Je m’appelle Cyrielle.
J’ai 22 ans.
Je suis une jolie beauté scandinave. J’ai une sœur
jumelle, Shawn.
Je suis une
brune aux yeux verts. J’ai des pieds fins et latins, des jambes longues
bronzées, musclées qui inquiètent par leur perfection. Mon pénil est bombé,
ouvert, couronné de noir. Ma pilosité brune couvre mon pubis. Je suis
totalement velue entre les cuisses et j’ai une superbe croupe. Les lèvres de
mon sexe sont une plaie rouge entre mon entrecuisse velue. Mes hanches
s'incurvent et délimitent le ventre plat, délicieusement renflé autour du
nombril, les hanches sont larges et rondes, mais sans lourdeur. La taille est
affinée. Les seins parfaits intégralement bronzés sont un peu volumineux mais
fermes, et leurs pointes marron clair, toujours dressées, cernées par une large
aréole marron attirent le regard. J’ai une peau lisse et patine. Finition
parfaite, un seul grain de beauté entre mes superbes seins. De longs cheveux
plats blonds flottant comme des algues, battent mes épaules rondes et
gracieusement athlétiques. Je suis intégralement bronzée. Mes yeux verts
limpides s'allument, ma bouche charnue se fend. J’ai des sourcils bruns bien
dessinés et des lèvres pulpeuses. J’ai de longs doigts fins et de belles mains.
Je fais du 85B de poitrine, 56 de taille, 90 de hanches, 1,72 m.
JUMELLES
DRESSEES
Je suis encore étudiante, vierge, à vingt-deux ans. Mais je connais les
plaisirs des caresses par ma sœur jumelle, Shawn. Mes mamelons et mon clitoris
sont devenus sensibles, dès la moindre caresse, depuis mon adolescence. Shawn
est intégralement épilée.
Shawn collectionne les aventures voir avec trois ou quatre étalons. Je
me refuse à toute pénétration d’un mandrin dans ma chatte de lesbienne ou mon
anus encore vierge. Shawn se fait jouir en double pénétration, surtout en
compagnie d’un de ses amants, le bel étalon musclé Xavier Sacha, le fils d’un
comte très connu. Il a tenté de me draguer, mais je me suis refusée, je suis
très capricieuse, j’aime choisir mes amies lesbiennes.
20 juin
Par une chaude après-midi, dans notre appartement au second étage,
Shawn reçoit Xavier Sacha, pour faire l’amour au salon.
Shawn est totalement nue, en sa compagnie.
Je me réfugie dans ma chambre, nue à mon tour. Je me doigte avec un
plaisir calculé ma chatte toute humide, mon clitoris est tendu à l’extrême. Que
je suis belle dans le désir.
Je fantasme sur une amie qui me fait jouir. Cuisses écartées, je prends
mon gode réaliste long de vingt-deux centimètres et cinq de diamètre que
j’enfonce en partie, pour ne pas me déflorer.
- Shawn, c’est ta sœur Cyrielle qui prend son pied. Elle jouit bien.
- Laisse-la, elle aime se caresser en solo. J’avoue qu’un jour, elle se
fera jouir avec un vrai mandrin.
- Ta sœur est lesbienne. Tout le monde, surtout les étalons rêvent de
baiser ta sœur.
- Cyrielle raffole de jouir sous la langue jusqu’à l’orgasme.
Xavier Sacha quitte quelques instants Shawn et vient me voir, par la
porte entrouverte.
Un miroir reflète mes va-et-vient de mon gode entre mes lèvres humides.
J’ondule mon bassin.
Xavier Sacha me photographie discrètement et il éjacule sur ma toison
pubienne, lors de mon orgasme.
Il disparaît.
Quand j’émerge, Shawn est seule, douchée.
- Ma chérie, tu as tapée dans l’œil de Xavier Sacha. Il dirige un
studio de photos, il souhaite faire une série de photos de toutes les deux, les
jumelles.
- Je dois refuser. Xavier Sacha est un vicieux, il aime renifler mes
strings. Au fait, je n’ai pas jamais retrouver mon string en satin blanc.
- Tu te trompes. Les amis de Xavier Sacha sont charmants. Bien sûr, tu
veux rester vierge pour ton prince charmant.
Quand je me douche, je découvre des tâches blanches sur ma toison
pubienne. Je goûte et découvre pour la première fois le goût du sperme. C’est
particulier.
Le téléphone sonne.
- Xavier, tu veux nous voir tout de suite à ton studio avec Cyrielle.
- Oui, j’ai un contrat pour toutes les deux. C’est pour arrondir vos
fins de mois.
- Mais, Cyrielle va refuser.
- Cyrielle est une vicieuse refoulée. Les photos vont la mettre en
valeur. J’ai éjaculé sur elle tout à l’heure. Elle va changer d’avis.
Il raccroche.
