Je m’appelle Pénélope.
J’ai 18 ans.
Je suis une jolie beauté scandinave.
Je suis une brune aux yeux verts. J’ai des pieds fins et
latins, des jambes longues bronzées, musclées qui inquiètent par leur
perfection. Mon pénil est bombé, ouvert, couronné de noir. Ma pilosité brune
couvre mon pubis. Ma chatte est velue et j’ai une superbe croupe. Les lèvres de
mon sexe sont une plaie rouge entre mon entrecuisse. Mes hanches s'incurvent et
délimitent le ventre plat, délicieusement renflé autour du nombril, les hanches
sont larges et rondes, mais sans lourdeur. La taille est affinée. Les seins
parfaits intégralement bronzés sont un peu volumineux mais fermes, et leurs
pointes marron clair, toujours dressées, cernées par une large aréole marron
attirent le regard. J’ai une peau lisse et patine. Finition parfaite, un seul
grain de beauté entre mes superbes seins. De longs cheveux plats blonds
flottant comme des algues, battent mes épaules rondes et gracieusement
athlétiques. Je suis intégralement bronzée. Mes yeux verts limpides s'allument,
ma bouche charnue se fend. J’ai des sourcils bruns bien dessinés et des lèvres
pulpeuses. J’ai de longs doigts fins et de belles mains. Je fais du 90B de
poitrine, 56 de taille, 90 de hanches, 1,72 m.
PENELOPE LA VICIEUSE
15 juillet
Depuis l’âge de mes 16 ans, je suis employée comme stagiaire, dans une
boutique de lingerie. J’aime beaucoup les variantes un porte-jarretelles, des
bas, une culotte ou un string ; mais je n’ai jamais pensé à me mettre sans
culotte avec mon porte-jarretelles, des bas, sans culotte.
Je sais que je mouille rapidement par l’excitation quand je vois un bel
étalon musclé, pensant à son mandrin bien gros. Je suis encore vierge, malgré
mes ébats lesbiens avec mes collègues de la boutique. Je jouis sous leurs langues,
lors de nos 69 torrides. Je jouis souvent la première.
Je n’ai jamais pensé à offrir mon anus à mes collègues.
Quand je suis chez moi, je fantasme sur mes amants, en me godant trop
profondément la chatte, tout en masturbant mon clitoris tendu tout comme mes
mamelons, dans des poses pornographiques devant mon miroir. Je savoure ma
mouille. Je me cambre, prosternée, cuisses écartées, les yeux clos.
Je sais que j’attire les hommes, mais je n’accepte que leurs caresses
de mes seins, le plus souvent, nus et libres, ou sous ma culotte ou mon string,
pour dénicher ma chatte et mon clitoris, pour jouir.
Cet après-midi, je reçois la visite de deux clientes : une brune
aux petits seins, en robe estivale, noire, en escarpins noirs et une blonde aux
seins plantureux, en tailleur blanc et sandales blanches à hauts talons.
Je suis vêtue d’une robe fuchsia, au décolleté en V, sur mes seins nus,
ample, jusqu’à mi-cuisses, sur ma culotte blanche et des mules blanches à
petits talons, maquillée et parfumée. Le directeur, Alban, qui a le double de
mon âge, m’observe, depuis l’arrière-boutique.
Aimée, la brune me questionne sur des dessous. Je lui montre la
dernière collection, pour des ensembles soutien-gorge, string et
porte-jarretelles, sobres et pigeonnants.
Val, la blonde, me questionne :
- Mademoiselle, je recherche des dessous transparents, mettant en
valeur mon corps.
Je lui présente les divers modèles, qu’elle essaie.
Lors des essayages, je suis subjuguée par la beauté d’Aimée, qui est
intégralement épilée, avec le clitoris percé d’un anneau doré, ainsi que ses
grandes lèvres. Elle me susurre :
- Je suis une soumise. Mon Maître aime que je ne porte ni culotte ni
string, mais m’autorise des soutien-gorges. Vous avez de superbes petits seins.
- Merci, je ne suis pas soumise, mais je rêve de connaître des amants.
Aimée me paye ses achats. Quand je découvre Val, dans ses dessous
transparents, je suis surprise.
- Mais, vous avez une queue.
- Bien sûr, je suis disons un transsexuel et non un travesti. Tu veux
la sucer.
Alban me pousse vers Val et accroupie, cuisses écartées, je dégage le
gros mandrin, long de trente centimètres et huit de diamètre. Je montre mon
talent de suceuse, sur ce vrai mandrin, me rappelant les godes que je suce avec
mes collègues.
Val éjacule dans ma bouche.
- Avalez, tout. Vous êtes une
experte.
J’obéis.
- J’ai hâte de connaître votre écrin et votre œillet.
Rhabillée, Val me remet une carte de visite.
Je suis toute émue, par le baiser langoureux de Val, qui glisse sa main
dans ma culotte, pour caresser mon clitoris tendu, d’excitation. Mes mamelons
sont tendus sous mon décolleté.
A la fermeture, Alban m’annonce :
- Prenez votre journée demain. Votre collègue vous remplace.
De retour à mon appartement, je reste nue, après ma longue douche
masturbatoire, fantasmant sur le mandrin de Val.
Mon téléphone sonne.
Je décroche :
- Pénélope, c’est Iris, l’amie de Val, venez demain nous voir à notre
adresse. Nous avons hâte de vous connaître.
Je passe la soirée, à me goder la chatte, me faisant jouir, jusqu’à de
multiples orgasmes violents.
16 juillet
Après mon déjeuner et ma douche, je choisis un tee-shirt blanc sur mes
seins nus et une jupe ample fuchsia, en ne mettant pas de culotte ni de string,
mes sandales blanches à hauts talons de dix centimètres, aux ongles des pieds
vernis en rouge, maquillée, parfumée, coiffée d’une queue-de-cheval. J’ai envie
de connaître la sensation d’avoir aussi les seins nus et libres, me met dans un
état d’excitation. C’est peut-être l’idée de transgresser un interdit ou au moins
une convenance non dite par la société bien pensante.
Arrivée à l’adresse indiquée à une demi-heure de marche, je croise un
premier couple de transsexuels brésiliens, Diane et Désiré, puis un couple
lesbien Jasmine et Hermine et enfin, au cinquième étage, sans ascenseur, je
découvre Iris, une superbe brune aux petits seins, un transsexuel et Emmanuel,
une blonde aux seins plantureux. Elles sont nus, leurs mandrins sont
impressionnants : Iris, trente-quatre centimètres et huit de diamètre et
Emmanuel, vingt-sept centimètres et six de diamètre.
Nue, je les suce à tour de rôle.
Dans l’excitation, Iris me caresse la chatte, toute trempée et mon
clitoris tendu.
- Tu es vraiment mouillée, ma chérie, c’est vraiment signe que tu as
bien joui, j’adore quand tu es comme ça. Tes lèvres intimes légèrement humides
et écartées par ta provocation. Puis ton oeillet, parce qu’à quatre pattes, on
ne peut pas rater le spectacle.
Emmanuel m’écarte les lèvres de ma chatte.
Val s’occupe de mon anus.
- Même ton oeillet est imbibé de mouille, lui aussi doit avoir besoin
de câlins.
Emmanuel plonge un doigt dans ma chatte et Val lubrifie mon anus avec
ma mouille, pour me préparer.
- Mais je ne l’ai jamais fait, alors j’ai un peu peur d’avoir mal.
- Ne t’affole pas, je vais faire doucement, si tu as trop mal, tu le
dis et j’arrête.
- Ok, vas-y doucement !
J’ai droit ensuite aux deux doigts de Val, Emmanuel enfonce son mandrin
dans ma chatte et me fait me coucher sur lui, pour mieux offrir mes fesses.
Iris me fait sucer son mandrin.
- Quand je commence à pénétrer ton oeillet, tu pousses, tu comprends ?
Je commence à me sentir écartelée.
- Ça y’est, j’ai entré entièrement le bout, tu es dilatée au maximum.
J’arrête un moment pour que ton corps s’habitue.
Prise en double pénétration, Emmanuel est couché sur le dos, je
m’empale sur son mandrin dans ma chatte trempée et Val m’encule simultanément,
appuie ses jambes ouvertes sur les miennes et ses bras dans le dos.
Puis Val se trouve sur le dos et je m’empale enculée, toujours avec les
jambes ouvertes pour permettre la double pénétration. Emmanuel me baise.
Emmanuel me prend dans ses bras, je l'entoure avec mes jambes et se
laisse pénétrer baiser et Val m’encule, soutenant également une partie de mon
poids.
Je connais une double défloration, profondément enculée, Val caresse
mon clitoris tendu. Val démarre de lents et courts allers et retours dans mon
anus. Bientôt, je discerne la montée du plaisir qui revient, lentement, malgré
une persistante impression de tiraillement de mes chairs les plus intimes.
Ses va-et-vient entre mes fesses deviennent plus amples, la jouissance
qui monte a tout effacé. Je commence à onduler en même temps que mon chéri
s’agite en moi, je m’empale toute seule. Les va-et-vient dans ma chatte sont
cadencés avec ceux qui m’enculent. Lentement, il accélère le rythme, tandis que
je m’entends geindre. Je connais un double orgasme, Val éjacule et Iris prend
le relais. Mais cette fois, je suis empalée sur Iris, dos à Iris, la chatte
honorée par Emmanuel, jusqu’à un nouvel double orgasme.
- Maintenant, tu peux m’appeler « ma petite enculée ! »
Bien sûr, Emmanuel m’encule en solo, à quatre pattes.
Mes râles de plaisir ont provoqué la venue des jumeaux homosexuels,
Adonis et Eros, aux gros mandrins, trente-cinq centimètres et huit de diamètre.
Ils s’enculent mutuellement et je dois les sucer, tout en étant enculée
par Emmanuel.
Je suis subjuguée par les ébats homosexuels. Bien Adonis souhaite aussi
m’enculer, tout en étant enculé par Eros.
Je ne peux refuser l’offre.
Cela m’excite davantage. Val me baise en même temps, cuisses grandes
ouvertes, Val me saisit par les chevilles.
Ces sodomies m’ont mises dans un état d’excitation, moi, la vierge. Je
mouille de plus en plus, mon clitoris et mes mamelons sont tendus à l’extrême.
J’en profite pour prendre une douche masturbatoire avec Val. Il me met
un bijou d’anus pour que je conserve le sperme de mes amants. Il est en
aluminium brillant orné par un magnifique cristal rose à son sommet : c’est ce
cristal rose qui est visible entre les fesses une fois qu’il est introduit dans
l’anus. Il est très doux et très petit, je connais une délicieuse excitation
anale permanente et mesure six centimètres de long et trois de diamètre, pour
un poids 34 grammes. Il a une forme en sapin et sa large base me garantissent
un excellent maintien dans l’anus. La section qui relie les deux extrémités est
très fine et douce afin de laisser l’anus se refermer dessus sans gêne. La tige
de la taille de l’auriculaire sert de support lorsque le sphincter se referme.
- Ainsi, ton œillet reste dilaté, le prépare à la sodomie, la rendre
plus facile et moins douloureuse aussi.
- C’est froid, mais j’aime.
Diane et Désiré me conduisent à leur appartement, au troisième étage.
Je reste nue, en sandales, les cheveux libres.
Je les suce, avant de refaire une série de double pénétrations
jouissives.
Les sodomies sont rapidement jouissives.
- Ton œillet est bien ouvert, ma belle, me susurre Désiré, doté d’un
mandrin long de vingt-trois centimètres et quatre de diamètre. Un beau brun
musclé, africain, mon style d’homme dont je fantasme, aux petits seins.
Le mandrin de Diane mesure vingt-cinq centimètres et six de diamètre.
