lundi 16 décembre 2019

Chaleurs tropicales du vice


Je m’appelle Miel.
J’ai 21 ans.
Je suis une jolie beauté scandinave.
Je suis une brune aux yeux verts. J’ai des pieds fins et latins, des jambes longues bronzées, musclées qui inquiètent par leur perfection. Mon pénil est bombé, ouvert, couronné de noir. Ma pilosité brune couvre mon pubis. Je suis totalement velue entre les cuisses et j’ai une superbe croupe. Les lèvres de mon sexe sont une plaie rouge entre mon entrecuisse velue. Mes hanches s'incurvent et délimitent le ventre plat, délicieusement renflé autour du nombril, les hanches sont larges et rondes, mais sans lourdeur. La taille est affinée. Les seins parfaits intégralement bronzés sont un peu volumineux mais fermes, et leurs pointes marron clair, toujours dressées, cernées par une large aréole marron attirent le regard. J’ai une peau lisse et patine. Finition parfaite, un seul grain de beauté entre mes superbes seins. De longs cheveux plats blonds flottant comme des algues, battent mes épaules rondes et gracieusement athlétiques. Je suis intégralement bronzée. Mes yeux verts limpides s'allument, ma bouche charnue se fend. J’ai des sourcils bruns bien dessinés et des lèvres pulpeuses. J’ai de longs doigts fins et de belles mains. Je fais du 85B de poitrine, 56 de taille, 90 de hanches, 1,72 m.

CHALEURS TROPICALES DU VICE

Je suis la jeune maîtresse, d’un patron d’une société d’exportation de lingerie de luxe. Mon patron, Alban, m’a toujours caressée et tient à me garder vierge.
Je ne suis contre le mariage, mais j’aime avoir des amants pour me caresser. Tous aiment ma toison pubienne et ma chatte velue que j’entretiens.

12 février
Vers 9 heures, heure locale, je descends du B767 privé, en provenance de Copenhague, où je me suis offerte à Alban. Je suis invitée au Namongo, un pays africain sur la côte Atlantique. Je me suis changée avant d’embarquer et j’ai pris quelques dessous, des bikinis et des sandales à hauts talons. Je suis vêtue d’un chemisier fuchsia et d’une jupe ample blanche, cachant mon soutien-gorge et mon slip transparent en dentelle, mes pieds nus aux ongles vernis sont chaussés de sandales à hauts talons et je suis coiffée d’une queue-de-cheval.
Le policier regarde mon passeport et me laisse passer, prendre mes deux valises.
Un douanier, un bel étalon bien monté, me toise.
Je dois ouvrir mes valises devant lui. Il est surpris par mes godes réalistes d’étalons africains. Je sais qu’il me désire.
Ma discrète venue fait sensation.
A la sortie de l’aéroport, une limousine me conduit directement au Royal Palace et Suites non loin de la capitale, sécurisé par des maîtres-chiens et des soldats armés. Deux motards escortent la limousine.
Le pays est sous la pression des pays voisins, pour ses richesses et les conflits entre tribus.
Arrivée à la réception, le directeur m’accueille :
- Miss Miel, vous avez la suite 25 au troisième étage. Alexandre Brice va vous conduire. Vous avez une piscine privée, un jacuzzi, le summum selon les vœux d’Alban.
Je prends l’ascenseur avec le superbe étalon Européen.
- Vous êtes très belle, Miel.
- Miel, c’est parce que ma chatte a le goût du miel, quand on me lèche.
Arrivée à ma suite, je découvre Perle, aux petits seins, une beauté Africaine, en soubrette et Aimée, sa directrice blonde, aux seins plantureux, en tailleur et escarpins.
- Alexandre, Miel a besoin de se relaxer. Perle, rangez la garde-robe de Miel. Déshabille-toi, Miel, si tu es sueur.
C’est ma première exhibition devant des inconnus. J’obéis. Perle range mes dessous et mes vêtements.
- Tu portes de superbes dessous de luxe. C’est Alban, qui te les choisi.
- Non, c’est moi, j’aime le luxe.
- Tu es encore naturelle avec ta toison pubienne et ta chatte velue.
Alexandre bande devant la vue de mes fesses.
Mes godes sont soigneusement rangés.
J’entre dans le jacuzzi et je sens une drôle de sensation. La pression et le débit ont bien augmenté sur la buse restante, rendant, ce coup-ci, le massage sur mes fesses et l'arrière des cuisses efficace... je me retourne pour me faire le ventre, mais je me positionne mal, et le jet passe entre mes cuisses... et me caresse la chatte... des frissons me parcourent le corps...d'abord surprise... puis curieuse... J'expérimente... j’écarte légèrement les jambes pour coller ma chatte, suivant les indications d’Aimée, sur l’arrivée d’eau. Le jet m’écarte grandes et petites lèvres, ouvre "mon puits d'amour". L’eau rentre dans ma chatte en me donnant l'impression d’être remplie par "une bête énorme" mais surtout elle exerce une grosse pression sur toute la zone du clitoris. En quelques secondes je le sens gonfler, s’ériger, des frisons me donnent "la chair de poule", mes seins durcissent et mes mamelons pointent, une vague de chaleur s'immisce dans mon ventre. Un orgasme fulgurant me tord le ventre, je hurle de plaisir, comme je n'ai jamais hurlée, plusieurs spasmes, aussi imprévus que violents me secoue. Aimée et Perle me tiennent par les hanches. Puis je dirige le jet davantage sur mon clitoris. Je m'accroche des deux mains au rebord du jacuzzi, j’écarte bien les jambes en grand, les cuisses bien ouvertes, le clitoris est bien frappé par l'eau qui avec la pression rentre dans ma chatte bien dégagée par la puissance du jet jusqu’au nouvel orgasme, ma chatte est prise de contractions et les spasmes s’enchaînent.
Je me réveille, allongée sur le lit, sur le dos, cuisses écartées, entourée par Perle, Aimée et Alexandre. Ma chatte a ses grandes lèvres boursouflées qui laissent dépasser les petites toutes rouges. La chatte est ouverte et suinte de mouille, mon clitoris est tendu à l’extrême, devenu sensible  dure, sensible, très sensible, je peux à peine le toucher.
