dimanche 5 janvier 2020

CHANTELLE LA VICIEUSE


Je m’appelle Chantelle, la fille de Miel, que vous connaissez dans « chaleurs tropicales du vice ».
J’ai 19 ans.
Je suis une jolie beauté scandinave.
Je suis une brune aux yeux verts. J’ai des pieds fins et latins, des jambes longues bronzées, musclées qui inquiètent par leur perfection. Mon pénil est bombé, ouvert, couronné de noir. Ma pilosité brune couvre mon pubis. Je suis totalement velue entre les cuisses et j’ai une superbe croupe. Les lèvres de mon sexe sont une plaie rouge entre mon entrecuisse velue. Mes hanches s'incurvent et délimitent le ventre plat, délicieusement renflé autour du nombril, les hanches sont larges et rondes, mais sans lourdeur. La taille est affinée. Les seins parfaits intégralement bronzés sont un peu volumineux mais fermes, et leurs pointes marron clair, toujours dressées, cernées par une large aréole marron attirent le regard. J’ai une peau lisse et patine. Finition parfaite, un seul grain de beauté entre mes superbes seins. De longs cheveux plats blonds flottant comme des algues, battent mes épaules rondes et gracieusement athlétiques. Je suis intégralement bronzée. Mes yeux verts limpides s'allument, ma bouche charnue se fend. J’ai des sourcils bruns bien dessinés et des lèvres pulpeuses. J’ai de longs doigts fins et de belles mains. Je fais du 85B de poitrine, 56 de taille, 90 de hanches, 1,72 m.

CHANTELLE LA VICIEUSE

Je suis encore étudiante, vierge, à dix-neuf ans. Mais je connais les plaisirs des caresses par mon frère jumeau, Alban. Mes mamelons et mon clitoris sont devenus sensibles, dès la moindre caresse, depuis mon adolescence. J’ai appris à masturber le mandrin d’Alban, pour le faire jouir.

20 juillet
Aujourd’hui, c’est mon anniversaire de mes dix-neuf ans. Alban a invité six de ses amis, qui me connaissent pour mes ébats lesbiens avec leurs amies. Tous connaissent mes atouts, mon corps musclé et envient de m’embrasser et de faire jouir.
Je participe au souper, toute nue, comme chaque année, depuis mes seize ans et le développement de mes petits seins qu’envient mes amies lesbiennes aux seins plantureux. Je suis une fille naturelle, j’ai gardé ma toison et ma chatte velus, au contraire de l’épilation intégrale, j’ai juste épilée mes aisselles.
Pour le gâteau, je découvre en le découpant, un superbe coffret. Je l’ouvre, c’est le must du gode réaliste. Il mesure vingt-trois centimètres et six de diamètre.
Je le suce, me rappelant les conseils de Miel, dans son journal intime.
Je m’empale partiellement dessus ma chatte trempée, ce qui excite Alban et ses amis. Je les laisse me caresser les seins, le clitoris, tandis que je coulisse dessus. Je jouis, entre deux baisers. Alban m’embrasse aussi.
Après avoir mangé le gâteau, toute excitée, je suis tentée de m’offrir à Alban, devant ses amis.
Alban me baise à quatre pattes. Je coulisse sur son gros mandrin de trente-cinq centimètres de long et huit de diamètre. Saisie à la taille, je suce un de ses amis, tandis qu’un me masturbe mon clitoris tendu et un autre étire mes mamelons durcis. Je suis au summum du plaisir. Le sexe avec un homme me conduit vers de nouveaux désirs.
En s’agrippant de plus en plus fortement à mes hanches, il me déflore, sans aucune douleur.
Je suis ensuite baisée, à quatre pattes d’abord, puis allongée sur le dos, grand écart et mes mollets posés sur les épaules de mon amant et je finis empalée face à Alban, pour m’achever.
Ma chatte dégouline de spermes.
Pantelante de mes orgasmes, je ne prête guère attention au gros mandrin de vingt-six centimètres de long et huit de diamètre de son ami Brice, un étalon africain, qui m’écartèle mon anus vierge. Je gémis, mais me remplit la chatte pour atténuer ma défloration anale.
Je coulisse sur ses deux mandrins et je prends du plaisir.
- Maintenant, que ta chatte a été remplie, ton œillet doit s’ouvrir.
- Non, Brice, tu me fais mal.
- Détends-toi, ma chérie aime ça.
Après quelques va-et-vient, un orgasme anal me terrasse, combiné à celui avec Alban.
Les doubles pénétrations se succèdent jusqu’au coucher du soleil, ma chatte, mon anus et ma bouche dégoulinent de spermes. Je finis épuisée, endormie.

