mercredi 19 février 2020

GALERIE DU VICE


Je m’appelle Hermine.
J’ai 25 ans.
Je suis une jolie beauté scandinave.
Je suis une brune aux yeux verts. J’ai des pieds fins et latins, des jambes longues bronzées, musclées qui inquiètent par leur perfection. Mon pénil est bombé, ouvert, couronné de noir. Ma pilosité brune couvre mon pubis. Je suis totalement velue entre les cuisses et j’ai une superbe croupe. Les lèvres de mon sexe sont une plaie rouge entre mon entrecuisse velue. Mes hanches s'incurvent et délimitent le ventre plat, délicieusement renflé autour du nombril, les hanches sont larges et rondes, mais sans lourdeur. La taille est affinée. Les seins parfaits intégralement bronzés sont un peu volumineux mais fermes, et leurs pointes marron clair, toujours dressées, cernées par une large aréole marron attirent le regard. J’ai une peau lisse et patine. Finition parfaite, un seul grain de beauté entre mes superbes seins. De longs cheveux plats blonds flottant comme des algues, battent mes épaules rondes et gracieusement athlétiques. Je suis intégralement bronzée. Mes yeux verts limpides s'allument, ma bouche charnue se fend. J’ai des sourcils bruns bien dessinés et des lèvres pulpeuses. J’ai de longs doigts fins et de belles mains. Je fais du 85B de poitrine, 56 de taille, 90 de hanches, 1,72 m.

GALERIE DU VICE

Je suis lesbienne et j’entretiens de bonnes relations sexuelles avec mes copines de lycée et de collège. J’ai toujours refusé de me faire enculer par un homme ou une femme, je veux rester vierge.
Depuis trois ans, je suis traductrice spécialisé en langues danoise, suédoise, norvégien, anglais et italien, dans une petite société.

