Je m’appelle Pénélope de Hauts Vallons, mais mes amis m’ont surnommés Shawn.
J’ai 18 ans.
Je suis une jolie beauté scandinave.
Je suis une brune aux yeux verts. J’ai des pieds fins et latins, des jambes longues bronzées, musclées qui inquiètent par leur perfection. Mon pénil est bombé, ouvert, couronné de noir. Ma pilosité brune couvre mon pubis. J’ai une superbe croupe. Mon entrecuisse est épilée, portant des anneaux à mes grandes lèvres de ma chatte, je garde ma toison pubienne velue. Mes hanches s'incurvent et délimitent le ventre plat, délicieusement renflé autour du nombril, les hanches sont larges et rondes, mais sans lourdeur. La taille est affinée. Les seins parfaits intégralement bronzés sont un peu volumineux mais fermes, et leurs pointes marron clair, toujours dressées, cernées par une large aréole marron attirent le regard. J’ai une peau lisse et patine. Finition parfaite, un seul grain de beauté entre mes superbes seins. De longs cheveux plats blonds flottant comme des algues, battent mes épaules rondes et gracieusement athlétiques. Je suis intégralement bronzée. Mes yeux verts limpides s'allument, ma bouche charnue se fend. J’ai des sourcils bruns bien dessinés et des lèvres pulpeuses. J’ai de longs doigts fins et de belles mains. Je fais du 85B de poitrine, 56 de taille, 90 de hanches, 1,75 m.
INITIATION ANGLAISE 2e PARTIE
1er juin
Après le court séjour de Prudence et Selim et de mon homme-soubrette Félix, Miss V m’invite chez elle, après mon petit déjeuner.
Prudence m’a fait porter régulièrement en plus de mon corset seins nus et ma guêpière seins nus, lacés étroitement, une chaîne en forme de Y et ses trois pinces qui se fixent respectivement sur les mamelons et le clitoris.
Je porte aussi une tige métallique flexible entièrement recouverte de silicone très doux à la texture parfaitement annelée pour une délicieuse stimulation, dans ma chatte, qui écarte les lèvres afin d'offrir un accès direct au clitoris et à toute ma chatte et ce, sans les mains.
Ce double dispositif excite mon plaisir, ainsi que mon gros bijou d’anus.
Je mets ma robe dos nu, blanche transparente, largement fendue devant, jusqu’aux mollets et discrètement courte par derrière jusqu’à mi-cuisses. Je vernis mes ongles de mes mains et de mes pieds en rouge. Je me farde, me parfume longuement, après ma douche rapide à l’eau froide. Mes mamelons et mon clitoris sont constamment tendus désormais. Les glaçons servent juste à tenir la couleur. Je me chausse de mes sandales à talons de douze centimètres. Je porte toujours mes carcans de cuir depuis le séjour de Prudence.
Je prends ma Ferrari F40 rouge pour retrouver Miss V. Adam m’escorte.
Vers 11 heures, au haras de Miss V, je suis accueillie par Miss V et Nathan.
- Alors, ma belle, tu es très séduisante. J’ai un ami à te faire rencontrer. Il veut voir en vrai, la beauté, qui monte Zéphyr, Sultan et Alizé. Il possède des parts dans mon haras. Il vit dans la forêt que tu traverses à cheval, nue. Il t’a déjà croisée.
- Je dois me changer, Val.
- Non, ma chérie, je vais conduire ta Ferrari jusqu’au lieu de rendez-vous. Je vais juste libérer ta chatte humide et tu retires ta robe, tu gardes tes sandales. Ton corps est sensible : ta chatte, ton œillet, ta bouche, tes fesses et surtout ton gros clitoris qui sera prochainement percé.
Je m’assois à côté de Miss V, les yeux recouverts d’un masque de nuit avec un bâillon-boule incorporé, mes mains sont menottées dans mon dos, je garde mes cuisses écartées.
- Tu es toute excitée, ta chatte ruisselle, tes mamelons et ton clitoris sont tendus à l’extrême par le vent frais de la forêt.
Au bout d’une demi-heure de route dans la forêt, la Ferrari s’arrête devant une porte cochère menant à un pavillon de chasse. J’entends hennir des chevaux.
Val m’aide à descendre, me fait franchir la porte cochère et me laisse seule dans le couloir, aveugle et muette. Elle m’a mise une laisse à mon collier.
Soudain, une voix masculine m’annonce, en me tenant par la laisse :
- Enfin, voici, la sublime pute, chienne, prostituée et Marquise du sexe, vicieuse, qu’attends son Maître. Tu es toute excitée.
Mes talons claquent d’abord sur le carrelage du couloir puis sur le marbre d’une grande pièce.
Je suis caressée, sur les seins, on étire mes mamelons avec les pinces ainsi que mon clitoris. J’ondule mon bassin de plaisir. Ma chatte est doigtée pour vérifier mon ouverture, mon anus libre et lubrifié subit le même traitement jusqu’à quatre doigts et simultanément, pour mon goût pour les doubles pénétrations.
Je suis en sueur, excitée et humiliée par des inconnus.
On libère ma bouche, pour que je suce, accroupie, sept mandrins bien montés.
On me complimente sur ma bouche bien dressée.
Déchaussée, je suis allongée sur une table, sur le ventre, mes bracelets de mes poignets sont fixés à des crochets. Je ne peux me dérober. Je suis sauvagement enculée et baisée sans ménagement. Je tente de retarder mes orgasmes sous peine de punition.
Au bout d’une heure, une autre voix masculine annonce :
- L’éducation anglaise plait à cette reine du SM. Enculée, baisée, violée, fouettée, tous les vices la mènent au plaisir. Fouettez-la, elle le mérite. Puis trois lui donneront ensuite du plaisir.
Je me retrouve menottée au chevalet, comme chez Miss V.
Les coups de cravache, de garcette et de chicotte se succèdent, par série de trente, que je dois compter sans me tromper.
Un des hommes m’écarte bien mes fesses brûlantes, pour m’enculer avec une gaine à picots. Je suis au bord de l’orgasme anal, que je retiens, frustrée. Ma bouche est remplie par d’autres mandrins, que je suce et avale leurs spermes chauds.
Vers 13 heures, on me fait manger, toujours menottée au chevalet et boire, des stimulants sexuels. Mes seins sont cravachés pour la première fois.