21 juillet
Vers 8 heures, j’émerge. Je me douche devant Alban.
- Chantelle, tu n’es plus officiellement vierge de la chatte. Mais ton œillet n’est pas encore prêt pour de nouvelles sodomies comme Miel.
- Tu m’as réellement déflorée, Alban. Je n’ai rien senti, tellement j’étais excitée.
- Tu es une vraie allumeuse.
Défiant, Alban, je mets un simple tee-shirt blanc sur mes seins nus et une minijupe assortie, pour que tout le monde sache que j’ai les seins, les fesses et les jambes nues, pour draguer. Une paire de sandales blanches à hauts talons et mes ongles des pieds vernis, maquillée, coiffée d’une queue-de-cheval, après mon petit déjeuner copieux. Je viens de découvrir l’inceste avec Alban et le plaisir de me faire jouir avec des jeunes amants.
Je prends mon vélo pour rejoindre la direction de la société d’exportation de lingerie de luxe, d’où j’ai hérité avec mon frère Alban et le beau-frère de Miel, Charles Edouard.
En chemin, je prends du plaisir, les fesses nues sur ma selle, frottant mon clitoris tendu par le vent frais. Je connais un orgasme, stoppée au feu rouge.
Une superbe Lamborghini rouge stationne à mes côtés.
- Tiens, Chantelle, tu es très belle, fesses nues sur ton vélo.
- Merci, Charles Edouard, on se voit au bureau.
Après un second orgasme, je range mon vélo au rez-de-chaussée. Toute la gente masculine me lance des regards concupiscents sur mes atouts de séduction.
Charles Edouard parque sa Lamborghini au sous-sol. Je monte au septième étage, retrouver mes collaboratrices.
Là, je choisis les modèles et j’annonce :
- Faisons une collection de soutien-gorges quart et demi seins avec des strings fendus pour libérer l’écrin de nos clientes.
- D’accord, me répondent mes collaboratrices.
Après leurs départs, Charles Edouard me rejoint :
- Alors, Chantelle, toujours vierge et lesbienne, tu as des atouts.
Charles Edouard glisse sa main sur ma chatte.
- Tu es toute trempée et tu as des perles blanches.
- C’est normal, c’est ma mouille.
- Non, c’est du sperme, ma chérie. Viens me sucer.
J’obéis, agenouillée et je le suce, comme la veille pour mon anniversaire.
- Du calme, Chantelle, tu vas me faire éjaculer dans ta bouche. Je vais te baiser sur le champ.
Je n’ose protester. Alban, mon frère, m’a déflorée. Charles Edouard va le découvrir.
- Non, encule-moi, s’il te plait. Je veux rester vierge de la chatte.
- Comme tu veux, tu vas prendre du plaisir.
Je m’offre à quatre pattes, sans ma jupe, sur un des fauteuils.
Le gros mandrin de Charles Edouard, long de trente centimètres et huit de diamètre, m’écartèle l’anus. Je me retiens de gémir, sous les caresses de mon clitoris.
- Dis-donc, ton œillet est bien chaud, pour une lesbienne.
J’ondule mon bassin et m’empale jusqu’aux testicules, avec quelques claques magistrales sur mes fesses.
Charles Edouard entre et sort et m’écarte davantage les fesses brûlantes.
Il éjacule en moi et m’insère un nouveau jouet : un bijou d’anus en acier long de quinze centimètres et cinq de diamètre. Il ne bouge pas dans mon anus par sa forme en sapin, et sa large base vous garantissent un excellent maintien dans l’anus. La section qui relie les deux extrémités est très fine et douce afin de laisser l’anus se refermer dessus sans gêne. La tige de la taille de l’auriculaire sert de support lorsque le sphincter se referme.
- Ainsi, chaque nouvelle sodomie te sera moins douloureuse, en ondulant ton bassin, tu vas jouir.
Je remets ma jupe.
Nous déjeunons ensemble. Je garde mes cuisses écartées, assise cul nu sur la chaise. Je suis excitée.
Je me rends ensuite chez mon gynécologue. Il me connaît depuis l’âge de mes seize ans, c’est le fils du gynécologue, qui s’est occupé de ma mère Miel.
Exhibée, nue, sur le fauteuil gynécologique, je glisse mes jambes sur les supports. Je sens les lèvres de ma chatte qui s'entrouvrent toutes seules. Mes cuisses sont écartées au maximum et mon bassin est à la hauteur du visage de James. Il remarque mon bijou d’anus.
Il m’insère un spéculum dans ma chatte trempée.
- Chantelle, tu n’es plus officiellement vierge. Tu n’as rien ressenti et tu mouilles davantage qu’auparavant. Cela t’excite.
- Oui, James, je n’ai pas fait attention que le gode m’avait défloré.
- Non, disons que c’est une queue qui t’a ouverte.
Il me retire le bijou d’anus, mon anus reste entrouvert.
Il retire le spéculum et m’insère un spéculum anal.
L’écarteur anal est une paire de ciseaux qui s’écarte par crans d’arrêt. Il peut m’ouvrir jusqu’à cinq centimètres de diamètre sur huit centimètres de profondeur.
- Détends-toi, ton œillet va s’ouvrir davantage.
Il espace l’ouverture de chaque cran supplémentaire. Il me doigte la chatte et masturbe mon clitoris pour que je prenne du plaisir.
Il le retire et mesure mon ouverture anale.
Sans attendre, il m’exhibe son long et fin mandrin de trente-neuf centimètres et cinq de diamètre que je suce, avant de me faire baiser jusqu’aux testicules. Un orgasme me submerge, il se retire et m’encule sur le champ. Je jouis, ma bouche aussitôt remplie par le mandrin de son assistant, vingt-huit centimètres de long et six de diamètre.
Dès la fin de mon orgasme anal, l’anus remplie par le sperme de James, Désiré, l’africain, m’encule jusqu’aux testicules. Je connais un fulgurant orgasme anal, qui le fait éjaculer aussi, tandis que je nettoie James.
- Elle raffole de la sodomie, la fille de Miel. Telle mère, telle fille, tu es future vicieuse, Chantelle.
J’ai droit à un long lavement à l’eau froide. Je dois me soulager et je me rhabille avec mon bijou d’anus en place.
De retour chez moi, je découvre Alban qui encule Brice. Brice est en érection.
Nue, je m’accroupis et je suce Brice.
- Chantelle, arrête, je vais jouir dans ta bouche.
J’avale le sperme de Brice et celui d’Alban.
Je me refais une beauté, après ma douche masturbatoire. Je me fais jouir, en jouant avec le bijou d’anus.
Je découvre une lettre anonyme titrée :
Pour Chantelle.
Je lis le pli, suis les instructions et fardée, parfumée, Alban m’aide à lacer ma guêpière seins nus, tenue rigide par de larges baleines très rapprochées, courbées vers l'intérieur au ventre et au-dessus des hanches, fermée par un busc, sur un côté derrière. Par-derrière, un large laçage est serré aussi étroitement par Alban. Ma taille et mon ventre se creusent sous la pression des baleines, qui sur le ventre descendent presque jusqu'au pubis, qu'elles dégagent, ainsi que les hanches. La guêpière est plus courte par-derrière et laisse la croupe entièrement libre. J’accroche mes bas assortis, devant et sur les côtés, aux quatre jarretelles. L’ensemble est blanc cachée sous une robe assez courte, fuchsia, qui dévoile mes bas et mes fesses nues, ma chatte velue à tous.
La guêpière m’offre des hanches de courtisane, mon dos cambré et mes fesses en arrière et mes seins tendent même leurs mamelons, mon corps est moulé, la guêpière épouse les formes et les met en valeur. Je découvre dans le carton de ma guêpière, les photos de mon anniversaire et de ma sodomie par Charles Edouard. Je suis surprise et excitée. Ma chatte est toute trempée, mon clitoris est tendu tout comme mes mamelons, sous mon boléro fermé au cou. Il suffit d'enlever le boléro pour que les épaules et les seins soient nus, et sans même enlever le boléro, de l'ouvrir, si l'on désire voir les seins.
Une limousine aux vitres teintées m’attend au pied de mon immeuble que je loue avec Alban, hérité de ma mère Miel.
Je monte à l’arrière, assise fesses nues, cuisses écartées. Un bel homme plus âgé que moi, cagoulé, est assis à mes côtés, silencieux. Le chauffeur, un bel étalon européen me toise. Je baisse les yeux.
Nous quittons le quartier.
Je porte un masque de nuit pour m’aveugler. L’homme me retire mon boléro, vérifie le volume de mes seins qu’il pelote. Il m’aide à retirer ma robe.
Je reste en guêpière et en bas.
Il retire mes escarpins pour des mules à hauts talons.
Il fixe mes bracelets à mes poignets, faits en plusieurs épaisseurs de cuir, chaque épaisseur assez mince, au total pas plus d'un doigt, verrouillés par un système à déclic, qui fonctionne automatiquement comme un cadenas quand on le referme, et ne peut s'ouvrir qu'avec une petite clé. Dans la partie opposée à la fermeture des bracelets, pris dans le milieu des épaisseurs de cuir, et n'ayant presque pas de jeu, il y a un anneau de métal, qui donne une prise pour fixer, et qu'on positionne du côté intérieur du poignet. Il les fixe dans mon dos. Il me met un bâillon O, qui me force à garder la bouche ouverte pour m’humilier et que je me dépasse.
Menottée, la bouche ouverte, aveugle, lors d’une pause, après un trajet inconnu, on me déchausse, m’allonge sur le dos, les genoux ramenés sur mes épaules, je suis enculée, l’anus libre, à deux reprises, en retardant mon orgasme anal.
Lors d’une nouvelle pause, avant de descendre, je reprends la pose et trois hommes m’enculent sans ménagement, en bloquant mon orgasme anal.
On me remet le bijou d’anus en place.
On m’aide à sortir de la voiture. On me retire ma guêpière et mes bas. Je suis toute nue, en mules, menottée dans le dos, le bijou d’anus dans mon anus bien ouvert.
Mes mules claquent sur les marches en marbre. Je monte un grand escalier en marbre.
On échange mon bâillon O pour un bâillon-pénis, long de cinq centimètres et trois de diamètre. On me retire mes mules. Je sens sous mes pieds nus un épais tapis.
Je reste une éternité, dans une grande pièce recouverte de glaces et de miroirs au plafond, tout entourée de placards avec des glaces et des miroirs.
Deux jeunes femmes entrent, vêtues de longues jupes légères et bouffantes qui dénudent entièrement les jambes, jusqu’à la taille par devant, des corselets serrés qui font jaillir les seins, portant des clochettes qui tintent et sont lacés ou agrafés par-devant, et les seins entièrement nus, non couverts, et des manches à demi longues, avec les yeux et la bouche fardés. Elles ont un collier serré autour du cou, des bracelets serrés autour des poignets.
On me retire mon masque de nuit, libère mes poignets.
Je gravis des marches menant à une grande baignoire transparente. Un homme cagoulé nu me suit.
Il me fait accroupir, cuisses écartées, devant de nombreux miroirs, dans l’eau. Il menotte mes bracelets à un crochet au-dessus de moi, pour que mes bras soient tendus, les mains au-dessus de ma tête, coiffée d’un chignon.
Il enduit mes mamelons durcis par l’excitation et mon clitoris d’une mystérieuse crème qui provoque une excitation énorme. Mes mamelons pointent au maximum tout le temps, vingt quatre heures sur vingt quatre et de même pour mon clitoris. Mes mamelons et mon clitoris sont complètement tendus et très dur au point de me faire vraiment mal et le moindre effleurement même involontaire devient une véritable torture tellement ces endroit sont devenus sensibles.
Mon clitoris est gros comme une cerise, saillant et volumineux et mes mamelons sont aussi saillants, gros et longs, comme jamais auparavant.
J’ai droit à un lavement avec une canule enfoncée dans mon anus, m’aspergeant d’eau froide, me faisant mouiller, ce qui me vaut des coups de cravache sur les fesses. Je mouille davantage.
- Tu ruisselles, ma belle, quand je te cravache. Ils vont adorer.
Pendant mon bain, je reçois mon collier de cuir, l'anneau pend devant le cou, reposant sur la saillie des clavicules, et brinquebale au rythme des mouvements de celui qui le porte.
A la réserve du collier et des bracelets de cuir, que l'eau a durcis quand je me suis baignée, et qui me serrent davantage, je suis nue.
Je dois m’offrir à quatre pattes, pour me faire enculer sauvagement par l’homme cagoulé nu. Je me retiens de jouir.
Je m’accroupis, devant un miroir à trois faces, on ombre légèrement mes paupières légèrement ombrées, me farde la bouche avec un rouge clair, un peu liquide, appliqué au pinceau, et qui fonce en séchant. On me peint du même rouge l'aréole et les mamelons tendus, peaufinant avec un glaçon pour fixer les couleurs et les petites lèvres entre mes cuisses, en soulignant la fente du giron. L’homme cagoulé me fait passer un glaçon sur mon clitoris tendu. Je me retiens de jouir, les yeux baissés.
L’homme cagoulé me retire mon bâillon-pénis et me fait sucer son gros mandrin. Je le fais éjaculer. Il aime ça.
