samedi 22 juin 2019

PRUDENCE ENTRE VICE ET DESIR


Je m’appelle Prudence.
J’ai 18 ans.
Je suis une jolie beauté scandinave.
Je suis une brune aux yeux verts. J’ai des pieds fins et latins, des jambes longues bronzées, musclées qui inquiètent par leur perfection. Mon pénil est bombé, ouvert, couronné de noir. Ma pilosité brune couvre mon pubis. Ma chatte est velue et j’ai une superbe croupe. Les lèvres de mon sexe sont une plaie rouge entre mon entrecuisse. Mes hanches s'incurvent et délimitent le ventre plat, délicieusement renflé autour du nombril, les hanches sont larges et rondes, mais sans lourdeur. La taille est affinée. Les seins parfaits intégralement bronzés sont un peu volumineux mais fermes, et leurs pointes marron clair, toujours dressées, cernées par une large aréole marron attirent le regard. J’ai une peau lisse et patine. Finition parfaite, un seul grain de beauté entre mes superbes seins. De longs cheveux plats blonds flottant comme des algues, battent mes épaules rondes et gracieusement athlétiques. Je suis intégralement bronzée. Mes yeux verts limpides s'allument, ma bouche charnue se fend. J’ai des sourcils bruns bien dessinés et des lèvres pulpeuses. J’ai de longs doigts fins et de belles mains. Je fais du 90B de poitrine, 56 de taille, 90 de hanches, 1,72 m.

