Je m’appelle Miel.
J’ai 21 ans.
Je suis une jolie beauté scandinave.
Je suis une
brune aux yeux verts. J’ai des pieds fins et latins, des jambes longues
bronzées, musclées qui inquiètent par leur perfection. Mon pénil est bombé,
ouvert, couronné de noir. Ma pilosité brune couvre mon pubis. Je suis
totalement velue entre les cuisses et j’ai une superbe croupe. Les lèvres de
mon sexe sont une plaie rouge entre mon entrecuisse velue. Mes hanches
s'incurvent et délimitent le ventre plat, délicieusement renflé autour du
nombril, les hanches sont larges et rondes, mais sans lourdeur. La taille est
affinée. Les seins parfaits intégralement bronzés sont un peu volumineux mais
fermes, et leurs pointes marron clair, toujours dressées, cernées par une large
aréole marron attirent le regard. J’ai une peau lisse et patine. Finition
parfaite, un seul grain de beauté entre mes superbes seins. De longs cheveux
plats blonds flottant comme des algues, battent mes épaules rondes et
gracieusement athlétiques. Je suis intégralement bronzée. Mes yeux verts
limpides s'allument, ma bouche charnue se fend. J’ai des sourcils bruns bien
dessinés et des lèvres pulpeuses. J’ai de longs doigts fins et de belles mains.
Je fais du 85B de poitrine, 56 de taille, 90 de hanches, 1,72 m.
CHALEURS
TROPICALES DU VICE
Je suis la
jeune maîtresse, d’un patron d’une société d’exportation de lingerie de luxe.
Mon patron, Alban, m’a toujours caressée et tient à me garder vierge.
Je ne suis
contre le mariage, mais j’aime avoir des amants pour me caresser. Tous aiment
ma toison pubienne et ma chatte velue que j’entretiens.
12 février
Vers 9
heures, heure locale, je descends du B767 privé, en provenance de Copenhague,
où je me suis offerte à Alban. Je suis invitée au Namongo, un pays africain sur
la côte Atlantique. Je me suis changée avant d’embarquer et j’ai pris quelques
dessous, des bikinis et des sandales à hauts talons. Je suis vêtue d’un
chemisier fuchsia et d’une jupe ample blanche, cachant mon soutien-gorge et mon
slip transparent en dentelle, mes pieds nus aux ongles vernis sont chaussés de
sandales à hauts talons et je suis coiffée d’une queue-de-cheval.
Le policier
regarde mon passeport et me laisse passer, prendre mes deux valises.
Un douanier,
un bel étalon bien monté, me toise.
Je dois
ouvrir mes valises devant lui. Il est surpris par mes godes réalistes d’étalons
africains. Je sais qu’il me désire.
Ma discrète
venue fait sensation.
A la sortie
de l’aéroport, une limousine me conduit directement au Royal Palace et Suites
non loin de la capitale, sécurisé par des maîtres-chiens et des soldats armés.
Deux motards escortent la limousine.
Le pays est
sous la pression des pays voisins, pour ses richesses et les conflits entre
tribus.
Arrivée à la
réception, le directeur m’accueille :
- Miss Miel,
vous avez la suite 25 au troisième étage. Alexandre Brice va vous conduire.
Vous avez une piscine privée, un jacuzzi, le summum selon les vœux d’Alban.
Je prends
l’ascenseur avec le superbe étalon Européen.
- Vous êtes
très belle, Miel.
- Miel,
c’est parce que ma chatte a le goût du miel, quand on me lèche.
Arrivée à ma
suite, je découvre Perle, aux petits seins, une beauté Africaine, en soubrette
et Aimée, sa directrice blonde, aux seins plantureux, en tailleur et escarpins.
- Alexandre,
Miel a besoin de se relaxer. Perle, rangez la garde-robe de Miel.
Déshabille-toi, Miel, si tu es sueur.
C’est ma
première exhibition devant des inconnus. J’obéis. Perle range mes dessous et
mes vêtements.
- Tu portes
de superbes dessous de luxe. C’est Alban, qui te les choisi.
- Non, c’est
moi, j’aime le luxe.
- Tu es
encore naturelle avec ta toison pubienne et ta chatte velue.
Alexandre
bande devant la vue de mes fesses.
Mes godes
sont soigneusement rangés.
J’entre dans
le jacuzzi et je sens une drôle de sensation. La pression et le débit ont bien
augmenté sur la buse restante, rendant, ce coup-ci, le massage sur mes fesses
et l'arrière des cuisses efficace... je me retourne pour me faire le ventre,
mais je me positionne mal, et le jet passe entre mes cuisses... et me caresse
la chatte... des frissons me parcourent le corps...d'abord surprise... puis
curieuse... J'expérimente... j’écarte légèrement les jambes pour coller ma
chatte, suivant les indications d’Aimée, sur l’arrivée d’eau. Le jet m’écarte
grandes et petites lèvres, ouvre "mon puits d'amour". L’eau rentre
dans ma chatte en me donnant l'impression d’être remplie par "une bête
énorme" mais surtout elle exerce une grosse pression sur toute la zone du
clitoris. En quelques secondes je le sens gonfler, s’ériger, des frisons me
donnent "la chair de poule", mes seins durcissent et mes mamelons
pointent, une vague de chaleur s'immisce dans mon ventre. Un orgasme fulgurant
me tord le ventre, je hurle de plaisir, comme je n'ai jamais hurlée, plusieurs
spasmes, aussi imprévus que violents me secoue. Aimée et Perle me tiennent par
les hanches. Puis je dirige le jet davantage sur mon clitoris. Je m'accroche
des deux mains au rebord du jacuzzi, j’écarte bien les jambes en grand, les
cuisses bien ouvertes, le clitoris est bien frappé par l'eau qui avec la
pression rentre dans ma chatte bien dégagée par la puissance du jet jusqu’au
nouvel orgasme, ma chatte est prise de contractions et les spasmes
s’enchaînent.
Je me
réveille, allongée sur le lit, sur le dos, cuisses écartées, entourée par
Perle, Aimée et Alexandre. Ma chatte a ses grandes lèvres boursouflées qui
laissent dépasser les petites toutes rouges. La chatte est ouverte et suinte de
mouille, mon clitoris est tendu à l’extrême, devenu sensible dure, sensible, très sensible, je peux à
peine le toucher.
Alexandre me
doigte la chatte et je connais encore un orgasme.
