Je m’appelle Shawn.
J’ai 18 ans.
Je suis une jolie beauté scandinave.
Je suis une brune aux yeux verts. J’ai des pieds
fins et latins, des jambes longues bronzées, musclées qui inquiètent par leur
perfection. Mon pénil est bombé, ouvert, couronné de noir. Mon pubis est encore
velu, tout comme ma chatte et j’ai une superbe croupe. Les lèvres de mon sexe
sont une plaie rouge entre mon entrecuisse. Mes hanches s'incurvent et
délimitent le ventre plat, délicieusement renflé autour du nombril, les hanches
sont larges et rondes, mais sans lourdeur. La taille est affinée. Les seins
parfaits intégralement bronzés sont un peu volumineux mais fermes, et leurs
pointes marron clair, toujours dressées, cernées par une large aréole marron
attirent le regard. J’ai une peau lisse et patine. Finition parfaite, un seul
grain de beauté entre mes superbes seins. De longs cheveux plats blonds
flottant comme des algues, battent mes épaules rondes et gracieusement
athlétiques. Je suis intégralement bronzée. Mes yeux verts limpides s'allument,
ma bouche charnue se fend. J’ai des sourcils bruns bien dessinés et des lèvres
pulpeuses. J’ai de longs doigts fins et de belles mains. Je fais du 85B de
poitrine, 56 de taille, 90 de hanches, 1,72 m.
LE HARAS DES SEVICES DU COMTE DE LA ROSE
Je suis une lycéenne et une cavalière émérite, dans mon lycée alpin.
A dix-huit ans, je n’ai jamais fait l’amour avec un garçon. Ma mère m’a
appris à me masturber la chatte et à me caresser les seins.
Un après-midi de mars, lors de mon retour du lycée, je trouve mes
parents en compagnie d’une jolie brune aux seins plantureux, en tailleur
strict, qui me toise.
- Tu dois être la cavalière émérite, Shawn. J’ai vu tes résultats aux
concours équestres. Cela te dirait de devenir la cavalière pour un haras prestigieux.
Va te changer.
Je retire mon tee-shirt et mon jean, mes escarpins à petits talons.
Je choisis un ensemble soutien-gorge, slip en dentelle transparente
blanche et porte-jarretelles blanc, pour mettre en valeur mon corps sexy. Je
les cache sous une robe fuchsia entièrement boutonnée devant et des escarpins
blancs à hauts talons. Je me maquille et me coiffe d’une queue-de-cheval.
Je retrouve la femme.
- Voici une avance de 3500 pour ton premier mois. Je vais te conduire
au haras. Tu es très élégante. Ouvre ton corsage, je veux voir tes seins.
J’obéis.
Mes seins sont drapés de dentelle.
- Tu as de beaux petits seins mis en valeur. Le Comte va adorer. Au
fait, au niveau sexuel, tu n’as pas de petits amis, tu es lesbienne et tu es
encore vierge.
- Je n’ai pas de petits amis, ni de liaisons avec des filles. Je me
réserve à mon futur mari.
- Très bien, nous verrons cela.
Nous prenons une limousine conduite par un superbe étalon africain.
Après deux heures de route, où Miss Beauté Saint Désir m’annonce :
- Tu es aussi trop habillée. Défais tes jarretelles, tes bas »
J’ouvre ma robe entièrement. Je libère mes bas et retire mon
porte-jarretelles. Je me déchausse et retire mes bas.
Je suis jambes nues et pieds nus.
- Tu es mieux ainsi. Retire ton slip. Je veux voir ta chatte.
Cela, c’est facile, il suffit de passer les mains derrière les reins et
de se soulever un peu. Elle me prend des mains le porte-jarretelles et le slip,
les bas, ouvre le sac et les y enferme, puis dit :
Il ne faut pas t’asseoir sur ta combinaison et ta jupe, il faut les
relever et t’asseoir directement sur la banquette. »
Je retire ma robe pour être plus
l’aise, dévoilant mon soutien-gorge.
La banquette est en moleskine, glissante et froide, c’est saisissant de
la sentir coller aux cuisses.
Je reste immobile et muette, si dénudée et si offerte, mais je n’ose ni
croiser les jambes ni serrer les genoux. J’ai mes deux mains appuyées de chaque
côté d’elle, sur la banquette.
Elle tranche avec un petit canif les bretelles du soutien-gorge, qu’elle
enlève. J’ai les seins libres et nus comme elle a nus et libres les reins et le
ventre, de la taille aux genoux.
Nue, en escarpins, je descends avec Miss, devant le portail du haras.
Deux gardes à cheval surveillent le portail.
- Allez, ma chérie, ta première leçon. Tu vas sucer un des chevaux et
l’autre va te baiser.
- Ma chatte est trop étroite pour un tel sexe.
Je me suis agenouillé sous lui doucement. Sans un mot, je prends son énorme sexe entre mes doigts
et je commence des va-et-vient très sensuels avec mes deux mains. Sa bite
gonfle immédiatement. Elle s’allonge et est devenue très grosse et dure. Elle
fait au moins 80 centimètres. C’est chaud et doux, une fantastique sensation !
J’approche ma bouche et je passe ma langue sur un étonnant petit tuyau qui est
en plein centre de son gland dilaté. C 'est dur et bizarre Ma langue passe et
repasse sur cette chose. Tout à coup du liquide blanc très important mais très
clair au goût de rouille m’inonde le visage et le menton, coulant sur mes
seins. J’essaie de mettre son sexe dans ma bouche au plus profond.