Diane est une blonde aux petits seins.
Lorsque Diane m’encule, je suis aux anges. Je coulisse sur leurs mandrins,
telle une vraie professionnelle. Mon anus est rempli de nouveaux spermes. Cela
pèse mais je m’habitue.
Bien sûr, en compagnie des brunes Jasmine aux seins plantureux et
Hermine aux petits seins, je suis offerte à un gode-ceinture à deux godes, un
de vingt-trois centimètres et un autre de vingt-cinq, réalistes et cinq de
diamètre tous les deux. Je subis cette double pénétration, à quatre pattes,
léchant à tout de rôle Jasmine et Hermine.
Leurs va-et-vient me font rapidement exploser dans une longue série
d’orgasmes de plus en plus violents.
Bien sûr, je porte le gode-ceinture, muni d’un vibromasseur anal pour
me satisfaire. Je tente de maîtriser les va-et-vient, mais l’orgasme anal
m’irradie rapidement.
Puis Jasmine me retire le vibromasseur du gode-ceinture en interne et
le fixe à un autre gode-ceinture pour m’enculer à sa guise.
Je suis en sueur, prosternée, pour mieux m’offrir à ma chérie.
Nous léchons mutuellement nos chattes et nos anus béants.
Puis nous prenons une longue douche masturbatoire, jusqu’à l’orgasme.
Je me repose, avant de partir, le bijou d’anus remis en place.
Tous m’ont donné leurs cartes pour les contacter et les inviter à la
boutique.
Jasmine me propose une nouvelle tenue plus adaptée : un bustier
blanc, laissant deviner mes mamelons tendus et une jupe éventail grise, avec
des mules blanches à hauts talons de douze centimètres. Je garde ma
queue-de-cheval.
De retour de chez moi, nue, après une longue douche masturbatoire, un
lavement avec une poire anale, je me gode l’anus avec le bijou d’anus et essaye
divers godes que je possède, dans ma chatte et mon anus, pour connaître le
plaisir, tout en masturbant mes mamelons tendus et mon clitoris. Je mouille
comme jamais auparavant.
Je me fais un film porno lesbien, puis hétérosexuel et entre hommes,
pour connaître mon attirance, mais les trois genres m’attirent. Je suis
bisexuelle.
17 juillet
Je me rends à la boutique, vêtue d’une robe semi-transparente,
mi-longue, blanche, au décolleté en dentelle, laissant deviner mes seins nus,
de discrètes fentes permettent l’accès à mes fesses nues et à mon bijou d’anus,
j’ai gardé mon bijou d’anus, une partie de la nuit, me faisant jouir.
Cet après-midi, je suis en compagnie d’Alban, quand Adonis et Eros
viennent acheter des dessous pour leurs amies lesbiennes, Jasmine et Hermine.
Alban se fait enculer et les sucer et tout avaler. Je me masturbe discrètement
devant le spectacle offert.
Après leur départ, c’est un couple, le Baron Donatien de Mille Sévices,
âgé du triple de mon âge, un bel athlète brun, musclé, en costume et son
épouse, sa soumise, un peu plus âgée que moi, la Comtesse Sylvie du Domaine des
Biches de Mon Plaisir, une superbe brune, aux seins plantureux, vêtue d’un
chemisier blanc sans boutons, dévoilant ses seins et une jupe assez courte,
fuchsia, couvrant à peine ses fesses nues, chaussée d’escarpins blancs à talons
de dix centimètres, coiffée d’un chignon.
Sylvie me tutoie :
- Pénélope, je désire les plus dessous de votre boutique. Tu me plais.
Je n’ose baisser les yeux, devant une telle beauté. Je prends ses
mensurations et lui présente les dessous.
- Pénélope, es-tu une séductrice ?
- Oui, Monsieur le Baron, j’aime séduire, tout autant les hommes, les
femmes et les transsexuels.
- Serais-tu prête à connaître de nouveaux désirs ?
- Lesquels, je ne suis pas trop curieuse de nature, mais capricieuse.
J’ai récemment perdu mon pucelage de ma chatte et de mon anus.
- Très bien, doublement ouverte, mais il faudrait davantage, susurre
Sylvie.
- Un œillet plus souple permet de nouvelles possibilités, réplique le
Baron.
- Oui, Pénélope, en pratiquant des sodomies plus souvent, tu vas
connaître de nouveaux désirs, dit Alban.
Alban soulève discrètement la jupe de ma robe, pour dévoiler mes fesses
nues au Baron.
- Tu es cul nu, donc tu es sur la voie de la soumission. Ecarte tes
fesses.
J’obéis, Alban, le Baron et Sylvie découvrent le cristal rose entre mes
fesses.
- En plus, un bijou d’anus pour te préparer, tu me surprends, Pénélope,
dit Alban.
- Non, c’est normal, ma Pénélope a besoin d’avoir son œillet dilaté,
préparée à la sodomie, la rendre plus facile et moins douloureuse aussi.
- Je n’aime pas qu’on me dise « ma », Monsieur le Baron.
- Tu n’aimes pas ce terme « ma », sache que tu es à
partir d’aujourd’hui ma nouvelle soumise. Que cela te plaise ou non. Tu vas
devoir obéir et répondre aux suggestions, tu seras contrainte à être draguée,
humiliée. Voici un livret que tu dois apprendre dans les prochains jours.
- Bien, Monsieur le Baron, je suis novice dans le SM.
Sylvie revient après ses essayages :
- Pénélope, viens me lécher la chatte et l’anus, le Baron va t’enculer
en même temps, ma putain, ma pute, ma chienne.
- Je n’ai jamais lécher l’anus.
- Qui t’a autorisé à parler, ma belle gouine ?
J’obéis, m’accroupie, cuisses écartées.
Mais je dois changer de position, pour mieux offrir mon anus.
Penchée en avant, cuisses écartées, je sens le Baron qui m’écarte bien
les fesses, pour m’ouvrir mon anus dilaté par le bijou d’anus. Il m’encule
jusqu’aux testicules et masturbe mon clitoris tendu.
Au bout d’une demi-heure, je reçois le sperme du Baron et Sylvie pisse
dans ma bouche. Je dois tout avaler.
- Tu manques de concentration. Tu ne dois plus penser, tu dois obéir.
Tu dois te prêter. Tu ne peux te dérober, les lèvres de ta bouche entrouvertes,
les cuisses toujours écartées à toute occasion, pour donner libre accès à ta
bouche, ta chatte et ton œillet. Si tu es punie, pour avoir manqué de
complaisance, ou levé les yeux sur celui qui te parle ou te prend : tu ne dois
jamais regarder un homme ou une femme au
visage. Ta bouche est uniquement vouée à sucer et à recevoir le sperme, ton
oeillet recevra le sperme que celui qui te prends, ma chienne. Tu es
contrainte, tu es consentante, soumise. Tu dois ni regarder un homme au visage,
ni lui parler. Tu dois te taire, et obéir. Tu n'ouvres désormais ici la bouche,
en présence d'un homme, que pour crier ou sucer. Tu as bien compris, ma pute.
J’hoche la tête, les yeux baissés, la bouche entrouverte.
Le couple paye les achats. Je suis encore sous le coup de la correction
que j’ai reçue. Sylvie me remet une boîte. Je l’ouvre, c’est un bijou d’anus un
peu plus gros : dix de long et cinq de diamètre, pour 156 grammes.
Je me mets en place. Il est plus lourd. Mes muscles mettent plus de
temps à s'adapter à votre nouveau bijou d’anus pour agrandir
l'anus.
Je resserre les fesses, pour ne pas le perdre.
Quand je rentre chez moi, nue, après ma douche, je me fais mon lavement
anal.
Mon téléphone sonne.
- Pénélope, c’est Donatien. Tu es nue, avec le bijou d‘anus. As-tu
commencé le tri de tes vêtements ?
Je découvre la liste dans mon courrier : ni culottes ou strings,
plus de soutien-gorges et jamais non plus de body. Mes seins et ma chatte
doivent toujours être nus sous mes vêtements et mon entrejambes jamais
dissimulée. Ni collants, de shorts, de jupes culottes ni bien sur de pantalons.
Mais des jupes ou des robes mais à la condition qu'en aucun cas elles ne soient
plus longues que le milieu de mes cuisses. Mes seins nus constamment sont sous
mes corsages ou chemisiers. Pour tes pieds, tu es pieds nus dans des chaussures
à hauts talons de dix à plus centimètres. Tu te baignes nue à la piscine.
Le tri réalisé, mes vêtements sont dans des valises. Sylvie me
retrouve, avec un carton contenant une nouvelle tenue.
Je l’essaye, c’est une robe pour le grand soleil composée d'une jupe
éventail, qui se retrousse d'un geste, mais toujours à corselet montant jusque
sous les seins, et portée avec un boléro fermé au cou. Il suffit d'enlever le
boléro pour que les épaules et les seins soient nus, et sans même enlever le
boléro, de l'ouvrir, si l'on désire voir les seins.
- Ainsi, tu es plus accessible. Tu la retires que le soir pour te
coucher nue. Mes amies viendront à ta boutique. Tu dois leur obéir, sur leurs
choix.
Sylvie m’embrasse langoureusement sur la bouche et nue, je lui lèche
l’anus, en gage de soumission.
A quatre pattes, elle me donne une dizaine de fessées. Je mouille
abondamment de la chatte, mon clitoris se tend.
- Cela t’excite, les fessées. Ton œillet va se lubrifier plus vite.
Sylvie met un gode-ceinture, doté d’un imposant vibromasseur anal,
trente et un centimètres et six de diamètre, que je suce.
Elle m’encule avec, me fesse, je dois m’empaler sur lui. Puis, sans
débander, je touche le buste de Sylvie, avec mon dos. Sylvie caresse mes seins,
les lèvres humides de ma chatte et mon clitoris.
- Tes mamelons sont bien tendus, tu es excitée. Pense que c’est un
superbe étalon qui t’encule.
J’ondule mon bassin et un violent orgasme anal me terrasse.
Nous renouvelons les ébats jusqu’à l’épuisement.
Sylvie m’abandonne, nue, en sueur, l’anus encore béant et humide.
Je me douche, mange devant un film porno anal hétérosexuel et je me
fais jouir, avec mon bijou d’anus.
18 juillet
Vers deux heures du matin, le téléphone sonne.
Je dors nue sur mes draps.
- Pénélope, tu es prête à te soumettre à tous les vices. Masturbe-toi
jusqu’à l’orgasme.
J’obéis, le téléphone reste décroché. Je me gode avec le bijou d‘anus,
puis avec mes doigts, dans mon anus, en masturbant mon clitoris. L’orgasme est
si violent, je perds connaissance.
- Pénélope, tu es encore là.
- Oui, Donatien, j’ai perdu connaissance, tellement j’ai pris du
plaisir.
- D’ici une date définie, tu vas découvrir de nouveaux amants, qui vont
te soumettre. Pour l’instant, retiens-toi de jouir, si tu es enculée. Ta chatte
ne dois jamais recevoir le moindre sexe.
J’accepte. Il raccroche.
Le matin, après ma douche, je me gode l’anus, avec mes divers objets
que j’ai sous la main. Même, j’enfonce une carotte, un concombre, une
courgette, dans mon anus qui s’ouvre davantage, en fantasmant sur l’étalon qui
m’enculera.
L’après-midi, je deviens la soumise des amies de Sylvie, lors
d’essayages vicieux. Je porte ma robe. Bien sûr, Alban ne se gêne pas pour
m’enculer, dès que possible. Mon anus est un peu plus souple. Les sodomies
m’occasionnent des orgasmes anaux de plus en plus violents, même si je dois me
retenir de jouir.
