Je m’appelle Shawn.
J’ai 20 ans.
Je suis une jolie beauté scandinave.
Je suis une brune aux yeux verts. J’ai des pieds fins et latins, des jambes longues bronzées, musclées qui inquiètent par leur perfection. Mon pénil est bombé, ouvert, couronné de noir. Ma pilosité brune couvre mon pubis. Je suis velue entre les cuisses et j’ai une superbe croupe. Mon entrecuisse est velue. Mes hanches s'incurvent et délimitent le ventre plat, délicieusement renflé autour du nombril, les hanches sont larges et rondes, mais sans lourdeur. La taille est affinée. Les seins parfaits intégralement bronzés sont un peu volumineux mais fermes, et leurs pointes marron clair, toujours dressées, cernées par une large aréole marron attirent le regard. J’ai une peau lisse et patine. Finition parfaite, un seul grain de beauté entre mes superbes seins. De longs cheveux plats blonds flottant comme des algues, battent mes épaules rondes et gracieusement athlétiques. Je suis intégralement bronzée. Mes yeux verts limpides s'allument, ma bouche charnue se fend. J’ai des sourcils bruns bien dessinés et des lèvres pulpeuses. J’ai de longs doigts fins et de belles mains. Je fais du 85B de poitrine, 56 de taille, 90 de hanches, 1,75 m.
Mon gros clitoris est percé d’un anneau doré avec une pierre précieuse. Je porte aussi une bague sertie d’un anneau à mon annulaire gauche.
LINGERIE DU VICE 2E PARTIE
22 mai
A l’aube, j’ai subi au moins trois saillies anales canines d’une bonne demi-heure chacune espacées sans compter les sodomies par Hubert, très endurant. Je me lève, pour me soulager, surveillée par Arès.
J’en profite pour regarder mon corps, mon dos est griffé, mes fesses sont brûlantes par les claques magistrales d’Hubert et mon clitoris et mes mamelons sont constamment tendus par l’excitation sexuelle.
J’ai encore envie d’être prise par d’autres chiens.
Vers 7 heures, je me réveille la première. Nue, pieds nus, je me douche rapidement. J’ouvre au traiteur pour le petit déjeuner. Il récupère les plats du souper. Il est très bel homme, c’est le boulanger. J’ai hâte qu’il me prenne un jour.
Je nourris Arès, tout en restant nue, pour qu’il sente l’odeur de ma chatte que j’ai discrètement caressée, enculée par Hubert.
- Arès, tu vas lécher ma chatte. Vas-y, tu vas me faire jouir.
Je connais un orgasme.
Arès se repose, à mes côtés, pendant que je déjeune, cuisses écartées, repensant à ma journée excitante d’hier.
Sur mon téléphone portable, je découvre mes ébats de la journée d’hier et des autres jours depuis mon arrivée au club. Je mouille, en évoquant ces queues dans ma chatte et mon anus.
Vers 9 heures, Hubert se lève et je le suce pour qu’il éjacule dans ma bouche.
Je me douche devant lui. Il me caresse.
Je reste nue, fardée, parfumée, l’anus enduit de miel, pour une saillie anale canine future.
Cette saillie anale canine a lieu. Je dois m’allonger sur le dos, sous Arès, me vient sur le ventre : il est merveilleusement chaud et doux. Puis je redresse les jambes, je les passe par-dessus le dos d’Arès, et je m'agrippe à lui, les mollets croisés sur ses reins, jusqu'à me coller étroitement sous lui. Il m’encule jusqu’au nœud, me donnant plusieurs orgasmes en une demi-heure.
- Arès t’a adopté, ma belle chienne.
- Oui… Pine-moi à fond…
Arès éjacule en moi. Je suis pantelante et en sueur. Je dois me doucher à nouveau et me refaire une beauté. Hubert me met un nouveau gode anal canin moulé sur le sexe d’un dogue allemand de trente-six par huit avec le nœud écartelant mon anus rougi, cadenassé à la ceinture de cuir. Je jouis en ondulant mon bassin sur ce sexe.
Je revêts une guêpière de taffetas de nylon, tenue rigide par de larges baleines très rapprochées, courbées vers l'intérieur au ventre et au-dessus des hanches, qu'un busc, sur un côté derrière, permet de boucler et de déboucler. Par-derrière aussi, un large laçage se serre ou se desserre à volonté. Je sens en la laçant aussi étroitement que je peux, ma taille et mon ventre se creuser sous la pression des baleines, qui sur le ventre descendent presque jusqu'au pubis, qu'elles dégagent, ainsi que les hanches. La guêpière est plus courte par-derrière et laisse la croupe entièrement libre. Je mets une jupe assez courte et fine avec un corsage dénudant mes seins. Je chausse mes sandales à talons de douze centimètres, coiffée d’une queue-de-cheval.
Vers 11 heures, nous prenons la limousine. Arès nous accompagne. Je me déshabille, en compagnie d’Hubert et du Comte, conduite par Prisca.
Le Baron nous précède avec sa Ferrari F40, avec Pénélope.
Le Comte me met mes carcans de cuir au cou et aux poignets, une fois les yeux masqués et un bâillon-boule en place. Il me fixe une laisse.
Nous quittons le centre-ville pour la campagne, en passant devant la villa du Comte.
Au bout de deux heures, à la limite entre la campagne et la forêt, nous marquons une pause.
Je suis sortie de la limousine et penchée en avant sur le capot, cuisses écartées.
On me retire le gode prénommé Lancelot, pour vérifier ma lubrification. En réalité, je suis sauvagement enculée par Hubert et le Comte, que je dois sucer, les mains jointes à mon cou, accroupie, cuisses écartées.
- La belle est prête. Son arrivée à l’Annexe du Club, va lui plaire. Des hommes pour la prendre, plus d’autres plaisirs. Elle est déjà bien humide, dit le Comte.
