mardi 24 mars 2020

VIERGE POUR PERVERSIONS


Je m’appelle Miel.
J’ai 19 ans.
Je suis une jolie beauté scandinave.
Je suis une brune aux yeux verts. J’ai des pieds fins et latins, des jambes longues bronzées, musclées qui inquiètent par leur perfection. Mon pénil est bombé, ouvert, couronné de noir. Ma pilosité brune couvre mon pubis. Je suis totalement velue entre les cuisses et j’ai une superbe croupe. Les lèvres de mon sexe sont une plaie rouge entre mon entrecuisse velue. Mes hanches s'incurvent et délimitent le ventre plat, délicieusement renflé autour du nombril, les hanches sont larges et rondes, mais sans lourdeur. La taille est affinée. Les seins parfaits intégralement bronzés sont un peu volumineux mais fermes, et leurs pointes marron clair, toujours dressées, cernées par une large aréole marron attirent le regard. J’ai une peau lisse et patine. Finition parfaite, un seul grain de beauté entre mes superbes seins. De longs cheveux plats blonds flottant comme des algues, battent mes épaules rondes et gracieusement athlétiques. Je suis intégralement bronzée. Mes yeux verts limpides s'allument, ma bouche charnue se fend. J’ai des sourcils bruns bien dessinés et des lèvres pulpeuses. J’ai de longs doigts fins et de belles mains. Je fais du 85B de poitrine, 56 de taille, 90 de hanches, 1,72 m.

VIERGE POUR PERVERSIONS

12 mars
Depuis un an, je suis la secrétaire particulière d’un comte italien, d’un baron allemand, d’un marquis danois et d’un Lord anglais, qui vivent tous dans une rue huppée du centre-ville.
Je porte toujours mon tailleur strict avec ma jupe droite, cachant mon soutien-gorge sous mon chemisier et mon string transparents assortis en dentelle, mon porte-jarretelles et mes bas blancs, mes escarpins blancs, les cheveux libres, maquillée. Je tiens à garder ma virginité pour mon futur époux.
Mais je suis une lesbienne confirmée, depuis la découverte du plaisir à seize ans avec ma cousine et mes doigts experts.
Ce matin, je me rends à l’hôtel particulier du comte Alban, descendant d’une lignée de nobles vivant entre New York, la Sicile, la Toscane et les anciennes colonies italiennes. Il habite au 5.
Je rédige ses mémoires sexuelles.
Je mouille à certains de ses passages que rédigent à la main, avant de les mettre en forme.
Il a le triple de mon âge.
Son majordome, Désiré, un superbe étalon Africain, rêve de me prendre. Il est plus âgé que moi.
Il a tenté de forcer ma bouche, mais je me suis refusée.
Alban me convoque au troisième étage de son immeuble. Mes escarpins claquent dans l’escalier de marbre, escorté par Désiré.
- Miel, ton travail est bien rémunéré. Mais, je peux t’offrir davantage, si tu acceptes mes conditions.
- Quelles conditions, je suis une excellente secrétaire ?
- Tu as déjà été punie.
- Oui, j’ai été fessée.
- Déshabille-toi. Désiré, prends ses vêtements.
Je me retrouve rapidement nue, cachant mon pubis et mes seins, car je ne me suis jamais exhibée devant un homme.
Alban glisse ses doigts dans ma chatte humide d’excitation.
- Tu mouilles, cela t’excite.
- Non, monsieur le comte, je suis un peu gênée.
Désiré me pelote les seins, pinçant mes mamelons tendus sous l’excitation.
- Tes seins tendent leurs mamelons au ciel. D’ici quelques temps, ton ventre se tendra sous la rigueur des coups que tu recevras, pour te faire cambrer. Tu aimes les porte-jarretelles qui mettent en valeur tes fesses, ta chatte, ta toison qui sont accessibles à tous et à tout. Ainsi harnachée, tes fesses, ton ventre sont tirés vers le bas, dès lors que la tension est établie. Tes seins aux pointes dures, enfermés dans ton soutien-gorge, sont mis aussi en valeur.
Désiré me photographie sous tous les angles. Je dois dévoiler mes seins et mon pubis, joueuse, exhibitionniste malgré moi.
Puis je dois me pencher en avant, sur le bureau, cuisses écartées.
Alban prend le relais pour me photographier.
Désiré exhibe son mandrin long de trente-deux centimètres et sept de diamètre.
Désiré me saisit par les hanches et me baise jusqu’aux testicules, me déflorant. Il me caresse les seins. Il m’écarte les fesses pour mieux me baiser.
- Tu es brûlante, tu dois te goder souvent la chatte, coquine.
Il m’encule aussi. Je gémis, écartelée par son gros mandrin jusqu’aux testicules.
- Tu es un peu serrée, c’est normal. Tu n’as jamais joui par ton œillet.
Mes gémissements sont punis par des fessées magistrales. Je m’empale sur lui, à sa demande.
Je connais mon premier orgasme anal, après mon premier orgasme vaginal avec un homme. Je suis excitée, humiliée, exhibée.
Alban me montre son mandrin long de quarante par cinq, que je dois sucer. Une première pour moi, je me rappelle des photos de filles qui sucent des hommes.
Puis Alban m’encule à son tour. Je jouis rapidement.
Désiré éjacule dans ma bouche, tandis que mon anus déborde du sperme d’Alban.
Il m’enfonce un bijou d’anus pour conserver son sperme chaud.
Le bijou d’anus est en aluminium brillant orné par un magnifique cristal rose à son sommet : c’est ce cristal rose qui est visible entre mes fesses une fois qu’il est introduit dans l’anus. Il est très doux et très petit, me provoque une délicieuse excitation anale permanente, long de six par trois, poids 34 grammes. Sa forme en sapin et sa large base vous garantissent un excellent maintien dans l’anus.  La section qui relie les deux extrémités est très fine et douce afin de laisser l’anus se refermer dessus sans gêne. La tige de la taille de l’auriculaire sert de support lorsque le sphincter se referme.
Ma jupe est découpée en deux discrets pans par derrière. Mon chemisier n’a plus de boutons.
- Désormais, Tu ne portes plus jamais aucun sous-vêtement, c’est-à-dire ni culottes ni strings, ni soutien-gorge. Tes seins et ta chatte doivent toujours être nus sous tes vêtements et ton entre jambes jamais dissimulée. Ni collants, ni shorts, ni jupes culottes ni pantalons, mais des jupes ou des robes qui ne sont plus longues que le milieu de tes cuisses. Ni tee-shirt ou autres vêtements sous tes corsages ou chemisiers. Pour tes pieds, soit tu restes pieds nus soit tu portes des chaussures à talons. A partir de demain matin, tu dois être parfaitement maquillée vingt quatre heures sur vingt quatre, aussi bien le visage que les mamelons. Quand tu te laves, aussitôt après, tu dois te remaquiller. Tu dois avoir dans ton sac en permanence de quoi faire les retouches nécessaires à ton maquillage pour qu'il soit toujours parfait. Chaque semaine tu fais une french manucure pour les mains et les pieds. Tu dois toujours avoir les yeux baissés, la bouche entrouverte. Ta bouche sert juste à sucer et à crier. Dès maintenant et définitivement, tu n'as plus le droit de te masturber ni de te caresser. Pour faire simple, tu n'as plus le droit au plaisir sauf quand je t'y autorises. Tu n'auras le droit de porter des vêtements que lorsque tu devras sortir, le reste du temps et ou que tu sois, avec qui que tu sois et n'importe quand, tu dois être complètement nue. Si tu as des rideaux chez toi, qu'il fasse jour ou nuit, ils doivent toujours être complètement ouverts et la nuit, toutes les lumières allumées. Que l'on puisse te voir ou pas, ça ne change rien. Lorsque tu es au lit, tu dois toujours être nue. Jamais d'exception à cette règle. Que tu sois chez toi ou n'importe ou ailleurs, seule dans le lit ou pas, seule dans la chambre ou pas, tu restes nue. Désormais, quand tu te laves, uniquement à l'eau froide, que ce soit juste au lavabo, dans la douche ou pour prendre un bain. Si tu es seule chez toi, tu dois essuyer uniquement les parties de ton corps qui doivent être maquillées mais pour le reste, interdit de t'essuyer. Un glaçon fixe sur mes mamelons les couleurs.
Je me maquille : les paupières légèrement ombrées, me farde la bouche avec un rouge clair, un peu liquide, que j’applique au pinceau, et qui fonce en séchant. Je me peins du même rouge l'aréole et les mamelons me passe un glaçon sur mes mamelons, et les petites lèvres entre mes cuisses, en soulignant la fente du giron. Je me passe longuement du parfum sur mes aisselles lisses et ma fourrure pubienne, dans le sillon entre les cuisses, dans le sillon sous les seins, et au creux des paumes.
Une fois prête, maquillée, je donne à Alban, mon soutien-gorge, mon string, mon porte-jarretelles et mes bas. Je me retrouve ainsi sous mon chemisier et ma jupe, les seins libres et nus comme j’ai nus et libres les fesses et le ventre, de la taille aux genoux.
- Tu dois désormais garder tes cuisses écartées quand tu t’assois et relever ta jupe pour t’asseoir cul nu.
Nous allons au restaurant à un îlot d’immeubles de chez Alban, au 17.
Les regards se fixent sur mon chemisier ouvert, on devine mes seins nus et mes mamelons fardés. Je mouille d’excitation et je contracte mon anus qui avance le bijou d’anus contre ma chatte et la stimule. La sensation est très agréable.
Même au restaurant, j’attire les regards. Je baisse les yeux devant les hommes qui me croisent.
Après le dessert, nous allons aux toilettes pour hommes.
Là, penchée en avant, au-dessus d’un urinoir, la jupe baissée, je me laisse caresser les fesses par Alban.
Je me soulage en pissant debout.
Soudain, un gros mandrin m’encule. Ce qui provoque une difficulté pour que je continue mon pipi. Mes fesses encore brûlantes par les fessées, sont bien écartées.
- Tu es une sacrée jouisseuse anale. Tu prends ton pied.
Après mon orgasme anal, que je n’ai pu retenir, il éjacule sur mes fesses.
Deux autres gros mandrins m’écartèlent l’anus. Je jouis.
Tous les deux éjaculent dans ma bouche. J’avale tout sur les ordres d’Alban.
Des billets sont remis à Alban.
Mon bijou d’anus est remis en place. Nous réglons l’addition.
J’ai rendez-vous chez le baron allemand, qui se trouve à deux îlots d’immeuble, au 37.
Le baron habite un hôtel particulier accessible par une discrète cour reliée par un passage.
Son majordome Dan, est un peu plus âgé que moi, m’accueille. Il caresse mes seins nus sous mon chemisier.
- Tes mamelons sont tendus, tu es toute excitée.
Les yeux baissés, je n’ose répondre.
Il me conduit auprès du baron Nathan, qui a le double de mon âge.
Dans son salon, je découvre Nathan, empalé, enculé par un autre homme.
- Approche, déshabille-toi et viens me sucer.
C’est la première fois que je vois une relation homosexuelle entre hommes. Le mandrin de Nathan, long de vingt-huit par six, me remplit la bouche.
Dan me retire le bijou d’anus et m’encule sur le champ, jusqu’aux testicules. Son mandrin de trente par sept m’écartèle davantage.
Je suis trop concentrée à sucer, que j’atteins mon orgasme anal, le clitoris tendu à l’extrême par les caresses de Dan.
Sans attendre, Nathan se retire de son amant et m’encule sur le champ, à quatre pattes, suçant Dan et son amant.
- Elle a l’œillet chaud, notre amie. Elle aime ça, se faire défoncer l’œillet.
Je ne peux répondre, sollicitant les mandrins de mes amants.
Bien sûr, l’amant de Nathan m’encule aussi. Je ne compte plus mes orgasmes anaux.
Je rédige ensuite, les aventures SM de l’héroïne de Nathan. Dan et Nathan se relaient pour me faire jouir, empalée sur deux imposants vibromasseurs réalistes, du même calibre que leurs mandrins. Le plus gros m’encule et l’autre me baise, soit simultanément soit par alternance, ils s’allongent et rétrécissent à chaque mouvement de va-et-vient grâce à son enveloppe ultra-souple qui s’étirent ou se contractent en suivant les montées et descentes, livrée à un véritable homme à leur disposition qui leur fait l’amour en étant infatigable.
Cette double pénétration me fait mouiller davantage. Je ne sais pas que l’on pouvait jouir avec deux mandrins simultanément. J’ai hâte d’essayer avec de vrais hommes. Nathan connaît-il ma double défloration ?
Au coucher du soleil, je ne compte le nombre de mes orgasmes.
Je me libère des deux vibromasseurs, pour me doucher longuement à l’eau froide, en évitant de me masturber, sous le regard de Nathan et de Dan.
Je connais mon premier lavement anal avec une canule dans mon anus qui est arrosé à l’eau froide.
Je me restaure.
Je passe la soirée, nue, pieds nus, à sucer Nathan et Dan, qui se font jouir, empalé l’un sur l’autre.
Avant de me coucher, dans la chambre au dernier étage de l’hôtel, sans rideaux, mais entièrement recouverte de glaces et de miroirs sur les murs et au plafond comme à la salle de bains, Nathan me met le vibromasseur trente par sept. Il possède trois petits trous percés dans la base, trois chaînettes qu'il laisse pendantes. Une fois en place, Nathan m’attache une étroite ceinture autour de ma taille, et il y accroche les trois chaînettes, une par derrière qui suit le sillon des fesses, et les deux autres par-devant, qui longent le pli des aines en contournant le triangle pubien. Il les ajuste au plus court, de façon que le mouvement intérieur des muscles ne peut repousser le vibromasseur et permettre de se resserrer à l'anneau de chair qu'elle devait forcer et distendre, et il les cadenasse, pour s'assurer que, lorsque je suis seule, je ne peux être tentée de me soulager de cette contrainte. Mon bassin ondule sur ce vibromasseur. Ma chatte ruisselle, mon clitoris est tendu à l’extrême, tout comme mes mamelons.
Je suis menottée à mon lit, bras écartés, des menottes à mes poignets ainsi qu’à mes chevilles, cuisses écartées. Tout le monde peut me voir dans ma chambre. Un bâillon boule m’empêcher de crier mon plaisir anal.
Nathan me cravache les cuisses et découvre que je mouille, sous ce procédé.
Pendant la nuit, je suis menottée, prosternée, enculée dans la pénombre, les fesses cravachées.