- Elle
possède une chatte serrée de vierge, Aimée.
- Baise-la,
elle sera remise doublement ouverte à son Alban.
Aimée
m’embrasse langoureusement sur la bouche, tandis que Perle joue avec mes
mamelons tendus et masse mes seins.
Soutenue par
des coussins, je sens le gros mandrin d’Alexandre, long de vingt-quatre
centimètres et sept de diamètre me remplir ma chatte. Perle me passe mes jambes
autour de la taille d’Alexandre, pour me baiser.
Il me
déflore sans aucune douleur, mais une vague de plaisir m’envahit.
Puis il me
libère de ses jambes. Je me retrouve les genoux vers mes seins, les pieds en
l’air. Agenouillé, il me baise quelques instants, j’appuie mes mollets sur les épaules
d’Alexandre.
Enfin, dans
un face-à-face, je sens son mandrin me défoncer mon œillet vierge. Je gémis,
empalée sous mon propre poids, jusqu’aux testicules, les jambes pliées autour
du dos d’Alexandre.
- Tu es
vierge de là, aussi, Miel.
Je connais
mon premier orgasme anal. Il éjacule en moi.
Après mon
retrait, l’anus dégoulinant de sperme, je m’allonge sur Alexandre, qui est
allongé sur le lit, sur le dos.
Je lèche,
sucer, mordille son mandrin, ma langue lape son gland, titiller son urètre, son
frein, avant de s’enrouler autour de ses testicules. Je lui lèche tendrement
son anus, le doigter, le détendre puis revenir à son mandrin avant de repasser
à son cul, pendant qu’il fait de même où s’occupe avec vigueur de ma chatte
humide et de mon anus encore un peu ouvert. Il s’occupe de mon clitoris encore
tendu avec sa bouche et ses doigts. Je titille bien le frein et l’urètre avec
ma langue, suce le gland des lèvres, aspire le bien avant de descendre jusqu’à
la racine du mandrin et de commence mes mouvements de va et vient. Une fois le
mandrin en bouche, je passe ma langue sur ce mandrin offert en insistant bien
sur le frein.
Aimée
m’écarte bien les fesses qu’elle chauffe avec quelques claques magistrales. Je
suis excitée.
Elle
m’insère un gode anal, avec un gland bien marqué ainsi que ses reliefs tout en
rondeur viendront stimuler les parois anales, long de dix-sept centimètres et
cinq de diamètre. La forme en sapin et sa large base vous garantissent un
excellent maintien dans l’anus. La
section qui relie les deux extrémités est très fine et douce afin de laisser
l’anus se refermer dessus sans gêne. La tige de la taille de l’auriculaire sert
de support lorsque le sphincter se referme.
- Ta
prochaine sodomie sert moins douloureuse, une fois ton œillet bien dilaté,
Miel, m’annonce Aimée, qui prend le relais d’Alexandre. Je lèche sa chatte et
son clitoris, avec un nouvel orgasme anal et un orgasme vaginal.
Pantelante,
Alexandre et Aimée me laissent avec Perle.
Perle me
douche et m’annonce :
- Le palace
est un lieu naturiste. Tu dois te promener toute nue dans le palace, juste un
paréo pour couvrir tes hanches. Finis les dessous, juste des tenues adaptées
pour tes sorties, courtes, transparentes, corset et guêpière seins nus. Des
petits seins et une pilosité naturelle vont ravir les hommes que les femmes. Tu
es libre de te masturber dans le palace et de te faire jouir avec un homme.
Voici ta paire de mules à ta pointure, cette chaîne de taille, complète ta
tenue de déesse.
Je quitte ma
chambre. Aussitôt un couple me rejoint et caresse mes seins aux mamelons encore
tendus, fardés comme la femme, avec leurs aréoles en rouge clair, effleure ma
bouche fardée avec un rouge clair, et les petites lèvres de ma chatte velue
entre mes cuisses, en soulignant la fente du giron. Mes paupières sont
légèrement ombrées.
- Je
m’appelle Miel.
- Tu portes
un bijou d’anus, me susurre la femme, une jolie brune aux petits seins. Je
m’appelle Amandine. Mon mari s’appelle Baron Dominique Saint Mon Plaisir,
regarde comme il bande. Ta chatte velue l’excite, Miel. Allons à la piscine, il
va te remplir ton écrin.
Nos mules
claquent sur le marbre du couloir.
A la sortie
de l’ascenseur, au rez-de-chaussée, Amandine me tient par la main et me conduit
à la grande piscine. Les couples sont nus.
- J’oublie,
nous sommes un hôtel naturiste. C’est pour cela que tu dois exhiber tes formes.
Mon paréo
tombe. Le Baron me baise sur le champ. Je me retrouve allongée sur lui, qui est
allongé sur le dos, empalée elle-même sur son gros mandrin, vingt-neuf
centimètres et six de diamètre jusqu’aux testicules. Le gode anal va-et-vient
grâce à son enveloppe qui s’étire ou se contracte en suivant les montées et
descentes du gode. J’ai l’impression d’avoir un véritable homme à leur
disposition qui leur fait l’amour en étant infatigable, tout en étant baisée
par le Baron. J’explose en un double orgasme, inondée par le sperme du Baron.
Puis un
autre inconnu me baise, je suis allongée sur le dos, les cuisses relevées et
bloquées par les cuisses de l’inconnu. Il est en traction. Je suis fortement
massée.
Les
va-et-vient du gode anal me font encore exploser, tout en recevant son sperme.
Le troisième
et le dernier, très musclé, au mandrin imposant, long de quarante centimètres
et sept de diamètre, me baise, face à face, en me soulevant à ma taille, je
m’agrippe à ses avant-bras, jusqu’aux testicules, cuisses écartées. Il me tient
par les jambes tendues et je le masturbe. Il éjacule en moi.
Pantelante,
je me relaxe en faisant quelques longueurs de piscine, l’anus libre du gode
anal que je remets ensuite après ma douche avec Amandine.
Nous prenons
un repas consistent. Mes orgasmes anaux se succèdent.
Vers seize
heures, je remonte à ma chambre, nue et en mules.
Le majordome
Horace m’attends. C’est un étalon africain bien monté, je l’apprends à mes
dépens.
Il me met à
quatre pattes sur le lit et m’encule avec son mandrin long de trente-deux
centimètres et sept de diamètre, jusqu’aux testicules.