Je ressens une décharge, quand on perce mon gros clitoris et je porte désormais un anneau doré serti d’une pierre précieuse, qui l’étire vers le bas.
Détachée, au bout de deux heures de correction, sur les fesses, les cuisses, les seins et les reins, offerte à quatre pattes, je reçois trois mandrins, un dans ma bouche, un qui m’encule et un qui me baise, tous éjaculent en moi.
L’anus bien lubrifié, je suis à nouveau enculée par un nouveau partenaire, aveugle et bâillonnée, menottée au chevalet. Il est imposant. La pénétration est rapide et le dogue reste dedans quelques secondes sans bouger, puis comme un automate, il se met à donner des coups de rein de plus en plus vite et plus puissant. À chaque sodomie canine du dogue, je grogne sous le bâillon-boule. Le nœud gonflé écartèle mon anus. J’hurle. Brusquement, le dogue s'arrête de bouger complètement enfoncé dans mon anus. Le sexe et le nœud gonflent dans mon anus. Au moment de sa jouissance son bassin donne des coups sur mes fesses à chaque jet de sperme qui remplit mon anus. Le dogue reste plus de vingt minutes dans mon anus et lorsqu'il dégonfle et peut ressortir, un « Flop » et une gerbe de sperme sortis en même temps. Mon anus est complètement élargi, devient un petit geyser horizontal. Le sperme canin éclabousse le ventre du chien et continue de sortir en gros bouillon coulant sur le sol entre mes chevilles, attachées de part et d'autre du socle.
Je connais trois violents orgasmes anaux avec le dogue.
On me fait sucer la bouche libre, le sexe du dogue, en aveugle.
Vers 17 heures, j’émerge, menottée sur le chevalet, ayant recouvré la vue, la bouche libre, ayant avalé encore du sperme, en sueur, exténuée. Six hommes m’entourent, nus, cagoulés. Ils ont entre 50 et 70 ans.
- La reine SM a pris son pied. Tu es endurante, Miss V, Alban et Hermine ont fait un excellent choix. Ton clitoris percé est une nouvelle étape avant d’autres fers. Je suis Maître H. Tu as bien corrigée la rebelle Fleur.
Libérée du chevalet, je subis une ultime sodomie par Maître H, doté d’un mandrin de quarante par huit, offerte, allongée sur le côté, jusqu’à l’éjaculation, mes mains menottées dans mon dos.
Tenue en laisse, les yeux baissés, Maître H me douche longuement, caressant mon corps de soumise. Je m’abandonne à ses caresses de l’éponge.
Vers 19 heures, Nathan vient me chercher et me ramène chez Miss V, pour la nuit.
Le couple me fait l’amour après un souper bien consistant. Je n’ai pas pu identifier Maître H. Prise en double pénétration, puis Adam m’encule.
Je ressens le même plaisir qu’avec le dogue qui m’a saillie chez Maître H, même si le sexe d’Adam est moins imposant.
Je suis apte à me faire saillir comme une chienne. Je m’endors, repue, nue, cuisses écartées, offerte au sexe d’Adam. Je caresse mon clitoris percé, siège de nouveaux orgasmes.
2 juin
Je suis tellement usée et fatiguée que je dors toute la journée en pensant à ce que j’ai pris la veille. Miss V me met de la crème apaisante sur mes seins, mes fesses, mes cuisses et mes reins zébrés.
Nathan me porte mon petit déjeuner, mon déjeuner et mon souper au lit. Je ne peux que remarcher le soir, après un bon bain relaxant, les épaules massées par Nathan et Miss V.
Mon salaire horaire chez Alban et Miss V passe à 80 aujourd’hui.
Alban vient examiner mon clitoris percé et m’encule longuement, après mon long repos.
- Je comprends que tu dois prendre du repos. Ton corps a besoin de se ressourcer. Ton œillet s’est élargi par le dogue hier. Tu as aimé, chienne.
- Oui, Alban, c’est jouissif. Un gros sexe dans mon anus de chienne, j’aime ça.
- C’est vrai, tu es une vraie chienne au sens propre et au sens figuré. Les termes pute et prostituée ne sont plus de ton niveau de soumise.
Alban éjacule longuement en moi et je le suce en 69, pour le récompenser, la chatte léchée par Adam.
Je reste chez Miss V, pour mon instruction.
D’autres hommes-soubrettes travaillent chez Alban.
3 juin
Vers 14 heures, Miss V me conduit à l’hippodrome, à deux heures de chez Miss V, où doit courir Zéphyr, Sultan et Alizé. Je les excite, en caressant mon corps nu sur leurs corps et je le suce, jusqu’à l’éjaculation en bouche. Leurs performances sont améliorées. Je ne porte que mon collier de cuir, avec ma robe fuchsia à jupe plissée, un boléro fermé au cou sur mes seins nus, chaussée de sandales blanches à talons de douze centimètres, sans maquillage, avec ma queue-de-cheval, telle une jeune fille sage, mais vicieuse cachée. Je ne porte pas mon bijou d’anus.
Dans la loge des propriétaires, je suis draguée par un bel athlète de 65 ans, prénomme Marquis Héraut de Castel, propriétaire d’étalons et de juments, à six heures de route de l’hippodrome.
- Je m’appelle Marquis Héraut de Castel, propriétaire de Tornade Grand Sexe et de Eros Roi Des Haras.
- Marquis, je vous présente ma nièce Pénélope, adepte anal, préservant sa virginité pour son futur Marquis. Pénélope est issue d’une famille de Marquis. Elle a juste 18 ans. Elle a toute la grâce et la beauté féminine.
Le Marquis me caresse les seins, la chatte, découvrant mon clitoris et mes grandes lèvres de ma chatte percée.
- Fesses nues, superbes fesses, musclées, elle mouille déjà.
- Elle ne porte pas de slip, ni culotte, ni soutien-gorge. C’est la règle chez moi. N’est-ce Pénélope, ma chérie ?
- Oui, j’aime avoir les seins et les fesses nues. Je me sens libre, pour me faire caresser, fouiller par l’homme qui me désire.
Nous quittons le balcon avant le départ de la course de Zéphyr, pour un coin reculé.
Le Marquis me relève ma jupe et m’encule d’une seule traite, penchée en avant, les mains posées sur les épaules de Miss V, qui m’embrasse pour étouffer mes râles de plaisir.
