dimanche 3 janvier 2021

LINGERIE DU VICE

 

Je m’appelle Shawn.

J’ai 20 ans.

Je suis une jolie beauté scandinave.

Je suis une brune aux yeux verts. J’ai des pieds fins et latins, des jambes longues bronzées, musclées qui inquiètent par leur perfection. Mon pénil est bombé, ouvert, couronné de noir. Ma pilosité brune couvre mon pubis. Je suis velue entre les cuisses et j’ai une superbe croupe. Mon entrecuisse est velue. Mes hanches s'incurvent et délimitent le ventre plat, délicieusement renflé autour du nombril, les hanches sont larges et rondes, mais sans lourdeur. La taille est affinée. Les seins parfaits intégralement bronzés sont un peu volumineux mais fermes, et leurs pointes marron clair, toujours dressées, cernées par une large aréole marron attirent le regard. J’ai une peau lisse et patine. Finition parfaite, un seul grain de beauté entre mes superbes seins. De longs cheveux plats blonds flottant comme des algues, battent mes épaules rondes et gracieusement athlétiques. Je suis intégralement bronzée. Mes yeux verts limpides s'allument, ma bouche charnue se fend. J’ai des sourcils bruns bien dessinés et des lèvres pulpeuses. J’ai de longs doigts fins et de belles mains. Je fais du 85B de poitrine, 56 de taille, 90 de hanches, 1,75 m.

 

LINGERIE DU VICE

 

19 mai

Ce matin, vers 9 heures, je rejoins ma boutique de lingerie « Dentelle et Satin », en région parisienne. J’ai hérité cette boutique, ainsi qu’un studio, par un de mes parents éloignés.

Le studio que j’ai hérité, je le partage avec la seconde vendeuse, Aimée, une jolie brune aux petits seins, aux cheveux courts, adepte des seins nus sous ses tenues sexy. Il est à une demi-heure à pied de la boutique de lingerie.

Moi, je préfère porter de la luxueuse lingerie, lors de mes ébats lesbiens avec mes chéries, que je connais depuis l’adolescence.

Aujourd’hui, j’arrive en tailleur classique fuchsia, sur mon chemisier blanc cachant mon ensemble en dentelle blanche transparente, soutien-gorge, slip et porte-jarretelles avec mes bas blancs, chaussée de sandales blanches à talons de douze centimètres, les cheveux libres, maquillée, parfumée. Mais j’aime aussi portée la queue-de-cheval. Ma boutique est située non loin du bar « Dionysos & Ariane ».

Vers 11 heures, je reçois la visite d’un élégant athlète musclé brun, barbu, de 60 ans, qui cherche des dessous pour une jeune maîtresse.

- Qu’avez-vous comme ensemble soutien-gorge, string et guêpière à me proposer, je suis le Baron Alban. J’habite dans le quartier.

Je lui propose les modèles. Je dois les essayer devant lui, pour lui donner une idée. Je me déshabille entièrement, ne gardant que mes bas et mes sandales. Il a une vue imprenable sur mon corps. Je suis toute mouillée. Il garde le string trempé et en achète deux supplémentaires.

- Vous êtes très belle. Vous devrez être modèle photo de lingerie. Je vous donnerai une adresse.

- Non, j’ai ma boutique à m’occuper, monsieur le Baron.

Il me paye en espèces, repart avec ses paquets. Je me sens à la fois excitée et déçue d’avoir refusée son offre. Il m’a laissé sa carte de visite.

Au déjeuner, au restaurant « Délices Gourmets », non loin de là, je réfléchis si je dois le contacter.

Vers 13 heures, j’ouvre ma boutique pour l’après-midi.

Mon téléphone portable sonne :

- Alors, la gouine, tu refuses l’offre du Baron. Non, tu préfères ta chérie Aimée. Deux gouines dans un studio photo, cela peut rapporter plus gros que des photos en lingerie. Tu as un superbe physique. J’oublie, je suis Brice, directeur de casting pour une grosse agence de mannequins de charme. Tu me rappelles, si tu es intéressée ? On peut se voir demain à ta boutique.

- Je vais y réfléchir.

- C’est une occasion qu’il ne faut pas rater, ma belle gouine. Tu t’offriras à d’autres beautés comme toi.

Il raccroche. Ce Brice m’excite tout autant que le Baron.

Je rappelle le Baron entre deux clientes.

- Excusez-moi, monsieur le Baron, c’est Shawn de la boutique de lingerie. J’ai eu une proposition d’un certain Brice pour des photos de charme. Je dois réfléchir.

