Je m’appelle Chantelle, la fille de Miel, que vous
connaissez dans « chaleurs tropicales du vice ».
J’ai 19 ans.
Je suis une jolie beauté scandinave.
Je suis une
brune aux yeux verts. J’ai des pieds fins et latins, des jambes longues
bronzées, musclées qui inquiètent par leur perfection. Mon pénil est bombé,
ouvert, couronné de noir. Ma pilosité brune couvre mon pubis. Je suis
totalement velue entre les cuisses et j’ai une superbe croupe. Les lèvres de
mon sexe sont une plaie rouge entre mon entrecuisse velue. Mes hanches
s'incurvent et délimitent le ventre plat, délicieusement renflé autour du
nombril, les hanches sont larges et rondes, mais sans lourdeur. La taille est
affinée. Les seins parfaits intégralement bronzés sont un peu volumineux mais
fermes, et leurs pointes marron clair, toujours dressées, cernées par une large
aréole marron attirent le regard. J’ai une peau lisse et patine. Finition
parfaite, un seul grain de beauté entre mes superbes seins. De longs cheveux
plats blonds flottant comme des algues, battent mes épaules rondes et
gracieusement athlétiques. Je suis intégralement bronzée. Mes yeux verts
limpides s'allument, ma bouche charnue se fend. J’ai des sourcils bruns bien
dessinés et des lèvres pulpeuses. J’ai de longs doigts fins et de belles mains.
Je fais du 85B de poitrine, 56 de taille, 90 de hanches, 1,72 m.
CHANTELLE
LA VICIEUSE
Je suis encore étudiante, vierge, à dix-neuf ans. Mais je connais les
plaisirs des caresses par mon frère jumeau, Alban. Mes mamelons et mon clitoris
sont devenus sensibles, dès la moindre caresse, depuis mon adolescence. J’ai
appris à masturber le mandrin d’Alban, pour le faire jouir.
20 juillet
Aujourd’hui, c’est mon anniversaire de mes dix-neuf ans. Alban a invité
six de ses amis, qui me connaissent pour mes ébats lesbiens avec leurs amies.
Tous connaissent mes atouts, mon corps musclé et envient de m’embrasser et de
faire jouir.
Je participe au souper, toute nue, comme chaque année, depuis mes seize
ans et le développement de mes petits seins qu’envient mes amies lesbiennes aux
seins plantureux. Je suis une fille naturelle, j’ai gardé ma toison et ma
chatte velus, au contraire de l’épilation intégrale, j’ai juste épilée mes
aisselles.
Pour le gâteau, je découvre en le découpant, un superbe coffret. Je
l’ouvre, c’est le must du gode réaliste. Il mesure vingt-trois centimètres et
six de diamètre.
Je le suce, me rappelant les conseils de Miel, dans son journal intime.
Je m’empale partiellement dessus ma chatte trempée, ce qui excite Alban
et ses amis. Je les laisse me caresser les seins, le clitoris, tandis que je
coulisse dessus. Je jouis, entre deux baisers. Alban m’embrasse aussi.
Après avoir mangé le gâteau, toute excitée, je suis tentée de m’offrir
à Alban, devant ses amis.
Alban me baise à quatre pattes. Je coulisse sur son gros mandrin de
trente-cinq centimètres de long et huit de diamètre. Saisie à la taille, je
suce un de ses amis, tandis qu’un me masturbe mon clitoris tendu et un autre
étire mes mamelons durcis. Je suis au summum du plaisir. Le sexe avec un homme
me conduit vers de nouveaux désirs.
En s’agrippant de plus en plus fortement à mes hanches, il me déflore,
sans aucune douleur.
Je suis ensuite baisée, à quatre pattes d’abord, puis allongée sur le
dos, grand écart et mes mollets posés sur les épaules de mon amant et je finis
empalée face à Alban, pour m’achever.
Ma chatte dégouline de spermes.
Pantelante de mes orgasmes, je ne prête guère attention au gros mandrin
de vingt-six centimètres de long et huit de diamètre de son ami Brice, un
étalon africain, qui m’écartèle mon anus vierge. Je gémis, mais me remplit la
chatte pour atténuer ma défloration anale.
Je coulisse sur ses deux mandrins et je prends du plaisir.
- Maintenant, que ta chatte a été remplie, ton œillet doit s’ouvrir.
- Non, Brice, tu me fais mal.
- Détends-toi, ma chérie aime ça.
Après quelques va-et-vient, un orgasme anal me terrasse, combiné à
celui avec Alban.
Les doubles pénétrations se succèdent jusqu’au coucher du soleil, ma
chatte, mon anus et ma bouche dégoulinent de spermes. Je finis épuisée,
endormie.
21 juillet
Vers 8 heures, j’émerge. Je me douche devant Alban.
- Chantelle, tu n’es plus officiellement vierge de la chatte. Mais ton
œillet n’est pas encore prêt pour de nouvelles sodomies comme Miel.
- Tu m’as réellement déflorée, Alban. Je n’ai rien senti, tellement
j’étais excitée.
- Tu es une vraie allumeuse.
Défiant, Alban, je mets un simple tee-shirt blanc sur mes seins nus et
une minijupe assortie, pour que tout le monde sache que j’ai les seins, les
fesses et les jambes nues, pour draguer. Une paire de sandales blanches à hauts
talons et mes ongles des pieds vernis, maquillée, coiffée d’une
queue-de-cheval, après mon petit déjeuner copieux. Je viens de découvrir
l’inceste avec Alban et le plaisir de me faire jouir avec des jeunes amants.
Je prends mon vélo pour rejoindre la direction de la société
d’exportation de lingerie de luxe, d’où j’ai hérité avec mon frère Alban et le
beau-frère de Miel, Charles Edouard.
En chemin, je prends du plaisir, les fesses nues sur ma selle, frottant
mon clitoris tendu par le vent frais. Je connais un orgasme, stoppée au feu
rouge.
Une superbe Lamborghini rouge stationne à mes côtés.
- Tiens, Chantelle, tu es très belle, fesses nues sur ton vélo.
- Merci, Charles Edouard, on se voit au bureau.
Après un second orgasme, je range mon vélo au rez-de-chaussée. Toute la
gente masculine me lance des regards concupiscents sur mes atouts de séduction.
Charles Edouard parque sa Lamborghini au sous-sol. Je monte au septième
étage, retrouver mes collaboratrices.
Là, je choisis les modèles et j’annonce :
- Faisons une collection de soutien-gorges quart et demi seins avec des
strings fendus pour libérer l’écrin de nos clientes.
- D’accord, me répondent mes collaboratrices.
Après leurs départs, Charles Edouard me rejoint :
- Alors, Chantelle, toujours vierge et lesbienne, tu as des atouts.
Charles Edouard glisse sa main sur ma chatte.
- Tu es toute trempée et tu as des perles blanches.
- C’est normal, c’est ma mouille.
- Non, c’est du sperme, ma chérie. Viens me sucer.
J’obéis, agenouillée et je le suce, comme la veille pour mon
anniversaire.
- Du calme, Chantelle, tu vas me faire éjaculer dans ta bouche. Je vais
te baiser sur le champ.
Je n’ose protester. Alban, mon frère, m’a déflorée. Charles Edouard va
le découvrir.
- Non, encule-moi, s’il te plait. Je veux rester vierge de la chatte.