En même temps, Miss enfonce l’autre sexe bien dur dans ma chatte que
j’ai masturbé pendant le trajet. Le cheval tape un peu des pieds arrières
d'excitation lorsque elle fourre enfin sa bite dans mon vagin. C'est lui qui me
baise Il me remplit totalement la chatte qu'il dilate excessivement : c'est
trop bon. je jouit comme une femelle en chaleur... je perds mon pucelage. A un
moment, je pousse très fort en même temps que l'animal, et tout d’un coup je sens
une douleur dans mon sexe. Le cheval pousse très fort. L’autre cheval éjacule
dans ma chatte.
Pantelante, je me relève.
- Excellente première leçon, en plus de tes cours d’équitation, tu vas
découvrir le sexe avec des chevaux. Je tiens à ce que chacune des élèves ait
des rapports sexuels avec des chevaux, en plus des hommes. Toi, ce sera double
ration. Comme tu es vierge de l’œillet, le gynécologue va te préparer.
Nous remontons la longue allée à pied, escortées par les chevaux. Les
hommes du double de mon âge, ne cessent de regarder mes fesses musclées et mes
seins.
Au bout de l’allée, se trouve une grande villa avec un étage.
- Voici, la villa du Comte Donatien Sire des Mille Baise. Tu loges au
premier étage avec les autres filles. Nous allons chez le docteur pour les
examens et le gynécologue. Je vais te mettre tes carcans pour ton séjour. Tu
vas passer deux semaines à connaître le plaisir.
Elle me présente mon collier et mes bracelets pour mes poignets qui
sont en plusieurs épaisseurs de cuir, chaque épaisseur assez mince, au total
pas plus d'un doigt, verrouillés par un système à déclic, qui fonctionne
automatiquement comme un cadenas quand on le referme, et ne peut s'ouvrir
qu'avec une petite clé. Dans la partie opposée à la fermeture des bracelets, pris
dans le milieu des épaisseurs de cuir, et n'ayant presque pas de jeu, il y a un
anneau de métal, qui donne une prise pour fixer, et qu'on positionnait du côté
intérieur du poignet. Pour le collier, l'anneau pend devant le cou, reposant
sur la saillie des clavicules, et brinquebale au rythme des mouvements de celui
qui le porte.
- Te voilà prête.
- Pourquoi, je dois porter des carcans.
- Désormais, tu te prêtes à quiconque. Tout le monde est libre de te
fouiller. Tu ne peux te dérober, tes cuisses restent toujours écartées, ta
bouche entrouverte, pour donner libre accès à ta bouche, ta chatte et ton
œillet. Tu es fouettée qu'entre le coucher et le lever du soleil, et les yeux
bandés. Tu es fouettée pour avoir manqué de complaisance, ou levé les yeux sur celui
qui te parle ou te prend. Tu dois désormais toujours regarder un homme au
niveau du sexe qui est à découvert, pour que tu le suces. Tu te masturbes la
chatte et prépare l’œillet, avant chaque soirée. Tu dois rester constamment
lubrifiée. Tu es fouettée tous les jours pour ton instruction. Tu es enchaînée
nue à ton lit, prête à t’offrir, cuisses grandes ouvertes. Tu ne dois, ni
regarder un homme au visage, ni lui parler. Tu dois te taire et obéir. Tu
n'ouvres désormais ici la bouche, en présence d'un adulte, que pour crier ou
caresser.
Dans le cabinet du médecin, plusieurs tables d'examen, des armoires
vitrées remplies de matériel chromé, de grandes paillasses d'éviers. Dans un
angle, un bel étalon musclé, nu sous sa blouse, me pose des questions sexuelles
et mes habitudes sanitaires.
- As-tu été souvent sodomisée ?
Je réponds :
- Non, je n'ai jamais été pénétrée par là...
- Comment, une petite garce aussi chaude que toi ne s'est jamais faite
enculer ?
- Non, je vous le jure...
- De toute façon, on aura la preuve au cours de l'examen clinique que
tu vas subir tout à l'heure : ton oeillet parlera pour toi...
- On va... m'examiner cet endroit ?
- Mais oui, et pas que l'oeillet crois-moi !!!
L'interrogatoire se poursuit
encore un moment, à ma grande confusion, puis la femme se lève et avant de
quitter la salle, me dit simplement :
- Tu vas attendre un peu qu'on vienne s'occuper de toi. Reste
tranquille.
Je suis très intimidée de me
retrouver toute nue en présence de tous ces gens en blouse blanche. On me fait
étendre sur une table d'examen et ils font cercle autour de moi et il commence
l'examen en prenant ma tension puis m'ausculte longuement la poitrine et le
dos, après m'avoir fait asseoir, avec son stéthoscope. Il examine mon coeur,
mes poumons, me demandant de respirer ou de tousser
Je suis retournée sur le ventre, deux mains se posent sur mes fesses et
les écartent au maximum et je sens le thermomètre pénétrer mon anus. Je dois
rester ainsi deux ou trois minutes, alors qu'ils discutent entre eux. Me sentant
complètement ridicule.
Remise sur le dos, il me palpe
longuement le cou, les aisselles, le ventre, les aines, les jambes, il fait
jouer toutes les articulations de mes membres, puis me fait mettre à plat
ventre pour me palper longuement le dos et les fesses. Tout en m'examinant, il
dicte ses observations à la secrétaire. En terminant son examen, il me demande
de me remettre sur le dos.
