dimanche 22 septembre 2019

LIBRAIRE VICIEUSE


Je m’appelle Olympe.
J’ai 23 ans.
Je suis une jolie beauté scandinave.
Je suis une brune aux yeux verts. J’ai des pieds fins et latins, des jambes longues bronzées, musclées qui inquiètent par leur perfection. Mon pénil est bombé, ouvert, couronné de noir. Ma pilosité brune couvre mon pubis. Ma chatte est velue et j’ai une superbe croupe. Les lèvres de mon sexe sont une plaie rouge entre mon entrecuisse. Mes hanches s'incurvent et délimitent le ventre plat, délicieusement renflé autour du nombril, les hanches sont larges et rondes, mais sans lourdeur. La taille est affinée. Les seins parfaits intégralement bronzés sont un peu volumineux mais fermes, et leurs pointes marron clair, toujours dressées, cernées par une large aréole marron attirent le regard. J’ai une peau lisse et patine. Finition parfaite, un seul grain de beauté entre mes superbes seins. De longs cheveux plats blonds flottant comme des algues, battent mes épaules rondes et gracieusement athlétiques. Je suis intégralement bronzée. Mes yeux verts limpides s'allument, ma bouche charnue se fend. J’ai des sourcils bruns bien dessinés et des lèvres pulpeuses. J’ai de longs doigts fins et de belles mains. Je fais du 90B de poitrine, 56 de taille, 90 de hanches, 1,72 m.