Je remets mes mules, l’homme cagoulé me saisit les deux mains. Il fit glisser l'un dans l'autre les deux anneaux de mes bracelets, ce qui me joint étroitement les poignets, et ces deux anneaux dans l'anneau du collier. Je me trouve donc les mains jointes à la hauteur du cou. Il fixe une chaîne à l’anneau de mon collier et je le suis.
Je rejoins une pièce attenante, avec toujours des glaces et des miroirs. Agenouillée, cuisses écartées, empalée sur un gros gode anal, je suis nourrie par une main invisible. Je tente de résister à mon orgasme anal, frustrée, excitée et humiliée.
L’homme cagoulé revient, me joint les mains à mon cou et je suis conduite, nue, en mules, tenue en laisse par mon collier, par une chaîne d’acier. Deux jeunes femmes m’escortent aussi. Je porte mon masque de nuit.
Une femme avance devant moi et ouvre les portes, l'autre me suit et les referme. Nous traversons un vestibule, deux salons, et pénétrons dans la bibliothèque, où quatre hommes prennent le café. Ils portent des capes, sur leurs corps nu, mais aucun masque.
Je me retrouve rapidement, les mains menottées dans mon dos, toujours aveugle. Deux mains descendent le long de mes fesses après avoir vérifié l'attache des bracelets : elles ne sont pas gantées, et me doigte simultanément la chatte et l’anus détendu. Je jouis. On me pelote les seins, provoquant une tension extrême à mes mamelons et à mon clitoris, étirant, mordillant et pinçant mes mamelons.
Je bascule à la renverse, déchaussée, soutenue dans des bras, cuisses grandes ouvertes, tenue par les chevilles, les reins soulevés, je suis sauvagement enculée par un gros mandrin, avec une gaine à picots, qui m’arrache l’anus. On masturbe mon gros clitoris pour m’exciter, je mouille davantage.
Je me retrouve agenouillée, cuisses écartées, fléchie un peu en arrière, à demi assise sur les talons, les mains toujours menottées dans le dos.
Il faut l’éduquer à être attachée, fouettée, car elle prend du plaisir sous la cravache, jusqu’aux larmes, dit l’une des voix masculines.
- Faites venir Balzac et Arès, dit une autre voix.
Il faut lui percer l’œillet, elle est chaude, dit une troisième voix.
Je me retrouve toujours agenouillée, mais cette fois le buste reposant sur un pouf, toujours les mains au dos, et les fesses plus haut que le torse.
Le premier, avec un mandrin du calibre d’Alban, m’encule jusqu’aux testicules, le second, du calibre de Brice et le troisième, du calibre de Charles Edouard, m’encule aussi. Je me retiens de jouir, mais mes pals anaux trahissent mon désir.
- Elle aime ça, se faire défoncer l’œillet, même s’il faut un peu l’élargir.
Je sens un étrange sexe m’enculer, différent des autres. C'est le bulbe, ou noeud, comme on le sait plus communément, qui m’encule. L'ampoule est composée de tissu musculaire qui se gonfle de sang pendant les rapports sexuels et gonfle à un diamètre significativement plus grand que celui du pénis lui-même. Une fois que l'ampoule du chien est plantée dans le rectum, je me détends. Balzac libère son sperme bien avant de s'attacher à moi et continue de le faire jusqu'à ce qu'il soit capable de se retirer. L'ampoule rétrécit et il se retire.
Arès m’encule avec le même plaisir, d’une demi-heure avec Balzac passe à trois quart d’heure.
Je suce Balzac, pour le nettoyer. Balzac bande et éjacule dans ma bouche. J’avale tout, tandis qu’une série de quatre orgasmes anaux me submerge, comme avec Balzac. Balzac offre un sexe long de dix-sept centimètres et cinq de diamètre.
Je suce aussi Arès, qui offre un sexe long de vingt centimètres et sept de diamètre.
Les quatre hommes se relaient pour m’enculer, l’anus un peu plus ouvert et détendu. On me met en place un mystérieux gode anal, long de treize centimètres et jusqu’à six de diamètre, muni d’un puissant va-et-vient, représentant un sexe canin en érection. Je ne peux l’expulser.
Ayant recouvré la vue, je suis conduite à la Croix de Saint-André au centre de la pièce, entièrement recouverte de glaces et de miroirs, sur les murs et au plafond.
On me menotte les chevilles, les poignets et enserre la taille, bras et jambes écartés, face à la croix. Je découvre la cravache; le fouet, qui est long, fait de cuir souple ; une garcette, de cordes assez fines, faite de sept lanières terminées chacune par plusieurs nœuds, et qui sont toutes raides, trempées dans l'eau, pour caresser l’intérieur de mes cuisses. Je sens mieux combien les cordes sont humides et froides contre la peau tiède de mes cuisses.
Je suis fouettée avec les trois, par alternance, sur les fesses et l’arrière de mes cuisses. Je les supplie :
- Arrêtez, cessez.
Pour toute réponse, un des hommes au plus gros mandrin, me retire le gode anal et m’encule sauvagement, en écartant bien mes fesses zébrées et brûlantes.
- Quelques saillies par Arès et Balzac lui ouvriront davantage l’œillet.
Le gode est remis en place.
Je jouis, sous les va-et-vient du gode, ou sous les coups de fouets. Je suis excitée.
- Sa chatte ruisselle, elle aime ça. Mettez-la de face, les yeux baissés.
Sans ménagement, je suis attachée avec le dos à la croix. Les coups de fouet cinglent le devant de mes cuisses. Des clochettes fixées par des pinces à seins, à mes mamelons tendus, tintent à chacune de mes respirations.
Je suis chancelante et groggy.
On attache à trois petits trous percés dans la base, trois chaînettes qui sont accrochées à une étroite ceinture autour de ma tailles, une par derrière qui suit le sillon des fesses, et les deux autres par-devant, qui longeaient le pli des aines en contournant le triangle du ventre.
- Elles sont au plus court, pour que le gode force et distend ton œillet de chienne. Elles sont cadenassées pour que tu ne puisses te soulager de cette contrainte.
Mon bassin ondule sur ce gode, que j’apprécie.
Les deux femmes m’habillent : un corset seins nus, lacé étroitement, est durement baleiné, long et rigide, et comporte des goussets où reposent les seins. A mesure qu'on serrait, les seins remontaient, s'appuyaient par-dessous sur le gousset, et offrent davantage leur pointe. En même temps, la taille s'étrangle, ce qui fait saillir le ventre et cambrer profondément les fesses, comme la guêpière que j’ai portée. Je porte une queue-de-cheval pour exhiber mon collier.
Un corsage transparent encadre mes seins nus en trapèze, de la base du cou jusqu'à la pointe et sur toute la largeur des seins, croisé devant et noué derrière. La jupe est courte jusqu’à mi-cuisse, dévoilant largement les fesses, par une large fente en V et par devant par une fente dévoilant le pubis, dévoilant aussi des chaînettes et de la ceinture, pour prouver que je porte le gode anal. Je chausse mes mules et je m’accroupis, cuisses écartées pour écouter les règles :
« Tu es ici au service de tes maîtres. En plus de tes corvées le jour, tu te prêtes, homme ou chien. Le gode est porté dès ton lever jusqu’à midi et entre la tombée du jour et l’heure de la nuit, tu seras enculée chaque soir dans cette pièce par des hommes et des chiens, l’œillet libre et élargi. Les parties de ton corps sont fouillés à  notre gré. Tu ne peux te dérober, la bouche entrouverte, les jambes écartées, pour donner accès à ta bouche, ta chatte et ton œillet nous sont ouverts. Habillée le jour, tu es utilisée. Tu es fouettée qu'entre le coucher et le lever du soleil. Tes yeux doivent toujours le sexe nu et uniquement pour le sucer. La nuit, tu es nue, menottée, cuisses écartées, pour sucer et tu es fouettée chaque jour pour ton instruction. Tu es contrainte. A ta sortie, tu portes un anneau de fer à l'annulaire, qui te fait reconnaître et ton clitoris percé : tu obéis aux porteurs de l’anneau, car tu es  constamment nue sous tes vêtements, c'est pour eux. On va te conduire dans ta cellule. »
Les mules claquent sur les carrelages rouges des couloirs, où des portes se succédaient, discrètes et propres, avec des serrures minuscules. Les clochettes de mes pinces à seins sont fixées ensuite à mes grandes lèvres humides de ma chatte et se balancent à chacun de mes pas.
- Tu es dans l'aile des vicieuses et ton valet s'appelle Emmanuelle.
- Quel valet ? dis-je saisie par la douceur de la voix, et comment t’appelles-tu ?
- Je m'appelle Anale Doberman.
- Et moi Justine Vicieuse », dit la seconde.
La première reprend :
-  C'est le valet qui a les clefs, qui t’attache et te détache, te fouette quand tu es punie. Retiens-toi de jouir avec le gode anal.
- J'ai été dans l'aile vicieuse l'année dernière, dit Justine Vicieuse, Emmanuelle y est déjà. Il vient souvent la nuit ; les valets ont les clefs et dans les chambres qui font partie de leur section, ils ont le droit de se servir de nous.
Emmanuelle tient en laisse, une jeune femme qui me ressemble, avec des seins plantureux, 95C, des mamelons saillants, gros et longs, un gros clitoris percé, intégralement épilée, tatouée au fer rouge sur le pubis SHAWN, avec des cheveux courts bruns aux yeux verts.
Emmanuelle est un transsexuel, le premier pour moi. Il est cagoulé, laissant juste visible ses yeux, sa bouche et sa longue chevelure blonde et un mandrin plus long et gros que Brice. Il porte à la ceinture un fouet à lanière de cuir.
- Shawn, lèche ta nouvelle partenaire. Quant à toi, Chantelle, retiens-toi de jouir, même si tu portes le Hadès.
Shawn s’accroupit entre mes cuisses écartées. J’ouvre un peu plus ma jupe.
Je mouille, ce qui me vaut quelques claques magistrales sur les fesses encore brûlantes.
Emmanuelle sort un passe de sa poche de gilet, ouvre la porte et nous fait entrer les quatre femmes
La cellule est toute petite, et comporte en réalité deux pièces. L’accès au couloir est libre sans porte, on se trouve dans une antichambre, qui ouvre sur la cellule proprement dite ; sur la même paroi ouvre, de la chambre, une autre porte, sur une salle de bains. Shawn attend debout, les yeux baissés, la bouche entrouverte.
En face des portes il y a la fenêtre. Entre les portes et la fenêtre, il y a le chevalet : il s'agit d'une espèce de cheval d'arçon sur un tapis.
Les deux femmes me déshabillent et Emmanuelle me retire le gode Hadès et vérifie mon ouverture anale avec ses doigts.
Je dois m’accroupir, nue, dans la baignoire transparente, en montant des marches. Je reste les cuisses écartées, menottée, les bras tendus comme lors de mon premier bain.
Emmanuelle m’insère une canule pour mon lavement, car je dois rester propre.
Les deux femmes me baignent.
Ma tenue est rangée dans le placard près du lavabo, où sont déjà rangées mes mules.
Une fois propre, je reste nue, en compagnie, après le départ d’Anale Doberman et Justine Vicieuse, avec Emmanuelle et Shawn.
Emmanuelle et Shawn me menottent sur le chevalet, allongée sur le dos, cuisses écartées.
Emmanuelle m’encule sauvagement jusqu’aux testicules pour me tester. Je retarde mon orgasme anal. Les clochettes tintent.
Puis je suis solidement immobilisée dans cette posture dégradante, le postérieur plus haut que la tête. Mes bras sont fixés le long des pieds avant, mes jambes le long des pieds arrières, et une large sangle m'est passée au niveau de la taille. Mes cuisses, légèrement fléchies sont empêchées de se resserrer par la largeur de la poutre, ainsi d'ailleurs mes fesses que je me peux refermer. Emmanuelle et Shawn me quittent.
J’éprouve un certain plaisir à être exhibée, fouettée, enculée, par des inconnus. Mes mains sont menottées, je sais que ma chatte me brûle, ouverte à Emmanuelle.
Je m’endors.
Mais dans les heures qui suivent, Balzac et Arès m’enculent trois quart d’heure chacun, puis un autre berger allemand et un doberman se relaient, pour faire dégouliner mon anus élargi. Je ne compte plus mes orgasmes anaux de plus en plus violents, attachée à mes amants canins.
Aux dernières heures de la nuit, quand elle est plus noire et plus froide, juste avant l'aube, Emmanuelle revient, me cravache les fesses et l’arrière de mes cuisses, tout en m’enculant, menottée au chevalet, cravachée à toute volée. Je suis cravachée cinq fois plus, haut ou plus bas que la fois précédente, pour que les traces soient nettes. Il me détache et m’allonge sur le dos, pour cravacher le devant de mes cuisses, avant de me menotter à quatre pattes sur le chevalet.
Je suis à nouveau enculée à quatre reprises par d’autres bergers allemands et dobermans.

