Je m’appelle Shawn.
J’ai 25 ans.
Je suis une jolie beauté scandinave.
Je suis une
brune aux yeux verts. J’ai des pieds fins et latins, des jambes longues
bronzées, musclées qui inquiètent par leur perfection. Mon pénil est bombé,
ouvert, couronné de noir. Ma pilosité brune couvre mon pubis. Je suis
totalement velue entre les cuisses et j’ai une superbe croupe. Les lèvres de
mon sexe sont une plaie rouge entre mon entrecuisse velue. Mes hanches
s'incurvent et délimitent le ventre plat, délicieusement renflé autour du
nombril, les hanches sont larges et rondes, mais sans lourdeur. La taille est
affinée. Les seins parfaits intégralement bronzés sont un peu volumineux mais
fermes, et leurs pointes marron clair, toujours dressées, cernées par une large
aréole marron attirent le regard. J’ai une peau lisse et patine. Finition
parfaite, un seul grain de beauté entre mes superbes seins. De longs cheveux
plats blonds flottant comme des algues, battent mes épaules rondes et
gracieusement athlétiques. Je suis intégralement bronzée. Mes yeux verts
limpides s'allument, ma bouche charnue se fend. J’ai des sourcils bruns bien
dessinés et des lèvres pulpeuses. J’ai de longs doigts fins et de belles mains.
Je fais du 85B de poitrine, 56 de taille, 90 de hanches, 1,72 m.
SALOPE ET
CHIENNE
12 juin
Cela fait
trois ans que je suis la maîtresse d’un propriétaire d’hôtels particuliers, Sir
Alban.
Pour lui, il
m’a défloré la chatte, dans une soirée arrosée, m’a transformé en lesbienne,
pour son amie Aimée, une jeune Américaine, de 18 ans, qui souhaite rester
vierge.
Comme tous
les mois de juin, Alban m’accueille dans sa résidence privée, sécurisée, loin
des regards, desservi par son hélicoptère Dauphin personnel.
Je suis
vêtue d’une robe dos nu, fuchsia, à jupe éventail, cachant mon string en
dentelle transparente, en sandales blanches à hauts talons, coiffée d’une
queue-de-cheval. Je viens d’atterrir à l’aérodrome privé, à bord d’un Falcon.
Son Dauphin me dépose à la résidence privée.
Son
personnel m’accueille : il y a le majordome Africain Désiré, le chauffeur
Allemand Carl, le cuisinier Danois Dan et ses hommes, les soubrettes jumelles
Belle et Jasmine, des beautés orientales de son ami l’Emir Ahmed, la masseuse
Thaïlandaise Natacha.
Au fait, je
ne sais si Natacha est une vraie femme ou une travestie, avec son mandrin entre
ses jambes.
Sir Alban me
conduit à ma chambre, au premier étage, qui surplombe la piscine et
l’hélisurface sur la pelouse.
- Ma chérie,
mon épouse Pénélope est en voyage d’affaires pour sa société, tu es libre de
t’offrir au premier venu.
- Jamais, je
te veux, toi mais aussi Désiré et Carl, Belle et Jasmine.
- Bien sûr,
je veux que tu deviennes la reine des orgies. Tu te fasse défoncer ton œillet
encore vierge, comme Aimée, qui aime ça.
- Jamais,
Alban, tu me feras sodomisée par le premier venu. Je refuse.
- Tu vas
aimée, la queue de Désiré, celle de Carl, tu préfères ou Natacha.
- Natacha a
une vraie queue, je pensais que c’était une femme, car elle masse comme une
femme.
Je me
déshabille tout en parlant.
- Tu portes
encore ton string. Mais Shawn, désormais tu dois avoir toujours les fesses, les
seins constamment nus, la chatte accessible à tout moment. Donc, Belle et
Jasmine vont trier tes valises. Je t’autorise juste des jupes ou des robes mais
à la condition qu'en aucun cas elles ne soient plus longues que le milieu de
tes cuisses, des tee-shirt, des chemisiers, des bustiers sur tes seins nus. Tu
te baignes désormais nue à la piscine, toujours en chaussures à hauts talons à
tes pieds nus. Au choix, tu portes une queue-de-cheval ou un chignon. Tu seras
toujours maquillée comme te le feront les soubrettes. Tu fais désormais pipi
debout et caca, les cuisses toujours écartées, la porte ouverte. Ton corps est
désormais public, tu dois te montrer nue. Quiconque aura le droit de te
toucher, te caresser, te peloter, te fouiller ta chatte et ton œillet, sans te
dérober, jusqu’à l’acte sexuel, baise ou sodomie.
- Si je
résiste, sodomisée.
- Tu auras
encore plus mal, mais celui qui t’enculera, le fera jusqu’à l’éjaculation en
toi.
Je rejoins
la grande salle de bains et me plonge nue dans la baignoire, entièrement
recouverte de glaces et de miroirs sur les murs et au plafond.
-
Accroupis-toi, cuisses écartées, Shawn, c’est pour l’accès à ta chatte, me
susurre Belle.
Les mains de
Belle et Jasmine pelotent mes seins, masturbent mon clitoris, fouille ma chatte
humide. Je jouis.
Une fois
rincée, je suis séchée par Belle.
Jasmine
m’amène devant le grand miroir à trois faces, ombre légèrement mes paupières,
me farde la bouche avec un rouge clair, un peu liquide, qu'elle applique au
pinceau, et qui fonce en séchant. Elle lui me peint du même rouge l'aréole et
mes mamelons encore un peu tendu, et les petites lèvres entre mes cuisses
velues, en soulignant la fente du giron. Je me poudre le visage, une fois que
je suis peinte, et choisir les mules à ma taille. Elles mesurent douze
centimètres de talons sans plate-forme à mes pieds nus. Je garde ma
queue-de-cheval.
On passe
longuement du parfum sur mes aisselles lisses et ma fourrure pubienne, dans le
sillon velu entre les cuisses, dans le sillon sous les seins, et au creux des
paumes.
Je suis
surprise dans le miroir, de voir mon gros clitoris comme une cerise, saillant
et volumineux tandis que mes mamelons sont aussi saillants, gros et longs,
comme jamais auparavant.
Alban
s’approche :
- Ça y est
ils sont hyper sensibles, par l’air frais, tu es excitée et tes mamelons
pointent au maximum tout le temps, vingt quatre heures sur vingt quatre et de
même pour ton clitoris. Je t'interdis de te faire jouir. Tu découvres ainsi la
frustration et la douleur que cela procure en plus de la douleur provoquée par
le fait que tes mamelons et ton clitoris soient constamment tendus. Viens, nos
invités t’attendent, pas la peine, de t’habiller, tu es désirable nue. Ta
silhouette est plus élancée, tes chevilles et tes mollets sont tendus, cela te
fait des jambes superbes En accentuant ton déséquilibre en avant, tes talons te
forcent à redresser le buste et à creuser les reins. Tu vas les rendre fous !
Déhanche-toi quand tu marches.
Je descends
l’escalier de marbre, tenue par la main par Alban.
Trois
superbes étalons m’attendent : il y a l’Européen B, exhibant un mandrin
long de trente par sept, l’Américain J, avec un vingt-huit par six et
l’Africain M, avec un trente-six par huit.
Je dois les
sucer pour montrer mon talent de pute, ils sont assis sur le canapé.
Ils me
complimentent.
- Shawn,
elle connaît son métier, dit B.
- Mieux, sa
bouche est prête à toutes les queues, comme une pute, dit J.
- J’ai hâte
de lui remplir son puits, annonce M.
- Tous vous
lui défoncerais son œillet de pute virginal, réplique Alban.
