Je m’appelle Pénélope de Hauts Vallons, mais mes amis m’ont surnommés Shawn.
J’ai 17 ans.
Je suis une jolie beauté scandinave.
Je suis une brune aux yeux verts. J’ai des pieds fins et latins, des jambes longues bronzées, musclées qui inquiètent par leur perfection. Mon pénil est bombé, ouvert, couronné de noir. Ma pilosité brune couvre mon pubis. Je suis totalement velue entre les cuisses et j’ai une superbe croupe. Mon entrecuisse est velue. Mes hanches s'incurvent et délimitent le ventre plat, délicieusement renflé autour du nombril, les hanches sont larges et rondes, mais sans lourdeur. La taille est affinée. Les seins parfaits intégralement bronzés sont un peu volumineux mais fermes, et leurs pointes marron clair, toujours dressées, cernées par une large aréole marron attirent le regard. J’ai une peau lisse et patine. Finition parfaite, un seul grain de beauté entre mes superbes seins. De longs cheveux plats blonds flottant comme des algues, battent mes épaules rondes et gracieusement athlétiques. Je suis intégralement bronzée. Mes yeux verts limpides s'allument, ma bouche charnue se fend. J’ai des sourcils bruns bien dessinés et des lèvres pulpeuses. J’ai de longs doigts fins et de belles mains. Je fais du 85B de poitrine, 56 de taille, 90 de hanches, 1,75 m.
INITIATION ANGLAISE
19 mai
Lesbienne à plein temps depuis mes 15 ans, je me suis toujours refusée à un garçon, capricieuse. Je déteste leurs mandrins, même dans ma chatte et dans ma bouche, mais je préfère les godes de mes copines que sur les lèvres de ma chatte et mon clitoris, mes mamelons durcis.
Le hasard a voulu que je sois invitée chez un ami des parents, dans un village isolé, dans son château, loin du village. Il se prénomme Alban, 45 ans, un bel athlète musclé, qui ne cesse de m’observer depuis l’âge de mes 12 ans, à la piscine.
Son fils, Brice, 22 ans, lui aussi au même physique que son père, rêve de moi, de me faire jouir, dans ses nombreuses lettres qu’il m’écrit depuis notre première rencontre avec mes parents. Je ne réponds jamais à ses lettres. Il n’a aucun respect pour moi, juste pour coucher avec moi.
Vers 9 heures, je descends de mon vélo, vêtue d’un tee-shirt blanc sur mon soutien-gorge en dentelle transparente, d’une jupe ample mi-cuisses sur mon slip assorti, mon porte-jarretelles et mes bas blancs, mes sandales blanches à petits talons, coiffée de ma queue-de-cheval, devant le château. Je ne loge pas cette année à la villa d’autres amis. J’ai mis ma valise sur le porte-bagage.
Je me présente au portail. Un des valets m’ouvre le portail. Je continue à pied, tenant mon vélo, jusqu’à l’entrée du bâtiment principal. Il y a déjà des Ferrari F8, F40, 812 et 488GTB, toutes sont rouges, des BMW sportives et cabriolet et une superbe Porsche noire dans le parking devant le bâtiment.
Brice vient m’accueillir.
- Tiens, te voilà, la superbe Shawn, tu es resplendissante. J’ai hâte de te voir toute nue. Tu m’as toujours interdit d’entrer dans ta chambre ou dans la salle de bains.
- Brice, c’est comme cela quand on dit bonjour à une jeune fille.
Une superbe brune aux cheveux longs, en tailleur et jupe fuchsia, en escarpins à hauts talons, les cheveux libres, nous rejoint.
- Où sont passées vos bonnes manières, Brice ? Un baise-main serait plus plaisant, au lieu de la traiter avec aucun respect du à son rang. Je suis la gouvernante Hermine, qui gère le personnel du château. Tu viens pour le poste de secrétaire, soubrette, ou tu es une amie d’Alban, ma jolie beauté.
- Je suis un peu gênée, je suis la fille d’amis d’Alban. Je m’appelle Pénélope, mais je préfère Shawn.
- Aucun problème, Shawn, Alban a du licencier une soubrette. Tu feras peut-être l’affaire. Alban, c’est Shawn.
Alban arrive et me fait le baise-main.
- Je suis surprise, par ta beauté. Tu vas sur tes 18 ans, ma chérie. Aucun amant en vue, ni de copines pour révéler ta sexualité. Je sais, c’est une question que je ne dois pas te poser. Brice fantasme sur toi.
- Alban, Brice n’a aucun respect, ni baise-main, ni un comportement approprié. Je m’en vais.
- Reste, Shawn, Hermine conduis-la à sa chambre, au premier étage, près de votre chambre. Je la veux présentable pour le déjeuner de 11 heures, soubrette ou non, annonce Alban.
- Shawn en soubrette, mais je rêve, je vais m’occuper d’elle, cette superbe vierge, dit Brice à voix basse.
- Tu risques de le regretter, Brice.
Nous montons l’escalier en marbre, vers les chambres. J’entends des conversations en diverses langues. Alban est un collectionneur d’art très spécial, même moi, à mon âge, je n’ai aucun privilège de découvrir ses collections.
A la chambre, Hermine m’ordonne :
- Je te veux toute nue immédiatement, devant moi.
- Mais, je me déshabille jamais devant une dame. Je suis un peu pudique.
- Tu t’exhibes bien en bikini devant Brice.
Je m’exécute en cachant mes seins, ma chatte avec mes mains, une fois nue.
- Tu n’es pas encore exhibitionniste. Ces messieurs vont l’exiger de toi.
- Je veux que tu te masturbes la chatte et tu caresses tes seins devant le grand miroir.
Je m’exécute.
- Mieux que ça, tu dois mouiller et tes mamelons doivent se tendre. Ne sois pas timide, je suis sûr que tes copines te font jouir en te caressant.
- Oui, je vais m’appliquer.
Hermine prend le relais, en pelotant mes seins, et me dit :
- Tu vois, tes mamelons se tendent. Tu commences à être excitée.
Ma chatte est toute humide entre mes doigts, mon clitoris commence à me faire mal.
- Tu prends du plaisir. Enfonce tes doigts dans ta chatte, comme si une queue te défonce ta sublime chatte.
Je m’exécute.
- Mets plus d’ardeur. Entre nous, aucun garçon ne t’a baisé, ni rempli ton sublime œillet.
- Non, Hermine, je n’ose pas.
- Tu n’ose pas, ou disons tu ne veux pas, ni ne peux pas.
Hermine prend mes doigts et me l’enfonce davantage dans ma chatte, avec plus de vigueur.
Je commence à jouir.
- Enfin, tu jouis. C’est un début. D’ici quelques jours, tu auras pris l’habitude d’une queue dans ta sublime chatte. Tu restes velue, ma belle.
Pantelante, je dois écarter mes fesses, devant le miroir, dos au miroir.
- Tu vois ton œillet est peu serré, jamais pénétrée. Ni enculée, tes copines ne t’ont jamais godée ton œillet, toi l’allumeuse.
Hermine introduit un doigt rempli de ma mouille abondante de ma chatte. inconsciemment, je tends mon anus au doigt qui ramone mon goulet étroit avec vigueur.
Hermine glisse un, puis deux, enfin trois doigts dans le rectum contracté. Je gémis sous la légère douleur que je ressens, excitée aussi par l'attente de l'intromission dans mon anus.
- Continue à enfoncer tes doigts dans ta chatte, pour jouir.
Mon anus s’ouvre péniblement sous les doigts d’Hermine.
Elle enfonce un gode de vingt-quatre par quatre, dont le prépuce qui glisse le long du gland réaliste. Elle enfonce d’abord le gland et pousse résolument le gode dans le trou écartelé qu’elle maintient avec ses doigts.
Je hurle lorsque le gode enfoncé brutalement me brûle l’anus.
- Oh ! Mon Dieu, c'est atroce. Retire-le, je t'en prie. C'est insupportable. Ça me brûle. Oh ! J'ai mal, c'est affreux. Je vais mourir, je suis transpercé, c'est abominable. Oh ! Non ! Oh ! Non ! Je n'en peux plus. C'est effroyable. Je vais mourir !
Hermine reste immobile, attendant patiemment que la douleur s'estompe pendant qu’Hermine masturbe ma chatte de l’autre main. Peu à peu le conduit anal se décontracte. Je commence à s'habituer à cette sodomie par le gode. Ma mouille dégouline dans l’autre main d’Hermine. J’avance mon bassin à la rencontre de du gode qui m’encule. Je connais mon premier orgasme anal, le premier d’une longue série.