13 mars
A l’aube, je retrouve le vibromasseur en place. Après une courte nuit, ponctuée par mes orgasmes anaux, sans me caresser ma chatte et mon clitoris, je suis autorisée à boire et à pisser dans un seau, l’anus toujours rempli.
Au lever du soleil, Dan me libère. Il me retire le vibromasseur, je me douche, déjeune.
Je garde mon chemisier, met une jupe éventail arrivant à mi-cuisses, fardée et maquillée et des mules à hauts talons, faisant de moi, une vraie prostituée. Je me coiffe d’une queue-de-cheval.
Le bijou d’anus est remis après mon lavement et une longue sodomie par Dan, qui éjacule dans mon anus.
Je rejoins le marquis danois Sven qui m’a initié aux jeux lesbiens avec sa cousine Hermine.
Sven vit de l’autre côté de la rivière qui traverse le centre-ville, dans une villa cachée après un dédale de labyrinthe du quartier chaud, au 63.
Le vent frais remonte le long de mes jambes nues, déclenchant une excitation de mon clitoris tendu.
C’est son homme soubrette Horace, le jumeau de Désiré, qui m’accueille, après le commentaires et les regards des prostituées et de leurs collègues masculins.
Horace a interdiction de me prendre, car il porte un harnais de chasteté, en ma présence.
Sven me présente sur un chevalet, un homme nu, cagoulé.
Je dois le cravacher, vêtue d’un corset seins nus et de cuissardes, cagoulée. On devine juste mes yeux et ma bouche. Je dois me retenir pour ne pas le cravacher violemment. Il porte un parachute aux testicules avec de lourds poids.
Je suce le soumis, avant de l’enculer avec un gode-ceinture doté d’un double vibromasseur en interne.
Sven est surpris par ma jouissance par le double vibromasseur.
Une fois, nue, douchée, je suis longuement enculée sauvagement par Sven dans diverses positions, recevant d’abondantes éjaculations dans mon anus écartelé par son mandrin de trente-six par huit.
Bien sûr, il me baise longuement.
Je suce simultanément le soumis, que je gode.
Le soumis suce Horace en même temps, pour étouffer ses râles de plaisir.
Je me restaure le midi, me douche longuement et me fait mon lavement, avant de me rhabiller, fardée et parfumée.
Je retrouve le Lord Sir Donatien de Mon Baiser de Sévices, un photographe de nus. Il a le triple de mon âge. Il habite au 52.
Je suis son modèle régulier.
Nue, en position de soumise, sur un chevalet, je suis solidement immobilisée dans cette posture dégradante, le postérieur plus haut que la tête. Mes bras sont fixés le long des pieds avants, mes jambes le long des pieds arrières, et une large sangle m'est passée au niveau de la taille. Mes cuisses, légèrement fléchies sont empêchées de se resserrer par la largeur de la poutre, ainsi d'ailleurs mes fesses que je me peux refermer. Ou sur une Croix de Saint-André, de face et de dos ou suspendue à un crochet à un plafond, il me prend sous toutes les coutures.
Il me gode l’anus et la chatte voir simultanément, avec des picots pour me faire gémir, sous l’objectif. Il me cravache les fesses et les cuisses.
J’aime ce rôle de soumise.
Exceptionnellement, aujourd’hui, Donatien m’encule avec son gros mandrin de vingt-cinq par sept. Je le nettoie ensuite.
La séance dure jusqu’au coucher du soleil. Je suis pantelante, mais comblée de mes séances.
La limousine de Donatien me ramène à mon appartement au dernier étage d’un immeuble, surplombant la rue où résident mes amants.
Nue, je me douche à nouveau.
Je reste nue, pour m’exhiber. Je défais mes rideaux à mes fenêtres.
Dan me remet le vibromasseur anal de cinq de diamètre pour la nuit.
Il me baise ensuite et éjacule dans ma bouche, j’avale tout.
Je ne sais qui commande les va-et-vient. Doublement ouverte, je me fais plusieurs films de sodomies, double pénétration, en tentant de retarder mes orgasmes anaux.
Je dors nue sur les draps.

