Je m’appelle Shawn.
J’ai 20 ans.
Je suis une jolie beauté scandinave.
Je suis une
brune aux yeux verts. J’ai des pieds fins et latins, des jambes longues
bronzées, musclées qui inquiètent par leur perfection. Mon pénil est bombé,
ouvert, couronné de noir. Ma pilosité brune couvre mon pubis. Je suis
totalement velue entre les cuisses et j’ai une superbe croupe. Les lèvres de
mon sexe sont une plaie rouge entre mon entrecuisse velue. Mes hanches
s'incurvent et délimitent le ventre plat, délicieusement renflé autour du
nombril, les hanches sont larges et rondes, mais sans lourdeur. La taille est
affinée. Les seins parfaits intégralement bronzés sont un peu volumineux mais
fermes, et leurs pointes marron clair, toujours dressées, cernées par une large
aréole marron attirent le regard. J’ai une peau lisse et patine. Finition
parfaite, un seul grain de beauté entre mes superbes seins. De longs cheveux
plats blonds flottant comme des algues, battent mes épaules rondes et
gracieusement athlétiques. Je suis intégralement bronzée. Mes yeux verts
limpides s'allument, ma bouche charnue se fend. J’ai des sourcils bruns bien
dessinés et des lèvres pulpeuses. J’ai de longs doigts fins et de belles mains.
Je fais du 85B de poitrine, 56 de taille, 90 de hanches, 1,72 m.
SHAWN ET
SA LOPETTE
Je suis
encore étudiante, vivant dans mon appartement. Je collectionne de nombreux
amants, dont Alban a eu l’honneur de me déflorer ma chatte, mais j’aime aussi
les lesbiennes. Mais j’ai toujours refusé de me faire enculer par un homme ou une
femme.
Depuis trois
ans, lors de la venue pour deux semaines de mon cousin, âgé de vingt-deux ans,
Nathan, je découvre mes dessous portés, tâchés de spermes frais. Hors mes
amants ne m’ont jamais demandé mes dessous portés.
20 mars
Après ma
douche, nue, pieds nus, les cheveux enturbannés, j’entends des râles de Nathan.
La porte est
entrouverte. Il est allongé sur le dos, cuisses écartées, vêtu d’un
soutien-gorge et d’un string assortis en dentelle transparent, exhibant son
mandrin en érection, long de seize centimètres et cinq de diamètre, que je n’ai
pas l’honneur de sucer, en porte-jarretelles assorti et mes bas blancs.
Il se
masturbe.
Je le laisse
éjaculer dans mon string, pour le prendre en flagrant délit.
- Alors, tu
fais ta petite pute dans mes dessous et tu te fais éjaculer, devant des photos
de femmes nues.
- Non,
Shawn, je vais t’expliquer.
- J’ai tout
compris. Tu t’habilles en femme, sans que je le sache, depuis trois ans. Tu es
très belle. Tu dois épiler tes jambes et tes testicules.
- S’il te
plait, Shawn, non pas ça.
- Baise-moi,
Natacha. Je suis ta pute.
Je m’offre à
quatre pattes sur mon lit, dans la chambre mitoyenne, nue, sans ma serviette.
- Tu es
sublime, Shawn. J’aime ta chatte velue.
- Baise-moi,
j’ai la chatte en feu, Natacha ma pute.
Un miroir
reflète la baise. Dans son ensemble et moi nue, je suis aux anges. Il me saisit
la taille, me fait coulisser sur son mandrin en érection et m’agrippe fortement
les hanches. Ses testicules claquent contre ma chatte trempée. Je connais un
violent orgasme et il éjacule en moi.
Dans un 69
torride, je le nettoie, tandis qu’il me lèche ma chatte et mon clitoris tendu.
Je sens un
doigt fouillant mon anus encore vierge.
- Non,
Natacha, ce sera pour plus tard. Je vais t’enculer, Natacha, mettez-toi à quatre
pattes.
J’enfile un
gode-ceinture, avec un vibromasseur pour ma chatte en feu et je l’encule.
- Tu es
encore trop serré, ma chérie. Détends-toi.
Il éjacule
dans mon string.
Je décide de
le féminiser davantage, pour ma sortie.
Je l’habille
d’une courte robe-chemisier d'été en coton qui se boutonne devant et découvre
les genoux, et une paire d'escarpins avec des demi-talons le font paraître plus
âgé. Je lui enfonce un bijou d’anus pour le préparer. Natacha porte une
perruque longue blonde. Je choisis un tailleur avec une jupe fendue sur mes
seins, mes fesses et mes jambes nues, délaissant mes dessous portés par
Natacha. Je chausse mes mules à hauts talons, à mes pieds aux ongles vernis en
rouge par Natacha. Nous sommes fardés et parfumés.
Nous allons
dans une boutique de lingerie pour l’équiper.
Mon amie
vendeuse m’aide à choisir ses dessous.
- Alors, ma
chérie Shawn, tu m’amènes une cliente pour des essayages.
- C’est
Natacha, une amie très spéciale. Elle aime porter des dessous luxueux, pour
mettre en valeur son corps. Retire ta robe pour que Aimée prenne tes mesures.
Natacha
apparaît dans ses dessous, le mandrin en érection.
- Regarde,
cette pute, elle bande d’excitation.
Aimée baisse
le string et place un anneau pénien à la base commune du mandrin et des
testicules de Natacha soumis puis le cadenasse à l’aide du cadenas fourni.
Aimée me remet la clé.
- Ainsi,
Natacha reste en état d’excitation pendant toute la journée. Il ne peut se
masturber et doit exhiber son superbe mandrin. Tu es libre de choisir quand il
peut éjaculer, ma chérie. Faisons les essayages.
Tout y
passe : string transparent, string ouvert, soutien-gorge quart de seins,
guêpière, corset seins nus, bas et collants.
Aimée ferme
la boutique. Nous allons dans l’arrière-boutique. Je me déshabille.
- Tu ne
portes plus de dessous, ma chérie. C’est vrai, c’est maintenant Natacha, la
voyeuse. Interdiction de te masturber, je vais te lécher ta chatte.
Dans un 69
torride, nous léchons mutuellement nos chattes trempées, nous doigtons, léchons
nos clitoris tendus. Nous synchronisons nos orgasmes.
Je me
rhabille et Natacha, rhabillée, porte ses paquets plus des cadeaux d’Aimée.
Après une
heure d’essayage, je croise Alban, un bel étalon musclé, un ancien homosexuel
dans la rue.
- Shawn, tu
es très en beauté. Ta copine est très séduisante.
- Viens avec
deux hommes, à mon appartement, je suis chaude. Natacha va faire le service,
c’est ma pute.
Nous
rentrons à pied, pour fatiguer Natacha, qui n’a pas l’habitude de marcher avec
des hauts talons.
A
l’appartement, je me déshabille, me douche, me refais une beauté, devant
Natacha, vêtue de ses dessous et de son porte-jarretelles, en mules à hauts
talons, les yeux baissés, la bouche entrouverte à ma demande.
J’accueille
nue, Alban, Brice et Charles Edouard, Natacha les conduit au salon.
Je suis
assise nue, cuisses écartées, sur le canapé, la chatte trempée par la langue
experte d’Aimée.
Alors,
Natacha, on s’occupe de ses messieurs.
Chacun me
lèche la chatte, je les suce, devant Natacha et j’invite Natacha :
Suce Alban,
pendant Brice me baise, je vais sucer Charles Edouard.
Offerte à
quatre pattes, je suis baisée par le gros mandrin de Brice, long de
vingt-quatre centimètres et six de diamètre. Charles Edouard lui c’est un
trente par sept et Alban c’est un vingt-huit par six.
- Que tu es
chaude, Shawn, tu prends ton pied.
- Tu suces
comme une reine.
- La pute,
tu suces mieux. Regarde comment suces Shawn.
Brice
éjacule lors de mon orgasme.
Je m’offre à
Alban, en appui arrière sur mes bras et sur mes jambes, baisée jusqu’aux
testicules. Je suce Brice, pour le nettoyer.