Je sors de la salle de bains, toute nue.
- Xavier, te veux pour une séance photo de toutes les deux. C’est bien
payé.
On sonne.
Xavier débarque.
- Allez, Cyrielle, habille-toi sexy. Surtout, ni strings, plus de
soutien-gorges, vos seins et vos chattes doivent toujours être nus sous vos
vêtements et ton entrejambe jamais dissimulées. Choisissez des jupes pas plus
longues que le milieu de vos cuisses et un tee-shirt. Des sandales à hauts
talons à vos pieds nus, pour les mettre en valeur.
Xavier choisit ma tenue : une mini-robe couvrant à peine mes
fesses, fuchsia, sur mes seins nus, tout le monde peut voir que j’ai les fesses
nues. Je chausse mes sandales à hauts talons blanches.
- Montre-moi ta chatte pour quelques photos, Cyrielle.
J’obéis.
Shawn porte une robe similaire blanche et des escarpins blancs. Je me
coiffe d’une queue-de-cheval, maquillée.
Nous prenons sa BMW cabriolet. Je suis assise à ses côtés, la jupe
relevée, assise cul nu, cuisses écartées.
Nous quittons le centre-ville, pour les hauteurs, dans un quartier
résidentiel sécurisé.
- C’est là, que tu habites, dit Shawn.
- C’est une villa que je loue à Brice Mon Plaisir, un riche mécène en
galerie de photos.
- Cyrielle, tu mouilles d’excitation. Je sais que tu es une vicieuse
refoulée.
- Non, Xavier, la villa m’intéresse.
Nous franchissons le portail, un berger allemand vient me flairer quand
je descends de la voiture.
- Alors, Adam, Cyrielle te plait. Elle va te câliner tout à l’heure.
Devant le maître-chien, Xavier soulève ma jupe pour exhiber mes fesses
nues et musclées.
- Tout en charme, elle est mieux que certaines, dit le maître-chien. Sa
sœur jumelle, je l’ai déjà enculée dans les toilettes.
- Oui, Dan, c’était explosif, dit Shawn, devant moi.
Au salon, Brice nous accueille. Il a le double de l’âge de Xavier.
- Voici les jumelles, Cyrielle et Shawn, elles ont du potentiel. Des
yeux verts, Cyrielle est naturellement velue, j’ai des clients pour elle, quant
à toi, Shawn, intégralement épilée, plus libertine, tu vas gonfler les entrées
dans les galeries. Le duo de haut de gamme, sexy, coquine et prête à la gloire.
J’oublie, j’accepte les lesbiennes comme modèle photo.
Xavier nous conduit dans le studio au rez-de-chaussée, attenant au
salon. Brice monte à l’étage.
- Mettez-vous toutes nues. Toi, Shawn, enfile ce harnais. Cyrielle doit
jouir doublement godée.
Je me retrouve à quatre pattes. Shawn me doigte profondément ma chatte
encore trempée de ma séance photos pour Xavier. Je jouis, surtout quand elle caresse
mon clitoris tendu.
Shawn enfile le harnais doté de godes réalistes, le vaginal mesure
vingt centimètres de long et six de diamètre et l’anal mesure dix-huit
centimètres de long et quatre de diamètre.
Shawn m’enfonce les deux godes simultanément. Je gémis, l’anus encore
vierge et le gode m’écartèle. La vague de plaisir de mon bassin qui ondule,
trahit mon plaisir.
Xavier m’exhibe son mandrin long de trente-cinq centimètres de long et
six de diamètre.
- Suce, ma belle, tu vas aimé. Tu es belle dans le désir, tu es une
sacrée vicieuse, deux godes réalistes rien pour toi.
- Dis donc, Cyrielle est réceptive à deux godes en simultané. Elle est
très coquine, dit Shawn.
Au bout d’un quart d’heure, Shawn se retire, mais inverse les godes. Le
gode de six m’écartèle davantage, mais la seconde sodomie est plus aisée. Je
continue à sucer Xavier.
Après mon second double orgasme, la chatte dégoulinante et l’anus
entrouvert, la bouche remplie du sperme de Xavier, pantelante, je suis entourée
de superbes étalons musclés bien montés.
- Maintenant, double pénétration avec de vrais mandrins, la novice
Cyrielle, tu vas encore jouir. Shawn, tu as l’habitude.
Je m’empale sur le premier étalon qui me baise, ma chatte est bien
déflorée sans douleur, le second m’encule simultanément. Pour étouffer mes
râles, je suce deux autres partenaires.
Dès qu’ils ont éjaculé en moi, sous l’objectif et la caméra qui filme
tout depuis ma scène lesbienne avec Shawn, je m’encule, dos au troisième
étalon, qui l’a aussi grosse que Xavier, toujours avec les jambes ouvertes pour
permettre la double pénétration. Le quatrième me baise vigoureusement. Je
connais un violent double orgasme, suçant les cinquième et sixième étalons.