Alexandre me doigte la chatte et je connais encore un orgasme.
- Elle possède une chatte serrée de vierge, Aimée.
- Baise-la, elle sera remise doublement ouverte à son Alban.
Aimée m’embrasse langoureusement sur la bouche, tandis que Perle joue avec mes mamelons tendus et masse mes seins.
Soutenue par des coussins, je sens le gros mandrin d’Alexandre, long de vingt-quatre centimètres et sept de diamètre me remplir ma chatte. Perle me passe mes jambes autour de la taille d’Alexandre, pour me baiser.
Il me déflore sans aucune douleur, mais une vague de plaisir m’envahit.
Puis il me libère de ses jambes. Je me retrouve les genoux vers mes seins, les pieds en l’air. Agenouillé, il me baise quelques instants, j’appuie mes mollets sur les épaules d’Alexandre.
Enfin, dans un face-à-face, je sens son mandrin me défoncer mon œillet vierge. Je gémis, empalée sous mon propre poids, jusqu’aux testicules, les jambes pliées autour du dos d’Alexandre.
- Tu es vierge de là, aussi, Miel.
Je connais mon premier orgasme anal. Il éjacule en moi.
Après mon retrait, l’anus dégoulinant de sperme, je m’allonge sur Alexandre, qui est allongé sur le lit, sur le dos.
Je lèche, sucer, mordille son mandrin, ma langue lape son gland, titiller son urètre, son frein, avant de s’enrouler autour de ses testicules. Je lui lèche tendrement son anus, le doigter, le détendre puis revenir à son mandrin avant de repasser à son cul, pendant qu’il fait de même où s’occupe avec vigueur de ma chatte humide et de mon anus encore un peu ouvert. Il s’occupe de mon clitoris encore tendu avec sa bouche et ses doigts. Je titille bien le frein et l’urètre avec ma langue, suce le gland des lèvres, aspire le bien avant de descendre jusqu’à la racine du mandrin et de commence mes mouvements de va et vient. Une fois le mandrin en bouche, je passe ma langue sur ce mandrin offert en insistant bien sur le frein.
Aimée m’écarte bien les fesses qu’elle chauffe avec quelques claques magistrales. Je suis excitée.
Elle m’insère un gode anal, avec un gland bien marqué ainsi que ses reliefs tout en rondeur viendront stimuler les parois anales, long de dix-sept centimètres et cinq de diamètre. La forme en sapin et sa large base vous garantissent un excellent maintien dans l’anus.  La section qui relie les deux extrémités est très fine et douce afin de laisser l’anus se refermer dessus sans gêne. La tige de la taille de l’auriculaire sert de support lorsque le sphincter se referme.
- Ta prochaine sodomie sert moins douloureuse, une fois ton œillet bien dilaté, Miel, m’annonce Aimée, qui prend le relais d’Alexandre. Je lèche sa chatte et son clitoris, avec un nouvel orgasme anal et un orgasme vaginal.
Pantelante, Alexandre et Aimée me laissent avec Perle.
Perle me douche et m’annonce :
- Le palace est un lieu naturiste. Tu dois te promener toute nue dans le palace, juste un paréo pour couvrir tes hanches. Finis les dessous, juste des tenues adaptées pour tes sorties, courtes, transparentes, corset et guêpière seins nus. Des petits seins et une pilosité naturelle vont ravir les hommes que les femmes. Tu es libre de te masturber dans le palace et de te faire jouir avec un homme. Voici ta paire de mules à ta pointure, cette chaîne de taille, complète ta tenue de déesse.
Je quitte ma chambre. Aussitôt un couple me rejoint et caresse mes seins aux mamelons encore tendus, fardés comme la femme, avec leurs aréoles en rouge clair, effleure ma bouche fardée avec un rouge clair, et les petites lèvres de ma chatte velue entre mes cuisses, en soulignant la fente du giron. Mes paupières sont légèrement ombrées.
- Je m’appelle Miel.
- Tu portes un bijou d’anus, me susurre la femme, une jolie brune aux petits seins. Je m’appelle Amandine. Mon mari s’appelle Baron Dominique Saint Mon Plaisir, regarde comme il bande. Ta chatte velue l’excite, Miel. Allons à la piscine, il va te remplir ton écrin.
Nos mules claquent sur le marbre du couloir.
A la sortie de l’ascenseur, au rez-de-chaussée, Amandine me tient par la main et me conduit à la grande piscine. Les couples sont nus.
- J’oublie, nous sommes un hôtel naturiste. C’est pour cela que tu dois exhiber tes formes.
Mon paréo tombe. Le Baron me baise sur le champ. Je me retrouve allongée sur lui, qui est allongé sur le dos, empalée elle-même sur son gros mandrin, vingt-neuf centimètres et six de diamètre jusqu’aux testicules. Le gode anal va-et-vient grâce à son enveloppe qui s’étire ou se contracte en suivant les montées et descentes du gode. J’ai l’impression d’avoir un véritable homme à leur disposition qui leur fait l’amour en étant infatigable, tout en étant baisée par le Baron. J’explose en un double orgasme, inondée par le sperme du Baron.
Puis un autre inconnu me baise, je suis allongée sur le dos, les cuisses relevées et bloquées par les cuisses de l’inconnu. Il est en traction. Je suis fortement massée.
Les va-et-vient du gode anal me font encore exploser, tout en recevant son sperme.
Le troisième et le dernier, très musclé, au mandrin imposant, long de quarante centimètres et sept de diamètre, me baise, face à face, en me soulevant à ma taille, je m’agrippe à ses avant-bras, jusqu’aux testicules, cuisses écartées. Il me tient par les jambes tendues et je le masturbe. Il éjacule en moi.
Pantelante, je me relaxe en faisant quelques longueurs de piscine, l’anus libre du gode anal que je remets ensuite après ma douche avec Amandine.
Nous prenons un repas consistent. Mes orgasmes anaux se succèdent.
Vers seize heures, je remonte à ma chambre, nue et en mules.
Le majordome Horace m’attends. C’est un étalon africain bien monté, je l’apprends à mes dépens.
Il me met à quatre pattes sur le lit et m’encule avec son mandrin long de trente-deux centimètres et sept de diamètre, jusqu’aux testicules.