Je
m’applique pour chacun et je remarque qu’il n’y a que quatre chaises à la table
du salon.
- A table,
vos queues sont prêtes, dit Alban.
Les dés sont
tirés pour l’entrée, le plat de résistance et le dessert.
C’est M, le
premier. Je dois m’asseoir, sur lui, assis sur sa chaise. Je dois garder mes
cuisses écartées, pendant qu’il me fait manger. Il prend soin de guider son
gland dans mon anus lubrifié par ma mouille abondante.
Sous mon
propre poids, je me retrouve empalée jusqu’aux testicules. Mes mamelons et mon
clitoris sont tendus à l’extrême, par l’air frais de la porte-fenêtre ouverte.
Il caresse
mes reins, mes seins, étirant mes mamelons, mes fesses qu’il écarte davantage
pour mieux m’écarteler l’anus.
- Alban,
c’est bon, cette grosse queue pour me déflorer mon puits de pute.
- Tu es
détendue, Shawn, pour une première, me susurre M.
- Fais-moi
coulisser doucement sur ta pine, je mouille. Fesse-moi.
Quelques
claques magistrales sur mes fesses, inondent mon anus.
Une vague me
submerge et je jouis. C’est mon premier orgasme anal, aidé par les caresses de
mon gros clitoris et je suis nourrie de morceaux de foie gras au goût de ma
mouille.
Je réplique
à mon tour, en coulissant sur son gros mandrin.
- Tu vas me
faire éjaculer dans ton puits, pute.
-
Remplis-moi à fond. Je suis ta pute anale.
Il éjacule
longuement. Il m’aide à me retirer et je le suce, le nettoie en avalant tout.
L’anus
entrouvert, dégoulinant, tout comme ma chatte.
Je partage
le plat de résistance avec B, assise, face à lui, enculée sous mon propre
poids, jusqu’aux testicules.
Cuisses
contre cuisses, je suis excitée, B m’embrasse langoureusement, sans prêter
attention à mes va-et-vient sur son mandrin qui m’ouvre l’anus.
Pour le
dessert, je m’offre à quatre pattes sur le tapis du salon, la banane recouverte
de chantilly enfoncée dans ma chatte, pour ma première double pénétration. J
m’encule avec vigueur, jusqu’aux testicules, en me saisissant la taille, me
faisant coulisser sur son mandrin, en s’agrippant à mes hanches douloureuses,
par mon troisième orgasme anal consécutif. B et M me font sucer pour étouffer
mes râles.
- Quelle
pute, Shawn, tu vas me faire remplir ton puits de mon sperme chaud.
- Oui, J,
remplis-moi l’œillet de ton jus, je suis ta pute.
B me fait
coulisser en cadence la banane dans ma chatte et j’explose dans un violent
double orgasme, le clitoris et les mamelons constamment tendus pendant les
trois sodomies.
Je
m’effondre, pantelante, allongée sur le ventre, cuisses écartées, la banane
partiellement sortie de ma chatte, recouverte du sperme de J.
Je mange la
banane, tout en suçant J.
J m’insère
un bijou d’anus, froid en acier, de treize par cinq, de 600 grammes, pour me
garder l’anus ouvert. La section qui relie les deux extrémités est très fine et
douce afin de laisser l’anus se refermer dessus sans gêne et en forme de sapin,
pour ne pas l’expulser. La tige de la taille de l’auriculaire sert de support
lorsque le sphincter se referme. Je me trouve détendue, en le portant, me
resserre ma chatte et je jouis, enculée par ce bijou d’anus.
Je me
douche, me farde, me parfume. Belle me fait mon premier lavement avec une
canule remplie d’eau froide, je jouis.
- J’aime ça,
ce jet d’eau froide dans mon puits.
Le jet était
doux, mais l'eau très froide, plus froide encore se répand dans le fond de mon
anus, si longuement encore.
- Tu es
toute fraîche après, et bien resserrée.
L’après-midi,
je bronze nue sur la chaise longue, avec mon bijou d’anus. Je fais quelques
longueurs, avant une nouvelle douche.
Les quatre
étalons m’enculent à tour de rôle et m’initient à la double pénétration.
C’est J qui
me baise en premier, allongé sur le dos, je m’offre couchée sur lui, avec le
corps incliné vers lui. M m’encule jusqu’aux testicules, en me fessant, je suce
B et Alban.
Toujours
enculée sur M, mais cette fois, de dos, j’écarte bien mes jambes ouvertes. B me
baise, en me tenant par les chevilles, jambes tendues. Je suce alors J et
Alban.
Enfin, Alban
me baise, debout, me prend dans ses bras, je l'entoure avec ses jambes et B
m’encule, en me soutenant par derrière.
Je suis
doublement inondée à chaque position. Je remets mon bijou d’anus à la fin de la
troisième double pénétration. Je me douche et me sèche, allongée sur la chaise
longue.
Peu avant le
coucher du soleil, je regarde la vidéo avec eux de mes ébats de la journée.
Le Dauphin
dépose un invité surprise.
Le soir,
après un souper, empalée, enculée sur chacun, je monte me coucher. Je supporte
la sodomie, mon anus est un peu plus ouvert.
Je découvre
Belle et Jasmine en compagnie du fils de l’Emir, prénommé Hassan, doté d’un
gros mandrin, vingt-deux par huit.
Il me baise,
m’encule dans plusieurs positions, dans ma chambre, entourée de glaces sur les
murs et au plafond.
- Hassan,
fais-moi jouir, je suis ta princesse pute.
- Tu as
l’œillet du plaisir et l’écrin de la fécondité. Tu jouis à merveille. Mon père
Ahmed sait que j’ai droit à la plus belle femme d’Alban.
Il éjacule à
plusieurs reprises, m’épuise par mes orgasmes. Il est endurant.
13 juin
A l’aube,
mes fesses sont brûlantes par les fessées données par Hassan, pour me faire
mouiller. Ma chatte et mon anus me brûlent, mon clitoris et mes mamelons sont
restés constamment tendus pendant tous les ébats.
Vers 9
heures, j’émerge seule, nue, les draps tâchés et mon pubis tâché de spermes.
Je me
douche, rejoins le petit déjeuner frugal, empalée sur J et M, qui sont restés.
Hassan a disparu au lever du soleil à bord du Dauphin.
Je suis
sauvagement enculée, pour me soumettre. Je les suce en retour.
- Tu aimes
te faire enculée, plus qu’hier, me susurre M.
- Oui,
défonce-moi à fond, je veux ta grosse queue dans mon puits de pute.
Après le
déjeuner, prise en double pénétration, debout, avec Alban et M, à la piscine,
j’entends le Dauphin atterrir.
Une grande
blonde aux seins plantureux, en bustier et short, en cuissardes, les cheveux
libres, en descend, c’est Hermine, la sœur d’Aimée. Une reine du sexe, des
orgies, des saillies canines et équines et d’autres jeux sexuels tabous à mon
goût.
- Eh, Shawn,
tu pratiques aussi la double, ma chérie.
- Hermine,
oui, j’aime ça.
- Elle en
raffole, son œillet est encore étroit, mais elle l’ouvre bien détendue, annonce
M à Hermine.
- Tu étais
vierge de l’œillet, ma chérie. Aimée me l’a cachée.
J’explose en
un double orgasme violent.
Mes deux
amants m’aident à me retirer. Mon anus et ma chatte dégoulinent.
Hermine
apporte un coffret en bois, tenue par Belle. Il contient sur un lit de velours
brun, dans un compartiment un assortiment de chaînette et de ceintures, et dans
l'autre un choix de godes réalistes, qui vont des plus minces aux plus épais.