Pour eux, le cinquième me prend dans ses bras, je l'entoure avec mes
jambes et me baise. Le sixième homme m’encule, me soutenant également une
partie de mon poids par derrière.
Accroupie, cuisses écartées, je nettoie et avale le sperme de mes six
partenaires.
Pantelante, la chatte et l’anus dégoulinant de spermes, je suis complimentée
par Xavier :
- Tu es une vraie vicieuse. Les doubles pénétrations ont stimulé ton
excitation, tes mamelons et ton clitoris sont encore tendus. Tu mouilles
abondamment.
- Xavier, je ne suis pas vicieuse. Je suis lesbienne. C’est du viol.
- Je vais te dresser, Cyrielle, en une chienne obéissante. Shawn a
compris rapidement, ses photos sont déjà en vente. Je vais te menotter au
chevalet et tu vas obéir.
Rapidement, je suis solidement immobilisée dans cette posture
dégradante, le postérieur plus haut que la tête. Mes bras sont fixés le long
des pieds avants, mes jambes le long des pieds arrières, et une large sangle
m'est passée au niveau de la taille. Mes cuisses, légèrement fléchies sont
empêchées de se resserrer par la largeur de la poutre, ainsi d'ailleurs mes
fesses que je me peut refermer. Toute mon intimité est ainsi très accessible et
on peut me faire tout subir.
Xavier m’encule jusqu’aux testicules et me fesse magistralement pour me
punir. Je connais un violent orgasme anal qui le fait éjaculer sans son accord.
- Je vais te cravacher pour ton comportement de chienne, tu as mon
mandrin pour prendre ton pied.
Il me cravache à toute volée, quatre fois, en prenant soin de cingler
chaque fois ou plus, haut ou plus bas que la fois précédente, pour que les
traces soient nettes, sur les fesses et fait de même sur le devant de mes
cuisses. Le tout dure cinq minutes.
Mais je découvre qu’humiliée, exhibée, cravachée, je mouille davantage.
- Tu ruisselles, en plus, Cyrielle. Mais tu aimes ça. Passons aux choses
sérieuses, Adam va t’élargir.
Adam est le superbe berger allemand qui m’a flairé.
Son sexe de dix-sept centimètres et cinq de diamètre avec son nœud
m’écartèle l’anus. C'est le bulbe, ou noeud, me remplit l’anus. L'ampoule est
composée de tissu musculaire qui se gonfle de sang pendant les rapports sexuels
et gonfle à un diamètre significativement plus grand que celui du pénis
lui-même. Je me détends et je connais quatre orgasmes anaux de plus en plus
violents, sous ses va-et-vient puissants. Au bout de trois quart d’heures, il
éjacule longuement en moi et je dois le sucer pour le récompenser.
Quand j’émerge, je suis menottée dans une luxueuse chambre avec de
nombreux miroirs et glaces sur les murs et au plafond, bras et jambes écartées,
allongée sur le dos. Adam est couchée sur moi, sa fourrure frotte mon clitoris
tendu à l’extrême et ma chatte humide, m’enculant jusqu’au nœud. La saillie
anale canine dure à nouveau trois quart d’heure.
Les yeux baissés, je dois sucer Dan, qui m’encule aussitôt, Adam s’est retiré.
Je ne compte plus mes sodomies. Mon anus s’est un peu élargi, mais je
suis encore un peu étroite, selon Dan.
- Xavier t’a bien marquée. Le gode Brutus va bien t’écarteler, quinze
centimètres de long et huit de diamètre, la taille d’une balle de tennis. Il
est muni d’un va-et-vient pour te faire jouir. Dans quatre jours, tu seras
prête. Tu le garde constamment, sauf si Adam ou un autre chien veut t’enculer
ou si tu veux te soulager.
Dan m’enfonce le gode sans difficultés dans mon anus entrouvert. Je gémis
un peu, mais le sexe canin m’excite.
La base du sexe canin, se trouvent trois petits trous percés avec trois
chaînettes qu'il attache à une étroite ceinture autour de ma taille, et l'on y
accrocha les trois chaînettes, une par derrière qui suit le sillon des fesses,
et les deux autres par-devant, qui longent le pli des aines en contournant le
triangle pubien.
- Je les ajuste au plus court, pour t’écarteler et je les cadenasse,
pour lorsque tu es seule, tu ne puisse pas te soulager de cette contrainte.
Les va-et-vient provoquent une ondulation violente de mon bassin. Le
gode s’allonge et rétrécit à chaque mouvement de va-et-vient grâce à son
enveloppe qui s’étire ou se contracte en suivant les montées et descentes du
gode.
Je le garde huit à dix heures pour ma première journée. Shawn est
surprise de me voir transformer. Shawn a été fouettée aussi.
