Je m’appelle Olympe.
J’ai 23 ans.
Je suis une jolie beauté scandinave.
Je suis une brune aux yeux verts. J’ai des pieds fins et
latins, des jambes longues bronzées, musclées qui inquiètent par leur
perfection. Mon pénil est bombé, ouvert, couronné de noir. Ma pilosité brune
couvre mon pubis. Ma chatte est velue et j’ai une superbe croupe. Les lèvres de
mon sexe sont une plaie rouge entre mon entrecuisse. Mes hanches s'incurvent et
délimitent le ventre plat, délicieusement renflé autour du nombril, les hanches
sont larges et rondes, mais sans lourdeur. La taille est affinée. Les seins
parfaits intégralement bronzés sont un peu volumineux mais fermes, et leurs
pointes marron clair, toujours dressées, cernées par une large aréole marron
attirent le regard. J’ai une peau lisse et patine. Finition parfaite, un seul
grain de beauté entre mes superbes seins. De longs cheveux plats blonds
flottant comme des algues, battent mes épaules rondes et gracieusement
athlétiques. Je suis intégralement bronzée. Mes yeux verts limpides s'allument,
ma bouche charnue se fend. J’ai des sourcils bruns bien dessinés et des lèvres
pulpeuses. J’ai de longs doigts fins et de belles mains. Je fais du 90B de
poitrine, 56 de taille, 90 de hanches, 1,72 m.
LIBRAIRE
VICIEUSE
10 avril
Je possède
une librairie que j’ai racheté il y a deux ans, après la mort du libraire, son
fils me l’a vendue, en échange de mon pucelage de ma chatte. La librairie est
située dans une arrière-cour discrète.
Ce matin,
élégamment vêtue d’un chemisier blanc sur mon soutien-gorge corbeille
transparent blanc et ma jupe droite fendue derrière fuchsia sur mon string
assorti, mon porte-jarretelles et mes bas blancs, chaussée d’escarpins blancs à
hauts talons, coiffée de ma queue-de-cheval, je me rends au fond de la librairie,
dans le rayon œuvres pour lecteurs avertis, dont certains raffolent.
Je me contente d’histoires érotiques qui me font mouiller la chatte et
tendre mon clitoris.
La porte
s’ouvre, tandis que je lis « Le Lien », une jeune femme de mon âge,
blonde, aux seins plantureux, en robe décolletée blanche et sandales blanches,
les cheveux libres, m’interpelle :
- Miss
Olympe, je désire une œuvre très spéciale. Tu es dans le rayon des œuvres
interdites.
- Oui,
Miss Hermine, quelle œuvre cherches-tu ?
- Une variante
d’Histoire d’O, par un autre écrivain, le Baron.
- Je ne
connais pas, cet auteur.
- Il
paraît qu’il est très distingué, en plus de nouvelles histoires SM avec de
nouvelles héroïnes. Il paraît que tu es son style de femme.
- Comment,
j’ai plusieurs amants.
- As-tu
déjà été enculée, Olympe ?
- Quoi, tu
veux dire…
- Oui, un
mandrin qui a honoré ton œillet, ma chérie.
- Non,
jamais de la vie, je refuse que l’on me fouille l’anus, même mes copines.
La porte
s’ouvre et un bel Adonis apparaît, en costume, me dévisageant :
- Voici,
la fameuse libraire Olympe et sa collection d’œuvres interdites.
Le livre
tombe de mes mains.
Je
m’accroupis pour le ramasser.
- Non, tu
dois te pencher en avant en gardant les jambes tendues. Quelque soit la
longueur de ta robe ou de ta jupe et ou que tu sois. Jamais d'exception à cette
règle.
- Je ne
peux pas, cette position est obscène.
- Obéis,
Olympe, sinon, je te cravache.
- Qui
êtes-vous ?
- Tu dois
me tutoyer.
- Qui
es-tu ?
- L’auteur
du roman dont tu es ma muse.
Je
reprends le livre en main.
- Retire
ta jupe de suite, Olympe. Je ne le dis une fois. Hermine est témoin.
J’obéis et
je reste avec mon string, mon porte-jarretelles et mes bas.
- Je te
veux les jambes nues et la chatte non dissimulée. Donc plus de culottes ou de
strings, plus de soutien-gorges et jamais non plus de body. Tes seins et ta
chatte doivent toujours être nus sous tes vêtements et ton entrejambes jamais
dissimulée. De ce fait, jamais plus non plus de collants, de shorts, de jupes
culottes ni bien sur de pantalons. Tu ne porte que des jupes ou des robes mais
à la condition qu'en aucun cas elles ne soient plus longues que le milieu de
tes cuisses. Jamais de tee-shirt ou autres vêtements sous tes corsages ou
chemisiers. Pour tes pieds, soit tu soit pieds nus soit tu portes des
chaussures toujours à talons.
Les jambes
et les fesses nues, je me sens un peu gênée. Je cache mon pubis et ma chatte
trempée, sous l’excitation, mon clitoris est tendu.
- Retire
ton chemisier et ton soutien-gorge aussi. Je te veux toute nue, pour ta
première leçon d’éducation anglaise.
- Oui,
monsieur, je m’exhiber toute nue à vous.
- A toi,
Olympe.
- Je
m’exhibe tout nue à toi.
- Tu
m’appelles Maître, désormais.
-Oui, Maître, dis-je en cachant partiellement
mes seins et ma chatte, par pudeur.
-Penche-toi en avant, cuisses écartées et
écarte bien tes fesses.
J’obéis.
Le mandrin
de seize centimètres et six de diamètre bien dur s’enfonce dans mon anus
vierge.
– Elle,
très serrée !
– Pousse,
chéri, pousse, pète lui sa rondelle !
A force de
persévérance et après un certain nombre de tentatives infructueuses. Il
poursuit aussitôt la pénétration pour ne pas rester coincé et mon anus est
contraint de s'assouplir. Il me saisit par les hanches et me fait coulisser son
gros mandrin.
- C’est ta
première sodomie, Olympe.
- Oui,
j’ai un peu mal.
- Je suis
jusqu’aux testicules, détends-toi.
Il me
caresse les seins aux mamelons tendus.
- Pose les
mains au sol, pour que je t’encule davantage.
- C’est
bon, masturbe mon clitoris tendu.
- Tu
commences à prendre goût, Olympe.
- Je vais
éjaculer en toi et tu vas jouir en même temps.
Un premier
orgasme anal me submerge et je sens son long jet de sperme chaud dans mon anus.
-
Accroupis-toi et tu vas me sucer. Garde bien mon sperme, Olympe.
J’obéis.
- Tu es une
excellente suceuse, Olympe.
Je le
nettoie.
- Ecarte
les fesse, je vais te mettre un bijou pour conserver ton anus dilaté et tu
auras cinq centimètres d’ouverture. Cela te permet que je t’encule plus
aisément la prochaine fois.
Le bijou
est très beau, il est en aluminium brillant orné par un magnifique cristal rose
à son sommet : c’est ce cristal rose qui est visible entre les fesses une fois
qu’il est introduit dans l’anus. Il est très doux et très petit, ne provoque
aucune gêne mais au contraire une délicieuse excitation anale permanente, et
vous pouvez facilement vous asseoir avec le bijou dans l’anus.
La forme
en sapin et sa large base vous garantissent un excellent maintien dans l’anus.
La section
qui relie les deux extrémités est très fine et douce afin de laisser l’anus se
refermer dessus sans gêne. Cette tige de la taille de l’auriculaire sert de
support lorsque le sphincter se referme.
-
Gardez-le jusqu’à midi. Je prends vos dessous.
- Je vais
passer la journée, seins nus, jambes et fesses nues sous ma tenue. Cela est un
peu provocant.
- Surtout,
si je découpe les boutons de votre chemisier. Tous vos clients auront une vue
imprenable sur vos seins nus aux mamelons tendus. Tu es excitée par cette
situation, Olympe.
- Oui,
Maître, m’exhibée ainsi, me gêne mais aussi m’excite.
L’auteur
disparaît comme il est venu.
- C’était
le Baron, ma chérie. Il vient de te dépuceler l’anus. Il semble connaître tes
goûts sexuels.
- J’ai eu
un peu mal, mais cela n’est pas désagréable. Je me suis trompée.
- Olympe,
mon mari et mes amants m’enculent plusieurs fois par jour. C’est divin, même en
double pénétration.
Je pense
le reste de la matinée, avec mon chemisier déboutonné. Quand je me baisse pour
ranger un livre, je vois mes seins bouger doucement et le regard voyeur de tout
autant les hommes et les femmes. Je m’habitue à cette exhibition contrainte.
Vers midi,
je ferme la librairie. Le Baron m’attends et m’annonce :
- Alors,
tu es toute humide. Tu as du contracter ton anus, pour faire avancer le bijou
contre ta chatte humide.
- Oui,
cela m’a stimulé et la sensation est très agréable, j’aime ça.
Allons au
restaurant, j’ai réservé une table pour deux.
Au
restaurant, je dois me confesser, sur ma sexualité, mes goûts sexuels, ma
défloration, mes longueurs et grosseurs de mandrins favoris, mes masturbations
en solitaire.