 -Tu connais Brice, ma belle. Je pense que à nous trois nous allons faire affaire.

- A trois…

- Oui, Brice, toi et moi, j’ai un client en commun. Il te contactera prochainement.

Il raccroche.

Un trio avec deux hommes, mais je suis une gouine pas une hétérosexuelle.

Vers 18 heures, alors que je vais pour fermer, un inconnu moustachu, musclé, bien monté, de 25 ans, me fait revenir dans ma boutique. Je dois la fermer de l’intérieur. Il me bande les yeux.

Il me prend la main et par l’arrière-boutique, je dois franchir une porte secrète derrière un de mes miroirs, où je me refais une beauté.

Nous descendons des marches, longeons un couloir sombre jusqu’à un nouvel escalier. Cet accès m’est inconnu.

En haut de l’escalier, la porte s’ouvre.

- Voici, Shawn, la belle gouine de la boutique, elle vient pour les photos de modèle nu. Elle a un physique de rêve. Aimée sa chérie sera jalouse, quand elle verra ses photos.

Aimée est au courant de ma séance photo.

L’inconnu me retire le bandeau de mes yeux et je découvre deux superbes étalons, un barbu brun de 45 ans et un jeune de 25 ans, barbu blond, athlétique, en costumes d’homme d’affaire. L’inconnu est un bel étalon de 35 ans, moustachu musclé brun, bien monté, habillé comme eux.

- Sven, tu as trouvé la perle rare, je suis Charles Victor, dit Anal Plaisir. Car je suis un expert pour enculer les belles comme toi, dit le barbu de 45 ans. Voici, Dan, ton photographe attitré, payé par Alban. Brice n’est pas là, il nous rejoint demain. Sven est connu sous Hercules Sodo Plaisir.

- Tu dois être sexy en porte-jarretelles et bas, le reste du corps nu. Je t’imagine en bikini ou nue sur ton lit en train de te caresser. Tu dois être excitée, dit Dan, en se masturbant, tout comme Anal Plaisir. Moi, c’est Pine du Désir.

- Tu vois pas que tu l’embêtes, ma Shawn, dit une superbe beauté brune, aux seins 90C, en mini-short et décolleté en V, sur ses seins nus. Je suis Chantelle, 25 ans, dite Lesbos Vice, ta maquilleuse.

Dans quel casting, je me suis trouvée. Trois hommes bien montés et une lesbienne, rien que pour moi et Brice qui n’est pas là. Je n’ai plus mon téléphone portable.

- Allez, ma belle Shawn, tu viens dans ta chambre au premier étage. Ici, c’est le club privé Plaisirs et Désirs, dont tu possèdes des parts par ta boutique. Tu me plais. J’ai hâte de te voir, nue. Tu peux garder ton porte-jarretelles et tes bas, pour la première séance, dit Lesbos Vice. C’est Hercules qui te prends en premier. Si tu es vierge, je le verrais de suite. Si tu es doublement vierge, ce sera encore plus excitant pour mes chéris.

Je suis sous le charme.

Ma chambre est sommaire, avec un lit et des chaînes, un cabinet de toilette avec un bidet, une mini douche, une grande douche, une table roulante avec des poires de lavement, un martinet, une cravache, des carcans de cuir.

Je déshabille devant Dan, Chantelle et Anal Plaisir. Je suis excitée par Anal Plaisir.

- Tu retires tout, sauf ton porte-jarretelles et tes bas.

Je cache un peu mes seins et mon pubis.

- Tu fais ta timide, ta pudique, dit Chantelle en me retirant mes mains. Ici, tu dévoiles tout.

Les deux hommes bandent déjà.

- Tu es toute humide déjà. Tu es une lesbienne, mais en réalité, tu caches une vraie déesse du désir. Les hommes vont t’envier dès la parution de tes photos. Il faut garder ta toison pubienne et ta chatte velue, n’est-ce pas messieurs ?

- Oui, cela a un certain charme auprès des amateurs de jolies chattes velues dit Anal Plaisir. Sven doit être impatient de te prendre.

Il va me photographier.

- Pourquoi, il y a un martinet, une cravache, dis-je.

- C’est pour plus tard, comme un gode. Tu raffoles des godes, bien sûr, une gouine sans ses godes, n’est pas possible, dit Dan.

Je suis conduite au rez-de-chaussée. Je dois poser en lingerie, déchaussée, dans des positions érotiques.

Hercules Sodo Plaisir est déjà nu, son mandrin de trente-six par huit m’excite. Je suis sous le charme. Va-t-il me déflorer, Aimée sera jalouse ?