22 juillet
Je regarde naître une lente aurore, qui dégage enfin un peuplier..
Devant la fenêtre, il y a une pelouse, au bout de la pelouse une allée.
Je découvre Shawn, baisée sous un cheval, qui se retient de jouir.
Mon anus est encore plus sensible, à chaque nouvelle saillie anale canine.
Aucune femme n'a les clefs, ni celles des portes, ni celles des chaînes, ni celles des bracelets et des colliers, mais tous les hommes portent à  un anneau les trois sortes de clefs qui, chacune dans leur genre, ouvrent toutes les portes, ou tous les cadenas, ou tous les colliers.
Les valets les ont aussi. Mais, au matin, les valets qui ont été de service la nuit dormaient, et c'est l'un des maîtres ou un autre valet qui vient ouvrir les serrures. L'homme qui entre dans ma cellule est nu et botté.
Il me fait mon lavement avec une canule suspendue au-dessus de mes fesses.
Une fois propre, il m’encule sauvagement.
Je garde les yeux baissés, quand il me détache.
Anale Doberman et Justine Vicieuse, sont entrées avec lui, et qui attendent debout.  Sur quoi il s'en va.
Justine Vicieuse tire vers le chevet une table roulante qui a été amenée dans le couloir et porte du café, du lait, du sucre, du bain, du beurre et des croissants.
- Mange vite, dit Anale Doberman, il est neuf heures, tu peux ensuite dormir jusqu'à  midi, et quand tu entends sonner il est temps de t’apprêter pour le déjeuner. Tu te baignes et tu te coiffes, je viens te farder et te lacer ton corset.
- Tu n’es de service que dans l'après-midi, dit Justine Vicieuse, pour la bibliothèque servir le café, les liqueurs et entretenir le feu.
- Ah ! nous sommes seulement chargées de toi pour les premières vingt-quatre heures de ton séjour, ensuite tu es seule et tu n'as affaire qu'aux hommes. Nous ne pouvons pas te parler, et toi non plus à  nous.
Je suis assise sur le chevalet, nue, cuisses écartées, sans les clochettes à ma chatte.
Après leur départ, deux hommes entrent, nus. Je garde les yeux baissés.
Je tiens une tasse de café à  la main gauche et de l'autre un croissant, reste immobile.
Le premier, un brun bien monté, comme Alban, m’embrasse langoureusement sur la bouche, tout en mettant de la crème sur mes mamelons et mon clitoris déjà gros comme une cerise. Le second me pelote les seins, pour tendre mes mamelons.
Je suis menottée au chevalet, ma chatte léchée par le second, suçant le premier.
Les deux hommes m’enculent à tour de rôle, avant de me prendre en double pénétration, détachée du chevalet.
Un me baise, couché sur le dos, je m’empale, baisée, avec le corps incliné vers lui, et le second m’encule, appuyer ses jambes ouvertes sur les miennes et ses bras dans le dos. Puis celui qui m’encule, se trouve sur le dos et je m’empale dos à lui,  toujours avec les jambes ouvertes pour permettre la baise par le second. Enfin, un des hommes me prend dans ses bras, je l'entoure avec mes jambes et me laisse baiser et le deuxième homme me soutient également une partie de son poids et m’encule.
Je suis pantelante et comblée, la chatte et l’anus remplis de spermes chauds.
Le brun me tient par le collier, deux doigts glissés entre le cuir et le cou, m’annonce :
- Tu es mise en commun et tu leur es soumise et les accueillir avec le même respect. C'est parce qu'il t'est facile de consentir que je veux de toi ce à quoi il te sera impossible de consentir, même si d'avance tu l'acceptes, même si tu dis oui maintenant, et que tu t'imagines capable de te soumettre. Tu ne pourras pas ne pas te révolter. On obtient ta soumission malgré toi, non seulement pour l'incomparable plaisir que moi ou d'autres y trouverons, mais pour que tu prennes conscience de ce qu'on a fait de toi. On t'a dit hier que tu ne dois, ni regarder un homme au visage, ni lui parler. Tu dois te taire, et obéir. Tu n'ouvres désormais ici la bouche, en présence d'un homme, que pour crier ou caresser. 
Justine Vicieuse me baigne, m’éponge mes fesses meurtries. Je farde ma bouche, non mes yeux, me poudre, et toujours nue, mais les yeux baissés, revient dans la cellule.
Installée sur le chevalet, je reçois le gode Arès, d’un centimètre de plus large que le gode Hadès, maintenu comme Hadès.
Justine Vicieuse me remet mon corset, mon corsage et ma jupe. Je chausse mes mules.
L’homme encule sauvagement Justine Vicieuse, tandis que je lui lèche la chatte, tout me retenant de jouir sous les coups d’Arès.
Nous quittons la cellule avec un autre homme cagoulé, nu et bottés, bien monté.
Nous rejoignons une antichambre où, devant une porte en fer forgé qui se découpe sur de grands rideaux, deux autres valets attendent, des Danois à leurs pieds.
- A quatre pattes, toutes les deux, Lancelot et Romulus vont vous enculer, dit l’homme cagoulé.
On me retire le gode et Lancelot puis Romulus m’enculent jusqu’au nœud, trois quart d’heure chacun. Leurs sexes mesurent trente-six centimètres et six de diamètre. Je connais quatre orgasmes anaux en leur compagnie, l’anus bien inondé. Les trois hommes m’enculent ensuite. On me remet le gode en place.
C'est généralement pendant les repas, qui ont lieu dans la salle où on m'a fait entrer. La pièce est dallée, la table longue aussi, en verre épais, et chaque fille a pour s'asseoir un tabouret rond recouvert de cuir. Je m’assois les fesses nues sur le cuir, lisse et froid. Inversement, lors de mon départ, et vêtue comme tout le monde, mais les fesses nues sous mes vêtements, relever à chaque fois ma jupe pour m'asseoir, je retrouve, les seins offerts dans les corsets de soie, les mains et les bouches à qui tout est permis, et le terrible silence.
Le jour qui est mon deuxième jour, quand vingt-quatre heures ne sont pas encore écoulées depuis mon arrivée, je suis, après le repas, conduite dans la bibliothèque, pour y faire le service du café et du feu. Je suis seule, l’anus libre du gode Hadès.
Je retire ma jupe pour exhiber mes fesses. On me retire le gode pour fouiller mon anus lubrifié.
Je sers des tasses et le café. Un garçon mince, si jeune, blond, et un autre blond aussi, trapu me toisent.
- Mettez-toi sur le dos, cuisses relevées et écartées.
Ils joignent mes mains à mon cou et m’enculent à tour de rôle, en traction contrôlée, enculée latéralement. Lancelot et Romulus m’enculent aussi dans cette position.
Je dois me relever, le gode remis et les sodomies reprennent jusqu’à la tombée. A la tombée du jour, je porte le gode, nue, fardée et parfumée, au réfectoire.
Je suis longuement enculée à la bibliothèque par des inconnus, nue, avec des bergers allemands, des dobermans et des danois sans répit jusqu’à l’aube. Je suis la seule soumise présente.