14 mars
Peu avant l’aube, Dan vient me libérer du vibromasseur. Il me remettra entre dix heures et midi, puis de la tombée du jour jusqu’à l’aube, pour me faire élargir mon anus pour correspondre aux critères requis.
Je rédige nue, pieds nus, les mémoires d’Alban. Je garde toujours mes cuisses écartées, à toute occasion, même dans mon bain, que je prends accroupie. Je prends soin de mettre mon bijou d’anus quand je ne porte pas le vibromasseur dont le diamètre croit chaque jour, de cinq jusqu’à huit, selon les modèles présentés par Dan.
Je regarde mes fesses et mes cuisses zébrées par la cravache que j’aime. Je mouille en évoquant les coups de cravache.
A midi, avant de manger seule chez moi, je suis sauvagement enculée par Dan ou Nathan, selon leurs envies et je les nettoie.
L’après-midi, je continue le plaisir des doubles pénétrations avec ma collection de godes. J’ai mis tous mes dessous dans une valise sous clé, que garde Nathan. Je ne garde que des corsets, guêpières avec ou sans jarretelles, faites sur mesure et des bas, une collection de mules à diverses hauteurs de talons, des robes et des jupes au longueur requise. Je garde ma trousse de maquillage.
Je photographie mon corps au cours de la journée, pour Donatien, qui vient récupérer son appareil photographique. Il souhaite faire une collection de photos.
Au coucher du soleil, Dan ou Nathan me remet le vibromasseur, cette fois, de six de diamètre, car mon anus s’ouvre un peu plus sur commande.

