Je m’appelle Prudence. Je suis issue d’une famille
noble, bourgeoise, future princesse.
Ma vraie identité est Prisca Rose Ursula des Hauts
de Mon Castel.
J’ai 18 ans.
Je suis une jolie beauté scandinave.
Je suis une
brune aux yeux verts. J’ai des pieds fins et latins, des jambes longues
bronzées, musclées qui inquiètent par leur perfection. Mon pénil est bombé,
ouvert, couronné de noir. Ma pilosité brune couvre mon pubis. Je suis
totalement velue entre les cuisses et j’ai une superbe croupe. Les lèvres de mon
sexe sont une plaie rouge entre mon entrecuisse velue. Mes hanches s'incurvent
et délimitent le ventre plat, délicieusement renflé autour du nombril, les
hanches sont larges et rondes, mais sans lourdeur. La taille est affinée. Les
seins parfaits intégralement bronzés sont un peu volumineux mais fermes, et
leurs pointes marron clair, toujours dressées, cernées par une large aréole
marron attirent le regard. J’ai une peau lisse et patine. Finition parfaite, un
seul grain de beauté entre mes superbes seins. De longs cheveux plats blonds
flottant comme des algues, battent mes épaules rondes et gracieusement
athlétiques. Je suis intégralement bronzée. Mes yeux verts limpides s'allument,
ma bouche charnue se fend. J’ai des sourcils bruns bien dessinés et des lèvres
pulpeuses. J’ai de longs doigts fins et de belles mains. Je fais du 85B de
poitrine, 56 de taille, 90 de hanches, 1,72 m.
COURS
SPECIAUX POUR BOURGEOISE
Je suis
lesbienne et j’entretiens de bonnes relations sexuelles avec mes copines de
lycée et de collège. J’ai toujours refusé de me faire enculer par un homme ou
une femme, je veux rester vierge.
J’ai connu
une éducation stricte religieuse, entourée de filles et de femmes, sans aucun
contact avec les hommes, depuis l’âge des 15 ans.
J’ai
toujours vécu au pensionnat.
Mes
parents, qui m’ont éduqués avec une soubrette pour mon séjour à notre résidence
privée.
Cette
année, le 15 mars, la limousine me dépose devant un mystérieux lieu, entre la
forêt et la campagne, à cinq heures de route du centre-ville le plus proche.
Je suis
vêtue d’un tailleur noir sur mon chemisier blanc, cachant mon ensemble en
dentelle blanche, avec un soutien-gorge, un slip et un porte-jarretelles, des
bas blancs et des escarpins blancs, coiffée d’une queue-de-cheval.
Dès le
franchissement du portail, je suis toisée par Madame Victoria, l’adjointe du
chargé de l’éducation.
Je ne suis
pas toute seule, il y a d’autres filles de mon âge.
- Voici,
Prudence, qui viens du lycée Sainte Emmanuelle, encore vierge. Nous ferons de
toi, une femme bien éduquée.
Alignée
avec les autres filles, je suis la première a passé l’examen médical.
Je rejoins
le rez-de-chaussée. Deux superbes étalons musclés me toisent. Un superbe
africain et un bel européen m’ordonnent :
- Enlève
ta jupe et, ta veste, ton chemisier !
J’obéis.
Je suis juste vêtue de mes dessous.
-
Maintenant, baisse ton slip sur tes genoux et mets tes mains dans le dos.
Tourne-toi et penche-toi. C'est mieux, c'est même superbe. Retire ton
porte-jarretelles et tes bas, ton soutien-gorge et allonge-toi sur le fauteuil.
Je me
retrouve nue, exhibée, cuisses écartées dans le fauteuil gynécologique.
- As-tu déjà reçu la fessée ou le martinet ?
- Oui,
quand j'étais au collège.
L’africain
Désiré me pelote les seins, tandis que l’européen Brice me fouille ma chatte
velue.
Puis Brice
me met un spéculum pour vérifier ma virginité.
Brice
enfonce alors son mandrin long de trente par sept dans ma chatte et il me
déflore. Je suis trop absorbée par le plaisir, mes mamelons se tendent à
l’extrême tout comme mon clitoris.
Il me
provoque un orgasme que je ne peux retenir.
Elle
réagit bien. Sa chatte est un peu étroite, pour une ancienne vierge. Mais son
séjour va l’ouvrir davantage.
Désiré
m’enfonce son mandrin de trente-six par sept dans ma bouche. Je tente de lui
donner du plaisir en le suçant.
Il éjacule
dans ma bouche, mais bande à nouveau et me baise quelques instants.
- Brice,
je m’occupe de son œillet, à notre jeune vicieuse. Elle sait sucer, mais
quelques queues en bouche vont la perfectionner.
Désiré m’encule
en douceur, tout en masturbant mon clitoris et les doigts de Brice dans ma
bouche. La douleur anale devient un plaisir.
Détendue,
je le reçois jusqu’aux testicules. Il éjacule en moi.