- Tu es un
peu plus élargi avec le port du gode anal, Miel.
- Oui,
fais-moi jouir sur ta grosse queue.
Il éjacule
en moi et je le suce en échange.
Il me
douche. Perle me prépare pour la soirée.
Fardée et
parfumée, j’enfile un corset seins nus, qui est durement baleiné, long et
rigide, comme au temps des tailles de guêpes, et comporte des goussets où
reposent les seins. A mesure qu'on serre, les seins remontent, s'appuient
par-dessous sur le gousset, et offrent davantage leur pointe. En même temps, la
taille s'étrangle, ce qui fait saillir le ventre et cambrer profondément les
fesses. J’ai des hanches de courtisane, le dos cambré et les fesses en arrière
et mes seins tendent même leurs mamelons, mon corps est moulé, pour en épouser
les formes et les mettre en valeur.
Je revêts
une robe bustier blanche, longue jusqu’à mi-cuisses devant et dénudant entièrement
les fesses derrière. Une discrète fente permet d’accéder par devant à ma
chatte. Je me retrouve les seins, les fesses et les jambes nus. Je remets mes
mules.
Vers
dix-neuf heures, une limousine m’attends au pied du palace. Je monte à bord. Je
ne suis pas seule, il y a une dizaine de femmes Européennes, Américaines et
Asiatiques, très belles, de mon âge.
L’escorte
est conséquente : un véhicule blindé léger et deux motards à l’avant et un
véhicule léger blindé et deux motards à l’arrière, une voiture d’escorte
banalisée à l’avant.
- Mesdames,
votre sécurité prime, vous devez arriver intactes au lieu du rendez-vous.
Asseyez-vous s’il vous plait, cuisses écartées, cul nu, sur la banquette.
La banquette
est en moleskine, glissante et froide, c'est saisissant de la sentir coller aux
cuisses. Je sens l'air frais monter le long de mes jambes, jusqu’à mon clitoris
qui se tend à l’extrême, tout comme mes mamelons.
Après une
heure de route, avec de multiples détours, nous franchissons un portail
sécurisé cachant une haie et un grand parc avec des maîtres-chiens, des soldats
armés, des miradors avec des tireurs prêts.
La route
nous conduit vers un débarcadère, où nous attend des vedettes.
Déchaussée,
je monte à bord, de l’une d’elle, debout, les yeux baissés, la bouche
entrouverte, comme l’ordonne le pilote de la vedette.
- Tu es très
belle. Le Comte César de Sodome va aimé.
Nous
remontons une rivière et arrivons à un autre débarcadère. Un élégant étalon
musclé, africain, me prend la main et me dit :
- Tu es
Miel, la fiancée d’Alban, qui me fournit des filles de ton âge, pour des jeux
sexuels. Tu n’es plus vierge depuis ton arrivée au Royal Palace. Mais ton
œillet serré trahit ton inexpérience anale, nous verrons cela. Ecarte bien les
fesses pour que je te prenne.
Il me tient
par les hanches et me fait empaler, enculée jusqu’aux testicules, assise entre
ses cuisses écartées. Il est assis sur une chaise.
Je me
détends, enculée par son mandrin imposant trente centimètres et huit de
diamètre, qui m’écartèle. Je me retiens de gémir.
- Ton œillet
n’est pas encore assez large, je vais continuer à le forcer.
Il éjacule
en moi et je dois le sucer, accroupie.
Nous entrons
au salon, des couples sont là. Je reconnais Amandine.
- Mesdames,
déshabillez-vous. Miel sera l’exhibition de notre soirée, son œillet a besoin
d’être honoré par de grosses queues qu’elle raffole. Les doubles pénétrations
lui seront administrées. Miel est la fiancée d’Alban, notre contributeur.
Nue, je suis
caressée par mes voisins, sous le regard du Comte. Je renouvelle mes pals comme
avec le Comte, sur la chaise de mes voisins, bien montés. Je jouis.
Comme
convenu, je suis prise en double pénétration dans diverses
positions : le premier me baise, couché sur le dos, je suis empalée sur
son mandrin, avec le corps incliné vers lui, le second m’encule, appuyer ses jambes ouvertes sur les siennes
et ses bras dans le dos. Puis je m’encule sur celui couché sur le dos et je
garde mes jambes ouvertes pour accueillir celui qui me baise.
Enfin, deux
étalons musclés me prennent : l’un d’eux me prend femme dans ses bras, je
l'entoure avec mes jambes et je suis baisée et le second me soutient derrière
également une partie de son poids et m’encule. Ma chatte et mon anus
dégoulinent de spermes chauds, après une heure de double pénétration.
L’anus
entrouvert, je suis sauvagement enculée par le Comte, à quatre pattes. Il est
agenouillé derrière moi, m’étreint la taille et m’encule jusqu’aux testicules.
Il caresse mes seins aux mamelons tendus, je coulisse sur son gros mandrin qui
m’écartèle sans douleur.
- Cela te
plait, Miel, les sodomies, tu es très détendue.
Il éjacule
en moi et je le suce comme l’ensemble de mes partenaires masculins.
En sueur, je
porte le gode anal du Royal Palace, pour ne pas perdre le sperme chaud de mes
amants.
Vers
vingt-trois heures, je suis à nouveau disponible pour de nouvelles doubles
pénétrations jouissives. Je perd connaissance, par les multiples vagues de
plaisir.
13 février
A l’aube,
j’émerge, nue, dans une grande pièce, avec des carcans en cuir. Mes poignets
sont joints étroitement, et ces deux anneaux dans l'anneau du collier. Je me
trouve donc les mains jointes à la hauteur du cou, une barre rigide de métal
est accrochée aux carcans de mes chevilles, les maintenant écartées en
permanence. Les carcans de cuir sont faits en plusieurs épaisseurs de cuir,
chaque épaisseur assez mince, au total pas plus d'un doigt, verrouillés par un
système à déclic, qui fonctionne automatiquement comme un cadenas quand on le
referme, et ne peut s'ouvrir qu'avec une petite clé. Dans la partie opposée à
la fermeture des bracelets, pris dans le milieu des épaisseurs de cuir, et
n'ayant presque pas de jeu, il y a un anneau de métal, qui donnait une prise
pour fixer, et qu'on positionnait du côté intérieur du poignet. Pour le
collier, l'anneau pend devant le cou, reposant sur la saillie des clavicules,
et brinquebalait au rythme des mouvements de celui qui le porte. Des glaces et
des miroirs couvrent les murs et le plafond, un air frais envahit la pièce. Mes
mamelons et mon clitoris sont tendus à l’extrême sans me caresser.