25 mars
Vers 9 heures, je suis convoquée à la galerie d’art, dans le centre-ville, à une demi-heure à pied de ma société. Je suis vêtue de mon tailleur avec jupe droite fuchsia, cachant mon soutien-gorge et mon string assortis en dentelle transparente, mon porte-jarretelles et mes bas blancs, chaussée d’escarpins blancs à hauts talons, coiffée d’une queue-de-cheval. L’immeuble abrite dix-huit étages et un restaurant panoramique et une hélisurface.
Au pied de l’immeuble, je trouve à l’accueil, un pli qui m’est destiné :
« Chère Hermine,
Rendez-vous au 12e étage, Edouard Alan son artiste vous attend. J’y serais aussi.
Brice de La Haute Vallée »
Je prends l’ascenseur. Je ne suis pas toute seule. Deux hommes sont avec moi.
Ils me toisent, regardent ma bouche, mes mains, mes jambes gainées de nylon.
Le premier descend au dixième étage, le second reste en ma compagnie.
Au douzième étage, il me fait passer devant.
Je suis un peu désorientée, par les portes.
- Tu es Hermine, je suppose. Je suis Ed, le photographe, le sculpteur, l’écrivain, celui qui expose à la galerie. Viens, je te fais entrer, la galerie sera vernie le 27 mars. Tu dois faire connaissance du catalogue. Il y a les quatorzième et quinzième étages qui concernent aussi la galerie, sur d’autres sujets.
- Vous photographiez sur quel thème, quelles sculptures, quels romans ?
- Que tu es curieuse, c’est normal E.A ne te dit rien. Même si tu es la fille d’un collectionneur connu en scènes érotiques. Il paraît qu’il a quelques nus de toi, à ton adolescence.
Je suis troublée. Nous franchissons une double porte vitrée donnant sur la galerie. Les tableaux sont recouverts de draps. E.A. est un bel étalon brun musclé, comme je les aime.
Brice est un homme du double de mon âge, athlétique, qui me fait le baise-main.
Je sors mon CV de mon sac à main.
- Mets-toi à l’aise, Hermine. Je veux voir tes formes athlétiques.
Je retire ma veste. Il fait chaud.
Je bois une coupe en leur compagnie, devant la photo « S Beauté Dominant le Monde ». La femme nue est vue de dos, son dos, ses fesses sont zébrées, on ne voit pas son visage, mais ses seins se reflètent dans un grand miroir, avec un homme cagoulé, nu. Je suis excitée.
Après quelques gorgées, je suis invitée par E.A. :
- Retire ton chemisier et ta jupe pour passer à la pièce mitoyenne, dite « Mâle Désirant Sa Belle ».
Je me retrouve en soutien-gorge, string, porte-jarretelles et bas, les regards se font plus osés.
- Superbes seins, belle musculature des fesses, prêtes à être moulées.
J’aime ton regard et surtout ta bouche, Hermine, me susurre Brice.
La sculpture représente un Adonis au bas du corps avec un imposant sexe de vingt centimètres et six de diamètre, ne représentant pas un sexe humain.
- Accroupis-toi et viens le sucer.
Je ne peux résister. Je suis novice, mais je m’applique, en me souvenant des magazines de mes copines.
- Maintenant, mets-toi à quatre pattes, retire ton string.
Agenouillée, bras tendus, je sens le sexe m’écarteler ma chatte vierge.
Brice me saisit la taille pour que je m’empale totalement.
La douleur de ma défloration devient un rapide orgasme, le premier avec un sexe.
Brice et E.A. me font sucer leurs sexes.
- Tu aimes ça, te faire défoncer ton écrin, me complimente Brice.
Je n’ose avouer que je suis vierge.
- Suce-le à nouveau.
Le sexe est recouvert de ma mouille.
L’occasion est trop belle, le mandrin d’E.A. de vingt-huit centimètres par six me remplit la chatte, jusqu’aux testicules.
- Que tu es chaude, Hermine.
Mes mamelons et mon clitoris sont tendus à l’extrême, je suis juste vêtue de mon porte-jarretelles.
E.A. inonde ma chatte, tandis que je suce Brice, doté d’un mandrin de trente par huit. Je connais un nouvel orgasme.
La chatte bien lubrifiée, je ne peux me refuser à Brice.
- Tu aimes ça que je te défonce.
- Oui, prends-moi, je suis toute à toi.
- Le Duc sera satisfait de ta pleine disponibilité : suceuse, la chatte en feu.
Sans prendre garde, tellement je suis concentrée sur mon plaisir, je sens son gros mandrin m’écarteler mon anus encore vierge.
Je tente de protester :
- Arrête, Brice, pas ça. Non, pas dans mon œillet, tu me fais mal.
- Tu as l’habitude, Hermine, de te faire remplir l’œillet, tu es une coquine.
Brice m’encule jusqu’aux testicules, mes gémissements sont étouffés par le mandrin d’E.A. en bouche.
- Elle fait sa vierge anale, son œillet est un peu étroit. D’ici peu, elle réclamera que son œillet soit rempli par une grosse queue.
L’anus écartelé et inondé de spermes, je dois subir l’assaut d’E.A. qui m’encule aussi.
Il me caresse mon clitoris tendu et je connais mon premier orgasme anal.
Je suis épuisée.
Je sens un objet froid dans mon anus. C’est un bijou d’anus très doux et très petit, me remplit sur six centimètres et trois de diamètre pour 34 grammes. Je ne peux l’expulser, car la forme en sapin et sa large base vous garantissent un excellent maintien dans l’anus. La section qui relie les deux extrémités est très fine et douce afin de laisser l’anus se refermer dessus sans gêne. La tige de la taille de l’auriculaire sert de support lorsque le sphincter se referme.
- Il resserre les parois de ta chatte, détend ton anus pour tes futures sodomies, ma coquine. Ton anus va se contracter pour ton plus grand plaisir.
E.A. me prend dans ses bras et me conduit au quatorzième étage, dans une chambre mitoyenne à la galerie. Il me déshabille entièrement, me lave, me masturbe le clitoris tendu, par les effets d’excitants sexuels dans mon verre. Je jouis à nouveau, avant de m’endormir.
Je fais des drôles de rêves sexuels, baisée, enculée par des hommes cagoulés, cravachée, je ne peux m’empêcher de me masturber, jouissant à mon tour. Le bijou d’anus me comble. J’aurai du être enculée plus tôt. Je ne suis plus vierge.
Vers onze heures, j’émerge en sueur, nue sur les draps.
E.A. me rejoint.
- La belle Hermine, tu viens te restaurer. J’ai quatre amis qui viennent voir le quatorzième étage. J’ai gardé ton soutien-gorge et ton string. Tu sens très bon.
Je remets mon porte-jarretelles et mes bas, mes escarpins et échange mon tailleur contre une robe semi-transparente sur mes seins nus, largement fendue sur ma jambe gauche jusqu’à la naissance des bas. Je garde mes cheveux libres et je me refais une beauté.
A l’étage, je retrouve quatre superbes étalons, qui me toisent. Nous allons au restaurant panoramique au dix-septième étage, ils me pelotent les seins. Je mouille d’excitation, devant E.A.
- Elle est très belle, prête à tous les désirs, me susurre E.A.
- Oui, je suis très chaude.
En marchant, le bijou d’anus avance par la contraction de mon anus contre ma chatte et la stimule.
Je suis assise au centre d’E.A. et d’un de ses amis, Brice est là devant moi.
- Non, Hermine, soulève ta jupe, pour t’asseoir et garde les cuisses écartées.
Je suis un peu gênée, mais le tissu sur mes fesses nues m’électrise, m’excite. Mon voisin regarde que j’ai les fesses nues.
- Hermine, tu es donc prête à te faire honorer ton œillet de coquine, m’annonce Carl, en m’embrassant langoureusement.
Pour l’entrée, je dois manger les carottes entières plongées quelques instants dans ma chatte trempée, pour goûter ma mouille. Je suis surprise. Je bois plusieurs gorgées d’un verre d’apéritif fort.
Au plat principal, ce sont des morceaux de viande découpés en dés qui sont frottés sur ma chatte et mon clitoris tendu, puis les petits légumes. Je suis au bord de l’orgasme, que je dois retarder.
- Puis-je aller me refaire une beauté ?
- Non, reste dit Dan, qui me fixe du regard. Dis plutôt, que tu as une envie pressante. Elle peut attendre.
En effet, au dessert, la banane me défonce la chatte, resserrée comme celle d’une vierge.
Enfin, Horace, un superbe étalon Africain, me prend la main et me conduit aux toilettes pour hommes. Je suis un peu gênée.
- Non, Horace, pas là, je ne suis pas…
- Soulève ta jupe et pisse debout à l’urinoir.
J’ai du mal à me soulager. Horace me masturbe le clitoris et je me soulage avec difficulté.
- Tu avais une énorme envie. Je vais te retirer le bijou et tu vas te vider par là, mais debout, sur la cuvette, jupe relevée.
Exhibée, j’éprouve une certaine excitation.
Horace m’essuie les fesses, mais pas ma chatte.
- Penche-toi en avant, au-dessus de l’urinoir, jupe relevée.
J’obéis.
Son mandrin de trente-trois par sept m’encule d’une seule traite, jusqu’aux testicules, devant les hommes voyeurs. Je ne peux résister longtemps, à mon orgasme anal, fessée magistralement.
- Tu es la reine anale, Hermine. Je te laisse avec l’un d’eux.
Un des voyeurs sort son mandrin et m’encule dans la foulée, pour un second orgasme anal plus violent, inondée de son sperme chaud.
Horace me remet le bijou d’anus en place et récupère les billets.
Au quatorzième étage, je suis invitée, juste en porte-jarretelles et en escarpins, à mettre ma tête et mes mains dans une boîte pilori.
Je suis baisée et enculée à plusieurs reprises par des inconnus. Je ne compte plus mes orgasmes anaux et les éjaculations dans mon anus et les claques magistrales sur mes fesses brûlantes.
Je ne sais combien de temps je reste là.
Vers dix-huit heures, le bijou remis en place, l’anus alourdi par le sperme de mes inconnus, je revêts un bustier moulant mes seins nus lacé dans le dos et une jupe éventail, sur mon corps nu, avec des mules à hauts talons, les cheveux libres, maquillée et parfumée après une douche rapide, par Horace.
Je retourne au douzième étage, trouvant Brice et E.A., mais pas les quatre amants du restaurant.
- Où est Horace ?
- Tu aimes sa grosse queue dans ton œillet, annonce E.A.
- Non, je reconnais que cela a du bon, de devenir lesbienne à hétérosexuelle, avec de tels engins.
Un couple entre, une blonde aux seins plantureux, en robe décolletée en V, avec une jupe assez courte, en mules et un bel athlète du triple de mon âge, avec des lunettes sombres, qui lui tient la main.
- Voici, la nouvelle secrétaire de la galerie, très en beauté. Déjà un peu vicieuse, baisée et enculée dès le premier jour, elle excelle, dit la femme.
- C’est le profil de recrutement des vicieuses du Duc, Hermine.
L’homme caresse ma bouche entrouverte, mes seins moulés.
La femme prénommée Aimée me délace le bustier et il caresse mes seins nus aux mamelons encore tendus.
Aimée soulève ma jupe et il caresse ma chatte, mon clitoris et trouve mon bijou d’anus.
- Elle mouille abondamment, d’excitation, c’est normal. Son œillet va répondre aux attentes.
Le bijou d’anus retiré, une de ses mains s’enfonce simultanément dans ma chatte et mon anus entrouvert, je gémis un peu.
- C’est normal, elle est surprise, son œillet n’est pas assez souple. Des bijoux plus gros lui seront insérés dans les prochains jours, plus des doubles pour qu’elle s’habitue. La Salle Baiser des Désirs de Mon Plaisir est prête au quinzième étage, Brice.
- Bien sûr, Hermine va donc l’inaugurer.
Nous allons au quinzième étage, par petits groupes. J’accompagne le Duc et Aimée, escortée par E.A.
Dans la pénombre dans une des salles, je découvre un fauteuil gynécologique, entouré de dizaines d’écrans de télévisions reliés en circuit fermé à de discrètes caméras et appareils photographiques.
Nue, je me déchausse, je m'allonge sur le siège en cuir qui est un peu frais sur mon dos. Je glisse mes pieds dans les étriers, les cuisses écartées au maximum, cambrée, le bassin à hauteur du visage d’E.A.. Je sens les lèvres de ma chatte qui s'entrouvrent toutes seules.
Des hommes cagoulés, nus, m’entourent, leurs mandrins en érection.
- C’est un vrai bijou avec sa chatte naturelle, velue, perlée de sa mouille abondante, commente E.A.
Le Duc approuve.
- Oui, c’est le summum de la femme encore récemment vierge, une chatte de biche qui va devenir celle de jument, par l’assaut des queues d’étalons, tout comme son œillet un peu étroit.
On me met un spéculum pour mesurer mon ouverture, puis un écarteur anal lubrifié par ma mouille. Mon clitoris est tendu à l’extrême par l’excitation, l’humiliation et le désir.
Chaque image et photo de mon visage, de mes seins, de ma chatte, de mon anus est archivée en temps réel. Je suis invitée à jouir, poignets et chevilles menottées, avec un casque sur les oreilles qui diffuse une musique relaxante, un bâillon O me force à garder la bouche ouverte. Le O de l’anneau O est assez large pour faire passer un mandrin. Je suis humiliée et je me dépasse.
A mes mamelons tendus et aux grandes lèvres humides de ma chatte, on me pose des pinces plates recouvertes de caoutchouc à leurs extrémités. Elles sont réglées grâce à des molettes à vis qui permettent une très grande précision dans le serrage des pinces. De faibles décharges électriques me font mouiller davantage.
Chacun leur tour, les hommes cagoulés m’enculent avec leurs longs mandrins entre six à huit de diamètre. Mon corps se contracte sous l’effet des décharges. Je jouis sous le bâillon.
Ils éjaculent sur mon pubis ou dans ma bouche, je dois tout avaler.
Le Duc, lui aussi, m’encule, avec son mandrin long de trente-deux centimètres et huit de diamètre. Je connais un violent orgasme anal qui le fait éjaculer.
Je suis rapidement punie, dès son retrait, par cinq coups de cravache sur l’intérieur de chacune de mes cuisses et sur mes fesses.
En alternance, je suis baisée, enculée et cravachée pour mes orgasmes non désirés par le Duc.
Vers vingt-deux heures, on me libère, mon pubis, mon ventre et mes fesses zébrées sont tâchés de spermes, ma bouche avale les dernières gouttes de spermes.
Les hommes cagoulés ont disparu, je suis juste avec E.A., Brice, le Duc et Aimée.
Mes pinces sont retirés, mes mamelons restent un peu tendus, je recouvre l’ouie.
- Hermine est la soumise idéale, adepte de jeux saphiques, facile à éduquer. E.A. et Brice vous fait le bon choix. Elle est engagée. Ma galerie lui sera aussi ouverte.
Nue, en mules, avec mon bijou d’anus remis en place, je suis conduite par Aimée à une douche bien méritée.
Devant le trio, je suis embrassée, caressée sur tout le corps, je jouis sous la langue dans ma chatte. Je connais mon premier lavement anal avec une poire, pour que je sois propre.
Aimée m’apprend à me maquiller comme une prostituée de luxe : me farde la bouche avec un rouge clair, un peu liquide, qu'elle appliquait au pinceau, et qui fonçait en séchant. Mes paupières sont légèrement ombrées. Aimée me peint du même rouge l'aréole et les mamelons tendus par une mystérieuse crème des seins et un glaçon pour fixer les couleurs, et les petites lèvres entre mes cuisses, en soulignant la fente du giron. Elle enduit aussi mon clitoris tendu de la même crème. Elle me poudre le visage. Elle me passe du parfum longuement sur mes aisselles lisses et ma fourrure pubienne, dans le sillon entre les cuisses, dans le sillon sous les seins, et au creux des paumes.
Mes mamelons et mon clitoris deviennent hyper sensibles, par une énorme excitation, sont complètement tendus et très durs au point de me faire vraiment mal et le moindre effleurement même involontaire devient une véritable torture tellement ces endroits sont devenus sensibles.
Aimée me montre son clitoris gros comme une cerise, saillant, volumineux et ses mamelons saillants, gros et longs, de façon constante, vingt-quatre heures sur vingt-quatre après plusieurs séances de crème.
- Nous sortons ce soir, Hermine. Tu vas mettre ta nouvelle tenue : une robe seins nus avec une jupe éventail et ton boléro, tu gardes tes mules, coiffée d’un chignon.
La robe composée d'une jupe éventail, qui se retrousse d'un geste, mais toujours à corselet montant jusque sous les seins, et portée avec un boléro fermé au cou. Il suffit d'enlever le boléro pour que les épaules et les seins soient nus, et sans même enlever le boléro, de l'ouvrir, si l'on désire voir les seins.
Nous prenons deux limousines, une pour moi, escortée du Duc et d’Aimée. Je dois m’asseoir cul nu, la jupe relevée, cuisses écartées, la bouche entrouverte, les yeux baissés comme stipuler dans le livret « Sexe Bijou Dressage Mille Plaisirs ».
Aimée me remet une enveloppe contenant des photos de ma chatte et de mon anus écartelés par les mandrins des hommes cagoulés.
Nous allons à une soirée mondaine, où je suis offerte nue, enculée par tous les invités masculins, livrée à des trios lesbiens, enculée par des gros vibromasseurs réalistes. Je suis aussi cravachée par les invités, pour mes fautes.

