Je m’appelle Hermine.
J’ai 25 ans.
Je suis une jolie beauté scandinave.
Je suis une
brune aux yeux verts. J’ai des pieds fins et latins, des jambes longues
bronzées, musclées qui inquiètent par leur perfection. Mon pénil est bombé,
ouvert, couronné de noir. Ma pilosité brune couvre mon pubis. Je suis
totalement velue entre les cuisses et j’ai une superbe croupe. Les lèvres de
mon sexe sont une plaie rouge entre mon entrecuisse velue. Mes hanches
s'incurvent et délimitent le ventre plat, délicieusement renflé autour du
nombril, les hanches sont larges et rondes, mais sans lourdeur. La taille est
affinée. Les seins parfaits intégralement bronzés sont un peu volumineux mais
fermes, et leurs pointes marron clair, toujours dressées, cernées par une large
aréole marron attirent le regard. J’ai une peau lisse et patine. Finition
parfaite, un seul grain de beauté entre mes superbes seins. De longs cheveux
plats blonds flottant comme des algues, battent mes épaules rondes et
gracieusement athlétiques. Je suis intégralement bronzée. Mes yeux verts
limpides s'allument, ma bouche charnue se fend. J’ai des sourcils bruns bien
dessinés et des lèvres pulpeuses. J’ai de longs doigts fins et de belles mains.
Je fais du 85B de poitrine, 56 de taille, 90 de hanches, 1,72 m.
GALERIE DU
VICE
Je suis
lesbienne et j’entretiens de bonnes relations sexuelles avec mes copines de
lycée et de collège. J’ai toujours refusé de me faire enculer par un homme ou
une femme, je veux rester vierge.
Depuis
trois ans, je suis traductrice spécialisé en langues danoise, suédoise,
norvégien, anglais et italien, dans une petite société.
25 mars
Vers 9
heures, je suis convoquée à la galerie d’art, dans le centre-ville, à une
demi-heure à pied de ma société. Je suis vêtue de mon tailleur avec jupe droite
fuchsia, cachant mon soutien-gorge et mon string assortis en dentelle
transparente, mon porte-jarretelles et mes bas blancs, chaussée d’escarpins
blancs à hauts talons, coiffée d’une queue-de-cheval. L’immeuble abrite
dix-huit étages et un restaurant panoramique et une hélisurface.
Au pied de
l’immeuble, je trouve à l’accueil, un pli qui m’est destiné :
« Chère
Hermine,
Rendez-vous
au 12e étage, Edouard Alan son artiste vous attend. J’y serais
aussi.
Brice de
La Haute Vallée »
Je prends
l’ascenseur. Je ne suis pas toute seule. Deux hommes sont avec moi.
Ils me
toisent, regardent ma bouche, mes mains, mes jambes gainées de nylon.
Le premier
descend au dixième étage, le second reste en ma compagnie.
Au
douzième étage, il me fait passer devant.
Je suis un
peu désorientée, par les portes.
- Tu es
Hermine, je suppose. Je suis Ed, le photographe, le sculpteur, l’écrivain,
celui qui expose à la galerie. Viens, je te fais entrer, la galerie sera vernie
le 27 mars. Tu dois faire connaissance du catalogue. Il y a les quatorzième et
quinzième étages qui concernent aussi la galerie, sur d’autres sujets.
- Vous
photographiez sur quel thème, quelles sculptures, quels romans ?
- Que tu
es curieuse, c’est normal E.A ne te dit rien. Même si tu es la fille d’un
collectionneur connu en scènes érotiques. Il paraît qu’il a quelques nus de
toi, à ton adolescence.
Je suis
troublée. Nous franchissons une double porte vitrée donnant sur la galerie. Les
tableaux sont recouverts de draps. E.A. est un bel étalon brun musclé, comme je
les aime.
Brice est
un homme du double de mon âge, athlétique, qui me fait le baise-main.
Je sors
mon CV de mon sac à main.
- Mets-toi
à l’aise, Hermine. Je veux voir tes formes athlétiques.
Je retire
ma veste. Il fait chaud.
Je bois
une coupe en leur compagnie, devant la photo « S Beauté Dominant le
Monde ». La femme nue est vue de dos, son dos, ses fesses sont zébrées, on
ne voit pas son visage, mais ses seins se reflètent dans un grand miroir, avec
un homme cagoulé, nu. Je suis excitée.
Après
quelques gorgées, je suis invitée par E.A. :
- Retire
ton chemisier et ta jupe pour passer à la pièce mitoyenne, dite « Mâle
Désirant Sa Belle ».
Je me
retrouve en soutien-gorge, string, porte-jarretelles et bas, les regards se
font plus osés.
- Superbes
seins, belle musculature des fesses, prêtes à être moulées.
J’aime ton
regard et surtout ta bouche, Hermine, me susurre Brice.
La
sculpture représente un Adonis au bas du corps avec un imposant sexe de vingt
centimètres et six de diamètre, ne représentant pas un sexe humain.
-
Accroupis-toi et viens le sucer.
Je ne peux
résister. Je suis novice, mais je m’applique, en me souvenant des magazines de
mes copines.
-
Maintenant, mets-toi à quatre pattes, retire ton string.
Agenouillée,
bras tendus, je sens le sexe m’écarteler ma chatte vierge.
Brice me
saisit la taille pour que je m’empale totalement.
La douleur
de ma défloration devient un rapide orgasme, le premier avec un sexe.
Brice et
E.A. me font sucer leurs sexes.
- Tu aimes
ça, te faire défoncer ton écrin, me complimente Brice.
Je n’ose
avouer que je suis vierge.
- Suce-le
à nouveau.
Le sexe
est recouvert de ma mouille.
L’occasion
est trop belle, le mandrin d’E.A. de vingt-huit centimètres par six me remplit
la chatte, jusqu’aux testicules.
- Que tu
es chaude, Hermine.
Mes
mamelons et mon clitoris sont tendus à l’extrême, je suis juste vêtue de mon
porte-jarretelles.
E.A.
inonde ma chatte, tandis que je suce Brice, doté d’un mandrin de trente par
huit. Je connais un nouvel orgasme.
La chatte
bien lubrifiée, je ne peux me refuser à Brice.
- Tu aimes
ça que je te défonce.
- Oui,
prends-moi, je suis toute à toi.
- Le Duc
sera satisfait de ta pleine disponibilité : suceuse, la chatte en feu.
Sans
prendre garde, tellement je suis concentrée sur mon plaisir, je sens son gros
mandrin m’écarteler mon anus encore vierge.
Je tente
de protester :
- Arrête,
Brice, pas ça. Non, pas dans mon œillet, tu me fais mal.
- Tu as
l’habitude, Hermine, de te faire remplir l’œillet, tu es une coquine.
Brice
m’encule jusqu’aux testicules, mes gémissements sont étouffés par le mandrin
d’E.A. en bouche.
- Elle
fait sa vierge anale, son œillet est un peu étroit. D’ici peu, elle réclamera
que son œillet soit rempli par une grosse queue.
L’anus
écartelé et inondé de spermes, je dois subir l’assaut d’E.A. qui m’encule
aussi.
Il me
caresse mon clitoris tendu et je connais mon premier orgasme anal.
Je suis
épuisée.
Je sens un
objet froid dans mon anus. C’est un bijou d’anus très doux et très petit, me
remplit sur six centimètres et trois de diamètre pour 34 grammes. Je ne peux
l’expulser, car la forme en sapin et sa large base vous garantissent un
excellent maintien dans l’anus. La section qui relie les deux extrémités est
très fine et douce afin de laisser l’anus se refermer dessus sans gêne. La tige
de la taille de l’auriculaire sert de support lorsque le sphincter se referme.