PRUDENCE ENTRE VICE ET DESIR



15 juillet

Depuis l’âge de mes 16 ans, je passe mes vacances dans un club naturiste. Dès que mes poils pubiens qui continuent de friser et deviennent plus drus ; la pilosité est plus dense et les aréoles et les mamelons forment une seconde protubérance, j’ai attiré les regards masculins.
Un peu plus tard, lors que mon triangle pubien s’étend sur la surface interne des cuisses, mes mamelons continuent saillir. J’aime de plus en plus mon corps de femme. J’aime me masturber seule ou avec des copines lesbiennes du club naturiste, sur la plage ou dans la mer.
Je sais qu’un jour, je serais déflorée. Je me réserve.
Je loge dans un bungalow, que je partage avec un jeune couple. Avec eux, j’ai appris à sucer le mandrin de l’homme, mes cunnilingus lesbiens dans des 69 torrides me font exploser dans de violents orgasmes, je mouille énormément.
J’avoue que j’ai un penchant pour les fessées sur mes fesses nues. C’est comme cela, que Sven, le mari du couple m’a avoué :
- Prudence, tu sais que ton œillet mouille chaque fois que je te fesse.
- Sven, ne me doigte pas l’œillet. Je ne suis pas encore prête.
- Détends-toi, je vais juste enfoncer un doigt, comme je le fais avec Aimée, ta cousine.
Allongée sur le ventre, sur le canapé, toute nue, je me laisse faire.
Mon anus se détend un peu, quand le doigt s’enfonce.
Je reconnais que c’est pas désagréable.
- Sven, mets-moi un second jusqu’à trois doigts. Je commence à aimer ça.
- Ma chérie, je vais m’occuper de ton clitoris, pendant qu’il te doigte, pour te relaxer.
Un violent orgasme anal me terrasse, par la combinaison.
- Tu es une vicieuse cachée, Prudence.
- La prochaine fois, je mets ma queue pour t’enculer.
Plus tard, Sven, laisse mon œillet s’habituer à tes doigts.
Je sais, je suis bien monté. Tu n’auras aucun mal, enculée.
- Oh oui, Prudence, c’est une formalité ensuite.
Après cette première sodomie digitale, j’avoue :
- La prochaine fois, je veux une queue dans mon puits vierge.
- Dis donc, Prudence, tu te montres intéressée, me dit Aimée.
- Allons à la plage, j’ai envie de me baigner et de bronzer.
A la plage, allongée sur la plage, entre deux bains de soleil, cuisses écartées, je sens ma chatte se mouiller. Je fantasme sur l’amant qui m’enculera et me fera jouir.
J’ai hâte de me faire enculer par un vrai mandrin.
Quand j’ouvre les yeux, je découvre mon cousin Brice, un bel étalon un peu plus âgé que moi et son ami James, un britannique homosexuel, bien monté, qui m’a appris à sucer. J’aime regarder ce couple faire l’amour.
- Alors, Prudence, tu es toute pensive, dit Brice, en glissant sa main entre mes cuisses humides.
- Regarde son œillet est encore un peu entrouvert, remarque James.
- Prudence, tu es adepte de la sodomie, réplique Brice.
- Non, pas encore, Sven m’a juste doigté l’œillet. C’est pas désagréable.
Je sens le doigt de James m’enculer et les doigts de Brice s’enfoncer dans ma chatte et me lécher le clitoris. Les yeux fermés, je sens une vague de plaisir m’envahir, sans prêter attention aux voyeurs, qui se masturbent autour de moi.
Prudence, tu prends ton pied, vicieuse, dit Sven.
J’entrouvre les yeux, mon bassin ondule sur ses doigts qui me fouillent. Je ne peux émettre que des râles continus.
- Oh oui, c’est bon. Encore, plus profond. J’ai ma chatte en feu et l’œillet en feu.
- Elle aime ça, ma vicieuse, me susurre Sven, en enfonçant son gros mandrin dans mon anus lubrifié.
Je sens ses testicules contre mes fesses, en me saisissant les cuisses. Je ne peux me retirer et je dois le subir. Des hommes enfoncent leurs mandrins dans ma bouche.
Sven éjacule en moi, puis Brice et James enculent mon anus lubrifié. J’ai un peu mal par leur grosseur, mais je m’ouvre au mieux. D’autres hommes caressent mes seins, mon clitoris pour décupler mon plaisir.
Au total, je suis enculée par une dizaine d’hommes de divers calibres.
Quand j’émerge, je suis à moitié évanouie. Mon anus dégouline, ainsi que ma bouche.
Aimée me rejoint :
- Dis donc, pour une débutante, tu as fait pris. Dix étalons rien pour que toi, ma chérie, tu as joui à plusieurs reprises. Viens te baigner.
De retour au bungalow, j’ai droit à mon lavement anal. Aimée laisse la porte de la salle de bains, pour le plaisir de Sven, Brice et James.
- La vierge anale est déflorée, annonce Sven. Tu seras davantage avec ceci. Aimée enfile-lui dans son œillet.
J’écarte mes fesses. Le bijou d’anus froid me pénètre sur trois centimètres environ, cela lubrifiera l'entrée du rectum et détend l'anus. Aimée appuie la pointe lubrifiée du sur la pastille anale et pousse doucement. En quelques secondes la partie charnue  est avalée. Ne reste visible que la partie décorative qui sert aussi de butée. Après l'introduction, il se resserre sur la tige dont le diamètre est plus ou moins celui d'un petit doigt, ce qui correspond à l'ouverture normale et naturelle de l'anus pour permettre les échanges gazeux. La section qui relie les deux extrémités est très fine et douce afin de laisser l’anus se refermer dessus sans gêne. La tige de la taille de l’auriculaire sert de support lorsque le sphincter se referme.
Il resserre ma chatte encore vierge. Cela détend les sphincters anaux pour apprivoiser le plaisir anal et se familiariser avec cette zone de notre corps qui fait encore un peu peur à certains. Outre un sentiment de grande relaxation, les contractions des muscles anaux provoquent un immense plaisir qui se propage dans tout le bas-ventre.
- C’est froid, ma chérie.
- Tu verras, ce pénis avec des veines et un gland prononcé et en relief est excellent. Tu fantasmes ainsi sur un vrai étalon, comme tout à l’heure sur la plage. Onze centimètres c’est un beau début. Toute nouvelle sodomie sera moins douloureuse en fonction du calibre.
En marchant nue, pieds nus, je ne prête pas même attention à mon bijou d’anus. Je mouille abondamment, mon bassin ondule. Je dois faire une pause, tellement c’est jouissif.
L’après-midi, après avoir retiré quelques instants mon bijou d’anus, je retourne à la plage avec Aimée. Mes amants me complimentent.
Sven nous rejoint et me susurre :
- Prudence, un de mes amis, le Baron Désiré de Saint Mon Plaisir, un proche du sénateur, recherche des jeunes filles de ton âge, pour une soirée. Mets un de tes tailleurs avec jupe pour lui rendre visite, je t’accompagne.
Je choisis un chemisier blanc sur mes seins nus, un string pour cacher mon bijou d’anus et un tailleur avec jupe droite fuchsia et mes escarpins blancs à hauts talons à mes pieds nus. Je me suis fardée et parfumée.
La résidence du Baron se trouve à une demi-heure de route de la plage, sous haute protection. Je suis en admiration devant ses bergers allemands de ses maîtres-chiens.
Nous stationnons dans l’allée.
Les hommes me dévisagent. Je suis jaugée sur mes genoux, mes mains.
- Prudence est là, Monsieur le Baron, annonce Sven, dans le salon.
Le Baron est un bel athlète du double de mon âge. Il est seul.
- Approche que je regarde ton corps. C'est très bien, j'adore la jeunesse. Mes invités aussi. En te prenant vierge, si j'ose dire, je pourrai te dresser à  ma guise. Retire ta jupe.
J’obéis.
- Tu as de jolies jambes et de fines attaches.
- Enlève ton chemisier, je veux voir tes seins.
J’obéis.
- Retire ton string et tu restes velue pour le début. As-tu déjà reçu la fessée ou le martinet ? Alors tu sais ce que signifie l'éducation anglaise ?
Il caresse mes seins, pince mes mamelons entre ses doigts jusqu'à ce qu'il les sente se dresser.
- Je veux de l'ordre, de la discipline et de l'obéissance. Je te dresserai jusqu'à  ce que tu sois parfaite, tu m'as bien comprise ? Tu feras ta toilette à l'eau froide.
Un superbe étalon africain entre avec un grand carton.
Horace, voici la nouvelle soubrette, Prudence, je veux ton avis.
- Belle, élégante, un corps de déesse, rien à dire, sait-elle sucer ?
- Bien sûr, Prudence est une suceuse de choix, dit Sven.
Je n’ose répondre, mais je mouille, en pensant au mandrin d’Horace, bien monté.
Horace me caresse les fesses sans me prévenir et les écarte.
- Baron, elle porte un bijou d’anus. C’est une adepte de la sodomie, annonce Horace.
- Oui, Prudence aime se faire enculer.
Sven n’avoue ma défloration anale récente.
Je mets mon porte-jarretelles et mes bas blancs, comme une experte, sous les regards voyeurs des hommes, même les maîtres-chiens nous ont rejoint.
- Très bien, tu mets ces sandales à plate-formes.
Je gagne quelques centimètres. Ma silhouette est plus élancée, mes chevilles et mes mollets sont tendus, cela me fait des jambes superbes, dans le grand miroir devant moi.
Je dois redresser le buste et creuse les reins. Je fais quelques pas en me déhanchant, sous les compliments.
- Notre soubrette a bien commencé l’essai. Désolé, tu restes seins nus et la chatte libre sous ta robe de soubrette, avec ton corset seins nus, annonce le Baron.
Le corset seins nus, étroitement lacé dans le dos.
- Ainsi, elle se laissera caresser, obéissante et docile, annonce le Baron. Chez moi, les invités ont tous les droits. Des hanches de courtisane, un dos cambré et les fesses en arrière pour les caresses et tes seins tendent même leurs mamelons. Le corset moule son corps, pour en épouser les formes et les mettre en valeur, ses reins cambrés. La robe ultra courte complète ta tenue.
Une fois habillée, sur mesure, dévoilant la lisière de mes bas et juste au ras des fesses nues. Je porte mon tablier blanc et ma coiffe réglementaire.
- Prudence est prête. Horace, écarte les fesses et retire-lui le bijou d’anus pour que je l’encule pour son premier jour. Elle commence dès aujourd’hui. Horace, tu la prends ensuite.
Penchée en avant, cuisses écartées, les mains accrochées à la table, où est assis Sven, je sens le mandrin du Baron m’enculer. Il fait vingt centimètres de long et six de diamètre, le double du bijou d’anus. J’ai un peu mal, mais il me prend jusqu’aux testicules, qui claquent contre mes fesses. Tantôt il écarte mes fesses pour mieux m’enculer, tantôt il pelote mes seins aux mamelons tendus. Je mouille abondamment et je jouis.
- Tu prends ton pied, ma belle.
- Oui, Baron, elle est grosse.
- Tu vas avoir ton puits qui se faire à ma queue, Prudence. Je continue à en forcer le passage. Horace en possède une plus grosse. Je vais jouir, tes va-et-vient me font éjaculer. Tu me sembles excitée. Ton clitoris est tout durci.
Le Baron éjacule et Horace m’enfonce son gros mandrin, qui me trouble. Vingt-six centimètres et huit de diamètre. Je dois m’ouvrir davantage et je gémis.
- Son puits est trop étroit, ou elle se crispe. Détends-toi, Prudence, c’est une formalité.
J’obéis, après quelques fessées.
- Ca y est, son puits est lubrifié.
Je prends le même plaisir qu’avec le Baron que je masturbe d’une main.
- On va devoir lui élargir le puits, Sven. Un bijou d’anus de taille supérieure lui sera mis après Horace.
Je découvre sur une chaise, un double gode réaliste, veinés, avec deux glands en relief, longs de trente centimètres pour m’enculer et vingt pour ma chatte et sept de diamètre.
Après le retrait d’Horace, je dois m’asseoir sur les deux godes, me déflorant. Le Baron le remarque.
- Prudence est vierge de la chatte, excellente soubrette. Horace la baisera tout à l’heure.
La jupe relevée, je reçois une étroite ceinture autour de ma taille, et l'on y accroche les trois chaînettes, une par derrière qui suit le sillon des fesses, et les deux autres par-devant, qui longent le pli des aines en contournant le triangle pubien. Les deux godes sont bien calés. Ils sont ajustés au plus court.
- Ainsi, ton puits sera écartelé, ainsi que ta chatte. Ton puits est ainsi forcé et distendu. Les cadenas t’empêchent de te soulager de cette contrainte.
Debout, mon bassin se met à onduler sur les deux godes. C’est divin. Je me retiens de jouir, en me déhanchant. Je dois faire des pas plus serrés, tout en restant élégante.
- D’ici huit jours, tu es suffisamment élargi du puits et de la chatte, Prudence, me susurre Sven.
- Descends au sous-sol, pour les ordres en cuisine. Va y en douceur, ne tombe pas dans l’escalier, ordonne le Baron. Tu t’appelles désormais Marie Angélique.
Là, je découvre une dizaine d’aides et le chef, un bel étalon.
- Voici, enfin, Prudence, la nouvelle soubrette du Baron, tu es très en charme. Voici le menu pour les invités. Tu montes les plats par l’escalier et ne mets que la vaisselle sale sur le monte-plats.
Le chef, Olaf, me soulève la jupe et caresse mes fesses.
- Tu portes le double Plaisir, réservé aux vierges. Adam t’es réservée, ma belle. Tu dois t’habituer. Toute faute sera sanctionnée en cuisine, ou ailleurs. J’ai hâte de t’enculer, ma belle.
Les yeux baissés, la bouche entrouverte, je n’ose répondre.
Je remonte l’escalier puis je rejoins ma chambre au premier étage. Tous regardent surtout Horace. Je pose franchement le pied sur la marche, le talon très légèrement décollé, pour repartir, sans être déséquilibrée. Ils admirent mes jambes et ma mise en valeur. Je me redresse, la poitrine, les reins cambrés. Je me retiens de jouir, sous les glands qui montent et descendent dans mon anus et ma chatte en feu, encore plus vite de haut en bas, vibrants, par à-coups, s’arrêtent et recommencent et à intensité progressive, soit les deux simultanément soit l’un ou l’autre à différentes vibrations.
Arrivée à l’étage, je fais la connaissance de Diane, une grande blonde plantureuse.
- Enfin, Marie Angélique, j’ai eu des échos de tes ébats anaux. Tu es une sacrée jouisseuse. Tu dois préparer la chambre de Val, un superbe playboy. Regarde les revues, d’amours lesbiens, homosexuels, d’orgies, de modèles de charme en solitaire.
Je suis surprise par la beauté des modèles. Certaines photos m’excitent ainsi que les textes. Je mouille davantage, me voyant faisant l’amour avec les beaux mâles et léchant les belles femmes.
En faisant le lit, je suis prise d’un violent orgasme. On l’entends au rez-de-chaussée et par la fenêtre ouverte.
- Marie Angélique, tu viens de jouir, dit un bel homme qui vient d’entrer, du même âge que le Baron.
- Je te présente le Duc Boris Sacha de Masoch. Il est sourd d’oreille, mais il sait reconnaître une femme qui a un orgasme, par les vibrations.
Le Duc me pelote les seins et me masturbe le clitoris. Je ne peux me retenir, un nouvel orgasme m’irradie.
Sans attendre, Diane me replie les bras dans le dos, me penche en avant, la jupe bien relevée.
Le Duc me susurre :
- Je suis une soubrette jouisseuse, qui doit être punie. Je veux être fessée.
Le Duc me donne cinquante fessées, qui me font mouiller davantage, malgré les va-et-vient variables des godes.
- Duc, elle mouille. Sa chatte ruisselle.
J’ai droit à cinquante nouvelles fessées. Mes fesses sont brûlantes, mon anus est bien lubrifié. Je ressens une certain plaisir.
- Marie Angélique, venez vous occuper des invités. Ils vous attendent.
Je descends l’escalier et j’ouvre la porte.
Vers dix-huit heures, une luxueuse limousine amène les jumeaux de l’art, Eros et Emmanuel, bruns, musclés. Ils me font le baise-main et me caresse mes fesses brûlantes.
Je n’ai pas de répit. Je dois leur amener les verres d’apéritif et les amuse-bouche, sans tomber dans l’escalier.
On sonne.
Je me rends dehors. Les yeux baissés, la bouche entrouverte, je découvre un beau play-boy, un peu plus âgé que moi, le Comte Charles Henri de Vices. Il m’embrasse langoureusement sur la bouche. Je ne peux me refuser.
- Délicieuse, Marie Angélique, une future actrice porno, j’ai hâte de la voir nue avec Adam. Tu mouilles sous les fessées, ma belle.
Puis un homme d’affaires, d’Afrique du Nord, Selim m’embrasse tout en étirant mes mamelons tendus. Je dois me retenir de jouir ou de gémir.
- Marie Angélique sera une excellente soubrette pour mes palais. Doublement ouverte, elle sera offerte à des amants.
Le Baron me susurre :
- Marie Angélique, quels compliments, Sven a fait le bon choix. Je vais te retirer les doubles gode, ton puits et ta chatte vont servir.
Je fais le service, offrant mes seins aux caresses. Tous m’écartent les fesses, doigtent ma chatte et mon anus en feu. Je me retiens de jouir.
Vers vingt heures, après l’apéritif, je range les verres et les mettent sur le pose plat. Je monte l’entrée, des plateaux de fruits de mer. Je dois manger des huîtres, des crevettes enfoncées dans ma chatte, enculée sur Eros, les seins emprisonnés dans des pinces à seins à clochettes, les grandes lèvres de ma chatte sont aussi pincées par des clochettes. Je garde les yeux baissés et me retiens de jouir.
- Les pinces à seins servent à sensibiliser tes seins et tes mamelons ainsi que ta résistance. Tes lèvres humides sont aussi étirées tout comme tes mamelons vers le bas. La clochette en métal fixée par un anneau s'anime au moindre mouvement, émettant un tintement cristallin.
Eros éjacule en moi, je dois porter le bijou d’anus pour ne pas perdre le précieux sperme.
Je retire les assiettes et je suis offerte à une langue canine. Je ne peux résister longtemps sur ma chatte et mon clitoris. Je fais attention à ne rien casser.
- C’est Adam, il t’est destiné. Mets-toi à quatre pattes, avant le plat de résistance, l’anus libre.
Pendant une demi-heure, Adam m’encule jusqu’au nœud. Je connais quatre orgasmes consécutifs anaux jusqu’à l’éjaculation.
- Mais Baron, son sexe est gros.
- C’est normal, dix-sept centimètres de long et cinq de diamètre, au niveau du nœud. Son pénis va grossir. Le nœud grossit beaucoup plus encore et soudainement il s'arrête avec tout son sexe au fond de toi. En même temps, il éjacule son sperme chaud, son pénis compte les pulsations. Le Maître va masturber ton clitoris en même temps.
Vers vingt-une heures, je reprends le service. Je sers un assortiment de légumes : courgettes, carottes, concombre entiers et cuits que je dois enfoncer dans ma chatte, enculée par Selim, le vicieux. Je mange aussi les brochettes de viande frottées sur ma chatte et mon clitoris. Je prends goût à ma mouille mélangée à ceux des légumes et de la viande.
- Adam, t’as donné beaucoup de plaisir, Marie Angélique. Tu es la première à tenir une bonne demi-heure avec lui, me susurre Eros.
Au dessert, ce sont des banana split, avec de la crème chantilly. J’ai droit à une double banane, enfoncée dans ma chatte et mon anus, avant que je les mange. Je ne peux me refuser.
Mes fesses sont brûlantes par les coups de cravache de Maître Donatien, un bel Apollon cagoulé et nu, au gros mandrin. Mes fesses, mes cuisses, le devant et l’arrière, sont zébrés, entre deux tintements de mes clochettes.
Puis à la télévision, je découvre les vidéos de mes ébats sur la plage, avec le Baron, Sven, Horace, le Duc et Diane, que je dois commenter, tandis qu’Adam m’encule à nouveau.
Je prends goût à ses va-et-vient. Pantelante, je dois continuer à commenter.
Vers vingt-trois heures, chacun m’encule, à quatre pattes, me fessant. Adam m’encule encore.