21 juillet
Après une nouvelle nuit écourtée par les appels téléphoniques du Baron
et de Sylvie, pour m’exciter, une courte sieste, des sodomies avec mes godes et
mon bijou d’anus, vers 17 heures, on sonne à ma porte. Nue, je chausse mes
mules et j’ouvre à un superbe chauffeur africain, prénommé César.
- Miss Pénélope, je suis César, le chauffeur personnel du Baron. Mets
ta robe, après une douche rapide et ton nouveau bijou d’anus, que voici.
Je dois laisser la porte ouverte de la salle de bains. César bande, je
le remarque, les yeux baissés. Je me farde et me parfume.
J’écarte bien mes fesses pour recevoir le nouveau bijou d’anus. Il mesure
vingt-deux de long et six de diamètre. Un personnage me pénètre et me scrute au
plus près en toute impudeur et me caresse de ses pieds. Le bijou est en forme
d’un mandrin veiné et un gland prononcé et en relief. Je suis aux anges. Un
vrai mandrin qui m’encule.
Je mets ma robe et mes mules.
César me conduit en dehors de la ville, à plus de trois heures.
A mi-chemin, alors que je suis assise cul nu, sur la banquette, il me
bande les yeux, retire mon boléro et me menotte avec mes carcans de cuir, les
mains dans le dos. Aveugle, menottée, avec un bâillon-pénis en bouche long de
cinq centimètres et trois de diamètre. Je me laisse caresser les seins, jusqu’à
tendre mes mamelons, emprisonnés dans des pinces, alourdies par des clochettes,
qui tintinnabulent à chaque mouvement mammaire. La clochette en métal fixée par
un anneau s'anime au moindre mouvement, émettant un tintement cristallin.
Ainsi, il est averti immédiatement de mes mouvements.
- Tu es plus désirable, ainsi. Tu es toute trempée, le bijou te fait de
l’effet, ma putain.
J’ondule mon bassin sur le mandrin, me rappelant mes premières
sodomies.
- Il faut sensibiliser tes seins, Miss Pénélope.
Puis il m’étend sur la banquette. Il me déchausse, me retire le bijou
d’anus, dévoilant mon anus entrouvert et humide. Il enfonce son mandrin long de
trente-deux centimètres et sept de diamètre, pour m’enculer. Je pose mes
mollets sur ses épaules. Il est agenouillé, me caresse les cuisses, les mollets
et les chevilles. Je me retiens de jouir.
Pendant plus d’une heure, il entre et sort sauvagement de mon anus,
pour, dans un silence absolu.
Enfin, il enfonce son mandrin jusqu'à la gorge que chaque mouvement par
lequel il heurte le fond de mon palais fait jaillir de nouvelles larmes, la
bouche libre quelques instants du bâillon-pénis.
- Tu es facile de l’œillet, mais encore un peu serré.
Cette longue sodomie sauvage s’achève par de longs jets de sperme dans
ma bouche.
Il me remet le bijou d’anus en place et je me rassois, en sueur. Il me
peigne les cheveux, me repoudre, me rougit les lèvres.
Non loin, du lieu secret, je dois descendre et monter dans une barque,
nue et en mules. Je dois rester debout, muette, aveugle.
La barque rejoint un souterrain menant au lieu secret.
L’homme qui conduit la barque, me doigte la chatte trempée et le
clitoris tendu. Je me retiens de jouir sous le bâillon.
Mes mules claquent dans l’escalier en pierre menant au rez-de-chaussée,
tenue en laisse fixée à une étroite ceinture de cuir autour de ma taille.
Des mains étrangères caressent mes seins, ma chatte et mon clitoris et
des commentaires sur mes réactions de pute, putain et chienne se succèdent à
chaque fois.
Tous insistent pour que mon anus étroit soit rendu plus commode,
élargi, plus ouvert.
Puis un silence rompt les commentaires.
Des mains féminines me caressent. On libère ma bouche, pour de longs
baisers langoureux lesbiens, qui me font mouiller.
Puis on pelote, joue avec mes mamelons tendus et durcis par les pinces
et mes mamelons sont déformés aussi mes seins vers le bas.
On me retire enfin le bijou d’anus et on me retire le bandeau. Je
découvre deux superbes jeunes femmes, une brune aux petits seins et une blonde
aux seins plantureux, mis en valeur dans une robe à corselet similaire à celle
que j’ai porté. Mais la jupe dénude entièrement les jambes juste au-dessus du
pubis, intégralement épilé, ainsi que la chatte. Chacune porte un tatouage à
l’encre noire sur le pubis, la brune se prénomme Putain Lilas et la blonde se
prénomme Chienne XV. Elles restent silencieuses en ma compagnie, dans une
grande pièce, entièrement recouverte de glaces et de miroirs sans tain, avec
juste un tapis.
Quand elles ouvrent leurs jupes, en écartant par-derrière les deux
côtés de la jupe pour que les fesses soient nues. Je remarque les marques de la
cravache et deux anneaux dorés perçant leurs grandes lèvres.
Je leur lèche l’anus en signe de soumission.
Elles me conduisent dans une grande pièce mitoyenne, une salle de
bains, décorée comme dans la première pièce. Les clochettes tintent à chacun de
mes pas, pieds nus sur le marbre froid.
La salle de bains comprend une grande baignoire, avec des marches pour
y accéder, un bidet avec une canule, un grand fauteuil, au sol marbré.
Un valet est présent. C’est un bel Adonis musclé, simplement vêtu d’un
gilet, botté. Je suis impressionné par son long et gros mandrin en érection,
dans une gaine à picots. Je baisse les yeux et garde la bouche entrouverte.
- La pute semble obéissante, dit le valet, en pelotant mes seins et
jouant à étirer mes mamelons tendus.
Il me retire le bijou d’anus. Je me baigne, savonnée par les deux
femmes. Je porte aussi mes carcans de cuir : mes bracelets à mes poignets.
Ils sont faits : en plusieurs épaisseurs de cuir, chaque épaisseur assez mince,
au total pas plus d'un doigt, verrouillés par un système à déclic, qui
fonctionnait automatiquement comme un cadenas quand on le referme, et ne peut
s'ouvrir qu'avec une petite clé. Dans la partie opposée à la fermeture des
bracelets, pris dans le milieu des épaisseurs de cuir, et n'ayant presque pas
de jeu, il y a un anneau de métal, qui donne une prise pour fixer, et qu'on
positionne du côté intérieur du poignet. Pour le collier, l'anneau pendait
devant le cou, reposant sur la saillie des clavicules, et brinquebale au rythme
des mouvements de celui qui le porte.
Je dois rester accroupie, cuisses écartées, les bras tendus en l’air,
devant une grande glace qui reflète mon corps nu. On me lave les cheveux.
Une fois rincée, j’ai droit à quelques fessées, pour me chauffer. Le
valet m’enfonce jusqu’à trois doigts dans mon anus béant. Je me retiens de
jouir.
Détachée, je rejoins le bidet. Je m’assois, cuisses écartées, courbée
en avant, toujours les bras en l’air. L’anus savonné, mon anus est rempli par
une canule, montée à l'extrémité du flexible de la douche, par laquelle je suis
aspergée d'eau tiède. Ce qui provoque une mouille abondante de ma chatte, mon
clitoris et mes mamelons se tendent à l’extrême.
Après le bidet, je rejoins le grand fauteuil, toujours cuisses
écartées, menottée aux accoudoirs. Je reçois enfin mon collier.
En m’asseyant bien sur le fauteuil, le valet m’écarte bien les fesses.
Je sens un mystérieux gode m’enculer. Je ne peux me dérober. Il mesure dix-neuf
centimètres, jusqu’à six de diamètre pour le noeud, pour m’écarteler.
- Elle est liée à Roméo.
J’ai droit aux va-et-vient du vibromasseur. J’ondule mon bassin.
Nue, cuisses écartées, devant une grande glace, du haut en bas de la
paroi, que n'interrompt aucune tablette, je me vois, ainsi ouverte, chaque fois
que mon regard rencontre la glace. Mes paupières sont légèrement ombrées, la
bouche très rouge, les mamelons tendus libérés des pinces et l'aréole des seins
rosies, le bord des lèvres de ma chatte rougi, du parfum longuement passé sur
la fourrure des aisselles et du pubis, dans le sillon entre les cuisses, dans
le sillon sous les seins, et au creux des paumes. La sodomie dure une bonne
heure, tout en me retenant de jouir.
Toujours pieds nus, je rejoins une troisième pièce mitoyenne, avec le
valet.
La pièce comprend un miroir à trois faces et un quatrième miroir au mur
permettent de me bien voir et un tapis au sol.
Sans attendre, le valet me saisit les deux mains. Il fait glisser l'un
dans l'autre les deux anneaux de mes bracelets, ce qui lui joignit étroitement
les poignets, et ces deux anneaux dans l'anneau du collier. Je me trouve donc
les mains jointes à la hauteur du cou.
Le valet m’allonge sur le ventre, m’enserre par les hanches et caresse
mes seins, aux mamelons encore plus tendus par une mystérieuse crème, comme sur
mon clitoris. Il m’encule sauvagement, me faisant un peu mal avec ses picots.
Je sens ses testicules qui claquent contre mes fesses brûlantes par ses
fessées. Je le mène sans le savoir à une érection plus fort, en agitant ma
croupe.
- Quelle chienne, tu as l’œillet en feu. Retiens-toi de jouir, ma pute.
Je tente de résister au plaisir anal.
Il se retire avant mon orgasme. Un second valet dont je ne vois que le
gros mandrin, dans sa gaine à picots, m’encule sauvagement, tandis que je suce
le premier.
- Avale, ma chienne.
J’obéis, fessée.
- Elle semble docile, ma putain, dit l’autre.
Puis je sens un nouvel objet : long de vingt-six centimètres et
jusqu’à cinq de diamètre, sous la forme d’une balle de tennis. Je gémis un peu.
- Elle a reçu Adam, pour son premier jour. Lève-toi.
J’obéis. Trois chaînettes pendent entre mes cuisses, reliées aux trois
petits trous percés dans la base. Jamais, je n’ai eu l’anus autant rempli.
Surtout, comme Roméo, un sexe en érection. J’ai gardé l’étroite ceinture autour
de ma taille, et l'on y accroche les trois chaînettes, une par derrière qui
suit le sillon des fesses, et les deux autres par-devant, qui longent le pli
des aines en contournant le triangle du ventre. On les ajuste au plus court
- Ainsi tu ne peux repousser Adam et ton œillet sera distendu.
On les attache avec de petits cadenas
- Ainsi, quand tu es seule, tu ne peux être tentée de te soulager de
cette contrainte. Tu vas le garder pendant huit jours, de ton lever jusqu’au
repas et de la tombée du jour jusqu’à l’heure de la nuit.
Je vois les chaînettes et de la ceinture, tout le monde peut voir que
je la porte.
- Ton valet te le retire pour
t’enchaîner les mains au dos, dans ta cellule, pour te faire enculer.
Silencieuse, les mains jointes à mon cou, je rejoins une autre pièce,
longeant la rambarde d’un long couloir donnant sur le rez-de-chaussée. Les
clochettes se balancent entre mes cuisses humides.
Là, je mange, les mains libres, agenouillée, cuisses écartées,
déchaussée, sur le pouf. Mon bassin ondule sur ce mystérieux sexe. Je n’ose me
masturber.
Une main invisible me tend les plats par un guichet.
Puis le valet vérifie que les chaînettes sont bien cadenassées et fait
tinter les clochettes.
- Adepte d’Adam, tu vas aimer ta présentation. Tu es ma enculée de
premier choix.