- Il
resserre les parois de ta chatte, détend ton anus pour tes futures sodomies, ma
coquine. Ton anus va se contracter pour ton plus grand plaisir.
E.A. me
prend dans ses bras et me conduit au quatorzième étage, dans une chambre
mitoyenne à la galerie. Il me déshabille entièrement, me lave, me masturbe le
clitoris tendu, par les effets d’excitants sexuels dans mon verre. Je jouis à
nouveau, avant de m’endormir.
Je fais
des drôles de rêves sexuels, baisée, enculée par des hommes cagoulés,
cravachée, je ne peux m’empêcher de me masturber, jouissant à mon tour. Le
bijou d’anus me comble. J’aurai du être enculée plus tôt. Je ne suis plus
vierge.
Vers onze
heures, j’émerge en sueur, nue sur les draps.
E.A. me
rejoint.
- La belle
Hermine, tu viens te restaurer. J’ai quatre amis qui viennent voir le
quatorzième étage. J’ai gardé ton soutien-gorge et ton string. Tu sens très
bon.
Je remets
mon porte-jarretelles et mes bas, mes escarpins et échange mon tailleur contre
une robe semi-transparente sur mes seins nus, largement fendue sur ma jambe
gauche jusqu’à la naissance des bas. Je garde mes cheveux libres et je me
refais une beauté.
A l’étage,
je retrouve quatre superbes étalons, qui me toisent. Nous allons au restaurant
panoramique au dix-septième étage, ils me pelotent les seins. Je mouille
d’excitation, devant E.A.
- Elle est
très belle, prête à tous les désirs, me susurre E.A.
- Oui, je
suis très chaude.
En
marchant, le bijou d’anus avance par la contraction de mon anus contre ma
chatte et la stimule.
Je suis
assise au centre d’E.A. et d’un de ses amis, Brice est là devant moi.
- Non,
Hermine, soulève ta jupe, pour t’asseoir et garde les cuisses écartées.
Je suis un
peu gênée, mais le tissu sur mes fesses nues m’électrise, m’excite. Mon voisin
regarde que j’ai les fesses nues.
- Hermine,
tu es donc prête à te faire honorer ton œillet de coquine, m’annonce Carl, en
m’embrassant langoureusement.
Pour
l’entrée, je dois manger les carottes entières plongées quelques instants dans
ma chatte trempée, pour goûter ma mouille. Je suis surprise. Je bois plusieurs
gorgées d’un verre d’apéritif fort.
Au plat
principal, ce sont des morceaux de viande découpés en dés qui sont frottés sur
ma chatte et mon clitoris tendu, puis les petits légumes. Je suis au bord de
l’orgasme, que je dois retarder.
- Puis-je
aller me refaire une beauté ?
- Non,
reste dit Dan, qui me fixe du regard. Dis plutôt, que tu as une envie
pressante. Elle peut attendre.
En effet,
au dessert, la banane me défonce la chatte, resserrée comme celle d’une vierge.
Enfin,
Horace, un superbe étalon Africain, me prend la main et me conduit aux
toilettes pour hommes. Je suis un peu gênée.
- Non,
Horace, pas là, je ne suis pas…
- Soulève
ta jupe et pisse debout à l’urinoir.
J’ai du
mal à me soulager. Horace me masturbe le clitoris et je me soulage avec
difficulté.
- Tu avais
une énorme envie. Je vais te retirer le bijou et tu vas te vider par là, mais
debout, sur la cuvette, jupe relevée.
Exhibée, j’éprouve
une certaine excitation.
Horace
m’essuie les fesses, mais pas ma chatte.
-
Penche-toi en avant, au-dessus de l’urinoir, jupe relevée.
J’obéis.
Son
mandrin de trente-trois par sept m’encule d’une seule traite, jusqu’aux
testicules, devant les hommes voyeurs. Je ne peux résister longtemps, à mon
orgasme anal, fessée magistralement.
- Tu es la
reine anale, Hermine. Je te laisse avec l’un d’eux.
Un des
voyeurs sort son mandrin et m’encule dans la foulée, pour un second orgasme
anal plus violent, inondée de son sperme chaud.
Horace me
remet le bijou d’anus en place et récupère les billets.
Au
quatorzième étage, je suis invitée, juste en porte-jarretelles et en escarpins,
à mettre ma tête et mes mains dans une boîte pilori.
Je suis
baisée et enculée à plusieurs reprises par des inconnus. Je ne compte plus mes
orgasmes anaux et les éjaculations dans mon anus et les claques magistrales sur
mes fesses brûlantes.
Je ne sais
combien de temps je reste là.
Vers
dix-huit heures, le bijou remis en place, l’anus alourdi par le sperme de mes
inconnus, je revêts un bustier moulant mes seins nus lacé dans le dos et une
jupe éventail, sur mon corps nu, avec des mules à hauts talons, les cheveux
libres, maquillée et parfumée après une douche rapide, par Horace.
Je retourne
au douzième étage, trouvant Brice et E.A., mais pas les quatre amants du
restaurant.
- Où est
Horace ?
- Tu aimes
sa grosse queue dans ton œillet, annonce E.A.
- Non, je
reconnais que cela a du bon, de devenir lesbienne à hétérosexuelle, avec de
tels engins.
Un couple
entre, une blonde aux seins plantureux, en robe décolletée en V, avec une jupe
assez courte, en mules et un bel athlète du triple de mon âge, avec des
lunettes sombres, qui lui tient la main.
- Voici,
la nouvelle secrétaire de la galerie, très en beauté. Déjà un peu vicieuse,
baisée et enculée dès le premier jour, elle excelle, dit la femme.
- C’est le
profil de recrutement des vicieuses du Duc, Hermine.
L’homme
caresse ma bouche entrouverte, mes seins moulés.
La femme
prénommée Aimée me délace le bustier et il caresse mes seins nus aux mamelons
encore tendus.
Aimée
soulève ma jupe et il caresse ma chatte, mon clitoris et trouve mon bijou
d’anus.
- Elle
mouille abondamment, d’excitation, c’est normal. Son œillet va répondre aux
attentes.
Le bijou
d’anus retiré, une de ses mains s’enfonce simultanément dans ma chatte et mon
anus entrouvert, je gémis un peu.
- C’est
normal, elle est surprise, son œillet n’est pas assez souple. Des bijoux plus
gros lui seront insérés dans les prochains jours, plus des doubles pour qu’elle
s’habitue. La Salle Baiser des Désirs de Mon Plaisir est prête au quinzième
étage, Brice.
- Bien
sûr, Hermine va donc l’inaugurer.
Nous
allons au quinzième étage, par petits groupes. J’accompagne le Duc et Aimée,
escortée par E.A.
Dans la
pénombre dans une des salles, je découvre un fauteuil gynécologique, entouré de
dizaines d’écrans de télévisions reliés en circuit fermé à de discrètes caméras
et appareils photographiques.
Nue, je me
déchausse, je m'allonge sur le siège en cuir qui est un peu frais sur mon dos.
Je glisse mes pieds dans les étriers, les cuisses écartées au maximum, cambrée,
le bassin à hauteur du visage d’E.A.. Je sens les lèvres de ma chatte qui
s'entrouvrent toutes seules.