16 juillet
Vers une heure du matin, pantelante, je monte avec Charles Henri, devant lui, toute nue, et mon bijou d’anus.
- Marie Angélique, déhanches-toi davantage, tu me plais.
Arrivés à la chambre, Charles Henri m’allonge sur le ventre, cuisses écartées et me baise, avec mon bijou d’anus. Ma chatte resserrée me conduit au plaisir. La double pénétration éveille toute la zone sexuelle et amplifie les sensations. Mon anus est détendu pour une sodomie plus aisée.
- Ta chatte est bien chaude, ma pute.
Il me caresse les hanches, les seins, faisant tinter les clochettes.
Je relève et écarte mes jambes, pour avaler goulûment son mandrin.
Puis il me retire le bijou d‘anus et m’encule d’une seule traite, m’enserre par les hanches, ses mains autour de mes seins. J’agite ma croupe pour le faire bander davantage.
Tête-bêche, baisée, allongée sur ses jambes, jusqu’aux testicules, je sens mon anus rempli par un sexe. C’est Adam qui m’encule. Cette double pénétration surprise me conduit à un violent orgasme jusqu’au retrait d’Adam.
Charles Henri en profite pour m’enculer. Nous sommes agenouillés sur le lit, je suis enculée jusqu’aux testicules, mon buste contre son dos.
- Ton puits est bien ouvert, ma putain. Adam t’a bien ouvert. Tu mouilles beaucoup.
Il caresse mon sein droit et écarte les lèvres de ma chatte trempée pour qu’Adam me lèche pour me faire jouir. Je connais un violent orgasme, tandis que Charles Henri éjacule en moi. Je le nettoie.
Il est trois heures du matin, quand Hadès, le doberman, vient réclamer sa part.
Son long sexe de trente-deux centimètres et six de diamètre me rempli bien, à quatre pattes. Charles Henri encourage Hadès :
- Encule bien, ta chienne. Elle aime ça.
Enculée jusqu’au nœud, je le subis, décuplant mes orgasmes.
Charles Henri réussit à introduire le sexe d’Adam dans ma chatte, pour une double pénétration canine. Je manque de m’évanouir sous les doubles orgasmes, attachée à eux.
A peine Hadès s’est retiré, que je dois sucer, Charles Henri m’encule et Adam reste à me baiser.
- Tu es une vraie chienne de désir.
- Charles, je suis devenue une vicieuse.
- Le Baron aime les jeunes chiennes vicieuses.
Vers cinq heures du matin, je suis libérée. Je me douche à l’eau froide dans ma chambre, fais un long lavement anal à l’eau froide et m’endors nue, cuisses écartées. Je ne porte plus mes clochettes, mes hanches sont douloureuses.
Adam et Hadès se relaient pendant la nuit, pour m’enculer en missionnaire.
Vers sept heures, j’émerge, réveillée par Hercules, le frère jumeau d’Horace. Je me lave rapidement, me farde, m’habille et porte le double Plaisir, doté d’un sexe moulé sur Adam dans ma chatte et celui d’Hadès pour m’enculer.
J’y prends goût. Je range à la cuisine, la vaisselle d’hier soir, tout en assistant à la préparation du petit déjeuner.
Charles Henri me fait apporter son petit déjeuner au lit. Je le découvre avec Brice, faisant l’amour. Je dois sucer Charles Henri.
- Ma pute Marie Angélique, je suis un authentique homosexuel. Je te fais l’amour hier pour connaître tes qualités sexuelles. Tu as du potentiel d’actrice.
Je me réconforte avec le Baron, que je suce. La journée est ponctuée par de nouvelles saillies, si possible doubles canines, pour que je me sente une chienne.

