samedi 22 juin 2019

PRUDENCE ENTRE VICE ET DESIR


Je m’appelle Prudence.
J’ai 18 ans.
Je suis une jolie beauté scandinave.
Je suis une brune aux yeux verts. J’ai des pieds fins et latins, des jambes longues bronzées, musclées qui inquiètent par leur perfection. Mon pénil est bombé, ouvert, couronné de noir. Ma pilosité brune couvre mon pubis. Ma chatte est velue et j’ai une superbe croupe. Les lèvres de mon sexe sont une plaie rouge entre mon entrecuisse. Mes hanches s'incurvent et délimitent le ventre plat, délicieusement renflé autour du nombril, les hanches sont larges et rondes, mais sans lourdeur. La taille est affinée. Les seins parfaits intégralement bronzés sont un peu volumineux mais fermes, et leurs pointes marron clair, toujours dressées, cernées par une large aréole marron attirent le regard. J’ai une peau lisse et patine. Finition parfaite, un seul grain de beauté entre mes superbes seins. De longs cheveux plats blonds flottant comme des algues, battent mes épaules rondes et gracieusement athlétiques. Je suis intégralement bronzée. Mes yeux verts limpides s'allument, ma bouche charnue se fend. J’ai des sourcils bruns bien dessinés et des lèvres pulpeuses. J’ai de longs doigts fins et de belles mains. Je fais du 90B de poitrine, 56 de taille, 90 de hanches, 1,72 m.

PRUDENCE ENTRE VICE ET DESIR



15 juillet

Depuis l’âge de mes 16 ans, je passe mes vacances dans un club naturiste. Dès que mes poils pubiens qui continuent de friser et deviennent plus drus ; la pilosité est plus dense et les aréoles et les mamelons forment une seconde protubérance, j’ai attiré les regards masculins.
Un peu plus tard, lors que mon triangle pubien s’étend sur la surface interne des cuisses, mes mamelons continuent saillir. J’aime de plus en plus mon corps de femme. J’aime me masturber seule ou avec des copines lesbiennes du club naturiste, sur la plage ou dans la mer.
Je sais qu’un jour, je serais déflorée. Je me réserve.
Je loge dans un bungalow, que je partage avec un jeune couple. Avec eux, j’ai appris à sucer le mandrin de l’homme, mes cunnilingus lesbiens dans des 69 torrides me font exploser dans de violents orgasmes, je mouille énormément.
J’avoue que j’ai un penchant pour les fessées sur mes fesses nues. C’est comme cela, que Sven, le mari du couple m’a avoué :
- Prudence, tu sais que ton œillet mouille chaque fois que je te fesse.
- Sven, ne me doigte pas l’œillet. Je ne suis pas encore prête.
- Détends-toi, je vais juste enfoncer un doigt, comme je le fais avec Aimée, ta cousine.
Allongée sur le ventre, sur le canapé, toute nue, je me laisse faire.
Mon anus se détend un peu, quand le doigt s’enfonce.
Je reconnais que c’est pas désagréable.
- Sven, mets-moi un second jusqu’à trois doigts. Je commence à aimer ça.
- Ma chérie, je vais m’occuper de ton clitoris, pendant qu’il te doigte, pour te relaxer.
Un violent orgasme anal me terrasse, par la combinaison.
- Tu es une vicieuse cachée, Prudence.
- La prochaine fois, je mets ma queue pour t’enculer.
Plus tard, Sven, laisse mon œillet s’habituer à tes doigts.
Je sais, je suis bien monté. Tu n’auras aucun mal, enculée.
- Oh oui, Prudence, c’est une formalité ensuite.
Après cette première sodomie digitale, j’avoue :
- La prochaine fois, je veux une queue dans mon puits vierge.
- Dis donc, Prudence, tu te montres intéressée, me dit Aimée.
- Allons à la plage, j’ai envie de me baigner et de bronzer.
A la plage, allongée sur la plage, entre deux bains de soleil, cuisses écartées, je sens ma chatte se mouiller. Je fantasme sur l’amant qui m’enculera et me fera jouir.
J’ai hâte de me faire enculer par un vrai mandrin.
Quand j’ouvre les yeux, je découvre mon cousin Brice, un bel étalon un peu plus âgé que moi et son ami James, un britannique homosexuel, bien monté, qui m’a appris à sucer. J’aime regarder ce couple faire l’amour.
- Alors, Prudence, tu es toute pensive, dit Brice, en glissant sa main entre mes cuisses humides.
- Regarde son œillet est encore un peu entrouvert, remarque James.
- Prudence, tu es adepte de la sodomie, réplique Brice.
- Non, pas encore, Sven m’a juste doigté l’œillet. C’est pas désagréable.
Je sens le doigt de James m’enculer et les doigts de Brice s’enfoncer dans ma chatte et me lécher le clitoris. Les yeux fermés, je sens une vague de plaisir m’envahir, sans prêter attention aux voyeurs, qui se masturbent autour de moi.
Prudence, tu prends ton pied, vicieuse, dit Sven.
J’entrouvre les yeux, mon bassin ondule sur ses doigts qui me fouillent. Je ne peux émettre que des râles continus.
- Oh oui, c’est bon. Encore, plus profond. J’ai ma chatte en feu et l’œillet en feu.
- Elle aime ça, ma vicieuse, me susurre Sven, en enfonçant son gros mandrin dans mon anus lubrifié.
Je sens ses testicules contre mes fesses, en me saisissant les cuisses. Je ne peux me retirer et je dois le subir. Des hommes enfoncent leurs mandrins dans ma bouche.
Sven éjacule en moi, puis Brice et James enculent mon anus lubrifié. J’ai un peu mal par leur grosseur, mais je m’ouvre au mieux. D’autres hommes caressent mes seins, mon clitoris pour décupler mon plaisir.
Au total, je suis enculée par une dizaine d’hommes de divers calibres.
Quand j’émerge, je suis à moitié évanouie. Mon anus dégouline, ainsi que ma bouche.
Aimée me rejoint :
- Dis donc, pour une débutante, tu as fait pris. Dix étalons rien pour que toi, ma chérie, tu as joui à plusieurs reprises. Viens te baigner.
De retour au bungalow, j’ai droit à mon lavement anal. Aimée laisse la porte de la salle de bains, pour le plaisir de Sven, Brice et James.
- La vierge anale est déflorée, annonce Sven. Tu seras davantage avec ceci. Aimée enfile-lui dans son œillet.
J’écarte mes fesses. Le bijou d’anus froid me pénètre sur trois centimètres environ, cela lubrifiera l'entrée du rectum et détend l'anus. Aimée appuie la pointe lubrifiée du sur la pastille anale et pousse doucement. En quelques secondes la partie charnue  est avalée. Ne reste visible que la partie décorative qui sert aussi de butée. Après l'introduction, il se resserre sur la tige dont le diamètre est plus ou moins celui d'un petit doigt, ce qui correspond à l'ouverture normale et naturelle de l'anus pour permettre les échanges gazeux. La section qui relie les deux extrémités est très fine et douce afin de laisser l’anus se refermer dessus sans gêne. La tige de la taille de l’auriculaire sert de support lorsque le sphincter se referme.
Il resserre ma chatte encore vierge. Cela détend les sphincters anaux pour apprivoiser le plaisir anal et se familiariser avec cette zone de notre corps qui fait encore un peu peur à certains. Outre un sentiment de grande relaxation, les contractions des muscles anaux provoquent un immense plaisir qui se propage dans tout le bas-ventre.
- C’est froid, ma chérie.
- Tu verras, ce pénis avec des veines et un gland prononcé et en relief est excellent. Tu fantasmes ainsi sur un vrai étalon, comme tout à l’heure sur la plage. Onze centimètres c’est un beau début. Toute nouvelle sodomie sera moins douloureuse en fonction du calibre.
En marchant nue, pieds nus, je ne prête pas même attention à mon bijou d’anus. Je mouille abondamment, mon bassin ondule. Je dois faire une pause, tellement c’est jouissif.
L’après-midi, après avoir retiré quelques instants mon bijou d’anus, je retourne à la plage avec Aimée. Mes amants me complimentent.
Sven nous rejoint et me susurre :
- Prudence, un de mes amis, le Baron Désiré de Saint Mon Plaisir, un proche du sénateur, recherche des jeunes filles de ton âge, pour une soirée. Mets un de tes tailleurs avec jupe pour lui rendre visite, je t’accompagne.
Je choisis un chemisier blanc sur mes seins nus, un string pour cacher mon bijou d’anus et un tailleur avec jupe droite fuchsia et mes escarpins blancs à hauts talons à mes pieds nus. Je me suis fardée et parfumée.
La résidence du Baron se trouve à une demi-heure de route de la plage, sous haute protection. Je suis en admiration devant ses bergers allemands de ses maîtres-chiens.
Nous stationnons dans l’allée.
Les hommes me dévisagent. Je suis jaugée sur mes genoux, mes mains.
- Prudence est là, Monsieur le Baron, annonce Sven, dans le salon.
Le Baron est un bel athlète du double de mon âge. Il est seul.
- Approche que je regarde ton corps. C'est très bien, j'adore la jeunesse. Mes invités aussi. En te prenant vierge, si j'ose dire, je pourrai te dresser à  ma guise. Retire ta jupe.
J’obéis.
- Tu as de jolies jambes et de fines attaches.
- Enlève ton chemisier, je veux voir tes seins.
J’obéis.
- Retire ton string et tu restes velue pour le début. As-tu déjà reçu la fessée ou le martinet ? Alors tu sais ce que signifie l'éducation anglaise ?
Il caresse mes seins, pince mes mamelons entre ses doigts jusqu'à ce qu'il les sente se dresser.
- Je veux de l'ordre, de la discipline et de l'obéissance. Je te dresserai jusqu'à  ce que tu sois parfaite, tu m'as bien comprise ? Tu feras ta toilette à l'eau froide.
Un superbe étalon africain entre avec un grand carton.
Horace, voici la nouvelle soubrette, Prudence, je veux ton avis.
- Belle, élégante, un corps de déesse, rien à dire, sait-elle sucer ?
- Bien sûr, Prudence est une suceuse de choix, dit Sven.
Je n’ose répondre, mais je mouille, en pensant au mandrin d’Horace, bien monté.
Horace me caresse les fesses sans me prévenir et les écarte.
- Baron, elle porte un bijou d’anus. C’est une adepte de la sodomie, annonce Horace.
- Oui, Prudence aime se faire enculer.
Sven n’avoue ma défloration anale récente.
Je mets mon porte-jarretelles et mes bas blancs, comme une experte, sous les regards voyeurs des hommes, même les maîtres-chiens nous ont rejoint.
- Très bien, tu mets ces sandales à plate-formes.
Je gagne quelques centimètres. Ma silhouette est plus élancée, mes chevilles et mes mollets sont tendus, cela me fait des jambes superbes, dans le grand miroir devant moi.
Je dois redresser le buste et creuse les reins. Je fais quelques pas en me déhanchant, sous les compliments.
- Notre soubrette a bien commencé l’essai. Désolé, tu restes seins nus et la chatte libre sous ta robe de soubrette, avec ton corset seins nus, annonce le Baron.
Le corset seins nus, étroitement lacé dans le dos.
- Ainsi, elle se laissera caresser, obéissante et docile, annonce le Baron. Chez moi, les invités ont tous les droits. Des hanches de courtisane, un dos cambré et les fesses en arrière pour les caresses et tes seins tendent même leurs mamelons. Le corset moule son corps, pour en épouser les formes et les mettre en valeur, ses reins cambrés. La robe ultra courte complète ta tenue.
Une fois habillée, sur mesure, dévoilant la lisière de mes bas et juste au ras des fesses nues. Je porte mon tablier blanc et ma coiffe réglementaire.
- Prudence est prête. Horace, écarte les fesses et retire-lui le bijou d’anus pour que je l’encule pour son premier jour. Elle commence dès aujourd’hui. Horace, tu la prends ensuite.
Penchée en avant, cuisses écartées, les mains accrochées à la table, où est assis Sven, je sens le mandrin du Baron m’enculer. Il fait vingt centimètres de long et six de diamètre, le double du bijou d’anus. J’ai un peu mal, mais il me prend jusqu’aux testicules, qui claquent contre mes fesses. Tantôt il écarte mes fesses pour mieux m’enculer, tantôt il pelote mes seins aux mamelons tendus. Je mouille abondamment et je jouis.
- Tu prends ton pied, ma belle.
- Oui, Baron, elle est grosse.
- Tu vas avoir ton puits qui se faire à ma queue, Prudence. Je continue à en forcer le passage. Horace en possède une plus grosse. Je vais jouir, tes va-et-vient me font éjaculer. Tu me sembles excitée. Ton clitoris est tout durci.
Le Baron éjacule et Horace m’enfonce son gros mandrin, qui me trouble. Vingt-six centimètres et huit de diamètre. Je dois m’ouvrir davantage et je gémis.
- Son puits est trop étroit, ou elle se crispe. Détends-toi, Prudence, c’est une formalité.
J’obéis, après quelques fessées.
- Ca y est, son puits est lubrifié.
Je prends le même plaisir qu’avec le Baron que je masturbe d’une main.
- On va devoir lui élargir le puits, Sven. Un bijou d’anus de taille supérieure lui sera mis après Horace.
Je découvre sur une chaise, un double gode réaliste, veinés, avec deux glands en relief, longs de trente centimètres pour m’enculer et vingt pour ma chatte et sept de diamètre.
Après le retrait d’Horace, je dois m’asseoir sur les deux godes, me déflorant. Le Baron le remarque.
- Prudence est vierge de la chatte, excellente soubrette. Horace la baisera tout à l’heure.
La jupe relevée, je reçois une étroite ceinture autour de ma taille, et l'on y accroche les trois chaînettes, une par derrière qui suit le sillon des fesses, et les deux autres par-devant, qui longent le pli des aines en contournant le triangle pubien. Les deux godes sont bien calés. Ils sont ajustés au plus court.
- Ainsi, ton puits sera écartelé, ainsi que ta chatte. Ton puits est ainsi forcé et distendu. Les cadenas t’empêchent de te soulager de cette contrainte.
Debout, mon bassin se met à onduler sur les deux godes. C’est divin. Je me retiens de jouir, en me déhanchant. Je dois faire des pas plus serrés, tout en restant élégante.
- D’ici huit jours, tu es suffisamment élargi du puits et de la chatte, Prudence, me susurre Sven.
- Descends au sous-sol, pour les ordres en cuisine. Va y en douceur, ne tombe pas dans l’escalier, ordonne le Baron. Tu t’appelles désormais Marie Angélique.
Là, je découvre une dizaine d’aides et le chef, un bel étalon.
- Voici, enfin, Prudence, la nouvelle soubrette du Baron, tu es très en charme. Voici le menu pour les invités. Tu montes les plats par l’escalier et ne mets que la vaisselle sale sur le monte-plats.
Le chef, Olaf, me soulève la jupe et caresse mes fesses.
- Tu portes le double Plaisir, réservé aux vierges. Adam t’es réservée, ma belle. Tu dois t’habituer. Toute faute sera sanctionnée en cuisine, ou ailleurs. J’ai hâte de t’enculer, ma belle.
Les yeux baissés, la bouche entrouverte, je n’ose répondre.
Je remonte l’escalier puis je rejoins ma chambre au premier étage. Tous regardent surtout Horace. Je pose franchement le pied sur la marche, le talon très légèrement décollé, pour repartir, sans être déséquilibrée. Ils admirent mes jambes et ma mise en valeur. Je me redresse, la poitrine, les reins cambrés. Je me retiens de jouir, sous les glands qui montent et descendent dans mon anus et ma chatte en feu, encore plus vite de haut en bas, vibrants, par à-coups, s’arrêtent et recommencent et à intensité progressive, soit les deux simultanément soit l’un ou l’autre à différentes vibrations.
Arrivée à l’étage, je fais la connaissance de Diane, une grande blonde plantureuse.
- Enfin, Marie Angélique, j’ai eu des échos de tes ébats anaux. Tu es une sacrée jouisseuse. Tu dois préparer la chambre de Val, un superbe playboy. Regarde les revues, d’amours lesbiens, homosexuels, d’orgies, de modèles de charme en solitaire.
Je suis surprise par la beauté des modèles. Certaines photos m’excitent ainsi que les textes. Je mouille davantage, me voyant faisant l’amour avec les beaux mâles et léchant les belles femmes.
En faisant le lit, je suis prise d’un violent orgasme. On l’entends au rez-de-chaussée et par la fenêtre ouverte.
- Marie Angélique, tu viens de jouir, dit un bel homme qui vient d’entrer, du même âge que le Baron.
- Je te présente le Duc Boris Sacha de Masoch. Il est sourd d’oreille, mais il sait reconnaître une femme qui a un orgasme, par les vibrations.
Le Duc me pelote les seins et me masturbe le clitoris. Je ne peux me retenir, un nouvel orgasme m’irradie.
Sans attendre, Diane me replie les bras dans le dos, me penche en avant, la jupe bien relevée.
Le Duc me susurre :
- Je suis une soubrette jouisseuse, qui doit être punie. Je veux être fessée.
Le Duc me donne cinquante fessées, qui me font mouiller davantage, malgré les va-et-vient variables des godes.
- Duc, elle mouille. Sa chatte ruisselle.
J’ai droit à cinquante nouvelles fessées. Mes fesses sont brûlantes, mon anus est bien lubrifié. Je ressens une certain plaisir.
- Marie Angélique, venez vous occuper des invités. Ils vous attendent.
Je descends l’escalier et j’ouvre la porte.
Vers dix-huit heures, une luxueuse limousine amène les jumeaux de l’art, Eros et Emmanuel, bruns, musclés. Ils me font le baise-main et me caresse mes fesses brûlantes.
Je n’ai pas de répit. Je dois leur amener les verres d’apéritif et les amuse-bouche, sans tomber dans l’escalier.
On sonne.
Je me rends dehors. Les yeux baissés, la bouche entrouverte, je découvre un beau play-boy, un peu plus âgé que moi, le Comte Charles Henri de Vices. Il m’embrasse langoureusement sur la bouche. Je ne peux me refuser.
- Délicieuse, Marie Angélique, une future actrice porno, j’ai hâte de la voir nue avec Adam. Tu mouilles sous les fessées, ma belle.
Puis un homme d’affaires, d’Afrique du Nord, Selim m’embrasse tout en étirant mes mamelons tendus. Je dois me retenir de jouir ou de gémir.
- Marie Angélique sera une excellente soubrette pour mes palais. Doublement ouverte, elle sera offerte à des amants.
Le Baron me susurre :
- Marie Angélique, quels compliments, Sven a fait le bon choix. Je vais te retirer les doubles gode, ton puits et ta chatte vont servir.
Je fais le service, offrant mes seins aux caresses. Tous m’écartent les fesses, doigtent ma chatte et mon anus en feu. Je me retiens de jouir.
Vers vingt heures, après l’apéritif, je range les verres et les mettent sur le pose plat. Je monte l’entrée, des plateaux de fruits de mer. Je dois manger des huîtres, des crevettes enfoncées dans ma chatte, enculée sur Eros, les seins emprisonnés dans des pinces à seins à clochettes, les grandes lèvres de ma chatte sont aussi pincées par des clochettes. Je garde les yeux baissés et me retiens de jouir.
- Les pinces à seins servent à sensibiliser tes seins et tes mamelons ainsi que ta résistance. Tes lèvres humides sont aussi étirées tout comme tes mamelons vers le bas. La clochette en métal fixée par un anneau s'anime au moindre mouvement, émettant un tintement cristallin.
Eros éjacule en moi, je dois porter le bijou d’anus pour ne pas perdre le précieux sperme.
Je retire les assiettes et je suis offerte à une langue canine. Je ne peux résister longtemps sur ma chatte et mon clitoris. Je fais attention à ne rien casser.
- C’est Adam, il t’est destiné. Mets-toi à quatre pattes, avant le plat de résistance, l’anus libre.
Pendant une demi-heure, Adam m’encule jusqu’au nœud. Je connais quatre orgasmes consécutifs anaux jusqu’à l’éjaculation.
- Mais Baron, son sexe est gros.
- C’est normal, dix-sept centimètres de long et cinq de diamètre, au niveau du nœud. Son pénis va grossir. Le nœud grossit beaucoup plus encore et soudainement il s'arrête avec tout son sexe au fond de toi. En même temps, il éjacule son sperme chaud, son pénis compte les pulsations. Le Maître va masturber ton clitoris en même temps.
Vers vingt-une heures, je reprends le service. Je sers un assortiment de légumes : courgettes, carottes, concombre entiers et cuits que je dois enfoncer dans ma chatte, enculée par Selim, le vicieux. Je mange aussi les brochettes de viande frottées sur ma chatte et mon clitoris. Je prends goût à ma mouille mélangée à ceux des légumes et de la viande.
- Adam, t’as donné beaucoup de plaisir, Marie Angélique. Tu es la première à tenir une bonne demi-heure avec lui, me susurre Eros.
Au dessert, ce sont des banana split, avec de la crème chantilly. J’ai droit à une double banane, enfoncée dans ma chatte et mon anus, avant que je les mange. Je ne peux me refuser.
Mes fesses sont brûlantes par les coups de cravache de Maître Donatien, un bel Apollon cagoulé et nu, au gros mandrin. Mes fesses, mes cuisses, le devant et l’arrière, sont zébrés, entre deux tintements de mes clochettes.
Puis à la télévision, je découvre les vidéos de mes ébats sur la plage, avec le Baron, Sven, Horace, le Duc et Diane, que je dois commenter, tandis qu’Adam m’encule à nouveau.
Je prends goût à ses va-et-vient. Pantelante, je dois continuer à commenter.
Vers vingt-trois heures, chacun m’encule, à quatre pattes, me fessant. Adam m’encule encore.