Pantelante de mon orgasme anal, Hermine m’enfonce un gode similaire dans ma chatte pour me déflorer. Je connais aussi un rapide orgasme.
- Te voilà désormais femme, quelques queues te feront jouir, ma belle. Passons à ta tenue de soubrette.
- J’ai hâte de me faire défoncer maintenant.
- Patience, ma belle, chaque chose en son temps. Un double gode te fera l’affaire pour te préparer.
- J'attache la plus extrême importance à la tenue de mes soubrettes. Il faut qu'elle soit impeccable du matin jusqu'au soir. Tu te rends vite compte que je suis très stricte sur ce point. Je n'admettrai aucun laisser-aller. D’abord je vais faire le tri dans tes valises. Tu ne portes plus jamais aucun sous vêtement. Plus de culottes ou de strings, plus de soutien-gorges et jamais non plus de body. Tes seins et ta chatte doivent toujours être nus sous tes vêtements et ton entrejambe jamais dissimulée. De ce fait, jamais plus non plus de collants, de shorts, de jupes culottes ni bien sur de pantalons. Tu ne portes que des jupes ou des robes mais à la condition qu'en aucun cas elles ne soient plus longues que le milieu de tes cuisses. Jamais de tee-shirt ou autres vêtements sous tes corsages ou chemisiers. Pour tes pieds, soit tu es pieds nus soit tu portes des chaussures mais dans ce cas, toujours à talons. Tu dois être parfaitement maquillée vingt quatre heures sur vingt quatre, aussi bien le visage que tes mamelons. Quand tu te laves, aussitôt après, tu dois te remaquiller. Tu dois avoir dans ton sac en permanence de quoi faire les retouches nécessaires à ton maquillage pour qu'il soit toujours parfait. Ton corps est désormais public, donc en ma présence ou en présence d'un de mes représentants, tu dois te montrer nue sur un simple ordre. Ou que ce soit, quand que ce soit et devant qui que ce soit. Tu n'as pas de temps de réflexion. Tu dois t'exécuter à la seconde même. Je garde ton téléphone portable, tu as totale interdiction de l’utiliser, sans mon ordre. Toute utilisation injustifiée sera punie à la cravache, à la garcette ou la chicotte, selon les désirs d’Alban.
Le tri est rapide et je ne conserve aucun vêtement. Ma valise est cadenassée.
- Tu vas te doucher à l’eau froide, avant de t’habiller.
Une fois propre, je me suis poudrée le visage et mes paupières sont légèrement ombrées. Un glaçon passé sur mes mamelons fixe la couleur rouge, comme aux grandes lèvres de ma chatte. Le parfum que j’ai longuement passé sur mes aisselles lisses et ma fourrure pubienne, dans le sillon entre les cuisses, dans le sillon sous les seins, et au creux des paumes.
- Avant de t’habiller, tu vas porter ceci, pour voir si ta chatte est celle d’une vierge.
L’anus entrouvert, je reçois un superbe gode muni de picots, de bonne dimension, trente-huit par huit. Ma chatte est rempli par le gode similaire d’utilisation et de calibre, pour une double pénétration pour me préparer.
Son prépuce glisse le long du gland de la sodomie et celui pour ma chatte, avec des va-et-vient. Le gode en érection s’allonge et rétrécit à chaque mouvement de va-et-vient grâce à son enveloppe ultra-souple qui s’étire ou se contracte en suivant les montées et descentes du gode. C’est comme un vrai étalon infatigable qui m’encule et me baise simultanément. Ils mesurent trente par huit et neuf avec sa gaine à picots. Trois chaînettes pendent de la base du gode. Hermine attache une étroite ceinture autour de ma taille, et l'on y accroche les trois chaînettes, une par derrière qui suit le sillon des fesses, et les deux autres par-devant, qui longent le pli des aines en contournant le triangle pubien. Hermine les ajuste au plus court, de façon que le mouvement intérieur des muscles ne peut repousser le gode et permettre de se resserrer à l'anneau de chair qu'il doit forcer et distendre, et on les attache avec de petits cadenas, pour s'assurer que, lorsque je suis seule, pour me soulager de cette contrainte.
- Tu les portes dès ton lever jusqu’au repas de midi et de la tombée du jour jusqu’à l’heure de la nuit, dix heures quotidiennement. Je m’occupe personnellement de les ôter, pour que tu sois enculée par des sexes à chaque fois que ton œillet est libre et baisée comme une pute. Comme pute anale et soumise, tu dois accepter ta sodomie sans te dérober et te faire baiser.
Je mouille et mon bassin ondule sur ces godes. Je ne sais qui télécommande les godes.
Je mets mon chemisier blanc, sans soutien-gorge, qui met en valeur mes superbes seins, quant à mes aréoles et mes mamelons sont bien visibles, noué dans le dos, dénudant mon nombril. Mon chemisier s’arrête à la taille, la jupe s’arrête mi-cuisses, sans culotte dessous. Je chausse des sandales à talons de douze centimètres à mes pieds nus aux ongles vernis de rouge, tout comme ceux de mes mains. Je garde ma queue-de-cheval.
- Ainsi, tu dois marcher élégamment, ta silhouette est plus élancée, tes chevilles et tes mollets sont tendus, de superbes jambes. Tu marches, en redressant le buste et creusant tes reins. Tu vas faire de petits pas, pour marcher et descendre l’escalier. Tu dois te laisser peloter, caresser, et obéir. Chez moi, les invités ont tous les droits. Tu te contentes seulement de te laisser caresser. Je te mets ensuite tes bijoux. Dis donc, la ceinture et les godes te vont à merveille, sur mesure. Tu vas t’agenouiller, cuisses écartées, assise sur tes talons, le dos bien droit, légèrement cambrée, la tête droite mais les yeux baissés, les mains posées sur les cuisses paumes vers le haut et ta bouche devra rester légèrement entrouverte, dans cette position de soumise.
Mes seins offrent les mamelons constamment tendus, par les glaçons. Le vent frais de l’extérieur sur mes mamelons et mon clitoris me provoquent une excitation énorme. Mes mamelons pointent au maximum tout le temps, vingt quatre heures sur vingt quatre et de même pour mon clitoris. Mon clitoris devient gros comme une cerise, saillant et volumineux comme jamais auparavant, avec les mêmes glaçons. Mes mamelons saillants sont aussi gros et longs. Mes mamelons et mon clitoris sont complètement tendus et très durs au point de me faire vraiment mal et le moindre effleurement même involontaire devient une véritable torture tellement ces endroits sont devenus sensibles. Hermine n’hésite pas à étirer mes mamelons et à masturber mon gros clitoris, tout en caressant ma chatte trempée.
- Allez, ma chérie, il est presque l’heure, fait encore quelques pas, en te déhanchant et surtout ne tombe pas dans l’escalier, avec tes petits pas sexy.
Vers 11 heures, je descends l’escalier, devant un parterre d’hommes élégants, qui m’applaudit.
- Quelle beauté, comment s’appelle-t-elle, Alban, dit l’un d’eux.
- Shawn, future Marquise, mais pour l’instant c’est la déesse du désir. Regardez ces superbes jambes, elle est équipée en vue de futurs plaisirs sexuels, mais aujourd’hui, elle utilise sa superbe bouche pour vous sucer. Ses yeux baissés et sa bouche entrouverte sont un signe de sa docilité. Approche, Shawn, montre-nous tes superbes petits seins aux mamelons tendus.
J’obéis, j’ouvre mon chemisier, mes seins sont pelotés et je mouille, les godes sont tantôt en mode simultané tantôt en mode alternatif.
Alban glisse sa main sous ma jupe, en me susurrant à l’oreille.
- Tu es toute humide. Cela t’excite de voir tant d’hommes qui te désirent, car tu es facile. Pute, chienne, prostituée, comme te définir, ma belle déesse, tu devrais porter un bijou d’anus la prochaine fois.
Je suis à la fois choquée par de tels termes employés, mais excitée, d’être exhibée.
- Shawn, tu le feras accroupie, cuisses écartées, pour que tous puissent voir tes chaînettes et ta ceinture, pour tes futurs jeux.
- Oui, Alban, je suis à tous ces hommes.
- Shawn, appelle-moi Maître.
- Oui, Maître, je ferais de mon mieux pour les sucer.
