaux
orgasmes et de longues éjaculations de spermes canins. Je nettoie Lancelot.
Ma chatte est
humide, trempée, ouverte au valet Pénélope. Je m’endors, menottée au chevalet.
Mon repos
est de courte durée, dans la pénombre, un superbe berger allemand, prénommé
Adam, m’encule avec son sexe long de vingt-cinq centimètres et cinq de diamètre
jusqu’au nœud comme Lancelot et Hadès.
Mon anus
s’habitue à ce nouveau sexe qui m’écartèle, comme une chienne.
Puis le
beauceron et le malinois prennent le relais, pour raccourcir mon sommeil.
Mon anus
s’ouvre sur commande et dégouline de spermes canins abondants jusqu’à une heure
pour les plus endurants, jusqu’au nœud, pour que je reste attachée à eux.
Aux
dernières heures de la nuit, quand elle est plus noire et plus froide, juste
avant l'aube, Pénélope revient.
- Alors,
cinq amants canins te comblent depuis ton arrivée : Hadès, Lancelot, Adam,
Cœur de Lion et Atlas. Rare, les chiennes stoppent après trois amants canins.
Ton œillet est en feu.
Pénélope me
cravache les fesses, à toute volée. Pénélope n'attend pas que je me taise, et
recommence quatre fois, en prenant soin de cingler chaque fois ou plus, haut ou
plus bas que la fois précédente, pour que les traces soient nettes.
Il remet le
vibromasseur anal Arès, pour que je limite l’expulsion de spermes canins.
Il ouvre la
porte-fenêtre et me fait accroupir, cuisses écartées, sur la pointe des pieds,
bras tendus en l’air, menottée à un crochet au plafond. Le vent fait tendre
davantage mes mamelons et mon clitoris constamment tendus.
Pénélope me
cravache le devant de mes cuisses.
Le tout
avait duré cinq minutes.
Il me
libère, m’allonge sur le dos, sur le chevalet, cuisses écartées, immobilisée.
Pénélope me
baise, tandis que je suis enculée par le gode Arès. Je me retiens de jouir,
sous la double pénétration.
Pénélope
éjacule sur mon pubis et dans ma bouche. Pénélope me retire le gode et Lancelot
m’encule dans la foulée.
11 avril
Au dehors,
plus tard, une lente aurore naît jusqu’au grand jour.
Un jardinier
me découvre par la porte-fenêtre, dans ma position, exhibant mes cuisses
cravachées, l’anus dégoulinant de spermes canins.
Aucune
soumise n'a les clefs, ni celles des portes, ni celles des chaînes, ni celles
des carcans, mais tous les hommes portent à un anneau les trois sortes de clefs
qui, chacune dans leur genre, ouvrent toutes les grilles, ou tous les cadenas,
ou tous les colliers. Les valets les ont aussi. Mais au matin, ceux qui ont été
de service la nuit dorment, et c'est l'un des maîtres ou un autre valet qui
vient ouvrir les serrures.
L'homme qui entre dans ma cellule, accompagné
d'Anal Beauté et de Jouisseuse Vicieuse, est nu sous sa cape, botté, doté d’un
mandrin long de trente et un centimètre et sept de diamètre.
Il me libère
les chevilles et m’encule sur le champ, jusqu’aux testicules, en saisissant mes
cuisses cravachées.
- Tu es une
bonne chienne. Sept amants canins depuis ton arrivée. Je me retiens de jouir.
Il éjacule
dans mon anus et sur mon pubis.
Je le
nettoie.
Il me remet
un nouveau gode : long de trente-deux centimètres et sept de diamètre, le
nœud passe de la taille d’un œuf à une balle de tennis pour m’écarteler
davantage. Je gémis un peu, une fois mis en place.
A son
départ, libre, je m’assois sur le chevalet, cuisses écartées. Mon bassin ondule
sous les coups du gode Romulus.
Jouisseuse
Vicieuse pousse vers le chevet une table roulante qui porte du café au lait, du
sucre, du pain, du beurre et des croissants.
- Mange
vite, il est neuf heures, tu pourras ensuite dormir jusqu'à midi. Quand tu
entendras sonner, il faudra que tu te prépares pour le déjeuner. Tu prends ton
bain et tu te coiffes. Tu restes nue avec ta chaîne et en mules.
– Tu ne
seras de service que pour l'après-midi », dit Anal Beauté. « Dans la
bibliothèque : servir le café, les liqueurs, et entretenir le feu.
– Mais
vous... » dis-je.