16 juillet
Vers une heure du matin, pantelante, je monte avec Charles Henri, devant lui, toute nue, et mon bijou d’anus.
- Marie Angélique, déhanches-toi davantage, tu me plais.
Arrivés à la chambre, Charles Henri m’allonge sur le ventre, cuisses écartées et me baise, avec mon bijou d’anus. Ma chatte resserrée me conduit au plaisir. La double pénétration éveille toute la zone sexuelle et amplifie les sensations. Mon anus est détendu pour une sodomie plus aisée.
- Ta chatte est bien chaude, ma pute.
Il me caresse les hanches, les seins, faisant tinter les clochettes.
Je relève et écarte mes jambes, pour avaler goulûment son mandrin.
Puis il me retire le bijou d‘anus et m’encule d’une seule traite, m’enserre par les hanches, ses mains autour de mes seins. J’agite ma croupe pour le faire bander davantage.
Tête-bêche, baisée, allongée sur ses jambes, jusqu’aux testicules, je sens mon anus rempli par un sexe. C’est Adam qui m’encule. Cette double pénétration surprise me conduit à un violent orgasme jusqu’au retrait d’Adam.
Charles Henri en profite pour m’enculer. Nous sommes agenouillés sur le lit, je suis enculée jusqu’aux testicules, mon buste contre son dos.
- Ton puits est bien ouvert, ma putain. Adam t’a bien ouvert. Tu mouilles beaucoup.
Il caresse mon sein droit et écarte les lèvres de ma chatte trempée pour qu’Adam me lèche pour me faire jouir. Je connais un violent orgasme, tandis que Charles Henri éjacule en moi. Je le nettoie.
Il est trois heures du matin, quand Hadès, le doberman, vient réclamer sa part.
Son long sexe de trente-deux centimètres et six de diamètre me rempli bien, à quatre pattes. Charles Henri encourage Hadès :
- Encule bien, ta chienne. Elle aime ça.
Enculée jusqu’au nœud, je le subis, décuplant mes orgasmes.
Charles Henri réussit à introduire le sexe d’Adam dans ma chatte, pour une double pénétration canine. Je manque de m’évanouir sous les doubles orgasmes, attachée à eux.
A peine Hadès s’est retiré, que je dois sucer, Charles Henri m’encule et Adam reste à me baiser.
- Tu es une vraie chienne de désir.
- Charles, je suis devenue une vicieuse.
- Le Baron aime les jeunes chiennes vicieuses.
Vers cinq heures du matin, je suis libérée. Je me douche à l’eau froide dans ma chambre, fais un long lavement anal à l’eau froide et m’endors nue, cuisses écartées. Je ne porte plus mes clochettes, mes hanches sont douloureuses.
Adam et Hadès se relaient pendant la nuit, pour m’enculer en missionnaire.
Vers sept heures, j’émerge, réveillée par Hercules, le frère jumeau d’Horace. Je me lave rapidement, me farde, m’habille et porte le double Plaisir, doté d’un sexe moulé sur Adam dans ma chatte et celui d’Hadès pour m’enculer.
J’y prends goût. Je range à la cuisine, la vaisselle d’hier soir, tout en assistant à la préparation du petit déjeuner.
Charles Henri me fait apporter son petit déjeuner au lit. Je le découvre avec Brice, faisant l’amour. Je dois sucer Charles Henri.
- Ma pute Marie Angélique, je suis un authentique homosexuel. Je te fais l’amour hier pour connaître tes qualités sexuelles. Tu as du potentiel d’actrice.
Je me réconforte avec le Baron, que je suce. La journée est ponctuée par de nouvelles saillies, si possible doubles canines, pour que je me sente une chienne.

23 juillet
Vers huit heures, le Baron, en compagnie de Selim et de Charles Henri, m’invitent nue, en sandales, avec mes doubles godes en place, au chenil.
- Marie Angélique, as-tu déjà été enculée par un danois ? me questionne le Baron.
- Non, Baron, je pense que son sexe doit être particulier.
- Il mesure trente-six centimètres, et le nœud d’un diamètre de neuf. Comme tu es bien élargie, ce sera une formalité, dit Selim.
On me retire le double gode. Je suis solidement immobilisée dans cette posture dégradante, le postérieur plus haut que la tête. Mes bras sont fixés le long des pieds avant, mes jambes le long des pieds arrières, et une large sangle m'est passée au niveau de la taille. Mes cuisses, légèrement fléchies sont empêchées de se resserrer par la largeur de la poutre, ainsi d'ailleurs mes fesses que je me peux refermer. Toute mon intimité est ainsi très accessible et on peut me faire tout subir.
Sultan, le dogue allemand m’encule d’une seule traite jusqu’au nœud. Je gémis un peu, mais le plaisir anal l’emporte et je connais quatre orgasmes en une demi-heure.
Puis Lancelot, son frère prend le relais et mes orgasmes anaux sont plus violents.
L’anus béant et dégoulinant de spermes chauds, je suis léchée par Sultan et Lancelot, avant que le Baron, Selim et Charles Henri m’enculent ensuite.
Puis libre, je dois subir une double pénétration canine avec Sultan dans ma chatte et Lancelot qui m’encule. Je perds connaissance.
Mais ils me plaisent.
A mon réveil, j’entends des sabots. Je découvre la séduisante Tatiana, dans un corset seins nus, aux seins plantureux, intégralement épilée, chaussée de bottes avec un sabot comme plate-forme, tenue en laisse par un collier de cuir.
- Marie Angélique, voici Tatiana, ta récompense, c’est une soubrette poney. Elle a interdiction de se déchausser. Ses bottes sont cadenassées. Elle est sous tes ordres, ainsi que soubrette Douce, un beau jeune homme bien monté, brun, en tenue de soubrette et mules à hauts talons, intégralement épilé, aux testicules percés et portant des clochettes aux testicules. Douce sera ton assistant, pour te préparer l’œillet. Il a total interdiction de caresser ton corps, de lécher ta chatte et ton clitoris. Tatiana est contrainte à des saillies anales canines comme toi.
Douce reste les yeux fixés vers moi. Je lui ordonne :
- Tu vas baisser les yeux en ma présence, ma lopette. Viens m’habiller, dans ma chambre. Diane va te surveiller.
L’anus rempli par mon nouveau bijou d’anus, moulé sur l’avant du sexe de Sultan, je monte à ma chambre. Tatiana prépare le petit déjeuner.
Je me douche longuement, tout en observant Douce, qui essaye de se masturber. Je le remarque discrètement.
Après ma douche, je me sèche et je lui cravache longuement les fesses, pour qu’il compte. Il se refuse à compter.
Je lui colle sa langue contre mon anus béant et dégoulinant de spermes canins. Il hésite, car je l’observe dans mon miroir, tout en fardant ma bouche avec un rouge clair, un peu liquide, que j’applique au pinceau, et qui fonce en séchant. Je peins  peignit du même rouge l'aréole et les mamelons constamment tendus, saillants, gros et longs par une mystérieuse crème appliquée pendant huit jours, et les petites lèvres entre mes cuisses, en soulignant la fente du giron. Mon clitoris a subi l’effet de la crème pendant huit jours, devenant gros comme une cerise, saillant et volumineux. Je dois être plus désirable, excitée sexuellement. Je me poudre le visage. Je chausse mes mules à hauts talons, une fois habillée par Douce.
Douce obéit enfin.
J’entends du bruit. Je descends, tenant en laisse Douce, les yeux baissés.
- Marie Angélique, Tatiana a fait tomber ta nouvelle tasse à café, en montant l’escalier, me susurre Horace.
Tenant ma cravache, je cingle pendant cinq minutes les fesses nues de Tatiana, qui compte en russe, mais je recommence. Elle refuse de compter normalement.
Les fesses zébrées, je lui enfonce jusqu’à quatre doigts dans son anus. Elle gémit, mais je lui interdis de se faire jouir.
Puis je lui fais lécher mes doigts. Elle se refuse. Je lui enfonce sa bouche maintenue ouverte par un bâillon O.
Pour me satisfaire, Horace m’encule, séance tenante, devant Tatiana, qui refuse de baisser les yeux, tout en ramassant les débris.
En plein orgasme, j’ordonne :
- Tatiana, tu n’es qu’une chienne désobéissante. Horace, encule-moi à fond. Sultan va s’occuper de ma poney.
Horace éjacule en moi, me remet le bijou d’anus et je le suce devant Douce. Douce doit sucer Horace, tandis que je l’encule avec quatre doigts et griffe ses testicules.
Après cet épisode, pendant une semaine, Tatiana continue à faire son indocile, malgré mes punitions.

30 juillet
A l’aube, je craque. Je vais trouver Tatiana, au chenil, menottée au chevalet, saillie par Sultan.
- Alors ma petite chienne indocile, tu prends ton pied avec Sultan. Je vais te confier aux Haras de Selim pour finir ton dressage.
- Non, s’il vous plait, ma chienne Marie Angélique, je serais obéissante.
Le Baron arrive. Je suis nue avec mes cuissardes et mon bijou d’anus moulé sur le sexe de Sultan.
- Tiens, Tatiana t’a traitée de chienne, ma chérie, quelle honte. Selim va la dresser. Quant à Marie Angélique, je veux te faire découvrir d’autres lieux de la ville.
Je me douche rapidement et j’enfile une nouvelle robe composée d'une jupe éventail, qui se retrousse d'un geste, mais toujours à corselet montant jusque sous les seins, et portée avec un boléro fermé au cou. Il suffit d'enlever le boléro pour que les épaules et les seins soient nus, et sans même enlever le boléro, de l'ouvrir, si l'on désire voir les seins. Je quitte mes tenues de soubrette, mais je garde mes mules à hauts talons à mes pieds nus. Je me coiffe d’une queue-de-cheval, fardée et parfumée.
Sven conduit une décapotable américaine. Horace m’accompagne. Je m’assois cul nu, sur la banquette entre Sven et Horace.
Nous quittons la villa, baptisée « Domaine des Biches », longeons la côte. Je retire mon boléro et je vois mes mamelons fardés tendus à l’extrême.
Nous prenons une ruelle dans un quartier d’immeubles luxueux et certains à l’abandon, au milieu de chantiers.
- Où allons-nous, Sven ? Je suis un peu inquiète.
- Ne t’inquiètes pas, le Baron a choisi les lieux.
Au bout d’une impasse, Sven stoppe la décapotable. Une porte de chantier s’ouvre. Je découvre une vingtaine d’ouvriers nord africain et d’Afrique noire en compagnie du chef de chantier, un bel Apollon musclé oriental.
- Voici, la pute, la chienne du Baron, Prudence, doublement ouverte, la bouche bien dressée, adepte des saillies canines, dit Sven, c’est une vraie professionnelle du sexe.
Les honneurs que Sven fait de mon corps, les réponses du chef de chantier, la brutalité des termes employés, me font honte, mais aussi cela me rend fière.
Sans attendre, je suis prestement déshabillée. Je dois sucer cinq ouvriers nord africains, au milieu d’eux. Je suis aussi fessée.
Nous allons au rez-de-chaussée, où se trouve un matelas par terre et un vigile d’Afrique noire avec un superbe malinois.
- Arès, au pied, tu monteras Prudence après.
Je sais que mes voyeurs vont adorer.
J’enchaîne les doubles pénétrations, les gros mandrins des étalons d’Afrique noire m’enculent, allant jusqu’à mes doubles anales, pour m’ouvrir davantage. Mes orgasmes sont bâillonnés par deux ou trois mandrins dans ma bouche.
Malgré la fatigue, j’enchaîne mes vingt amants et le chef de chantier, Soliman, qui possède un gros mandrin, ma bouche remplie de spermes et mon anus déborde de spermes chauds, que je me retiens d’expulser.
Chacun me fesse, pour m’encourager.
Puis je m’offre à quatre pattes à Arès, tout en suçant mes amants.
Ils me photographient, commentent mes prestations. L’argent passe de main en main.
- 10.000 la sodomie, 5.000 la double, 15.000 la double anale et 30.000 la saillie canine, comme convenu, annonce Horace.
Soliman lui apporte un beau attaché-case.
- Tout y est, on garde la chienne quelques jours, annonce Soliman. J’ai des clients du chantier qui doivent venir.
- Bien sûr, elle sera bien traitée.
Je ne peux refuser.
J’ai droit à une chambre exigu dans une cabane de chantier, où je vis nue, en compagnie d’Arès. Il me saillit quand il en éprouve le désir.
Le midi, je suis nourrie d’une soupe stimulante, qui décuple mon désir sexuel. Je porte aussi mon collier et mes bracelets faits en plusieurs épaisseurs de cuir (chaque épaisseur assez mince, au total pas plus d'un doigt), fermées par un système à déclic, qui fonctionne automatiquement comme un cadenas quand on le ferme et ne pouvait s'ouvrir qu'avec une petite clef. Dans la partie exactement opposée à la fermeture, dans le milieu des épaisseurs de cuir, et n'ayant, presque pas de jeu, il y a un anneau de métal, qui donnait une prise sur le bracelet, si on veut le fixer, car il est trop serré au bras et le collier trop serré au cou, bien qu'il y eût assez de jeu pour ne pas du tout blesser, pour qu'on y peut glisser le moindre lien. On fixe donc ce collier et ces bracelets à mon cou et à mes poignets. Pour le collier, l'anneau pend devant le cou, reposant sur la saillie des clavicules, et brinquebale au rythme des mouvements de celui qui le porte. A la réserve du collier et des bracelets de cuir, que l'eau a durcis quand je suis douchée à l’eau froide, et qui me serrent davantage, je reste nue. J’ai gardé mes mules à hauts talons.
Les ébats reprennent lors des pauses des ouvriers aux divers étages de l’immeuble en chantier. J’y découvre une sculpture faite à mon effigie, nue. Je suis fière d’être la muse du sculpteur. Ce dernier, un bel Adonis un peu plus âgé que moi, m’encule sauvagement, bras tendus, menottée à un crochet que tient une des mains de la statue. Il me fesse et me fait mouiller davantage.
Arès me saillit aussi.
Je découvre des photographies de moi, dans ma chambre, pour m’exciter.
Sans même me masturber, mes mamelons et mon clitoris sont tendus à l’extrême.

1er août
Vers 9 heures, deux limousines entrent sur le chantier.
Je suis en pleine saillie anale canine, la troisième depuis le lever du soleil.
- Bonjour, Soliman, je viens voir la pute du chantier. Il paraît que c’est une sacrée chienne anale, dit un des hommes.
- Vous en aurez pour votre argent, cher Colonel Olaf, elle est d’origine danoise et très docile.
Le Colonel ouvre la porte de ma chambre et me découvre, en plein orgasme avec Arès.
- Très bien, elle prend son pied avec Arès. Il est très bien dressé. En plus, son nœud lui écartèle l’œillet. C’est au-delà de mes espérances.
Le Colonel me masturbe le clitoris, décuplant mon orgasme anal.
Un gros mandrin est enfoncé dans ma bouche et je le suce.
- Major Sacha, la chienne Prudence est une bonne suceuse.
Les autres hommes commentent les mouvements de mes lèvres refermées et resserrées le long du mandrin, ma façon de monter en aspirant, de redescendre en faisant glisser le gland dans le creux de ma joue, la caresse du dessous des testicules de la pointe des doigts, les enveloppe, les sollicite. Je pleure lorsqu’à chaque fois que le mandrin gonflé me frappe jusqu'au fond de la gorge, repoussant la langue et m’arrachant une nausée, mais je guette le plaisir du Major Sacha. Le Major Sacha éjacule dans ma bouche, presque simultanément Arès éjacule à son tour dans mon anus bien lubrifié.
Arès se retire et le Colonel m’encule sur le champ sans attendre.
- Son œillet est très chaud. Elle aime ça, ma chienne Prudence.
- Oui, j’aime votre queue dans mon puits, dis-je.
- Je t’entendre jouir, ma chienne. Major Van Sexos, qu’elle vous fasse jouir avec sa bouche dressée.
Le gros mandrin a du mal à remplir ma bouche.
Je fais de mon mieux.
Un orgasme anal violent me terrasse, mais le Colonel continue jusqu’à l’éjaculation.
Le Major Van Sexos m’encule ensuite et ma bouche est remplie par un long mandrin d’un homme d’affaires d’Afrique Noire, surnommé Bite du Vice. Je dois tout avaler. Mais encore un peu dur, l’homme d’affaire m’encule aussi. Je nettoie les autres. Mes fesses sont zébrées par la chicotte, fait en deux parties, d'une part un manche en bois verni et de l'autre une tresse en cuir noir, reliés ensemble par une boucle qui forme charnière, de telle sorte que, quand on l'utilise avec habilité, le coup de poignet sur le manche donne encore plus de vitesse à la tresse en cuir. Et Bite du Vice manie parfaitement la chicotte.
- Elle aime être fouettée, la chienne.
Bite du Vice éjacule une seconde fois dans mon anus.
Pantelante, l’anus dégoulinant, je suis conduite, nue et en mules, en sueur, dans le premier sous-sol de l’immeuble, les futurs parkings.
Les hommes me suspendent les bras en l’air à un crochet, sur la pointe des pieds nus, déchaussée, avec une barre d’écartement et me fouettent à la cravache, à la garcette (de cordes assez fines, faite de sept lanières terminées chacune par plusieurs nœuds, et qui toutes raides, trempées dans l'eau, dont on caresse l’intérieur de mes cuisses zébrées, les cordes sont humides et froides contre la peau tiède de mes cuisses) et à la chicotte. Je dois compter les coups à chaque fois.
Entre deux séries, les hommes m’enculent sauvagement et me fessent.
Je perds la notion du temps, dans la pénombre, les yeux bandés et un bâillon O dans ma bouche. Ce bâillon garde ma bouche ouverte, outre le côté humiliant, la bouche de la soumise est ainsi disponible pour le plaisir de mon Maître. Le O est assez large pour faire passer la queue du Maître ou tout ce qu’il voudra mettre dans ma bouche. Humiliée, je me dépasse.