Son collègue gynécologue prend le relais : un grand brun musclé, du
double de mon âge, s'attaque à mes seins. Il les palpe, les presse, pince les
mamelons, tire dessus, les tord dans tous les sens "Les seins sont petits,
très fermes, solides... aréoles larges, mamelons d'un centimètre et demie, bien
érectiles." Elle palpe également le bas de mon ventre.
Je me retrouve menottée au fauteuil gynécologique : fesses au bord de
la table, cuisses grandes ouvertes, mollets reposant sur des sortes de
gouttières. Les lèvres de ma chatte s’écartent toutes seules, encore humides de
ma baise équine.
Il ouvre la chatte de la main gauche et introduit deux doigts gantés de
la droite très profondément dans ma chatte, qu'il fouille soigneusement pendant
un bon moment, m'appuyant sur bas-ventre de son autre main. Puis mise en place
du spéculum, ouvert en grand, "Vulve étroite, vagin souple, assez serré,
utérus en bonne position." Il introduit un doigt bien profond dans mon
anus
- Son œillet est étroit, trop serré : prévoir une dilatation anale
Quand il retire son index d'entre mes fesses. Sans ses gants, il
caresse mon clitoris qu’il fait tendre.
- Clitoris facile à décapuchonner, assez développé, très sensible et
érectible, gland bien dégagé... méat urinaire d'apparence normale, petites
lèvres assez fines, grandes lèvres longues et charnues, glandes de bartholin de
taille normale, bien lubrifiée
Il me masturbe le clitoris à toute vitesse, complètement écartelée et
en public, est profondément humiliant, mais son doigt tournant follement autour
de mon petit bouton, en haut de ma fente sexuelle finit par m'émouvoir bien
malgré moi ! Je sens ma fente s'humecter de plus en plus et inexorablement, le
plaisir monte dans mon ventre, jusque dans mes reins. Je ne peux m'empêcher de
gémir, de bouger les fesses et assez rapidement, comble de la honte, j'éprouve
un fantastique orgasme, sentant ma vulve se contracter, s'ouvrir et se refermer
de façon spasmodique malgré la présence de tous ces gens. Après mon orgasme
clitoridien, l’homme me baise profondément, longuement. J’ai un second orgasme.
Profitant que ma chatte est trempée, il entreprend de la dilater au
maximum, m'enfonçant ses doigts, les tournant, les écartant pour m'élargir,
sans s'occuper de mes gémissements de douleurs que j'essaie en vain de retenir.
Toutefois, il arrive à introduire quatre doigts dans mon vagin.
- Maintenant, avec le docteur, nous allons t’enculer. Tu ne peux te
dérober, menottée. Ouvre-toi bien : ça va rentrer tout seul, pousse fort...
J'obéis, mais le passage du gland au travers de ma collerette anale me
fait tout de même mal. Il marque une pause avant d'aller de l'avant et d'augmenter
la profondeur de la pénétration, son gode repoussant mes tissus s'ouvrant
littéralement un chemin entre mes fesses vierges. Il marque une nouvelle pause
avant d'entamer un lent mouvement de va et vient, ressortant presque
entièrement de mon anus, pour y replonger aussitôt. Peu à peu, la douleur de
mon anus forcé cède la place à un certain plaisir, puis à un plaisir certain,
j’atteins mon premier orgasme anal.
Puis il se retire en douceur et le docteur réclame sa part. J’ai un
nouvel orgasme anal.
Profitant de ma fatigue due aux
orgasmes, je ressens une étrange sensation à mes aréoles, mes mamelons et mon
clitoris. Les deux hommes m’ont piqué, avec un produit stimulant.
Maintenant, tes mamelons et ton clitoris vont être hyper sensibles. Le
moindre frottement de tissus ou même ne serait ce que l'air sur tes mamelons ou
ton clitoris te provoqueront une excitation énorme. Le résultat, c'est que tes
mamelons pointeront au maximum tout le temps, vingt quatre heures sur vingt
quatre et de même pour ton clitoris. Inutile de te dire que malgré cette hyper
excitation, je t'interdis de te faire jouir. Tu découvres ainsi la frustration
et la douleur que cela procure en plus de la douleur provoquée par le fait que
tes mamelons et ton clitoris soient constamment tendus.
Miss me cravache les fesses, pour m’apprendre à connaître la
soumission. Je me retiens de gémir, malgré la douleur.
Détachée, je me chausse de cuissardes transparentes et je reste nue.
Mes fesses sont brûlantes.
Miss me conduit aux écuries, qui sont derrière. Je retrouve les deux
chevaux que j’ai sollicité. Je choisis Désir Sauvage, un superbe pur-sang.
Je rejoins son box, caresse mon buste contre son corps, pour
l’imprégner de mon odeur.
Soudain, je sens qu’on m’écarte les fesses. Je me laisse faire. Un
mandrin de vingt centimètres en érection m’encule. On m’enserre les hanches et
de temps à autre, on m’écarte davantage les fesses pour m’enculer plus
profondément. Je jouis.
Le mandrin se retire et je m’accroupis pour le sucer. Je découvre une
superbe poitrine plantureuse au-dessus de mes yeux.
Je m’appelle Iris. Je suis un transsexuel, chargé des chevaux. Tu me
plais. Tu es encore un peu étroite, mais les sexes des chevaux vont t’ouvrir
davantage.
Iris éjacule dans ma bouche.
L’anus béant et humide, j’enfourche ma selle que m’a installé Iris. Il
y a un double gode, un équin pour ma chatte et un canin pour mon anus. Les
godes sont luisants car ils avaient été soigneusement lubrifiés. Je m’assois en
premier, d'abord sur l'avant de la selle, puis je me laisse m'empaler dessus
dans mon anus, sous mon propre poids.
