samedi 1 juin 2019

PENELOPE LA VICIEUSE


Je m’appelle Pénélope.
J’ai 18 ans.
Je suis une jolie beauté scandinave.
Je suis une brune aux yeux verts. J’ai des pieds fins et latins, des jambes longues bronzées, musclées qui inquiètent par leur perfection. Mon pénil est bombé, ouvert, couronné de noir. Ma pilosité brune couvre mon pubis. Ma chatte est velue et j’ai une superbe croupe. Les lèvres de mon sexe sont une plaie rouge entre mon entrecuisse. Mes hanches s'incurvent et délimitent le ventre plat, délicieusement renflé autour du nombril, les hanches sont larges et rondes, mais sans lourdeur. La taille est affinée. Les seins parfaits intégralement bronzés sont un peu volumineux mais fermes, et leurs pointes marron clair, toujours dressées, cernées par une large aréole marron attirent le regard. J’ai une peau lisse et patine. Finition parfaite, un seul grain de beauté entre mes superbes seins. De longs cheveux plats blonds flottant comme des algues, battent mes épaules rondes et gracieusement athlétiques. Je suis intégralement bronzée. Mes yeux verts limpides s'allument, ma bouche charnue se fend. J’ai des sourcils bruns bien dessinés et des lèvres pulpeuses. J’ai de longs doigts fins et de belles mains. Je fais du 90B de poitrine, 56 de taille, 90 de hanches, 1,72 m.

PENELOPE LA VICIEUSE



15 juillet

Depuis l’âge de mes 16 ans, je suis employée comme stagiaire, dans une boutique de lingerie. J’aime beaucoup les variantes un porte-jarretelles, des bas, une culotte ou un string ; mais je n’ai jamais pensé à me mettre sans culotte avec mon porte-jarretelles, des bas, sans culotte.
Je sais que je mouille rapidement par l’excitation quand je vois un bel étalon musclé, pensant à son mandrin bien gros. Je suis encore vierge, malgré mes ébats lesbiens avec mes collègues de la boutique. Je jouis sous leurs langues, lors de nos 69 torrides. Je jouis souvent la première.
Je n’ai jamais pensé à offrir mon anus à mes collègues.
Quand je suis chez moi, je fantasme sur mes amants, en me godant trop profondément la chatte, tout en masturbant mon clitoris tendu tout comme mes mamelons, dans des poses pornographiques devant mon miroir. Je savoure ma mouille. Je me cambre, prosternée, cuisses écartées, les yeux clos.
Je sais que j’attire les hommes, mais je n’accepte que leurs caresses de mes seins, le plus souvent, nus et libres, ou sous ma culotte ou mon string, pour dénicher ma chatte et mon clitoris, pour jouir.
Cet après-midi, je reçois la visite de deux clientes : une brune aux petits seins, en robe estivale, noire, en escarpins noirs et une blonde aux seins plantureux, en tailleur blanc et sandales blanches à hauts talons.
Je suis vêtue d’une robe fuchsia, au décolleté en V, sur mes seins nus, ample, jusqu’à mi-cuisses, sur ma culotte blanche et des mules blanches à petits talons, maquillée et parfumée. Le directeur, Alban, qui a le double de mon âge, m’observe, depuis l’arrière-boutique.
Aimée, la brune me questionne sur des dessous. Je lui montre la dernière collection, pour des ensembles soutien-gorge, string et porte-jarretelles, sobres et pigeonnants.
Val, la blonde, me questionne :
- Mademoiselle, je recherche des dessous transparents, mettant en valeur mon corps.
Je lui présente les divers modèles, qu’elle essaie.
Lors des essayages, je suis subjuguée par la beauté d’Aimée, qui est intégralement épilée, avec le clitoris percé d’un anneau doré, ainsi que ses grandes lèvres. Elle me susurre :
- Je suis une soumise. Mon Maître aime que je ne porte ni culotte ni string, mais m’autorise des soutien-gorges. Vous avez de superbes petits seins.
- Merci, je ne suis pas soumise, mais je rêve de connaître des amants.
Aimée me paye ses achats. Quand je découvre Val, dans ses dessous transparents, je suis surprise.
- Mais, vous avez une queue.
- Bien sûr, je suis disons un transsexuel et non un travesti. Tu veux la sucer.
Alban me pousse vers Val et accroupie, cuisses écartées, je dégage le gros mandrin, long de trente centimètres et huit de diamètre. Je montre mon talent de suceuse, sur ce vrai mandrin, me rappelant les godes que je suce avec mes collègues.
Val éjacule dans ma bouche.
 - Avalez, tout. Vous êtes une experte.
J’obéis.
- J’ai hâte de connaître votre écrin et votre œillet.
Rhabillée, Val me remet une carte de visite.
Je suis toute émue, par le baiser langoureux de Val, qui glisse sa main dans ma culotte, pour caresser mon clitoris tendu, d’excitation. Mes mamelons sont tendus sous mon décolleté.
A la fermeture, Alban m’annonce :
- Prenez votre journée demain. Votre collègue vous remplace.
De retour à mon appartement, je reste nue, après ma longue douche masturbatoire, fantasmant sur le mandrin de Val.
Mon téléphone sonne.
Je décroche :
- Pénélope, c’est Iris, l’amie de Val, venez demain nous voir à notre adresse. Nous avons hâte de vous connaître.
Je passe la soirée, à me goder la chatte, me faisant jouir, jusqu’à de multiples orgasmes violents.

16 juillet
Après mon déjeuner et ma douche, je choisis un tee-shirt blanc sur mes seins nus et une jupe ample fuchsia, en ne mettant pas de culotte ni de string, mes sandales blanches à hauts talons de dix centimètres, aux ongles des pieds vernis en rouge, maquillée, parfumée, coiffée d’une queue-de-cheval. J’ai envie de connaître la sensation d’avoir aussi les seins nus et libres, me met dans un état d’excitation. C’est peut-être l’idée de transgresser un interdit ou au moins une convenance non dite par la société bien pensante.
Arrivée à l’adresse indiquée à une demi-heure de marche, je croise un premier couple de transsexuels brésiliens, Diane et Désiré, puis un couple lesbien Jasmine et Hermine et enfin, au cinquième étage, sans ascenseur, je découvre Iris, une superbe brune aux petits seins, un transsexuel et Emmanuel, une blonde aux seins plantureux. Elles sont nus, leurs mandrins sont impressionnants : Iris, trente-quatre centimètres et huit de diamètre et Emmanuel, vingt-sept centimètres et six de diamètre.
Nue, je les suce à tour de rôle.
Dans l’excitation, Iris me caresse la chatte, toute trempée et mon clitoris tendu.
- Tu es vraiment mouillée, ma chérie, c’est vraiment signe que tu as bien joui, j’adore quand tu es comme ça. Tes lèvres intimes légèrement humides et écartées par ta provocation. Puis ton oeillet, parce qu’à quatre pattes, on ne peut pas rater le spectacle.
Emmanuel m’écarte les lèvres de ma chatte.
Val s’occupe de mon anus.
- Même ton oeillet est imbibé de mouille, lui aussi doit avoir besoin de câlins.
Emmanuel plonge un doigt dans ma chatte et Val lubrifie mon anus avec ma mouille, pour me préparer.
- Mais je ne l’ai jamais fait, alors j’ai un peu peur d’avoir mal.
- Ne t’affole pas, je vais faire doucement, si tu as trop mal, tu le dis et j’arrête.
- Ok, vas-y doucement !
J’ai droit ensuite aux deux doigts de Val, Emmanuel enfonce son mandrin dans ma chatte et me fait me coucher sur lui, pour mieux offrir mes fesses.
Iris me fait sucer son mandrin.
- Quand je commence à pénétrer ton oeillet, tu pousses, tu comprends ?
Je commence à me sentir écartelée.
- Ça y’est, j’ai entré entièrement le bout, tu es dilatée au maximum. J’arrête un moment pour que ton corps s’habitue.
Prise en double pénétration, Emmanuel est couché sur le dos, je m’empale sur son mandrin dans ma chatte trempée et Val m’encule simultanément, appuie ses jambes ouvertes sur les miennes et ses bras dans le dos.
Puis Val se trouve sur le dos et je m’empale enculée, toujours avec les jambes ouvertes pour permettre la double pénétration. Emmanuel me baise.
Emmanuel me prend dans ses bras, je l'entoure avec mes jambes et se laisse pénétrer baiser et Val m’encule, soutenant également une partie de mon poids.
Je connais une double défloration, profondément enculée, Val caresse mon clitoris tendu. Val démarre de lents et courts allers et retours dans mon anus. Bientôt, je discerne la montée du plaisir qui revient, lentement, malgré une persistante impression de tiraillement de mes chairs les plus intimes.
Ses va-et-vient entre mes fesses deviennent plus amples, la jouissance qui monte a tout effacé. Je commence à onduler en même temps que mon chéri s’agite en moi, je m’empale toute seule. Les va-et-vient dans ma chatte sont cadencés avec ceux qui m’enculent. Lentement, il accélère le rythme, tandis que je m’entends geindre. Je connais un double orgasme, Val éjacule et Iris prend le relais. Mais cette fois, je suis empalée sur Iris, dos à Iris, la chatte honorée par Emmanuel, jusqu’à un nouvel double orgasme.
- Maintenant, tu peux m’appeler « ma petite enculée ! »
Bien sûr, Emmanuel m’encule en solo, à quatre pattes.
Mes râles de plaisir ont provoqué la venue des jumeaux homosexuels, Adonis et Eros, aux gros mandrins, trente-cinq centimètres et huit de diamètre.
Ils s’enculent mutuellement et je dois les sucer, tout en étant enculée par Emmanuel.
Je suis subjuguée par les ébats homosexuels. Bien Adonis souhaite aussi m’enculer, tout en étant enculé par Eros.
Je ne peux refuser l’offre.
Cela m’excite davantage. Val me baise en même temps, cuisses grandes ouvertes, Val me saisit par les chevilles.
Ces sodomies m’ont mises dans un état d’excitation, moi, la vierge. Je mouille de plus en plus, mon clitoris et mes mamelons sont tendus à l’extrême.
J’en profite pour prendre une douche masturbatoire avec Val. Il me met un bijou d’anus pour que je conserve le sperme de mes amants. Il est en aluminium brillant orné par un magnifique cristal rose à son sommet : c’est ce cristal rose qui est visible entre les fesses une fois qu’il est introduit dans l’anus. Il est très doux et très petit, je connais une délicieuse excitation anale permanente et mesure six centimètres de long et trois de diamètre, pour un poids 34 grammes. Il a une forme en sapin et sa large base me garantissent un excellent maintien dans l’anus. La section qui relie les deux extrémités est très fine et douce afin de laisser l’anus se refermer dessus sans gêne. La tige de la taille de l’auriculaire sert de support lorsque le sphincter se referme.
- Ainsi, ton œillet reste dilaté, le prépare à la sodomie, la rendre plus facile et moins douloureuse aussi.
- C’est froid, mais j’aime.
Diane et Désiré me conduisent à leur appartement, au troisième étage. Je reste nue, en sandales, les cheveux libres.
Je les suce, avant de refaire une série de double pénétrations jouissives.
Les sodomies sont rapidement jouissives.
- Ton œillet est bien ouvert, ma belle, me susurre Désiré, doté d’un mandrin long de vingt-trois centimètres et quatre de diamètre. Un beau brun musclé, africain, mon style d’homme dont je fantasme, aux petits seins.
Le mandrin de Diane mesure vingt-cinq centimètres et six de diamètre. Diane est une blonde aux petits seins.
Lorsque Diane m’encule, je suis aux anges. Je coulisse sur leurs mandrins, telle une vraie professionnelle. Mon anus est rempli de nouveaux spermes. Cela pèse mais je m’habitue.
Bien sûr, en compagnie des brunes Jasmine aux seins plantureux et Hermine aux petits seins, je suis offerte à un gode-ceinture à deux godes, un de vingt-trois centimètres et un autre de vingt-cinq, réalistes et cinq de diamètre tous les deux. Je subis cette double pénétration, à quatre pattes, léchant à tout de rôle Jasmine et Hermine.
Leurs va-et-vient me font rapidement exploser dans une longue série d’orgasmes de plus en plus violents.
Bien sûr, je porte le gode-ceinture, muni d’un vibromasseur anal pour me satisfaire. Je tente de maîtriser les va-et-vient, mais l’orgasme anal m’irradie rapidement.
Puis Jasmine me retire le vibromasseur du gode-ceinture en interne et le fixe à un autre gode-ceinture pour m’enculer à sa guise.
Je suis en sueur, prosternée, pour mieux m’offrir à ma chérie.
Nous léchons mutuellement nos chattes et nos anus béants.
Puis nous prenons une longue douche masturbatoire, jusqu’à l’orgasme.
Je me repose, avant de partir, le bijou d’anus remis en place.
Tous m’ont donné leurs cartes pour les contacter et les inviter à la boutique.
Jasmine me propose une nouvelle tenue plus adaptée : un bustier blanc, laissant deviner mes mamelons tendus et une jupe éventail grise, avec des mules blanches à hauts talons de douze centimètres. Je garde ma queue-de-cheval.
De retour de chez moi, nue, après une longue douche masturbatoire, un lavement avec une poire anale, je me gode l’anus avec le bijou d’anus et essaye divers godes que je possède, dans ma chatte et mon anus, pour connaître le plaisir, tout en masturbant mes mamelons tendus et mon clitoris. Je mouille comme jamais auparavant.
Je me fais un film porno lesbien, puis hétérosexuel et entre hommes, pour connaître mon attirance, mais les trois genres m’attirent. Je suis bisexuelle.