- Comme tu veux, tu vas prendre du plaisir.
Je m’offre à quatre pattes, sans ma jupe, sur un des fauteuils.
Le gros mandrin de Charles Edouard, long de trente centimètres et huit
de diamètre, m’écartèle l’anus. Je me retiens de gémir, sous les caresses de
mon clitoris.
- Dis-donc, ton œillet est bien chaud, pour une lesbienne.
J’ondule mon bassin et m’empale jusqu’aux testicules, avec quelques
claques magistrales sur mes fesses.
Charles Edouard entre et sort et m’écarte davantage les fesses
brûlantes.
Il éjacule en moi et m’insère un nouveau jouet : un bijou d’anus
en acier long de quinze centimètres et cinq de diamètre. Il ne bouge pas dans
mon anus par sa forme en sapin, et sa large base vous garantissent un excellent
maintien dans l’anus. La section qui relie les deux extrémités est très fine et
douce afin de laisser l’anus se refermer dessus sans gêne. La tige de la taille
de l’auriculaire sert de support lorsque le sphincter se referme.
- Ainsi, chaque nouvelle sodomie te sera moins douloureuse, en ondulant
ton bassin, tu vas jouir.
Je remets ma jupe.
Nous déjeunons ensemble. Je garde mes cuisses écartées, assise cul nu
sur la chaise. Je suis excitée.
Je me rends ensuite chez mon gynécologue. Il me connaît depuis l’âge de
mes seize ans, c’est le fils du gynécologue, qui s’est occupé de ma mère Miel.
Exhibée, nue, sur le fauteuil gynécologique, je glisse mes jambes sur
les supports. Je sens les lèvres de ma chatte qui s'entrouvrent toutes seules.
Mes cuisses sont écartées au maximum et mon bassin est à la hauteur du visage
de James. Il remarque mon bijou d’anus.
Il m’insère un spéculum dans ma chatte trempée.
- Chantelle, tu n’es plus officiellement vierge. Tu n’as rien ressenti
et tu mouilles davantage qu’auparavant. Cela t’excite.
- Oui, James, je n’ai pas fait attention que le gode m’avait défloré.
- Non, disons que c’est une queue qui t’a ouverte.
Il me retire le bijou d’anus, mon anus reste entrouvert.
Il retire le spéculum et m’insère un spéculum anal.
L’écarteur anal est une paire de ciseaux qui s’écarte par crans
d’arrêt. Il peut m’ouvrir jusqu’à cinq centimètres de diamètre sur huit
centimètres de profondeur.
- Détends-toi, ton œillet va s’ouvrir davantage.
Il espace l’ouverture de chaque cran supplémentaire. Il me doigte la
chatte et masturbe mon clitoris pour que je prenne du plaisir.
Il le retire et mesure mon ouverture anale.
Sans attendre, il m’exhibe son long et fin mandrin de trente-neuf
centimètres et cinq de diamètre que je suce, avant de me faire baiser jusqu’aux
testicules. Un orgasme me submerge, il se retire et m’encule sur le champ. Je
jouis, ma bouche aussitôt remplie par le mandrin de son assistant, vingt-huit
centimètres de long et six de diamètre.
Dès la fin de mon orgasme anal, l’anus remplie par le sperme de James,
Désiré, l’africain, m’encule jusqu’aux testicules. Je connais un fulgurant
orgasme anal, qui le fait éjaculer aussi, tandis que je nettoie James.
- Elle raffole de la sodomie, la fille de Miel. Telle mère, telle
fille, tu es future vicieuse, Chantelle.
J’ai droit à un long lavement à l’eau froide. Je dois me soulager et je
me rhabille avec mon bijou d’anus en place.
De retour chez moi, je découvre Alban qui encule Brice. Brice est en
érection.
Nue, je m’accroupis et je suce Brice.
- Chantelle, arrête, je vais jouir dans ta bouche.
J’avale le sperme de Brice et celui d’Alban.
Je me refais une beauté, après ma douche masturbatoire. Je me fais
jouir, en jouant avec le bijou d’anus.
Je découvre une lettre anonyme titrée :
Pour Chantelle.
Je lis le pli, suis les instructions et fardée, parfumée, Alban m’aide
à lacer ma guêpière seins nus, tenue rigide par de larges baleines très
rapprochées, courbées vers l'intérieur au ventre et au-dessus des hanches,
fermée par un busc, sur un côté derrière. Par-derrière, un large laçage est
serré aussi étroitement par Alban. Ma taille et mon ventre se creusent sous la
pression des baleines, qui sur le ventre descendent presque jusqu'au pubis,
qu'elles dégagent, ainsi que les hanches. La guêpière est plus courte
par-derrière et laisse la croupe entièrement libre. J’accroche mes bas
assortis, devant et sur les côtés, aux quatre jarretelles. L’ensemble est blanc
cachée sous une robe assez courte, fuchsia, qui dévoile mes bas et mes fesses
nues, ma chatte velue à tous.
La guêpière m’offre des hanches de courtisane, mon dos cambré et mes
fesses en arrière et mes seins tendent même leurs mamelons, mon corps est
moulé, la guêpière épouse les formes et les met en valeur. Je découvre dans le
carton de ma guêpière, les photos de mon anniversaire et de ma sodomie par
Charles Edouard. Je suis surprise et excitée. Ma chatte est toute trempée, mon
clitoris est tendu tout comme mes mamelons, sous mon boléro fermé au cou. Il
suffit d'enlever le boléro pour que les épaules et les seins soient nus, et
sans même enlever le boléro, de l'ouvrir, si l'on désire voir les seins.
Une limousine aux vitres teintées m’attend au pied de mon immeuble que
je loue avec Alban, hérité de ma mère Miel.
Je monte à l’arrière, assise fesses nues, cuisses écartées. Un bel
homme plus âgé que moi, cagoulé, est assis à mes côtés, silencieux. Le
chauffeur, un bel étalon européen me toise. Je baisse les yeux.
Nous quittons le quartier.
Je porte un masque de nuit pour m’aveugler. L’homme me retire mon
boléro, vérifie le volume de mes seins qu’il pelote. Il m’aide à retirer ma
robe.
Je reste en guêpière et en bas.
Il retire mes escarpins pour des mules à hauts talons.
Il fixe mes bracelets à mes poignets, faits en plusieurs épaisseurs de
cuir, chaque épaisseur assez mince, au total pas plus d'un doigt, verrouillés
par un système à déclic, qui fonctionne automatiquement comme un cadenas quand
on le referme, et ne peut s'ouvrir qu'avec une petite clé. Dans la partie opposée
à la fermeture des bracelets, pris dans le milieu des épaisseurs de cuir, et
n'ayant presque pas de jeu, il y a un anneau de métal, qui donne une prise pour
fixer, et qu'on positionne du côté intérieur du poignet. Il les fixe dans mon
dos. Il me met un bâillon O, qui me force à garder la bouche ouverte pour
m’humilier et que je me dépasse.
Menottée, la bouche ouverte, aveugle, lors d’une pause, après un trajet
inconnu, on me déchausse, m’allonge sur le dos, les genoux ramenés sur mes
épaules, je suis enculée, l’anus libre, à deux reprises, en retardant mon
orgasme anal.