26 mars
A l’aube, j’émerge dans ma chambre du douzième étage, cachée dans une des pièces où trône un livre, des photos suggestives de femmes sans visages, aux corps zébrés et des sculptures d’Adonis, aux mandrins en érection, pour m’exciter davantage.
Je dors nue, en sueur, submergée par le plaisir de mes rêves érotiques, sur les draps, sans aucun rideau, ni volet. Je suis offerte aux voyeurs qui se masturbent ne me regardant. Le bijou d’anus a été remplacé par un vibromasseur réaliste en érection de trente-trois par huit, qui s’allonge et rétrécit à chaque mouvement de va-et-vient grâce à son enveloppe ultra-souple qui s’étire ou se contracte en suivant les montées et descentes. J’ai un véritable homme à ma disposition qui m’encule en étant infatigable. Aux testicules moulés, trois chaînettes sont fixées et sont accrochées à une étroite ceinture autour de ma taille, et une par derrière qui suit le sillon des fesses, et les deux autres par-devant, qui longent le pli des aines en contournant le triangle pubien. Ajustées au plus court, mon anus est forcé et distendu, cadenassées, je ne peux les retirer, sauf le propriétaire des clés des cadenas. L’excitation provoquée tend constamment mes mamelons et mon clitoris, j’alterne entre gémissements et orgasmes anaux.
La galerie ouvre le 28, car des objets du catalogue que je dois connaître par cœur ne sont pas encore arrivés.
Vers 9 heures, Aimée vient me réveiller. Elle n’a pas les clés.
Je déjeune, mon bassin ondulant sur le vibromasseur, signe d’un orgasme anal.
E.A. me libère du vibromasseur. J’écarte bien mes fesses, il m’insère l’écarteur anal et juge du résultat.
- D’ici deux à trois jours, tu seras suffisamment élargie pour de nouveaux vices. Pendant la journée, tu es enculée à tout moment et tu dois rester nue à la galerie, fardée, parfumée et en mules, les cheveux libres, les yeux toujours baissés, la bouche entrouverte. Je te remets le vibromasseur à la tombée du jour jusqu’à l’heure de la nuit. Cette nuit, tu seras enculée, menottée à ton lit, comme le stipule le Duc.
J’accepte.
A la galerie, je prends les appels téléphoniques, notent les invitations. De temps à autre, d’élégants étalons viennent m’enculer sans me demander mon avis, me retirant juste mon bijou d’anus.
J’ai droit à mon lavement toutes les six sodomies.
Le midi, je reste à la galerie, mon déjeuner est apporté par Aimée.
Aimée développe une relation amoureuse intense avec moi, dans des 69 torrides dans les diverses pièces de la galerie, me doigtant, me godant jusqu’à de multiples orgasmes.
Vers 22 heures, menottée à mon lit, douchée, je suis offerte à des inconnus cagoulés nus, qui m’enculent sauvagement à plusieurs reprises. Je les suce en retour.