3 août
Après deux jours dans le parking souterrain, à la nuit tombée, je suis sortie, nue et en mules, les mains dans le dos. Six voitures, les phares allumés, sur le parking du chantier, m’éclairent et m’éblouissent. Je porte mon bijou d’anus moulé sur le sexe de Sultan.
J’entends des compliments en arabe, en russe et en chinois.
Je parade devant les phares.
Chaque voiture embarque quatre hommes, soit vingt-quatre à satisfaire.
Puis les hommes sortent des hommes et je dois les sucer, accroupie, cuisses écartées, par des groupes. Ils font bien durs, ils m’enculent sauvagement, me fessent et je dois continuer à sucer. Ils éjaculent sur mes fesses brûlantes et mon anus. Malgré la fatigue, je continue, nourrie d’une soupe revigorante, entre deux pauses.
Après deux heures, on me fait mettre le buste sur le capot d’une des voitures.
Je ne prête pas attention au brasero.
On me tend les bras en avant, solidement maintenue par les poignets et mon bâillon O en bouche.
On enfonce dans la chair de mes reins les deux fers rouges à la fois, ni quelle voix a compté lentement, jusqu'à cinq, en arabe, ni sur le geste de qui ils ont été retirés.
Quand on me détache, je suis portée sous les bras et aux jarrets, m'emporte dans le coffre d‘une des voitures.

4 août
Au lever du soleil, j’émerge dans une luxueuse chambre à l’étage, entièrement recouverte de glaces et de miroirs sur les murs et au plafond, avec une verrière rétractable. Je suis menottée au lit, nue, pieds nus, attachée en croix sur le lit, bras et jambes écartés. La chambre donne accès à une luxueuse douche carrelée avec des glaces et des miroirs sur les murs et au plafond. J’ai du mal à émerger, sous l’effet d’un puissant somnifère. Une ceinture avec une partie qui enserre la taille, l’autre est une sorte de plaque souvent triangulaire qui passe entre les jambes, et comprend de petits orifices pour permettre les fonctions naturelles, mais ceux-ci ne permettent pas d’y glisser un doigt. Je peux me doucher et me baigner avec, l'usage du bidet est aussi conseillé. C’est une bande de taille attachée à une protection d'entrejambe qui est maintenue verrouillée au centre de la taille. Fabriquée en acier inoxydable d'environ trois centimètres de large, la ceinture de chasteté est suffisamment flexible pour s'ouvrir et se refermer sans nécessiter de charnière. Il en résulte ainsi une apparence très plate. Le système de verrouillage maintient solidement la protection d'entrejambe et la bande de taille en un joint lisse, la protection d'entrejambe est ainsi maintenue verticalement sans possibilité de pivotement latéral. La protection d'entrejambe est incurvée afin de recouvrir la région génitale pour s'arrêter près de l'anus, où elle se termine par deux chaînes de section plate en acier chromé. Les lèvres de ma chatte épilée dépassent au travers d'une fine fente longitudinale, arrêtant toute pénétration, longue de sept centimètres et un centimètre de large. La ceinture de chasteté est totalement efficace pour empêcher tout rapport sexuel. Ainsi je peux uriner. La ceinture comporte un orifice anal pour que la femme soumise puisse aller aux toilettes. Il est également possible d’utiliser l’orifice anal pour insérer des boules de geisha ou des bijoux d’anus dans mon anus, ou encore pour m’enculer avec un gode ou un pénis. La ceinture est réalisée en inox brossé très esthétique, très solide et simultanément très souple. Les bords de la ceinture sont recouverts d’un rembourrage en caoutchouc moelleux pour assurer un confort de port à la femme soumise : la ceinture peut ainsi être conservée pendant la journée.
Horace me rejoint et m’annonce :
- Bienvenue au Anagozhan, de l’Emir Ahmed Ben Khan, tu es sa protégée pendant quelques jours. Tu es désormais considérée comme une (pute) alkaliba, (putain) eahira, (suceuse) 'iiblah, (vicieuse) sharir et (dragueuse) hifara, au service de l’Emir. Je vais te nourrir et te faire boire. Tu es seule locataire du riad « Mille et Un Vices ». Je te libère tout à l’heure pour ta douche.
Horace, comment je suis arrivée ici.
Pas un mot, tu ne dois, ni regarder un homme au visage, ni lui parler. Tu ne le dois pas davantage à moi, mais te taire, et obéir. Tu n'ouvres désormais ici la bouche, en présence d'un homme, que pour crier ou sucer.
Horace m’enfonce son mandrin en bouche et je le suce, tout en étant observée par des caméras et des appareils photographiques discrets. En fond sonore, j’entends les appels à la prière mêlés à mes râles de plaisir.
Je suis nourrie de produits africains et orientaux.
Une fois libérée, je découvre sur mes reins, imprimé au fer rouge, hautes de trois doigts et larges de moitié leur hauteur, sont creusées dans la chair comme par une gouge, à près d'un centimètre de profondeur, en caractères arabes A E S H A.M pour Angélique Marie. Je suis surprise par ma chatte épilée.
Je me douche longuement à l’eau froide, pour me relaxer. La ceinture de chasteté est humiliante, j’ai honte et je suis fière de porter en permanence cette ceinture de chasteté. Je suis fière de l'attention que me porte l’Emir et du fait qu'il veuille qu'elle soit pour lui seul. Je suis dépendante et humiliée. Je suis le trésor, la favorite de mon seigneur et maître. Libre de la ceinture de chasteté, j’éprouverai pour l’Emir une grande reconnaissance et une grande jouissance.
Le lieu est isolé par de hauts murs neutres et austères, avec un minimum d'ouvertures pour protéger de la chaleur et du bruit de la rue. Situés le plus souvent dans une médina, ils comportent en général un seul étage du fait de contraintes administratives. Il y a un patio - salon et- salle à manger central, comme base d'une structure architecturale en forme de puits étagé en balcons tournés sur l’intérieur. Le patio naturellement frais et climatisé est inspiré des oasis, du jardin islamique et du jardin persan, planté d'arbres, de plantes ornementales et doté de bassins et fontaines rafraîchissants. Les salons et la salle à manger ouverts sont tournés vers le patio et permettent de profiter de sa fraîcheur. La cuisine est également au rez-de-chaussée. Le sol est marbré, il est froid sous mes pieds nus. Chaque miroir reflète l’image de mon corps nu, pieds nus, mon collier et mes bracelets de cuir, et je suis seule, n'ayant que moi-même pour spectatrice. Je n’ose me caresser. Quand je me  baisse, je vois mes seins bouger doucement.
Un téléviseur diffuse en continu des films X hétérosexuels, lesbiens, homosexuels, bisexuels, zoophiles, pour que je reste excitée. Des godes de divers calibres sont disposés dans les pièces pour mon plaisir, certains sont des godes canins.
Je suis nourrie par des mains invisibles qui me tendent les plats par un guichet. Je mange avec les doigts.
L’après-midi, après une courte sieste, une femme entièrement voilée, ne laissant apparaître les yeux, me rejoint et me dit :
- Jambon (pour HAM, comme marqué sur mes reins), je vais te laver, te farder et te faire belle. Ahmed souhaite te faire l’amour dès cet après-midi. Il veut que tu lui donnes des héritiers.
Une fois, propre, fardée et parfumée, un homme cagoulé me libère de la ceinture de chasteté. Il me menotte à mon lit et me baise en levrette rapidement pour finir par éjaculer dedans. Il prend soin de m’exciter longuement, toujours menottée, cuisses écartées. Je le suce, menottée. Il m’encule ensuite en levrette, me fessant magistralement, je me retiens de jouir, selon ses envies. Puis il me baise à nouveau en levrette et éjacule en moi jusqu’au deuxième orgasme puis un troisième orgasme sous une nouvelle baise avec une nouvelle éjaculation. Je suis allongée sur le dos, mes mollets sur les épaules de l’Emir, l’Emir est agenouillé, caressant mes mollets, mes cuisses et mes chevilles.
L’Emir disparaît comme la femme voilée. Je me retrouve seule, menottée à mon lit. Mes hanches sont douloureuses à cause des deux fabuleux orgasmes produits en quelques heures.
Chaque jour, l’Emir me baise avec vigueur. Sultan m’encule plusieurs fois par jour, pour que je connaisse mes orgasmes anaux de plus en plus violents.
Une fois par semaine, menottée à un fauteuil gynécologique avec les supports pour les jambes sur lesquels je pose mes mollets immobilisés. Je sens les lèvres de ma chatte qui s'entrouvrent toutes seules. Mes cuisses sont écartées au maximum et mon bassin soit à la hauteur du visage du gynécologue européen. Il masturbe mon gros clitoris, tout en enfonçant un spéculum dans ma chatte pour voir la progression du sperme. Il fait aller et venir le spéculum, je mouille abondamment.
Il retire le spéculum et m’encule à sec jusqu’à l’orgasme anal et éjacule dans ma bouche.

13 août
L’échographie révèle que je ne suis pas enceinte. Mais l’Emir pense qu’il me faut de l’excitation sexuelle. Des dizaines d’hommes cagoulés m’enculent chaque jour, me fessent, me fouettent. Je ne peux rien refuser.
Les baises continuent.

20 août
Le gynécologue annonce que je ne peux être féconde.
Je retourne au chantier, avec ma ceinture de chasteté et mon collier et mes bracelets, ma robe à corselet et mon boléro et mes mules à très hauts talons, coiffée d’une queue-de-cheval, fardée et parfumée.
Le Colonel Olaf est là et il me tend une enveloppe. Je l’ouvre, c’est un numéro de compte bancaire à l’étranger.
- Chienne Prudence, tes exploits chez l’Emir ont fait augmenter ta quote-part pour tes services.
- Je peux revoir le Baron et les autres amis du Baron.
- Non, tu es destinée à « Sir James de Val Mont Plaisir », un riche propriétaire de plusieurs haras produisant les meilleurs étalons du monde entier. Sven et Horace vont te conduire à son yacht, ancré à une demi-heure du port.
Le Colonel Olaf caresse mes reins.
- On sent bien tes marques au fer rouge, chienne Prudence.
- J’en suis fière. Je suis sûre qu’Aimée les verra un jour.
- Aimée sera non loin de toi, chienne Prudence. Elle pense à toi.
Je monte à bord de la décapotable et nous quittons la ruelle pour rejoindre le port. J’ai retiré mon boléro. Horace caresse mes seins. J’ai remis mon bijou d’anus moulé sur le sexe de Sultan.
Au port, un bateau ponté m’attend. Je me déchausse et je reste debout, à l’arrière, les seins au vent, la jupe relevée sur ma ceinture de chasteté. L'air sur mes mamelons et mon clitoris me provoquent une excitation énorme. Mes mamelons pointent au maximum tout le temps, vingt-quatre heures sur vingt-quatre et de même pour mon clitoris. Je me retiens de jouir, tellement ils sont hypersensibles. Je suis frustrée et j’ai un peu par mes mamelons et mon clitoris constamment tendus.
A mi-chemin, un des hommes qui se trouvent sur le bateau, me penche en avant, je me tiens à la rambarde et me retire le bijou d’anus que je lèche. Il m’encule sauvagement et je dois retarder mon clitoris. Puis les autres hommes se relaient, mon anus est bien lubrifié, quand le bijou d’anus est remis en place.
Enfin, je découvre le yacht « Océane Saphir ». Le bateau ponté entre sous le pont.
On m’aide à descendre. Je tiens mes mules en main.
Sir James m’accueille au pont rez-de-chaussée. Il est âgé du triple de mon âge, bel Apollon musclé.
- Voici, la fameuse et sublime chienne Prudence, de l’Emir Ahmed, tu es encore plus désirable que sur tes vidéos et tes photos que je possède. Mes hommes t’ont enculée et tu aimes ça, la vicieuse.
- Oui, Sir, je suis une vicieuse, une chienne anale à votre service, réponds-je, les yeux baissés.
- Tu me plais. Tu as du potentiel, le chantier et le séjour chez l’Emir ne sont que des étapes dans ton dressage de chienne. Ne me déçois pas, sinon je te punis sévèrement.
Il me retire ma ceinture de chasteté et vérifie ma chatte humide, mon clitoris tendu à l’extrême entre ses doigts experts.
- Tu mouilles, ma chienne. Je vais te conduire à ta chambre.
Le sol de la chambre est recouvert d’épais tapis sur le carrelage en coton, sans aucun rideau, une penderie avec mes tenues de soumise. La chambre est entièrement recouverte de glaces et de miroirs sur les murs et au plafond comme dans la salle de bains aménagée avec une baignoire transparente.
- Sache qu’un jour, ton écrin sera percé pour recevoir des anneaux de fer. Quiconque relève ta jupe voit immédiatement tes anneaux à ton écrin, et si on le retourne, ton chiffre sur tes fesses, marqué au fer comme tes reins.
Je me déshabille, retire mon bijou d’anus. Sans attendre, le gros mandrin de Sir James, trente-six centimètres de long et huit de diamètre, me fais un peu gémir, mais j’aime ça, être bien remplie.
Je suis dos à Sir James, cuisses écartées, soutenue par ses bras. Je coulisse sur son gros mandrin jusqu’aux testicules.
Puis un second mandrin me baise, c’est Aimée, équipée d’un gode-ceinture de gros calibre.
Je connais un double orgasme, l’anus largement inondé du sperme de Sir James.
J’embrasse langoureusement Aimée.
- Tu m’as manquée, Aimée.
- On dirait que tu aimes te faire enculée, ma chérie.
- Oh oui, les saillies canines anales ont décuplé mon plaisir. Je suis une chienne soumise.
Après une douche rapide à l’eau froide, avec mon bijou d’anus remis en place, nue et en mules, avec mes carcans de cuir, Sir James me présente à l’équipage : le capitaine et le second, Yannis et Luigi, deux authentiques homosexuels bien montés, Omar, le cuisinier hétérosexuel, bien monté, Hassan, le majordome bisexuel et Jasmine, la femme de chambre, un homme travesti en soubrette, avec juste un tablier et des clochettes suspendues aux testicules, en mules à très hauts talons.
Jasmine porte un double hafada sur les testicules, le frein est percé et cadenassé, pour éviter toute relation sexuelle, mais il peut être en érection.
- Vois-tu, le choix est vaste. Avant de rejoindre le port de mon haras privé, à une journée de navigation, deux Danois vont te saillir, sur le pont supérieur, menottée à un chevalet.
Les deux Danois prénommés Arès et Hannibal m’enculent à tour de rôle, jusqu’au nœud, je ne compte plus mes orgasmes anaux de plus en plus violents, les suçant à tour de rôle et Sir James me contraint à une double pénétration par Arès et Hannibal, je perds connaissance.
Pantelante, je me fais enculer par l’équipage, suçant juste Jasmine.
Je reste de longues heures, menottée sur le chevalet, sous le soleil, enduite de crème solaire par Aimée. Je bois beaucoup et je me soulage.
Sir James est fière de moi, sa nouvelle chienne. Hassan me perce mes grandes lèvres de ma chatte, pour la pose future des fers. Ce sont des anneaux de fer mat inoxydable. La tige en est ronde, épaisse comme un gros crayon de couleur, et ils sont oblongs : les maillons des grosses chaînes sont semblables. Chacun est formé de deux U qui s'emboîtent l'un dans l'autre. Le modèle définitif comporte un ressort intérieur sur lequel on doit forcer pour le faire pénétrer dans la rainure où il se bloque. Une fois posé, il est impossible de l'ôter. Chaque anneau est long comme deux phalanges du petit doigt, qu'on y peut glisser. A chacun est suspendu, comme un nouveau maillon, ou comme au support d'une boucle d'oreille un anneau qui doit être dans le même plan que l'oreille et la prolonger, un disque de même métal aussi large que l'anneau est long. Un des anneaux à ma grande lèvre gauche porte les initiales en caractères arabes A E S H A.M et sur l’autre, les noms du Baron, de l’Emir et de Sir James, mes maîtres et au-dessous, un fouet et une cravache entrecroisés.
Les anneaux d’essais sont si léger, creux, le dur métal, entre dans la chair. Les fers me descendent jusqu'au tiers de la cuisse, et à chacun de mes pas bougent entre mes jambes comme un battant de cloche, le disque gravé étant plus lourd et plus long que l'anneau auquel il pend.
Avant le coucher du soleil, les saillies reprennent, puis Sir James m’encule et le reste de l’équipage.
Je ne trouve le sommeil, menottée à mon lit, nue, bras et jambes écartées, allongée sur le ventre, présentant mes fesses zébrées par les coups de cravache, de garcette et de chicotte. Arès et Hannibal m’enculent à plusieurs reprises, sans que je demande mon reste. L’intérieur de mes cuisses n’est pas épargné.
Aimée m’enduit bien l’anus de miel et me fait boire un stimulant sexuel dans un jus de fruit.
Sir James m’encule sauvagement dans la nuit et éjacule sur mes fesses zébrées.