- Ah, nous
sommes chargés de toi que pour la première journée. Ensuite, tu es seul. Nous
pouvons plus te parler, et toi non plus tu peux pas.
– Restez,
restez encore, dites-moi... »
Deux
superbes étalons entrent, nus, dotés d’imposants mandrins de trente-six
centimètres et sept de diamètre.
- Voici, la
superbe chienne Cyrielle, la favorite du doyen, sept chiens pour la combler.
Son bassin ondule avec Romulus. Approche, ma belle, dit l’un d’eux.
Je garde les
yeux baissés et la bouche entrouverte.
Je reste
debout. Le premier examine les balafres, appuyant légèrement la pointe de ses
doigts tout le long de celle des cuisses, puis, me tournant, posant ses lèvres
fraîches sur celles des fesses, l'embrassant tendrement, léchant mon clitoris
constamment tendu, je mouille.
Le second
pelote mes seins aux mamelons constamment tendus. Mon bassin ondule violemment
sur le gode Romulus. Je suis au bord de l’orgasme anal, je me retiens.
Le second me
soulève par les cuisses, et me fait empaler sur son mandrin en érection. Je ne
peux refuser. Il me fait jouir.
- Sa chatte
est chaude aussi, dit le second.
L’anus
libre, je connais ma première double anale.
Celui qui a
le plus gros s’allonge sur le dos pour que je m’empale sur lui et puisse tendre
le plus possible ma croupe et l’autre m’encule simultanément progressivement,
m’encule doucement, puis plus rapidement ou violemment l’anus.
Sans
débander, un des hommes me prend dans ses bras, je l'entoure avec mes jambes,
enculée et le second me soutenant également une partie de son poids et
m’encule. J’explose de plaisir, doublement inondée.
Ils me
remettent Romulus en place et je les nettoie.
Je suis
menottée au chevalet, l’anus libre, prête à de nouvelles saillies anales
canines, par de nouveaux amants canins jusqu’à midi.
A midi, on
me détache. Je suis baignée, menottée, avec le gode Romulus en place.
Nue, en
mules, accompagnée par Jouisseuse Vicieuse, je fais l’objet de deux valets,
nus, en cape, bottés, avec deux superbes Danois, Luxure et Vice.
Je m’offre à
quatre pattes, l’anus libre, rapidement enculée par Luxure jusqu’au nœud,
suçant Vice, qui m’encule ensuite.
Après huit
orgasmes anaux canins, les deux valets m’enculent aussi, tandis que je nettoie
Luxure et Vice.
On me remet
Romulus en place et je rejoins le réfectoire.
Au
réfectoire, une salle dallée, la table longue, en verre épais, pour que les
valets puissent voir ce que les soumises y ont pu faire par-dessous, et chacune
a pour siège un tabouret rond recouvert de cuir. Je retrouve au contact du cuir
lisse et froid sous mes cuisses écartées, livrée aux assauts de Romulus.
Inversement, lors de mon départ mais les fesses et les seins nus sous mon
tailleur, à chaque fois relever ma jupe pour m'asseoir, à même la banquette
d'une auto ou d'un café, je retrouve, les seins et les fesses offerts, les
mains et les bouches à qui tout est permis, et le silence fascinant.
Après le
repas, je retrouve la bibliothèque, seule, avec le valet et le Danois Luxure.
Les portes-fenêtres ouvrent à l'ouest.
Deux jeunes
hommes entrent nus sous leurs capes, bottés. Je garde les yeux baissés, la
bouche entrouverte, mon bassin ondulant, trahit mon orgasme anal.
Ils
regardent mes fesses, mes cuisses. Je reste debout.
- C’est la
fameuse chienne à sept amants canins, dit l’un d’eux.
Il me
masturbe mon clitoris constamment tendu et joue avec mes mamelons tendus par le
vent frais.
- Tu as
envie de Luxure, ma belle chienne. A quatre pattes, tu vas te faire saillir et
tu es libre de jouir.
A quatre
pattes, l’anus rapidement rempli par le sexe de Luxure, jusqu’au nœud,
j’explose dans quatre nouveaux orgasmes anaux.
Puis les
deux hommes m’enculent à tour de rôle, l’anus bien lubrifié.
L’œillet est
encore un trop étroite, malgré Romulus. D’ici quelques jours, l’œillet sera
bien élargi.
Je passe
l’après-midi, alternant entre les deux hommes et Romulus.