- Maître, je dois me soulager. J’ai aussi
envie de faire.
- Je sais,
tu dois te vider l’anus. Ce sera plus tard, Olympe. Je règle la note.
- Allons,
aux toilettes pour hommes, tu retires ta jupe et tu restes fesses nues et
obéissante. Sinon, je te fesse.
Aux
toilettes hommes, je dois patienter, les fesses nues, face au mur, en compagnie
du Baron :
- Cette
beauté rêve de vos queues dans son œillet de soumise. Elle adore ça. Mais
avant, tu vas pisser debout dans l’urinoir.
Je me
concentre, tandis qu’un des hommes me masturbe le clitoris tendu.
– Alors
vas-y.
Le Baron
me sollicite doucement la chatte de la main droite, tandis qu’une main gauche,
un second homme me pelote les seins, faisait saillir mes tétons, frotte mon
plexus, un troisième homme descend sa main sur mon pubis qu'il presse,
cherchant la vessie pour y appuyer.
Bientôt je
me lâche. Une fine ligne transparente partit d'entre ses jambes, formant une
légère parabole. Le Baron met sa main en coupole sur mon pubis. Le liquide
tiède emplit sa main, discrètement parfumé, un peu salé. Il me contraint à
boire le liquide s’en perdre une goutte.
C’est le
signal.
L’anus
libre, je suis sauvagement enculée par les troisième hommes de divers calibres
au-delà de cinq centimètres. Je me détends, fessée magistralement par le Baron.
-
Empale-toi à fond jusqu’aux testicules, ma soumise.
Je connais
de nouveaux orgasmes anaux, l’anus rempli de spermes chauds.
Le Baron
m’encule en dernier.
- Tu te
montres plus vicieuse, tu prends goût, Olympe.
- Oui,
Maître, encule-moi profondément.
Il éjacule
à son tour et me remet le bijou d’anus. Je reprends mes esprits. Je remets ma
jupe. Je lui donne mon numéro de téléphone de mon appartement, sur la place, à
un quart d’heure du restaurant.
- Je peux
aller ouvrir ma librairie, Maître.
- Non, cet
après-midi, je dois te présenter à d’autres hommes. Mais tu vas changer de
tenue. Tu vas porter les tenues que nous allons choisir ensemble. D’abord une
guêpière seins nus, qu'un busc, sur un côté derrière, permet de boucler et de
déboucler. Par-derrière aussi, un large laçage se serre ou se desserre à
volonté. Ta taille et ton ventre doivent se creuser sous la pression des
baleines, qui sur le ventre descendent presque jusqu'au pubis, qu'elles dégagent,
ainsi que les hanches. La guêpière est plus courte par-derrière et laisse la
croupe entièrement libre, pour faciliter l’accès à ton oeillet. De nouvelles
jupes largement fendues devant et derrière, si possible transparentes et
courtes et des robes de même longueur, dénudant tes jambes, mises en valeur par
des mules à très hauts talons à tes pieds nus.
Nous
faisons une boutique de lingerie où je parade nue, puis en guêpière que je dois
porter toute la journée.
Le
marchand de chaussures me fait un prix pour plusieurs paires de mules, dont
j’en porte une paire.
Les jupes
sont mesurées par le Baron.
J’en porte
une assez courte, fine, laissant deviner mon pubis et mes fesses nues, par de
discrètes fentes, pour me faire caresser.
Je porte
des décolletés sur mes seins nus, transparents, dos nu.
Ainsi tout
le monde sait que j’ai les seins, les fesses et la chatte nus, à disposition.
Je ne
réagis à aucun regard, ni jamais je ne serre les jambes et à ne jamais me
croiser les bras pour masquer mes seins. Je suis terriblement excitée. Plus je
suis excitée et plus parfois c'est
gênant car ça ce voit parfaitement bien.
Nous
faisons ensuite la tournée des sex-shop où je suis enculée par des inconnus qui
payent le Baron, devant des films lesbiens, anaux et de double pénétration pour
m’exciter davantage.
Vers
quinze heures, je marque une pause, la bouche et l’anus remplis de spermes
chauds. Nous prenons un jus de fruit. Je sens mes mamelons et mon clitoris se
durcir davantage.
Après les
sex-shops, les clubs libertins me sont ouverts. Je suis nue avec mon bijou
d’anus, faisant l’amour avec des couples hétérosexuels, lesbiens et
homosexuels, comme suceuse et lécheuse, récompensée par de longues sodomies et
doubles pénétrations jouissives.
Vers vingt
et une heure, nous allons à mon appartement. J’ai droit à mon premier lavement
anal, après ma douche et mon démaquillage. Je m’assois sur le bidet, courbée en
avant, cuisses toujours écartées, exhibant ma toison pubienne. Le Baron me lave
soigneusement l’anus. Il enfonce une canule, montée à l'extrémité du flexible
de la douche, par laquelle il m'asperge d'eau froide. Cette inondation intime
provoque la tension extrême de mes mamelons et de mon clitoris, masturbés avec
soin par le Baron. Je jouis, sous le jet d’eau froide.
- Ainsi, ton
œillet sera toujours propre. Remet ton bijou d’anus. Tu ne connais pas encore
la cravache. Des amis vont venir te voir ce soir.
Je mange
nue, cuisses écartées, agenouillée, aux côtés du Baron, qui visionne un film
d’éducation anglaise, que je regarde aussi excitée.
Les
rideaux ouverts, les lumières allumées, je sais que mes voisins vont me faire
des commentaires.
Le Baron
m’allonge sur le dos et me menotte les poignets dans des carcans de cuir, les
bras écartés, aux barreaux de la tête du lit et met une barre d'espacement et
attache mes chevilles au pied du lit.
Les
carcans sont faits : en plusieurs épaisseurs de cuir, chaque épaisseur assez
mince, au total pas plus d'un doigt, verrouillés par un système à déclic, qui
fonctionne automatiquement comme un cadenas quand on le refermait, et ne peut
s'ouvrir qu'avec une petite clé. Dans la partie opposée à la fermeture des
bracelets, pris dans le milieu des épaisseurs de cuir, et n'ayant presque pas
de jeu, il y a un anneau de métal, qui donnait une prise pour fixer, et qu'on
positionne du côté intérieur du poignet. Pour le collier, l'anneau pend devant
le cou, reposant sur la saillie des clavicules, et brinquebalait au rythme des
mouvements de celui qui le porte.
- Ainsi,
tu es menottée à ton lit, pour la soirée.
Il ouvre
un sac de golf et sort un martinet, une cravache, une garcette.
La
garcette, est faite de cordes assez fines, faite de sept lanières terminées
chacune par plusieurs nœuds, et qui sont toutes raides, trempées dans l'eau, le
Baron me caresse l’intérieur de mes cuisses écartées, je sens mieux combien les
cordes sont humides et froides contre la peau tiède de mes cuisses.
- Cela est
pour tout à l’heure. Tu vas jouir, enculée par mes amis.
Je dois
les sucer, ils sont longs jusqu’à trente-un centimètres et sept de diamètre en
érection. Ce sont des Africains noirs, des Musulmans et des étalons musclés.
Ils
m’enculent jusqu’aux testicules.
Ils
éjaculent soit dans ma bouche, je dois tout avaler, soit sur mon pubis, soit
sur mes seins, soit dans mon anus.
Ils sont
une douzaine à se relayer.
Pantelante,
je suis menottée sur le ventre, avec un coussin pour me relever les fesses.
Tous me
cravachent, me donnent des coups de martinet sur mes fesses et mes reins, puis
le Baron me finit à la garcette.
Les fesses
et les reins brûlants, le Baron examine les balafres, posant ses lèvres
fraîches sur celles des fesses, l'embrassant tendrement, le léchant là – et
sous ses caresses, ma chatte mouille d’excitation.
Les
sodomies reprennent, entre deux séances de cravache jusqu’à l’aube.
Je dors
menottée, buvant beaucoup, sur ordre du Baron.
11 avril
A l’aube,
je suis détachée et je regarde mes marques sur mes fesses et mes reins, tout en
me soulageant, debout, devant la cuvette. Je porte mon bijou d’anus, l’anus
rempli de spermes chauds.
Je me
rendors jusqu’à neuf heures.
Mes
sodomies et mes coups de cravache me rendent plus fière de moi, la promise du
Baron.
Vers neuf
heures, le Baron vient me voir.
Il me
tient par le collier, deux doigts glissés entre le cuir et le cou
- Tu es
désormais mise en commun entre moi et ceux dont je décide, et ceux que je ne
connais pas. Tu es leur soumise et les accueillir avec le même respect avec
lequel tu m’accueille. Tu es ma prostituée. Tu ne peux pas ne pas te révolter.
On obtient ta soumission malgré toi, non seulement pour l'incomparable plaisir
que moi ou d'autres y trouverons, mais pour que tu prennes conscience de ce
qu'on a fait de toi. Tu ne dois ni regarder un homme au visage, ni lui parler.