Des hommes
cagoulés, nus, m’entourent, leurs mandrins en érection.
- C’est un
vrai bijou avec sa chatte naturelle, velue, perlée de sa mouille abondante,
commente E.A.
Le Duc
approuve.
- Oui,
c’est le summum de la femme encore récemment vierge, une chatte de biche qui va
devenir celle de jument, par l’assaut des queues d’étalons, tout comme son
œillet un peu étroit.
On me met
un spéculum pour mesurer mon ouverture, puis un écarteur anal lubrifié par ma
mouille. Mon clitoris est tendu à l’extrême par l’excitation, l’humiliation et
le désir.
Chaque
image et photo de mon visage, de mes seins, de ma chatte, de mon anus est
archivée en temps réel. Je suis invitée à jouir, poignets et chevilles
menottées, avec un casque sur les oreilles qui diffuse une musique relaxante,
un bâillon O me force à garder la bouche ouverte. Le O de l’anneau O est assez
large pour faire passer un mandrin. Je suis humiliée et je me dépasse.
A mes
mamelons tendus et aux grandes lèvres humides de ma chatte, on me pose des
pinces plates recouvertes de caoutchouc à leurs extrémités. Elles sont réglées
grâce à des molettes à vis qui permettent une très grande précision dans le
serrage des pinces. De faibles décharges électriques me font mouiller
davantage.
Chacun
leur tour, les hommes cagoulés m’enculent avec leurs longs mandrins entre six à
huit de diamètre. Mon corps se contracte sous l’effet des décharges. Je jouis
sous le bâillon.
Ils
éjaculent sur mon pubis ou dans ma bouche, je dois tout avaler.
Le Duc,
lui aussi, m’encule, avec son mandrin long de trente-deux centimètres et huit
de diamètre. Je connais un violent orgasme anal qui le fait éjaculer.
Je suis
rapidement punie, dès son retrait, par cinq coups de cravache sur l’intérieur
de chacune de mes cuisses et sur mes fesses.
En
alternance, je suis baisée, enculée et cravachée pour mes orgasmes non désirés
par le Duc.
Vers
vingt-deux heures, on me libère, mon pubis, mon ventre et mes fesses zébrées
sont tâchés de spermes, ma bouche avale les dernières gouttes de spermes.
Les hommes
cagoulés ont disparu, je suis juste avec E.A., Brice, le Duc et Aimée.
Mes pinces
sont retirés, mes mamelons restent un peu tendus, je recouvre l’ouie.
- Hermine
est la soumise idéale, adepte de jeux saphiques, facile à éduquer. E.A. et
Brice vous fait le bon choix. Elle est engagée. Ma galerie lui sera aussi
ouverte.
Nue, en
mules, avec mon bijou d’anus remis en place, je suis conduite par Aimée à une
douche bien méritée.
Devant le
trio, je suis embrassée, caressée sur tout le corps, je jouis sous la langue
dans ma chatte. Je connais mon premier lavement anal avec une poire, pour que
je sois propre.
Aimée
m’apprend à me maquiller comme une prostituée de luxe : me farde la bouche
avec un rouge clair, un peu liquide, qu'elle appliquait au pinceau, et qui
fonçait en séchant. Mes paupières sont légèrement ombrées. Aimée me peint du
même rouge l'aréole et les mamelons tendus par une mystérieuse crème des seins
et un glaçon pour fixer les couleurs, et les petites lèvres entre mes cuisses,
en soulignant la fente du giron. Elle enduit aussi mon clitoris tendu de la
même crème. Elle me poudre le visage. Elle me passe du parfum longuement sur
mes aisselles lisses et ma fourrure pubienne, dans le sillon entre les cuisses,
dans le sillon sous les seins, et au creux des paumes.
Mes
mamelons et mon clitoris deviennent hyper sensibles, par une énorme excitation,
sont complètement tendus et très durs au point de me faire vraiment mal et le
moindre effleurement même involontaire devient une véritable torture tellement
ces endroits sont devenus sensibles.
Aimée me
montre son clitoris gros comme une cerise, saillant, volumineux et ses mamelons
saillants, gros et longs, de façon constante, vingt-quatre heures sur
vingt-quatre après plusieurs séances de crème.
- Nous
sortons ce soir, Hermine. Tu vas mettre ta nouvelle tenue : une robe seins
nus avec une jupe éventail et ton boléro, tu gardes tes mules, coiffée d’un
chignon.
La robe
composée d'une jupe éventail, qui se retrousse d'un geste, mais toujours à
corselet montant jusque sous les seins, et portée avec un boléro fermé au cou.
Il suffit d'enlever le boléro pour que les épaules et les seins soient nus, et
sans même enlever le boléro, de l'ouvrir, si l'on désire voir les seins.
Nous
prenons deux limousines, une pour moi, escortée du Duc et d’Aimée. Je dois
m’asseoir cul nu, la jupe relevée, cuisses écartées, la bouche entrouverte, les
yeux baissés comme stipuler dans le livret « Sexe Bijou Dressage Mille
Plaisirs ».
Aimée me
remet une enveloppe contenant des photos de ma chatte et de mon anus écartelés
par les mandrins des hommes cagoulés.
Nous
allons à une soirée mondaine, où je suis offerte nue, enculée par tous les
invités masculins, livrée à des trios lesbiens, enculée par des gros
vibromasseurs réalistes. Je suis aussi cravachée par les invités, pour mes
fautes.
26 mars
A l’aube,
j’émerge dans ma chambre du douzième étage, cachée dans une des pièces où trône
un livre, des photos suggestives de femmes sans visages, aux corps zébrés et
des sculptures d’Adonis, aux mandrins en érection, pour m’exciter davantage.
Je dors nue,
en sueur, submergée par le plaisir de mes rêves érotiques, sur les draps, sans
aucun rideau, ni volet. Je suis offerte aux voyeurs qui se masturbent ne me
regardant. Le bijou d’anus a été remplacé par un vibromasseur réaliste en
érection de trente-trois par huit, qui s’allonge et rétrécit à chaque mouvement
de va-et-vient grâce à son enveloppe ultra-souple qui s’étire ou se contracte
en suivant les montées et descentes. J’ai un véritable homme à ma disposition
qui m’encule en étant infatigable. Aux testicules moulés, trois chaînettes sont
fixées et sont accrochées à une étroite ceinture autour de ma taille, et une
par derrière qui suit le sillon des fesses, et les deux autres par-devant, qui
longent le pli des aines en contournant le triangle pubien. Ajustées au plus
court, mon anus est forcé et distendu, cadenassées, je ne peux les retirer,
sauf le propriétaire des clés des cadenas. L’excitation provoquée tend
constamment mes mamelons et mon clitoris, j’alterne entre gémissements et
orgasmes anaux.
La galerie
ouvre le 28, car des objets du catalogue que je dois connaître par cœur ne sont
pas encore arrivés.
Vers 9
heures, Aimée vient me réveiller. Elle n’a pas les clés.
Je
déjeune, mon bassin ondulant sur le vibromasseur, signe d’un orgasme anal.
E.A. me libère
du vibromasseur. J’écarte bien mes fesses, il m’insère l’écarteur anal et juge
du résultat.
- D’ici
deux à trois jours, tu seras suffisamment élargie pour de nouveaux vices.
Pendant la journée, tu es enculée à tout moment et tu dois rester nue à la galerie,
fardée, parfumée et en mules, les cheveux libres, les yeux toujours baissés, la
bouche entrouverte. Je te remets le vibromasseur à la tombée du jour jusqu’à
l’heure de la nuit. Cette nuit, tu seras enculée, menottée à ton lit, comme le
stipule le Duc.