Je n’ai plus
l’usage de mes mains, ne pouvant me masturber. Les va-et-vient du gode anal me
font jouir à nouveau. Les lèvres de ma chatte sont humides, me sont interdites,
et ouvertes à qui veut.
Sans allumer
la lumière, on me retire le gode et je suis longuement enculée et un gros
mandrin force ma bouche pour apaiser mes râles de plaisir. J’ondule mon bassin
instinctivement sur ce mandrin qui m’encule.
Peu avant le
lever du soleil, je suis prosternée, cuisses maintenues écartées, mains jointes
à mon cou, menottée à la chaîne, les yeux bandés. Un gros sexe différent des
autres m’encule jusqu’au nœud. Ce n’est pas possible. C'est le noeud, qui
remplit mon anus. L'ampoule est composée de tissu musculaire qui se gonfle de
sang pendant les rapports sexuels et gonfle à un diamètre significativement
plus grand que celui du pénis lui-même. Le sexe reste une bonne heure en moi,
je gémis mais le plaisir m’envahit sous ses va-et-vient et sa longue
éjaculation. Il se retire ensuite et le sexe m’encule une autre fois, un peu
plus tard. Je ne connais pas son propriétaire. Mais j’aime prendre du plaisir.
Je garde la
pose.
On me retire
le bandeau, c’est le Comte, le mandrin en érection.
- Ca y est,
le marché avec Alban, est signé. Tu passes quelques jours ici, pour te faire
fouetter et élargir, pour devenir une épouse docile. Tu as goûté à Adam et à
Hadès, deux amants endurants. Tu les découvriras très bientôt. Je vais te
fesser tout en t’enculant. Retiens-toi de jouir.
L’anus
entrouvert, bien lubrifié par les saillies anales canines, je suis enculée
jusqu’aux testicules. Le Comte porte une gaine à picots, portant le diamètre de
son mandrin à neuf centimètres. Je gémis, mais les fessées déclenchent une
vague de plaisir inconnu.
- Tu
mouilles de la chatte et de ton puits. Le clitoris est bien gros comme une
cerise, volumineux et saillant à souhait, avec la crème spéciale. Tes mamelons
sont aussi gros, longs et saillants, avec la même crème.
Mes mamelons
et mon clitoris sont complètement tendus et très dur au point de me faire
vraiment mal, mais le plaisir surpasse le douleur, malgré le vent frais sur mes
mamelons et mon clitoris.
Le Comte se
retire et m’enduit les mamelons et le clitoris, sous la douche. Je dois garder
ma barre rigide et marcher à petits pas.
Il fixe une
laisse à mon collier, je le suis, pieds nus sur le marbre froid du couloir,
avec mon gode anal en place.
- Je vais te
retirer ce gode et tu vas te restaurer, tu as faim.
Je dois
m’asseoir cul nu, je retrouve le contact du cuir.
- Désormais,
pendant ton séjour, tu gardes toujours les yeux baissés, la bouche entrouverte
pour sucer le sexe que tu dois constamment regarder. Tu es désormais, enculée
et fouettée tous les jours, à n’importe quelle heure, même avant ou après les
ébats avec Adam et Hadès. Ils sont là pour t’élargir, cinq centimètres de
diamètre, hors le nœud qui a la taille d’une balle de golf. N’ai aucune
crainte, ton œillet va s’habituer très vite. La cravache et la chicotte te
seront donnés. Faites venir Adam, prosterne-toi pour te faire enculer, Miel.
Adam est un
superbe berger allemand. Son nœud m’écartèle lors de sa sodomie d’une seule
traite. Je gémis un peu.
- Tu vas
rester avec lui, une bonne demi-heure, le temps qu’il te fasse et éjacule.
Hadès te prends en suite, tu ne peux te dérober à leur nœud.
Un chien qui
m’encule, je suis en plein cauchemar.
Dès le
retrait d’Adam, Hadès, un superbe doberman m’encule, l’anus dégoulinant. La
saillie dure trois quart d’heure. Je dois lui plaire.
On me cravache
ensuite, les fesses, les cuisses sur le devant et l’arrière. Je dois compter
les coups, prosternée et l’homme qui me cravache, m’encule sauvagement et
éjacule dans ma bouche. Je suis pantelante.
Je découvre
la chicotte aussi. C'est un engin fait en deux parties, d'une part un manche en
bois verni et de l'autre une tresse en cuir, reliés ensemble par une boucle qui
forme charnière, de telle sorte que, quand on l'utilisait avec habilité, le
coup de poignet sur le manche donne encore plus de vitesse à la tresse en cuir.
Elle est maniée à la perfection sur mes fesses brûlantes avant d’être enculée
par Hadès.
- Insère-lui
le gode Anal XX, pour l’élargir.
Mes fesses
brûlantes sont bien écartées et je sens le gode anal, moulé sur un mandrin en
érection, qui est en fait un vibromasseur avec un puissant va-et-vient,
réaliste, veiné, me remplir sur trente-deux centimètres et sept de diamètre. Sa
base ne me permet pas que je puisse l’expulser. Trois chaînettes pendent,
attachées à trois petits trous percés
dans la base. Ma taille est enserrée par une étroite ceinture et l'on y
accroche les trois chaînettes, une par derrière qui suit le sillon des fesses,
et les deux autres par-devant, qui longent le pli des aines en contournant le
triangle pubien.
- Elles sont
ajustées au plus court, pour forcer et distendre ton œillet. Elles sont
cadenassées pour que tu ne puisses pas te soulager. Tu restes nue, tout le
temps. On te le retire qu’entre le repas de midi et la tombée du jour, le temps
de tes saillies. Après dix heures de port, tu es enculée par tous les sexes à
ta disposition, menottée à ton lit, prosternée. D’ici le 17 février, tu seras
bien ouverte.
Les
va-et-vient du vibromasseur me font jouir, enculée par un amant infatigable. On
m’insère aussi des godes canins pour que je m’habitue.
Fouettée,
enculée, saillie, je me soumets à mes amants, soit dans ma chambre, soit au
salon, soit dans le jardin, devant des amis du Comte.
17 février
Au lever du
soleil, les fesses cravachées, assise sur une chaise, dos à celui qui me
cravache, je suis enculée par un nouveau sexe. En fait, je découvre un superbe
dogue allemand, Lancelot qui m’encule.