25 juillet
Je ne porte plus le gode anal, je suis doublement ouverte.
En début de l'après-midi, menottée au chevalet, l’anus dégoulinant de spermes canins, Charles Edouard examine mes reins, mes fesses, zébrées. J’adore la sensation d’être enfin reprise par mon amant.
Un homme cagoulé nu, me libère du chevalet, je me baigne seule. L’homme me fait un ultime lavement avec une canule.
Penchée en avant, l’homme cagoulé, se place derrière moi, debout, m’encule une ultime fois, jusqu’aux testicules, en écartant mes fesses brûlantes et caresse mon gros clitoris percé d’un anneau serti d’une pierre précieuse. Je me retiens de jouir. Il n’éjacule pas en moi. Je le suce et avale tout.
Il me retire mes carcans. Il me fait glisser ma bague à mon annulaire gauche, est une bague sertie d’un petit anneau. La seconde, en forçant un peu, me va exactement.
Nue, je mets ma guêpière seins nus, ma robe assez courte, fuchsia, sans mes bas et mes fesses nues, ma chatte velue à tous. Je remets mon boléro fermé au cou. Je chausse mes mules à hauts talons similaires à celles du lieu de ma captivité.
Nous rejoignons le parc. Je retrouve la limousine, conduite par le bel étalon européen. Je m’assois près de Charles Edouard, assise cul nu, cuisses écartées, sans mon boléro.
- Maintenant que tu es doublement ouverte, plus soumise, adepte des saillies anales canines, tu es prête à de nouveaux jeux sexuels, Chantelle.
 A la sortie du parc, nous quittons la campagne pour rejoindre une route isolée, sur les hauteurs à une heure du lieu, baptisé « Domaine des Biches ».
Pendant le trajet, sans mon boléro, Charles Edouard me pelote les seins, étire mes mamelons tendus, caresse mon gros clitoris. Je me retiens de jouir.
A mi-chemin, dans un petit village, le bel étalon européen me fait descendre de la limousine, dans une ruelle et je soulève ma robe et il m’encule sauvagement avec son mandrin du calibre de James, me fesse. Je me retiens de jouir et je le suce, accroupie.
Nous arrivons à l’entrée d’une grande villa sécurisée, avec des maîtres-chiens avec des bergers allemands et des dobermans. Je suis aux anges.
Je descends seule de la voiture, juste vêtue de ma guêpière et en mules.
Les maîtres-chiens m’escortent sur le chemin en gravier, jusqu’au rez-de-chaussée de la villa. Un couple m’accueille, l’homme est un superbe étalon scandinave et l’autre est un transsexuel bien monté aux petits seins.
- Voici enfin, Soumise Chantelle, la fille de feu Miel, ma Maîtresse, dit l’homme. Je suis le Comte Marc Beau Dresseur de Sévices, ton nouveau Maître. Tu es doublement ouverte. Val va s’occuper de te préparer comme ma nouvelle soubrette. Approche que j’examine ton corps qui est la copie parfaite de ta mère Miel. Quelle douceur, cette toison, cet écrin ruisselant, cet œillet entrouvert et cette bouche de suceuse, lève les yeux.
Je lève quelques instants les yeux.
- Le même vert que ta mère, tu es toute aussi docile qu’elle.
Val me conduit dans ma chambre au troisième étage, sous les toits. La chambre comprend un simple lit, avec des menottes, un bidet pour ma toilette, un seau pour faire mon pipi debout, de nombreux miroirs et glaces sur les murs et au plafond, mais ni baignoire ni douche et une canule pour mon lavement.
Val m’encule sauvagement. Je me retiens de jouir, son mandrin de vingt-cinq centimètres de long et sept de diamètre m’écartèle. J’ai l’habitude.
Je le suce.
Je revêts une robe assez courte, s’arrêtant au milieu de mes fesses nues, entièrement décolletée, laissant mes seins nus entièrement exhibés dans un décolleté en trapèze, dos nu, sans ma guêpière. Dans un des miroirs, je découvre un anneau doré à chacune de mes grandes lèvres de ma chatte, entre mes poils.
- Tu es presque ferrée, Chantelle, clitoris et grandes lèvres, le Domaine n’a pas hésité à te faire reconnaître en plus de ta bague.
Je glisse mes pieds nus dans des mules à talons de quinze centimètres avec une plate-forme de six centimètres.
Habillée, fardée, parfumée, je rejoins le rez-de-chaussée en descendant avec élégance l’escalier de marbre.
Le Comte, Charles Edouard, le chauffeur européen, Alban et Brice m’attendent au salon, nus.
- Voici, Soumise Chienne, l’alternative de Shawn, sa chatte velue et sa toison pubienne lui font à merveille.
Je fais le service.
Au bout d’un moment, le Comte m’enfonce dans la chatte un concombre que je dois conserver et une carotte avec ses feuilles, enfoncée dans mon anus. Je dois me retenir de jouir, avec ses deux légumes. Mon bassin ondule, je mouille de plaisir, le vent frais de la porte-fenêtre décuple la tension maximale de mes mamelons et de mon clitoris, le vent monte le long de mes jambes et saisit mes cuisses nues.
Des coups de cravache sont donnés par chacun, pour mes petits râles de plaisir.
Vers quinze heures, je viens d’arrêter mon septième orgasme, sur ordre du Comte. Je suce tous mes amants.
Au tombée du jour, le Comte me retire le concombre et la carotte que je suce, avant de les manger dans une soupe, avec un excitant sexuel. Je suis nue et en mules, les fesses et les cuisses zébrées par la cravache.
Puis chacun m’encule, dans diverses positions, tout en retardant mon orgasme anal.
Enfin, je peux jouir de mon orgasme anal, saillie par le doberman Apollo, suçant son maître-chien. Je connais quatre orgasmes anaux. Je suis pantelante, en sueur.
Je suis aussi invitée à m’empaler sur le sexe d’Apollo, pour me faire baiser, couchée sur lui, tandis que son maître-chien m’encule. Cette double pénétration me fait perdre connaissance par la violence des orgasmes.
Quand j’émerge, je suis suspendue à un crochet, les bras tendus en l’air, sur la pointe des pieds, les cuisses maintenues écartées, par une barre, dans une pièce sombre, au troisième étage, attenante à ma chambre.
La cravache et la garcette cinglent mes fesses, mes cuisses et mes reins, alternant par des sodomies au moyen de godes canins réalistes.
Je bois et je pisse dans un seau, devant les invités.
Vers vingt et une heures, lors du départ des invités, je dois sucer chacun, libre et tout avaler.
Je suis menottée à mon lit, bras et jambes écartés, vers minuit, encore une fois fouettée et enculée par Apollo.