24 juin
Vers 8 heures, j’émerge de ma courte nuit, violée de nombreuses fois
par des inconnus et les bergers allemands Adam et son frère Balzac, mon anus a été
assoupli par le gode Brutus. J’ouvre sur commande. Je garde toujours les yeux
baissés, la bouche entrouverte, les cuisses écartées, pour offrir ma chatte et
mon anus à mes amants. Je porte depuis quelques heures, un anneau doré à
chacune de mes grandes lèvres de ma chatte humide et mon clitoris s’est
transformé par une mystérieuse crème que l’on a appliqué, gros comme une
cerise, saillant et volumineux, percé d’un anneau serti d’un saphir. Mes
mamelons ont subi le même traitement, ils sont saillants, gros et longs. Ils
sont hyper sensibles. Le moindre frottement de tissus ou même l'air sur mes
mamelons et mon clitoris me provoquent une excitation énorme. Mes mamelons
pointent désormais, vingt quatre heures sur vingt quatre et de même pour mon
clitoris et ils sont constamment tendus et sensibles. Je porte aussi un collier
en cuir, avec l’identité Chienne Saphir.
Je suis longuement enculée, dès le retrait définitif du gode, menottée
au chevalet.
Shawn porte elle aussi des anneaux dorés à ses grandes lèvres de sa
chatte et un anneau à son clitoris avec une pierre précieuse, son collier porte
l’identité Cœur SM. Elle porte marquée au fer rouge sur les reins MSBD pour Mes
Sévices Bijou Désir.
Je nettoie mes amants et une dernière saillie anale par Adam et Brutus.
Je suis longuement cravachée sur les fesses et les cuisses.
Shawn me douche longuement, je connais mon premier lavement anal avec
une poire de douche remplie d’eau froide.
Vers dix heures, une fois propre, je revêts une nouvelle robe pour le
grand soleil composée d'une jupe éventail, qui se retrousse d'un geste, mais
toujours à corselet montant jusque sous les seins, et portée avec un boléro
fermé au cou. Il suffit d'enlever le boléro pour que les épaules et les seins
soient nus, et sans même enlever le boléro, de l'ouvrir, si l'on désire voir
les seins. Je chausse des mules à hauts talons assorties, en blanc. Je garde ma
queue-de-cheval.
A bord de la BMW cabriolet, je m’assois cul nu, la jupe relevée, sans
mon boléro, à côté de Xavier, exhibant ma chatte au vent frais. Mon clitoris et
mes mamelons sont tendus à l’extrême, avec le vent. Je me retiens de gémir, la
chatte caressée par Xavier. Je porte un bijou d’anus moulé sur le devant du
sexe d’Adam, pour me rappeler combien je suis une chienne.
Nous traversons la forêt puis la campagne, pour rejoindre le
« Domaine de Chasse », un vaste parc avec un château et des pavillons
de chasse, des écuries et des jeunes filles.
Avant mon arrivée, Xavier me remet mon masque de nuit, pour m’aveugler.
Nous franchissons un portail gardé par des maîtres-chiens, dont les
chiens aboient à mon passage.
Nous remontons une longue allée, escortés par des chevaux. On me
complimente sur ma chatte velue.
Nous stoppons devant le pavillon central du château. On m’aide à
descendre, on me fixe des bracelets de cuir, à mes poignets et à mes chevilles.
Ils sont faits : en plusieurs épaisseurs de cuir (chaque épaisseur assez mince,
au total pas plus d'un doigt), fermées par un système à déclic, qui fonctionne
automatiquement comme un cadenas quand on le ferme et ne peut s'ouvrir qu'avec
une petite clef. Dans la partie exactement opposée à la fermeture, dans le
milieu des épaisseurs de cuir, et n'ayant, presque pas de jeu, il y a un anneau
de métal, qui donne une prise sur le bracelet, si on veut le fixer, car il est
trop serré au bras, bien qu'il y a assez de jeu pour ne pas du tout blesser,
pour qu'on y peut glisser le moindre lien.
Mes bracelets sont fixés ensemble, derrière mon dos, les deux anneaux.
Je franchis la porte du hall d’entrée, mes mules claquent sur le
marbre.
Je me retrouve rapidement nue.
Des mains inconnues forcent ma bouche entrouverte, étirent et pincent
mes mamelons tendus, caressent ma chatte trempée et mon gros clitoris percé. Je
tente de résister à la jouissance, une vague me submerge.
Le bijou d’anus est retiré et je suis doublement doigtée.
Des langues me lèchent la chatte, d’autres doigts fouillent mon anus
entrouvert.
- Elle est très belle, naturellement velue. Son écrin est apte à porter
des fers, son œillet est bien assoupli, Adam et Balzac l’ont bien préparé.
Cette ancienne lesbienne va devenir une femme facile, enviée de tous les hommes
qui la désirent. Sa sœur Shawn a déjà une facilité de soumise. Notre chienne
sera plus encore, finis les caprices, se sont les hommes qui en feront leur
soumise.