J’accepte.
A la
galerie, je prends les appels téléphoniques, notent les invitations. De temps à
autre, d’élégants étalons viennent m’enculer sans me demander mon avis, me
retirant juste mon bijou d’anus.
J’ai droit
à mon lavement toutes les six sodomies.
Le midi,
je reste à la galerie, mon déjeuner est apporté par Aimée.
Aimée
développe une relation amoureuse intense avec moi, dans des 69 torrides dans
les diverses pièces de la galerie, me doigtant, me godant jusqu’à de multiples
orgasmes.
Vers 22
heures, menottée à mon lit, douchée, je suis offerte à des inconnus cagoulés
nus, qui m’enculent sauvagement à plusieurs reprises. Je les suce en retour.
28 mars
A l’aube,
je suis pantelante de mes orgasmes anaux de la nuit, mon vibromasseur m’encule
depuis une éternité. Il est télécommandé et je ne sais où se trouve celui qui
agit sur la télécommande pour les va-et-vient.
Vers 8
heures, E.A. me retire une dernière fois le vibromasseur. Mon anus s’ouvre sur
commande.
Je revêts
ma robe à corselet, mes mules, fardée et parfumée. Je suis conviée à un petit
déjeuner au restaurant panoramique, avec Horace.
Horace
m’encule dans les toilettes pour hommes, puis par d’autres clients du
restaurant. Je suis bien payée comme prostituée.
Vers 20
heures, le vernissage est inauguré. J’ai gardé ma robe. La gent masculine
regarde mes fesses écartées, pour dévoiler mon anus élargi, que j’ouvre, en
tenant ma jupe relevée.
Je
découvre d’autres photos, d’autres sculptures et des pages de passage SM aux
étages de la galerie.
Comme promis, je tiens mon rôle à la Salle Baiser des Désirs de Mon
Plaisir du quinzième étage. Là, je suis enculée par les invités, pendant une
longue durée. On me fait marquer des pauses pour me faire boire, me restaurer.
Mes fesses et l’intérieur de mes cuisses sont cravachées pour l’exemple. Puis
les sodomies reprennent. Les étalons sont endurants. Je les suce, ma toison
pubienne et mon ventre sont recouverts de spermes.
29 mars
A minuit, Aimée et le Duc me rendent visite. Je suis toujours menottée,
en sueur, pantelante.
- Elle aime ça, se prostituer. Elle est facile. Tu as envie de tous les
hommes qui te désirent, dit le Duc. Doublement ouverte, elle ne peut plus se
refuser.
Le Duc me baise quelques instants avant de m’enculer longuement, tout
en retardant mon orgasme, les décharges électriques à mes mamelons constamment
tendus m’achèvent. Mon orgasme anal a lieu sans la présence de son mandrin.
Carl, Dan et Horace se délectent pour m’enculer longuement.
Ces viols anaux m’ont rendu plus vicieuse. Mon anus dégouline de leurs
spermes chauds.
Je dois porter un bijou d’anus plus gros : un gode réaliste long
de dix-sept par cinq, pour bien me remplir. Il est plus lourd que celui
d’initiation.
Je suis baisée, tout en gardant mon bijou d’anus, pour me préparer aux
doubles pénétrations par de vrais étalons. Je connais de nouveaux plaisirs.
Mes sodomies et mes baises sont rémunérés en extra en complément de mon
contrat.
5 avril
Cela fait une semaine que je suis constamment baisée dans la pièce du
quinzième étage, mais à chaque fois, les gros mandrins éjaculent sur ma toison
pubienne et mon ventre. Ma chatte resserrée ne dégouline pas de spermes chauds,
juste mon anus qui est rempli par d’autres étalons chaque soir, lors de
soirées, où je suis menottée, les yeux bandés, avec mon bâillon O.
Vers dix heures, le Duc vient me chercher à bord de son hélicoptère
Ecureuil, qui se pose sur l’hélisurface du dix-huitième étage. Je suis fardée,
parfumée, vêtue juste de mon boléro sur mes seins nus et de ma jupe éventail et
de mes mules à hauts talons.
Je prends l’ascenseur jusqu’au dix-septième étage et un escalier
jusqu’à l’hélisurface.
Un bel étalon musclé m’attends, avec le Duc. Je porte mon bijou d‘anus.
Le pilote descend, je dois soulever ma jupe et il m’encule sauvagement,
me fesse magistralement. Je porte des marques récentes de coups de cravache sur
mes fesses et mes cuisses.
- Tu es sacrément chaude, Chienne Hermine.
Je me retiens de jouir, mais son gros mandrin de trente-cinq par huit
m’excite, tout comme le vent frais sur mon clitoris tendu.
Il éjacule dans mon anus, juste avant mon orgasme anal. il me remet le
bijou d’anus. Je m’assois cul nu, sur la banquette, à côté du Duc, cuisses
écartées, la jupe relevée. Le vent frais cingle mes seins nus aux mamelons
tendus, pelotés par le Duc.
Après une heure de vol, nous atterrissons dans une zone abritée au sein
d’une villa sur plusieurs niveaux, qui abrite la galerie personnelle du Duc.
Je descends, aidée par le pilote, que je suce, pour qu’il m’encule une
nouvelle fois. J’ai droit à mon orgasme anal peu après son retrait.
En compagnie du Duc, aveugle depuis un accident, je découvre des murs
recouverts de photos, de peintures et des sculptures d’Adonis nus, en érection.
Des photos sont toutes de femmes sans visage, mais des miroirs reflètent leurs
bustes nus. Je crois me reconnaître.
- Hermine, voici vos vidéos compilées, avec en bruit de fond, vos râles
de plaisir.
Je découvre des gros plans sur ma chatte et mon anus quand ils sont
remplis par les mandrins des inconnus qui m’ont violée. Cela m’excite
davantage. Je n’ose me masturber.
- Duc, c’est la belle de la salle du quinzième, annonce un superbe
transsexuel blond aux seins plantureux, en tablier de soubrette, bas noirs,
chignon et mules à très hauts talons, fardée.
Je ne sais si je dois regarder son mandrin en érection ou ses seins,
les yeux baissés, la bouche entrouverte.
- Oui, Prisca, c’est elle. Elle est encore plus belle, en vrai. Regarde
ce superbe écrin velu, naturel comme je les aime, cette jolie bouche bien
dressée, ses seins aux mamelons tendus, son clitoris mérite le détour et
surtout son œillet a été bien défoncé, pour répondre à mes critères. Réponds,
Hermine.
- Oui, Duc, j’ai éprouvé de la fierté à être prostituée, violée par des
inconnus, cravachée. Je suis une bisexuelle docile et soumise.
- Tu as encore beaucoup à apprendre. Les doubles pénétrations font
partie de ton instruction. Ton œillet est apte à recevoir tous les sexes. Tu es
une suceuse née, tu ouvres ta bouche que pour crier et sucer. Déshabille-toi
pour que Prisca voit ton corps de soumise, chienne, prostituée, pute, putain et
mannequin du désir.
Tous ces mots m’excitent.
Nue, déchaussée, je m’accroupis, cuisses écartées et je suce Prisca.
Son mandrin mesure trente-quatre par huit.
Je m’applique.
Le Duc me retire mon bijou d’anus.
