Je m’appelle Prudence.
J’ai 22 ans.
Je suis une jolie beauté scandinave.
Je suis une
brune aux yeux verts. J’ai des pieds fins et latins, des jambes longues
bronzées, musclées qui inquiètent par leur perfection. Mon pénil est bombé,
ouvert, couronné de noir. Ma pilosité brune couvre mon pubis. Je suis
totalement velue entre les cuisses et j’ai une superbe croupe. Les lèvres de
mon sexe sont une plaie rouge entre mon entrecuisse velue. Mes hanches
s'incurvent et délimitent le ventre plat, délicieusement renflé autour du
nombril, les hanches sont larges et rondes, mais sans lourdeur. La taille est
affinée. Les seins parfaits intégralement bronzés sont un peu volumineux mais
fermes, et leurs pointes marron clair, toujours dressées, cernées par une large
aréole marron attirent le regard. J’ai une peau lisse et patine. Finition
parfaite, un seul grain de beauté entre mes superbes seins. De longs cheveux
plats blonds flottant comme des algues, battent mes épaules rondes et
gracieusement athlétiques. Je suis intégralement bronzée. Mes yeux verts
limpides s'allument, ma bouche charnue se fend. J’ai des sourcils bruns bien
dessinés et des lèvres pulpeuses. J’ai de longs doigts fins et de belles mains.
Je fais du 85B de poitrine, 56 de taille, 90 de hanches, 1,72 m.
CASTING SM
POUR VICIEUSE
12 juin
Je suis
étudiante dans une faculté très connue, en langues scandinaves et françaises,
parlant danois, anglais, allemand, suédois, français.
Je
collectionne mes amants depuis ma défloration accidentelle sous la douche par mon
cousin Xavier, bien monté. Je me suis perfectionnée avec mes nièces jumelles
Aimée et Hermine, en me godant avec divers calibres, les vibromasseurs
réalistes, les gode-ceintures avec gode interne et les jeux lesbiens, mon
clitoris est très sensible depuis.
A la
faculté, je choisis chaque jour un amant différent pour la journée et le soir,
je me donne à ma colocataire Diane, une américaine aux seins plantureux, plus
âgée que moi, plus grande et intégralement épilée. Elle déteste ma chatte velue
que j’offre à mes amants.
En fin
d’après-midi, en sortant des cours, je rentre au duplex que je partage, à une
demi-heure à pied. Je suis vêtue d’une robe d’été fuchsia, sur mon
soutien-gorge et mon slip en dentelle assortie transparente, chaussée de
sandales blanches à hauts talons, coiffée de ma queue-de-cheval. Mon amant
m’attends, c’est Brice, un bel étalon musclé, comme je les aime, étudiant en
arts.
Nous avons
rendez-vous à la terrasse d’un café.
Je me fais
draguer, en l’attendant, par un bel homme du double de mon âge :
- La
belle, cela te dirait de faire des photos, pour un magazine, tu as le physique
requis.
-
J’attends un ami.
- Ton ami
serait ravi de te voir faire la une de magazines. C’est 500 l’heure, 1000 la
demi-heure et 2000 pour les extras.
- Quels extras,
des photos dans des lieux exotiques ?
- Voici ma
carte, appelle-moi. Ton prénom est.
-
Prudence, étudiante en langues.
L’homme
prénommé le Baron, note mon numéro de téléphone. Je mouille.
Brice ne
m’interroge pas sur ma rencontre.
Excitée,
dans mon duplex, nue, je baise dans diverses positions, mais Brice tente de me
doigter l’anus :
- Arrête,
pas là.
Puis il
enfonce son gros mandrin de trente par cinq, en me mettrant à quatre pattes sur
le lit, dans mon anus lubrifié.
Il
s’enfonce jusqu’aux testicules, je gémis.
- Tu aimes
ça, tu es comme toutes les autres filles. Tu aimes te faire remplir l’œillet,
la belle.
- Arrête,
tu me fais mal, retire-toi.
Il m’a
fait mettre à quatre pattes sur le lit. J’ai la croupe surélevée, les cuisses
bien écartées.
Il titille
mon clitoris de plus en plus vite. Je suis au bord de la rupture. Je cambre les
reins très fort, quand soudain, sous la pression, le muscle anal s’est relâché
et le gland avalé.
- Non,
reste, continue, encule-moi, encule-moi…
Pourtant,
je sens une douce chaleur m’envahir. Sur un coup de reins violent de ma part,
je suis littéralement empalée. Son mandrin s’enfonce le plus loin possible. Je
lui malaxe les testicules.
Plus il me
pilonne, plus son mandrin augmente de volume, lors de mon premier orgasme anal.
Il me fait
coulisser sur son mandrin, me déflorant l’anus. Il me fesse pour me faire
chauffer les fesses. Je mouille de la chatte et de l’anus. C’est douloureux et
jouissif.
- Ecarte
bien les fesses, détends-toi. Je vais t’enculer bien profondément, ma belle.
- Je suis
toute à toi, fais-moi jouir.
Brice
éjacule dans mon anus et je le suce et tout avaler.
- Le Baron
sera ravi de savoir que tu es doublement ouverte, la bouche dressée.
Puis, nous
basculons sur le côté et nous restons sans bouger, sans débander, je reste
enculée. D’un léger coup de reins, il se dégage, me retourne et prise dans ses
bras, en m’embrassant et me consolant.
Nous
prenons une douche commune et Brice m’encule à nouveau sauvagement. Je jouis.
Il éjacule
dans mon anus et je dois le sucer et avaler.
Il
m’abandonne.
J’ai du
mal à reprendre mes esprits, suite à ces sodomies. J’ai toujours détesté ceci,
mais le plaisir est le summum. Je me masturbe longuement mon clitoris encore
tendu et ma chatte toute humide et je lèche ma mouille.
Diane
rentre et me découvre toute nue, comme d’habitude. Je n’ose lui raconter ma
première sodomie avec un homme.
Vers
dix-neuf heures, le Baron me contacte :
Venez à
vingt-deux heures, ce soir, au « Trésor d’Eros », en robe courte, dos
nu, sans aucun dessous, tu m’apportes aussi ton string que tu as porté
aujourd’hui, comme gage de ta venue. Tu trouveras l’adresse dans l’annuaire. Tu
seras récompensée, de 1.500 plus une surprise.
Je suis
toute excitée. Je me douche, me refais une beauté, me parfume et je suis
intriguée et excitée d’avoir les seins libres et nus comme j’ai nus et libres
les fesses et le ventre, de la taille aux genoux. Je choisis ma robe d’été dos
nu blanche, qui s’arrête à mi-cuisse, avec une jupe ample, des escarpins
blancs, coiffée d’un chignon.
Je prends
un taxi, mais celui-ci me dépose à cinq cent mètres du « Trésor
d’Eros », car le quartier est assez chaud, de prostituées et de motards
voyous. Je paye le taxi.
J’accélère
le pas et j’arrive à l’entrée du « Trésor d’Eros », par une discrète
porte cochère.
La porte
s’ouvre et je découvre un immense salon avec des glaces et des miroirs sur les
murs et au plafond, des dizaines de couples nus, faisant l’amour à plusieurs,
en double pénétration, la femme suçant d’autres hommes bien montés. Tous sont
nus et masqués.
Un homme
masqué s’approche de moi, du triple de mon âge, athlétique, m’annonce avec un
accent allemand :
- Te
voici, Prudence, Brice t’a défloré l’œillet. Mais tu n’es plus vierge de ton
écrin aussi. Cela est parfait. Déshabille-toi, mes invités vont s’occuper de
toi.
Nue, je
suis aussi entourée par trois beaux étalons bien montés, qui me caressent les
fesses qu’ils écartent, me doigtent l’anus, me pelotent les fesses,
m’embrassent langoureusement, une langue s’occupe de mon clitoris tendu. Je
manque de perd haleine.
L’un se
couche sur le dos, et me fait empaler ma chatte sur son gros mandrin,
d’africain de trente par sept, jusqu’aux testicules, je me couche sur lui,
tandis que le second, avec son gros mandrin de vingt-neuf par six, m’encule et
je suce aussi un mandrin de trente et un par six. Cela étouffe mes râles, mon
bassin ondule sur ces deux mandrins.
- Elle
aime ça, se faire défoncer l’œillet.
- Sa moule
dégouline.
- Elle
suce à merveille, la belle.
Puis celui
que je suce, m’invite au bout d’une bonne demi-heure de sodomie, à m’empaler
sur lui, dans une autre position.
L’anus
bien ouvert, lubrifié par le sperme, je me retrouve empalée, enculée, dos à
celui que j’ai sucé, en appui sur mes bras.