Charles
Edouard me demande :
- Je peux
enculer ta petite pute Natacha, ma chérie.
- Il est là
pour cela, se faire enculer, ma petite pute.
Charles
Edouard l’encule directement, après le retrait du bijou d’anus. Natacha gémit.
- Brice
fais-toi sucer par petite pute, tu es bandant.
Natacha
tente de me supplier, mais je me refuse, prise dans mon second orgasme, ma
chatte largement inondée par Alban.
Je m’allonge
avec Charles Edouard sur le côté, jambes légèrement repliées, il se met dans le
dos de la personne me baise. Il pelote mes seins, mon clitoris. S’il s’écarte
un peu, il caresse mon dos, mes reins, mes hanches, mes fesses.
- J’ai envie
de te défoncer ton œillet, Shawn.
- Non, pas
ça, c’est plus pour Natacha. Je suis une femme, baise-moi.
- D’accord,
ma chérie, je vais te faire jouir.
Le mouvement
du bassin guide l'acte de la pénétration, j’ajuste mon bassin en face du
mandrin. Je guide ses mains et je lui caresse les fesses avec l’une de ces
mains.
Charles se
retire et tente à nouveau de forcer mon œillet. Mais je réussis à mettre son
mandrin dans ma chatte, je tends ma croupe pour qu’il éjacule dans ma chatte.
Je me
repose, voyeuse, des sodomies intensives de Natacha, qui fait le service, je
continue à féminiser Natacha.
Charles
Edouard tente une nouvelle fois de m’enculer, dans la même position, mais je me
refuse.
Au bout de
trois heures, je me douche devant mes amants et je transforme en soubrette avec
des mules à hauts talons et une cage de chasteté avec un bijou d’anus.
Elle fait le
service pour quatre de mes nouveaux amants : Dan, James, Horace, mon amant
Africain et Ahmed, mon amant oriental. Tous l’enculent et me baisent aussi,
pour exciter Natacha.
Dan est doté
d’un mandrin de trente-cinq centimètres et huit de diamètre, James lui c’est
trente-deux centimètres et sept de diamètre, Horace c’est vingt-sept par huit
et Ahmed, c’est vingt-huit par six.
Nous allons
au restaurant, fréquenté par Natacha, comme directeur adjoint d’une société de
location de villas de luxe. Natacha doit tout payer, en plus de ses dessous.
Au
restaurant, devant les femmes, aux toilettes, où je me refais une beauté, dans
ma robe au décolleté en V fuchsia, fendue jusqu’à mi-cuisse et sur les côtés,
avec mes mules à hauts talons, sur mon corps nu, coiffée de ma queue-de-cheval,
j’humilie Natacha, qui doit pisser debout, mais a interdiction de faire ses
besoins avec le bijou d‘anus.
Vers minuit,
je rentre avec Natacha.
Je la
menotte, juste vêtue de ses bas et de son porte-jarretelles, le mandrin libéré,
l’anus libre, avec une couche-culotte pour qu’il puisse se soulager, avec un
bâillon-pénis.
Je dors nue
dans ma chambre mitoyenne.
21 mars
Peu avant
l’aube, après mes masturbations pendant mes fantasmes nocturnes, où je suis
enculée par mes amants, la chatte en feu, je me lève, trouve mon gode ceinture
et l’équipe d’un gode anal réaliste de vingt-cinq par sept pour Natacha et pour
moi un gode vaginal réaliste de trente par sept.
Je retrouve
Natacha et l’encule, allongé sur le dos. Natacha est surprise et se détend,
tandis que je connais deux orgasmes successifs, en ondulant mon bassin.
Je retire
mon gode ceinture et je visionne un film de soumission masculine, tout en
enfonçant le gode vaginal dans ma chatte jusqu’à l’orgasme.
Après deux
heures de films, je remet le gode ceinture en place. Sans prêter attention, je
m’empale mon anus un peu serré sur le gode vaginal. Je serre le harnais.
J’encule Natacha et ma douleur anale devient un plaisir et je connais mon
premier orgasme anal.
23 mars
Après trois
jours de sodomies intensives, Natacha me supplie d’arrêter le jeu.
- Shawn,
arrête le jeu, s’il te plait. Je ne veux plus être enculée et sucer tes amants.
- Jamais,
nous allons voir ton directeur. Tu vas porter ton ensemble soutien-gorge, porte-jarretelles
et bas, avec ta robe courte et tes mules, fardée et parfumée. Tu seras
intégralement épilée.
Vers
quatorze heures, je choisis une robe au corsage transparent, dévoilant mes
seins nus et une jupe éventail, pour que tout le monde sache que je suis nue,
avec mes sandales à hauts talons, mes ongles des pieds vernis en rouge par
Natacha. Je laisse mes cheveux libres.
A l’accueil,
je suis conduite auprès du directeur. C’est un bel étalon musclé, du double de
mon âge.
- Voici,
Natacha, ma nouvelle amie, qui souhaite travailler pour vous.
- Mais,
Shawn, tu es très séduisante. Tu fais équipe avec Natacha, me dit le directeur.
Pour chaque vente, tu touches 60, Natacha 10 et moi le reste.
- D’accord,
mais avant, prenez-moi puis Natacha, pour sceller l’accord.
Je penche
sur le bureau, je relève ma jupe, dévoilant mes fesses nues.
Le mandrin
de Jean Victor long de vingt-neuf par sept me défonce la chatte en feu. Je me
penche davantage, cuisses écartées, les mains sur les genoux, saisie aux
hanches. Il m’écarte bien les fesses pour mieux me remplir, caresse mes seins à
travers la dentelle.
- Baise-moi,
mais aussi encule-moi. Je suis ta pute. Regarde ma petite pute Natacha, comment
je jouis, enculée.
Jean Victor
se retire, me lubrifie l’anus et m’encule jusqu’aux testicules. Natacha est
jalouse, les yeux baissés.
- Quel
oeillet, il est encore un peu serré, mais il est chaud. J’ai hâte de prendre
Natacha.
Jean Victor
me conduit à l’orgasme anal et encule sur le champ, Natacha, qui a son mandrin
cadenassé.
Natacha
gémit un peu, mais quelques fessées, la font jouir.
Jean Victor
me reprend ensuite, enculée, pour éjaculer dans mon anus. Il m’insère un
superbe bijou d‘anus pour conserver son sperme chaud. Nous signons les
contrats.
- Tu es
ainsi dilatée, prête à la sodomie, elle est plus facile et moins douloureuse
aussi.
Il est long
de six centimètres et trois de diamètre pour poids 34 grammes. Sa forme en
sapin et sa large base me garantit un excellent maintien dans l’anus. La section qui relie les deux extrémités est
très fine et douce afin de laisser l’anus se refermer dessus sans gêne. La tige
de la taille de l’auriculaire sert de support lorsque le sphincter se referme.
En sortant
du bureau de Jean Victor, je retrouve Alban, qui travaille dans la société.
Sans
attendre, je m’offre dans la même position qu’avec Jean Victor, pour me faire
enculer.
- Dis donc,
tu aimes ça, coquine et vicieuse.
- Oui,
encule-moi, je suis une vraie pute à se faire défoncer l’œillet. Tu encules
ensuite Natacha.
Discrètement,
Alban me remet un papier avec le numéro de téléphone de Hermine, la copine de
Nathan.
Alban
éjacule dans mon anus et me remet le bijou d’anus en place.
Il encule
Natacha, qui doit sucer aussi Dan, qui rend visite à la société.
Dan encule
enfin Natacha. Elle les suce tous les deux, tandis que je masturbe le clitoris,
mon bassin ondule sur le bijou d’anus. Je jouis.
Dan
m’indique discrètement un club privé pour lopette.
Je garde ma
tenue et je m’y rends avec Natacha, à une heure à pied.
Le club
privé est dans un discret immeuble de bureaux et d’appartements luxueux, dans
le quartier chaud du centre-ville.
Les
prostituées me toisent, complimentent Natacha.
A la porte
d’entrée du club, en sous-sol, je donne le mot de passe.