- Tu es un peu plus élargi avec le port du gode anal, Miel.
- Oui, fais-moi jouir sur ta grosse queue.
Il éjacule en moi et je le suce en échange.
Il me douche. Perle me prépare pour la soirée.
Fardée et parfumée, j’enfile un corset seins nus, qui est durement baleiné, long et rigide, comme au temps des tailles de guêpes, et comporte des goussets où reposent les seins. A mesure qu'on serre, les seins remontent, s'appuient par-dessous sur le gousset, et offrent davantage leur pointe. En même temps, la taille s'étrangle, ce qui fait saillir le ventre et cambrer profondément les fesses. J’ai des hanches de courtisane, le dos cambré et les fesses en arrière et mes seins tendent même leurs mamelons, mon corps est moulé, pour en épouser les formes et les mettre en valeur.
Je revêts une robe bustier blanche, longue jusqu’à mi-cuisses devant et dénudant entièrement les fesses derrière. Une discrète fente permet d’accéder par devant à ma chatte. Je me retrouve les seins, les fesses et les jambes nus. Je remets mes mules.
Vers dix-neuf heures, une limousine m’attends au pied du palace. Je monte à bord. Je ne suis pas seule, il y a une dizaine de femmes Européennes, Américaines et Asiatiques, très belles, de mon âge.
L’escorte est conséquente : un véhicule blindé léger et deux motards à l’avant et un véhicule léger blindé et deux motards à l’arrière, une voiture d’escorte banalisée à l’avant.
- Mesdames, votre sécurité prime, vous devez arriver intactes au lieu du rendez-vous. Asseyez-vous s’il vous plait, cuisses écartées, cul nu, sur la banquette.
La banquette est en moleskine, glissante et froide, c'est saisissant de la sentir coller aux cuisses. Je sens l'air frais monter le long de mes jambes, jusqu’à mon clitoris qui se tend à l’extrême, tout comme mes mamelons.
Après une heure de route, avec de multiples détours, nous franchissons un portail sécurisé cachant une haie et un grand parc avec des maîtres-chiens, des soldats armés, des miradors avec des tireurs prêts.
La route nous conduit vers un débarcadère, où nous attend des vedettes.
Déchaussée, je monte à bord, de l’une d’elle, debout, les yeux baissés, la bouche entrouverte, comme l’ordonne le pilote de la vedette.
- Tu es très belle. Le Comte César de Sodome va aimé.
Nous remontons une rivière et arrivons à un autre débarcadère. Un élégant étalon musclé, africain, me prend la main et me dit :
- Tu es Miel, la fiancée d’Alban, qui me fournit des filles de ton âge, pour des jeux sexuels. Tu n’es plus vierge depuis ton arrivée au Royal Palace. Mais ton œillet serré trahit ton inexpérience anale, nous verrons cela. Ecarte bien les fesses pour que je te prenne.
Il me tient par les hanches et me fait empaler, enculée jusqu’aux testicules, assise entre ses cuisses écartées. Il est assis sur une chaise.
Je me détends, enculée par son mandrin imposant trente centimètres et huit de diamètre, qui m’écartèle. Je me retiens de gémir.
- Ton œillet n’est pas encore assez large, je vais continuer à le forcer.
Il éjacule en moi et je dois le sucer, accroupie.
Nous entrons au salon, des couples sont là. Je reconnais Amandine.
- Mesdames, déshabillez-vous. Miel sera l’exhibition de notre soirée, son œillet a besoin d’être honoré par de grosses queues qu’elle raffole. Les doubles pénétrations lui seront administrées. Miel est la fiancée d’Alban, notre contributeur.
Nue, je suis caressée par mes voisins, sous le regard du Comte. Je renouvelle mes pals comme avec le Comte, sur la chaise de mes voisins, bien montés. Je jouis.
Comme convenu, je suis prise en double pénétration dans diverses positions : le premier me baise, couché sur le dos, je suis empalée sur son mandrin, avec le corps incliné vers lui, le second m’encule,  appuyer ses jambes ouvertes sur les siennes et ses bras dans le dos. Puis je m’encule sur celui couché sur le dos et je garde mes jambes ouvertes pour accueillir celui qui me baise.
Enfin, deux étalons musclés me prennent : l’un d’eux me prend femme dans ses bras, je l'entoure avec mes jambes et je suis baisée et le second me soutient derrière également une partie de son poids et m’encule. Ma chatte et mon anus dégoulinent de spermes chauds, après une heure de double pénétration.
L’anus entrouvert, je suis sauvagement enculée par le Comte, à quatre pattes. Il est agenouillé derrière moi, m’étreint la taille et m’encule jusqu’aux testicules. Il caresse mes seins aux mamelons tendus, je coulisse sur son gros mandrin qui m’écartèle sans douleur.
- Cela te plait, Miel, les sodomies, tu es très détendue.
Il éjacule en moi et je le suce comme l’ensemble de mes partenaires masculins.
En sueur, je porte le gode anal du Royal Palace, pour ne pas perdre le sperme chaud de mes amants.
Vers vingt-trois heures, je suis à nouveau disponible pour de nouvelles doubles pénétrations jouissives. Je perd connaissance, par les multiples vagues de plaisir.

13 février
A l’aube, j’émerge, nue, dans une grande pièce, avec des carcans en cuir. Mes poignets sont joints étroitement, et ces deux anneaux dans l'anneau du collier. Je me trouve donc les mains jointes à la hauteur du cou, une barre rigide de métal est accrochée aux carcans de mes chevilles, les maintenant écartées en permanence. Les carcans de cuir sont faits en plusieurs épaisseurs de cuir, chaque épaisseur assez mince, au total pas plus d'un doigt, verrouillés par un système à déclic, qui fonctionne automatiquement comme un cadenas quand on le referme, et ne peut s'ouvrir qu'avec une petite clé. Dans la partie opposée à la fermeture des bracelets, pris dans le milieu des épaisseurs de cuir, et n'ayant presque pas de jeu, il y a un anneau de métal, qui donnait une prise pour fixer, et qu'on positionnait du côté intérieur du poignet. Pour le collier, l'anneau pend devant le cou, reposant sur la saillie des clavicules, et brinquebalait au rythme des mouvements de celui qui le porte. Des glaces et des miroirs couvrent les murs et le plafond, un air frais envahit la pièce. Mes mamelons et mon clitoris sont tendus à l’extrême sans me caresser.