17 juillet
Je me rends à la boutique, vêtue d’une robe semi-transparente, mi-longue, blanche, au décolleté en dentelle, laissant deviner mes seins nus, de discrètes fentes permettent l’accès à mes fesses nues et à mon bijou d’anus, j’ai gardé mon bijou d’anus, une partie de la nuit, me faisant jouir.
Cet après-midi, je suis en compagnie d’Alban, quand Adonis et Eros viennent acheter des dessous pour leurs amies lesbiennes, Jasmine et Hermine. Alban se fait enculer et les sucer et tout avaler. Je me masturbe discrètement devant le spectacle offert.
Après leur départ, c’est un couple, le Baron Donatien de Mille Sévices, âgé du triple de mon âge, un bel athlète brun, musclé, en costume et son épouse, sa soumise, un peu plus âgée que moi, la Comtesse Sylvie du Domaine des Biches de Mon Plaisir, une superbe brune, aux seins plantureux, vêtue d’un chemisier blanc sans boutons, dévoilant ses seins et une jupe assez courte, fuchsia, couvrant à peine ses fesses nues, chaussée d’escarpins blancs à talons de dix centimètres, coiffée d’un chignon.
Sylvie me tutoie :
- Pénélope, je désire les plus dessous de votre boutique. Tu me plais.
Je n’ose baisser les yeux, devant une telle beauté. Je prends ses mensurations et lui présente les dessous.
- Pénélope, es-tu une séductrice ?
- Oui, Monsieur le Baron, j’aime séduire, tout autant les hommes, les femmes et les transsexuels.
- Serais-tu prête à connaître de nouveaux désirs ?
- Lesquels, je ne suis pas trop curieuse de nature, mais capricieuse. J’ai récemment perdu mon pucelage de ma chatte et de mon anus.
- Très bien, doublement ouverte, mais il faudrait davantage, susurre Sylvie.
- Un œillet plus souple permet de nouvelles possibilités, réplique le Baron.
- Oui, Pénélope, en pratiquant des sodomies plus souvent, tu vas connaître de nouveaux désirs, dit Alban.
Alban soulève discrètement la jupe de ma robe, pour dévoiler mes fesses nues au Baron.
- Tu es cul nu, donc tu es sur la voie de la soumission. Ecarte tes fesses.
J’obéis, Alban, le Baron et Sylvie découvrent le cristal rose entre mes fesses.
- En plus, un bijou d’anus pour te préparer, tu me surprends, Pénélope, dit Alban.
- Non, c’est normal, ma Pénélope a besoin d’avoir son œillet dilaté, préparée à la sodomie, la rendre plus facile et moins douloureuse aussi.
- Je n’aime pas qu’on me dise « ma », Monsieur le Baron.
- Tu n’aimes pas ce terme « ma », sache que tu es à partir d’aujourd’hui ma nouvelle soumise. Que cela te plaise ou non. Tu vas devoir obéir et répondre aux suggestions, tu seras contrainte à être draguée, humiliée. Voici un livret que tu dois apprendre dans les prochains jours.
- Bien, Monsieur le Baron, je suis novice dans le SM.
Sylvie revient après ses essayages :
- Pénélope, viens me lécher la chatte et l’anus, le Baron va t’enculer en même temps, ma putain, ma pute, ma chienne.
- Je n’ai jamais lécher l’anus.
- Qui t’a autorisé à parler, ma belle gouine ?
J’obéis, m’accroupie, cuisses écartées.
Mais je dois changer de position, pour mieux offrir mon anus.
Penchée en avant, cuisses écartées, je sens le Baron qui m’écarte bien les fesses, pour m’ouvrir mon anus dilaté par le bijou d’anus. Il m’encule jusqu’aux testicules et masturbe mon clitoris tendu.
Au bout d’une demi-heure, je reçois le sperme du Baron et Sylvie pisse dans ma bouche. Je dois tout avaler.
- Tu manques de concentration. Tu ne dois plus penser, tu dois obéir. Tu dois te prêter. Tu ne peux te dérober, les lèvres de ta bouche entrouvertes, les cuisses toujours écartées à toute occasion, pour donner libre accès à ta bouche, ta chatte et ton œillet. Si tu es punie, pour avoir manqué de complaisance, ou levé les yeux sur celui qui te parle ou te prend : tu ne dois jamais regarder un homme ou une femme  au visage. Ta bouche est uniquement vouée à sucer et à recevoir le sperme, ton oeillet recevra le sperme que celui qui te prends, ma chienne. Tu es contrainte, tu es consentante, soumise. Tu dois ni regarder un homme au visage, ni lui parler. Tu dois te taire, et obéir. Tu n'ouvres désormais ici la bouche, en présence d'un homme, que pour crier ou sucer. Tu as bien compris, ma pute.
J’hoche la tête, les yeux baissés, la bouche entrouverte.
Le couple paye les achats. Je suis encore sous le coup de la correction que j’ai reçue. Sylvie me remet une boîte. Je l’ouvre, c’est un bijou d’anus un peu plus gros : dix de long et cinq de diamètre, pour 156 grammes.
Je me mets en place. Il est plus lourd. Mes muscles mettent plus de temps à  s'adapter à  votre nouveau bijou d’anus pour agrandir l'anus.
Je resserre les fesses, pour ne pas le perdre.
Quand je rentre chez moi, nue, après ma douche, je me fais mon lavement anal.
Mon téléphone sonne.
- Pénélope, c’est Donatien. Tu es nue, avec le bijou d‘anus. As-tu commencé le tri de tes vêtements ?
Je découvre la liste dans mon courrier : ni culottes ou strings, plus de soutien-gorges et jamais non plus de body. Mes seins et ma chatte doivent toujours être nus sous mes vêtements et mon entrejambes jamais dissimulée. Ni collants, de shorts, de jupes culottes ni bien sur de pantalons. Mais des jupes ou des robes mais à la condition qu'en aucun cas elles ne soient plus longues que le milieu de mes cuisses. Mes seins nus constamment sont sous mes corsages ou chemisiers. Pour tes pieds, tu es pieds nus dans des chaussures à hauts talons de dix à plus centimètres. Tu te baignes nue à la piscine.
Le tri réalisé, mes vêtements sont dans des valises. Sylvie me retrouve, avec un carton contenant une nouvelle tenue.
Je l’essaye, c’est une robe pour le grand soleil composée d'une jupe éventail, qui se retrousse d'un geste, mais toujours à corselet montant jusque sous les seins, et portée avec un boléro fermé au cou. Il suffit d'enlever le boléro pour que les épaules et les seins soient nus, et sans même enlever le boléro, de l'ouvrir, si l'on désire voir les seins.
- Ainsi, tu es plus accessible. Tu la retires que le soir pour te coucher nue. Mes amies viendront à ta boutique. Tu dois leur obéir, sur leurs choix.
Sylvie m’embrasse langoureusement sur la bouche et nue, je lui lèche l’anus, en gage de soumission.
A quatre pattes, elle me donne une dizaine de fessées. Je mouille abondamment de la chatte, mon clitoris se tend.
- Cela t’excite, les fessées. Ton œillet va se lubrifier plus vite.
Sylvie met un gode-ceinture, doté d’un imposant vibromasseur anal, trente et un centimètres et six de diamètre, que je suce.
Elle m’encule avec, me fesse, je dois m’empaler sur lui. Puis, sans débander, je touche le buste de Sylvie, avec mon dos. Sylvie caresse mes seins, les lèvres humides de ma chatte et mon clitoris.
- Tes mamelons sont bien tendus, tu es excitée. Pense que c’est un superbe étalon qui t’encule.
J’ondule mon bassin et un violent orgasme anal me terrasse.
Nous renouvelons les ébats jusqu’à l’épuisement.
Sylvie m’abandonne, nue, en sueur, l’anus encore béant et humide.
Je me douche, mange devant un film porno anal hétérosexuel et je me fais jouir, avec mon bijou d’anus.

18 juillet
Vers deux heures du matin, le téléphone sonne.
Je dors nue sur mes draps.
- Pénélope, tu es prête à te soumettre à tous les vices. Masturbe-toi jusqu’à l’orgasme.
J’obéis, le téléphone reste décroché. Je me gode avec le bijou d‘anus, puis avec mes doigts, dans mon anus, en masturbant mon clitoris. L’orgasme est si violent, je perds connaissance.
- Pénélope, tu es encore là.
- Oui, Donatien, j’ai perdu connaissance, tellement j’ai pris du plaisir.
- D’ici une date définie, tu vas découvrir de nouveaux amants, qui vont te soumettre. Pour l’instant, retiens-toi de jouir, si tu es enculée. Ta chatte ne dois jamais recevoir le moindre sexe.
J’accepte. Il raccroche.
Le matin, après ma douche, je me gode l’anus, avec mes divers objets que j’ai sous la main. Même, j’enfonce une carotte, un concombre, une courgette, dans mon anus qui s’ouvre davantage, en fantasmant sur l’étalon qui m’enculera.
L’après-midi, je deviens la soumise des amies de Sylvie, lors d’essayages vicieux. Je porte ma robe. Bien sûr, Alban ne se gêne pas pour m’enculer, dès que possible. Mon anus est un peu plus souple. Les sodomies m’occasionnent des orgasmes anaux de plus en plus violents, même si je dois me retenir de jouir.