Un autre
étalon vient me baiser, en écartant bien mes cuisses, je suce celui qui m’a
enculée et celui qui m’a baisée, avalant leurs spermes. Je connais un nouveau
double orgasme avec double éjaculation. Les femmes masturbent mon clitoris
tendu, pelotent mes seins aux mamelons tendus.
Enfin, deux
colosses musclés me prennent aussi. Un des hommes me prend dans ses bras, je
l'entoure avec mes jambes et me baise et le second qui m’encule, me soutient
également une partie de mon poids.
Pendant
plus de deux heures, j’alterne les positions avec de nouveaux partenaires,
jusqu’à sept de diamètre pour mes sodomies.
Tous
confirment à l’homme à l’accent allemand :
- Son
œillet a besoin d’être plus ouvert, Baron, mais cette beauté aime être enculée,
comme une future soumise.
- Prudence
vient avec moi, j’ai des consignes à te donner.
Il me
prend par la main, nue, pieds nus, en sueur, pantelante, mon anus et ma chatte
dégoulinent de spermes.
Nous
montons l’escalier et je me retrouve dans une immense salle de bains, avec
aussi des murs et le plafond recouvert de glaces et de miroirs, une douche, un
bidet et un urinoir pour hommes.
Je me
soulage pour pisser, debout, tandis que l’inconnu m’encule, pour rendre mon
acte difficile. Un court orgasme anal me submerge.
Sous la
douche, sans aucune pudeur, une canule, montée à l'extrémité du flexible de la
douche, par laquelle je suis aspergée d'eau tiède, m’encule, je me douche et je
jouis, sous le jet d’eau tiède dans mon anus.
Après
plusieurs lavements, je suis propre.
Je me
sèche, me refais une beauté, me parfume.
- Penche-toi
et écarte les fesses, Prudence.
Penchée en
avant, cuisses écartées, j’obéis.
Je sens un
gros sexe réaliste, veiné, en érection, au gland bien dessiné, me remplir
l’anus, sur trente par sept. J’ai un peu mal, mais je ne peux l’expulser.
L’inconnu
m’attache une étroite ceinture autour de ma taille, et l'on y accroche les
trois chaînettes, une par derrière qui suit le sillon des fesses, et les deux
autres par-devant, qui longent le pli des aines en contournant le triangle
pubien, ajustées au plus court et cadenassées, pour mon anus soit écartelé
constamment. Si je suis seule, je ne peux me soulager de cette contrainte. Le
vibromasseur s’allonge et rétrécit à chaque mouvement de va-et-vient grâce à
son enveloppe en ultra-souple qui s’étire ou se contracte en suivant les
montées et descentes, pour m’enculer par un amant infatigable.
- Le Désir
d’œillet va te préparer et rendre ton œillet plus ouvert et tu seras plus apte
à de prochaine sodomies sans douleur.
L’inconnu
me fait empaler sur son mandrin de trente par cinq, déclenchant une excitation,
ma chatte resserrée et me fait jouir.
Je le suce
pour le récompenser et j’avale tout. Il me remet un petit livre avec des
instructions sur ma nouvelle vie quotidienne.
De retour
au salon, les ébats sexuels continuent, les femmes caressent mes seins, ma
chatte trempée, mon clitoris et mes mamelons tendus, par une mystérieuse crème
qu’elles ont avec elle. Je suis aux anges, enculée constamment, les ondulations
de mon bassin trahissent mon plaisir et mes râles bruyants excitent les amants.
13 juin
Vers deux
heures du matin, l’anus libre, je suis livrée à de nouveaux doubles
pénétrations plus jouissives et ma douleur anale devient un plaisir anal.
Je dois
commenter les photos de mes ébats, l’anus rempli par le vibromasseur,
agenouillée, cuisses écartées, caressée par les femmes, mon gros clitoris et ma
chatte léchés. Je dois me retenir de jouir.
L‘anus
dégoulinant de spermes, j’ai un nouvel lavement, avant de rentrer chez moi,
vers quatre heures du matin. Je prends l’unique taxi qui passe à proximité.
J’ai une enveloppe contenant 2.500 et un petit mot :
« Tu
as rendez-vous à neuf heures à l’immeuble 25. Tu as juste le temps de dormir,
tu vas garder Désir d’œillet pour ton repos. L’homme qui va t’accueillir, va
s’occuper de toi. Tu iras en cours, l’après-midi et ce soir, tu as encore une
autre séance. Les photos de tes ébats avec Brice et au « Trésor
d’Eros » sont disponibles auprès de clients. »
Au duplex,
je retrouve Diane, en compagnie de Brice.
Je me
douche rapidement, je me mords mon index lors des orgasmes provoqués par Désir.
Mes draps sont trempés par ma mouille abondant et mes fantasmes de mon orgie au
« Trésor d’Eros ».
Ma
garde-robe a été changée : fini les soutien-gorges, slips, strings,
culottes, pantalon, short, jupe-culotte, bas et collants au profit de corsets,
guêpières, tous seins nus, pour les mettre en valeur et affiner ma taille,
boléro fermé, jupe éventail, aux longueurs de mi-cuisse jusqu’au ras des
fesses, escarpins, sandales et mules à hauts talons de diverses hauteurs. Mon
maquillage suit une règle dans le petit livre.
Vers huit
heures, je me réveille seule, Diane et Brice sont partis. Je me douche et
déjeune, nue, cuisses écartées, pour les voisins voyeurs.
Je me
masturbe le gros clitoris, mes mamelons sont tendus par l’air frais de ma
fenêtre ouverte. Je mouille d’excitation.
Je me
maquille : les paupières légèrement ombrées, ma bouche peint au pinceau
avec un rouge clair, un peu liquide, et qui fonce en séchant, me peint du même
rouge l'aréole et mes mamelons, et les petites lèvres de ma chatte, en
soulignant la fente du giron. Je me poudre le visage.
J’applique
quelques gouttes du liquide que m’a remis l’inconnu. Mon clitoris est gros
comme une cerise, saillant et volumineux, tandis que mes mamelons saillants,
gros et longs, quand je me regarde dans mon miroir, en l’appliquant. Mais
l’excitation des sodomies subies par le vibromasseur décuple le temps de leur
sensibilité. J’ai un peu mal, je dois cesser toute masturbation, comme dans le
livre. Je suis frustrée et je finis avec un glaçon pour la couleur sur mes
mamelons.
Je mets
seule ma guêpière, qui creuse ma taille et mon ventre sous la pression des
baleines, qui sur le ventre descendent presque jusqu'au pubis, qu'elles
dégagent, ainsi que les hanches, sans jarretelles. La guêpière est plus courte
par-derrière et laisse la croupe entièrement libre.
Je mets
mon boléro fermé au cou. Il suffit d'enlever le boléro pour que les épaules et
les seins soient nus, et sans même enlever le boléro, de l'ouvrir, si l'on
désire voir les seins.
C'est
vrai, mes mamelons et son clitoris sont complètement tendus et très dur au
point de me faire vraiment mal et le moindre effleurement même involontaire
devient une véritable torture tellement ces endroits sont devenus sensibles.
Je mets ma
jupe et mes mules.
Je me
regarde dans le miroir, je fais un peu fille sage, avec mes cheveux libres.
L’immeuble
se trouve à une demi-heure à pied du duplex.
Je suis en
sueur, et haletante, parce que ma guêpière me coupe la respiration, submergée
par mes orgasmes anaux.
Au pied de
l’immeuble, une jeune femme m’accueille :
- Oui,
Prudence, vous êtes attendue au huitième étage. Alban vous attend. Charles
Edouard escorte-la.
Charles
Edouard me toise, me caresse les seins aux mamelons tendus sous le boléro,
observe les ondulations de mon bassin, doigte ma chatte pour sentir le
vibromasseur qui m’encule.
Au
huitième étage, il m’ouvre la porte du bureau d’Alban.
- Voici,
Prudence, la belle du « Trésor d’Eros », ton œillet me plait, ainsi
que ton écrin, tu ne vas regretter ta matinée jusqu’au déjeuner au restaurant.
Déshabille-toi, mon directeur des ressources humaines recherche une stagiaire
multilingues comme toi. Je t’ai enculée hier soir, tu as beaucoup aimée, tu es
une reine de l’anal.
J’obéis,
parade dans le bureau, livrée à ses caresses et ses longs baisers langoureux
sur ma bouche.
Charles
Edouard, accompagné de Dan, entrent.
Alban me
retire le Désir, doigte mon anus trempé, me fesse.