Hermine m’a fait diffuser dans la télévision des vidéos de femmes suçant des mandrins imposants. Je vais faire de même.
Nous allons au salon. Je fais le service, de diverses boissons, les mains caressent mes fesses nues et humides, mes seins aux mamelons tendus et étirés. Les clients sont âgés entre 50 ans et 65 ans, très bien montés, quand ils me montrent leurs mandrins jusqu’à huit centimètres et quarante de long.
Je porte ensuite les plateaux de petits fours. Les caresses se font plus précises et un des clients m’ordonne :
- Ma belle, tu vas me sucer. Je veux te voir à l’œuvre.
Je pose le plateau. L’homme, un superbe athlète de 58 ans, enfonce son mandrin, dans ma bouche que j’offre dans la position. Un cercle se forme autour de moi, je suis photographiée par des téléphones portables. Je me détends.
Mes lèvres osent à peine effleurer la pointe du mandrin, que protége encore sa gaine de douce chair. Les autres hommes commentent mes gestes, le mouvement de ma bouche refermée et resserrée sur le mandrin saisi, et le long duquel je monte et descend, mon visage défait qui s'inonde de larmes chaque fois que le mandrin gonflé me frappe jusqu'au fond de la gorge, repoussant la langue et m’arrachant une nausée. J’entends les commentaires des témoins, mais guette à travers leurs paroles les gémissements de son amant, attentive à le caresser, avec un respect infini et la lenteur que je sais lui plaire. Ma bouche est belle, et il éjacule dans ma bouche. Je me relève et l’amant m’embrasse langoureusement, en caressant mon clitoris tendu.
- Tu es très douée, avale tout, ma chérie.
J’obéis.
- Excellent choix, Alban, en tant que Sir Charles Sévices et Mille Vices, cette future poupée a tout d’une star de films sadiques. Elle doit aimer la cravache et les fessées, cela se voit dans son regard quand elle a sucée, les yeux baissés. Il faudrait juste lui dresser sa jolie bouche de suceuse.
Alban me garde près de lui, pour que j’écoute les commentaires de Sir Charles.
- Tu as compris, Shawn, ce qu’exige désormais les autres clients.
- Oui, Maître, je reprends le service. J’ai une envie de me soulager.
- Tout à l’heure, avant le repas à la salle à manger, as-tu une voiture favorite sur celles du parking ?
- La Ferrari F40 rouge et la Porsche blanche, me plaisent.
- Pour la Ferrari F40, tu viens de sucer son propriétaire. Pour la Porsche, ce sera lors du départ des invités, que tu connaîtras le propriétaire.
Je continue le service, mon bassin ondule sous les coups progressifs des va-et-vient, montant crescendo. Je ne sais qui dirige la télécommande de mes godes.
Vers 13 heures, je marque une pause. Les invités rejoignent le salon. Je suis en sueur. Je me rafraîchis. Hermine me rejoint.
- Ma chérie, pour un premier jour comme soubrette, tu as mis tes admirateurs à tes pieds.
- Hermine, j’éprouve le besoin de me soulager.
- Oui, les godes te sollicitent, c’est normal. Tu vas servir l’entrée et tu vas te soulager, te changer et porter un bijou d’anus, pour que ta chatte soit resserrée. Le bijou va te faire contracter ton œillet, stimulant ta chatte humide. Tu vas y prendre goût à la sodomie.
En effet, après la mise en place des entrées, je m’éclipse. Je me change pour une guêpière seins nus. En retirant mes godes, les lèvres de ma chatte humide sont écartelées, mon anus est entrouvert.
- Superbe spectacle, regarde-toi dans la glace, penchée en avant, dos à la glace.
Je m’exécute, en écartant bien mes fesses.
- J’ai pris mon plaisir.
Ce bijou d’anus de dix-sept par six me remplit l’anus bien lubrifié d’excitation. Son gland et ses reliefs me font mouiller, me stimulent.
- Ainsi, tu penseras à un bel étalon qui t’encule ma chérie.
La guêpière de taffetas de nylon, tenue rigide par de larges baleines très rapprochées, courbées vers l'intérieur au ventre et au-dessus des hanches, fermée par un busc sur un côté derrière, et lacée dans le dos. Hermine me lace étroitement pour que ma taille et mon ventre se creusent sous la pression des baleines, qui sur le ventre descendent presque jusqu'au pubis, qu'elles dégagent, ainsi que les hanches. La guêpière est plus courte par-derrière et laisse la croupe entièrement libre.
- Les hommes vont te séduire davantage, ma belle. Tu restes comme ça, avec tes mules blanches à talons de douze centimètres. Ta taille sera plus belle, affinée.
Mes mamelons sont fardés de rouge et sont tendus sous le pinceau que j’utilise, ainsi mes aréoles, ma bouche et mes petites lèvres de ma chatte humide, mon clitoris est tendu à l’extrême. Je me parfume à nouveau. Je dois passer les glaçons sur mes mamelons et mon clitoris. Je suis tellement excitée, que mes mamelons pointent plus longtemps. Je me coiffe d’un chignon.
Après le service du plat de résistance et du dessert, embrassée langoureusement par mes amants, suçant de tant à autres, mes seins sont caressés avec délicatesse et mes mamelons tendus sont mordus, pour m’exciter davantage, je dois servir le café au salon.
Alban me convoque dans son bureau.
- Shawn, ton salaire horaire est passé à 40, sans compter les extras de suceuse. Voyons, maintenant ton œillet, est-il à la hauteur de ma queue ?
- Enculez-moi, je suis toute à vous, Maître.
- J’aime quand on le dit poliment, avec un superbe sourire et surtout, ma belle Shawn, lève les yeux quand je te parle.
- Mais, je dois les garder baissés et fixer votre queue, Maître.
- Tu le feras en ma présence, tous les deux uniquement. Mets-toi à quatre patte, bras tendus, les fesses bien rebondies, pour que je puisse remplir ton puits.
Il me retire le bijou d’anus. Mon anus est prêt à le recevoir.
Alban m’encule, avec son mandrin de quarante par sept. Il m’écartèle. Je connais la même réaction qu’avec le gode anal d’Hermine.
- Allez, je suis enfoncée jusqu’aux couilles dans son puits humide. Tu t’attendais à ce que je te baise, ce sera pour plus tard.
Alban me fesse, je mouille davantage.
- Empale-toi sur ma queue, Shawn. Tu aimes que je te fasse coulisser sur ma queue.
- Oui, Maître, je suis toute à vous. Prenez moi par mes hanches.
- Tu vas jouir, enculée comme tu es. Tiens, prends cette bonne fessée.
- Punissez-moi, je suis ta chienne.
Alban éjacule longuement et se retire. Je le suce, sans perdre une goutte et j’avale tout. Le bijou d’anus conserve son sperme chaud.
Je retourne ranger le service à café.
Brice me coince de retour de la cuisine.
- Alors, on aime se faire enculer, la belle pute de mon père. Ecarte bien tes fesses, que je t’encule aussi.
Penchée en avant, cuisses écartées, les mains sur le mur, l’anus libre et lubrifié, Brice m’enfonce son mandrin de trente-deux par huit. Il me fesse à plusieurs reprises, masturbe mon gros clitoris, étire mes mamelons. Je ne sais si je dois jouir ou gémir.
- Tu es une jouisseuse anale, je le savais. Tu t’es déjà fait enculée avant de venir ici.
- Non, Brice, tu mens.
Alban intervient.
- Brice dégage de l’œillet de Shawn. Shawn est réservée à un autre usage.
Brice se retire, en éjaculant sur mes fesses.
Sans ménagement, je me retrouve, menottée, nue, sur la pointe des pieds nus, déchaussée, les bras tendus en l’air à un crochet, une barre d’écartement fixée à des bracelets en cuir à mes chevilles. Mes bras sont levés et joints, que les bracelets de cuir maintiennent par une chaînette à l'anneau du plafond, font saillir mes seins.
Devant l’assistance, je garde les yeux baissés, la bouche entrouverte. Certains se masturbent, en me voyant menottée. Exhibée, menottée, je suis toute excitée.
Alban et Sir Charles caressent longuement mes seins, les lèchent, puis ils m’embrassent longuement, je perds haleine.
Tenue par les cheveux par Sir Charles, balancée par la chaîne, je suis cravachée sur les fesses, le devant et le dos de mes cuisses, jusqu’à trente fois une première séance. Après une courte pause, Sir Charles remarque :
- Shawn, elle aime ça, se faire cravacher, elle mouille bien. Son gros clitoris en est la preuve.