L’homme, qui nous accompagne, avec d’autres filles, empalées elles
aussi sur un double gode, se prénomme Brice. C’est un bel étalon musclé. Il est
torse nu, avec son pantalon ouvert sur son mandrin nu. Je regarde son mandrin,
les yeux baissés.
Il me fixe mes mains dans le dos.
- Ainsi, tu ne seras pas tentée de te masturber pendant la promenade.
Nous allons d’abord au trot. Les godes se révèlent être de puissants
vibromasseurs. En effet, chacun s’allonge et rétrécit à chaque mouvement de
va-et-vient grâce à son enveloppe ultra-souple qui s’étire ou se contracte en
suivant les montées et descentes du gode. Mon bassin ondule violemment sur ces
godes. Je ne compte mes orgasmes. Nous allons au galop. Je manque à m’évanouir.
Nous marquons une pause.
Brice s’approche de moi et me dit :
- Lève-toi un peu des godes.
Ma chatte dégouline et mon anus est bien ouvert.
- Tu es excitée, ma belle. Je vais te punir.
Brice me descend du cheval et siffle.
Un imposant doberman nous rejoint.
- Voici, Adam, il va t’enculer pendant que tu vas sucer Désir. Tu peux
rester attachée jusqu’à trois quart d’heure à Adam. C’est lui qui décide.
Et il me saisit les deux mains. Il fit glisser l'un dans l'autre les
deux anneaux de ses bracelets, ce qui lui joint étroitement les poignets, et
ces deux anneaux dans l'anneau du collier. Je me trouve donc les mains jointes
à la hauteur du cou.
Agenouillée, dans l’herbe, cuisses écartées, je me laisse écarter les
fesses, mes mains jointes à mon cou.
Adam me monte. Je sens le gland du chien ouvrir mes parois anales
jusqu’au noeud. Bâillonnée par le sexe de Désir, je gémis un peu. Mais plus Adam allait de l'arrière vers
l'avant rapidement, mieux mon anus supporte cette sodomie canine. Au bout de
trois quart d’heure, il éjacule dans mon anus. Je sens le noeud d’Adam grossir
dans mon anus. Je sens le noeud arrêter de grossir. À chaque fois qu’Adam
bouge, j’ai un orgasme. J’ai quatre orgasmes puis je sens le noeud rétrécir. Un
bruit de succion accompagne la sortie de la bitte d’Adam de mon anus.
Brice revient avec les filles, ma bouche est remplie du sperme de Désir
et mon anus dégouline du sperme d’Adam. Sans attendre, Brice m’encule à son
tour. Il m’écarte bien les fesses et m’encule jusqu’aux testicules. Il me donne
quelques claques magistrales sur les fesses. Je m’empale sur lui. Tenue par la
taille, il me fait coulisser sur son gros mandrin. Il s’agrippe de plus en plus
fort à mes hanches jusqu’à l’éjaculation.
Il me fait asseoir sur les deux godes pour le retour.
J’ai de violents orgasmes, le sperme tapisse mon anus.
De retour aux écuries, je suis douchée à l’eau froide avec les autres
filles avant un lavement à l’eau froide, avec une poire. Je me soulage dans un
urinoir pour hommes.
Miss me retrouve :
Ma vierge se révèle une jouisseuse. Je crois que la sodomie quotidienne
va te plaire. Je vais te cravacher les fesses pour avoir regardé Iris.
A quatre pattes, je suis cravachée et je me retiens de gémir.
Je me restaure avec les autres filles.
L’après-midi, je soigne Désir et le masturbe, pour qu’il éjacule dans
ma bouche.
Le Comte me surprend. C’est un bel étalon du double de mon âge, qui se
masturbe, exhibant son gros mandrin.
- Ma belle, ça te dirait de faire enculer, par ton amant.
Je pense aussitôt au Comte.
Mais je me retrouve prisonnière sur un chevalet, menottée, cuisses
écartées.
Le Comte m’enfonce le sexe de Désir dans mon anus. Après quelques
minutes, je me mets à jouir. Il me claque les fesses, la queue finit par
rentrer. Je commence à prendre du plaisir, va et vient sur le sexe, prise par
un orgasme. Le Comte me doigte ma chatte trempée et me cravache les fesses.
- Ca y est, tu y prends goût. Laisse Désir éjaculer en toi.
En quelques minutes, hennissant comme un sauvage je sens une énorme
quantité de purée de sauce de semence dans mon anus. Le liquide épais jaillit
de mon anus, dégouline le long de mes
jambes jusqu’aux mollets.
Le Comte retire le sexe et m’encule longuement, profitant de mon anus
béant et humide jusqu’à l’orgasme.
Les hommes du haras se relaient jusqu’au coucher du soleil. Mes fesses
sont zébrées par les nombreux coups de cravache. Je ne sais combien d’orgasmes
me submergent. Je suis rincée à l’eau froide.
Une fois propre, je suis à nouveau piquée aux mamelons et au clitoris.
L’effet est immédiat, mes mamelons deviennent rapidement saillants, gros et
longs et mon clitoris devient gros comme une cerise, saillant et volumineux.
Une des filles m’apprend à me maquiller dans ma chambre. La chambre est
un simple lit, dans une grande pièce avec un chevalet, une croix de
Saint-André, une coiffeuse avec un gode. Les seules glaces et miroirs sont à la
salle de bains qui en entièrement recouverte sur les murs et au plafond.