Le pilote me prend dans ses bras, je l'entoure avec mes jambes et se
laisse baiser, la chatte trempée. Prisca m’encule en me soutenant également une
partie de mon poids. Je suis tellement excitée, mes mamelons et mon clitoris
sont tendus à l’extrême et je me retiens de jouir.
Les deux mandrins sont bien gros, mais j’ai l’habitude.
Au bout d’une demi-heure, ils inversent, le pilote m’encule et Prisca
me baise dans la même position et aussi le Duc se relaie pour m’enculer.
Pantelante, je suce le trio et avale tout. Je remets mon bijou d‘anus,
mon pubis est couvert de spermes.
Si le rez-de-chaussée abrite les photos, les tableaux et les
sculptures. Le premier étage abrite une grande piscine semi-couverte, avec une
vue imprenable sur le lac, des chambres d’amis avec de grandes salles de bains,
mais pas ma chambre. Un grand escalier en marbre dessert les étages.
Le second étage abrite une salle de vidéo avec grands écrans de
télévision diffusant des vidéos en continu, de scènes anales, double
pénétration, inceste, pénétrations canines et équines. Quand j’y passe, je suis
surprise par la sodomie d’une femme par un doberman. Je suis choquée mais aussi
excitée de tenter l’expérience.
- Un jour, Apollo t’enculera, ma belle Hermine. Tu es née chienne et tu
dois te donner à ton amant.
Le troisième étage abrite ma chambre, entièrement recouverte de miroirs
et de glaces, qui cachent des garde-robes, sans aucune lingerie, sauf des
guêpières sans jarretelles et des corsets ni tenues longues, toutes mes tenues
sont seins nus, courtes, avec une collection de mules de toutes hauteurs, des
sandales à hauts talons et une collection de vibromasseurs réalistes différents
de ceux qui m’ont initié.
- Tu en porteras un dès ce soir. Tu es l’invitée du Duc. Je vais te
doucher, faire ton lavement. Tu as totale interdiction de te masturber, tu
seras menottée chaque fois que nécessaire, pour tes punitions, tes sodomies par
des invités, et aussi, pour la nuit.
Je porte mes carcans de cuir aux poignets et aux chevilles, avant ma
douche et mon collier de cuir. ils sont faits en plusieurs épaisseurs de cuir,
chaque épaisseur assez mince, au total pas plus d'un doigt, verrouillés par un
système à déclic, qui fonctionne automatiquement comme un cadenas quand on le
referme, et ne peut s'ouvrir qu'avec une petite clé. Dans la partie opposée à
la fermeture des bracelets, pris dans le milieu des épaisseurs de cuir, et
n'ayant presque pas de jeu, il y a un anneau de métal, qui donne une prise pour
fixer, et qu'on positionne du côté intérieur du poignet. Pour le collier,
l'anneau pend devant le cou, reposant sur la saillie des clavicules, et
brinquebale au rythme des mouvements de celui qui le porte.
Lors de ma douche, la canule est insérée dans mon anus, pour un
lavement à l’eau froide, tout comme la douche, pour tendre au maximum mes
mamelons et mon clitoris.
A la réserve du collier et des bracelets de cuir, que l'eau a durcis
lors de ma douche, et qui me serrent davantage, je suis nue, fardée et parfumée
par Prisca.
Prisca me fait vêtir d’une guêpière de taffetas de nylon, tenue rigide
par de larges baleines très rapprochées, courbées vers l'intérieur au ventre et
au-dessus des hanches, qu'un busc, sur un côté derrière, permet de boucler et
de déboucler. Par-derrière aussi, un large laçage se serre ou se desserre à
volonté. Une fois la guêpière lacée étroitement, je sens ma taille et mon
ventre se creuser sous la pression des baleines, qui sur le ventre descendent
presque jusqu'au pubis, qu'elles dégageaient, ainsi que les hanches. La
guêpière est plus courte par-derrière et laisse la croupe entièrement libre.
- Ainsi sous ton tablier, tu es prête à te donner au premier venu. Ton
œillet reste libre jusqu’à la tombée de jour. Tu fais le service du petit
déjeuner, du déjeuner et du souper. Tu manges en dernier les restes. Tu devras
répondre immédiatement aux instructions données.
Je glisse mes pieds nus dans des mules à très hauts talons avec
plate-forme, de seize centimètres de talons et six de plate-forme.
Je fais le service du déjeuner, au Duc, à Prisca et au pilote. Je
nourris le Duc.
Entre deux plats, je suis sauvagement enculée, penchée en avant sur la
table, cuisses écartées. Mes fesses sont couvertes de spermes.
A la fin du déjeuner, je mange la dernière, agenouillée, cuisses écartées,
aux côtés du Duc, je bois beaucoup, car mes restes sont mixés en soupe.
Je ne peux me soulager que sur ordre du Duc ou de Prisca.
Je suis pesée le matin et le soir. Chaque excès est sévèrement punie
par des coups de cravache.
L’après-midi, je fais le nettoyage du rez-de-chaussée, excitée par les
œuvres exposées.
En l’absence du Duc et du pilote, Aimée étant en voyage, Prisca me
surveille.
Prisca ne se gêne pas pour m’enculer et que je la suce, en avalant
tout.
Au coucher du soleil, je suis autorisée à me soulager, debout, à un
urinoir pour hommes et debout à une toilette à la turque pour mes besoins
anaux.
Je dois garder toujours l’anus propre extérieur et intérieur et je dois
garder l’odeur de ma pisse, en plus de celle de ma mouille abondante.
Le soir, je porte la même ceinture que celle de la galerie, pour
maintenir en place le gode canin d’un doberman. Une première expérience pour
moi, qui n’a connu que les hommes.
Le sexe canin est fait en entier, dans un fourreau dans lequel se
trouve en entier le pénis canin quand il n'est pas en érection. Le pénis est
plus large que le fourreau. Lors d'une érection, le fourreau va se retirer en
arrière, en même temps que le pénis va pousser pour sortir et grossir en dehors
du fourreau. Le pénis d'un chien est pointu à l'extrémité et s'élargit au bout
de deux ou trois centimètres. Le bulbe du pénis va grossir plus encore dans ma
chatte de telle manière qu'il ne sera plus possible de l'extraire avant la fin
du rapport. Le rôle du bulbe est donc de me nouer à lui pendant un bon moment.
Cette attache par le bulbe assure que le sperme se dépose bien profondément au
fond de ma chatte.
Mais après l’avoir porté quelques minutes dans ma chatte, Prisca me le
retire et me l’insère dans mon anus bien lubrifié. Je gémis, car il mesure la
taille d’une balle de tennis pour trente-deux centimètres de long. Mon bassin
ondule immédiatement, un orgasme anal m’envahit.
Je le garde jusqu’à la nuit.
Après ma douche, mon gode doberman est retiré et je suis menottée à mon
lit, allongée sur le ventre, cuisses écartées, un coussin pour rehausser mon
bassin, mes poignets ne sont pas attachés, mais une chaîne est passée à mon
collier pour m’immobiliser.
La lumière éteinte, sans rideaux, ni volet, je sens une langue me
lécher l’anus. le doberman Apollo m’encule jusqu’au nœud d’une seule traite. Je
le sens gicler presque aussitôt dans mon anus, puis il gicle à nouveau. Il ne
me libère qu'après avoir largué cinq salves de sperme au bout de trois quart
d’heure et je connais quatre orgasmes anaux consécutifs et violents.
Je dors nue, mon anus dégouline.