Enfin, Putain Lilas et Chienne XV reviennent me chercher. Dans le
boudoir, on me remet les clochettes à mes mamelons sont saillants, gros et
longs, tendus à l’extrême, me faisant mal. Mon clitoris est devenu gros comme
une cerise, saillant et volumineux, me fait mal, lui aussi. Ils sont devenus
hyper sensible. L’air frais sur mes mamelons et mon clitoris me provoquent une
excitation énorme. Désormais mes mamelons pointent au maximum tout le temps,
vingt-quatre heures sur vingt-quatre et de même pour mon clitoris. Ne pouvant
me masturber, je ressens une douleur par leur tension maximale. Mes mamelons et
mon clitoris sont complètement tendus et très dur au point de lui faire
vraiment mal et le moindre effleurement même involontaire devient une véritable
torture tellement ces endroits sont devenus sensibles.
Le valet me pelote les seins et masturbe le clitoris quelques minutes.
C’est une vraie torture. Les mains jointes dans mon dos, je suis tenue en
laisse par ma ceinture, avec un masque et un bâillon O qui me force à garder la
bouche ouverte, outre le côté humiliant, ma bouche est ainsi disponible pour le
plaisir de son Maître. Le O du O ring est assez large pour faire passer la
queue du Maître. Je suis humiliée et je dois me dépasser. En mules, nue, je
suis escortée, des coups de cravache sont portés sur mes fesses brûlantes par
les fessées des valets. Je mouille davantage. un valet me tient en laisse. Une
femme avance devant moi et ouvre les portes, l'autre me suit et les referme.
Nous traversons un vestibule, deux salons, et pénétrèrent dans la bibliothèque,
où quatre hommes prennent le café. Ils sont nus sous leurs capes, mais aucun
masque.
- Voici la nouvelle pute du Baron, bouche à dresser, à fouetter
surtout, elle est docile au premier regard, dit l’un d’eux. Retirez-lui Adam,
que l’on voit son œillet.
Je reste seule avec les quatre hommes.
- La crème fait effet, le vent frais de la pièce fait pointer ses
mamelons et son clitoris dans sa fourrure.
Debout, je suis caressée de tout, les seins, les fesses brûlantes, la
chatte, le clitoris et même mon anus encore un peu béant, lors d’une double
pénétration digitale, qui me fait jouir faiblement.
- Doublement ouverte, mais pas encore assez, à mon goût, messieurs,
cette pute devra être plus commode, dit un autre.
- Enculons-la, d’abord, pour voir, si elle est chaude.
Allongée sur le dos, déchaussée, je suis face au premier qui m’encule,
bien monté, cuisses écartées, jusqu’aux testicules. Je le subis avec sa gaine à
picots, tandis que je suce un autre.
Le second m’encule, prosternée, cuisses écartées, jusqu’aux testicules
qui claquent contre mes fesses. Je jouis sous le bâillon.
Le troisième m’encule, agenouillée, le buste reposant sur un pouf,
toujours les mains au dos, et les fesses plus haut que le torse, et il me
maintient par les hanches. Je n’ose aucune résistance à son gros mandrin, avec
son étui pénien. Il fait claquer ses testicules contre mes fesses, il s’agrippe
de plus en plus à mes hanches, en m’enculant sauvagement.
Le quatrième, au mandrin surdimensionné, m’encule à son tour. Je gémis
sous le bâillon.
Puis un cinquième sexe m’encule. Je suis liée à lui par un nœud, une
première pour moi.
La saillie anale dure une bonne demi-heure, avec quatre orgasmes anaux
de plus en plus violent. Je dois sucer le sexe, après son éjaculation.
- Balzac a fait un bon travail, pour l’enculer, la chienne. Hadès lui
sera promis.
Mon anus béant, dégouline de spermes.
On m’abandonne, nue, cuisses écartées, avec Adam remis en place. Je
n’ose resserrer les cuisses. On me retire le bandeau et le bâillon pour que je
puisse respirer, épuisée, en sueur.
La grande pièce est entièrement recouverte de glaces et de miroirs sur
les murs et au plafond, avec une verrière. Deux des hommes sont debout. Un
autre est assis, une cravache sur les genoux, et le quatrième, qui m’a retiré
Adam, m’encule, les clochettes pincent mes grandes lèvres humides de ma chatte.
Allongés sur le même côté, nous sommes collés l'un à l'autre. Ainsi, le
ventre de l'homme est contre mon dos. Son gros mandrin et ferme me fait un peu
mal, mais mon excitation sexuelle est au summum. Relaxée, mon anus est bien
détendu. Il caresse mes seins, ma chatte et mon clitoris tendu à l’extrême. Mes
mains sont toujours menottées dans mon dos.
- Retiens-toi de jouir, ma belle enculée, me susurre l’homme.
Les yeux baissés, je sens une langue râpeuse sur mon clitoris et ma
chatte trempée. C’est Balzac. Je me retiens de jouir, sous sa langue qui est
grosse, fine mais large et longue et extrêmement flexible.
- Balzac va te donner du plaisir, avant la Croix de Saint-André et le
chevalet, me dit encore l’homme qui m’encule.
Je suis prise entre deux plaisirs intenses.
Mais tous quatre m’ont prise, ainsi que Balzac.
- Pendant ton séjour, tu vois les visages de ceux qui te violent, mais
jamais la nuit, tu es aveugle. Pour le fouet, c’est pareil, dit un des hommes.
Mais pour la première fois, tu dois voir comment on te fouette.
Balzac se retire.
- Tu es autorisée à jouir, me susurre l’homme.
Mon anus serre son mandrin, qui éjacule en moi.
Il reste en moi, tandis que l’on me présente la cravache, qui est
longue et fine, de fin bambou gainé de cuir; le fouet de cuir que le premier
des hommes qu'elle ait vu a à la ceinture est long, fait de six lanières
terminées par un noeud ; il y a une garcette, de cordes assez fines, faite de
sept lanières terminées chacune par plusieurs nœuds, et qui sont toutes raides,
trempées dans l'eau, on me caresse les seins, aux mamelons tendus à l’extrême,
ma chatte et l’intérieur de mes cuisses écartées, pour mieux voir comment je suis
enculée.
La Croix de Saint-André, fournit généralement des points de retenue
pour les chevilles, les poignets et la taille. Elle est sur un support roulant.
L’homme se retire et me fait attacher à la croix d’abord de dos aux
hommes.
- On ne fouette que les fesses et les cuisses. Adam est remis en place.
Je les supplie :
- Détachez-moi, arrêtez.
Mais, mes fesses sont bien marquées, d’abord à la garcette moins, mais
la cravache me marque davantage.
L’homme qui a le plus gros m’encule à nouveau, l’anus libre. Il éjacule
en moi et implore :
- Son œillet doit être plus commode.
Puis je suis attachée de face aux hommes, pour être cravachée sur les
cuisses.
Chancelante, presque évanouie, je suis menottée au chevalet, au centre
de la pièce, l’anus libre. Je suis solidement immobilisée dans cette posture
dégradante, le postérieur plus haut que la tête. Mes bras sont fixés le long
des pieds avants, mes jambes le long des pieds arrières, et une large sangle
m'est passée au niveau de la taille. Mes cuisses, légèrement fléchies sont
empêchées de se resserrer par la largeur de la poutre, ainsi d'ailleurs mes
fesses que je me peut refermer. Toute mon intimité est ainsi très accessible.
- Balzac va te saillir, ma belle enculée, pendant que tu lis les
règles, qui sont similaires à celles annoncées par le Baron.
Enculée jusqu’au nœud, je connais quatre violents orgasmes anaux, en
une demi-heure, par un mandrin long de dix-sept centimètres et cinq de
diamètre.
Je dois sucer Balzac, dès son retrait.
Le superbe doberman, Hadès, doté d’un mandrin de trente-deux
centimètres de long et six de diamètre, m’encule, mon anus est bien lubrifié
par le sperme de Balzac, jusqu’au nœud et une nouvelle série de quatre orgasmes
anaux m’épuise, en trois quart d’heure.
- On va te conduire dans ta cellule, en me remettant Adam en place. Tu
restes nue pendant que tu portes Adam. Tu seras tatouée juste au-dessus de la
naissance des fesses, ma pute.
Putain Lilas et Chienne XV m’aident à me relever, libre du chevalet, je
suis chaussée de mes mules à semelles surélevées et très hauts talons qu'une
bande de satin épais, empêche seule d'échapper au pied.
Les mules claquent sur les carrelages rouges des couloirs, où des
portes se succèdent, discrètes et propres, avec des serrures minuscules. Mes
clochettes tintent entre mes cuisses.
- Tu es dans l'aile des Chiennes, et ton valet s'appelle Pierre.
- Quel valet ? dis-je saisie par la douceur de la voix, et comment
t’appelles-tu ?
- Je m'appelle Putain Lilas.
- Et moi Chienne XV », dit
la seconde.
La première reprend : « C'est le valet qui a les clefs, qui t’attaches
et te détaches, te fouettes quand tu es punie et quand on n'as pas de temps
pour toi.
- L’aile des Chiennes, dit Chienne XV, où Pierre était déjà présent
l’année dernière, vient souvent la nuit ; les valets ont les clefs et dans les
chambres qui font partie de leur section, ils ont le droit de se servir de
nous.
Pierre est un bel étalon brun, imposant, musclé, en gilet, sur son
torse musclé, au gros mandrin, avec ses testicules portant des anneaux dorés.
Il est debout, botté, portant à la ceinture un fouet à lanière de cuir.
Il sort un passe et ouvre la porte.
- Je m’occupe d’elle, pour la douche, vous viendrez après Putain Lilas
et Chienne XV.
Les femmes restent dehors.
Il est 22 heures.
La cellule est toute petite, et comporte en réalité deux pièces. La
porte qui donne sur le couloir refermée, on se trouve dans une antichambre, qui
ouvre sur la cellule proprement dite ; sur la même paroi ouvre, de la chambre,
une autre porte, sur une salle de bains.
En face des portes il y a la fenêtre. Sur la paroi de gauche, entre les
portes et la fenêtre, s'appuie la Croix de Saint-André et un chevalet au centre
de la pièce, avec un tapis, des miroirs sont au plafond.
La salle de bains comprend une douche, combinée à une baignoire
transparente, accessible par des marches. Les parois sont entièrement revêtues
de glace.
Pierre me pose les pinces à mes mamelons tendus à l’extrême, me retire
Adam.
Je reste debout, cuisses écartées, maintenues par une barre d’écartement.
Je garde les bras en l’air, sur la pointe de mes pieds nus.
Les yeux baissés, la bouche entrouverte, je me laisse doucher à l’eau
froide, sur tout le corps, déclenchant une excitation énorme. Mon anus est
rempli par une canule reliée à une poche remplie de savon liquide et d’eau
froide, accrochée au mur.
Pendant cinq minutes, il m’observe, masturbe mon clitoris tendu à
l’extrême sous le jet, ma chatte trempée qu’il fouille, puis m’embrasse
langoureusement sur la bouche, étire mes mamelons avec les clochettes.
Il me retire la canule et recommence jusqu’à ce que je sois propre.
Rincée, il me sèche dans une grande serviette, avant de détacher. A la
réserve du collier et des bracelets de cuir, que l'eau a durcis quand je me
suis douchée, et qui me serrent davantage, je suis nue.
- Tu es toute excitée, ma belle Chienne.
Il me menotte de dos, le visage et le ventre contre la Croix de
Saint-André.
Il m’encule sauvagement avec son gros mandrin, presque aussi gros que
celui au sexe surdimensionné. Je me retiens de jouir.
- Tu es toute chaude de l’œillet, ma belle chienne. Je vais te mettre
au chevalet, pour Balzac, Hadès et d’autres chiens, pour ta saillie
quotidienne. Bien sûr, je vais te fouetter.