Tu ne le dois pas davantage à moi, mais te taire, et obéir. Tu n'ouvres
désormais ici la bouche, en présence d'un homme, que pour crier ou sucer. Va te
doucher et te farder.
Je me
farde la bouche avec un rouge clair, un peu liquide, que j'applique au pinceau,
et qui fonce en séchant. Je me peins du même rouge l'aréole et le mamelon
durci, et les petites lèvres entre mes cuisses, en soulignant la fente du
giron. Je me poudre le visage. Des glaçons permettent de faire tenir la couleur
sur mes mamelons.
Le Baron
prend soin d’enduire d’une crème mes mamelons et mon clitoris qui déclenche une
hyper sensibilité. Le moindre frottement de tissus ou même ne serait ce que
l'air sur mes mamelons et mon clitoris me provoquent une excitation énorme. Mes
mamelons pointent au maximum tout le temps, vingt quatre heures sur vingt
quatre et de même pour mon clitoris. Je suis interdite de me faire jouir. Je
suis frustrée et la douleur que cela procure en plus de la douleur provoquée
par le fait que mes mamelons et mon clitoris soient constamment tendus.
Mes
mamelons et mon clitoris sont complètement tendus et très dur au point de me
faire vraiment mal et le moindre effleurement même involontaire devient une
véritable torture tellement ces endroit sont devenus sensibles.
Mon
clitoris est gros comme une cerise, saillant et volumineux, tandis que mes
mamelons sont particulièrement saillants, gros et longs tétons. Tout le monde
peut voir mon excitation sexuelle.
Au choix,
un chemisier sans bouton, une nuisette ou une guêpière seins nus qui dégage tes
fesses, sans aucun dessous bien sûr.
J’opte
pour la nuisette et mes mules à très hauts talons. Il me retire mes carcans de
cuir.
Je dois
faire un trajet en voiture d’un quart d’heure, assise, cuisses écartées, fesses
nues sur la banquette, puis à pied d’une demi-heure. Je reste comme la veille.
Je porte mon bijou d’anus, long de douze centimètres et six de diamètre, muni
d’un discret va-et-vient, avec un prépuce, me rappelant combien j’aime être
remplie et enculée par un vrai étalon. Le gland monte et descend à l’intérieur
de mon anus encore plus vite de haut en bas dans mon anus, tout en vibrant, par
à-coups et à intensité progressive. Je dois me retenir de jouir, mais ma chatte
est toute trempée, quand j’ouvre ma librairie.
De
discrètes caméras installées par le Baron lui permettent d’observer mon
comportement de soumise. Mes fesses zébrées interrogent mes clients habituels.
Certains
n’hésitent pas à m’enculer, à l’improviste. Je reçois dans mes colis habituels,
trois tomes du Baron : dressage, éducation anglaise et écrin ou œillet.
J’ai trois livres dédicacés par le Baron, à lire secrètement.
A midi, je
retourne au restaurant, où je déjeune seule, mais je continue mes sodomies aux
toilettes pour hommes.
En fin
d’après-midi, le Baron me présente aux jumeaux Donatien et Dan, deux superbes
étalons africains aux mandrins imposants : Donatien trente centimètres et
Dan vingt-cinq centimètres de long pour tous les deux sept de diamètre.
Je me fais
enculer par chacun, nue, dans ma librairie, offerte, à quatre pattes, les bras
tendus, les fesses bien rebondies, faisant claquer leurs testicules contre mes
fesses, qui sont magistralement fessées. Ils me saisissent à la taille, pour me
faire coulisser sur leur gros mandrin qui m’écartèle l’anus. Ils m’agrippent de
plus en plus fortement mes hanches. Tandis qu’un m’encule, je suce l’autre.
Je
m’empale sur chacun.
Je subis
ma double pénétration : Dan me prend dans ses bras, je l'entoure avec mes
jambes et me laisse baiser. Donatien m’encule, soutenant également une partie
de mon poids. Un double orgasme m’irradie, doublement inondée de leurs spermes.
Pantelante,
je les nettoie.
Je les
retrouve le soir à mon appartement, pour me faire fouetter, menottée à mon lit.
15 avril
A l’aube,
encore une nouvelle fois fouettée et enculée par de nouveaux inconnus, avec mes
carcans de cuir, je reçois la visite du Baron.
- Ma chère
Olympe, ton éducation et ta soumission n’ont pas encore le degré requis. Tu
dois rejoindre un lieu secret pour continuer ta transformation en une vraie
soumise docile. Mets ta guêpière, un boléro et une mini-jupe transparente et
tes mules, nous partons, fardons-toi aussi.
Je
m’exécute.
Habillée,
je monte seule dans la limousine, aux vitres teintées, assise cul nu. Elle est
conduite par un élégant chauffeur, un Africain noir. Je porte mon bijou d’anus
vibrant comme depuis le 11 avril et mon collier et mes bracelets en cuir.
Nous
quittons la ville par un chemin inconnu.
A
mi-chemin, le chauffeur, Hercules, ouvre la porte de la limousine.
Il me
retire mon boléro, ma jupe. Il me menotte dans le dos, me met un masque de nuit
avec un bâillon-pénis.
Aveuglée
et muette, je suis allongée sur le dos, mes mollets posés sur ses épaules,
cuisses écartées. Il sort son imposant mandrin, long de trente-deux centimètres
et sept de diamètre, libère mon anus trempé de spermes chauds.
Il
s’agenouille et il m’encule près d'une heure, sans qu'une seconde je me dérobe,
dans un silence absolu avec lequel Hercules m’encule, et laissant à peine
échapper, une plainte aiguë au moment du plaisir, va jusqu'à l'épuisement de
ses forces. La bouche libre, je suce le mandrin enfoncé jusqu'à la gorge que
chaque mouvement par lequel il heurte de ce bélier le fond de mon palais me
fait jaillir de nouvelles larmes.
- Ton
œillet est chaud, Olympe. Tu es une soumise docile.
Il me
remet le bijou d’anus en place et nous entrons dans un souterrain menant à une
grande allée.
On m'aide
à sortir de voiture, je monte quelques marches, puis franchis une ou deux
portes toujours à l'aveugle, je me retrouve seule, le masque de nuit et le bâillon-pénis
enlevés, debout dans une pièce avec un épais tapis par terre, mais sans un
meuble, tout entourée de placards.
Deux femmes
ouvrent la porte, deux femmes jeunes et jolies, vêtues avec de courtes jupes
légères, les pieds nus dans des mules à très hauts talons, des corselets serrés
qui font jaillir la poitrine et sont lacés ou agrafés par-devant et des manches
à demi longues. Les yeux et la bouche sont fardés. Elles ont un collier serré
autour du cou, des bracelets serrés autour des poignets.
Alors je
sais qu'elles me libèrent les mains
- On va te
baigner et te farder.
On m'a
donc mise nue, et on a rangé ses vêtements dans un des placards. On ne me pas
laisse me baigner seule, et on me coiffe, comme chez le coiffeur, en me faisant
asseoir dans un de ces grands fauteuils qui basculent quand on vous lave la
tête, et que l'on redresse pour vous mettre le séchoir, après la mise en plis.
Cela dure toujours au moins une heure. Cela a duré plus d'une heure en effet,
mais je suis assise sur ce fauteuil, nue, et il y a en face d'elle une grande
glace, du haut en bas de la paroi, que n'interrompt aucune tablette, je me
vois, ainsi ouverte, chaque fois que mon regard rencontre la glace. Je suis
empalée sur un vibromasseur anal, long de douze centimètres et six de diamètre,
muni d’un discret va-et-vient, avec un prépuce, me rappelant combien j’aime
être remplie et enculée par un vrai étalon. Le gland monte et descend à
l’intérieur de mon anus encore plus vite de haut en bas dans mon anus, tout en
vibrant, par à-coups et à intensité progressive.
Quand je
suis prête, et fardée, les paupières légèrement ombrées, la bouche très rouge,
la pointe et l'aréole des seins rosies, le bord des lèvres du ventre rougi, du
parfum longuement passé sur la fourrure des aisselles et du pubis, dans le
sillon entre les cuisses, dans le sillon sous les seins, et au creux des
paumes, je rejoins une pièce où un miroir à trois faces et un quatrième miroir
au mur permettent de me bien voir. Je m’assois sur le pouf au milieu des
miroirs, et d'attendre. Le pouf est couvert de fourrure, qui me pique un peu,
et il y a un tapis. J’ai des mules à très hauts talons aux pieds. Sur une des
parois du petit boudoir, il y a une grande fenêtre qui donne sur un beau parc.
Un homme
entre seul, vêtu d'une longue cape, le mandrin nu et libre, gainé, l’extenseur
de pénis ajoute instantanément quatre centimètres de longueur à son mandrin et
il compresse son mandrin en améliorant immédiatement sa rigidité tout en
restant très doux et très souple grâce à sa fabrication en silicone de dernière
génération. Il ajoute les quatre centimètres du gland à la longueur de son
mandrin.
C’est le
mandrin que je vois d'abord, à son premier pas, puis le fouet de lanières de
cuir passé à la ceinture, puis que l'homme est masqué par une cagoule, où un
réseau de tulle dissimule même les yeux - et enfin, qu'il avait des gants
aussi, et de fin chevreau.