Nue et en
mules prêtées par le club, coiffée d’une queue-de-cheval, j’abandonne Natacha à
une dizaine d’étalons bien montés pour la faire jouir.
Je téléphone
discrètement à Hermine pour un rendez-vous chez moi plus tard. Hermine accepte.
Un des
hommes m’écarte discrètement les fesses et découvre le bijou d’anus avec sa
pierre qui brille.
- Superbe
bijou, Miss Shawn, tu es l’amie de Natacha. C’est ton premier rendez-vous au
club « Lesbos Apollon ». Je vais te conduire dans le lieu de tous les
plaisirs.
Il me tient
par la main, nous prenons un ascenseur.
Ses doigts
fouillent ma chatte trempée et masturbe mon clitoris tendu par l’excitation. Je
jouis.
Il me pelote
le sein gauche et lèche mon mamelon droit. Je jouis.
- Tu es
chaude.
Arrivée au
penthouse du sixième étage, avec deux étages en duplex, avec des baies vitrées
sur terrasse aménagée, un jardin de toiture, une véranda, un solarium, une
piscine, un spa, je suis aux anges.
-
Prosterne-toi pour que m’offrir tes fesses.
Prosternée
sur le divan, des caméras discrètes me filment en gros plan, en circuit fermé
vers le club.
Une
télévision montre la vue imprenable sur mon bijou d’anus.
- Je
m’appelle Sir Damien de Sade. Ton amie Natacha est une authentique lopette.
Toi, tu es adepte de la sodomie, je le sais.
Il exhibe un
mandrin de trente-six par sept, sous son peignoir. Il a le double de mon âge.
Il retire
mon bijou d’anus et m’encule jusqu’aux testicules.
- Tu es un
peu serré, détends-toi.
Je jouis.
Après
quelques va-et-vient, il m’invite à me redresser jusqu’à toucher son torse
musclé avec mon dos.
Il pelote
mes seins et fouille ma chatte trempée, masturbe mon clitoris tendu.
- Tu aimes
sentir ma queue te défoncer ton œillet de soumise.
- Oui,
enculez-moi, je suis toute à vous.
Sans
débander, il m’encule enfin, nous sommes allongés sur le côté, jambes légèrement
repliées, il se met dans mon dos. Il pelote mes seins, mon clitoris. S’il
s’écarte un peu, il caresse mon dos, mes reins, mes hanches, mes fesses. Il
m’encule profondément.
En ouvrant à
chaque fois les yeux, je découvre les gros plans sur mon anus écartelé par son
mandrin. Je suis belle dans le désir et je connais un violent orgasme avec
l’éjaculation de Sir Damien dans mon anus.
Je le
nettoie.
L’anus
encore entrouvert, le sperme dégouline un peu entre mes cuisses écartées.
Il exhibe un
gode réaliste de trente par cinq, muni de picots, d’un coffret en bois sur un
lit de velours, dans un compartiment un assortiment de chaînette et de
ceintures.
Allongée sur
le dos, un coussin sous les reins, cuisses écartées, il m’insère le gode
jusqu’à la butée, où se trouvent trois petits trous percés dans la butée, trois
chaînettes qu'il laisse pendantes. Le gode est un mandrin en érection, veiné,
avec un gros gland circoncis.
Je porte une
étroite ceinture autour de ma taille, et il y accroche les trois chaînettes, une
par derrière qui suit le sillon des fesses, et les deux autres par-devant, qui
longent le pli des aines en contournant le triangle pubien.
- Je te les
ajuste au plus court, pour t’écarteler ton oeillet, et je les cadenasse, pour
ne pas te soulager de cette contrainte. Tu vas le porter quelques heures, entre
huit à dix heures. Dès que ton œillet sera libre, je viens t’enculer.
Soudain, je
sens le gode qui s’allonge et rétrécit à chaque mouvement de va-et-vient grâce
à son enveloppe ultra-souple qui s’étire ou se contracte en suivant les montées
et descentes du gode. J’ai un véritable homme à leur disposition qui me fait
l’amour en étant infatigable.
Je
redescends avec Sir Damien. Là, allongée sur le dos, je suis baisée, tout en
gardant mon gode en action. Je découvre le plaisir de la double pénétration,
qui me mène vers de nombreux orgasmes.
Pantelante,
j’ai droit officiellement à pratiquer ma première double pénétration, l’anus
libre du gode, qui m’a écartelé, avec deux étalons bien montés, de huit centimètres
de diamètre.
Un des
hommes me prend dans ses bras, je l'entoure avec mes jambes et me laisse
baiser. Le deuxième homme derrière me soutient également une partie de mon
poids et m’encule. Je connais un double orgasme, doublement inondée.
Huit autres étalons
me prennent en double pénétration, dans la même position.
Les vidéos
en gros plan de mes sodomies au penthouse passent en boucle pour exciter mes
amants.
Je suis
épuisée par mes orgasmes, mes hanches sont douloureuses par mes multiples
orgasmes.
Natacha
s’est fait enculée par une vingtaine d’étalons, qui m’ont donné aussi du
plaisir.
Sir Damien
me remet le gode en place et je me douche devant mes amants d’un soir.
Je me
rhabille et Sir Damien m’indique une boutique pour mes nouvelles tenues de
soumise.
Nous
rentrons à l’appartement.
Hermine nous
attend. Elle est surprise de voir Natacha. Hermine est une jolie brune aux
petits seins, intégralement épilée.
Nues, au
salon, je garde ma ceinture et mes chaînettes pour écarteler mon anus.
- Tu es
adepte de la sodomie, ma chérie. Moi, aussi, j’aime les grosses queues dans mon
œillet.
- Ta petite
pute Natacha aime se faire enculer aussi. Regarde son œillet qui est bien
ouvert.
- Prends-moi
en 69, devant Natacha, qui fera le service.
Je me couche
sur Hermine, nous stimulons nos clitoris tendus, nos chattes trempées et je
doigte l’anus d’Hermine.
Les
va-et-vient du gode me conduisent à un violent orgasme.
Natacha
tente de me présenter son mandrin à ma bouche. Je me refuse.
Après un
repas léger, nous recevons la visite de Sir Damien.
- Miss
Shawn, je vais te retirer le gode et te le remettre tout à l’heure. Hermine à
le droit de te doigter l’anus bien lubrifié.
Hermine ne
se fait pas prier et je jouis rapidement. Sir Damien m’encule aussi, renversée
en arrière, les genoux sur les épaules, en traction. Je jouis rapidement.
Sir Damien
encule aussi Natacha.
Je menotte
Natacha au lit, pour qu’Hermine l’encule, une fois le mandrin libéré du
cadenas. Sir Damien encule Hermine, qui encule elle-même Natacha.
Je porte à
nouveau le gode, voyeuse.
Sir Damien
repart. Je passe la nuit à me faire goder la chatte par Hermine, multipliant
mes orgasmes.
24 mars
Après mon
réveil matinal, fardée et parfumée, vêtue d’une mini-robe blanche sur mon corps
nu, avec mon gode, je me rends à l’adresse indiquée. Hermine s’occupe de
Natacha.
La boutique
abrite un cabinet de gynécologue.
Je suis
exhibée sur le siège, cuisses écartées, les lèvres de ma chatte qui
s'entrouvrent toutes seules.
Le
gynécologue, le Baron Sacha Désiré Mon Plaisir, un peu plus âgé que moi, me
dévisage. Sir Damien est présent.
- Elle a une
superbe chatte velue, son œillet est bien trempé par le port du gode.
- Oui, elle
aime ça se faire défoncer l’œillet. Au club, vingt étalons l’ont satisfait.
Le Baron
m’insère un spéculum dans la chatte trempée, me masturbe le clitoris tendu sous
l’objectif de la caméra.
- Elle
mouille bien. Tu lui retire le gode, pour voir son œillet un peu élargi.
L’anus
libre, je reçois un écarteur anal, qui m’ouvre jusqu’à cinq centimètres de
diamètre et sur huit de profondeur. Pourtant je me fais discrète, car je jouis.
Le Baron me baise, en même temps qu’il m’ouvre un peu plus l’anus.