Il caresse une dernière fois, mes fesses qu’il trouve musclées. La
fenêtre reste ouverte pour que le vent frais m’excite davantage mes mamelons
exposés.
Seule dans le noir et le silence, démunie de l’usage de mes mains pour
ne pas toucher mon corps, ni ma chatte brûlante, ouverte au premier venu.
Le fouet m’a rendue sereine. Les sodomies successives ont décuplés mon
plaisir anal.
Je m’endors.
Mais dans l’heure qui suit, Balzac entre par la porte ouverte. Il me
lèche la chatte, avant de m’enculer jusqu’au nœud. Je dois sucer un autre sexe.
Au bout d’une demi-heure, il éjacule longuement en moi. Il se retire,
me lèche l’anus. Je dois le sucer en retour.
Hadès m’encule ensuite avec aisance.
Puis c’est au tour de Conan, un berger allemand et enfin, Lancelot, un
dogue allemand, une première pour moi.
Lancelot est doté d’un impressionnant sexe : trente-six
centimètres de long et six de diamètre.
Il m’encule avec une telle vigueur, que ma douleur anale, écartelée,
devient un long plaisir, j’atteins six orgasmes. Lancelot se fait sucer aussi.
22 juillet
Vers minuit, Lancelot revient à la charge et m’encule plus longtemps,
jusqu’à une heure. Mes râles de plaisir alertent les valets, que je dois sucer,
dans le noir.
Aux dernières heures de la nuit, quand elle est plus noire et plus
froide, juste avant l'aube, Pierre revient. Il allume la lumière de la salle de
bains en laissant la porte ouverte.
Alors, ma chienne, tu prends ton pied avec tes amants. Je vais te
fouetter les fesses.
Pierre me cravache à toute volée. Il recommence quatre fois, en prenant
soin de cingler chaque fois ou plus, haut ou plus bas que la fois précédente,
pour que les traces soient nettes.
Il me détache et me menotte dos à la Croix de Saint-André, pour me
fouetter le devant de mes cuisses.
Le tout a duré cinq minutes.
Il m’encule dans cette position, je garde les yeux baissés.
Puis il fait rouler la Croix de Saint-André devant la fenêtre ouverte.
Il m’a remis Adam en place. J’ai l’anus en feu.
Je regarde naître une lente aurore il y a une pelouse, au bout de la
pelouse une allée. Il fait grand jour et depuis longtemps je ne bouge plus. Un
jardinier apparaît le long de l'allée, poussant une brouette. On entendait
grincer la roue de fer sur le gravier.
Il s’approche et me découvre, menottée, nue, les cuisses cravachées,
mon bassin ondule sur Adam. Je deviens vicieuse.
Aucune femme n'a les clefs, ni celles des portes, ni celles des
chaînes, ni celles des bracelets et des colliers, mais tous les hommes portent
à un anneau les trois sortes de clefs
qui, chacune dans leur genre, ouvrent toutes les portes, ou tous les cadenas,
ou tous les colliers. Les valets les ont aussi. Mais, au matin, les valets qui
ont été de service la nuit dorment, et c'est l'un des maîtres ou un autre valet
qui vient ouvrir les serrures.
L’homme qui entre, nu sous son gilet, botté, me libère de la Croix de
Saint-André, après avoir longuement passé la main sur ma chatte trempée et mon
clitoris tendu à l’extrême. Je ne sens plus mes mamelons. Il les libère, les
étire. Je me retiens de gémir. Il me saisit les deux mains. Il fait glisser
l'un dans l'autre les deux anneaux de mes bracelets, ce qui me joint
étroitement les poignets, et ces deux anneaux dans l'anneau du collier. Je me
trouve donc les mains jointes à la hauteur du cou.
- Ainsi, tu pourras pas te masturber, ma chienne.
Il regarde ensuite mes fesses, me retire Adam.
Sans ménagement, il m’allonge sur le dos, sur le tapis, les cuisses
relevées et bloquées par les cuisses du valet. Il m’encule sauvagement. Je me
retiens de jouir.
Il éjacule en moi et Lancelot m’encule dans la même position.
Il encourage Lancelot.
- Tu aimes l’œillet de ta chienne. Elle aime ça.
J’ai le droit de jouir. Doublement inondée, le valet me remet Adam en
place.
Je garde les yeux baissés, la bouche entrouverte, les mains libres.
Putain Lilas et Chienne XV, sont entrées avec lui, et qui attendent
debout. Sur quoi il s'en va.
Chienne XV tire vers le chevet une table roulante qui a été amenée dans
le couloir et porte du café, du lait, du sucre, du bain, du beurre et des
croissants.
- Manges vite, dit Putain Lilas, il est neuf heures, tu peux te doucher
et tu te coiffes, je viens te farder
- Tu n’es de service que dans l'après-midi, dit Chienne XV.
- Nous sommes seulement chargées de toi pour les premières vingt-quatre
heures de votre séjour, ensuite tu es seule et tu n'as affaire qu'aux hommes.
Nous ne pourrons pas te parler, et toi non plus à nous.
Deux inconnus entrent, dont l’un des hommes de la veille, nus, les
mandrins en érection.
Les deux femmes disparaissent, sur les tapis les mules ne s'entendent
pas.
Je tiens une tasse de café à la main gauche et de l'autre un croissant,
debout, je reste immobile.
Le brun musclé, examine les balafres, appuyant légèrement la pointe de
ses doigts tout le long de celle des cuisses, puis, le tournant, posant ses
lèvres fraîches sur celles des fesses, l'embrassant tendrement, me léchant la
chatte humide, je me retiens de jouir.
- Ma chienne mouille. Lancelot et ses amants t’ont fait jouir toute la
nuit jusqu’à l’aube. Ton œillet doit déborder de spermes chauds. Tu es prête
pour ta nouvelle journée de chienne, me susurre-t-il.
« Viens qu'on te voie », j’obéis, les yeux baissés, la bouche
entrouverte.
Le second, un imposant blond me toise. Il me caresse mes seins, joue
avec les clochettes, j’écarte mes cuisses, pour qu’il me doigte la chatte.
Le brun me retire Adam et écarte mes fesses.
Son œillet commence à s’élargir, ma chienne.
Le brun m’allonge sur le dos, sur le chevalet et me menotte mes
poignets.
Mes reins sont posés sur le chevalet, la tête renversée, cuisses
écartées, les jambes levées.
- Regarde cette chatte velue, elle attend une queue. Non, il faut
l’enculer, ma chienne.
Je suis enculée sans attendre par le blond, qui m’écartèle avec son
gros mandrin surdimensionné. Mon anus habitué aux gros mandrins s’ouvre avec aisance.
Je me retiens de jouir.
Le brun m’encule aussi, après que je l’ai sucé, tout comme le blond.
Tous les deux masturbent mon clitoris tendu à l’extrême. Ils éjaculent
en moi.
Détachée du chevalet, je suis menottée face à la Croix de Saint-André,
présentant mes fesses.
Un sexe canin m’encule, c’est Lancelot. Je jouis, enculée jusqu’au
nœud.
Les deux hommes m’encouragent.
Je reste menottée à la Croix de Saint-André, pour recevoir le modèle
Double désir, moulé sur le sexe d’un dogue allemand. Je le reçois avec aisance.
Après le départ du blond, je suis libérée et je me douche à l’eau
tiède. Cela me fait frémir quand mes fesses meurtries sont mouillées, et je
m’éponge sans frotter, pour ne pas réveiller la brûlure. Je farde ma bouche,
non mes yeux, me poudra, et toujours nue, mais les yeux baissés, je reviens
dans la cellule.
Le brun encule sauvagement Chienne XV, qui a les yeux baissés, muette
elle aussi.
Accroupie, je dois lécher le clitoris de Chienne XV, sans la mener au
plaisir.
Le brun me fouille longuement ma chatte et je dois me retenir de jouir.
Ma chienne mouille, presque autant que Chienne XV.
Chienne XV me prend par la main et l'entraîna dans le couloir. Nos
mules claquent de nouveau sur le carrelage, et nous trouvons de nouveau sur la
banquette, entre les portes, un valet vêtu comme Pierre, mais ce n'est pas lui.
Il est moins imposant, bien monté. Il nous précède, et nous fait entrer dans
une antichambre où, devant une porte en fer forgé qui se découpe sur de grands
rideaux deux autres valets attendent, des dogues allemands à leurs pieds.
- Voici Chienne XV et la nouvelle chienne qui est toute aussi belle et
docile, dit l’un des valets.
- Pourquoi, Brutus et Conan feront jouir la nouvelle chienne, Lancelot
va s’occuper de Chienne XV.
Sans ménagement, libérée du Double Désir, je m'empale doucement dessus
sur le sexe de Brutus dans ma chatte. Je suis aplatie contre lui. Conan
m’encule dans la foulée. La douleur est contrebalancée par le plaisir de la
queue de Brutus dans ma chatte. douleur-plaisir. plaisir-douleur. Assez vite
mon anus rempli jusqu’au nœud de Conan, je connais le plaisir royal. Je jouis
comme jamais, suçant les trois valets. Et lorsque les deux chiens éjaculent, à
quelque minutes d'intervalles, que je sens mes orifices abondamment trempés de
sperme tiède, qui sort de ma chatte et de mon anus, dégoulinant le long de mes
jambes, j’ai un tel orgasme que la tête me tourne et que je manque de
m’évanouir.
Après cette double pénétration canine, je dois aussi dans la foulée,
une double pénétration anale par les deux valets, l’anus encore béant et
lubrifié par le sperme de Conan.
Pantelante, je me lève, l’anus libre sans Double Désir et je rejoins le
réfectoire.
Une table longue, en verre épais, trône dans une pièce dallée et je
m’assois nue sur un tabouret rond recouvert de cuir. J’aime le cuir lisse et
froid sous mes cuisses. Inversement, de mon départ, vêtue comme tout le monde,
mais les fesses nues sous mes vêtements, relever à chaque fois ma jupe pour
m'asseoir aux côtés de tout homme, à même la banquette d'une auto ou d'un café.
Au salon, je suis livrée à deux hommes, seule, nue et en mules.
Lancelot est présent, assis, le sexe en érection. Les deux hommes regardent mes
fesses cravachées et mon anus encore un peu béant. Il y a un garçon mince, si
jeune, blond, et un autre blond aussi, trapu, avec une figure épaisse.
Ils me font agenouillée, je tiens à pleines mains les deux coins du
pouf.
Ils m’enculent sauvagement, je me retiens de jouir, suçant Lancelot.
J’y reviens après le repas du soir, toujours nue, après une nouvelle
double pénétration canine. D’autres invités m’enculent aussi, mais Lancelot a
toujours sa part.
29 juillet
A l’aube, je ne porte plus ni Roméo, Adam et Double Désir, je suis
suffisamment élargi de l’anus.
Les quatre hommes qui m’ont enculée le premier jour, répètent les
assauts anaux avec plus de vigueur et j’ai le droit de jouir, sur ordre du
Maître.
Menottée le visage contre la Croix de Saint-André, je suis tatouée à
l’encre noire, à quelques centimètres au-dessus de la naissance de mes fesses
« Chienne 66 » et sur ma nuque dégagée de mes cheveux, des lettres
C66, pour me faire reconnaître. Je porte aussi la bague à mon annulaire gauche.
La bague sertie d’un petit anneau.
Une fois tatouée, je suis douchée une dernière fois, fardée et
parfumée, avant de quitter les lieux, nue, chaussée de mules à talons de douze
centimètres. Je porte mon bâillon-pénis du premier jour et mon bandeau sur les
yeux, on m’ôte mes carcans de cuir. Je ne dois pas connaître le trajet menant au
lieu de mon dressage.