Je n’ai plus l’usage de mes mains, ne pouvant me masturber. Les va-et-vient du gode anal me font jouir à nouveau. Les lèvres de ma chatte sont humides, me sont interdites, et ouvertes à qui veut.
Sans allumer la lumière, on me retire le gode et je suis longuement enculée et un gros mandrin force ma bouche pour apaiser mes râles de plaisir. J’ondule mon bassin instinctivement sur ce mandrin qui m’encule.
Peu avant le lever du soleil, je suis prosternée, cuisses maintenues écartées, mains jointes à mon cou, menottée à la chaîne, les yeux bandés. Un gros sexe différent des autres m’encule jusqu’au nœud. Ce n’est pas possible. C'est le noeud, qui remplit mon anus. L'ampoule est composée de tissu musculaire qui se gonfle de sang pendant les rapports sexuels et gonfle à un diamètre significativement plus grand que celui du pénis lui-même. Le sexe reste une bonne heure en moi, je gémis mais le plaisir m’envahit sous ses va-et-vient et sa longue éjaculation. Il se retire ensuite et le sexe m’encule une autre fois, un peu plus tard. Je ne connais pas son propriétaire. Mais j’aime prendre du plaisir.
Je garde la pose.
On me retire le bandeau, c’est le Comte, le mandrin en érection.
- Ca y est, le marché avec Alban, est signé. Tu passes quelques jours ici, pour te faire fouetter et élargir, pour devenir une épouse docile. Tu as goûté à Adam et à Hadès, deux amants endurants. Tu les découvriras très bientôt. Je vais te fesser tout en t’enculant. Retiens-toi de jouir.
L’anus entrouvert, bien lubrifié par les saillies anales canines, je suis enculée jusqu’aux testicules. Le Comte porte une gaine à picots, portant le diamètre de son mandrin à neuf centimètres. Je gémis, mais les fessées déclenchent une vague de plaisir inconnu.
- Tu mouilles de la chatte et de ton puits. Le clitoris est bien gros comme une cerise, volumineux et saillant à souhait, avec la crème spéciale. Tes mamelons sont aussi gros, longs et saillants, avec la même crème.
Mes mamelons et mon clitoris sont complètement tendus et très dur au point de me faire vraiment mal, mais le plaisir surpasse le douleur, malgré le vent frais sur mes mamelons et mon clitoris.
Le Comte se retire et m’enduit les mamelons et le clitoris, sous la douche. Je dois garder ma barre rigide et marcher à petits pas.
Il fixe une laisse à mon collier, je le suis, pieds nus sur le marbre froid du couloir, avec mon gode anal en place.
- Je vais te retirer ce gode et tu vas te restaurer, tu as faim.
Je dois m’asseoir cul nu, je retrouve le contact du cuir.
- Désormais, pendant ton séjour, tu gardes toujours les yeux baissés, la bouche entrouverte pour sucer le sexe que tu dois constamment regarder. Tu es désormais, enculée et fouettée tous les jours, à n’importe quelle heure, même avant ou après les ébats avec Adam et Hadès. Ils sont là pour t’élargir, cinq centimètres de diamètre, hors le nœud qui a la taille d’une balle de golf. N’ai aucune crainte, ton œillet va s’habituer très vite. La cravache et la chicotte te seront donnés. Faites venir Adam, prosterne-toi pour te faire enculer, Miel.
Adam est un superbe berger allemand. Son nœud m’écartèle lors de sa sodomie d’une seule traite. Je gémis un peu.
- Tu vas rester avec lui, une bonne demi-heure, le temps qu’il te fasse et éjacule. Hadès te prends en suite, tu ne peux te dérober à leur nœud.
Un chien qui m’encule, je suis en plein cauchemar.
Dès le retrait d’Adam, Hadès, un superbe doberman m’encule, l’anus dégoulinant. La saillie dure trois quart d’heure. Je dois lui plaire.
On me cravache ensuite, les fesses, les cuisses sur le devant et l’arrière. Je dois compter les coups, prosternée et l’homme qui me cravache, m’encule sauvagement et éjacule dans ma bouche. Je suis pantelante.
Je découvre la chicotte aussi. C'est un engin fait en deux parties, d'une part un manche en bois verni et de l'autre une tresse en cuir, reliés ensemble par une boucle qui forme charnière, de telle sorte que, quand on l'utilisait avec habilité, le coup de poignet sur le manche donne encore plus de vitesse à la tresse en cuir. Elle est maniée à la perfection sur mes fesses brûlantes avant d’être enculée par Hadès.
- Insère-lui le gode Anal XX, pour l’élargir.
Mes fesses brûlantes sont bien écartées et je sens le gode anal, moulé sur un mandrin en érection, qui est en fait un vibromasseur avec un puissant va-et-vient, réaliste, veiné, me remplir sur trente-deux centimètres et sept de diamètre. Sa base ne me permet pas que je puisse l’expulser. Trois chaînettes pendent, attachées à  trois petits trous percés dans la base. Ma taille est enserrée par une étroite ceinture et l'on y accroche les trois chaînettes, une par derrière qui suit le sillon des fesses, et les deux autres par-devant, qui longent le pli des aines en contournant le triangle pubien.
- Elles sont ajustées au plus court, pour forcer et distendre ton œillet. Elles sont cadenassées pour que tu ne puisses pas te soulager. Tu restes nue, tout le temps. On te le retire qu’entre le repas de midi et la tombée du jour, le temps de tes saillies. Après dix heures de port, tu es enculée par tous les sexes à ta disposition, menottée à ton lit, prosternée. D’ici le 17 février, tu seras bien ouverte.
Les va-et-vient du vibromasseur me font jouir, enculée par un amant infatigable. On m’insère aussi des godes canins pour que je m’habitue.

Fouettée, enculée, saillie, je me soumets à mes amants, soit dans ma chambre, soit au salon, soit dans le jardin, devant des amis du Comte.