Je reçois cinquante coups sur les mêmes zones, entrecoupée de sodomies sauvages, entrées et sorties de mon anus, violemment, sans me laisser jouir, écartant mes fesses brûlantes.
Chancelante, je suis enculée avec douceur par les autres invitées, pour que je reprenne mes esprits.
Vers 17 heures, libre, rhabillée, je raccompagne chaque invité à sa voiture.
Je découvre le propriétaire de la Porsche, accompagné d’un élégant étalon brun, de 25 ans. C’est une superbe brune aux petits seins, sous un tailleur pantalon blanc, avec des escarpins assortis à talons de douze centimètres, les cheveux coupés à la garçonne, âgé de 32 ans.
- Tu as découvert la pute Shawn. Tu as sa biographie, Miss V. Shawn sera surprise quand tu la prendras, nu.
Je suis surprise.
- Oui, ma chérie, j’ai un petit secret connu par Alban et mon chauffeur Nathan. Lui aussi à un secret à t’offrir, patience. Tu es une Soumise avec du potentiel. Les beautés naturelles se font rare, préférant tout épilé. Nous verrons lors de ton anniversaire.
- Ma chère, l’anniversaire de cette superbe déesse du désir est dans quatre jours, annonce Alban.
Je n’ose le confirmer.
- Elle va offrir sa virginité à d’autres hommes, femmes et autres combinaisons possible. Mais avant, il faut l’instruire, pour sa grâce, sa docilité, son charme et surtout que son intimité soit le centre de tous les vices cachés en elle. Elle peut rivaliser avec d’autres, annonce Hermine. Viens te doucher, ma chérie. Nous avons beaucoup à apprendre entre femmes.
La douche masturbatoire réveille mes désirs lesbiens, caresses, baisers et doigtés sont mes talents. Hermine jouit avec moi et tout comme moi en retour.
- Avant 20 heures, heure du souper, ma chérie, tu vas continuer à élargir ton œillet. Ce coffret de godes de divers calibres, réalistes, sont pour toi. Je veux entendre tes râles et non pas tes gémissements, ton œillet est devenu sensible, par ces queues qui t’ont rempli, ma belle pute anale. Tu es libre de caresser ton gros clitoris tendu. Regarde comme il est gros comme une cerise et saillant, tes mamelons sont sublimes, saillants, gros et longs. La douleur est devenue plaisir, tu es une adepte de la douleur, qui te fait mouiller. Tu peux jouer avec ton bijou d’anus, pour le rendre plus ouvert.
- Oui, Hermine, j’aime ça, être fessée, fouettée.
- Je te mettrai la ceinture ce soir quelques heures.
Devant le miroir, le coffret ouvert, je suis subjuguée par les divers calibres de godes, tous possèdent des prépuces qui se rétractent.
J’en choisis, allongée sur le dos, cuisses écartées. Je l’enfonce en douceur et je coulisse dessus. Une vague de plaisir anal m’envahit et je vois mon muscle anal se contracte, tellement mon orgasme anal est violent. Je suis aux anges.
Je continue à d’autres godes jusqu’à ceux de huit de diamètre. Mon anus a besoin d’une grosse queue. Je prends aussi la cravache
Hermine puis Alban m’observent, par la porte restée ouverte. Je jouis pour eux.
Vers 19 heures, je m’arrête, épuisée, mes hanches sont douloureuses à forcer de m’empaler, tantôt accroupie tantôt agenouillée, pour mieux me faire enculer en solitaire.
Je retire délicatement le dernier gode de huit sur trente de long. Il est tout lubrifié par ma mouille anale. Curieuse, je goûte ma mouille de ma chatte humide. C’est pas désagréable, j’ai toujours goûté celles de mes copines. Je me prépare, avec une douche rapide, pour me rafraîchir.
Au fait, je suis fidèle à l’une d’elles, Comtesse. Elle est avec un copain, Eros, plus âgé qu’elle, adepte des fessées, du naturisme. J’ai hâte de la revoir, elle me manque, surtout sa langue sur mon clitoris.
- Chérie, tu descends toute nue, avec tes mules et queue-de-cheval, fardée et parfumée.
- J’arrive. Je suis presque prête.
Je me regarde une nouvelle fois devant la glace.
Brice s’est absenté pour affaires. Alban et Hermine m’attendent à la salle à manger.
- Shawn, tu es exempte de faire le service ce soir. Tu es juste là, pour t’empaler sur ma queue pour remplir ton œillet.
Alban m’exhibe son mandrin en érection. Je m’assois entre ses cuisses écartées, guidant ma chatte vers son gland, mais non son gland écartèle mon anus lubrifié. Je retombe sur son mandrin, sous mon propre poids, enculée jusqu’aux testicules.
Je coulisse, mes reins, mes fesses cravachées par mes soins, mes seins aux mamelons constamment tendus désormais et mon gros clitoris, ma chatte sont caressés, masturbés.
Alban me nourrit et de temps à autre, glisse un morceau de viande, un morceau de légume dans ma chatte que je dois manger, sans protester.
- Tu es encore plus ouverte que lors de ta première sodomie, en levrette. Tu aimes te faire enculer dans toutes les positions.
- Oui, Maître, j’aime ça.
- Tu commences à maîtriser la cravache. C’est excellent. Tes fesses sont brûlantes sous mes doigts, que j’écarte.
- Je vais jouir, Maître.
- Tu sens mon jet dans ton puits de pute.
- Oui, c’est trop chaud et bon.
Lors du dessert, après une courte fellation, Alban éjacule à nouveau, toujours dans la même position.
- Mes va-et-vient dans ton puits te font beaucoup de plaisir, je vois cela. Tu vas me nettoyer et avaler sans perdre une goutte.
- Ma belle, c’est l’heure de te mettre ta ceinture, annonce Hermine.
J’enfile les deux godes avec aisance. Ma journée m’a épuisée, mais je suis heureuse d’avoir joui, enculée par de vrais étalons très bien montés.
Je m’allonge sur le lit et tente de trouver le sommeil. Il est 22 heures.
Ces va-et-vient des godes télécommandés, mon clitoris durci et le sperme dans mon anus, qui se répand. Je plonge dans un profond sommeil.
Aux dernières heures de la nuit, quand elle est plus noire et plus froide, juste avant l'aube, Alban vient me voir. Il laisse juste la lumière du couloir allumée.
- Prosterne-toi, ma chérie.
J’obéis, cuisses écartées, dans la pénombre. Le miroir est éclairé par la lumière.
Il cravache mes fesses, à toute volée. Il recommence quatre fois, en prenant soin de cingler chaque fois ou plus, haut ou plus bas que la fois précédente, pour que les traces soient nettes.
Il me libère quelques instants des deux godes et m’encule dans cette position.
Je jouis, la tête enfouie dans l’oreiller.
- Tiens, je vais t’enculer bien profondément, ma belle.
Il éjacule en moi et me remet les godes en place.
Agenouillée, cuisses écartées, il me cravache le devant des cuisses.
Il disparaît. Je me rendors, avec difficulté.
20 mai
Peu avant 6 heures, je me lève, me douche et découvre mes marques sur mes fesses et mes cuisses, en plus de celles de la veille, qui se croisent.
Je me douche, me maquille et revêts un simple tablier blanc cachant mon pubis et un corset seins nus que je lace étroitement. Le corset est durement baleiné, long et rigide, et comporte des goussets où reposent les seins. A mesure qu'on serrait, les seins remontent, s'appuient par-dessous sur le gousset, et offrent davantage leur mamelons tendus par les glaçons. En même temps, la taille s'étrangle, ce qui fait saillir le ventre et cambrer profondément les fesses. Je me coiffe d’une queue-de-cheval.
Je tiens à la main mes mules blanches à talons de douze centimètres.
Hermine me rejoint et m’annonce :
- Tiens dans ton téléphone portable que j’ai vérifié, tu as reçu une photo à ton attention d’une inconnue, intégralement épilée. Qui est-ce, cette beauté ?
- C’est ma chérie Comtesse. Cela fait deux ans que je n’ai plus revue au village. Je pense qu’elle serait très utile à dresser.
- Alban va faire le nécessaire. Alban n’a pas raté tes cuisses et tes fesses. Tu as du jouir, ma chérie. Je vais te retirer les double godes pour te soulager et tu portes uniquement le bijou d‘anus.