Je dois me
prosterner pour recevoir la totalité de son sexe, vingt centimètres de long et
six de diamètre jusqu’au nœud. Je reste attachée à lui, plus de trois quart
d’heure avec une double éjaculation dans mon anus.
Lancelot
m’encule à plusieurs reprises, car je ne porte plus le gode anal. Le Comte est
fière de moi, sa pute, la prostituée d’Alban, sa chienne. Je suis fière d’être
une prostituée digne, du plaisir anal.
Alban me
fait signer des papiers en langue locale, que me remet le Comte, faisant de moi
sa soumise et la femme facile aux autres hommes.
Profitant de
ma perte de connaissance après trois saillies par Lancelot, je suis percée. Je
porte un anneau doré à chacune de mes grandes lèvres et un anneau avec une
pierre précieuse à mon gros clitoris tendu à l’extrême.
Ce sont mes
signes de reconnaissance par les amis du Comte et les hommes qui sont affiliés
à Alban.
Vers midi,
après un dernier déjeuner, nue, fardée, je suis autorisée à quitter l’île, mes
carcans de cuir me sont retirés. Je porte une robe pour le grand soleil
composée d'une jupe éventail, qui se retrousse d'un geste, mais toujours à
corselet montant jusque sous les seins, et portée avec un boléro fermé au cou.
Il suffit d'enlever le boléro pour que les épaules et les seins soient nus, et
sans même enlever le boléro, de l'ouvrir, si l'on désire voir les seins. Je me
suis habituée à avoir constamment mes fesses, mes jambes et mes seins nus, à
être exhibée, fouettée et enculée comme une pute soumise. Je garde mes mules à
hauts talons à mes pieds nus.
A la
descente de l’embarcadère, après la remontée de la rivière, je retrouve la
limousine. Je suis seule à l’arrière, assise cul nu, la jupe relevée, exhibant
mon pubis velu et mes anneaux dorés au chauffeur, un superbe étalon africain.
Escortée à
la sortie du portail sécurisé, la limousine est escortée par un véhicule blindé
léger, deux motards à l’avant et une voiture banalisée à l’arrière. Nous
rejoignons un nouveau lieu à deux heures de route, loin du centre-ville et près
de la plage et du port de la capitale.
Je descends
devant un luxueux complexe résidentiel, escorté par des gardes du corps armés.
Je suis
invitée à entrer dans un bunker sécurisé par un souterrain.
Je franchis
plusieurs portes blindées et enfin, je retrouve la lumière.
- Voici,
Miel, la fiancée d’Alban, je suis Prince Jason, frère du ministre du tourisme.
Tu es désormais ma soumise. Ta suite au Royal Palace est toujours disponible.
Ton œillet est maintenant élargi, tu portes aussi la bague à ton annulaire
gauche. Relève ta jupe que je vois tes anneaux.
J’obéis.
- J’aime les
femmes naturelles. Je sais que tu aimes te faire saillir par tes amants canins
tout autant que les hommes. Tu es devenue aussi bisexuelle. Connais-tu
l’inceste, ma belle Miel ?
Les yeux
baissés, nue, devant Jason, les cuisses écartées, je n’ose répondre :
- Non,
jamais un membre de ma famille ne m’a jamais jouir.
- Donc, ton
neveu, qui travaille pour le ministère du vice, va passer quelques heures à
t’enculer. Ton œillet lui est destiné aussi. Alban possède toutes les photos et
les vidéos de ton éducation depuis ton arrivée. Il est ravi de ta prostitution.
Je ne peux
refuser. Jason exhibe son imposant mandrin long de quarante centimètres et six
de diamètre. Je le suce, accroupie, sans les mains, tandis que mes fesses
reçoivent des coups de chicotte.
Un bel
étalon brun musclé nous rejoint, nu, doté d’un mandrin long de trente-cinq
centimètres et huit de diamètre.
- Voici, la
fameuse Miel, la chienne du Comte César, tu vas me sucer aussi, pendant que
Jason va t’enculer.
Je dois
m’offrir, en appui sur mes bras en arrière et sur mes jambes écartées, Jason
m’encule jusqu’aux testicules, en me tenant les hanches.
Tout en
suçant mon neveu Nathan, en retardant mon orgasme anal, je coulisse sur le
mandrin de Jason.
- Ton œillet
est bien élargi et chaud, ma chienne Miel.
Cela
m’excite, mon clitoris et mes mamelons sont tendus à l’extrême par le vent
frais.
Jason se
retire avant mon orgasme anal, Nathan prend sa place. Nous sommes agenouillés,
Nathan m’enculant jusqu’aux testicules, mon dos contre son buste musclé. Je
mouille de plaisir. L’inceste me plait. J’aurai du me faire baiser plus tôt par
Nathan. Jason masse les lèvres humides de ma chatte, surtout mes grandes lèvres
et mon clitoris percé, Nathan me pelote les seins aux mamelons tendus.
- Nathan,
Miel mouille de la chatte, cela vaut quelques coups de chicotte. Elle est toute
excitée.
- Tu
mouilles, Miel, mais tu es une sacrée chienne pour être trempée. Tu adores ça,
les gros sexes dans ton œillet de soumise.
Je n’ose
répondre, hochant la tête.
Son gros
mandrin m’écartèle l’anus mieux que Lancelot.
Jason me
baise simultanément. J’explose en un double orgasme involontaire.
Je suce mes
deux amants, tout en recevant la chicotte sur mes fesses brûlantes.
Je remet en
condition mes deux amants et cette fois, c’est Jason qui m’encule lors d’une
nouvelle double pénétration. Nathan est ravi de me remplir la chatte en feu. Je
me retiens de jouir, mais la vague me submerge, tellement je suis devenue
sensible.
Jason et
Nathan me font saillir par le doberman personnel de Nathan, Arès. Arès m’encule
jusqu’au nœud, à trois reprises.
Pantelante,
je suis enculée en alternance par Jason, Nathan et Arès. On me fouette à la
chicotte pour me redonner de l’énergie.
Vers seize
heures, j’émerge nue, en sueur, en compagnie de Nathan qui m’encule.
- Tu as trop
joui, Miel, Arès t’a conduit à plusieurs orgasmes anaux.
Les sodomies
sauvages de Nathan me font jouir à nouveau.