Je suis
prise en double pénétration, mon dos contre le buste musclé de celui qui
m’encule, un autre bien monté me baise simultanément. Mes mamelons et mon
clitoris sont tendus à l’extrême, mes seins sont massés. Je dois retarder mon
double orgasme.
Puis je
suis offerte, allongée sur le dos, cuisses relevées et bloquées par des
inconnus qui m‘enculent sauvagement.
Les deux dogues allemand, Lancelot et Romulus, avec un sexe long de
vingt centimètres et six de diamètre prennent le relais. Je suce un et l’autre
m’encule. Le nœud du dogue m’écartèle davantage. J’enchaîne orgasmes sur
orgasmes. La saillie dure d’une bonne demi-heure à trois quart d’heure selon
l’excitation des dogues allemands.
Les deux
dogues jouissent ensemble et me remplissent de concert mes deux orifices me
faisant prendre mon pied une dernière fois. Je suis épuisée.
Vers
quinze heures, j’émerge, je suis menottée au chevalet, offerte, cravachée à
toute volée, pour tester mon plaisir. La garcette m’est donnée aussi. Elle est
faite de cordes assez fines, faite de sept lanières terminées chacune par
plusieurs nœuds, et qui sont toutes raides, trempées dans l'eau, on m’en
caresse l’intérieur de mes cuisses, les cordes sont humides et froides contre
la peau tendre de l’intérieur de mes cuisses.
Je suis à
nouveau enculée et mes fesses sont recouvertes de spermes, ma bouche est
remplie aussi de spermes que j’avale.
Vers
dix-sept heures, on me détache, on me retire mon masque de nuit. La pièce est
immense, avec de nombreuses porte-fenêtres grandes ouvertes, décuplant la
tension maximale de mes mamelons et de mon clitoris.
Nue, en
mules, pantelante, en sueur, les yeux baissés, la bouche entrouverte, j’écoute
l’homme qui m’a parlé :
-
Désormais, tu es Chienne Saphir, vouée à tout plaisir au « Domaine »,
humain et canin. Tu es la seule nue au « Domaine », les autres filles
sont vêtues, car elles sont intégralement épilées. Tu vas porter le gode Jason
doté d’un puissant va-et-vient, pour te faire jouir sur commande. Bien sûr, on
te le retire pour ton bain et tes besoins avec lavement anal.
Il m’est
inséré jusqu’aux testicules réalistes contre mes fesses, mesurant trente-cinq
centimètres de long et huit de diamètre, veiné, avec des chaînettes accrochées
et cadenassées à ma ceinture de cuir, il s’allonge et rétrécit à chaque
mouvement de va-et-vient grâce à son enveloppe ultra-souple qui s’étire ou se
contracte en suivant les montées et descentes du gode, infatigable.
Deux
jeunes femmes, vêtues d’un corset seins nus sous une mini-robe fendue devant,
dévoilant leurs pubis et leurs chattes totalement lisses, tatouées à l’encre
noire, les fesses nues derrière, en mules à très hauts talons, m’escortent.
J’ai les mains libres. Je n’ose me caresser. Mon bassin ondule sur le gode.
Nous montons
un escalier en marbre vers le premier étage.
A chaque
palier, des hommes nus, cagoulés, les mandrins en érection, bien montés,
musclés, me toisent, me caressent les
fesses brûlantes et ma chatte humide d’excitation.
Nous
prenons un long couloir menant au pavillon des « Chiennes ». je
découvre des cellules sans porte, avec des filles enculées par des chiens,
suçant les hommes cagoulés.
Je
découvre Horace, un superbe étalon musclé Africain, au mandrin imposant,
cagoulé, nu et botté.
- Voici la
fameuse Chienne Saphir, j’ai dressé ta sœur jumelle Cœur SM l’année dernière,
elle a appréciée de se faire saillir. Ancienne lesbienne, devenue bisexuelle
soumise, tu es très recherchée au « Domaine ». Je vais t’enculer
avant ton bain. Tu as interdiction de te faire jouir et de me faire éjaculer
sans mon autorisation.
Menottée
sur le chevalet, dans une grande pièce entourée de miroirs et de glaces, sur
les murs et au plafond, l’anus libre, je suis sauvagement enculée sans répit,
fessée magistralement, devant les deux femmes voyeuses, les yeux baissés, la
bouche entrouverte.
Le mandrin
d’Horace mesure la même dimension que celui de Jason.
Ecartelée,
je me retiens, mais l’orgasme anal est plus fort que moi et Horace éjacule en
moi.
- Tu es
une sacrée jouisseuse. Tu seras punie pour ton orgasme non désiré.
Je suis
longuement cravachée et punie à la garcette sur mes fesses encore brûlantes.
- Tu
adores ça, tu as la chatte toute trempée.