Soulagée, je descends avec mon bijou d’anus et je maquille les petites lèvres de ma chatte. Hermine a appliquer une crème apaisante sur mes fesses et mes cuisses.
Je prépare la table de la salle à manger pour le déjeuner.
J’attends, agenouillée, cuisses écartées, fléchie un peu en arrière, à demi assise sur les talons nus, sans mes mules.
Vers 8 heures, Alban descends, au courant pour Comtesse.
- Ma chérie Shawn, tu m’as caché ta relation avec Comtesse. Il se peut que Comtesse arrive aujourd’hui. Quelle journée, Miss V et Nathan, plus d’autres invités, avant l’anniversaire de tes 18 ans, doublement ouverte. La priorité est que ton œillet soit bien élargi, par les divers calibres que tu reçois depuis hier.
- Bien Maître, quand serais-je honorée dans ma chatte toute humide ?
- Le moment venu et après d’autres nouvelles épreuves, tu seras prête. Sers-moi le petit déjeuner. Approche-toi de moi, cuisses écartées.
Je suis intriguée.
Soudain, une Ferrari F40 rouge entre dans le parking, conduite par une superbe blonde, en robe estivale.
- Ma chérie, tu vas accueillir notre invitée.
- Bien, Maître, je m’en occupe.
La blonde descend, 1,83 m, 90C, des tâches de rousseur sur son décolleté en V, robe dos nu blanche semi-transparente, dévoilant par le soleil, son pubis et sa chatte totalement lisses, deux petits anneaux dorés perçant ses grandes lèvres, chaussée de sandales blanches avec des talons de douze centimètres, ses longs cheveux libres descendant sous les fesses couvrant son dos nu, intégralement bronzée.
La blonde ouvre le coffre de la Ferrari F40 et sort une valise.
Je prends la valise et la blonde m’interpelle :
- Shawn, tu officies au château. Je connais très bien Alban, Hermine et surtout une certaine Emmanuelle, en me fixant avec son regard vert comme le mien.
- Quoi, vous ou tu connais Emmanuelle ?
- Mais ma chérie Shawn, c’est moi Comtesse, je connais ton deuxième prénom.
Alban arrive à l’improviste avec Hermine.
- Shawn, tu portes la valise à notre invitée dans sa chambre, à côté de la tienne. Comtesse, je suis désolé que Shawn soit troublée de votre présence. Vous avez le même âge. On dirait deux sœurs, deux copines de classe.
- Mais Alban, avec Pénélope, c’est une longue histoire. Nous sommes demi-sœurs et nous avons une passion commune pour le sexe et l’amour.
- Je vous invite à prendre le petit déjeuner en notre compagnie. Shawn se montrera très dévouée à ce moment.
Comtesse, vous êtes plus sublime que sur la photo, annonce Hermine.
Je dépose la valise dans la chambre et rejoins le trio.
- Shawn, reviens à ta place. Prépare les tartines tranchées en une bande assez large avec une recouverte de confiture d’abricot, une avec de la gelée de coing et la dernière avec du miel.
Comtesse est intriguée, par le fait que Shawn reste les cuisses écartées, sans son tablier.
- Maintenant, Shawn enfonce la première tartine dans ta chatte.
J’obéis puis je la retire.
- Mange la tartine.
J’obéis. Le mélange de ma mouille et du goût d’abricot me déclenche une sensation de bien-être.
- Recommence avec les deux autres.
Je m’exécute.
Je me lèche le bord de mes lèvres, pour ne pas perdre une goutte.
- Shawn, tu me surprends, ma chérie, dit Comtesse. Tu aimes le goût de ta chatte.
- Oui, ma chérie, Alban m’a fait découvrir d’autres vices cachés. Tu as remarqué mes fesses et mes cuisses.
- Il te cravache aussi.
- J’attends la garcette et la chicotte prochainement. Quant à toi, ma chérie, je sais que tu n’es plus vierge pour ta chatte et que tes reins ne sont pas encore ouverts. Moi, je suis doublement ouverte.
- Shawn, ce sera la prochaine fois, annonce Alban.
A la fin du petit déjeuner, Comtesse tente de me prendre en aparté, mais Hermine intervient.
- Désolé, Comtesse, Shawn a interdiction de vous parler, jusqu’au prochain service. C’est la règle, à moins qu’Alban en décide autrement. Shawn a d’autres occupations, comme le nettoyage du salon et de la salle à manger, plus la piscine.
- Bien, Hermine, je m’exécute. Désolé, ma chérie, je dois obéir.
Tandis que je fais les tâches requises, Comtesse discute avec Alban.
Chaque fois que je penche, on voit mes fesses nues et mon bijou d’anus, que remarque Comtesse.
Vers 11 heures, alors que je suis à la piscine, Comtesse retire sa robe et dévoile son superbe corps musclé, déchaussée. Je suis subjuguée par son pubis et sa chatte totalement lisses, telle une soumise. As-t-elle un Maître, son amant Eros ? Ses anneaux dorés à ses grandes lèvres de sa chatte, me réveille mes premiers cunnilingus en sa compagnie il y a deux ans.
Elle fait quelques longueurs de piscine. La piscine est cachée derrière le bâtiment principal, loin des regards indiscrets. Je n’ose me masturber, le vent frais fait durcir mes mamelons et mon gros clitoris.
Hermine me rejoint.
- Elle est sublime, Comtesse. Tu es donc sa demi-sœur.
- C’est une longue histoire entre nos familles. Mais chaque année, on se retrouve chez des amis en commun. Curieusement, depuis deux ans, plus de nouvelles de sa part, elle serait avec un certain Eros, âgé de 55 ans, séducteur qu’elle a connu lors d’escapades amoureuses à l’étranger. Son retour m’interroge.
- Shawn, vas te baigner avec elle, je t’autorise. Je vous rejoins. Tu es amoureuse d’elle, va lui montrer combien elle t’a manquée.
Je me déchausse, retire mon tablier et mon corset. Je plonge nue, avec mon bijou d’anus, les cheveux libres.
- Tiens, ma chérie, tu me rejoins.
- Je sais pour Eros, ma chérie. Mais avec Alban, son trente-deux par huit, ne peut rivaliser avec le quarante par huit d’Eros.
- Tu t’es faite Alban, ma coquine. Toutes les copines vont être jalouses. Tu l’as sucée, il t’a baisée.
-Non, juste sucée et il m’a fait ma première sodomie avec un violent orgasme.
- Toi, te faire défoncer ton œillet, que tu m’interdis de goder. Tu as bien changée, Shawn.
- C’est Eros qui t’a fait épiler et poser les anneaux à ta chatte, ma chérie.
- C’est mon idée. J’aime bien tes mamelons saillants et ton gros clitoris à sucer et à lécher. Comme tu fais.
- Il faut demander à Alban, en échange de ton dépucelage anal.
- Dites les filles, vous faites des longueurs de piscine. Il faut muscler vos corps de déesses.
Je suis surprise de voir qu’Hermine porte des anneaux dorés à ses grandes lèvres, son clitoris est percé d’un anneau doré serti d’une pierre précieuse, sa bague sertie d’un petit anneau à son annulaire gauche, faite sur mesure et une autre bague au majeur droit, relié au poignet par une chaînette très fine, à son poignet droit. Hermine a aussi son pubis et sa chatte totalement lisses.
Nous faisons nos six longueurs de piscine.
Alors que je marque une pause, pour sortir de l’eau à l’échelle, Alban me bloque ma sortie :
- Ma belle, encore une longueur et tu pourras te doucher avec soit Hermine soit la fiancée de Maître H, un Maître très exigeant.
Maître H, qui est cet homme, Alban n’a jamais allusion à cet homme.
Je n’ose le questionner et j’obéis.
A la sortie de la piscine, Alban me prend dans ses bras, avec une grande serviette, pelote mes seins aux mamelons tendus.
- Tu sais que tu es encore belle, avec tes seins projetés en avant, nus et libres, resplendissants, les glaçons ont fait leur effet.
Ses mains descendent le long de mes hanches encore un peu douloureuses de mes sodomies en solitaire.
- Le corset va les affiner. Ecarte bien tes cuisses, tu es toute humide. C’est cette vicieuse de Fleur, qui t’excite. Elle a bon goût.
Il finit par mes jambes et mes pieds, avant de m’enfoncer simultanément ses doigts dans ma chatte, dans mon anus qu’il a libéré et sa langue sur mon clitoris tendu.