LIBRAIRE VICIEUSE


10 avril
Je possède une librairie que j’ai racheté il y a deux ans, après la mort du libraire, son fils me l’a vendue, en échange de mon pucelage de ma chatte. La librairie est située dans une arrière-cour discrète.
Ce matin, élégamment vêtue d’un chemisier blanc sur mon soutien-gorge corbeille transparent blanc et ma jupe droite fendue derrière fuchsia sur mon string assorti, mon porte-jarretelles et mes bas blancs, chaussée d’escarpins blancs à hauts talons, coiffée de ma queue-de-cheval, je me rends au fond de la librairie, dans le rayon œuvres pour lecteurs avertis, dont certains raffolent.
Je me contente d’histoires érotiques qui me font mouiller la chatte et tendre mon clitoris.
La porte s’ouvre, tandis que je lis « Le Lien », une jeune femme de mon âge, blonde, aux seins plantureux, en robe décolletée blanche et sandales blanches, les cheveux libres, m’interpelle :
- Miss Olympe, je désire une œuvre très spéciale. Tu es dans le rayon des œuvres interdites.
- Oui, Miss Hermine, quelle œuvre cherches-tu ?
- Une variante d’Histoire d’O, par un autre écrivain, le Baron.
- Je ne connais pas, cet auteur.
- Il paraît qu’il est très distingué, en plus de nouvelles histoires SM avec de nouvelles héroïnes. Il paraît que tu es son style de femme.
- Comment, j’ai plusieurs amants.
- As-tu déjà été enculée, Olympe ?
- Quoi, tu veux dire…
- Oui, un mandrin qui a honoré ton œillet, ma chérie.
- Non, jamais de la vie, je refuse que l’on me fouille l’anus, même mes copines.
La porte s’ouvre et un bel Adonis apparaît, en costume, me dévisageant :
- Voici, la fameuse libraire Olympe et sa collection d’œuvres interdites.
Le livre tombe de mes mains.
Je m’accroupis pour le ramasser.
- Non, tu dois te pencher en avant en gardant les jambes tendues. Quelque soit la longueur de ta robe ou de ta jupe et ou que tu sois. Jamais d'exception à cette règle.
- Je ne peux pas, cette position est obscène.
- Obéis, Olympe, sinon, je te cravache.
- Qui êtes-vous ?
- Tu dois me tutoyer.
- Qui es-tu ?
- L’auteur du roman dont tu es ma muse.
Je reprends le livre en main.
- Retire ta jupe de suite, Olympe. Je ne le dis une fois. Hermine est témoin.
J’obéis et je reste avec mon string, mon porte-jarretelles et mes bas.
- Je te veux les jambes nues et la chatte non dissimulée. Donc plus de culottes ou de strings, plus de soutien-gorges et jamais non plus de body. Tes seins et ta chatte doivent toujours être nus sous tes vêtements et ton entrejambes jamais dissimulée. De ce fait, jamais plus non plus de collants, de shorts, de jupes culottes ni bien sur de pantalons. Tu ne porte que des jupes ou des robes mais à la condition qu'en aucun cas elles ne soient plus longues que le milieu de tes cuisses. Jamais de tee-shirt ou autres vêtements sous tes corsages ou chemisiers. Pour tes pieds, soit tu soit pieds nus soit tu portes des chaussures toujours à talons.
Les jambes et les fesses nues, je me sens un peu gênée. Je cache mon pubis et ma chatte trempée, sous l’excitation, mon clitoris est tendu.
- Retire ton chemisier et ton soutien-gorge aussi. Je te veux toute nue, pour ta première leçon d’éducation anglaise.
- Oui, monsieur, je m’exhiber toute nue à vous.
- A toi, Olympe.
- Je m’exhibe tout nue à toi.
- Tu m’appelles Maître, désormais.
 -Oui, Maître, dis-je en cachant partiellement mes seins et ma chatte, par pudeur.
 -Penche-toi en avant, cuisses écartées et écarte bien tes fesses.
J’obéis.
Le mandrin de seize centimètres et six de diamètre bien dur s’enfonce dans mon anus vierge.
– Elle, très serrée !
– Pousse, chéri, pousse, pète lui sa rondelle !
A force de persévérance et après un certain nombre de tentatives infructueuses. Il poursuit aussitôt la pénétration pour ne pas rester coincé et mon anus est contraint de s'assouplir. Il me saisit par les hanches et me fait coulisser son gros mandrin.
- C’est ta première sodomie, Olympe.
- Oui, j’ai un peu mal.
- Je suis jusqu’aux testicules, détends-toi.
Il me caresse les seins aux mamelons tendus.
- Pose les mains au sol, pour que je t’encule davantage.
- C’est bon, masturbe mon clitoris tendu.
- Tu commences à prendre goût, Olympe.
- Je vais éjaculer en toi et tu vas jouir en même temps.
Un premier orgasme anal me submerge et je sens son long jet de sperme chaud dans mon anus.
- Accroupis-toi et tu vas me sucer. Garde bien mon sperme, Olympe.
J’obéis.
- Tu es une excellente suceuse, Olympe.
Je le nettoie.
- Ecarte les fesse, je vais te mettre un bijou pour conserver ton anus dilaté et tu auras cinq centimètres d’ouverture. Cela te permet que je t’encule plus aisément la prochaine fois.
Le bijou est très beau, il est en aluminium brillant orné par un magnifique cristal rose à son sommet : c’est ce cristal rose qui est visible entre les fesses une fois qu’il est introduit dans l’anus. Il est très doux et très petit, ne provoque aucune gêne mais au contraire une délicieuse excitation anale permanente, et vous pouvez facilement vous asseoir avec le bijou dans l’anus.
La forme en sapin et sa large base vous garantissent un excellent maintien dans l’anus.
La section qui relie les deux extrémités est très fine et douce afin de laisser l’anus se refermer dessus sans gêne. Cette tige de la taille de l’auriculaire sert de support lorsque le sphincter se referme.
- Gardez-le jusqu’à midi. Je prends vos dessous.
- Je vais passer la journée, seins nus, jambes et fesses nues sous ma tenue. Cela est un peu provocant.
- Surtout, si je découpe les boutons de votre chemisier. Tous vos clients auront une vue imprenable sur vos seins nus aux mamelons tendus. Tu es excitée par cette situation, Olympe.
- Oui, Maître, m’exhibée ainsi, me gêne mais aussi m’excite.
L’auteur disparaît comme il est venu.
- C’était le Baron, ma chérie. Il vient de te dépuceler l’anus. Il semble connaître tes goûts sexuels.
- J’ai eu un peu mal, mais cela n’est pas désagréable. Je me suis trompée.
- Olympe, mon mari et mes amants m’enculent plusieurs fois par jour. C’est divin, même en double pénétration.
Je pense le reste de la matinée, avec mon chemisier déboutonné. Quand je me baisse pour ranger un livre, je vois mes seins bouger doucement et le regard voyeur de tout autant les hommes et les femmes. Je m’habitue à cette exhibition contrainte.
Vers midi, je ferme la librairie. Le Baron m’attends et m’annonce :
- Alors, tu es toute humide. Tu as du contracter ton anus, pour faire avancer le bijou contre ta chatte humide.
- Oui, cela m’a stimulé et la sensation est très agréable, j’aime ça.
Allons au restaurant, j’ai réservé une table pour deux.
Au restaurant, je dois me confesser, sur ma sexualité, mes goûts sexuels, ma défloration, mes longueurs et grosseurs de mandrins favoris, mes masturbations en solitaire.
 - Maître, je dois me soulager. J’ai aussi envie de faire.
- Je sais, tu dois te vider l’anus. Ce sera plus tard, Olympe. Je règle la note.
- Allons, aux toilettes pour hommes, tu retires ta jupe et tu restes fesses nues et obéissante. Sinon, je te fesse.
Aux toilettes hommes, je dois patienter, les fesses nues, face au mur, en compagnie du Baron :
- Cette beauté rêve de vos queues dans son œillet de soumise. Elle adore ça. Mais avant, tu vas pisser debout dans l’urinoir.
Je me concentre, tandis qu’un des hommes me masturbe le clitoris tendu.
– Alors vas-y.
Le Baron me sollicite doucement la chatte de la main droite, tandis qu’une main gauche, un second homme me pelote les seins, faisait saillir mes tétons, frotte mon plexus, un troisième homme descend sa main sur mon pubis qu'il presse, cherchant la vessie pour y appuyer.
Bientôt je me lâche. Une fine ligne transparente partit d'entre ses jambes, formant une légère parabole. Le Baron met sa main en coupole sur mon pubis. Le liquide tiède emplit sa main, discrètement parfumé, un peu salé. Il me contraint à boire le liquide s’en perdre une goutte.
C’est le signal.
L’anus libre, je suis sauvagement enculée par les troisième hommes de divers calibres au-delà de cinq centimètres. Je me détends, fessée magistralement par le Baron.
- Empale-toi à fond jusqu’aux testicules, ma soumise.
Je connais de nouveaux orgasmes anaux, l’anus rempli de spermes chauds.
Le Baron m’encule en dernier.
- Tu te montres plus vicieuse, tu prends goût, Olympe.
- Oui, Maître, encule-moi profondément.
Il éjacule à son tour et me remet le bijou d’anus. Je reprends mes esprits. Je remets ma jupe. Je lui donne mon numéro de téléphone de mon appartement, sur la place, à un quart d’heure du restaurant.
- Je peux aller ouvrir ma librairie, Maître.
- Non, cet après-midi, je dois te présenter à d’autres hommes. Mais tu vas changer de tenue. Tu vas porter les tenues que nous allons choisir ensemble. D’abord une guêpière seins nus, qu'un busc, sur un côté derrière, permet de boucler et de déboucler. Par-derrière aussi, un large laçage se serre ou se desserre à volonté. Ta taille et ton ventre doivent se creuser sous la pression des baleines, qui sur le ventre descendent presque jusqu'au pubis, qu'elles dégagent, ainsi que les hanches. La guêpière est plus courte par-derrière et laisse la croupe entièrement libre, pour faciliter l’accès à ton oeillet. De nouvelles jupes largement fendues devant et derrière, si possible transparentes et courtes et des robes de même longueur, dénudant tes jambes, mises en valeur par des mules à très hauts talons à tes pieds nus.
Nous faisons une boutique de lingerie où je parade nue, puis en guêpière que je dois porter toute la journée.
Le marchand de chaussures me fait un prix pour plusieurs paires de mules, dont j’en porte une paire.
Les jupes sont mesurées par le Baron.
J’en porte une assez courte, fine, laissant deviner mon pubis et mes fesses nues, par de discrètes fentes, pour me faire caresser.
Je porte des décolletés sur mes seins nus, transparents, dos nu.
Ainsi tout le monde sait que j’ai les seins, les fesses et la chatte nus, à disposition.
Je ne réagis à aucun regard, ni jamais je ne serre les jambes et à ne jamais me croiser les bras pour masquer mes seins. Je suis terriblement excitée. Plus je suis  excitée et plus parfois c'est gênant car ça ce voit parfaitement bien.
Nous faisons ensuite la tournée des sex-shop où je suis enculée par des inconnus qui payent le Baron, devant des films lesbiens, anaux et de double pénétration pour m’exciter davantage.
Vers quinze heures, je marque une pause, la bouche et l’anus remplis de spermes chauds. Nous prenons un jus de fruit. Je sens mes mamelons et mon clitoris se durcir davantage.
Après les sex-shops, les clubs libertins me sont ouverts. Je suis nue avec mon bijou d’anus, faisant l’amour avec des couples hétérosexuels, lesbiens et homosexuels, comme suceuse et lécheuse, récompensée par de longues sodomies et doubles pénétrations jouissives.
Vers vingt et une heure, nous allons à mon appartement. J’ai droit à mon premier lavement anal, après ma douche et mon démaquillage. Je m’assois sur le bidet, courbée en avant, cuisses toujours écartées, exhibant ma toison pubienne. Le Baron me lave soigneusement l’anus. Il enfonce une canule, montée à l'extrémité du flexible de la douche, par laquelle il m'asperge d'eau froide. Cette inondation intime provoque la tension extrême de mes mamelons et de mon clitoris, masturbés avec soin par le Baron. Je jouis, sous le jet d’eau froide.
- Ainsi, ton œillet sera toujours propre. Remet ton bijou d’anus. Tu ne connais pas encore la cravache. Des amis vont venir te voir ce soir.
Je mange nue, cuisses écartées, agenouillée, aux côtés du Baron, qui visionne un film d’éducation anglaise, que je regarde aussi excitée.
Les rideaux ouverts, les lumières allumées, je sais que mes voisins vont me faire des commentaires.
Le Baron m’allonge sur le dos et me menotte les poignets dans des carcans de cuir, les bras écartés, aux barreaux de la tête du lit et met une barre d'espacement et attache mes chevilles au pied du lit.
Les carcans sont faits : en plusieurs épaisseurs de cuir, chaque épaisseur assez mince, au total pas plus d'un doigt, verrouillés par un système à déclic, qui fonctionne automatiquement comme un cadenas quand on le refermait, et ne peut s'ouvrir qu'avec une petite clé. Dans la partie opposée à la fermeture des bracelets, pris dans le milieu des épaisseurs de cuir, et n'ayant presque pas de jeu, il y a un anneau de métal, qui donnait une prise pour fixer, et qu'on positionne du côté intérieur du poignet. Pour le collier, l'anneau pend devant le cou, reposant sur la saillie des clavicules, et brinquebalait au rythme des mouvements de celui qui le porte.
- Ainsi, tu es menottée à ton lit, pour la soirée.
Il ouvre un sac de golf et sort un martinet, une cravache, une garcette.
La garcette, est faite de cordes assez fines, faite de sept lanières terminées chacune par plusieurs nœuds, et qui sont toutes raides, trempées dans l'eau, le Baron me caresse l’intérieur de mes cuisses écartées, je sens mieux combien les cordes sont humides et froides contre la peau tiède de mes cuisses.
- Cela est pour tout à l’heure. Tu vas jouir, enculée par mes amis.
Je dois les sucer, ils sont longs jusqu’à trente-un centimètres et sept de diamètre en érection. Ce sont des Africains noirs, des Musulmans et des étalons musclés.
Ils m’enculent jusqu’aux testicules.
Ils éjaculent soit dans ma bouche, je dois tout avaler, soit sur mon pubis, soit sur mes seins, soit dans mon anus.
Ils sont une douzaine à se relayer.
Pantelante, je suis menottée sur le ventre, avec un coussin pour me relever les fesses.
Tous me cravachent, me donnent des coups de martinet sur mes fesses et mes reins, puis le Baron me finit à la garcette.
Les fesses et les reins brûlants, le Baron examine les balafres, posant ses lèvres fraîches sur celles des fesses, l'embrassant tendrement, le léchant là – et sous ses caresses, ma chatte mouille d’excitation.
Les sodomies reprennent, entre deux séances de cravache jusqu’à l’aube.
Je dors menottée, buvant beaucoup, sur ordre du Baron.