17 mars
Après deux jours à mon appartement, ma visite chez Alban, Nathan, Sven et Donatien, je reçois une carte de visite mystérieuse :
« Miss Miel, tu es attendue pour vingt heures en chemisier sur tes seins nus, jupe éventail sur tes fesses nues, fardée, parfumée, avec ton bijou d’anus gros calibre. Une limousine avec son chauffeur t’attends au pied de ton immeuble. »
Devant mes miroirs et mes glaces, je me douche longuement, me met mon bijou d’anus de six centimètres de diamètre, choisis ma tenue. Une fois longuement parfumée comme convenu, je me farde, revêts ma jupe éventail, qui se relève d’un seul geste, pour dénuder mes fesses encore zébrées par les coups de cravache et mon chemisier sans boutons. Je laisse mes cheveux libres, je glisse mes pieds nus dans des mules à hauts talons.
Je me prends pas ma montre.
A l’heure prévue, je ferme mon appartement et descends par l’ascenseur.
Un superbe étalon me fait monter dans la limousine.
Un inconnu est assis à mes côtés. Le chauffeur roule. Les vitres teintées m’interdisent de voir à l’extérieur.
L’inconnu me déshabille intégralement, me menotte mes poignets dans mon dos et me bande les yeux avec un bandeau de velours m’empêchant de voir. Je dois rester les cuisses écartées pendant tout le trajet.
Au bout d'une heure de route, on m'aide d'une poigne ferme à sortir de voiture, et je sens sur mon corps nu la fraîcheur nocturne d'un grand parc. Je marche sur du gravier, je monte quelques marches, puis franchis des portes, toujours à l'aveugle.
Sans attendre, je me retrouve, la chatte remplie par un gros mandrin, en aveugle, couchée sur celui qui me baise et un second m’encule, l’anus libre. Ma bouche est remplie par deux mandrins bien montés.
Le quart d’heure suivant, je me retrouve enculée en premier, dos à celui qui m’encule, cuisses écartées, la chatte remplie par un second au gros mandrin. Je suce d’autres mandrins.
Enfin, je suis baisée dans les bras de mon baiseur, je l'entoure avec mes jambes et le second m’encule en soutenant derrière également une partie de mon poids. Je prends beaucoup de plaisir.
Mes fesses, ma toison pubienne et ma bouche sont marquées de spermes chauds.
Quand on me retire mon bandeau, je suis nue dans une baignoire, entourée de miroirs et de glaces sur les murs et au plafond, les bras tendus en l’air, menottée, avec des bracelets en cuir, cuisses écartées, les yeux baissés.
Les bracelets de cuir sont faits : en plusieurs épaisseurs de cuir, chaque épaisseur assez mince, au total pas plus d'un doigt, verrouillés par un système à déclic, qui fonctionne automatiquement comme un cadenas quand on le referme, et ne peut s'ouvrir qu'avec une petite clé. Dans la partie opposée à la fermeture des bracelets, pris dans le milieu des épaisseurs de cuir, et n'ayant presque pas de jeu, il y a un anneau de métal, qui donnait une prise pour fixer, et qu'on positionne du côté intérieur du poignet. Pour le collier, l'anneau pend devant le cou, reposant sur la saillie des clavicules, et brinquebalait au rythme des mouvements de celui qui le porte.
Je suis baignée par deux femmes nues, intégralement épilées, aux reins tatoués à l’encre noire, portant des anneaux dorés aux grandes lèvres de leurs chattes fardées, leur gros clitoris est percé d’un anneau serti d’une pierre précieuse, simplement chaussées de mules.
Une voix masculine annonce :
- Sa chatte et son œillet correspondent aux critères recherchés. Son œillet a encore bien d’être plus ouvert. Sa bouche suce à merveille. Ses fesses et ses cuisses sont faites pour être fouettés tous les jours. On va privilégier la sodomie, pendant son séjour et sa bouche.
L’inconnu me fait sucer son mandrin, quand un jet d’eau froide inonde mon anus.
Il éjacule dans ma bouche.
Il me verrouille mon collier et quand je sors de la baignoire, me met des bracelets à mes chevilles.
Libre, ensuite, les deux femmes me fardent et me parfument, je suis assise nue, pieds nus, cuisses écartées, dans une grande pièce entourée de miroirs et de glaces sur les murs, un imposant vibromasseur anal de huit de diamètre me fait onduler mon bassin. Je me retiens de jouir.
Je suis fardée, on m’enduit mes mamelons et mon clitoris d’une mystérieuse crème. Ils deviennent hyper sensibles, lorsque le pinceau passe sur mes mamelons et ces trois points sensibles pointent au maximum tout le temps, vingt quatre heures sur vingt quatre. Je ressens une douleur provoquée par le fait que mes mamelons et mon clitoris soient constamment tendus. Ils sont complètement tendus et très dur au point de lui faire vraiment mal et le moindre effleurement même involontaire devient une véritable torture tellement ces endroit sont devenus sensibles.
L’anus ouvert par le vibromasseur, je suis longuement enculée et sauvagement par l’inconnu, à quatre pattes sur le pouf. Il éjacule dans ma bouche.
Je mange ensuite avec mes doigts, agenouillée, cuisses écartées, sur le pouf.
Puis je suis conduite, les yeux bandés, menottée dans le dos, nue et en mules, dans une autre pièce, tenue en laisse par mon collier, escortée par les deux femmes et l’inconnu.
Sans ménagement, je suis à nouveau prise en double pénétration, soulevée par deux inconnus, on me fait sucer les mandrins des inconnus, m’enculent à plusieurs reprises, prosternée ou allongée sur le dos, les cuisses complètement ouvertes, un coussin sous les reins, des chaînes sont passées aux bracelets de mes chevilles pour m’immobiliser.
Un mandrin d’une forme différente me remplit l’anus entrouvert.
C'est le bulbe, ou noeud, composé de tissu musculaire qui se gonfle de sang pendant les rapports sexuels et gonfle à un diamètre significativement plus grand que celui du pénis lui-même. Une fois que l'ampoule du chien est plantée dans mon anus, je me détends. L'animal libère son sperme bien avant de s'attacher à moi et continue de le faire jusqu'à ce qu'il soit capable de se retirer. Je jouis pendant trois quart d’heure avec quatre violents orgasmes anaux.
Il se retire et un autre gros mandrin m’encule.
Agenouillée, libre, le buste reposant sur un pouf recouvert de fourrure, toujours les mains au dos, et les fesses plus hautes que le dos, je suis longuement enculée par trois inconnus, plus le mystérieux mandrin qui s’attache à moi, pour de nouveaux orgasmes anaux.
Profitant de ma position, on m’insère un mystérieux vibromasseur de vingt-six par cinq, avec une balle de tennis pour m’écarteler. Je le porte, avec ma ceinture de cuir, cadenassée.
Ma chatte est toute humide d’excitation, mes mamelons et mon clitoris sont tendus et me font un peu mal.
Je suis ensuite longuement baisée, la chatte resserrée, je jouis, la bouche suçant un autre inconnu.
On me retire mon bandeau, on me fait boire, puis prosternée, les yeux baissés.
Je découvre deux superbes dobermans.
On me présente la cravache, et une garcette, de cordes assez fines, faite de sept lanières terminées chacune par plusieurs nœuds, et qui sont toutes raides, trempées dans l'eau, en m’en caresse avec les cordes humides et froides contre la peau tiède de mes cuisses. Mon bassin ondule sur ce vibromasseur et ses puissants va-et-vient. Le summum des orgasmes anaux, serais-ce du à ces dobermans.
Je subis la garcette et je mouille comme sous les coups de cravache.
Il lance de nouveau les sept lanières avec vivacité, en visant le bas de mes fesses et les pointes des mèches viennent claquer.
Je compte les coups.
Lors d’une pause, on me libère du vibromasseur et le doberman Hadès me baise quelques instants, avec son nœud écartelant ma chatte humide puis il m’encule plus longuement, attaché à moi. Je ne compte plus mes orgasmes anaux. Il éjacule en moi puis il se retire, laissant sa place, mon anus entrouvert, dégoulinant de spermes canins, au sexe d’Apollo.
Pantelante, je m’abandonne à ma saillie anale canine.
Les hommes semblent satisfaits de moi.
Après l’éjaculation d’Apollo, un des hommes m’encule sauvagement, avant de me remettre le vibromasseur. Je suis à nouveau cravachée sur les fesses et les cuisses.
Chancelante, je suis habillée par les deux femmes qui portent la même tenue : sur un corset très baleiné, seins nus, qui sont remontés par le corset et rigoureusement serré à la taille, et sur une jupe assez courte, éventail et je chausse mes mules.
Accroupie, cuisses écartées, je suce les quatre inconnus qui éjaculent dans ma bouche. J’écoute le même discours d’Alban, en précisant que je suis fouettée tous les jours. A ma sortie, je porte un anneau de fer à l'annulaire, qui me fait reconnaître : j’obéis à ceux qui portent ce même signe - eux savent à le voir que je suis constamment nue sous mes vêtements, et que c'est pour eux. Si je suis indocile je reviens ici. On me conduit à ma cellule.
On me déshabille, pour voir les chaînettes et la ceinture, tout le monde peut voir que je porte le vibromasseur. Ma chatte ruisselle, l’excitation est à l’extrême, mes mamelons et mon clitoris me font un peu mal.
Escortée par les deux femmes, en tenue, par Hadès tenue en laisse, je rejoins nue, en mules, ma cellule. Aucune ne possède pas de portes, laissant visible les cellules, des femmes sont menottées soit à des chevalets soit à des Croix de Saint-André. Je me retiens de jouir, sous les coups de reins du vibromasseur.
« Tu es dans l'aile des Chiennes, et ton valet s'appelle Xavier.
- Quel valet ? dis-je saisie par la douceur de la voix, et comment t’appelles-tu ?
- Je m'appelle Aimée Chienne Sévices.
- Et moi Justine Anale Vicieuse », dit la seconde.
La première reprend : « C'est le valet qui a les clefs, qui t’attache et te détache, te fouettera quand tu es punie et quand on n'as pas de temps pour toi.
- J'ai été dans l'aile des Chiennes l'année dernière, dit Justine Anale Vicieuse, Xavier y est déjà. Il vient souvent la nuit ; les valets ont les clefs et dans les chambres qui font partie de leur section, ils ont le droit de se servir de nous.
Xavier est un superbe transsexuelle aux seins plantureux, doté d’un mandrin de trente par sept. Il est vêtu d’un corset et de cuissardes, exhibant son mandrin nu et libre, en érection, aux testicules portant des anneaux dorés.
Nous entrons. Xavier me retire le vibromasseur quelques instants et m’encule sauvagement, en prenant soin de faire glisser l'un dans l'autre les anneaux des bracelets, puis ces deux-là dans celui du collier. Je me trouve les mains jointes à la hauteur du cou.
Penchée en avant, je ne me peux me dérober.
Quel œillet de chienne, tu me plais, Chienne Miel.
La cellule était toute petite, et comporte en réalité deux pièces. On trouve une antichambre, qui ouvre sur la cellule proprement dite ; sur la même paroi ouvre, de la chambre, sur une salle de bains.
Il y a la fenêtre. Au milieu de la pièce, se trouve le chevalet similaire à celui chez Donatien. Il y a juste un tapis.
Xavier me libère les mains quelques instants, pour les accrocher à un crochet juste au-dessus de ma tête, dans la baignoire, accessible par des marches.
Je suis exposée devant un mur de glaces et au plafond, accroupie, cuisses écartées.
Justine Anale Vicieuse me frotte précautionneusement le dos et les fesses, en ayant soin de ne pas raviver le souvenir du fouet, Aimée Chienne Sévices me savonne les seins aux mamelons tendus, ma chatte, mon clitoris tendu. Je me retiens de jouir, surtout lorsqu’une canule m’inonde l’anus d’eau froide pour que je sois propre.
Xavier me fait sucer son mandrin, pendant la durée de mon bain.
Aimée Chienne Sévices sourit en partant, et Justine Anale Vicieuse, avant de la suivre, caresse, mes mamelons, je reste debout au pied du chevalet, interdite.
A la réserve du collier et des bracelets, de la ceinture de cuir, que l'eau a durcis lors de mon bain, et qui me serrent davantage, je suis nue.
Xavier me menotte au chevalet, me pose des pinces à mes mamelons tendus avec des clochettes, ainsi qu’à mes grandes lèvres de ma chatte humide.
Menottée, je suis à nouveau sauvagement enculée, avant d’être saillie par Hadès, qui passe une partie de la nuit en ma compagnie. Apollo est aussi présent, pour se relayer. Mon anus s’habitue à leurs calibres et à leurs nœuds. Je ne compte plus mes orgasmes anaux, ni mes fellations canines. Les valets sont juste là, pour me cravacher les fesses et les cuisses. Mon anus dégouline de spermes chauds canins.
Les valets caressent mes cuisses et mes fesses zébrées. Sans l’usage de mes mains, je ne peux me caresser, laissant ma chatte brûlante et mon anus ouverts aux sexes canins et aux valets.