- Quel superbe spectacle, dit Hercules. J’aime ce sexe velu, perlée de mouille. Elle attend que cela. Ne baisse pas les yeux, ne fais pas ta timide.

Chantelle en profite pour me doigter la chatte, me l’écarteler davantage. Je mouille davantage, ne pouvant me contrôler vers mon orgasme.

Puis elle m’enfonce un gode, une fois mon clitoris tendu sous l’excitation, et quelques gouttes d’un vaporisateur tenu par Sven. Il devient constamment tendu, gros comme une cerise, saillant et volumineux, me fait très mal et la moindre caresse sur mon gros clitoris sensible, me fait un peu mal.

- Jouis, ma belle, donne-toi, dit Chantelle.

Je me retrouve prosternée, jusqu’à mon orgasme. Ma mouille dégouline sur la table.

- Anal Plaisir, elle est prête pour se faire livrer à des langues du plaisir. En plus, elle est vierge, ce sera d’autant. Ses fesses n’ont pas du subir l’assaut d’un gode, dit Chantelle.

Je me lève. Je garde ma pilosité pour l’instant. Qui va me déflorer ?

Anal Plaisir colle son mandrin bandant de trente par neuf, contre mes fesses. J’aime ça.

- Tu vas obéir, ma belle Shawn, à tous les hommes à qui tu vas te soumettre, dit Anal Plaisir. On va filmer ta double défloration. On a le temps. Il n’est que 19 heures. Tu pourras te coucher vers 22 ou 23 heures, pas avant.

- Oui, Maître, je suis prête pour les photos. Je suis toute mouillée.

- Oui, ma belle soumise lesbienne, ces messieurs vont être excités de te voir en lingerie. Tu es entièrement filmée.

Chantelle me met des carcans en cuir. Ils sont faits en plusieurs épaisseurs de cuir, chaque épaisseur assez mince, au total pas plus d'un doigt, verrouillés par un système à déclic, qui fonctionne automatiquement comme un cadenas quand on le referme, et ne peut s'ouvrir qu'avec une petite clé. Dans la partie opposée à la fermeture des bracelets, pris dans le milieu des épaisseurs de cuir, et n'ayant presque pas de jeu, il y a un anneau de métal, qui donne une prise pour fixer, et qu'on positionne du côté intérieur du poignet. Pour le collier, l'anneau pend devant le cou, reposant sur la saillie des clavicules, et brinquebale au rythme des mouvements de celui qui le porte.

- Voici, ton collier et tes bracelets de soumise, comme tu le désires. Tu es très belle avec. Tu seras obéissante et docile dès maintenant.

Je suis prête à partir, mais j’éprouve le besoin de m’offrir à ces messieurs.

- Oui, Maître, je ferais tout ce que ces messieurs exigent de moi. Je ferais de mon mieux devant la caméra.

- Tu vas te caresser et tu donneras du plaisir à ces messieurs.

Je découvre six beaux étalons, dont Sven, un bel étalon Africain Noir, prénommé Jason, de 30 ans, trois Européens entre 35 ans et 40 ans et un Sud-Africain blanc de 28 ans.

Je m’exécute. Je me vois comme si j’étais dans ma chambre à me caresser en solitaire.

Mon clitoris tendu, ma chatte s’ouvre encore plus humide que lorsque Chantelle m’a caressée.

- Allez, ma belle Shawn, tu vas sucer ces messieurs. Tu es bien humide.

- Oui, Maître, je vais les sucer.

Je ne l’ai fait jamais auparavant. Aimée m’a montrée des films. Je vais faire de même.

Je suis totalement nue, des bracelets sont rajoutés à mes chevilles.

Ma bouche est rapidement remplie de leur quantité de spermes, surtout lors des gorges profondes.

Mais je dois m’arrêter à Jason, doté d’un quarante par huit.

- Non, ma belle, tu continues. Ce bâillon O te gardera la bouche ouverte pour avaler et je vais t’attacher les mains dans le dos. Tu devras avaler.

Je reprends, agenouillée, cuisses écartées, avec les autres étalons.

Je suis surprise par ce nouveau plaisir, qui m’excite.

Vers 20 heures, je suis lavée, rincée, ma chatte est aussi lavée. Je suis poudrée sur le visage et mes paupières sont légèrement ombrées. Chantelle me met quelques gouttes d’un vaporisateur sur mes mamelons. Un glaçon passé sur mes mamelons fixe la couleur rouge, comme aux grandes lèvres de ma chatte. Le parfum est longuement passé sur mes aisselles lisses et ma fourrure pubienne, dans le sillon entre les cuisses, dans le sillon sous les seins, et au creux des paumes.