17 février
Au lever du soleil, les fesses cravachées, assise sur une chaise, dos à celui qui me cravache, je suis enculée par un nouveau sexe. En fait, je découvre un superbe dogue allemand, Lancelot qui m’encule.
Je dois me prosterner pour recevoir la totalité de son sexe, vingt centimètres de long et six de diamètre jusqu’au nœud. Je reste attachée à lui, plus de trois quart d’heure avec une double éjaculation dans mon anus.
Lancelot m’encule à plusieurs reprises, car je ne porte plus le gode anal. Le Comte est fière de moi, sa pute, la prostituée d’Alban, sa chienne. Je suis fière d’être une prostituée digne, du plaisir anal.
Alban me fait signer des papiers en langue locale, que me remet le Comte, faisant de moi sa soumise et la femme facile aux autres hommes.
Profitant de ma perte de connaissance après trois saillies par Lancelot, je suis percée. Je porte un anneau doré à chacune de mes grandes lèvres et un anneau avec une pierre précieuse à mon gros clitoris tendu à l’extrême.
Ce sont mes signes de reconnaissance par les amis du Comte et les hommes qui sont affiliés à Alban.
Vers midi, après un dernier déjeuner, nue, fardée, je suis autorisée à quitter l’île, mes carcans de cuir me sont retirés. Je porte une robe pour le grand soleil composée d'une jupe éventail, qui se retrousse d'un geste, mais toujours à corselet montant jusque sous les seins, et portée avec un boléro fermé au cou. Il suffit d'enlever le boléro pour que les épaules et les seins soient nus, et sans même enlever le boléro, de l'ouvrir, si l'on désire voir les seins. Je me suis habituée à avoir constamment mes fesses, mes jambes et mes seins nus, à être exhibée, fouettée et enculée comme une pute soumise. Je garde mes mules à hauts talons à mes pieds nus.
A la descente de l’embarcadère, après la remontée de la rivière, je retrouve la limousine. Je suis seule à l’arrière, assise cul nu, la jupe relevée, exhibant mon pubis velu et mes anneaux dorés au chauffeur, un superbe étalon africain.
Escortée à la sortie du portail sécurisé, la limousine est escortée par un véhicule blindé léger, deux motards à l’avant et une voiture banalisée à l’arrière. Nous rejoignons un nouveau lieu à deux heures de route, loin du centre-ville et près de la plage et du port de la capitale.
Je descends devant un luxueux complexe résidentiel, escorté par des gardes du corps armés.
Je suis invitée à entrer dans un bunker sécurisé par un souterrain.
Je franchis plusieurs portes blindées et enfin, je retrouve la lumière.
- Voici, Miel, la fiancée d’Alban, je suis Prince Jason, frère du ministre du tourisme. Tu es désormais ma soumise. Ta suite au Royal Palace est toujours disponible. Ton œillet est maintenant élargi, tu portes aussi la bague à ton annulaire gauche. Relève ta jupe que je vois tes anneaux.
J’obéis.
- J’aime les femmes naturelles. Je sais que tu aimes te faire saillir par tes amants canins tout autant que les hommes. Tu es devenue aussi bisexuelle. Connais-tu l’inceste, ma belle Miel ?
Les yeux baissés, nue, devant Jason, les cuisses écartées, je n’ose répondre :
- Non, jamais un membre de ma famille ne m’a jamais jouir.
- Donc, ton neveu, qui travaille pour le ministère du vice, va passer quelques heures à t’enculer. Ton œillet lui est destiné aussi. Alban possède toutes les photos et les vidéos de ton éducation depuis ton arrivée. Il est ravi de ta prostitution.
Je ne peux refuser. Jason exhibe son imposant mandrin long de quarante centimètres et six de diamètre. Je le suce, accroupie, sans les mains, tandis que mes fesses reçoivent des coups de chicotte.
Un bel étalon brun musclé nous rejoint, nu, doté d’un mandrin long de trente-cinq centimètres et huit de diamètre.
- Voici, la fameuse Miel, la chienne du Comte César, tu vas me sucer aussi, pendant que Jason va t’enculer.
Je dois m’offrir, en appui sur mes bras en arrière et sur mes jambes écartées, Jason m’encule jusqu’aux testicules, en me tenant les hanches.
Tout en suçant mon neveu Nathan, en retardant mon orgasme anal, je coulisse sur le mandrin de Jason.
- Ton œillet est bien élargi et chaud, ma chienne Miel.
Cela m’excite, mon clitoris et mes mamelons sont tendus à l’extrême par le vent frais.
Jason se retire avant mon orgasme anal, Nathan prend sa place. Nous sommes agenouillés, Nathan m’enculant jusqu’aux testicules, mon dos contre son buste musclé. Je mouille de plaisir. L’inceste me plait. J’aurai du me faire baiser plus tôt par Nathan. Jason masse les lèvres humides de ma chatte, surtout mes grandes lèvres et mon clitoris percé, Nathan me pelote les seins aux mamelons tendus.
- Nathan, Miel mouille de la chatte, cela vaut quelques coups de chicotte. Elle est toute excitée.
- Tu mouilles, Miel, mais tu es une sacrée chienne pour être trempée. Tu adores ça, les gros sexes dans ton œillet de soumise.
Je n’ose répondre, hochant la tête.
Son gros mandrin m’écartèle l’anus mieux que Lancelot.
Jason me baise simultanément. J’explose en un double orgasme involontaire.
Je suce mes deux amants, tout en recevant la chicotte sur mes fesses brûlantes.
Je remet en condition mes deux amants et cette fois, c’est Jason qui m’encule lors d’une nouvelle double pénétration. Nathan est ravi de me remplir la chatte en feu. Je me retiens de jouir, mais la vague me submerge, tellement je suis devenue sensible.
Jason et Nathan me font saillir par le doberman personnel de Nathan, Arès. Arès m’encule jusqu’au nœud, à trois reprises.
Pantelante, je suis enculée en alternance par Jason, Nathan et Arès. On me fouette à la chicotte pour me redonner de l’énergie.
Vers seize heures, j’émerge nue, en sueur, en compagnie de Nathan qui m’encule.
- Tu as trop joui, Miel, Arès t’a conduit à plusieurs orgasmes anaux.
Les sodomies sauvages de Nathan me font jouir à nouveau.