23 juillet
Vers huit heures, le Baron, en compagnie de Selim et de Charles Henri, m’invitent nue, en sandales, avec mes doubles godes en place, au chenil.
- Marie Angélique, as-tu déjà été enculée par un danois ? me questionne le Baron.
- Non, Baron, je pense que son sexe doit être particulier.
- Il mesure trente-six centimètres, et le nœud d’un diamètre de neuf. Comme tu es bien élargie, ce sera une formalité, dit Selim.
On me retire le double gode. Je suis solidement immobilisée dans cette posture dégradante, le postérieur plus haut que la tête. Mes bras sont fixés le long des pieds avant, mes jambes le long des pieds arrières, et une large sangle m'est passée au niveau de la taille. Mes cuisses, légèrement fléchies sont empêchées de se resserrer par la largeur de la poutre, ainsi d'ailleurs mes fesses que je me peux refermer. Toute mon intimité est ainsi très accessible et on peut me faire tout subir.
Sultan, le dogue allemand m’encule d’une seule traite jusqu’au nœud. Je gémis un peu, mais le plaisir anal l’emporte et je connais quatre orgasmes en une demi-heure.
Puis Lancelot, son frère prend le relais et mes orgasmes anaux sont plus violents.
L’anus béant et dégoulinant de spermes chauds, je suis léchée par Sultan et Lancelot, avant que le Baron, Selim et Charles Henri m’enculent ensuite.
Puis libre, je dois subir une double pénétration canine avec Sultan dans ma chatte et Lancelot qui m’encule. Je perds connaissance.
Mais ils me plaisent.
A mon réveil, j’entends des sabots. Je découvre la séduisante Tatiana, dans un corset seins nus, aux seins plantureux, intégralement épilée, chaussée de bottes avec un sabot comme plate-forme, tenue en laisse par un collier de cuir.
- Marie Angélique, voici Tatiana, ta récompense, c’est une soubrette poney. Elle a interdiction de se déchausser. Ses bottes sont cadenassées. Elle est sous tes ordres, ainsi que soubrette Douce, un beau jeune homme bien monté, brun, en tenue de soubrette et mules à hauts talons, intégralement épilé, aux testicules percés et portant des clochettes aux testicules. Douce sera ton assistant, pour te préparer l’œillet. Il a total interdiction de caresser ton corps, de lécher ta chatte et ton clitoris. Tatiana est contrainte à des saillies anales canines comme toi.
Douce reste les yeux fixés vers moi. Je lui ordonne :
- Tu vas baisser les yeux en ma présence, ma lopette. Viens m’habiller, dans ma chambre. Diane va te surveiller.
L’anus rempli par mon nouveau bijou d’anus, moulé sur l’avant du sexe de Sultan, je monte à ma chambre. Tatiana prépare le petit déjeuner.
Je me douche longuement, tout en observant Douce, qui essaye de se masturber. Je le remarque discrètement.
Après ma douche, je me sèche et je lui cravache longuement les fesses, pour qu’il compte. Il se refuse à compter.
Je lui colle sa langue contre mon anus béant et dégoulinant de spermes canins. Il hésite, car je l’observe dans mon miroir, tout en fardant ma bouche avec un rouge clair, un peu liquide, que j’applique au pinceau, et qui fonce en séchant. Je peins  peignit du même rouge l'aréole et les mamelons constamment tendus, saillants, gros et longs par une mystérieuse crème appliquée pendant huit jours, et les petites lèvres entre mes cuisses, en soulignant la fente du giron. Mon clitoris a subi l’effet de la crème pendant huit jours, devenant gros comme une cerise, saillant et volumineux. Je dois être plus désirable, excitée sexuellement. Je me poudre le visage. Je chausse mes mules à hauts talons, une fois habillée par Douce.
Douce obéit enfin.
J’entends du bruit. Je descends, tenant en laisse Douce, les yeux baissés.
- Marie Angélique, Tatiana a fait tomber ta nouvelle tasse à café, en montant l’escalier, me susurre Horace.
Tenant ma cravache, je cingle pendant cinq minutes les fesses nues de Tatiana, qui compte en russe, mais je recommence. Elle refuse de compter normalement.
Les fesses zébrées, je lui enfonce jusqu’à quatre doigts dans son anus. Elle gémit, mais je lui interdis de se faire jouir.
Puis je lui fais lécher mes doigts. Elle se refuse. Je lui enfonce sa bouche maintenue ouverte par un bâillon O.
Pour me satisfaire, Horace m’encule, séance tenante, devant Tatiana, qui refuse de baisser les yeux, tout en ramassant les débris.
En plein orgasme, j’ordonne :
- Tatiana, tu n’es qu’une chienne désobéissante. Horace, encule-moi à fond. Sultan va s’occuper de ma poney.
Horace éjacule en moi, me remet le bijou d’anus et je le suce devant Douce. Douce doit sucer Horace, tandis que je l’encule avec quatre doigts et griffe ses testicules.
Après cet épisode, pendant une semaine, Tatiana continue à faire son indocile, malgré mes punitions.