- Elle est bien élargie, pour son âge. Elle est fréquemment fouillée des reins. Son bassin ondule.
Le Marquis me tient par les hanches et me fait coulisser sur son mandrin de quarante par huit, similaire à celui de Maître H.
- Elle aime ma queue. Elle s’empale dessus, mais c’est une véritable adepte de l’anal.
Il se retire, après mon orgasme anal, éjaculant sur mes fesses zébrées, par les coups du 1er juillet.
- Elle aime être corrigée, aussi, pour ses fautes.
Je me rhabille et nous retournons au balcon. La course est en cours. Il me tend une carte de visite à mon identité, au Eros 6996, avec le code secret.
- Je vous invite ce soir au Eros 6996, avec votre chevalier servant, homme ou femme, selon vos choix, Miss Pénélope.
Sans prêter attention, il prend mon téléphone portable dans mon sac à main, tandis que je glisse la carte de visite.
Zéphyr gagne la course. Je suis trop heureuse pour la nouvelle victoire de Zéphyr.
Le Marquis disparaît, en ayant noté l’immatriculation de ma Ferrari F40.
Vers 16 heures, lorsque nous retournons aux écuries, voir Zéphyr, je fouille mon sac à main.
Mon téléphone portable a disparu.
Miss V compose le numéro et j’entends une voix masculine
- Miss Pénélope, vos photos et vos vidéos sont superbes. Vicieuse, anal, double, saillie, le summum d’une cliente du Eros 6996. Je vous rendrais votre téléphone portable à la fin de votre soirée, ma belle chienne.
Il raccroche.
Quel est le voleur de mon téléphone portable ? Cette sodomie à l’hippodrome m’a excitée sexuellement, prise dans un lieu public, exhibée.
Je récompense Zéphyr, en caressant mon corps nu contre le sien, en lui faisant sa toilette, je le rince avec un tuyau et je le suce jusqu’à l’éjaculation dans ma bouche. Je suis rassasiée. Miss V me ramène. Je ne suis pas en l’état de conduire.
Vers 18 heures, après une courte sieste où je me suis masturbée la chatte, le clitoris et doigté mon anus entrouvert, repensant à la sodomie de l’hippodrome, nue, je me douche longuement, caressée par Nathan. Il m’encule avant de me rincer et il éjacule dans ma bouche, une fois rincée.
- Tu es de plus en plus vicieuse, ma chérie. Un homme âgé qui t’a enculé, mais tu lui plait certainement. Tes fesses zébrées sont magnifiques.
- Tu me fais mouiller, encule-moi profondément. Je suis ta pute anale.
- Avec les hommages à la future Marquise, tu vas jouir.
Un violent orgasme anal me terrasse, mes hanches sont encore douloureuses de la sodomie de l’hippodrome.
Je ne sais comment m’habiller pour la soirée.
Miss V me présente Horace, le frère jumeau de Félix. Il est nu, musclé et doté d’un mandrin similaire de quarante par huit, non protégé dans un harnais de sécurité.
Je le suce sur le champ, encore nue, accroupie.
- Quelle bouche, Shawn, tu me plais. Je suis ton chevalier servant. Doucement, tu vas me faire jouir. Laisse-moi t’enculer un peu.
J’accepte sa requête.
Il s’allonge sur le lit, sur le dos. Je m’empale sur lui. Il enfonce son gland dans mon anus, sous mon propre poids, je suis enculée jusqu’aux testicules, mes cuisses largement ouvertes sur celles d’Horace, dos à lui. Il pelote mes seins, étire mes mamelons tendus, caresse mes cuisses, ma chatte et mon clitoris tendu. Mon anus est massé de bas en haut, je contracte mon anus sur son mandrin, lors de mon orgasme anal.
- Tu m’as fait jouir, ma belle Shawn. Tu aimes ça.
- Oui, ta queue qui me remplit mon œillet de pute.
Adam en profite pour lécher mon clitoris et ma chatte offertes à sa langue, décuplant mon plaisir.
Pantelante, je me retire et je mets mon bijou d’anus pour garder le précieux sperme d’Horace.
Vers 19 heures, j’entends des râles dans la chambre de Miss V.
Je regarde, la chatte trempée et le clitoris encore tendu par Adam. C’est Nathan, qui se fait enculer, à quatre pattes, nu, par Miss V.
Je regarde le mandrin de Nathan se balancer, cela m’excite et je n’ose me masturber devant ce spectacle. Miss V le fait coulisser sur son mandrin.
- Pine-moi, Val. Je suis ta pute.
- Tu aimes ça, ma pute. Tu aimes ma grosse queue dans ton puits. Tu es comme la chienne Shawn. Retiens-toi d’éjaculer, ma pute.
Miss V cravache les fesses de Nathan.
Je rejoins le couple, cédant à la tentation.
- Tiens, Shawn, viens sucer la pute.
Je prends en bouche le mandrin de Nathan, qui jouit. Je regarde les testicules de Miss V se balancer et Miss V éjacule. Un peu de sperme coule sur les testicules de Nathan puis Nathan éjacule dans ma bouche.
Puis Nathan encule Miss V et je répète l’opération. Cette double sodomie entre deux partenaires, m’excite. Ma bouche est remplie de spermes chauds que j’avale.
Bien sûr, Miss V m’encule aussi, offerte à quatre pattes, ma chatte et mon clitoris léchés avidement par Adam, décuplant mon orgasme anal et l’éjaculation dans mon anus lubrifié par Horace.
- Adam te donne du plaisir. Tu aimes que je pines l’œillet de ma vicieuse.
- Val, remplis-moi profondément. J’ai le feu dans mon puits. Horace m’a bien défoncée.
- Tiens, prends bien à fond.
- Je vais jouir, Val.
- Moi aussi, Shawn, nous allons jouir toutes les deux, ma chérie.
Nous sommes repues et fières, sous la douche masturbatoire.
Il est 20 heures. Le rendez-vous a lieu à 22 heures.
Je me farde, me parfume, choisis ma robe grise à corselet seins nus, avec mon boléro et sa jupe éventail, mes mules noires, à talons de douze centimètres. Horace m’a vernis mes ongles de mes mains et de mes pieds en rouge. Je me coiffe d’un chignon, pour faire plus féminine. Val m’a retiré mon collier de cuir.