Lors d’une nouvelle pause, avant de descendre, je reprends la pose et
trois hommes m’enculent sans ménagement, en bloquant mon orgasme anal.
On me remet le bijou d’anus en place.
On m’aide à sortir de la voiture. On me retire ma guêpière et mes bas.
Je suis toute nue, en mules, menottée dans le dos, le bijou d’anus dans mon
anus bien ouvert.
Mes mules claquent sur les marches en marbre. Je monte un grand
escalier en marbre.
On échange mon bâillon O pour un bâillon-pénis, long de cinq
centimètres et trois de diamètre. On me retire mes mules. Je sens sous mes
pieds nus un épais tapis.
Je reste une éternité, dans une grande pièce recouverte de glaces et de
miroirs au plafond, tout entourée de placards avec des glaces et des miroirs.
Deux jeunes femmes entrent, vêtues de longues jupes légères et
bouffantes qui dénudent entièrement les jambes, jusqu’à la taille par devant,
des corselets serrés qui font jaillir les seins, portant des clochettes qui
tintent et sont lacés ou agrafés par-devant, et les seins entièrement nus, non
couverts, et des manches à demi longues, avec les yeux et la bouche fardés.
Elles ont un collier serré autour du cou, des bracelets serrés autour des
poignets.
On me retire mon masque de nuit, libère mes poignets.
Je gravis des marches menant à une grande baignoire transparente. Un
homme cagoulé nu me suit.
Il me fait accroupir, cuisses écartées, devant de nombreux miroirs,
dans l’eau. Il menotte mes bracelets à un crochet au-dessus de moi, pour que
mes bras soient tendus, les mains au-dessus de ma tête, coiffée d’un chignon.
Il enduit mes mamelons durcis par l’excitation et mon clitoris d’une
mystérieuse crème qui provoque une excitation énorme. Mes mamelons pointent au
maximum tout le temps, vingt quatre heures sur vingt quatre et de même pour mon
clitoris. Mes mamelons et mon clitoris sont complètement tendus et très dur au
point de me faire vraiment mal et le moindre effleurement même involontaire
devient une véritable torture tellement ces endroit sont devenus sensibles.
Mon clitoris est gros comme une cerise, saillant et volumineux et mes
mamelons sont aussi saillants, gros et longs, comme jamais auparavant.
J’ai droit à un lavement avec une canule enfoncée dans mon anus,
m’aspergeant d’eau froide, me faisant mouiller, ce qui me vaut des coups de
cravache sur les fesses. Je mouille davantage.
- Tu ruisselles, ma belle, quand je te cravache. Ils vont adorer.
Pendant mon bain, je reçois mon collier de cuir, l'anneau pend devant
le cou, reposant sur la saillie des clavicules, et brinquebale au rythme des
mouvements de celui qui le porte.
A la réserve du collier et des bracelets de cuir, que l'eau a durcis
quand je me suis baignée, et qui me serrent davantage, je suis nue.
Je dois m’offrir à quatre pattes, pour me faire enculer sauvagement par
l’homme cagoulé nu. Je me retiens de jouir.
Je m’accroupis, devant un miroir à trois faces, on ombre légèrement mes
paupières légèrement ombrées, me farde la bouche avec un rouge clair, un peu
liquide, appliqué au pinceau, et qui fonce en séchant. On me peint du même
rouge l'aréole et les mamelons tendus, peaufinant avec un glaçon pour fixer les
couleurs et les petites lèvres entre mes cuisses, en soulignant la fente du
giron. L’homme cagoulé me fait passer un glaçon sur mon clitoris tendu. Je me
retiens de jouir, les yeux baissés.
L’homme cagoulé me retire mon bâillon-pénis et me fait sucer son gros
mandrin. Je le fais éjaculer. Il aime ça.
Je remets mes mules, l’homme cagoulé me saisit les deux mains. Il fit
glisser l'un dans l'autre les deux anneaux de mes bracelets, ce qui me joint
étroitement les poignets, et ces deux anneaux dans l'anneau du collier. Je me
trouve donc les mains jointes à la hauteur du cou. Il fixe une chaîne à l’anneau
de mon collier et je le suis.
Je rejoins une pièce attenante, avec toujours des glaces et des
miroirs. Agenouillée, cuisses écartées, empalée sur un gros gode anal, je suis
nourrie par une main invisible. Je tente de résister à mon orgasme anal,
frustrée, excitée et humiliée.
L’homme cagoulé revient, me joint les mains à mon cou et je suis
conduite, nue, en mules, tenue en laisse par mon collier, par une chaîne
d’acier. Deux jeunes femmes m’escortent aussi. Je porte mon masque de nuit.
Une femme avance devant moi et ouvre les portes, l'autre me suit et les
referme. Nous traversons un vestibule, deux salons, et pénétrons dans la
bibliothèque, où quatre hommes prennent le café. Ils portent des capes, sur
leurs corps nu, mais aucun masque.
Je me retrouve rapidement, les mains menottées dans mon dos, toujours
aveugle. Deux mains descendent le long de mes fesses après avoir vérifié
l'attache des bracelets : elles ne sont pas gantées, et me doigte simultanément
la chatte et l’anus détendu. Je jouis. On me pelote les seins, provoquant une
tension extrême à mes mamelons et à mon clitoris, étirant, mordillant et
pinçant mes mamelons.
Je bascule à la renverse, déchaussée, soutenue dans des bras, cuisses
grandes ouvertes, tenue par les chevilles, les reins soulevés, je suis
sauvagement enculée par un gros mandrin, avec une gaine à picots, qui m’arrache
l’anus. On masturbe mon gros clitoris pour m’exciter, je mouille davantage.
Je me
retrouve agenouillée, cuisses écartées, fléchie un peu en arrière, à demi
assise sur les talons, les mains toujours menottées dans le dos.
Il faut
l’éduquer à être attachée, fouettée, car elle prend du plaisir sous la
cravache, jusqu’aux larmes, dit l’une des voix masculines.
- Faites
venir Balzac et Arès, dit une autre voix.
Il faut
lui percer l’œillet, elle est chaude, dit une troisième voix.
Je me
retrouve toujours agenouillée, mais cette fois le buste reposant sur un pouf,
toujours les mains au dos, et les fesses plus haut que le torse.
Le
premier, avec un mandrin du calibre d’Alban, m’encule jusqu’aux testicules, le
second, du calibre de Brice et le troisième, du calibre de Charles Edouard,
m’encule aussi. Je me retiens de jouir, mais mes pals anaux trahissent mon
désir.
- Elle
aime ça, se faire défoncer l’œillet, même s’il faut un peu l’élargir.
Je sens un
étrange sexe m’enculer, différent des autres. C'est le bulbe, ou noeud, comme
on le sait plus communément, qui m’encule. L'ampoule est composée de tissu
musculaire qui se gonfle de sang pendant les rapports sexuels et gonfle à un
diamètre significativement plus grand que celui du pénis lui-même. Une fois que
l'ampoule du chien est plantée dans le rectum, je me détends. Balzac libère son
sperme bien avant de s'attacher à moi et continue de le faire jusqu'à ce qu'il
soit capable de se retirer. L'ampoule rétrécit et il se retire.
Arès
m’encule avec le même plaisir, d’une demi-heure avec Balzac passe à trois quart
d’heure.