26 juillet
A l’aube, Shawn vient me faire de longs baisers et caresses lesbiennes sur mon corps repu. Un bâillon pénis m’empêche de jouir, mais les ondulations de mon corps trahissent mes orgasmes.
Shawn me cravache aussi les fesses et les cuisses.
Tandis que Shawn fait le service, je suis affectée à des heures de maintien, avec des petits pas serrés, le corps droit, montée et descente d’escaliers avec grâce, nue et en mules dans ma chambre, à mettre mes corsets seule surveillée par Val, avec sa cravache, je dois continuer à boire le mélange.
Apollo me baise et m’encule fréquemment, chaque fois que je suis nue, jusqu’au nœud. Ses longues éjaculations me font jouir.

10 août
Après un long entraînement comme soubrette soumise, vers 9 heures, en tenue de soubrette, avec mes pinces à seins et mes pinces à mes grandes lèvres, avec des clochettes qui s’animent au moindre mouvement, émettant un tintement cristallin et des rangées de dents minuscules en métal mordent mes mamelons durcis, mes grandes lèvres s'allongent beaucoup et mes mamelons aussi en déformant aussi mes seins vers le bas.
J’accepte le fait d’avoir mes mamelons et mes grandes lèvres pincées, mes seins sont devenus encore plus sensibles.
Je porte encore des marques récentes de la cravache et de la garcette.
Le Comte m’informe :
- Soumise Chienne, tu es encore plus ouverte de l’œillet, ta chatte répond aussi au désir. Désormais, tu peux te faire baiser la chatte par Charles Edouard ou Alban, pour ton inceste.
Le Comte me baise jusqu’à l’éjaculation, à quatre pattes. Je retrouve le plaisir de mon orgasme vaginal.
Je le nettoie.
Je garde ma tenue de soubrette. Le bel étalon, le chauffeur, me conduit dans la limousine, j’ai changé mes mules à plate-forme pour des mules sans plate-forme, plus confortables.
Je quitte le « Pavillon de chasse du Comte » pour un nouveau lieu. Je garde mes clochettes uniquement à mes grandes lèvres de ma chatte humide.
Je n’ai pas encore retrouvé ma direction de la société de lingerie.
La chaleur aidant, j’aime avoir les fesses, les jambes et les seins nus.
Le lieu se trouve à mi-chemin entre le « Domaine des Biches » et mon immeuble.
Nous prenons des passages souterrains et entrons dans un parking souterrain.
Le chauffeur m’abandonne seule au troisième sous-sol, avec mon masque de nuit, les bracelets de cuir et mon collier de cuir, nue et en mules, menottée, mains jointes à mon cou.
Soudain, des mains me caressent, me fouillent, des voix masculines m’insultent, complimentent ma facilité. Je suis enculée, suçant, avalant le sperme, mon anus déborde de spermes chauds. Je ne connais pas le nombre de mes partenaires.
On m’enfonce un gode anal canin de gros calibre pour ne pas perdre le précieux sperme.
Je monte dans un ascenseur, aveugle et menottée, jusqu’à l’étage désiré.
A l’étage atteint, on m’aide à sortir. On me fait entrer et refermer la porte.
On m’allonge sur le dos, sur un canapé, mains jointes à mon cou, cuisses écartées.
Je suis baisée par de gros mandrins, provoquant une double pénétration. Mon bijou d’anus appuie sur la paroi antérieure de ma chatte, réduisant l’espace laissé au mandrin et faisant pression sur celui-ci, l’obligeant à appuyer davantage contre le “point G”. On éjacule sur ma toison pubienne. Je ne compte plus mes orgasmes. Je suce aussi ceux qui me baisent.
Les mêmes mandrins ensuite m’enculent, l’anus libre et éjaculent en moi.
Quand j’émerge, nue, en sueur, dans une luxueuse chambre recouverte de glaces et de miroirs, menottée, à quatre pattes, baisée et enculée simultanément par le double gode réaliste de Shawn. Ils mesurent sept centimètres de diamètre.
Le gynécologue, James et son assistant Désiré, Charles Edouard et Alban, Brice me baisent fréquemment pour que j’assure une descendance.
Je subis un examen quotidien de ma chatte après chaque éjaculation dans ma chatte.
Les doubles pénétrations se succèdent pendant trois jours et trois nuits. Je suis dépendante du sexe, incestueux et d’orgies anales.