18 mars
Aux dernières heures de la nuit, quand elle est plus sombre et plus froide, juste avant l'aube, Xavier me cravache les fesses et les cuisses et me fait sucer son mandrin pour le faire éjaculer dans ma bouche. J’avale tout.
Je regarde naître une lente aurore pâle, sur le parc, avec une pelouse, et au bout de la pelouse, une allée.
Les hommes portent à un anneau les trois sortes de clefs qui, chacune dans leur genre, ouvrent toutes les grilles, ou tous les cadenas, ou tous les colliers. Les valets les ont aussi. Mais au matin, ceux qui ont été de service la nuit dormaient, et c'est l'un des maîtres ou un autre valet qui vient ouvrir les serrures.
L'homme qui entre dans ma cellule, accompagné d'Aimée Chienne Sévices et de Justine Anale Vicieuse, est habillé d'un blouson de cuir, le gros mandrin nu et libre, les testicules percés d’anneaux dorés, et il est botté.
Il m’encule sauvagement, menottée au chevalet et éjacule dans ma bouche. Il me retire mes pinces. Mes mamelons restent encore tendus. Je mouille abondamment.
Il caresse mes fesses, mes cuisses et doigte ma chatte trempée. Je me retiens de jouir.
Il me libère du chevalet. Je déjeune, assise sur le chevalet, avant d’être prise en double pénétration par deux inconnus.
Je suis ensuite menottée au chevalet, longuement saillie par des dobermans et des bergers allemands. La saillie dure entre une bonne demi-heure à trois quart d’heure, en fonction de l’excitation de mes amants canins.
A midi, on me libère. Je porte à nouveau le vibromasseur anal canin, avec une balle de tennis pour le nœud. L’après-midi, après le déjeuner, nue au réfectoire, je suis promenée dans le parc, offerte aux dobermans et aux bergers allemands, prosternée, enculée le plus souvent, décuplant mes orgasmes anaux. J’ai droit à mon lavement anal avant mon orgie du soir avec des inconnus que je suce, tandis que les amants canins m’enculent jusqu’à l’aube.

23 mars
Mon clitoris est devenu gros comme une cerise, saillant et volumineux avec la mystérieuse crème tandis que mes mamelons sont aussi saillants, gros et longs, constants tendus vingt-quatre heures sur vingt-quatre. Ma chatte est rasée, mais je garde mon triangle pubien. Je porte des anneaux dorés aux grandes lèvres de ma chatte toute lisse et humide. Mon gros clitoris est percé d’un anneau doré serti d’une pierre précieuse.
On mesure chaque jour mon ouverture anale et on note chacune de mes punitions sur un petit carnet.

28 mars
Menottée, fouettée, suçant, offerte en orgie, je suis fière d’être une prostituée digne et docile. Je reste la plus grande partie de la journée, nue, prête à m’offrir au premier amant canin venu.
En début de l'après-midi, menottée au chevalet, fraîchement saillie par un dogue allemand jusqu’au nœud, l’anus dégoulinant de spermes canins, j’ai les yeux ouverts, Sven me caresse les cheveux.
On me libère du chevalet, je mets mon bijou d’anus, pour mon dernier bain.
J’ai droit à un ultime lavement avec une canule. Sven me brosse les cheveux, je me poudre, me farde et me parfume.
Je retrouve ma jupe éventail, et mon chemisier sans boutons, mes mules à hauts talons.
Je reste nue, pendant qu’on me défait mon collier et mes bracelets à mes poignets et à mes chevilles.
Je glisse ma bague à mon annulaire gauche. La bague est sertie d’un petit anneau.
Mais Sven m’attire pour examiner mes reins et mes fesses. Il passa les doigts sur les nombreuses traces du fouet, plus ou moins estompées selon leur ancienneté, sur les marques des carcans. Sven m’encule quelques instants, profitant de mon anus encore entrouvert.
Je mets ma jupe et mon chemisier. Je chausse mes mules.
Les portes sont fermées, l'antichambre est vide. Je tiens Sven par la main. L'inconnu qui nous accompagne ouvre les grilles, et que ne gardent plus ni valets ni chiens. A la demande de Sven, l’inconnu m’encule aussi et éjacule dans ma bouche, que j’offre, accroupie, cuisses écartées.
L’inconnu soulève un des rideaux de velours, et nous fait passer tous les deux. Le rideau retombe. La grille se referme. Nous sommes seuls dans une autre antichambre qui ouvre sur le parc. Nous descendons les marches du perron, devant  lequel je reconnais la limousine et son chauffeur. Je m’assois cul nu près de Sven, cuisses écartées, le chemisier ouvert, les seins pelotés, mes mamelons sont tendus.
A la sortie du parc, la porte cochère est grande ouverte, au bout de quelques centaines de mètres, la limousine s’arrête. Sven me fait descendre et le chauffeur m’encule sur la banquette, renversée en arrière, les genoux sur les épaules, son gros mandrin me remplit, en traction et en appui sur ses bras. Je me retiens de jouir. Il se retire et éjacule dans ma bouche.
Nous quittons le parc pour mon nouvel appartement.
J’habite désormais au dernier étage en face du 36. Toute ma garde-robe a été transférée, ainsi que mes meubles, en mon absence. L’appartement possède des pièces insonorisées, de nombreux miroirs et des glaces pour que je puisse me voir, nue, pour mes voyeurs. Il n’y aucune porte pour l’accès à chaque pièce. Ma douche possède une canule pour mes lavements. La soubrette Natacha, en fait un homme soumis, au mandrin équipé d’un harnais de chasteté avec une boule anale, en tablier, mules à hauts talons, maquillée, m’accueille.
Sven m’annonce :
- Petite pute Natacha est là pour t’habiller, te laver, mais elle a interdiction de te baiser et de t’enculer. Hermine est docile, mais si jamais, elle te désobéit, tu es libre de la cravacher. Tu peux te masturber devant Natacha, pour le rendre frustrée. Quand à toi, tu peux enculer avec tes gode-ceinture, Natacha, selon tes envies. Je lui fais retirer son harnais tous les trois jours, pour le laver.
- Sven, j’aurais préférée avoir un beau majordome Africain, bien monté, pour m’enculer.
- Patience, il faut t’habituer à ton nouveau statut de soumise. Tu as beaucoup de travail à remettre en forme.
Sven part. Natacha me déshabille et tente de me masturber sans mon autorisation.
- Dis donc, Natacha, tu bandes dans ton harnais. Tu me fais honte, à quatre pattes et tu vas compter les coups.
Je prends la cravache et lui cravache les fesses et les cuisses, comme j’ai reçu les coups par Xavier. Je me sens libérée. Je me regarde dans les miroirs, comme maîtresse.
Jusqu’au coucher du soleil, je reste nue, à faire mon travail, tandis que Natacha fait le service.
Je me prends un double plaisir sur mon double vibromasseur, maintenue par les chaînettes fixées à ma ceinture de cuir. Je ne compte plus mes orgasmes.
Un mandrin humain doit me combler.
Après ma douche, fardée et parfumée, on sonne. J’ouvre, c’est Désiré.
- Alors, Natacha fait sa pute, en présence de sa Maîtresse. Tu l’as corrigée.
- Oui, Désirée, Natacha se montre indocile en ma présence, mais j’ai envie de toi, pour m’enculer, ton mandrin doit satisfaire mon œillet bien ouvert de chienne.
- Natacha, tu vas lécher l’œillet de ta Maîtresse, puis je l’encule ensuite.
Sans attendre, l’anus lubrifié, je m’offre, en appui sur mes bras en arrière et sur mes jambes écartées. Je me retiens de jouir, coulissant sur le gros mandrin de Désiré, tenue aux hanches.
Sans débander, je m’allonge sur le lit, j’enserre la taille de Désiré, mes pieds s’appuient sur ses jambes et je connais mon orgasme anal, l’anus largement inondé.
Natacha suce et nettoie Désiré.
Prosternée, Désiré m’encule à nouveau, latéralement, puis il enjambe mes fesses brûlantes par les coups de cravache, pour mes râles de plaisir. Il éjacule encore.
Pantelante, je lui offre une bonne douche commune, où nous masturbons nos sexes, son gros mandrin, ma chatte et mon anus une fois propre. Je jouis sous ses caresses, de mes seins aux mamelons tendus

Dans les jours qui suivent, je reçois fréquemment jusqu’à cinq amants bien montés simultanément, pour me prendre en double pénétration avec des gaines à picots, les sucer, avaler leurs spermes, peu après mon lever jusqu’au coucher du soleil. Je suis payée comme une prostituée, une partie de l’argent revient à Sven et Donatien. Le reste est utilisée pour compléter ma garde-robe. J’aime de plus en plus me promener, les seins, les fesses, les cuisses nus, le vent effleurant mon gros clitoris constamment tendu.
Je m’assois toujours fesses nues sur les chaises et les tabourets des restaurants et des bars, avec mon gros bijou d’anus moulé sur le devant du sexe du dogue allemand. J’aime avoir l’anus bien rempli.
Tel un rituel, aux toilettes pour hommes, je suis enculée par les amis de mes amants.
Au coucher du soleil, je me gode jusqu’à l’orgasme, avec des vibromasseurs réalistes, me rappelant combien je suis doublement ouverte.
Je me relaxe sous ma douche.