Il me met
un objet froid dans l’anus. Il mesure six par trois, pour 34 grammes. Je ne
peux l’expulser car la forme en sapin et sa large base vous garantissent un
excellent maintien dans l’anus. La section qui relie les deux extrémités est
très fine et douce afin de laisser l’anus se refermer dessus sans gêne. La tige
de la taille de l’auriculaire sert de support lorsque le sphincter se referme.
Il
resserre les parois vaginales, ce qui augmente agréablement la pression sur le
mandrin lors de ma prochaine baise simultanée au port du bijou d’anus. Il
détends les sphincters anaux pour apprivoiser le plaisir anal, les contractions
des muscles anaux provoquent un immense plaisir qui se propagera dans tout le
bas-ventre.
Nue, pieds
nus, je passe un long interrogatoire sur ma vie depuis ma puberté.
Je suis
longuement douchée, avec interdiction de cacher mes seins et mon pubis. J’ai
droit à mon premier lavement anal et la remise du bijou d‘anus.
Ma tenue
est un chemisier sans boutons, sur mes seins nus, une jupe éventail s’arrêtant
à mi-cuisses, avec un porte-jarretelles et des bas, sur mes fesses nues et des
sandales à très hauts talons, la queue-de-cheval obligatoire, fardée et
parfumée avant l’habillage. Je dois respecter les instructions pour le
maquillage et le parfum.
Mes
paupières sont légèrement ombrées, j’applique au pinceau sur ma bouche avec un
rouge clair, un peu liquide, et qui fonce en séchant. Je me peins du même rouge
l'aréole et les mamelons, et les petites lèvres de ma chatte, en soulignant la
fente du giron. Je me poudre poudrer le visage. Je me parfume longuement passé
mes aisselles lisses, ma fourrure pubienne, dans le sillon entre mes cuisses,
dans le sillon sous les seins, et au creux des paumes.
Puis on
m’applique sur mon clitoris une mystérieuse crème, qui devient gros comme une
cerise, saillant et volumineux et sur mes mamelons, qui sont aussi saillants,
gros et longs.
Habillée,
je retrouve les autres filles dont ma rivale, une blonde aux seins plantureux,
Aimée, pour sa première année, une autre, une brune aux cheveux courts, aux
petits seins de la seconde année, Belle et une troisième, une rousse aux seins
plantureux, de la seconde année, Anne Charlotte. Les secondes années sont
vêtues de jupes amples courtes largement fendues devant sur leurs pubis et
leurs chattes totalement lisses, avec des anneaux à leurs grandes lèvres de
leurs chattes et un anneau perçant leur gros clitoris. Elles portent un boléro
sur leurs seins nus et des mules à très hauts talons.
La matinée
est consacrée aux cours sur le plaisir sexuel avec théorie et pratique. Je suis
désignée d’office pour les positions sexuelles avec chacun de mes professeurs
masculins, Alban pour les fellations, Charles Edouard pour les plaisirs
mammaires, Dan pour les plaisirs vaginaux et Victor Xavier pour les sodomies.
Je suis
prise par chacun.
En une
matinée, six hommes m’ont donné du plaisir. Je mouille abondamment après chaque
exercice.
Nous
prenons nos repas au réfectoire, nues, après la douche et une heure de vélos
d’appartement, munis de doubles vibromasseurs pour écarteler nos chattes et nos
anus vierges. Mon anus devient un peu plus sensible, mes mamelons et mon
clitoris se tendent davantage, par l’air frais et les caresses que je reçois.
Nous
faisons une heure de masturbations clitoridiennes et anales, pour maîtriser nos
orgasmes.
Puis nous
faisons une heure de gymnastique, nues, exhibant nos chattes au professeur
Jason, un bel Africain, bien monté. J’en fais les frais. Son mandrin de
quarante par sept m’encule lors de séances de pompes.
Enfin,
nous passons deux heures à la piscine, nues, avec nos bijoux d’anus.
Sous la
douche commune, je suis caressée par Aimée, que j’embrasse langoureusement.
Nous
jouissons ensemble.
Mais après
la douche, encore nue, je suis convoquée chez le directeur adjoint, en charge
du règlement intérieur. Nue, je regarde fixement ce bel étalon, du double de
mon âge.
- Alors,
Prudence, l’éducation stricte est ignorée. Tu mérites la cravache, la garcette
ou la fessée, au choix.
Je baisse
les yeux et n’ose répondre.
Il me
présente la cravache de fin bambou gainé de cuir et une garcette, de cordes
assez fines, faite de sept lanières terminées chacune par plusieurs nœuds, et
qui sont toutes raides, trempées dans l'eau, car il me caresse l’intérieur de
mes cuisses écartées, les cordes sont humides et froides contre la peau tiède
de mes cuisses.
- Je veux
être fessée.
Je me
retrouve solidement immobilisée à un chevalet, dans cette posture dégradante,
le postérieur plus haut que la tête. Mes bras sont fixés le long des pieds
avants, mes jambes le long des pieds arrières, et une large sangle m'est passée
au niveau de la taille. Mes cuisses, légèrement fléchies sont empêchées de se
resserrer par la largeur de la poutre, ainsi d'ailleurs mes fesses que je me
peut refermer. Toute mon intimité est ainsi très accessible.
Il me
retire le bijou d’anus et me fait sucer son mandrin trente par six, me remplit
bien la bouche.