21 juillet
Après une nouvelle nuit écourtée par les appels téléphoniques du Baron et de Sylvie, pour m’exciter, une courte sieste, des sodomies avec mes godes et mon bijou d’anus, vers 17 heures, on sonne à ma porte. Nue, je chausse mes mules et j’ouvre à un superbe chauffeur africain, prénommé César.
- Miss Pénélope, je suis César, le chauffeur personnel du Baron. Mets ta robe, après une douche rapide et ton nouveau bijou d’anus, que voici.
Je dois laisser la porte ouverte de la salle de bains. César bande, je le remarque, les yeux baissés. Je me farde et me parfume.
J’écarte bien mes fesses pour recevoir le nouveau bijou d’anus. Il mesure vingt-deux de long et six de diamètre. Un personnage me pénètre et me scrute au plus près en toute impudeur et me caresse de ses pieds. Le bijou est en forme d’un mandrin veiné et un gland prononcé et en relief. Je suis aux anges. Un vrai mandrin qui m’encule.
Je mets ma robe et mes mules.
César me conduit en dehors de la ville, à plus de trois heures.
A mi-chemin, alors que je suis assise cul nu, sur la banquette, il me bande les yeux, retire mon boléro et me menotte avec mes carcans de cuir, les mains dans le dos. Aveugle, menottée, avec un bâillon-pénis en bouche long de cinq centimètres et trois de diamètre. Je me laisse caresser les seins, jusqu’à tendre mes mamelons, emprisonnés dans des pinces, alourdies par des clochettes, qui tintinnabulent à chaque mouvement mammaire. La clochette en métal fixée par un anneau s'anime au moindre mouvement, émettant un tintement cristallin. Ainsi, il est averti immédiatement de mes mouvements.
- Tu es plus désirable, ainsi. Tu es toute trempée, le bijou te fait de l’effet, ma putain.
J’ondule mon bassin sur le mandrin, me rappelant mes premières sodomies.
- Il faut sensibiliser tes seins, Miss Pénélope.
Puis il m’étend sur la banquette. Il me déchausse, me retire le bijou d’anus, dévoilant mon anus entrouvert et humide. Il enfonce son mandrin long de trente-deux centimètres et sept de diamètre, pour m’enculer. Je pose mes mollets sur ses épaules. Il est agenouillé, me caresse les cuisses, les mollets et les chevilles. Je me retiens de jouir.
Pendant plus d’une heure, il entre et sort sauvagement de mon anus, pour, dans un silence absolu.
Enfin, il enfonce son mandrin jusqu'à la gorge que chaque mouvement par lequel il heurte le fond de mon palais fait jaillir de nouvelles larmes, la bouche libre quelques instants du bâillon-pénis.
- Tu es facile de l’œillet, mais encore un peu serré.
Cette longue sodomie sauvage s’achève par de longs jets de sperme dans ma bouche.
Il me remet le bijou d’anus en place et je me rassois, en sueur. Il me peigne les cheveux, me repoudre, me rougit les lèvres.
Non loin, du lieu secret, je dois descendre et monter dans une barque, nue et en mules. Je dois rester debout, muette, aveugle.
La barque rejoint un souterrain menant au lieu secret.
L’homme qui conduit la barque, me doigte la chatte trempée et le clitoris tendu. Je me retiens de jouir sous le bâillon.
Mes mules claquent dans l’escalier en pierre menant au rez-de-chaussée, tenue en laisse fixée à une étroite ceinture de cuir autour de ma taille.
Des mains étrangères caressent mes seins, ma chatte et mon clitoris et des commentaires sur mes réactions de pute, putain et chienne se succèdent à chaque fois.
Tous insistent pour que mon anus étroit soit rendu plus commode, élargi, plus ouvert.
Puis un silence rompt les commentaires.
Des mains féminines me caressent. On libère ma bouche, pour de longs baisers langoureux lesbiens, qui me font mouiller.
Puis on pelote, joue avec mes mamelons tendus et durcis par les pinces et mes mamelons sont déformés aussi mes seins vers le bas.
On me retire enfin le bijou d’anus et on me retire le bandeau. Je découvre deux superbes jeunes femmes, une brune aux petits seins et une blonde aux seins plantureux, mis en valeur dans une robe à corselet similaire à celle que j’ai porté. Mais la jupe dénude entièrement les jambes juste au-dessus du pubis, intégralement épilé, ainsi que la chatte. Chacune porte un tatouage à l’encre noire sur le pubis, la brune se prénomme Putain Lilas et la blonde se prénomme Chienne XV. Elles restent silencieuses en ma compagnie, dans une grande pièce, entièrement recouverte de glaces et de miroirs sans tain, avec juste un tapis.
Quand elles ouvrent leurs jupes, en écartant par-derrière les deux côtés de la jupe pour que les fesses soient nues. Je remarque les marques de la cravache et deux anneaux dorés perçant leurs grandes lèvres.
Je leur lèche l’anus en signe de soumission.
Elles me conduisent dans une grande pièce mitoyenne, une salle de bains, décorée comme dans la première pièce. Les clochettes tintent à chacun de mes pas, pieds nus sur le marbre froid.
La salle de bains comprend une grande baignoire, avec des marches pour y accéder, un bidet avec une canule, un grand fauteuil, au sol marbré.
Un valet est présent. C’est un bel Adonis musclé, simplement vêtu d’un gilet, botté. Je suis impressionné par son long et gros mandrin en érection, dans une gaine à picots. Je baisse les yeux et garde la bouche entrouverte.
- La pute semble obéissante, dit le valet, en pelotant mes seins et jouant à étirer mes mamelons tendus.
Il me retire le bijou d’anus. Je me baigne, savonnée par les deux femmes. Je porte aussi mes carcans de cuir : mes bracelets à mes poignets. Ils sont faits : en plusieurs épaisseurs de cuir, chaque épaisseur assez mince, au total pas plus d'un doigt, verrouillés par un système à déclic, qui fonctionnait automatiquement comme un cadenas quand on le referme, et ne peut s'ouvrir qu'avec une petite clé. Dans la partie opposée à la fermeture des bracelets, pris dans le milieu des épaisseurs de cuir, et n'ayant presque pas de jeu, il y a un anneau de métal, qui donne une prise pour fixer, et qu'on positionne du côté intérieur du poignet. Pour le collier, l'anneau pendait devant le cou, reposant sur la saillie des clavicules, et brinquebale au rythme des mouvements de celui qui le porte.
Je dois rester accroupie, cuisses écartées, les bras tendus en l’air, devant une grande glace qui reflète mon corps nu. On me lave les cheveux.
Une fois rincée, j’ai droit à quelques fessées, pour me chauffer. Le valet m’enfonce jusqu’à trois doigts dans mon anus béant. Je me retiens de jouir.
Détachée, je rejoins le bidet. Je m’assois, cuisses écartées, courbée en avant, toujours les bras en l’air. L’anus savonné, mon anus est rempli par une canule, montée à l'extrémité du flexible de la douche, par laquelle je suis aspergée d'eau tiède. Ce qui provoque une mouille abondante de ma chatte, mon clitoris et mes mamelons se tendent à l’extrême.
Après le bidet, je rejoins le grand fauteuil, toujours cuisses écartées, menottée aux accoudoirs. Je reçois enfin mon collier.
En m’asseyant bien sur le fauteuil, le valet m’écarte bien les fesses. Je sens un mystérieux gode m’enculer. Je ne peux me dérober. Il mesure dix-neuf centimètres, jusqu’à six de diamètre pour le noeud, pour m’écarteler.
- Elle est liée à Roméo.
J’ai droit aux va-et-vient du vibromasseur. J’ondule mon bassin.
Nue, cuisses écartées, devant une grande glace, du haut en bas de la paroi, que n'interrompt aucune tablette, je me vois, ainsi ouverte, chaque fois que mon regard rencontre la glace. Mes paupières sont légèrement ombrées, la bouche très rouge, les mamelons tendus libérés des pinces et l'aréole des seins rosies, le bord des lèvres de ma chatte rougi, du parfum longuement passé sur la fourrure des aisselles et du pubis, dans le sillon entre les cuisses, dans le sillon sous les seins, et au creux des paumes. La sodomie dure une bonne heure, tout en me retenant de jouir.
Toujours pieds nus, je rejoins une troisième pièce mitoyenne, avec le valet.
La pièce comprend un miroir à trois faces et un quatrième miroir au mur permettent de me bien voir et un tapis au sol.
Sans attendre, le valet me saisit les deux mains. Il fait glisser l'un dans l'autre les deux anneaux de mes bracelets, ce qui lui joignit étroitement les poignets, et ces deux anneaux dans l'anneau du collier. Je me trouve donc les mains jointes à la hauteur du cou.
Le valet m’allonge sur le ventre, m’enserre par les hanches et caresse mes seins, aux mamelons encore plus tendus par une mystérieuse crème, comme sur mon clitoris. Il m’encule sauvagement, me faisant un peu mal avec ses picots. Je sens ses testicules qui claquent contre mes fesses brûlantes par ses fessées. Je le mène sans le savoir à une érection plus fort, en agitant ma croupe.
- Quelle chienne, tu as l’œillet en feu. Retiens-toi de jouir, ma pute.
Je tente de résister au plaisir anal.
Il se retire avant mon orgasme. Un second valet dont je ne vois que le gros mandrin, dans sa gaine à picots, m’encule sauvagement, tandis que je suce le premier.
- Avale, ma chienne.
J’obéis, fessée.
- Elle semble docile, ma putain, dit l’autre.
Puis je sens un nouvel objet : long de vingt-six centimètres et jusqu’à cinq de diamètre, sous la forme d’une balle de tennis. Je gémis un peu.
- Elle a reçu Adam, pour son premier jour. Lève-toi.
J’obéis. Trois chaînettes pendent entre mes cuisses, reliées aux trois petits trous percés dans la base. Jamais, je n’ai eu l’anus autant rempli. Surtout, comme Roméo, un sexe en érection. J’ai gardé l’étroite ceinture autour de ma taille, et l'on y accroche les trois chaînettes, une par derrière qui suit le sillon des fesses, et les deux autres par-devant, qui longent le pli des aines en contournant le triangle du ventre. On les ajuste au plus court
- Ainsi tu ne peux repousser Adam et ton œillet sera distendu.
On les attache avec de petits cadenas
- Ainsi, quand tu es seule, tu ne peux être tentée de te soulager de cette contrainte. Tu vas le garder pendant huit jours, de ton lever jusqu’au repas et de la tombée du jour jusqu’à l’heure de la nuit.
Je vois les chaînettes et de la ceinture, tout le monde peut voir que je la porte.
 - Ton valet te le retire pour t’enchaîner les mains au dos, dans ta cellule, pour te faire enculer.
Silencieuse, les mains jointes à mon cou, je rejoins une autre pièce, longeant la rambarde d’un long couloir donnant sur le rez-de-chaussée. Les clochettes se balancent entre mes cuisses humides.
Là, je mange, les mains libres, agenouillée, cuisses écartées, déchaussée, sur le pouf. Mon bassin ondule sur ce mystérieux sexe. Je n’ose me masturber.
Une main invisible me tend les plats par un guichet.
Puis le valet vérifie que les chaînettes sont bien cadenassées et fait tinter les clochettes.
- Adepte d’Adam, tu vas aimer ta présentation. Tu es ma enculée de premier choix.
Enfin, Putain Lilas et Chienne XV reviennent me chercher. Dans le boudoir, on me remet les clochettes à mes mamelons sont saillants, gros et longs, tendus à l’extrême, me faisant mal. Mon clitoris est devenu gros comme une cerise, saillant et volumineux, me fait mal, lui aussi. Ils sont devenus hyper sensible. L’air frais sur mes mamelons et mon clitoris me provoquent une excitation énorme. Désormais mes mamelons pointent au maximum tout le temps, vingt-quatre heures sur vingt-quatre et de même pour mon clitoris. Ne pouvant me masturber, je ressens une douleur par leur tension maximale. Mes mamelons et mon clitoris sont complètement tendus et très dur au point de lui faire vraiment mal et le moindre effleurement même involontaire devient une véritable torture tellement ces endroits sont devenus sensibles.