-
Lève-toi, ma belle.
Il s'assoit
à ma place sur le pouf de fourrure, et me caresse les seins, aux mamelons
constamment tendus, me pelote gentiment les seins et fouille ma chatte trempée
et masturbe mon clitoris constamment tendu.
Il
s’allonge dans le lit et je viens m’allonger sur lui.
Je lèche,
suce, mordille son mandrin, ma langue lape son gland, titiller son frein, avant
de s’enrouler autour de ses testicules ! je lui lèche tendrement son anus, le
doigter, le détendre puis revenir à sa bite avant de repasser à son cul, il
stimule mon clitoris par sa bouche et ses doigts experts, me doigte l’anus
jusqu’à deux doigts. Je mouille de désir.
Il me met
à quatre pattes sur le pouf et m’encule profondément et je dois retarder mon
orgasme anal.
Je déjeune
seule, agenouillée, nue, cuisses écartées, empalée sur le vibromasseur anal,
retardant mon orgasme anal. Une main invisible me tend les plats par un
guichet.
Enfin, le
déjeuner fini, les deux femmes reviennent me chercher.
L’homme
seul revient aussi et m’encule sauvagement, prosternée, cuisses écartées, en
appui sur ses jambes, sans sa gaine. Je me retiens de jouir, l’anus rempli de
son sperme chaud.
Les deux
femmes fixent ensemble, derrière mon dos, les deux anneaux de mes bracelets.
Une femme avance devant moi et ouvre les portes, l'autre me suit et les
referme. Nous traversons un vestibule, deux salons, et pénétrons dans la
bibliothèque, où quatre hommes prennent le café. Ils portent des capes, le
mandrin nu et libre, bottés, sans masque.
Une
lampe-phare m’aveugle, on me remet le bandeau sur les yeux. Deux mains
fouillent simultanément ma chatte et mon anus. Je me retiens de jouir.
- Elle est
doublement ouverte, mais encore assez de l’œillet, très serré.
L’homme
m’encule sans répit, tandis qu’une main me prend un sein, une bouche saisit le mamelon constamment tendu de
l'autre.
Je bascule
à la renverse, cuisses écartées, on m’encule à nouveau. L’homme est couché sur
moi.
Je
retrouve ensuite agenouillée, cuisses écartées, fléchie un peu en arrière, à
demi assise sur les talons.
Mon buste
repose sur un pouf, toujours les mains au dos, et les fesses plus haut que le
torse, et les trois hommes bien montés m’enculent à tour de rôle, je me retiens
de jouir, suçant l’un après l’autre.
Puis un
quatrième sexe différent m’encule. C'est le nœud qui entre dans le rectum. Je
me détends. L'animal éjacule bien avant de s'attacher à moi et continue de le
faire jusqu'à ce qu'il soit capable de se retirer. Le sexe mesure dix-sept
centimètres et cinq de diamètre.
Une fois
retiré, je dois le sucer.
Je reste
captive, cuisses écartées, à nouveau enculée, allongée sur le dos, suçant à
nouveau.
Je
recouvre la vue et je vois un superbe berger allemand, le sexe encore en
érection.
- C’est
Adam qui t’a enculée, ma belle, pour ta première saillie anale canine, dit l’un
d’eux.
Adam vient
lécher ma chatte et mon clitoris constamment tendus. Je tente de résister à l’orgasme
décuplé.
La grande
pièce avec des glaces et des miroirs sur les murs, les portes-fenêtres ouvrent
à l'ouest, et il y a une commode.
Deux des
hommes sont debout. Un autre est assis, une cravache sur les genoux, et le
quatrième caresse le sein, tandis que je suis empalée jusqu’aux testicules,
enculée, cuisses écartées. Il caresse aussi mes reins, mes fesses, mon cou, mes
épaules et mon dos. Mais tous quatre m’ont enculée.
- Ici, tu
vois les visages de ceux qui te violent ou te tourmentent. Que lorsqu'on te
fouette, c’est pareil, sauf qu'on veut que tu te vois fouettée, qu'une première
fois tu n’as donc pas de bandeau, mais qu'eux mettent leurs masques, et que je
ne les distingue plus.
On caresse
mes cuisses avec une cravache, la garcette, aux nœuds raides, trempés dans
l’eau, que l’on caresse sur mon ventre et sur l’intérieur de mes cuisses. Je
sens les cordes qui sont humides et froides sur la peau tendre de l'intérieur.
- Mets-la
en position de soumission totale. Les fesses bien tendues, elle sera plus
facile à fouetter.
Je subis
la cravache, la garcette en alternance, sur les fesses et les cuisses, enculée
par un des hommes, munie d’une gaine à picots, qui me font mal à l’anus
sollicité par les va-et-vient. Je me retiens de jouir.
Elle aime
ça, être fouettée, dit l’homme. La cravache est mieux adaptée.
Entre deux
pauses, celui le mieux monté, avec sa gaine, m’écarte mes fesses brûlantes et
m’encule vigoureusement, faisant claquer ses testicules contre mes fesses.
- Il faut
lui élargir l’œillet. Adam l’a partiellement ouverte.
- Le
vibromasseur Atlas lui sera inséré.
Je suis
chancelante et presque évanouie, mais je dois me prosterner pour le recevoir.
Je
découvre le vibromasseur canin Atlas, du même calibre qu’Adam, un des hommes
m’écarte bien les fesses.
Il
attache, à trois petits trous percés dans la base, trois chaînettes qu'il
laisse pendantes. Je gémis lors de son introduction et pousse. Il est en
érection et doté de puissants va-et-vient me rappelant combien j’aime être
enculée à tout moment.
Il se
plaça derrière Y, pointa l'organe minéral au centre de ses reins, et poussa.
Je me
relève, on attache une étroite ceinture autour de ma taille, et l'on y accroche
les trois chaînettes, une par derrière qui suit le sillon des fesses, et les
deux autres par-devant, qui longent le pli des aines en contournant le triangle
pubien. On les ajuste au plus court :
- Ainsi
ton œillet sera forcé et distendu et cadenassé, tu ne peux te soulager de ce
vibromasseur.
On me
présente un corset très baleiné, et rigoureusement serré à la taille, et une
longue robe à jupe assez courte dont le corsage laisse les seins, remontés, par
le corset, dénudés.
Je porte
juste le corset, qui est fixé à l’étroite ceinture de cuir. Mon bassin ondule
sur les va-et-vient du vibromasseur canin.
- Tu es
ici au service de tes maîtres. Dès l’instant que tu te prêtes, au milieu de tes
corvées, tu abandonnes tes mains, tes seins, ta chatte et ton œillet qui sont
fouillés. Tu ne peux te dérober, les lèvres entrouvertes, les cuisses toujours
écartées, laissant libre à ta bouche, ta chatte et ton oeillet. En soulevant ta
jupe, tu t’offres à celui qui te prend. Tu es fouettée qu'entre le coucher et
le lever du soleil et le soir pour manquement à la règle dans la journée :
c'est-à-dire pour avoir manqué de complaisance, ou levé les yeux sur celui qui
te parle ou te prend : tu dois fixé nos mandrins uniquement à découvert, que tu
suces. En outre, à la nuit, tu suces, les cuisses écartées, les mains liées au
dos, et nue ; tu es fouettée les yeux bandés. Tu es fouettée chaque jour, ton
instruction. Tu es contrainte. A ta sortie, tu portes un anneau de fer à
l'annulaire, qui te fais reconnaître : tu es constamment nue sous tes tenues.
Ceux qui te trouvent indocile te ramènent ici. On va te conduire dans ta cellule.
»
Je me
lève, marche avec mes mules à semelles surélevées et très hauts talons qu'une
bande de satin épais, empêche seule d'échapper au pied.
Agenouillée,
je dois sucer les quatre hommes et Adam, soumise.
Ma bouche
refermée et resserrée sur le mandrin que j’ai saisi, et le long duquel je monte
et descend, mon visage défait qui s'inonde de larmes chaque fois que le mandrin
gonflé me frappe jusqu'au fond de la gorge, repoussant la langue et m’arrachant
une nausée. Chacun éjacule dans ma bouche et j’avale tout.
Les mules
claquent sur les carrelages des couloirs, où des portes se succèdent, discrètes
et propres, avec des serrures minuscules
- Tu es
dans l'aile rouge, et ton valet s'appelle Horace.
- Quel
valet ? dis-je saisie par la douceur de la voix, et comment t’appelles-tu
?
- Je
m'appelle Anale Doberman.
- Et moi
Justine Danoise », dit la seconde.
La
première reprend : « C'est le valet qui a les clefs, qui t’attache et te
détache, te fouette quand tu es punie et quand on n'a pas de temps pour toi.
- J'ai été
dans l'aile rouge l'année dernière, dit Justine Danoise, Horace y était déjà.
Il vient souvent la nuit ; les valets ont les clefs et dans les chambres qui
font partie de leur section, ils ont le droit de se servir de nous.