Je suce
Balzac, pour le nettoyer. Balzac bande et éjacule dans ma bouche. J’avale tout,
tandis qu’une série de quatre orgasmes anaux me submerge, comme avec Balzac.
Balzac offre un sexe long de dix-sept centimètres et cinq de diamètre.
Je suce
aussi Arès, qui offre un sexe long de vingt centimètres et sept de diamètre.
Les quatre
hommes se relaient pour m’enculer, l’anus un peu plus ouvert et détendu. On me
met en place un mystérieux gode anal, long de treize centimètres et jusqu’à six
de diamètre, muni d’un puissant va-et-vient, représentant un sexe canin en
érection. Je ne peux l’expulser.
Ayant
recouvré la vue, je suis conduite à la Croix de Saint-André au centre de la
pièce, entièrement recouverte de glaces et de miroirs, sur les murs et au
plafond.
On me
menotte les chevilles, les poignets et enserre la taille, bras et jambes
écartés, face à la croix. Je découvre la cravache; le fouet, qui est long, fait
de cuir souple ; une garcette, de cordes assez fines, faite de sept lanières
terminées chacune par plusieurs nœuds, et qui sont toutes raides, trempées dans
l'eau, pour caresser l’intérieur de mes cuisses. Je sens mieux combien les
cordes sont humides et froides contre la peau tiède de mes cuisses.
Je suis
fouettée avec les trois, par alternance, sur les fesses et l’arrière de mes
cuisses. Je les supplie :
- Arrêtez,
cessez.
Pour toute
réponse, un des hommes au plus gros mandrin, me retire le gode anal et m’encule
sauvagement, en écartant bien mes fesses zébrées et brûlantes.
- Quelques
saillies par Arès et Balzac lui ouvriront davantage l’œillet.
Le gode
est remis en place.
Je jouis,
sous les va-et-vient du gode, ou sous les coups de fouets. Je suis excitée.
- Sa
chatte ruisselle, elle aime ça. Mettez-la de face, les yeux baissés.
Sans
ménagement, je suis attachée avec le dos à la croix. Les coups de fouet
cinglent le devant de mes cuisses. Des clochettes fixées par des pinces à
seins, à mes mamelons tendus, tintent à chacune de mes respirations.
Je suis
chancelante et groggy.
On attache
à trois petits trous percés dans la base, trois chaînettes qui sont accrochées
à une étroite ceinture autour de ma tailles, une par derrière qui suit le
sillon des fesses, et les deux autres par-devant, qui longeaient le pli des
aines en contournant le triangle du ventre.
- Elles
sont au plus court, pour que le gode force et distend ton œillet de chienne.
Elles sont cadenassées pour que tu ne puisses te soulager de cette contrainte.
Mon bassin
ondule sur ce gode, que j’apprécie.
Les deux
femmes m’habillent : un corset seins nus, lacé étroitement, est durement
baleiné, long et rigide, et comporte des goussets où reposent les seins. A
mesure qu'on serrait, les seins remontaient, s'appuyaient par-dessous sur le
gousset, et offrent davantage leur pointe. En même temps, la taille s'étrangle,
ce qui fait saillir le ventre et cambrer profondément les fesses, comme la
guêpière que j’ai portée. Je porte une queue-de-cheval pour exhiber mon
collier.
Un corsage
transparent encadre mes seins nus en trapèze, de la base du cou jusqu'à la
pointe et sur toute la largeur des seins, croisé devant et noué derrière. La
jupe est courte jusqu’à mi-cuisse, dévoilant largement les fesses, par une
large fente en V et par devant par une fente dévoilant le pubis, dévoilant
aussi des chaînettes et de la ceinture, pour prouver que je porte le gode anal.
Je chausse mes mules et je m’accroupis, cuisses écartées pour écouter les
règles :
« Tu es
ici au service de tes maîtres. En plus de tes corvées le jour, tu te prêtes,
homme ou chien. Le gode est porté dès ton lever jusqu’à midi et entre la tombée
du jour et l’heure de la nuit, tu seras enculée chaque soir dans cette pièce
par des hommes et des chiens, l’œillet libre et élargi. Les parties de ton
corps sont fouillés à notre gré. Tu ne
peux te dérober, la bouche entrouverte, les jambes écartées, pour donner accès
à ta bouche, ta chatte et ton œillet nous sont ouverts. Habillée le jour, tu es
utilisée. Tu es fouettée qu'entre le coucher et le lever du soleil. Tes yeux
doivent toujours le sexe nu et uniquement pour le sucer. La nuit, tu es nue,
menottée, cuisses écartées, pour sucer et tu es fouettée chaque jour pour ton
instruction. Tu es contrainte. A ta sortie, tu portes un anneau de fer à
l'annulaire, qui te fait reconnaître et ton clitoris percé : tu obéis aux
porteurs de l’anneau, car tu es
constamment nue sous tes vêtements, c'est pour eux. On va te conduire
dans ta cellule. »
Les mules
claquent sur les carrelages rouges des couloirs, où des portes se succédaient,
discrètes et propres, avec des serrures minuscules. Les clochettes de mes
pinces à seins sont fixées ensuite à mes grandes lèvres humides de ma chatte et
se balancent à chacun de mes pas.
- Tu es
dans l'aile des vicieuses et ton valet s'appelle Emmanuelle.
- Quel
valet ? dis-je saisie par la douceur de la voix, et comment t’appelles-tu ?
- Je
m'appelle Anale Doberman.
- Et moi
Justine Vicieuse », dit la seconde.
La
première reprend :
- C'est le valet qui a les clefs, qui
t’attache et te détache, te fouette quand tu es punie. Retiens-toi de jouir
avec le gode anal.
- J'ai été
dans l'aile vicieuse l'année dernière, dit Justine Vicieuse, Emmanuelle y est
déjà. Il vient souvent la nuit ; les valets ont les clefs et dans les chambres
qui font partie de leur section, ils ont le droit de se servir de nous.
Emmanuelle
tient en laisse, une jeune femme qui me ressemble, avec des seins plantureux,
95C, des mamelons saillants, gros et longs, un gros clitoris percé,
intégralement épilée, tatouée au fer rouge sur le pubis SHAWN, avec des cheveux
courts bruns aux yeux verts.
Emmanuelle
est un transsexuel, le premier pour moi. Il est cagoulé, laissant juste visible
ses yeux, sa bouche et sa longue chevelure blonde et un mandrin plus long et
gros que Brice. Il porte à la ceinture un fouet à lanière de cuir.
- Shawn,
lèche ta nouvelle partenaire. Quant à toi, Chantelle, retiens-toi de jouir,
même si tu portes le Hadès.
Shawn
s’accroupit entre mes cuisses écartées. J’ouvre un peu plus ma jupe.
Je
mouille, ce qui me vaut quelques claques magistrales sur les fesses encore
brûlantes.
Emmanuelle
sort un passe de sa poche de gilet, ouvre la porte et nous fait entrer les
quatre femmes
La cellule
est toute petite, et comporte en réalité deux pièces. L’accès au couloir est
libre sans porte, on se trouve dans une antichambre, qui ouvre sur la cellule
proprement dite ; sur la même paroi ouvre, de la chambre, une autre porte, sur
une salle de bains. Shawn attend debout, les yeux baissés, la bouche
entrouverte.