11 avril
A l’aube, je suis détachée et je regarde mes marques sur mes fesses et mes reins, tout en me soulageant, debout, devant la cuvette. Je porte mon bijou d’anus, l’anus rempli de spermes chauds.
Je me rendors jusqu’à neuf heures.
Mes sodomies et mes coups de cravache me rendent plus fière de moi, la promise du Baron.
Vers neuf heures, le Baron vient me voir.
Il me tient par le collier, deux doigts glissés entre le cuir et le cou
- Tu es désormais mise en commun entre moi et ceux dont je décide, et ceux que je ne connais pas. Tu es leur soumise et les accueillir avec le même respect avec lequel tu m’accueille. Tu es ma prostituée. Tu ne peux pas ne pas te révolter. On obtient ta soumission malgré toi, non seulement pour l'incomparable plaisir que moi ou d'autres y trouverons, mais pour que tu prennes conscience de ce qu'on a fait de toi. Tu ne dois ni regarder un homme au visage, ni lui parler. Tu ne le dois pas davantage à moi, mais te taire, et obéir. Tu n'ouvres désormais ici la bouche, en présence d'un homme, que pour crier ou sucer. Va te doucher et te farder.
Je me farde la bouche avec un rouge clair, un peu liquide, que j'applique au pinceau, et qui fonce en séchant. Je me peins du même rouge l'aréole et le mamelon durci, et les petites lèvres entre mes cuisses, en soulignant la fente du giron. Je me poudre le visage. Des glaçons permettent de faire tenir la couleur sur mes mamelons.
Le Baron prend soin d’enduire d’une crème mes mamelons et mon clitoris qui déclenche une hyper sensibilité. Le moindre frottement de tissus ou même ne serait ce que l'air sur mes mamelons et mon clitoris me provoquent une excitation énorme. Mes mamelons pointent au maximum tout le temps, vingt quatre heures sur vingt quatre et de même pour mon clitoris. Je suis interdite de me faire jouir. Je suis frustrée et la douleur que cela procure en plus de la douleur provoquée par le fait que mes mamelons et mon clitoris soient constamment tendus.
Mes mamelons et mon clitoris sont complètement tendus et très dur au point de me faire vraiment mal et le moindre effleurement même involontaire devient une véritable torture tellement ces endroit sont devenus sensibles.
Mon clitoris est gros comme une cerise, saillant et volumineux, tandis que mes mamelons sont particulièrement saillants, gros et longs tétons. Tout le monde peut voir mon excitation sexuelle.
Au choix, un chemisier sans bouton, une nuisette ou une guêpière seins nus qui dégage tes fesses, sans aucun dessous bien sûr.
J’opte pour la nuisette et mes mules à très hauts talons. Il me retire mes carcans de cuir.
Je dois faire un trajet en voiture d’un quart d’heure, assise, cuisses écartées, fesses nues sur la banquette, puis à pied d’une demi-heure. Je reste comme la veille. Je porte mon bijou d’anus, long de douze centimètres et six de diamètre, muni d’un discret va-et-vient, avec un prépuce, me rappelant combien j’aime être remplie et enculée par un vrai étalon. Le gland monte et descend à l’intérieur de mon anus encore plus vite de haut en bas dans mon anus, tout en vibrant, par à-coups et à intensité progressive. Je dois me retenir de jouir, mais ma chatte est toute trempée, quand j’ouvre ma librairie.
De discrètes caméras installées par le Baron lui permettent d’observer mon comportement de soumise. Mes fesses zébrées interrogent mes clients habituels.
Certains n’hésitent pas à m’enculer, à l’improviste. Je reçois dans mes colis habituels, trois tomes du Baron : dressage, éducation anglaise et écrin ou œillet. J’ai trois livres dédicacés par le Baron, à lire secrètement.
A midi, je retourne au restaurant, où je déjeune seule, mais je continue mes sodomies aux toilettes pour hommes.
En fin d’après-midi, le Baron me présente aux jumeaux Donatien et Dan, deux superbes étalons africains aux mandrins imposants : Donatien trente centimètres et Dan vingt-cinq centimètres de long pour tous les deux sept de diamètre.
Je me fais enculer par chacun, nue, dans ma librairie, offerte, à quatre pattes, les bras tendus, les fesses bien rebondies, faisant claquer leurs testicules contre mes fesses, qui sont magistralement fessées. Ils me saisissent à la taille, pour me faire coulisser sur leur gros mandrin qui m’écartèle l’anus. Ils m’agrippent de plus en plus fortement mes hanches. Tandis qu’un m’encule, je suce l’autre.
Je m’empale sur chacun.
Je subis ma double pénétration : Dan me prend dans ses bras, je l'entoure avec mes jambes et me laisse baiser. Donatien m’encule, soutenant également une partie de mon poids. Un double orgasme m’irradie, doublement inondée de leurs spermes.
Pantelante, je les nettoie.
Je les retrouve le soir à mon appartement, pour me faire fouetter, menottée à mon lit.