Jusqu’à
l’aube, après avoir mangé, empalée, enculée sur mes deux amants, je suis
fouettée et saillie.
Je dors
menottée à mon lit, prête à me faire enculer et fouetter à toute heure.
Je suis
agenouillée, accrochée à la chaîne de mon collier, je me dresse ensuite,
accotée face au mur. La chaîne du mousqueton est tendue.
Mes pieds
reposent, nus, bien à plat sur le lit.
Je reçois la
chicotte par le travers des fesses, et je gémis, fouettée à toute volée. Je
reçois quatre coups, en prenant soin de cingler chaque fois ou plus, haut ou
plus bas que la fois précédente, pour que les traces soient nettes. Je gémis
encore, et que mes larmes coulent dans sa bouche ouverte.
L’homme qu
me fouette, m’encule sauvagement et cingle aussi le devant de mes cuisses, en
même temps. Il éjacule sur mes fesses brûlantes. Je m’effondre, allongée sur le
ventre, cuisses écartées.
19 février
A l’aube,
après une ultime série de coups de chicotte, je suis longuement saillie par
Arès.
Au lever du soleil,
Jason vient me voir.
Il examine
mes reins et mes fesses. Il passe les doigts sur les nombreuses traces de la
chicotte, plus ou moins estompées selon leur ancienneté, sur les marques des
carcans. Je ne porte plus mes carcans de cuir.
Jason
m’encule une ultime fois.
Je me douche
devant lui.
- La
prochaine étape de ton éducation sera le port de fers à ta chatte et tu seras
chiffrée sur tes fesses.
Je remet ma
robe et mes mules, fardée et parfumée.
La limousine
sous bonne escorte me conduit à un harem, appartenant à un riche sultan, qui
vient chercher des jeunes filles pour son pays. Le harem est situé entre la mer
et la savane, sous étroite surveillance armée, à trois heures de route de chez
Jason.
Nous
franchissons plusieurs portes.
On me fait
descendre après la quatrième porte et je suis conduite par un des gardes, torse
nu, bien monté.
« Maintenant,
c'est l'heure de la présentation officielle, tu vas être présenté devant le
Sultan ainsi que quelques-uns de ses ministres et à l'issue tu intègre définitivement
le harem. Les seules sorties qui te sont autorisées sont à l'initiative du
Sultan, mais dans le harem, tu seras la favorite »
Dans une
grande salle, je suis exhibée nue, la tête et les yeux baissés, la bouche
entrouverte, devant le Sultan, du triple de mon âge, avec un gros mandrin.
Le Sultan me
caresse les seins, étirant mes mamelons tendus, doigte ma chatte humide,
caresse mon clitoris tendu et enfin, il m’enfonce jusqu’à quatre doigts pour
m’enculer. Je me retiens de jouir, sous les caresses.
Sans
attendre, je suis enculée par le Sultan, à quatre pattes.
- Tu es
libre de jouir, Miel.
Son gros
mandrin m’écartèle davantage que Lancelot.
Il me fesse
aussi.
- Ton œillet
est bien élargi et bien chaud.
Il se retire
avant mon orgasme anal pour éjaculer dans ma bouche.
Un autre
étalon m’encule dans la foulée. Il est encore plus gros que celui du Sultan.
Le Sultan
éjacule dans ma bouche, j’avale tout, empalée jusqu’aux testicules.
Je suis
prise en double pénétration par deux autres étalons très bien montés, suçant
celui qui m’a enculée.
Après deux
heures de double pénétration, dont une saillie anale par le doberman Marquis,
pendant que ma chatte est remplie par le Sultan, je suis en nage, le sperme
dégoulinant de ma chatte et de mon anus entrouvert.
Au harem, je
pénètre seule dans la pièce circulaire qui devait faire plus de 2000 m². Une
porte unique (celle qu'elle vient de franchir !) constituait son seul passage.
Les fenêtres sont rares et ce sont plutôt des étroites ouvertures fermées par
des persiennes fixées aux montants. La lumière passe, la pièce était
parfaitement éclairée. Derrière moi, les lourds montants de la porte sont
refermés après mon passage et j’entends une clef la verrouiller. Au milieu de
la pièce, un bassin de 25 mètres sur 10 est rempli d'eau. Les autres femmes du
harem sont là lui adressant des mots en Arabe que je ne comprends. Elles sont
toutes assez jeunes, guère plus que la trentaine.
Je suis
lavée du sperme, mes hanches sont douloureuses par mes orgasmes que j’ai connu
en quelques heures. Sauf le sperme de ma chatte, pour je sois fécondée.
Malgré la
fatigue, je dois me mettre à quatre pattes, les femmes me godent avec des godes
réalistes imposants, humains et canins que je ne reconnais et je jouis à
nouveau, enculée.
J’ai droit
ensuite à un nouveau gode, dans ma chatte puis dans mon anus. Mes fesses sont
bien ouvertes pour l’enfoncer. Il est différent des autres, trente-cinq
centimètres et huit de diamètre. Le gland est en forme de cloche et le gode est
veiné, en érection.
Même détendue,
je gémis un peu. Je suis enculée sur deux tiers, à plusieurs reprises, pour que
je m’habitue.
Puis les
godes réalistes humains et canins se succèdent avant le gode équin.
Je peux
enfin me reposer.
Je mange
nue, en compagnie des autres femmes, avec les doigts. J’apprends quelques mots
en Arabes. Je suis baptisée la chienne Jasmine.
Dans
l’après-midi, je suis marquée au fer rouge, par un grand étalon africain. Je
suis menottée nue, sur un chevalet, le postérieur plus haut que la tête. Mes
bras sont fixés le long des pieds avants, mes jambes le long des pieds
arrières, et une large sangle m'est passée au niveau de la taille. Mes cuisses,
légèrement fléchies sont empêchées de se resserrer par la largeur de la poutre,
ainsi d'ailleurs mes fesses que je me peux refermer. Mes lèvres de ma chatte
entrouvertes par l'excitation de Juliette. Je suis équipée d’un bâillon-pénis
canin en bouche. Je me découvre masochiste. Ma fesse droite est marquée au fer
rouge puis la fesse gauche. Je connais un orgasme, qui fait ouvrir et se
refermer ma chatte lors de mon orgasme. Mes grandes lèvres roses et l'intérieur
de mes cuisses luisent sous l'effet de
l'humidité que le trou sombre bordé de poils bruns recrache.