- Penche-toi
en avant, pour que je l’insère. Tu es bien lubrifiée, il te remplit sans
difficulté.
Il a une
forme particulière, le pénis est pointu à l'extrémité et s'élargit au bout de
trois centimètres et un diamètre de huit à sa base pour vingt-sept de long.
Je gémis par
la grosseur qui m’encule. Le sexe est en érection.
Hermine
m’attache une étroite ceinture autour de ma taille, et l'on y accroche les
trois chaînettes, une par derrière qui suit le sillon des fesses, et les deux
autres par-devant, qui longent le pli des aines en contournant le triangle du
ventre. Hermine les ajuste au plus court, de façon que le mouvement intérieur des
muscles ne peut repousser le sexe et permettre de se resserrer à l'anneau de
chair qu'elle devait forcer et distendre, et on les attache avec de petits
cadenas, pour s'assurer que, lorsque je suis seule, je ne sois tentée de me
soulager de cette contrainte.
- Tu vas le
porter huit à dix heures par jour, pour t’élargir. C’est comme cela que mon
chéri m’a rendu mon œillet bien plus ouvert qu’auparavant. Ce soir, je te le
retire et Alban t’enculeras plus facilement. Ton bassin ondule, c’est normal.
Le gode
cache un vibromasseur anal, qui s’allonge et rétrécit à chaque mouvement de
va-et-vient grâce à son enveloppe ultra-souple qui s’étire ou se contracte en
suivant les montées et descentes du gode.
- Ainsi, tu
as un véritable homme à leur disposition qui t’encule en étant infatigable. Tu
mouilles ma chérie, ton clitoris est tout tendu.
Hermine et
moi faisons un 69 torride, elle me lèche longuement ma chatte et mon clitoris,
pour me faire jouir. Je dois stopper de la lécher, sous mon orgasme anal et je
lui enfonce mes doigts dans sa chatte lisse et son anus épilé, qui s’ouvre avec
mes trois doigts. Nous jouissons simultanément.
Je suce à
Hermine, J et M, jusqu’à avaler leurs spermes, mon bassin ondule à plusieurs
reprises sur ce vibromasseur.
En compagnie
de Belle, je me baigne, restant debout. J’ai du mal à me soulager, sous l’effet
du vibromasseur anal, qui me comprime la chatte.
- Tu peux me
le retirer, mais je veux encore sentir combien il m’encule.
- Shawn, tu
dois le garder le temps désiré par Hermine, réplique Belle.
Fardée,
parfumée, je retrouve Hermine, prise en double pénétration par J et M, avant
leurs départs.
- Ma chérie,
tu te fais au sexe qui t’encule. Tu te comportes comme une pute, ta bouche
refermée sur de grosses queues, tes seins pelotés, ta chatte et ton œillet
labourés à plaisir, tu es digne d’en être une.
Un violent
orgasme anal me terrasse.
Lors du
retrait, au bout de huit heures, dans ma chambre, par Hermine, devant mon
psyché, Hermine m’annonce en m’écartant les fesses :
- Tu vois,
ton œillet commence à rester un peu plus ouvert qu’auparavant. Mes amis V et X,
des amis homosexuels vont s’occuper de toi. Ils aiment enculer les jeunes putes
comme toi.
- Je n’ai
jamais fais…
- Tu dois
désormais ni regarder un homme au visage, ni lui parler. Tu dois te taire, et
obéir. Tu n'ouvres désormais ici la bouche, en présence d'un homme, que pour
crier ou caresser.
Nue, pieds
nus, je suis tenue par la main par Hermine dans sa chambre. Les yeux baissés,
je regarde deux gros mandrins, sans voir les corps musclés de mes nouveaux
amants.
- Voici, l’amie d’Aimée, tout récemment
déflorée de l’œillet, qui n’est pas encore assoupli. Mais elle aime ça.
Accroupie,
cuisses écartées, comme exigée par Hermine et par Alban, je les suce, V mesure
trente-cinq par huit et X mesure trente-quatre par sept.
Je dois
m’empaler sur V, en premier, il est agenouillé sur le lit. Je dois bien écarter
les fesses pour le recevoir jusqu’aux testicules, Hermine me doigte la chatte
et lèche mon clitoris et X me tire mes mamelons tendus. Je connais un long et
violent orgasme anal.
- Très bien,
ma belle, c’est une formalité, même si elle est grosse dans ton puits, de pute.
Je fais de
même avec X, enculée jusqu’aux testicules, mon dos collé contre son buste
musclé et V me baise simultanément, encore en érection.
Je suis
submergée par la double vague de plaisir.
Je suis
pantelante, l’anus largement inondé de leurs spermes. J’avale tout en les
nettoyant.
Je me
baigne, l’anus libre et Hermine me fait un lavement avant de le remettre en
place. Je me farde et me parfume.
Je mange,
nue, cuisses écartées, car le vibromasseur m’empêche de serrer les cuisses.
- Ma chérie,
tu ne croises pas les jambes, ni ne serres les jambes, ni ne serres les genoux,
que ta chatte et ton œillet sont ouverts à tous, sans te dérober, même enculée.
Pour la
nuit, Hermine me menotte à mon lit, par des bracelets de cuir à mes poignets,
livrée aux assauts du vibromasseur anal. Je porte un bâillon-pénis pour
étouffer mes râles.
Pendant
quatre jours, je porte fréquemment le vibromasseur, sous l’œil constant
d’Hermine et d’Alban. Des inconnus me prennent à plusieurs, satisfaits de mon
anus élargi. Je suis souvent offerte, les mains menottées dans le dos, sans
défense, suçant et avalant leurs spermes.
18 juin
A l’aube,
Hermine avant son départ en hélicoptère, me retire une dernière fois le
vibromasseur et me le fait sucer, toujours menottée à mon lit, avant un long 69
torride, me plongeant trois doigts dans mon anus ouvert par le retrait du
vibromasseur.
- Tu es
devenue une vraie pute anale. Ton anus est devenu aussi sensible que ta chatte,
ton gros clitoris et tes mamelons constamment tendus.
Vers 9
heures, j’émerge, libre, me baigne en compagnie de Belle, pour me laver.
Je revêts une robe de ma nouvelle garde-robe, qui ne
contient plus que des corsets et des guêpières seins nus, car mes seins et ma
chatte doivent toujours être nus sous mes vêtements et mon entrejambes jamais
dissimulée. Uniquement des jupes ou des robes plus longues que le milieu de tes
cuisses, des chemisiers et des bustiers, des boléros. Pour mes pieds nus dans
des escarpins, sandales et mules à très hauts talons sans plate-forme. Je ne
portes plus jamais de maillots de bains, je me baigne nue à toute occasion.
La robe dos nu blanche, moule mes seins nus aux mamelons
tendus avec le décolleté en V profond en dentelle transparente, couvrant à
peine mes fesses nues et mes mules à hauts talons.
Carl me regarde avec insistance. Je ne jamais me
croise les bras pour masquer mes seins. Plus j'e suis excitée et plus parfois
c'est gênant car ça ce voit parfaitement bien. Je garde mes yeux baissés et ma
bouche entrouverte.
- Tu peux la prendre tout à l’heure, chez mon ami.
Pendant le trajet, assise cul nu, sur la banquette
arrière, silencieuse, je me laisse peloter les seins nus dénudés de mon
décolleté et masturber mon gros clitoris en me retenant de jouir.
Nous arrivons dans un salon de tatouage.