Je me retiens de jouir.
- Jouis, Shawn, je veux que tu jouisse pour Fleur.
J’explose dans un long et violent râle. Comtesse et Hermine restent sans voix.
Je me douche avec Comtesse.
- Ma chérie, tu es donc doublement ouverte. Alban t’a fait jouir, tu me plais davantage.
Nous masturbons nos chattes et nos clitoris, dans une série de baisers langoureux, sans savoir qu’Alban me filme dans mon dos.
Puis nous séchons nos corps.
Je me rhabille.
- Très bien, tu as fait un excellent travail. Fleur est désormais prête à une nouvelle épreuve. Vas te faire belle, je te veux juste dans ta nouvelle robe. Pas de service ce midi, nous allons voir Miss V.
Nue, devant mon miroir, je caresse mon corps.
Qui sont Fleur, Maître H, quel secret me cache Comtesse, ma meilleure amie, que de mystères ?
Je découvre ma robe dos nu, blanche transparente, largement fendue devant, jusqu’aux mollets et discrètement courte par derrière jusqu’à mi-cuisses. Je vernis mes ongles de mes mains et de mes pieds en rouge. Je me farde, me parfume longuement, après ma douche rapide à l’eau froide. Mes mamelons et mon clitoris sont constamment tendus désormais. Les glaçons servent juste à tenir la couleur.
Comtesse me rejoint, rhabillée, avant que je m’habille.
- Pardonne-moi, Shawn, je t’ai trahie avec Eros. Il devait te revenir. Alban est mieux pour moi.
-Tu es amoureuse, ma Fleur. Coquine, tu as été dressée, comme Alban me dresse.
- Non, c’est faux, ma Shawn.
- Les belles, on vous attend au salon, annonce Hermine.
Je m’habille, chausse mes sandales blanches à talons de douze centimètres et me coiffe d’un chignon. J’ai fait quelques va-et-vient avec mon bijou d’anus pour me préparer.
- Shawn, tu montes avec Comtesse. Hermine et moi prenons la Rolls-Royce conduite par Nathan.
J’avoue que j’ai un faible pour Nathan.
Nathan me fait le baise-main et devant moi, il embrasse Comtesse. Comtesse est une amie de Nathan.
Les deux voitures quittent le château pour un haras, à une demi-heure de route.
Vers 13 heures, au Haras, Miss V, nous accueille, vêtue d’une tenue d’équitation, bottes et cravache.
- Tiens, ma chérie Emmanuelle et sa vicieuse Fleur, superbe couple en effet, la rencontre au château a été torride. J’ai vu la vidéo.
Miss V m’embrasse langoureusement et fait un baiser sur les joues à Fleur.
Mais Alban et Hermine ont droit aux baisers langoureux.
- Quelle superbe écrin velu que tu m’offres, ma belle Shawn. Tes reins sont superbes, ainsi que tes fesses musclées, tu rivalises avec Fleur.
Nathan nous apporte des coupes en forme de fleur pour les hommes et pour les femmes, des coupes en forme de phallus retournés. Cela m’excite.
Miss V annonce :
- Mes chéries, Shawn, tu te mets entre Nathan et moi. Fleur, tu t’assois devant Alban. Alban, tu es face à Shawn et Hermine tu es face à moi.
Les femmes doivent s’asseoir sur des chaises en cuir. Je sens la présence d’un gland sortant de la chaise, qui effleure mon anus, Miss V en droit au sien.
Miss V appuie sur une télécommande et le gland se transforme en un superbe gode réaliste veiné de bonne dimension. Fleur est un peu gênée, mais elle ne peut se dérober, enculée. J’ai relevée ma jupe tout comme Fleur pour m’asseoir et Miss V a retiré son pantalon.
- Fleur, semble un peu gênée, susurre-je à Miss V. Elle n’a pas l’habitude pour ses reins.
- Elle s’y fera, ma chérie, me réponds à l’oreille.
Je glisse ma main entre les cuisses de Miss V et je découvre un superbe mandrin de trente-six par huit, circoncis, qui bande. Miss V est un homme avec de petits seins. Je suis troublée et impressionnée.
- Tiens, tu as trouvé ma surprise, ma chérie. Tu seras gâtée. Fleur semble gémir.
- Miss V, retirez ce gode de mon puits. Personne ne m’a prise ainsi, annonce Fleur, gémissant.
- Désolé, regarde comment Shawn prend du plaisir. Tu as interdiction de te laisser gémir jusqu’au dessert. Tu dois jouir, Fleur.
Miss V pelote mes seins, entre deux bouchées, mon clitoris est masturbé tandis que je continue à masturber son mandrin qui bande. Elle me fait de longs baisers langoureux. Elle libère mes cheveux et me dit :
- Tu fais plus femme, les cheveux libres. Avec ta queue-de-cheval, tu ressembles plus à une jeune fille sage, vicieuse cachée.
Un violent orgasme anal me terrasse entre le plat de résistance et le dessert. Je me reprends, sous peine d’être punie par Miss V ou Alban.
- Quelle superbe voix, ma chérie, prends du plaisir, tu es toute trempée. Nathan va t’occuper de ta chérie. Fleur, tu restes là.
Dans la salle de bains, devant un grand miroir, Nathan m’invite :
- Suce-moi. Il paraît que tu es une excellente suceuse.
Son mandrin de vingt par huit me comble. Je suis accroupie, toute nue, juste en sandales.
- Je suis puceau, c’est la première que l’on me suce. Tu sais que tu fais partie de ma famille, un de tes frères, que tu n’as pas depuis des années. Penche-toi et écarte tes fesses, ma chérie ou ma pute.
- Prends-moi, encule-moi, je suis toute à toi.
- Quel œillet bien ouvert, tu aimes que je te remplisse jusqu’aux testicules.
Je masturbe mon clitoris, tandis qu’il pelote mes seins aux mamelons tendus.
- Ils sont saillants et durs sous mes doigts. J’aime aussi ton clitoris gros comme une cerise.
- Cela m’excite, Nathan.
Je coulisse sur son mandrin, pour mieux m’empaler. Il me donne quelques claques magistrales sur mes fesses offertes.
- Fesse-moi encore, je suis toute chaude.
- Je vais jouir, Shawn.
- Remplis-moi avec ton sperme chaud.
Je me retire et je le suce le conduis au plaisir et au mien.
- Tu es superbe, avec mon sperme en bouche.
Je me refais une beauté, sans remettre ma robe et ayant remis mon bijou d’anus.
Je cravache Fleur, menottée à un chevalet, sur les fesses, pour ses gémissements lors de sa sodomie par le gode. Elle est immobilisée, nue, dans cette posture dégradante, le postérieur plus haut que la tête. Ses bras sont fixés le long des pieds avants, ses jambes le long des pieds arrières, et une large sangle m'est passée au niveau de la taille. ses cuisses, légèrement fléchies sont empêchées de se resserrer par la largeur de la poutre, ainsi d'ailleurs ses fesses qu’elle ne peut refermer. Toute mon intimité est ainsi très accessible.
Je la cravache à toute volée. Je suis en sueur.
- Suce-moi, Shawn, m’annonce Miss V.
J’obéis, accroupie, tandis que Fleur est cravachée par Alban et Hermine.
Je suce Miss V, pour qu’elle m’encule aussi.
- Penche-toi, les mains au sol, cuisses écartées, Shawn.
Miss V m’encule jusqu’aux testicules, en m’écartant bien les fesses, l’anus libre.
- Tu es bien ouverte, j’aime ça chez une déesse du sexe.
- Prenez-moi toute entière, je suis à vous.
Miss V me fesse et masturbe mon gros clitoris déjà échauffé par ma masturbation.
- Tu es excitée, ton clitoris est bien dur. Viens t’agenouiller, tu seras mieux.
Sans débander, je me retrouve agenouillée, dos contre le buste de Miss V.
Miss V me doigte ma chatte resserrée et trempée et mon clitoris tout en pelotant mes seins aux mamelons durcis. J’ai un violent orgasme anal, qui fait éjaculer Miss V. Je la nettoie aussi.
Alban m’encule sur le champ, prosternée, tendant mes fesses brûlantes par les fessées et quelques coups de cravache. En appui sur ses jambes, il coulisse dans mon anus bien lubrifié.
Je retarde mon nouvel orgasme anal. Il se retire et je le suce.