- Oui, elle tend ses fesses brûlantes. La cravache et la garcette lui donneront beaucoup de plaisir, dit Hubert.
Je remonte en voiture.
Puis au bout d’une autre heure, nous franchissons une première cour, qui mène à une grille ouverte, gardée par des maîtres-chiens et des gardes à cheval.
- Voici, DP, la nouvelle chérie de ses Maîtres, dit l’un d’eux.
- Elle sera préparée à la façon d’une belle soumise. Elle est naturelle, c’est très excitant.
On me fait descendre, seule, tenue en laisse par un des hommes. Je remonte l’allée, sous bonne escorte. La limousine reste à l’arrière, sur les deux cent mètres de l’allée.
Des Ferrari, des BMW et des Porsche sont stationnées.
Je franchis le perron. Je marche sur le marbre du salon.
- Mes chéris, vous m’offrez la sublime DP. Elle a commencé ses saillies canines. Tu aimes ça, ma belle. Tu es déjà bien mouillée. On va juste raser ta belle chatte et tu auras de superbes anneaux. Dans une semaine, tu ne te reconnaîtras pas, ma belle soumise, bisexuelle et chienne. Je suis le double P, pour Pilon et Punitions Spéciales. J’aime ton côté gouine, mais ta gouine Aimée va devoir obéir. Elle n’est pas là encore, mais toi, tu vas t’occuper de Lesbos Câline. C’est une fille plus jeune que toi, qui est soit disant amoureuse de toi. Tu verras, tu vas la guider vers ton plaisir et le dressage SM. Si tu es docile avec mes amis, tu seras récompensée. Libère-lui sa bouche, elle va me sucer.
Je dois sucer un mandrin imposant de trente-six par neuf. Je fais de mon mieux.
Il doit retarder son éjaculation et il m’encule sur le champ, offerte sur un chevalet, menottée.
- Quel œillet, tu deviens un peu plus souple chaque jour. Les saillies vont t’ouvrir davantage, chienne.
Je jouis sous le bâillon, en échange, je suis sévèrement corrigée par des coups de cravache et de garcette sur mes fesses, mes cuisses et mes reins, pour commencer. Ma mouille est recueillie dans une coupole que je dois boire, mélanger à un excitant sexuel, qui provoque une longue excitation. Mes mamelons et mes grandes lèvres sont étirés par des pinces avec des clochettes qui tintent à chaque mouvement de mon corps.
Puis je suis enculée et fouettée à la cravache et à la garcette sur les fesses, les cuisses, les reins et au martinet sur les seins aux mamelons tendus sous les pinces à seins, par une dizaine de clients, la bouche remplie par leurs queues, j’avale leurs spermes, des bergers allemands, des dobermans et des dogues allemands m’enculent et me baisent aussi en alternance, pour que je m’habitue comme une chienne soumise. Je suis très excitée et humide de la chatte qui dégouline de spermes tout comme mon anus rougi, distendu et boursouflé par le dogue allemand.
Je suis évanouie, lors du retrait d’un dogue allemand qui m’a enculée pendant une bonne demi-heure jusqu’au nœud. C’est le plus gros sexe canin que je connaisse.
Vers 19 heures, au coucher du soleil, on me retire mon masque de nuit. Je dois garder les yeux baissés. On me fait libérer du chevalet, après m’avoir mis un bijou d’anus de calibre huit moulé sur le devant du sexe du dogue allemand pour que j’y prenne goût.
- Bien, notre sublime DP se montre docile, enculée et fouettée. Elle sera remise au valet Jouisseur Pilon, un superbe étalon Africain noir, bien monté comme elle les aime. Amenez sa soumise Lesbos Câline. Elles dormiront dans une chambre avec un lit, puis DP sera menottée au chevalet dans sa cellule, pendant quelques jours. Les valets la puniront si nécessaire, mais elle sera prise à plusieurs reprises, par ses amants. Sa chatte sera rasée pour ses anneaux et son cadenas. En étant chaste, elle se donnera plus facilement et sa chatte humide sera honorée qu’à partir d’une certaine date secrète. DP, tu acceptes, comme tu possèdes ta bague, de disposer de tes orifices sauf celui cadenassé, d’être enchaînée, fouettée à tout moment, de vivre nue, d’accepter tous sexes et d’être punie si tu fais une faute.
- Oui, Maîtres, je suis toute à vous, dis-je les yeux baissés, les mains menottées dans le dos.
Lesbos Câline est une superbe beauté brune aux longs cheveux, nue, intégralement épilée, avec un gros clitoris percé, deux anneaux dorés cadenassés à sa chatte, des mamelons constamment tendus percés d’anneaux dorés avec une langue qui caresse le mamelon et ses reins sont tatoués « A ma chienne Shawn ». Elle est juste chaussée de mules à plate-formes de talons de douze centimètres, coiffée d’un chignon, dégageant son collier et elle porte des bracelets à ses poignets et à ses chevilles.
- Voici Lesbos Câline, elle devra apprendre à te caresser, te lécher, mais aucun baiser. Sa chatte cadenassée est vierge, tu devras la doigter et surtout lui doigter son œillet et lui apprendre le plaisir par cette voie uniquement, aucune caresse du clitoris même si elle te le demande. Quand à toi, elle te fouillera par tous les orifices. Tu as vingt-quatre heures pas plus, pour la dominer.
- Oui, Maître, je ferais de mon mieux, dis-je.
- Tu dois la rendre, humide et bien ouverte et toi, en échange. Tu dois montrer tes talents lesbiens.
- Emmenez-les à l’aile des Biches Vicieuses, Jouisseur Pilon et Anal Adonis.
Nous sommes chacune tenue en laisse. J’ai changé mes sandales contre des mules à talons de douze centimètres.