Elle ombre légèrement mes paupières, peint en rouge ma bouche, en rose
mes mamelons tendus et l'aréole de mes seins, en rouge le bord des lèvres de ma
chatte trempée, du parfum longuement passé sur la fourrure pubienne et mes
aisselles lisses, dans le sillon entre les cuisses, dans le sillon sous les
seins, et au creux des paumes. Je me retiens de jouir quand le pinceau passe
sur mes mamelons et que la fille me caresse le clitoris pour qu’il soit bien
tendu.
La fille a déjà ses mamelons et son clitoris constamment tendus. Sa
chatte est totalement lisse. Elle porte un anneau doré à son gros clitoris.
Fardée et parfumée, je retrouve les autres filles qui sont nues. Tous
portent des marques de cravache sur les fesses et les cuisses.
Avant le souper, le Comte me fait mettre à quatre pattes et choisit
dans un coffret où dans un compartiment il y a un assortiment de chaînettes et
de ceintures, et dans l'autre un choix de ces godes, qui vont des plus minces
aux plus épaisses. Ils sont moulés sur des sexes équins et canins, pour que je
m’habitue.
Le Comte choisit un sexe canin de bonne dimension : le gode mesure
treize centimètres de long et de trois à cinq de diamètre une fois gonflé. Six
centimètres de long entre le gland et le nœud, le nœud mesure dix de long pour
quatre de diamètre. Il a la taille d’une balle de ping-pong. Il le prépare en
attachant, à trois petits trous percés dans la base, trois chaînettes qu'il
laisse pendantes. Il me l’enfonce jusqu’au nœud puis jusqu’aux testicules. Je
sens le sexe canin en érection, c'est-à-dire avec une extrémité renflée.
Je me relève, je porte une étroite ceinture autour de ma taille, et
l'on y accroche les trois chaînettes, une par derrière qui suit le sillon des
fesses, et les deux autres par-devant, qui longent le pli des aines en
contournant le triangle pubien. On les ajuste au plus court, de façon que mon
muscle anal soit forcé et distendu, et on les attache avec de petits cadenas
Ainsi, quand tu es seule, tu n’es pas tentée de te soulager de cette
contrainte.
A chacun de mes pas, le gode bouge en moi, en même temps que mon bassin
ondule dessus. Je me retiens de jouir.
Désormais, huit jours durant, entre mon lever et le repas de midi, puis
entre la tombée du jour et l'heure de la nuit, dix heures généralement,
enchaînée, nue, et trempée, je suis enculée par des godes qui m'écartèlent, et
chaque jour davantage, je me prosterne,
pour le recevoir, plus épais chaque jour. Au souper, lors du repas en commun,
après leur bain, les filles, nues et parfumées, voient mes chaînettes et de la
ceinture. Le Comte me la retire que me faire saillir ou enculer par les
godes-ceintures des filles.
Au bout de huit jours, aucun appareil n’est plus nécessaire, et le
Comte est fier que je sois doublement ouverte.
Ce soir-là, nue, je me fais saillir par six chiens de garde, connaît ma
première double pénétration canine et par des hommes et enculée par trois
chevaux dans les box, sans être attachée.
Je suis fière d’être enculée et fouettée. Mes mamelons et mon clitoris
sont désormais constamment tendus. Je porte désormais un ample pantalon, dont
l'aspect plus sévère tenait sans doute à l'étoffe, le large pantalon était
fendu d'avant en arrière selon l'axe du corps et, alors qu'il paraissait fermé,
tout l'entrejambe est ouvert, du ventre jusqu'au bas du dos ; ce sont en
réalité deux jambes retenues ensemble par un cordon. Le cordon est tiré,
laissant une vue imprenable sur ma chatte et mon pubis, mes fesses zébrées, mes
lèvres vaginales plus proéminentes et ma rosette anale plus large.. Je garde
mes cuissardes transparentes. Je porte aussi un corset seins nus pour affiner
ma taille, le corset est durement baleiné, long et rigide, comme au temps des
tailles de guêpes, et comportent des goussets où reposent les seins. A mesure
qu'on serrait, les seins remontent, s'appuyaient par-dessous sur le gousset, et
offraient davantage leur pointe. En même temps, la taille s'étrangle, ce qui
faisait saillir le ventre et cambrer profondément les fesses. L'étrange est que
cette armature est très confortable, et jusqu'à un certain point reposante.
Je ne compte plus mes nombreuses sodomies canines, équines et avec les
hommes. Mon anus est bien assoupli pour le plus grand bonheur du Comte et de la
Miss.
Je réalise des sauts d’obstacles et des parcours en forêt, portant un
double gode, pour continuer mon éducation.
Lors d’un concours de sauts d’obstacles, je suis remarquée par deux
propriétaires d’un grand centre équestre. Je porte depuis quelques jours, mes
anneaux dorés à mon gros clitoris et à mes petites lèvres de ma chatte, signe
de reconnaissance du haras. Ma chatte est constamment épilée, mais je garde mon
pubis velu.
Je me présente nue et en cuissardes auprès du Comte et des deux
propriétaires, qui ont le double de mon âge. Ils exhibent leurs mandrins et
m’enculent, menottée au siège gynécologique, après une visite gynécologique
jouissive.
- Très bien, elle est bien ouverte de l’œillet.
- Elle sait jouir enculée, dit le second, en faisant claquer ses
testicules contre mes fesses brûlantes et zébrées par les coups de cravache du
Comte.
- Combien, pour l’intégrer comme élève au centre équestre ?
annonce le Comte.