Horace conduit la Ferrari F40 rouge vers le lieu du rendez-vous à mi-chemin entre le haras de Miss V et le haras du Marquis Héraut de Castel.
Assise, la jupe relevée, je me laisse caresser mes cuisses nues par Horace.
Je suis excitée par l’accueil qui me sera réservée.
Le lieu de rendez-vous est caché près d’un fleuve, dans un discret pavillon.
Nous montons quelques marches au rez-de-chaussée pour descendre un escalier en marbre vers le sous-sol.
Là, une porte possède un lecteur de carte. Je pose la mienne et la porte s’ouvre par automatisme.
Là, deux superbes étalons nus, musclés, très bien montés, me prennent en main. Horace part de son côté.
J’entre dans un vestiaire aux miroirs sur les murs et au plafond, cachant des caméras et des appareils photographiques à déclenchement automatique.
Les deux hommes me déshabillent.
Nue, je suis douchée par leurs soins, masturbée, suçant leurs mandrins en échange.
Je m’attends à ce qu’ils me fassent jouir, en me prenant.
Hélas, je me retrouve, fardée, parfumée, assise sur un tabouret muni de deux superbes godes. Un anal canin moulé sur le sexe d’un dogue et un vaginal équin moulé sur le gland d’un superbe pur sang.
Je dois garder mes cuisses écartées, une ceinture de cuir avec des chaînes, me maintient en place empalée, je ne peux me dérober, subissant les va-et-vient simultanés.
Je suis au bord de l’orgasme, lors du souper. J’ai mes cheveux libres.
Je suis en compagnie d’une autre femme, blonde aux seins plantureux, nue, elle aussi et de deux étalons.
Les deux étalons du vestiaire, me rejoignent en m’apportant les plats.
Ils me posent la chaîne en Y pour me solliciter davantage les mamelons et le clitoris.
Je peux juste les masturber en retour.
Je ne sais où est Horace.
Puis libérée des deux godes, je suis offerte en double pénétration, debout, les yeux bandés, par trois fois. Je connais plusieurs orgasmes, mon clitoris est très sollicité.
Menottée sur un chevalet, les yeux bandés, en compagnie d’autres clientes, je subis jusqu’à cinquante coups de cravache, autant de garcette et de chicottes sur mes fesses, mes cuisses et des coups de martinet sur mes seins.
Je suis la grande gagnante, les autres sont exclus du club.
Enfin, je suis prise deux fois en double pénétration debout, pour une nouvelle série d’orgasmes.
Je deviens Miss Eros. Maître H me fait sucer par mes douze amants d’un soir, les yeux baissés. Je suis accroupie, nue, cuisses écartées, les yeux baissés.
Maître H m’invite dans son bureau par son ascenseur privé, au second étage.
- Shawn, tu as gagné 50.000 pour mon titre, versé sur ton compte bancaire privé.
- Pourquoi, je suis aussi votre soumise, Maître H.
- Non, c’est une avance sur ton salaire d’Alban. J’ai envie de te défoncer ta superbe chatte.
Maître H me baise longuement et éjacule en moi.
- Ta chatte est trempée, cela t’excite.
- Votre queue dans ma chatte est un plaisir.
Tout en me baisant, il cravache une ultime fois mes seins, qu’il juge très sensibles.
Je le suce. Je me masturbe sous la douche devant lui où je jouis.
Je me farde, me parfume. Il me remet le gode Zéphyr, avec le gland équin et le sexe d’un dogue soit un diamètre entre six et dix jusqu’au gland équin.
Je me rhabille, ma tenue est apportée par les deux étalons du vestiaire. Je retrouve mon téléphone portable et ma carte officielle de Miss Eros pour le mois.
4 juin
Vers 3 heures du matin, nous quittons Eros 6996 pour rejoindre Miss V.
Horace m’encule une partie de la nuit et Adam me baise aussi.
Vers 9 heures, Nathan m’apporte mon petit déjeuner au lit.
Par les journaux du matin, j’apprends la mort mystérieuse de Comtesse, alias Fleur, le long du fleuve, dans un endroit isolé. Je ne l’ai plus revu depuis le 20 mai.
Son corps est méconnaissable. On prétend que Fleur serait en fait Jean Edouard Héraut de Castel Vallons, âgé de 35 ans, rajeuni par des opérations esthétiques. Jean Edouard serait selon Miss V, un demi-frère dont on m’a caché l’existence.
Nathan est un de mes frères. Miss V fait partie de la famille Hauts de Vallons, avant sa transformation.
Le major Natacha de la brigade de gendarmerie dont dépend le village, vient m’auditionner avec Nathan et Miss V sur les dernières heures de la rencontre avec Fleur chez Miss V. Natacha est une superbe brune aux petits seins, coupe à la garçonne.
Le colonel Charles Alexandre Hauts de Castel commandant régional de la gendarmerie est présent sur place à la brigade, à bord de sa BMW cabriolet, en déplacement dans la région et vient participer aux auditions. Il a un faible pour moi. Le colonel est âgé de 55 ans, futur général de brigade. Le major Natacha est une de ses nièces. Le colonel Charles Alexandre coordonne la section de recherche du lieutenant Yannick, âgé de 35 ans, est le neveu de Miss V.
Je suis vêtue d‘un tailleur et d’une jupe droite, sur un porte-jarretelles et des bas, en escarpins à talons de dix centimètres, tout en noir, coiffée d’un chignon sous mon chapeau à voilette noir. Je suis en deuil.
Vers 15 heures, je suis invitée par un mystérieux appel sur mon téléphone portable à un rendez-vous à la tour du fleuve, à l’entrée de la forêt. Par sécurité, deux gardes du corps à bord d’une Jaguar me dépose au rendez-vous.
Là, une superbe blonde aux seins plantureux, aux cheveux courts, m’attend, en robe transparente, assez courte, dévoilant ses grandes lèvres de sa chatte totalement portant des fers descendant jusqu’au tiers de ses cuisses nues, ses seins nus sont fardés.
- Miss Pénélope, je suis la secrétaire Jasmine, du docteur Sexe Roy O Mac. Le docteur vous attends dans son cabinet. Je vous y conduis. Déshabille-toi et ne garde que ton porte-jarretelles, tes bas et tes escarpins.