Nous traversons le salon, pour rejoindre le premier étage, par un grand escalier en marbre. Je suis dernière Lesbos Câline, regardant ses reins tatoués, ses reins, ses fesses et ses cuisses ont été cravachée récemment.
Nous remontons un long couloir recouvert d’un grand tapis, passant devant des chambres sans porte, où j’aperçois des soumises offertes à des chiens ou à des hommes, qui jouissent ou gémissent sous leurs bâillons.
Nous stoppons devant une des chambres.
On nous retire nos laisses. Je découvre le lit très grand, carré, bas – moins un lit qu'une plate-forme matelassée, recouverte d'une étoffe noire à très longs poils qui imite la fourrure. L'oreiller, plat et dur comme le matelas, la couverture aussi et des deux côtés. Il y a un tapis au sol. Deux mètres au-dessus de la tête du lit, un gros anneau brillant est scellé au mur où passe une longue chaîne d'acier : l'une de ses extrémités s'entasse sur l'oreiller en formant une petite pile d'anneaux, tandis que l'autre est retenue à un crochet, sur le côté.
Dans un coin, la salle de bains ne comprend qu’une petite douche avec un crochet pour m’accrocher, avec des miroirs sur les murs et au plafond.
- Je prends d’abord DP, puis je la douche. Tu t’occupes de LC.
Jouisseur Pilon m’offre un imposant et gros mandrin, de trente-huit par huit.
Il m’enchaîne, les mains jointes à mon cou, avec la chaîne, allongée sur le dos, cuisses écartées. Il me retire mon bijou d’anus recouvert de spermes et profite de mon ouverture, pour m’enfoncer son mandrin jusqu’aux testicules. Il me retire mes pinces à mes mamelons et à ma chatte.
Je ne peux me dérober. Je tente de retarder mon orgasme, mon gros clitoris est sollicité.
Une première jusqu’à la troisième éjaculation je dois tenir.
- Ça y est, elle est prête, sans jouir. Tu pourras jouir sous la douche, ma belle, avec ta canule.
Il me libère et me fait suspendre les bras tendus en l’air, sur la pointe des pieds, l’anus inondé d’eau froide, tandis qu’il me douche à l’eau froide, en caressant mes seins, ma chatte et mon clitoris, sans me ménager. Je garde les yeux baissés, mais je ne peux résiste longtemps à jouir.
Dès que je suis propre, Anal Adonis m’encule aussi avec son mandrin de vingt-huit par six et éjacule sur mes fesses brûlantes par la cravache que lui a donné Jouisseur Pilon. Je mouille.
- Elle aime ça, la cravache, la garcette. Elle est très excitée.
LC est allongée sur le dos, cuisses écartées, enculée sauvagement par Jouisseur Pilon, sans répit. Il éjacule en elle à six reprises.
- On te laisse DP avec LC, tu te donnes à elle et elle à toi, n’est-ce pas ma belle. Je t’enchaînerais cette nuit.
Les deux valets partent. Je tente de réconforter LC.
- Il t’a prise sauvagement. Moi, j’ai l’habitude, dis-je. Caresse-moi, lèche mon gros clitoris et je te donnerais du plaisir en retour.
- Tu es la plus belle soumise que je connaisse. Tes seins sont sublimes, ta chatte me plait aussi, je vais te jouir.
Je ne mets pas longtemps à jouir à plusieurs reprises, mais Lesbos Câline fait tout pour m’occupe des zones interdites. Je me montre dominatrice. Elle mouille tout autant que moi.
23 mai
Vers trois heures du matin, repue par mes orgasmes, je m’endors, cuisses écartées, après une courte douche lesbienne avec Lesbos Câline, sans savoir que cela m’était interdit.
C’est Anal Adonis qui vient me réveiller.
- Tiens, tu dois être punie, la nouvelle. Oui, tu as commis une grosse faute, LC elle aussi, mais plus tard. Viens, ma belle.
Il me tient en laisse, nue, pieds nus, mains jointes à mon cou. Ma chatte dégouline de mouille.
Dans une autre pièce au sol en pierre, je me retrouve menottée à un carcan, penchée en avant, cuisses écartées par une barre d’écartement, les pinces remises juste à mes mamelons.
- Comme cela, tu désobéis, DP dès le premier soir. LC sera aussi punie. La chicotte te sera administrée sur les fesses, les cuisses et surtout l’intérieur de tes belles cuisses. Tu reconnais ta faute, ma belle.
- Oui, Maître…
C'est un engin fait en deux parties, d'une part un manche en bois verni et de l'autre une tresse en cuir noir, reliés ensemble par une boucle qui forme charnière, de telle sorte que, quand on l'utilise avec habilité, le coup de poignet sur le manche donnait encore plus de vitesse à la tresse en cuir. Et PP, qui fréquente beaucoup l'Afrique, manie parfaitement la chicotte.
Je gémis dès les premiers coups que je reçois et que je dois compter.
Je reste une éternité.
Je dois subir des sodomies avec des gaines à picots, sucer des mandrins de gros calibres, sans repos.
Vers 7 heures, je suis menottée à un chevalet, dans ma chambre sans lit, mais avec une douche. Je tente de me reposer. Un doberman vient me saillir, en m’enculant jusqu’au nœud et reste plus d’une demi-heure en moi. Je peux donner autant d’orgasmes que je le désire.
Vers 9 heures, je suis douchée, suspendue et je mange au réfectoire à l’étage. Je dois porter un gode canin anal Lancelot moulé sur l’avant du sexe d’un dogue allemand, pour m’élargir, cadenassé à ma ceinture de cuir.
Au réfectoire, je suis menottée dans le dos, les yeux baissés, cuisses écartées, nourrie par un des valets. On voit bien mes marques de la chicotte.