14 août
J’émerge à l’aube. Shawn me douche longuement, avec un long lavement anal. Je me farde et me parfume.
Je découvre dans un des miroirs, des fers qui trouent mes grandes lèvres de ma chatte et portent en toutes lettres que je suis la propriété d’Alban et de Charles Edouard, me descendent jusqu'au tiers de la cuisse, et à chacun de mes pas bougent entre mes jambes comme un battant de cloche, le disque gravé étant plus lourd et plus long que l'anneau auquel il pend. Ils sont constitués d’anneaux de fer mat inoxydable. La tige en est ronde, épaisse comme un gros crayon de couleur, et ils sont oblongs : les maillons des grosses chaînes sont semblables. Chacun est formé de deux U qui s'emboîtent l'un dans l'autre. Le ressort intérieur que l’on force, pour le faire pénétrer dans la rainure où il se bloque. Chaque anneau est long comme deux phalanges du petit doigt, qu'on y peut glisser. A chacun est suspendu, un anneau qui doit être dans le même plan que l'oreille et la prolonger, un disque de même métal aussi large que l'anneau est long. Sur une face, il y a un fouet et une cravache entrecroisés.
Sur mes fesses, je porte aussi des marques imprimées par le fer rouge, hautes de trois doigts et larges de moitié leur hauteur, sont creusées dans la chair comme par une gouge, à près d'un centimètre de profondeur. Je porte les lettres S et C.
- Le Comte tient à ce que tous voient immédiatement tes fers à ta chatte, et si on le retourne, ton chiffre sur tes fesses marqué au fer rouge. Le tout est définitif, Chantelle. C’est ton statut de Soumise Chienne. Tu as mouillé lors de la pose de tes fers et lors de la pose de ton chiffre, tu étais excitée, qu’on a du te faire jouir à de nombreuses reprises, enculée.
Je reconnais que je suis encore plus désirable.
Charles Edouard et Alban me retrouvent.
Je porte une robe blanche composée d'une jupe éventail, qui se retrousse d'un geste, mais toujours à corselet montant jusque sous les seins, et portée avec un boléro fermé au cou. Il suffit d'enlever le boléro pour que les épaules et les seins fussent nus, et sans même enlever le boléro, de l'ouvrir, si l'on désire voir les seins. Je chausse mes mules à hauts talons. Je rejoins le parking souterrain en leur compagnie, me laissant peloter les seins aux mamelons constamment tendus, caresser mon gros clitoris et mes lèvres humides de ma chatte. J’ai mis le bijou d’anus moulé sur le devant du sexe de Lancelot, pour mon amour des Danois.
- D’ici quelques jours, tu n’auras plus tes règles, ton ventre va s’arrondir. Tes seins tendent en permanence leurs mamelons au ciel. Mon ventre arrondi s’est tendu et cambré. Tu es une exhibitionniste, perverse, vicieuse, chienne, avec tes fesses et tes seins nus accessibles à tous. Nous retournons à la direction, soumise à souhait, prostituée.
Dès mon arrivée à l’accueil, tous observent mon maintien, mon regard plus clair, la perfection de mon immobilité, et la mesure de mes gestes. Le tintement de mes fers cachés sous ma jupe éventail, attire les regards masculins et féminins.
Arrivée au septième étage, escortée par Charles Edouard et Alban, le personnel masculin et féminin découvrent lors d’un lever involontaire de ma jupe éventail par Alban, mes fers et ma chatte ruisselante et mon gros clitoris percé. Ma nudité les excite.
Je regarde les nouveaux modèles réalisés par mes collaboratrices et les photos des mannequins que j’ai choisi. J’approuve.
Le téléphone sonne et je décroche :
- Soumise Chienne, ici le Prince Omar, j’ai appris que tu es adepte des saillies anales canines. J’ai une aventure à te proposer, si tu aimes monter à cheval. Je possède un haras pour assouvir ta passion.
- Je suis une cavalière émérite. J’avoue que je fantasme des fois sur les sexes des chevaux.
- Excellent, d’ici quelques jours, je viens te chercher chez toi.
Le téléphone raccroche.
- Le Prince Omar est un riche propriétaire de nombreux étalons, excellents reproducteurs, avec un imposant harem de favorites Européennes et Américaines, m’annonce Charles Edouard.
Je passe une nuit agitée, enculée par Alban. Je fantasme sur une saillie anale équine, menottée à un chevalet. Je connais un violent orgasme anal, avec une éjaculation d’Alban.