Il me
libère et me conduit dans une petite salle de bains, avec juste une baignoire transparente
accessible par des marches. Il me menotte les bras tendus au-dessus de la tête,
je suis accroupie, cuisses écartées, entourée de miroirs et de glaces sur les
murs et au plafond. Une canule inonde mon anus d’eau froide pour que je sois
propre. Les deux femmes me lavent avec une grosse éponge. Je dois me retenir de
jouir sous leurs caresses érotiques. Horace me doigte longuement ma chatte,
pendant mon lavement. J’ondule du bassin.
A la
sortie du bain, je me sèche devant Horace. Il observe mes fesses zébrées et me
menotte au chevalet, la porte-fenêtre est grande ouverte.
Le jour
est tombé et Horace m’annonce :
- Tu vas
garder le gode Jason jusqu’à l’heure de la nuit. Je te le retire ensuite et tu
le portes à nouveau dès ton lever demain matin jusqu’à midi. Mais tu es saillie
et fouettée tous les jours au « Domaine » pour ton instruction.
Toujours les yeux baissés vers nos queues que tu suces, avec ta bouche
entrouverte.
Je
retrouve le chevalet et j’y reste un long moment, submergée par mes orgasmes anaux
de plus en plus violents.
De temps à
autre, on me l’ôte, pour que Lancelot et Romulus m’enculent jusqu’au nœud. Je
découvre aussi le doberman Hadès qui me baise avec frénésie, attachée à lui et
son frère Apollo m’encule.
Aucun
homme cagoulé ne m’encule sauf après ma saillie, car il est le maître-chien.
Au repas
du soir, que je prends seule, baignée, empalée sur un gode anal réaliste, sur
un tabouret de cuir, cuisses écartées, toujours nue, on me remet le gode Jason,
mon anus est bien lubrifié par mes amants canins.
Je
retourne au salon, l’anus libre, prise en double pénétration par des inconnus,
par des bergers allemands, des dobermans et des dogues allemands amenés par
leurs maîtres, pour m’écarteler davantage. Je connais plusieurs orgasmes anaux
avec mes partenaires canins uniquement eux, mes autres orgasmes me sont refusés
jusqu’à l’aube.
Je suis à
nouveau menottée au chevalet, livrée à mes amants, pour de longues saillies
anales canines.
26 juin
Alors que
je suis au réfectoire, avec les autres filles, je reste toujours nue et en
mules, avec mon gode Jason, visible avec ma ceinture et mes chaînettes, fardée,
assise sur le tabouret rond recouvert de cuir, cuisses écartées. La table
longue en verre épais, pour voir ce que les filles font par-dessous.
L’homme
nu, cagoulé, botté, me fait lever et je dois le sucer, accroupie.
Il me fait
mettre à quatre pattes, me cravache les fesses, puis me retire le gode Jason et
m’encule jusqu’aux testicules quelques instants, me faisant coulisser sur son
gros mandrin, en s’agrippant de plus en plus fort à mes hanches puis il
m’allonge sur la table, les mollets posés sur ses épaules, cuisses écartées,
pour m’enculer à nouveau. Il m’a saisi les deux mains. Il fait glisser l'un
dans l'autre les deux anneaux de mes bracelets, ce qui me joint étroitement les
poignets, et ces deux anneaux dans l'anneau du collier. Mes mains sont jointes
à la hauteur du cou, pour m’opposer à ma sodomie tant désirée.
Il éjacule
dans mon anus et me remet le gode Jason en place.
Je finis
de manger, les mains libres.
Les
saillies reprennent, au « Domaine » et dans le parc, en compagnie
d’autres filles.
28 juin
En milieu
d’après-midi, en compagnie de Cœur SM, nous sommes tenues en laisse par nos
colliers, par Horace, vers les écuries à l’arrière du pavillon central et à
mi-chemin du chenil, où se trouve mes amants canins.
Xavier et
Brice nous attendent.
Je
découvre une vingtaine de superbes étalons, reproducteurs, des pur-sang, des
trotteurs et des selles français.
- Si tu es
sage, Chienne Saphir, tu goûteras à leurs sexes dans ta chatte puis ton œillet
assoupli. Mais cela sera pour plus tard, Cœur SM va se faire enculer devant
toi.
Cœur SM se
retrouve menottée à un cheval sous le superbe pur-sang Alizé. Je dois sucer le
sexe de quatre-vingt centimètres de long, puis Xavier l’insère dans l’anus bien
lubrifié de Cœur SM. Elle gémit, mais elle reçoit quarante centimètres, en
érection. Je masturbe le sexe, tandis qu’elle suce Xavier, Brice et Horace.
Cœur SM
connaît un violent orgasme, tandis qu’Alizé éjacule longuement.
Je nettoie
le sexe d’Alizé et Cœur SM est à nouveau enculée par Alizé.