Le valet me pelote les seins et masturbe le clitoris quelques minutes. C’est une vraie torture. Les mains jointes dans mon dos, je suis tenue en laisse par ma ceinture, avec un masque et un bâillon O qui me force à garder la bouche ouverte, outre le côté humiliant, ma bouche est ainsi disponible pour le plaisir de son Maître. Le O du O ring est assez large pour faire passer la queue du Maître. Je suis humiliée et je dois me dépasser. En mules, nue, je suis escortée, des coups de cravache sont portés sur mes fesses brûlantes par les fessées des valets. Je mouille davantage. un valet me tient en laisse. Une femme avance devant moi et ouvre les portes, l'autre me suit et les referme. Nous traversons un vestibule, deux salons, et pénétrèrent dans la bibliothèque, où quatre hommes prennent le café. Ils sont nus sous leurs capes, mais aucun masque.
- Voici la nouvelle pute du Baron, bouche à dresser, à fouetter surtout, elle est docile au premier regard, dit l’un d’eux. Retirez-lui Adam, que l’on voit son œillet.
Je reste seule avec les quatre hommes.
- La crème fait effet, le vent frais de la pièce fait pointer ses mamelons et son clitoris dans sa fourrure.
Debout, je suis caressée de tout, les seins, les fesses brûlantes, la chatte, le clitoris et même mon anus encore un peu béant, lors d’une double pénétration digitale, qui me fait jouir faiblement.
- Doublement ouverte, mais pas encore assez, à mon goût, messieurs, cette pute devra être plus commode, dit un autre.
- Enculons-la, d’abord, pour voir, si elle est chaude.
Allongée sur le dos, déchaussée, je suis face au premier qui m’encule, bien monté, cuisses écartées, jusqu’aux testicules. Je le subis avec sa gaine à picots, tandis que je suce un autre.
Le second m’encule, prosternée, cuisses écartées, jusqu’aux testicules qui claquent contre mes fesses. Je jouis sous le bâillon.
Le troisième m’encule, agenouillée, le buste reposant sur un pouf, toujours les mains au dos, et les fesses plus haut que le torse, et il me maintient par les hanches. Je n’ose aucune résistance à son gros mandrin, avec son étui pénien. Il fait claquer ses testicules contre mes fesses, il s’agrippe de plus en plus à mes hanches, en m’enculant sauvagement.
Le quatrième, au mandrin surdimensionné, m’encule à son tour. Je gémis sous le bâillon.
Puis un cinquième sexe m’encule. Je suis liée à lui par un nœud, une première pour moi.
La saillie anale dure une bonne demi-heure, avec quatre orgasmes anaux de plus en plus violent. Je dois sucer le sexe, après son éjaculation.
- Balzac a fait un bon travail, pour l’enculer, la chienne. Hadès lui sera promis.
Mon anus béant, dégouline de spermes.
On m’abandonne, nue, cuisses écartées, avec Adam remis en place. Je n’ose resserrer les cuisses. On me retire le bandeau et le bâillon pour que je puisse respirer, épuisée, en sueur.
La grande pièce est entièrement recouverte de glaces et de miroirs sur les murs et au plafond, avec une verrière. Deux des hommes sont debout. Un autre est assis, une cravache sur les genoux, et le quatrième, qui m’a retiré Adam, m’encule, les clochettes pincent mes grandes lèvres humides de ma chatte.
Allongés sur le même côté, nous sommes collés l'un à l'autre. Ainsi, le ventre de l'homme est contre mon dos. Son gros mandrin et ferme me fait un peu mal, mais mon excitation sexuelle est au summum. Relaxée, mon anus est bien détendu. Il caresse mes seins, ma chatte et mon clitoris tendu à l’extrême. Mes mains sont toujours menottées dans mon dos.
- Retiens-toi de jouir, ma belle enculée, me susurre l’homme.
Les yeux baissés, je sens une langue râpeuse sur mon clitoris et ma chatte trempée. C’est Balzac. Je me retiens de jouir, sous sa langue qui est grosse, fine mais large et longue et extrêmement flexible.
- Balzac va te donner du plaisir, avant la Croix de Saint-André et le chevalet, me dit encore l’homme qui m’encule.
Je suis prise entre deux plaisirs intenses.
Mais tous quatre m’ont prise, ainsi que Balzac.
- Pendant ton séjour, tu vois les visages de ceux qui te violent, mais jamais la nuit, tu es aveugle. Pour le fouet, c’est pareil, dit un des hommes. Mais pour la première fois, tu dois voir comment on te fouette.
Balzac se retire.
- Tu es autorisée à jouir, me susurre l’homme.
Mon anus serre son mandrin, qui éjacule en moi.
Il reste en moi, tandis que l’on me présente la cravache, qui est longue et fine, de fin bambou gainé de cuir; le fouet de cuir que le premier des hommes qu'elle ait vu a à la ceinture est long, fait de six lanières terminées par un noeud ; il y a une garcette, de cordes assez fines, faite de sept lanières terminées chacune par plusieurs nœuds, et qui sont toutes raides, trempées dans l'eau, on me caresse les seins, aux mamelons tendus à l’extrême, ma chatte et l’intérieur de mes cuisses écartées, pour mieux voir comment je suis enculée.
La Croix de Saint-André, fournit généralement des points de retenue pour les chevilles, les poignets et la taille. Elle est sur un support roulant.
L’homme se retire et me fait attacher à la croix d’abord de dos aux hommes.
- On ne fouette que les fesses et les cuisses. Adam est remis en place.
Je les supplie :
- Détachez-moi, arrêtez.
Mais, mes fesses sont bien marquées, d’abord à la garcette moins, mais la cravache me marque davantage.
L’homme qui a le plus gros m’encule à nouveau, l’anus libre. Il éjacule en moi et implore :
- Son œillet doit être plus commode.
Puis je suis attachée de face aux hommes, pour être cravachée sur les cuisses.
Chancelante, presque évanouie, je suis menottée au chevalet, au centre de la pièce, l’anus libre. Je suis solidement immobilisée dans cette posture dégradante, le postérieur plus haut que la tête. Mes bras sont fixés le long des pieds avants, mes jambes le long des pieds arrières, et une large sangle m'est passée au niveau de la taille. Mes cuisses, légèrement fléchies sont empêchées de se resserrer par la largeur de la poutre, ainsi d'ailleurs mes fesses que je me peut refermer. Toute mon intimité est ainsi très accessible.
- Balzac va te saillir, ma belle enculée, pendant que tu lis les règles, qui sont similaires à celles annoncées par le Baron.
Enculée jusqu’au nœud, je connais quatre violents orgasmes anaux, en une demi-heure, par un mandrin long de dix-sept centimètres et cinq de diamètre.
Je dois sucer Balzac, dès son retrait.
Le superbe doberman, Hadès, doté d’un mandrin de trente-deux centimètres de long et six de diamètre, m’encule, mon anus est bien lubrifié par le sperme de Balzac, jusqu’au nœud et une nouvelle série de quatre orgasmes anaux m’épuise, en trois quart d’heure.
- On va te conduire dans ta cellule, en me remettant Adam en place. Tu restes nue pendant que tu portes Adam. Tu seras tatouée juste au-dessus de la naissance des fesses, ma pute.
Putain Lilas et Chienne XV m’aident à me relever, libre du chevalet, je suis chaussée de mes mules à semelles surélevées et très hauts talons qu'une bande de satin épais, empêche seule d'échapper au pied.
Les mules claquent sur les carrelages rouges des couloirs, où des portes se succèdent, discrètes et propres, avec des serrures minuscules. Mes clochettes tintent entre mes cuisses.
- Tu es dans l'aile des Chiennes, et ton valet s'appelle Pierre.
- Quel valet ? dis-je saisie par la douceur de la voix, et comment t’appelles-tu ?
- Je m'appelle Putain Lilas.
- Et moi Chienne XV », dit la seconde.
La première reprend : « C'est le valet qui a les clefs, qui t’attaches et te détaches, te fouettes quand tu es punie et quand on n'as pas de temps pour toi.
- L’aile des Chiennes, dit Chienne XV, où Pierre était déjà présent l’année dernière, vient souvent la nuit ; les valets ont les clefs et dans les chambres qui font partie de leur section, ils ont le droit de se servir de nous.
Pierre est un bel étalon brun, imposant, musclé, en gilet, sur son torse musclé, au gros mandrin, avec ses testicules portant des anneaux dorés. Il est debout, botté, portant à la ceinture un fouet à lanière de cuir.
Il sort un passe et ouvre la porte.
- Je m’occupe d’elle, pour la douche, vous viendrez après Putain Lilas et Chienne XV.
Les femmes restent dehors.
Il est 22 heures.
La cellule est toute petite, et comporte en réalité deux pièces. La porte qui donne sur le couloir refermée, on se trouve dans une antichambre, qui ouvre sur la cellule proprement dite ; sur la même paroi ouvre, de la chambre, une autre porte, sur une salle de bains.
En face des portes il y a la fenêtre. Sur la paroi de gauche, entre les portes et la fenêtre, s'appuie la Croix de Saint-André et un chevalet au centre de la pièce, avec un tapis, des miroirs sont au plafond.
La salle de bains comprend une douche, combinée à une baignoire transparente, accessible par des marches. Les parois sont entièrement revêtues de glace.
Pierre me pose les pinces à mes mamelons tendus à l’extrême, me retire Adam.
Je reste debout, cuisses écartées, maintenues par une barre d’écartement.
Je garde les bras en l’air, sur la pointe de mes pieds nus.
Les yeux baissés, la bouche entrouverte, je me laisse doucher à l’eau froide, sur tout le corps, déclenchant une excitation énorme. Mon anus est rempli par une canule reliée à une poche remplie de savon liquide et d’eau froide, accrochée au mur.
Pendant cinq minutes, il m’observe, masturbe mon clitoris tendu à l’extrême sous le jet, ma chatte trempée qu’il fouille, puis m’embrasse langoureusement sur la bouche, étire mes mamelons avec les clochettes.
Il me retire la canule et recommence jusqu’à ce que je sois propre.
Rincée, il me sèche dans une grande serviette, avant de détacher. A la réserve du collier et des bracelets de cuir, que l'eau a durcis quand je me suis douchée, et qui me serrent davantage, je suis nue.
- Tu es toute excitée, ma belle Chienne.
Il me menotte de dos, le visage et le ventre contre la Croix de Saint-André.
Il m’encule sauvagement avec son gros mandrin, presque aussi gros que celui au sexe surdimensionné. Je me retiens de jouir. 
- Tu es toute chaude de l’œillet, ma belle chienne. Je vais te mettre au chevalet, pour Balzac, Hadès et d’autres chiens, pour ta saillie quotidienne. Bien sûr, je vais te fouetter.
Il caresse une dernière fois, mes fesses qu’il trouve musclées. La fenêtre reste ouverte pour que le vent frais m’excite davantage mes mamelons exposés.
Seule dans le noir et le silence, démunie de l’usage de mes mains pour ne pas toucher mon corps, ni ma chatte brûlante, ouverte au premier venu.
Le fouet m’a rendue sereine. Les sodomies successives ont décuplés mon plaisir anal.
Je m’endors.
Mais dans l’heure qui suit, Balzac entre par la porte ouverte. Il me lèche la chatte, avant de m’enculer jusqu’au nœud. Je dois sucer un autre sexe.
Au bout d’une demi-heure, il éjacule longuement en moi. Il se retire, me lèche l’anus. Je dois le sucer en retour.
Hadès m’encule ensuite avec aisance.
Puis c’est au tour de Conan, un berger allemand et enfin, Lancelot, un dogue allemand, une première pour moi.
Lancelot est doté d’un impressionnant sexe : trente-six centimètres de long et six de diamètre.
Il m’encule avec une telle vigueur, que ma douleur anale, écartelée, devient un long plaisir, j’atteins six orgasmes. Lancelot se fait sucer aussi.