La
cravache cingle mes fesses. Je mouille.
Il se
retire et regarde mes fesses brûlantes zébrées.
- Tu
apprécies que je te cravache, Prudence.
- Non,
Monsieur, mes fesses me brûlent.
Il retire
le bijou d’anus et découvre mon anus bien lubrifié.
Il
m’encule, tout en cravachant le devant de mes cuisses.
Je connais
un violent orgasme anal. Il se retire après avoir éjaculé lors de mon orgasme.
J’ai droit
à cinquante fessées que je dois compter.
- J’espère
que ta liaison lesbienne avec Aimée est finie. Sinon, tu seras punie. Je ne
veux plus de regards levé sur celui qui te parle ou t’encules : tu ne dois
jamais regarder un de nous au visage, mais uniquement ma queue. Tu es fouettée
tous les jours pour ton instruction qu'entre le coucher et le lever du soleil.
Tu n'ouvres désormais ici la bouche, en présence d'un homme, que pour crier ou
sucer.
- Oui,
Monsieur, j’ai compris.
- Tu vas
rester au chevalet, pour ta punition.
Je suis
offerte, enculée par Alban, Charles Edouard, Dan, Victor Xavier, Jason, Désiré
et Brice et le directeur Nathan. Chaque sodomie me fait ouvrir davantage mon
anus. Tous éjaculent sur mes fesses rougies par les nombreuses fessées de
chacun.
Au coucher
du soleil, libre, je me douche à nouveau, me farde, me parfume, pour les
devoirs du soir, sous la surveillance au dortoir de Val, un superbe transsexuel
brun, aux seins plantureux, que j’ai dragué au réfectoire.
Ce soir,
Val me fait porter un vibromasseur anal spécialement étudié pour les novices,
comme l’ensemble des autres filles de première année.
Le
vibromasseur anal, porte trois petits trous percés dans la base, trois
chaînettes qu'il laisse pendantes. Il mesure vingt-neuf par sept, avec un gland
protubérant, en érection, le gode est veiné, plus des picots. Il va et vient
automatiquement dans mon anus et s’allonge à chaque mouvement grâce à sa
texture réaliste ultra-souple et ultra-douce. Il s’allonge et rétrécit à chaque
mouvement de va-et-vient grâce à son enveloppe ultra-souple qui s’étire ou se
contracte en suivant les montées et descentes du gode. Mon amant est
infatigable. Une étroite ceinture ceint ma taille et il l’y accroche les trois
chaînettes, une par derrière qui suit le sillon des fesses, et les deux autres
par-devant, qui longent le pli des aines en contournant le triangle pubien. Il
les ajuste au plus court, de façon que mon anus soit forcé et distendu, et
elles sont attachées avec de petits cadenas, pour s'assurer que, lorsque je
suis seule, je ne peux me soulager de cette contrainte. Mon bassin ondule
immédiatement sur ce sexe.
Je dors
dans un dortoir avec trois autres filles, dont Anne Charlotte.
Je me
fouille la chatte et masturbe mon clitoris tendu, je mords mes doigts pour ne
pas crier.
Tentée par
le corps d’Anne Charlotte, je la rejoins. Je l’embrasse, lui lèche la chatte.
Elle jouit.
La lumière
s’allume. Val me conduit dans sa chambre.
- Petite
lesbienne, Anne Charlotte te tente. Enculée, fouettée, lesbienne, tu es devenue
une vicieuse.
- Non,
Val, je ne suis pas une vicieuse.
Mets-toi à
quatre pattes, je vais te retirer le gode et je vais t’enculer sans que tu
prennes du plaisir.
Son
mandrin de vingt-deux par huit me remplit l’anus bien lubrifié par les
va-et-vient du vibromasseur.
Je sens
ses testicules claquer contre mes fesses, qui sont bien chauffées par les
claques magistrales. Je tente de retarder mon orgasme anal.
Il se
retire juste avant mon orgasme. Je serre mon anus dans le vide, sans son
mandrin.
A peine
mon anus est ouvert, qu’il m’encule à nouveau. Cela dure une éternité. Mais
j’arrive à ne pas jouir tandis qu’il éjacule en moi. Je le suce pour une
nouvelle série.
- Tu
apprends vite. Tu vas dormir ici. Je vais te menotter les mains à ton lit, pour
que tu ne sois pas tenter de masturber, je te remets le vibromasseur.
Je dors
très peu, submergée par les vagues de plaisir anal.
18 mars
Cela fait
trois jours que je porte huit à dix heures par jour le vibromasseur anal, que
je suis enculée et mes mamelons et mon clitoris sont désormais constamment
tendus vingt-quatre sur vingt-quatre.
Brice et
Désiré jugent que je suis officiellement doublement ouverte.
Après
l’alternance baise et sodomie, je suis apte à la double pénétration.
Je la
réalise avec Brice et Désiré.
Brice me
baise en premier, me prend dans ses bras, je l'entoure avec mes jambes et me
laisse baiser, tandis que Désiré me soutient par derrière également une partie
de son poids et m’encule. le double plaisir me fait provoquer un double orgasme
et une double éjaculation.