28 mars
A l’aube, je suis pantelante de mes orgasmes anaux de la nuit, mon vibromasseur m’encule depuis une éternité. Il est télécommandé et je ne sais où se trouve celui qui agit sur la télécommande pour les va-et-vient.
Vers 8 heures, E.A. me retire une dernière fois le vibromasseur. Mon anus s’ouvre sur commande.
Je revêts ma robe à corselet, mes mules, fardée et parfumée. Je suis conviée à un petit déjeuner au restaurant panoramique, avec Horace.
Horace m’encule dans les toilettes pour hommes, puis par d’autres clients du restaurant. Je suis bien payée comme prostituée.
Vers 20 heures, le vernissage est inauguré. J’ai gardé ma robe. La gent masculine regarde mes fesses écartées, pour dévoiler mon anus élargi, que j’ouvre, en tenant ma jupe relevée.
Je découvre d’autres photos, d’autres sculptures et des pages de passage SM aux étages de la galerie.
Comme promis, je tiens mon rôle à la Salle Baiser des Désirs de Mon Plaisir du quinzième étage. Là, je suis enculée par les invités, pendant une longue durée. On me fait marquer des pauses pour me faire boire, me restaurer. Mes fesses et l’intérieur de mes cuisses sont cravachées pour l’exemple. Puis les sodomies reprennent. Les étalons sont endurants. Je les suce, ma toison pubienne et mon ventre sont recouverts de spermes.

29 mars
A minuit, Aimée et le Duc me rendent visite. Je suis toujours menottée, en sueur, pantelante.
- Elle aime ça, se prostituer. Elle est facile. Tu as envie de tous les hommes qui te désirent, dit le Duc. Doublement ouverte, elle ne peut plus se refuser.
Le Duc me baise quelques instants avant de m’enculer longuement, tout en retardant mon orgasme, les décharges électriques à mes mamelons constamment tendus m’achèvent. Mon orgasme anal a lieu sans la présence de son mandrin.
Carl, Dan et Horace se délectent pour m’enculer longuement.
Ces viols anaux m’ont rendu plus vicieuse. Mon anus dégouline de leurs spermes chauds.
Je dois porter un bijou d’anus plus gros : un gode réaliste long de dix-sept par cinq, pour bien me remplir. Il est plus lourd que celui d’initiation.
Je suis baisée, tout en gardant mon bijou d’anus, pour me préparer aux doubles pénétrations par de vrais étalons. Je connais de nouveaux plaisirs.
Mes sodomies et mes baises sont rémunérés en extra en complément de mon contrat.