Je suis menottée aux poignets et aux chevilles, nue,
cuisses écartées sur un fauteuil gynécologique, dévoilant ma chatte et mon anus
encore un peu ouvert.
J’ai droit au spéculum et à l’écarteur anal, puis le
tatoueur m’épile partiellement autour du clitoris et de mes grandes lèvres
humides. Je porte un bâillon O. Carl est présent.
- Elle est très belle, sa chatte donne envie, déflorée
depuis plusieurs années. Son puits a encore besoin d’être assoupli, mais son
ouverture est agréable, pour une pute.
- Oui, Shawn a un potentiel de pute et de chienne.
Elle raffole du gode Adam. Elle le porte fréquemment pour lui préparer son
puits de pute.
- Je lui perce son clitoris et son capuchon pour son
éducation de pute.
- Fais, Alban a tout préparé pour sa pute.
Mon clitoris et le capuchon sont percés pour des
anneaux dorés, dont un serti d’une pierre précieuse pour mon clitoris qui est
étiré vers le bas et un anneau perce chacune de mes grandes lèvres.
Je suce les deux amants, qui m’enculent, se retirant
lors de mon orgasme anal, puis éjacule soit sur mon pubis ou ma bouche. Le
tatoueur possède un mandrin de trente et un par sept et Carl un mandrin de
trente-cinq par huit.
- Elle aime être humiliée et exhibée, c’est sa
nature de pute.
- Quel puits, elle connaît la musique.
- Il est chaud, elle est bien lubrifiée, par les
fessées que je lui donne, annonce Carl.
- Sa bouche dressée est accueillante. Elle avale
bien.
Puis je suis enculée, allongée sur le ventre,
cuisses écartées, des chaînes fixées aux bracelets de mes chevilles.
- Tu en veux encore, tu aimes te faire profondément
défoncer.
- Son clitoris est plus sensible avec ses anneaux,
dit Hermine, en me masturbant mon clitoris constamment tendu.
- Elle ouvre désormais son œillet sur commande, la
pute, dit Carl.
L’anus écartelé par leurs deux mandrins, je ne peux
me dérober, sauf retarder mon orgasme anal tant désiré.
Libre, Hermine m’annonce :
- Tu vas sortir nue jusqu’à la voiture.
J’obéis.
Pantelante, je dois sortir nue pour parcourir les
cent mètres jusqu’à la voiture.
Des inconnus m’enculent sauvagement et
disparaissent.
- Tu veux l’enculer, dit Hermine à un bel étalon.
Elle a toute à toi. En position, ma belle, tu as le droit de jouir de cet
étalon.
Le premier m’encule jusqu’aux testicules, je suis
empalée sur lui, soutenue sous les cuisses. Il éjacule en moi.
Le second, un bel Africain, m’encule aussi, avec
plus de vigueur, penchée en avant, les cuisses écartées.
De retour à la résidence, je dois marcher de la
grille jusqu’à la villa, sur cinq cent mètres dans les graviers, nue, cravachée
par Hermine, en activant le pas.
- Ta superbe croupe est prête à être cravachée, pute
Shawn.
- Hermine, est-ce normal, que la mouille dégouline
entre ses cuisses, à chaque coup de cravache, dit Carl, au volant de la
limousine.
- En plus, en réalité, Shawn, tu adores ça !
Hermine me cravache à toute volée. Elle recommence
quatre fois, en prenant soin de cingler chaque fois ou plus, haut ou plus bas
que la fois précédente, pour que les traces soient nettes. Mes larmes coulent
dans ma bouche ouverte.
Je reprends la marche, mes fesses me brûlent, sous
les coups de cravache, mon bijou d’anus me fait un plaisir de jouissance.
Alban est fier de mes anneaux.
Alban m’enlace et m’embrasse.
- Shawn, ton éducation n’est pas encore finie. Carl,
Désiré et Natacha vont s’occuper de toi. Pendant deux jours, aucun nouveau
visiteur ne va te satisfaire, mais tu seras cravachée à toute heure de la
journée.
Je me retrouve menottée nue à mon lit, avec mes
bracelets de cuir aux poignets et aussi aux chevilles et avec un collier de
cuir. Je suis officiellement la pute anale d’Hermine.
Ils sont faits : en plusieurs épaisseurs de cuir,
chaque épaisseur assez mince, au total pas plus d'un doigt, verrouillés par un
système à déclic, qui fonctionne automatiquement comme un cadenas quand on le
referme, et ne peut s'ouvrir qu'avec une petite clé. Dans la partie opposée à
la fermeture des bracelets, pris dans le milieu des épaisseurs de cuir, et
n'ayant presque pas de jeu, il y a un anneau de métal, qui donne une prise pour
fixer, et qu'on positionne du côté intérieur du poignet. Pour le collier,
l'anneau pend devant le cou, reposant sur la saillie des clavicules, et
brinquebale au rythme des mouvements de celui qui le porte.
Hermine m’enfonce un chapelet anal avec trois boules
de cinq centimètres de diamètre, avec chacune des billes internes. Une fois
placées à l'intérieur du corps, elles procurent des vibrations au moindre de
mes mouvements, sans aucun bruit. De plus, elles sont très faciles à utiliser
avec la cordelette qui permet un retrait facile.
Elle m’exhibe les jambes levées en l’air, pour me
cravacher l’arrière de mes cuisses, tout en faisant aller le chapelet, je dois
me retenir de jouir.
Menottée, je dois sucer et être enculée, cravachée
par celui que je suce, sans protester.
Tantôt, je suis menottée sur le dos ou sur le
ventre, les jambes relevées.
Je bois beaucoup de produits avec des excitants
sexuels qui provoquent une tension constante de mes mamelons et de mon
clitoris, la douleur devient plaisir.
Alban m’encule aussi, fière de sa pute.
Natacha m’offre un mandrin de quarante par six, pour
bien me remplir l’anus.
- Tu aimes ça, que je te défonce, tu es désormais ma
pute. J’aime te défoncer aussi la chatte quand je te masse.
- Natacha, défonce-moi à fond. J’aurais voulu deux
queues rien que moi.
- Désolé, ma chérie, tu seras uniquement enculée
comme une pute anale.
- J’ai l’œillet tellement sensible que tu me fais
jouir.
- Relâche-toi, la pute. Sinon, je te cravache.
J’obéis.
Quand je sors de la piscine, après quelques
longueurs, je suis enculée, sur la chaise longue, prosternée, cuisses écartées,
les mains jointes à mon cou, pour m’interdire de me caresser.
20 juin
Une soirée est organisée en mon honneur. Je porte
une robe de soirée dénudant mon sein gauche, ma jambe droite jusqu’au pubis,
couvrant en partie mes fesses par l’arrière, tous les invités voient mes fesses
et mes cuisses zébrées. Je suis chaussée de mes mules à hauts talons, j’ai
gardé mes carcans à mon cou, mes poignets et mes chevilles, je suis coiffée
d’un chignon.
- Voici, Pute Shawn pour vous servir, sa bouche, son
œillet vous sont ouverts. Elle avale tout.
Les yeux baissés, je m’occupe des étalons et de
leurs amies, suçant, léchant, buvant leurs pipis et leurs mouilles, entre deux
coupes de champagne.
Je suis nourrie par chacun, après le passage de mise
en bouche dans ma chatte, pour que je prenne goût à ma mouille.
Je suis cravachée et enculée en alternance jusqu’à
l’aube, suçant chacun, les yeux bandés sous un masque de nuit. Je suis exhibée,
nue, les jambes relevées, écartées par une barre d’écartement fixée à mes
chevilles, les mains menottées dans le dos, sur le dos ou prosternée, selon les
envies des invités.