En face
des portes il y a la fenêtre. Entre les portes et la fenêtre, il y a le
chevalet : il s'agit d'une espèce de cheval d'arçon sur un tapis.
Les deux
femmes me déshabillent et Emmanuelle me retire le gode Hadès et vérifie mon
ouverture anale avec ses doigts.
Je dois
m’accroupir, nue, dans la baignoire transparente, en montant des marches. Je
reste les cuisses écartées, menottée, les bras tendus comme lors de mon premier
bain.
Emmanuelle
m’insère une canule pour mon lavement, car je dois rester propre.
Les deux
femmes me baignent.
Ma tenue
est rangée dans le placard près du lavabo, où sont déjà rangées mes mules.
Une fois
propre, je reste nue, en compagnie, après le départ d’Anale Doberman et Justine
Vicieuse, avec Emmanuelle et Shawn.
Emmanuelle
et Shawn me menottent sur le chevalet, allongée sur le dos, cuisses écartées.
Emmanuelle
m’encule sauvagement jusqu’aux testicules pour me tester. Je retarde mon
orgasme anal. Les clochettes tintent.
Puis je
suis solidement immobilisée dans cette posture dégradante, le postérieur plus
haut que la tête. Mes bras sont fixés le long des pieds avant, mes jambes le
long des pieds arrières, et une large sangle m'est passée au niveau de la
taille. Mes cuisses, légèrement fléchies sont empêchées de se resserrer par la
largeur de la poutre, ainsi d'ailleurs mes fesses que je me peux refermer.
Emmanuelle et Shawn me quittent.
J’éprouve
un certain plaisir à être exhibée, fouettée, enculée, par des inconnus. Mes
mains sont menottées, je sais que ma chatte me brûle, ouverte à Emmanuelle.
Je
m’endors.
Mais dans
les heures qui suivent, Balzac et Arès m’enculent trois quart d’heure chacun,
puis un autre berger allemand et un doberman se relaient, pour faire dégouliner
mon anus élargi. Je ne compte plus mes orgasmes anaux de plus en plus violents,
attachée à mes amants canins.
Aux
dernières heures de la nuit, quand elle est plus noire et plus froide, juste
avant l'aube, Emmanuelle revient, me cravache les fesses et l’arrière de mes
cuisses, tout en m’enculant, menottée au chevalet, cravachée à toute volée. Je
suis cravachée cinq fois plus, haut ou plus bas que la fois précédente, pour
que les traces soient nettes. Il me détache et m’allonge sur le dos, pour
cravacher le devant de mes cuisses, avant de me menotter à quatre pattes sur le
chevalet.
Je suis à
nouveau enculée à quatre reprises par d’autres bergers allemands et dobermans.
22 juillet
Je regarde
naître une lente aurore, qui dégage enfin un peuplier..
Devant la
fenêtre, il y a une pelouse, au bout de la pelouse une allée.
Je
découvre Shawn, baisée sous un cheval, qui se retient de jouir.
Mon anus
est encore plus sensible, à chaque nouvelle saillie anale canine.
Aucune
femme n'a les clefs, ni celles des portes, ni celles des chaînes, ni celles des
bracelets et des colliers, mais tous les hommes portent à un anneau les trois sortes de clefs qui,
chacune dans leur genre, ouvrent toutes les portes, ou tous les cadenas, ou tous
les colliers.
Les valets
les ont aussi. Mais, au matin, les valets qui ont été de service la nuit
dormaient, et c'est l'un des maîtres ou un autre valet qui vient ouvrir les
serrures. L'homme qui entre dans ma cellule est nu et botté.
Il me fait
mon lavement avec une canule suspendue au-dessus de mes fesses.
Une fois
propre, il m’encule sauvagement.
Je garde
les yeux baissés, quand il me détache.
Anale
Doberman et Justine Vicieuse, sont entrées avec lui, et qui attendent
debout. Sur quoi il s'en va.
Justine
Vicieuse tire vers le chevet une table roulante qui a été amenée dans le
couloir et porte du café, du lait, du sucre, du bain, du beurre et des
croissants.
- Mange
vite, dit Anale Doberman, il est neuf heures, tu peux ensuite dormir
jusqu'à midi, et quand tu entends
sonner il est temps de t’apprêter pour le déjeuner. Tu te baignes et tu te
coiffes, je viens te farder et te lacer ton corset.
- Tu n’es
de service que dans l'après-midi, dit Justine Vicieuse, pour la bibliothèque
servir le café, les liqueurs et entretenir le feu.
- Ah ! nous
sommes seulement chargées de toi pour les premières vingt-quatre heures de ton
séjour, ensuite tu es seule et tu n'as affaire qu'aux hommes. Nous ne pouvons
pas te parler, et toi non plus à nous.
Je suis
assise sur le chevalet, nue, cuisses écartées, sans les clochettes à ma chatte.
Après leur
départ, deux hommes entrent, nus. Je garde les yeux baissés.
Je tiens
une tasse de café à la main gauche et
de l'autre un croissant, reste immobile.
Le
premier, un brun bien monté, comme Alban, m’embrasse langoureusement sur la
bouche, tout en mettant de la crème sur mes mamelons et mon clitoris déjà gros
comme une cerise. Le second me pelote les seins, pour tendre mes mamelons.
Je suis
menottée au chevalet, ma chatte léchée par le second, suçant le premier.
Les deux
hommes m’enculent à tour de rôle, avant de me prendre en double pénétration,
détachée du chevalet.
Un me
baise, couché sur le dos, je m’empale, baisée, avec le corps incliné vers lui,
et le second m’encule, appuyer ses jambes ouvertes sur les miennes et ses bras
dans le dos. Puis celui qui m’encule, se trouve sur le dos et je m’empale dos à
lui, toujours avec les jambes ouvertes
pour permettre la baise par le second. Enfin, un des hommes me prend dans ses
bras, je l'entoure avec mes jambes et me laisse baiser et le deuxième homme me
soutient également une partie de son poids et m’encule.
Je suis
pantelante et comblée, la chatte et l’anus remplis de spermes chauds.
Le brun me
tient par le collier, deux doigts glissés entre le cuir et le cou, m’annonce :
- Tu es
mise en commun et tu leur es soumise et les accueillir avec le même respect.
C'est parce qu'il t'est facile de consentir que je veux de toi ce à quoi il te
sera impossible de consentir, même si d'avance tu l'acceptes, même si tu dis
oui maintenant, et que tu t'imagines capable de te soumettre. Tu ne pourras pas
ne pas te révolter. On obtient ta soumission malgré toi, non seulement pour
l'incomparable plaisir que moi ou d'autres y trouverons, mais pour que tu
prennes conscience de ce qu'on a fait de toi. On t'a dit hier que tu ne dois,
ni regarder un homme au visage, ni lui parler. Tu dois te taire, et obéir. Tu
n'ouvres désormais ici la bouche, en présence d'un homme, que pour crier ou
caresser.
Justine
Vicieuse me baigne, m’éponge mes fesses meurtries. Je farde ma bouche, non mes
yeux, me poudre, et toujours nue, mais les yeux baissés, revient dans la
cellule.
Installée
sur le chevalet, je reçois le gode Arès, d’un centimètre de plus large que le
gode Hadès, maintenu comme Hadès.
Justine
Vicieuse me remet mon corset, mon corsage et ma jupe. Je chausse mes mules.