22 juillet
Vers minuit, Lancelot revient à la charge et m’encule plus longtemps, jusqu’à une heure. Mes râles de plaisir alertent les valets, que je dois sucer, dans le noir.
Aux dernières heures de la nuit, quand elle est plus noire et plus froide, juste avant l'aube, Pierre revient. Il allume la lumière de la salle de bains en laissant la porte ouverte.
Alors, ma chienne, tu prends ton pied avec tes amants. Je vais te fouetter les fesses.
Pierre me cravache à toute volée. Il recommence quatre fois, en prenant soin de cingler chaque fois ou plus, haut ou plus bas que la fois précédente, pour que les traces soient nettes.
Il me détache et me menotte dos à la Croix de Saint-André, pour me fouetter le devant de mes cuisses.
Le tout a duré cinq minutes.
Il m’encule dans cette position, je garde les yeux baissés.
Puis il fait rouler la Croix de Saint-André devant la fenêtre ouverte.
Il m’a remis Adam en place. J’ai l’anus en feu.
Je regarde naître une lente aurore il y a une pelouse, au bout de la pelouse une allée. Il fait grand jour et depuis longtemps je ne bouge plus. Un jardinier apparaît le long de l'allée, poussant une brouette. On entendait grincer la roue de fer sur le gravier.
Il s’approche et me découvre, menottée, nue, les cuisses cravachées, mon bassin ondule sur Adam. Je deviens vicieuse.
Aucune femme n'a les clefs, ni celles des portes, ni celles des chaînes, ni celles des bracelets et des colliers, mais tous les hommes portent à  un anneau les trois sortes de clefs qui, chacune dans leur genre, ouvrent toutes les portes, ou tous les cadenas, ou tous les colliers. Les valets les ont aussi. Mais, au matin, les valets qui ont été de service la nuit dorment, et c'est l'un des maîtres ou un autre valet qui vient ouvrir les serrures.
L’homme qui entre, nu sous son gilet, botté, me libère de la Croix de Saint-André, après avoir longuement passé la main sur ma chatte trempée et mon clitoris tendu à l’extrême. Je ne sens plus mes mamelons. Il les libère, les étire. Je me retiens de gémir. Il me saisit les deux mains. Il fait glisser l'un dans l'autre les deux anneaux de mes bracelets, ce qui me joint étroitement les poignets, et ces deux anneaux dans l'anneau du collier. Je me trouve donc les mains jointes à la hauteur du cou.
- Ainsi, tu pourras pas te masturber, ma chienne.
Il regarde ensuite mes fesses, me retire Adam.
Sans ménagement, il m’allonge sur le dos, sur le tapis, les cuisses relevées et bloquées par les cuisses du valet. Il m’encule sauvagement. Je me retiens de jouir.
Il éjacule en moi et Lancelot m’encule dans la même position.
Il encourage Lancelot.
- Tu aimes l’œillet de ta chienne. Elle aime ça.
J’ai le droit de jouir. Doublement inondée, le valet me remet Adam en place.
Je garde les yeux baissés, la bouche entrouverte, les mains libres.
Putain Lilas et Chienne XV, sont entrées avec lui, et qui attendent debout. Sur quoi il s'en va.
Chienne XV tire vers le chevet une table roulante qui a été amenée dans le couloir et porte du café, du lait, du sucre, du bain, du beurre et des croissants.
- Manges vite, dit Putain Lilas, il est neuf heures, tu peux te doucher et tu te coiffes, je viens te farder
- Tu n’es de service que dans l'après-midi, dit Chienne XV.
- Nous sommes seulement chargées de toi pour les premières vingt-quatre heures de votre séjour, ensuite tu es seule et tu n'as affaire qu'aux hommes. Nous ne pourrons pas te parler, et toi non plus à  nous.
Deux inconnus entrent, dont l’un des hommes de la veille, nus, les mandrins en érection.
Les deux femmes disparaissent, sur les tapis les mules ne s'entendent pas.
Je tiens une tasse de café à la main gauche et de l'autre un croissant, debout, je reste immobile.
Le brun musclé, examine les balafres, appuyant légèrement la pointe de ses doigts tout le long de celle des cuisses, puis, le tournant, posant ses lèvres fraîches sur celles des fesses, l'embrassant tendrement, me léchant la chatte humide, je me retiens de jouir.
- Ma chienne mouille. Lancelot et ses amants t’ont fait jouir toute la nuit jusqu’à l’aube. Ton œillet doit déborder de spermes chauds. Tu es prête pour ta nouvelle journée de chienne, me susurre-t-il.
« Viens qu'on te voie », j’obéis, les yeux baissés, la bouche entrouverte.
Le second, un imposant blond me toise. Il me caresse mes seins, joue avec les clochettes, j’écarte mes cuisses, pour qu’il me doigte la chatte.
Le brun me retire Adam et écarte mes fesses.
Son œillet commence à s’élargir, ma chienne.
Le brun m’allonge sur le dos, sur le chevalet et me menotte mes poignets.
Mes reins sont posés sur le chevalet, la tête renversée, cuisses écartées, les jambes levées.
- Regarde cette chatte velue, elle attend une queue. Non, il faut l’enculer, ma chienne.
Je suis enculée sans attendre par le blond, qui m’écartèle avec son gros mandrin surdimensionné. Mon anus habitué aux gros mandrins s’ouvre avec aisance. Je me retiens de jouir.
Le brun m’encule aussi, après que je l’ai sucé, tout comme le blond.
Tous les deux masturbent mon clitoris tendu à l’extrême. Ils éjaculent en moi.
Détachée du chevalet, je suis menottée face à la Croix de Saint-André, présentant mes fesses.
Un sexe canin m’encule, c’est Lancelot. Je jouis, enculée jusqu’au nœud.
Les deux hommes m’encouragent.
Je reste menottée à la Croix de Saint-André, pour recevoir le modèle Double désir, moulé sur le sexe d’un dogue allemand. Je le reçois avec aisance.
Après le départ du blond, je suis libérée et je me douche à l’eau tiède. Cela me fait frémir quand mes fesses meurtries sont mouillées, et je m’éponge sans frotter, pour ne pas réveiller la brûlure. Je farde ma bouche, non mes yeux, me poudra, et toujours nue, mais les yeux baissés, je reviens dans la cellule.
Le brun encule sauvagement Chienne XV, qui a les yeux baissés, muette elle aussi.
Accroupie, je dois lécher le clitoris de Chienne XV, sans la mener au plaisir.
Le brun me fouille longuement ma chatte et je dois me retenir de jouir.
Ma chienne mouille, presque autant que Chienne XV.
Chienne XV me prend par la main et l'entraîna dans le couloir. Nos mules claquent de nouveau sur le carrelage, et nous trouvons de nouveau sur la banquette, entre les portes, un valet vêtu comme Pierre, mais ce n'est pas lui. Il est moins imposant, bien monté. Il nous précède, et nous fait entrer dans une antichambre où, devant une porte en fer forgé qui se découpe sur de grands rideaux deux autres valets attendent, des dogues allemands à leurs pieds.
- Voici Chienne XV et la nouvelle chienne qui est toute aussi belle et docile, dit l’un des valets.
- Pourquoi, Brutus et Conan feront jouir la nouvelle chienne, Lancelot va s’occuper de Chienne XV.
Sans ménagement, libérée du Double Désir, je m'empale doucement dessus sur le sexe de Brutus dans ma chatte. Je suis aplatie contre lui. Conan m’encule dans la foulée. La douleur est contrebalancée par le plaisir de la queue de Brutus dans ma chatte. douleur-plaisir. plaisir-douleur. Assez vite mon anus rempli jusqu’au nœud de Conan, je connais le plaisir royal. Je jouis comme jamais, suçant les trois valets. Et lorsque les deux chiens éjaculent, à quelque minutes d'intervalles, que je sens mes orifices abondamment trempés de sperme tiède, qui sort de ma chatte et de mon anus, dégoulinant le long de mes jambes, j’ai un tel orgasme que la tête me tourne et que je manque de m’évanouir.
Après cette double pénétration canine, je dois aussi dans la foulée, une double pénétration anale par les deux valets, l’anus encore béant et lubrifié par le sperme de Conan.
Pantelante, je me lève, l’anus libre sans Double Désir et je rejoins le réfectoire.
Une table longue, en verre épais, trône dans une pièce dallée et je m’assois nue sur un tabouret rond recouvert de cuir. J’aime le cuir lisse et froid sous mes cuisses. Inversement, de mon départ, vêtue comme tout le monde, mais les fesses nues sous mes vêtements, relever à chaque fois ma jupe pour m'asseoir aux côtés de tout homme, à même la banquette d'une auto ou d'un café.
Au salon, je suis livrée à deux hommes, seule, nue et en mules. Lancelot est présent, assis, le sexe en érection. Les deux hommes regardent mes fesses cravachées et mon anus encore un peu béant. Il y a un garçon mince, si jeune, blond, et un autre blond aussi, trapu, avec une figure épaisse.
Ils me font agenouillée, je tiens à pleines mains les deux coins du pouf.
Ils m’enculent sauvagement, je me retiens de jouir, suçant Lancelot.
J’y reviens après le repas du soir, toujours nue, après une nouvelle double pénétration canine. D’autres invités m’enculent aussi, mais Lancelot a toujours sa part.