30 juillet
A l’aube, je craque. Je vais trouver Tatiana, au chenil, menottée au chevalet, saillie par Sultan.
- Alors ma petite chienne indocile, tu prends ton pied avec Sultan. Je vais te confier aux Haras de Selim pour finir ton dressage.
- Non, s’il vous plait, ma chienne Marie Angélique, je serais obéissante.
Le Baron arrive. Je suis nue avec mes cuissardes et mon bijou d’anus moulé sur le sexe de Sultan.
- Tiens, Tatiana t’a traitée de chienne, ma chérie, quelle honte. Selim va la dresser. Quant à Marie Angélique, je veux te faire découvrir d’autres lieux de la ville.
Je me douche rapidement et j’enfile une nouvelle robe composée d'une jupe éventail, qui se retrousse d'un geste, mais toujours à corselet montant jusque sous les seins, et portée avec un boléro fermé au cou. Il suffit d'enlever le boléro pour que les épaules et les seins soient nus, et sans même enlever le boléro, de l'ouvrir, si l'on désire voir les seins. Je quitte mes tenues de soubrette, mais je garde mes mules à hauts talons à mes pieds nus. Je me coiffe d’une queue-de-cheval, fardée et parfumée.
Sven conduit une décapotable américaine. Horace m’accompagne. Je m’assois cul nu, sur la banquette entre Sven et Horace.
Nous quittons la villa, baptisée « Domaine des Biches », longeons la côte. Je retire mon boléro et je vois mes mamelons fardés tendus à l’extrême.
Nous prenons une ruelle dans un quartier d’immeubles luxueux et certains à l’abandon, au milieu de chantiers.
- Où allons-nous, Sven ? Je suis un peu inquiète.
- Ne t’inquiètes pas, le Baron a choisi les lieux.
Au bout d’une impasse, Sven stoppe la décapotable. Une porte de chantier s’ouvre. Je découvre une vingtaine d’ouvriers nord africain et d’Afrique noire en compagnie du chef de chantier, un bel Apollon musclé oriental.
- Voici, la pute, la chienne du Baron, Prudence, doublement ouverte, la bouche bien dressée, adepte des saillies canines, dit Sven, c’est une vraie professionnelle du sexe.
Les honneurs que Sven fait de mon corps, les réponses du chef de chantier, la brutalité des termes employés, me font honte, mais aussi cela me rend fière.
Sans attendre, je suis prestement déshabillée. Je dois sucer cinq ouvriers nord africains, au milieu d’eux. Je suis aussi fessée.
Nous allons au rez-de-chaussée, où se trouve un matelas par terre et un vigile d’Afrique noire avec un superbe malinois.
- Arès, au pied, tu monteras Prudence après.
Je sais que mes voyeurs vont adorer.
J’enchaîne les doubles pénétrations, les gros mandrins des étalons d’Afrique noire m’enculent, allant jusqu’à mes doubles anales, pour m’ouvrir davantage. Mes orgasmes sont bâillonnés par deux ou trois mandrins dans ma bouche.
Malgré la fatigue, j’enchaîne mes vingt amants et le chef de chantier, Soliman, qui possède un gros mandrin, ma bouche remplie de spermes et mon anus déborde de spermes chauds, que je me retiens d’expulser.
Chacun me fesse, pour m’encourager.
Puis je m’offre à quatre pattes à Arès, tout en suçant mes amants.
Ils me photographient, commentent mes prestations. L’argent passe de main en main.
- 10.000 la sodomie, 5.000 la double, 15.000 la double anale et 30.000 la saillie canine, comme convenu, annonce Horace.
Soliman lui apporte un beau attaché-case.
- Tout y est, on garde la chienne quelques jours, annonce Soliman. J’ai des clients du chantier qui doivent venir.
- Bien sûr, elle sera bien traitée.
Je ne peux refuser.
J’ai droit à une chambre exigu dans une cabane de chantier, où je vis nue, en compagnie d’Arès. Il me saillit quand il en éprouve le désir.
Le midi, je suis nourrie d’une soupe stimulante, qui décuple mon désir sexuel. Je porte aussi mon collier et mes bracelets faits en plusieurs épaisseurs de cuir (chaque épaisseur assez mince, au total pas plus d'un doigt), fermées par un système à déclic, qui fonctionne automatiquement comme un cadenas quand on le ferme et ne pouvait s'ouvrir qu'avec une petite clef. Dans la partie exactement opposée à la fermeture, dans le milieu des épaisseurs de cuir, et n'ayant, presque pas de jeu, il y a un anneau de métal, qui donnait une prise sur le bracelet, si on veut le fixer, car il est trop serré au bras et le collier trop serré au cou, bien qu'il y eût assez de jeu pour ne pas du tout blesser, pour qu'on y peut glisser le moindre lien. On fixe donc ce collier et ces bracelets à mon cou et à mes poignets. Pour le collier, l'anneau pend devant le cou, reposant sur la saillie des clavicules, et brinquebale au rythme des mouvements de celui qui le porte. A la réserve du collier et des bracelets de cuir, que l'eau a durcis quand je suis douchée à l’eau froide, et qui me serrent davantage, je reste nue. J’ai gardé mes mules à hauts talons.
Les ébats reprennent lors des pauses des ouvriers aux divers étages de l’immeuble en chantier. J’y découvre une sculpture faite à mon effigie, nue. Je suis fière d’être la muse du sculpteur. Ce dernier, un bel Adonis un peu plus âgé que moi, m’encule sauvagement, bras tendus, menottée à un crochet que tient une des mains de la statue. Il me fesse et me fait mouiller davantage.
Arès me saillit aussi.
Je découvre des photographies de moi, dans ma chambre, pour m’exciter.
Sans même me masturber, mes mamelons et mon clitoris sont tendus à l’extrême.

1er août
Vers 9 heures, deux limousines entrent sur le chantier.
Je suis en pleine saillie anale canine, la troisième depuis le lever du soleil.
- Bonjour, Soliman, je viens voir la pute du chantier. Il paraît que c’est une sacrée chienne anale, dit un des hommes.
- Vous en aurez pour votre argent, cher Colonel Olaf, elle est d’origine danoise et très docile.
Le Colonel ouvre la porte de ma chambre et me découvre, en plein orgasme avec Arès.
- Très bien, elle prend son pied avec Arès. Il est très bien dressé. En plus, son nœud lui écartèle l’œillet. C’est au-delà de mes espérances.
Le Colonel me masturbe le clitoris, décuplant mon orgasme anal.
Un gros mandrin est enfoncé dans ma bouche et je le suce.
- Major Sacha, la chienne Prudence est une bonne suceuse.
Les autres hommes commentent les mouvements de mes lèvres refermées et resserrées le long du mandrin, ma façon de monter en aspirant, de redescendre en faisant glisser le gland dans le creux de ma joue, la caresse du dessous des testicules de la pointe des doigts, les enveloppe, les sollicite. Je pleure lorsqu’à chaque fois que le mandrin gonflé me frappe jusqu'au fond de la gorge, repoussant la langue et m’arrachant une nausée, mais je guette le plaisir du Major Sacha. Le Major Sacha éjacule dans ma bouche, presque simultanément Arès éjacule à son tour dans mon anus bien lubrifié.
Arès se retire et le Colonel m’encule sur le champ sans attendre.
- Son œillet est très chaud. Elle aime ça, ma chienne Prudence.
- Oui, j’aime votre queue dans mon puits, dis-je.
- Je t’entendre jouir, ma chienne. Major Van Sexos, qu’elle vous fasse jouir avec sa bouche dressée.
Le gros mandrin a du mal à remplir ma bouche.
Je fais de mon mieux.
Un orgasme anal violent me terrasse, mais le Colonel continue jusqu’à l’éjaculation.
Le Major Van Sexos m’encule ensuite et ma bouche est remplie par un long mandrin d’un homme d’affaires d’Afrique Noire, surnommé Bite du Vice. Je dois tout avaler. Mais encore un peu dur, l’homme d’affaire m’encule aussi. Je nettoie les autres. Mes fesses sont zébrées par la chicotte, fait en deux parties, d'une part un manche en bois verni et de l'autre une tresse en cuir noir, reliés ensemble par une boucle qui forme charnière, de telle sorte que, quand on l'utilise avec habilité, le coup de poignet sur le manche donne encore plus de vitesse à la tresse en cuir. Et Bite du Vice manie parfaitement la chicotte.
- Elle aime être fouettée, la chienne.
Bite du Vice éjacule une seconde fois dans mon anus.
Pantelante, l’anus dégoulinant, je suis conduite, nue et en mules, en sueur, dans le premier sous-sol de l’immeuble, les futurs parkings.
Les hommes me suspendent les bras en l’air à un crochet, sur la pointe des pieds nus, déchaussée, avec une barre d’écartement et me fouettent à la cravache, à la garcette (de cordes assez fines, faite de sept lanières terminées chacune par plusieurs nœuds, et qui toutes raides, trempées dans l'eau, dont on caresse l’intérieur de mes cuisses zébrées, les cordes sont humides et froides contre la peau tiède de mes cuisses) et à la chicotte. Je dois compter les coups à chaque fois.
Entre deux séries, les hommes m’enculent sauvagement et me fessent.
Je perds la notion du temps, dans la pénombre, les yeux bandés et un bâillon O dans ma bouche. Ce bâillon garde ma bouche ouverte, outre le côté humiliant, la bouche de la soumise est ainsi disponible pour le plaisir de mon Maître. Le O est assez large pour faire passer la queue du Maître ou tout ce qu’il voudra mettre dans ma bouche. Humiliée, je me dépasse.