Sans
attendre, à quatre pattes sur le fauteuil, bras tendus, je le reçois, enculée
jusqu’aux testicules, suçant Charles Edouard et Dan. Alban m’offre un
vingt-trois par huit, pour m’écarteler davantage. Je gémis un peu, mais le
mandrin de Charles Edouard de vingt-cinq par six et Dan de vingt-six par sept remplit
à tour de rôle ma bouche.
Détendue,
je me laisse enculer par les trois, suçant et avalant leurs spermes, mon anus
entrouvert expulse le surplus de spermes. Je suis fessée par les trois étalons.
Je les
fais bander pour des doubles pénétrations, jouissives.
Il y a
toujours un qui me photographie. Le bureau comprend des glaces et des miroirs
judicieusement disposés sur les murs et au plafond, pour m’exciter de me voir,
enculée, fessée, exhibée en compagnie d’inconnus.
Bien sûr,
Alban continue ses activités, signant des papiers, téléphonant.
J’ai droit
à un jus d’orange avec un excitant sexuel pour tenir l’endurance et
l’excitation, mes mamelons et mon clitoris restent tendus plus longtemps que
lors de mon maquillage.
Jusqu’à
midi, je suis offerte aux autres collaborateurs, enculée, suçant, avalant leurs
spermes. Je peux me soulager, par les nombreux verres de jus de fruits.
Pantelante,
je me refais une beauté, aux toilettes de l’étage, rhabillée.
Ils me
conduisent à un restaurant, à quelques rues de l’immeuble. Je porte à nouveau
le Désir.
Assise sur
le canapé, la jupe relevée, comme exigée, mes fesses nues sur le cuir froid,
cuisses écartées, je suis interrogée par Alban, Charles Edouard et Dan sur mes
activités sexuelles, ma défloration, ma première fellation et ma première
sodomie en détail, pendant le déjeuner.
Les yeux
baissés, je leur réponds, en tentant de ne pas crier mon plaisir anal.
A la fin
du déjeuner, Alban me conduit à bord de sa BMW cabriolet en dehors de la ville,
les yeux bandés. Je dois rester assise, cuisses écartées, la jupe bien relevée,
jusqu’à la taille, exhibant ma chatte velue et mon pubis, cambrée à la demande
d’Alban, sans mon boléro, décuplant la tension à mes mamelons et à mon clitoris par l’air frais. Je porte
aussi un collier en cuir, l'anneau de métal qui donne une prise pour fixer une
laisse, pend devant le cou, reposant sur la saillie des clavicules, et
brinquebalait au rythme de mes mouvements. Il est en plusieurs épaisseurs de
cuir, chaque épaisseur assez mince, au total pas plus d'un doigt, verrouillés
par un système à déclic, qui fonctionne automatiquement comme un cadenas quand
on le referme, et ne peut s'ouvrir qu'avec une petite clé.
Je ne dois
pas décevoir Alban, ni ses amis, ni celui qui m’a défloré mon anus, ils aiment
mon corps.
Nous
stoppons dans une discrète rue d’un quartier résidentiel sécurisé, après avoir
franchi un haut portail.
Il m’aide
à descendre et me fait franchir une discrète porte, tenue en laisse. Il me
laisse seule, sans ma laisse, ayant recouvré la vue. Je découvre Diane, aux
cheveux courts, nue, avec la même ceinture que moi, près d’une piscine, avec le
même collier que moi, ses seins, ses fesses et ses cuisses sont zébrées.
- Approche
Prudence, dit une voix masculine.
Je
découvre au salon, des caméras automatiques orientées vers un lit, plusieurs
d’autres cachées derrière des miroirs sans tain, avec divers godes et
vibromasseurs de tous calibres, des gaines à picots, une cravache et une
garcette et des bracelets en cuir.
- Je
m’appelle Sir Xavier Nathan, le réalisateur de tes films, ton professeur est au
courant. Je vais te retirer le Désir et tu vas faire un essai avec des godes
dans ta chatte et ton œillet bien préparé. Je sais que tu n’es pas encore assez
élargie. Il faut quelques jours.
Je rejoins
le lit, nue, pieds nus et je me prends au jeu avec les godes, mais Sir Xavier
m’invite :
- Prends
en deux, tu dois aimer te faire jouir avec deux étalons.
Je n’ose
répondre.
Un orgasme
fulgurant me terrasse avec un gode dans ma chatte et le vibromasseur dans mon
anus.
Diane me
rejoint, équipée d’un gode-ceinture avec deux godes réalistes de vingt-cinq de
long chacun et sept de diamètre, avec des picots.
Je me
retrouve rapidement, empalée sur les deux godes, à quatre pattes, Diane sait me
faire jouir.
Mes
orgasmes me submergent, mais la douleur des picots.
Après plus
d’une heure de jeux lesbiens, dans diverses positions, avec le double gode,
pantelante, je suis offerte, en solo, à Sir Xavier, doté d’un mandrin de trente
et un par huit.
Il
m’allonge sur le lit, sur le dos, s’agenouille et m’encule sans ménagement, mes
mollets sont posés sur ses épaules. Il caresse mes cuisses, mes chevilles, en
m’enculant tantôt légèrement tantôt profondément, jusqu’aux testicules.
- Quel
œillet, tu aimes ça que je te défonces, tu es belle prostituée, soumise
Prudence.
- Oui,
prends-moi, encule-moi, cravache-moi les fesses.
Sans
attendre, la cravache cingle mes fesses, je mouille davantage.
- Ton
écrin ruisselle, tu aimes ça.
Mes fesses
sont zébrées, mes mamelons et mon clitoris me font mal, mais je me retiens de
gémir.
Il se
retire et me mets à quatre pattes, pour m’enculer, avec une gaine à picots et
m’invite à coulisser sur son mandrin qui m’écartèle davantage. Il cravache mes
fesses et mes cuisses. Tout est filmé en direct, mes râles sont diffusés en
décalé pour m’exciter davantage.
Il
m’abandonne pantelante. Il retire la gaine à picots et me fait longuement sucer
son mandrin pour le nettoyer.
- Tu as
tous les critères requis, tes 4.500 fournissent ton droit d’entrée. Je vais te
livrer à tes nouveaux amants, des acteurs professionnels, qui aiment les jeunes
filles chaudes comme toi. Tu t’appelles désormais Plaisir de Pine. Double S va
te doucher, te préparer et bien sûr laver ton œillet. Tu vas passer quelques
jours ici.
Sous la
douche, dans la grande salle de bains aux murs recouverts de glaces et de
miroirs ainsi qu’au plafond, Diane me met mes bracelets de cuir à mes poignets
et à mes chevilles, assortis au collier. Les bras tendus en l’air, les yeux
baissés, je suis lavée, mon anus est rincé à l’eau tiède. Je suis fardée,
parfumée.
- Tu as
tapé dans l’œil du Baron. Seules les plus perverses, on droit à Sir Xavier. Tu
ne vas pas le regretter. Je te laisse, je dois tourner mes scènes de soumise.
Nue,
menottée dans le dos, je dois observer Diane, livrée à six étalons bien montés,
la fouettée sur les seins, les fesses et les cuisses, les yeux baissés, puis
s’offrir à eux, sans perdre une goutte de spermes. L’eau a durci mes carcans de
cuir, qui me serrent davantage.
Sir Xavier
observe ma réaction.
- Tu aimes
que Double S se fasse violer et fouetter. Tu seras la prochaine.
Il me
doigte simultanément la chatte et l’anus, masturbant mon clitoris tendu à
l’extrême, étire mes mamelons, en m’interdisant d’hurler, pendant toute la scène
tournée par Diane et ses étalons.
Les
étalons jugent de mes réactions.
Au bout
d’une heure, Diane quitte la scène, pantelante.
On
s’occupe maintenant de Plaisir de Pine.
D’abord,
chacun des étalons m’encule, avant de me prendre en double pénétration, tous
avec leurs gaines à picots, mes râles sont étouffés par les mandrins bien
montés des autres étalons, qui se relaient. Tous éjaculent soit dans ma bouche
bien dressé soit dans mon anus.
Pantelante,
l’anus lubrifié et encore ouvert, Sir Xavier me remet le Désir en place.
Je signe
mon contrat pour quatre jours de tournage.
Je tourne
après un raccord maquillage, avec six autres étalons.
Peu avant
le coucher du soleil, je ne compte plus mes amants, ni mes orgasmes refoulés
sur ordre de Sir Xavier, mes fesses, mes cuisses et mes reins me brûlent par
les coups de cravache que je reçois, entre deux scènes, prosternée, menottée
dans le dos.
Douchée,
je porte à nouveau le Désir, tout comme Diane.