5 avril
Encore, nue et en mules, dans mon appartement, après une nuit d’orgie chez Sven, je me doigte ma chatte resserrée par le bijou d’anus, pour retarder mon orgasme.
- Tu es nue, ma belle prostituée, m’annonce Alban.
- Oui, je suis nue.
- Tu as gardé ta bague ?
- Oui, j’ai gardé ma bague.
- Ce soir, tu es présentée à Sir Sacha Brice de Dressage de Mille Vices. Il paraît qu’il connaît bien ta famille. Il rêve de te fouetter et de t’enculer, comme sur les photos et les vidéos du « Manoir ».
- J’accepte de le rencontrer.
- Tu mets ton corset, ta jupe éventail, fardée et parfumée et le vibromasseur anal canin, maintenue par tes chaînettes comme au « Manoir », cadenassée. Sacha possède les clés.
Il raccroche.
Je déniche le vibromasseur et ma ceinture de cuir avec ses chaînettes. Je me retire mon bijou d’anus, exhibant mon anus bien lubrifié.
Je m’insère le vibromasseur vingt-six par cinq, la balle de tennis m’écartèle bien. Je le porte quelques heures, avant la soirée, pour me préparer.
Ma chatte mouille et mon bassin ondule tandis que je continue mes occupations quotidiennes. Je ne compte plus mes orgasmes, me rappelant les saillies anales canines du « Manoir ».
Je me le retire, me douche, me farde, me parfume à trois reprises, laissant sécher le parfum et m’habille pour l’heure dite.
Vers dix-neuf heures, habillée, avec mon boléro fermé au cou, en mules à mes pieds nus, coiffée d’une queue-de-cheval, je reçois la visite du chauffeur de la limousine qui est venue me chercher au « Manoir », le 28 mars.
Il vérifie que le vibromasseur soit bien inséré dans mon anus bien lubrifié et le cadenasse avec les chaînettes.
Je m’assois à ses côtés, la jupe relevée, cuisses écartées, exhibant ma chatte épilée à son regard. J’enlève le boléro pour que les épaules et les seins soient nus, et sans même enlever le boléro, de l'ouvrir, si l'on désire voir les seins aux mamelons constamment tendus tout comme mon clitoris. Nous prenons un coupé.
Nous tournons peu après le 63, pour longer la rivière, jusqu’à un discret restaurant. Je me retiens de jouir sous les va-et-vient dans mon anus en feu.
Devant l’entrée du restaurant, se trouve Alban. Il m’aide à sortir de la voiture.
Il me présente à Sir Sacha, un homme un peu plus âgé que moi, accompagné de son berger allemand, Adam. Adam me lèche aussitôt la chatte humide, tandis que Sir Sacha me fait le baise-main.
Je monte les escaliers en premier, précède les invités de quelques marches, qui regardent mes fesses nues zébrées et ma chatte épilée. Adam me talonne, en me reniflant les genoux.
A l’étage, nous allons dans un cabinet particulier.
- Déshabille-toi, je te veux assise nue entre nous deux.
J’obéis, malgré la présence des livreurs et la montée de mon orgasme anal.
Nue, en mules, avec ma ceinture et mes chaînettes, je m’assois sur le divan, au cuir froid, avec Alban à ma gauche et Sacha à ma droite et Adam entre mes cuisses écartées, me léchant profondément ma chatte resserrée.
Je partage mes plats avec Adam, je mange ma viande glissée dans ma chatte.
Peu avant le dessert, Alban m’invite à me pencher en avant, sur la table. Sacha me retire le vibromasseur et m’encule sauvagement à plusieurs reprises, tout en me laissant mon clitoris tendu à la langue d’Adam. Je tente de résister à mon orgasme anal, qui se produit. Je suis fessée magistralement. Je dois nettoyer le gros mandrin de Sacha, du même calibre qu’Alban.
- J’oublie, je suis un de tes cousins. Cela faisait longtemps, que je souhaitais t’enculer et ton amour des chiens va me combler. Adam et son frère Balzac vont te saillir, ma belle prostituée.
Je me rassois, l’anus libre.
Les deux hommes m’embrassent langoureusement, me pelotent les seins, jouant avec mes mamelons tendus, je ne peux résister au léchage de mon clitoris tendu et je jouis.
A la fin du repas, un des serveurs m’encule aussi sauvagement. Rhabillée de ma jupe et de mon boléro, je descends aux toilettes, en compagnie d’Alban.
Dans les toilettes pour hommes, il m’annonce :
Je vais te faire enculer ici, comme au premier repas au restaurant et fesser par des inconnus.
Penchée en avant, me soulageant, cinq clients se relaient pour m’enculer et me fesser, en donnant des billets à Alban.
Je les nettoie tous.
Le chauffeur me conduit ensuite chez Sir Sacha, au 240, qui abrite un hôtel particulier relié par un tunnel derrière une porte cochère.
Je suis accueillie par Horace, un superbe étalon Africain, bien monté.
Balzac me fait la fête.
Au salon, nue, allongée sur le dos, sur le tapis, cuisses écartées, je m’abandonne jusqu’au nœud, baisée puis enculée jusqu’au nœud. Je ne compte plus mes orgasmes. Je l’enserre avec mes jambes, pour mieux le recevoir plus profondément.
Quand Alban et Sacha reviennent avec Adam, ils sont satisfaits de ma prestation.
La saillie dure trois quart d’heure
Je nettoie Balzac, tandis qu’Adam me réclame aussi. Prosternée, je suis enculée jusqu’au nœud avec de nombreux orgasmes, à nouveau l’anus inondé de spermes canins.
- C’est une vraie chienne, ses amants la comblent, dit Sacha. Son œillet est bien ouvert, par les saillies du « Manoir ».
Elle n’a rien à envier aux chiennes.
- L’œillet est facile, préparé, pour votre usage, Sacha.
- Ah ! volontiers.
Ces mots me rappellent le « Manoir ».
Sacha m’encule, tout en me rappelant :
- Tu es ma prostituée, dressée, éduquée. Désormais, ta bouche très bien dressée, cravachée, fouettée, tu ne peux te dérober. Prends ton plaisir, je t’autorise.
En plein orgasme anal, il éjacule dans mon anus, mêlant son sperme aux spermes canins.
Alban m’encule aussitôt, tandis que je nettoie Sacha. Atlas et Balzac se reposent, en me regardant jouir.
J’avale leurs spermes.
Comme promis, Sacha me fouette les fesses et les cuisses, que j’offre prosternée.
Je compte les coups.
Atlas et Balzac sont en érection à nouveau.
Sacha se couche sur le dos, je m’empale ma chatte sur son gros mandrin, tandis que Balzac m’encule jusqu’au nœud et éjacule en moi.
Pantelante, je dois m’enculer sur Atlas, qui est couché sur le dos, comme un humain, empalée doucement dessus. Son nœud m’écartèle l’anus. Je me retiens de gémir, mais le plaisir anal me submerge.
A peine Atlas s’est retiré, mais il veut me baiser. Je m’aplatis sur Atlas, écartant bien mes fesses, son nœud écartèle ma chatte trempée et Balzac m’encule simultanément, le double plaisir m’envahit.
Et lorsque les deux chiens éjaculent, à quelque minutes d'intervalles, je sens mes orifices abondamment trempés de sperme tiède, qui sort de ma chatte et de mon anus, dégoulinant le long de mes jambes, je connais un tel orgasme que la tête me tourne et que je manque à m’évanouir, dès leurs retraits.
Je dois porter un double gode canin, pour ne pas perdre le précieux sperme.
Sacha me remet mon collier similaire à celui du « Manoir », ainsi mes bracelets aux poignets et aux chevilles.
Je suis baignée, à l’eau tiède par Horace, dans une grande salle de bains entièrement recouvertes de glaces sur les murs et au plafond.
Je suis ensuite menottée à mon lit, dans une grande et luxueuse chambre, entièrement recouverte de glaces et de miroirs sur les murs et au plafond, sans aucun rideau. Je suis écartelée, la chatte et l’anus libres, propres, bras et jambes écartées, une chaîne est fixée à mon collier.
Dans la pénombre, à tour de rôle, Atlas et Balzac viennent soit m’enculer soit me baiser. Un bâillon-boule étouffe mes râles, je suis longuement inondée de leurs spermes.
Dans le milieu de la nuit, après quelques coups de cravache sur l’intérieur des cuisses, je suis menottée sur le ventre, un coussin sous le bassin, pour mieux présenter mes fesses, qui sont cravachées et fouettées. Je mouille abondamment, mes mamelons et mon clitoris sont tendus à l’extrême, par l’air frais.
Atlas et Balzac m’enculent uniquement dans cette position. Je suis épuisée par mes orgasmes anaux de plus en plus violents.