La barque me ramène. Je reste debout. Mon anus a été épilé et reste
encore un peu béant.
La barque s’arrête à un débarcadère, où une main masculine m’aide à
descendre.
Je me glisse dans ma robe pour le grand soleil composée d'une jupe
éventail, qui se retrousse d'un geste, mais toujours à corselet montant jusque
sous les seins, et portée avec un boléro fermé au cou. Je porte aussi mes
clochettes à mes grandes lèvres de ma chatte.
Après un court trajet à pied, aveugle et muette, on me retire le
bandeau. Je reconnais César. Il m’embrasse langoureusement. Il semble que je
lui ai manquée.
- Miss Pénélope, tu es resplendissante, doublement ouverte, avec une
bouche bien dressée et vicieuse canine. Tu es promise à un nouveau Maître,
Marquis Sévices et Désir de Bon Plaisir. Il a décelé en toi, la soumise docile,
chienne, pute et putain, requise par ses critères très exigeants. Tu vas épiler
ta chatte et garder ta toison pubienne. D’ici quelques jours, tes tatouages
seront visibles de tous.
Il me conduit dans une institut de beauté.
L’esthéticienne découvre mes fesses et mes cuisses zébrées par les
derniers coups de cravache, quand je m’allonge nue.
Je veux une épilation à la cire de ma chatte et de mon anus.
Elle étale la cire qu'elle a
mise précédemment à chauffer sur un petit réchaud, sur autour de mes grandes
lèvres, de mon périnée, du pourtour de l'anus et l'intérieur de mes fesses.
Elle procède par petite touches et je me retiens de gémir, en présence de
César.
Ensuite elle peaufine et arrache
à la pince à épiler les quelques duvets qui ont échappé à la cire, m'examinant
avec une grosse loupe, me faisant hurler à chaque fois. Elle termine sa
prestation en forme de supplice chinois en enduisant et massant longuement
toutes les parties épilée avec une lotion adoucissante.
Elle me met un miroir placé entre mes cuisses écartées.
Ma chatte me paraît plus belle, avec mes grandes lèvres toutes lisses,
telle une chatte d’une petite fille.
- Le Marquis va adorer ta chatte épilée, me complimente César.
Je me remémore que Diane, Désiré, Iris, Val et Emmanuel m’ont parlé du
Marquis, un transsexuel, bien monté. Je raffole des transsexuels.
Rhabillée, César me dépose à deux rues de l’institut de beauté.
J’entre dans un club privé. Un beau brun me toise, avec de petits
seins, un peu plus âgé que moi. Serais-ce le Marquis ? Je baisse les yeux
et garde ma bouche entrouverte.
Un des clients me croise :
- Tu dois être une sacrée chienne, pour venir seule au club libertin
« Cravache et Vices ».
Je n’ose répondre.
- Approche, ma chienne 66, dit une autre voix.
J’obéis. Des hommes m’entourent. Ils soulèvent ma jupe, dévoilant ma
chatte nue, mes jambes nues.
Je suis invitée à m’asseoir sur le tabouret, je relève bien ma jupe. Je
m’assois les fesses nues, sur le cuir froid et le rebord gainé de métal. Je
garde mes cuisses écartées, mes talons accrochés aux barreaux du tabouret.
- Très bien, tu es obéissante. Lève tes yeux que je regarde ton regard
émeraude, dont le Baron m’a tant parlé.
J’obéis. Un des hommes me retire mon boléro, pour que les épaules et
les seins soient nus. Le Marquis découvre mes mamelons saillants, gros et
longs, tendus à l’extrême, quand il est les étire simultanément. Je mouille de
plaisir, me retiens de gémir.
Il regarde mes genoux, mes mains et enfin mes lèvres et ma bague à
l'annulaire gauche.
- Tes mains sont faites pour porter des fers, ainsi que l’écrin humide.
Mais cela sera pour plus tard.
Je manque à m’étrangler en buvant mon cocktail.
- Messieurs, elle est à vous. Déshabille-toi et suce-les.
Nue, en mules, accroupie, cuisses écartées, les yeux baissés, je les
suce. Ils sont une dizaine. Je m’applique. On me complimente de pute à sperme,
putain à queue et chienne à enculer.
Une fois bien durs, les mandrins m’enculent à tour de rôle. Je suis
penchée en avant, cuisses écartées, les mains sur le comptoir. Chacun m’encule
jusqu’aux testicules et éjacule soit sur mes fesses soit dans mon anus.
Les cinquième et sixième me font m’asseoir entre leurs cuisses,
enculée. On caresse ainsi mes reins, mes fesses, mon cou, mes épaules, mon dos,
tout en doigtant ma chatte trempée. J’ai le droit de jouir, dans cette
position.
Le septième m’invite à le rejoindre sur le canapé. Je m’assois sur lui,
il enfonce son gros mandrin dans mon anus béant et lubrifié. Je replie mes
jambes, genoux vers mon buste, mes pieds agacent les jambes de l’homme. Il me
soulève sur son mandrin pour mieux m’empaler.
Le huitième et le neuvième m’enculent. Cette fois, je suis face à eux,
mes jambes posées sur leurs épaules, maintenue sous les reins, empalée
jusqu’aux testicules. Je connais de violents orgasmes anaux et je reçois leurs
spermes dans mon anus.
Le dixième, pour me reposer, m’invite à s’empaler sur lui. Il est
accoudé. Je m’empale jusqu’aux testicules, face à lui, mes cuisses très
écartées de part et d’autre du bassin. Je me balance d’avant en arrière et je
reçois de longues giclées de spermes chauds.
Pantelante, je les suce, pour les nettoyer.
Le Marquis me complimente :
- Dix étalons, pour ma chienne 66, ce n’est qu’un début. Va te doucher
et fais un lavement.
Je rejoins une douche transparente, entourée de glaces et de miroirs,
où les clients m’observent.
Une fois propre, fardée et parfumée, je finis mon cocktail.
Je mange ensuite, assise, nue, à ses côtés, cuisses écartées, me
laissant caresser, les yeux baissés et la bouche entrouverte.
Certains morceaux de viande sont insérés dans ma chatte et je dois les
manger, sans les recracher. Je suis surprise par le goût de ma mouille.
Après le dessert et une flûte de champagne, je vais pour me rhabiller.
- Non, tu restes nue. Voici, une cape pour t’habiller, ma chienne doit
exhiber son corps nu aux passants.
- Bien, Marquis, je suis votre chienne et je vous obéis.
- Tu peux me tutoyer. Tu es un peu comme ma cousine.
Vêtue de ma cape, les mamelons encore tendus, nue et en mules, nous
quittons le club privé. Je porte un énorme bijou d’anus, long de trente-un
centimètres et huit de diamètre. Je dois aussi porter un œuf vibrant dans ma
chatte trempée.
Les passants me dévisagent, nue, les mains menottées dans le dos,
invisibles. La cape s'ouvre quand je marche puisque je ne peux la retenir.
Certains vont jusqu’à caresser mes seins, mes clochettes tintent et se
balancent entre mes cuisses humides. Je ne contrôle plus mes orgasmes anaux et
vaginaux, malgré les différentes variations de l’œuf vibrant.
Au bout d’un quart d’heure, je suis en sueur, malgré les pauses.
Il y a encore un bon quart d’heure de marche jusqu’à ton nouvel
appartement, ma chienne.
Le vent frais décuple mon excitation, mes mamelons et mon clitoris me
font un peu mal, tandis que les vagues de plaisir se succèdent.
Arrivés au pied d’un discret immeuble, dans une cour intérieure, nous
croisons le Comte Xavier de Mille Vices, un bel athlète, du même age que le
Baron Donatien. Sont-ils frères ?
- Voici, ma nouvelle chienne, Chienne 66, élégante, docile, vicieuse et
excellente chienne anale. Caresse sa chatte toute humide, elle a du avoir de
multiples orgasmes avec l’œuf du désir.
- Toute trempée, elle est bien humide et elle sent bon. Combien
d’hommes l’ont prise au club ?
- Dix pour commencer, sans ceux du « Pavillon du Lac », elle
est fait forte impression, jeune vierge. Son œillet s’ouvre sur demande. Tu es
autorisée à parler, Chienne 66 ?
- Je veux jouir, Marquis.
- Tu es autorisée à avoir ton orgasme, tu es très docile et tu as un
beau déhanché.
J’explose dans un violent double orgasme, tout en serrant les fesses et
en évitant d’expulser l’œuf.
Le Comte me retire et me le fait nettoyer de ma mouille.
Le Comte me baise, séance tenante, avec mon bijou d‘anus, qui resserre
ma chatte de vierge. Je me retiens de jouir, mais son gros mandrin me comble.
Il éjacule sur mes fesses.
Nous montons par les escaliers au troisième étage. Je découvre mon
nouvel appartement. Mon emploi dans la boutique de lingerie a été adapté.
Ma chambre est la copie de ma cellule du « Pavillon du Lac ».
Je possède une douche avec une canule. Des miroirs et des glaces sur les murs
et au plafond dans toutes les pièces, sans rideau. Mon intimité est révélée à
mes voisins, des amis du Comte et du Marquis.
- Chienne 66, ton corps est désormais public, donc en ma présence ou en
présence d'un de mes représentants, tu dois te montrer nue sur un simple ordre.
Ou que ce soit, quand que ce soit et devant qui que ce soit. Tu n'as pas de
temps de réflexion. Tu dois t'exécuter à la seconde même. En dehors de ma
présence ou de quelqu'un qui me remplace, si quelqu'un te touche, te tripote,
te pelote, tu dois te laisser faire comme si c'était quelque chose de tout à
fait normal, qui que ce soit et ou que ce soit. Même si ça va jusqu'à te faire
enculer. Dans ce cas, tu dois me tenir informé du fait que tu t'es faîte
prendre par quelqu'un et tu dois me donner tous les détails. Dès maintenant et
définitivement, tu n'as plus le droit de te masturber ni de te caresser. Pour
faire simple, tu n'as plus le droit au plaisir sauf quand je t'y autorises et
uniquement en ma présence. Tu n'as le droit de porter des vêtements que lorsque
tu dois sortir sauf ordres contraires, le reste du temps et ou que tu sois,
avec qui que tu sois et n'importe quand, tu dois être complètement nue. La
nuit, toutes les lumières restent allumées. Tu te conduits comme une pute, une
putain, une chienne. Tu dors sur le chevalet, nue. Que tu sois chez toi ou n'importe
ou ailleurs, seule ou pas, tu restes nue. Tu te douches à l’eau froide, ainsi
que ton lavement. Seules les parties à maquiller sont essuyées. La position
d'attente d'une esclave, c'est à genoux, cuisses écartées, assise sur tes
talons, le dos bien droit, légèrement cambrée, la tête droite mais les yeux
baissés, les mains posées sur les cuisses paumes vers le haut. Ta bouche dois
rester légèrement entrouverte. Tu dois adopter cette posture à chaque fois que
tu n’es pas utilisée et ce ou que ce soit. Pour finir, dorénavant, si tu dois
ramasser quelque chose par terre, tu te penches en avant en gardant les jambes
tendues. Quelques soit la longueur de ta robe ou de ta jupe et ou que tu sois.
Jamais d'exception à cette règle. Je vais te retirer ton bijou d’anus, pour
exhiber ton œillet au Comte.
Je suis agenouillée, nue, sans ma cape, déchaussée, les mains dans le
dos, le buste sur le canapé.
Le Marquis me caresse les fesses,
- Son œillet élargi par les multiples saillies canines, la rend encore
plus désirable, annonce le Marquis au Comte.
Cuisses écartées, la main du Marquis est appuyée sur ma taille.
- C’est une vraie chienne, élégante, complimente le Marquis.