L’homme
encule sauvagement Justine Vicieuse, tandis que je lui lèche la chatte, tout me
retenant de jouir sous les coups d’Arès.
Nous
quittons la cellule avec un autre homme cagoulé, nu et bottés, bien monté.
Nous
rejoignons une antichambre où, devant une porte en fer forgé qui se découpe sur
de grands rideaux, deux autres valets attendent, des Danois à leurs pieds.
- A quatre
pattes, toutes les deux, Lancelot et Romulus vont vous enculer, dit l’homme
cagoulé.
On me
retire le gode et Lancelot puis Romulus m’enculent jusqu’au nœud, trois quart
d’heure chacun. Leurs sexes mesurent trente-six centimètres et six de diamètre.
Je connais quatre orgasmes anaux en leur compagnie, l’anus bien inondé. Les
trois hommes m’enculent ensuite. On me remet le gode en place.
C'est
généralement pendant les repas, qui ont lieu dans la salle où on m'a fait
entrer. La pièce est dallée, la table longue aussi, en verre épais, et chaque
fille a pour s'asseoir un tabouret rond recouvert de cuir. Je m’assois les
fesses nues sur le cuir, lisse et froid. Inversement, lors de mon départ, et
vêtue comme tout le monde, mais les fesses nues sous mes vêtements, relever à
chaque fois ma jupe pour m'asseoir, je retrouve, les seins offerts dans les
corsets de soie, les mains et les bouches à qui tout est permis, et le terrible
silence.
Le jour
qui est mon deuxième jour, quand vingt-quatre heures ne sont pas encore
écoulées depuis mon arrivée, je suis, après le repas, conduite dans la
bibliothèque, pour y faire le service du café et du feu. Je suis seule, l’anus
libre du gode Hadès.
Je retire
ma jupe pour exhiber mes fesses. On me retire le gode pour fouiller mon anus
lubrifié.
Je sers
des tasses et le café. Un garçon mince, si jeune, blond, et un autre blond
aussi, trapu me toisent.
-
Mettez-toi sur le dos, cuisses relevées et écartées.
Ils
joignent mes mains à mon cou et m’enculent à tour de rôle, en traction
contrôlée, enculée latéralement. Lancelot et Romulus m’enculent aussi dans
cette position.
Je dois me
relever, le gode remis et les sodomies reprennent jusqu’à la tombée. A la
tombée du jour, je porte le gode, nue, fardée et parfumée, au réfectoire.
Je suis
longuement enculée à la bibliothèque par des inconnus, nue, avec des bergers
allemands, des dobermans et des danois sans répit jusqu’à l’aube. Je suis la
seule soumise présente.
25 juillet
Je ne
porte plus le gode anal, je suis doublement ouverte.
En début
de l'après-midi, menottée au chevalet, l’anus dégoulinant de spermes canins,
Charles Edouard examine mes reins, mes fesses, zébrées. J’adore la sensation
d’être enfin reprise par mon amant.
Un homme
cagoulé nu, me libère du chevalet, je me baigne seule. L’homme me fait un
ultime lavement avec une canule.
Penchée en
avant, l’homme cagoulé, se place derrière moi, debout, m’encule une ultime
fois, jusqu’aux testicules, en écartant mes fesses brûlantes et caresse mon
gros clitoris percé d’un anneau serti d’une pierre précieuse. Je me retiens de
jouir. Il n’éjacule pas en moi. Je le suce et avale tout.
Il me retire mes carcans. Il me fait glisser ma bague à mon annulaire
gauche, est une bague sertie d’un petit anneau. La seconde, en forçant un peu,
me va exactement.
Nue, je
mets ma guêpière seins nus, ma robe assez courte, fuchsia, sans mes bas et mes
fesses nues, ma chatte velue à tous. Je remets mon boléro fermé au cou. Je
chausse mes mules à hauts talons similaires à celles du lieu de ma captivité.
Nous
rejoignons le parc. Je retrouve la limousine, conduite par le bel étalon
européen. Je m’assois près de Charles Edouard, assise cul nu, cuisses écartées,
sans mon boléro.
-
Maintenant que tu es doublement ouverte, plus soumise, adepte des saillies
anales canines, tu es prête à de nouveaux jeux sexuels, Chantelle.
A la sortie du parc, nous quittons la
campagne pour rejoindre une route isolée, sur les hauteurs à une heure du lieu,
baptisé « Domaine des Biches ».
Pendant le
trajet, sans mon boléro, Charles Edouard me pelote les seins, étire mes
mamelons tendus, caresse mon gros clitoris. Je me retiens de jouir.
A
mi-chemin, dans un petit village, le bel étalon européen me fait descendre de
la limousine, dans une ruelle et je soulève ma robe et il m’encule sauvagement
avec son mandrin du calibre de James, me fesse. Je me retiens de jouir et je le
suce, accroupie.
Nous
arrivons à l’entrée d’une grande villa sécurisée, avec des maîtres-chiens avec
des bergers allemands et des dobermans. Je suis aux anges.
Je
descends seule de la voiture, juste vêtue de ma guêpière et en mules.
Les maîtres-chiens
m’escortent sur le chemin en gravier, jusqu’au rez-de-chaussée de la villa. Un
couple m’accueille, l’homme est un superbe étalon scandinave et l’autre est un
transsexuel bien monté aux petits seins.
- Voici
enfin, Soumise Chantelle, la fille de feu Miel, ma Maîtresse, dit l’homme. Je
suis le Comte Marc Beau Dresseur de Sévices, ton nouveau Maître. Tu es
doublement ouverte. Val va s’occuper de te préparer comme ma nouvelle
soubrette. Approche que j’examine ton corps qui est la copie parfaite de ta
mère Miel. Quelle douceur, cette toison, cet écrin ruisselant, cet œillet
entrouvert et cette bouche de suceuse, lève les yeux.
Je lève
quelques instants les yeux.
- Le même
vert que ta mère, tu es toute aussi docile qu’elle.
Val me
conduit dans ma chambre au troisième étage, sous les toits. La chambre comprend
un simple lit, avec des menottes, un bidet pour ma toilette, un seau pour faire
mon pipi debout, de nombreux miroirs et glaces sur les murs et au plafond, mais
ni baignoire ni douche et une canule pour mon lavement.
Val
m’encule sauvagement. Je me retiens de jouir, son mandrin de vingt-cinq
centimètres de long et sept de diamètre m’écartèle. J’ai l’habitude.
Je le
suce.
Je revêts
une robe assez courte, s’arrêtant au milieu de mes fesses nues, entièrement
décolletée, laissant mes seins nus entièrement exhibés dans un décolleté en
trapèze, dos nu, sans ma guêpière. Dans un des miroirs, je découvre un anneau
doré à chacune de mes grandes lèvres de ma chatte, entre mes poils.
- Tu es
presque ferrée, Chantelle, clitoris et grandes lèvres, le Domaine n’a pas
hésité à te faire reconnaître en plus de ta bague.
Je glisse
mes pieds nus dans des mules à talons de quinze centimètres avec une
plate-forme de six centimètres.
Habillée,
fardée, parfumée, je rejoins le rez-de-chaussée en descendant avec élégance
l’escalier de marbre.
Le Comte,
Charles Edouard, le chauffeur européen, Alban et Brice m’attendent au salon,
nus.