Je fais de
même avec les autres amants.
Pantelante,
l’anus et la chatte dégoulinants, je dois me doucher devant eux, avant une
bonne série de coups de cravache sur les fesses, menottée au chevalet.
En fin
d’après-midi, je suis conduite en tenue, dans la cour. Je découvre Belle, toute
nue, menottée à un chevalet.
Miss
Victoria m’interpelle :
- Tu vas
la cravacher, pour l’exemple. Elle fait l’amour en cachette en dehors. Elle est
punie.
La
première fois, la première minute, j’hésite, puis je dois me faire violence
pour ralentir mes coups et ne pas frapper à toute volée. Belle gémit.
Belle est
intégralement épilée, avec des anneaux dorés à ses grandes lèvres et un anneau
perçant son gros clitoris.
Je
participe aux cours de seconde année.
Les
sodomies sont plus fréquentes.
12 mai
Au conseil
de classe, je suis la première de ma classe, un peu plus vicieuse qu’au premier
jour. Je dois être exemplaire.
J’encule
les filles encore réticentes avec un gode ceinture équipé du vibromasseur anal
qui m’a écartelé. Val m’encule simultanément.
Je
participe au conseil de discipline pour Belle, qui est exclue et envoyée dans
un autre lieu, pour son instruction.
Je suis
contrainte de porter la tenue des seconde année, tout en gardant mon pubis velu
et ma chatte velue, où se cache mon gros clitoris percé d’une pierre précieuse.
Je
perfectionne mes fellations et donne des conseils pour le léchage de chattes
aux lesbiennes novices.
3 juin
C’est
l’élection de miss première année. Nous défilons nues, en mules, devant le jury
masculin et féminin.
Nous
sommes enculées et fouettées sur le podium.
Je gagne
de peu l’élection, devant Aimée.
Le soir,
une orgie anale m’est offerte jusqu’à l’épuisement, tout en suçant mes
partenaires masculins et féminines avec d’imposants godes anaux.
Le même
soir, je suis enculée par un de mes cousins, Victor Alexandre. Il aime mon anus
bien ouvert, sur lequel il fantasme depuis que je me suis douchée devant lui,
lors de mes dernières vacances à Fuerteventura.
-
Prudence, tu as un œillet de pute, pour t’ouvrir comme ça.
- Oui,
Victor, je suis une pute que l’on encule et que l’on fouette selon ses désirs,
en plus d’être bisexuelle.
- Je te
connais plus lesbienne avec ta cousine Juliette.
Un violent
orgasme anal me terrasse et Victor éjacule en moi. Je le suce lors d’un 69
torride, où je suis à nouveau enculée.
Le
directeur me susurre à l’oreille :
-
Vicieuse, bisexuelle, inceste, reine anale et je vois que Prudence a rattrapé
son retard sur les autres filles.
Je n’ose
répondre, trop occupée à sucer et à retarder mon orgasme anal.
Je suis
convoquée par le directeur, après mon orgie et ma douche, encore nue et en
mules. Je remets mon bijou d’anus.
-
Prudence, votre comportement correspond mieux aux exigences. Tu es docile,
d’autres plaisirs te feront monter dans la hiérarchie. Seules, les plus
vicieuses, peuvent accepter à l’ultime étape.
Je passe
la nuit avec le directeur.
Allongés
sur le côté sur le lit, jambes légèrement repliées, le directeur se met dans
mon dos et m’encule. Il pelote mes seins, ma chatte et mon clitoris, et aussi
mon dos, mes reins, mes hanches, mes fesses. Il me fait jouir à plusieurs
reprises et éjacule le plus tard. Après un nouveau 69, il me reprend dans la
même position, jusqu’à l’aube.
De temps à
autre, il me baise aussi, dans la même position, car ma chatte doit avoir aussi
son quota de plaisir.
Pendant le
mois de juin, à plusieurs reprises, je suis enculée, les yeux bandés, par un
inconnu bien monté, menottée au chevalet. Il éjacule en moi et je le suce et
j’avale. Il aime me fesser et me cravacher.
Chaque
week-end de juin, nous passons l’après-midi, nues à la piscine, dans des orgies
lesbiennes autorisées, nous enculant avec nos doigts et divers godes de
différents calibres, totalisant nos orgasmes.
Les
surveillants ne se gênent pas pour nous enculer aussi.
5 juillet
Le
directeur me fait raser ma chatte, mais je garde ma toison pubienne.
J’éprouve
de la fierté, de retrouver ma chatte de jeune fille.
Je passe
la moitié de la journée, à me faire prendre en double pénétration et le reste
du temps à me faire enculer sauvagement.
Je suis
toujours fouettée, même si je suis docile.
Belle est
remise à un club privé pour son instruction.
Aimée
épouse son amant, lors d’une orgie anale, dont je suis la principale invitée.
Les amis de son amant m’enculent à plusieurs reprises, me prennent en double
pénétration. Je les suce et j’avale tout devant Aimée. Je les encule tous avec
un gode-ceinture.
Anne
Charlotte se fait marquer au fer rouge ses fesses par son amant, pour sceller
son amour.