Une fois en tenue, au bout d’un couloir, elle me met un collier en cuir autour du cou, bracelets en cuir également, aux poignets et aux chevilles. Chacun de ces accessoires muni d'un mousqueton. Mes poignets sont reliés entre eux dans mon dos, une barre rigide de métal est accrochée entre mes chevilles, les maintenant écartées en permanence. Elle accroche une laisse au mousqueton de mon collier et tire dessus pour m'inviter à la suivre. Je dois m'exécuter, tenue en laisse comme une chienne, de plus la barre d'écartement entre mes cheville m'obligeait à marcher grotesquement à petits pas, les jambes très écartées.
Nous quittons le rez-de-chaussée pour un labyrinthe de montée d’escaliers, traversant des couloirs, puis nous prenons un ascenseur jusqu’au sous-sol.
Elle me fait installer sur un fauteuil gynécologique, menottée, cuisses grandes ouvertes, les bras tendus en arrière, sans ma barre d’écartement. Je suis aveuglée par un projecteur. A mes côtés, se trouve un écran de télévision, qui projette des vidéos en direct de mon visage, mes seins aux mamelons tendus, ma chatte, mon clitoris tendu et mon anus. Mon ventre est projeté en avant, les lèvres de ma chatte sont bien entrouvertes et humides. Je suis écartelée.
Des clients sont présents. Ils se masturbent.
- Quelle beauté, une superbe soumise, au clitoris et aux grandes lèvres percés, son Maître ne l’a pas encore ferrée et marquée. Ce cérémonial sera fait d’ici quelques temps. Elle a habituée son corps. Ses mamelons sont sensibles. Juliette Anal Doberman, pelote-lui les seins tout en l’embrassant, pour la détendre, pour l’examen de sa superbe chatte déflorée le 19 mai par un sexe de trente-huit par huit, tout comme son superbe œillet. Cette beauté virginale est une ancienne lesbienne de notre amie Fleur. Devenue bisexuelle, soumise et Maîtresse, pute anale et surtout une chienne très docile, elle est aussi une superbe vicieuse.
Le docteur m’enfonce, tout en parlant, je reste silencieuse, un spéculum pour ouvrir ma chatte aux clients.
- La perfection, tout en beauté, elle est devenue femme. Elle est bien ouverte, humide, son clitoris percé le prouve. Elle prend du plaisir à avoir la chatte ouverte.
Il m’enfonce un gode dans ma chatte et fait passer une roulette de langues en silicone, très douces, à rotation moyenne, dans des mouvements en avant, combinés avant et arrière et arrière. Un orgasme me terrasse sous ce traitement et j’humidifie le gode.
Il me retire le spéculum, tout en laisser la roulette sur mon clitoris.
Il m’enfonce un écarteur anal pour m’ouvrir davantage l’anus. Je jouis.
- Quel spectacle, elle a subi des sodomies par de gros sexes humains et canins, car il est souple. Vous avez une superbe soumise à votre disposition.
Libérée de l’écarteur anal, je subis vingt sodomies successives et autant dans ma chatte, luttant contre mes orgasmes. Mes hanches sont très douloureuses, car mes partenaires sont très bien montés et me prennent profondément.
Pantelante, on marque une pause, je bois beaucoup des mélanges de fruits et de légumes avec quelques gouttes de ma mouille et de ma pisse, sous l’effet du stress.
Je suis à nouveau reprise, par d’autres clients. Chaque scène est filmée en circuit fermé, sous le contrôle du docteur, dans une cabine qui surplombe le fauteuil gynécologique.
Au bout de deux heures, je dois sucer et avaler le sperme de l’ensemble des clients.
Le docteur vient personnellement me baiser et m’enculer, cuisses écartées, levées en l’air, mes chevilles libérées. Juliette Anal Doberman manie la roulette de langues pendant que le docteur me pénètre. J’explose dans un nouvel orgasme.
Le docteur éjacule dans ma bouche, avec son mandrin de trente-six par neuf. J’avale tout.
Soudain, un homme ressemblant à Brice, entre nu, intégralement épilé, menotté, bâillonné, en mules à talons de douze centimètres.
- Raser le crâne de cette chienne, Gwendoline Anal Vice. Elle sera punie comme il se doit.
Je dois observer la scène, sans détourner la tête.
On lui met une perruque et Gwendoline m’encule avec une gaine à picots. Je prends du plaisir.
Gwendoline disparaît.
Je n’ai pas la notion du temps, aveuglée.
La lumière s’éteint et je quitte la pièce par l’ascenseur, avec ma barre d’écartement, menottée dans le dos, tenue en laisse par Juliette Anal Doberman, nue, en mules à talons de quinze centimètres, une superbe brune aux cheveux longs, aux petits seins, ses reins sont tatoués, elle est totalement lisse, portant des fers à ses grandes lèvres de sa chatte et son gros clitoris est percé. Juliette a ses reins tatoués A votre dévouée chienne Svetlana.
- Tu es une sacrée vicieuse, Miss Pénélope ou Shawn ou Emmanuelle, selon tes partenaires. Le docteur t’a repéré chez un ami le 19 mai. Tu as aimé être offerte à plusieurs hommes. Tu mouilles encore.
Au sixième étage, elle me conduit dans une chambre, avec un lit blanc étroit, comportant uniquement un drap de dessous et un traversin. Elle détache mes poignets, juste le temps de m'allonger sur le dos et de les fixer aux barreaux de la tête du lit. De même elle retire la barre d'espacement et attache mes chevilles au pied du lit.
Je me retrouve ainsi nue, attachée en croix sur le lit, bras et jambes écartés. Il y a une cuvette des toilettes sans couvercle, un bidet avec une canule anale, un lavabo, plusieurs miroirs comme dans ma chambre sur les murs et au plafond. Juliette prépare des poires, un martinet, une cravache, une garcette et une chicotte. Des barreaux sont posés à la fenêtre, pour éviter toute évasion.
- Ecarte un peu tes fesses, détends-toi, ma chérie.
Elle m’enfonce une sonde rectale de douze par six dans mon anus bien lubrifié par le sperme étalé par le bijou d’anus. Sa base se termine par un anneau qui affleure juste de mon anus. Ma ceinture possède certains anneaux qui en ornent le tour sont montés au bout d'une chaînette sur un enrouleur assez dur : celui au centre à l'arrière est tiré, ainsi que deux par devant, à l'aplomb des cuisses. Ces deux-là suivent mes aines, l'autre ma raie fessière, les trois anneaux sont mis en parallèle avec celui qui ressort de mon anus, un petit cadenas relie les quatre, et le tour est joué : même avec mes mains libres, je ne peux pas retirer la sonde qui me dilate l'anus. Elle gonfle la sonde jusqu’à huit pour m’écarteler l’anus et m’enfonce un gode de quarante par huit dans ma chatte humide, resserrée.