Je dors sur
un matelas, je me baigne en compagnie des autres femmes, toujours nue. Les
sodomies avec le gode équin reprennent et me provoquent l’orgasme tant désiré.
Ma chatte et
mon anus sont soigneusement fouillés et lavés. Je jouis.
Je garde ma
toison pubienne et ma chatte velue à la demande exclusive du Sultan.
Au coucher
du soleil, après de nouvelles sodomies par les godes, je suis fardée et
parfumée. Je reste nue sous une jupe longue entièrement transparente dévoilant
mon pubis brun et un corset seins nus, brodé de fils d'or et de paillettes. Sur
mes cheveux, je porte un tchador doré opaque qui laisse juste apparaître mon
visage et quelques mèches brunes.
Je porte
aussi un bijou d’anus moulé sur le gland équin de bonne dimension.
Chaussée de
mules à semelles surélevées et très hauts talons qu'une bande de satin épais,
empêche seule d'échapper au pied nu, je suis un des gardes torse nu. Je garde
mes yeux baissés, la bouche entrouverte.
Nous
franchissons plusieurs portes et escaliers vers les appartements du Sultan, par
des passages secrets, loin des hommes.
Une fois la
porte franchie des appartements du Sultan, je dois seule, nue, en mules, dans
une immense chambre avec des miroirs et des glaces sur les murs et au plafond,
climatisée. Mes mamelons et mon clitoris sont tendus à l’extrême.
Le Sultan
entre en compagnie de deux autres femmes plus âgées, aux seins plantureux, et
d’un superbe dogue allemand Vizir.
Les deux
femmes me font me mettre à quatre pattes sur le lit et me préparent la chatte
et l’anus entrouvert.
Je suce en
alternance le Sultan et Vizir.
Je me retiens
de jouir, lorsque le Sultan me baise.
- Très bien,
Miel, Vizir va t’enculer et va rester attachée à lui, le temps de tes orgasmes
anaux. Je te féconderais ensuite.
La saillie
anale canine dure plus trois quart d’heure, avec quatre orgasmes consécutifs de
plus en plus violents.
Mais la
fatigue, je me fais longuement baisée par l’endurant Sultan, qui retarde son
éjaculation, dans diverses positions du pal au missionnaire.
Dès qu’il a
éjaculé, Vizir me baise pour bien lubrifier ma chatte avec le sperme du Sultan.
Sans
ménagement, nue, en mules, l’anus et la chatte dégoulinant de spermes, je
quitte les appartements avec deux gardes et le conseiller du Sultan.
Il annonce
en Arabe :
- Miel,
direction sodomie aux écuries.
Les écuries
sont partiellement souterraines et faiblement éclairées par la lumière du toit.
Vingt
étalons sont divisés en deux rangées, une sur chaque mur.
Menottées à
un chevalet, chacune des jeunes femmes, se fait remplir l’anus par un sexe
équin, inséré par un garde. Sa bouche est mise à la disposition des gardes.
Je me
retrouve menottée sous le pur-sang arabe Apollon des Vices. Son sexe de
quatre-vingt centimètres en érection, me surprend.
Le
conseiller, Olaf, un superbe étalon Danois, positionne le gland du membre
devenu moins dur sur ma rondelle, commence à pousser. Le sphincter cède et
j’hurle de douleur. Je reçois jusqu’à trente centimètres de sexe équin. J’agite
à m'agiter doucement puis, mon anus se dilatant, accélère le mouvement mais
m'arrête net en poussant un hurlement de douleur: Apollon bande de plus belle,
mais je continue à sucer les gardes, pour étouffer mes cris de douleur. Je
coulisse sur le sexe équin, prise d’un violent orgasme anal, en frottant mon
clitoris contre la barre du chevalet.
- Regarde la
pute chevaline, elle aime se faire enculer par Apollon.
- Elle suce
bien, dit Olaf. Je vais l’enculer après le trotteur français Zéphyr des Haies
et du cheval de selle Tornade Anale.
Pendant ce
temps, Apollon éjacule jusqu’à mon orgasme anal.
On retire
son sexe et Zéphyr le remplace, puis Tornade.
Après les
trois saillies anales équines, mon anus rougi complètement distendu et
boursouflé qui libère un flot de sperme.
Olaf profite
de mon anus distendu, m’encule longuement, tandis que je suce les glands de mes
trois amants équins, pour les nettoyer.
- Tu es une
excellente pute chevaline, chienne et pute, Miel.
Je rentre au
harem, pour un long bain décontractant, mon anus est devenu encore plus
sensible, après ses trois saillies anales équines.
25 février
Après mes
six saillies anales équines de la nuit, jusqu’à l’aube, je reste menottée au
chevalet, pantelante, à moitié évanouie. Le Sultan n’arrive pas à me féconder,
malgré les longs ébats sexuels.
- Miel, tu
es une pute chevaline reconnue, en plus d’être une chienne et une bouche bien
dressée. Mais tu n’es pas apte à assurer une descendance. Je vais te relâcher
du harem. Désormais, si un homme voit tes marques au fer rouge, sur tes fesses,
il en déduit que tu es chiffrée, tu porteras prochainement tes fers à ta
chatte. Alban va les faire réaliser.
Je quitte le
harem, revêtue de ma robe et de mes mules, à bord d’un Ecureuil, les yeux
bandés, avec un bâillon-pénis canin en bouche et un gros bijou d’anus canin. Je
reste assise, cul nu, cuisses écartées.
Le vol dure
une éternité.
L’air marin
cingle mes mamelons et mon clitoris constamment tendus.
L’hélicoptère
rejoint un superbe yacht, « Diamant Eros », appartenant à Sacha, un
proxénète russe qui m’a vue chez le Sultan.
On m’aide à
descendre de l’hélicoptère, me conduit au pont principal. On me déshabille
prestement.
Nue,
immobile, déchaussée, pieds nus sur un tapis, je suis longuement caressée,
chaque ondulation de mon bassin est sanctionnée par la cravache. Je mouille
davantage.
On me retire
le bijou d’anus, une dizaine de mandrins de tous calibres m’enculent
sauvagement. Mes orgasmes anaux sont récompensés par des étirements de mes
mamelons, je jouis davantage, les mamelons sont tellement sensibles.
J’ai même
droit à deux mandrins simultanément dans mon anus distendu. J’explose dans un violent
orgasme anal.