L’amant
d’Anne Charlotte m’encule aussi et j’encule aussi son amant avec un
gode-ceinture. Il aime ça.
Quant à
moi, je ne connais toujours l’identité de l’inconnu bien monté, qui vient
m’enculer les yeux bandés. Victor Alexandre continue à me faire l’amour, me
baise avec fougue et prend soin d’éjaculer sur ma toison pubienne.
12 juillet
A l’aube,
nue, en mules, les yeux bandés, fardée, parfumée, menottée, je quitte le
pensionnat, en compagnie d‘autres filles, dans les mêmes conditions vers un
lieu mystérieux. Nous devons garder nos cuisses écartées et un bâillon-boule
nous interdit de parler.
Après un
long trajet, nous longeons un long mur jusqu’à une grande grille, qui est
ouverte. J’entends les chiens aboyer, des maîtres-chiens.
En effet,
on m'aide à sortir du minibus, je monte quelques marches, puis franchir des
portes toujours à l'aveugle, au rez-de-chaussée.
Je suis
alignée en compagnie des autres filles.
Des doigts
me pénètrent en double pénétration, je jouis sous le bâillon, puis des mains
pelotent mes seins aux mamelons tendus, mon clitoris tendu par l’air frais de
la porte-fenêtre ouverte.
- Très
bien, on garde uniquement la nouvelle, Prudence, annonce une voix masculine.
Les autres sont conduites aux amis.
Je suis
rapidement allongée sur le dos, déchaussée, sur un tapis. Un des hommes me pose
mes mollets sur ses épaules, il est musclé. Il m’encule sans ménagement, tout
en caressant mes cuisses, mes mollets, mes chevilles. Je ne peux me refuser à
son gros mandrin gainé de picots. Je dois sucer d’autres mandrins qui me sont
offerts, tout avaler.
D’autres
gros mandrins m’enculent à tour de rôle et j’avale tout.
Mon anus
ouvert semble leur plaire.
On me met
un bijou d’anus imposant, lourd, de cinq centimètres de diamètre pour me
remplir.
On me
relève. Je me rechausse. On me fixe un collier à mon cou. Le collier, l'anneau
pend devant le cou, reposant sur la saillie des clavicules, et brinquebale au
rythme des mouvements de celui qui le porte. Il est fait en plusieurs
épaisseurs de cuir, chaque épaisseur assez mince, au total pas plus d'un doigt,
verrouillés par un système à déclic, qui fonctionne automatiquement comme un
cadenas quand on le referme, et ne peut s'ouvrir qu'avec une petite clé. On me
fixe une chaîne pour me faire avancer.
Je monte
les marches en marbre, qui font claquer mes mules.
Le soleil
est levé, ayant recouvré la vue, les mains libres, en compagnie d’un valet
africain, nu sous sa veste, botté, bien monté, aux testicules percés d’anneaux
dorés, je dois m’accroupir dans la baignoire transparente. Une canule m’inonde
l’anus d’eau froide, pour que je sois propre.
Il
remplace mes menottes par des bracelets en cuir à mes poignets. Dans la partie
opposée à la fermeture des bracelets, pris dans le milieu des épaisseurs de
cuir, et n'ayant presque pas de jeu, il y a un anneau de métal, qui donne une
prise pour fixer, et qu'on positionne du côté intérieur du poignet.
Il me
menotte les bras tendus en l’air, pour que je ne puisse me masturber.
Il me lave
longuement, s’attardant sur mes seins, ma chatte. Je me retiens de jouir, enculée.
Libre, je
le suce, avant de m’habiller.
Je me
farde, me parfume et revêt une robe transparente, à corselet montant jusque
sous les seins, qu'une légère armature maintient écartés, et qu'un étroit
rebord soutient si bien qu'ils sont projetés en avant et paraissent d'autant
plus libres et fragiles, serré étroitement par le valet, elle est largement
fendue devant au-dessus du pubis, jusqu’à mi-cuisse et ouverte dans le dos,
jusqu’à mi-mollet, depuis la taille, il suffit par-derrière d'écarter les deux
côtés de la jupe pour que la croupe soit nue. Deux attaches qui soulèvent les
deux pans et se nouaient sur le devant de la taille, il est facile de les
maintenir ouverts Je chausse mes mules à hauts talons. Je me coiffe d’une
queue-de-cheval pour dégager mon collier.
Je porte
aussi sous ma robe, une ceinture de cuir à ma taille, qui maintient place un
vibromasseur anal de forme particulière, cadenassé. Il mesure trente-deux par
six, avec une base de la forme d’une balle de golf, pour m’écarteler.
Ses
va-et-vient provoquent une ondulation de mon bassin. C’est un amant
infatigable.
Il me
menotte mes poignets à mon collier. Il fait glisser l'un dans l'autre les
anneaux des bracelets, puis ces deux-là dans celui du collier. Je me trouva les
mains jointes à la hauteur du cou.
Il me fixe
une chaîne à mon collier, les yeux baissés, avec mon bâillon-boule, je le suis.
Je
redescends l’escalier du premier étage au rez-de-chaussée.
- Elle
porte le vibromasseur Hadès. Cela va la préparer.