Xavier et
Brice m’enculent, tandis que j’embrasse Cœur SM, lors de son nouvel orgasme
anal.
Le trio
aime nos fesses et nos cuisses zébrées par la cravache et la garcette du
« Domaine ».
Je baigne
Cœur SM, pendant son lavement anal, avec une canule.
Nos
paupières sont légèrement ombrées, nos bouches sont fardées avec un rouge
clair, un peu liquide, qu'elle appliquait au pinceau, et qui fonce en séchant.
Nos aréoles et nos mamelons constamment tendus et les petites lèvres entre nos
cuisses, en soulignant la fente du giron sont peintes en rouge. Nos visages
sont poudrés. Du parfum est longuement passé sur nos aisselles lisses et le
pubis lisse de Cœur SM et ma toison pubienne, dans le sillon entre les cuisses,
dans le sillon sous les seins, et au creux des paumes.
Nous
revêtons nos nouvelles tenues : une guêpière de taffetas de nylon, tenue
rigide par de larges baleines très rapprochées, courbées vers l'intérieur au
ventre et au-dessus des hanches, qu'un busc, sur un côté derrière, permet de
boucler et de déboucler. Par-derrière aussi, un large laçage se serre ou se
desserre à volonté, sans jarretelles, elle est lacée aussi étroitement, ma
taille et mon ventre se creuse sous la pression des baleines, qui sur le ventre
descendent presque jusqu'au pubis, qu'elles dégagent, ainsi que les hanches. La
guêpière est plus courte par-derrière et laisse la croupe entièrement libre.
Nous portons une jupe éventail, qui se retrousse d'un geste, et portée avec un
boléro fermé au cou. Il suffit d'enlever le boléro pour que les épaules et les
seins soient nus, et sans même enlever le boléro, de l'ouvrir, si l'on désire
voir les seins. Nous gardons nos mules à hauts talons. Je garde ma queue-de-cheval.
Nous
n’avons plus nos carcans de cuir.
Je tiens
Xavier par la main et Cœur SM tient Brice par la main. L'inconnu qui nous
accompagne ouvre les grilles et nous entrons dans une antichambre qui ouvre sur
le parc, non loin du chenil et des écuries. Il n'y a plus qu'à descendre les
marches du perron, devant lequel j’aperçois la BMW cabriolet.
- Non,
Chienne Saphir, voici ton nouvel amant et sa voiture qui t’attendent.
Un colosse
musclé Africain me toise.
- Je suis
le Baron Désiré Saint Mon Plaisir, tout nouvel amant. Désormais, tu es une
Chienne soumise bisexuelle, ouverte par de nombreuses saillies canines.
Je
m’assois à ses côtés, à bord de sa Ferrari 488, cul nu, dévoilant ma chatte
velue à son regard.
Ma chatte
est trempée d’excitation, tout comme mes mamelons sont tendus, le boléro retiré
et mon clitoris est tendu, prête à tous les désirs.
Nous
quittons le « Domaine » par une autre route, la campagne et nous
remontons un fleuve vers ma nouvelle résidence, loin de mon appartement. Le
Baron me remet mon masque de nuit, avant d’arriver dans un complexe de villas
sécurisées.
Je dois me
faire enculer, avant de franchir le portail. Le gros mandrin me fait jouir et
l’inconnu éjacule en moi. On me met mon bijou d‘anus sur le sexe d’Adam.
Arrivée à
la villa, le Baron me déshabille entièrement et me retire mon masque de nuit.
- Voici ta
nouvelle résidence, elle t’appartient, tu recevras mes amis et ta sœur Cœur SM.
Tu seras marquée prochainement. Tu vis totalement nue, avec une chaîne.
Le maillon
est fixé à l’anneau de ma grande lèvre gauche de ma chatte humide. La chaîne, a
un mètre et demi de long, et se termine par un mousqueton. Ma chaîne est passée
entre mes jambes, remontée sur mes fesses, et entourant ma taille. Je garde ma
bague, je marche pieds nus sans mes mules.
Le Baron
m’encule longuement dans de nombreuses positions sur le dos, sur le ventre,
empalée, tout en doigtant ma chatte rasée, j’ai gardé ma toison pubienne. Il
éjacule en moi. Je le nettoie.
Des
bergers allemands et des dobermans des maîtres des villas voisines viennent
librement me saillir jusqu’au noeud, mes râles sont étouffés par les mandrins
de leurs maîtres, qui éjaculent dans ma bouche et les amants canins dans mon
anus.
Je suis
offerte en double pénétration canine, le berger allemand me baise jusqu’au nœud
et le doberman m’encule aussi jusqu’au noeud.
Le soir,
je suis offerte à une orgie SM dans un club privé. Je suis fouettée, enculée
par de nombreux inconnus cagoulés et saillie par leurs chiens qui m’enculent
longuement.