5 avril
Cela fait une semaine que je suis constamment baisée dans la pièce du quinzième étage, mais à chaque fois, les gros mandrins éjaculent sur ma toison pubienne et mon ventre. Ma chatte resserrée ne dégouline pas de spermes chauds, juste mon anus qui est rempli par d’autres étalons chaque soir, lors de soirées, où je suis menottée, les yeux bandés, avec mon bâillon O.
Vers dix heures, le Duc vient me chercher à bord de son hélicoptère Ecureuil, qui se pose sur l’hélisurface du dix-huitième étage. Je suis fardée, parfumée, vêtue juste de mon boléro sur mes seins nus et de ma jupe éventail et de mes mules à hauts talons.
Je prends l’ascenseur jusqu’au dix-septième étage et un escalier jusqu’à l’hélisurface.
Un bel étalon musclé m’attends, avec le Duc. Je porte mon bijou d‘anus.
Le pilote descend, je dois soulever ma jupe et il m’encule sauvagement, me fesse magistralement. Je porte des marques récentes de coups de cravache sur mes fesses et mes cuisses.
- Tu es sacrément chaude, Chienne Hermine.
Je me retiens de jouir, mais son gros mandrin de trente-cinq par huit m’excite, tout comme le vent frais sur mon clitoris tendu.
Il éjacule dans mon anus, juste avant mon orgasme anal. il me remet le bijou d’anus. Je m’assois cul nu, sur la banquette, à côté du Duc, cuisses écartées, la jupe relevée. Le vent frais cingle mes seins nus aux mamelons tendus, pelotés par le Duc.
Après une heure de vol, nous atterrissons dans une zone abritée au sein d’une villa sur plusieurs niveaux, qui abrite la galerie personnelle du Duc.
Je descends, aidée par le pilote, que je suce, pour qu’il m’encule une nouvelle fois. J’ai droit à mon orgasme anal peu après son retrait.
En compagnie du Duc, aveugle depuis un accident, je découvre des murs recouverts de photos, de peintures et des sculptures d’Adonis nus, en érection. Des photos sont toutes de femmes sans visage, mais des miroirs reflètent leurs bustes nus. Je crois me reconnaître.
- Hermine, voici vos vidéos compilées, avec en bruit de fond, vos râles de plaisir.
Je découvre des gros plans sur ma chatte et mon anus quand ils sont remplis par les mandrins des inconnus qui m’ont violée. Cela m’excite davantage. Je n’ose me masturber.
- Duc, c’est la belle de la salle du quinzième, annonce un superbe transsexuel blond aux seins plantureux, en tablier de soubrette, bas noirs, chignon et mules à très hauts talons, fardée.
Je ne sais si je dois regarder son mandrin en érection ou ses seins, les yeux baissés, la bouche entrouverte.
- Oui, Prisca, c’est elle. Elle est encore plus belle, en vrai. Regarde ce superbe écrin velu, naturel comme je les aime, cette jolie bouche bien dressée, ses seins aux mamelons tendus, son clitoris mérite le détour et surtout son œillet a été bien défoncé, pour répondre à mes critères. Réponds, Hermine.
- Oui, Duc, j’ai éprouvé de la fierté à être prostituée, violée par des inconnus, cravachée. Je suis une bisexuelle docile et soumise.
- Tu as encore beaucoup à apprendre. Les doubles pénétrations font partie de ton instruction. Ton œillet est apte à recevoir tous les sexes. Tu es une suceuse née, tu ouvres ta bouche que pour crier et sucer. Déshabille-toi pour que Prisca voit ton corps de soumise, chienne, prostituée, pute, putain et mannequin du désir.
Tous ces mots m’excitent.
Nue, déchaussée, je m’accroupis, cuisses écartées et je suce Prisca.
Son mandrin mesure trente-quatre par huit.
Je m’applique.
Le Duc me retire mon bijou d’anus.
Le pilote me prend dans ses bras, je l'entoure avec mes jambes et se laisse baiser, la chatte trempée. Prisca m’encule en me soutenant également une partie de mon poids. Je suis tellement excitée, mes mamelons et mon clitoris sont tendus à l’extrême et je me retiens de jouir.
Les deux mandrins sont bien gros, mais j’ai l’habitude.
Au bout d’une demi-heure, ils inversent, le pilote m’encule et Prisca me baise dans la même position et aussi le Duc se relaie pour m’enculer.
Pantelante, je suce le trio et avale tout. Je remets mon bijou d‘anus, mon pubis est couvert de spermes.
Si le rez-de-chaussée abrite les photos, les tableaux et les sculptures. Le premier étage abrite une grande piscine semi-couverte, avec une vue imprenable sur le lac, des chambres d’amis avec de grandes salles de bains, mais pas ma chambre. Un grand escalier en marbre dessert les étages.
Le second étage abrite une salle de vidéo avec grands écrans de télévision diffusant des vidéos en continu, de scènes anales, double pénétration, inceste, pénétrations canines et équines. Quand j’y passe, je suis surprise par la sodomie d’une femme par un doberman. Je suis choquée mais aussi excitée de tenter l’expérience.
- Un jour, Apollo t’enculera, ma belle Hermine. Tu es née chienne et tu dois te donner à ton amant.
Le troisième étage abrite ma chambre, entièrement recouverte de miroirs et de glaces, qui cachent des garde-robes, sans aucune lingerie, sauf des guêpières sans jarretelles et des corsets ni tenues longues, toutes mes tenues sont seins nus, courtes, avec une collection de mules de toutes hauteurs, des sandales à hauts talons et une collection de vibromasseurs réalistes différents de ceux qui m’ont initié.
- Tu en porteras un dès ce soir. Tu es l’invitée du Duc. Je vais te doucher, faire ton lavement. Tu as totale interdiction de te masturber, tu seras menottée chaque fois que nécessaire, pour tes punitions, tes sodomies par des invités, et aussi, pour la nuit.
Je porte mes carcans de cuir aux poignets et aux chevilles, avant ma douche et mon collier de cuir. ils sont faits en plusieurs épaisseurs de cuir, chaque épaisseur assez mince, au total pas plus d'un doigt, verrouillés par un système à déclic, qui fonctionne automatiquement comme un cadenas quand on le referme, et ne peut s'ouvrir qu'avec une petite clé. Dans la partie opposée à la fermeture des bracelets, pris dans le milieu des épaisseurs de cuir, et n'ayant presque pas de jeu, il y a un anneau de métal, qui donne une prise pour fixer, et qu'on positionne du côté intérieur du poignet. Pour le collier, l'anneau pend devant le cou, reposant sur la saillie des clavicules, et brinquebale au rythme des mouvements de celui qui le porte.
Lors de ma douche, la canule est insérée dans mon anus, pour un lavement à l’eau froide, tout comme la douche, pour tendre au maximum mes mamelons et mon clitoris.
A la réserve du collier et des bracelets de cuir, que l'eau a durcis lors de ma douche, et qui me serrent davantage, je suis nue, fardée et parfumée par Prisca.
Prisca me fait vêtir d’une guêpière de taffetas de nylon, tenue rigide par de larges baleines très rapprochées, courbées vers l'intérieur au ventre et au-dessus des hanches, qu'un busc, sur un côté derrière, permet de boucler et de déboucler. Par-derrière aussi, un large laçage se serre ou se desserre à volonté. Une fois la guêpière lacée étroitement, je sens ma taille et mon ventre se creuser sous la pression des baleines, qui sur le ventre descendent presque jusqu'au pubis, qu'elles dégageaient, ainsi que les hanches. La guêpière est plus courte par-derrière et laisse la croupe entièrement libre.
- Ainsi sous ton tablier, tu es prête à te donner au premier venu. Ton œillet reste libre jusqu’à la tombée de jour. Tu fais le service du petit déjeuner, du déjeuner et du souper. Tu manges en dernier les restes. Tu devras répondre immédiatement aux instructions données.
Je glisse mes pieds nus dans des mules à très hauts talons avec plate-forme, de seize centimètres de talons et six de plate-forme.
Je fais le service du déjeuner, au Duc, à Prisca et au pilote. Je nourris le Duc.
Entre deux plats, je suis sauvagement enculée, penchée en avant sur la table, cuisses écartées. Mes fesses sont couvertes de spermes.
A la fin du déjeuner, je mange la dernière, agenouillée, cuisses écartées, aux côtés du Duc, je bois beaucoup, car mes restes sont mixés en soupe.
Je ne peux me soulager que sur ordre du Duc ou de Prisca.
Je suis pesée le matin et le soir. Chaque excès est sévèrement punie par des coups de cravache.
L’après-midi, je fais le nettoyage du rez-de-chaussée, excitée par les œuvres exposées.
En l’absence du Duc et du pilote, Aimée étant en voyage, Prisca me surveille.
Prisca ne se gêne pas pour m’enculer et que je la suce, en avalant tout.
Au coucher du soleil, je suis autorisée à me soulager, debout, à un urinoir pour hommes et debout à une toilette à la turque pour mes besoins anaux.
Je dois garder toujours l’anus propre extérieur et intérieur et je dois garder l’odeur de ma pisse, en plus de celle de ma mouille abondante.
Le soir, je porte la même ceinture que celle de la galerie, pour maintenir en place le gode canin d’un doberman. Une première expérience pour moi, qui n’a connu que les hommes.
Le sexe canin est fait en entier, dans un fourreau dans lequel se trouve en entier le pénis canin quand il n'est pas en érection. Le pénis est plus large que le fourreau. Lors d'une érection, le fourreau va se retirer en arrière, en même temps que le pénis va pousser pour sortir et grossir en dehors du fourreau. Le pénis d'un chien est pointu à l'extrémité et s'élargit au bout de deux ou trois centimètres. Le bulbe du pénis va grossir plus encore dans ma chatte de telle manière qu'il ne sera plus possible de l'extraire avant la fin du rapport. Le rôle du bulbe est donc de me nouer à lui pendant un bon moment. Cette attache par le bulbe assure que le sperme se dépose bien profondément au fond de ma chatte.
Mais après l’avoir porté quelques minutes dans ma chatte, Prisca me le retire et me l’insère dans mon anus bien lubrifié. Je gémis, car il mesure la taille d’une balle de tennis pour trente-deux centimètres de long. Mon bassin ondule immédiatement, un orgasme anal m’envahit.
Je le garde jusqu’à la nuit.
Après ma douche, mon gode doberman est retiré et je suis menottée à mon lit, allongée sur le ventre, cuisses écartées, un coussin pour rehausser mon bassin, mes poignets ne sont pas attachés, mais une chaîne est passée à mon collier pour m’immobiliser.
La lumière éteinte, sans rideaux, ni volet, je sens une langue me lécher l’anus. le doberman Apollo m’encule jusqu’au nœud d’une seule traite. Je le sens gicler presque aussitôt dans mon anus, puis il gicle à nouveau. Il ne me libère qu'après avoir largué cinq salves de sperme au bout de trois quart d’heure et je connais quatre orgasmes anaux consécutifs et violents.
Je dors nue, mon anus dégouline.