Horace,
vêtu d’une cape, un colosse musclé, avec un mandrin imposant, long de
trente-deux centimètres et sept de diamètre, botté.
Lui aussi
porte à la ceinture un fouet à lanière de cuir.
- Approche
ma belle que je te prenne.
Sans
prévenir, je me retrouve offerte sur la banquette, les cuisses grandes
ouvertes, l’anus libre du vibromasseur. Il me tient par les chevilles pour
mieux m’ouvrir. Il me saisit les deux mains. Il fait glisser l'un dans l'autre
les deux anneaux de mes bracelets, ce qui me joint étroitement les poignets, et
ces deux anneaux dans l'anneau du collier. Je me trouve donc les mains jointes
à la hauteur du cou.
Il me
soulève les reins et m’encule sauvagement, entrant et sortant. Je dois retarder
mon orgasme anal. Il éjacule en moi et me remet le vibromasseur canin en place.
- L’Atlas
va bien forcer et élargir ton œillet de vierge.
Il sort un
passe de sa poche de gilet, ouvre la porte et fait entrer les trois femmes. Il
reste avec nous. Il me libère mes bracelets de mon collier.
La cellule
est toute petite, et comporte en réalité deux pièces. La porte qui donne sur le
couloir refermée, on se trouve dans une antichambre, qui ouvrait sur la cellule
proprement dite ; sur la même paroi ouvre, de la chambre, une autre porte, sur
une salle de bains.
En face
des portes il y a la fenêtre.
Il y a un
chevalet et des chaînes suspendues au plafond par des crochets. Les murs sont
recouverts de glaces, il y a un tapis.
- Tu dois
prendre ton bain, dit Justine Danoise. Je vais défaire ton corset. Tu dois
garder la ceinture et le vibromasseur canin.
Je dois
m’accroupir nue dans la baignoire transparente, après montée des marches.
Accroupie,
cuisses écartées, je suis menottée, les bras tendus en l’air. Les yeux baissés,
la bouche entrouverte, je suis sous le regard d’Horace, qui caresse mes seins
aux mamelons tendus, ainsi que mon clitoris tendu à l’extrême, ma chatte est
toute trempée.
- C’est
une jouisseuse anale, soumise Olympe. Regarde les ondulations du bassin. Elle
est toute humide.
Après le
départ d’Anale Doberman et Justine Danoise, je reste debout au pied du lit,
interdite. A la réserve du collier et des bracelets, de la ceinture de cuir,
que l'eau a durcis quand je me suis baignée, et qui me serrent davantage, je
suis nue.
Menottée
au chevalet, le postérieur plus haut que la tête. Mes bras sont fixés le long
des pieds avants, mes jambes le long des pieds arrières, et une large sangle
m'est passée au niveau de la taille. Mes cuisses, légèrement fléchies sont
empêchées de se resserrer par la largeur de la poutre, ainsi d'ailleurs mes
fesses que je me peux refermer. Toute mon intimité est ainsi très accessible.
Il me retire le vibromasseur anal et me doigte l’anus jusqu’à trois doigts. Je
gémis un peu.
Les
bergers allemands sont tes initiateurs, puis les doberman avec trente-deux
centimètres de long et quatre de diamètre, et enfin les danois avec vingt
centimètres de long et six de diamètre pour parfaire ton œillet de soumise.
Laisse-moi t’enculer un peu, avant tes amants canins.
Sans mes
mains immobilisées, je dois m’abandonner à Horace. Il éjacule encore dans mon
anus débordant de spermes. Je suis pantelante.
Endormie,
je suis enculée par Adam, puis Conan et Balzac, entre une bonne demi-heure à
trois quart d’heure, avec éjaculation. Je dois sucer chacun d’eux.
Vers midi,
les dobermans Apollo, Hannibal et Hadès prennent le relais. Je suis nourrie sur
le chevalet.
Horace me
fait sucer son mandrin, tout en cravachant mes fesses, puis mes cuisses, dans
une position, accroupie, cuisses écartées, les bras tendus à l’air, à des
chaînes. Le vibromasseur est remis en place.
Puis je
retourne au chevalet, livrée aux bergers allemands et aux dobermans.
A la
tombée du jour, je suis conduite dans la salle aux miroirs, pour me faire
enculer par des inconnus avec leurs chiens.
16 avril
A mon
retour avant l’aube, je suis cravachée sur le chevalet et menottée les bras en
l’air, avec le vibromasseur Atlas en place, pour me préparer.
Devant la
fenêtre, il y a une pelouse, au bout de la pelouse une allée. Il fait grand
jour et depuis longtemps je ne bouge plus. Les balafres ont gonflées, et
forment des bourrelets étroits.
Aucune
femme n'a les clefs, ni celles des portes, ni celles des chaînes, ni celles des
bracelets et des colliers, mais tous les hommes portent à un anneau les trois
sortes de clefs qui, chacune dans leur genre, ouvrent toutes les portes, ou
tous les cadenas, ou tous les colliers.
Les valets
les ont aussi. Mais, au matin, les valets qui ont été de service la nuit
dorment, et c'est l'un des maîtres ou un autre valet qui vient ouvrir les
serrures. L'homme qui entre dans ma cellule est habillé d'une cape, et bottes.
Il est musclé.
Il regarde
attentivement la marque que j’ai devant les cuisses, il me passe la main entre
les jambes. Il me caresse le clitoris tendu à l’extrême, par le vent frais de
la porte-fenêtre ouverte. Puis il caresse mes fesses zébrées, celles au dos des
cuisses.
L’homme
s’assoit sur la banquette, me retire le vibromasseur canin. Je dois m’empaler,
enculée jusqu’aux testicules, les mains accrochées à son cou, les mollets posés
sur ses épaules. Maintenue sous les reins, il me fait coulisser. Je dois
retarder mon orgasme anal jusqu’à son éjaculation.
Il me
menotte au chevalet pour de nouvelles saillies anales canines.
Désormais,
huit jours durant, entre mon lever et le repas de midi, puis entre la tombée du
jour où finit mon service et l'heure de la nuit, dix heures généralement, où on
m'y ramène enchaînée, nue, et tendu, je porte fixé au centre de ses reins un de
ces vibromasseurs qui m'écartèlent, et chaque jour davantage, prosternée, pour
que je porte un vibromasseur plus épais, allant jusqu’à vingt centimètres de
long et six de diamètre.
Au repas
du soir, au réfectoire, après leur bain, nues et parfumées, je le porte encore,
et du fait des chaînettes et de la ceinture, tout le monde peut voir que je le
porte.
On me
retire, les mains enchaînées dans le dos, pour me faire saillir par d’autres
chiens similaires et d’autres inconnus.
23 avril
Aucun
vibromasseur canin n’est plus nécessaire, car mon œillet est bien ouvert.
C’est
l’après-midi, le Baron me retrouve nue dans ma chambre, menottée au chevalet.
Je viens de subir ma quinzième saillie anale par un danois. Mon anus dégouline
de spermes canins.
Détachée,
Justine Danoise me baigne. Elle me brosse les cheveux, je me parfume, Justine
Danoise sort.
- Ecarte tes fesses, voici ton nouveau bijou d’anus.
Il est
moulé sur le devant du sexe du Danois Lancelot.
Dans ma
cellule, je retrouve ma guêpière, mon boléro et une mini-jupe transparente et
mes mules.
Je baisse
les yeux, la bouche entrouverte, ressentant le plaisir de me savoir enculée par
Lancelot.
Un des
hommes me défait le collier et les bracelets qui me tient captive.
Je mets ma
bague sertie d’un petit anneau à l’annulaire gauche.
Désormais,
mes mamelons et mon clitoris sont constamment tendus vingt-quatre heures sur
vingt-quatre.
Je mets ma
guêpière que me lace étroitement le Baron, tout en examinant mes reins et mes
fesses.
Je mets
mon boléro et ma mini-jupe et glisse mes pieds nus dans mes mules.
Hercules m’attend
et m’encule sur le champ, jupe relevée, l’anus libre, me conduisant à un nouvel
orgasme anal.
Il me
remet le bijou d’anus en place.
Nous
quittons par une autre sortie secrète.
Je ne loge
plus dans mon appartement, mais dans une luxueuse villa, éloignée du
centre-ville, sans rideaux, pour que je m’offre aux voyeurs, nue.
Le Baron
m’a offert le Danois Romulus, pour mes saillies anales quotidiennes.
L’anus
libre, Romulus m’encule sur le champ pendant trois quart d’heure. J’explose
dans de violents et bruyants orgasmes anaux, l’anus rempli par ses jets de
spermes chauds.
A la
tombée du jour, je suis menottée à mon lit, allongée sur le ventre, écartelée,
pour être fouettée par Hercules et enculée par Romulus. Je m’autorise des
orgasmes anaux refoulés depuis huit jours.
Des
inconnus viennent me fouetter aussi pendant la nuit.
24 avril
A l’aube,
j’émerge, en sueur, l’anus bien rempli du sperme de Romulus. Je prends une
douche froide, sans me masturber.