Pendant
une semaine, le rituel continue. Je m’offre des séances lesbiennes avec Cœur
SM, avec un double gode anal pour nous faire jouir. L’inceste me plait.
3 juillet
En milieu
d’après-midi, je suis menottée au chevalet, devant la piscine de la villa, avec
un bâillon-pénis en bouche.
Devant
Cœur SM, je suis marquée au fer rouge sur les fesses : S sur la fesse
gauche et V sur la fesse droite, mes reins sont tatoués à l’encre noire :
Chienne Saphir Soumise Putain en lettres gothiques.
Je perds
connaissance. De nombreux invités m’enculent longuement jusqu’à ce que je
retrouve mes esprits.
Les traces
imprimées par le fer, hautes de trois doigts et larges de moitié leur hauteur,
sont creusées dans la chair comme par une gouge, à un centimètre de profondeur.
On les effleure.
Marquée au
fer, tatouée, avec ma bague, je suis désormais reconnue par les habitués du
« Domaine ».
Je garde
toujours ma robe à corselet seins nus, avec ma jupe éventail et mon boléro,
coiffée d’une queue-de-cheval, fardée et non parfumée pour me faire saillir.
5 juillet
Je
dédicace mon livret de photos de mon dressage, nue, à une soirée SM. On me
complimente sur mes marques.
Je suis
longuement fouettée, enculée et je dois sucer tous les sexes humains et canins
que je fixe.
Je fais la
connaissance de Val, un superbe transsexuel aux seins plantureux, au mandrin
imposant, long de trente-cinq centimètres et huit de diamètre.
Lors de ma
première sodomie, je connais un violent orgasme anal.
Val
m’avoue :
- Chienne
Saphir, tu es aussi chaude que la Cyrielle qui s’est refusée à moi, dans son
enfance. Je fantasmais de te baiser. Je suis ton cousin Nathan.
- Oui,
défonce-moi, je rêve d’inceste, après Cœur SM.
Val
m’encule longuement, je le suce dans un torride 69, tandis qu’un doberman
m’encule jusqu’au nœud.
Je deviens
sa Soumise et j’apprends à dresser de jeunes soumis castrés qui ne peuvent
éjaculer en moi. Je me masturbe devant eux, dans ma guêpière seins nus en cuir,
en cuissardes, enculée par Val.
Chaque
après-midi, le Baron me dépose chez les clients de Val pour des dressages en
règle. J’encule moi aussi ses soumis avec mon gode-ceinture équipé de gros
godes réalistes.
Val me
fouette aussi.
10 juillet
Lors de
mon retour à la villa, je porte sur mon corps, d'épaisses balafres violettes
font comme des cordes en travers des épaules, du dos, des fesses, du ventre et
des seins, et parfois s'entrecroisent.
Val va me
ferrer prochainement à la demande du Baron.
Val me
baise vigoureusement pour que je sois enceinte.
15 juillet
Je suis
officiellement ferrée. Mes anneaux dorés à mes grandes lèvres sont remplacés
par des fers. Ce sont des anneaux de fer mat inoxydable. La tige en est ronde,
épaisse comme un gros crayon de couleur, et ils sont oblongs : les maillons des
grosses chaînes sont semblables. Chacun est formé de deux U qui s'emboîtent
l'un dans l'autre. Le ressort intérieur sur lequel on doit forcer pour le faire
pénétrer dans la rainure où il se bloque. Une fois posé, il est impossible de
l'ôter, il faut limer. Chaque anneau
est long comme deux phalanges du petit doigt, qu'on y pouvait glisser. A chacun
est suspendu, comme un nouveau maillon, ou comme au support d'une boucle
d'oreille un anneau qui doit être dans le même plan que l'oreille et la
prolonger, un disque de même métal aussi large que l'anneau était long. Sur une
des faces, il y a mon nom, le titre, le nom et le prénom du Baron, de Val,
Xavier et Brice, et au-dessous, un fouet et une cravache entrecroisés.
Les fers
me descendent jusqu'au tiers de la cuisse, et à chacun de mes pas bougent entre
mes jambes comme un battant de cloche, le disque gravé étant plus lourd et plus
long que l'anneau auquel il pend.
Mon ventre
commence à s’arrondir, tout comme Cœur SM.
Nous
donnons naissance chacune : moi, à un garçon et Cœur SM, à une fille.
Le Baron,
Xavier et Brice disparaissent dans un mystérieux accident d’avion. Nous
héritons de la villa.
Je me
rends fréquemment au « Domaine » avec Cœur SM, pour nos saillies et
nous sommes fouettées par les clients.
Je retombe
enceinte avec Val, tout comme Cœur SM. Je suis désormais intégralement épilée
comme Cœur SM.
Val
disparaît lui aussi un an après.
Venez me
rejoindre, appelez-moi Chienne Saphir ou vous préférez ma sœur Cœur SM.