- Voici,
Soumise Chienne, l’alternative de Shawn, sa chatte velue et sa toison pubienne
lui font à merveille.
Je fais le
service.
Au bout
d’un moment, le Comte m’enfonce dans la chatte un concombre que je dois
conserver et une carotte avec ses feuilles, enfoncée dans mon anus. Je dois me
retenir de jouir, avec ses deux légumes. Mon bassin ondule, je mouille de
plaisir, le vent frais de la porte-fenêtre décuple la tension maximale de mes
mamelons et de mon clitoris, le vent monte le long de mes jambes et saisit mes
cuisses nues.
Des coups
de cravache sont donnés par chacun, pour mes petits râles de plaisir.
Vers
quinze heures, je viens d’arrêter mon septième orgasme, sur ordre du Comte. Je
suce tous mes amants.
Au tombée
du jour, le Comte me retire le concombre et la carotte que je suce, avant de
les manger dans une soupe, avec un excitant sexuel. Je suis nue et en mules,
les fesses et les cuisses zébrées par la cravache.
Puis
chacun m’encule, dans diverses positions, tout en retardant mon orgasme anal.
Enfin, je
peux jouir de mon orgasme anal, saillie par le doberman Apollo, suçant son
maître-chien. Je connais quatre orgasmes anaux. Je suis pantelante, en sueur.
Je suis
aussi invitée à m’empaler sur le sexe d’Apollo, pour me faire baiser, couchée
sur lui, tandis que son maître-chien m’encule. Cette double pénétration me fait
perdre connaissance par la violence des orgasmes.
Quand
j’émerge, je suis suspendue à un crochet, les bras tendus en l’air, sur la
pointe des pieds, les cuisses maintenues écartées, par une barre, dans une
pièce sombre, au troisième étage, attenante à ma chambre.
La
cravache et la garcette cinglent mes fesses, mes cuisses et mes reins,
alternant par des sodomies au moyen de godes canins réalistes.
Je bois et
je pisse dans un seau, devant les invités.
Vers vingt
et une heures, lors du départ des invités, je dois sucer chacun, libre et tout
avaler.
Je suis
menottée à mon lit, bras et jambes écartés, vers minuit, encore une fois
fouettée et enculée par Apollo.
26 juillet
A l’aube,
Shawn vient me faire de longs baisers et caresses lesbiennes sur mon corps
repu. Un bâillon pénis m’empêche de jouir, mais les ondulations de mon corps
trahissent mes orgasmes.
Shawn me
cravache aussi les fesses et les cuisses.
Tandis que
Shawn fait le service, je suis affectée à des heures de maintien, avec des
petits pas serrés, le corps droit, montée et descente d’escaliers avec grâce,
nue et en mules dans ma chambre, à mettre mes corsets seule surveillée par Val,
avec sa cravache, je dois continuer à boire le mélange.
Apollo me
baise et m’encule fréquemment, chaque fois que je suis nue, jusqu’au nœud. Ses
longues éjaculations me font jouir.
10 août
Après un
long entraînement comme soubrette soumise, vers 9 heures, en tenue de
soubrette, avec mes pinces à seins et mes pinces à mes grandes lèvres, avec des
clochettes qui s’animent au moindre mouvement, émettant un tintement cristallin
et des rangées de dents minuscules en métal mordent mes mamelons durcis, mes
grandes lèvres s'allongent beaucoup et mes mamelons aussi en déformant aussi
mes seins vers le bas.
J’accepte
le fait d’avoir mes mamelons et mes grandes lèvres pincées, mes seins sont
devenus encore plus sensibles.
Je porte
encore des marques récentes de la cravache et de la garcette.
Le Comte
m’informe :
- Soumise
Chienne, tu es encore plus ouverte de l’œillet, ta chatte répond aussi au
désir. Désormais, tu peux te faire baiser la chatte par Charles Edouard ou
Alban, pour ton inceste.
Le Comte
me baise jusqu’à l’éjaculation, à quatre pattes. Je retrouve le plaisir de mon
orgasme vaginal.
Je le
nettoie.
Je garde
ma tenue de soubrette. Le bel étalon, le chauffeur, me conduit dans la
limousine, j’ai changé mes mules à plate-forme pour des mules sans plate-forme,
plus confortables.
Je quitte
le « Pavillon de chasse du Comte » pour un nouveau lieu. Je garde mes
clochettes uniquement à mes grandes lèvres de ma chatte humide.
Je n’ai
pas encore retrouvé ma direction de la société de lingerie.
La chaleur
aidant, j’aime avoir les fesses, les jambes et les seins nus.
Le lieu se
trouve à mi-chemin entre le « Domaine des Biches » et mon immeuble.
Nous
prenons des passages souterrains et entrons dans un parking souterrain.
Le
chauffeur m’abandonne seule au troisième sous-sol, avec mon masque de nuit, les
bracelets de cuir et mon collier de cuir, nue et en mules, menottée, mains
jointes à mon cou.
Soudain,
des mains me caressent, me fouillent, des voix masculines m’insultent,
complimentent ma facilité. Je suis enculée, suçant, avalant le sperme, mon anus
déborde de spermes chauds. Je ne connais pas le nombre de mes partenaires.
On
m’enfonce un gode anal canin de gros calibre pour ne pas perdre le précieux
sperme.
Je monte
dans un ascenseur, aveugle et menottée, jusqu’à l’étage désiré.
A l’étage
atteint, on m’aide à sortir. On me fait entrer et refermer la porte.
On
m’allonge sur le dos, sur un canapé, mains jointes à mon cou, cuisses écartées.
Je suis
baisée par de gros mandrins, provoquant une double pénétration. Mon bijou
d’anus appuie sur la paroi antérieure de ma chatte, réduisant l’espace laissé
au mandrin et faisant pression sur celui-ci, l’obligeant à appuyer davantage
contre le “point G”. On éjacule sur ma toison pubienne. Je ne compte plus mes
orgasmes. Je suce aussi ceux qui me baisent.
Les mêmes
mandrins ensuite m’enculent, l’anus libre et éjaculent en moi.
Quand
j’émerge, nue, en sueur, dans une luxueuse chambre recouverte de glaces et de
miroirs, menottée, à quatre pattes, baisée et enculée simultanément par le
double gode réaliste de Shawn. Ils mesurent sept centimètres de diamètre.
Le
gynécologue, James et son assistant Désiré, Charles Edouard et Alban, Brice me
baisent fréquemment pour que j’assure une descendance.
Je subis
un examen quotidien de ma chatte après chaque éjaculation dans ma chatte.
Les
doubles pénétrations se succèdent pendant trois jours et trois nuits. Je suis
dépendante du sexe, incestueux et d’orgies anales.
14 août
J’émerge à
l’aube. Shawn me douche longuement, avec un long lavement anal. Je me farde et
me parfume.