21 août
A l’aube, le yacht entre dans le port privé, sous bonne garde, avec des hommes à cheval, des maîtres-chiens.
Je descends nue, tenue en laisse par mon collier, les yeux baissés, en mules, les mains menottées dans le dos, avec mon bijou d’anus Sultan. Je rejoins le haras, par un passage souterrain. Les hommes caressent mon corps. Je semble leur plaire.
Le haras abrite une vingtaine d'étalons sélectionnés spécialement pour leur vigueur sexuelle. Il y a aussi un chenil avec des chiens de grande stature, musclés et corpulents, dont le nœud était redoutable pour les anus. La grande écurie, où vingt étalons sont divisés en deux rangées, une sur chaque mur. Là encore un dispositif spécial est disposé sous leur ventre et une jeune femme attend, courbée en deux et entravées chevilles et poignets, l'instant de la saillie anale. Une jeune fille est chargée de faire entrer le sexe équin dans le rectum puis de le masturber jusqu'à l'éjaculation. Pendant la phase de sodomie forcée, les gardes du Prince en profitaient pour baiser les bouches des jeunes femmes, maintenues ouvertes par des écarteurs buccaux et ils y déversent généralement leur semence.
Sir James me libère l’anus et m’enfonce jusqu’à quatre doigts. Je me retiens de jouir. Je suis menottée sous un superbe trotteur français, Alizé de Hauts Plaisirs. Je suce un autre trotteur français, Eclair des Haies, je réussis à  faire rentrer le gland monstrueux et commence à  sucer le cheval. Celui-ci, sous les caresses labiales, entre en érection et je continue cependant sa fellation et le cheval éjacule. En même temps, Sir James positionnant le gland du membre devenu moins dur sur ma rondelle, mon sphincter cède. J’hurle de douleur, la bouche remplie par un des maîtres-chiens. Je m’empale millimètre par millimètre jusqu’à trente centimètres de bite de cheval car j’aime me faire enculer profondément! Je commence à m'agiter doucement puis, mon anus se dilatant, accélère le mouvement mais s'arrête net, car il rebande. Mon anus est tendu à la limite de la déchirure. Je reprend mes mouvements. Je suce d’autres maîtres-chiens, tandis que Alizé éjacule en moi jusqu’à l’orgasme anal. Sir James retire le sexe débandé de mon anus rougi complètement distendu et boursouflé ce qui libère un flot de sperme.
Bien sûr, Eclair des Haies m’encule dans la foulée, ainsi qu’un cheval de selle français, Mistral des Vices. Je suis épuisée, pantelante et heureuse de ces saillies anales équines. J’en subis plusieurs fois pendant la journée, entre deux saillies anales canines de dogues allemands, pour que je garde mon anus bien béant pour mes amants équins.

25 août
Au lever du soleil, je suis enculée par Eclair des Haies, au manège. Je suis sanglée, les jambes de part et d’autre du corps du cheval, les cuisses complètement ouvertes, pour une saillie anale plus profonde. Je suis collée étroitement sous lui. Un système me fait coulisser sur le sexe en érection, multipliant les éjaculations. Je ne compte mes orgasmes anaux avec mes amants.
Des enchères sont organisées sur le temps et le nombre d’amants de ma journée, je touche ma quote-part.
Sir James me baise chaque soir.

30 août
A l’aube, menottée à mon lit, cuisses écartées, je n’ai plus mes règles ; mon ventre augmente petit à petit de volume après quelques semaines, quelques mois. Je suis tombée enceinte.
L’Emir vient me baiser tous les soirs. Je porte mes fers définitifs avec un ressort intérieur sur lequel on doit forcer pour le faire pénétrer dans la rainure où il se bloque.

Malgré son état de grossesse, après quelques mois, Je reste superbe et désirable : mes jambes et mes hanches ont gardé leur finesse première. Il n'y a que mon ventre et mes seins qui augmentent de volume. Je subis un régime draconien et du sport tous les matins garde un corps ferme et désirable.

Je donne naissance à deux jumeaux : un garçon et une fille. Je reste aux Haras, pour éduquer de nouvelles vierges soumises.
Mes amants masculins aiment m’enculer, mon anus distendu, élargi, est redevenu tonique, redevenu tout à fait normal, tel un poinçon strié de rose, très serré, mais il peut s'ouvrir tout grand pour me faire enculer. Je suis totalement épilée et je ne porte qu’occasionnellement mes carcans de cuir.

Bisous de votre fidèle soumise Prudence depuis le Haras des Mille et Uns Vices.

samedi 1 juin 2019

PENELOPE LA VICIEUSE


Je m’appelle Pénélope.
J’ai 18 ans.
Je suis une jolie beauté scandinave.
Je suis une brune aux yeux verts. J’ai des pieds fins et latins, des jambes longues bronzées, musclées qui inquiètent par leur perfection. Mon pénil est bombé, ouvert, couronné de noir. Ma pilosité brune couvre mon pubis. Ma chatte est velue et j’ai une superbe croupe. Les lèvres de mon sexe sont une plaie rouge entre mon entrecuisse. Mes hanches s'incurvent et délimitent le ventre plat, délicieusement renflé autour du nombril, les hanches sont larges et rondes, mais sans lourdeur. La taille est affinée. Les seins parfaits intégralement bronzés sont un peu volumineux mais fermes, et leurs pointes marron clair, toujours dressées, cernées par une large aréole marron attirent le regard. J’ai une peau lisse et patine. Finition parfaite, un seul grain de beauté entre mes superbes seins. De longs cheveux plats blonds flottant comme des algues, battent mes épaules rondes et gracieusement athlétiques. Je suis intégralement bronzée. Mes yeux verts limpides s'allument, ma bouche charnue se fend. J’ai des sourcils bruns bien dessinés et des lèvres pulpeuses. J’ai de longs doigts fins et de belles mains. Je fais du 90B de poitrine, 56 de taille, 90 de hanches, 1,72 m.

PENELOPE LA VICIEUSE



15 juillet

Depuis l’âge de mes 16 ans, je suis employée comme stagiaire, dans une boutique de lingerie. J’aime beaucoup les variantes un porte-jarretelles, des bas, une culotte ou un string ; mais je n’ai jamais pensé à me mettre sans culotte avec mon porte-jarretelles, des bas, sans culotte.
Je sais que je mouille rapidement par l’excitation quand je vois un bel étalon musclé, pensant à son mandrin bien gros. Je suis encore vierge, malgré mes ébats lesbiens avec mes collègues de la boutique. Je jouis sous leurs langues, lors de nos 69 torrides. Je jouis souvent la première.
Je n’ai jamais pensé à offrir mon anus à mes collègues.
Quand je suis chez moi, je fantasme sur mes amants, en me godant trop profondément la chatte, tout en masturbant mon clitoris tendu tout comme mes mamelons, dans des poses pornographiques devant mon miroir. Je savoure ma mouille. Je me cambre, prosternée, cuisses écartées, les yeux clos.
Je sais que j’attire les hommes, mais je n’accepte que leurs caresses de mes seins, le plus souvent, nus et libres, ou sous ma culotte ou mon string, pour dénicher ma chatte et mon clitoris, pour jouir.
Cet après-midi, je reçois la visite de deux clientes : une brune aux petits seins, en robe estivale, noire, en escarpins noirs et une blonde aux seins plantureux, en tailleur blanc et sandales blanches à hauts talons.
Je suis vêtue d’une robe fuchsia, au décolleté en V, sur mes seins nus, ample, jusqu’à mi-cuisses, sur ma culotte blanche et des mules blanches à petits talons, maquillée et parfumée. Le directeur, Alban, qui a le double de mon âge, m’observe, depuis l’arrière-boutique.
Aimée, la brune me questionne sur des dessous. Je lui montre la dernière collection, pour des ensembles soutien-gorge, string et porte-jarretelles, sobres et pigeonnants.
Val, la blonde, me questionne :
- Mademoiselle, je recherche des dessous transparents, mettant en valeur mon corps.
Je lui présente les divers modèles, qu’elle essaie.
Lors des essayages, je suis subjuguée par la beauté d’Aimée, qui est intégralement épilée, avec le clitoris percé d’un anneau doré, ainsi que ses grandes lèvres. Elle me susurre :
- Je suis une soumise. Mon Maître aime que je ne porte ni culotte ni string, mais m’autorise des soutien-gorges. Vous avez de superbes petits seins.
- Merci, je ne suis pas soumise, mais je rêve de connaître des amants.
Aimée me paye ses achats. Quand je découvre Val, dans ses dessous transparents, je suis surprise.
- Mais, vous avez une queue.
- Bien sûr, je suis disons un transsexuel et non un travesti. Tu veux la sucer.
Alban me pousse vers Val et accroupie, cuisses écartées, je dégage le gros mandrin, long de trente centimètres et huit de diamètre. Je montre mon talent de suceuse, sur ce vrai mandrin, me rappelant les godes que je suce avec mes collègues.
Val éjacule dans ma bouche.
 - Avalez, tout. Vous êtes une experte.
J’obéis.
- J’ai hâte de connaître votre écrin et votre œillet.
Rhabillée, Val me remet une carte de visite.
Je suis toute émue, par le baiser langoureux de Val, qui glisse sa main dans ma culotte, pour caresser mon clitoris tendu, d’excitation. Mes mamelons sont tendus sous mon décolleté.
A la fermeture, Alban m’annonce :
- Prenez votre journée demain. Votre collègue vous remplace.
De retour à mon appartement, je reste nue, après ma longue douche masturbatoire, fantasmant sur le mandrin de Val.
Mon téléphone sonne.
Je décroche :
- Pénélope, c’est Iris, l’amie de Val, venez demain nous voir à notre adresse. Nous avons hâte de vous connaître.
Je passe la soirée, à me goder la chatte, me faisant jouir, jusqu’à de multiples orgasmes violents.

16 juillet
Après mon déjeuner et ma douche, je choisis un tee-shirt blanc sur mes seins nus et une jupe ample fuchsia, en ne mettant pas de culotte ni de string, mes sandales blanches à hauts talons de dix centimètres, aux ongles des pieds vernis en rouge, maquillée, parfumée, coiffée d’une queue-de-cheval. J’ai envie de connaître la sensation d’avoir aussi les seins nus et libres, me met dans un état d’excitation. C’est peut-être l’idée de transgresser un interdit ou au moins une convenance non dite par la société bien pensante.
Arrivée à l’adresse indiquée à une demi-heure de marche, je croise un premier couple de transsexuels brésiliens, Diane et Désiré, puis un couple lesbien Jasmine et Hermine et enfin, au cinquième étage, sans ascenseur, je découvre Iris, une superbe brune aux petits seins, un transsexuel et Emmanuel, une blonde aux seins plantureux. Elles sont nus, leurs mandrins sont impressionnants : Iris, trente-quatre centimètres et huit de diamètre et Emmanuel, vingt-sept centimètres et six de diamètre.
Nue, je les suce à tour de rôle.
Dans l’excitation, Iris me caresse la chatte, toute trempée et mon clitoris tendu.
- Tu es vraiment mouillée, ma chérie, c’est vraiment signe que tu as bien joui, j’adore quand tu es comme ça. Tes lèvres intimes légèrement humides et écartées par ta provocation. Puis ton oeillet, parce qu’à quatre pattes, on ne peut pas rater le spectacle.
Emmanuel m’écarte les lèvres de ma chatte.
Val s’occupe de mon anus.
- Même ton oeillet est imbibé de mouille, lui aussi doit avoir besoin de câlins.
Emmanuel plonge un doigt dans ma chatte et Val lubrifie mon anus avec ma mouille, pour me préparer.
- Mais je ne l’ai jamais fait, alors j’ai un peu peur d’avoir mal.
- Ne t’affole pas, je vais faire doucement, si tu as trop mal, tu le dis et j’arrête.
- Ok, vas-y doucement !
J’ai droit ensuite aux deux doigts de Val, Emmanuel enfonce son mandrin dans ma chatte et me fait me coucher sur lui, pour mieux offrir mes fesses.
Iris me fait sucer son mandrin.
- Quand je commence à pénétrer ton oeillet, tu pousses, tu comprends ?
Je commence à me sentir écartelée.
- Ça y’est, j’ai entré entièrement le bout, tu es dilatée au maximum. J’arrête un moment pour que ton corps s’habitue.
Prise en double pénétration, Emmanuel est couché sur le dos, je m’empale sur son mandrin dans ma chatte trempée et Val m’encule simultanément, appuie ses jambes ouvertes sur les miennes et ses bras dans le dos.
Puis Val se trouve sur le dos et je m’empale enculée, toujours avec les jambes ouvertes pour permettre la double pénétration. Emmanuel me baise.
Emmanuel me prend dans ses bras, je l'entoure avec mes jambes et se laisse pénétrer baiser et Val m’encule, soutenant également une partie de mon poids.
Je connais une double défloration, profondément enculée, Val caresse mon clitoris tendu. Val démarre de lents et courts allers et retours dans mon anus. Bientôt, je discerne la montée du plaisir qui revient, lentement, malgré une persistante impression de tiraillement de mes chairs les plus intimes.
Ses va-et-vient entre mes fesses deviennent plus amples, la jouissance qui monte a tout effacé. Je commence à onduler en même temps que mon chéri s’agite en moi, je m’empale toute seule. Les va-et-vient dans ma chatte sont cadencés avec ceux qui m’enculent. Lentement, il accélère le rythme, tandis que je m’entends geindre. Je connais un double orgasme, Val éjacule et Iris prend le relais. Mais cette fois, je suis empalée sur Iris, dos à Iris, la chatte honorée par Emmanuel, jusqu’à un nouvel double orgasme.
- Maintenant, tu peux m’appeler « ma petite enculée ! »
Bien sûr, Emmanuel m’encule en solo, à quatre pattes.
Mes râles de plaisir ont provoqué la venue des jumeaux homosexuels, Adonis et Eros, aux gros mandrins, trente-cinq centimètres et huit de diamètre.
Ils s’enculent mutuellement et je dois les sucer, tout en étant enculée par Emmanuel.
Je suis subjuguée par les ébats homosexuels. Bien Adonis souhaite aussi m’enculer, tout en étant enculé par Eros.
Je ne peux refuser l’offre.
Cela m’excite davantage. Val me baise en même temps, cuisses grandes ouvertes, Val me saisit par les chevilles.
Ces sodomies m’ont mises dans un état d’excitation, moi, la vierge. Je mouille de plus en plus, mon clitoris et mes mamelons sont tendus à l’extrême.
J’en profite pour prendre une douche masturbatoire avec Val. Il me met un bijou d’anus pour que je conserve le sperme de mes amants. Il est en aluminium brillant orné par un magnifique cristal rose à son sommet : c’est ce cristal rose qui est visible entre les fesses une fois qu’il est introduit dans l’anus. Il est très doux et très petit, je connais une délicieuse excitation anale permanente et mesure six centimètres de long et trois de diamètre, pour un poids 34 grammes. Il a une forme en sapin et sa large base me garantissent un excellent maintien dans l’anus. La section qui relie les deux extrémités est très fine et douce afin de laisser l’anus se refermer dessus sans gêne. La tige de la taille de l’auriculaire sert de support lorsque le sphincter se referme.
- Ainsi, ton œillet reste dilaté, le prépare à la sodomie, la rendre plus facile et moins douloureuse aussi.
- C’est froid, mais j’aime.
Diane et Désiré me conduisent à leur appartement, au troisième étage. Je reste nue, en sandales, les cheveux libres.
Je les suce, avant de refaire une série de double pénétrations jouissives.
Les sodomies sont rapidement jouissives.
- Ton œillet est bien ouvert, ma belle, me susurre Désiré, doté d’un mandrin long de vingt-trois centimètres et quatre de diamètre. Un beau brun musclé, africain, mon style d’homme dont je fantasme, aux petits seins.
Le mandrin de Diane mesure vingt-cinq centimètres et six de diamètre. Diane est une blonde aux petits seins.
Lorsque Diane m’encule, je suis aux anges. Je coulisse sur leurs mandrins, telle une vraie professionnelle. Mon anus est rempli de nouveaux spermes. Cela pèse mais je m’habitue.
Bien sûr, en compagnie des brunes Jasmine aux seins plantureux et Hermine aux petits seins, je suis offerte à un gode-ceinture à deux godes, un de vingt-trois centimètres et un autre de vingt-cinq, réalistes et cinq de diamètre tous les deux. Je subis cette double pénétration, à quatre pattes, léchant à tout de rôle Jasmine et Hermine.
Leurs va-et-vient me font rapidement exploser dans une longue série d’orgasmes de plus en plus violents.
Bien sûr, je porte le gode-ceinture, muni d’un vibromasseur anal pour me satisfaire. Je tente de maîtriser les va-et-vient, mais l’orgasme anal m’irradie rapidement.
Puis Jasmine me retire le vibromasseur du gode-ceinture en interne et le fixe à un autre gode-ceinture pour m’enculer à sa guise.
Je suis en sueur, prosternée, pour mieux m’offrir à ma chérie.
Nous léchons mutuellement nos chattes et nos anus béants.
Puis nous prenons une longue douche masturbatoire, jusqu’à l’orgasme.
Je me repose, avant de partir, le bijou d’anus remis en place.
Tous m’ont donné leurs cartes pour les contacter et les inviter à la boutique.
Jasmine me propose une nouvelle tenue plus adaptée : un bustier blanc, laissant deviner mes mamelons tendus et une jupe éventail grise, avec des mules blanches à hauts talons de douze centimètres. Je garde ma queue-de-cheval.
De retour de chez moi, nue, après une longue douche masturbatoire, un lavement avec une poire anale, je me gode l’anus avec le bijou d’anus et essaye divers godes que je possède, dans ma chatte et mon anus, pour connaître le plaisir, tout en masturbant mes mamelons tendus et mon clitoris. Je mouille comme jamais auparavant.
Je me fais un film porno lesbien, puis hétérosexuel et entre hommes, pour connaître mon attirance, mais les trois genres m’attirent. Je suis bisexuelle.