6 avril
A trois heures du matin, un berger allemand me lèche et m’encule lui aussi trois quart d’heure. Je connais de nouveau des orgasmes anaux.
Plus tard, un labrador m’encule, frénétiquement, et le nœud gonfle, et m’encule à deux reprises, attachée à lui.
Ces saillies anales canines m’épuisent. J’ai une folle envie de me soulager.
Prisca me détache à l’aube. Je fais mon lavement et je dois me préparer pour le petit déjeuner en cuisine aux sous-sols.
En cuisine, vêtue de ma tenue de soubrette, je suis sauvagement enculée par le chef, un bel étalon africain. Je retarde mon orgasme anal.
Au lever du soleil, je porte le petit déjeuner à Prisca, puis au Duc, que je nourris.
Il me fait empaler sur son mandrin que j’ai sucé, dos à lui, enculée jusqu’aux testicules. Il me fait retirer, avant mon orgasme.
Je suis frustrée. Mais je me rattrape rapidement.
A la piscine, de mon retour de la cuisine, avant de récupérer les plateaux, le berger allemand Conan me contraint à me mettre à quatre pattes, dans la salle de vidéo. J’obéis. Il me monte, me lèche un peu la chatte, mais il m’encule jusqu’au nœud. Je ne peux me libérer de lui. La saillie anale canine dure trois quart d’heures, avec une double éjaculation. Je connais de nombreux orgasmes anaux. Pantelante, je suis libérée et je le suce pour le récompenser.
Je mets mon bijou d’anus en place. Conan disparaît.
Je redescends à la cuisine. C’est Apollo qui me contraint à le sucer, avant une saillie anale canine en règle de plus d’une heure.
Le pilote me découvre les fesses nues, l’anus rempli jusqu’au nœud par Apollo.
- Allez, ma belle chienne, tu vas me sucer, pendant qu’Apollo encule sa chienne.
J’obéis. Le pilote se met sous moi et me baise, tandis qu’Apollo continue à m’enculer. Je suis entre douleur anale et plaisir d’être baisée, mais rapidement, je connais un double plaisir intense. Tous les deux éjaculent en moi, je nettoie le pilote, pour un nouvel orgasme anal.
La matinée n’est pas finie. Prisca me fait enculer par des inconnus, dans ma chambre, allongée sur le ventre, les yeux bandés. Tous éjaculent en moi. Je les nettoie.
Mes fesses et mes cuisses sont cravachées pour quelques écarts.
Jusqu’au coucher du soleil, je suis saillie à de nombreuses reprises par mes amants canins.
Le port fréquent du gode doberman m’habitue à ce sexe.

15 avril
Alors qu’il n’est que trois heures du matin et je connais ma sixième saillie anale canine depuis que je suis menottée, Conan cède sa place à un superbe dogue allemand Lancelot. C’est un sexe plus gros, le plus imposant chez les chiens, trente-six par huit. Chaque pénétration ou coup de rein du dogue, avec le nœud qui commence qui gonfler dans mon anus, je gémis. Je suis secouée par les va-et-vient du dogue. Brusquement, le dogue s'arrêta de bouger complètement enfoncé dans mon anus. Le sexe et le nœud continuent de gonfler dans mon anus. La saillie anale canine de Lancelot dure trois quart d’heure. Il se retire quelques instants pour mieux m’enculer à nouveau. Je dois lui plaire, comme Apollo et Conan. Je connais au moins quatre orgasmes anaux.
L’anus libre, je m’effondre.
Prisca, le Duc et le pilote viennent m’enculer, profitant de mon anus lubrifié par le sperme de Lancelot et encore ouvert. Je retarde mes orgasmes.
Exceptionnellement, je suis de repos, sur ordre d’Aimée. Je dois reprendre des forces. Le Duc et Prisca me baisent et me prennent en doubles pénétrations intensives, sans être menottée.
Ma chatte et mon anus sont épilés, mais je garde ma toison pubienne, qui excite mes amants.
Je fais des longueurs de piscine, pour entretenir ma forme athlétique, du vélo d’appartement, empalée sur un gode canin au choix du Duc et des pompes, enculée par un des chiens.
J’enduis toujours mon anus de miel, avant chaque saillie. Quand je suce le sexe canin, j’aime le goût du miel et de ma mouille anale.