La même
voix masculine qui m’a accueillie, caresse ma chatte trempée.
- Elle
mouille sous les va-et-vient de son amant. Excellent, son amant va apprécier.
Prosterne-toi, tu vas présenter tes fesses à ton amant.
On me
retire le vibromasseur, la croupe nue et il est aussi remplacé par un mystérieux
sexe, qui me baise quelques instants, je jouis. Il se retire, me lèche la
chatte et le gros clitoris tendu, puis il m’encule jusqu’au nœud. Je gémis un
peu, je reste attachée à lui. C'est le bulbe, ou noeud qui remplit mon anus,
reste là. L'ampoule est composée de tissu musculaire qui se gonfle de sang
pendant les rapports sexuels et gonfle à un diamètre significativement plus
grand que celui du pénis lui-même. Je me détends, bercée par mes orgasmes anaux
pendant trois quart d’heure, avec de longues éjaculations. Puis il se retire et
je le suce, il éjacule un peu dans ma bouche.
- Voici,
Hadès, le doberman qui vient de te baiser et t’enculer. Tu prends du plaisir
avec lui, donc tu n’auras aucun problème avec un berger allemand, ou un dogue
allemand.
L’anus
écartelé est rempli par le vibromasseur.
Un des
hommes me baise, tandis que je tente de retarder mon double orgasme.
Debout, je
suis cravachée sur les cuisses dénudées et mes fesses dénudées. Je compte les
coups.
Je mouille
sous les coups, ce qui plait aux hommes.
Je me
promène, toujours en laisse par mon collier, avec le vibromasseur en place,
jusqu’au repas, puis entre la tombée du jour et l'heure de la nuit, dix heures
généralement.
Dès qu’un
berger allemand ou un doberman est promené, dans le bâtiment ou dans le parc,
que je porte le vibromasseur ou l’anus rempli par mon bijou d’anus moulé sur le
devant du sexe d’un doberman, je suis saillie, soit à quatre pattes, soit
prosternée, enculée jusqu’au nœud, multipliant mes orgasmes anaux. Je dois sucer
mon amant canin.
Chaque
saillie me fait mouiller.
Au repas
de midi, que je prends nue, après mon lavement anal, assise cuisses écartées,
sur un tabouret de cuir, les mains menottées dans le dos, le premier jour. Je
retrouve ainsi, au contact du cuir lisse et froid sous mes cuisses, le plaisir
d’avoir les fesses nues. Le réfectoire est dallé, avec une table longue, en verre épais, pour que les
valets puissent voir ce que les filles y font par-dessous. En sortant du lieu,
je retrouve, vêtue comme tout le monde, mais les fesses nues sous mes tenues,
relever à chaque fois ma jupe pour m'asseoir.
Je suis
salie de salive et de sperme, de sueur mêlée à ma propre sueur. Mon corps
devient plus sensibles, ma bouche suçant des inconnus et des sexes canins, mes
seins pelotés aux mamelons tendus, ma chatte et mon anus remplis par des sexes
canins, de nombreuses fois. Je deviens une prostituée digne.
Le valet
me nourrit, pelote mes seins, jouant avec mes mamelons tendus qu’il étire,
force ma bouche. Je garde les yeux baissés. Même en masturbant mon clitoris, il
tente de me faire jouir. Je me retiens.
A la fin
du repas, seule en sa compagnie, penchée sur la table, cuisses écartées, il
m’encule sauvagement et éjacule sur mes fesses et dans ma bouche.
Lors du
service, les hommes me font sucer, tandis les valets amènent des chiens pour me
satisfaire.
Seul le
maître des lieux me baise, dans diverses positions, tout en m’interdisant de
jouir.
Après mon
bain, nue, fardée, au repas du soir, je porte le vibromasseur. Mon bassin ondule
de plaisir.
Mes fesses
et mes cuisses sont zébrées par la cravache et la garcette.
Dans ma
cellule, j’ai droit à un chevalet, où je suis menottée, nue, à disposition.
Le valet
me détache pour me conduire au rez-de-chaussée, nue, en mules, menottée mains
jointes à mon cou, l’anus libre, propre.
Les orgies
anales se succèdent, avec quelques saillies anales canines pour les invités.
13 juillet
A l’aube,
je rejoins ma cellule, pantelante, offerte aux valets qui me fouettent et
enculée jusqu’au lever du soleil, par mes amants canins.
15 juillet
Je passe
ma première nuit au chenil, à disposition des amants canins, pour un séjour
indéterminé.
Même les
dogues allemands m’enculent. Je gémis un peu, car leurs sexes sont plus gros
que les autres. Je m’y habitue.
20 juillet
En début
d’après-midi, tenue en laisse par mon collier, nue, en mules, je retrouve le
rez-de-chaussée, l’anus propre, douchée.
Devant le
maître des lieux et un bel étalon athlétique du triple de mon âge, les yeux
baissés, j’écoute :
- Voici,
Chienne Prudence, doublement ouverte, bouche bien dressée, docile et elle est
aussi vicieuse, derrière son corps de femme.