Malgré la
fatigue de mes nombreux orgasmes anaux, je dois attendre l’heure de la nuit,
pour ne plus porter mon gode Romulus. Je le porte au dîner du soir, nue,
baignée et parfumée.
A la
bibliothèque jusqu’à l’aube, je suis enculée soit par des inconnus soit par des
chiens de garde de bon calibre pour m’écarteler.
18 avril
A l’aube,
menottée au chevalet, de retour de la bibliothèque, Luxure, Vice et Lancelot se
relaient pour m’enculer. Le sexe des Danois m’a bien ouvert, mon anus s’ouvre
sur commande.
Peu après le
déjeuner au réfectoire, encore nue et en mules, avec mon gode Arès, long de
trente-six centimètres et six de diamètre, avec un nœud de la taille d’une
balle de tennis, je reçois la visite de Xavier Henri.
- Alors ma
chienne Cyrielle, le séjour t’a bien ouvert l’œillet. Je vais te retirer Arès
et t’enculer sur le champ.
Menottée au
chevalet, je suis sauvagement enculée par Xavier Henri. Il éjacule en moi et me
met un bijou d’anus de vingt-neuf centimètres et sept de diamètre, moulé sur
l’avant du sexe de Lancelot.
- Tu es
doublement ouverte, ma chienne Cyrielle. Tu vas recevoir ta bague. Nous
partons.
Un des
valets me retire mes carcans. Je choisis ma bague pour mon annulaire gauche.
C’est une bague sertie d’un petit anneau.
Je remets
mon chemisier sans boutons sur mes seins nus, ma jupe largement fendue
derrière, dévoile mes fesses nues, fraîchement cravachées, je garde mes mules à
hauts talons à mes pieds nus. Les lèvres de ma chatte sont toutes lisses et mon
gros clitoris est percé avec un anneau serti d’une pierre précieuse, pour
l’étirer vers le bas. Ceci a lieu pendant mon séjour.
Xavier Henri
m’embrasse langoureusement sur la bouche, en caressant mes fesses brûlantes.
Nous
quittons le lieu mystérieux par un dédale de couloirs vers un parc, où se trouve
la limousine. Le même étalon brun nous attend.
- J’oublie,
chienne Cyrielle, voici, Alban, ton chauffeur et qui te fouette selon tes
fautes. Nous n’allons pas à l’université. Tes cours te seront fournis. Tu dois
parfaire ton instruction de prostituée anale et de chienne.
Je m’assois
cul nu, seins nus sans mon chemisier, les yeux baissés, la bouche entrouverte.
Un second inconnu nous accompagne.
C’est un
athlète grisonnant, du même âge que Xavier Henri, prénommé Sir Donatien, Baron
Mon Plaisir
- Il faudra
mettre un fard plus foncé, le vôtre est trop clair, dit-il en pelotant mes
seins, pinçant mes mamelons constamment tendus par le vent frais de la fenêtre
ouverte.
Alban
m’observe. Je mouille d’excitation et cela se voit.
- Tes
mamelons se tendent et ton clitoris se tend sous ta jupe, chienne Cyrielle.
- Oui, Sir,
je suis excitée sous vos doigts.
- Tu es très
docile, comme chienne.
La limousine
s’arrête dans une allée forestière, non loin du lieu secret.
- Baisse ta
jupe que je prenne, annonce Sir Donatien.
J’obéis,
après être descendue de la limousine.
Les fesses
nues, Sir Donatien les caresse, les écarte, me retire mon bijou d’anus et
m‘encule d’une seule traite jusqu’aux testicules qui claquent contre mes
fesses. Je me cambre, les doigts de Xavier Henri dans ma bouche, pour couvrir
mes râles et les doigts experts d’Alban sur mon clitoris tendu.
Sir Donatien
éjacule longuement en moi, tandis que des cavaliers armés passent à proximité.
- Messieurs,
c’est la chienne Cyrielle, que vous connaissez.
- Oui, celle
qui s’offre à sept amants canins. Son œillet est un vrai plaisir pour ses
amants canins.
Ce qui
provoque un orgasme anal et Sir Donatien éjacule à nouveau.
- Cela te
fait de l’effet, chienne Cyrielle.
- Oui, Sir,
les saillies m’ont rendues plus perverses.
Un des
cavaliers que je semble connaître, malgré mes yeux baissés, m’invite :
- Tu veux
goûter au sexe équin de ce superbe étalon pur sang, prénommé Zéphyr du Plaisir.
J’écarte
bien mes cuisses et l’homme plonge son sexe chaud et dur dans ma chatte jusqu’au
fond. Je dois sucer aussi l’autre cavalier.