17 août
Lorsque je regarde mon ventre, après ma douche jouissive, je découvre qu’il s’est un peu plus arrondi. Je suis enceinte.
Le gynécologue le confirme, lors de mon examen et il m’encule longuement avec son assistant.
Vêtue de ma robe seins nus et mon boléro, fuchsia et mes mules blanches à hauts talons, je croise le chauffeur personnel du Prince Omar et sa limousine.
Je monte à l’arrière, nous rejoignons un héliport privé. Nous prenons un hélicoptère Dauphin qui nous dépose à un aéroport privé.
Là, nous prenons un Falcon 7X.
Nue, je suis baisée et enculée par le Prince Omar, doté d’un imposant mandrin plus gros que celui de Brice, trente-deux centimètres et huit de diamètre.
Il est surpris par mon ouverture anale. Je lui confie que les saillies anales canines m’ont bien écartelé.
Nous débarquons en milieu d’après-midi, dans un luxueux terminal climatisé. Je descends nue sous une robe longue, avec un tchador ne laissant que visible que mes yeux et quelques mèches de mes cheveux.
Un hélicoptère Ecureuil nous dépose dans un palais hautement sécurisé.
Fesses nues, je suis enculée sauvagement par les gardes du prince, sans jouir, ni éjaculer en moi, mais sur mes fesses brûlantes par les fessées.
Je rejoins le haras climatisé.
Nue, je suis conduite sous un pur-sang arabe, Alizé des Oasis. Son énorme sexe équin en érection, me remplit entièrement la chatte humide et je connais un formidable orgasme. Alizé éjacule me provoquant un nouvel orgasme foudroyant.
Prince me fait menotter à un chevalet et la chatte libre, je sens le gland du membre devenu moins dur sur ma rondelle, il commence à pousser. Il me l’enfonce sur trente centimètres, je gémis, mais la douleur devient plaisir, Alizé bande à nouveau dans mon anus. Un orgasme anal me terrasse, avec une nouvelle éjaculation d’Alizé. Mes râles sont étouffés par les mandrins bien montés des gardes du Prince, qui éjaculent dans ma bouche.
Mon anus rougi complètement distendu et boursouflé libère un flot de sperme.
Le Prince me fait enculer aussitôt par un trotteur Français Zéphyr des Plaisirs. je connais le même plaisir avec orgasmes et éjaculation.
Le selle Français Tornade des Vices m’encule avec la même vigueur. Malgré la fatigue, les gardes du Prince, le Prince et les dobermans du Prince se relaient pour m’enculer jusqu’au coucher du soleil.
Je dors nue, menottée, cuisses écartées, allongée sur le dos, après mon lavement anal, me faisant enculer à toute heure, nourrie d’excitants sexuels, décuplant mes vagues de plaisir.

18 août
A l’aube, pendant quatre heures, les saillies anales équins reprennent, puis canines et par les gardes du Prince et le Prince.
 Je passe une semaine chez le Prince, avec une belle somme d’argent pour mes saillies anales.

Quelques mois après, je donne naissance à une fille, prénommée Aimée Miel Jasmine. Je reprends mes orgies, tantôt soumise, tantôt maîtresse, de nouvelles soumises vierges comme moi à mes débuts.

Retrouvez-moi, Chantelle votre soumise. Je vous attends.





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