- Son œillet béant qui se referme un peu, montre sa souplesse. Je peux
jouir avec ma queue dans son puits.
- Faites, Comte, la chienne doit retarder son orgasme.
Les yeux baissés, la bouche entrouverte, le mandrin long de trente-un
centimètres et huit de diamètre me remplit jusqu’aux testicules. Il me fesse
magistralement. Il m’encule sauvagement. Je me retiens de gémir, écartelée.
- Le sexe du Centaure lui fera un grand bien. Cette chienne a besoin de
connaître d’autres sexes.
Le Comte se retire et éjacule sur mes fesses, avant mon orgasme anal.
Je suis conduite sous la statue d’un sublime Centaure, mi-homme,
mi-cheval, doté d’un sexe réaliste de trente-cinq centimètres et huit de
diamètre.
Je me baise avec, déclenchant un violent orgasme.
Je me sens surprise par le sexe équin qui m’a baisé.
- Ecarte-lui les fesses, elle doit être aussi enculée, dit le Marquis.
La saillie anale équine est un peu douloureuse, malgré la lubrification
par le sperme de mes amants.
Mon anus résiste interminablement. Je grimace de douleur. Enfin le
passage anal cède à la pression. Le gode m’encule profondément. Je hurle de
douleur tellement ça fait mal. Le plaisir anal m’envahit lors de mes
va-et-vient tout comme lors de ma chatte. Le gode gonfle en moi, au maximum de
son érection. Puis l’anus béant, rougi, distendu après mon orgasme anal, je
suis sauvagement prise en double anale par mes amants excités. Je les suce et
avale tout.
Libre, je me douche devant eux.
Je suis menottée nue au chevalet, pour l’après-midi.
Un inconnu me fait saillir pendant plus d’une heure par un dogue
allemand. Je ne compte plus mes orgasmes anaux.
Puis je suis à nouveau enculée sous le Centaure, pour que mon anus
s’habitue.
Mes amis transsexuels m’enculent, sur le chevalet. Ils me complimentent
pour mes tatouages sur mon corps.
Pendant une semaine à mon appartement, le plus souvent menottée à mon
chevalet, les yeux bandés, nue, saillie par de nombreux chiens du berger
allemand au dogue allemand, pour que je reste bien assoupli de l’anus. Des
fois, agenouillée, cuisses écartées, les mains dans le dos, les yeux bandés, je
dois sucer jusqu’à une quinzaine d’inconnus et avaler leurs spermes, tout en
portant mon plus gros bijou d’anus. Rares, sont les hommes à m’enculer, seuls
le Baron, le Comte et le Marquis ont ce privilège et je me retiens de jouir. Je
suis nourrie, menottée au chevalet ou agenouillée. Je me fais enculer par le
Centaure trois fois par jour. Des voyeurs de l’immeuble qui ont mon numéro, me
laissent des messages coquins, vicieux sur mes exploits à la vue de tous. Tous
rêvent de me faire jouir.
5 août,
Après une nouvelle courte nuit de saillies canines et du Centaure, vers
8 heures, j’émerge. Mon anus dégouline du surplus de spermes canins.
Le Marquis vient me voir et m’annonce :
- Ma chienne 66, le séjour à l’appartement prend fin. Tu vas pouvoir
retourner à la boutique de lingerie. Un de tes voyeurs, un écrivain, m’a remis
ce colis pour toi. Va te doucher et met ton bijou d’anus.
J’obéis, fardée, parfumée, les clochettes à mes mamelons et en mules,
coiffée d’une queue-de-cheval. J’ouvre le colis, il contient un corset seins
nus et une guêpière seins nus sans jarretelles à ma taille.
La guêpière possède un busc, sur un côté derrière, permet de boucler et
de déboucler. Par-derrière aussi, un large laçage se serre ou se desserre à
volonté. Le Marquis me la lace aussi étroitement qu'il peut. Je sens ma taille
et mon ventre se creuser sous la pression des baleines, qui sur le ventre
descendaient presque jusqu'au pubis, qu'elles dégagent, ainsi que les hanches.
La guêpière est plus courte par-derrière et laisse la croupe entièrement libre.
- Tu seras plus accessible, sans te déshabiller. Tu vas la porter tous
les jours. Mets ton chemisier transparent et ta jupe ample mi-cuisses pour
couvrir tes clochettes à tes grandes lèvres humides.
Le chemisier n’a aucun bouton, pour que tout le monde puisse caresser
mes seins nus.
Je déjeune.
Cet après-midi, tu as rendez-vous au club libertin « Cravache et
Vices », pour satisfaire vingt étalons très bien montés d’Afrique Noire
pour t’enculer et tu avales leurs spermes, ma chienne.
Nous ne prenons pas l’ascenseur, mais les escaliers. Mes mules claquent
sur les marches carrelées, faisant tinter mes clochettes entre mes cuisses. Les
locataires me dévisagent, certains m’embrassent langoureusement sur la bouche,
me caressent les seins, faisant durcir davantage mes mamelons tendus.
Nous allons à pied jusqu’à la boutique, à une demi-heure de là. Le
quartier m’est familier. Des jeunes me draguent, je garde les yeux baissés et
la bouche entrouverte.
- C’est une vraie pute, monsieur.
- Oui, c’est ma nièce, Vanessa, une superbe pute tous services, dit le
Marquis.
- Elle aime se faire enculer, ta nièce.
- Oui, Vanessa, raconte-lui.
Je dois confesser mon séjour au « Pavillon du Lac ».
- C’est bien ça, tu es une vraie pute soumise.
- Tu veux ma queue dans ton puits, putain, dit le second, un beau
Adonis, bien monté.
- Allons dans la ruelle, vous l’enculerez à quatre. Tu es prête,
Vanessa.
- Oui, je suis prête.
Penchée en avant, la jupe relevée, les fesses nues, les clochettes
tintent à chaque coup de rein. Ils m’enculent sauvagement, m’insultent, me
fessent et je dois recevoir dans mon anus. Pantelante, je les nettoie sans
perdre une goutte.
Ils donnent un gros billet au Marquis, qui les remercie.
A la boutique, je suis sauvagement enculée par les maris et les amants
des clientes. Je lèche l’anus de ces dames.
Après une remise en beauté, je reviens le club libertin, à pied.
Là, juste vêtue de ma guêpière, en mules, je suce mes amants, avant
d’enchaîner les double pénétrations, les doubles anales. Je suis cravachée sur
les fesses pour m’encourager.
Une dizaine de clients complète les vingt qui me sont destinées. Des
femmes m’embrassent sur la bouche, caressent mes seins pour m’exciter, mais
elles ne me doigtent pas.
Des litres de sperme dégoulinent de ma chatte et de mon anus.
Au trentième, je perds connaissance. Je prends un peu de repos, avant
de m’offrir aux vingt.
Je ne sors du club libertin, après soixante pénétrations, de multiples
orgasmes et la bouche remplie de spermes. L’argent est mis sur un compte. Mes
fesses et mes cuisses portent les marques des coups de cravache et de garcette.
Le Marquis m’a observé et me reconduit à l’immeuble.
Après ma douche réparatrice et un bon souper, je dois tout raconter sur
ma journée de soumise, menottée au chevalet, sauvagement enculée par le
Marquis.
Une dizaine de chiens m’enculent, me laissant peu de repos.
Mon téléphone sonne et j’entends sur le répondeur :
- Alors, chienne 66, tu en prends goût, des grosses queues dans ton
puits. J’ai hâte de remplir ton puits et ta bouche dressée. Je fantasme sur tes
ébats de ton appartement. Tu mouilles, je le sais. Je t’observe par de
discrètes caméras installées chez toi. Tu as aimée mes cadeaux, ma chienne. Tu
as gardé la guêpière. Elle te va à merveille, mettant en valeur des hanches de
courtisane, ton dos cambré et tes fesses musclées en arrière, ainsi que tes
seins tendent même leurs mamelons durcis. Elle moule le corps, pour en épouser
les formes et les mettre en valeur.
Puis il raccroche. J’en suis toute excitée, mes mamelons et mon
clitoris sont tendus à l’extrême.
6 août
Peu après ma douche, on sonne à ma porte. Je reste nue et en mules et
j’ouvre.
Un bel étalon aveugle se présente à moi, avec son berger allemand,
chien d’aveugle.
- Tu es Chienne 66. Je m’appelle le Duc des Plaisirs, écrivain. Tu es
ma nouvelle muse.
Je le fais entrer. Il me caresse le visage et m’annonce :
- Tu as les yeux verts et de superbes cheveux.
Ses mains descendent le long de mon corps, il me pelote les seins,
étire mes mamelons tendus. Je commence à jouir.
Il caresse longuement ma toison pubienne, me masturbe le clitoris
tendu, en écartant bien ma chatte trempée et me doigte l’anus simultanément.
- Tu es bien chaude. Ecarte bien tes fesses, je vais t’enculer avec ma
belle queue.
En effet, le bel étalon m’offre un long mandrin que je suce, dans un 69
torride.
Je m’allonge sur lui, le suçant. Je lui lèche, suce, mordille son
mandrin, ma langue lape son gland,
titiller son urètre, son frein, avant de s’enrouler autour de ses testicules
velues. Je lui lèche tendrement son anus, le doigte, le détend puis revenir à
son mandrin avant de repasser à son cul, pendant qu’il me lèche la chatte, me
doigte l’anus. Je me retiens de jouir. Je descends jusqu’à la racine du mandrin
et je commence mes mouvements de va et vient. Une fois le mandrin en bouche je
passe ma langue sur le mandrin offert en insistant bien sur le frein. Je passe
de l’anus au mandrin et vice versa pour rendre mon partenaire fou de plaisir et
l’amener au bord de l’éjaculation. Il masturbe mon clitoris, le lèche.
Bien lubrifiée, il m’enfonce son mandrin long de seize centimètres.
Nous sommes tête-bêche comme pour le 69, allongés sur le ventre, dos à dos. Je
suis allongée sous lui, nos jambes entrelacées. Son gros mandrin m’écartèle
l’anus et je jouis.
Sans débander, il m’allonge sur le dos, cuisses relevées et bloquées
par ses cuisses, en traction.
- Tu aimes que je t’encules, ma chienne.
- Oui, Duc, faites-moi jouir. Donnes-moi ton sperme.
Le berger allemand du Duc approche son sexe en érection de ma bouche
ouverte par mes râles de plaisir.
- Suce Arès, ma chienne.
J’obéis. Dès le retrait du Duc, Arès m’encule dans la même position et
je connais quatre orgasmes, largement inondée. Je suce le Duc.
- Tu es une sacrée chienne, qui suce bien. Garde la pose, je t’encule encore
une fois.
Je connais un violent orgasme, suivi d’une longue éjaculation du Duc,
la bouche remplie du sperme d’Arès.
Je remets mon bijou d‘anus, pantelante.
Nous prenons une douche jouissive.
On sonne. Je reste nue et en mules et j’ouvre au Marquis.
- Tiens, ma Chienne 66 a fait la connaissance du Duc. Tu aimes sa queue
et celle d’Arès.
- Oui, Maître, je suis votre Chienne.
- Chienne 66, je vais enculer le Duc et tu vas le sucer, pendant
qu’Arès t’encules.
Le Duc s’empale, sur le mandrin du Marquis. Je suis subjugué par le
spectacle. Tout en suçant le Duc, qui bande dans ma bouche, Arès m’encule
jusqu’au nœud. Je reste attachée à lui, une bonne demi-heure.
L’anus dégoulinant de sperme, je m’encule sur le Marquis, tandis que le
Duc me baise. Je connais un double orgasme violent.
Pantelante, je dois m’enculer sur le sexe du Centaure, tout en suçant
le Duc, le Marquis et Arès, je dois tout avaler.