17 juillet
Je me rends à la boutique, vêtue d’une robe semi-transparente, mi-longue, blanche, au décolleté en dentelle, laissant deviner mes seins nus, de discrètes fentes permettent l’accès à mes fesses nues et à mon bijou d’anus, j’ai gardé mon bijou d’anus, une partie de la nuit, me faisant jouir.
Cet après-midi, je suis en compagnie d’Alban, quand Adonis et Eros viennent acheter des dessous pour leurs amies lesbiennes, Jasmine et Hermine. Alban se fait enculer et les sucer et tout avaler. Je me masturbe discrètement devant le spectacle offert.
Après leur départ, c’est un couple, le Baron Donatien de Mille Sévices, âgé du triple de mon âge, un bel athlète brun, musclé, en costume et son épouse, sa soumise, un peu plus âgée que moi, la Comtesse Sylvie du Domaine des Biches de Mon Plaisir, une superbe brune, aux seins plantureux, vêtue d’un chemisier blanc sans boutons, dévoilant ses seins et une jupe assez courte, fuchsia, couvrant à peine ses fesses nues, chaussée d’escarpins blancs à talons de dix centimètres, coiffée d’un chignon.
Sylvie me tutoie :
- Pénélope, je désire les plus dessous de votre boutique. Tu me plais.
Je n’ose baisser les yeux, devant une telle beauté. Je prends ses mensurations et lui présente les dessous.
- Pénélope, es-tu une séductrice ?
- Oui, Monsieur le Baron, j’aime séduire, tout autant les hommes, les femmes et les transsexuels.
- Serais-tu prête à connaître de nouveaux désirs ?
- Lesquels, je ne suis pas trop curieuse de nature, mais capricieuse. J’ai récemment perdu mon pucelage de ma chatte et de mon anus.
- Très bien, doublement ouverte, mais il faudrait davantage, susurre Sylvie.
- Un œillet plus souple permet de nouvelles possibilités, réplique le Baron.
- Oui, Pénélope, en pratiquant des sodomies plus souvent, tu vas connaître de nouveaux désirs, dit Alban.
Alban soulève discrètement la jupe de ma robe, pour dévoiler mes fesses nues au Baron.
- Tu es cul nu, donc tu es sur la voie de la soumission. Ecarte tes fesses.
J’obéis, Alban, le Baron et Sylvie découvrent le cristal rose entre mes fesses.
- En plus, un bijou d’anus pour te préparer, tu me surprends, Pénélope, dit Alban.
- Non, c’est normal, ma Pénélope a besoin d’avoir son œillet dilaté, préparée à la sodomie, la rendre plus facile et moins douloureuse aussi.
- Je n’aime pas qu’on me dise « ma », Monsieur le Baron.
- Tu n’aimes pas ce terme « ma », sache que tu es à partir d’aujourd’hui ma nouvelle soumise. Que cela te plaise ou non. Tu vas devoir obéir et répondre aux suggestions, tu seras contrainte à être draguée, humiliée. Voici un livret que tu dois apprendre dans les prochains jours.
- Bien, Monsieur le Baron, je suis novice dans le SM.
Sylvie revient après ses essayages :
- Pénélope, viens me lécher la chatte et l’anus, le Baron va t’enculer en même temps, ma putain, ma pute, ma chienne.
- Je n’ai jamais lécher l’anus.
- Qui t’a autorisé à parler, ma belle gouine ?
J’obéis, m’accroupie, cuisses écartées.
Mais je dois changer de position, pour mieux offrir mon anus.
Penchée en avant, cuisses écartées, je sens le Baron qui m’écarte bien les fesses, pour m’ouvrir mon anus dilaté par le bijou d’anus. Il m’encule jusqu’aux testicules et masturbe mon clitoris tendu.
Au bout d’une demi-heure, je reçois le sperme du Baron et Sylvie pisse dans ma bouche. Je dois tout avaler.
- Tu manques de concentration. Tu ne dois plus penser, tu dois obéir. Tu dois te prêter. Tu ne peux te dérober, les lèvres de ta bouche entrouvertes, les cuisses toujours écartées à toute occasion, pour donner libre accès à ta bouche, ta chatte et ton œillet. Si tu es punie, pour avoir manqué de complaisance, ou levé les yeux sur celui qui te parle ou te prend : tu ne dois jamais regarder un homme ou une femme  au visage. Ta bouche est uniquement vouée à sucer et à recevoir le sperme, ton oeillet recevra le sperme que celui qui te prends, ma chienne. Tu es contrainte, tu es consentante, soumise. Tu dois ni regarder un homme au visage, ni lui parler. Tu dois te taire, et obéir. Tu n'ouvres désormais ici la bouche, en présence d'un homme, que pour crier ou sucer. Tu as bien compris, ma pute.
J’hoche la tête, les yeux baissés, la bouche entrouverte.
Le couple paye les achats. Je suis encore sous le coup de la correction que j’ai reçue. Sylvie me remet une boîte. Je l’ouvre, c’est un bijou d’anus un peu plus gros : dix de long et cinq de diamètre, pour 156 grammes.
Je me mets en place. Il est plus lourd. Mes muscles mettent plus de temps à  s'adapter à  votre nouveau bijou d’anus pour agrandir l'anus.
Je resserre les fesses, pour ne pas le perdre.
Quand je rentre chez moi, nue, après ma douche, je me fais mon lavement anal.
Mon téléphone sonne.
- Pénélope, c’est Donatien. Tu es nue, avec le bijou d‘anus. As-tu commencé le tri de tes vêtements ?
Je découvre la liste dans mon courrier : ni culottes ou strings, plus de soutien-gorges et jamais non plus de body. Mes seins et ma chatte doivent toujours être nus sous mes vêtements et mon entrejambes jamais dissimulée. Ni collants, de shorts, de jupes culottes ni bien sur de pantalons. Mais des jupes ou des robes mais à la condition qu'en aucun cas elles ne soient plus longues que le milieu de mes cuisses. Mes seins nus constamment sont sous mes corsages ou chemisiers. Pour tes pieds, tu es pieds nus dans des chaussures à hauts talons de dix à plus centimètres. Tu te baignes nue à la piscine.
Le tri réalisé, mes vêtements sont dans des valises. Sylvie me retrouve, avec un carton contenant une nouvelle tenue.
Je l’essaye, c’est une robe pour le grand soleil composée d'une jupe éventail, qui se retrousse d'un geste, mais toujours à corselet montant jusque sous les seins, et portée avec un boléro fermé au cou. Il suffit d'enlever le boléro pour que les épaules et les seins soient nus, et sans même enlever le boléro, de l'ouvrir, si l'on désire voir les seins.
- Ainsi, tu es plus accessible. Tu la retires que le soir pour te coucher nue. Mes amies viendront à ta boutique. Tu dois leur obéir, sur leurs choix.
Sylvie m’embrasse langoureusement sur la bouche et nue, je lui lèche l’anus, en gage de soumission.
A quatre pattes, elle me donne une dizaine de fessées. Je mouille abondamment de la chatte, mon clitoris se tend.
- Cela t’excite, les fessées. Ton œillet va se lubrifier plus vite.
Sylvie met un gode-ceinture, doté d’un imposant vibromasseur anal, trente et un centimètres et six de diamètre, que je suce.
Elle m’encule avec, me fesse, je dois m’empaler sur lui. Puis, sans débander, je touche le buste de Sylvie, avec mon dos. Sylvie caresse mes seins, les lèvres humides de ma chatte et mon clitoris.
- Tes mamelons sont bien tendus, tu es excitée. Pense que c’est un superbe étalon qui t’encule.
J’ondule mon bassin et un violent orgasme anal me terrasse.
Nous renouvelons les ébats jusqu’à l’épuisement.
Sylvie m’abandonne, nue, en sueur, l’anus encore béant et humide.
Je me douche, mange devant un film porno anal hétérosexuel et je me fais jouir, avec mon bijou d’anus.

18 juillet
Vers deux heures du matin, le téléphone sonne.
Je dors nue sur mes draps.
- Pénélope, tu es prête à te soumettre à tous les vices. Masturbe-toi jusqu’à l’orgasme.
J’obéis, le téléphone reste décroché. Je me gode avec le bijou d‘anus, puis avec mes doigts, dans mon anus, en masturbant mon clitoris. L’orgasme est si violent, je perds connaissance.
- Pénélope, tu es encore là.
- Oui, Donatien, j’ai perdu connaissance, tellement j’ai pris du plaisir.
- D’ici une date définie, tu vas découvrir de nouveaux amants, qui vont te soumettre. Pour l’instant, retiens-toi de jouir, si tu es enculée. Ta chatte ne dois jamais recevoir le moindre sexe.
J’accepte. Il raccroche.
Le matin, après ma douche, je me gode l’anus, avec mes divers objets que j’ai sous la main. Même, j’enfonce une carotte, un concombre, une courgette, dans mon anus qui s’ouvre davantage, en fantasmant sur l’étalon qui m’enculera.
L’après-midi, je deviens la soumise des amies de Sylvie, lors d’essayages vicieux. Je porte ma robe. Bien sûr, Alban ne se gêne pas pour m’enculer, dès que possible. Mon anus est un peu plus souple. Les sodomies m’occasionnent des orgasmes anaux de plus en plus violents, même si je dois me retenir de jouir.