15 avril
A l’aube, encore une nouvelle fois fouettée et enculée par de nouveaux inconnus, avec mes carcans de cuir, je reçois la visite du Baron.
- Ma chère Olympe, ton éducation et ta soumission n’ont pas encore le degré requis. Tu dois rejoindre un lieu secret pour continuer ta transformation en une vraie soumise docile. Mets ta guêpière, un boléro et une mini-jupe transparente et tes mules, nous partons, fardons-toi aussi.
Je m’exécute.
Habillée, je monte seule dans la limousine, aux vitres teintées, assise cul nu. Elle est conduite par un élégant chauffeur, un Africain noir. Je porte mon bijou d’anus vibrant comme depuis le 11 avril et mon collier et mes bracelets en cuir.
Nous quittons la ville par un chemin inconnu.
A mi-chemin, le chauffeur, Hercules, ouvre la porte de la limousine.
Il me retire mon boléro, ma jupe. Il me menotte dans le dos, me met un masque de nuit avec un bâillon-pénis.
Aveuglée et muette, je suis allongée sur le dos, mes mollets posés sur ses épaules, cuisses écartées. Il sort son imposant mandrin, long de trente-deux centimètres et sept de diamètre, libère mon anus trempé de spermes chauds.
Il s’agenouille et il m’encule près d'une heure, sans qu'une seconde je me dérobe, dans un silence absolu avec lequel Hercules m’encule, et laissant à peine échapper, une plainte aiguë au moment du plaisir, va jusqu'à l'épuisement de ses forces. La bouche libre, je suce le mandrin enfoncé jusqu'à la gorge que chaque mouvement par lequel il heurte de ce bélier le fond de mon palais me fait jaillir de nouvelles larmes.
- Ton œillet est chaud, Olympe. Tu es une soumise docile.
Il me remet le bijou d’anus en place et nous entrons dans un souterrain menant à une grande allée.
On m'aide à sortir de voiture, je monte quelques marches, puis franchis une ou deux portes toujours à l'aveugle, je me retrouve seule, le masque de nuit et le bâillon-pénis enlevés, debout dans une pièce avec un épais tapis par terre, mais sans un meuble, tout entourée de placards.
Deux femmes ouvrent la porte, deux femmes jeunes et jolies, vêtues avec de courtes jupes légères, les pieds nus dans des mules à très hauts talons, des corselets serrés qui font jaillir la poitrine et sont lacés ou agrafés par-devant et des manches à demi longues. Les yeux et la bouche sont fardés. Elles ont un collier serré autour du cou, des bracelets serrés autour des poignets.
Alors je sais qu'elles me libèrent les mains
- On va te baigner et te farder.
On m'a donc mise nue, et on a rangé ses vêtements dans un des placards. On ne me pas laisse me baigner seule, et on me coiffe, comme chez le coiffeur, en me faisant asseoir dans un de ces grands fauteuils qui basculent quand on vous lave la tête, et que l'on redresse pour vous mettre le séchoir, après la mise en plis. Cela dure toujours au moins une heure. Cela a duré plus d'une heure en effet, mais je suis assise sur ce fauteuil, nue, et il y a en face d'elle une grande glace, du haut en bas de la paroi, que n'interrompt aucune tablette, je me vois, ainsi ouverte, chaque fois que mon regard rencontre la glace. Je suis empalée sur un vibromasseur anal, long de douze centimètres et six de diamètre, muni d’un discret va-et-vient, avec un prépuce, me rappelant combien j’aime être remplie et enculée par un vrai étalon. Le gland monte et descend à l’intérieur de mon anus encore plus vite de haut en bas dans mon anus, tout en vibrant, par à-coups et à intensité progressive.
Quand je suis prête, et fardée, les paupières légèrement ombrées, la bouche très rouge, la pointe et l'aréole des seins rosies, le bord des lèvres du ventre rougi, du parfum longuement passé sur la fourrure des aisselles et du pubis, dans le sillon entre les cuisses, dans le sillon sous les seins, et au creux des paumes, je rejoins une pièce où un miroir à trois faces et un quatrième miroir au mur permettent de me bien voir. Je m’assois sur le pouf au milieu des miroirs, et d'attendre. Le pouf est couvert de fourrure, qui me pique un peu, et il y a un tapis. J’ai des mules à très hauts talons aux pieds. Sur une des parois du petit boudoir, il y a une grande fenêtre qui donne sur un beau parc.
Un homme entre seul, vêtu d'une longue cape, le mandrin nu et libre, gainé, l’extenseur de pénis ajoute instantanément quatre centimètres de longueur à son mandrin et il compresse son mandrin en améliorant immédiatement sa rigidité tout en restant très doux et très souple grâce à sa fabrication en silicone de dernière génération. Il ajoute les quatre centimètres du gland à la longueur de son mandrin.
C’est le mandrin que je vois d'abord, à son premier pas, puis le fouet de lanières de cuir passé à la ceinture, puis que l'homme est masqué par une cagoule, où un réseau de tulle dissimule même les yeux - et enfin, qu'il avait des gants aussi, et de fin chevreau.
- Lève-toi, ma belle.
Il s'assoit à ma place sur le pouf de fourrure, et me caresse les seins, aux mamelons constamment tendus, me pelote gentiment les seins et fouille ma chatte trempée et masturbe mon clitoris constamment tendu.
Il s’allonge dans le lit et je viens m’allonger sur lui.
Je lèche, suce, mordille son mandrin, ma langue lape son gland, titiller son frein, avant de s’enrouler autour de ses testicules ! je lui lèche tendrement son anus, le doigter, le détendre puis revenir à sa bite avant de repasser à son cul, il stimule mon clitoris par sa bouche et ses doigts experts, me doigte l’anus jusqu’à deux doigts. Je mouille de désir.
Il me met à quatre pattes sur le pouf et m’encule profondément et je dois retarder mon orgasme anal.
Je déjeune seule, agenouillée, nue, cuisses écartées, empalée sur le vibromasseur anal, retardant mon orgasme anal. Une main invisible me tend les plats par un guichet.
Enfin, le déjeuner fini, les deux femmes reviennent me chercher.
L’homme seul revient aussi et m’encule sauvagement, prosternée, cuisses écartées, en appui sur ses jambes, sans sa gaine. Je me retiens de jouir, l’anus rempli de son sperme chaud.
Les deux femmes fixent ensemble, derrière mon dos, les deux anneaux de mes bracelets. Une femme avance devant moi et ouvre les portes, l'autre me suit et les referme. Nous traversons un vestibule, deux salons, et pénétrons dans la bibliothèque, où quatre hommes prennent le café. Ils portent des capes, le mandrin nu et libre, bottés, sans masque.
Une lampe-phare m’aveugle, on me remet le bandeau sur les yeux. Deux mains fouillent simultanément ma chatte et mon anus. Je me retiens de jouir.
- Elle est doublement ouverte, mais encore assez de l’œillet, très serré.
L’homme m’encule sans répit, tandis qu’une main me prend  un sein, une bouche saisit le mamelon constamment tendu de l'autre.
Je bascule à la renverse, cuisses écartées, on m’encule à nouveau. L’homme est couché sur moi.
Je retrouve ensuite agenouillée, cuisses écartées, fléchie un peu en arrière, à demi assise sur les talons.
Mon buste repose sur un pouf, toujours les mains au dos, et les fesses plus haut que le torse, et les trois hommes bien montés m’enculent à tour de rôle, je me retiens de jouir, suçant l’un après l’autre.
Puis un quatrième sexe différent m’encule. C'est le nœud qui entre dans le rectum. Je me détends. L'animal éjacule bien avant de s'attacher à moi et continue de le faire jusqu'à ce qu'il soit capable de se retirer. Le sexe mesure dix-sept centimètres et cinq de diamètre.
Une fois retiré, je dois le sucer.
Je reste captive, cuisses écartées, à nouveau enculée, allongée sur le dos, suçant à nouveau.
Je recouvre la vue et je vois un superbe berger allemand, le sexe encore en érection.
- C’est Adam qui t’a enculée, ma belle, pour ta première saillie anale canine, dit l’un d’eux.
Adam vient lécher ma chatte et mon clitoris constamment tendus. Je tente de résister à l’orgasme décuplé.
La grande pièce avec des glaces et des miroirs sur les murs, les portes-fenêtres ouvrent à l'ouest, et il y a une commode.
Deux des hommes sont debout. Un autre est assis, une cravache sur les genoux, et le quatrième caresse le sein, tandis que je suis empalée jusqu’aux testicules, enculée, cuisses écartées. Il caresse aussi mes reins, mes fesses, mon cou, mes épaules et mon dos. Mais tous quatre m’ont enculée.
- Ici, tu vois les visages de ceux qui te violent ou te tourmentent. Que lorsqu'on te fouette, c’est pareil, sauf qu'on veut que tu te vois fouettée, qu'une première fois tu n’as donc pas de bandeau, mais qu'eux mettent leurs masques, et que je ne les distingue plus.
On caresse mes cuisses avec une cravache, la garcette, aux nœuds raides, trempés dans l’eau, que l’on caresse sur mon ventre et sur l’intérieur de mes cuisses. Je sens les cordes qui sont humides et froides sur la peau tendre de l'intérieur.
- Mets-la en position de soumission totale. Les fesses bien tendues, elle sera plus facile à fouetter.
Je subis la cravache, la garcette en alternance, sur les fesses et les cuisses, enculée par un des hommes, munie d’une gaine à picots, qui me font mal à l’anus sollicité par les va-et-vient. Je me retiens de jouir.
Elle aime ça, être fouettée, dit l’homme. La cravache est mieux adaptée.
Entre deux pauses, celui le mieux monté, avec sa gaine, m’écarte mes fesses brûlantes et m’encule vigoureusement, faisant claquer ses testicules contre mes fesses.
- Il faut lui élargir l’œillet. Adam l’a partiellement ouverte.
- Le vibromasseur Atlas lui sera inséré.
Je suis chancelante et presque évanouie, mais je dois me prosterner pour le recevoir.
Je découvre le vibromasseur canin Atlas, du même calibre qu’Adam, un des hommes m’écarte bien les fesses.
Il attache, à trois petits trous percés dans la base, trois chaînettes qu'il laisse pendantes. Je gémis lors de son introduction et pousse. Il est en érection et doté de puissants va-et-vient me rappelant combien j’aime être enculée à tout moment.
Il se plaça derrière Y, pointa l'organe minéral au centre de ses reins, et poussa.
Je me relève, on attache une étroite ceinture autour de ma taille, et l'on y accroche les trois chaînettes, une par derrière qui suit le sillon des fesses, et les deux autres par-devant, qui longent le pli des aines en contournant le triangle pubien. On les ajuste au plus court :
- Ainsi ton œillet sera forcé et distendu et cadenassé, tu ne peux te soulager de ce vibromasseur.
On me présente un corset très baleiné, et rigoureusement serré à la taille, et une longue robe à jupe assez courte dont le corsage laisse les seins, remontés, par le corset, dénudés.
Je porte juste le corset, qui est fixé à l’étroite ceinture de cuir. Mon bassin ondule sur les va-et-vient du vibromasseur canin.
- Tu es ici au service de tes maîtres. Dès l’instant que tu te prêtes, au milieu de tes corvées, tu abandonnes tes mains, tes seins, ta chatte et ton œillet qui sont fouillés. Tu ne peux te dérober, les lèvres entrouvertes, les cuisses toujours écartées, laissant libre à ta bouche, ta chatte et ton oeillet. En soulevant ta jupe, tu t’offres à celui qui te prend. Tu es fouettée qu'entre le coucher et le lever du soleil et le soir pour manquement à la règle dans la journée : c'est-à-dire pour avoir manqué de complaisance, ou levé les yeux sur celui qui te parle ou te prend : tu dois fixé nos mandrins uniquement à découvert, que tu suces. En outre, à la nuit, tu suces, les cuisses écartées, les mains liées au dos, et nue ; tu es fouettée les yeux bandés. Tu es fouettée chaque jour, ton instruction. Tu es contrainte. A ta sortie, tu portes un anneau de fer à l'annulaire, qui te fais reconnaître : tu es constamment nue sous tes tenues. Ceux qui te trouvent indocile te ramènent ici. On va te conduire dans ta cellule. »
Je me lève, marche avec mes mules à semelles surélevées et très hauts talons qu'une bande de satin épais, empêche seule d'échapper au pied.
Agenouillée, je dois sucer les quatre hommes et Adam, soumise.
Ma bouche refermée et resserrée sur le mandrin que j’ai saisi, et le long duquel je monte et descend, mon visage défait qui s'inonde de larmes chaque fois que le mandrin gonflé me frappe jusqu'au fond de la gorge, repoussant la langue et m’arrachant une nausée. Chacun éjacule dans ma bouche et j’avale tout.
Les mules claquent sur les carrelages des couloirs, où des portes se succèdent, discrètes et propres, avec des serrures minuscules
- Tu es dans l'aile rouge, et ton valet s'appelle Horace.
- Quel valet ? dis-je saisie par la douceur de la voix, et comment t’appelles-tu ? 
- Je m'appelle Anale Doberman.
- Et moi Justine Danoise », dit la seconde.
La première reprend : « C'est le valet qui a les clefs, qui t’attache et te détache, te fouette quand tu es punie et quand on n'a pas de temps pour toi.
- J'ai été dans l'aile rouge l'année dernière, dit Justine Danoise, Horace y était déjà. Il vient souvent la nuit ; les valets ont les clefs et dans les chambres qui font partie de leur section, ils ont le droit de se servir de nous.
Horace, vêtu d’une cape, un colosse musclé, avec un mandrin imposant, long de trente-deux centimètres et sept de diamètre, botté.
Lui aussi porte à la ceinture un fouet à lanière de cuir.
- Approche ma belle que je te prenne.
Sans prévenir, je me retrouve offerte sur la banquette, les cuisses grandes ouvertes, l’anus libre du vibromasseur. Il me tient par les chevilles pour mieux m’ouvrir. Il me saisit les deux mains. Il fait glisser l'un dans l'autre les deux anneaux de mes bracelets, ce qui me joint étroitement les poignets, et ces deux anneaux dans l'anneau du collier. Je me trouve donc les mains jointes à la hauteur du cou.
Il me soulève les reins et m’encule sauvagement, entrant et sortant. Je dois retarder mon orgasme anal. Il éjacule en moi et me remet le vibromasseur canin en place.
- L’Atlas va bien forcer et élargir ton œillet de vierge.
Il sort un passe de sa poche de gilet, ouvre la porte et fait entrer les trois femmes. Il reste avec nous. Il me libère mes bracelets de mon collier.
La cellule est toute petite, et comporte en réalité deux pièces. La porte qui donne sur le couloir refermée, on se trouve dans une antichambre, qui ouvrait sur la cellule proprement dite ; sur la même paroi ouvre, de la chambre, une autre porte, sur une salle de bains.
En face des portes il y a la fenêtre.
Il y a un chevalet et des chaînes suspendues au plafond par des crochets. Les murs sont recouverts de glaces, il y a un tapis.
- Tu dois prendre ton bain, dit Justine Danoise. Je vais défaire ton corset. Tu dois garder la ceinture et le vibromasseur canin.
Je dois m’accroupir nue dans la baignoire transparente, après montée des marches.
Accroupie, cuisses écartées, je suis menottée, les bras tendus en l’air. Les yeux baissés, la bouche entrouverte, je suis sous le regard d’Horace, qui caresse mes seins aux mamelons tendus, ainsi que mon clitoris tendu à l’extrême, ma chatte est toute trempée.
- C’est une jouisseuse anale, soumise Olympe. Regarde les ondulations du bassin. Elle est toute humide.
Après le départ d’Anale Doberman et Justine Danoise, je reste debout au pied du lit, interdite. A la réserve du collier et des bracelets, de la ceinture de cuir, que l'eau a durcis quand je me suis baignée, et qui me serrent davantage, je suis nue.
Menottée au chevalet, le postérieur plus haut que la tête. Mes bras sont fixés le long des pieds avants, mes jambes le long des pieds arrières, et une large sangle m'est passée au niveau de la taille. Mes cuisses, légèrement fléchies sont empêchées de se resserrer par la largeur de la poutre, ainsi d'ailleurs mes fesses que je me peux refermer. Toute mon intimité est ainsi très accessible. Il me retire le vibromasseur anal et me doigte l’anus jusqu’à trois doigts. Je gémis un peu.
Les bergers allemands sont tes initiateurs, puis les doberman avec trente-deux centimètres de long et quatre de diamètre, et enfin les danois avec vingt centimètres de long et six de diamètre pour parfaire ton œillet de soumise. Laisse-moi t’enculer un peu, avant tes amants canins.
Sans mes mains immobilisées, je dois m’abandonner à Horace. Il éjacule encore dans mon anus débordant de spermes. Je suis pantelante.
Endormie, je suis enculée par Adam, puis Conan et Balzac, entre une bonne demi-heure à trois quart d’heure, avec éjaculation. Je dois sucer chacun d’eux.
Vers midi, les dobermans Apollo, Hannibal et Hadès prennent le relais. Je suis nourrie sur le chevalet.
Horace me fait sucer son mandrin, tout en cravachant mes fesses, puis mes cuisses, dans une position, accroupie, cuisses écartées, les bras tendus à l’air, à des chaînes. Le vibromasseur est remis en place.
Puis je retourne au chevalet, livrée aux bergers allemands et aux dobermans.
A la tombée du jour, je suis conduite dans la salle aux miroirs, pour me faire enculer par des inconnus avec leurs chiens.