- J’ai vu
ses photos et ses vidéos de ses saillies. Elle a les qualités d’une chienne,
d’une prostituée, d’une pute, d’une suceuse et d’une reine anale. Je vais la
conduire après le séjour au pensionnat et ici, au « Domaine des
Chiennes », dans un nouveau lieu pour peaufiner son instruction. Je suis
le Comte Sacha de Bijou Désir Mille Vices, ami du maître du « Domaine »,
le Marquis Donatien de Bon Plaisir de Sévices.
L’homme
âgé caresse mes seins, dont mes mamelons tout comme mon clitoris sont
constamment tendus. Pendant mon séjour, des anneaux aux grandes lèvres de ma
chatte humide, je garde mon clitoris percé et je suis tatouée sur mes reins à
l’encre noire « Chienne P Suceuse Œillet d’Adam ». J’éprouve de la
fierté de mes anneaux et de mon tatouage.
- Les
anneaux lui vont à ravir, ses reins tatoués sont superbes.
Je reçois
ma bague à mon annulaire gauche. Elle est sertie d’un petit anneau.
On me
retire mes carcans de cuir.
Nous
rejoignons ma cellule. Avant de m’habiller, Sacha examine mes reins et mes
fesses. Il passe les doigts sur les nombreuses traces du fouet, plus ou moins
estompées selon leur ancienneté, sur les marques des carcans. J’écarte mes
fesses, il m’encule sauvagement. Je suis surpris par sa vigueur. Je me retiens
de jouir. Il éjacule sur mes fesses.
Je me
farde et me parfume.
Je revêts
ma jupe ample courte largement fendue devant sur mon pubis velu et ma chatte
totalement lisse, mon boléro sur mes seins nus et des mules à très hauts
talons.
Nous
quittons le « Domaine » à bord d’une BMW cabriolet. Je dois retirer
mon boléro pour exhiber mes seins nus à Sacha.
A
mi-chemin entre le pensionnat et le « Domaine », Sacha me dépose devant
une luxueuse résidence isolée dans la forêt.
Là, je
suis approchée par un superbe colley.
Le colley
me saillit sur le champ, en m’enculant. Je jouis, prosternée, la jupe relevée.
Son sexe de treize par trois me comble.
Un superbe
étalon brun me toise, avec ses seins plantureux.
- Arès
aime les belles chiennes comme toi. Il t’encule, ma belle. Tu aimes ça. Tu le
seras tous les jours, dans la résidence.
Au bout de
trois quart d’heures, Arès se retire.
Le
transsexuel Emmanuelle m’encule aussitôt, tandis que je suce Arès.
- Ton
œillet est bien ouvert, forcé par les multiples saillies du
« Domaine ». Les filles ont l’habitude.
En plus du
sperme chaud d’Arès, je reçois celui d’Emmanuelle, que je nettoie.
Emmanuelle
me met mon bijou d’anus moulé sur le devant du sexe d’un doberman.
Je me
déshabille, pour qu’Emmanuelle caresse mon corps nu.
- On va
remplacer tes anneaux par des fers comme tes amies Anne Charlotte, Belle et
Aimée. Tu aimes le sexe et le fouet.
Dans la
résidence, je suis rapidement installée, avec mes carcans de cuir, sur
l'estrade, haute de près de quatre marches. Je me retrouve allongée sur le dos,
mes mains agrippées au rebord, de l'estrade, menottée, et les cuisses sont
complètement ouvertes, des bracelets passés à mes chevilles m’immobilisent.
J’offre le creux de ma chatte et de mes fesses violemment écartelés.
Anne
Charlotte me cravache l’intérieur des cuisses. Je gémis. Je mouille au bout de
dix minutes.
Je reste
ainsi trois heures exposée, menottée.
L’anus
libre, je suis à nouveau enculée par Arès et Emmanuelle.
Je passe
le reste de la journée, à lire des romans SM, des recueils de photos SM et de
me faire enculer soit par Arès ou Emmanuelle. Arès encule aussi les autres
filles, qui sont fouettées comme moi.
Je dors
avec chacune d’elle, dans des jeux anaux lesbiens avec de gros godes ceintures.
Le soir,
l’une de nous couche avec Emmanuelle.
En une
semaine, je dors avec Emmanuelle, deux fois. Je m’offre dans diverses positions
à de longues sodomies ou de doubles pénétrations, enculée par Arès.
27 juillet
A l’aube,
je suis menottée au chevalet, pour recevoir mes fers, qui ont remplacés mes
anneaux à mes grandes lèvres de ma chatte humide.
J’en porte
deux, un à chacune de mes grandes lèvres. Ils sont de fer mat inoxydable. La
tige en est ronde, épaisse comme un gros crayon de couleur, et ils sont oblongs
: les maillons des grosses chaînes sont semblables. Chacun est formé de deux U
qui s'emboîtent l'un dans l'autre. Un ressort intérieur sur lequel on doit
forcer pour le faire pénétrer dans la rainure où il se bloque. Chaque anneau
est long comme deux phalanges du petit doigt, qu'on y peut glisser. A chacun
était suspendu, comme un nouveau maillon, ou comme au support d'une boucle
d'oreille un anneau qui doit être dans le même plan que l'oreille et la
prolonger, un disque de même métal aussi large que l'anneau est long. Ils sont
rivés.