Je
découvre dans un des miroirs, des fers qui trouent mes grandes lèvres de ma
chatte et portent en toutes lettres que je suis la propriété d’Alban et de
Charles Edouard, me descendent jusqu'au tiers de la cuisse, et à chacun de mes
pas bougent entre mes jambes comme un battant de cloche, le disque gravé étant
plus lourd et plus long que l'anneau auquel il pend. Ils sont constitués
d’anneaux de fer mat inoxydable. La tige en est ronde, épaisse comme un gros
crayon de couleur, et ils sont oblongs : les maillons des grosses chaînes sont
semblables. Chacun est formé de deux U qui s'emboîtent l'un dans l'autre. Le
ressort intérieur que l’on force, pour le faire pénétrer dans la rainure où il
se bloque. Chaque anneau est long comme deux phalanges du petit doigt, qu'on y
peut glisser. A chacun est suspendu, un anneau qui doit être dans le même plan
que l'oreille et la prolonger, un disque de même métal aussi large que l'anneau
est long. Sur une face, il y a un fouet et une cravache entrecroisés.
Sur mes
fesses, je porte aussi des marques imprimées par le fer rouge, hautes de trois
doigts et larges de moitié leur hauteur, sont creusées dans la chair comme par
une gouge, à près d'un centimètre de profondeur. Je porte les lettres S et C.
- Le Comte
tient à ce que tous voient immédiatement tes fers à ta chatte, et si on le
retourne, ton chiffre sur tes fesses marqué au fer rouge. Le tout est définitif,
Chantelle. C’est ton statut de Soumise Chienne. Tu as mouillé lors de la pose
de tes fers et lors de la pose de ton chiffre, tu étais excitée, qu’on a du te
faire jouir à de nombreuses reprises, enculée.
Je
reconnais que je suis encore plus désirable.
Charles
Edouard et Alban me retrouvent.
Je porte
une robe blanche composée d'une jupe éventail, qui se retrousse d'un geste,
mais toujours à corselet montant jusque sous les seins, et portée avec un
boléro fermé au cou. Il suffit d'enlever le boléro pour que les épaules et les
seins fussent nus, et sans même enlever le boléro, de l'ouvrir, si l'on désire
voir les seins. Je chausse mes mules à hauts talons. Je rejoins le parking
souterrain en leur compagnie, me laissant peloter les seins aux mamelons constamment
tendus, caresser mon gros clitoris et mes lèvres humides de ma chatte. J’ai mis
le bijou d’anus moulé sur le devant du sexe de Lancelot, pour mon amour des
Danois.
- D’ici quelques jours, tu n’auras plus tes règles, ton ventre va
s’arrondir. Tes seins tendent en permanence leurs mamelons au ciel. Mon ventre
arrondi s’est tendu et cambré. Tu es une exhibitionniste, perverse, vicieuse,
chienne, avec tes fesses et tes seins nus accessibles à tous. Nous retournons à
la direction, soumise à souhait, prostituée.
Dès mon
arrivée à l’accueil, tous observent mon maintien, mon regard plus clair, la
perfection de mon immobilité, et la mesure de mes gestes. Le tintement de mes
fers cachés sous ma jupe éventail, attire les regards masculins et féminins.
Arrivée au
septième étage, escortée par Charles Edouard et Alban, le personnel masculin et
féminin découvrent lors d’un lever involontaire de ma jupe éventail par Alban,
mes fers et ma chatte ruisselante et mon gros clitoris percé. Ma nudité les
excite.
Je regarde
les nouveaux modèles réalisés par mes collaboratrices et les photos des
mannequins que j’ai choisi. J’approuve.
Le
téléphone sonne et je décroche :
- Soumise
Chienne, ici le Prince Omar, j’ai appris que tu es adepte des saillies anales
canines. J’ai une aventure à te proposer, si tu aimes monter à cheval. Je
possède un haras pour assouvir ta passion.
- Je suis
une cavalière émérite. J’avoue que je fantasme des fois sur les sexes des
chevaux.
-
Excellent, d’ici quelques jours, je viens te chercher chez toi.
Le
téléphone raccroche.
- Le
Prince Omar est un riche propriétaire de nombreux étalons, excellents
reproducteurs, avec un imposant harem de favorites Européennes et Américaines,
m’annonce Charles Edouard.
Je passe
une nuit agitée, enculée par Alban. Je fantasme sur une saillie anale équine,
menottée à un chevalet. Je connais un violent orgasme anal, avec une
éjaculation d’Alban.
17 août
Lorsque je
regarde mon ventre, après ma douche jouissive, je découvre qu’il s’est un peu
plus arrondi. Je suis enceinte.
Le
gynécologue le confirme, lors de mon examen et il m’encule longuement avec son
assistant.
Vêtue de
ma robe seins nus et mon boléro, fuchsia et mes mules blanches à hauts talons,
je croise le chauffeur personnel du Prince Omar et sa limousine.
Je monte à
l’arrière, nous rejoignons un héliport privé. Nous prenons un hélicoptère
Dauphin qui nous dépose à un aéroport privé.
Là, nous
prenons un Falcon 7X.
Nue, je
suis baisée et enculée par le Prince Omar, doté d’un imposant mandrin plus gros
que celui de Brice, trente-deux centimètres et huit de diamètre.
Il est
surpris par mon ouverture anale. Je lui confie que les saillies anales canines
m’ont bien écartelé.
Nous
débarquons en milieu d’après-midi, dans un luxueux terminal climatisé. Je
descends nue sous une robe longue, avec un tchador ne laissant que visible que
mes yeux et quelques mèches de mes cheveux.
Un
hélicoptère Ecureuil nous dépose dans un palais hautement sécurisé.
Fesses
nues, je suis enculée sauvagement par les gardes du prince, sans jouir, ni éjaculer
en moi, mais sur mes fesses brûlantes par les fessées.
Je rejoins
le haras climatisé.
Nue, je
suis conduite sous un pur-sang arabe, Alizé des Oasis. Son énorme sexe équin en
érection, me remplit entièrement la chatte humide et je connais un formidable
orgasme. Alizé éjacule me provoquant un nouvel orgasme foudroyant.
Prince me
fait menotter à un chevalet et la chatte libre, je sens le gland du membre
devenu moins dur sur ma rondelle, il commence à pousser. Il me l’enfonce sur
trente centimètres, je gémis, mais la douleur devient plaisir, Alizé bande à
nouveau dans mon anus. Un orgasme anal me terrasse, avec une nouvelle
éjaculation d’Alizé. Mes râles sont étouffés par les mandrins bien montés des
gardes du Prince, qui éjaculent dans ma bouche.
Mon anus
rougi complètement distendu et boursouflé libère un flot de sperme.
Le Prince
me fait enculer aussitôt par un trotteur Français Zéphyr des Plaisirs. je
connais le même plaisir avec orgasmes et éjaculation.
Le selle
Français Tornade des Vices m’encule avec la même vigueur. Malgré la fatigue,
les gardes du Prince, le Prince et les dobermans du Prince se relaient pour
m’enculer jusqu’au coucher du soleil.
Je dors
nue, menottée, cuisses écartées, allongée sur le dos, après mon lavement anal,
me faisant enculer à toute heure, nourrie d’excitants sexuels, décuplant mes
vagues de plaisir.
18 août
A l’aube,
pendant quatre heures, les saillies anales équins reprennent, puis canines et
par les gardes du Prince et le Prince.
Je passe une semaine chez le Prince, avec une
belle somme d’argent pour mes saillies anales.
Quelques
mois après, je donne naissance à une fille, prénommée Aimée Miel Jasmine. Je
reprends mes orgies, tantôt soumise, tantôt maîtresse, de nouvelles soumises
vierges comme moi à mes débuts.
Retrouvez-moi,
Chantelle votre soumise. Je vous attends.
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