6 avril
Au lever du soleil, je sens la chaleur sur mon dos, mes fesses sont encore brûlantes, zébrées, mon anus dégouline abondamment de spermes.
Horace me libère, me donne mon petit déjeuner, me baigne longuement avec un lavement anal, pour que je sois propre.
Je passe la journée chez Sacha, à sa demande, pour rédiger mon éducation depuis ma défloration par Alban, mon séjour au « Manoir ».
Le salon est vide, les persiennes et les rideaux sont ouverts. On aperçoit, face au sofa, un jardin étroit et vert.
Je reste constamment nue et en mules, me faisant fréquemment enculée par Atlas et Balzac. Je m’empale dos à chacun, enculée jusqu’au nœud. Ils se couchent sur le dos, pour me recevoir. Ma chatte est comblée par le gros mandrin de Sacha ou d’Horace. Ils éjaculent sur mon pubis et le sperme canin inonde mon anus écartelé.

Pendant un mois, je reste chez Sacha, rédigeant mon éducation et les mémoires d’Alban. Je suis souvent fouettée, en présence d’amis de Sacha, les yeux bandés, enculée à tout moment, ne pouvant identifier si ce sont des hommes ou les chiens des amis.
Je promène en boléro, guêpière seins nus et jupe éventail, en mules, Atlas et Balzac dans le parc voisin, attirant les regards masculins. Je garde toujours les yeux baissés, la bouche entrouverte, l’anus rempli par le gode canin d’un doberman. Mon bassin ondule. La guêpière seins nus est étroitement lacée, tenue rigide par de larges baleines très rapprochées, courbées vers l'intérieur au ventre et au-dessus des hanches, qu'un busc, sur un côté derrière, permet de boucler et de déboucler et par-derrière aussi, un large laçage se serre ou se desserre à volonté. Ma taille et mon ventre se creusent sous la pression des baleines, qui sur le ventre descendent presque jusqu'au pubis, qu'elles dégagent, ainsi que les hanches. La guêpière est plus courte par-derrière et laisse la croupe entièrement libre.
Un après-midi, je suis suspendue, nue, pieds nus, debout, à un crochet au plafond, les bras levés et joints, faisant saillir mes seins aux mamelons tendus emprisonnés dans des pinces à seins à clochettes, que je porte aussi aux grandes lèvres humides de ma chatte humide.
La clochette en métal fixée par un anneau s'anime au moindre mouvement, émettant un tintement cristallin, qui tintinnabulent à chaque mouvement mammaire et entre mes jambes.
Je porte un bâillon-boule chaque fois que je suis fouettée et cravachée devant ses inconnus.
Sir Sacha caresse mes seins, puis les baise.
Il me prend doucement aux cheveux. Balancée par la chaîne, elle chancèle sur mes pieds nus.
Je me rappelle toutes les mandrins que j’ai sucé, toutes les mains qui m’ont saisi les seins et la chatte, toutes mes sodomies, font de moi la preuve qu je suis une prostituée.
Je porte d'épaisses balafres violettes faisaient comme des cordes en travers des épaules, du dos, des fesses, du ventre et des seins, et parfois s'entrecroisent. De place en place un peu de sang perle.
Lors des sorties au restaurant, je suis nue et en mules, fardée et parfumée, l’anus enduit de miel, pour mes futures saillies canines, avec un harnais dorsal à menottes qui me prive totalement de l’usage de mes mains et de mes bras. Les menottes sont attachées très aisément à la sangle dorsale, avec une très large collier en cuir. Je porte un imperméable assez court, sur mon corps nu.
Je mange nue, nourrie par Sir Sacha, la chatte et le clitoris livrés à la langue d’Atlas ou de Balzac selon leurs envies. A chaque partie du repas, de l’entrée au café, je suis sauvagement enculée par des inconnus qui éjaculent sur mes fesses, avant mon orgasme anal. des fois, les serveurs viennent m’enculer aussi. Je nettoie toujours celui qui m’a enculée.
Aux toilettes pour hommes, le rituel reprend, moyennant des billets pour ma prostitution.
Nous faisons toujours le trajet à pied à l’aller et au retour, ainsi les regards masculins peuvent voir par mon imperméable non boutonné, qui s'ouvre quand je marche puisque je ne peux le retenir, ayant les mains attachées derrière le dos, que je suis nue.
Certains n’hésitent à m’enculer dans des ruelles, sous la surveillance d’Atlas ou de Balzac.
Je suis saillie et fouettée pour mes fautes commises dans la journée.
Je passe la nuit trois fois par semaine en compagnie de Sir Sacha, qui m’encule ou me baise, tout en offrant ma chatte ou mon anus à Atlas et Balzac, les mains libres, pour des doubles pénétrations jouissives. Sir Sacha me laisse fréquemment son sperme dans ma chatte, tout comme Horace, Alban, Sir Donatien, Sven, Nathan, qui sont mes Maîtres. Ma chatte est rarement nettoyée du sperme.

5 mai
Lors d’un souper, en compagnie d’Horace, Alban, Sir Donatien, Sven, Nathan, Sir Sacha et Atlas et Balzac, je m’empale enculée, assise entre leurs cuisses, jusqu’aux testicules, leur offrant mes seins, ma chatte, mon clitoris, mes reins, mes fesses zébrées, mon cou. Désormais, je porte un discret collier avec une chaîne reliée à l’anneau de mon clitoris percé et scellé, prouvant mon statut de soumise.
Je mange plus ou moins épicée, salée et sucrée. La viande, les légumes et les fruits passent dans ma chatte humide, pour mélanger les goûts à ma mouille de soumise. Je dois absolument retarder mon orgasme anal, avant une longue éjaculation en bouche de mes amants, j’avale tout.
Pantelante, je suis offerte en double pénétration chez Sir Sacha, suçant tous mes amants, saillie aussi par Atlas et Balzac jusqu’au nœud, filmée et photographiée comme au début de mon instruction.

6 mai
Je retourne à mon appartement, ma pute Natacha se montre plus docile, fréquemment enculée lors des visites d’Atlas et de Balzac, que je promène au parc tout proche.
Bien sûr, je prends mon plaisir, en double pénétration avec Atlas et Balzac.
Je réponds aux appels téléphoniques de Sir Sacha, pour des rendez-vous dans des adresses discrètes, à toute heure de la journée, pour des séances offertes à des inconnus, les yeux bandés, qui me fouettent et m’enculent, je les suce pour avaler leurs spermes et pour récompense, je suis saillie enculée par leurs chiens allant du berger allemand, au doberman, telle une bonne chienne.
Je touche ma part en argent versé sur mon compte personnel bien rempli, depuis mon instruction.
Le premier livret de mon instruction ave mes photos est remis à mes clients.
Sir Sacha vient aussi dormir en ma compagnie à mon appartement et dresse Natacha. Sir Sacha aime enculer Natacha, sa petite pute, tandis qu’Atlas et Balzac me prennent en double pénétration.
Natacha doit se rendre au « Manoir », dans la section des petites putes, pour compléter son instruction.
Reconnue comme soumise de premier choix, mon carnet d’adresse s’étoffe de noms de Maîtres, qui m’éduquent à leurs règles, je me montre docile avec eux.