Le valet me masturbe la chatte toute lisse, percée d’un anneau doré à chacune de mes grandes lèvres et cadenassé ensemble. Personne ne peut me prendre par-là. Je suis contrainte à être enculée et à sucer.
Lesbos Câline est punie sévèrement par PP pendant plusieurs jours.
Quand à moi, je dois m’offrir dans les diverses pièces du Domaine, dans le parc ainsi jusqu’au chenil à des chiens de garde et être initiée à sucer des étalons équins, avant d’être enculée juste par leurs glands pour commencer. Je gémis un peu.
26 mai
A l’aube, après une série de saillies anales canines, je suis conduite nue, pieds nus au bureau de PP, qui m’attend le mandrin nu et libre.
- Alors, DP, tu te montres docile, pas comme cette chienne de LC. Elle a été sévèrement punie. Tu t’habitues aux gros calibres et à ta chatte cadenassée. Tu te fardes à merveille. Tu vas rester nue encore quelques jours. Les clients sont satisfaits de tes prestations. Ton œillet s’assouplit un peu plus chaque jour. Un carnet répertorie tes prestations, tes punitions et ton quote-part. Plus de clients te prennent ou te fouettent, tu auras un quote-part plus important, y compris avec les amants canins, même si tu te conduis comme une pute. Tes reins tatoués « A votre chienne S » font des ravis.
- Oui, Maître. Je suis votre chienne.
- Je vais libérer ta chatte, pour une seule occasion.
Le berger allemand Adam se couche sur le dos et je m’empale sur son sexe raide dans ma chatte. Puis, je m'aplatis sur Adam, mains jointes à mon cou. Le dogue allemand Lancelot m’encule doucement. Le sexe de Lancelot entre dans mon anus bien lubrifié. Je connais un plaisir royal, doublement prise par ces chiens. Je suis doublement inondée de leurs spermes lors de mon orgasme que la tête me tourne et que je faillis m'évanouir. Mes cuisses sont recouverts de leurs spermes dégoulinant de ma chatte et de mon anus ouverts. Mon gros clitoris percé et les grandes lèvres de ma chatte lisse, percées d’anneaux dorés décuplent mon plaisir, en double pénétration. Mes fesses, mes cuisses et mes reins portent de nouvelles marques. Je suis fière d’être fouettée, prostituée au premier venu.
Après cette double pénétration canine, je redeviens chaste de la chatte.
30 mai
Je commence à recevoir jusqu’à trente centimètres de sexe équin pour m’enculer, mais je m’habitue à ce sexe, alternant avec les chiens et les clients.
- Soumise DP, nous sommes au huitième jour de ton dressage. Tu as bien progressé, le gode anal Lancelot n’est plus utile pour t’élargir. Mais le gode anal Zéphyr de quarante-huit par huit tu t’empaleras enculée chaque jour. Tu es assez souple maintenant.
Je m’exécute et je me retiens de jouir, sous mon propre poids.
Je m’y rends plusieurs fois dans la journée, avant de me faire enculer par un des étalons.
2 juin
Après une nuit de saillies anales canines et équines, je me réveille, nue, allongée sur ma plate-forme matelassée, sur la fourrure, les mains libres, les cuisses écartées, dégoulinant de spermes de mon anus encore un peu entrouvert. Mes fesses, mes cuisses et mes reins ont été fraîchement fouettés.
Un élégant athlète musclé brun, barbu, de 60 ans, me caresse la chatte, le clitoris et doigte mon anus en me faisant lécher ses doigts.
- Elle réagit bien, cette superbe chienne. S, elle est très belle. Elle a le vice en elle, tout comme l’ont dressée ses nombreux Maîtres.
Je ne prête pas attention à un autre invité. Une superbe beauté brune aux cheveux mi-longs, aux petits seins, vêtue d’un chemisier noir sur ses seins nus et d’une jupe largement ouverte sur un harnais de chasteté, car cette beauté possède un mandrin que je désire.
- Chienne, tu n’es pas destinée à S. Ton œillet, ta chatte et ta bouche me sont destinée. Je suis le Baron Alban, je t’ai rencontrée le 19 mai et tu as refusée mon offre. Désormais, tu vivras sous mon toit, le temps de t’offrir à d’autres hommes. Tu n’es pas une pute officiellement, mais une soumise bisexuelle docile, prête à donner envie à tous les mâles. Va te doucher et t’habiller, ma belle. Voyons ces reins tatoués.
Je le fais, les yeux baissés, puis je me farde et me parfume.
PP vient me retirer mes carcans après une ultime et profonde sodomie.
Il éjacule et pisse dans mon anus, comme à chaque sodomie de sa part. Il me remet mon bijou d’anus Alizé, moulé sur le gland d’un étalon équin pour que je reste bien ouverte.
Sans mes carcans, je reste silencieuse et les yeux baissés.
Alban m'attire pour examiner ses reins et ses fesses. Il passa les doigts sur les nombreuses traces du fouet, plus ou moins estompées selon leur ancienneté, sur les marques des carcans.
- Voici ta tenue, S aide à s’habiller.
Je dois revêtir un pull blanc épousant mes seins nus aux mamelons tendus sous la laine et une jupe transparente noire facile à relever laissant deviner mon pubis, ma chatte aux anneaux dorées et mon clitoris percé. Je chausse des mules sans plate-forme à talons de douze centimètres, je suis coiffée d’une queue-de-cheval.
- Elle est très belle, ainsi. On pourrait te prendre pour ma nièce Prudence. Tu t’es retenue de jouir avec PP et avec toi. Tu seras récompensée chez moi.
Nous quittons le domaine par l’escalier menant au salon, non gardé. Je retrouve la limousine Cadillac DTS-L conduite par Prisca.
Je m’assois, la jupe relevée sur la banquette le long, les yeux baissés, devant Alban et S.