- Quel puits, c’est un plaisir de l’enculer, Alban.
Tu m’avais caché que ta Shawn était une authentique reine du anal.
- C’est normal, elle est bisexuelle, l’anal c’est sa
spécialité. Elle prend plaisir à être fouettée.
Des mots comme pute, chienne, suceuse, videuse de
spermes, fesses à fouetter, beauté naturelle de chienne sont prononcés. Ces
mots m’excitent.
21 juin
A l’aube, quand on me retire le masque de nuit, j’ai
du mal à retrouver mes esprits.
Alban me retire la barre d’écartement et je vais me
soulager, me faire mon lavement et me baigner. Mon pubis et mes fesses sont
tâchés de spermes séchés.
Alban me menotte à mon lit, avec juste une chaîne
fixée à mon collier, les mains menottées dans le dos, allongée sur le dos,
cuisses écartées.
- Cela t’a plu, tu es toute trempée. Tu es facile.
Tu as envie de tous les hommes qui te désirent, en te livrant à d'autres, ce
sont les alibis pour ta propre facilité ?
Ma courte nuit est agitée par l’orgie et les coups
de cravache reçus, qui m’excitent davantage.
Je regarde le soleil se lever.
Désiré vient m’enculer jusqu’à éjaculer sur mon
pubis.
- Tu as été parfaite, tu es encore plus pute
qu’auparavant.
Je le suce et j’avale tout.
Vers 9 heures, libre, je me douche, me farde et me
parfume et déjeune rapidement.
- Tu vas rester nue, en mules, avec tes carcans de
cuir. Je te conduis dans un lieu secret. Tu vas remettre ton masque de nuit.
Nous prenons le Dauphin.
J’obéis, tenue en laisse par mon collier, aveugle,
je monte à bord du Dauphin. Mes mains sont menottées dans mon dos.
Le trajet dure une éternité, mes seins, mon clitoris
sont caressés, ma bouche est remplie par les doigts d’Alban. La porte reste
entrouverte, l’air frais provoque une excitation de mes mamelons et de mon
clitoris.
Je dois retarder mon orgasme.
Le Dauphin atterrit sur une plate-forme d’un
immeuble.
Nous descendons quelques étages. A chaque palier,
penchée en avant, Alban m’encule avec trois doigts, juste assez pour ne pas me
faire jouir.
Puis une porte s’ouvre.
- Tiens, la pute que j’ai prise hier soir. Elle est
radieuse, dit une voix masculine.
- C’est vrai, son puits est un plaisir.
- C’est une chienne, il paraît.
Puis on me fait arrêter et penchée en avant. Les
flashs crépitent, on m’écarte bien les fesses, on me fouille longuement l’anus.
- Action, pute offerte à son désir, scène première.
Je dois subir six sodomies sauvages sans répit par
des étalons bien montés, sans pouvoir jouir.
- C’est bon, scène deuxième.
Je dois sucer les étalons, tandis que chacun son
tour, il m’encule plus longuement et me fesse magistralement. J’aime ça.
- Scène troisième
Je me retrouve dans plusieurs positions de double
pénétration intense, sans pouvoir jouir, un bâillon O étouffe mes râles.
- Scène quatrième
Accroupie, cuisses écartées, je suce et avale les
étalons.
- Coupez, c’est bon, c’est enregistrée, pute offerte
à son désir, premier volet est envoyé au mixage.
Alban me retire mon masque de nuit, je découvre une
vaste chambre avec de nombreux miroirs sur pied, des glaces au plafond et un
vrai plateau de cinéma.
- Quelle est ta réaction de te faire filmer ?
- Je veux recommencer, mais je veux voir mes amants.
- Bon, dit le réalisateur, le mandrin en érection,
mais alors on va te fouetter sur un chevalet.
Je suis offerte sur un chevalet.
Je suis solidement immobilisée dans cette posture
dégradante, le postérieur plus haut que la tête. Mes bras sont fixés le long
des pieds avants, mes jambes le long des pieds arrières, et une large sangle
m'est passée au niveau de la taille. Mes cuisses, légèrement fléchies sont
empêchées de se resserrer par la largeur de la poutre, ainsi d'ailleurs mes
fesses que je me peut refermer. Toute mon intimité est ainsi très accessible et
on peut me faire tout subir.
Des pinces à seins munies de clochettes pincent mes
mamelons tendus et d’autres aux grandes lèvres de ma chatte humide.
Je connais la cravache, puis la garcette, de cordes
assez fines, faite de sept lanières terminées chacune par plusieurs nœuds, et
qui sont toutes raides, trempées dans l'eau, car on m’en caresse l’intérieur de
mes cuisses, je sens combien les cordes sont humides et froides.
Les coups se succèdent, entre deux sodomies par des
gros vibromasseurs anaux. Je ne sais si je dois gémir ou jouir. Cela plait au
réalisateur.
- C’est une vraie chienne, qui prend plaisir à être
fouettée.
Pantelante, on marque une pause. Je bois un
stimulant sexuel mélangé à un jus de fruit. Mon anus réclame des mandrins pour
me satisfaire.
Je suis saillie par un berger allemand, prénommé
Adam, qui me baise, menottée à un chevalet, en gardant mes clochettes à mes
mamelons, Il me lèche la chatte le clitoris et l’anus. Puis d’un seul coup, il
passe ses pattes avants autour de ma taille. Son gros sexe à l’entrée de ma
grotte et sans ménagement sa grosse queue me remplit. Le chien commence des
va-et-vient de plus en plus rapide pour ma grande joie. Je commence à jouir
puisque la bite canine m’a pénétrée entièrement et bute sur mon utérus. Le nœud
entre. Le mâle commence a ralentir ses mouvement et éjaculer en moi. Jamais je
n’ai reçu autant de sperme. Je crie de plaisir. Je suis attachée à un si viril
amant. Le chien entre sa boule, qui est déjà bien grosse. Je la sens encore
grossir en moi. J’ai peur qu'il déchire ma chatte. Je reste verrouillée une demi-heure.
Il déverse en moi une quantité de foutre chaud.
Dès qu’il rebande, après l’avoir sucé, menottée. On
enduit de miel mon anus.
Puis il m’encule. Je gémis, mais je connais
plusieurs orgasmes lors de sa longue éjaculation. Il m’encule avec force, sourd
à mes cris de douleur, il me viole pendant deux minutes et d'un coup se fige
pour me remplir de ses jets de foutre, je le sens se vider à l'intérieur et
c’est pour moi une extase totale.
Le sperme coule de ma chatte et de mon anus.
Les acteurs m’enculent ensuite, profitant de mon
anus bien lubrifié, j’explose dans de violents orgasmes anaux, suçant mes
amants.
La scène est enregistrée.
Libre, avec mon bijou d’anus, je me douche
longuement sous le regard d’Alban, du réalisateur et des autres acteurs, en érection.
Le bijou d’anus est moulé sur le devant du sexe du
berger allemand. Cela me rappelle combien je suis avant tout une chienne.
Nous rentrons vers midi chez Alban.
Alban me masturbe longuement la chatte et le
clitoris, je suis menottée dans le dos. Je me retiens de jouir.
A la résidence, Hermine m’attends nue en compagnie
d’un superbe berger allemand, prénommé Conan, le sexe en érection.
- Alors, ma chérie, tu te fais chienne.
Prosterne-toi pour Conan, chienne anale.
J’obéis, cuisses écartées, les mains jointes à mon
cou.
Conan m’encule d’une seule traite, l’anus libre. Je
connais plusieurs orgasmes comme avec Adam.