Pantelante,
j’émerge, avec mes carcans de cuir, empalée sur un gros gode réaliste équin,
qui va et vient dans mon anus dégoulinant de sperme, mains jointes à mon cou,
cuisses écartées, dans une chambre entièrement recouverte de glaces et de
miroirs, sur les murs et au plafond. Je me vois jouir, la bouche bâillonnée,
ayant recouvré la vue. J’ai perdu connaissance, par la violence de mes
orgasmes. Le gros gode équin est muni par une puissante machine.
Sacha entre,
nu, avec un mandrin du calibre du Baron, sans savoir que le Baron et Sacha sont
la même personne.
Il me retire
le gode équin et m’encule longuement en retardant mon orgasme et son
éjaculation.
- Tu es
devenue très docile, t’ouvrant plus facilement qu’à tes débuts. Alban va augmenter
son tarif pour de nouveaux clients à ton retour. Chienne, pute chevaline et
esclave sexuelle, naturelle, tu as tous les critères requis. Il faut te faire
ferrer d’ici quelques jours. Le yacht va rejoindre la frontière du Namongo,
pour rejoindre Alban et son jet privé. Tu vas passer quelques jours en ma
compagnie et mes amis, leurs chiens vont monter ma chienne. Alban aime de plus
en plus les photos et les vidéos de sa prostituée.
Il
m’embrasse fougueusement.
Je garde les
yeux baissés.
Je bois
beaucoup de mélanges d’excitants sexuels, qui provoquent de violentes tensions
extrêmes à mes mamelons et à mon gros clitoris.
Je ne compte
plus les orgies que je subis.
Ma chatte et
mon anus restent entrouverts, dégoulinant de spermes humains et canins.
12 mars
A l’aube,
après une nouvelle douche, masturbée par Sacha, je revois le soleil.
Je suis nue,
pieds nus, mains jointes à mon cou.
- Comme
promis, tu seras ferrée. Alban m’a remis tes fers.
Je me
retrouve allongée, sur le dos, sur la table, mes genoux sur mes épaules,
cuisses écartées, avec une barre d’écartement.
On me rase à
l’ancienne mes poils de ma chatte, dégageant aussi l’anus, mais je garde ma
toison pubienne.
On me retire
mes anneaux dorés de mes grandes lèvres de ma chatte humide par un fer pour
chacune. Ce sont des anneaux faits de fer mat inoxydable, comme le fer de la
bague doublée d'or. La tige en est ronde, épaisse comme un gros crayon de
couleur, et ils sont oblongs : les maillons des grosses chaînes sont
semblables. Chacun est formé de deux U qui s'emboîtent l'un dans l'autre avec
un ressort intérieur que l’on force pour le bloquer. Chaque anneau est long
comme deux phalanges du petit doigt, qu'on y peut glisser. A chacun est
suspendu, un anneau qui doit être dans le même plan que l'oreille et la prolonger,
un disque de même métal aussi large que l'anneau est long. Sur une des faces,
le sceau du Sultan niellé d'or, sur l'autre, mon nom, Alban, mes Maîtres
successifs, et au-dessous, un fouet et une cravache entrecroisés. Ils sont
rivés.
Les fers qui
trouent mes grandes lèvres et me descendent jusqu'au tiers de la cuisse, et à
chacun de ses pas bougent entre mes jambes comme un battant de cloche, le
disque gravé étant plus lourd et plus long que l'anneau auquel il pend.
Après leur
mise en place, je suis longuement enculée par des dizaines d’inconnus, les yeux
bandés. Je ne sais si Alban est présent.
Je suis
douchée, fardée et parfumée, ayant recouvré la vue, peu avant midi. Je couvre
mes seins nus et libres de mon chemisier fuchsia et d’une jupe ample blanche,
sur mes fesses et mes jambes nues, mes pieds nus aux ongles vernis sont
chaussés de mules à hauts talons et je suis coiffée d’une queue-de-cheval.
- Tu es très
belle, ma belle Miel, surnommée Chienne Anale.
Une valise
est remise discrètement à Sacha. On me retire mes carcans de cuir.
Je monte à
bord du Dauphin. Je suis assise cul nu, cuisses écartées. J’ai hâte de
retrouver Alban, après un mois d’absence.
Le Dauphin
atterrit sur l’aéroport privé et sous haute protection.
Alban
m’embrasse, me caresse discrètement mes seins aux mamelons durcis par
l’excitation. Il me prend la main et me conduit vers le Falcon 7X, immatriculé
aux Bermudes.
Je retrouve
le Baron, seul sans Amandine, et ma nouvelle garde-robe.
- Miel, nous
rentrons à Copenhague avec une escale à Marrakech. Les formalités ont été
accélérée. Tes bagages du Royal Palace sont déjà à Copenhague. J’ai déjà fait
le tri.
Pendant le
vol jusqu’à Marrakech, nue, je suis prise en double anale par Alban et le
Baron. Je jouis après leurs accords.
En milieu
d’après-midi, à l’aéroport de Marrakech, nue sous une robe longue, avec mon
tchador, en mules à petits talons, je croise le regard du Sultan, qui vient
d’embarquer quelques favorites, à bord de son A380 privé, immatriculé aux îles
Caïmans.
- Mes hommages,
ma belle pute chevaline Miel, tu es resplendissante.
Je perds
connaissance en m’asseyant au salon de l’aéroport.
Un docteur
m’examine.
- Elle porte
les signes d’une grossesse. Il faudra prévenir le futur père.
Nous
rentrons à Copenhague.
Dans une
discrète villa sous haute sécurité, je retrouve Vizir, Lancelot et Arès, mes
amants canins. Je passe des journées nue, à disposition de mes amants canins,
visionnant mes ébats de soumise sexuelle, qui augmente mes orgasmes anaux. Je
n’ai nul besoin de me caresser pour jouir. La villa est financée par mes
multiples ébats de soumise sexuelle.
Alban
m’encule, laissant ma chatte destinée à libérer mon premier enfant.
Je suis
invitée à des orgies anales, dans des soirées privées. Mon endurance comble mes
amants.
Neuf mois
après, je donne naissance à des jumeaux, la fille Chantelle et le fils Alban.
Je continue mes séances BDSM, comme maîtresse pour soumis. Le Sultan m’offre
une belle fortune, car il est le père, après les tests ADN.
Mes chéris, si vous souhaitez me remplir mon œillet,
je suis à tout à vous, votre Miel chérie.
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