Comme
promis, l’anus libre, je suis enculée par mes deux amants que je suce et je
nettoie.
Natacha et
son amie Hermine ont droit à une visite gynécologique et sont enculés par le
Baron et Sir Damien.
A la
boutique, je découvre ma nouvelle garde-robe : ni soutien-gorge, ni
culotte, ni string, ni short, ni jupe culotte, ni pantalon, car je dois avoir
toujours les seins et la chatte totalement nus, mais des jupes et des robes plus longues que le milieu de
mes cuisses, seins nus sous mes corsages et chemisiers. Toujours mes pieds nus
dans mes chaussures à talons, tout en étant parfaitement maquillée vingt quatre
heures sur vingt quatre, aussi bien le visage que mes mamelons, je me
remaquille après ma douche. Je dois faire une french manucure pour les mains et
les pieds. Désormais, je ne dois plus regarder personne en face mais toujours
avoir les yeux baissés en signe de soumission. Je dois rester nue tout le
temps, caressée, pelotée, baisée ou enculée, en donnant tous les détails à Sir
Damien. La femme qui me fait les essayages des corsets seins nus, lacés
par-derrière. Le corset est durement baleiné, long et rigide, et comporte des
goussets où reposent les seins. A mesure qu'on serre, les seins remontent,
s'appuyaient par-dessous sur le gousset, et offrent davantage leur pointe. En
même temps, la taille s'étrangle, ce qui fait saillir le ventre et cambrer
profondément les fesses. J’essaye des guêpières seins nus, tenues rigide par de
larges baleines très rapprochées, courbées vers l'intérieur au ventre et
au-dessus des hanches, qu'un busc, sur un côté derrière, permet de boucler et
de déboucler. Par-derrière, un large laçage se serre ou se desserre à volonté.
Ma taille et mon ventre se creusent sous la pression des baleines, qui sur le
ventre descendent presque jusqu'au pubis, qu'elles dégagent, ainsi que les
hanches. La guêpière est plus courte par-derrière et laisse la croupe
entièrement libre.
Avant de me
maquiller, la femme enduit mes mamelons et mon clitoris d’une mystérieuse
crème, qui me provoquent une excitation énorme. Le résultat, c'est que mes
mamelons pointent au maximum tout le temps, vingt quatre heures sur vingt quatre
et de même pour mon clitoris. Je gémis par la douleur provoquée par le fait que
mes mamelons et mon clitoris soient constamment tendus. Ces zones deviennent
sensibles. Hermine reçoit elle aussi les mêmes applications.
Pour mon
maquillage, elle me farde la bouche avec un rouge clair, un peu liquide,
qu'elle applique au pinceau, et qui fonce en séchant. Elle me peint du même
rouge l'aréole et les mamelons tendus, et les petites lèvres entre mes cuisses,
en soulignant la fente du giron. Je me poudre poudrer le visage, mes paupières
sont légèrement ombrées. Je découvre avec Hermine, le maquillage léger, le
maquillage plus soutenu, le maquillage de soirée, le maquillage de pute. Je
découvre aussi comment fixer sur mes mamelons les couleurs, en utilisant simplement
un glaçon. Ainsi pas de tâches sur les vêtements et une durée intense des
couleurs beaucoup plus longue, pour me rendre plus belle.
Hermine et
moi choisissons des robes assorties pour le grand soleil et de
soirée composées d'une jupe éventail, qui se retrousse d'un geste, mais
toujours à corselet montant jusque sous les seins, et portée avec un boléro
fermé au cou. Il suffit d'enlever le boléro pour que les épaules et les seins
soient nus, et sans même enlever le boléro, de l'ouvrir, si l'on désire voir
les seins.
Hermine
accepte aussi d’avoir les seins nus, les fesses et la chatte nus constamment,
comme le désire Sir Damien.
Je porte mon
gode.
Sir Damien
et le Baron sont ravis de nos robes. Natacha a droit aussi à ses robes, son
porte-jarretelles.
Nous sommes
enculées sur le champ, jupe relevée, l’anus libre par nos amants.
27 mars
Vers huit
heures, le Baron me rend visite à mon appartement. Je suis allongée sur le dos,
nue, cuisses écartées, avec mon gode qui m’encule, mon bassin ondule, dans ma
chambre. Natacha est entre les mains d’amis du club « Lesbos
Apollon » après sa sortie de la boutique le 24. Hermine s’est absentée.
Le Baron
m’embrasse langoureusement, me pelote les seins, aux mamelons désormais
constamment tendus, tout comme mon clitoris. Mon gros clitoris comme une
cerise, saillant et volumineux et mes mamelons sont aussi saillants, gros et
longs.
- Tu es
encore plus resplendissante au saut du lit. Tu mouilles d’excitation. Les
va-et-vient du gode ont eu raison de ton œillet assoupli de soumise.
Le Baron me
retire le gode pour la dernière fois. Il me doigte avec deux jusqu’à quatre
doigts l’anus. Je jouis. Il m’encule sur le champ, allongée sur le ventre,
cuisses écartées. Je connais un violent orgasme et une longue éjaculation. Mais
mon orgasme n’est pas autorisé par le Baron et je reçois des coups de cravache
sur les fesses. Il me cravache à toute volée. Il recommence quatre fois, en
prenant soin de cingler chaque fois ou plus, haut ou plus bas que la fois
précédente, pour que les traces soient nettes. Mes larmes coulent dans ma
bouche ouverte.
Il m’encule
à nouveau, sauvagement, en me faisant retarder mon orgasme anal, désiré par le
Baron.
Je passe la
journée, au penthouse, menottée, avec mon masque de nuit, offerte, enculée et
cravachée par des inconnus, tandis que Natacha est violée, cravachée par
Hermine et moi. Hermine est aussi enculée et cravachée.
Le tout dure
une semaine.
Avec
Natacha, nous vendons les villas. Sir Damien récupère 80 pour cent de mes 60 de
mes commissions, pour mon instruction. Les clients des villas enculent Natacha
et souvent moi, la chatte épilée et mon gros clitoris léché par l’épouse, pour
sceller la vente. J’aime de plus en plus la cravache.
15 avril
J’emménage
dans un luxueux penthouse à quelques mètres de la société de location de Jean
Victor. Natacha vit à demeure au club « Lesbos Apollon », comme
soubrette et de temps à autre, elle vient faire le service chez moi, avec
Hermine.
Sir Damien
me fait appeler par ses amis, que je rencontre dans de luxueux appartements,
toujours les yeux bandés, le plus possible nue, avec mon gros bijou d’anus de
cinq centimètres de diamètre. Une limousine conduite par un étalon Africain me
conduit au rendez-vous.
Je passe des
matinées, des après-midis et de longues soirées, offerte, tandis que Natacha
fait le service en soubrette, avec des pinces à clochettes suspendues à ses
testicules. Je découvre le port de ses pinces à clochettes à mes mamelons
constamment tendus et aux grandes lèvres de ma chatte trempée.
Chaque soir,
je suis menottée à mon lit, enculée et cravachée par des inconnus, pour leur
plus grand plaisir.
Sir Damien
note des informations codées sur un carnet secret, joint à mon journal intime
de soumise que je rédige chaque soir, nue, empalée sur un gros vibromasseur anal,
jusqu’à une série d’orgasmes.
En un mois,
Sir Damien me fait aussi voyager dans des îles paradisiaques, où je suis la
seule femme nue, en compagnie d’Apollons musclés, bien montés, qui n’ont une
envie, m’enculer, me cravacher et me fait avaler leurs spermes chauds dans ma
bouche. Je suis bien payée.
Mon année
d’étudiante est devenue une année de plaisirs.
Avec
Hermine, nous partageons nos sévices mutuellement, nous caressons qu’après
l’accord de Sir Damien.
Sir Damien
profite de toutes les occasions, pour me baiser longuement, pour me mettre
enceinte et assurer une descendance.
Je suis
devenue une prostituée digne, tout comme ma pute de Natacha et Hermine.
Je donne
envie à tous les hommes qui me désirent. Je deviens la nièce ou la fille de Sir
Damien et du Baron, lors des sorties au parc tout proche.