6 avril
A trois heures du matin, un berger allemand me lèche et m’encule lui
aussi trois quart d’heure. Je connais de nouveau des orgasmes anaux.
Plus tard, un labrador m’encule, frénétiquement, et le nœud gonfle, et
m’encule à deux reprises, attachée à lui.
Ces saillies anales canines m’épuisent. J’ai une folle envie de me
soulager.
Prisca me détache à l’aube. Je fais mon lavement et je dois me préparer
pour le petit déjeuner en cuisine aux sous-sols.
En cuisine, vêtue de ma tenue de soubrette, je suis sauvagement enculée
par le chef, un bel étalon africain. Je retarde mon orgasme anal.
Au lever du soleil, je porte le petit déjeuner à Prisca, puis au Duc,
que je nourris.
Il me fait empaler sur son mandrin que j’ai sucé, dos à lui, enculée
jusqu’aux testicules. Il me fait retirer, avant mon orgasme.
Je suis frustrée. Mais je me rattrape rapidement.
A la piscine, de mon retour de la cuisine, avant de récupérer les
plateaux, le berger allemand Conan me contraint à me mettre à quatre pattes,
dans la salle de vidéo. J’obéis. Il me monte, me lèche un peu la chatte, mais
il m’encule jusqu’au nœud. Je ne peux me libérer de lui. La saillie anale
canine dure trois quart d’heures, avec une double éjaculation. Je connais de
nombreux orgasmes anaux. Pantelante, je suis libérée et je le suce pour le
récompenser.
Je mets mon bijou d’anus en place. Conan disparaît.
Je redescends à la cuisine. C’est Apollo qui me contraint à le sucer,
avant une saillie anale canine en règle de plus d’une heure.
Le pilote me découvre les fesses nues, l’anus rempli jusqu’au nœud par
Apollo.
- Allez, ma belle chienne, tu vas me sucer, pendant qu’Apollo encule sa
chienne.
J’obéis. Le pilote se met sous moi et me baise, tandis qu’Apollo
continue à m’enculer. Je suis entre douleur anale et plaisir d’être baisée,
mais rapidement, je connais un double plaisir intense. Tous les deux éjaculent
en moi, je nettoie le pilote, pour un nouvel orgasme anal.
La matinée
n’est pas finie. Prisca me fait enculer par des inconnus, dans ma chambre,
allongée sur le ventre, les yeux bandés. Tous éjaculent en moi. Je les nettoie.
Mes fesses
et mes cuisses sont cravachées pour quelques écarts.
Jusqu’au
coucher du soleil, je suis saillie à de nombreuses reprises par mes amants
canins.
Le port
fréquent du gode doberman m’habitue à ce sexe.
15 avril
Alors
qu’il n’est que trois heures du matin et je connais ma sixième saillie anale
canine depuis que je suis menottée, Conan cède sa place à un superbe dogue
allemand Lancelot. C’est un sexe plus gros, le plus imposant chez les chiens,
trente-six par huit. Chaque pénétration ou coup de rein du dogue, avec le nœud
qui commence qui gonfler dans mon anus, je gémis. Je suis secouée par les
va-et-vient du dogue. Brusquement, le dogue s'arrêta de bouger complètement
enfoncé dans mon anus. Le sexe et le nœud continuent de gonfler dans mon anus.
La saillie anale canine de Lancelot dure trois quart d’heure. Il se retire
quelques instants pour mieux m’enculer à nouveau. Je dois lui plaire, comme
Apollo et Conan. Je connais au moins quatre orgasmes anaux.
L’anus
libre, je m’effondre.
Prisca, le
Duc et le pilote viennent m’enculer, profitant de mon anus lubrifié par le
sperme de Lancelot et encore ouvert. Je retarde mes orgasmes.
Exceptionnellement,
je suis de repos, sur ordre d’Aimée. Je dois reprendre des forces. Le Duc et
Prisca me baisent et me prennent en doubles pénétrations intensives, sans être
menottée.
Ma chatte
et mon anus sont épilés, mais je garde ma toison pubienne, qui excite mes
amants.
Je fais
des longueurs de piscine, pour entretenir ma forme athlétique, du vélo
d’appartement, empalée sur un gode canin au choix du Duc et des pompes, enculée
par un des chiens.
J’enduis
toujours mon anus de miel, avant chaque saillie. Quand je suce le sexe canin,
j’aime le goût du miel et de ma mouille anale.
22 avril
Vers dix heures, fardée, parfumée, vêtue juste de mon boléro sur mes
seins nus et de ma jupe éventail et de mes mules à hauts talons, les cheveux
libres, je quitte la villa du Duc, pour une nouvelle destination. Mon anus est
tellement sensible, qu’à la moindre sodomie, je jouis rapidement. Je dois
goûter à de nouveaux vices.
Le Duc m’a confiée à un mystérieux client, qui aime mes photos et mes
vidéos, qu’il reçoit chaque jour, dans ses courriers.
Le pilote me conduit à bord de l’Ecureuil vers ce lieu mystérieux. Je
garde mes carcans de cuir et mes yeux sont recouverts par un masque de nuit,
qui m’empêche de glisser le moindre regard, de lever les paupières. Je suis
assise cul nu, jupe relevée, avec mon gode canin de Lancelot, partiel, pour me
garder l’anus bien rempli.
L’Ecureuil atterrit dans une vaste propriété. J’entends des chiens
aboyer.
On m’aide à descendre.
Mes mules claquent sur le marbre des marches menant au pavillon.
On me libère quelques instants, l’anus pour m’enculer sans me faire
jouir.
On me fesse magistralement, je dois sucer les inconnus, toujours
aveugle.
- C’est la nouvelle chienne, Hermine, amie du Duc et d’E.A. Elle sera
mon hôtesse pour son séjour. Retirez-lui son masque et qu’elle baisse ses
superbes yeux verts.
J’obéis.
- Tu es une sacrée chienne, pour te faire enculer plusieurs fois dans
la journée. Surtout, toi l’ancienne vierge de la chatte et de l’œillet,
lesbienne devenue une superbe bisexuelle, reine des vices. Mais tu ne connais
pas tous les vices. Je vais te faire enculer par un des membres de ta famille,
te faire goûter à la garcette et à la chicotte et surtout enfoncer mon gros
sexe dans ton œillet de pute. Déshabille-toi que je juge de toi en vrai. Sur
les photos et les vidéos, tu es très attirante, sexy, sensuelle.
Les mains menottées dans le dos, il me pelote les seins, force ma
bouche, fouille ma chatte, joue avec mon clitoris et mes mamelons tendus par le
vent frais de la pièce, aux fenêtres ouvertes. J’ai chaud, mon bassin ondule
sur le gode Lancelot.
Sans ménagement, il me retire le gode et m’encule jusqu’aux testicules.
Je me retiens de jouir. Son mandrin mesure vingt-six par huit.
- Tu es assez souple. Adam, Conan, Apollo et Lancelot t’ont bien
ouverte, la chienne.
Ces mots m’excitent, mais je me tiens sage.
Il se retire et je le suce, accroupie, cuisses écartées, mes fesses
recouvertes de son sperme chaud.
- Tu vas avoir ton gros clitoris percé et tes grandes lèvres de ta
chatte percées comme les soumises du « Club », pour te faire
reconnaître, ainsi qu’une bague à ton annulaire gauche. Amenez-la chez le
gynécologue, pour son dossier médical.
Je me retrouve menottée au fauteuil gynécologique, écartelée, filmée
par de discrètes caméras.