- Tu t’es habituée au sexe de Conan, comme le
vibromasseur qui t’a assoupli, ma chienne anale.
Je me retiens de répondre.
Conan m’inonde, attaché à moi.
Dès qu’il le désire, dans ma chambre, je dois me
présenter à quatre pattes pour me faire saillir, surtout plus enculée que
baisée. Je suis pantelante, au coucher du soleil.
Surtout, si Alban et les autres étalons réclament
leurs dus.
J’ai droit à un bon lavement anal pour mes saillies
nocturnes, je promène Conan dans le jardin.
Jusqu’à l’aube, enchaînée par mon collier, je subis
les assauts de Conan.
22 juin
Au lever du soleil, mon anus dégouline de surplus de
spermes chauds. Conan a disparu. Je me rendors.
Vers 9 heures, je suis libérée, baignée et je passe
la journée à me reposer de mes ébats de la veille, bercée par les râles de
plaisir diffusés par la télévision, d’une femme sans visage, baisée et enculée.
Serais-ce moi ?
Je fais quelques longueurs de la piscine, avec
toujours mon bijou d’anus.
Je réclame :
- Je désire me faire prendre en double pénétration
canine trouve-moi des chiens pour me satisfaire.
- Cela sera exécuté, des gros sexes pour ton plaisir
de pute chienne.
25 juin
Une voiture entre avec une remorque.
Aussitôt, le mastiff et le doberman entrent dans la
pièce et s'approchent de moi. Je suis offerte à quatre pattes, nue. Je me fais
lécher par les deux chiens en même temps.
Les cuisses écartées et le sexe de plus en plus humide,
je profite une bonne dizaine de minutes des deux langues animales expertes.
Puis je me retrouve allongée au sol, les cuisses
largement ouvertes. Les deux chiens étaient en train de se rapprocher
dangereusement. Puis à quatre pattes, je suis enculée par le mastiff et le
doberman me lèche la chatte et le clitoris. Le doberman m’encule à son tour je
jouis jusqu’à l’orgasme.
Le doberman s'installe en premier sur mon dos,
m’encule à nouveau encore plus violemment que la première fois, et fit très
rapidement passer son nœud à travers de mon anus. Je chevauche le mastiff,
allongée sur le dos, m’empalant la chatte sur son sexe jusqu’au nœud.
Doublement attachée à eux, je suis inondée de leurs
spermes chauds jusqu’à leur retrait, je perds connaissance. Ma chatte est
longuement léchée par les deux chiens pour une nouvelle série de saillie anale
canine par chacun. L’éleveur et Alban me prennent aussi en double pénétration
debout.
Je me fais un long lavement anal avant de longues
heures, doublement pénétrée par les deux chiens dans ma chambre.
28 juin
Le Dauphin me dépose nue sur une île à trois heures
de vol de chez Alban.
L’homme qui m’accueille, un bel étalon bien monté,
le sexe nu et libre me questionne :
- Tu aimes les grosses queues.
- Oui, Monsieur, j’aime les gros calibres.
- Tu as déjà été enculée.
- Oui, plusieurs fois, j’aime ça.
Les hommes me toisent, leurs mandrins en érection.
Ils vont m’enculer, ces beaux mâles.
Je me retrouve aussi allongée sur le dos, cuisses
écartées, filmée et photographiée avec mon accord.
Ces chiens sont là uniquement pour te saillir,
enculée et baisée jusqu’au nœud.
Le malinois me baise en premier, je connais un long
orgasme, jusqu’à son éjaculation.
Un grand chien blanc genre berger belge m’encule,
puis un doberman, un dogue allemand, tous m’enculent jusqu’au nœud, décuplant
mes orgasmes anaux.
Après une courte pause, l’anus dégoulinant, je suce
les hommes présents et je dois tout avaler, ils ont interdiction de me baiser
et de m’enculer.
Les saillies anales canines continuent jusqu’au
repas de midi. Je reste offerte, prosternée, cuisses écartées.
L’homme amène de nouveaux chiens pour me satisfaire
pour l’après-midi.
Les saillies canines de ma chatte sont comblées,
avant de longues saillies anales canines. Je suis épuisée, mes hanches sont
douloureuses, mes mamelons et mon clitoris sont constamment tendus.
Après le départ des hommes qui ont encore éjaculé
dans ma bouche, l’éleveur m’encule longuement jusqu’à son éjaculation dans mon
anus dégoulinant.
J’ai droit à un long lavement avant de me reposer
jusqu’à l’aube.
En effet, certains chiens veulent me monter à
nouveau. Je ne peux refuser, prosternée sur mon lit.
A la fin de mon séjour, je porte tatouée sur mes
reins P.C.S. pour Pute Chienne Shawn et sur l’arrière de ma cuisse gauche :
Chienne adorée, bouche dressée pour l’amour d’Alban.
1er juillet
Je retrouve Hermine chez Alban.
Je suis déjà baignée, fardée et parfumée.
Je revêts une guêpière seins nus, de taffetas de
nylon, tenue rigide par de larges baleines très rapprochées, courbées vers
l'intérieur au ventre et au-dessus des hanches, sans jarretelles, qu'un busc,
sur un côté derrière, permet de boucler et de déboucler. Par-derrière aussi, un
large laçage se serre ou se desserre à volonté. Ma taille et mon ventre se
creusent sous la pression des baleines, qui sur le ventre descendent presque
jusqu'au pubis, qu'elles dégagent, ainsi que les hanches. La guêpière est plus
courte par-derrière et laisse la croupe entièrement libre.
Je mets mon boléro et mes mules à plumes, pour me rendre
plus pute. Je ne porte pas de string, je dois garder accessible ma chatte et
mon anus rempli de mon bijou d’anus.
Carl nous dépose dans le quartier chaud du
centre-ville, non loin d’un sex-shop et du tatoueur.
- Allez, ma chérie, nous allons au sex-shop,
interdiction de cacher ta chatte aux clients. Tu es là, pour satisfaire leurs
désirs, ma pute.
- Oui, Maîtresse, je suis leur pute chienne. Je vais
me faire défoncer par tous les orifices.
Des hommes me regardent furtivement, entrée au
sex-shop, tenue en laisse par mon collier, j’ai gardé mes carcans de cuir au
cou, aux poignets et aux chevilles.
- Bonjour, vous avez des modèles de godes réalistes
pour ma soumise Shawn. Elle réglera l’ensemble. Vous avez des pièces à
disposition pour visionner des films SM.
- Oui, certaines sont occupées.
- Excellent, ainsi ma soumise Shawn suce et donne du
plaisir à vos clients. Mais avant, regardons vos modèles. Il lui faut du huit.
Le vendeur, un bel étalon me toise, me pelote les
seins sous mon boléro, aux mamelons tendus et ma chatte, s’attardant sur mon
clitoris percé.
- Elle est très belle, pute à plaisir, cravachée en
plus. Elle doit aimer ça.
- Oui, elle en raffole, surtout par des étalons bien
montés.
Nous regardons les divers godes et vibromasseurs
réalistes en exposition. Il nous les présente.
Les yeux baissés, je dois donner mon accord sur les
modèles.
Sans attendre, l’anus libéré, je dois subir la
sodomie par les modèles désirés.
Je me retiens de jouir, penchée en avant, les mains
jointes à mon cou.
Après trois choix, le vendeur m’annonce :
- Je vous fais un prix, comme votre soumise Shawn va
donner du plaisir aux clients.
Dans la première cabine, qui diffuse un film
homosexuel SM, son client, au gros mandrin, me fait empaler entre ses cuisses,
l’anus entrouvert. Il me caresse longuement. Les sodomies homosexuelles
m’excitent, surtout de beaux Adonis aux pubis et aux testicules épilés,
musclés.