Après un
souper rapide, pris avec les doigts, je suis encore cravachée par d’autres
étalons cagoulés et nus, bien montés, mais nullement enculée.
Je dors
dans une petite chambre, nue, menottée à un chevalet, le postérieur plus haut
que la tête. Mes bras sont fixés le long des pieds avants, mes jambes le long
des pieds arrières, et une large sangle m'est passée au niveau de la taille.
Mes cuisses, légèrement fléchies sont empêchées de se resserrer par la largeur
de la poutre, ainsi d'ailleurs mes fesses que je me peux refermer. Toute mon
intimité est ainsi très accessible et on peut me faire tout subir.
Je porte des
pinces à seins à mes mamelons constamment tendus, par l’air frais de la fenêtre
ouverte, avec des clochettes, laissant bien tomber les seins sous le poids des
pinces ensuite le sang cesse de circuler, le mamelon devient froid et là je ne
sens plus rien. Les clochettes tintent à chaque coup de cravache et de
garcette, lorsqu’on m’encule, les yeux bandés, un bâillon-boule en bouche, pour
ne pas hurler mon plaisir sous la gaine à picots.
Les
séances durent cinq minutes à chaque fois.
Je suce
les mandrins d’inconnus.
Je perd le
décompte du temps.
Seul le
lever du soleil, bâillonnée, fouettée, je reprends mes esprits.
Les scènes
reprennent jusqu’au soir, avec le port constant de Désir et mes lavements
anaux.
17 juin
A l’aube,
nue, je suis libérée et douchée. Désormais, mes mamelons et mon clitoris sont
constamment tendus vingt-quatre heures sur vingt-quatre. Je suis tatouée à
l’encre noire juste au-dessus de mon triangle « Plaisir de Pine »,
mon nom de prostituée soumise. Je ne sais combien j’ai gagné pour mes scènes et
mes séances de dressage. Je porte aussi deux anneaux dorés à mes grandes lèvres
étirées.
Je suis
habituée à porter lors des scènes les pinces à clochettes à mes grandes lèvres
de ma chatte.
Je me
farde, me parfume, quand Sir Xavier me présente une blonde aux petits seins, à
la chatte et au pubis intégralement épilés, tatoué en cyrillique Chienne N.
Elle porte aussi des carcans de cuir.
- Je te
présente Chienne N, une authentique vierge. Elle refuse toute pénétration,
c’est le contraire de toi, ma belle Plaisir de Pine. Vous allez toutes les deux
à la ferme à une heure de route d’ici, avec la 205 cabriolet. Tu mets ta
guêpière et ton boléro, Natacha sera juste en robe ultra courte et en mules
toutes les deux, les cheveux libres.
Avant de
m’habiller et de déjeuner, devant Natacha, Sir Xavier m’encule sur le chevalet
et éjacule en moi, en échange de mon orgasme anal.
J’espère
que Natacha deviendra comme toi, Plaisir de Pine. Double S t’attends.
Je nettoie
Sir Xavier et Natacha doit le faire aussi.
Elle
l’insulte :
- Tu es un
pervers. Toi, la pute, tu es une vraie pute à enculer.
- On
réglera cela à la ferme, Natacha. Tu es ma protégée et tu seras bien dressée.
Nous
rejoignons la ferme, isolée du village, à une heure de route.
- Personne
ne va me dresser, toi la pute.
- Tant
fait pas pour cela, ils m’ont dressée et j’aime ça être fouettée.
A la
ferme, nous sommes accueillies par trois hommes, deux du double de mon âge et
un plus âgé et une superbe brune aux seins plantureux, vêtu d’un corset seins
nus en cuir, cuissardes et fouet.
Natacha
sort la première
- Je ne
veux pas être dressée, je veux retourner dans mon pays.
- Répète
un peu.
- Toi,
perverse, je suis une fille docile.
- Natacha,
arrête tes bêtises, tu vas le regretter, je réplique.
- Bien
parler, Plaisir de Pine, tu as de l’autorité. Mes étalons vont s’occuper de
Natacha. Déshabille-toi, Natacha, prestement. Appelle-moi Maîtresse Sévices et
Désir.
Nue,
Natacha drague à mort les étalons.
Sans
attendre, elle est menottée dans le dos, caressée par la Maîtresse, qui
m’embrasse langoureusement sur la bouche. La Maîtresse doigte simultanément la
chatte et l’anus vierges de Natacha, qui gémit.
- En plus,
vierge, tu fais ta pute mal éduquée. Jean Victor, déflore-lui rapidement la
chatte à cette pute et toi Plaisir de Pine observe.
Sans
ménagement, dans une grande pièce, Natacha se retrouve baisée, offerte à quatre
pattes, puis empalée jusqu’aux testicules. Elle gémit, avant son premier
orgasme.
Quant à
moi, nue, je suis sauvagement enculée par un chapelet anal long de trente-six
par six avec trois boules de même diamètre, penchée en avant, tandis que la
Maîtresse me fouette avec une garcette les fesses et les cuisses. Je mouille de
désir.
Elle est
de cordes assez fines, faite de sept lanières terminées chacune par plusieurs
nœuds, et qui sont toutes raides, trempées dans l'eau, car on m’en caresse
l’intérieur des cuisses, je sens mieux combien les cordes sont humides et
froides contre la peau tiède de ses cuisses.
Je jouis,
ce qu’il plait à la Maîtresse.
Natacha
m’insulte :
- Toi, la
pute, tu es une vraie perverse. Tu jouis enculée, vicieuse.
-
Maîtresse, elle vous a insulté.
-
Défoncez-la, cette chienne mal baisée.
Sans
attendre, Natacha se retrouve prise en double pénétration, suçant un troisième,
déflorant son anus encore vierge.
Trois
étalons me sont offerts et je passe l’examen avec succès, la chatte, l’anus et
la bouche dégoulinant de spermes chauds.
Natacha
est fouettée aussi, menottée à une Croix de Saint-André, tandis que les étalons
qui ont pris Natacha, me font jouir aussi.
D’autres
villageois se relaient pour nous faire jouir, nous sommes offertes à des double
vibromasseurs gainés de picots, menottées, fouettées. Double S subit le même
sort.
L’après-midi,
les ébats reprennent jusqu’au coucher du soleil.
Le soir,
fardées et parfumées, nous sommes prêtes à tout accepter, sauf Natacha la
rebelle, malgré mes instructions.
Nous
dormons nues, menottées, une chaîne fixée à nos bracelets de nos poignets,
équipées de double vibromasseurs réalistes à picots, nous garder bien ouvertes.
En pleine
nuit, l’une de nous ou les trois sommes offertes à d’autres inconnus, le plus
souvent en double pénétration.
Je
découvre la chicotte comme Natacha. C'est un engin fait en deux parties, d'une
part un manche en bois verni et de l'autre une tresse en cuir, reliés ensemble
par une boucle qui forme charnière, de telle sorte que, quand on l'utilise avec
habilité, le coup de poignet sur le manche donne encore plus de vitesse à la
tresse en cuir. Un des étalons Africains manie parfaitement la chicotte.
18 juin
Au lever
du soleil, j’entends des gémissements. Je suis libre, sur mon lit. Je me douche
à l’eau froide, nue et en mules, je découvre Natacha, menottée à un chevalet
dans la cour, saillie par un doberman.
- Tiens,
Plaisir de Pine, ta chienne se fait enculer par Apollo. J’ai Hadès pour saillir
ta chatte en chaleur.
Je
découvre l’anus écartelé de Natacha par le nœud d’Apollo. Je comprends ses
gémissements, elle a encore l’anus étroit.
Je suis à
mon tour, offerte à l’autre doberman, Hannibal, menottée au chevalet.
Son sexe
mesure trente-deux centimètre de long et six de diamètre, bien mieux monté. Je
le suce d’abord.
Hannibal
me baise d’une seule traite, la chatte humide, jusqu’au nœud, pour m’attacher à
lui.
Je sens
que son sexe continue de grossir en moi, il fait de longs et rapide va-et vient
dans ma chatte trempée et élargie pour absorber cette bite hors norme. Le nœud
est passé. Ma chatte s’écarte. Après plusieurs allers-retours, Hannibal cesse
de bouger, je sens son souffle chaud, par intermittence, je sens des jets de
liquide chauds qui fusent dans ma chatte. je connais quatre orgasmes en trois
quart d’heure de saillie.
Lors de
son retrait, un liquide tiède s’échappe et coule sur mes cuisses.
- Cela t’a
plu, Plaisir de Pine. Tu veux qu’Apollo t’encule aussi.