21 juillet
Après une nouvelle nuit écourtée par les appels téléphoniques du Baron et de Sylvie, pour m’exciter, une courte sieste, des sodomies avec mes godes et mon bijou d’anus, vers 17 heures, on sonne à ma porte. Nue, je chausse mes mules et j’ouvre à un superbe chauffeur africain, prénommé César.
- Miss Pénélope, je suis César, le chauffeur personnel du Baron. Mets ta robe, après une douche rapide et ton nouveau bijou d’anus, que voici.
Je dois laisser la porte ouverte de la salle de bains. César bande, je le remarque, les yeux baissés. Je me farde et me parfume.
J’écarte bien mes fesses pour recevoir le nouveau bijou d’anus. Il mesure vingt-deux de long et six de diamètre. Un personnage me pénètre et me scrute au plus près en toute impudeur et me caresse de ses pieds. Le bijou est en forme d’un mandrin veiné et un gland prononcé et en relief. Je suis aux anges. Un vrai mandrin qui m’encule.
Je mets ma robe et mes mules.
César me conduit en dehors de la ville, à plus de trois heures.
A mi-chemin, alors que je suis assise cul nu, sur la banquette, il me bande les yeux, retire mon boléro et me menotte avec mes carcans de cuir, les mains dans le dos. Aveugle, menottée, avec un bâillon-pénis en bouche long de cinq centimètres et trois de diamètre. Je me laisse caresser les seins, jusqu’à tendre mes mamelons, emprisonnés dans des pinces, alourdies par des clochettes, qui tintinnabulent à chaque mouvement mammaire. La clochette en métal fixée par un anneau s'anime au moindre mouvement, émettant un tintement cristallin. Ainsi, il est averti immédiatement de mes mouvements.
- Tu es plus désirable, ainsi. Tu es toute trempée, le bijou te fait de l’effet, ma putain.
J’ondule mon bassin sur le mandrin, me rappelant mes premières sodomies.
- Il faut sensibiliser tes seins, Miss Pénélope.
Puis il m’étend sur la banquette. Il me déchausse, me retire le bijou d’anus, dévoilant mon anus entrouvert et humide. Il enfonce son mandrin long de trente-deux centimètres et sept de diamètre, pour m’enculer. Je pose mes mollets sur ses épaules. Il est agenouillé, me caresse les cuisses, les mollets et les chevilles. Je me retiens de jouir.
Pendant plus d’une heure, il entre et sort sauvagement de mon anus, pour, dans un silence absolu.
Enfin, il enfonce son mandrin jusqu'à la gorge que chaque mouvement par lequel il heurte le fond de mon palais fait jaillir de nouvelles larmes, la bouche libre quelques instants du bâillon-pénis.
- Tu es facile de l’œillet, mais encore un peu serré.
Cette longue sodomie sauvage s’achève par de longs jets de sperme dans ma bouche.
Il me remet le bijou d’anus en place et je me rassois, en sueur. Il me peigne les cheveux, me repoudre, me rougit les lèvres.
Non loin, du lieu secret, je dois descendre et monter dans une barque, nue et en mules. Je dois rester debout, muette, aveugle.
La barque rejoint un souterrain menant au lieu secret.
L’homme qui conduit la barque, me doigte la chatte trempée et le clitoris tendu. Je me retiens de jouir sous le bâillon.
Mes mules claquent dans l’escalier en pierre menant au rez-de-chaussée, tenue en laisse fixée à une étroite ceinture de cuir autour de ma taille.
Des mains étrangères caressent mes seins, ma chatte et mon clitoris et des commentaires sur mes réactions de pute, putain et chienne se succèdent à chaque fois.
Tous insistent pour que mon anus étroit soit rendu plus commode, élargi, plus ouvert.
Puis un silence rompt les commentaires.
Des mains féminines me caressent. On libère ma bouche, pour de longs baisers langoureux lesbiens, qui me font mouiller.
Puis on pelote, joue avec mes mamelons tendus et durcis par les pinces et mes mamelons sont déformés aussi mes seins vers le bas.
On me retire enfin le bijou d’anus et on me retire le bandeau. Je découvre deux superbes jeunes femmes, une brune aux petits seins et une blonde aux seins plantureux, mis en valeur dans une robe à corselet similaire à celle que j’ai porté. Mais la jupe dénude entièrement les jambes juste au-dessus du pubis, intégralement épilé, ainsi que la chatte. Chacune porte un tatouage à l’encre noire sur le pubis, la brune se prénomme Putain Lilas et la blonde se prénomme Chienne XV. Elles restent silencieuses en ma compagnie, dans une grande pièce, entièrement recouverte de glaces et de miroirs sans tain, avec juste un tapis.
Quand elles ouvrent leurs jupes, en écartant par-derrière les deux côtés de la jupe pour que les fesses soient nues. Je remarque les marques de la cravache et deux anneaux dorés perçant leurs grandes lèvres.
Je leur lèche l’anus en signe de soumission.
Elles me conduisent dans une grande pièce mitoyenne, une salle de bains, décorée comme dans la première pièce. Les clochettes tintent à chacun de mes pas, pieds nus sur le marbre froid.
La salle de bains comprend une grande baignoire, avec des marches pour y accéder, un bidet avec une canule, un grand fauteuil, au sol marbré.
Un valet est présent. C’est un bel Adonis musclé, simplement vêtu d’un gilet, botté. Je suis impressionné par son long et gros mandrin en érection, dans une gaine à picots. Je baisse les yeux et garde la bouche entrouverte.
- La pute semble obéissante, dit le valet, en pelotant mes seins et jouant à étirer mes mamelons tendus.
Il me retire le bijou d’anus. Je me baigne, savonnée par les deux femmes. Je porte aussi mes carcans de cuir : mes bracelets à mes poignets. Ils sont faits : en plusieurs épaisseurs de cuir, chaque épaisseur assez mince, au total pas plus d'un doigt, verrouillés par un système à déclic, qui fonctionnait automatiquement comme un cadenas quand on le referme, et ne peut s'ouvrir qu'avec une petite clé. Dans la partie opposée à la fermeture des bracelets, pris dans le milieu des épaisseurs de cuir, et n'ayant presque pas de jeu, il y a un anneau de métal, qui donne une prise pour fixer, et qu'on positionne du côté intérieur du poignet. Pour le collier, l'anneau pendait devant le cou, reposant sur la saillie des clavicules, et brinquebale au rythme des mouvements de celui qui le porte.
Je dois rester accroupie, cuisses écartées, les bras tendus en l’air, devant une grande glace qui reflète mon corps nu. On me lave les cheveux.
Une fois rincée, j’ai droit à quelques fessées, pour me chauffer. Le valet m’enfonce jusqu’à trois doigts dans mon anus béant. Je me retiens de jouir.
Détachée, je rejoins le bidet. Je m’assois, cuisses écartées, courbée en avant, toujours les bras en l’air. L’anus savonné, mon anus est rempli par une canule, montée à l'extrémité du flexible de la douche, par laquelle je suis aspergée d'eau tiède. Ce qui provoque une mouille abondante de ma chatte, mon clitoris et mes mamelons se tendent à l’extrême.
Après le bidet, je rejoins le grand fauteuil, toujours cuisses écartées, menottée aux accoudoirs. Je reçois enfin mon collier.
En m’asseyant bien sur le fauteuil, le valet m’écarte bien les fesses. Je sens un mystérieux gode m’enculer. Je ne peux me dérober. Il mesure dix-neuf centimètres, jusqu’à six de diamètre pour le noeud, pour m’écarteler.
- Elle est liée à Roméo.
J’ai droit aux va-et-vient du vibromasseur. J’ondule mon bassin.
Nue, cuisses écartées, devant une grande glace, du haut en bas de la paroi, que n'interrompt aucune tablette, je me vois, ainsi ouverte, chaque fois que mon regard rencontre la glace. Mes paupières sont légèrement ombrées, la bouche très rouge, les mamelons tendus libérés des pinces et l'aréole des seins rosies, le bord des lèvres de ma chatte rougi, du parfum longuement passé sur la fourrure des aisselles et du pubis, dans le sillon entre les cuisses, dans le sillon sous les seins, et au creux des paumes. La sodomie dure une bonne heure, tout en me retenant de jouir.
Toujours pieds nus, je rejoins une troisième pièce mitoyenne, avec le valet.
La pièce comprend un miroir à trois faces et un quatrième miroir au mur permettent de me bien voir et un tapis au sol.
Sans attendre, le valet me saisit les deux mains. Il fait glisser l'un dans l'autre les deux anneaux de mes bracelets, ce qui lui joignit étroitement les poignets, et ces deux anneaux dans l'anneau du collier. Je me trouve donc les mains jointes à la hauteur du cou.
Le valet m’allonge sur le ventre, m’enserre par les hanches et caresse mes seins, aux mamelons encore plus tendus par une mystérieuse crème, comme sur mon clitoris. Il m’encule sauvagement, me faisant un peu mal avec ses picots. Je sens ses testicules qui claquent contre mes fesses brûlantes par ses fessées. Je le mène sans le savoir à une érection plus fort, en agitant ma croupe.
- Quelle chienne, tu as l’œillet en feu. Retiens-toi de jouir, ma pute.
Je tente de résister au plaisir anal.
Il se retire avant mon orgasme. Un second valet dont je ne vois que le gros mandrin, dans sa gaine à picots, m’encule sauvagement, tandis que je suce le premier.
- Avale, ma chienne.
J’obéis, fessée.
- Elle semble docile, ma putain, dit l’autre.
Puis je sens un nouvel objet : long de vingt-six centimètres et jusqu’à cinq de diamètre, sous la forme d’une balle de tennis. Je gémis un peu.
- Elle a reçu Adam, pour son premier jour. Lève-toi.
J’obéis. Trois chaînettes pendent entre mes cuisses, reliées aux trois petits trous percés dans la base. Jamais, je n’ai eu l’anus autant rempli. Surtout, comme Roméo, un sexe en érection. J’ai gardé l’étroite ceinture autour de ma taille, et l'on y accroche les trois chaînettes, une par derrière qui suit le sillon des fesses, et les deux autres par-devant, qui longent le pli des aines en contournant le triangle du ventre. On les ajuste au plus court
- Ainsi tu ne peux repousser Adam et ton œillet sera distendu.
On les attache avec de petits cadenas
- Ainsi, quand tu es seule, tu ne peux être tentée de te soulager de cette contrainte. Tu vas le garder pendant huit jours, de ton lever jusqu’au repas et de la tombée du jour jusqu’à l’heure de la nuit.
Je vois les chaînettes et de la ceinture, tout le monde peut voir que je la porte.
 - Ton valet te le retire pour t’enchaîner les mains au dos, dans ta cellule, pour te faire enculer.
Silencieuse, les mains jointes à mon cou, je rejoins une autre pièce, longeant la rambarde d’un long couloir donnant sur le rez-de-chaussée. Les clochettes se balancent entre mes cuisses humides.
Là, je mange, les mains libres, agenouillée, cuisses écartées, déchaussée, sur le pouf. Mon bassin ondule sur ce mystérieux sexe. Je n’ose me masturber.
Une main invisible me tend les plats par un guichet.
Puis le valet vérifie que les chaînettes sont bien cadenassées et fait tinter les clochettes.
- Adepte d’Adam, tu vas aimer ta présentation. Tu es ma enculée de premier choix.
Enfin, Putain Lilas et Chienne XV reviennent me chercher. Dans le boudoir, on me remet les clochettes à mes mamelons sont saillants, gros et longs, tendus à l’extrême, me faisant mal. Mon clitoris est devenu gros comme une cerise, saillant et volumineux, me fait mal, lui aussi. Ils sont devenus hyper sensible. L’air frais sur mes mamelons et mon clitoris me provoquent une excitation énorme. Désormais mes mamelons pointent au maximum tout le temps, vingt-quatre heures sur vingt-quatre et de même pour mon clitoris. Ne pouvant me masturber, je ressens une douleur par leur tension maximale. Mes mamelons et mon clitoris sont complètement tendus et très dur au point de lui faire vraiment mal et le moindre effleurement même involontaire devient une véritable torture tellement ces endroits sont devenus sensibles.
Le valet me pelote les seins et masturbe le clitoris quelques minutes. C’est une vraie torture. Les mains jointes dans mon dos, je suis tenue en laisse par ma ceinture, avec un masque et un bâillon O qui me force à garder la bouche ouverte, outre le côté humiliant, ma bouche est ainsi disponible pour le plaisir de son Maître. Le O du O ring est assez large pour faire passer la queue du Maître. Je suis humiliée et je dois me dépasser. En mules, nue, je suis escortée, des coups de cravache sont portés sur mes fesses brûlantes par les fessées des valets. Je mouille davantage. un valet me tient en laisse. Une femme avance devant moi et ouvre les portes, l'autre me suit et les referme. Nous traversons un vestibule, deux salons, et pénétrèrent dans la bibliothèque, où quatre hommes prennent le café. Ils sont nus sous leurs capes, mais aucun masque.
- Voici la nouvelle pute du Baron, bouche à dresser, à fouetter surtout, elle est docile au premier regard, dit l’un d’eux. Retirez-lui Adam, que l’on voit son œillet.
Je reste seule avec les quatre hommes.
- La crème fait effet, le vent frais de la pièce fait pointer ses mamelons et son clitoris dans sa fourrure.
Debout, je suis caressée de tout, les seins, les fesses brûlantes, la chatte, le clitoris et même mon anus encore un peu béant, lors d’une double pénétration digitale, qui me fait jouir faiblement.
- Doublement ouverte, mais pas encore assez, à mon goût, messieurs, cette pute devra être plus commode, dit un autre.
- Enculons-la, d’abord, pour voir, si elle est chaude.
Allongée sur le dos, déchaussée, je suis face au premier qui m’encule, bien monté, cuisses écartées, jusqu’aux testicules. Je le subis avec sa gaine à picots, tandis que je suce un autre.
Le second m’encule, prosternée, cuisses écartées, jusqu’aux testicules qui claquent contre mes fesses. Je jouis sous le bâillon.
Le troisième m’encule, agenouillée, le buste reposant sur un pouf, toujours les mains au dos, et les fesses plus haut que le torse, et il me maintient par les hanches. Je n’ose aucune résistance à son gros mandrin, avec son étui pénien. Il fait claquer ses testicules contre mes fesses, il s’agrippe de plus en plus à mes hanches, en m’enculant sauvagement.
Le quatrième, au mandrin surdimensionné, m’encule à son tour. Je gémis sous le bâillon.
Puis un cinquième sexe m’encule. Je suis liée à lui par un nœud, une première pour moi.
La saillie anale dure une bonne demi-heure, avec quatre orgasmes anaux de plus en plus violent. Je dois sucer le sexe, après son éjaculation.
- Balzac a fait un bon travail, pour l’enculer, la chienne. Hadès lui sera promis.
Mon anus béant, dégouline de spermes.
On m’abandonne, nue, cuisses écartées, avec Adam remis en place. Je n’ose resserrer les cuisses. On me retire le bandeau et le bâillon pour que je puisse respirer, épuisée, en sueur.
La grande pièce est entièrement recouverte de glaces et de miroirs sur les murs et au plafond, avec une verrière. Deux des hommes sont debout. Un autre est assis, une cravache sur les genoux, et le quatrième, qui m’a retiré Adam, m’encule, les clochettes pincent mes grandes lèvres humides de ma chatte.
Allongés sur le même côté, nous sommes collés l'un à l'autre. Ainsi, le ventre de l'homme est contre mon dos. Son gros mandrin et ferme me fait un peu mal, mais mon excitation sexuelle est au summum. Relaxée, mon anus est bien détendu. Il caresse mes seins, ma chatte et mon clitoris tendu à l’extrême. Mes mains sont toujours menottées dans mon dos.
- Retiens-toi de jouir, ma belle enculée, me susurre l’homme.
Les yeux baissés, je sens une langue râpeuse sur mon clitoris et ma chatte trempée. C’est Balzac. Je me retiens de jouir, sous sa langue qui est grosse, fine mais large et longue et extrêmement flexible.
- Balzac va te donner du plaisir, avant la Croix de Saint-André et le chevalet, me dit encore l’homme qui m’encule.
Je suis prise entre deux plaisirs intenses.
Mais tous quatre m’ont prise, ainsi que Balzac.
- Pendant ton séjour, tu vois les visages de ceux qui te violent, mais jamais la nuit, tu es aveugle. Pour le fouet, c’est pareil, dit un des hommes. Mais pour la première fois, tu dois voir comment on te fouette.
Balzac se retire.
- Tu es autorisée à jouir, me susurre l’homme.
Mon anus serre son mandrin, qui éjacule en moi.
Il reste en moi, tandis que l’on me présente la cravache, qui est longue et fine, de fin bambou gainé de cuir; le fouet de cuir que le premier des hommes qu'elle ait vu a à la ceinture est long, fait de six lanières terminées par un noeud ; il y a une garcette, de cordes assez fines, faite de sept lanières terminées chacune par plusieurs nœuds, et qui sont toutes raides, trempées dans l'eau, on me caresse les seins, aux mamelons tendus à l’extrême, ma chatte et l’intérieur de mes cuisses écartées, pour mieux voir comment je suis enculée.
La Croix de Saint-André, fournit généralement des points de retenue pour les chevilles, les poignets et la taille. Elle est sur un support roulant.
L’homme se retire et me fait attacher à la croix d’abord de dos aux hommes.
- On ne fouette que les fesses et les cuisses. Adam est remis en place.
Je les supplie :
- Détachez-moi, arrêtez.
Mais, mes fesses sont bien marquées, d’abord à la garcette moins, mais la cravache me marque davantage.
L’homme qui a le plus gros m’encule à nouveau, l’anus libre. Il éjacule en moi et implore :
- Son œillet doit être plus commode.
Puis je suis attachée de face aux hommes, pour être cravachée sur les cuisses.
Chancelante, presque évanouie, je suis menottée au chevalet, au centre de la pièce, l’anus libre. Je suis solidement immobilisée dans cette posture dégradante, le postérieur plus haut que la tête. Mes bras sont fixés le long des pieds avants, mes jambes le long des pieds arrières, et une large sangle m'est passée au niveau de la taille. Mes cuisses, légèrement fléchies sont empêchées de se resserrer par la largeur de la poutre, ainsi d'ailleurs mes fesses que je me peut refermer. Toute mon intimité est ainsi très accessible.
- Balzac va te saillir, ma belle enculée, pendant que tu lis les règles, qui sont similaires à celles annoncées par le Baron.
Enculée jusqu’au nœud, je connais quatre violents orgasmes anaux, en une demi-heure, par un mandrin long de dix-sept centimètres et cinq de diamètre.
Je dois sucer Balzac, dès son retrait.
Le superbe doberman, Hadès, doté d’un mandrin de trente-deux centimètres de long et six de diamètre, m’encule, mon anus est bien lubrifié par le sperme de Balzac, jusqu’au nœud et une nouvelle série de quatre orgasmes anaux m’épuise, en trois quart d’heure.
- On va te conduire dans ta cellule, en me remettant Adam en place. Tu restes nue pendant que tu portes Adam. Tu seras tatouée juste au-dessus de la naissance des fesses, ma pute.
Putain Lilas et Chienne XV m’aident à me relever, libre du chevalet, je suis chaussée de mes mules à semelles surélevées et très hauts talons qu'une bande de satin épais, empêche seule d'échapper au pied.
Les mules claquent sur les carrelages rouges des couloirs, où des portes se succèdent, discrètes et propres, avec des serrures minuscules. Mes clochettes tintent entre mes cuisses.
- Tu es dans l'aile des Chiennes, et ton valet s'appelle Pierre.
- Quel valet ? dis-je saisie par la douceur de la voix, et comment t’appelles-tu ?
- Je m'appelle Putain Lilas.
- Et moi Chienne XV », dit la seconde.
La première reprend : « C'est le valet qui a les clefs, qui t’attaches et te détaches, te fouettes quand tu es punie et quand on n'as pas de temps pour toi.
- L’aile des Chiennes, dit Chienne XV, où Pierre était déjà présent l’année dernière, vient souvent la nuit ; les valets ont les clefs et dans les chambres qui font partie de leur section, ils ont le droit de se servir de nous.
Pierre est un bel étalon brun, imposant, musclé, en gilet, sur son torse musclé, au gros mandrin, avec ses testicules portant des anneaux dorés. Il est debout, botté, portant à la ceinture un fouet à lanière de cuir.
Il sort un passe et ouvre la porte.
- Je m’occupe d’elle, pour la douche, vous viendrez après Putain Lilas et Chienne XV.
Les femmes restent dehors.
Il est 22 heures.
La cellule est toute petite, et comporte en réalité deux pièces. La porte qui donne sur le couloir refermée, on se trouve dans une antichambre, qui ouvre sur la cellule proprement dite ; sur la même paroi ouvre, de la chambre, une autre porte, sur une salle de bains.
En face des portes il y a la fenêtre. Sur la paroi de gauche, entre les portes et la fenêtre, s'appuie la Croix de Saint-André et un chevalet au centre de la pièce, avec un tapis, des miroirs sont au plafond.
La salle de bains comprend une douche, combinée à une baignoire transparente, accessible par des marches. Les parois sont entièrement revêtues de glace.
Pierre me pose les pinces à mes mamelons tendus à l’extrême, me retire Adam.
Je reste debout, cuisses écartées, maintenues par une barre d’écartement.
Je garde les bras en l’air, sur la pointe de mes pieds nus.
Les yeux baissés, la bouche entrouverte, je me laisse doucher à l’eau froide, sur tout le corps, déclenchant une excitation énorme. Mon anus est rempli par une canule reliée à une poche remplie de savon liquide et d’eau froide, accrochée au mur.
Pendant cinq minutes, il m’observe, masturbe mon clitoris tendu à l’extrême sous le jet, ma chatte trempée qu’il fouille, puis m’embrasse langoureusement sur la bouche, étire mes mamelons avec les clochettes.
Il me retire la canule et recommence jusqu’à ce que je sois propre.
Rincée, il me sèche dans une grande serviette, avant de détacher. A la réserve du collier et des bracelets de cuir, que l'eau a durcis quand je me suis douchée, et qui me serrent davantage, je suis nue.
- Tu es toute excitée, ma belle Chienne.
Il me menotte de dos, le visage et le ventre contre la Croix de Saint-André.
Il m’encule sauvagement avec son gros mandrin, presque aussi gros que celui au sexe surdimensionné. Je me retiens de jouir. 
- Tu es toute chaude de l’œillet, ma belle chienne. Je vais te mettre au chevalet, pour Balzac, Hadès et d’autres chiens, pour ta saillie quotidienne. Bien sûr, je vais te fouetter.
Il caresse une dernière fois, mes fesses qu’il trouve musclées. La fenêtre reste ouverte pour que le vent frais m’excite davantage mes mamelons exposés.
Seule dans le noir et le silence, démunie de l’usage de mes mains pour ne pas toucher mon corps, ni ma chatte brûlante, ouverte au premier venu.
Le fouet m’a rendue sereine. Les sodomies successives ont décuplés mon plaisir anal.
Je m’endors.
Mais dans l’heure qui suit, Balzac entre par la porte ouverte. Il me lèche la chatte, avant de m’enculer jusqu’au nœud. Je dois sucer un autre sexe.
Au bout d’une demi-heure, il éjacule longuement en moi. Il se retire, me lèche l’anus. Je dois le sucer en retour.
Hadès m’encule ensuite avec aisance.
Puis c’est au tour de Conan, un berger allemand et enfin, Lancelot, un dogue allemand, une première pour moi.
Lancelot est doté d’un impressionnant sexe : trente-six centimètres de long et six de diamètre.
Il m’encule avec une telle vigueur, que ma douleur anale, écartelée, devient un long plaisir, j’atteins six orgasmes. Lancelot se fait sucer aussi.

22 juillet
Vers minuit, Lancelot revient à la charge et m’encule plus longtemps, jusqu’à une heure. Mes râles de plaisir alertent les valets, que je dois sucer, dans le noir.
Aux dernières heures de la nuit, quand elle est plus noire et plus froide, juste avant l'aube, Pierre revient. Il allume la lumière de la salle de bains en laissant la porte ouverte.
Alors, ma chienne, tu prends ton pied avec tes amants. Je vais te fouetter les fesses.
Pierre me cravache à toute volée. Il recommence quatre fois, en prenant soin de cingler chaque fois ou plus, haut ou plus bas que la fois précédente, pour que les traces soient nettes.
Il me détache et me menotte dos à la Croix de Saint-André, pour me fouetter le devant de mes cuisses.
Le tout a duré cinq minutes.
Il m’encule dans cette position, je garde les yeux baissés.
Puis il fait rouler la Croix de Saint-André devant la fenêtre ouverte.
Il m’a remis Adam en place. J’ai l’anus en feu.
Je regarde naître une lente aurore il y a une pelouse, au bout de la pelouse une allée. Il fait grand jour et depuis longtemps je ne bouge plus. Un jardinier apparaît le long de l'allée, poussant une brouette. On entendait grincer la roue de fer sur le gravier.
Il s’approche et me découvre, menottée, nue, les cuisses cravachées, mon bassin ondule sur Adam. Je deviens vicieuse.
Aucune femme n'a les clefs, ni celles des portes, ni celles des chaînes, ni celles des bracelets et des colliers, mais tous les hommes portent à  un anneau les trois sortes de clefs qui, chacune dans leur genre, ouvrent toutes les portes, ou tous les cadenas, ou tous les colliers. Les valets les ont aussi. Mais, au matin, les valets qui ont été de service la nuit dorment, et c'est l'un des maîtres ou un autre valet qui vient ouvrir les serrures.
L’homme qui entre, nu sous son gilet, botté, me libère de la Croix de Saint-André, après avoir longuement passé la main sur ma chatte trempée et mon clitoris tendu à l’extrême. Je ne sens plus mes mamelons. Il les libère, les étire. Je me retiens de gémir. Il me saisit les deux mains. Il fait glisser l'un dans l'autre les deux anneaux de mes bracelets, ce qui me joint étroitement les poignets, et ces deux anneaux dans l'anneau du collier. Je me trouve donc les mains jointes à la hauteur du cou.
- Ainsi, tu pourras pas te masturber, ma chienne.
Il regarde ensuite mes fesses, me retire Adam.
Sans ménagement, il m’allonge sur le dos, sur le tapis, les cuisses relevées et bloquées par les cuisses du valet. Il m’encule sauvagement. Je me retiens de jouir.
Il éjacule en moi et Lancelot m’encule dans la même position.
Il encourage Lancelot.
- Tu aimes l’œillet de ta chienne. Elle aime ça.
J’ai le droit de jouir. Doublement inondée, le valet me remet Adam en place.
Je garde les yeux baissés, la bouche entrouverte, les mains libres.
Putain Lilas et Chienne XV, sont entrées avec lui, et qui attendent debout. Sur quoi il s'en va.
Chienne XV tire vers le chevet une table roulante qui a été amenée dans le couloir et porte du café, du lait, du sucre, du bain, du beurre et des croissants.
- Manges vite, dit Putain Lilas, il est neuf heures, tu peux te doucher et tu te coiffes, je viens te farder
- Tu n’es de service que dans l'après-midi, dit Chienne XV.
- Nous sommes seulement chargées de toi pour les premières vingt-quatre heures de votre séjour, ensuite tu es seule et tu n'as affaire qu'aux hommes. Nous ne pourrons pas te parler, et toi non plus à  nous.
Deux inconnus entrent, dont l’un des hommes de la veille, nus, les mandrins en érection.
Les deux femmes disparaissent, sur les tapis les mules ne s'entendent pas.
Je tiens une tasse de café à la main gauche et de l'autre un croissant, debout, je reste immobile.
Le brun musclé, examine les balafres, appuyant légèrement la pointe de ses doigts tout le long de celle des cuisses, puis, le tournant, posant ses lèvres fraîches sur celles des fesses, l'embrassant tendrement, me léchant la chatte humide, je me retiens de jouir.
- Ma chienne mouille. Lancelot et ses amants t’ont fait jouir toute la nuit jusqu’à l’aube. Ton œillet doit déborder de spermes chauds. Tu es prête pour ta nouvelle journée de chienne, me susurre-t-il.
« Viens qu'on te voie », j’obéis, les yeux baissés, la bouche entrouverte.
Le second, un imposant blond me toise. Il me caresse mes seins, joue avec les clochettes, j’écarte mes cuisses, pour qu’il me doigte la chatte.
Le brun me retire Adam et écarte mes fesses.
Son œillet commence à s’élargir, ma chienne.
Le brun m’allonge sur le dos, sur le chevalet et me menotte mes poignets.
Mes reins sont posés sur le chevalet, la tête renversée, cuisses écartées, les jambes levées.
- Regarde cette chatte velue, elle attend une queue. Non, il faut l’enculer, ma chienne.
Je suis enculée sans attendre par le blond, qui m’écartèle avec son gros mandrin surdimensionné. Mon anus habitué aux gros mandrins s’ouvre avec aisance. Je me retiens de jouir.
Le brun m’encule aussi, après que je l’ai sucé, tout comme le blond.
Tous les deux masturbent mon clitoris tendu à l’extrême. Ils éjaculent en moi.
Détachée du chevalet, je suis menottée face à la Croix de Saint-André, présentant mes fesses.
Un sexe canin m’encule, c’est Lancelot. Je jouis, enculée jusqu’au nœud.
Les deux hommes m’encouragent.
Je reste menottée à la Croix de Saint-André, pour recevoir le modèle Double désir, moulé sur le sexe d’un dogue allemand. Je le reçois avec aisance.
Après le départ du blond, je suis libérée et je me douche à l’eau tiède. Cela me fait frémir quand mes fesses meurtries sont mouillées, et je m’éponge sans frotter, pour ne pas réveiller la brûlure. Je farde ma bouche, non mes yeux, me poudra, et toujours nue, mais les yeux baissés, je reviens dans la cellule.
Le brun encule sauvagement Chienne XV, qui a les yeux baissés, muette elle aussi.
Accroupie, je dois lécher le clitoris de Chienne XV, sans la mener au plaisir.
Le brun me fouille longuement ma chatte et je dois me retenir de jouir.
Ma chienne mouille, presque autant que Chienne XV.
Chienne XV me prend par la main et l'entraîna dans le couloir. Nos mules claquent de nouveau sur le carrelage, et nous trouvons de nouveau sur la banquette, entre les portes, un valet vêtu comme Pierre, mais ce n'est pas lui. Il est moins imposant, bien monté. Il nous précède, et nous fait entrer dans une antichambre où, devant une porte en fer forgé qui se découpe sur de grands rideaux deux autres valets attendent, des dogues allemands à leurs pieds.
- Voici Chienne XV et la nouvelle chienne qui est toute aussi belle et docile, dit l’un des valets.
- Pourquoi, Brutus et Conan feront jouir la nouvelle chienne, Lancelot va s’occuper de Chienne XV.
Sans ménagement, libérée du Double Désir, je m'empale doucement dessus sur le sexe de Brutus dans ma chatte. Je suis aplatie contre lui. Conan m’encule dans la foulée. La douleur est contrebalancée par le plaisir de la queue de Brutus dans ma chatte. douleur-plaisir. plaisir-douleur. Assez vite mon anus rempli jusqu’au nœud de Conan, je connais le plaisir royal. Je jouis comme jamais, suçant les trois valets. Et lorsque les deux chiens éjaculent, à quelque minutes d'intervalles, que je sens mes orifices abondamment trempés de sperme tiède, qui sort de ma chatte et de mon anus, dégoulinant le long de mes jambes, j’ai un tel orgasme que la tête me tourne et que je manque de m’évanouir.
Après cette double pénétration canine, je dois aussi dans la foulée, une double pénétration anale par les deux valets, l’anus encore béant et lubrifié par le sperme de Conan.
Pantelante, je me lève, l’anus libre sans Double Désir et je rejoins le réfectoire.
Une table longue, en verre épais, trône dans une pièce dallée et je m’assois nue sur un tabouret rond recouvert de cuir. J’aime le cuir lisse et froid sous mes cuisses. Inversement, de mon départ, vêtue comme tout le monde, mais les fesses nues sous mes vêtements, relever à chaque fois ma jupe pour m'asseoir aux côtés de tout homme, à même la banquette d'une auto ou d'un café.
Au salon, je suis livrée à deux hommes, seule, nue et en mules. Lancelot est présent, assis, le sexe en érection. Les deux hommes regardent mes fesses cravachées et mon anus encore un peu béant. Il y a un garçon mince, si jeune, blond, et un autre blond aussi, trapu, avec une figure épaisse.
Ils me font agenouillée, je tiens à pleines mains les deux coins du pouf.
Ils m’enculent sauvagement, je me retiens de jouir, suçant Lancelot.
J’y reviens après le repas du soir, toujours nue, après une nouvelle double pénétration canine. D’autres invités m’enculent aussi, mais Lancelot a toujours sa part.