3 août
Après deux jours dans le parking souterrain, à la nuit tombée, je suis sortie, nue et en mules, les mains dans le dos. Six voitures, les phares allumés, sur le parking du chantier, m’éclairent et m’éblouissent. Je porte mon bijou d’anus moulé sur le sexe de Sultan.
J’entends des compliments en arabe, en russe et en chinois.
Je parade devant les phares.
Chaque voiture embarque quatre hommes, soit vingt-quatre à satisfaire.
Puis les hommes sortent des hommes et je dois les sucer, accroupie, cuisses écartées, par des groupes. Ils font bien durs, ils m’enculent sauvagement, me fessent et je dois continuer à sucer. Ils éjaculent sur mes fesses brûlantes et mon anus. Malgré la fatigue, je continue, nourrie d’une soupe revigorante, entre deux pauses.
Après deux heures, on me fait mettre le buste sur le capot d’une des voitures.
Je ne prête pas attention au brasero.
On me tend les bras en avant, solidement maintenue par les poignets et mon bâillon O en bouche.
On enfonce dans la chair de mes reins les deux fers rouges à la fois, ni quelle voix a compté lentement, jusqu'à cinq, en arabe, ni sur le geste de qui ils ont été retirés.
Quand on me détache, je suis portée sous les bras et aux jarrets, m'emporte dans le coffre d‘une des voitures.

4 août
Au lever du soleil, j’émerge dans une luxueuse chambre à l’étage, entièrement recouverte de glaces et de miroirs sur les murs et au plafond, avec une verrière rétractable. Je suis menottée au lit, nue, pieds nus, attachée en croix sur le lit, bras et jambes écartés. La chambre donne accès à une luxueuse douche carrelée avec des glaces et des miroirs sur les murs et au plafond. J’ai du mal à émerger, sous l’effet d’un puissant somnifère. Une ceinture avec une partie qui enserre la taille, l’autre est une sorte de plaque souvent triangulaire qui passe entre les jambes, et comprend de petits orifices pour permettre les fonctions naturelles, mais ceux-ci ne permettent pas d’y glisser un doigt. Je peux me doucher et me baigner avec, l'usage du bidet est aussi conseillé. C’est une bande de taille attachée à une protection d'entrejambe qui est maintenue verrouillée au centre de la taille. Fabriquée en acier inoxydable d'environ trois centimètres de large, la ceinture de chasteté est suffisamment flexible pour s'ouvrir et se refermer sans nécessiter de charnière. Il en résulte ainsi une apparence très plate. Le système de verrouillage maintient solidement la protection d'entrejambe et la bande de taille en un joint lisse, la protection d'entrejambe est ainsi maintenue verticalement sans possibilité de pivotement latéral. La protection d'entrejambe est incurvée afin de recouvrir la région génitale pour s'arrêter près de l'anus, où elle se termine par deux chaînes de section plate en acier chromé. Les lèvres de ma chatte épilée dépassent au travers d'une fine fente longitudinale, arrêtant toute pénétration, longue de sept centimètres et un centimètre de large. La ceinture de chasteté est totalement efficace pour empêcher tout rapport sexuel. Ainsi je peux uriner. La ceinture comporte un orifice anal pour que la femme soumise puisse aller aux toilettes. Il est également possible d’utiliser l’orifice anal pour insérer des boules de geisha ou des bijoux d’anus dans mon anus, ou encore pour m’enculer avec un gode ou un pénis. La ceinture est réalisée en inox brossé très esthétique, très solide et simultanément très souple. Les bords de la ceinture sont recouverts d’un rembourrage en caoutchouc moelleux pour assurer un confort de port à la femme soumise : la ceinture peut ainsi être conservée pendant la journée.
Horace me rejoint et m’annonce :
- Bienvenue au Anagozhan, de l’Emir Ahmed Ben Khan, tu es sa protégée pendant quelques jours. Tu es désormais considérée comme une (pute) alkaliba, (putain) eahira, (suceuse) 'iiblah, (vicieuse) sharir et (dragueuse) hifara, au service de l’Emir. Je vais te nourrir et te faire boire. Tu es seule locataire du riad « Mille et Un Vices ». Je te libère tout à l’heure pour ta douche.
Horace, comment je suis arrivée ici.
Pas un mot, tu ne dois, ni regarder un homme au visage, ni lui parler. Tu ne le dois pas davantage à moi, mais te taire, et obéir. Tu n'ouvres désormais ici la bouche, en présence d'un homme, que pour crier ou sucer.
Horace m’enfonce son mandrin en bouche et je le suce, tout en étant observée par des caméras et des appareils photographiques discrets. En fond sonore, j’entends les appels à la prière mêlés à mes râles de plaisir.
Je suis nourrie de produits africains et orientaux.
Une fois libérée, je découvre sur mes reins, imprimé au fer rouge, hautes de trois doigts et larges de moitié leur hauteur, sont creusées dans la chair comme par une gouge, à près d'un centimètre de profondeur, en caractères arabes A E S H A.M pour Angélique Marie. Je suis surprise par ma chatte épilée.
Je me douche longuement à l’eau froide, pour me relaxer. La ceinture de chasteté est humiliante, j’ai honte et je suis fière de porter en permanence cette ceinture de chasteté. Je suis fière de l'attention que me porte l’Emir et du fait qu'il veuille qu'elle soit pour lui seul. Je suis dépendante et humiliée. Je suis le trésor, la favorite de mon seigneur et maître. Libre de la ceinture de chasteté, j’éprouverai pour l’Emir une grande reconnaissance et une grande jouissance.
Le lieu est isolé par de hauts murs neutres et austères, avec un minimum d'ouvertures pour protéger de la chaleur et du bruit de la rue. Situés le plus souvent dans une médina, ils comportent en général un seul étage du fait de contraintes administratives. Il y a un patio - salon et- salle à manger central, comme base d'une structure architecturale en forme de puits étagé en balcons tournés sur l’intérieur. Le patio naturellement frais et climatisé est inspiré des oasis, du jardin islamique et du jardin persan, planté d'arbres, de plantes ornementales et doté de bassins et fontaines rafraîchissants. Les salons et la salle à manger ouverts sont tournés vers le patio et permettent de profiter de sa fraîcheur. La cuisine est également au rez-de-chaussée. Le sol est marbré, il est froid sous mes pieds nus. Chaque miroir reflète l’image de mon corps nu, pieds nus, mon collier et mes bracelets de cuir, et je suis seule, n'ayant que moi-même pour spectatrice. Je n’ose me caresser. Quand je me  baisse, je vois mes seins bouger doucement.
Un téléviseur diffuse en continu des films X hétérosexuels, lesbiens, homosexuels, bisexuels, zoophiles, pour que je reste excitée. Des godes de divers calibres sont disposés dans les pièces pour mon plaisir, certains sont des godes canins.
Je suis nourrie par des mains invisibles qui me tendent les plats par un guichet. Je mange avec les doigts.
L’après-midi, après une courte sieste, une femme entièrement voilée, ne laissant apparaître les yeux, me rejoint et me dit :
- Jambon (pour HAM, comme marqué sur mes reins), je vais te laver, te farder et te faire belle. Ahmed souhaite te faire l’amour dès cet après-midi. Il veut que tu lui donnes des héritiers.
Une fois, propre, fardée et parfumée, un homme cagoulé me libère de la ceinture de chasteté. Il me menotte à mon lit et me baise en levrette rapidement pour finir par éjaculer dedans. Il prend soin de m’exciter longuement, toujours menottée, cuisses écartées. Je le suce, menottée. Il m’encule ensuite en levrette, me fessant magistralement, je me retiens de jouir, selon ses envies. Puis il me baise à nouveau en levrette et éjacule en moi jusqu’au deuxième orgasme puis un troisième orgasme sous une nouvelle baise avec une nouvelle éjaculation. Je suis allongée sur le dos, mes mollets sur les épaules de l’Emir, l’Emir est agenouillé, caressant mes mollets, mes cuisses et mes chevilles.
L’Emir disparaît comme la femme voilée. Je me retrouve seule, menottée à mon lit. Mes hanches sont douloureuses à cause des deux fabuleux orgasmes produits en quelques heures.
Chaque jour, l’Emir me baise avec vigueur. Sultan m’encule plusieurs fois par jour, pour que je connaisse mes orgasmes anaux de plus en plus violents.
Une fois par semaine, menottée à un fauteuil gynécologique avec les supports pour les jambes sur lesquels je pose mes mollets immobilisés. Je sens les lèvres de ma chatte qui s'entrouvrent toutes seules. Mes cuisses sont écartées au maximum et mon bassin soit à la hauteur du visage du gynécologue européen. Il masturbe mon gros clitoris, tout en enfonçant un spéculum dans ma chatte pour voir la progression du sperme. Il fait aller et venir le spéculum, je mouille abondamment.
Il retire le spéculum et m’encule à sec jusqu’à l’orgasme anal et éjacule dans ma bouche.