5 juin
Lors d’un
retour d’un voyage dans une des îles paradisiaques, vêtue de ma robe d’été à
corselet, avec ma jupe éventail, en mules à hauts talons, coiffée de ma
queue-de-cheval, à la descente du Falcon 7X, un bel étalon me tend la main
droite, dans laquelle je pose la sienne, et m’adresse enfin directement la
parole,
- Tes mains
sont faites pour porter des fers, tant le fer te va bien. Il te faut une bague
à ton annulaire gauche.
Il ouvre une
petite boîte. La bague sertie d’un petit anneau sur mesure et il me la glisse à
mon annulaire gauche.
- Je suis le
Comte Sacha Bon Désir de Mille Sévices, le frère de Sir Damien et le neveu du
Baron. Je connais tes perversions, tes jeux saphiques, ta petite pute Natacha
que j’ai dressé et surtout, comment une jolie vierge est devenue la plus belle
soumise du « Domaine des Vicieuses », auquel tu es destinée, pour
parfaire ton instruction avec Natacha et Hermine. Soulève ta jupe pour que je
t’encule sur le champ.
J’obéis. Le
mandrin long de trente-cinq centimètres et huit de diamètre me remplit
jusqu’aux testicules, enculée. Je me retiens de jouir, sous les caresses de mon
gros clitoris tendu et les pincements de mes mamelons tendus. Le vent frais
remonte le long de mes jambes.
Il éjacule
en moi et Sir Damien me remet mon bijou d’anus, en plein orgasme anal.
Accroupie,
je suce le Comte et j’avale tout.
- Tu es très
docile, tu me marques du respect. J’ai hâte de te cravacher, Miss Shawn.
La limousine
me ramène à mon penthouse. Je suis fière de ma rencontre avec le Comte Sacha,
dont Sir Damien m’a parlé.
Sir Damien
m’informe :
- Même si tu
as l’œillet élargi, Shawn, comme ta pute Natacha et Hermine, tu dois encore
beaucoup apprendre. Le « Domaine » est dédié à ton instruction. Tu
vas t’épiler tous les jours ta chatte et garder ta toison pubienne brossée et
parfumée.
10 juin
Vers 20
heures, lors de ma promenade au parc avec Sir Damien, nue sous ma robe
semi-transparente, au décolleté échancré en trapèze, de la base du cou jusqu'à
la pointe et sur toute la largeur des seins nus, mi-longue devant et largement
fendue sur mes fesses jusqu’à la taille, caché sous mon boléro fermé au cou, en
mules à hauts talons, les cheveux libres, j’aperçois une limousine aux vitres
teintées.
- Monte,
Shawn, assis-toi directement sur la banquette.
La banquette
est en moleskine, glissante et froide, c'est saisissant de la sentir coller aux
cuisses.
Un homme
cagoulé est assis à mes côtés. Sir Damien me laisse avec lui. Je baisse les
yeux, la bouche entrouverte, fardée et parfumée.
Il me lie
les mains dans le dos, après avoir retiré mon boléro et me bande les yeux.
Il pelote
mes seins, étirant mes mamelons tendus, caresse mon gros clitoris tendu. Je me
retiens de jouir.
Le trajet
dure une éternité.
Lors d’une
halte, je suis sauvagement enculée, penchée sur le capot de la limousine, par
les deux inconnus. Je les suce pour les nettoyer.
Nous
stoppons après avoir franchi un portail gardé par des maîtres-chiens.
On me libère
quelques instants mes mains, pour retirer ma robe. Nue, en mules, je marche sur
du gravier, on me fait monter quelques marches, puis franchir une ou deux
portes, toujours à l'aveugle.
Les mains
liées dans le dos, on m’encule sauvagement à nouveau.
Ayant
recouvrée la vue, je suis dans une grande salle de bains entièrement recouverte
de glaces et de miroirs sur les murs et au plafond.
Deux jeunes
hommes entrent, avec une chemise non boutonnée sur leurs torses musclés, leurs
mandrins en érection emprisonnés dans un étau entre l’étireur de testicules et
le bracelet de cuir autour de la base du mandrin et des testicules. Leurs
testicules sont bien étirés en les séparant comme deux clémentines bien fermes
: chaque testicule devient bien gonflé et beaucoup plus sensible. Le mandrin
sensibilisé gonfle facilement et atteint rapidement des érections bien lourdes
et bien épaisses. Leurs testicules épilés sont percés de plusieurs anneaux
dorés. Ils sont enculés au moyen d’une grosse boule relié à l’étireur de
testicules.
Ils libèrent
mes mains, je garde mes yeux baissés, car ce sont des hommes, dont j’ai défense
de les regarder, malgré leurs physiques avantageux, bien montés.
Nue,
déchaussée, je suis baignée, cuisses écartées, dans une baignoire transparente.
Ils me lavent mes organes génitaux et mon anus avec une canule d’eau froide.
Mon corps
est recouvert d’un produit moussant, je suis rincée au jet de douche à l’eau
froide, nettoyée avec une grosse éponge. On me lubrifie bien l’anus. On me lave
les cheveux, les rince.
Je dois
m’empaler sur un gode réaliste de trente-cinq par huit, sur le fauteuil de
coiffeur, cuisses écartées, subissant les va-et-vient.
Je m’observe
dans une grande glace, du haut en bas de la paroi, que n'interrompt aucune
tablette, je me vois, ainsi ouverte, chaque fois que mon regard rencontre la
glace.
Je suis
fardée et parfumée comme on me l’a appris à la boutique.
J’entre dans
une pièce où un miroir à trois faces et un quatrième miroir au mur permettent
de me bien voir. Je m’assois sur le pouf, couvert de fourrure, qui me pique un
peu, au milieu des miroirs, et d'attendre. Il y a un tapis au sol. Je suis
juste chaussée de mes mules à mes pieds nus. Sur une des parois du petit
boudoir, il y a une grande fenêtre qui donne sur un beau parc sombre. Je
m’empale à nouveau sur le même gode réaliste pour m’enculer. Je me retiens de
jouir, cuisses écartées.
A leur
retour des deux soumis, l'une porte un centimètre de couturière, l'autre une
corbeille. Un homme les accompagne, vêtu d'une cape sur son corps musclé nu, le
mandrin en érection, botté, avec un fouet de lanières de cuir passé à la
ceinture, puis il est masqué par une cagoule, où un réseau de tulle dissimule
même les yeux - et enfin, qu'il avait des gants aussi, et de fin chevreau. Je
fixe mon regard sur son mandrin comme l’a appris Sir Damien.
- Toi, la
future Chienne Shawn, reste assise. Justin Lopette Danoise et Anal Doberman
pressez-vous.
On mesure
mon cou, mes poignets et mes chevilles. Les carcans sont en plusieurs
épaisseurs de cuir (chaque épaisseur assez mince, au total pas plus d'un
doigt), fermées par un système à déclic, qui fonctionne automatiquement comme
un cadenas quand on le ferme et ne peut s'ouvrir qu'avec une petite clef. Dans
la partie exactement opposée à la fermeture, dans le milieu des épaisseurs de
cuir, et n'ayant, presque pas de jeu, il y a un anneau de métal, qui donnait
une prise sur le bracelet, si on veut le fixer, car il est trop serré au bras
et le collier trop serré au cou, bien qu'il y a assez de jeu pour ne pas du
tout blesser, pour qu'on y peut glisser le moindre lien. Pour le collier,
l'anneau pend devant le cou, reposant sur la saillie des clavicules, et
brinquebale au rythme des mouvements de celui qui le porte. On fixe donc ce
collier et ces bracelets à mon cou, mes poignets et à mes chevilles.
Je me lève,
l’homme cagoulé me pelote les seins, étirant mes mamelons constamment tendus et
caresse longuement ma chatte lisse et trempée, ainsi que mon gros clitoris
tendu.
Il me fait
asseoir entre ses cuisses écartées, enculée jusqu’aux testicules. Il caresse à
nouveau mes seins, ma chatte, mon clitoris, mais aussi mes reins, m’écarte
davantage les fesses.