Le
téléphone sonne. Je décroche :
- Chienne
soumise Olympe, désormais sera ton nom, tu ne réponds qu’à ce nom. Tu as aimé
être fouettée hier soir. Tu vas travailler dans ta nouvelle librairie, au coin
de la rue. Des caméras t’observent, pour guetter tes moindres désirs et envies
de plaisir. Tu portes juste ton boléro et ta mini jupe sera de plus en plus
courte et de plus en plus fine chaque jour, dans ta garde-robe. Tu n’as pas
besoin de décolleté, le boléro suffit à couvrir tes seins nus et tes mules à
hauts talons. Choisis le bijou d’anus le plus large.
Le boléro
est fermé au cou. Il suffit d'enlever le boléro pour que les épaules et les
seins soient nus, et sans même enlever le boléro, de l'ouvrir, si l'on désire
voir les seins aux mamelons constamment tendus. Je porte mon collier en cuir,
en signe de reconnaissance, en plus de ma bague. Je suis fardée et parfumée.
Je choisis
un bijou d’anus de trente centimètres et sept de diamètre, moulé sur le devant
du sexe de Romulus, muni d’un discret va-et-vient.
Je me
rends à pied à ma nouvelle librairie, au fond d’une discrète cour, reliée à un
sex-shop.
Les
clients me prennent pour une prostituée. Entre deux rangements, souvent un,
deux voir trois clients viennent m’enculer, sans que je leur demande, alternant
avec leurs films. Je suis fessée magistralement et je dois tout avaler, sans
jouir. Le Baron m’observe à l’improviste, avec une liasse de billets.
- Tu es
très rentable. Je sais que tu es facile. Tu as envie de tous les hommes qui te
désirent.
Les fesses
brûlantes, je suis cravachée, à quatre pattes, nue, sur le tapis, devant des
clients voyeurs, qui éjaculent sur mes fesses.
Je ne
compte plus mes sodomies violentes, avec entrée et sortie de mon anus
dégoulinant de spermes chauds.
L’après-midi,
je ferme la librairie pour m’offrir à Romulus, nue dans ma villa. Le Baron m’a
confié sa soubrette Val. Val est une superbe brune aux yeux bleus, avec de
petits seins et sous son tablier, se cache un imposant mandrin de vingt-deux
centimètres et sept de diamètre, avec ses testicules rasés et percés d’anneaux
dorés. Val porte des mules à hauts talons, et tient toujours sa cravache.
Val
m’encule avant ou après Romulus. Toutes les situations sont bonnes, pour
m’enculer, me cravacher et me fesser. Je me retiens de jouir, malgré les
ondulations de mon bassin.
Je nettoie
Val et Romulus.
Pour me
punir, Val me fait me mettre ma ceinture de chasteté, restreignant l’accès à ma
chatte par une fente de sept centimètres de long (sur une largeur maximale d’un
centimètre) qui me permet, mon clitoris constamment et les petites lèvres sont
étirés à travers la fente étroite. La ceinture comporte un orifice anal pour
que je puisse aller aux toilettes. Val y insère des boules de geisha ou des
godes ou des vibromasseurs dans mon anus ou son mandrin, selon ses envies. La
ceinture est confortable, elle est verrouillée par un cadenas livré. Je dois la
garder une ou plusieurs jours.
A la
librairie, je dois m’exhiber avec ma ceinture de chasteté, me laissant enculer
par le premier venu. Tous tentent de me libérer de cette contrainte. J’éprouve
à la fois un sentiment de honte et de fierté à porter en permanence cette
ceinture de chasteté. Je sais que le Baron me porte de l'attention. Je suis
dépendante et humiliée.
Dès que le
Baron me la retire, c’est pour passer de longues heures à me baiser, dans de longs
orgasmes que je lui offre.
Le plus
souvent, il s’allonge sur le dos, tête-bêche, me baise jusqu’à la garde, ainsi
Romulus ou Val peuvent m’enculer simultanément pour un double plaisir. Mes
orgasmes sont décuplés.
Pour
finir, enculée par le Baron, nous sommes allongés sur le côté, jambes
légèrement repliées, le Baron est dans mon dos. La sodomie est longue et lente,
il me caresse les seins aux mamelons constamment tendus, le ventre, la chatte,
mon clitoris constamment tendu. J’ajuste mon bassin en face du mandrin. Il
m’embrasse langoureusement dans de longs baisers profonds. Lorsqu’il est prêt,
je tends ma croupe brûlante par ses fessées magistrales vers son ventre, pour
le recevoir davantage, écartelée.
- Romulus
t’a encore bien ouverte, aujourd’hui.
- Oh oui,
donne-moi ton sperme dans mon puits de chienne.
Après son
retrait, Val m’encule dans la même position et je connais un violent orgasme
anal que j’ai retenu pour le Baron, me valant une bonne correction à la
cravache par Val.
2 mai
Vers 14
heures, alors que je suis à ma librairie, nue, avec ma ceinture de chasteté,
enculée par un habitué du sex-shop, le téléphone sonne. En plein râle,
j’entends :
- Chienne
Soumise Olympe, un colis t’attends à la villa. Ferme la librairie pour quelques
jours. Mets le vibromasseur anal Marquis sous ta robe, tu gardes ta ceinture de
chasteté. Prends une douche froide, fais ton lavement, farde et parfume-toi,
avant de t’habiller et mets tes plus belles mules dorées à hauts talons.
L’habitué
éjacule longuement en moi. Je le nettoie, mets mon bijou d’anus Romulus. Je
revêts mon boléro, ma mini-jupe encore un peu plus courte que les jours
antérieurs et plus fine.
Je rejoins
la villa et je découvre nue, dans ma chambre. Val qui m’a ouvert le colis.
La robe
est un modèle dos nu, fendu au niveau des mamelons et au niveau du pubis
discrètement, entièrement blanche transparent, laissant deviner mes mamelons,
mon pubis brun par un nouveau modèle de ceinture de chasteté, en cuir, mais
interdisant toute pénétration de ma chatte très humide. Val cadenasse ma
ceinture de chasteté. Je me douche à l’eau froide, décuplant la tension
maximale de mes mamelons et durcissant le cuir de ma ceinture de chasteté. Je
me farde la bouche, les paupières, les mamelons, me parfume trois fois avec un
vaporisateur qui le projetait en brume épaisse. Sur ma peau, la brume fond et
coule, sur mes aisselles lisses, mes poils pubiens, se fixe en gouttelettes
minuscules. Je laisse à chaque fois le parfum sécher sur moi.
Val me
brosse les cheveux et mes poils pubiens. J’enfile ma robe. L’effet est
osé : ma nudité et ma ceinture de chasteté sont bien visibles, ainsi que
les récentes marques des coups de cravache de Val.
Je glisse
mes pieds nus dans mes mules dorées à très hauts talons, ma silhouette est plus
élancée, mes chevilles et mes mollets sont tendus, cela me fait des jambes
superbes.
Hercules
et le Baron viennent me chercher. Je relève la jupe de ma robe, pour exhiber ma
ceinture de chasteté et mon anus rempli par le vibromasseur anal Marquis,
similaire à celui de Romulus, doté d’un puissant va-et-vient qui étire ou
contracte suivant les montées du vibromasseur, tel un chien qui me saillit. Je
ne reste pas insensible à ce plaisir décuplé.
Nous
prenons la limousine, conduite par Hercules. Les yeux recouverts par mon masque
de nuit, la bouche bâillonnée par un bâillon-pénis canin, assise cuisses
écartées, fesses nues sur la banquette arrière, je m’abandonne aux caresses de
mes seins, au pincement de mes mamelons constamment tendus.
Après un
long trajet à l’aveugle, la limousine s’arrête devant un portail qui s’ouvre.
J’entends des chiens aboyer, alertés par mon odeur de chienne soumise.
Le Baron
me fait retirer ma robe. Je sens l’air frais sur mes mamelons constamment
tendus, décuplant mon excitation.
Je suis
tenue en laisse par un anneau dans ma ceinture de chasteté. Je dois marcher
derrière un des maîtres-chiens.
Lors du
trajet qui dure un quart d’heure, on marque une pause. Je dois me prosterner,
cuisses écartées.
-
Aime-t-elle se faire saillir, votre Chienne Soumise Olympe, Sir ?
- Bien
sûr, son œillet est prêt à recevoir jusqu’au sexe d’un Danois.
On me
retire le vibromasseur, mon anus est bien écartelé et humide.
Sans
attendre, un berger allemand, prénommé Conan, un doberman, prénommé Hadès et un
Danois, Olaf, m’enculent jusqu’au nœud entre une demi-heure à trois quart
d’heure. Je connais de multiples orgasme anaux, l’anus dégoulinant de spermes
chauds, l’anus léché par mes amants canins.
Bien sûr,
pantelante, je dois subir l’assaut de leurs maîtres-chiens aux mandrins
imposants de trente centimètres et sept de diamètre, qui éjaculent ensuite.
On me
remet le vibromasseur en place. Pour faire les derniers mètres, le Baron me
tient par la taille. Je réponds par l’affirmative, au plaisir que j’ai reçu, en
bougeant la tête.