Sir Donatien
m’écarte le plus largement possible les lèvres de ma chatte humide. Son sexe de
quatre-vingt centimètres me remplit jusqu’à trente centimètres.
Zéphyr tape
un peu des pieds arrières d'excitation, enfoncé jusqu’au fond de ma chatte.
Je ne dois
quasiment rien faire, c'est lui qui me baise !
Zéphyr me
remplit totalement la chatte qu'il dilate excessivement : c'est trop bon. je
jouis comme une femelle en chaleur, tout en suçant un des cavaliers.
- La saillie
équine de la chatte se passe à merveille, une future pouliche.
Ses coups de
boutoir sont violents comme j’aime, jusqu’à ce que je jouisse une deuxième
fois.
Lorsqu’il
jouit à son tour, je sens son sperme chaud au fond de ma chatte, c’est chaud.
Bien sûr,
les cavaliers m’enculent sur le champ, laissant Zéphyr m’offre son sexe en
bouche. Zéphyr éjacule dans ma bouche. Je suis aux anges.
Le bijou
d’anus en place, la limousine nous dépose, devant un luxueux pavillon de
chasse. Je descends, nue et en mules, en sueur.
- Vas te
doucher, te rafraîchir, te parfumer et te faire belle pour tout à l’heure. Tu
restes nue, ici, comme au Domaine des Vicieuses.
La grande
salle de bains au rez-de-chaussée est entièrement recouverte de glaces et de
miroirs sans tain, sur les murs et au plafond.
Déchaussée,
je rejoins la douche, passe le jet d’eau froide sur mon corps, faisant tendre
davantage mes mamelons et mon clitoris. La douleur devient supportable.
Anal Beauté
me rejoint nue et m’encule sauvagement, l’anus libre, tandis que l’eau froide
ruisselle sur mon dos, mes reins et je retarde au maximum mon orgasme. Mais
Anal Beauté n’éjacule pas. Je suis surprise. Elle a été opéré pour faire
l’amour sans éjaculer, tout comme Jouisseuse Vicieuse, mais elles peuvent
bander.
Sir Donatien
nous surprend.
- Tu prends
ton pied, chienne cyrielle. Tu seras fouettée par Anal Beauté, tout à l’heure.
Un bon lavement te fera du bien.
Anal Beauté
me conduit sur le bidet où je m’assois, courbée en avant, cuisses écartées,
devant un grand miroir, dévoilant ma chatte épilée ruisselante.
Anal Beauté
me savonne l’anus puis m’enfonce une canule, montée à l'extrémité du flexible
de la douche, par laquelle elle m’asperge d’eau froide. Mon clitoris se tend,
sous l’excitation sexuelle.
Une fois propre,
fardée et parfumée, nue et en mules, je rejoins au rez-de-chaussée du pavillon
de chasse, dans une terrasse couverte de vitres, cinq hommes cagoulés et leurs
chiens, tous des Danois. Je porte mes carcans de cuir au cou, aux poignets et
aux chevilles.
- Chienne
Cyrielle, mets-toi à quatre pattes. Les bras tendus pour que tes fesses
accueillent le sexe raide des Danois. Tu es libre de jouir avec les Danois et
de sucer les clients.
Le premier
Danois, prénommé Attila, m’encule longuement, tandis que je suce son maître, un
superbe étalon bien monté.
Le second
Danois, Beau Désir, m’encule avec plus de vigueur qu’Attila. Avec le troisième,
Comte César, me fait exploser sous mes orgasmes anaux.
Les saillies
durent entre une bonne demi-heure à trois quart d’heure en moyenne, selon leurs
excitations.
Mais pour le
quatrième et le cinquième, Désir Divin et Ejaculateur Eros, je suis prise en
double pénétration canine, une première pour moi.
Je m’empale
sur Désir et Ejaculateur m’encule. Je suis couchée sur Désir de tout son long
sur mon amant vaginal que je gratifie de nombreuses caresses avant sa prochaine
réplique.
Je sens les
deux nœuds de ses partenaires coincés en moi. Et lorsque les deux chiens
éjaculent, à quelque minutes d'intervalles, que je sens mes orifices
abondamment trempés de sperme tiède, qui sort de ma chatte et de mon anus,
dégoulinant le long de mes jambes, je connais un tel orgasme que la tête me
tourne et que je faillis m'évanouir. À chaque mouvement, un peu plus de sperme
animal s'échappe de mes orifices, prouvant que je deviens de moins en moins
hermétique. Puis Ejaculateur se retire de mon anus en m’arrachant un incroyable
râle de douleur. Je me retire ensuite de Désir.