22 avril
Vers dix heures, fardée, parfumée, vêtue juste de mon boléro sur mes seins nus et de ma jupe éventail et de mes mules à hauts talons, les cheveux libres, je quitte la villa du Duc, pour une nouvelle destination. Mon anus est tellement sensible, qu’à la moindre sodomie, je jouis rapidement. Je dois goûter à de nouveaux vices.
Le Duc m’a confiée à un mystérieux client, qui aime mes photos et mes vidéos, qu’il reçoit chaque jour, dans ses courriers.
Le pilote me conduit à bord de l’Ecureuil vers ce lieu mystérieux. Je garde mes carcans de cuir et mes yeux sont recouverts par un masque de nuit, qui m’empêche de glisser le moindre regard, de lever les paupières. Je suis assise cul nu, jupe relevée, avec mon gode canin de Lancelot, partiel, pour me garder l’anus bien rempli.
L’Ecureuil atterrit dans une vaste propriété. J’entends des chiens aboyer.
On m’aide à descendre.
Mes mules claquent sur le marbre des marches menant au pavillon.
On me libère quelques instants, l’anus pour m’enculer sans me faire jouir.
On me fesse magistralement, je dois sucer les inconnus, toujours aveugle.
- C’est la nouvelle chienne, Hermine, amie du Duc et d’E.A. Elle sera mon hôtesse pour son séjour. Retirez-lui son masque et qu’elle baisse ses superbes yeux verts.
J’obéis.
- Tu es une sacrée chienne, pour te faire enculer plusieurs fois dans la journée. Surtout, toi l’ancienne vierge de la chatte et de l’œillet, lesbienne devenue une superbe bisexuelle, reine des vices. Mais tu ne connais pas tous les vices. Je vais te faire enculer par un des membres de ta famille, te faire goûter à la garcette et à la chicotte et surtout enfoncer mon gros sexe dans ton œillet de pute. Déshabille-toi que je juge de toi en vrai. Sur les photos et les vidéos, tu es très attirante, sexy, sensuelle.
Les mains menottées dans le dos, il me pelote les seins, force ma bouche, fouille ma chatte, joue avec mon clitoris et mes mamelons tendus par le vent frais de la pièce, aux fenêtres ouvertes. J’ai chaud, mon bassin ondule sur le gode Lancelot.
Sans ménagement, il me retire le gode et m’encule jusqu’aux testicules. Je me retiens de jouir. Son mandrin mesure vingt-six par huit.
- Tu es assez souple. Adam, Conan, Apollo et Lancelot t’ont bien ouverte, la chienne.
Ces mots m’excitent, mais je me tiens sage.
Il se retire et je le suce, accroupie, cuisses écartées, mes fesses recouvertes de son sperme chaud.
- Tu vas avoir ton gros clitoris percé et tes grandes lèvres de ta chatte percées comme les soumises du « Club », pour te faire reconnaître, ainsi qu’une bague à ton annulaire gauche. Amenez-la chez le gynécologue, pour son dossier médical.
Je me retrouve menottée au fauteuil gynécologique, écartelée, filmée par de discrètes caméras.
Le gynécologue est un bel étalon africain bien monté, assisté par le transsexuel brésilien Claudia, bien monté.
On m’écarte la chatte, l’anus, me prend la température dans ma bouche, ma chatte et mon anus, me fait un long lavement à l’eau froide, pour que je sois propre.
Je suce ensuite Yannis, avec son mandrin de trente-deux par huit, qui me donne envie. Je mouille.
- Tu as envie que je t’encule, ma belle. Patience, chienne Hermine, il te goder un peu.
Yannis sort un gode de trente-quatre par huit et m’encule longuement avec elle, je suce Claudia.
- Elle ondule bien son bassin, cette chienne.
Suffisamment excitée, on me perce mon gros clitoris tendu d’un anneau doré avec une pierre précieuse et mes grandes lèvres humides d’un petit anneau doré sur chacune. Je ne ressens presque rien.
Yannis me retire le gode après la pose des anneaux et m’encule sauvagement. Je me retiens de jouir, mais j’éprouve le besoin.
La cravache cingle mes cuisses pour me rappeler à l’ordre.
Claudia me prend ensuite avec son mandrin de quarante par sept. Claudia me baise un peu, pour me faire mouiller et m’encule ensuite sauvagement. Je nettoie Yannis.
L’homme qui m’a accueilli, le Baron Sévices des Dressages de Mon Plaisir, m’encule ensuite. Je suis frustrée par ms orgasmes non achevés.
- Elle sera saillie dès aujourd’hui. Emmenez-la à la salle des dobermans.
Nue, en mules, tenue en laisse par mon collier, les mains menottées dans le dos, l’anus encore un peu ouvert, je quitte le pavillon pour un bâtiment en dur, aménagée avec un chevalet confortable. Je suis d’abord allongée sur le dos, cuisses écartées. Trois dobermans se relaient pour me baiser et m’enculer, à raison d’une demi-heure à trois quart d’heure, selon leurs endurances, toujours attachée à eux. Je suis autorisée à jouir, toujours filmée.
L’homme qui les conduit, m’encule aussi, profitant de mon anus lubrifié par le sperme canin.
Puis je suis offerte en levrette, sur le chevalet, pour de longues sodomies.
Pantelante, je suis offerte à six autres dobermans. Je ne compte plus les nombres de saillies anales.
Je suis suffisamment lubrifiée que chaque nouveau doberman n’a aucun mal à me faire jouir.
Au bout de trois heures de saillies, après mes ultimes saillies par les dobermans, je suis conduite dans la salle des bergers allemands. Neuf me baisent et m’enculent en alternance, attachée à eux. Je ne compte plus mes orgasmes.
On me donne à boire et à manger, toujours menottée.
Enfin, neuf labradors m’enculent uniquement, attachée à eux.
Les maîtres des dobermans, des bergers allemands et des labradors me fouettent les fesses, avec la garcette. Elle est faite de cordes assez fines, de sept lanières terminées chacune par plusieurs nœuds, et qui sont toutes raides, trempées dans l'eau, je le constate par les cordes humides sur l’intérieur de mes cuisses. Je mouille à chaque coup. Les maîtres me font sucer leurs mandrins et m’enculent, aisément, l’anus rempli par les spermes canins.
Au coucher du soleil, je retourne au pavillon, toujours tenue en laisse par mon collier, harnachée d’un vibromasseur canin moulé sur le sexe d’un berger allemand et d’un vibromasseur vaginal moulé sur un sexe réaliste humain, maintenus par des chaînettes cadenassées à ma ceinture de cuir.
Je suis douchée à l’eau froide, les bras suspendus en l’air, cuisses écartées par une barre d’écartement, en compagnie des autres chiennes, tout en gardant mes vibromasseurs actifs. Je dois me retenir de jouir, sous peine de la garcette des hommes nus et cagoulés.
Une fois propre, je subis mon lavement anal à l’eau froide et je peux me restaurer, assise nue, sur un tabouret en cuir, en compagnie des autres chiennes, cuisses écartées, les yeux baissés. La garcette cingle mes fesses.
Après le souper, nue, je suis enculée, la chatte et l’anus libres, en alternance par les amis du Baron, et des chiens choisis au hasard. Je m’offre en levrette.
Les compliments sur mon ouverture anale m’excitent.
Chaque saillie anale canine est commentée, filmée et photographiée.
Pantelante, par mes orgasmes, je dois subir plusieurs doubles pénétrations canines, attachée à chacun des chiens.
Je suis ensuite fouettée à la chicotte, menottée à la Croix de Saint-André, dos aux hommes. La chicotte est un engin fait en deux parties, d'une part un manche en bois verni et de l'autre une tresse en cuir, reliés ensemble par une boucle qui formait charnière, de telle sorte que, quand on l'utilise avec habilité, le coup de poignet sur le manche donne encore plus de vitesse à la tresse en cuir. Et le Baron manie parfaitement la chicotte.
Je mouille à chaque coup, ce qui augmente ma punition.
Je suis longuement enculée en retour, menottée à la Croix de Saint-André.
Je passe la compagnie dans la salle des bergers allemands, pour de nouvelles saillies. Je suce mes amants canins, pour me nourrir de leurs spermes.

2 mai
Après de nouvelles saillies anales et des doubles pénétrations canines pour des clients fortunés, je suis tatouée sur les reins à l’encre noire « Chienne Soumise Hermine Docile Suceuse Experte » et à l’intérieur de ma chatte, marquée au fer rouge CSHDSE sont mes initiales lorsqu’on me baise. Je porte de nouveaux coups de garcette et de chicotte récents sur mes fesses et mes cuisses. Je suis fière d’être fouettée, saillie et vicieuse. La bague sertie d’un petit anneau est portée à mon annulaire gauche, pour être reconnue.
Le Baron m’informe :
- Tu vas rejoindre un nouveau lieu pour ton instruction. Tu seras ferrée et marquée. Ton statut de chienne soumise docile te permet de connaître de nouveaux vices.
Le Baron m’encule longuement et me laisse atteindre mon orgasme anal.
Le Baron me retire mes carcans de cuir, après une ultime douche, où j’ai le droit de me masturber et de faire mon lavement anal.
Fardée, parfumée, vêtue juste de mon boléro sur mes seins nus et de ma jupe éventail et de mes mules à hauts talons, les cheveux libres, je quitte le pavillon.
L’Ecureuil me dépose sur le toit de la galerie.
Les trois étages me sont dédiés avec mes photos et mes films selon les désirs d’E.A. Je suis longuement enculée par E.A. et Brice à mon retour, ainsi que le Duc.
Les invités me complimentent sur l’exposition et me donnent du plaisir, tandis que je les suce.
Mes reins tatoués font sensation.
Mon cousin Nathan m’encule. C’est mon premier ébat sexuel incestueux. Je suis aux anges. Je lui offre un long orgasme anal, avec son gros mandrin.
Il sait que j’aime me faire fouetter et saillir.
Je reste quelques jours à la galerie, pour des séances photos, nue.