16 avril
A mon retour avant l’aube, je suis cravachée sur le chevalet et menottée les bras en l’air, avec le vibromasseur Atlas en place, pour me préparer.
Devant la fenêtre, il y a une pelouse, au bout de la pelouse une allée. Il fait grand jour et depuis longtemps je ne bouge plus. Les balafres ont gonflées, et forment des bourrelets étroits.
Aucune femme n'a les clefs, ni celles des portes, ni celles des chaînes, ni celles des bracelets et des colliers, mais tous les hommes portent à un anneau les trois sortes de clefs qui, chacune dans leur genre, ouvrent toutes les portes, ou tous les cadenas, ou tous les colliers.
Les valets les ont aussi. Mais, au matin, les valets qui ont été de service la nuit dorment, et c'est l'un des maîtres ou un autre valet qui vient ouvrir les serrures. L'homme qui entre dans ma cellule est habillé d'une cape, et bottes. Il est musclé.
Il regarde attentivement la marque que j’ai devant les cuisses, il me passe la main entre les jambes. Il me caresse le clitoris tendu à l’extrême, par le vent frais de la porte-fenêtre ouverte. Puis il caresse mes fesses zébrées, celles au dos des cuisses.
L’homme s’assoit sur la banquette, me retire le vibromasseur canin. Je dois m’empaler, enculée jusqu’aux testicules, les mains accrochées à son cou, les mollets posés sur ses épaules. Maintenue sous les reins, il me fait coulisser. Je dois retarder mon orgasme anal jusqu’à son éjaculation.
Il me menotte au chevalet pour de nouvelles saillies anales canines.

Désormais, huit jours durant, entre mon lever et le repas de midi, puis entre la tombée du jour où finit mon service et l'heure de la nuit, dix heures généralement, où on m'y ramène enchaînée, nue, et tendu, je porte fixé au centre de ses reins un de ces vibromasseurs qui m'écartèlent, et chaque jour davantage, prosternée, pour que je porte un vibromasseur plus épais, allant jusqu’à vingt centimètres de long et six de diamètre.
Au repas du soir, au réfectoire, après leur bain, nues et parfumées, je le porte encore, et du fait des chaînettes et de la ceinture, tout le monde peut voir que je le porte.
On me retire, les mains enchaînées dans le dos, pour me faire saillir par d’autres chiens similaires et d’autres inconnus.

23 avril
Aucun vibromasseur canin n’est plus nécessaire, car mon œillet est bien ouvert.
C’est l’après-midi, le Baron me retrouve nue dans ma chambre, menottée au chevalet. Je viens de subir ma quinzième saillie anale par un danois. Mon anus dégouline de spermes canins.
Détachée, Justine Danoise me baigne. Elle me brosse les cheveux, je me parfume, Justine Danoise sort.
- Ecarte tes fesses, voici ton nouveau bijou d’anus.
Il est moulé sur le devant du sexe du Danois Lancelot.
Dans ma cellule, je retrouve ma guêpière, mon boléro et une mini-jupe transparente et mes mules.
Je baisse les yeux, la bouche entrouverte, ressentant le plaisir de me savoir enculée par Lancelot.
Un des hommes me défait le collier et les bracelets qui me tient captive.
Je mets ma bague sertie d’un petit anneau à l’annulaire gauche.
Désormais, mes mamelons et mon clitoris sont constamment tendus vingt-quatre heures sur vingt-quatre.
Je mets ma guêpière que me lace étroitement le Baron, tout en examinant mes reins et mes fesses.
Je mets mon boléro et ma mini-jupe et glisse mes pieds nus dans mes mules.
Hercules m’attend et m’encule sur le champ, jupe relevée, l’anus libre, me conduisant à un nouvel orgasme anal.
Il me remet le bijou d’anus en place.
Nous quittons par une autre sortie secrète.
Je ne loge plus dans mon appartement, mais dans une luxueuse villa, éloignée du centre-ville, sans rideaux, pour que je m’offre aux voyeurs, nue.
Le Baron m’a offert le Danois Romulus, pour mes saillies anales quotidiennes.
L’anus libre, Romulus m’encule sur le champ pendant trois quart d’heure. J’explose dans de violents et bruyants orgasmes anaux, l’anus rempli par ses jets de spermes chauds.
A la tombée du jour, je suis menottée à mon lit, allongée sur le ventre, écartelée, pour être fouettée par Hercules et enculée par Romulus. Je m’autorise des orgasmes anaux refoulés depuis huit jours.
Des inconnus viennent me fouetter aussi pendant la nuit.