- Ma chienne repose-toi, le docteur va passer te voir. Si tu as envie de te soulager, tu devras attendre.
Mon bassin ondule sur ses deux objets en moi et je jouis sans retenue, inondant mes draps de ma mouille.
Le docteur entre, ensuite, il est 20 heures.
- Alors, ma belle chienne, tu aimes te faire prendre par plusieurs mâles en rut. Cette nuit, on recommence jusqu’à l’épuisement. Je sais que tu as envie de te soulager, mais tu te montres docile, on t’autorise.
- Docteur…
- Désolé, ma chienne, tu restes silencieuse et tu baisses les yeux. Tu vas me sucer, comme tu as ouvert ta bouche bien dressée par Alban.
Je dois avaler son sperme sans perdre une goutte, tout en subissant une masturbation excitante de mon clitoris et le pincement de mes mamelons tendus.
- Tu vas hériter de 15 millions de la part de Fleur, à certaines conditions, ferrée et marquée, mariée et avoir un enfant, plus l’étalon Tornade Grand Sexe côté à 50 millions. Une superbe fortune pour la veuve de son demi-frère. Il a aimé que je l’encule dans son adolescente, tout en regardant toute nue chez tes parents, dans ta chambre. Tu étais déjà une future vicieuse. Avale bien, ma belle chienne. Marie Caroline s’occupe de toi, cette nuit, c’est une ancienne soumise comme Juliette. Deux chiennes comme toi, très dociles, ferrées et marquées.
Je suis choquée par les révélations, frustrée de ne pas le frapper. Il veut me faire jouir à tout prix.
Il ferme la porte à clé électronique.
5 juin
Vers deux heures du matin, Marie Caroline allume la lumière et m’annonce :
- Ma belle chienne, tu vas pouvoir te soulager. Tu as une énorme envie.
Elle me retire la ceinture et le gode de ma chatte, trempée. Je dois pisser debout à la cuvette, les mains menottées dans le dos. Je fais de mon mieux.
Elle me fait une toilette intime et m’insère la canule dans l’anus pour que je sois propre.
- Allez, ma belle chienne, je m’appelle Marie Caroline, la relève. Tu es très belle et excitée. Au travail, ma pute anale, des clients t’attendent.
Marie Caroline est une superbe blonde aux cheveux courts, aux seins plantureux, nue, intégralement épilée, avec des fers aux grandes lèvres de sa chatte, son gros clitoris est percé, ses reins sont tatoués aussi A votre dévouée chienne Svetlana, avec des mules de quinze centimètres.
Je sors de la chambre, tenue en laisse et au sous-sol, je suis menottée, penchée en avant, offrant mes fesses, à un carcan. Je suis à nouveau enculée, fouettée sur les fesses et les seins, des poids de deux kilos sont fixés à mes pinces à seins, pour les sensibiliser davantage, ma chatte est aussi honorée par des mandrins avec gaine à picots. Je ne compte mes orgasmes, qui sont sanctionnés par la cravache, la garcette et la chicotte, selon le degré de jouissance.
Je ne retrouve ma chambre qu’au lever du soleil, pour un petit déjeuner, que je prends prosternée, avec ma barre d’écartement, à base de boissons liquides qui me font aller aux toilettes, avec ma sonde rectale.
De temps à autre, je suis aussi enculée dans la journée, dans ma chambre, par des bergers allemands, des dobermans et des malinois, pour que je connaisse plus d’orgasmes qui m’épuisent.
Chaque scène est filmée en circuit fermé, pour exciter les clients au coucher du soleil.
Le rituel reprend ensuite, après un repas liquide. Je porte aussi un corset pour affiner ma taille. Mes hanches sont douloureuses par les nombreux ébats sexuels que je subis.
8 juin
Vers 14 heures, le silence règne. D’habitude, je suis conduite pour mes ébats sexuels. Juliette et Marie Caroline font irruption dans ma chambre.
- Vite, Shawn, il faut t’habiller tout de suite.
Je me rhabille, sans mes accessoires, mon collier et mes bracelets de cuir.
- Que se passe-t-il donc ?
- Nous devons quitter les lieux.
J'ai juste le temps de m'habiller en vitesse : tailleur, jupe, porte-jarretelles et bas, et escarpins, chapeau. Nous passons par les escalier vers un parking.
Là, je monte à bord d’un camping-car.
- Shawn, ton cauchemar est maintenant terminé. C'est fini, tu es libre.
- Je suis libre. Déposez-moi où vous voulez.
En roulant, nous rejoignons l’entrée de la forêt, puis nous longeons l’hippodrome, jusqu'au haras de Miss V.
Nous sommes stoppés par un barrage de la gendarmerie, qui me recherche.
Je me cache.
Elles me libèrent entre le haras de Miss V et le château d’Alban.
Je me retrouve pas toute seule. Une limousine noire m’attends. Le chauffeur m’ouvre la porte et je monte à bord, en m’interrogeant sur un nouvel enlèvement
Maître Jean Alexandre, un notaire, me serre dans ses bras
- Miss Pénélope ou Shawn, j’ai des explications à vous fournir. Votre enlèvement et votre libération sont le fait d’un docteur qui est activement recherché. La clinique est un lieu SM discret, où des beautés comme vous ont disparu. La mort de Jean Edouard a du vous attrister, surtout les sommes mises en jeu. Votre mort aurait fait que l’héritage revenait une certaine Hermine. Hermine est en garde à vue, pour sa présence non loin de la clinique. Une somme de 50.000 aurait du être échangée, mais il y a un souci. Marquis Hérault de Castel a annulé la transaction. Votre téléphone portable a été retrouvé dans la Jaguar vide de ses occupants.
Je m’évanouis subitement, par les nombreux orgasmes subis et le régime que j’ai subi.
- Amène-la chez Miss V. Appelle un médecin, elle a un pouls faible.
- Bien, Maître, c’est en route.