Jusqu’à l’aube, après avoir mangé, empalée, enculée sur mes deux amants, je suis fouettée et saillie.

Je dors menottée à mon lit, prête à me faire enculer et fouetter à toute heure.
Je suis agenouillée, accrochée à la chaîne de mon collier, je me dresse ensuite, accotée face au mur. La chaîne du mousqueton est tendue.
Mes pieds reposent, nus, bien à plat sur le lit.
Je reçois la chicotte par le travers des fesses, et je gémis, fouettée à toute volée. Je reçois quatre coups, en prenant soin de cingler chaque fois ou plus, haut ou plus bas que la fois précédente, pour que les traces soient nettes. Je gémis encore, et que mes larmes coulent dans sa bouche ouverte.
L’homme qu me fouette, m’encule sauvagement et cingle aussi le devant de mes cuisses, en même temps. Il éjacule sur mes fesses brûlantes. Je m’effondre, allongée sur le ventre, cuisses écartées.

19 février
A l’aube, après une ultime série de coups de chicotte, je suis longuement saillie par Arès.
Au lever du soleil, Jason vient me voir.
Il examine mes reins et mes fesses. Il passe les doigts sur les nombreuses traces de la chicotte, plus ou moins estompées selon leur ancienneté, sur les marques des carcans. Je ne porte plus mes carcans de cuir.
Jason m’encule une ultime fois.
Je me douche devant lui.
- La prochaine étape de ton éducation sera le port de fers à ta chatte et tu seras chiffrée sur tes fesses.
Je remet ma robe et mes mules, fardée et parfumée.
La limousine sous bonne escorte me conduit à un harem, appartenant à un riche sultan, qui vient chercher des jeunes filles pour son pays. Le harem est situé entre la mer et la savane, sous étroite surveillance armée, à trois heures de route de chez Jason.
Nous franchissons plusieurs portes.
On me fait descendre après la quatrième porte et je suis conduite par un des gardes, torse nu, bien monté.
« Maintenant, c'est l'heure de la présentation officielle, tu vas être présenté devant le Sultan ainsi que quelques-uns de ses ministres et à l'issue tu intègre définitivement le harem. Les seules sorties qui te sont autorisées sont à l'initiative du Sultan, mais dans le harem, tu seras la favorite »
Dans une grande salle, je suis exhibée nue, la tête et les yeux baissés, la bouche entrouverte, devant le Sultan, du triple de mon âge, avec un gros mandrin.
Le Sultan me caresse les seins, étirant mes mamelons tendus, doigte ma chatte humide, caresse mon clitoris tendu et enfin, il m’enfonce jusqu’à quatre doigts pour m’enculer. Je me retiens de jouir, sous les caresses.
Sans attendre, je suis enculée par le Sultan, à quatre pattes.
- Tu es libre de jouir, Miel.
Son gros mandrin m’écartèle davantage que Lancelot.
Il me fesse aussi.
- Ton œillet est bien élargi et bien chaud.
Il se retire avant mon orgasme anal pour éjaculer dans ma bouche.
Un autre étalon m’encule dans la foulée. Il est encore plus gros que celui du Sultan.
Le Sultan éjacule dans ma bouche, j’avale tout, empalée jusqu’aux testicules.
Je suis prise en double pénétration par deux autres étalons très bien montés, suçant celui qui m’a enculée.
Après deux heures de double pénétration, dont une saillie anale par le doberman Marquis, pendant que ma chatte est remplie par le Sultan, je suis en nage, le sperme dégoulinant de ma chatte et de mon anus entrouvert.
Au harem, je pénètre seule dans la pièce circulaire qui devait faire plus de 2000 m². Une porte unique (celle qu'elle vient de franchir !) constituait son seul passage. Les fenêtres sont rares et ce sont plutôt des étroites ouvertures fermées par des persiennes fixées aux montants. La lumière passe, la pièce était parfaitement éclairée. Derrière moi, les lourds montants de la porte sont refermés après mon passage et j’entends une clef la verrouiller. Au milieu de la pièce, un bassin de 25 mètres sur 10 est rempli d'eau. Les autres femmes du harem sont là lui adressant des mots en Arabe que je ne comprends. Elles sont toutes assez jeunes, guère plus que la trentaine.
Je suis lavée du sperme, mes hanches sont douloureuses par mes orgasmes que j’ai connu en quelques heures. Sauf le sperme de ma chatte, pour je sois fécondée.
Malgré la fatigue, je dois me mettre à quatre pattes, les femmes me godent avec des godes réalistes imposants, humains et canins que je ne reconnais et je jouis à nouveau, enculée.
J’ai droit ensuite à un nouveau gode, dans ma chatte puis dans mon anus. Mes fesses sont bien ouvertes pour l’enfoncer. Il est différent des autres, trente-cinq centimètres et huit de diamètre. Le gland est en forme de cloche et le gode est veiné, en érection.
Même détendue, je gémis un peu. Je suis enculée sur deux tiers, à plusieurs reprises, pour que je m’habitue.
Puis les godes réalistes humains et canins se succèdent avant le gode équin.
Je peux enfin me reposer.
Je mange nue, en compagnie des autres femmes, avec les doigts. J’apprends quelques mots en Arabes. Je suis baptisée la chienne Jasmine.
Dans l’après-midi, je suis marquée au fer rouge, par un grand étalon africain. Je suis menottée nue, sur un chevalet, le postérieur plus haut que la tête. Mes bras sont fixés le long des pieds avants, mes jambes le long des pieds arrières, et une large sangle m'est passée au niveau de la taille. Mes cuisses, légèrement fléchies sont empêchées de se resserrer par la largeur de la poutre, ainsi d'ailleurs mes fesses que je me peux refermer. Mes lèvres de ma chatte entrouvertes par l'excitation de Juliette. Je suis équipée d’un bâillon-pénis canin en bouche. Je me découvre masochiste. Ma fesse droite est marquée au fer rouge puis la fesse gauche. Je connais un orgasme, qui fait ouvrir et se refermer ma chatte lors de mon orgasme. Mes grandes lèvres roses et l'intérieur de mes cuisses  luisent sous l'effet de l'humidité que le trou sombre bordé de poils bruns recrache.