Empalée sur
l’homme cagoulé, je mange avec mes doigts un grand bol de taboulé épicé et
parfumé à la menthe.
Je retarde
mon orgasme anal, tandis qu’il éjacule en moi.
Je me
retire, l’homme cagoulé m’encule encore une fois. Je suis allongée sur le dos,
cuisses écartées, je le reçois jusqu’aux testicules. Il me saisit les mains
avec familiarité, et il fait glisser l'un dans l'autre les anneaux des bracelets,
puis ces deux-là dans celui du collier. Je me trouva les mains jointes à la
hauteur du cou. Enculée sans ménagement, il éjacule à nouveau et me met un
drôle de bijou d’anus, pour conserver son sperme chaud.
Justin et
Anal Doberman reviennent. L’homme cagoulé me menotte dans le dos, je reste nue
et en mules, avec un masque de nuit, tenue en laisse par le collier.
Justin ouvre
les portes, l'autre les referme. Nous traversons un vestibule, deux salons, et
pénétrons dans la bibliothèque, où quatre hommes prennent le café. Ils sont nus
sous leurs capes, bottés, leurs mandrins en érection.
Je reste en
compagnie des quatre inconnus.
L’anus
libre, je suis prise en double pénétration, dans leurs bras musclés, pour
vérifier ma double ouverture. Je me retiens de jouir, mais les ondulations de
mon bassin trahissent mon plaisir.
Agenouillée,
l’anus libre, cuisses écartées, deux poignes pèsent sur mes épaules comme pour
l'empêcher de me relever.
Puis je suis
agenouillée, le buste reposant sur un pouf recouvert de fourrure toujours les
mains au dos, et les fesses plus hautes que le dos.
Les quatre
inconnus bien montés m’enculent sans ménagement, en me saisissant la taille,
pour me faire coulisser sur leurs gros mandrins qui m’écartèle.
Puis un
cinquième sexe, différent, m’encule jusqu’au nœud. Je gémis un peu, mais quatre
orgasmes anaux me terrassent, avec une longue éjaculation. Cela dure trois
quart d’heure.
Je suce le
nouveau sexe, tout comme les quatre inconnus.
Soudain on
m’enlève mon bandeau. Je suis menottée face à la Croix de Saint-André, un des
nombreux miroirs de la pièce me permet de voir quatre hommes masqués, nus.
On me passe
la cravache, puis la garcette, de cordes assez fines, faite de sept lanières
terminées chacune par plusieurs nœuds, et qui sont toutes raides, trempées dans
l'eau, je sens les cordes sont humides et froides contre la peau tiède de mes
cuisses. Je découvre un superbe berger allemand, le sexe en érection, long de
vingt-sept et cinq de diamètre. Ce serait le cinquième sexe qui m’a enculée.
On me
fouette les reins et les cuisses, de la taille aux jarrets.
La garcette
et ses nœuds en cuir s'incrustent en travers de mes cuisses, le bas des fesses,
les reins et l’intérieur de mes cuisses. Je gémis.
Puis un des
quatre m’encule sauvagement, en écartant mes fesses brûlantes, mon anus est
bien lubrifié par le sperme reçu. Il me pelote les seins, étire mes mamelons
tendus et masturbe mon clitoris tendu. Je me retiens de jouir, mais mon bassin
ondule sur le mandrin offert.
- Adam l’a
bien ouverte, cette future Chienne Shawn.
Puis on me
cravache les mêmes zones. Je mouille, humiliée et exposée.
Avant de me
détacher, on fait coucher la Croix de Saint-André.
Le berger
allemand Adam m’encule jusqu’au nœud, à nouveau. Je connais quatre nouveaux
orgasmes anaux plus violents en trois quart d’heure.
- C’est une
vraie Chienne, dit l’un d’eux, en me faisant sucer son gros mandrin.
- Tu aimes
sa queue ou ma grosse queue dans ton œillet de prostituée, de pute de luxe.
On relève la
Croix de Saint-André. Je dois porter une ceinture de chasteté, car je suis la
seule soumise du « Domaine ». Ma chatte n’est plus accessible à la
pénétration par un mandrin : une fente de sept centimètres de long (sur une
largeur maximale d’un centimètre) me permet d’uriner, le clitoris et les
petites lèvres sont étirés à travers la fente étroite. La ceinture comporte un
orifice anal pour que je puisse aller aux toilettes. La ceinture est réalisée
en inox brossé très esthétique, très solide et simultanément très souple. Les
bords de la ceinture sont recouverts d’un rembourrage en caoutchouc moelleux
pour assurer un confort de port. On m’insère un mystérieux bijou d’anus moulé
sur le devant du sexe du berger allemand, pour que je m’habitue.
Quand on me
détache, chancelante et groggy, le haut de ses cuisses traversé par deux lignes
d'un rouge sombre, presque parallèles.
Je reste
nue, seulement ceint du collier et des bracelets en cuir, et les marques de son
dos visibles.
Je revêts un
corset seins nus et une jupe éventail et mes mules à hauts talons, coiffée
d’une queue-de-cheval pour exhiber mon collier.
Voici le
discours que me tient « Tu êtes ici au service de tes maîtres. Le jour durant,
tu es de corvée, mais tu te prêtes à toute parole et signe. Tu es enculée,
baisée, fouettée selon nos envies, en gardant tes cuisses écartées, ta bouche
entrouverte, pour nous ouvrir ta bouche, ta chatte et ton œillet. Habillée, tu
es prêtée. Le fouet n’est appliqué qu'entre le coucher et le lever du soleil.
Mais outre celui qui t’es donné par qui le désire, tu es punie du fouet le soir
pour manquement à la règle dans la journée : avoir levé les yeux sur celui qui
te parle ou te prend : tes superbes yeux doivent uniquement fixer nos mandrins
en érection, pas ceux des soumis. Les soumis ont interdiction de te prendre. Tu
es libre d’accès à leurs viols, de les sucer si on te le demande. Bien sûr, les
maîtres peuvent te baiser à toute heure, tout comme tes amants canins. Le jour,
tu relèves juste ta jupe. Le soir, menottée à ton lit, nue, tu nous suces,
cuisses écartées, peut-être enculée par un homme ou un amant canin. Tu es
fouettée chaque jour, pour ton instruction. Tu es contrainte. A ta sortie, tu
es constamment nue sous ton vêtement, et que c'est pour eux. Ceux qui tes
trouvent indocile te ramènent ici. On va te conduire dans ta cellule. »
Les mules
claquent dans les couloirs carrelés, sans aucune porte.
- Tu es dans
l'aile des Chiennes, et ton valet s'appelle Val.
- Quel valet
? dit O saisie par la douceur de la voix, et comment vous appelez-vous ?
- Je m'appelle
Anal Doberman.
- Et moi
Justin Lopette Danoise », dit le second
- C'est le
valet qui a les clefs, qui t’attache et te détache, te fouette quand tu es
punie et quand on n'a pas de temps pour vous.
- J'ai été
dans l'aile rouge l'année dernière, dit Justin Lopette Danoise, Val y était
déjà. Il vient souvent la nuit ; les valets ont le droit de se servir de nous.
Au détour du
couloir, sur une banquette, j’aperçois un bel athlète musclé, aux seins
plantureux, bien monté, vêtu d’un corset seins nus, le mandrin nu en érection,
botté. Val porte à la ceinture un fouet à lanière de cuir.
Nous entrons
dans la petite cellule, avec deux pièces. Il y a une antichambre, qui ouvre sur
la cellule proprement dite ; sur la même paroi ouvre, de la chambre, une autre
porte, sur une salle de bains.
En face des
portes il y a la fenêtre. Il y a un chevalet et une Croix de Saint-André et un
tapis au sol.
Je suis
prestement déshabillée, gardant ma ceinture de chasteté, Val me retire mon
bijou d’anus et m’écarte bien les fesses, pour juger de mon œillet entrouvert.
La salle de
bains comprend une baignoire transparente avec un escalier, les parois sont
entièrement revêtues de glace, ainsi qu’au plafond.