Le gynécologue est un bel étalon africain bien monté, assisté par le
transsexuel brésilien Claudia, bien monté.
On m’écarte la chatte, l’anus, me prend la température dans ma bouche,
ma chatte et mon anus, me fait un long lavement à l’eau froide, pour que je
sois propre.
Je suce ensuite Yannis, avec son mandrin de trente-deux par huit, qui
me donne envie. Je mouille.
- Tu as envie que je t’encule, ma belle. Patience, chienne Hermine, il
te goder un peu.
Yannis sort un gode de trente-quatre par huit et m’encule longuement
avec elle, je suce Claudia.
- Elle ondule bien son bassin, cette chienne.
Suffisamment excitée, on me perce mon gros clitoris tendu d’un anneau
doré avec une pierre précieuse et mes grandes lèvres humides d’un petit anneau
doré sur chacune. Je ne ressens presque rien.
Yannis me retire le gode après la pose des anneaux et m’encule
sauvagement. Je me retiens de jouir, mais j’éprouve le besoin.
La cravache cingle mes cuisses pour me rappeler à l’ordre.
Claudia me prend ensuite avec son mandrin de quarante par sept. Claudia
me baise un peu, pour me faire mouiller et m’encule ensuite sauvagement. Je
nettoie Yannis.
L’homme qui m’a accueilli, le Baron Sévices des Dressages de Mon
Plaisir, m’encule ensuite. Je suis frustrée par ms orgasmes non achevés.
- Elle sera saillie dès aujourd’hui. Emmenez-la à la salle des
dobermans.
Nue, en mules, tenue en laisse par mon collier, les mains menottées
dans le dos, l’anus encore un peu ouvert, je quitte le pavillon pour un
bâtiment en dur, aménagée avec un chevalet confortable. Je suis d’abord
allongée sur le dos, cuisses écartées. Trois dobermans se relaient pour me
baiser et m’enculer, à raison d’une demi-heure à trois quart d’heure, selon
leurs endurances, toujours attachée à eux. Je suis autorisée à jouir, toujours
filmée.
L’homme qui les conduit, m’encule aussi, profitant de mon anus lubrifié
par le sperme canin.
Puis je suis offerte en levrette, sur le chevalet, pour de longues
sodomies.
Pantelante, je suis offerte à six autres dobermans. Je ne compte plus
les nombres de saillies anales.
Je suis suffisamment lubrifiée que chaque nouveau doberman n’a aucun
mal à me faire jouir.
Au bout de trois heures de saillies, après mes ultimes saillies par les
dobermans, je suis conduite dans la salle des bergers allemands. Neuf me
baisent et m’enculent en alternance, attachée à eux. Je ne compte plus mes
orgasmes.
On me donne à boire et à manger, toujours menottée.
Enfin, neuf labradors m’enculent uniquement, attachée à eux.
Les maîtres des dobermans, des bergers allemands et des labradors me
fouettent les fesses, avec la garcette. Elle est faite de cordes assez fines,
de sept lanières terminées chacune par plusieurs nœuds, et qui sont toutes
raides, trempées dans l'eau, je le constate par les cordes humides sur
l’intérieur de mes cuisses. Je mouille à chaque coup. Les maîtres me font sucer
leurs mandrins et m’enculent, aisément, l’anus rempli par les spermes canins.
Au coucher du soleil, je retourne au pavillon, toujours tenue en laisse
par mon collier, harnachée d’un vibromasseur canin moulé sur le sexe d’un
berger allemand et d’un vibromasseur vaginal moulé sur un sexe réaliste humain,
maintenus par des chaînettes cadenassées à ma ceinture de cuir.
Je suis douchée à l’eau froide, les bras suspendus en l’air, cuisses
écartées par une barre d’écartement, en compagnie des autres chiennes, tout en
gardant mes vibromasseurs actifs. Je dois me retenir de jouir, sous peine de la
garcette des hommes nus et cagoulés.
Une fois propre, je subis mon lavement anal à l’eau froide et je peux
me restaurer, assise nue, sur un tabouret en cuir, en compagnie des autres
chiennes, cuisses écartées, les yeux baissés. La garcette cingle mes fesses.
Après le souper, nue, je suis enculée, la chatte et l’anus libres, en
alternance par les amis du Baron, et des chiens choisis au hasard. Je m’offre
en levrette.
Les compliments sur mon ouverture anale m’excitent.
Chaque saillie anale canine est commentée, filmée et photographiée.
Pantelante, par mes orgasmes, je dois subir plusieurs doubles
pénétrations canines, attachée à chacun des chiens.
Je suis ensuite fouettée à la chicotte, menottée à la Croix de
Saint-André, dos aux hommes. La chicotte est un engin fait en deux parties,
d'une part un manche en bois verni et de l'autre une tresse en cuir, reliés
ensemble par une boucle qui formait charnière, de telle sorte que, quand on
l'utilise avec habilité, le coup de poignet sur le manche donne encore plus de
vitesse à la tresse en cuir. Et le Baron manie parfaitement la chicotte.
Je mouille à chaque coup, ce qui augmente ma punition.
Je suis longuement enculée en retour, menottée à la Croix de
Saint-André.
Je passe la compagnie dans la salle des bergers allemands, pour de
nouvelles saillies. Je suce mes amants canins, pour me nourrir de leurs
spermes.
2 mai
Après de nouvelles saillies anales et des doubles pénétrations canines
pour des clients fortunés, je suis tatouée sur les reins à l’encre noire
« Chienne Soumise Hermine Docile Suceuse Experte » et à l’intérieur
de ma chatte, marquée au fer rouge CSHDSE sont mes initiales lorsqu’on me
baise. Je porte de nouveaux coups de garcette et de chicotte récents sur mes
fesses et mes cuisses. Je suis fière d’être fouettée, saillie et vicieuse. La
bague sertie d’un petit anneau est portée à mon annulaire gauche, pour être reconnue.
Le Baron m’informe :
- Tu vas rejoindre un nouveau lieu pour ton instruction. Tu seras
ferrée et marquée. Ton statut de chienne soumise docile te permet de connaître
de nouveaux vices.
Le Baron m’encule longuement et me laisse atteindre mon orgasme anal.
Le Baron me retire mes carcans de cuir, après une ultime douche, où
j’ai le droit de me masturber et de faire mon lavement anal.
Fardée, parfumée, vêtue juste de mon boléro sur mes seins nus et de ma
jupe éventail et de mes mules à hauts talons, les cheveux libres, je quitte le
pavillon.
L’Ecureuil me dépose sur le toit de la galerie.
Les trois étages me sont dédiés avec mes photos et mes films selon les
désirs d’E.A. Je suis longuement enculée par E.A. et Brice à mon retour, ainsi
que le Duc.
Les invités me complimentent sur l’exposition et me donnent du plaisir,
tandis que je les suce.
Mes reins tatoués font sensation.
Mon cousin Nathan m’encule. C’est mon premier ébat sexuel incestueux.
Je suis aux anges. Je lui offre un long orgasme anal, avec son gros mandrin.
Il sait que j’aime me faire fouetter et saillir.
Je reste quelques jours à la galerie, pour des séances photos, nue.
10 mai
Après avoir dormi à la galerie, je me douche longuement, me parfume, me
farde, revêt ma robe à corselet seins nus, avec une jupe éventail et mes mules
à hauts talons. Je porte désormais un bijou d’anus plus gros pour bien me
remplir mon anus sensible. Ce serpent malicieux m’encule, tout en dardant
impudiquement sa langue sur ma vulve, mon gros clitoris, il fait treize par
cinq pour 600g.