- Voyons, elle est doublement déflorée, elle a un beau physique. Elle
sait jouir, se soumettre et elle a des qualités équestres.
- 2500, dit le premier.
- 3200, dit le second.
- 4500, dit le Comte.
- Prenez-moi pour 3000, annonce-je, pantelante, l’anus béant et
dégoulinant de spermes.
- Alors, 3000 plus 1500 pour l’abattage au centre équestre, dès ce
soir, j’ai des amis qui seront ravis de cette poupée.
Libérée, je me douche, me farde, me parfume et revêts une robe bustier
moulante et transparente, fendue devant jusqu’au dessus de mon pubis et
dévoilant mes fesses zébrées par des ouvertures. Je chausse des mules à très
hauts talons. Le Comte me retire mes carcans de cuir.
Nous prenons un hélicoptère Dauphin qui me conduit au centre. Le vol
dure trois heures.
Je me retrouve rapidement nue, caressée de toutes parts, suçant en
échangeant de sodomies violentes. Je suis aux anges.
Nous posons derrière le grand centre équestre, dans une vallée.
Un des propriétaires me remet mon collier de cuir et mes bracelets à
mes poignets. Il fixe mes poignets dans mon dos. Il me tient en laisse par mon
collier. Je suis nue et en mules. Le vent frais cingle mes mamelons et mon
clitoris constamment tendus. Je me retiens de jouir.
Je suis conduite dans une superbe villa. Là, je descends au sous-sol.
Je suis menottée debout au
milieu de la pièce, et ses bras levés et joints, que les bracelets maintiennent
par une chaînette à l'anneau du plafond d'où jadis pendait un lustre, font
saillir ses seins. Je suis pieds nus, sur la pointe des pieds, sur le carrelage
froid.
Le Duc Brice Sévices Mécaniques et le Marquis Donatien Saint Baise me
tutoient.
- Tu vas porter un bandeau sur les yeux et ta bouche reste libre.
- Nous allons te fouetter et te goder en même temps. Acceptes-tu ?
- Je suis tout à vous et aux autres invités.
Justement, un riche émir, un proxénète chinois et un propriétaire d’un
bordel allemand vont assister à ta séance. Garde les cuisses écartées.
Brice et Donatien caressent mes seins, les baisent, puis ma bouche, en
doigtant simultanément ma chatte trempée et mon anus béant et humide. Je ne
sais si je dois jouir.
Aveugle, je sens une langue me lécher mon clitoris tendu. J’ondule
inconsciemment mon bassin. La cravache cingle à plusieurs reprises mes fesses,
mes reins et mon dos, à chaque jouissance.
Je tente de me retenir, mais le plaisir est plus fort.
On pince alors mes seins avec de lourdes clochettes d’un kilo chacun,
ainsi qu’à mes grandes lèvres de ma chatte en feu.
On m’enfonce un écarteur anal que je dois garder. Je suis au bord de
l’orgasme.
La cravache reprend, puis la garcette et la raquette en bois sur mes
fesses brûlantes.
Lors de la pause, je reçois un vibromasseur réaliste dans mon anus doté
d’un excitateur clitoridien. Le vibromasseur s’allonge et se rétrécit comme un
vrai mandrin.
J’ai le droit de jouir. Mon orgasme me fait me cambrer et m’arc-bouter,
malgré les menottes.
A peine remise de mon orgasme, on me retire le vibromasseur et
l’écarteur anal.
Je suis cette fois fouettée sur les cuisses avec une cravache et sur
mes seins avec un martinet de poche, faisant tinter les clochettes.
Puis je sens que l’on m’encule avec de vrais mandrins. Une langue lèche
ma chatte et mon clitoris. Je sens les testicules de mes amants, malgré ma
fatigue.
Tous éjaculent en moi, leurs mandrins sont tous gros et longs. Je suis
aux anges.
On me retire le bandeau et je découvre dans un grand miroir, mes seins,
mes cuisses zébrées et un autre miroir reflète mon dos, mes fesses, mes reins
zébrées, mes fesses sont aussi rougies par la raquette en bois. Le sperme coule
entre mes cuisses.
Je suis alors prise en double pénétration : un des hommes me prend
dans ses bras, je l'entoure avec mes jambes et me laisse baiser. Le deuxième
homme est derrière soutenant également une partie de son poids et m’encule.
Sans changer de position, je reçois ensuite deux mandrins simultanément
dans mon anus béant et humide. Le plus gros des mandrins m’encule d’abord, le
plus petit rentre progressivement au-dessus de l’autre pour commencer à limer
doucement, puis plus rapidement ou violemment le trou. Le premier qui m’a
enculé, m’encule en même temps en rythme, afin de créer un maximum d’effet pour
moi. Ils alternent en rentrant par surprise, donnant quand c’est possible des
petits coups plus sauvages et ardents, pour que les deux mandrins fassent un
maximum d’effet. Ils modifient régulièrement les cadences. Je connais plusieurs
orgasmes avant une double éjaculation anale.
Détachée, je suce mes amants, l’anus rempli par un imposant bijou
d’anus très lourd. La pomme de pin frotte en bougeant ma chatte humide. Je suis
enculée sur douze centimètres et cinq de diamètre, pour 600 grammes. J’aime
avoir l’anus bien rempli. Mon anus se contracte dessus jusqu’à la jouissance.
J’ai droit à un long lavement, menottée sur un chevalet, une canule
dans mon anus, reliée à une poche juste au-dessus de mes fesses. Je suis
nettoyée jusqu’à ce que je sois propre.
Je retrouve les invités au salon.