29 juillet
A l’aube, je ne porte plus ni Roméo, Adam et Double Désir, je suis suffisamment élargi de l’anus.
Les quatre hommes qui m’ont enculée le premier jour, répètent les assauts anaux avec plus de vigueur et j’ai le droit de jouir, sur ordre du Maître.
Menottée le visage contre la Croix de Saint-André, je suis tatouée à l’encre noire, à quelques centimètres au-dessus de la naissance de mes fesses « Chienne 66 » et sur ma nuque dégagée de mes cheveux, des lettres C66, pour me faire reconnaître. Je porte aussi la bague à mon annulaire gauche. La bague sertie d’un petit anneau.
Une fois tatouée, je suis douchée une dernière fois, fardée et parfumée, avant de quitter les lieux, nue, chaussée de mules à talons de douze centimètres. Je porte mon bâillon-pénis du premier jour et mon bandeau sur les yeux, on m’ôte mes carcans de cuir. Je ne dois pas connaître le trajet menant au lieu de mon dressage.
La barque me ramène. Je reste debout. Mon anus a été épilé et reste encore un peu béant.
La barque s’arrête à un débarcadère, où une main masculine m’aide à descendre.
Je me glisse dans ma robe pour le grand soleil composée d'une jupe éventail, qui se retrousse d'un geste, mais toujours à corselet montant jusque sous les seins, et portée avec un boléro fermé au cou. Je porte aussi mes clochettes à mes grandes lèvres de ma chatte.
Après un court trajet à pied, aveugle et muette, on me retire le bandeau. Je reconnais César. Il m’embrasse langoureusement. Il semble que je lui ai manquée.
- Miss Pénélope, tu es resplendissante, doublement ouverte, avec une bouche bien dressée et vicieuse canine. Tu es promise à un nouveau Maître, Marquis Sévices et Désir de Bon Plaisir. Il a décelé en toi, la soumise docile, chienne, pute et putain, requise par ses critères très exigeants. Tu vas épiler ta chatte et garder ta toison pubienne. D’ici quelques jours, tes tatouages seront visibles de tous.
Il me conduit dans une institut de beauté.
L’esthéticienne découvre mes fesses et mes cuisses zébrées par les derniers coups de cravache, quand je m’allonge nue.
Je veux une épilation à la cire de ma chatte et de mon anus.
 Elle étale la cire qu'elle a mise précédemment à chauffer sur un petit réchaud, sur autour de mes grandes lèvres, de mon périnée, du pourtour de l'anus et l'intérieur de mes fesses. Elle procède par petite touches et je me retiens de gémir, en présence de César. 
 Ensuite elle peaufine et arrache à la pince à épiler les quelques duvets qui ont échappé à la cire, m'examinant avec une grosse loupe, me faisant hurler à chaque fois. Elle termine sa prestation en forme de supplice chinois en enduisant et massant longuement toutes les parties épilée avec une lotion adoucissante.
Elle me met un miroir placé entre mes cuisses écartées.
Ma chatte me paraît plus belle, avec mes grandes lèvres toutes lisses, telle une chatte d’une petite fille.
- Le Marquis va adorer ta chatte épilée, me complimente César.
Je me remémore que Diane, Désiré, Iris, Val et Emmanuel m’ont parlé du Marquis, un transsexuel, bien monté. Je raffole des transsexuels.
Rhabillée, César me dépose à deux rues de l’institut de beauté.
J’entre dans un club privé. Un beau brun me toise, avec de petits seins, un peu plus âgé que moi. Serais-ce le Marquis ? Je baisse les yeux et garde ma bouche entrouverte.
Un des clients me croise :
- Tu dois être une sacrée chienne, pour venir seule au club libertin « Cravache et Vices ».
Je n’ose répondre.
- Approche, ma chienne 66, dit une autre voix.
J’obéis. Des hommes m’entourent. Ils soulèvent ma jupe, dévoilant ma chatte nue, mes jambes nues.
Je suis invitée à m’asseoir sur le tabouret, je relève bien ma jupe. Je m’assois les fesses nues, sur le cuir froid et le rebord gainé de métal. Je garde mes cuisses écartées, mes talons accrochés aux barreaux du tabouret.
- Très bien, tu es obéissante. Lève tes yeux que je regarde ton regard émeraude, dont le Baron m’a tant parlé.
J’obéis. Un des hommes me retire mon boléro, pour que les épaules et les seins soient nus. Le Marquis découvre mes mamelons saillants, gros et longs, tendus à l’extrême, quand il est les étire simultanément. Je mouille de plaisir, me retiens de gémir.
Il regarde mes genoux, mes mains et enfin mes lèvres et ma bague à l'annulaire gauche.
- Tes mains sont faites pour porter des fers, ainsi que l’écrin humide. Mais cela sera pour plus tard.
Je manque à m’étrangler en buvant mon cocktail.
- Messieurs, elle est à vous. Déshabille-toi et suce-les.
Nue, en mules, accroupie, cuisses écartées, les yeux baissés, je les suce. Ils sont une dizaine. Je m’applique. On me complimente de pute à sperme, putain à queue et chienne à enculer.
Une fois bien durs, les mandrins m’enculent à tour de rôle. Je suis penchée en avant, cuisses écartées, les mains sur le comptoir. Chacun m’encule jusqu’aux testicules et éjacule soit sur mes fesses soit dans mon anus.
Les cinquième et sixième me font m’asseoir entre leurs cuisses, enculée. On caresse ainsi mes reins, mes fesses, mon cou, mes épaules, mon dos, tout en doigtant ma chatte trempée. J’ai le droit de jouir, dans cette position.
Le septième m’invite à le rejoindre sur le canapé. Je m’assois sur lui, il enfonce son gros mandrin dans mon anus béant et lubrifié. Je replie mes jambes, genoux vers mon buste, mes pieds agacent les jambes de l’homme. Il me soulève sur son mandrin pour mieux m’empaler.
Le huitième et le neuvième m’enculent. Cette fois, je suis face à eux, mes jambes posées sur leurs épaules, maintenue sous les reins, empalée jusqu’aux testicules. Je connais de violents orgasmes anaux et je reçois leurs spermes dans mon anus.
Le dixième, pour me reposer, m’invite à s’empaler sur lui. Il est accoudé. Je m’empale jusqu’aux testicules, face à lui, mes cuisses très écartées de part et d’autre du bassin. Je me balance d’avant en arrière et je reçois de longues giclées de spermes chauds.
Pantelante, je les suce, pour les nettoyer.
Le Marquis me complimente :
- Dix étalons, pour ma chienne 66, ce n’est qu’un début. Va te doucher et fais un lavement.
Je rejoins une douche transparente, entourée de glaces et de miroirs, où les clients m’observent.
Une fois propre, fardée et parfumée, je finis mon cocktail.
Je mange ensuite, assise, nue, à ses côtés, cuisses écartées, me laissant caresser, les yeux baissés et la bouche entrouverte.
Certains morceaux de viande sont insérés dans ma chatte et je dois les manger, sans les recracher. Je suis surprise par le goût de ma mouille.
Après le dessert et une flûte de champagne, je vais pour me rhabiller.
- Non, tu restes nue. Voici, une cape pour t’habiller, ma chienne doit exhiber son corps nu aux passants.
- Bien, Marquis, je suis votre chienne et je vous obéis.
- Tu peux me tutoyer. Tu es un peu comme ma cousine.
Vêtue de ma cape, les mamelons encore tendus, nue et en mules, nous quittons le club privé. Je porte un énorme bijou d’anus, long de trente-un centimètres et huit de diamètre. Je dois aussi porter un œuf vibrant dans ma chatte trempée.
Les passants me dévisagent, nue, les mains menottées dans le dos, invisibles. La cape s'ouvre quand je marche puisque je ne peux la retenir. Certains vont jusqu’à caresser mes seins, mes clochettes tintent et se balancent entre mes cuisses humides. Je ne contrôle plus mes orgasmes anaux et vaginaux, malgré les différentes variations de l’œuf vibrant.
Au bout d’un quart d’heure, je suis en sueur, malgré les pauses.
Il y a encore un bon quart d’heure de marche jusqu’à ton nouvel appartement, ma chienne.
Le vent frais décuple mon excitation, mes mamelons et mon clitoris me font un peu mal, tandis que les vagues de plaisir se succèdent.
Arrivés au pied d’un discret immeuble, dans une cour intérieure, nous croisons le Comte Xavier de Mille Vices, un bel athlète, du même age que le Baron Donatien. Sont-ils frères ?
- Voici, ma nouvelle chienne, Chienne 66, élégante, docile, vicieuse et excellente chienne anale. Caresse sa chatte toute humide, elle a du avoir de multiples orgasmes avec l’œuf du désir.
- Toute trempée, elle est bien humide et elle sent bon. Combien d’hommes l’ont prise au club ?
- Dix pour commencer, sans ceux du « Pavillon du Lac », elle est fait forte impression, jeune vierge. Son œillet s’ouvre sur demande. Tu es autorisée à parler, Chienne 66 ?
- Je veux jouir, Marquis.
- Tu es autorisée à avoir ton orgasme, tu es très docile et tu as un beau déhanché.
J’explose dans un violent double orgasme, tout en serrant les fesses et en évitant d’expulser l’œuf.
Le Comte me retire et me le fait nettoyer de ma mouille.
Le Comte me baise, séance tenante, avec mon bijou d‘anus, qui resserre ma chatte de vierge. Je me retiens de jouir, mais son gros mandrin me comble. Il éjacule sur mes fesses.
Nous montons par les escaliers au troisième étage. Je découvre mon nouvel appartement. Mon emploi dans la boutique de lingerie a été adapté.
Ma chambre est la copie de ma cellule du « Pavillon du Lac ». Je possède une douche avec une canule. Des miroirs et des glaces sur les murs et au plafond dans toutes les pièces, sans rideau. Mon intimité est révélée à mes voisins, des amis du Comte et du Marquis.
- Chienne 66, ton corps est désormais public, donc en ma présence ou en présence d'un de mes représentants, tu dois te montrer nue sur un simple ordre. Ou que ce soit, quand que ce soit et devant qui que ce soit. Tu n'as pas de temps de réflexion. Tu dois t'exécuter à la seconde même. En dehors de ma présence ou de quelqu'un qui me remplace, si quelqu'un te touche, te tripote, te pelote, tu dois te laisser faire comme si c'était quelque chose de tout à fait normal, qui que ce soit et ou que ce soit. Même si ça va jusqu'à te faire enculer. Dans ce cas, tu dois me tenir informé du fait que tu t'es faîte prendre par quelqu'un et tu dois me donner tous les détails. Dès maintenant et définitivement, tu n'as plus le droit de te masturber ni de te caresser. Pour faire simple, tu n'as plus le droit au plaisir sauf quand je t'y autorises et uniquement en ma présence. Tu n'as le droit de porter des vêtements que lorsque tu dois sortir sauf ordres contraires, le reste du temps et ou que tu sois, avec qui que tu sois et n'importe quand, tu dois être complètement nue. La nuit, toutes les lumières restent allumées. Tu te conduits comme une pute, une putain, une chienne. Tu dors sur le chevalet, nue. Que tu sois chez toi ou n'importe ou ailleurs, seule ou pas, tu restes nue. Tu te douches à l’eau froide, ainsi que ton lavement. Seules les parties à maquiller sont essuyées. La position d'attente d'une esclave, c'est à genoux, cuisses écartées, assise sur tes talons, le dos bien droit, légèrement cambrée, la tête droite mais les yeux baissés, les mains posées sur les cuisses paumes vers le haut. Ta bouche dois rester légèrement entrouverte. Tu dois adopter cette posture à chaque fois que tu n’es pas utilisée et ce ou que ce soit. Pour finir, dorénavant, si tu dois ramasser quelque chose par terre, tu te penches en avant en gardant les jambes tendues. Quelques soit la longueur de ta robe ou de ta jupe et ou que tu sois. Jamais d'exception à cette règle. Je vais te retirer ton bijou d’anus, pour exhiber ton œillet au Comte.
Je suis agenouillée, nue, sans ma cape, déchaussée, les mains dans le dos, le buste sur le canapé.
Le Marquis me caresse les fesses,
- Son œillet élargi par les multiples saillies canines, la rend encore plus désirable, annonce le Marquis au Comte.
Cuisses écartées, la main du Marquis est appuyée sur ma taille.
- C’est une vraie chienne, élégante, complimente le Marquis.
- Son œillet béant qui se referme un peu, montre sa souplesse. Je peux jouir avec ma queue dans son puits.
- Faites, Comte, la chienne doit retarder son orgasme.
Les yeux baissés, la bouche entrouverte, le mandrin long de trente-un centimètres et huit de diamètre me remplit jusqu’aux testicules. Il me fesse magistralement. Il m’encule sauvagement. Je me retiens de gémir, écartelée.
- Le sexe du Centaure lui fera un grand bien. Cette chienne a besoin de connaître d’autres sexes.
Le Comte se retire et éjacule sur mes fesses, avant mon orgasme anal.
Je suis conduite sous la statue d’un sublime Centaure, mi-homme, mi-cheval, doté d’un sexe réaliste de trente-cinq centimètres et huit de diamètre.
Je me baise avec, déclenchant un violent orgasme.
Je me sens surprise par le sexe équin qui m’a baisé.
- Ecarte-lui les fesses, elle doit être aussi enculée, dit le Marquis.
La saillie anale équine est un peu douloureuse, malgré la lubrification par le sperme de mes amants.
Mon anus résiste interminablement. Je grimace de douleur. Enfin le passage anal cède à la pression. Le gode m’encule profondément. Je hurle de douleur tellement ça fait mal. Le plaisir anal m’envahit lors de mes va-et-vient tout comme lors de ma chatte. Le gode gonfle en moi, au maximum de son érection. Puis l’anus béant, rougi, distendu après mon orgasme anal, je suis sauvagement prise en double anale par mes amants excités. Je les suce et avale tout.
Libre, je me douche devant eux.
Je suis menottée nue au chevalet, pour l’après-midi.
Un inconnu me fait saillir pendant plus d’une heure par un dogue allemand. Je ne compte plus mes orgasmes anaux.
Puis je suis à nouveau enculée sous le Centaure, pour que mon anus s’habitue.
Mes amis transsexuels m’enculent, sur le chevalet. Ils me complimentent pour mes tatouages sur mon corps.