Je dors sur un matelas, je me baigne en compagnie des autres femmes, toujours nue. Les sodomies avec le gode équin reprennent et me provoquent l’orgasme tant désiré.
Ma chatte et mon anus sont soigneusement fouillés et lavés. Je jouis.
Je garde ma toison pubienne et ma chatte velue à la demande exclusive du Sultan.
Au coucher du soleil, après de nouvelles sodomies par les godes, je suis fardée et parfumée. Je reste nue sous une jupe longue entièrement transparente dévoilant mon pubis brun et un corset seins nus, brodé de fils d'or et de paillettes. Sur mes cheveux, je porte un tchador doré opaque qui laisse juste apparaître mon visage et quelques mèches brunes.
Je porte aussi un bijou d’anus moulé sur le gland équin de bonne dimension.
Chaussée de mules à semelles surélevées et très hauts talons qu'une bande de satin épais, empêche seule d'échapper au pied nu, je suis un des gardes torse nu. Je garde mes yeux baissés, la bouche entrouverte.
Nous franchissons plusieurs portes et escaliers vers les appartements du Sultan, par des passages secrets, loin des hommes.
Une fois la porte franchie des appartements du Sultan, je dois seule, nue, en mules, dans une immense chambre avec des miroirs et des glaces sur les murs et au plafond, climatisée. Mes mamelons et mon clitoris sont tendus à l’extrême.
Le Sultan entre en compagnie de deux autres femmes plus âgées, aux seins plantureux, et d’un superbe dogue allemand Vizir.
Les deux femmes me font me mettre à quatre pattes sur le lit et me préparent la chatte et l’anus entrouvert.
Je suce en alternance le Sultan et Vizir.
Je me retiens de jouir, lorsque le Sultan me baise.
- Très bien, Miel, Vizir va t’enculer et va rester attachée à lui, le temps de tes orgasmes anaux. Je te féconderais ensuite.
La saillie anale canine dure plus trois quart d’heure, avec quatre orgasmes consécutifs de plus en plus violents.
Mais la fatigue, je me fais longuement baisée par l’endurant Sultan, qui retarde son éjaculation, dans diverses positions du pal au missionnaire.
Dès qu’il a éjaculé, Vizir me baise pour bien lubrifier ma chatte avec le sperme du Sultan.
Sans ménagement, nue, en mules, l’anus et la chatte dégoulinant de spermes, je quitte les appartements avec deux gardes et le conseiller du Sultan.
Il annonce en Arabe :
- Miel, direction sodomie aux écuries.
Les écuries sont partiellement souterraines et faiblement éclairées par la lumière du toit.
Vingt étalons sont divisés en deux rangées, une sur chaque mur.
Menottées à un chevalet, chacune des jeunes femmes, se fait remplir l’anus par un sexe équin, inséré par un garde. Sa bouche est mise à la disposition des gardes.
Je me retrouve menottée sous le pur-sang arabe Apollon des Vices. Son sexe de quatre-vingt centimètres en érection, me surprend.
Le conseiller, Olaf, un superbe étalon Danois, positionne le gland du membre devenu moins dur sur ma rondelle, commence à pousser. Le sphincter cède et j’hurle de douleur. Je reçois jusqu’à trente centimètres de sexe équin. J’agite à m'agiter doucement puis, mon anus se dilatant, accélère le mouvement mais m'arrête net en poussant un hurlement de douleur: Apollon bande de plus belle, mais je continue à sucer les gardes, pour étouffer mes cris de douleur. Je coulisse sur le sexe équin, prise d’un violent orgasme anal, en frottant mon clitoris contre la barre du chevalet.
- Regarde la pute chevaline, elle aime se faire enculer par Apollon.
- Elle suce bien, dit Olaf. Je vais l’enculer après le trotteur français Zéphyr des Haies et du cheval de selle Tornade Anale.
Pendant ce temps, Apollon éjacule jusqu’à mon orgasme anal.
On retire son sexe et Zéphyr le remplace, puis Tornade.
Après les trois saillies anales équines, mon anus rougi complètement distendu et boursouflé qui libère un flot de sperme.
Olaf profite de mon anus distendu, m’encule longuement, tandis que je suce les glands de mes trois amants équins, pour les nettoyer.
- Tu es une excellente pute chevaline, chienne et pute, Miel.
Je rentre au harem, pour un long bain décontractant, mon anus est devenu encore plus sensible, après ses trois saillies anales équines.

25 février
Après mes six saillies anales équines de la nuit, jusqu’à l’aube, je reste menottée au chevalet, pantelante, à moitié évanouie. Le Sultan n’arrive pas à me féconder, malgré les longs ébats sexuels.
- Miel, tu es une pute chevaline reconnue, en plus d’être une chienne et une bouche bien dressée. Mais tu n’es pas apte à assurer une descendance. Je vais te relâcher du harem. Désormais, si un homme voit tes marques au fer rouge, sur tes fesses, il en déduit que tu es chiffrée, tu porteras prochainement tes fers à ta chatte. Alban va les faire réaliser.
Je quitte le harem, revêtue de ma robe et de mes mules, à bord d’un Ecureuil, les yeux bandés, avec un bâillon-pénis canin en bouche et un gros bijou d’anus canin. Je reste assise, cul nu, cuisses écartées.
Le vol dure une éternité.
L’air marin cingle mes mamelons et mon clitoris constamment tendus.
L’hélicoptère rejoint un superbe yacht, « Diamant Eros », appartenant à Sacha, un proxénète russe qui m’a vue chez le Sultan.
On m’aide à descendre de l’hélicoptère, me conduit au pont principal. On me déshabille prestement.
Nue, immobile, déchaussée, pieds nus sur un tapis, je suis longuement caressée, chaque ondulation de mon bassin est sanctionnée par la cravache. Je mouille davantage.
On me retire le bijou d’anus, une dizaine de mandrins de tous calibres m’enculent sauvagement. Mes orgasmes anaux sont récompensés par des étirements de mes mamelons, je jouis davantage, les mamelons sont tellement sensibles.
J’ai même droit à deux mandrins simultanément dans mon anus distendu. J’explose dans un violent orgasme anal.