Je partage le repas. Je suis empalée, l’anus libre, sur chacun, assise,
cuisses écartées entre leurs cuisses. La sodomie est profonde, j’aime ça.
L’homme caresse mes reins, mes fesses, mes seins étirés par les clochettes, mon
cou, mes épaules et mon dos. Je jouis, en coulissant sur chacun, entre deux
bouchées.
Lors du dessert, je me fais saillir par leurs trois chiens, un
doberman, un berger allemand et un dogue allemand, tous les trois m’enculent
jusqu’au nœud. Je connais de multiples orgasmes.
Pantelante, les trois invités me cravachent les fesses. Je reste à
quatre pattes, bras tendus, offrant mes fesses bien rebondies.
Je porte à nouveau le bijou d’anus pour garder le sperme canin.
Je rejoins ma chambre au premier étage, en compagnie de la fille qui
m’a léchée au sous-sol. Elle est grande, brune, aux petits seins. Elle porte un
anneau à son gros clitoris tendu, deux aux petites lèvres de sa chatte et deux
à ses mamelons tendus. Le Marquis m’a retiré mes clochettes à mes mamelons et à
mes grandes lèvres humides.
Nous faisons l’amour.
Sans attendre, un doberman vient me saillir. La fille me retire le
bijou d’anus et j’explose en de violents orgasmes anaux, attachée à lui.
Je le suce en retour. Un autre doberman encule la fille.
Nous embrassons langoureusement nos bouches, enculées par nos amants canins.
Dans un 69 torride, je me fais enculer par un dogue allemand, je suis
installée au-dessus de la fille. Je n’arrive plus à la lécher et je dois la
masturber et lui doigter la chatte.
Un peu plus tard, dans la nuit, l’anus rempli par mon bijou d’anus, je
suis baisée par deux dobermans sans le nœud, sollicitant ma chatte resserrée de
vierge. Je connais l’orgasme.
Ma chatte dégouline de spermes.
Le lendemain, au lever du soleil, je découvre ma chatte béante et
humide, tapissée de spermes canins.
Je me douche, accroupie, cuisses écartées, dans une grande salle de
bains, entièrement recouverte de glaces et de miroirs sur les murs et au
plafond.
Je regarde mes reins et je découvre les lettres V et S pour vicieuse
sodomite, tatoués à l’encre noire, à quelques centimètres au-dessus de la
naissance de mes fesses.
Je me farde, me parfume. Je descends déjeuner avec la fille. Nous
sommes nues et en mules, avec nos carcans de cuir. J’ai gardé mon bijou d’anus.
Je me rends aux écuries, en pantalon fendu, cuissardes, pour choisir
mon amant équin. Je choisis Zéphyr, un bel étalon pur-sang. Il a un long sexe
que je suce, avant de le monter.
Je fais quelques parcours de saut et du galop, empalée sur un imposant
double gode réaliste équin qui me fait jouir.
En sueurs, je me douche.
Le Marquis me fouette cul nu, aux écuries, avant de m’enculer
longuement jusqu’à l’éjaculation. Entre les chiens et les chevaux, mes journées
sont bien remplies.
Le soir, c’est soirée lesbienne à deux ou trois filles, avec
gode-ceinture et godes et vibromasseurs réalistes humains, canins et équins. Je
suis aux anges.
Pendant un mois, je suis l’objet d’orgies sexuelles anales, avec des
hommes, des chiens et aux écuries, fouettée et experte en jeux lesbiens.
Un riche propriétaire qui vit dans un fjord, me rachète pour le double
du prix auquel m’a vendu le Comte.
Après un vol en hélicoptère et en jet privé, nue sous mon imperméable,
en mules, je rejoins en yacht privé, ma nouvelle résidence. C’est un château
moderne, caché dans une forêt, très bien protégée par des maîtres-chiens, des
hommes à cheval et un hélicoptère. Aucune évasion n’est possible.
Dès mon arrivée, Sir Donatien Maître Baise me fait un examen
gynécologique. Menottée au fauteuil gynécologique, cuisses bien écartées, je me
fais poser mes fers à mes petites lèvres, me laissant mes anneaux à mes grandes
lèvres.
Je gémis un peu sous le bâillon-pénis.
Ce sont des anneaux de fer mat inoxydable, comme le fer de la bague
doublée d'or. La tige en est ronde, épaisse comme un gros crayon de couleur, et
ils étaient oblongs : les maillons des grosses chaînes sont semblables. Chacun
est formé de deux U qui s'emboîtent l'un dans l'autre. Le ressort intérieur sur
lequel est forcé pour le faire pénétrer dans la rainure où il se bloque. Chaque
anneau est long comme deux phalanges du petit doigt, qu'on y peut glisser. A
chacun est suspendu, comme un nouveau maillon, ou comme au support d'une boucle
d'oreille un anneau qui doit être dans le même plan que l'oreille et la
prolonger, un disque de même métal aussi large que l'anneau est long. J’en
porte deux, un à chaque lèvre. Le premier est au nom du Comte et le second au
nom de Sir Donatien, avec à chaque fois mon nom, et au-dessous, un fouet et une
cravache entrecroisés.
- Plus tard, quand tu auras donner naissance à un héritier, je te
ferais marquer au fer rouge sur les fesses. Je vais te baiser pendant plusieurs
jours jusqu’à ta grossesse. Les autres hommes, les chiens et les cheveux
t’enculeront. Je vais rééduquer ton œillet, pour qu’il soit plus présentable.