24 avril
A l’aube, j’émerge, en sueur, l’anus bien rempli du sperme de Romulus. Je prends une douche froide, sans me masturber.
Le téléphone sonne. Je décroche :
- Chienne soumise Olympe, désormais sera ton nom, tu ne réponds qu’à ce nom. Tu as aimé être fouettée hier soir. Tu vas travailler dans ta nouvelle librairie, au coin de la rue. Des caméras t’observent, pour guetter tes moindres désirs et envies de plaisir. Tu portes juste ton boléro et ta mini jupe sera de plus en plus courte et de plus en plus fine chaque jour, dans ta garde-robe. Tu n’as pas besoin de décolleté, le boléro suffit à couvrir tes seins nus et tes mules à hauts talons. Choisis le bijou d’anus le plus large.
Le boléro est fermé au cou. Il suffit d'enlever le boléro pour que les épaules et les seins soient nus, et sans même enlever le boléro, de l'ouvrir, si l'on désire voir les seins aux mamelons constamment tendus. Je porte mon collier en cuir, en signe de reconnaissance, en plus de ma bague. Je suis fardée et parfumée.
Je choisis un bijou d’anus de trente centimètres et sept de diamètre, moulé sur le devant du sexe de Romulus, muni d’un discret va-et-vient.
Je me rends à pied à ma nouvelle librairie, au fond d’une discrète cour, reliée à un sex-shop.
Les clients me prennent pour une prostituée. Entre deux rangements, souvent un, deux voir trois clients viennent m’enculer, sans que je leur demande, alternant avec leurs films. Je suis fessée magistralement et je dois tout avaler, sans jouir. Le Baron m’observe à l’improviste, avec une liasse de billets.
- Tu es très rentable. Je sais que tu es facile. Tu as envie de tous les hommes qui te désirent.
Les fesses brûlantes, je suis cravachée, à quatre pattes, nue, sur le tapis, devant des clients voyeurs, qui éjaculent sur mes fesses.
Je ne compte plus mes sodomies violentes, avec entrée et sortie de mon anus dégoulinant de spermes chauds.
L’après-midi, je ferme la librairie pour m’offrir à Romulus, nue dans ma villa. Le Baron m’a confié sa soubrette Val. Val est une superbe brune aux yeux bleus, avec de petits seins et sous son tablier, se cache un imposant mandrin de vingt-deux centimètres et sept de diamètre, avec ses testicules rasés et percés d’anneaux dorés. Val porte des mules à hauts talons, et tient toujours sa cravache.
Val m’encule avant ou après Romulus. Toutes les situations sont bonnes, pour m’enculer, me cravacher et me fesser. Je me retiens de jouir, malgré les ondulations de mon bassin.
Je nettoie Val et Romulus.
Pour me punir, Val me fait me mettre ma ceinture de chasteté, restreignant l’accès à ma chatte par une fente de sept centimètres de long (sur une largeur maximale d’un centimètre) qui me permet, mon clitoris constamment et les petites lèvres sont étirés à travers la fente étroite. La ceinture comporte un orifice anal pour que je puisse aller aux toilettes. Val y insère des boules de geisha ou des godes ou des vibromasseurs dans mon anus ou son mandrin, selon ses envies. La ceinture est confortable, elle est verrouillée par un cadenas livré. Je dois la garder une ou plusieurs jours.

A la librairie, je dois m’exhiber avec ma ceinture de chasteté, me laissant enculer par le premier venu. Tous tentent de me libérer de cette contrainte. J’éprouve à la fois un sentiment de honte et de fierté à porter en permanence cette ceinture de chasteté. Je sais que le Baron me porte de l'attention. Je suis dépendante et humiliée.
Dès que le Baron me la retire, c’est pour passer de longues heures à me baiser, dans de longs orgasmes que je lui offre.
Le plus souvent, il s’allonge sur le dos, tête-bêche, me baise jusqu’à la garde, ainsi Romulus ou Val peuvent m’enculer simultanément pour un double plaisir. Mes orgasmes sont décuplés.
Pour finir, enculée par le Baron, nous sommes allongés sur le côté, jambes légèrement repliées, le Baron est dans mon dos. La sodomie est longue et lente, il me caresse les seins aux mamelons constamment tendus, le ventre, la chatte, mon clitoris constamment tendu. J’ajuste mon bassin en face du mandrin. Il m’embrasse langoureusement dans de longs baisers profonds. Lorsqu’il est prêt, je tends ma croupe brûlante par ses fessées magistrales vers son ventre, pour le recevoir davantage, écartelée.
- Romulus t’a encore bien ouverte, aujourd’hui.
- Oh oui, donne-moi ton sperme dans mon puits de chienne.
Après son retrait, Val m’encule dans la même position et je connais un violent orgasme anal que j’ai retenu pour le Baron, me valant une bonne correction à la cravache par Val.