13 août
L’échographie révèle que je ne suis pas enceinte. Mais l’Emir pense qu’il me faut de l’excitation sexuelle. Des dizaines d’hommes cagoulés m’enculent chaque jour, me fessent, me fouettent. Je ne peux rien refuser.
Les baises continuent.

20 août
Le gynécologue annonce que je ne peux être féconde.
Je retourne au chantier, avec ma ceinture de chasteté et mon collier et mes bracelets, ma robe à corselet et mon boléro et mes mules à très hauts talons, coiffée d’une queue-de-cheval, fardée et parfumée.
Le Colonel Olaf est là et il me tend une enveloppe. Je l’ouvre, c’est un numéro de compte bancaire à l’étranger.
- Chienne Prudence, tes exploits chez l’Emir ont fait augmenter ta quote-part pour tes services.
- Je peux revoir le Baron et les autres amis du Baron.
- Non, tu es destinée à « Sir James de Val Mont Plaisir », un riche propriétaire de plusieurs haras produisant les meilleurs étalons du monde entier. Sven et Horace vont te conduire à son yacht, ancré à une demi-heure du port.
Le Colonel Olaf caresse mes reins.
- On sent bien tes marques au fer rouge, chienne Prudence.
- J’en suis fière. Je suis sûre qu’Aimée les verra un jour.
- Aimée sera non loin de toi, chienne Prudence. Elle pense à toi.
Je monte à bord de la décapotable et nous quittons la ruelle pour rejoindre le port. J’ai retiré mon boléro. Horace caresse mes seins. J’ai remis mon bijou d’anus moulé sur le sexe de Sultan.
Au port, un bateau ponté m’attend. Je me déchausse et je reste debout, à l’arrière, les seins au vent, la jupe relevée sur ma ceinture de chasteté. L'air sur mes mamelons et mon clitoris me provoquent une excitation énorme. Mes mamelons pointent au maximum tout le temps, vingt-quatre heures sur vingt-quatre et de même pour mon clitoris. Je me retiens de jouir, tellement ils sont hypersensibles. Je suis frustrée et j’ai un peu par mes mamelons et mon clitoris constamment tendus.
A mi-chemin, un des hommes qui se trouvent sur le bateau, me penche en avant, je me tiens à la rambarde et me retire le bijou d’anus que je lèche. Il m’encule sauvagement et je dois retarder mon clitoris. Puis les autres hommes se relaient, mon anus est bien lubrifié, quand le bijou d’anus est remis en place.
Enfin, je découvre le yacht « Océane Saphir ». Le bateau ponté entre sous le pont.
On m’aide à descendre. Je tiens mes mules en main.
Sir James m’accueille au pont rez-de-chaussée. Il est âgé du triple de mon âge, bel Apollon musclé.
- Voici, la fameuse et sublime chienne Prudence, de l’Emir Ahmed, tu es encore plus désirable que sur tes vidéos et tes photos que je possède. Mes hommes t’ont enculée et tu aimes ça, la vicieuse.
- Oui, Sir, je suis une vicieuse, une chienne anale à votre service, réponds-je, les yeux baissés.
- Tu me plais. Tu as du potentiel, le chantier et le séjour chez l’Emir ne sont que des étapes dans ton dressage de chienne. Ne me déçois pas, sinon je te punis sévèrement.
Il me retire ma ceinture de chasteté et vérifie ma chatte humide, mon clitoris tendu à l’extrême entre ses doigts experts.
- Tu mouilles, ma chienne. Je vais te conduire à ta chambre.
Le sol de la chambre est recouvert d’épais tapis sur le carrelage en coton, sans aucun rideau, une penderie avec mes tenues de soumise. La chambre est entièrement recouverte de glaces et de miroirs sur les murs et au plafond comme dans la salle de bains aménagée avec une baignoire transparente.
- Sache qu’un jour, ton écrin sera percé pour recevoir des anneaux de fer. Quiconque relève ta jupe voit immédiatement tes anneaux à ton écrin, et si on le retourne, ton chiffre sur tes fesses, marqué au fer comme tes reins.
Je me déshabille, retire mon bijou d’anus. Sans attendre, le gros mandrin de Sir James, trente-six centimètres de long et huit de diamètre, me fais un peu gémir, mais j’aime ça, être bien remplie.
Je suis dos à Sir James, cuisses écartées, soutenue par ses bras. Je coulisse sur son gros mandrin jusqu’aux testicules.
Puis un second mandrin me baise, c’est Aimée, équipée d’un gode-ceinture de gros calibre.
Je connais un double orgasme, l’anus largement inondé du sperme de Sir James.
J’embrasse langoureusement Aimée.
- Tu m’as manquée, Aimée.
- On dirait que tu aimes te faire enculée, ma chérie.
- Oh oui, les saillies canines anales ont décuplé mon plaisir. Je suis une chienne soumise.
Après une douche rapide à l’eau froide, avec mon bijou d’anus remis en place, nue et en mules, avec mes carcans de cuir, Sir James me présente à l’équipage : le capitaine et le second, Yannis et Luigi, deux authentiques homosexuels bien montés, Omar, le cuisinier hétérosexuel, bien monté, Hassan, le majordome bisexuel et Jasmine, la femme de chambre, un homme travesti en soubrette, avec juste un tablier et des clochettes suspendues aux testicules, en mules à très hauts talons.
Jasmine porte un double hafada sur les testicules, le frein est percé et cadenassé, pour éviter toute relation sexuelle, mais il peut être en érection.
- Vois-tu, le choix est vaste. Avant de rejoindre le port de mon haras privé, à une journée de navigation, deux Danois vont te saillir, sur le pont supérieur, menottée à un chevalet.
Les deux Danois prénommés Arès et Hannibal m’enculent à tour de rôle, jusqu’au nœud, je ne compte plus mes orgasmes anaux de plus en plus violents, les suçant à tour de rôle et Sir James me contraint à une double pénétration par Arès et Hannibal, je perds connaissance.
Pantelante, je me fais enculer par l’équipage, suçant juste Jasmine.
Je reste de longues heures, menottée sur le chevalet, sous le soleil, enduite de crème solaire par Aimée. Je bois beaucoup et je me soulage.
Sir James est fière de moi, sa nouvelle chienne. Hassan me perce mes grandes lèvres de ma chatte, pour la pose future des fers. Ce sont des anneaux de fer mat inoxydable. La tige en est ronde, épaisse comme un gros crayon de couleur, et ils sont oblongs : les maillons des grosses chaînes sont semblables. Chacun est formé de deux U qui s'emboîtent l'un dans l'autre. Le modèle définitif comporte un ressort intérieur sur lequel on doit forcer pour le faire pénétrer dans la rainure où il se bloque. Une fois posé, il est impossible de l'ôter. Chaque anneau est long comme deux phalanges du petit doigt, qu'on y peut glisser. A chacun est suspendu, comme un nouveau maillon, ou comme au support d'une boucle d'oreille un anneau qui doit être dans le même plan que l'oreille et la prolonger, un disque de même métal aussi large que l'anneau est long. Un des anneaux à ma grande lèvre gauche porte les initiales en caractères arabes A E S H A.M et sur l’autre, les noms du Baron, de l’Emir et de Sir James, mes maîtres et au-dessous, un fouet et une cravache entrecroisés.
Les anneaux d’essais sont si léger, creux, le dur métal, entre dans la chair. Les fers me descendent jusqu'au tiers de la cuisse, et à chacun de mes pas bougent entre mes jambes comme un battant de cloche, le disque gravé étant plus lourd et plus long que l'anneau auquel il pend.
Avant le coucher du soleil, les saillies reprennent, puis Sir James m’encule et le reste de l’équipage.
Je ne trouve le sommeil, menottée à mon lit, nue, bras et jambes écartées, allongée sur le ventre, présentant mes fesses zébrées par les coups de cravache, de garcette et de chicotte. Arès et Hannibal m’enculent à plusieurs reprises, sans que je demande mon reste. L’intérieur de mes cuisses n’est pas épargné.
Aimée m’enduit bien l’anus de miel et me fait boire un stimulant sexuel dans un jus de fruit.
Sir James m’encule sauvagement dans la nuit et éjacule sur mes fesses zébrées.