Sacha
m’encule longuement après la pause de mes fers.
Les fers
me descendent jusqu'au tiers de la cuisse, et à chacun de ses pas bougent entre
mes jambes comme un battant de cloche, le disque gravé étant plus lourd et plus
long que l'anneau auquel il pend.
Je suis
marquée au fer rouge sur les fesses des lettres S et V. Je perds connaissance.
Ce sont les saillies anales d’Arès qui me font émerger. Les marques imprimées
par le fer rouge, hautes de trois doigts et larges de moitié leur hauteur, sont
creusées dans la chair comme par une gouge, à près d'un centimètre de
profondeur. Rien que de les effleurer, on les perçoit sous le doigt. De ces
fers et de ces marques, j’éprouve une fierté insensée.
Je passe
la journée, enculée par les membres du « Domaine », fière de leur
chienne.
Je
découvre mon nouveau corps, intégralement épilée, comme une jeune fille, ce qui
plait à Sacha.
Je
retourne au pensionnat.
2 août
Après une
longue période de repos, sans saillie, ni masturbation, pour que ma chatte
s’habitue aux fers, je reviens officiellement au pensionnat, avec ma jupe
éventail courte largement fendue devant sur mon pubis et ma chatte totalement
lisse, ferrée et mon anneau perçant mon gros clitoris. Je porte un boléro sur
mes seins nus et des mules à très hauts talons.
En
soulevant ma jupe, tout le monde voit que je suis chiffrée et ferrée. Cela les
excite, surtout la gent masculine. Je suis longuement sauvagement enculée par eux,
dans tous les étages du pensionnat, avalant leurs spermes.
Je garde
mon bijou d‘anus du doberman, pour montrer combien je suis aussi une vraie
chienne.
Val me
baise fréquemment, profitant de ma chatte ferrée.
Je suis
fouettée tous les jours, nue, au lever du soleil, en compagnie d’autres filles
ferrées, menottée à la balustrade, avec mes bracelets en cuir. Le valet
m’encule sauvagement ensuite, toujours menottée.
15
septembre
Alors que
la rentrée des secondes années se prépare, je retourne au « Domaine des
Chiennes », pour vendre mes charmes.
Je suis
vêtue de mon corset seins nus, d’une jupe éventail, sans mon boléro, en mules à
hauts talons, coiffée d’une queue-de-cheval, fardée et parfumée.
Je suis
conduite à bord d’une limousine. Son chauffeur, un superbe étalon Africain
m’encule longuement lors d’une halte, dans diverses positions. Je connais un
violent orgasme anal, l’anus rempli de son sperme chaud.
Je
retrouve Emmanuelle.
Je rejoins
nue, pieds nus, la salle de bains. Elle est entièrement recouverte de glaces et
de miroirs sur les murs et au plafond. Je me démaquille, me brosse les cheveux,
me savonne tout le corps, me masturbant un peu, pour me faire jouir. Je retire
mon bijou d’anus. J’écarte bien mes fesses.
- Tu es
bien ouverte, maintenant.
Emmanuelle
m’encule sur le champ et éjacule sur mes fesses. Je me suis retenue de jouir.
Je me
rince, sors de l’eau et m’essuie.
Emmanuelle
me met mon nouveau collier, mes bracelets à mes poignets et à mes chevilles,
qui sont de fer inoxydable, articulés et à demi rigides comme on fait en or
certains bracelets-montres. Ils sont hauts de près de deux doigts et portent
chacun un anneau de même métal. Je les garde jour et nuit, même pour me
baigner.
Fardée,
parfumée, je revêts une large jupe entièrement ouverte devant au-dessus du
pubis, ouverte de la taille aux pieds, avec un serre-taille et un gilet en
dentelle transparente, couvrant à peine mes seins, sans boutons, sans manches,
échancré sur le côté pour deviner le galbe de mes seins. La dentelle laisse deviner
mes aréoles et mes seins libres, avec des pinces à seins à clochette. Je dois
juste le retirer, pour dénuder mes seins, comme il suffit par-derrière
d’écarter les deux côtés de la jupe pour que la croupe soit nue. Deux attaches
qui soulèvent les deux pans et se nouent sur le devant de la taille, il est
facile de les maintenir ouverts.
Je suis
offerte aux clients tous les jours, fouettée et enculée. Les chiens des clients
m’enculent aussi.
Je
travaille au restaurant, au club privé et je deviens la favorite de plusieurs
valets et clients.
Je garde
toujours ma chatte et mon pubis lisses.
3 octobre
Je tourne
au « Domaine », un film SM, dont je suis une des héroïnes
principales. Le tournage dure trois mois, avec des sodomies, double pénétration
avec des hommes et des chiens, des séances de dressage.
Sacha
finance le film.
Je donne
naissance peu après l’hiver, à un garçon. Je retrouve ma liberté. Je reste
ferrée, marquée, pour mes nouveaux amants.
Je loge
dans une luxueuse résidence privée, gardée par des maîtres-chiens. Leurs chiens
m’enculent, comme toute bonne chienne que je suis.
Aucun commentaire:
Enregistrer un commentaire