29 juillet
A l’aube, je ne porte plus ni Roméo, Adam et Double Désir, je suis suffisamment élargi de l’anus.
Les quatre hommes qui m’ont enculée le premier jour, répètent les assauts anaux avec plus de vigueur et j’ai le droit de jouir, sur ordre du Maître.
Menottée le visage contre la Croix de Saint-André, je suis tatouée à l’encre noire, à quelques centimètres au-dessus de la naissance de mes fesses « Chienne 66 » et sur ma nuque dégagée de mes cheveux, des lettres C66, pour me faire reconnaître. Je porte aussi la bague à mon annulaire gauche. La bague sertie d’un petit anneau.
Une fois tatouée, je suis douchée une dernière fois, fardée et parfumée, avant de quitter les lieux, nue, chaussée de mules à talons de douze centimètres. Je porte mon bâillon-pénis du premier jour et mon bandeau sur les yeux, on m’ôte mes carcans de cuir. Je ne dois pas connaître le trajet menant au lieu de mon dressage.
La barque me ramène. Je reste debout. Mon anus a été épilé et reste encore un peu béant.
La barque s’arrête à un débarcadère, où une main masculine m’aide à descendre.
Je me glisse dans ma robe pour le grand soleil composée d'une jupe éventail, qui se retrousse d'un geste, mais toujours à corselet montant jusque sous les seins, et portée avec un boléro fermé au cou. Je porte aussi mes clochettes à mes grandes lèvres de ma chatte.
Après un court trajet à pied, aveugle et muette, on me retire le bandeau. Je reconnais César. Il m’embrasse langoureusement. Il semble que je lui ai manquée.
- Miss Pénélope, tu es resplendissante, doublement ouverte, avec une bouche bien dressée et vicieuse canine. Tu es promise à un nouveau Maître, Marquis Sévices et Désir de Bon Plaisir. Il a décelé en toi, la soumise docile, chienne, pute et putain, requise par ses critères très exigeants. Tu vas épiler ta chatte et garder ta toison pubienne. D’ici quelques jours, tes tatouages seront visibles de tous.
Il me conduit dans une institut de beauté.
L’esthéticienne découvre mes fesses et mes cuisses zébrées par les derniers coups de cravache, quand je m’allonge nue.
Je veux une épilation à la cire de ma chatte et de mon anus.
 Elle étale la cire qu'elle a mise précédemment à chauffer sur un petit réchaud, sur autour de mes grandes lèvres, de mon périnée, du pourtour de l'anus et l'intérieur de mes fesses. Elle procède par petite touches et je me retiens de gémir, en présence de César. 
 Ensuite elle peaufine et arrache à la pince à épiler les quelques duvets qui ont échappé à la cire, m'examinant avec une grosse loupe, me faisant hurler à chaque fois. Elle termine sa prestation en forme de supplice chinois en enduisant et massant longuement toutes les parties épilée avec une lotion adoucissante.
Elle me met un miroir placé entre mes cuisses écartées.
Ma chatte me paraît plus belle, avec mes grandes lèvres toutes lisses, telle une chatte d’une petite fille.
- Le Marquis va adorer ta chatte épilée, me complimente César.
Je me remémore que Diane, Désiré, Iris, Val et Emmanuel m’ont parlé du Marquis, un transsexuel, bien monté. Je raffole des transsexuels.
Rhabillée, César me dépose à deux rues de l’institut de beauté.
J’entre dans un club privé. Un beau brun me toise, avec de petits seins, un peu plus âgé que moi. Serais-ce le Marquis ? Je baisse les yeux et garde ma bouche entrouverte.
Un des clients me croise :
- Tu dois être une sacrée chienne, pour venir seule au club libertin « Cravache et Vices ».
Je n’ose répondre.
- Approche, ma chienne 66, dit une autre voix.
J’obéis. Des hommes m’entourent. Ils soulèvent ma jupe, dévoilant ma chatte nue, mes jambes nues.
Je suis invitée à m’asseoir sur le tabouret, je relève bien ma jupe. Je m’assois les fesses nues, sur le cuir froid et le rebord gainé de métal. Je garde mes cuisses écartées, mes talons accrochés aux barreaux du tabouret.
- Très bien, tu es obéissante. Lève tes yeux que je regarde ton regard émeraude, dont le Baron m’a tant parlé.
J’obéis. Un des hommes me retire mon boléro, pour que les épaules et les seins soient nus. Le Marquis découvre mes mamelons saillants, gros et longs, tendus à l’extrême, quand il est les étire simultanément. Je mouille de plaisir, me retiens de gémir.
Il regarde mes genoux, mes mains et enfin mes lèvres et ma bague à l'annulaire gauche.
- Tes mains sont faites pour porter des fers, ainsi que l’écrin humide. Mais cela sera pour plus tard.
Je manque à m’étrangler en buvant mon cocktail.
- Messieurs, elle est à vous. Déshabille-toi et suce-les.
Nue, en mules, accroupie, cuisses écartées, les yeux baissés, je les suce. Ils sont une dizaine. Je m’applique. On me complimente de pute à sperme, putain à queue et chienne à enculer.
Une fois bien durs, les mandrins m’enculent à tour de rôle. Je suis penchée en avant, cuisses écartées, les mains sur le comptoir. Chacun m’encule jusqu’aux testicules et éjacule soit sur mes fesses soit dans mon anus.
Les cinquième et sixième me font m’asseoir entre leurs cuisses, enculée. On caresse ainsi mes reins, mes fesses, mon cou, mes épaules, mon dos, tout en doigtant ma chatte trempée. J’ai le droit de jouir, dans cette position.
Le septième m’invite à le rejoindre sur le canapé. Je m’assois sur lui, il enfonce son gros mandrin dans mon anus béant et lubrifié. Je replie mes jambes, genoux vers mon buste, mes pieds agacent les jambes de l’homme. Il me soulève sur son mandrin pour mieux m’empaler.
Le huitième et le neuvième m’enculent. Cette fois, je suis face à eux, mes jambes posées sur leurs épaules, maintenue sous les reins, empalée jusqu’aux testicules. Je connais de violents orgasmes anaux et je reçois leurs spermes dans mon anus.
Le dixième, pour me reposer, m’invite à s’empaler sur lui. Il est accoudé. Je m’empale jusqu’aux testicules, face à lui, mes cuisses très écartées de part et d’autre du bassin. Je me balance d’avant en arrière et je reçois de longues giclées de spermes chauds.
Pantelante, je les suce, pour les nettoyer.
Le Marquis me complimente :
- Dix étalons, pour ma chienne 66, ce n’est qu’un début. Va te doucher et fais un lavement.
Je rejoins une douche transparente, entourée de glaces et de miroirs, où les clients m’observent.
Une fois propre, fardée et parfumée, je finis mon cocktail.
Je mange ensuite, assise, nue, à ses côtés, cuisses écartées, me laissant caresser, les yeux baissés et la bouche entrouverte.
Certains morceaux de viande sont insérés dans ma chatte et je dois les manger, sans les recracher. Je suis surprise par le goût de ma mouille.
Après le dessert et une flûte de champagne, je vais pour me rhabiller.
- Non, tu restes nue. Voici, une cape pour t’habiller, ma chienne doit exhiber son corps nu aux passants.
- Bien, Marquis, je suis votre chienne et je vous obéis.
- Tu peux me tutoyer. Tu es un peu comme ma cousine.
Vêtue de ma cape, les mamelons encore tendus, nue et en mules, nous quittons le club privé. Je porte un énorme bijou d’anus, long de trente-un centimètres et huit de diamètre. Je dois aussi porter un œuf vibrant dans ma chatte trempée.
Les passants me dévisagent, nue, les mains menottées dans le dos, invisibles. La cape s'ouvre quand je marche puisque je ne peux la retenir. Certains vont jusqu’à caresser mes seins, mes clochettes tintent et se balancent entre mes cuisses humides. Je ne contrôle plus mes orgasmes anaux et vaginaux, malgré les différentes variations de l’œuf vibrant.
Au bout d’un quart d’heure, je suis en sueur, malgré les pauses.
Il y a encore un bon quart d’heure de marche jusqu’à ton nouvel appartement, ma chienne.
Le vent frais décuple mon excitation, mes mamelons et mon clitoris me font un peu mal, tandis que les vagues de plaisir se succèdent.
Arrivés au pied d’un discret immeuble, dans une cour intérieure, nous croisons le Comte Xavier de Mille Vices, un bel athlète, du même age que le Baron Donatien. Sont-ils frères ?
- Voici, ma nouvelle chienne, Chienne 66, élégante, docile, vicieuse et excellente chienne anale. Caresse sa chatte toute humide, elle a du avoir de multiples orgasmes avec l’œuf du désir.
- Toute trempée, elle est bien humide et elle sent bon. Combien d’hommes l’ont prise au club ?
- Dix pour commencer, sans ceux du « Pavillon du Lac », elle est fait forte impression, jeune vierge. Son œillet s’ouvre sur demande. Tu es autorisée à parler, Chienne 66 ?
- Je veux jouir, Marquis.
- Tu es autorisée à avoir ton orgasme, tu es très docile et tu as un beau déhanché.
J’explose dans un violent double orgasme, tout en serrant les fesses et en évitant d’expulser l’œuf.
Le Comte me retire et me le fait nettoyer de ma mouille.
Le Comte me baise, séance tenante, avec mon bijou d‘anus, qui resserre ma chatte de vierge. Je me retiens de jouir, mais son gros mandrin me comble. Il éjacule sur mes fesses.
Nous montons par les escaliers au troisième étage. Je découvre mon nouvel appartement. Mon emploi dans la boutique de lingerie a été adapté.
Ma chambre est la copie de ma cellule du « Pavillon du Lac ». Je possède une douche avec une canule. Des miroirs et des glaces sur les murs et au plafond dans toutes les pièces, sans rideau. Mon intimité est révélée à mes voisins, des amis du Comte et du Marquis.
- Chienne 66, ton corps est désormais public, donc en ma présence ou en présence d'un de mes représentants, tu dois te montrer nue sur un simple ordre. Ou que ce soit, quand que ce soit et devant qui que ce soit. Tu n'as pas de temps de réflexion. Tu dois t'exécuter à la seconde même. En dehors de ma présence ou de quelqu'un qui me remplace, si quelqu'un te touche, te tripote, te pelote, tu dois te laisser faire comme si c'était quelque chose de tout à fait normal, qui que ce soit et ou que ce soit. Même si ça va jusqu'à te faire enculer. Dans ce cas, tu dois me tenir informé du fait que tu t'es faîte prendre par quelqu'un et tu dois me donner tous les détails. Dès maintenant et définitivement, tu n'as plus le droit de te masturber ni de te caresser. Pour faire simple, tu n'as plus le droit au plaisir sauf quand je t'y autorises et uniquement en ma présence. Tu n'as le droit de porter des vêtements que lorsque tu dois sortir sauf ordres contraires, le reste du temps et ou que tu sois, avec qui que tu sois et n'importe quand, tu dois être complètement nue. La nuit, toutes les lumières restent allumées. Tu te conduits comme une pute, une putain, une chienne. Tu dors sur le chevalet, nue. Que tu sois chez toi ou n'importe ou ailleurs, seule ou pas, tu restes nue. Tu te douches à l’eau froide, ainsi que ton lavement. Seules les parties à maquiller sont essuyées. La position d'attente d'une esclave, c'est à genoux, cuisses écartées, assise sur tes talons, le dos bien droit, légèrement cambrée, la tête droite mais les yeux baissés, les mains posées sur les cuisses paumes vers le haut. Ta bouche dois rester légèrement entrouverte. Tu dois adopter cette posture à chaque fois que tu n’es pas utilisée et ce ou que ce soit. Pour finir, dorénavant, si tu dois ramasser quelque chose par terre, tu te penches en avant en gardant les jambes tendues. Quelques soit la longueur de ta robe ou de ta jupe et ou que tu sois. Jamais d'exception à cette règle. Je vais te retirer ton bijou d’anus, pour exhiber ton œillet au Comte.
Je suis agenouillée, nue, sans ma cape, déchaussée, les mains dans le dos, le buste sur le canapé.
Le Marquis me caresse les fesses,
- Son œillet élargi par les multiples saillies canines, la rend encore plus désirable, annonce le Marquis au Comte.
Cuisses écartées, la main du Marquis est appuyée sur ma taille.
- C’est une vraie chienne, élégante, complimente le Marquis.
- Son œillet béant qui se referme un peu, montre sa souplesse. Je peux jouir avec ma queue dans son puits.
- Faites, Comte, la chienne doit retarder son orgasme.
Les yeux baissés, la bouche entrouverte, le mandrin long de trente-un centimètres et huit de diamètre me remplit jusqu’aux testicules. Il me fesse magistralement. Il m’encule sauvagement. Je me retiens de gémir, écartelée.
- Le sexe du Centaure lui fera un grand bien. Cette chienne a besoin de connaître d’autres sexes.
Le Comte se retire et éjacule sur mes fesses, avant mon orgasme anal.
Je suis conduite sous la statue d’un sublime Centaure, mi-homme, mi-cheval, doté d’un sexe réaliste de trente-cinq centimètres et huit de diamètre.
Je me baise avec, déclenchant un violent orgasme.
Je me sens surprise par le sexe équin qui m’a baisé.
- Ecarte-lui les fesses, elle doit être aussi enculée, dit le Marquis.
La saillie anale équine est un peu douloureuse, malgré la lubrification par le sperme de mes amants.
Mon anus résiste interminablement. Je grimace de douleur. Enfin le passage anal cède à la pression. Le gode m’encule profondément. Je hurle de douleur tellement ça fait mal. Le plaisir anal m’envahit lors de mes va-et-vient tout comme lors de ma chatte. Le gode gonfle en moi, au maximum de son érection. Puis l’anus béant, rougi, distendu après mon orgasme anal, je suis sauvagement prise en double anale par mes amants excités. Je les suce et avale tout.
Libre, je me douche devant eux.
Je suis menottée nue au chevalet, pour l’après-midi.
Un inconnu me fait saillir pendant plus d’une heure par un dogue allemand. Je ne compte plus mes orgasmes anaux.
Puis je suis à nouveau enculée sous le Centaure, pour que mon anus s’habitue.
Mes amis transsexuels m’enculent, sur le chevalet. Ils me complimentent pour mes tatouages sur mon corps.

Pendant une semaine à mon appartement, le plus souvent menottée à mon chevalet, les yeux bandés, nue, saillie par de nombreux chiens du berger allemand au dogue allemand, pour que je reste bien assoupli de l’anus. Des fois, agenouillée, cuisses écartées, les mains dans le dos, les yeux bandés, je dois sucer jusqu’à une quinzaine d’inconnus et avaler leurs spermes, tout en portant mon plus gros bijou d’anus. Rares, sont les hommes à m’enculer, seuls le Baron, le Comte et le Marquis ont ce privilège et je me retiens de jouir. Je suis nourrie, menottée au chevalet ou agenouillée. Je me fais enculer par le Centaure trois fois par jour. Des voyeurs de l’immeuble qui ont mon numéro, me laissent des messages coquins, vicieux sur mes exploits à la vue de tous. Tous rêvent de me faire jouir.