Apollo
m’écartèle bien l’anus lubrifié par le sperme d’Hannibal, du miel et ma mouille
abondante, jusqu’au nœud. Je gémis un peu, mais l’orgasme anal m’irradie.
Je reste
aussi une bonne demi-heure, doublement remplie de spermes canins.
Je porte
un gros bijou d’anus pour conserver le sperme d’Hannibal.
L’après-midi,
en l’absence d’amants humains, la Maîtresse m’offre à Apollo.
Je suis
menottée à mon lit, allongée sur le dos, cuisses écartées. Apollo me baise,
jusqu’au nœud, en s’allongeant sur moi, décuplant mon excitation de mon
clitoris tendu à l’extrême, ses pattes pelotant mes seins aux mamelons tendus.
Il me
baise à deux reprises, avec de longues éjaculations.
Je suis
ensuite menottée sur le dos, mes jambes basculées par-dessus la tête, mes
genoux posés sur mes épaules, cuisses écartées.
Ainsi,
Hannibal peut facilement m’enculer jusqu’au nœud. Je ne peux me dérober.
Bien sûr,
les amants humains en profitent aussi, alertés par mes râles de plaisir, pour
m’enculer.
Malgré la
position fatigante, je suis aux anges, enculée comme une chienne.
J’alterne
entre les positions, menottée à quatre pattes, empalée et enculée sur le sexe
d’un des dobermans, la chatte et le clitoris léchés par l’autre, pour me faire
jouir.
20 juin
A l’aube,
Double S quitte la ferme pour le « Manoir », après une ultime saillie
anale par le dogue allemand Lancelot
La
pénétration est rapide et le dogue reste dedans quelques secondes sans bouger,
puis comme un automate, il se mit à donner des coups de rein de plus en plus
vite et plus puissant. Heureusement que Double S est attachée. À chaque
pénétration ou coup de rein du dogue, Double S redresse sa tête et gémit sous
le bâillon-boule. Le nœud remplit l’anus de Double S, qui gémit.
Brusquement,
le dogue s'arrête de bouger complètement enfoncé dans l'anus. Le sexe et le
nœud continuent de gonfler à l'intérieur de son anus
Ce qui fut
assez drôle avec ce dogue c'est qu'au moment de sa jouissance son bassin
donnait des coups sur les fesses de Double S à chaque jet de sperme.
Le dogue
reste plus de vingt minutes dans l'anus de Double S et lorsqu'il dégonfle et pu
ressortir, un « Flop » et une gerbe de sperme sortis en même temps. L’anus
complètement élargi devient un petit geyser horizontal.
Le sperme
canin éclabousse le ventre du chien et continue de sortir en gros bouillon
coulant sur le sol entre les chevilles de Double S, attachées de part et
d'autre du socle.
Je suis
excitée par cette saillie. Bien sûr, Natacha devient la chienne attitrée du
dogue allemand pour l’enculer plusieurs fois par jour pour l’élargir. Son sexe
mesure trente-cinq centimètres et épais comme un poignet de huit de diamètre.
Je
continue mes saillies anales et de ma chatte par les bergers allemands Adam et
Brutus et les dobermans Apollo et Hannibal, ainsi que des étalons humains de
huit de diamètre pour m’habituer à m’écarteler l’anus, menottée au chevalet, au
chenil.
Je pisse
dans la bouche de Natacha, et elle me lèche l’anus avant chaque sodomie.
Natacha
continue à défier la Maîtresse.
21 juin
Dans
l’après-midi, la Maîtresse veut que je sois offerte en double pénétration
canine, m’étant habituée à leurs sexes. Je ne peux refuser.
L’anus
enduit de miel, je fais coucher Apollo sur le sol, sur le dos, se couche sur le
dos et je lui caresse le ventre ainsi offert. Je le suce, avant de m’empaler
dessus avec ma chatte, sur son sexe bien raide. Je m’aplatis sur Apollo,
Hannibal arrive et m’encule, guidée par la Maîtresse. Les deux sexes me font un
peu gémir, mais je découvre le double plaisir d’une double vague. Je jouis
comme jamais, devant mes étalons humains, qui se masturbent. Et lorsque les
deux chiens éjaculent, à quelque minutes d'intervalles, ma chatte et mon anus
abondamment trempés de sperme tiède, dégoulinant le long de mes jambes, j’ai un
tel orgasme que la tête me tourne et je manque de m’évanouir.
A peine
remise, deux étalons humains me font jouir ensuite, je suce deux autres qui se
relaient pour m’enculer, l’anus bien ouvert et bien lubrifié.
La scène
se répète plusieurs fois jusqu’au coucher du soleil. Pantelante, je me douche,
fais mon lavement anal et Adam et Brutus me prennent alors en double
pénétration à leurs tours. Leurs sexes sont plus courts, dix-neuf par cinq.
22 juin
Je dois
rejoindre « Manoir » pour parfaire mon éducation. Natacha sera
conduite plus tard.
Je suis
saillie le dernier jour par des dogues allemands, les plus gros sexes canins.
Je gémis
aussi sous le bâillon-boule, enculée par Lancelot puis Romulus, pour me faire
jouir.
Un des
hommes bien montés m’achève, enculée avec son mandrin de huit de diamètre,
tandis que je suce Lancelot et Romulus.
Je me
douche, fais mon lavement anal.
Je remets
ma tenue que je portais à mon arrivée, avec mes carcans de cuir.
Les yeux
bandés, je rejoins le « Manoir », à deux heures de route à bord d’une
limousine aux vitres teintées.
La
Maîtresse m’a fait percer mon gros clitoris et mon capuchon clitoridien pour me
mettre des broches aux initiales de Sir Xavier. On m’épile autour du clitoris
et on m’épile autour des grandes lèvres, pour une meilleure présentation, mon
anus est épilé.
Je suis
aussitôt baisée par Apollo, qui me provoque un violent orgasme.
La
Maîtresse est comblée et Natacha portera les mêmes.
Peu avant
d’arriver au « Manoir », le chauffeur, un bel étalon Africain, doté
d’un mandrin de trente et un par sept, me prend sur la banquette arrière, les
genoux sur mes épaules, m’encule jusqu’à mon orgasme et éjacule dans ma bouche,
je le nettoie.
Nous
franchissons une grille.
Je rejoins
un bâtiment qui comprend au rez-de-chaussée, à droite d'un grand vestibule, la
bibliothèque, un salon, un vestiaire, et à gauche, le réfectoire des filles et
une pièce attenante réservée aux valets.
Quelques
chambres, au rez-de-chaussée, sont occupées par les filles que les membres du
« Manoir » amènent. Les autres chambres, aux étages, par ceux d'entre
eux qui faisaient un séjour au Manoir. Je suis toujours accompagnées,
silencieuse, et les yeux baissés; je suis
toujours les seins nus et le plus souvent la jupe relevée par-devant ou
par-derrière.
Dans une
aile logent les filles de la communauté proprement dite, dans des chambres
doubles, partagées en deux par une demi-paroi, à laquelle était de part et
d'autre adossée la tête de chaque lit, lit ordinaire. Elles ont une salle de
bain, et une penderie commune. Les portes des chambres ne ferment pas à clé, et
la nuit, les filles sont enchaînées. Il y a aussi un restaurant, un bar, de
petits salons au rez-de-chaussée, et aux étages, des chambres. Le restaurant et
le bar ont maître d'hôtel et barman, quelques garçons - les cuisines sont au
sous-sol - mais ce sont les filles qui font le service autour des tables. Au
restaurant, elles sont en uniforme. Au bar, vêtues des grandes robes de soie,
une mantille de dentelle semblable à la mantille d'uniforme leur couvre les
cheveux, les épaules, les seins, elles sont là pour attendre qu'on les choisit.
Au salon,
je suis déshabillée, les yeux bandés, caressée, les seins pelotés, les mamelons
tendus étirés, doublement fouillée, suçant les mandrins bien montés, avalant
tout, enculée sauvagement, en retardant mes orgasmes.
Au bout
d’une heure, je suis offerte allongée sur le dos, sur un grand pouf, mains
menottées dans le dos, toujours aveugle, les jambes en l’air, des chaînes passées
aux bracelets de mes chevilles, pour m’immobiliser cuisses écartées.
Je suis
cravachée et fouettée à la garcette sur mes fesses et mes cuisses, pour voir
mes réactions de soumise. Je compte les coups sans me tromper, je mouille de
désir.
Entre deux
pauses, je suis à nouveau sauvagement enculée, ma bouche remplie de mandrins
qui m’ont enculée ou qui vont m’enculer. On observe les mouvements de mon
bassin.
Chaque
orgasme est sanctionné.