Vers 15 heures, après le café pris au salon, Fleur est conduite dans un lieu pour dressage par Maître H, qui se trouve dans les environs.
Miss V nous fait assister à une saillie par un de ses pur sang. Je suis subjuguée par la longueur du sexe équin.
- Voici mon pur sang Zéphyr et sa jument Olympe. C’est sa sixième saillie pour Olympe. Tu vois ce super sexe de quatre-vingt centimètres.
- Elle le reçoit en entier.
- Oui, regarde ses va-et-vient. Tu aimes.
- Je mouille, Miss V. Je suis toute excitée.
Vicieuse, je le suce avec difficulté. Je suis fascinée par sa taille. Je prends son gland monstrueux et commença à sucer Zéphyr. Celui-ci, sous les caresses labiales, entre en érection et Zéphyr éjacule. Je suis surprise par une telle quantité de sperme et manqua de s'étouffer.
- Le goût est différent mais agréable.
- Tu vois pour une première, tu es une vicieuse.
Miss V va m’inviter à l’hippodrome pour faire courir ses selles français et son trotteur français.
28 mai
Mon anniversaire de mes 18 ans, du 23 a été repoussé pour divers motifs et la venue de certains invités.
En effet, étudiante en art, je répertorie tous les tableaux de Miss V, avec mes connaissances.
Je monte au haras, les étalons qui me sont destinés, dont Zéphyr, le selle français Sultan et le trotteur français Alizé. Je suis doublement empalée sur des godes fixés à ma selle, vêtue d’un pantalon spécialement découpé. Ainsi, je suis à disposition de Miss V, pour des orgasmes dans le box.
Je fais le ménage chez Alban, avec interdiction de s’occuper de sa chambre personnelle, qui recèle des collectons d’art osées, interdites jusqu’à mon anniversaire.
Moi aussi, je porte ma bague sertie d’un petit anneau à mon annulaire gauche, faite sur mesure et une autre bague au majeur droit, relié au poignet par une chaînette très fine, à son poignet droit. Ma chatte est totalement lisse, pour mettre en valeur mes deux anneaux dorés à mes grandes lèvres. Cela fait déjà deux jours.
La garcette, de cordes assez fines, faite de sept lanières terminées chacune par plusieurs nœuds, et qui sont toutes raides, trempées dans l'eau, car on m’en caresse les seins avec mes clochettes et l’intérieur de mes cuisses, je sens mieux combien les cordes sont humides et froides contre la peau tiède. La chicotte est un engin fait en deux parties, d'une part un manche en bois verni et de l'autre une tresse en cuir noir, reliés ensemble par une boucle qui forme charnière, de telle sorte que, quand on l'utilise avec habilité, le coup de poignet sur le manche donne encore plus de vitesse à la tresse en cuir. Je mouille tout autant que sous la cravache.
Je porte désormais un bijou d’anus plus gros, pour me laisser plus entrouverte, de douze par six, moulé sur un vrai mandrin, muni d’un prépuce qui se rétracte. Je ne compte plus mes orgasmes avec.
Vers 6 heures, je me suis levée, toute nue, douchée, fardée et je descends pieds nus, tenant mes mules dans mes mains, les cheveux libres. Je me suis godée la chatte ou l’anus selon mes envies pendant la nuit, sans compter mes orgasmes pour finir fouettée, prosternée.
Miss V m’attends pour un petit déjeuner que je partage avec elle, insérant toujours les tartines dans ma chatte. Les anneaux décuplent mon plaisir. Je ne sais quand mon clitoris sera percé.
Vers 8 heures, Alban nous rejoint avec Hermine.
Je le suce, tout comme Miss V. Miss V est juste vêtue d’une jupe éventail et d’un corset seins nus avec un boléro fermé au cou. Il suffit d'enlever le boléro pour que les épaules et les seins soient nus, et sans même enlever le boléro, de l'ouvrir, si l'on désire voir les seins.
Puis tous les deux m’enculent à tour de rôle. Chaque nouvelle sodomie me conduit vers des plaisirs qui irradient mon bassin, tellement mon anus est devenu sensible.
Je les suce et les avale, avec respect. J’ai remis mon bijou d’anus.
Vers 10 heures, on sonne. Je suis encore nue, en mules, quand j’ouvre.
C’est ma chérie Prudence, une superbe brune aux petits seins, en robe semi-transparente noire sur ses seins nus, largement fendue sur le devant, dévoilant ses jambes nues, en sandales à hauts talons, les cheveux libres. Elle est accompagnée par Prince Selim, son ami.
Prudence est une de mes professeurs d’art et de photographie. Je suis son modèle pour les nus.
- Tu es resplendissante, ma chérie. Tu as la chatte épilée et tu portes des anneaux dorés à ta chatte. Ils te vont à ravir. Tu aimes te faire fouetter les cuisses.
- Oui, Prudence, je suis une soumise pour Alban.
- C’est un privilège. Tu dois être fière de ton statut, de pute, annonce Prince Selim.
- Oui, Prince, enculez-moi, je suis toute à vous.
Le berger allemand Adam me lèche la chatte et mon clitoris, pour me lubrifier. Sa langue a de puissants muscles qu'il peut utiliser beaucoup plus longtemps sans être fatigué. La langue d'un chien, est plutôt grosse, fine mais large et longue et extrêmement flexible. Elle est râpeuse entre mes lèvres de ma chatte que Prudence écarte.
- Quel plaisir, cette langue, Prudence.
- C’est Adam, ton cadeau d’anniversaire avant l’heure. Attention, il peut te monter, si tu es constamment nue. Tu dois mettre du miel sur ton gros clitoris et ta chatte pour le recevoir.
Je connais un violent orgasme sous sa langue.
Prince Selim se déshabille et exhibe son gros mandrin de trente-cinq par huit, muni d’une gaine à picots le portant à neuf.
Allongés face à face, sur le tapis, mon anus lubrifié le reçoit jusqu’aux testicules. Je gémis un peu mais le plaisir l’emporte. Mes cuisses écartées à hauteur du buste de Prince Selim, je le reçois, accoudée. Il saisit ma cuisse droite et mon mollet pour me rapprocher. Il m’encule profondément.
- Tu aimes ça, que je t’encule.
Adam continue à me lécher mon clitoris et ma chatte offerte. Prudence, nue, pelote mes seins et m’embrasse langoureusement.
- Oui, Prince, je suis toute à vous. J’ai mon œillet en feu.
Empalée jusqu’aux testicules, je ne peux me dérober.
Je me retire, après un premier orgasme et je m’accroupis, dos à lui, enculée, jusqu’aux testicules. Il reste allongé, observant la vue de mes fesses écartées par son mandrin. Je me déhanche. Adam continue son léchage intense de ma chatte et de mon clitoris, décuplant mon orgasme. Ma bouche est remplie par le mandrin de Miss V.
Lorsque je me retire, mon anus est distendu et boursouflé par les picots. Libéré des picots, je suce et avale Prince Selim.
Adam me monte à mon insu, excitée par la vue de ma chatte humide. Bientôt, son sexe l’a totalement pénétré. Alors, il commence à remuer très vite, la laboure à grands coups de reins, lui arrachant de grands cris de plaisir. Je me caresse le clitoris en même temps. Je sens alors une quantité impressionnante de sperme gicler dans ma chatte. De longues saccades de foutre épais viennent tapisser ma chatte tandis qu’un orgasme me terrasse, attachée par son nœud, telle une chienne.
Adam reste en moi, une demi-heure. Son sperme coule le long de mes cuisses, lors de son retrait. Il me lèche la chatte, je contracte ma chatte pour libérer le surplus de spermes canins.
Il se retire et je le suce, comme si c’était un homme.
Adam, Prince Selim, Miss V et Prudence sont surprises de mon comportement de chienne.
- Mais cela est normal, il m’a défoncé comme un vrai étalon, dis-je.
Je monte me doucher et me rafraîchir. Adam m’escorte.
Il me regarde me doucher, me faire belle.
Je revêts juste ma petite robe dos nu, courte sur mes fesses nues et je garde mes mules, les cheveux libres.
- Adam t’a adopté, ma chérie. Il te protégera si jamais on t’attaque, annonce Prudence.
Je remercie le couple. Il loge dans la chambre à côté de la mienne, qui était réservée à Fleur. Nous déjeunons ensemble, Selim me fait empaler sur son mandrin, enculée comme une soumise. Prudence me caresse mes seins et mon clitoris pour me faire jouir, jusqu’à l’orgasme anal. je suce Selim au dessert.