Je me retire avant mon orgasme anal et je le suce,
j’avale tout.
- Tu es une excellente suceuse et ton œillet me
plait.
Dans la cabine suivante, diffuse un film de saillie
canine d’une soumise. La soumise se fait enculer jusqu’au nœud. Le couple du
double de mon âge, me contraint à lécher la chatte de madame et faire éjaculer
son mari.
A la troisième cabine, qui diffuse un film lesbien
anal SM, un bel étalon musclé Africain se masturbe.
- Viens me sucer, ma belle et je te défonce le
puits, tu es une pute anale.
Il me fait prosterner sur le canapé, cuisses
écartées. En appui sur ses jambes, il m’encule longuement jusqu’aux testicules,
avec son gros et long mandrin qui m’écartèle. Je jouis, fessée magistralement.
- Tu aimes te faire défoncer l’œillet, pute anale.
- Oh oui, encule-moi à fond, je suis ta pute.
- Tu aimes ma grosse dans ton puits de pute.
- Fais-moi jouir.
Il se retire et éjacule longuement dans ma bouche,
je dois tout avaler.
Un second étalon Africain le rejoint, alerté par mes
râles de plaisir.
Je me fais prendre en double pénétration, debout,
par mes étalons musclés. Celui qui a retrouvé un peu d’érection, me baise et
l’autre m’encule.
- Son puits est bien chaud.
- Sa chatte est humide, elle aime ça, se faire
défoncer par deux queues, la pute.
- Oui, défoncez-moi, je suis votre pute.
Je dois les avaler tous les deux.
Pantelante, le bijou d’anus remis par Hermine. La
chatte trempée, je retourne voir le vendeur. Je le paye et je suis enculée par
ses soins, penchée en avant, au-dessus du comptoir, jusqu’à son éjaculation. Je
le nettoie.
Hermine me complimente :
- La soumise Shawn a été exemplaire. Je prends les
films qui ont été visionné pour exciter la soumise.
Nous repartons avec nos colis discrets. Hermine a
récupéré l’argent de mes passes.
Le réalisateur monte mon cachet par mes saillies
canines, pour étoffer mon profil, pour les admirateurs.
Hermine me conduit non loin du sex-shop, dans un
club privé. J’entre seule, en guêpière sans mon boléro, les yeux baissés, à
peine remise de mes orgasmes, les hanches douloureuses.
Six étalons m’entourent et découvrent mes anneaux,
mon clitoris percé et mes tatouages.
- Tiens, la fameuse Pute Chienne Shawn, en vrai, tu
fais bander plus d’un Maître. Tu es excitante, désirable.
Nue, je me retrouve menottée de face au public, les
yeux baissés, à une croix de Saint-André, des pinces à seins à clochettes à mes
mamelons tendus, mes cuisses et l’intérieur de mes cuisses sont cravachées, un
bâillon O m’empêche de crier.
Puis dos au public, on me cravache les fesses, en
alternance avec des sodomies sauvages par les étalons présents bien montés,
l’anus libre. Ils éjaculent sur mes fesses.
Cela dure une éternité.
Je ne sais combien d’étalons sont présents. Je
compte les coups sans me tromper, la chatte dégoulinante.
On me détache, tenue en laisse par mon collier,
pieds nus, je monte l’escalier en marbre froid sous mes pieds, les clochettes
tintent à chaque mouvement de mes seins zébrés par la cravache.
Une voix féminine m’annonce :
- Tu aimes les saillies, devant tes admirateurs. Dix
chiens vont te saillir tout autant ta chatte que ton œillet de pute, tu devras
les sucer et avaler.
Comme convenu, dans la pénombre, avec un grand
miroir, les yeux baissés, sans mon bandeau, menottée au chevalet, je
m’abandonne aux chiens de garde jusqu’aux nœuds, débordant de spermes chauds.
Les commentaires des étalons m’excitent sur mon
comportement de chienne bien dressée, sur ma bouche bien dressée, ma chatte de
chienne, mon œillet de pute chienne.
Après ces saillies, je suis longuement douchée, avec
un lavement anal, avant d’être enculée, menottée sur un lit, renversée en
arrière, les genoux sur les épaules, des chaînes fixées à mes bracelets de mes
chevilles, immobilisée, sans défense.
En traction, chacun me défonce jusqu’aux testicules,
je suce ceux qui m’enculent et qui éjaculent dans ma bouche et nettoient ceux
qui éjaculent dans mon anus entrouvert.
Ankylosée, je bois des jus de fruits mêlés à des
excitants sexuels, provoquant la tension maximale de mon gros clitoris et de
mes mamelons libres des pinces à seins. Je ne compte plus mes orgasmes.
Les chiens me prennent dans cette position. Je suis
filmée et photographiée pendant ma venue au club.
Ce n’est que peu avant le coucher du soleil, que je
rentre chez moi, avec Hermine.
Je me baigne longuement, avant de passer la nuit,
menottée à mon lit, bras et jambes écartées, enculée à toute heure, suçant et
avalant.
Cela dure trois jours sans répit, sous le regard
d’Alban.
5 juillet
Au lever du soleil, encore menottée à mon lit,
écartelée, l’anus dégoulinant du sperme de Conan, qui m’a longuement enculée
jusqu’à plusieurs orgasmes, je reçois la visite d’Alban.
- Ma sublime soumise, au corps zébré, tu vas devenir
la soubrette de Maître D. C’est un homme exigeant, qui aime la beauté, la
docilité, la ponctualité. Tu vas porter ton nouvel uniforme, il te feras ferrée
et marquée comme une authentique soumise et intégralement épilée comme une
jeune fille.
Libre, baignée, fardée et parfumée, je revêts le
corset seins nus, un serre-taille pour mes bas assortis blancs, des bottes à
talons aiguilles, qui affinent mes jambes. Je porte un tablier blanc pour
couvrir ma chatte nue. Je ne garde que mon collier en cuir.
Je monte à bord de l’Ecureuil particulier, les yeux
bandés, assise cul nu, cuisses écartées.
Après un long vol, l’Ecureuil se pose à proximité de
la piscine.
On m’aide à descendre. On me retire mon bandeau. Je
découvre une villa sur deux étages. Un bel étalon Africain bien monté, quarante
par sept et un bel Apollon Européen doté d’un trente-cinq par huit, en tenue de
majordome, le mandrin nu et libre, m’accompagnent auprès de Maître D. Ils
portent des fers aux testicules épilés.
Maître D est un bel étalon musclé, nu sous sa cape,
exhibant à mes yeux baissés, son mandrin de trente-six par huit, m’attend au
salon, près de la piscine au rez-de-chaussée.
- Voici, la célèbre Pute Chienne Shawn, soumise à
souhait. Tu es ma soubrette, les hommes présents sont sous mes ordres et aucun
ne te donnera du plaisir, sauf moi et ils peuvent te fouetter, si tu connais
une faute. Tu vas me sucer, accroupie, cuisses écartées.
J’obéis.
- Ta bouche dressée de pute est à souhait. Attention,
de ne pas me faire jouir dans ta bouche. Tes orgasmes sont uniquement autorisés
sous mes ordres, la masturbation et le choix de tes godes anaux sont prises en
accord avec moi.
Puis sans ménagement, il me penche en avant,
m’enculant sauvagement, l’anus libre de mon bijou d’anus.
- Quel puits, tu es très chaude. Retiens-toi de
jouir. Tu vas découvrir divers lieux de plaisir pour le plaisir de mes amis. Je
vais te faire épiler intégralement, ta chatte velue n’a pas sa place comme
soumise, ainsi que ton pubis. Emmanuelle va s’occuper de toi.