Mes anneaux font de moi, une soumise. L'état de mon anus distendu,
élargi, a nécessité une rééducation de ses muscles pour lui rendre sa tonicité,
à l'aide d'un appareil d'électrothérapie : il est maintenant redevenu tout à
fait normal, tel un poinçon strié de rose, très serré, mais il peut s'ouvrir
tout grand pour me faire enculer. Les fers me descendent jusqu'au tiers de la
cuisse, et à chacun de mes pas bougent entre mes jambes comme un battant de
cloche, le disque gravé étant plus lourd et plus long que l'anneau auquel il
pend.
Le soir, Sir me baise, me saisit les hanches et me pistonne en levrette
rapidement pour finir par éjaculer dedans. A genoux, bras tendus, offrant mes
fesses bien rebondies, zébrées par les coups de cravache de la journée et rougies
par les coups de raquette en bois, il me saisit à la taille pour me coulisser
sur son gros mandrin, me complimentant en accompagnant ses coups de bassin. Il
s’agrippe de plus en plus fortement à mes hanches. Il me fait jouir, en
sollicitant mon gros clitoris. En cinq minutes, je reçois sa semence féconde
et, puis il me prend en 69. Enfin, il lèche ma chatte encore dégoulinante du
sperme que je viens d'engloutir. Une heure plus tard, après ce traitement
délicieux l'Emir présenta son pénis encore au repos à ma bouche, puis il
m’encule d'un violent coup de rein. A quatre pattes, je contrôle aisément ma
sodomie, soumise, il plaque une main sur mes reins et me donne quelques claques
magistrales sur les fesses, enculée jusqu’aux testicules. Je m’empale sur lui
en retour. Après dix minutes de pistonnage, j’explose d'un coup : une violente
houle de plaisir me laboura entièrement le ventre, secouant un par un chacun de
mes organes internes. Pour ce faire, il me baise à nouveau en levrette et
recommença à me pomper rapidement comme en début de nuit. Il ne tarde pas à y
éjaculer par saccades abondantes. Après ce deuxième orgasme, j’aperçois ma
chatte gonflée et rose se fermer et garder dans son ventre la semence de Sir,
suintant à peine du sperme de ce dernier. Au cours de la nuit, Sir se réveille
encore une fois et me prend en
missionnaire. Cette fois-ci, il me pistonne longuement. Sir me saisit les
cuisses, pour m’empêcher de me dérober. Il embrasse, caresse mon visage, mes
seins, mes reins. Sir arrive au bout de 10 minutes à l'orgasme et il se déversa
à nouveau dans ma chatte. Je sens le sien arriver à son tour et pour
accompagner son plaisir, je me tends, arquant mon dos, soulevant le chétif
vieillard dont le dard vibrant en saccades était toujours enfoncé dans ma
chatte. Nous retombons brusquement sur le lit. Les mains de Sir, dans le même
mouvement sont fermement accrochées à mes seins, les comprimant fortement.
Quelques minutes après, la jeune soubrette blonde aux seins plantureux,
seins nus dénudés par son corset sous sa tenue, en mules à très hauts talons,
vient me chercher, me lave à la baignoire de ma luxueuse chambre, devant
plusieurs miroirs. Je reste accroupie, cuisses écartées. Elle prend d'éviter ma
chatte pour que la fécondation se fasse. Des semaines durant, le même rituel
m’est imposé, chaque fois je couche avec lui, il prend soin de lâcher son
sperme dans ma chatte.
En quelques jours, mes règles disparaissent ; mon ventre augmente petit
à petit de volume après quelques semaines, quelques mois. Je tombe enceinte
selon les désirs de son maître. Je subis chaque soir ses assauts sexuels,
baisée et enculée, mon ventre et mes seins augmentent de volume.
Je donne naissance à un garçon.
Quelques jours après, je reçois ma marque au fer rouge sur mes fesses,
devant un harem de clients venus du monde entier, pour l’achat de chevaux que
j’ai monté et qui m’ont aussi enculée.
Je suis menottée, les bras en l’air, cuisses écartées, une barre
d’écartement fixée à mes chevilles, sur la pointe des pieds, avec un bâillon-pénis
en bouche.
Soudain, une seule et abominable douleur me transperce. On enfonce dans
la chair de mes fesses les deux fers rouges à la fois, ni quelle voix a compté
lentement, jusqu'à cinq, ni sur le geste de qui ils ont été retirés. Je porte
les lettres S et V sur mes fesses.
Pendant ma perte de connaissance, je suis violemment enculée par les
clients, mes fesses marquées sont recouvertes de spermes frais. Je connais
l’orgasme à plusieurs reprises, bâillonnée.
Les marques imprimées par le fer rouge, hautes de trois doigts et
larges de moitié leur hauteur, sont creusées dans la chair comme par une gouge,
à près d'un centimètre de profondeur. Rien que de les effleurer, on les perçoit
sous le doigt. De ces fers et de ces marques, j’éprouve une fierté insensée.
Dans les deux années suivantes, je donne naissance à des jumeaux, un
garçon et une fille.
Sir me fait aussi piquer mes seins, après l’effet de ma
grossesse. Désormais, j’ai pris vingt centimètres de tour de poitrine
supplémentaires, passant d’un bonnet B à un bonnet D. Je garde désormais ma
chatte et mon pubis totalement lisses. Sir m’a fait marqué au fer rouge mon
pubis d’une cravache et d’un fouet entrecroisés.
Je
continue les compétitions, je gagne de nombreux concours, avant de retourner
dans les Alpes, comme cavalière émérite et soumise. Je garde mes fers, mes
marques et mon désir anal vorace.
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