Au moins
une dizaine d’étalons se succèdent.
Puis je
suis offerte au doberman Arès pour une saillie anale canine qui est commentée,
me faisant exploser dans un violent orgasme, mon clitoris frotté par les poils
d’Arès.
Les jambes
ankylosées, on me laisse les reposer sur le pouf, toujours cuisses écartées.
On me
libère quelques instants, pour me mettre sur le ventre, un coussin sous le
ventre et un oreiller pour ma tête, les jambes relevées et cuisses écartées,
pour m’enculer et me fouetter.
Arès
m’encule à nouveau et lubrifie abondamment mon anus écartelé.
On me
fouette aussi l’intérieur de mes cuisses, je gémis, sous les coups de cravache.
On me
laisse me reposer, avant de me retirer mon bandeau.
Je suis
photographiée et filmée depuis mon arrivée à mon insu.
- Plaisir
de Pine est le summum de la soumission féminine, chienne, prostituée, déesse
anale et mille vices et sévices lui donnent du plaisir.
Puis un
des hommes m’écarte bien la chatte et me marque au fer rouge, l’intérieur de la
chatte des lettres X et S.
Ainsi
celui qui te baisera, connaîtra les initiales de ton Maître.
Je gémis,
avant d’être enculée par Arès.
Pantelante,
couverte de spermes, l’anus dégoulinant de spermes canins, la bouche remplie de
spermes que j’ai avalé, j’ai faim.
Vers midi,
on me libère entièrement. Les autres soumises se promènent nues, en mules,
intégralement épilées, les yeux baissés.
Je dois
porter le gode de trente-cinq par huit, maintenue par des chaînettes
cadenassées à ma ceinture de cuir, pour quelques jours.
Je rejoins
ma cellule, sans porte, avec juste un chevalet, pour me reposer, une petite
baignoire, où je suis menottée, bras tendus, cuisses écartées, livrée aux
valets.
Ce sont
des transsexuels aux seins plantureux, bien montés.
Les
bergers allemands et les dobermans m’enculent entre les repas, l’anus libre. Je
porte le gode dès mon lever jusqu’au repas du midi et après mon service
jusqu’au coucher du soleil.
Je me
montre docile avec les valets. Je les suce, contre des coups de garcette et de
cravache.
24 juin
Un
après-midi, encore menottée à mon chevalet, les fesses et les cuisses,
l’intérieur des cuisses fraîchement zébrées, je reçois de la visite, l’anus
libre et entrouvert, dégoulinant de spermes, ma chatte humide dégouline de
mouille, mes mamelons tendus sont pincés par des pinces à seins avec
clochettes.
Sir Xavier
m’informe :
- Plaisir
de Pine, tu es devenue une soumise photographiée et filmée très recherchée. Tu
es estimée à 10.000 les séances. Tu vas devenir mon esclave attitrée. Natacha
apprend les règles de la soumission, toujours aussi rebelle.
26 juin
Je quitte
le « Manoir », la chatte entièrement épilée, pour mettre en valeur
mes broches.
Sir Xavier
m’épouse secrètement.
Je vis
dans une résidence mitoyenne de celle de Sir Xavier. Je recrute de nouvelles
filles pour les castings, des vierges anales, qui passent soit par la ferme
soit par le « Manoir », pour des salons lesbiens et SM, ainsi que mes
amants qui deviennent des soumis dociles dans l’annexe du « Manoir »,
pour des bars gay SM.
Je passe
mes journées de cours, enculée par mon doberman favori, Apollo, qui me conduit
à des orgasmes de plus en plus violents, attachée jusqu’au nœud.
5 juillet
Je recrute
une fille qui me ressemble comme une jumelle, mais blonde. Je la fais filmer et
dresser.
Vêtue d’un
corset seins nus avec mon boléro fermé au cou, ma jupe éventail, en mules, les
cheveux libres, je la croise devant la section langues. Je la drague :
- Hermine,
cela te dirait de faire des photos de nus, bien payée.
-
Prudence, tu me tentes.
Un léger
coup de vent, dévoile ma chatte et mes broches qui brillent au soleil.
- Tu as la
chatte rasée, tu es toute nue sous ta robe.
- Oui,
j’aime sentir le vent sur mes cuisses et ma chatte nues.
Au studio,
où je la conduis, je lui bande les yeux, Sir Xavier nous conduit.
Je la
déshabille délicatement et l’expose nue, sur le lit, filmée et photographiée
sous le regard de Sir Xavier et moi, la chatte doigtée, enculée par mon gros
bijou d‘anus.
Hermine se
gode uniquement la chatte. Je la rejoins et enfonce le gode dans son anus
vierge. Elle gémit, mais ma masturbation de son clitoris la fait jouir.
Six
étalons la baisent, puis l’enculent avant des doubles pénétrations intenses,
pour étouffer ses râles, je lui offre ma chatte et mon gros clitoris à lécher.
Bien sûr, un des étalons m’encule aussi.
Pour nous
reposer, dans un 69 torride, je me couche sur elle, lui doigte son anus avant
de la goder avec un gros vibromasseur anal, tandis que je connais un violent
orgasme, le clitoris léché et l’anus doigté.
Mon anus
est rapidement rempli par un des étalons. J’explose dans un violent orgasme.
Je rase la
chatte et le pubis brun d’Hermine. Je la fais enculer par Sir Xavier.
Apollo
fait de même avec moi, nos orgasmes sont fusionnels.
J’apprends
à Hermine à sucer Apollo, pour qu’il la baise d’abord.
Pendant
trois jours, je la dresse, en couchant avec elle, l’enculant le plus souvent
possible. Les étalons sont ravis de son élargissement de son anus par le Désir
d’œillet, porté huit à dix heures par jour, elle offre aussi son gros clitoris
et ses mamelons tendus par la crème que je lui applique. Elle s’apprend à se
farder et se maquiller comme moi. Apollo encule Hermine au troisième jour, elle
gémit, mais le mandrin de Sir Xavier l’a bien préparée.
Bien sûr,
Apollo me baise fréquemment, jusqu’au nœud, dans ma chambre et de longues
éjaculations.
8 juillet
Vêtues
toutes les deux nos corsets seins nus, nos boléros et de nos jupes éventails,
en mules, les cheveux libres, fardées et parfumées, nous allons à la ferme. Je
bande les yeux d’Hermine qui porte ses carcans de cuir au cou, aux poignets et
aux chevilles.
Maîtresse Sévices et Désir nous accueille.
- Plaisir
de Pine, qui est cette nouvelle beauté, tiens Chienne Natacha est affectée au
chenil, prête à se faire enculer.
- C’est
Hélène de Sodome, préparée, mais encore un peu étroit de l’œillet, son écrin a
déjà accueilli de nombreux étalons.
Je
déshabille Hélène, qui fait l’admiration des étalons présents.
Je glisse
discrètement à l’oreille de Maîtresse une expression danoise pour exciter les
chiens.
Maîtresse
l’annonce et aussitôt les chiens se relaient pour enculer Natacha à tour de
rôle sans répit. Natacha nous insulte et dès la fin des saillies, elle est
longuement fouettée à la garcette sur les fesses, les cuisses, les seins et les
reins, pour son comportement. Les clochettes tintent à chaque pénétration
canine, entre les cuisses de Natacha, fixée à ses fers.
Hélène
s’offre en double pénétration, s’offre à Hannibal, Adam et Brutus, pour ses
saillies de sa chatte, avant des saillies anales canines.
- Plaisir
de Pine, ce garçon tourne autour de Chienne Natacha. Il l’invite à m’insulter
plus souvent.
- Je vais
m’occuper de lui personnellement. Ce sera un authentique soumis homosexuel,
uniquement dédié aux bars homosexuels, le dégoûtant des femmes.
Lors du
trajet de retour, le jeune étalon me caresse les cuisses. Je dois m’arrêter et
user de mon autorité. Je lui installe un "Harnais de chasteté", son
érection sera contrainte ou impossible : il devient alors très difficile ou
impossible de se masturber et d'éjaculer. Je le laisse sans son pantalon, je
lui enfonce un gode anal de vingt par trois, que je cadenasse au harnais.
Il me
supplie :
-
Retire-moi, petite pute anale. Tu es une belle à baiser.
- Désolé,
c’est Sir Xavier qui va décider.
Je lui
menotte les poignets dans le dos.
Arrivée à
la résidence, je le présente à Sir Xavier.
Devant
moi, Sir Xavier lui retire le gode anal et l’encule sur le champ.
- Non,
s’il te plait, petite pute anale, dis-lui d’arrêter de me défoncer l’œillet.