Pantelante, j’émerge, avec mes carcans de cuir, empalée sur un gros gode réaliste équin, qui va et vient dans mon anus dégoulinant de sperme, mains jointes à mon cou, cuisses écartées, dans une chambre entièrement recouverte de glaces et de miroirs, sur les murs et au plafond. Je me vois jouir, la bouche bâillonnée, ayant recouvré la vue. J’ai perdu connaissance, par la violence de mes orgasmes. Le gros gode équin est muni par une puissante machine.
Sacha entre, nu, avec un mandrin du calibre du Baron, sans savoir que le Baron et Sacha sont la même personne.
Il me retire le gode équin et m’encule longuement en retardant mon orgasme et son éjaculation.
- Tu es devenue très docile, t’ouvrant plus facilement qu’à tes débuts. Alban va augmenter son tarif pour de nouveaux clients à ton retour. Chienne, pute chevaline et esclave sexuelle, naturelle, tu as tous les critères requis. Il faut te faire ferrer d’ici quelques jours. Le yacht va rejoindre la frontière du Namongo, pour rejoindre Alban et son jet privé. Tu vas passer quelques jours en ma compagnie et mes amis, leurs chiens vont monter ma chienne. Alban aime de plus en plus les photos et les vidéos de sa prostituée.
Il m’embrasse fougueusement.
Je garde les yeux baissés.
Je bois beaucoup de mélanges d’excitants sexuels, qui provoquent de violentes tensions extrêmes à mes mamelons et à mon gros clitoris.
Je ne compte plus les orgies que je subis.
Ma chatte et mon anus restent entrouverts, dégoulinant de spermes humains et canins.

12 mars
A l’aube, après une nouvelle douche, masturbée par Sacha, je revois le soleil.
Je suis nue, pieds nus, mains jointes à mon cou.
- Comme promis, tu seras ferrée. Alban m’a remis tes fers.
Je me retrouve allongée, sur le dos, sur la table, mes genoux sur mes épaules, cuisses écartées, avec une barre d’écartement.
On me rase à l’ancienne mes poils de ma chatte, dégageant aussi l’anus, mais je garde ma toison pubienne.
On me retire mes anneaux dorés de mes grandes lèvres de ma chatte humide par un fer pour chacune. Ce sont des anneaux faits de fer mat inoxydable, comme le fer de la bague doublée d'or. La tige en est ronde, épaisse comme un gros crayon de couleur, et ils sont oblongs : les maillons des grosses chaînes sont semblables. Chacun est formé de deux U qui s'emboîtent l'un dans l'autre avec un ressort intérieur que l’on force pour le bloquer. Chaque anneau est long comme deux phalanges du petit doigt, qu'on y peut glisser. A chacun est suspendu, un anneau qui doit être dans le même plan que l'oreille et la prolonger, un disque de même métal aussi large que l'anneau est long. Sur une des faces, le sceau du Sultan niellé d'or, sur l'autre, mon nom, Alban, mes Maîtres successifs, et au-dessous, un fouet et une cravache entrecroisés. Ils sont rivés.
Les fers qui trouent mes grandes lèvres et me descendent jusqu'au tiers de la cuisse, et à chacun de ses pas bougent entre mes jambes comme un battant de cloche, le disque gravé étant plus lourd et plus long que l'anneau auquel il pend.
Après leur mise en place, je suis longuement enculée par des dizaines d’inconnus, les yeux bandés. Je ne sais si Alban est présent.
Je suis douchée, fardée et parfumée, ayant recouvré la vue, peu avant midi. Je couvre mes seins nus et libres de mon chemisier fuchsia et d’une jupe ample blanche, sur mes fesses et mes jambes nues, mes pieds nus aux ongles vernis sont chaussés de mules à hauts talons et je suis coiffée d’une queue-de-cheval.
- Tu es très belle, ma belle Miel, surnommée Chienne Anale.
Une valise est remise discrètement à Sacha. On me retire mes carcans de cuir.
Je monte à bord du Dauphin. Je suis assise cul nu, cuisses écartées. J’ai hâte de retrouver Alban, après un mois d’absence.
Le Dauphin atterrit sur l’aéroport privé et sous haute protection.
Alban m’embrasse, me caresse discrètement mes seins aux mamelons durcis par l’excitation. Il me prend la main et me conduit vers le Falcon 7X, immatriculé aux Bermudes.
Je retrouve le Baron, seul sans Amandine, et ma nouvelle garde-robe.
- Miel, nous rentrons à Copenhague avec une escale à Marrakech. Les formalités ont été accélérée. Tes bagages du Royal Palace sont déjà à Copenhague. J’ai déjà fait le tri.
Pendant le vol jusqu’à Marrakech, nue, je suis prise en double anale par Alban et le Baron. Je jouis après leurs accords.
En milieu d’après-midi, à l’aéroport de Marrakech, nue sous une robe longue, avec mon tchador, en mules à petits talons, je croise le regard du Sultan, qui vient d’embarquer quelques favorites, à bord de son A380 privé, immatriculé aux îles Caïmans.
- Mes hommages, ma belle pute chevaline Miel, tu es resplendissante.
Je perds connaissance en m’asseyant au salon de l’aéroport.
Un docteur m’examine.
- Elle porte les signes d’une grossesse. Il faudra prévenir le futur père.
Nous rentrons à Copenhague.
Dans une discrète villa sous haute sécurité, je retrouve Vizir, Lancelot et Arès, mes amants canins. Je passe des journées nue, à disposition de mes amants canins, visionnant mes ébats de soumise sexuelle, qui augmente mes orgasmes anaux. Je n’ai nul besoin de me caresser pour jouir. La villa est financée par mes multiples ébats de soumise sexuelle.
Alban m’encule, laissant ma chatte destinée à libérer mon premier enfant.
Je suis invitée à des orgies anales, dans des soirées privées. Mon endurance comble mes amants.

Neuf mois après, je donne naissance à des jumeaux, la fille Chantelle et le fils Alban. Je continue mes séances BDSM, comme maîtresse pour soumis. Le Sultan m’offre une belle fortune, car il est le père, après les tests ADN.

Mes chéris, si vous souhaitez me remplir mon œillet, je suis à tout à vous, votre Miel chérie.