Je franchis des marches menant à une entrée puis à un grand salon, où
j’entends des râles de plaisir. On me retire mon masque de nuit et mon
bâillon-pénis. Je baisse les yeux et garde la bouche entrouverte.
Des jeunes
femmes intégralement épilées, marquées au fer rouge, tatouées, se font enculer,
certaines en double anale, par des hommes nus et masqués.
Puis je
découvre devant moi, un imposant mandrin de trente-six centimètres et six de
diamètre, nu.
- Voici la
fameuse Chienne Soumise Olympe, cher Baron, elle ne connaît pas le Marquis
Donatien des Bijoux des Sévices. Elle n’est pas encore ferrée. Ses grandes
lèvres sont prêtes pour ses anneaux d’ici quelques jours. Son corps de rêve me
ravit. Elle ne connaît pas l’éditeur Sacha Baiseur de Milles Désirs, dont son
épouse Chienne Soumise Aimée est mienne depuis deux ans.
Aimée
m’est présentée. Elle est brune avec des petits seins aux mamelons tendus
percés de gros anneaux dorés, auxquels sont suspendus une chaîne constituée de
plusieurs pierres précieuses, qui étirent ses mamelons et ses seins vers le
bas, ses grandes lèvres sont aussi percées de petits anneaux dorés, fermés par
de petits cadenas, la rendant chaste, comme moi. Chaque cadenas est en fait un
poids, qui étire les grandes lèvres. Son pubis et sa chatte sont totalement
lisses. Elle porte sur le pubis, un sexe canin tatoué à l’encre noire, sur ses
fesses, sur la fesse gauche, le fouet et la cravache entrecroisés et sur
l’autre, les lettres ACS et DB entrelacés, le tout marqué au fer rouge. Elle
porte sur l’épaule gauche, un cœur avec les lettres ACS SBMD entrelacés marqués
au fer rouge.
- Olympe,
tu vas faire l’amour avec Hermine devant nous.
On me
retire le vibromasseur anal Marquis, exhibant mon anus rougi et écartelé,
dégoulinant de spermes.
Dans un
69, je m’allonge tête-bêche au-dessus d’Aimée, nous léchons nos anus, que nous
doigtons. Je peux caresser le gros clitoris percé d’un anneau avec une pierre
précieuse. Hermine me doigte longuement l’anus, jusqu’à mon orgasme, que je
partage en sa compagnie.
Aimée
retire ses doigts pour que le Marquis m’encule jusqu’aux testicules, sans
jouir. Je résiste, puis les autres invités se relaient pour m’enculer. Je me
retiens à chaque fois, la bouche remplie de leurs spermes chauds.
Pantelante,
le bijou d’anus remis en place, Aimée me conduit à notre cellule commune.
Je porte
mon collier et mes bracelets aux poignets et aux chevilles, en fer. Ils sont de
fer inoxydable, articulés et à demi rigides, sont larges de près de deux doigts
et avaient chacun un anneau de même métal. Mon collier entoure exactement le
cou dans son milieu, sans le serrer mais suffisamment pour qu'il soit difficile
de le faire tourner, et plus difficile encore d'y glisser un doigt entre la
peau et le métal. De même, à mes poignets et à mes chevilles, juste au-dessus
de l'articulation qui était laissée libre, les bracelets. Je dois les garder
constamment.
Le Baron
me retire ma ceinture de chasteté et me pose des pinces à mes grandes lèvres,
des clochettes en métal fixée par une pince s'anime au moindre mouvement,
émettant un tintement cristallin. Il m’annonce :
- Tu vas
aussi en porter à tes mamelons constamment tendus, pour te suivre.
Je me
glisse dans la baignoire transparente, accroupie, cuisses écartées, bras tendus
en l’air, menottée à un crochet, par un des valets cagoulés, entièrement nu,
bien monté.
Il me
baigne, il savonne tout le corps et me douche à l’eau tiède et prolongée
accompagnée du balayage soigneux d'une énorme éponge sur laquelle je me frotte
plusieurs fois. Lorsque l'éponge passe entre mes cuisses ou sur mes seins, je
garde les yeux baissés. Mes clochettes tintent dans l’eau.
Une fois
propre, l’anus libre, je dois faire mon lavement, assise sur un bidet, à l’eau
froide par une canule. Les clochettes tintent entre mes cuisses humides.
Le valet
m’encule longuement jusqu’à l’éjaculation, tandis que je me retiens de jouir.
Il éjacule dans ma bouche.
Il me
cravache, menottée, prosternée sur le lit, sur les fesses, les cuisses et les
reins et sur le dos.
Une fois
cravachée, je rejoins les autres soumises au réfectoire.
Le sol est
dallé, une table longue en verre épais, pour que les valets voient ce que les
soumises peuvent faire par-dessous, et chacune a pour siège un tabouret rond
recouvert de cuir. Au contact du cuir lisse et froid sous mes cuisses, je
redécouvrir le plaisir de m’asseoir fesses nues.
Le valet
de permanence, cagoulé, nu, botté, me toise.
- Voici la
fameuse Chienne Soumise Olympe, l’amante des Danois, qui l’encule jusqu’au
nœud. Tu es très belle.
Les yeux
baissés, je mange. Je suis juste interrompue par la caresse de mes seins aux
mamelons tendus à l’extrême, par le vent frais.
Il me pose
des pinces à clochettes qui enserrent mes mamelons tendus avec de minuscules
rangées de dents minuscules en métal, pour me faire gémir.
Cuisses
écartées, mon clitoris tendu à l’extrême est caressé, déclenchant des
ondulations de mon bassin et faisant tinter les clochettes de mes mamelons et
de mes grandes lèvres.
Puis il me
fait pencher en avant, étirant davantage mes mamelons pincés, laissant bien
tomber les seins sous le poids des pinces ensuite le sang cesse de circuler, le
mamelon devient froid et là je ne sens plus rien, tandis qu’il m’encule
jusqu’aux testicules.
Il éjacule
dans ma bouche, je le nettoie.
Pendant la
journée, en compagnie d’Aimée, je me fais enculer à de nombreuses reprises par
les amants canins jusqu’au nœud, suçant les maîtres-chiens, dans les jardins.
En fin
d’après-midi, un superbe valet cagoulé, botté, me conduit par un petit pont,
tenue en laisse par mon collier, les mains jointes à mon cou, les yeux bandés,
nue, avec mon vibromasseur Marquis.
Il me
retire le bandeau et je découvre, vingt étalons étaient divisés en deux
rangées, une sur chaque mur. Là encore un dispositif spécial est disposé sous
leur ventre et une jeune femme attend, courbée en deux et entravées chevilles
et poignets, l'instant de la saillie anale. Elles sont enculées jusqu'à
l'éjaculation. Le sperme est alors recueilli dans une grande bassine posée sous
les fesses de la jeune femme. Pendant la phase de sodomie forcée, les valets en
profitent pour baiser les bouches des jeunes soumises, maintenues ouvertes par
des écarteurs buccaux et ils y déversent généralement leur sperme.
Je prends
place. Le valet me retire le vibromasseur anal, me doigte l’anus déjà dilaté et il déclare
Une
chienne soumise qui est aussi ouverte pour se faire enculer par un cheval, mais
tu sauras apprécier cette monstrueuse sodomie!
Une fois
l’anus bien lubrifié par ma mouille abondante et les doigts experts pour me pour
bien le lubrifier. Positionnant le gland du membre en érection sur ma rondelle,
il commence à pousser. Le sphincter cède. Je suis enculée sur trente de
quatre-vingt centimètres de long et onze de diamètre. Mon anus se dilatant,
habitué, j’hurle maintenant de plaisir. Les valets me font sucer jusqu’à
l’éjaculation en bouche. Je connais un violent orgasme anal.
Dès qu’on
me retire le sexe, mon anus est rougi complètement distendu et boursouflé ce
qui libère un flot de sperme.
Après
Sultan, j’ai droit à Alizé, un autre pur-sang arabe, pour une seconde saillie
anale équine et enfin, Zéphyr des Haies, un trotteur français.
Je suis
épuisée, quand je retourne à ma chambre. J’ai droit à un long lavement et je
passe la nuit, menottée, cuisses écartées, nue, l’anus libre, enculée et
fouettée, prosternée à toute heure, par des inconnus.
Des fois,
des amants canins viennent me faire jouir, enculée.
2 juin
Mon corps
s’est transformé, mon anus reste en partie ouvert, par mes multiples saillies
anales canines et équines. Je porte désormais à ma chatte entièrement épilée,
des anneaux dorés à chacune de mes grandes lèvres, pour me rendre chaste. Je
garde ma toison pubienne.
Le Baron
assiste à la pose de mes anneaux dorés. Je suis suspendue dans le vide, les
cuisses complètement ouvertes, les bras tendus en l’air, nue.
Après la
pose, on me marque juste au-dessus de mon pubis, à l’encre noire, OCS 696 et je
reçois dans l’intérieur de ma chatte, la marque au fer rouge, OCS 696. Je perds
connaissance.
Des
dizaines d’hommes cagoulés m’enculent jusqu’à l’épuisement, toujours suspendue
aux crochets. J’avale leurs spermes.