Je
m’accroupis, cuisses écartées, tandis qu’une canule inonde mon anus d’eau
froide, ce qui me fait mouiller.
Val me
menotte les bras tendus en l’arrière, pendant toute la durée de mon bain. On me
lave tout le corps.
Détachée, je
reste debout, nue, l’eau a durci mon collier et mes bracelets, qui me serrent
davantage.
Val me retire
la ceinture de chasteté et me fait menotter au chevalet. Je suis solidement
immobilisée dans cette posture dégradante, le postérieur plus haut que la tête.
Mes bras sont fixés le long des pieds avants, mes jambes le long des pieds
arrières, et une large sangle m'est passée au niveau de la taille. Mes cuisses,
légèrement fléchies sont empêchées de se resserrer par la largeur de la poutre,
ainsi d'ailleurs mes fesses que je me peux refermer. Toute mon intimité est
ainsi très accessible et on peut me faire tout subir.
Val m’encule
sauvagement et éjacule dans mon anus. Je le nettoie, un vent frais fait tendre
davantage mes mamelons et mon clitoris.
Val caresse
ma chatte humide et mon clitoris tendu.
- Tu es
superbement excitée, pour un premier séjour.
Mes mains
immobilisées, je sais que ma chatte aux lèvres brûlantes sont ouvertes à Val.
Je prends du
plaisir à être fouettée, mouillant.
Mon sommeil
est de courte durée, en effet, je suis baisée jusqu’au nœud par un berger
allemand, qui m’encule jusqu’au nœud, pour m’achever, éjaculant en moi.
Je le
nettoie.
Un peu plus
tard, un doberman m’encule avec plus de violence et de plaisir, mes orgasmes
anaux m’épuisent. Je le nettoie aussi.
Aux
dernières heures de la nuit, quand elle est plus noire et plus froide, juste
avant l'aube, Val revient.
Val me
cravache le travers des fesses à toute volée. Il recommence quatre fois, en
prenant soin de cingler chaque fois ou plus, haut ou plus bas que la fois
précédente, pour que les traces soient nettes.
Il me libère
du chevalet et me menotte de dos à la Croix de Saint-André pour cingler le
devant des cuisses.
Le tout a
duré cinq minutes.
Il me
libère, me remet sur le chevalet, allongée sur le dos, menottée, cuisses
écartées.
Le berger
allemand et le doberman se relaient pour me baiser et m’enculer.
11 juin
L’aurore se
lève. Un valet m’encule aussi, une fois que je suis menottée, allongée sur le
ventre.
Tous les
hommes portent à un anneau les trois sortes de clefs qui, chacune dans leur
genre, ouvrent tous les cadenas, ou tous les colliers.
Les valets
les ont aussi. Mais, au matin, les valets qui ont été de service la nuit
dorment, et c'est l'un des maîtres ou un autre valet qui vient ouvrir. Le
transsexuel qui entre dans ma cellule est habillé d'un blouson de cuir et d'une
culotte de cheval, et bottes.
Je reste
menottée au chevalet, enculée sauvagement et il éjacule en moi. Il caresse mes
cuisses. Il me remet la ceinture de chasteté et le bijou d’anus moulé sur le
devant du sexe du doberman. Il me libère du chevalet.
Il parle à
Anal Doberman et à Justin Lopette Danoise, qui sont entrées avec lui, et qui
attendent. Sur quoi il s'en va.
Justin
Lopette Danoise tire vers le chevet une table roulante qui a été amenée dans le
couloir et portait du café, du lait, du sucre, du bain, du beurre et des
croissants.
- Manges
vite, dit Anal Doberman, il est neuf heures, tu peux ensuite dormir jusqu'à
midi, et quand tu entends sonner il est temps de t’apprêter pour le déjeuner.
Tu te baignes et tu te coiffes, je viens te farder et te lacer ton corset.
- Tu n’es de
service que dans l'après-midi, dit Justin Lopette Danoise, pour la bibliothèque
servir le café, les liqueurs et entretenir le feu.
- Ah ! nous
sommes seulement chargées de toi pour les premières vingt-quatre heures de ton
séjour, ensuite tu es seule et tu n'as affaire qu'aux hommes. Nous ne pouvons
pas te parler, et toi non plus à nous.
Les deux
soumis partent.
Deux
inconnus entrent, cagoulés, nus, bien montés, leurs mandrins en érection. Je
suis assise cuisses écartées, les yeux baissés, la bouche entrouverte, avec ma
tasse à café et mon croissant.
Je les pose
sur la table roulante.
Debout, nue,
je suis offerte par le grand brun musclé, doté d’un mandrin long de trente-cinq
centimètres et six de diamètre et le blond doté d’un mandrin de vingt-six par
huit.
Les mains
menottées dans mon dos, le blond me retire ma ceinture de chasteté, le brun
examine mes cuisses zébrées, mes fesses zébrées. Je me retiens de jouir, le
clitoris tendu léché longuement.
- Elle
mouille de désir, Chienne Shawn, dit le blond.
Il doigte
simultanément ma chatte, tout en léchant mon gros clitoris.
Le brun me
baise, la chatte resserrée par le bijou d’anus.
Le blond me
menotte dos aux hommes, à la Croix de Saint-André, l’anus libre, la ceinture de
chasteté remise.
Le brun
m’encule sauvagement et éjacule en moi.
- Adam,
Apollo l’ont bien élargie, mais elle est encore un peu étroite.
Je reste
menottée à la Croix de Saint-André, en compagnie du blond. Le brun est parti.
Le blond me
retire la ceinture de chasteté et me baise longuement sans me mener à
l’orgasme.
- Désormais,
tu es soumise à tous, prostituée, consentante, les yeux baissés, la bouche
entrouverte, pour sucer et crier.
Il me
détache et je me baigne dans l’eau tiède quand mes fesses et cuisses meurtries
y plongent, et je dois m’éponger sans frotter, pour ne pas réveiller la
brûlure. Je me sèche dans la grande serviette, je me coiffe devant la glace et,
toujours nue mais les yeux baissés et la bouche entrouverte, revient dans la
cellule. Le blond me remet la ceinture de chasteté.
Justin
Lopette Danoise me lace mon corset, je met ma jupe et mes mules.
Puis le
blond masturbe Justin Lopette Danoise, qui ne peut éjaculer, ni jouir. Je dois
sucer le blond, accroupie, cuisses écartées et avaler son sperme.
Nous
rejoignons le couloir, où nous attend un autre transsexuel, brun, aux petits
seins, vêtu comme Val. Il nous précède et nous fait entrer dans une antichambre
dallée de marbre où, devant une porte en fer forgé qui se découpe sur de hauts
rideaux verts, deux autres valets attendent, deux dobermans bruns à leurs
pieds.
Aussitôt, je
me retrouve à quatre pattes, comme Justin Lopette Danoise, l’anus libre.
Le doberman
m’encule d’une seule traite, jusqu’au nœud, je connais quatre orgasmes, tout
comme Justin Lopette Danoise, je dois sucer les deux valets transsexuels.
Puis les
deux valets transsexuels me retirent la ceinture de chasteté alternent entre
baise et sodomie sauvage, je me retiens de jouir.
Je ne porte
plus ma ceinture de chasteté pour le repas pris seule au réfectoire.
Je suis
assise fesses nues, sur le cuir lisse et froid du tabouret rond recouvert de
cuir, cuisses écartées. Les soumis mangent à part. Le valet transsexuel me
pelote les seins, tandis que je mange, masturbe mon clitoris tendu et étire mes
mamelons tendus. Je me retiens de jouir.
Bien sûr, il
m’encule sauvagement, avant de me remettre mon bijou d’anus, sans me faire
jouir.
A ma sortie,
nue sous mes vêtements, je dois relever ma jupe pour m'asseoir.
A la
bibliothèque, je suis offerte seule nue à deux hommes, qui me fouettent à la
Croix de Saint-André, m’enculent à plusieurs reprises, même un doberman
m’encule à la bibliothèque.
19 juin
Après le
port de bijoux d’anus canins, des sodomies sauvages et des saillies anales
canines, je suis suffisamment ouverte.