Vers 13 heures, je reçois la visite de six superbes étalons musclés, comme je les aime, tous nus, avec juste un tablier et des mules à leurs pieds nus de douze centimètres, intégralement épilés.
L’un d’eux se présente à moi :
- Maîtresse Pénélope, nous sommes vos hommes-soubrettes pour la journée, ordre de Miss V. Nous sommes sous vos ordres.
Il me remet une lettre.
Ma chérie, Shawn, tu les utilise comme tu l’entends. Tu te peux jouir d’eux dans ma bouche, dans ta chatte et dans ton œillet de pute, voir les trois. Ta chatte doit recevoir leurs sexes. C’est ton anniversaire.
A ma chérie, Miss V.
Ils sont âgés entre 20 et 45 ans, bien montés sous leurs tabliers. Je suis un peu embarrassée. Il y a le jeune Alexandre, Baron, Charles Edouard, Félix un Africain, James et Lopette.
Je suis excitée de les voir en soubrette.
- Ma chérie, tu n’as pas fait ton choix, ni d’ordres, me susurre Miss V.
Je soulève ma jupe et dévoile ma chatte épilée et ma toison pubienne que tire Miss V pour exhiber mon gros clitoris tendu.
C’est Lopette, de 35 ans, qui s’avance vers moi. Il baisse les yeux et moi aussi, pour voir son superbe mandrin de quarante par six, ses testicules sont ornés de nombreux anneaux dorés et il porte un étireur de testicules qui les étire bien en les séparant comme deux clémentines bien fermes : chaque testicule devient bien gonflé et beaucoup plus sensible, pour des jeux pervers et sadiques, sur chaque testicule déjà bien gonflé et bien sensible.
- Quelle est la punition pour avoir porté cet étireur ?
- Pénélope… J’ai éjaculé sans permission dans la bouche de ma Maîtresse.
- Ici, tu me dois le respect et tu me prendras quand je t’autorise. Sinon Adam t’enculera, compris Lopette.
- Bien, Pénélope…
- Cesse de m’appeler Pénélope, je suis votre Maîtresse Emmanuelle désormais. Tous vous avez compris.
- Bien, Maîtresse Emmanuelle, disent-ils tout en chœur.
Quelle superbe queue, j’aurai pu lui griffer ses testicules.
Félix m’offre un mandrin de quarante par huit dans un harnais de chasteté avec une grosse boule anale. Il ne peut avoir une érection, avec une boule anale de six par quatre.
- J’aime ce harnais, tu as fauté toi aussi.
- Maîtresse, j’ai enculé ma femme, qui m’a fait dressée ensuite. Ma Maîtresse me fait enculer souvent. J’espère que vous m’enculerez aussi.
- Je le ferais, avec un grand plaisir, Félix. Tu vas me lécher le clitoris et mon anus, avec un maximum de jouissance pour moi, sans les mains, je suis une vicieuse.
Félix me fait tellement jouir, que je manque à m’évanouir.
Les hommes-soubrettes font le ménage. Adam continue à me lécher par intermittence mon clitoris et ma chatte, pour me faire jouir devant eux.
Vers 16 heures, je monte dans ma chambre, me changer. Je mets un corset seins nus en cuir, assorti à mes cuissardes et à ma cagoule, qui ne laisse voir que mes yeux, ma bouche, noires. Je suis coiffée d’une queue-de-cheval, me faisant passer pour une Maîtresse SM. Je suis dotée d’un gode-ceinture et d’un superbe gode anal externe de trente-huit par huit et un interne de même calibre, avec un prépuce qui se rétracte. Je me farde et me parfume.
- Ma chérie, dit Prudence, tu es sublime. Masturbe cette queue.
- Oui, je ressens le plaisir entre mes fesses, Prudence.
- C’est normal, dit Hermine, c’est pour que tu jouisse aussi, en leur interdisant d’éjaculer. Tu peux griffer leurs testicules gonflés, ma chérie.
J’encule chacun de mes hommes-soubrettes.
Au bout d’une heure, de retour dans ma chambre, nue, après une courte douche, Prudence pose à mes seins avec des pinces à seins, avec clochettes pour davantage les sensibiliser, et ainsi qu’à mes grandes lèvres de ma chatte humide.
- Mes mamelons sont emprisonnés, j’ai un peu mal, tout comme à mes grandes lèvres, dis-je.
- Tu vas t’y habituer, soumise Shawn, annonce Prudence.
Les pinces emprisonnent mes mamelons constamment tendus. Les clochettes tintent au moindre mouvement. La clochette en métal fixée par un anneau s'anime au moindre mouvement, émettant un tintement cristallin. A chaque mouvement de mes seins, fait tinter les clochettes. Mes grandes lèvres de ma chatte en portent aussi avec des clochettes, pour les étirer davantage, ainsi qu’une pince sur mon gros clitoris tendu avec une clochette. Des dents minuscules mordent mes mamelons. Je connais plus de plaisir que la douleur.
Je me fais défoncer la chatte en retour par Alban et Prince Selim, à la piscine.
Dans un 69 torride, suçant Selim, Alban me baise quelques instants, ma chatte humide.
Dès qu’Alban m’encule, je suis offerte à la langue de Selim sur ma chatte. Je fais des caresses appuyées sur ses testicules gonflés, son mandrin enfoncé profondément dans ma bouche.
La sodomie me fait jouir. Je dois tenter de continuer de sucer Selim.
Adam en profite pour me monter quand je suce Prince Selim, à quatre pattes. Je jouis, ma chatte remplie du sperme d’Adam.
Vers 20 heures, après un long souper, empalée, enculée, nue, sur Alban et Prince Selim pour les différentes phases du repas, je suis offerte en double pénétration, suçant un troisième homme-soubrette.
Prudence me fait porter des carcans de cuir à mon cou et à mes poignets et à mes chevilles. Ils sont faits en plusieurs épaisseurs de cuir, chaque épaisseur assez mince, au total pas plus d'un doigt, verrouillés par un système à déclic, qui fonctionne automatiquement comme un cadenas quand on le referme, et ne peut s'ouvrir qu'avec une petite clé. Dans la partie opposée à la fermeture des bracelets, pris dans le milieu des épaisseurs de cuir, et n'ayant presque pas de jeu, il y a un anneau de métal, qui donne une prise pour fixer, et qu'on positionne du côté intérieur du poignet. Pour le collier, l'anneau pend devant le cou, reposant sur la saillie des clavicules, et brinquebale au rythme des mouvements de celui qui le porte. Je libère les mandrins des hommes-soubrettes.
Alexandre se couche sur le dos et je m’empale ma chatte sur lui, tandis que Félix m’encule simultanément. Je prends beaucoup de plaisir.
Sans ménagement, je m’offre empalée sur Baron qui se trouve sur le dos et j’ouvre bien les jambes pour que Charles Edouard me baise simultanément. Le frottement de mon clitoris tendu à l’extrême contre le pubis que Charles Edouard qui me baise, me provoque une vague de plaisir comme à la première double pénétration.
Enfin, le summum, je m’empale la chatte, sur James qui me prend dans ses bras, je l’entoure de mes jambes et Lopette qui me soutient aussi, m’encule simultanément.
J’explose sous les orgasmes, tellement mon clitoris est sollicité.
L’action est renouvelée pour un total de six double pénétrations, qui me ravit. Je n’ai pris autant de plaisir. Je suis exténuée, ma chatte et mon anus sont encore bien ouverts, débordant de flots de spermes.
Prudence me retire mes pinces pour la nuit. Je garde mes carcans de cuir, qui ont durcis, me serrent davantage, sous l’eau de la douche.
- Tu es encore plus belle, avec tes carcans de cuir. Regarde ta rosette anale est plus large, qu’à tes débuts, lesbienne.
Je passe la nuit avec Félix, qui me baise et m’encule, dès qu’il en éprouve le désir. Je réponds à ses attentes, par mes orgasmes et recevant son sperme en moi. Il me prend à quatre pattes, allongée sur le dos et sur le côté.
Allongés sur le côté, jambes légèrement repliées, Félix est dans mon dos et m’encule, ses mains atteignent les seins, le ventre, la chatte et mon clitoris. Il m’encule lentement. J’ajuste mon bassin en face du mandrin, pour être profondément enculée. La position est câline et sensuelle.
Nous dormons enlacés, lui m’enculant. Adam dort au pied du lit.
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