Remise de
la pose de mes anneaux, je regarde mon gros clitoris qui porte aussi un anneau
doré avec une pierre précieuse. Je suis fière de mes marques.
Mon
éducation n’est pas encore achevée.
Le Baron
me réserve d’autres plaisirs.
- Ma chère
Chienne Soumise Olympe, tu vas quitter le « Haras des Sévices » pour
un nouveau lieu. Remets ta guêpière et ta jupe éventail, ton boléro, tes mules.
Farde-toi et parfume-toi.
On me
retire mes carcans en fer.
Je porte
toujours mon bijou d’anus Marquis.
La
limousine conduite par Hercules quitte le parc du haras, où j’ai marché, tenue
en laisse, pour une grille ouverte. J’apprends que je me trouve dans un domaine
privé, appartenant à une riche famille d’éleveurs d’étalons de course, renommé.
Après une
longue heure de route, les yeux bandés, avec mon bâillon-pénis, la limousine
marque une halte.
On me
déchausse. Je monte à bord d’un yacht.
Je reste
debout, nue, les mamelons et le clitoris tendus à l’extrême par le vent frais
sur le pont arrière.
Des mains
caressent mon corps, pelote mes seins, me masturbent mon clitoris. Je me
retiens de jouir.
Après une
longue traversée, je suis invitée à monter à bord d’un hélicoptère Dauphin, sur
la plate-forme aménagée. Je suis assise, cuisses écartées.
Nous
atterrissons sur une plage. Je sens le sable chaud sous mes pieds nus, puis des
marches en pierre, jusqu’à un palier.
Je suis
sauvagement enculée, l’anus libre. Je me retiens de jouir.
On me retient
le bandeau et je découvre une luxueuse villa avec piscine. Des hommes
soubrettes m’accueillent. Je baisse les yeux.
Une des
voix masculines m’informe :
- Chienne
Soumise Olympe, tu seras la prostituée de mes invités triés sur le volet.
Aucune relation sexuelle avec le personnel, sauf sur ordre. Tu seras nue tout
le temps, prête à te donner, sans te dérober. Ta chatte sera cadenassée pendant
ton séjour et ne seras utilisée que pour assurer une descendance au Baron. Tu
es bien sûr fouettée comme il se doit, lors de tes fautes. Tu feras perdre la
virginité à de jeunes garçons, avant qu’ils t’enculent. Dès aujourd’hui, tu
seras intégralement épilée, pour être plus désirable.
Aussitôt,
je reçois un cadenas léger qui me rend la chatte chaste.
Je
découvre ma chambre que je partage avec des chiens qui peuvent me saillir à
n’importe quel moment de la journée.
L’après-midi,
je suis présentée, intégralement épilée, les yeux baissés, la bouche
entrouverte, à des invités, qui me caressent, me pelotent les seins, masturbent
mon clitoris, me doigtent l’anus. Je dois me retenir de toute jouissance sans
aucune autorisation sous peine de sanctions.
Je passe
de longues heures, enculée dans diverses positions, suçant les autres invités.
L’un d’eux
me fait allonger sur le dos, il se met tête-bêche et m’encule, tandis que je
dois relever mes jambes écartées et le subir, avec son gros mandrin qui
m’écartèle l’anus. Il éjacule en moi.
Un second,
profitant de ma position, m’invite à fléchir mes jambes au maximum sur mon
buste, pour me faire enculer. J’ai un peu mal, il m’encule tête-bêche, jusqu’à
l’éjaculation.
Un
troisième s’allonge sur le dos, cuisses écartées. Je dois m’empaler, dos à lui,
enculée, assise sur ses cuisses, cuisses contre cuisses, je sens ses testicules
contre mes fesses brûlantes de quelques fessés magistrales. Je reçois ses
profonds jets de spermes dans mon anus écartelé par son gros mandrin.
Un
quatrième, allongé sur une chaise longue, m’invite à m’empaler, sur lui, de
face, enculée, ma jambe droite à l’extérieur de la chaise longue. Il immobilise
ma cuisse droite pour me faire subir les mouvements de son bassin. Mes seins
qui se balancent l’excite tout comme mon orgasme anal violent et son
éjaculation.
Un
cinquième, dans un face-à-face, cuisses écartées tous les deux, enculée
jusqu’aux testicules, je le subis jusqu’à son éjaculation.
Pantelante,
je me douche en leur compagnie, livrée à leurs caresses, à de violentes
sodomies. Je les guide vers le désir. Je les suce pour de nouvelles sodomies
plus violentes et plus jouissives.
Le soir,
je mange, en leur compagnie, empalée, entre leurs cuisses, enculée, offrant mes
reins, mes fesses, mes seins, mon cou, mes épaules et mon dos, me faisant
masturber mon clitoris tendu à l’extrême. Je mange plus ou moins épicé, jusqu’à
l’éjaculation de chacun des invités.
Je dors
menottée à mon lit, nue, allongée sur le ventre, offrant mon anus aux visites
des invités et des chiens, pour de longues et violentes sodomies jouissives,
l’anus débordant de spermes chauds.
5 juin
D’autres invités
m’enculent dans d’autres positions plus osées.
Penchée en
avant, les mains en appui, les jambes soulevées en arrière au niveau de la
taille de l’invité, la sodomie est profonde, je sens ses testicules, qui se
balancent et frappent ma chatte trempée. L’éjaculation est rapide.
Un autre
m’encule, assis sur ses jambes ouvertes et repliées, ventre tendu en avant. On
m’aide à m’enculer, empalée, mes mollets posés sur ses épaules, jusqu’aux
testicules, renversée très en arrière en appui sur mes bras. Mes seins sont
pelotés par d’autres invités. Il retarde son éjaculation en moi.
En appui
sur mes bras en arrière et sur mes jambes écartées, je suis enculée jusqu’aux
testicules, tenue par la taille, jusqu’à l’éjaculation.
Allongée
sur le dos, enculée, jusqu’aux testicules, je reçois mon invité, face à face,
enserre sa taille avec mes jambes, pour qu’il éjacule en moi, mes pieds sur ses
fesses.
Toujours
allongée sur le dos, je reçois l’invité, en traction, mes cuisses relevées et
bloquées. Je suis massée fortement et je sens ses testicules contre ma chatte
trempée. Il éjacule longuement en moi.
Allongée
sur le côté, cuisses serrées, je suis enculée, par l’invité, assis sur ses
jambes ouvertes et repliées, jusqu’aux testicules et je reçois son sperme,
lorsqu’il se dresse au-dessus de moi, en m’écartant les jambes.
Toujours
offerte, en position ouverte, cuisses écartées, je suis enculée, par l’invité,
au-dessus de moi, jusqu’aux testicules. Le jet de spermes est intense.
En appui
sur les bras, le corps légèrement relevé de l’invité, je m’empale sur lui, en
traction sur une de mes jambes, je connais l’orgasme anal violent et une longue
éjaculation.
25 juin
En plein
après-midi, je suis menottée au chevalet, entourée d’hommes cagoulés. Je porte
un bâillon-pénis canin.
On
remplace mes anneaux dorés qui m’ont rendue chaste, par des anneaux de fer mat
inoxydable, comme le fer de la bague doublée d'or. La tige en est ronde,
épaisse comme un gros crayon de couleur, et ils sont oblongs : les maillons des
grosses chaînes sont semblables. Chacun est formé de deux U qui s'emboîtent
l'un dans l'autre. Un ressort intérieur sur lequel on doit forcer pour le faire
pénétrer dans la rainure où il se bloque. Une fois posé, il est impossible de
l'ôter, il faut limer. Chaque anneau est long comme deux phalanges du petit
doigt, qu'on y pouvait glisser. A chacun est suspendu, comme un nouveau
maillon, ou comme au support d'une boucle d'oreille un anneau qui doit être
dans le même plan que l'oreille et la prolonger, un disque de même métal aussi
large que l'anneau était long. Sur une des faces, CSO niellé d'or, sur l'autre,
mon nom, le titre, les noms et les prénoms de mes Maîtres, et au-dessous, un
fouet et une cravache entrecroisés.
Une fois
posés à mes grandes lèvres, on me marque les fesses, sur la fesse gauche, le
fouet et la cravache entrecroisés et sur l’autre, les lettres OCS et DB
entrelacés, le tout marqué au fer rouge. Je porte sur l’épaule gauche, un cœur
avec les lettres OCS SBMD entrelacés marqués au fer rouge.
Inconsciente,
les hommes cagoulés m’enculent violemment, la bouche libre, je dois sucer. Je
ne compte plus mes orgasmes anaux, les quantités de spermes, ni les chiens qui
me saillissent comme une chienne en chaleur.
Quelques
jours après, je me retrouve à la villa, nue. Je suis enceinte d’un inconnu,
dont je donne naissance à des jumeaux : un garçon et une fille. Je
reprends mon métier de libraire, toujours à côté du sex-shop, nue sous mes
tenues.
Je vous
attends, votre Chienne Soumise Olympe, mon œillet est tout ouvert à vos désirs.
Très belle histoire, très excitante : bravo.
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