Les yeux
mi-clos, je découvre des billets circulés devant moi.
- Chienne
Cyrielle, mes amis ont parié 15.000 sur le temps de ta double pénétration, mais
tu as dépassé le temps parié. Tu gagnes le droit de te faire prendre en double
pénétration par les maîtres de Beau Désir et Ejaculateur Eros, mais en double
anale.
A peine
remise de mon orgasme, les deux maîtres aux gros mandrins m’enculent en
cadence, tandis que je suce Désir et Ejaculateur à tour de rôle.
Mon anus
déborde de spermes chauds. Je suis aux anges.
Je suis
menottée à un chevalet pour être fouettée.
Je me
retiens de gémir sous la garcette et la cravache sur mes fesses et mes cuisses
brûlantes. Mon anus est humide.
Je reste
menottée, pendant que les invités se restaurent avec Sir Donatien. Un des
hommes cagoulés m’apporte le plat de résistance et me nourrit. Les Danois m’enculent
à tour de rôle, me donnant de nouveaux orgasmes anaux de plus en plus violents.
L’homme
m’annonce :
- Chienne
Cyrielle, je suis ton frère Brice. Ton cousin Sacha t’a enculée aussi. Il aime
ton œillet bien chaud.
Mon dos est
brûlant sous le soleil qui perce les vitres de la terrasse.
A la
cinquième et ultime saillie anale, Anal Beauté me met de la crème solaire sur
mon dos et de la crème apaisante sur mes fesses et mes cuisses.
- J’aime tes
fesses et tes cuisses zébrées, chienne Cyrielle.
- Peut-être,
dis-je. Et je ne me plains pas, mais l'habitude, ah non, je ne peux pas
m'habituer...
Eh bien, tu
as de quoi faire, parce que c’est bien rare que tu ne le sois qu'une fois par
jour ici. Avec ta bouche très bien dressée et à fouetter, tes seins et tes fesses
sont vraiment faits pour la cravache, les invités en ont envie, tu peux
toujours supplier.
Je vois
qu’Anal Beauté indique la procédure du pavillon de chasse, dit Sir Donatien en
me faisant sucer son gros mandrin. Je vais éjaculer dans ta bouche bien dressée
et tu avales tout.
J’obéis.
- Tu seras
détachée tout à l’heure, Ejaculateur doit encore te faire jouir.
Dans
l’instant, enculée jusqu’au nœud, j’explose dans un premier et long orgasme
anal. Je me retiens de recracher le sperme de Sir Donatien.
Ejaculateur
se retire partiellement pour mieux m’enculer avec vigueur, tandis que son
maître, Sacha me fait sucer son gros mandrin et m’encule à son tour, tandis que
je suce à mon tour Ejaculateur.
Pantelante,
je reprends mes esprits, allongée sur le lit, sur le dos, dans un grand lit,
bras et jambes écartées, menottée par mes carcans de cuir, mon anus dégouline
de spermes chauds humains et canins, entourée de miroirs et de glaces sans tain
sur les murs et au plafond.
Un autre
Danois, prénommé Olaf l’enculeur, m’encule d’une seule traite, ses pattes
pelotent mes seins, provoquant une tension extrême, ainsi qu’à mon clitoris. Je
me cambre sous ses coups de boutoir, son nœud écartelant mon anus. Olaf reste
en moi, même après son éjaculation et son sexe mou.
Quelques
instants après, Olaf reprend ses vigoureux assauts et j’explose dans une série
de quatre orgasmes anaux violents, qui m’épuise.
Après son
retrait, je suis menottée sur le ventre, bras et cuisses écartées.
- Alors, ma
belle chienne Cyrielle, je te vais te défoncer ta chatte affamée et toute
humide, m’annonce Sir Donatien.
Il est
équipé d’un extenseur de mandrin qui ajoute instantanément quatre centimètres
de longueur à votre pénis et il compresse son mandrin en améliorant
immédiatement sa rigidité tout en restant très doux et très souple et il est
élargi d’un centimètre grâce à l’épaisseur du fourreau en silicone dans lequel
sera serré son mandrin. Dès les premiers coups dans ma chatte, je ressens des
nodules et des picots souples qui stimulent de manière très agréable ma chatte
et mon clitoris tendu à l’extrême. Il me baise pendant une éternité,
m’abandonnant à une série d’orgasmes.