Chez Miss V, une voiture de la gendarmerie est présente. C’est Natacha, qui venue en visite du haras.
On me sort de la limousine. Je suis prise aux épaules et aux jarrets, m’emporte. C’est Horace.
Il me déshabille dans ma chambre, me couche sous ma fourrure noire.
Le médecin personnel de Miss V me prends la tension, la température et me donne des remontants.
Il est surpris par mes anneaux dorés à ma chatte et à mon clitoris et surtout que mes reins sont tatoués A votre dévouée chienne Svetlana. Il découvre les nombreuses balafres comme des cordes en travers des fesses, des seins, des cuisses et des reins, parfois s'entrecroisent.
- Elle a été fouettée et son œillet a été forcé. Je dois prévenir les autorités, Miss V. Elle a été violée et soumise. Un examen gynécologique sera exécuté, quand elle sera en meilleure forme physique. Ce docteur est un pervers. Laissez-la se reposer, veille sur elle. Elle possède une résistance physique.
Miss V, Horace, Nathan et même Natacha et Charles Alexandre se relaient.
11 juin
Vers 8 heures, j’émerge.
- On s’est inquiétée, Shawn. Tu disparais du jour au lendemain le 4 et tu sors de nulle part le 8. Tu ouvres les yeux aujourd’hui. Ne bouge pas. Je vais t’aider à te soulager, m’annonce Miss V.
Je découvre mes balafres sur mon corps. Le docteur Sexe Roy O Mac m’a sévèrement fouettée.
Inconsciemment, je pisse debout.
- Je vais passer de la pommade sur tes balafres. C’est un vrai sadique ce mec.
- Gwendoline, pas ça, Juliette, Marie Caroline, pas elles, c’est un cauchemar.
- Shawn, tu délires. Qui sont ces personnes ?
- Préviens Natacha, il faut les retrouver, sinon c’est le docteur Sexe qui va les tuer.
Je perds connaissance, sous la douche rafraîchissante.
Miss V me sèche et me couche sous la fourrure. Elle me donne un calmant et un somnifère, pour que je me repose.
- Shawn délire, trouvez qui sont Gwendoline, Juliette et Marie Caroline, dit Miss V à Natacha et Charles Alexandre qui sont présents.
Le corps de Gwendoline alias Brice est retrouvé dans les sous-sols inondés de l’hippodrome, dans un corbillard vide. Brice a les reins tatoués A votre dévouée chienne Svetlana, ayant été violé à de nombreuses reprises, avant de décéder de raisons mystérieuses médicales comme Jean Edouard.
Quand à Juliette et Marie Caroline, le camping-car est découvert dans le fleuve, non loin du Eros 6996, victimes d’une overdose, avant que le camping soit immergé.
Ces morts me mettent dans un état second. Je me refuse de manger, toute relation sexuelle sauf avec Adam qui m’encule et me baise. Je suis fiévreuse, somnolente. Miss V s’occupe de moi, me nourrit, me fait boire, pour me redonner goût à la vie.
13 juin
Je me décide enfin à reprendre goût à la vie. Hermine est passée aux aveux et c’est elle qui m’a fait donner au Docteur Sexe pour m’éloigner de Miss V.
La gendarmerie recherche les vidéos de mes viols chez le Docteur Sexe. La clinique est vide.
Je rédige mon arrivée chez Alban jusqu’à aujourd’hui. Mais j’ai un trou de mémoire entre le 4 et le 8. Les saillies d’Adam me permettent de me souvenir de certains passages de mes viols.
Je fais trois portraits robots du Docteur Sexe, car je l’ai trois fois auparavant : une fois à l’hippodrome, lors de ma sodomie par Marquis Héraut, une fois au haras, en faux gendarme et une troisième chez Alban, lors de ma première orgie anale.
Les portraits robots sont remis aux gendarmes et aux policiers pour le retrouver.
L’examen gynécologique ne permet de trouver de traces d’ADN, car tous portaient des gaines.
Vers 18 heures, alors que je sors de la douche, nue, Nathan vient me défoncer la chatte avec mon accord. Nous jouissons et il éjacule en moi.
J’aime ma relation incestueuse avec Nathan. Je deviens à nouveau, une vraie chienne, baisée et enculée par les amis de Miss V, même Horace me prend.
Je fais même la connaissance du couple Cyrielle, la brune et Orchidée, la blonde, qui a le même physique, mais doté d’un imposant mandrin. Ce sont deux transsexuelles, amis de Miss V. Elles me prennent en double pénétration.
Elles m’avouent avoir été violés par un mystérieux inconnu, qui correspond au portrait robot aux haras. Cet inconnu déteste les transsexuels.
Les inhumations de Jean Edouard et de Brice doivent avoir lieu le 15 juin. J’en serais davantage sur leurs morts.
Les fers de Juliette et de Marie Caroline portent J C E F pour Jean Comtesse Edouard Fleur.
- Val, je souhaite être marquée et ferrée, pour toucher l’héritage de Jean Edouard. Sinon, d’autres l’auront. Ce sera pour le haras. Je me ferais totalement épilée.
- Mais, Shawn, tu es complètement folle. Tu as été violée, fouettée et tu as échappée à la mort, un autre Maître pourrait te tuer.
- Non, Maître H le fera.
Tu es sérieuse. Je dois épouser Maître H. Je veux connaître la vérité pour Alban tenait à que je ne sois plus vierge.
Je passe des heures à étudier mon plan de vengeance.
15 juin
Vers 8 heures, au cimetière familial, derrière le château d’Alban, les deux corps de Jean Edouard et de Brice sont inhumés.
La gendarmerie souhaite interroger les invités.
Je reste à l’écart, dans mon tailleur et jupe droite noire, sur mes bas noirs, cachant mon porte-jarretelles, mais sans soutien-gorge ni string, avec ma voilette et mes lunettes noires, méconnaissable, coiffée d’un chignon.
Je reçois la visite d’un inconnu, qui me remet un coffret et m’annonce :
- Je suis un des clients de la clinique. Ces vidéos de vous sont votre propriété. Docteur Sexe a fait la même à d’autres patientes du village et de la région. Les gendarmes sont au courant.
- Qui êtes-vous ?
Il disparaît.
Je suis un peu gênée.
Après l’enterrement, Natacha et les hommes du lieutenant Yannick auditionnent tous les invités, même Alban. J’ai remis ma valise chez Alban.