Nous traversons la forêt et la campagne, puis en centre-ville, nous remontons dix blocs de rue, après mon appartement, pour un quartier luxueux.
Voici mon hôtel particulier, ma belle, tu y seras à demeure.
Vers 11 heures, au fond d’une cour, après une porte cochère, où stationne la limousine, je découvre un hall d’entrée avec un grand escalier menant aux chambres et aux appartements d’Alban.
- Déshabille-toi et S remets ses carcans.
J’obéis. Je me sens à nouveau esclave.
Un superbe majordome, un étalon Africain noir me toise, de 35 ans.
- J’oublie, c’est Horace, mon majordome. Il est autorisé à te prendre aussi, avec son gros sexe comme tu les aimes, ma belle chienne. Mais au fait, tu n’as cessez de regarder le sexe de S. Tu aimerais connaître que cache ce harnais. Il t’est formellement interdit de le voir sans son harnais, ni de le sucer ou de le caresser. Seuls certains de mes amis ont ce privilège. Au fait, Hubert serait plus amoureux de toi, qu’Anal Plaisir, tu t’es donnée aux deux, n’est-ce pas ?
- Oui, Maître, je m’excuse de mon comportement de pute.
- Non, disons de chienne, utilisons le mot juste. Tu fais ta chienne pour séduire d’autres hommes, sans en avertir le club ni le Domaine. Les vidéos de tes ébats depuis ton dressage sont visibles sur ton téléphone portable et ceux d’autres amants.
- Vous allez me punir, Maître.
- Je verrais à l’usage. Tu te comportes bien devant mes amis et que tu me respectes, je serais compréhensible mais dans le cas contraire, c’est la punition à la chicotte, ma belle. Mais, avant tu vas me sucer.
Je m’accroupis, nue, cuisses écartées, les mains menottées dans mon dos, déchaussée. Le Baron est assis. Je le suce de mon mieux, jusqu’à recevoir son mandrin profondément de trente-six par hui. J’avale son sperme et sa pisse, avec fierté.
- Horace, continue-là à la salle de bains, qu’elle soit mise en beauté. Son œillet doit être propre et elle a interdiction de se caresser, toi seul tu pourras la caresser.
- Oui, Monsieur, cette beauté connaît son travail.
Il me laisse monter l’escalier aux marches alternant bois et marbre après le tapis sur le sol marbré du salon et de la salle à manger. Je suis devant lui, pour lui offrir la vue de mes fesses zébrées et la pierre précieuse entre mes fesses.
La salle de bains est imposante avec des miroirs et des glaces sur les murs et au plafond. La baignoire est accessible par des marches. Il y a aussi une cuvette, un bidet pour mon lavement et un lavabo.
Je me glisse dans l’eau tiède, accroupie, cuisses écartées. Je me laisse savonner le corps, les mains libres, laver les cheveux et je suis rincée. Je garde les yeux baissés sur le mandrin de quarante-deux par huit.
- Tu es très vicieuse, pour sucer Monsieur profondément. S sera puni pour t’avoir dragué. Seul le Baron et ses amis peuvent te prendre, ma belle. Le Baron va t’appeler mon chaton, quand tu seras en sa compagnie.
- Horace…
- Le jet d’eau froide dans ton œillet te plait ou tu veux me sucer, toi aussi.
Je suis au bord de l’orgasme, par les caresses de l’éponge sur mes seins aux mamelons tendus, mon clitoris et ma chatte.
Je sors de la baignoire. Il me sèche dans une grande serviette, me laisse me farder et me parfumer toujours nue. Il me refait mon vernis à ongle rouge sur mes ongles des mains et des pieds. Il me remet mon bijou d’anus après m’avoir doigté l’anus sans me faire jouir.
Je rejoins ma chambre, où il me retire mes carcans de cuir pour un collier serti de pierres précieuses avec un anneau pour m’attacher ainsi que des bracelets à mes poignets similaires.
Horace me donne des coups de martinet sur mes seins, pour ma présentation aux amis. Je mouille sous les coups.
J’enfile une robe corsetée blanche, au corsage transparent sur mes seins nus, avec une jupe transparente jusqu’à mi-mollet, fendue jusqu’aux hanches de chaque côté et discrètement fendue de mes reins jusqu’à mi-cuisse dans le dos, pour que je puisse m’asseoir fesses nues directement. Je chausse des sandales transparentes à talons de douze centimètres, pour mettre en valeur mes pieds nus, coiffée d’une queue-de-cheval.
Nous allons à pied, le Baron et moi, jusqu’à un luxueux restaurant « Désirs du Palais ».
Dans un minuscule cabinet particulier du deuxième étage, je suis installée seule sur le divan, un des amis d’Alban à ma droite, l'autre à ma gauche, chacun dans un fauteuil, et Alban en face de moi. L’un d’eux ressemble à mon Hubert, mais il porte une bague, Hubert n’en a pas. Qui est cet homme ?
- Voici, ma nouvelle putain, soumise, ma nièce Prudence, doublement ouverte depuis un certain 19 mai, dressée au Domaine. montre nous tes seins.
J’obéis.
- Ils sont fardés et cravachés et ses mamelons sont tendus, car elle a très envie de vous, de la prendre. Relève ta jupe pour qu’ils voient ta chatte cadenassée et épilée, mon chaton.
Le directeur, un bel étalon de 55 ans, brun et les garçons du restaurant qui entrent et sortent, le service n'étant pas fini.
Au café, Alban annonce :
- Je vous la laisse. Ma nièce Prudence sera très gentille.
Je dois sucer un des deux jusqu’à ce qu’il éjacule et pisse dans ma bouche, agenouillée devant lui.
Hubert me prend par la main, descend avec moi l'escalier sans un regard aux sourires narquois des garçons, et ayant fait appeler un taxi, m'emmène dans sa chambre d'hôtel.