5 août,
Après une nouvelle courte nuit de saillies canines et du Centaure, vers 8 heures, j’émerge. Mon anus dégouline du surplus de spermes canins.
Le Marquis vient me voir et m’annonce :
- Ma chienne 66, le séjour à l’appartement prend fin. Tu vas pouvoir retourner à la boutique de lingerie. Un de tes voyeurs, un écrivain, m’a remis ce colis pour toi. Va te doucher et met ton bijou d’anus.
J’obéis, fardée, parfumée, les clochettes à mes mamelons et en mules, coiffée d’une queue-de-cheval. J’ouvre le colis, il contient un corset seins nus et une guêpière seins nus sans jarretelles à ma taille.
La guêpière possède un busc, sur un côté derrière, permet de boucler et de déboucler. Par-derrière aussi, un large laçage se serre ou se desserre à volonté. Le Marquis me la lace aussi étroitement qu'il peut. Je sens ma taille et mon ventre se creuser sous la pression des baleines, qui sur le ventre descendaient presque jusqu'au pubis, qu'elles dégagent, ainsi que les hanches. La guêpière est plus courte par-derrière et laisse la croupe entièrement libre.
- Tu seras plus accessible, sans te déshabiller. Tu vas la porter tous les jours. Mets ton chemisier transparent et ta jupe ample mi-cuisses pour couvrir tes clochettes à tes grandes lèvres humides.
Le chemisier n’a aucun bouton, pour que tout le monde puisse caresser mes seins nus.
Je déjeune.
Cet après-midi, tu as rendez-vous au club libertin « Cravache et Vices », pour satisfaire vingt étalons très bien montés d’Afrique Noire pour t’enculer et tu avales leurs spermes, ma chienne.
Nous ne prenons pas l’ascenseur, mais les escaliers. Mes mules claquent sur les marches carrelées, faisant tinter mes clochettes entre mes cuisses. Les locataires me dévisagent, certains m’embrassent langoureusement sur la bouche, me caressent les seins, faisant durcir davantage mes mamelons tendus.
Nous allons à pied jusqu’à la boutique, à une demi-heure de là. Le quartier m’est familier. Des jeunes me draguent, je garde les yeux baissés et la bouche entrouverte.
- C’est une vraie pute, monsieur.
- Oui, c’est ma nièce, Vanessa, une superbe pute tous services, dit le Marquis.
- Elle aime se faire enculer, ta nièce.
- Oui, Vanessa, raconte-lui.
Je dois confesser mon séjour au « Pavillon du Lac ».
- C’est bien ça, tu es une vraie pute soumise.
- Tu veux ma queue dans ton puits, putain, dit le second, un beau Adonis, bien monté.
- Allons dans la ruelle, vous l’enculerez à quatre. Tu es prête, Vanessa.
- Oui, je suis prête.
Penchée en avant, la jupe relevée, les fesses nues, les clochettes tintent à chaque coup de rein. Ils m’enculent sauvagement, m’insultent, me fessent et je dois recevoir dans mon anus. Pantelante, je les nettoie sans perdre une goutte.
Ils donnent un gros billet au Marquis, qui les remercie.
A la boutique, je suis sauvagement enculée par les maris et les amants des clientes. Je lèche l’anus de ces dames.
Après une remise en beauté, je reviens le club libertin, à pied.
Là, juste vêtue de ma guêpière, en mules, je suce mes amants, avant d’enchaîner les double pénétrations, les doubles anales. Je suis cravachée sur les fesses pour m’encourager.
Une dizaine de clients complète les vingt qui me sont destinées. Des femmes m’embrassent sur la bouche, caressent mes seins pour m’exciter, mais elles ne me doigtent pas.
Des litres de sperme dégoulinent de ma chatte et de mon anus.
Au trentième, je perds connaissance. Je prends un peu de repos, avant de m’offrir aux vingt.
Je ne sors du club libertin, après soixante pénétrations, de multiples orgasmes et la bouche remplie de spermes. L’argent est mis sur un compte. Mes fesses et mes cuisses portent les marques des coups de cravache et de garcette.
Le Marquis m’a observé et me reconduit à l’immeuble.
Après ma douche réparatrice et un bon souper, je dois tout raconter sur ma journée de soumise, menottée au chevalet, sauvagement enculée par le Marquis.
Une dizaine de chiens m’enculent, me laissant peu de repos.
Mon téléphone sonne et j’entends sur le répondeur :
- Alors, chienne 66, tu en prends goût, des grosses queues dans ton puits. J’ai hâte de remplir ton puits et ta bouche dressée. Je fantasme sur tes ébats de ton appartement. Tu mouilles, je le sais. Je t’observe par de discrètes caméras installées chez toi. Tu as aimée mes cadeaux, ma chienne. Tu as gardé la guêpière. Elle te va à merveille, mettant en valeur des hanches de courtisane, ton dos cambré et tes fesses musclées en arrière, ainsi que tes seins tendent même leurs mamelons durcis. Elle moule le corps, pour en épouser les formes et les mettre en valeur.
Puis il raccroche. J’en suis toute excitée, mes mamelons et mon clitoris sont tendus à l’extrême.

6 août
Peu après ma douche, on sonne à ma porte. Je reste nue et en mules et j’ouvre.
Un bel étalon aveugle se présente à moi, avec son berger allemand, chien d’aveugle.
- Tu es Chienne 66. Je m’appelle le Duc des Plaisirs, écrivain. Tu es ma nouvelle muse.
Je le fais entrer. Il me caresse le visage et m’annonce :
- Tu as les yeux verts et de superbes cheveux.
Ses mains descendent le long de mon corps, il me pelote les seins, étire mes mamelons tendus. Je commence à jouir.
Il caresse longuement ma toison pubienne, me masturbe le clitoris tendu, en écartant bien ma chatte trempée et me doigte l’anus simultanément.
- Tu es bien chaude. Ecarte bien tes fesses, je vais t’enculer avec ma belle queue.
En effet, le bel étalon m’offre un long mandrin que je suce, dans un 69 torride.
Je m’allonge sur lui, le suçant. Je lui lèche, suce, mordille son mandrin, ma langue  lape son gland, titiller son urètre, son frein, avant de s’enrouler autour de ses testicules velues. Je lui lèche tendrement son anus, le doigte, le détend puis revenir à son mandrin avant de repasser à son cul, pendant qu’il me lèche la chatte, me doigte l’anus. Je me retiens de jouir. Je descends jusqu’à la racine du mandrin et je commence mes mouvements de va et vient. Une fois le mandrin en bouche je passe ma langue sur le mandrin offert en insistant bien sur le frein. Je passe de l’anus au mandrin et vice versa pour rendre mon partenaire fou de plaisir et l’amener au bord de l’éjaculation. Il masturbe mon clitoris, le lèche.
Bien lubrifiée, il m’enfonce son mandrin long de seize centimètres. Nous sommes tête-bêche comme pour le 69, allongés sur le ventre, dos à dos. Je suis allongée sous lui, nos jambes entrelacées. Son gros mandrin m’écartèle l’anus et je jouis.
Sans débander, il m’allonge sur le dos, cuisses relevées et bloquées par ses cuisses, en traction.
- Tu aimes que je t’encules, ma chienne.
- Oui, Duc, faites-moi jouir. Donnes-moi ton sperme.
Le berger allemand du Duc approche son sexe en érection de ma bouche ouverte par mes râles de plaisir.
- Suce Arès, ma chienne.
J’obéis. Dès le retrait du Duc, Arès m’encule dans la même position et je connais quatre orgasmes, largement inondée. Je suce le Duc.
- Tu es une sacrée chienne, qui suce bien. Garde la pose, je t’encule encore une fois.
Je connais un violent orgasme, suivi d’une longue éjaculation du Duc, la bouche remplie du sperme d’Arès.
Je remets mon bijou d‘anus, pantelante.
Nous prenons une douche jouissive.
On sonne. Je reste nue et en mules et j’ouvre au Marquis.
- Tiens, ma Chienne 66 a fait la connaissance du Duc. Tu aimes sa queue et celle d’Arès.
- Oui, Maître, je suis votre Chienne.
- Chienne 66, je vais enculer le Duc et tu vas le sucer, pendant qu’Arès t’encules.
Le Duc s’empale, sur le mandrin du Marquis. Je suis subjugué par le spectacle. Tout en suçant le Duc, qui bande dans ma bouche, Arès m’encule jusqu’au nœud. Je reste attachée à lui, une bonne demi-heure.
L’anus dégoulinant de sperme, je m’encule sur le Marquis, tandis que le Duc me baise. Je connais un double orgasme violent.
Pantelante, je dois m’enculer sur le sexe du Centaure, tout en suçant le Duc, le Marquis et Arès, je dois tout avaler.
Le Duc m’encule, tandis que je me baise avec le sexe d’Arès, la bouche ouverte, remplie par le mandrin du Marquis.
Tous éjaculent en moi.
Menottée au chevalet, je suis cravachée sur les fesses, comptant les coups du Duc.
- Tu aimes ça, ma Chienne, annonce le Duc.
- Oui, Maître, fouettez-moi. Je suis votre soumise.
Après le départ d‘Arès, du Duc et du Marquis, je me fais saillir par mes amants canins, avant une longue douche réparatrice et un long lavement.

14 août
Je reçois deux rangées d’anneaux dorés à mes grandes lèvres, pour me faire reconnaître.
Le Marquis et le Duc aiment me promener dans mes tenues seins nus.
Je fais deux toilettes quotidiennes. Le matin, les besoins naturels effectués, une toilette minutieuse, cuisses grandes ouvertes, pour faciliter les soins réservés à ses organes génitaux et à son anus.
Le dimanche je "bénéficie" en plus d'une grande toilette interne sous forme d'un lavement et d'une irrigation vaginale prolongée. Je retiens le liquide ou au ,contraire le laisser s'écouler. Il me savonne tout le corps, avec une douche tiède et prolongée accompagnée du balayage soigneux d'une énorme éponge sur laquelle je me frotte plusieurs fois. Lorsque l'éponge est disposée entre mes cuisses ou sur mes seins, je me retiens de jouir. Il me rase la chatte et l’anus.
La toilette du soir se résume en général à une douche prolongée, identique à celle du matin, accompagnée par la grosse éponge.
Depuis ma rencontre avec le Baron, mes jupes se raccourcissent et de plus en plus fines. Mes hauts de plus en plus décolletés et surtout de plus en plus transparents. J'ai pu constater qu'il n'y a pas que les hommes qui me regardent avec insistance mais les femmes aussi. Quelques fois avec des reproches dans les yeux mais souvent avec de l'envie. Je suis terriblement excitée. Plus j'étais excitée et plus parfois c'est gênant car ça ce voit parfaitement bien.
Les sodomies dans les ruelles, se succèdent à celles dans des parcs privés, même Arès m’encule dans les parcs.
Mes visites assidues quotidiennes au club libertin « Cravache et Vices » me font connaître de nouveaux clients plus pervers. Ce n’est pas rare que je finisse les fesses et les cuisses bien zébrées. Tous aiment ma chatte trempée par les séances.
Nous allons aussi dans des restaurants chics, présentée comme la nièce Vanessa.
Je dois satisfaire les désirs des serveurs dans les toilettes pour hommes.
Je gagne bien ma vie comme Chienne.

10 septembre
Après ma matinée à la boutique, vêtue de ma robe à corselet seins nus, sans mon boléro dans la boutique et en mules à talons de quinze centimètres, coiffée de ma queue-de-cheval, pour que tout le monde voit C66, je suis désormais intégralement épilée et je prends soin de rester totalement lisse, dégageant mon gros clitoris récemment percé d’un anneau doré serti d’une pierre précieuse.
Le Baron m’a laissé un petit mot à Alban.
J’ouvre l’enveloppe :
- Chienne 66, tu es attendue à « Haras des Plaisirs », de mon ami, Vicomte Alexandre de Bijou du Désir de Sexe et Mont Plaisir. Il est très intéressé de te voir saillir.
César m’attend. Je rejoins le « Haras », qui se trouve à cinq heures de vol par hélicoptère.
Sur un aérodrome privé, un hélicoptère Dauphin m’attend. Je dois m’asseoir toute nue sur la banquette arrière, l’anus rempli par un gode équin similaire à celui du Centaure. Mon anus s’est habitué à ce diamètre.
Le pilote m’observe de temps à autre. César me caresse juste ce qu’il faut, pour retarder mon orgasme. Je mouille, les cuisses écartées, la porte ouverte fait entrer le vent frais qui m’excite davantage les mamelons et le clitoris.
Au bout de trois heures de caresse, je connais enfin mon premier orgasme, le muscle anal se contracte très fortement sur le gode équin.
Arrivée au haras, toute nue, je suis tenue en laisse par mes anneaux de ma chatte. J’entends les étalons hennir. Ils saillissent de jeunes soumises.
Le vicomte, un bel homme, me dévisage. Je garde les yeux baissés.
- De Chienne, tu vas devenir une Pute Chevaline d’ici quelques jours. Ton œillet assoupli n’a aucun mal à recevoir leurs sexes en érection.
Il me menotte sur un chevalet, il me retire le gode équin et juge de mon anus béant et humide.
- Eclair de Haies, un magnifique alezan est ton amant équin, Chienne 66. Ton œillet est bien ouvert, ma Chienne. Je vais m’enfoncer le sexe dans ton puits.
Positionnant le gland du membre devenu moins dur sur sa rondelle, je commence à  pousser. Le sphincter cède. J’hurle de douleur, le vicomte l’enfonce millimètre par millimètre, je serre jusqu’à trente centimètres de bite de cheval pour m’enculer. Je m’agite doucement puis, mon anus se dilatant, accélère le mouvement mais m'arrête net en poussant un hurlement de douleur: le cheval bande de plus belle. Je l’excite. Bientôt, mes cris de douleurs deviennent des râles de plaisir incontrôlés. Je retrouve le même plaisir qu’avec les chiens.
- Vicomte, je suis une Pute à cheval. C’est très jouissif, une telle queue.
- Oui, Chienne, attends qu’il éjacule en toi. Tu vas me sucer.
Je dois sucer le gros mandrin du vicomte.
Pendant ce temps, le cheval éjacule et me provoque un orgasme. Le vicomte éjacule dans ma bouche, presque simultanément, j’avale tout.
Un miroir m’offre une vue de mon anus rougi complètement distendu et boursouflé ce qui libère un flot de sperme.
Satisfait de ma première saillie anale équine, je suis offerte à un cheval de selle français, Flèche d’Alizé. Je connais deux orgasmes en sa compagnie.
Pantelante, je dois sucer le personnel masculin du haras. Je suis rincée à l’eau froide, le sperme est récupéré de mon anus, pour que je le boive.
Les saillies anales équines et canines en alternance, je suis aux anges. Le sexe de mes étalons m’encourage vers plus de vices.

25 septembre
Après mon transfert à l’aube, en hélicoptère, toute nue, en mules, avec mon gros gode équin dans mon anus, je retrouve César.
Il m’encule sauvagement.
Bien dressée, je rejoins un nouveau lieu. « Domaine des Soumises », un château isolé, entouré par plusieurs points de contrôle.
Dès le premier point de contrôle, je suis longuement fouillée, sans ménagement. Je dois répondre sur mes tatouages et mes anneaux.
Au troisième point de contrôle, je suis sauvagement enculée par les gardiens, devant les sucer et tout avaler.
Enfin, nous arrivons, escortés par des gardiens à cheval et des maîtres-chiens, à un superbe château.
Je suis tenue en laisse par mes anneaux, les yeux baissés, avec un bâillon O, l’anus libre.
- Chienne 66 deviens Putain 99, qui sera marquée au fer rouge, sur l’intérieur de sa cuisse gauche et elle sera ferrée. Putain 99 est destinée au plaisir des invités, dès cet après-midi.
Après une douche froide et un lavement anal, je rejoins le salon, dans ma robe à corselet seins nus, sans mon boléro, en mules. Ma bouche est fardée avec un rouge clair, un peu liquide, appliqué au pinceau, et qui fonce en séchant. Elle lui peignit du même rouge l'aréole et le mamelon tendu à l’extrême, et les petites lèvres entre ses cuisses, en soulignant la fente du giron, le visage poudré.
Je porte aussi mon collier et mes bracelets de fer inoxydable, articulés et à demi rigides. Ils sont hauts de près de deux doigts et portent chacun un anneau de même métal. Je les garde jour et nuit, ni même pour me baigner. Je ne porte plus mon bâillon O.
- Tes seins et tes fesses sont vraiment faits pour la cravache, Putain 99, dit un des hommes, tu t'en rends compte, oui ?
Au salon, les yeux baissés, la bouche entrouverte, seule, je découvre trois beaux étalons qui viennent à ma rencontre.
- C’est la célèbre Chienne 66, devenue Putain 99, une adepte des saillies et du fouet, dit l’un d’eux.
- Quelle bouche bien dressée, elle sait ce qu’on attend d’elle.
- Viens donner tes jolis seins.
Je m’offre à leurs caresses, commentaires de pute, putain et chienne.
Un des hommes, au gros mandrin, m’encule séance tenante. Je dois sucer l’homme qui m’a caressé les seins. Je mouille de désir. Les testicules claquent contre mes fesses brûlantes sous les fessées.
Trois hommes m’enculent et deux en double anale, je ne peux refuser.
Puis je monte à la chambre, en leur compagnie. Nue, ils me fouettent, menottée à mon lit, m’enculent, me font sucer et même un des bergers allemands d’un des hommes m’encule. Je suis pantelante, l’anus rempli de sperme. Un des hommes me met un gros bijou d’anus.
J’ai droit à un nouveau lavement, avant de m’offrir à une douzaine de clients jusqu’au coucher du soleil.
Après le repas, nue au réfectoire, avec mon bijou d’anus, je suis à nouveau enculée, fouettée jusqu’à l’aube.
Nue, dans ma chambre, après ma douche froide, je suis menottée nue, cuisses écartées, livrée aux valets et à leurs chiens. Je porte des fers d’essais à mes grandes lèvres humides.

Jusqu’au 15 octobre, les invités se succèdent, me complimentent.

Menottée au chevalet, je reçois mes fers définitifs. Ce sont des anneaux de fer mat inoxydable, comme le fer de la bague doublée d'or. A chacune de mes grandes lèvres de ma chatte, en lieu et place d’un des anneaux dorés, la tige ronde, épaisse, et oblongs : les maillons des grosses chaînes sont semblables. Chacun est formé de deux U qui s'emboîtent l'un dans l'autre. Le ressort intérieur sur lequel on doit forcer pour le faire pénétrer dans la rainure où il se bloque. Une fois posé, il est impossible de l'ôter, il faut limer. » Chaque anneau est long comme deux phalanges du petit doigt, qu'on y peut glisser. A chacun était suspendu, un anneau qui doit être dans le même plan que l'oreille et la prolonger, un disque de même métal aussi large que l'anneau était long. Sur une des faces, les initiales du Baron, du Marquis et du Comte, sur chacun et au-dessous, un fouet et une cravache entrecroisés. Les fers me descendent jusqu'au tiers de la cuisse, et à chacun de mes pas bougent entre mes jambes comme un battant de cloche, le disque gravé étant plus lourd et plus long que l'anneau auquel il pend. Les marques imprimées par le fer rouge, hautes de trois doigts et larges de moitié leur hauteur, sont creusées dans la chair comme par une gouge, de l’intérieur de ma cuisse gauche, à près d'un centimètre de profondeur. Rien que de les effleurer, on les perçoit sous le doigt. De ces fers et de ces marques, j’éprouve une fierté insensée.
Je deviens une soumise officielle de premier rang selon les lois du « Domaine ». Je suis apte à me faire saillir par des chiens, des chevaux et aussi par des hommes. Je suis bien payée.
Je sais qu’un jour, un amant me sera promis, pour que je devienne sa soumise, pute, putain et surtout sa chienne.


A bientôt, mes amants, votre Chienne Pénélope.