De retour chez Miss V, je regarde nue, devant ma télévision dans ma chambre, la compilation de mes viols filmés. Je ne cesse de me masturber et de jouir devant ce spectacle, sans connaître l’idée de mes violeurs.
- Arrête Shawn, tu te fait du mal.
- Non, laisse, je veux revivre mes plaisirs de soumise. Caresse ma chatte tout en feu, prend ma bouche, mes seins.
Miss V s’exécute et je connais de nombreux orgasmes.
Miss V me baise aussi, tandis que les scènes continuent. Je suis excitée.
17 juin
Vers 15 heures, lors d’une promenade à cheval, seule dans la forêt, non loin du haras, sur Zéphyr, je suis enlevée, malgré la présence d’Adam.
Adam donne l’alerte, mais c’est trop tard.
Je me réveille dans la soute d’une péniche, allongée sur le ventre, avec un masque de nuit et un bâillon O, bras et jambes écartés, sur un lit, mes fesses sont brûlantes par la cravache et la garcette, mais aussi par les marques au fer rouge S sur ma fesse gauche et V sur ma fesse droite.
Docteur Sexe Roy O Mac m’a marquée, comme sa propriété.
Je dois subir plusieurs sodomies et baises avec des gaines à picots jusqu’à l’épuisement, tantôt sur le dos tantôt sur le ventre. Les clients viennent en masse. Je ne peux les distinguer. Je me soulage debout pissant dans un seau. Je porte la chaîne en Y pour sensibiliser mes mamelons et mon gros clitoris.
23 juin
Vers 8 heures, l’assaut est donné par les gendarmes et la brigade des mœurs, avec Adam, qui retrouve mon odeur. J’ai encore maigri, je porte mon corset seins nus étroitement lacé et mes carcans de cuir. Je suis exténuée par mes viols, filmés et photographiés. Des clients sont interpellés et le Docteur Sexe a disparu encore une fois.
Je suis habillée d’une petite robe estivale, couvrant à peine mes cuisses nues et des sandales à hauts talons, les cheveux libres. Je découvre mes fesses marquées au fer rouge. J’éprouve de la fierté, malgré le traitement administré par Docteur Sexe.
De retour chez Miss V, je prends ma Ferrari F40 rouge avec Adam avec moi, et je me réfugie chez le Marquis Héraut de Castel. Dès mon arrivée, je le supplie :
- Marquis, je souhaite être ferrée, maintenant que je suis marquée au fer rouge sur mes fesses, comme l’exige le texte de l’héritage.
- J’accepte ta demande, ma future épouse Shawn.
Il habite un luxueux domaine avec une villa dotée d’une piscine et d’un pavillon de chasse.
Nue, cuisses écartées, il fixe des chaînettes à chacune de mes grandes lèvres lisses et humides portant les anneaux dorés auxquelles sont suspendues, un anneau qui doit être dans le même plan que l'oreille et la prolonger, un disque de même métal aussi large que l'anneau est long. Sur une des faces, Shawn, Marquis Héraut et au-dessous, un fouet et une cravache entrecroisés. Ils descendent jusqu’à mi-cuisse et chacun de mes pas bougent entre mes jambes comme un battant de cloche, le disque gravé étant plus lourd et plus long que l'anneau auquel il pend. Les marques imprimées par le fer rouge, hautes de trois doigts et larges de moitié leur hauteur, sont creusées dans la chair comme par une gouge, à près d'un centimètre de profondeur. Rien que de les effleurer, on les perçoit sous le doigt. De ces fers et de ces marques, j’éprouve une fierté insensée.
- Tu es sublime avec ces fers entre tes cuisses. Je te faire parader pour voir l’effet quand tu marches.
Je parade nue, pieds nus, tenue en laisse, par mon collier de cuir, que j’ai gardé, derrière le Marquis.
Il est fier de moi.
- Je désire t’épouser et j’assurerai la descendance.
- C’est comme tu étais devenue mon épouse. Je te baise dès ce soir.
Vers 21 heures, dans une grande chambre au premier étage, aux murs et au plafond, recouvert de glaces et de miroirs, tout comme à la grande salle de bains, nue, je m’offre en 69, couchée sur lui. Je suce son mandrin que je connais bien, caressant ses testicules.
Les fesses écartées, le Marquis lèche mes lèvres de ma chatte humide ferrées. Adam nous observe, surtout lorsque le Marquis titille mon anus.
Adam monte sur le lit et m’encule sur le champ, attachée par son nœud. Je jouis, inondée de son sperme.
Adam se retire et le Marquis me baise longuement le premier soir, pour que je garde son sperme en moi.
Vers minuit, mes hanches douloureuses, je me douche, en évitant ma chatte. Adam m’encule une ultime fois, avant que je dorme en compagnie du Marquis, qui m’a enfoncé son mandrin dans ma chatte.
En quelques semaines de baises intenses le soir et l’après-midi, le 5 août, mes règles disparaissent ; mon ventre s’arrondit et le Marquis m’encule uniquement tous les jours, caressant mes seins qui augmentent de volume tout comme mon ventre. La gynécologue suit ma grossesse, au cabinet gynécologique du Marquis, loin des regards. Seule Miss V est au courant de ma grossesse. Je reste toute la journée nue à entretenir mon corps, pour garder un corps ferme et désirable.
- Tu es sublime de jour en jour, Shawn. Le sport t’entretient. J’aime beaucoup tes seins et ton ventre arrondi.
- Prends-moi, je suis chaude de l’œillet.
Je m’offre à lui, dans de longues sodomies jouissives.
En avril de l’année suivante, j’accouche d’un superbe garçon, prénommé Jean Edouard, par les voies naturelles avec la gynécologue, dans le cabinet. Je suis encore plus belle.
Le Marquis me baise dès le premier jour de mon accouchement, sans répit.
- Donne-moi ta chatte. Elle est encore plus resplendissante.
- Oui, pine-moi la chatte, j’ai trop attendue.
Je connais un violent orgasme.
Adam m’encule à nouveau et je connais à nouveau un orgasme anal très violent.
Je suis comblée et j’épouse secrètement le Marquis, pour toucher l’héritage de 15 millions et posséder l’étalon Tornade Grand Sexe d’une valeur de 50 millions.
Aucun commentaire:
Enregistrer un commentaire