2 mai
Vers 14 heures, alors que je suis à ma librairie, nue, avec ma ceinture de chasteté, enculée par un habitué du sex-shop, le téléphone sonne. En plein râle, j’entends :
- Chienne Soumise Olympe, un colis t’attends à la villa. Ferme la librairie pour quelques jours. Mets le vibromasseur anal Marquis sous ta robe, tu gardes ta ceinture de chasteté. Prends une douche froide, fais ton lavement, farde et parfume-toi, avant de t’habiller et mets tes plus belles mules dorées à hauts talons.
L’habitué éjacule longuement en moi. Je le nettoie, mets mon bijou d’anus Romulus. Je revêts mon boléro, ma mini-jupe encore un peu plus courte que les jours antérieurs et plus fine.
Je rejoins la villa et je découvre nue, dans ma chambre. Val qui m’a ouvert le colis.
La robe est un modèle dos nu, fendu au niveau des mamelons et au niveau du pubis discrètement, entièrement blanche transparent, laissant deviner mes mamelons, mon pubis brun par un nouveau modèle de ceinture de chasteté, en cuir, mais interdisant toute pénétration de ma chatte très humide. Val cadenasse ma ceinture de chasteté. Je me douche à l’eau froide, décuplant la tension maximale de mes mamelons et durcissant le cuir de ma ceinture de chasteté. Je me farde la bouche, les paupières, les mamelons, me parfume trois fois avec un vaporisateur qui le projetait en brume épaisse. Sur ma peau, la brume fond et coule, sur mes aisselles lisses, mes poils pubiens, se fixe en gouttelettes minuscules. Je laisse à chaque fois le parfum sécher sur moi.
Val me brosse les cheveux et mes poils pubiens. J’enfile ma robe. L’effet est osé : ma nudité et ma ceinture de chasteté sont bien visibles, ainsi que les récentes marques des coups de cravache de Val.
Je glisse mes pieds nus dans mes mules dorées à très hauts talons, ma silhouette est plus élancée, mes chevilles et mes mollets sont tendus, cela me fait des jambes superbes.
Hercules et le Baron viennent me chercher. Je relève la jupe de ma robe, pour exhiber ma ceinture de chasteté et mon anus rempli par le vibromasseur anal Marquis, similaire à celui de Romulus, doté d’un puissant va-et-vient qui étire ou contracte suivant les montées du vibromasseur, tel un chien qui me saillit. Je ne reste pas insensible à ce plaisir décuplé.
Nous prenons la limousine, conduite par Hercules. Les yeux recouverts par mon masque de nuit, la bouche bâillonnée par un bâillon-pénis canin, assise cuisses écartées, fesses nues sur la banquette arrière, je m’abandonne aux caresses de mes seins, au pincement de mes mamelons constamment tendus.
Après un long trajet à l’aveugle, la limousine s’arrête devant un portail qui s’ouvre. J’entends des chiens aboyer, alertés par mon odeur de chienne soumise.
Le Baron me fait retirer ma robe. Je sens l’air frais sur mes mamelons constamment tendus, décuplant mon excitation.
Je suis tenue en laisse par un anneau dans ma ceinture de chasteté. Je dois marcher derrière un des maîtres-chiens.
Lors du trajet qui dure un quart d’heure, on marque une pause. Je dois me prosterner, cuisses écartées.
- Aime-t-elle se faire saillir, votre Chienne Soumise Olympe, Sir ?
- Bien sûr, son œillet est prêt à recevoir jusqu’au sexe d’un Danois.
On me retire le vibromasseur, mon anus est bien écartelé et humide.
Sans attendre, un berger allemand, prénommé Conan, un doberman, prénommé Hadès et un Danois, Olaf, m’enculent jusqu’au nœud entre une demi-heure à trois quart d’heure. Je connais de multiples orgasme anaux, l’anus dégoulinant de spermes chauds, l’anus léché par mes amants canins.
Bien sûr, pantelante, je dois subir l’assaut de leurs maîtres-chiens aux mandrins imposants de trente centimètres et sept de diamètre, qui éjaculent ensuite.
On me remet le vibromasseur en place. Pour faire les derniers mètres, le Baron me tient par la taille. Je réponds par l’affirmative, au plaisir que j’ai reçu, en bougeant la tête.
Je franchis des marches menant à une entrée puis à un grand salon, où j’entends des râles de plaisir. On me retire mon masque de nuit et mon bâillon-pénis. Je baisse les yeux et garde la bouche entrouverte.
Des jeunes femmes intégralement épilées, marquées au fer rouge, tatouées, se font enculer, certaines en double anale, par des hommes nus et masqués.
Puis je découvre devant moi, un imposant mandrin de trente-six centimètres et six de diamètre, nu.
- Voici la fameuse Chienne Soumise Olympe, cher Baron, elle ne connaît pas le Marquis Donatien des Bijoux des Sévices. Elle n’est pas encore ferrée. Ses grandes lèvres sont prêtes pour ses anneaux d’ici quelques jours. Son corps de rêve me ravit. Elle ne connaît pas l’éditeur Sacha Baiseur de Milles Désirs, dont son épouse Chienne Soumise Aimée est mienne depuis deux ans.
Aimée m’est présentée. Elle est brune avec des petits seins aux mamelons tendus percés de gros anneaux dorés, auxquels sont suspendus une chaîne constituée de plusieurs pierres précieuses, qui étirent ses mamelons et ses seins vers le bas, ses grandes lèvres sont aussi percées de petits anneaux dorés, fermés par de petits cadenas, la rendant chaste, comme moi. Chaque cadenas est en fait un poids, qui étire les grandes lèvres. Son pubis et sa chatte sont totalement lisses. Elle porte sur le pubis, un sexe canin tatoué à l’encre noire, sur ses fesses, sur la fesse gauche, le fouet et la cravache entrecroisés et sur l’autre, les lettres ACS et DB entrelacés, le tout marqué au fer rouge. Elle porte sur l’épaule gauche, un cœur avec les lettres ACS SBMD entrelacés marqués au fer rouge.
- Olympe, tu vas faire l’amour avec Hermine devant nous.
On me retire le vibromasseur anal Marquis, exhibant mon anus rougi et écartelé, dégoulinant de spermes.
Dans un 69, je m’allonge tête-bêche au-dessus d’Aimée, nous léchons nos anus, que nous doigtons. Je peux caresser le gros clitoris percé d’un anneau avec une pierre précieuse. Hermine me doigte longuement l’anus, jusqu’à mon orgasme, que je partage en sa compagnie.
Aimée retire ses doigts pour que le Marquis m’encule jusqu’aux testicules, sans jouir. Je résiste, puis les autres invités se relaient pour m’enculer. Je me retiens à chaque fois, la bouche remplie de leurs spermes chauds.
Pantelante, le bijou d’anus remis en place, Aimée me conduit à notre cellule commune.
Je porte mon collier et mes bracelets aux poignets et aux chevilles, en fer. Ils sont de fer inoxydable, articulés et à demi rigides, sont larges de près de deux doigts et avaient chacun un anneau de même métal. Mon collier entoure exactement le cou dans son milieu, sans le serrer mais suffisamment pour qu'il soit difficile de le faire tourner, et plus difficile encore d'y glisser un doigt entre la peau et le métal. De même, à mes poignets et à mes chevilles, juste au-dessus de l'articulation qui était laissée libre, les bracelets. Je dois les garder constamment.
Le Baron me retire ma ceinture de chasteté et me pose des pinces à mes grandes lèvres, des clochettes en métal fixée par une pince s'anime au moindre mouvement, émettant un tintement cristallin. Il m’annonce :
- Tu vas aussi en porter à tes mamelons constamment tendus, pour te suivre.
Je me glisse dans la baignoire transparente, accroupie, cuisses écartées, bras tendus en l’air, menottée à un crochet, par un des valets cagoulés, entièrement nu, bien monté.
Il me baigne, il savonne tout le corps et me douche à l’eau tiède et prolongée accompagnée du balayage soigneux d'une énorme éponge sur laquelle je me frotte plusieurs fois. Lorsque l'éponge passe entre mes cuisses ou sur mes seins, je garde les yeux baissés. Mes clochettes tintent dans l’eau.
Une fois propre, l’anus libre, je dois faire mon lavement, assise sur un bidet, à l’eau froide par une canule. Les clochettes tintent entre mes cuisses humides.
Le valet m’encule longuement jusqu’à l’éjaculation, tandis que je me retiens de jouir. Il éjacule dans ma bouche.
Il me cravache, menottée, prosternée sur le lit, sur les fesses, les cuisses et les reins et sur le dos.
Une fois cravachée, je rejoins les autres soumises au réfectoire.
Le sol est dallé, une table longue en verre épais, pour que les valets voient ce que les soumises peuvent faire par-dessous, et chacune a pour siège un tabouret rond recouvert de cuir. Au contact du cuir lisse et froid sous mes cuisses, je redécouvrir le plaisir de m’asseoir fesses nues.
Le valet de permanence, cagoulé, nu, botté, me toise.
- Voici la fameuse Chienne Soumise Olympe, l’amante des Danois, qui l’encule jusqu’au nœud. Tu es très belle.
Les yeux baissés, je mange. Je suis juste interrompue par la caresse de mes seins aux mamelons tendus à l’extrême, par le vent frais.
Il me pose des pinces à clochettes qui enserrent mes mamelons tendus avec de minuscules rangées de dents minuscules en métal, pour me faire gémir.
Cuisses écartées, mon clitoris tendu à l’extrême est caressé, déclenchant des ondulations de mon bassin et faisant tinter les clochettes de mes mamelons et de mes grandes lèvres.
Puis il me fait pencher en avant, étirant davantage mes mamelons pincés, laissant bien tomber les seins sous le poids des pinces ensuite le sang cesse de circuler, le mamelon devient froid et là je ne sens plus rien, tandis qu’il m’encule jusqu’aux testicules.
Il éjacule dans ma bouche, je le nettoie.
Pendant la journée, en compagnie d’Aimée, je me fais enculer à de nombreuses reprises par les amants canins jusqu’au nœud, suçant les maîtres-chiens, dans les jardins.
En fin d’après-midi, un superbe valet cagoulé, botté, me conduit par un petit pont, tenue en laisse par mon collier, les mains jointes à mon cou, les yeux bandés, nue, avec mon vibromasseur Marquis.
Il me retire le bandeau et je découvre, vingt étalons étaient divisés en deux rangées, une sur chaque mur. Là encore un dispositif spécial est disposé sous leur ventre et une jeune femme attend, courbée en deux et entravées chevilles et poignets, l'instant de la saillie anale. Elles sont enculées jusqu'à l'éjaculation. Le sperme est alors recueilli dans une grande bassine posée sous les fesses de la jeune femme. Pendant la phase de sodomie forcée, les valets en profitent pour baiser les bouches des jeunes soumises, maintenues ouvertes par des écarteurs buccaux et ils y déversent généralement leur sperme.
Je prends place. Le valet me retire le vibromasseur anal, me doigte l’anus déjà  dilaté et il déclare
Une chienne soumise qui est aussi ouverte pour se faire enculer par un cheval, mais tu sauras apprécier cette monstrueuse sodomie!
Une fois l’anus bien lubrifié par ma mouille abondante et les doigts experts pour me pour bien le lubrifier. Positionnant le gland du membre en érection sur ma rondelle, il commence à pousser. Le sphincter cède. Je suis enculée sur trente de quatre-vingt centimètres de long et onze de diamètre. Mon anus se dilatant, habitué, j’hurle maintenant de plaisir. Les valets me font sucer jusqu’à l’éjaculation en bouche. Je connais un violent orgasme anal.
Dès qu’on me retire le sexe, mon anus est rougi complètement distendu et boursouflé ce qui libère un flot de sperme.
Après Sultan, j’ai droit à Alizé, un autre pur-sang arabe, pour une seconde saillie anale équine et enfin, Zéphyr des Haies, un trotteur français.
Je suis épuisée, quand je retourne à ma chambre. J’ai droit à un long lavement et je passe la nuit, menottée, cuisses écartées, nue, l’anus libre, enculée et fouettée, prosternée à toute heure, par des inconnus.
Des fois, des amants canins viennent me faire jouir, enculée.