Le Duc m’encule, tandis que je me baise avec le sexe d’Arès, la bouche
ouverte, remplie par le mandrin du Marquis.
Tous éjaculent en moi.
Menottée au chevalet, je suis cravachée sur les fesses, comptant les
coups du Duc.
- Tu aimes ça, ma Chienne, annonce le Duc.
- Oui, Maître, fouettez-moi. Je suis votre soumise.
Après le départ d‘Arès, du Duc et du Marquis, je me fais saillir par
mes amants canins, avant une longue douche réparatrice et un long lavement.
14 août
Je reçois deux rangées d’anneaux dorés à mes grandes lèvres, pour me
faire reconnaître.
Le Marquis et le Duc aiment me promener dans mes tenues seins nus.
Je fais deux toilettes quotidiennes. Le matin, les besoins naturels
effectués, une toilette minutieuse, cuisses grandes ouvertes, pour faciliter
les soins réservés à ses organes génitaux et à son anus.
Le dimanche je "bénéficie" en plus d'une grande toilette
interne sous forme d'un lavement et d'une irrigation vaginale prolongée. Je
retiens le liquide ou au ,contraire le laisser s'écouler. Il me savonne tout le
corps, avec une douche tiède et prolongée accompagnée du balayage soigneux
d'une énorme éponge sur laquelle je me frotte plusieurs fois. Lorsque l'éponge
est disposée entre mes cuisses ou sur mes seins, je me retiens de jouir. Il me
rase la chatte et l’anus.
La toilette du soir se résume en général à une douche prolongée,
identique à celle du matin, accompagnée par la grosse éponge.
Depuis ma rencontre avec le Baron, mes jupes se raccourcissent et de
plus en plus fines. Mes hauts de plus en plus décolletés et surtout de plus en
plus transparents. J'ai pu constater qu'il n'y a pas que les hommes qui me
regardent avec insistance mais les femmes aussi. Quelques fois avec des
reproches dans les yeux mais souvent avec de l'envie. Je suis terriblement
excitée. Plus j'étais excitée et plus parfois c'est gênant car ça ce voit
parfaitement bien.
Les sodomies dans les ruelles, se succèdent à celles dans des parcs
privés, même Arès m’encule dans les parcs.
Mes visites assidues quotidiennes au club libertin « Cravache et
Vices » me font connaître de nouveaux clients plus pervers. Ce n’est pas
rare que je finisse les fesses et les cuisses bien zébrées. Tous aiment ma
chatte trempée par les séances.
Nous allons aussi dans des restaurants chics, présentée comme la nièce
Vanessa.
Je dois satisfaire les désirs des serveurs dans les toilettes pour
hommes.
Je gagne bien ma vie comme Chienne.
10 septembre
Après ma matinée à la boutique, vêtue de ma robe à corselet seins nus,
sans mon boléro dans la boutique et en mules à talons de quinze centimètres,
coiffée de ma queue-de-cheval, pour que tout le monde voit C66, je suis
désormais intégralement épilée et je prends soin de rester totalement lisse,
dégageant mon gros clitoris récemment percé d’un anneau doré serti d’une pierre
précieuse.
Le Baron m’a laissé un petit mot à Alban.
J’ouvre l’enveloppe :
- Chienne 66, tu es attendue à « Haras des Plaisirs », de mon
ami, Vicomte Alexandre de Bijou du Désir de Sexe et Mont Plaisir. Il est très
intéressé de te voir saillir.
César m’attend. Je rejoins le « Haras », qui se trouve à cinq
heures de vol par hélicoptère.
Sur un aérodrome privé, un hélicoptère Dauphin m’attend. Je dois
m’asseoir toute nue sur la banquette arrière, l’anus rempli par un gode équin
similaire à celui du Centaure. Mon anus s’est habitué à ce diamètre.
Le pilote m’observe de temps à autre. César me caresse juste ce qu’il
faut, pour retarder mon orgasme. Je mouille, les cuisses écartées, la porte
ouverte fait entrer le vent frais qui m’excite davantage les mamelons et le
clitoris.
Au bout de trois heures de caresse, je connais enfin mon premier
orgasme, le muscle anal se contracte très fortement sur le gode équin.
Arrivée au haras, toute nue, je suis tenue en laisse par mes anneaux de
ma chatte. J’entends les étalons hennir. Ils saillissent de jeunes soumises.
Le vicomte, un bel homme, me dévisage. Je garde les yeux baissés.
- De Chienne, tu vas devenir une Pute Chevaline d’ici quelques jours.
Ton œillet assoupli n’a aucun mal à recevoir leurs sexes en érection.
Il me menotte sur un chevalet, il me retire le gode équin et juge de
mon anus béant et humide.
- Eclair de Haies, un magnifique alezan est ton amant équin, Chienne
66. Ton œillet est bien ouvert, ma Chienne. Je vais m’enfoncer le sexe dans ton
puits.
Positionnant le gland du membre devenu moins dur sur sa rondelle, je
commence à pousser. Le sphincter cède.
J’hurle de douleur, le vicomte l’enfonce millimètre par millimètre, je serre
jusqu’à trente centimètres de bite de cheval pour m’enculer. Je m’agite
doucement puis, mon anus se dilatant, accélère le mouvement mais m'arrête net
en poussant un hurlement de douleur: le cheval bande de plus belle. Je
l’excite. Bientôt, mes cris de douleurs deviennent des râles de plaisir
incontrôlés. Je retrouve le même plaisir qu’avec les chiens.
- Vicomte, je suis une Pute à cheval. C’est très jouissif, une telle
queue.
- Oui, Chienne, attends qu’il éjacule en toi. Tu vas me sucer.
Je dois sucer le gros mandrin du vicomte.
Pendant ce temps, le cheval éjacule et me provoque un orgasme. Le
vicomte éjacule dans ma bouche, presque simultanément, j’avale tout.
Un miroir m’offre une vue de mon anus rougi complètement distendu et
boursouflé ce qui libère un flot de sperme.
Satisfait de ma première saillie anale équine, je suis offerte à un
cheval de selle français, Flèche d’Alizé. Je connais deux orgasmes en sa
compagnie.
Pantelante, je dois sucer le personnel masculin du haras. Je suis
rincée à l’eau froide, le sperme est récupéré de mon anus, pour que je le
boive.
Les saillies anales équines et canines en alternance, je suis aux
anges. Le sexe de mes étalons m’encourage vers plus de vices.
25 septembre
Après mon transfert à l’aube, en hélicoptère, toute nue, en mules, avec
mon gros gode équin dans mon anus, je retrouve César.
Il m’encule sauvagement.
Bien dressée, je rejoins un nouveau lieu. « Domaine des
Soumises », un château isolé, entouré par plusieurs points de contrôle.
Dès le premier point de contrôle, je suis longuement fouillée, sans
ménagement. Je dois répondre sur mes tatouages et mes anneaux.
Au troisième point de contrôle, je suis sauvagement enculée par les
gardiens, devant les sucer et tout avaler.
Enfin, nous arrivons, escortés par des gardiens à cheval et des
maîtres-chiens, à un superbe château.
Je suis tenue en laisse par mes anneaux, les yeux baissés, avec un
bâillon O, l’anus libre.
- Chienne 66 deviens Putain 99, qui sera marquée au fer rouge, sur
l’intérieur de sa cuisse gauche et elle sera ferrée. Putain 99 est destinée au
plaisir des invités, dès cet après-midi.
Après une douche froide et un lavement anal, je rejoins le salon, dans
ma robe à corselet seins nus, sans mon boléro, en mules. Ma bouche est fardée
avec un rouge clair, un peu liquide, appliqué au pinceau, et qui fonce en
séchant. Elle lui peignit du même rouge l'aréole et le mamelon tendu à
l’extrême, et les petites lèvres entre ses cuisses, en soulignant la fente du
giron, le visage poudré.
Je porte aussi mon collier et mes bracelets de fer inoxydable,
articulés et à demi rigides. Ils sont hauts de près de deux doigts et portent
chacun un anneau de même métal. Je les garde jour et nuit, ni même pour me
baigner. Je ne porte plus mon bâillon O.
- Tes seins et tes fesses sont vraiment faits pour la cravache, Putain
99, dit un des hommes, tu t'en rends compte, oui ?
Au salon, les yeux baissés, la bouche entrouverte, seule, je découvre
trois beaux étalons qui viennent à ma rencontre.
- C’est la célèbre Chienne 66, devenue Putain 99, une adepte des
saillies et du fouet, dit l’un d’eux.
- Quelle bouche bien dressée, elle sait ce qu’on attend d’elle.
- Viens donner tes jolis seins.
Je m’offre à leurs caresses, commentaires de pute, putain et chienne.
Un des hommes, au gros mandrin, m’encule séance tenante. Je dois sucer
l’homme qui m’a caressé les seins. Je mouille de désir. Les testicules claquent
contre mes fesses brûlantes sous les fessées.
Trois hommes m’enculent et deux en double anale, je ne peux refuser.
Puis je monte à la chambre, en leur compagnie. Nue, ils me fouettent,
menottée à mon lit, m’enculent, me font sucer et même un des bergers allemands
d’un des hommes m’encule. Je suis pantelante, l’anus rempli de sperme. Un des
hommes me met un gros bijou d’anus.
J’ai droit à un nouveau lavement, avant de m’offrir à une douzaine de
clients jusqu’au coucher du soleil.
Après le repas, nue au réfectoire, avec mon bijou d’anus, je suis à
nouveau enculée, fouettée jusqu’à l’aube.
Nue, dans ma chambre, après ma douche froide, je suis menottée nue,
cuisses écartées, livrée aux valets et à leurs chiens. Je porte des fers
d’essais à mes grandes lèvres humides.
Jusqu’au 15 octobre, les invités se succèdent, me complimentent.
Menottée au chevalet, je reçois mes fers définitifs. Ce sont des
anneaux de fer mat inoxydable, comme le fer de la bague doublée d'or. A chacune
de mes grandes lèvres de ma chatte, en lieu et place d’un des anneaux dorés, la
tige ronde, épaisse, et oblongs : les maillons des grosses chaînes sont
semblables. Chacun est formé de deux U qui s'emboîtent l'un dans l'autre. Le
ressort intérieur sur lequel on doit forcer pour le faire pénétrer dans la
rainure où il se bloque. Une fois posé, il est impossible de l'ôter, il faut
limer. » Chaque anneau est long comme deux phalanges du petit doigt, qu'on y
peut glisser. A chacun était suspendu, un anneau qui doit être dans le même
plan que l'oreille et la prolonger, un disque de même métal aussi large que
l'anneau était long. Sur une des faces, les initiales du Baron, du Marquis et
du Comte, sur chacun et au-dessous, un fouet et une cravache entrecroisés. Les
fers me descendent jusqu'au tiers de la cuisse, et à chacun de mes pas bougent
entre mes jambes comme un battant de cloche, le disque gravé étant plus lourd
et plus long que l'anneau auquel il pend. Les marques imprimées par le fer
rouge, hautes de trois doigts et larges de moitié leur hauteur, sont creusées
dans la chair comme par une gouge, de l’intérieur de ma cuisse gauche, à près
d'un centimètre de profondeur. Rien que de les effleurer, on les perçoit sous
le doigt. De ces fers et de ces marques, j’éprouve une fierté insensée.
Je deviens une soumise officielle de premier rang selon les lois du
« Domaine ». Je suis apte à me faire saillir par des chiens, des
chevaux et aussi par des hommes. Je suis bien payée.
Je sais qu’un jour, un amant me sera promis, pour
que je devienne sa soumise, pute, putain et surtout sa chienne.
A bientôt, mes amants, votre Chienne Pénélope.
Très jolie histoire, très excitante : bravo !
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