Il m’encule longuement, me fait sucer sa belle queue, me fait boire un jus de fruit, me fesse magistralement, m’embrasse langoureusement jusqu’à je perd haleine.
- Tu es une sacrée vicieuse, Shawn. Tu mérites mieux, ma queue est plus belle que celle de tes autres amants. Tu seras ma soumise.
- Prends-moi, encule-moi, je suis toute à toi, bel amant.
3 juin
Vers 14 heures j’arrive chez Alban, dans ma robe, les cheveux libres.
Je suis surprise de savoir Hubert amoureux de moi, j’en ris.
Alban, je veux me promener avec toi. Je suis toute à toi, non pas à Hubert, dis-je.
Je vais te fouetter, mon chaton Shawn.
Me fouetter, faites, je suis toute humide, dis-je.
Dans la petite chambre mansardée. Tous les murs, le plafond, l'envers de la porte, et jusqu'au sol, molletonnés de satin. Deux barres verticales en bois blond, espacées d'un bon mètre, sont plantées au milieu, sur toute la hauteur de la pièce. Elles sont régulièrement percées pour permettre d'ajuster, au moyen de goupilles, la position de quatre anneaux d'acier qui y sont suspendus, deux en l'air et deux au sol.
Je me déshabille, nue, pieds nus, je caresse le liège des murs, tout comme au plafond, la porte capitonnée, une double fenêtre.
- Punis-moi, je suis toute à toi, dis-je.
Je suis attachée en croix, jambes écartées et bras en l'air, faisant glisser mes poignets et mes chevilles dans les anneaux qui se ferment comme des menottes.
Horace me prend mon clitoris percé entre ses doigts, je gémis un peu, peu habituée à cette prise.
Une heure plus tard, je suis écartelée entre les deux colonnes, les seins, le ventre et les cuisses zébrés, je redresse la tête pour sourire, Hubert s’approche, caresse mon corps et va jusqu’à m’enculer, fier de me voir, punie.
- Ma belle soumise, tu es une sacrée pute pour te faire fouetter. Je te fouetterais un jour au Domaine quand tu y seras. Adieu, belle soumise Shawn, j’ai hâte.
Après son départ, Hubert se présente à Alban.
Je suis encore nue, en mules blanches à talons de douze centimètres, les cheveux libres, après un rapide bain, fardée et parfumée.
- Alban, voici Hubert, l’autre est un sosie.
- Oui, Shawn, tu as raison, c’est mon frère jumeau, Sir O. C’est lui qui t’a prise dans ton appartement. Je suis venue aujourd’hui, pour me présenter à toi.
- Hubert a raison. Sir O doit être banni du Domaine, Alban.
- Il le sera. Hubert, tu es libre de prendre Prudence ou Shawn, selon tes envies. Elle a besoin de réconfort.
Je suis déboussolée, mangeant peu, refusant tout ébat sexuel. Sir O m’a déçue. C’est mon premier échec amoureux.
5 juin
Vers 8 heures, je me lève nue, sans réveiller Hubert à mes côtés. Je descends nue, en mules, l’escalier du second étage jusqu’au rez-de-chaussée.
Horace m’attend en bas. Je porte à nouveau mes carcans de cuir.
- Déjà debout, Miss Shawn, vous devez avoir très faim.
- Oui, je veux un petit déjeuner consistant. Je veux me faire prendre par toi et Hubert, en double pénétration, si cela est possible, avec ma chatte cadenassée, dis-je.
- Mon chaton est debout. Pour le cadenas, toi seule, tu peux le retirer, en effleurant ton cadenas, dit Alban.
Je passe mon empreinte de mon annulaire gauche et le cadenas se libère.
- Tu pourras t’offrir en double, aussi ton colley Balzac et ton doberman Roméo, qui t’appartiennent pour tes saillies canines.
- Je suis chienne, Baron. Quel plaisir je vais prendre avec eux.
- Oui, ma chienne a droit à ce plaisir. Tu pourras les promener au parc voisin, avec juste ton chemisier non boutonné et une jupe légère, en sandales, coiffée d’une queue-de-cheval, sans maquillage, pour être ma nièce. Tu donneras envie à tous les hommes que tu croiseras, te sachant seins nus, les fesses et les jambes nues, accessible à tous.
Après mon petit déjeuner, je suis prise en double pénétration, Balzac m’enculant et Roméo me baisant. Je perds connaissance, mais mes orgasmes ont ravis mes amants, doublement inondée.
- Viens, on va te prendre à trois, dit Hubert, déjà en érection.
Je m’encule sur Hubert, la chatte honorée par Alban et suçant Horace, puis Alban m’encule, tandis que je suis baisée par Hubert et Horace m’encule ensuite. Je ne compte plus mes orgasmes, avant de recevoir leurs spermes sur mon corps.
- Tu as été merveilleuse, ma belle Shawn, dit Hubert, en caressant ma chatte béante et mon anus entrouvert. Je regrette de ne pas t’avoir pris plus tôt.
- Hubert, tu es trop attentionné. Je suis une soumise, non pas une pute.
- Non, mon chaton Shawn, tu es une femme qui donne envie aux hommes. Car tu es facile, doublement ouverte, dit Alban.
- Oui, Maîtres, je suis facile et fière de ma soumission.
- Je n’ai jamais un tel œillet assoupli, dit Horace.
- Non, Shawn a été forcée et déchirée, pour l’élargir, sans qu’elle ne le sache, dit Alban. C’est la pratique du club, puis les saillies anales canines l’ont ouverte davantage. Shawn, habille-toi, nous allons promener tes amants.
J’obéis. Vêtue de mon chemisier blanc non boutonné sur mes seins nus fardés, une jupe légère fleurie sur mes jambes, ma chatte fardée, mes jambes nues mises en valeur par mes sandales blanches à talons de douze centimètres, avec ma queue-de-cheval, le visage non maquillé.