Puis il
m’encule avec le même extenseur. Je gémis un peu, mais je prends du plaisir.
- Je te
baiserais chaque jour, jusqu’à ta grossesse.
Il choisis
un double vibromasseur canin qui me remplit complètement la chatte et une bonne
longueur de mon anus, maintenu par des chaînettes reliées à une ceinture de
cuir, comme au Domaine.
En mules,
détachée, fardée et parfumée, je dois exhiber mon corps à des inconnus, qui
sont libre de me caresser les seins, mes mamelons tendus sont pincés par des
pinces avec clochettes, tout comme mes grandes lèvres humides. La clochette en
métal fixée par un anneau s'anime au moindre mouvement, émettant un tintement
cristallin. De violents va-et-vient simultanés ou alternés provoquent
l’ondulation de mon bassin, je dois me retenir de jouir, sous peine de
punitions.
Au coucher
du soleil, nue, en bottes, avec mes clochettes aux mamelons et aux grandes
lèvres, je rejoins les écuries, à un quart de marche à pied.
Là, menottée
sur un chevalet, Zéphyr m’encule, l’anus bien lubrifié par quelques saillies
anales d’Olaf. Mes gémissements et mes râles sont étouffés par les mandrins des
invités qui me filment, me photographient, commentent mes orgasmes anaux.
Zéphyr bande et débande un long moment dans mon anus, pour que je m’y habitue.
Au bout d’une heure, je suis offerte au trotteur Français, Alizé des Plaisirs,
pour une nouvelle saillie de ma chatte et s’achevant par une saillie anale.
Après Alizé,
c’est Tornade des Vices qui m’encule. Je reste trois jours aux écuries, offerte
à mes trois amants équins, pour que mon anus s’habitue à leur diamètre. Sir
Donatien me baise, menottée sur le chevalet, entre deux saillies.
21 avril
A l’aube,
les hommes des écuries m’enculent lors d’une longue orgie, où je suce et
nettoie leurs mandrins.
Sir Donatien
fait marquer mes fesses au fer rouge : sur la fesse gauche XH
entrelacés et SD sur l’autre, ainsi que sur mon épaule gauche, une cravache et
un fouet entrecroisé. J’ai perdu ma longue crinière pour une coiffure à la
garçonne. J’ai toujours gardé ma toison pubienne.
Je passe
plusieurs nuits en compagnie d’Anal Beauté, qui me baise et m’encule, sous le
regard de divers inconnus, des couples avec leurs chiens de garde, qui
m’enculent aussi.
2 mai
Brice et
Sacha me baisent aussi, pour me faire mettre enceinte, lors de visites
fréquentes.
Menottée au
fauteuil gynécologique, nue, je suis fouillée par un bel étalon brun, Ken, au
mandrin imposant, de trente-deux centimètres et sept de diamètre, avec un
spéculum et un écarteur anal, une caméra filme l’intérieur de ma chatte et de
mon anus humide d’excitation. Depuis mon arrivée chez Sir Donatien, il m’a
enculée à plusieurs reprises, après mes saillies anales canines puis équines.
Il révèle
devant Sir Donatien :
- La chienne
Cyrielle n’a pas ses règles. Elle est enceinte. Son régime anal continuera et
vous seul, Sir Donatien vous la baiserez encore.
En quelques
mois, tous les soirs Sir Donatien continue à me baiser, ainsi que Zéphyr et
Olaf.
Malgré mon
état de grossesse, après quelques mois, Juliette était restait superbe et
désirable : mes jambes et mes hanches ont gardé leur finesse première. Il n'y a
que mon ventre et mes seins qui augmentent de volume.
Je fais du
sport tous les matins pour garder un corps ferme et désirable.
Enfin, je
donne naissance à des jumeaux, un garçon et une fille.
Brice et
Sacha me baisent à nouveau, jusqu’à la naissance d’un garçon.
Après deux
années au service de Sir Donatien, je retrouve mes poils autour de ma chatte,
je garde ma bague, mes marques au fer rouge et mon anneau à mon gros clitoris.
Je deviens
professeur de l’art de la sexualité. Je suis nue sous ma blouse, avec ma
collection de bijoux d‘anus. Xavier Henri me choisit les meilleurs élèves, pour
des orgies anales, avec double pénétration anale, comme il se doit, avec de
nombreux Danois qui m’enculent.
J’ai
retrouvé mon corps de femme. Je suis devenue une véritable chienne, prostituée
et très perverse.
A bientôt,
votre chienne adorée et perverse, Cyrielle.