9 mai
Sir Sacha m’offre à son gynécologique de soumise.
Menottée, nue sur le fauteuil gynécologique, cuisses écartées, je suis fouillée par le spéculum, l’écarteur anal, prise de température de ma chatte et de mon anus et en bouche, lavement anal, emploi de divers gros godes, vibromasseurs dans mon anus et je reçois aussi une sonde rectale avec un ballonnet qu'on gonfle une fois introduit à l'intérieur de mon anus.
On me libère du fauteuil gynécologique, j’ai des difficultés pour uriner par compression, et le gynécologue et Sir Sacha me baise en même temps.
Puis on combine une sonde urinaire dont le ballonnet est gonflé dans ma vessie ; je garde ma sonde rectale et un gros gode me rempli la chatte. je dois garder l’ensemble une bonne demi-heure.
Je garde ensuite la sonde rectale uniquement, maintenue par une ceinture qu'il n'y paraît de prime abord : certains anneaux qui en ornent le tour sont montés au bout d'une chaînette sur un enrouleur assez dur : celui au centre à l'arrière est tiré, ainsi que deux par devant, à l'aplomb des cuisses. Ces deux-là suivent mes aines, l'autre ma raie fessière, les trois anneaux sont mis en parallèle avec celui qui ressort de mon anus, un petit cadenas relie les quatre, et le tour est joué : même avec mes mains libres, je ne peux pas retirer la sonde qui me dilate l'anus.
Je reçois dans ma chatte et mon anus ou en double pénétration des godes lisses qui finissent par me faire mouiller en peu, ou ornés de picots ou autres excroissances qui me font très mal et me donnent l'impression qu'on m'arrache la chatte ou l’anus. je dois aussi porter des pinces à mes grandes lèvres, mon anus reçoit aussi des glaçons.
Après deux heures d’examen gynécologiques, je suis sauvagement enculée par Sir Sacha, le gynécologue et son assistant, le sosie d’Horace, avalant leurs spermes en bouche.
Les rendez-vous ont lieu trois fois par semaine.

12 mai
Je suis invitée comme soumise à une soirée dans un club privé SM, fouettée, enculée par des inconnus, sur des chevalets, des Croix de Saint-André, suspendues par des chaînes, ne connaissant jamais ceux qui me prennent, me fouettent, la bouche bâillonnée, pour étouffer mes râles de plaisir sous le fouet. Les Maîtres aiment ma chatte humide, qu’ils doigtent, ainsi que mon gros clitoris, les pinces me sont posées à mes mamelons et à mes grandes lèvres de la chatte, pour les étirer.
Les rendez-vous se succèdent tous les deux jours, pour que je puisse me reposer et reprendre des forces.

16 mai
Vêtue de mon boléro et de ma jupe éventail, en mules, Sir Sacha me conduit en jet privé sur une île qui abrite un chenil pour chiennes soumises.
Je passe la journée, nue, avec mes carcans de cuir, tenue en laisse par mon collier, cravachée sur les fesses, prosternée, avec les nœuds des chiens qui m’enculent. Les saillies durent entre une demi-heure et trois quart d’heure par amant canin. Aussi, j’ai droit, menottée à un chevalet, filmée et photographiée à être enculée par une dizaine de chiens de garde allant du berger allemand au dogue allemand, connaissant de nombreux orgasmes anaux, l’anus dégoulinant de spermes et suçant à chaque fois celui qui m’a enculée.
Je suis rincée au jet à l’eau froide, menottée, les bras tendus en l’air, sur la pointe des pieds, les cuisses écartées, une canule m’inonde l’anus d’eau froide, pour me nettoyer.
Les saillies ont lieu à n’importe quel moment de la journée. On note le nombre de saillies sur un petit carnet personnel.
Les invités m’enculent et me fouettent sur le dos, les fesses et les cuisses. Je les suce en échange de leurs spermes en bouche.
Le soir, je suis menottée nue au sous-sol, après ma douche, une chaîne fixée à mon collier, allongée sur le dos, bras écartés, cuisses écartées, je suis sauvagement enculée par les invités et les amants canins qui m’ont saillis dans la journée. Je suis aussi prosternée pour les mêmes sodomies au cours de la nuit, bâillonnée. Je me comporte comme une vraie chienne, mangeant avec les doigts les bananes, les concombres, les courgettes, les carottes qui sont passées dans mon anus, après m’avoir rempli ma chatte pour m’obliger à retenir mon orgasme vaginal. Sir Sacha est le seul à me baiser fréquemment et à éjaculer en moi.

25 mai
Le gynécologue lors de sa visite, remarque je n’ai plus mes règles, signe d’une grossesse. Je ne connais pas l’heureux élu.
Ce début coïncide à mon retour à l’aile des chiennes.
Je loge dans l’aile en vis-à-vis dite l’aile des soumises dociles.
Je me baigne, je porte mes carcans en fer.
Je suis aussitôt ferrée aux grandes lèvres, je porte aussi un tatouage à l’encre noire sur mes reins « CS Miel Bouche Dressée », mes fesses sont marquées au fer rouge « S et V » pour Sacha et Vices, plus la marque officielle de l’aile, sur la face externe de la cuisse gauche, assez haut pour être couvert par une tunique courte, je suis menottée à un chevalet, bâillonnée pendant toute la durée de la marque au fer rouge et le tatouage de mes reins.
Les fers sont des anneaux de fer mat inoxydable. La tige en est ronde, épaisse comme un gros crayon de couleur, et ils sont oblongs : les maillons des grosses chaînes sont semblables. Chacun est formé de deux U qui s'emboîtent l'un dans l'autre. Un ressort intérieur forcé pour le faire pénétrer dans la rainure où il se bloque. Chaque anneau est long comme deux phalanges du petit doigt, qu'on y pouvait glisser. A chacun est suspendu, comme un nouveau maillon, ou comme au support d'une boucle d'oreille un anneau qui doit être dans le même plan que l'oreille et la prolonger, un disque de même métal aussi large que l'anneau est long.
On me rase intégralement le pubis pour que je redevienne une jeune fille, mes jambes sont intégralement épilées, on épile tous les poils disgracieux autour de ma chatte et de mon anus légèrement ouvert, suite à mes multiples saillies. Je dois désormais restée toute lisse à tout instant de la journée.
Je porte désormais une robe dos nu transparente, au décolleté en V, laissant apparaître mes seins aux mamelons constamment tendus, mon clitoris constamment tendu, par l’ouverture du devant au-dessus du pubis lisse et par une fente discrète de la taille jusqu’à mi-mollet, la longueur de la robe, en mules, coiffée d’une queue-de-cheval, dépassant de ma cagoule transparente, laissant apparaître mes yeux baissés, et ma bouche entrouverte, maquillée et parfumée comme les autres soumises.
Je travaille l’après-midi au bar et au restaurant.
Le matin, à l’aube, je suis fouettée comme l’ensemble des soumises et sauvagement enculée par le valet qui m’a libérée de mon lit. Chaque nuit, les clients qui le désirent, m’enculent, me fouettent selon leurs désirs, j’ai aussi leurs chiens qui viennent me saillir enculée, tout comme en journée à tout heure.

Mon ventre augmente petit à petit de volume après quelques semaines, quelques mois. Je suis enculée tous les soirs. Je reste superbe et désirable : ses jambes et ses hanches ont gardé leur finesse première. Il n'y a que mon ventre et mes seins qui augmentent de volume. Je fais un régime draconien et du sport tous les matins pour garder un corps ferme et désirable.

Après ma grossesse, je retrouve Alban, que j’épouse et je continue à fréquenter le « Manoir », comme soumise.

Venez me retrouvez, appelez chienne Miel, mon œillet sera ouvert à vos désirs, mes admirateurs.