Dans le parc, tenant en laisse Balzac et Alban tenant Roméo, je baisse les yeux devant les hommes.
- Tu as vu comment les hommes te regardent. Ils te plaisent, ma nièce Prudence.
- Mais c’est vous que j’aime, mon Maître.
De retour du parc, nue, je me rédige les feuilles du roman d’Hubert, qui m’excite par ses passages osés, d’une soumise SM, lesbienne devenue bisexuelle, comme moi. Hubert reste à mes côtés, pour surveiller les éventuelles fautes de frappe sur l’ordinateur. Hubert et Alban aiment caresser mes seins et ma chatte, entre mes cuisses écartées. Des fois, je suis cravachée par l’un des deux ou par Horace.
En un mois, j’ai progressée dans mon dressage. Chaque saillie anale ou sodomie me donne un plaisir anal violent que je ne peux contrôler, punie selon les envies de celui qui me prend.
10 juillet
Vers 7 heures, alors que j’ai passé la nuit, nue, cuisses écartées, dans ma chambre, sans rideau, ni volet, offert aux voyeurs, Horace me porte mon petit déjeuner au lit.
- Miss Shawn, Hubert souhaite avec Monsieur, t’offrir un séjour sur la côte. Des amis souhaitent te rencontrer.
Où ? Qui sont-ils ?
- Un jet privé t’attend. Tu le prends dans une heure, je te conduis. Prépare-toi, choisit ta plus belle tenue.
Je déjeune, me baigne seule, me farde, me parfume et je choisis une veste de tailleur fuchsia sur mes seins nus, avec mon corset noir seins nus, une jupe éventail blanche et mes mules blanches à talons de douze centimètres, les cheveux libres.
Vers 13 heures, après deux heures de vol, le Falcon 900 me dépose sur un aérodrome privé.
Une Ferrari F40 rouge m’attends. Je ne reconnais pas l’homme qui m’attend. Un bel athlète musclé, de 45 ans, brun, très élégant.
- Miss Shawn, tu as fait un bon voyage. Tu es resplendissante. Je suis Marc Alexandre, ton oncle. Ma villa est louée à ton chéri Hubert et Alban. Horace nous rejoint plus tard.
- Mon oncle, je ne connais pas votre existence.
- Bien sûr, Shawn, je suis là pour te prendre, à la demande d’Alban. Tu aimes le sexe, il paraît. La jeune lesbienne des plages que j’ai connu. Tu pourras faire ta belle à la plage. Les Adonis vont te séduire. La Méditerranée est faite pour toi. Tu préfères être enculée ou baisée par moi.
Je reste silencieuse jusqu’à la superbe villa en bord de mer, à une heure de route de l’aérodrome privé, étroitement surveillée par des caméras, des maîtres-chiens et d’élégants vigiles.
La villa est fermée par une grille menant à un jardin jusqu’au garage. La villa est équipée de discrètes caméras à l’intérieur pour chaque pièce.
Devant le garage, il m’aide à descendre et prend mes bagages.
- Tiens, mon chaton Shawn est arrivée, dit Hubert, nu, le mandrin en érection.
- Elle est très belle, ainsi. Déshabille-toi, ne te gêne pas, dit Alban, nu, le mandrin en érection, avec du sperme sur le gland.
J’entre dans le salon, avec Marc Alexandre.
Ma chambre est au premier étage, avec vue sur la mer. Elle possède un balcon, des miroirs et des glaces, dans la pièce principale, la salle de bains et aussi dans une pièce capitonnée avec un chevalet. Ma garde-robe est toute simple avec des corsets, des guêpières seins nus, des jupes de mi-cuisses jusqu’à ras des fesses, des robes seins nus, fendues, mais ni dessous ni maillot de bain et une collection de mules, d’escarpins et de sandales à talons de dix à douze centimètres.
Marc Alexandre me suit.
Dès que je suis nue, je rejoins la salle de bains, pour me refaire une beauté, sur mes mamelons et ma chatte. La salle de bains comprend une douche, un bidet, une cuvette et une canule reliée à un tuyau indépendant du pommeau de la douche.
-Tu es sexy. J’aime ce superbe corps. Tu n’es pas pudique.
- Tu veux me prendre, ne te gêne pas ou tu me prends sur le canapé. J’enduis mon œillet pour me faire enculer.
- Marc, Shawn est très vicieuse. Elle aime le sexe sous toutes ses formes, homme, chien et même équin. C’est une pute chevaline, dit Alban.
- Tiens, elle qui refusait que je lui honore sa chatte, la préférant l’offrir à ses chéries, de séduisantes beautés comme elle. Ecarte tes fesse, qu’il admire ton œillet de soumise.
Je libère mon anus et il est bien entrouvert. Balzac et Roméo m’ont longuement saillie dans la nuit.
Marc exhibe son mandrin de trente par sept et il l’enfonce délicatement dans mon anus, tout en écartant bien mes fesses sur lesquelles, il fait claquer ses mains.
- Fesse-moi, je suis ta pute.
- Quelle ouverture, tu es bien assouplie, dit Marc. Cambre-toi bien sur le lit, je vais te faire jouir.
- Caresse-lui surtout son clitoris de chienne, dit Alban. Je peux vous défoncer aussi, Marc.
- Oui, cela me fera bander davantage. Elle sentira davantage ma belle queue. Vous avez raison, elle mouille davantage, enculée.
Alban encule Marc, que je découvre dans les miroirs.
Sans attendre, Hubert m’offre son mandrin à sucer, pour profiter de la situation.
- Elle aime ça, sucer, mon chaton.
- Nous allons essayer d’éjaculer ensemble, dit Alban.
- Votre queue, Alban, me fait un grand bien. J’écartèle l’œillet de cette pute, dit Marc.