21 août
A l’aube, le yacht entre dans le port privé, sous bonne garde, avec des hommes à cheval, des maîtres-chiens.
Je descends nue, tenue en laisse par mon collier, les yeux baissés, en mules, les mains menottées dans le dos, avec mon bijou d’anus Sultan. Je rejoins le haras, par un passage souterrain. Les hommes caressent mon corps. Je semble leur plaire.
Le haras abrite une vingtaine d'étalons sélectionnés spécialement pour leur vigueur sexuelle. Il y a aussi un chenil avec des chiens de grande stature, musclés et corpulents, dont le nœud était redoutable pour les anus. La grande écurie, où vingt étalons sont divisés en deux rangées, une sur chaque mur. Là encore un dispositif spécial est disposé sous leur ventre et une jeune femme attend, courbée en deux et entravées chevilles et poignets, l'instant de la saillie anale. Une jeune fille est chargée de faire entrer le sexe équin dans le rectum puis de le masturber jusqu'à l'éjaculation. Pendant la phase de sodomie forcée, les gardes du Prince en profitaient pour baiser les bouches des jeunes femmes, maintenues ouvertes par des écarteurs buccaux et ils y déversent généralement leur semence.
Sir James me libère l’anus et m’enfonce jusqu’à quatre doigts. Je me retiens de jouir. Je suis menottée sous un superbe trotteur français, Alizé de Hauts Plaisirs. Je suce un autre trotteur français, Eclair des Haies, je réussis à  faire rentrer le gland monstrueux et commence à  sucer le cheval. Celui-ci, sous les caresses labiales, entre en érection et je continue cependant sa fellation et le cheval éjacule. En même temps, Sir James positionnant le gland du membre devenu moins dur sur ma rondelle, mon sphincter cède. J’hurle de douleur, la bouche remplie par un des maîtres-chiens. Je m’empale millimètre par millimètre jusqu’à trente centimètres de bite de cheval car j’aime me faire enculer profondément! Je commence à m'agiter doucement puis, mon anus se dilatant, accélère le mouvement mais s'arrête net, car il rebande. Mon anus est tendu à la limite de la déchirure. Je reprend mes mouvements. Je suce d’autres maîtres-chiens, tandis que Alizé éjacule en moi jusqu’à l’orgasme anal. Sir James retire le sexe débandé de mon anus rougi complètement distendu et boursouflé ce qui libère un flot de sperme.
Bien sûr, Eclair des Haies m’encule dans la foulée, ainsi qu’un cheval de selle français, Mistral des Vices. Je suis épuisée, pantelante et heureuse de ces saillies anales équines. J’en subis plusieurs fois pendant la journée, entre deux saillies anales canines de dogues allemands, pour que je garde mon anus bien béant pour mes amants équins.

25 août
Au lever du soleil, je suis enculée par Eclair des Haies, au manège. Je suis sanglée, les jambes de part et d’autre du corps du cheval, les cuisses complètement ouvertes, pour une saillie anale plus profonde. Je suis collée étroitement sous lui. Un système me fait coulisser sur le sexe en érection, multipliant les éjaculations. Je ne compte mes orgasmes anaux avec mes amants.
Des enchères sont organisées sur le temps et le nombre d’amants de ma journée, je touche ma quote-part.
Sir James me baise chaque soir.

30 août
A l’aube, menottée à mon lit, cuisses écartées, je n’ai plus mes règles ; mon ventre augmente petit à petit de volume après quelques semaines, quelques mois. Je suis tombée enceinte.
L’Emir vient me baiser tous les soirs. Je porte mes fers définitifs avec un ressort intérieur sur lequel on doit forcer pour le faire pénétrer dans la rainure où il se bloque.

Malgré son état de grossesse, après quelques mois, Je reste superbe et désirable : mes jambes et mes hanches ont gardé leur finesse première. Il n'y a que mon ventre et mes seins qui augmentent de volume. Je subis un régime draconien et du sport tous les matins garde un corps ferme et désirable.

Je donne naissance à deux jumeaux : un garçon et une fille. Je reste aux Haras, pour éduquer de nouvelles vierges soumises.
Mes amants masculins aiment m’enculer, mon anus distendu, élargi, est redevenu tonique, redevenu tout à fait normal, tel un poinçon strié de rose, très serré, mais il peut s'ouvrir tout grand pour me faire enculer. Je suis totalement épilée et je ne porte qu’occasionnellement mes carcans de cuir.

Bisous de votre fidèle soumise Prudence depuis le Haras des Mille et Uns Vices.

Aucun commentaire:

Enregistrer un commentaire