2 juin
Mon corps s’est transformé, mon anus reste en partie ouvert, par mes multiples saillies anales canines et équines. Je porte désormais à ma chatte entièrement épilée, des anneaux dorés à chacune de mes grandes lèvres, pour me rendre chaste. Je garde ma toison pubienne.
Le Baron assiste à la pose de mes anneaux dorés. Je suis suspendue dans le vide, les cuisses complètement ouvertes, les bras tendus en l’air, nue.
Après la pose, on me marque juste au-dessus de mon pubis, à l’encre noire, OCS 696 et je reçois dans l’intérieur de ma chatte, la marque au fer rouge, OCS 696. Je perds connaissance.
Des dizaines d’hommes cagoulés m’enculent jusqu’à l’épuisement, toujours suspendue aux crochets. J’avale leurs spermes.
Remise de la pose de mes anneaux, je regarde mon gros clitoris qui porte aussi un anneau doré avec une pierre précieuse. Je suis fière de mes marques.
Mon éducation n’est pas encore achevée.
Le Baron me réserve d’autres plaisirs.
- Ma chère Chienne Soumise Olympe, tu vas quitter le « Haras des Sévices » pour un nouveau lieu. Remets ta guêpière et ta jupe éventail, ton boléro, tes mules. Farde-toi et parfume-toi.
On me retire mes carcans en fer.
Je porte toujours mon bijou d’anus Marquis.
La limousine conduite par Hercules quitte le parc du haras, où j’ai marché, tenue en laisse, pour une grille ouverte. J’apprends que je me trouve dans un domaine privé, appartenant à une riche famille d’éleveurs d’étalons de course, renommé.
Après une longue heure de route, les yeux bandés, avec mon bâillon-pénis, la limousine marque une halte.
On me déchausse. Je monte à bord d’un yacht.
Je reste debout, nue, les mamelons et le clitoris tendus à l’extrême par le vent frais sur le pont arrière.
Des mains caressent mon corps, pelote mes seins, me masturbent mon clitoris. Je me retiens de jouir.
Après une longue traversée, je suis invitée à monter à bord d’un hélicoptère Dauphin, sur la plate-forme aménagée. Je suis assise, cuisses écartées.
Nous atterrissons sur une plage. Je sens le sable chaud sous mes pieds nus, puis des marches en pierre, jusqu’à un palier.
Je suis sauvagement enculée, l’anus libre. Je me retiens de jouir.
On me retient le bandeau et je découvre une luxueuse villa avec piscine. Des hommes soubrettes m’accueillent. Je baisse les yeux.
Une des voix masculines m’informe :
- Chienne Soumise Olympe, tu seras la prostituée de mes invités triés sur le volet. Aucune relation sexuelle avec le personnel, sauf sur ordre. Tu seras nue tout le temps, prête à te donner, sans te dérober. Ta chatte sera cadenassée pendant ton séjour et ne seras utilisée que pour assurer une descendance au Baron. Tu es bien sûr fouettée comme il se doit, lors de tes fautes. Tu feras perdre la virginité à de jeunes garçons, avant qu’ils t’enculent. Dès aujourd’hui, tu seras intégralement épilée, pour être plus désirable.
Aussitôt, je reçois un cadenas léger qui me rend la chatte chaste.
Je découvre ma chambre que je partage avec des chiens qui peuvent me saillir à n’importe quel moment de la journée.
L’après-midi, je suis présentée, intégralement épilée, les yeux baissés, la bouche entrouverte, à des invités, qui me caressent, me pelotent les seins, masturbent mon clitoris, me doigtent l’anus. Je dois me retenir de toute jouissance sans aucune autorisation sous peine de sanctions.
Je passe de longues heures, enculée dans diverses positions, suçant les autres invités.
L’un d’eux me fait allonger sur le dos, il se met tête-bêche et m’encule, tandis que je dois relever mes jambes écartées et le subir, avec son gros mandrin qui m’écartèle l’anus. Il éjacule en moi.
Un second, profitant de ma position, m’invite à fléchir mes jambes au maximum sur mon buste, pour me faire enculer. J’ai un peu mal, il m’encule tête-bêche, jusqu’à l’éjaculation.
Un troisième s’allonge sur le dos, cuisses écartées. Je dois m’empaler, dos à lui, enculée, assise sur ses cuisses, cuisses contre cuisses, je sens ses testicules contre mes fesses brûlantes de quelques fessés magistrales. Je reçois ses profonds jets de spermes dans mon anus écartelé par son gros mandrin.
Un quatrième, allongé sur une chaise longue, m’invite à m’empaler, sur lui, de face, enculée, ma jambe droite à l’extérieur de la chaise longue. Il immobilise ma cuisse droite pour me faire subir les mouvements de son bassin. Mes seins qui se balancent l’excite tout comme mon orgasme anal violent et son éjaculation.
Un cinquième, dans un face-à-face, cuisses écartées tous les deux, enculée jusqu’aux testicules, je le subis jusqu’à son éjaculation.
Pantelante, je me douche en leur compagnie, livrée à leurs caresses, à de violentes sodomies. Je les guide vers le désir. Je les suce pour de nouvelles sodomies plus violentes et plus jouissives.
Le soir, je mange, en leur compagnie, empalée, entre leurs cuisses, enculée, offrant mes reins, mes fesses, mes seins, mon cou, mes épaules et mon dos, me faisant masturber mon clitoris tendu à l’extrême. Je mange plus ou moins épicé, jusqu’à l’éjaculation de chacun des invités.
Je dors menottée à mon lit, nue, allongée sur le ventre, offrant mon anus aux visites des invités et des chiens, pour de longues et violentes sodomies jouissives, l’anus débordant de spermes chauds.

5 juin
D’autres invités m’enculent dans d’autres positions plus osées.
Penchée en avant, les mains en appui, les jambes soulevées en arrière au niveau de la taille de l’invité, la sodomie est profonde, je sens ses testicules, qui se balancent et frappent ma chatte trempée. L’éjaculation est rapide.
Un autre m’encule, assis sur ses jambes ouvertes et repliées, ventre tendu en avant. On m’aide à m’enculer, empalée, mes mollets posés sur ses épaules, jusqu’aux testicules, renversée très en arrière en appui sur mes bras. Mes seins sont pelotés par d’autres invités. Il retarde son éjaculation en moi.
En appui sur mes bras en arrière et sur mes jambes écartées, je suis enculée jusqu’aux testicules, tenue par la taille, jusqu’à l’éjaculation.
Allongée sur le dos, enculée, jusqu’aux testicules, je reçois mon invité, face à face, enserre sa taille avec mes jambes, pour qu’il éjacule en moi, mes pieds sur ses fesses.
Toujours allongée sur le dos, je reçois l’invité, en traction, mes cuisses relevées et bloquées. Je suis massée fortement et je sens ses testicules contre ma chatte trempée. Il éjacule longuement en moi.
Allongée sur le côté, cuisses serrées, je suis enculée, par l’invité, assis sur ses jambes ouvertes et repliées, jusqu’aux testicules et je reçois son sperme, lorsqu’il se dresse au-dessus de moi, en m’écartant les jambes.
Toujours offerte, en position ouverte, cuisses écartées, je suis enculée, par l’invité, au-dessus de moi, jusqu’aux testicules. Le jet de spermes est intense.
En appui sur les bras, le corps légèrement relevé de l’invité, je m’empale sur lui, en traction sur une de mes jambes, je connais l’orgasme anal violent et une longue éjaculation.

25 juin
En plein après-midi, je suis menottée au chevalet, entourée d’hommes cagoulés. Je porte un bâillon-pénis canin.
On remplace mes anneaux dorés qui m’ont rendue chaste, par des anneaux de fer mat inoxydable, comme le fer de la bague doublée d'or. La tige en est ronde, épaisse comme un gros crayon de couleur, et ils sont oblongs : les maillons des grosses chaînes sont semblables. Chacun est formé de deux U qui s'emboîtent l'un dans l'autre. Un ressort intérieur sur lequel on doit forcer pour le faire pénétrer dans la rainure où il se bloque. Une fois posé, il est impossible de l'ôter, il faut limer. Chaque anneau est long comme deux phalanges du petit doigt, qu'on y pouvait glisser. A chacun est suspendu, comme un nouveau maillon, ou comme au support d'une boucle d'oreille un anneau qui doit être dans le même plan que l'oreille et la prolonger, un disque de même métal aussi large que l'anneau était long. Sur une des faces, CSO niellé d'or, sur l'autre, mon nom, le titre, les noms et les prénoms de mes Maîtres, et au-dessous, un fouet et une cravache entrecroisés.
Une fois posés à mes grandes lèvres, on me marque les fesses, sur la fesse gauche, le fouet et la cravache entrecroisés et sur l’autre, les lettres OCS et DB entrelacés, le tout marqué au fer rouge. Je porte sur l’épaule gauche, un cœur avec les lettres OCS SBMD entrelacés marqués au fer rouge.
Inconsciente, les hommes cagoulés m’enculent violemment, la bouche libre, je dois sucer. Je ne compte plus mes orgasmes anaux, les quantités de spermes, ni les chiens qui me saillissent comme une chienne en chaleur.

Quelques jours après, je me retrouve à la villa, nue. Je suis enceinte d’un inconnu, dont je donne naissance à des jumeaux : un garçon et une fille. Je reprends mon métier de libraire, toujours à côté du sex-shop, nue sous mes tenues.
 
Je vous attends, votre Chienne Soumise Olympe, mon œillet est tout ouvert à vos désirs.

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