Pendant une semaine à mon appartement, le plus souvent menottée à mon chevalet, les yeux bandés, nue, saillie par de nombreux chiens du berger allemand au dogue allemand, pour que je reste bien assoupli de l’anus. Des fois, agenouillée, cuisses écartées, les mains dans le dos, les yeux bandés, je dois sucer jusqu’à une quinzaine d’inconnus et avaler leurs spermes, tout en portant mon plus gros bijou d’anus. Rares, sont les hommes à m’enculer, seuls le Baron, le Comte et le Marquis ont ce privilège et je me retiens de jouir. Je suis nourrie, menottée au chevalet ou agenouillée. Je me fais enculer par le Centaure trois fois par jour. Des voyeurs de l’immeuble qui ont mon numéro, me laissent des messages coquins, vicieux sur mes exploits à la vue de tous. Tous rêvent de me faire jouir.

5 août,
Après une nouvelle courte nuit de saillies canines et du Centaure, vers 8 heures, j’émerge. Mon anus dégouline du surplus de spermes canins.
Le Marquis vient me voir et m’annonce :
- Ma chienne 66, le séjour à l’appartement prend fin. Tu vas pouvoir retourner à la boutique de lingerie. Un de tes voyeurs, un écrivain, m’a remis ce colis pour toi. Va te doucher et met ton bijou d’anus.
J’obéis, fardée, parfumée, les clochettes à mes mamelons et en mules, coiffée d’une queue-de-cheval. J’ouvre le colis, il contient un corset seins nus et une guêpière seins nus sans jarretelles à ma taille.
La guêpière possède un busc, sur un côté derrière, permet de boucler et de déboucler. Par-derrière aussi, un large laçage se serre ou se desserre à volonté. Le Marquis me la lace aussi étroitement qu'il peut. Je sens ma taille et mon ventre se creuser sous la pression des baleines, qui sur le ventre descendaient presque jusqu'au pubis, qu'elles dégagent, ainsi que les hanches. La guêpière est plus courte par-derrière et laisse la croupe entièrement libre.
- Tu seras plus accessible, sans te déshabiller. Tu vas la porter tous les jours. Mets ton chemisier transparent et ta jupe ample mi-cuisses pour couvrir tes clochettes à tes grandes lèvres humides.
Le chemisier n’a aucun bouton, pour que tout le monde puisse caresser mes seins nus.
Je déjeune.
Cet après-midi, tu as rendez-vous au club libertin « Cravache et Vices », pour satisfaire vingt étalons très bien montés d’Afrique Noire pour t’enculer et tu avales leurs spermes, ma chienne.
Nous ne prenons pas l’ascenseur, mais les escaliers. Mes mules claquent sur les marches carrelées, faisant tinter mes clochettes entre mes cuisses. Les locataires me dévisagent, certains m’embrassent langoureusement sur la bouche, me caressent les seins, faisant durcir davantage mes mamelons tendus.
Nous allons à pied jusqu’à la boutique, à une demi-heure de là. Le quartier m’est familier. Des jeunes me draguent, je garde les yeux baissés et la bouche entrouverte.
- C’est une vraie pute, monsieur.
- Oui, c’est ma nièce, Vanessa, une superbe pute tous services, dit le Marquis.
- Elle aime se faire enculer, ta nièce.
- Oui, Vanessa, raconte-lui.
Je dois confesser mon séjour au « Pavillon du Lac ».
- C’est bien ça, tu es une vraie pute soumise.
- Tu veux ma queue dans ton puits, putain, dit le second, un beau Adonis, bien monté.
- Allons dans la ruelle, vous l’enculerez à quatre. Tu es prête, Vanessa.
- Oui, je suis prête.
Penchée en avant, la jupe relevée, les fesses nues, les clochettes tintent à chaque coup de rein. Ils m’enculent sauvagement, m’insultent, me fessent et je dois recevoir dans mon anus. Pantelante, je les nettoie sans perdre une goutte.
Ils donnent un gros billet au Marquis, qui les remercie.
A la boutique, je suis sauvagement enculée par les maris et les amants des clientes. Je lèche l’anus de ces dames.
Après une remise en beauté, je reviens le club libertin, à pied.
Là, juste vêtue de ma guêpière, en mules, je suce mes amants, avant d’enchaîner les double pénétrations, les doubles anales. Je suis cravachée sur les fesses pour m’encourager.
Une dizaine de clients complète les vingt qui me sont destinées. Des femmes m’embrassent sur la bouche, caressent mes seins pour m’exciter, mais elles ne me doigtent pas.
Des litres de sperme dégoulinent de ma chatte et de mon anus.
Au trentième, je perds connaissance. Je prends un peu de repos, avant de m’offrir aux vingt.
Je ne sors du club libertin, après soixante pénétrations, de multiples orgasmes et la bouche remplie de spermes. L’argent est mis sur un compte. Mes fesses et mes cuisses portent les marques des coups de cravache et de garcette.
Le Marquis m’a observé et me reconduit à l’immeuble.
Après ma douche réparatrice et un bon souper, je dois tout raconter sur ma journée de soumise, menottée au chevalet, sauvagement enculée par le Marquis.
Une dizaine de chiens m’enculent, me laissant peu de repos.
Mon téléphone sonne et j’entends sur le répondeur :
- Alors, chienne 66, tu en prends goût, des grosses queues dans ton puits. J’ai hâte de remplir ton puits et ta bouche dressée. Je fantasme sur tes ébats de ton appartement. Tu mouilles, je le sais. Je t’observe par de discrètes caméras installées chez toi. Tu as aimée mes cadeaux, ma chienne. Tu as gardé la guêpière. Elle te va à merveille, mettant en valeur des hanches de courtisane, ton dos cambré et tes fesses musclées en arrière, ainsi que tes seins tendent même leurs mamelons durcis. Elle moule le corps, pour en épouser les formes et les mettre en valeur.
Puis il raccroche. J’en suis toute excitée, mes mamelons et mon clitoris sont tendus à l’extrême.

6 août
Peu après ma douche, on sonne à ma porte. Je reste nue et en mules et j’ouvre.
Un bel étalon aveugle se présente à moi, avec son berger allemand, chien d’aveugle.
- Tu es Chienne 66. Je m’appelle le Duc des Plaisirs, écrivain. Tu es ma nouvelle muse.
Je le fais entrer. Il me caresse le visage et m’annonce :
- Tu as les yeux verts et de superbes cheveux.
Ses mains descendent le long de mon corps, il me pelote les seins, étire mes mamelons tendus. Je commence à jouir.
Il caresse longuement ma toison pubienne, me masturbe le clitoris tendu, en écartant bien ma chatte trempée et me doigte l’anus simultanément.
- Tu es bien chaude. Ecarte bien tes fesses, je vais t’enculer avec ma belle queue.
En effet, le bel étalon m’offre un long mandrin que je suce, dans un 69 torride.
Je m’allonge sur lui, le suçant. Je lui lèche, suce, mordille son mandrin, ma langue  lape son gland, titiller son urètre, son frein, avant de s’enrouler autour de ses testicules velues. Je lui lèche tendrement son anus, le doigte, le détend puis revenir à son mandrin avant de repasser à son cul, pendant qu’il me lèche la chatte, me doigte l’anus. Je me retiens de jouir. Je descends jusqu’à la racine du mandrin et je commence mes mouvements de va et vient. Une fois le mandrin en bouche je passe ma langue sur le mandrin offert en insistant bien sur le frein. Je passe de l’anus au mandrin et vice versa pour rendre mon partenaire fou de plaisir et l’amener au bord de l’éjaculation. Il masturbe mon clitoris, le lèche.
Bien lubrifiée, il m’enfonce son mandrin long de seize centimètres. Nous sommes tête-bêche comme pour le 69, allongés sur le ventre, dos à dos. Je suis allongée sous lui, nos jambes entrelacées. Son gros mandrin m’écartèle l’anus et je jouis.
Sans débander, il m’allonge sur le dos, cuisses relevées et bloquées par ses cuisses, en traction.
- Tu aimes que je t’encules, ma chienne.
- Oui, Duc, faites-moi jouir. Donnes-moi ton sperme.
Le berger allemand du Duc approche son sexe en érection de ma bouche ouverte par mes râles de plaisir.
- Suce Arès, ma chienne.
J’obéis. Dès le retrait du Duc, Arès m’encule dans la même position et je connais quatre orgasmes, largement inondée. Je suce le Duc.
- Tu es une sacrée chienne, qui suce bien. Garde la pose, je t’encule encore une fois.
Je connais un violent orgasme, suivi d’une longue éjaculation du Duc, la bouche remplie du sperme d’Arès.
Je remets mon bijou d‘anus, pantelante.
Nous prenons une douche jouissive.
On sonne. Je reste nue et en mules et j’ouvre au Marquis.
- Tiens, ma Chienne 66 a fait la connaissance du Duc. Tu aimes sa queue et celle d’Arès.
- Oui, Maître, je suis votre Chienne.
- Chienne 66, je vais enculer le Duc et tu vas le sucer, pendant qu’Arès t’encules.
Le Duc s’empale, sur le mandrin du Marquis. Je suis subjugué par le spectacle. Tout en suçant le Duc, qui bande dans ma bouche, Arès m’encule jusqu’au nœud. Je reste attachée à lui, une bonne demi-heure.
L’anus dégoulinant de sperme, je m’encule sur le Marquis, tandis que le Duc me baise. Je connais un double orgasme violent.
Pantelante, je dois m’enculer sur le sexe du Centaure, tout en suçant le Duc, le Marquis et Arès, je dois tout avaler.
Le Duc m’encule, tandis que je me baise avec le sexe d’Arès, la bouche ouverte, remplie par le mandrin du Marquis.
Tous éjaculent en moi.
Menottée au chevalet, je suis cravachée sur les fesses, comptant les coups du Duc.
- Tu aimes ça, ma Chienne, annonce le Duc.
- Oui, Maître, fouettez-moi. Je suis votre soumise.
Après le départ d‘Arès, du Duc et du Marquis, je me fais saillir par mes amants canins, avant une longue douche réparatrice et un long lavement.