- Tu la
traites de petite pute anale, ta Maîtresse. Tu mérites que je te fouette.
Nue, je me
caresse devant lui, sa bouche veut me lécher, mais je l’esquive.
Aussitôt
Sir Xavier se retire, que d’autres étalons l’enculent sauvagement.
Sir Xavier
me baise devant lui, penchée en avant, je jouis. Il bande malgré sa contrainte.
Six étalons
préparent son dressage.
Ils se
relaient pour l’enculer, et le faire sucer.
- Plaisir
de Pine, regarde comme ce soumis va devenir un vrai petit vicieux homosexuel.
Il doit apprendre à mieux sucer et à avaler.
Après six
sodomies et fellations, je lui redresse la tête :
- Lèche ce
qui dégouline de ta bouche et de ton cul, petit cochon. On t’a dit d’avaler.
- Petite
pute anale, tu n’as pas d’ordre à me donner.
- Apollo,
viens montrer comment je corrige les lopettes.
La lopette
bascule sur le dos relever mes fesses et place Apollo sur lui. La saillie dure
une bonne demi-heure, tandis que je lui ouvre la bouche et je lui pisse dedans,
pour qu’il avale.
L’anus
encore ouvert, mes étalons continuent à le dresser. Je le fouette, debout, nu,
sur la pointe des pieds, bras tendus en l’air, avec des poids accrochés à son
harnais. Il me supplie :
- Petite
pute anale, tu n’as aucune autorité sur moi.
- On va
voir si la cravache et la garcette vont te dresser. James, encule-moi, pendant
que je le fouette sur les fesses et les cuisses.
Mon
orgasme anal couvre les gémissements de la lopette.
James
éjacule sur mes fesses.
- Tu cries
mais tu bandes, c’est que tu aimes ça, ma lopette.
Pantelant,
je le fais prosterner, Apollo l’encule à nouveau. Il doit sucer les étalons et
Sir Xavier, qui l‘encule ensuite.
Pour le
repas de midi, je le laisse menotté dans le dos, prosterné à mes pieds, léchant
le sperme de ceux qui l’ont enculé.
Je me
masturbe devant lui, pour l’exciter et le conduire à la faute.
Ses
insultes sont largement punies par des longues séances de garcette. Je lui
griffe les testicules, que je fais percé de lourds anneaux dorés. Je le fais
tatouer sur les reins « Lopette de Chienne Natacha » en cyrillique et
en lettres gothiques.
De
nouveaux étalons continuent son dressage l’après-midi, dans une résidence
éloignée. Je le fais filmer et photographier et j’envoie le tout à Maîtresse,
pour le montrer à Chienne Natacha.
Pendant
trois jours, Sir Xavier me défonce généreusement ma chatte, dans diverses
positions et éjacule longuement.
J’aime
beaucoup quand je suis allongée sur le dos, j’enserre sa taille avec mes
jambes, mes pieds s’appuient sur ses fesses, pour le recevoir au maximum.
Aussi,
quand je suis en appui arrière sur mes bras et sur mes jambes écartées, tenue
par la taille, pour qu’il éjacule en moi, agenouillé.
Ensuite,
je me glisse à plat dos sous Apollo. Puis je redresse les jambes, je les passe
par-dessus le dos d’Apollo, et je m'agrippe à lui, les mollets croisés sur ses
reins, jusqu'à me coller étroitement sous lui, attaché par son nœud et il
éjacule longuement en moi au bout de trois quart d’heure. Je renouvelle
fréquemment mes saillies avec Apollo, pour qu’il me défonce jusqu’au nœud ma
chatte.
15 juillet
Au lever
du soleil, je ramène lopette à Maîtresse, vêtue de son tablier, cachant son
mandrin nu et libre, aux testicules percés d’anneaux dorés, alourdis par des
poids, enduit d’une crème provoquant de longues érections dures, ses testicules
sont gros sous l’effet de la crème, fardé et parfumé comme une lopette. Il
vient aussi de passer vingt-quatre heures dans un club homosexuel SM pour
parfaire son éducation. Il est chaussé de mules à hauts talons, les yeux
baissés, la bouche entrouverte. Ses fesses sont marquées au fer rouge P L pour
Lopette Prisca.
Je suis vêtue
de ma guêpière seins nus et de ma jupe éventail, de sandales à hauts talons,
fardée et parfumée, les cheveux libres.
Hélène de
Sodome m’attends dans la même tenue qu’elle portait à son arrivée chez
Maîtresse.
Maîtresse
est surprise de revoir lopette.
- Tiens,
voici lopette soubrette, ma chérie Plaisir de Pine, elle est docile.
- Je
l’espère. Chienne Natacha a désormais une rivale, pour se faire saillir,
n’est-ce pas Prisca Pute Lopette ?
- Oui,
Maîtresse, je m’appelle Prisca Pute Lopette et je vais vous obéir.
- Il a
retenu sa leçon. Hélène s’est montrée docile. Tu dois lui avouer la vérité.
- Hélène,
je suis ta sœur jumelle. Sir Xavier a trouvé mon lien de parenté avec toi.
Désolé, de t’avoir fait soumettre.
- Non,
Plaisir de Pine, tu m’as fait découvrir un monde de plaisirs inconnus. Tu as un
chien pour me faire saillir.
- Bien
sûr, nous partagerons Apollo avec nos chattes et nos anus de soumises.
Nous
faisons un long baiser langoureux, en caressant nos chattes. Hélène porte elle
aussi des broches avec les mêmes initiales et elle est tatouée à l’encre noire
sur les reins « HS SX ».
De retour
à la résidence, nous faisons l’amour lesbien, puis avec Sir Xavier qui nous
baise à tour de rôle, nos chattes sont remplies par Apollo. Même Hélène accepte
qu’Apollo l’encule jusqu’au nœud.
Les scènes
hard SM reprennent avec de nouveaux étalons bien montés. Nous tournons toujours
ensemble. Mon amour fusionnel incestueux doublé de ma soumission et de mes
vices dévoilés, m’ont transformé.
Après nos
orgasmes, nos hanches sont douloureuses et Sir Xavier tient ce que nous évitons
de nettoyer nos chattes, remplies de son sperme, lors de nos douches lesbiennes
jouissives.
Pendant un
mois, nous sommes baisées quotidiennement par Sir Xavier.
17 août
Lors de ma
douche matinale avec Hélène, Hélène m’annonce :
Plaisir de
Pine, ton ventre s’est arrondi, ma chéri, comme le mien. Je n’ai plus mes
règles.
En effet,
dans les semaines qui suivent, nos seins prennent du volume, nos ventres
s’arrondissent davantage. Mais Sir Xavier continue à nous baiser, les étalons
nous enculent et nous cravachent uniquement les fesses. Je fais du sport, nue
avec Hélène, pour garder la ligne.
Le
gynécologique qui nous suit, un bel étalon bien monté, du double de mon âge,
athlétique et musclé, vingt-six par huit, nous ausculte sur le fauteuil
gynécologique, dans une position osée, cuisses écartées, nues, menottées par
nos bracelets.
Chaque
rendez-vous, il m’encule après l’échographie et la masturbation de mon gros
clitoris. Il éjacule dans mon anus et me fait nettoyer son mandrin. Il est fier
de sa soumise.
- Quelle
déesse, Sir Xavier a choisi une reine de l’anal, soumise, comme Hélène.
-
Baisez-moi, je suis votre pute.
- Désolé,
je ne dois juste t’enculer.
- J’ai
trop envie, Charles Emmanuel.
Sir Xavier
me rejoint :
-
Baise-la, Charles Emmanuel. Elle a besoin d’un gros sexe dans sa chatte de
femme soumise.
Un violent
orgasme me terrasse, après mon orgasme anal et Charles Emmanuel éjacule sur mon
ventre arrondi.
- Ton
écrin est chaud. Je comprends le désir que tu as avec Sir Xavier. Tu es marquée
dans ta chatte, soumise.
Libérée,
je m’offre à quatre pattes, enculée par Apollo, suçant Charles Emmanuel,
jusqu’à mes orgasmes anaux donnés par Apollo. J’avale Charles Emmanuel.
L’anus
lubrifié par Apollo, je suis ensuite enculée par Charles Emmanuel et Sir Xavier
à tour de rôle.
Au bout de
neuf mois, je donne naissance à une fille et Hélène à des jumeaux.
Nous
reprenons nos ébats sexuels, Apollo me baise plus fréquemment mais ne refuse
pas de m’enculer tout comme Hélène.