10 mai
Après avoir dormi à la galerie, je me douche longuement, me parfume, me farde, revêt ma robe à corselet seins nus, avec une jupe éventail et mes mules à hauts talons. Je porte désormais un bijou d’anus plus gros pour bien me remplir mon anus sensible. Ce serpent malicieux m’encule, tout en dardant impudiquement sa langue sur ma vulve, mon gros clitoris, il fait treize par cinq pour 600g.
Une limousine aux vitres teintées me dépose devant une luxueuse villa en dehors du centre-ville, dans un quartier sécurisé.
La limousine part.
J’ouvre le portail et j’entre par la porte ouverte.
J’entends des râles de plaisir.
Curieuse, je me déshabille, me déchausse et je découvre Horace, mon amant, le mandrin en érection, enculé par un superbe transsexuel blond plus grand que moi, aux seins plantureux, avec son mandrin de dix-neuf centimètres.
- Approche, ma chérie Hermine, tu vas le sucer, puis ensuite, tu mets ton gode-ceinture et tu vas l’enculer, tandis que je m’occupe de t’enculer.
Accroupie, je sens le mandrin d’Horace bander dans ma bouche, il éjacule. J’avale tout.
Je libère mon anus et j’enfile le gode-ceinture doté d’un vibromasseur anal de trente par sept et d’un vibromasseur vaginal de quarante par sept.
Horace s’encule sur mon vibromasseur anal, tandis que le transsexuel Sacha m’encule. Je ressens le double plaisir et je masturbe Horace, qui éjacule à nouveau.
Sacha éjacule en moi.
Jusqu’au coucher du soleil, six transsexuels amis de Sacha m’enculent, me prennent en double pénétration, avec des gaines à picots et je connais ma première double anale. Je suce tous mes partenaires.
Pantelante, je suis nourrie et je reprends des forces pour de nouveaux ébats.
Je suis constamment filmée et photographiée pour de nouveaux sujets de la galerie. Des clients vivent en direct mes ébats sexuels, payant E.A.

12 mai
Comme je suis une soumise docile et une vraie chienne anale, selon Sacha, il me promène dans le quartier, en robe courte seins nus, la chatte libre, l’anus rempli par mon gros bijou d’anus. Des étalons m’enculent dans leurs jardins ou leurs salons.
Je suis bien payée.
Des fois, trois étalons me prennent simultanément, voir jusqu’à cinq, pour me satisfaire, mais rarement ils me baisent.
Je suis une soumise, chienne, prostituée, pute, putain et mannequin du désir. Je dois me soumettre à leurs désirs. Sacha m’encule à mon retour. Je vis totalement nue, avec mon collier et mes bracelets de cuir à mes poignets et à mes chevilles. Sacha sait me punir à bon escient.
Je suis la soubrette de Sacha, dévouée.
Je suis juste chaussée de mules à plate-formes.
Les transsexuels connaissent mes vices et les exploitent.
E.A. est satisfait de mon travail.
Le soir, après une journée épuisante, je suis ferrée. On me retire mes anneaux dorés à mes grandes lèvres par des anneaux de fer mat inoxydable. La tige en est ronde, épaisse comme un gros crayon de couleur, et ils sot oblongs : les maillons des grosses chaînes sont semblables. Chacun est formé de deux U qui s'emboîtent l'un dans l'autre. Un ressort intérieur sur lequel on doit forcer pour le faire pénétrer dans la rainure où il se bloque. Chaque anneau est long comme deux phalanges du petit doigt, qu'on y peut glisser. A chacun est suspendu, comme un nouveau maillon, ou comme au support d'une boucle d'oreille un anneau qui doit être dans le même plan que l'oreille et la prolonger, un disque de même métal aussi large que l'anneau est long. J’en porte un à chacune de mes grandes lèvres. Ils me descendent jusqu'au tiers de la cuisse, et à chacun de ses pas bougent entre mes jambes comme un battant de cloche, le disque gravé étant plus lourd et plus long que l'anneau auquel il pend.
Mes fesses sont marquées au fer S et H, pour Sir Horace, mon Maître. Je suis désormais intégralement épilée, je retrouve ma chatte de jeune fille, m’étant en valeur mon gros clitoris percé.
Je suis plus facilement reconnue par les membres du « club ». Mes marques sont définitives.
Bien instruite, selon le Duc, je suis invitée à séjourner dans un nouveau lieu.

13 mai
A l’aube, encore menottée, nue, à mon lit, fraîchement enculée, je suis libérée, me douche à l’eau froide, me fait mon lavement anal et je me farde, me parfume. Je me rase les poils disgracieux.
Je revêts ma robe à corselet seins nus sans mon boléro et mes mules. Je ne porte plus mes carcans de cuir.
Les yeux bandés, je rejoins après un long trajet en limousine et en vedette sur un fleuve, ma nouvelle résidence.
Je reçois mes nouveaux carcans en fer inoxydable, articulés et à demi rigides et sont hauts de près de deux doigts et portent chacun un anneau de même métal, à mon cou, mes poignets et à mes chevilles, je suis fardée et parfumée.
Ma nouvelle tenue est une jupe ouverte dans le milieu du dos de la taille aux pieds. Il suffit par-derrière d'écarter les deux côtés de la jupe pour que la croupe soit nue. Deux attaches qui soulèvent les deux pans et se nouent sur le devant de la taille, il est facile de les maintenir ouverts.
Un boléro transparent entrouvert, sur mes seins nus, et n'a d'ailleurs aucun système de fermeture, avec brodé CSHDSE au-dessus du cœur. La dentelle assez transparente pour qu'on en devine l'aréole, et pour qu'on comprend qu'ils sont libres. Il suffit d'enlever le boléro pour que le torse soient nu, et sans même enlever le boléro, de l'ouvrir, si l'on désire voir les seins.
Je porte des pinces à seins avec des clochettes comme l’ensemble des soumises du lieu.
Mes mules à hauts talons accentuent ma cambrure de mes pieds nus.
J’oublie, je suis au « Manoir des Soumises ».
Je loge dans une des ailes, menottée pendant la nuit, à mon lit. Après mon petit déjeuner au réfectoire, nue, je suis fouettée comme l’ensemble des soumises.
Les valets, bien montés, des transsexuels, m’enculent dès le lever du soleil.
Je suis offerte à des clients exigeants, fortunés, qui aiment enculer, fouetter et faire saillir les soumises.
Je suis aux anges.
Mon corps athlétique, bronzé, ravit tous les clients, mon anus que j’ouvre sur commande et ma bouche de suceuse experte.
Chaque visite est filmée et photographiée pour mon album personnel que seul lit le maître des lieux.
Je fais le service au bar, seins nus et en jupe, puis au restaurant, libre d’être pelotée, doigtée, suçant suivant les désirs.
Une dizaine d’étalons m’enculent, sans compter les valets qui ont autorité sur moi. Je suis docile, obéissante.
Comme je suis nouvelle, je dois porter mon vibromasseur anal canin doberman, quelques jours. Ma chatte resserrée est comblée par mes étalons.
Je suis prise tantôt dans une chambre, tantôt dans le parc ou dans le chenil.
Je sers au restaurant pendant huit jours à midi.
Je deviens rapidement la favorite du valet Emmanuelle, un vrai brésilien bien monté, qui aime m’enculer et me fouetter.
C’est lui qui me baigne, je suis toujours accroupie, cuisses écartées, les bras tendus en l’air, avec ma canule pour mon lavement anal.
Il m’offre aux nombreux chiens du manoir, même ceux des maîtres-chiens dans le jardin. Je suce en échange les maîtres-chiens.

Je passe de longs mois au « Manoir ».

Venez me rejoindre au « Manoir », appelez Chienne Hermine, mon œillet vous sera ouvert à vos gros mandrins, pour me faire jouir.