14 août
Je reçois deux rangées d’anneaux dorés à mes grandes lèvres, pour me faire reconnaître.
Le Marquis et le Duc aiment me promener dans mes tenues seins nus.
Je fais deux toilettes quotidiennes. Le matin, les besoins naturels effectués, une toilette minutieuse, cuisses grandes ouvertes, pour faciliter les soins réservés à ses organes génitaux et à son anus.
Le dimanche je "bénéficie" en plus d'une grande toilette interne sous forme d'un lavement et d'une irrigation vaginale prolongée. Je retiens le liquide ou au ,contraire le laisser s'écouler. Il me savonne tout le corps, avec une douche tiède et prolongée accompagnée du balayage soigneux d'une énorme éponge sur laquelle je me frotte plusieurs fois. Lorsque l'éponge est disposée entre mes cuisses ou sur mes seins, je me retiens de jouir. Il me rase la chatte et l’anus.
La toilette du soir se résume en général à une douche prolongée, identique à celle du matin, accompagnée par la grosse éponge.
Depuis ma rencontre avec le Baron, mes jupes se raccourcissent et de plus en plus fines. Mes hauts de plus en plus décolletés et surtout de plus en plus transparents. J'ai pu constater qu'il n'y a pas que les hommes qui me regardent avec insistance mais les femmes aussi. Quelques fois avec des reproches dans les yeux mais souvent avec de l'envie. Je suis terriblement excitée. Plus j'étais excitée et plus parfois c'est gênant car ça ce voit parfaitement bien.
Les sodomies dans les ruelles, se succèdent à celles dans des parcs privés, même Arès m’encule dans les parcs.
Mes visites assidues quotidiennes au club libertin « Cravache et Vices » me font connaître de nouveaux clients plus pervers. Ce n’est pas rare que je finisse les fesses et les cuisses bien zébrées. Tous aiment ma chatte trempée par les séances.
Nous allons aussi dans des restaurants chics, présentée comme la nièce Vanessa.
Je dois satisfaire les désirs des serveurs dans les toilettes pour hommes.
Je gagne bien ma vie comme Chienne.

10 septembre
Après ma matinée à la boutique, vêtue de ma robe à corselet seins nus, sans mon boléro dans la boutique et en mules à talons de quinze centimètres, coiffée de ma queue-de-cheval, pour que tout le monde voit C66, je suis désormais intégralement épilée et je prends soin de rester totalement lisse, dégageant mon gros clitoris récemment percé d’un anneau doré serti d’une pierre précieuse.
Le Baron m’a laissé un petit mot à Alban.
J’ouvre l’enveloppe :
- Chienne 66, tu es attendue à « Haras des Plaisirs », de mon ami, Vicomte Alexandre de Bijou du Désir de Sexe et Mont Plaisir. Il est très intéressé de te voir saillir.
César m’attend. Je rejoins le « Haras », qui se trouve à cinq heures de vol par hélicoptère.
Sur un aérodrome privé, un hélicoptère Dauphin m’attend. Je dois m’asseoir toute nue sur la banquette arrière, l’anus rempli par un gode équin similaire à celui du Centaure. Mon anus s’est habitué à ce diamètre.
Le pilote m’observe de temps à autre. César me caresse juste ce qu’il faut, pour retarder mon orgasme. Je mouille, les cuisses écartées, la porte ouverte fait entrer le vent frais qui m’excite davantage les mamelons et le clitoris.
Au bout de trois heures de caresse, je connais enfin mon premier orgasme, le muscle anal se contracte très fortement sur le gode équin.
Arrivée au haras, toute nue, je suis tenue en laisse par mes anneaux de ma chatte. J’entends les étalons hennir. Ils saillissent de jeunes soumises.
Le vicomte, un bel homme, me dévisage. Je garde les yeux baissés.
- De Chienne, tu vas devenir une Pute Chevaline d’ici quelques jours. Ton œillet assoupli n’a aucun mal à recevoir leurs sexes en érection.
Il me menotte sur un chevalet, il me retire le gode équin et juge de mon anus béant et humide.
- Eclair de Haies, un magnifique alezan est ton amant équin, Chienne 66. Ton œillet est bien ouvert, ma Chienne. Je vais m’enfoncer le sexe dans ton puits.
Positionnant le gland du membre devenu moins dur sur sa rondelle, je commence à  pousser. Le sphincter cède. J’hurle de douleur, le vicomte l’enfonce millimètre par millimètre, je serre jusqu’à trente centimètres de bite de cheval pour m’enculer. Je m’agite doucement puis, mon anus se dilatant, accélère le mouvement mais m'arrête net en poussant un hurlement de douleur: le cheval bande de plus belle. Je l’excite. Bientôt, mes cris de douleurs deviennent des râles de plaisir incontrôlés. Je retrouve le même plaisir qu’avec les chiens.
- Vicomte, je suis une Pute à cheval. C’est très jouissif, une telle queue.
- Oui, Chienne, attends qu’il éjacule en toi. Tu vas me sucer.
Je dois sucer le gros mandrin du vicomte.
Pendant ce temps, le cheval éjacule et me provoque un orgasme. Le vicomte éjacule dans ma bouche, presque simultanément, j’avale tout.
Un miroir m’offre une vue de mon anus rougi complètement distendu et boursouflé ce qui libère un flot de sperme.
Satisfait de ma première saillie anale équine, je suis offerte à un cheval de selle français, Flèche d’Alizé. Je connais deux orgasmes en sa compagnie.
Pantelante, je dois sucer le personnel masculin du haras. Je suis rincée à l’eau froide, le sperme est récupéré de mon anus, pour que je le boive.
Les saillies anales équines et canines en alternance, je suis aux anges. Le sexe de mes étalons m’encourage vers plus de vices.

25 septembre
Après mon transfert à l’aube, en hélicoptère, toute nue, en mules, avec mon gros gode équin dans mon anus, je retrouve César.
Il m’encule sauvagement.
Bien dressée, je rejoins un nouveau lieu. « Domaine des Soumises », un château isolé, entouré par plusieurs points de contrôle.
Dès le premier point de contrôle, je suis longuement fouillée, sans ménagement. Je dois répondre sur mes tatouages et mes anneaux.
Au troisième point de contrôle, je suis sauvagement enculée par les gardiens, devant les sucer et tout avaler.
Enfin, nous arrivons, escortés par des gardiens à cheval et des maîtres-chiens, à un superbe château.
Je suis tenue en laisse par mes anneaux, les yeux baissés, avec un bâillon O, l’anus libre.
- Chienne 66 deviens Putain 99, qui sera marquée au fer rouge, sur l’intérieur de sa cuisse gauche et elle sera ferrée. Putain 99 est destinée au plaisir des invités, dès cet après-midi.
Après une douche froide et un lavement anal, je rejoins le salon, dans ma robe à corselet seins nus, sans mon boléro, en mules. Ma bouche est fardée avec un rouge clair, un peu liquide, appliqué au pinceau, et qui fonce en séchant. Elle lui peignit du même rouge l'aréole et le mamelon tendu à l’extrême, et les petites lèvres entre ses cuisses, en soulignant la fente du giron, le visage poudré.
Je porte aussi mon collier et mes bracelets de fer inoxydable, articulés et à demi rigides. Ils sont hauts de près de deux doigts et portent chacun un anneau de même métal. Je les garde jour et nuit, ni même pour me baigner. Je ne porte plus mon bâillon O.
- Tes seins et tes fesses sont vraiment faits pour la cravache, Putain 99, dit un des hommes, tu t'en rends compte, oui ?
Au salon, les yeux baissés, la bouche entrouverte, seule, je découvre trois beaux étalons qui viennent à ma rencontre.
- C’est la célèbre Chienne 66, devenue Putain 99, une adepte des saillies et du fouet, dit l’un d’eux.
- Quelle bouche bien dressée, elle sait ce qu’on attend d’elle.
- Viens donner tes jolis seins.
Je m’offre à leurs caresses, commentaires de pute, putain et chienne.
Un des hommes, au gros mandrin, m’encule séance tenante. Je dois sucer l’homme qui m’a caressé les seins. Je mouille de désir. Les testicules claquent contre mes fesses brûlantes sous les fessées.
Trois hommes m’enculent et deux en double anale, je ne peux refuser.
Puis je monte à la chambre, en leur compagnie. Nue, ils me fouettent, menottée à mon lit, m’enculent, me font sucer et même un des bergers allemands d’un des hommes m’encule. Je suis pantelante, l’anus rempli de sperme. Un des hommes me met un gros bijou d’anus.
J’ai droit à un nouveau lavement, avant de m’offrir à une douzaine de clients jusqu’au coucher du soleil.
Après le repas, nue au réfectoire, avec mon bijou d’anus, je suis à nouveau enculée, fouettée jusqu’à l’aube.
Nue, dans ma chambre, après ma douche froide, je suis menottée nue, cuisses écartées, livrée aux valets et à leurs chiens. Je porte des fers d’essais à mes grandes lèvres humides.

Jusqu’au 15 octobre, les invités se succèdent, me complimentent.

Menottée au chevalet, je reçois mes fers définitifs. Ce sont des anneaux de fer mat inoxydable, comme le fer de la bague doublée d'or. A chacune de mes grandes lèvres de ma chatte, en lieu et place d’un des anneaux dorés, la tige ronde, épaisse, et oblongs : les maillons des grosses chaînes sont semblables. Chacun est formé de deux U qui s'emboîtent l'un dans l'autre. Le ressort intérieur sur lequel on doit forcer pour le faire pénétrer dans la rainure où il se bloque. Une fois posé, il est impossible de l'ôter, il faut limer. » Chaque anneau est long comme deux phalanges du petit doigt, qu'on y peut glisser. A chacun était suspendu, un anneau qui doit être dans le même plan que l'oreille et la prolonger, un disque de même métal aussi large que l'anneau était long. Sur une des faces, les initiales du Baron, du Marquis et du Comte, sur chacun et au-dessous, un fouet et une cravache entrecroisés. Les fers me descendent jusqu'au tiers de la cuisse, et à chacun de mes pas bougent entre mes jambes comme un battant de cloche, le disque gravé étant plus lourd et plus long que l'anneau auquel il pend. Les marques imprimées par le fer rouge, hautes de trois doigts et larges de moitié leur hauteur, sont creusées dans la chair comme par une gouge, de l’intérieur de ma cuisse gauche, à près d'un centimètre de profondeur. Rien que de les effleurer, on les perçoit sous le doigt. De ces fers et de ces marques, j’éprouve une fierté insensée.
Je deviens une soumise officielle de premier rang selon les lois du « Domaine ». Je suis apte à me faire saillir par des chiens, des chevaux et aussi par des hommes. Je suis bien payée.
Je sais qu’un jour, un amant me sera promis, pour que je devienne sa soumise, pute, putain et surtout sa chienne.


A bientôt, mes amants, votre Chienne Pénélope.


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