Maître D se retire juste avant mon orgasme, mon gros
clitoris et mes mamelons sont tendus à l’extrême.
- Juste avant ton orgasme, il te faut ta ration, ma
belle.
- Oui, Maître, je veux mes orgasmes.
- Qui t’a autorisé à parler, à ton Maître, ma
belle ? Tu seras punie tout à l’heure. Hercules et Xavier, conduisez-la à
sa chambre, en passant par la pièce des plaisirs 48, pour lui montrer sa
sanction.
Tenue en laisse par mon collier, les yeux baissés,
l’anus encore entrouvert, je suis les deux hommes.
- Tu défies ton Maître, Shawn. La sanction sera à la
hauteur.
Au premier étage de la villa, se trouve une
succession de pièces : le petit salon avec des miroirs et un chevalet, le
bureau de Maître D fermé à clé, une grande salle sans fenêtre, capitonnée avec
deux barres verticales en bois, espacées d'un bon mètre, sont plantées au
milieu, sur toute la hauteur de la pièce. Elles étaient régulièrement percées
pour permettre d'ajuster, au moyen de goupilles, la position de quatre anneaux
d'acier qui y sont suspendus, deux en l'air et deux au sol.
Emmanuelle est là, un superbe transsexuel blond, aux
seins plantureux et un mandrin de vingt-cinq par huit, nu et libre.
- Tu l’épileras tout à l’heure, après la punition.
Elle se prénomme Shawn.
Emmanuelle m’embrasse langoureusement en pelotant
mes seins.
- Tu me plais, peu de soubrettes restent plus d’une
semaine au service de Maître D.
Je redescends ensuite à ma chambre au sous-sol, avec
un simple lit, pour me menotter, une armoire, un lavabo et un bidet et la
douche se trouve à l’extérieur.
- Déshabille-toi, le Maître D va te corriger de
suite.
Nue, pieds nus, je suis le duo, tenue en laisse.
Je me retrouve aussitôt, attachée en croix, jambes
écartées et bras en l'air, faisant glisser mes poignets et mes chevilles dans
les anneaux qui se ferment comme des menottes.
Maître D me cingle à la cravache et à la garcette.
Je me retiens de gémir, mais je mouille sous les coups. Il me pose aussi des
pinces à seins avec clochettes à mes mamelons tendus et à mes grandes lèvres
humides.
Au bout d’une heure, effondrée entre les deux
barres, seulement retenu par les bras, j’ai les seins, le ventre, la chatte et
les cuisses zébrés de fraîches traces.
Emmanuelle m’épile ensuite, dans la même position.
Après l'épilation au ciseau et au rasoir à main, je
sens la flamme d’une bougie sur ma chatte, mon pubis et ma raie pour que même
le duvet disparaisse à coup sûr.
Je retrouve ma chatte de jeune fille.
Je me rhabille, mais juste avec mon tablier, seins
et fesses nus et je fais le service, apportant le café au bureau de Maître D,
les yeux baissés. Maître D m’a équipé de pinces à seins reliées à mon collier
par des chaînes, du lest à chaque mamelon, reliés à des pinces à mes grandes
lèvres. Mes mamelons sont étirés vers le bas, comme mes grandes lèvres, un
double vibromasseur m’est installé et un bâillon O m’empêche de parler.
- Tu as compris ta faute, Shawn.
J’hoche la tête.
- Très bien, à chaque tentative d’orgasme non
décidé, tu seras punie. J’ai d’autres lieux pour te punir dans la villa. Ce
système de soumission te tiendra tranquille.
Je fais le service du midi, avec chaque plat que je
dois monter du sous-sol, nourrie par les contenus des plats que je dois avaler,
passée dans ma chatte humide, libre du double vibromasseur.
Je fais le nettoyage de la pièce des objets du
plaisir, au premier étage, à gauche de l’escalier, une grande collection de
godes, vibromasseurs, avec des carcans de cuir, des fouets, des cravaches, tout
doit être nickel. Emmanuelle me surveille. Je garde mon double vibromasseur en
place. Les autres pièces sont à droite de l’escalier.
Je rejoins le second étage, où se trouve une
terrasse avec divers accessoires, dont un banc de musculation et une croix de
Saint-André, un assortiment de godes réalistes de très gros diamètre avec des
picots.
Emmanuelle me menotte au banc de musculation,
cuisses écartées, des chaînes sont fixées aux bracelets de mes chevilles et mes
poignets sont emprisonnés dans des bracelets en fer. Je ne peux plus bouger.
Emmanuelle me retire le double vibromasseur et me
replace le bâillon O par un bâillon pénis de bonne dimension.
Maître D me punit à la chicotte et à la garcette sur
les fesses et les cuisses. Je jouis sous le bâillon.
La chicotte est un engin fait en deux parties, d'une
part un manche en bois verni et de l'autre une tresse en cuir, reliés ensemble
par une boucle qui forme charnière, de telle sorte que, quand on l'utilise avec
habilité, le coup de poignet sur le manche donne encore plus de vitesse à la
tresse en cuir.
Je reste ensuite deux heures dans cette position,
enculée à la discrétion de Maître D et d’Emmanuelle, tout en retardant mes
orgasmes anaux.
Au coucher du soleil, je suis autorisée à voir
Emmanuelle enculer Hercules et Xavier, ma bouche bâillonnée avec le bâillon O,
je suce et avale le sperme de chacun du trio, sans les masturber.
Je sers le souper et je ne peux me coucher qu’après
avoir nettoyé le bureau de Maître D et la salle où j’étais fouettée.
Je dors nue, prosternée sur mon lit, fouettée et
enculée à toute heure, avant de prendre mon service le lendemain à sept heures.
10 juillet
Maître D me pose mes fers aux grandes lèvres humides
de ma chatte, me marque au fer rouge mes fesses des lettres D et A et me marque
aussi l’intérieur de ma chatte des lettres D et A entrelacés, les noms de mes
Maîtres.
Ce sont des anneaux de fer mat inoxydable, comme le
fer de la bague doublée d'or. La tige en est ronde, épaisse comme un gros
crayon de couleur, et ils étaient oblongs : les maillons des grosses chaînes sont
semblables. Chacun est formé de deux U qui s'emboîtent l'un dans l'autre. Le
ressort intérieur sur lequel on doit forcer pour le faire pénétrer dans la
rainure où il se bloque. Chaque anneau est long comme deux phalanges du petit
doigt, qu'on y pouvait glisser. A chacun est suspendu, comme un nouveau
maillon, ou comme au support d'une boucle d'oreille un anneau qui doit être
dans le même plan que l'oreille et la prolonger, un disque de même métal aussi
large que l'anneau est long. Les fers qui trouent mes grandes lèvres de ma
chatte, me descendaient jusqu'au tiers de la cuisse, et à chacun de ses pas
bougent entre mes jambes comme un battant de cloche, le disque gravé étant plus
lourd et plus long que l'anneau auquel il pend. Les marques imprimées par le fer
rouge, hautes de trois doigts et larges de moitié leur hauteur, sont creusées
dans la chair comme par une gouge, à près d'un centimètre de profondeur. Rien
que de les effleurer, on les perçoit sous le doigt. De ces fers et de ces
marques, j’éprouve une fierté insensée.
Je vais régulièrement chez Maître D, offerte à ses
amis lors de longues journées de dressage.
Je donne naissance à une fille lors de mes ébats
sexuels autorisés par Alban, constamment saillie comme une chienne, pendant ma
grossesse de pute chienne.