Je suis
fouettée une ultime fois, à la Croix de Saint-André.
Sir Damien
et le Baron viennent me chercher en fin d’après-midi.
Je suis
menottée nue, au chevalet, sans ma ceinture de chasteté. Ils examinent mes
reins, mes cuisses et mes fesses. Ils passent les doigts sur les nombreuses
traces du fouet, plus ou moins estompées selon leur ancienneté, sur les marques
des carcans.
Je porte
depuis quelques jours, un anneau doré perçant mon gros clitoris, serti d’une
pierre précieuse et mes reins sont tatoués à l’encre noire : Chienne
Shawn, bouche dressée, suceuse 1er choix, sur trois lignes.
Avant mon
bain, tous les deux m’enculent longuement, sans me faire jouir. Je les suce.
Avant mon
départ, un dogue allemand vient m’enculer aussi. Son gros sexe m’écartèle un
peu plus l’anus. Je gémis un peu, mais le plaisir anal reprend le dessus.
Justin
Lopette Danoise me baigne, une canule me nettoie l’anus. Je me brosse les
cheveux, me parfume longuement mes aisselles lisses, mon toison pubienne, dans
le sillon entre les cuisses, dans le sillon sous les seins, et au creux des
paumes.
Justin
Lopette Danoise s’éclipse.
On me retire
mes carcans.
Je retrouve
ma robe semi-transparente, au décolleté échancré en trapèze, de la base du cou
jusqu'à la pointe et sur toute la largeur des seins nus, mi-longue devant et
largement fendue sur mes fesses jusqu’à la taille, caché sous mon boléro fermé
au cou, en mules à hauts talons, les cheveux libres. Je porte désormais le
bijou d’anus moulé sur le devant du sexe du dogue allemand. Je suis bien
remplie. Je me rhabille, les yeux baissés, la bouche entrouverte. Je ne mets
pas mon boléro.
Nous
traversons le couloir, les portes sont fermées, l'antichambre est vide, il n'y
a ni valets ni chiens.
Nous
rejoignons le parc. Nous descendons les marches du perron, je reconnais la
limousine.
Je m’assois
à l’arrière, jupe relevée, cuisses écartées, en compagnie de mes deux amants.
Nous sortons
du parc dont la grille est grande ouverte.
Je retrouve
mon penthouse. Je reste nue, en mules, m’observant seule devant mes miroirs et
mes glaces. Je repense à mes sailles anales canines, qui me font mouiller, je
n’ose me masturber.
Mon
penthouse abrite dans une pièce capitonnée, une Croix de Saint-André, un
chevalet similaire à celui du « Domaine », à des crochets X, fouets
et cravache entrecroisés, avec les carcans et les cordes roulées, plusieurs
cravaches différentes, deux de cuir un peu épaisses, deux fines au contraire et
en cuir, un fouet de flagellant à longues lanières de cuir brun, chacune repliée
et formant boucle à son extrémité, un autre de cordelettes à nœuds, un fouet de
chien fait d'une seule et dure lanière de cuir
dont le manche est tressé, enfin des carcans, et de belles cordes, de
différentes épaisseurs. Ainsi, si l’on veut me fouetter, je possède ma
panoplie. Sir Damien me cravache les seins pour la première fois, je gémis,
mais je mouille.
Sir Damien
et le Baron me présentent à des étrangers, qui me fouettent, m’enculent,
souvent avec leurs chiens de garde, berger allemand et doberman.
En un mois,
je suis offerte nue dans des chenils, baisée et enculée par des bergers
allemands, malinois, doberman, devant des hommes que je suce uniquement. Ils
payent pour mes dizaines de saillies canines que je dois subir à chaque
rendez-vous.
Des fois, le
Baron m’abandonne une journée dans un chenil pour me faire saillir, en
compagnie de Natacha.
Je reste
l’été à disposition de Sir Damien et du Baron.
Bien sûr, je
continue mes voyages dans les îles paradisiaques pour de riches clients Maîtres
avec Hermine et Natacha.
22 juillet
Lors de ma
visite gynécologique, le Baron m’annonce que je ne peux pas donner naissance à
des enfants, mais il continue à me baiser tout comme Sir Damien. Si un inconnu
me baise, il éjacule soit sur mes fesses, soit sur ma toison pubienne, lors des
doubles pénétrations.
A la tombée
de la nuit, toujours les rideaux ouverts de mon penthouse, nue, je suis
cravachée, menottée à mon lit, allongée sur le ventre, avec mon bijou d’anus
canin du dogue allemand puis il m’encule longuement, sans jouir. Je nettoie le
mandrin de l’inconnu qui m’a fouetté.
Cette
nuit-là, mes grandes lèvres sont percées d’anneaux dorés, pour compléter ma
soumission au « Domaine ».
Mes reins
tatoués, mes grandes lèvres et mon gros clitoris percés augmentent la valeur
des ventes. Certains acheteurs sont des habitués du « Domaine » et je
me soumets davantage dans les villas.
Au
restaurant, les clients sont surpris par ma grâce, mes ébats dans les toilettes
pour hommes, à disposition des clients, mes orgasmes retardés et mon nettoyage
de leurs mandrins.
28 juillet
Après une
nuit agitée, je me réveille dans mon penthouse.
Mon corps a
encore changé. Mes grandes lèvres toutes lisses n’ont plus leurs anneaux dorés,
mais des fers et portent en toutes lettres que je suis la propriété de Sir
Damien, me descendent jusqu'au tiers de la cuisse, et à chacun de ses pas
bougent entre ses jambes comme un battant de cloche, le disque gravé étant plus
lourd et plus long que l'anneau auquel il pend. Ce sont des anneaux de fer mat
inoxydable. La tige en est ronde, épaisse comme un gros crayon de couleur, et
ils sont oblongs : les maillons des grosses chaînes sont semblables. Chacun est
formé de deux U qui s'emboîtent l'un dans l'autre. Un ressort intérieur sur
lequel on doit forcer pour le faire pénétrer dans la rainure où il se bloque.
Chaque anneau est long comme deux phalanges du petit doigt, qu'on y peut
glisser. A chacun est suspendu, comme un nouveau maillon, ou comme au support
d'une boucle d'oreille un anneau qui doit être dans le même plan que l'oreille
et la prolonger, un disque de même métal aussi large que l'anneau est long.
Les marques
imprimées par le fer rouge, S et D hautes de trois doigts et larges de moitié
leur hauteur, sont creusées dans la chair comme par une gouge, à près d'un
centimètre de profondeur, sur chacune de mes fesses.
Ma toison
pubienne est entièrement lisse et porte marquées au fer rouge, un fouet et une
cravache entrecroisés.
L’intérieur
de mes cuisses a été fouetté par une chicotte, fait en deux parties, d'une part
un manche en bois verni et de l'autre une tresse en cuir noir, reliés ensemble
par une boucle qui forme charnière, de telle sorte que, quand on l'utilise avec
habilité, le coup de poignet sur le manche donne encore plus de vitesse à la tresse
en cuir.
Mes grandes
lèvres de ma chatte sont étirées davantage qu’avec les anneaux dorés.
Je continue
à me prostituer.
10 août
A mon
réveil, avant ma douche, je découvre mon ventre un peu arrondi, la fin de mes
règles et en quelques mois, le Baron me déclare enceinte.
Je continue
mes sodomies, car ma libido sexuelle est devenue plus intense. Natacha prend
davantage soin de moi, tout comme Hermine.
Je donne
naissance à une fille prénommée Aimée.
Je reprends
mes séances de flagellation, mes saillies anales canines et je suis aussi
devenue une Maîtresse pour soumis que je féminise comme Natacha, leur modèle.
De la femme
enfant, je suis devenue Chienne soumise docile. Je me rends souvent au
« Domaine » quelques semaines pour me faire offrir à des inconnus.
Je garde ma
chatte et mon pubis totalement lisses, pour me faire reconnaître.
J’ai
retrouvé la ligne, par des heures de gymnastique sexuelle, pour mon périnée,
mon anus et surtout mon ventre plat.
Aucun commentaire:
Enregistrer un commentaire