Ces mots m’excitent. Je sens une vague de plaisir m’irradier, les jets de sperme inondent simultanément ma bouche et mon anus.
Marc se retire et Alban le remplace. Marc encule Alban, pour le faire bander dans mon anus écartelé et lubrifié par le sperme chaud.
- Mais, elle a joui une fois, elle va encore jouir, ma belle, dit Alban.
- Oui…
- Avale bien ma queue, mon chaton, dit Hubert.
Puis un autre étalon entre. Je ne le connais. C’est un superbe étalon Africain noir, de 45 ans, musclé, nu, exhibant son mandrin en érection.
- Désiré, tu veux prendre cette beauté. Elle est déjà bien ouverte. Elle va te sucer et tu l’encules ensuite. Cette pute a besoin de se faire défoncer.
Hubert m’offre le mandrin de Désiré, en bouche. Je viens d’avaler le sperme d’Hubert. Je suis au bord de l’orgasme anal, avec Alban.
C’est un vingt-huit par huit que m’offre Désiré.
- Tu suces, ma belle, dit Désiré.
- Elle aime sucer profondément, dit Hubert, pour m’encourager.
Je m’empale sur Alban, jusqu’aux testicules.
Alban et Marc éjaculent presque simultanément. Je suis pantelante, mais je dois m’offrir à Désiré.
Désiré m’encule, mais je dois offrir ma chatte que j’ai libérée à un de mes amants. C’est Marc qui me baise.
Doublement ouverte, je subis leurs assauts.
- Mais c’est une vraie chienne, Shawn, dit Désiré.
Tous les deux éjaculent en moi et je les suce, accroupie, cuisses écartées, retenant le sperme dégoulinant de ma chatte et de mon anus.
- Vas te doucher, rejoins-nous à la piscine, toute nue, dit Hubert. Tu es une sacrée chienne, mon chaton.
- Oui, Hubert, je suis une chienne à ton service.
Vers 16 heures, je me masturbe sous la douche, repensant à mes ébats, étroitement surveillée par les caméras de la villa.
A la piscine, je suis accueillie par un verre de jus de fruits avec un stimulant sexuel.
- Tu as vue, ses bijoux intimes. Mon chaton, montre tes reins à ces messieurs, dit Hubert. « A votre chienne S », c’est une authentique chienne que vous avez devant vous, messieurs.
- On pourra la reprendre quand ? dit Désiré, en se masturbant.
- Elle va faire quelques longueurs de piscine, nue et elle se douche puis on décidera, dit Alban.
J’obéis. J’ai mis mon bijou d’anus, qui brille entre mes fesses musclées.
Sous la douche, je me rince longuement.
Je remarque la présence d’un berger allemand et d’un doberman, appartenant aux maîtres-chiens. Ils ont senti mon odeur de chienne. Vont-ils me prendre ?
- Conan et Shawn venez au pied, dit un autre étalon sexy, brun, de 25 ans, en uniforme. Qui est cette superbe beauté, Baron ? On la prendrait pour votre nièce.
- Pierre Brice, c’est Shawn, une superbe soumise et chienne. Tes chiens peuvent la monter sur le champ, surtout enculée. N’est-ce pas ? dit Alban. Elle suce bien.
- Oui, j’ai l’œillet en feu, après l’orgie de toute à l’heure.
- Mets-toi à quatre pattes, je vais libérer ton accès, dit Hubert.
Une fois en position, Conan le berger allemand m’encule jusqu’au nœud, il reste en moi une bonne demi-heure. Pierre Brice est surpris :
- C’est la première fois que je vois une femme s’offrir à un chien. Elle prend du plaisir.
- Cette chienne vient du Domaine. Elle a l’habitude.
- Oui… Conan… Mets-la… Profond…
- Je crois qu’il a éjaculé en elle. Shawn va le finir.
Sans attendre, Shawn m’encule avec plus de rapidité et plus excité, tandis que je dois nettoyer Conan.
J’éprouve le même plaisir en trois quart d’heure. Je suis pantelante, mais je dois sucer aussi Shawn et Pierre Brice.
- Je peux…
- Bien sûr, bien lubrifiée, elle jouira aussi, dit Hubert.
Pierre a un mandrin de trente-deux par huit et il m’encule d’une seule traite, jusqu’aux testicules, en me fessant.
- Tu es bien ouverte, la belle. Mes chiens t’ont fait jouir, tu es une sacrée chienne.
- Pine-moi…
- Tu ne seras pas déçue. Je vais te fesser, une chienne aime ça.
Mon anus dégouline lors de sa longue éjaculation et je dois sucer pour le nettoyer. Je suis épuisée.
- Viens t’allonger sur la chaise longue, tu vas te reposer un peu, dit Alban. Elle a bien joui, pour aujourd’hui.
Pierre Brice repart avec ses chiens satisfaits.
Vers 18 heures, Mes hanches sont douloureuses, mon anus reste entrouvert, dégoulinant de spermes.
Ayant repris mes esprits, je m’assoupis un peu.
Je me douche et me farde, me parfume. Je reste nue et en sandales, l’anus propre pour de futures sodomies.
Vers 20 heures, je mange empalée sur chacun de mes amants, enculée, pour leurs plus grands plaisirs, mon corps livré à leurs caresses, qui me font jouir.
Vers 22 heures, je rejoins le salon, pour regarder un film porno SM avec mes amants. Je suis toute excitée par les scènes me rappelant le club et le Domaine. Je suce mes amants.
Je monte me coucher, seule dans ma chambre, nue, cuisses écartées. Je me masturbe de ma longue journée jouissive, l’anus libre.
Le doberman Shawn me rejoint et m’encule. Je l’enserre avec mes jambes pour être mieux enculer jusqu’au nœud. Je ne compte plus mes orgasmes, après un long léchage de ma chatte par Shawn.