Prisca la
lopette tourne de nouvelles scènes de soumis sous mes ordres, en guêpière seins
nus, cuissardes et un loup, mes poils pubiens et ma chatte velue sur les ordres
de Sir Xavier, font l’admiration de mes admirateurs, mes films et mes photos se
vendent très bien avec aussi dans les scènes lesbiennes avec Hélène.
J’ai fait
la connaissance de Donatien Marquis de Sévices, le frère d’Hélène et de Charles
Emmanuel.
Donatien
aime mon côte de soumise, me prêtant à ses jeux de dressage, dans son luxueux
hôtel particulier, avec son domestique Prisca la lopette. Je fais partie de la
famille. Il aime que je sois saillie, que je pisse sur mes soumis, que j’ai
réussi à dresser la rebelle Chienne Natacha.
En mai,
désormais âgée de 23 ans, j’ai retrouvé mes formes, tout comme Hélène.
Lors de
mon rendez-vous chez Donatien, j’y retrouve Prisca la lopette, la soubrette
officielle de Donatien.
Nue devant
Donatien, j’excite aussi son dalmatien, doté d’un sexe de douze par cinq,
prénommé Cœur de Lion. Il vient me lécher la chatte et le clitoris tendu, par
l’air frais dans le salon.
Je m’offre
à quatre pattes à Cœur de Lion.
Après
quelques va-et-vient dans ma chatte, il m’encule jusqu’au nœud.
Prisca
m’insulte :
- Petite
pute anale, petite chienne, tu es une vraie vicieuse et perverse.
- Répète
un peu, Lopette, en plein orgasme anal.
- Je vais
te défoncer ton œillet de chienne, la petite pute.
Donatien
prend sa garcette et ordonne :
- Prisca,
tu te prosternes, pour ton comportement. Plaisir a le droit de se faire jouir
avec Cœur de Lion, tu es jalouse. Bien sûr, tu as interdiction de baiser et
d’enculer, Plaisir.
Tandis que
les coups de garcette cinglent les fesses et les reins de Prisca, Cœur de Lion
éjacule longuement dans mon anus, je connais un nouvel orgasme anal.
Donatien
me tend la garcette, tandis qu’il encule, l’anus dégoulinant de sperme de Cœur
de Lion.
Je punis à
mon tour, Prisca, qui me supplie :
- Arrête,
petite perverse, je ne suis pas ta lopette.
Pour le
punir, après avoir connu un nouvel orgasme avec Donatien, je le fais suspendre,
bras tendus, sur la pointe des pieds, à un crochet au salon, nu. Je lui griffe
ses testicules, le laissant le mandrin en érection, sans éjaculer. Il me
supplie :
-
Continue, petite chienne. J’ai envie de jouir.
- Prisca,
tu prends trop d’autorité. Je vais te faire enculer par mes amis bien montés.
- Non, pas
ça, je plaisante avec la petite chienne.
Soudain,
six beaux étalons musclés Africains, entrent. Je suis encore nue, en sueur,
l’anus dégoulinant.
Je reçois
de leurs parts des baisers langoureux, des caresses de mes seins, ma chatte et
mon anus encore entrouvert.
Les
étalons se relaient en suçant Prisca, et en l’enculant, la cravachant et à
chaque fois, qu’il éjacule, il doit boire une coupelle de son sperme, avec un
bâillon O.
Un des
étalons, prénomme César, m’encule, avec ardeur. Son mandrin de trente-cinq par
huit me comble.
Il
m’invite à m’empaler sur lui, assis sur le tapis. Je suis assise sur lui, les
jambes repliées, enculée jusqu’aux testicules, genoux vers mon buste, mes pieds
agacent ses jambes.
- Quel
œillet chaud, tu m’offres Plaisir.
- Oui,
encule-moi, je suis tout mouillée.
Il me fait
coulisser sur son mandrin, en me soulevant.
Je ne peux
résister et je connais un violent orgasme anal, l’anus bien rempli.
Sans débander,
il s’assoit sur le canapé, pour que j’écarte davantage les cuisses, empalée
toujours jusqu’aux testicules. Il caresse mes seins, ma chatte et mon clitoris
tendu. Cœur de Lion me lèche aussi la chatte et le clitoris, pour un nouvel
orgasme.
Sans attendre, son ami Hercules avec son
mandrin de vingt-six par six, réclame mon anus.
Je
m’empale sur lui, de face, enculée jusqu’aux testicules. Il est de face. Je
coulisse avec un plaisir et j’accélère lors de nos orgasmes, il éjacule en moi,
César éjacule dans ma bouche, simultanément.
Malgré la
fatigue de mes orgasmes, mes hanches douloureuses, je réclame les quatre autres
étalons dans une orgie, enculée, baisée, double pénétration, suçant et avalant
jusqu’à l’extase. Donatien est ravi de mon comportement de pute.
Je prends
une douche masturbatoire, au premier étage, en retenant le sperme qui
dégouline, avec ma main en coupelle.
Hercules
et César me regardent, me caressent aussi, tandis qu’un jet d’eau froide inonde
mon anus.
Nous
prenons un bon repas, Prisca mange en dernier, prosterné, enculé par Cœur de
Lion, puni.
Les ébats
reprennent, avec des pauses de douche, de films SM hard, pour m’exciter et les
séances de dressage de Prisca.
Pantelante,
je me laisse menottée nue, au chevalet, au second étage, où se trouve ma
chambre. Mes étalons me cravachent les fesses, les reins. Je porte des pinces à
seins à clochettes à mes mamelons tendus et à mes grandes lèvres humides, par
les saillies de Cœur de Lion.
Munie d’un
bâillon-pénis, je suis marquée au fer rouge des lettres S sur ma fesse gauche
et V sur l’autre fesse. Mes grandes lèvres n’ont plus des anneaux, mais des
fers qui sont rivés au nom de Sir Xavier et de Donatien sur chacun. Ce sont des
anneaux de fer mat inoxydable. La tige en est ronde, épaisse comme un gros
crayon de couleur, et ils sont oblongs : les maillons des grosses chaînes sont
semblables. Chacun est formé de deux U qui s'emboîtent l'un dans l'autre, le
ressort intérieur sur lequel on doit forcer pour le faire pénétrer dans la
rainure où il se bloque. Chaque anneau est long comme deux phalanges du petit
doigt, qu'on y peut glisser. A chacun est suspendu, comme un nouveau maillon,
ou comme au support d'une boucle d'oreille un anneau qui doit être dans le même
plan que l'oreille et la prolonger, un disque de même métal aussi large que
l'anneau est long.
Mes
grandes lèvres sont ainsi constamment étirées.
Remise de
mon marquage au fer rouge, je suis libérée.
Devant mon
miroir, je me regarde, les fers me descendent jusqu'au tiers de la cuisse, et à
chacun de ses pas bougent entre mes jambes comme un battant de cloche, le
disque gravé étant plus lourd et plus long que l'anneau auquel il pend. Les
marques imprimées par le fer rouge, hautes de trois doigts et larges de moitié
leur hauteur, sont creusées dans la chair comme par une gouge, à près d'un
centimètre de profondeur. Rien que de les effleurer, on les perçoit sous le
doigt. De ces fers et de ces marques, j’éprouve une fierté insensée.
Hélène
reçoit elle aussi les fers et les mêmes marques que moi.
Pour ma
première soirée, après ma nouvelle douche et mon lavement anal, je couche avec
Donatien, nue, prête à me soumettre à ses envies. Il me baise et éjacule sur
mon pubis, tandis que Cœur de Lion m’encule à plusieurs reprises dans la nuit,
alternant avec Prisca, menotté au chevalet, bâillonnée.
Je ne
compte plus mes orgasmes.
Au lever
du soleil, je suis seule, allongée sur les draps tâchés de sperme, l’anus
dégoulinant du sperme de Cœur de Lion. Je me douche, descends nue et en mules.
Prisca me sert mon petit déjeuner, en compagnie de Donatien. Mes amants me
retrouvent dans la journée, pour de longs ébats et séances de dressage sur moi.
Je promène
Cœur de Lion dans une discrète cour, nue et en mules, saillie selon ses envies,
à quatre pattes, enculée ou baisée, jouissant.
Je passe
trois jours chez Donatien, avant de tourner de nouvelles scènes plus excitantes
pour moi et mes partenaires.
Mon
pourcentage augmente.
En accord
avec Sir Xavier, Donatien vient me voir chez moi, me faire saillir par Cœur de
Lion et Apollo, filmée en direct, pour ses amis.
En juin,
je tombe enceinte comme Hélène, nous donnons naissance à deux superbes filles.
Je garde
comme Hélène, mes marques au fer rouge et mes fers, mes broches. Nous tournons
toujours.
Aucun commentaire:
Enregistrer un commentaire