Une limousine aux vitres teintées me dépose devant une luxueuse villa
en dehors du centre-ville, dans un quartier sécurisé.
La limousine part.
J’ouvre le portail et j’entre par la porte ouverte.
J’entends des râles de plaisir.
Curieuse, je me déshabille, me déchausse et je découvre Horace, mon
amant, le mandrin en érection, enculé par un superbe transsexuel blond plus
grand que moi, aux seins plantureux, avec son mandrin de dix-neuf centimètres.
- Approche, ma chérie Hermine, tu vas le sucer, puis ensuite, tu mets
ton gode-ceinture et tu vas l’enculer, tandis que je m’occupe de t’enculer.
Accroupie, je sens le mandrin d’Horace bander dans ma bouche, il
éjacule. J’avale tout.
Je libère mon anus et j’enfile le gode-ceinture doté d’un vibromasseur
anal de trente par sept et d’un vibromasseur vaginal de quarante par sept.
Horace s’encule sur mon vibromasseur anal, tandis que le transsexuel
Sacha m’encule. Je ressens le double plaisir et je masturbe Horace, qui éjacule
à nouveau.
Sacha éjacule en moi.
Jusqu’au coucher du soleil, six transsexuels amis de Sacha m’enculent,
me prennent en double pénétration, avec des gaines à picots et je connais ma
première double anale. Je suce tous mes partenaires.
Pantelante, je suis nourrie et je reprends des forces pour de nouveaux
ébats.
Je suis constamment filmée et photographiée pour de nouveaux sujets de
la galerie. Des clients vivent en direct mes ébats sexuels, payant E.A.
12 mai
Comme je suis une soumise docile et une vraie chienne anale, selon
Sacha, il me promène dans le quartier, en robe courte seins nus, la chatte
libre, l’anus rempli par mon gros bijou d’anus. Des étalons m’enculent dans
leurs jardins ou leurs salons.
Je suis bien payée.
Des fois, trois étalons me prennent simultanément, voir jusqu’à cinq,
pour me satisfaire, mais rarement ils me baisent.
Je suis une soumise, chienne, prostituée, pute, putain et mannequin du
désir. Je dois me soumettre à leurs désirs. Sacha m’encule à mon retour. Je vis
totalement nue, avec mon collier et mes bracelets de cuir à mes poignets et à
mes chevilles. Sacha sait me punir à bon escient.
Je suis la soubrette de Sacha, dévouée.
Je suis juste chaussée de mules à plate-formes.
Les transsexuels connaissent mes vices et les exploitent.
E.A. est satisfait de mon travail.
Le soir, après une journée épuisante, je suis ferrée. On me retire mes
anneaux dorés à mes grandes lèvres par des anneaux de fer mat inoxydable. La
tige en est ronde, épaisse comme un gros crayon de couleur, et ils sot oblongs
: les maillons des grosses chaînes sont semblables. Chacun est formé de deux U
qui s'emboîtent l'un dans l'autre. Un ressort intérieur sur lequel on doit
forcer pour le faire pénétrer dans la rainure où il se bloque. Chaque anneau
est long comme deux phalanges du petit doigt, qu'on y peut glisser. A chacun
est suspendu, comme un nouveau maillon, ou comme au support d'une boucle
d'oreille un anneau qui doit être dans le même plan que l'oreille et la
prolonger, un disque de même métal aussi large que l'anneau est long. J’en
porte un à chacune de mes grandes lèvres. Ils me descendent jusqu'au tiers de
la cuisse, et à chacun de ses pas bougent entre mes jambes comme un battant de
cloche, le disque gravé étant plus lourd et plus long que l'anneau auquel il
pend.
Mes fesses sont marquées au fer S et H, pour Sir Horace, mon Maître. Je
suis désormais intégralement épilée, je retrouve ma chatte de jeune fille,
m’étant en valeur mon gros clitoris percé.
Je suis plus facilement reconnue par les membres du « club ».
Mes marques sont définitives.
Bien instruite, selon le Duc, je suis invitée à séjourner dans un
nouveau lieu.
13 mai
A l’aube, encore menottée, nue, à mon lit, fraîchement enculée, je suis
libérée, me douche à l’eau froide, me fait mon lavement anal et je me farde, me
parfume. Je me rase les poils disgracieux.
Je revêts ma robe à corselet seins nus sans mon boléro et mes mules. Je
ne porte plus mes carcans de cuir.
Les yeux bandés, je rejoins après un long trajet en limousine et en
vedette sur un fleuve, ma nouvelle résidence.
Je reçois mes nouveaux carcans en fer inoxydable, articulés et à
demi rigides et sont hauts de près de deux doigts et portent chacun un anneau
de même métal, à mon cou, mes poignets et à mes chevilles, je suis fardée et
parfumée.
Ma nouvelle tenue est une jupe ouverte dans le milieu du dos de la
taille aux pieds. Il suffit par-derrière d'écarter les deux côtés de la jupe
pour que la croupe soit nue. Deux attaches qui soulèvent les deux pans et se
nouent sur le devant de la taille, il est facile de les maintenir ouverts.
Un boléro transparent entrouvert, sur mes seins nus, et n'a d'ailleurs
aucun système de fermeture, avec brodé CSHDSE au-dessus du cœur. La dentelle
assez transparente pour qu'on en devine l'aréole, et pour qu'on comprend qu'ils
sont libres. Il suffit d'enlever le boléro pour que le torse soient nu, et sans
même enlever le boléro, de l'ouvrir, si l'on désire voir les seins.
Je porte des pinces à seins avec des clochettes comme l’ensemble des
soumises du lieu.
Mes mules à hauts talons accentuent ma cambrure de mes pieds nus.
J’oublie, je suis au « Manoir des Soumises ».
Je loge dans une des ailes, menottée pendant la nuit, à mon lit. Après
mon petit déjeuner au réfectoire, nue, je suis fouettée comme l’ensemble des
soumises.
Les valets, bien montés, des transsexuels, m’enculent dès le lever du
soleil.
Je suis offerte à des clients exigeants, fortunés, qui aiment enculer,
fouetter et faire saillir les soumises.
Je suis aux anges.
Mon corps athlétique, bronzé, ravit tous les clients, mon anus que
j’ouvre sur commande et ma bouche de suceuse experte.
Chaque visite est filmée et photographiée pour mon album personnel que
seul lit le maître des lieux.
Je fais le service au bar, seins nus et en jupe, puis au restaurant,
libre d’être pelotée, doigtée, suçant suivant les désirs.
Une dizaine d’étalons m’enculent, sans compter les valets qui ont
autorité sur moi. Je suis docile, obéissante.
Comme je suis nouvelle, je dois porter mon vibromasseur anal canin
doberman, quelques jours. Ma chatte resserrée est comblée par mes étalons.
Je suis prise tantôt dans une chambre, tantôt dans le parc ou dans le
chenil.
Je sers au restaurant pendant huit jours à midi.
Je deviens rapidement la favorite du valet Emmanuelle, un vrai
brésilien bien monté, qui aime m’enculer et me fouetter.
C’est lui qui me baigne, je suis toujours accroupie, cuisses écartées,
les bras tendus en l’air, avec ma canule pour mon lavement anal.
Il m’offre aux nombreux chiens du manoir, même ceux des maîtres-chiens
dans le jardin. Je suce en échange les maîtres-chiens.
Je passe de
longs mois au « Manoir ».