Mes seins offrent les mamelons constamment tendus, par les glaçons. Mes mamelons et mon clitoris sont sous l’effet d’une excitation énorme. Mes mamelons pointent au maximum tout le temps, vingt quatre heures sur vingt quatre et de même pour mon clitoris. Mes mamelons saillants sont aussi gros et longs. Mes mamelons complètement tendus et très durs au point de me faire vraiment mal et le moindre effleurement même involontaire devient une véritable torture tellement ces endroits sont devenus sensibles.

Devant Hercules Sodo Plaisir, je prends des poses érotiques, offrant mes fesses. J’ai hâte d’être prise. Il aime regarder mon corps.

- Hercules, tu veux la prendre en premier ou Pine du Désir, dit Anal Plaisir.

- Anal Plaisir, je la prends en premier, dit Pine du Désir. J’ai la queue en feu. Sa chatte dégouline attend que moi, la belle pute du désir.

- Non, ce sera Déesse du Plaisir son pseudonyme pour le cahier de ses photos. Elle va se donner, depuis qu’elle a très envie. La belle queue de Pine du Désir de trente-huit par huit te conviendra.

- Je suis toute à vous.

La belle queue de Pine du Désir m’excite, collée contre mes cuisses humides, tout en enfonçant ses doigts dans ma chatte humide, mon clitoris est encore tendu.

Il pelote gentiment mes seins, excitant mes mamelons tendus à l’extrême.

Allongée sur le dos, cuisses écartées, je me laisse baiser jusqu’au fond de ma chatte et je jouis.

- Tu jouis, c’est bien, je vais te piner plus profondément et plus fort. Tu vas encore jouir.

- Oui, Maître, ma chatte est à vous.

Puis je m’empale face à lui, puis je l’enserre avec mes jambes, pour mieux me baiser. Il éjacule en moi au bout d’une bonne demi-heure, lors de mon nouvel orgasme.

- Ma belle, tu es en veux encore, je t’ai bien fait jouir. Empale-toi sur moi, de dos, ma belle.

J’obéis.

- Je veux encore…

- Ta chatte est bien ouverte. Anal Plaisir va te prendre par-là et par ton œillet, tu vas aimée.

Je suis empalée sur Anal Plaisir, d’abord dans ma chatte, face à lui, tenue sous les cuisses écartées, la chatte bien lubrifiée par le sperme de Pine du Désir. Il possède un mandrin de trente-huit par neuf, qui me remplit jusqu’au fond de ma chatte. Je jouis encore.

Il me libère, la chatte inondée de spermes.

- Ta chatte est bien ouverte, maintenant je vais m’occuper de ton œillet. Tu vas aimée. Tu dois aussi jouir par-là, ma belle déesse.

Prosternée, je dois subir ma première sodomie par son gros calibre. Je gémis.

- Pousse un peu et cela te fera moins mal, ma belle pute.

J’obéis. Mais son gros calibre m’écartèle bien.

- Tu seras enculée plusieurs fois par jour, pour t’ouvrir, ma belle pute.

Il m’encule à quatre pattes et éjacule encore en moi.

Vers 21 heures, je suis pantelante, quand je me lave la chatte et l’anus avec la poire, devant Chantelle.

- Tu as bien joui, pour une double défloration. Tu es une bisexuelle cachée. Tu n’as pas encore à Six Orgasmes, ma belle, pour te baiser et t’enculer. Les chiennes et putes comme toi, préfèrent Hercules.

Je m’empale la chatte et l’anus sur un double gode de quarante par huit et un de trente par sept fixé sur un ballon, au rez-de-chaussée, près d’une piscine intérieure, devant d’autres invités.

Je me fais de mon mieux, pour sauter, empalée sous mon propre poids, pour ma première double pénétration avec des godes. Je connais un double orgasme après quelques trajets hésitants.

- Tu viens de jouir, déesse, tu mérites une punition, dit Anal Plaisir.

Six Orgasmes me baise longuement dans diverses positions, jusqu’à l’orgasme et éjacule au fond de ma chatte, avant de longuement m’enculer et d’éjaculer encore, à six reprises au total. Je suis épuisée et fière d’avoir joui avec lui.

Anal Plaisir, j’ai envie de vous, Maître.

- Les autres étalons t’ont donné du plaisir, mais c’est moi que tu veux. Tu vas encore jouir avec Six Orgasmes.

Six Orgasmes me baise dans diverses positions, éjaculant encore en moi.

- Viens me sucer, ma belle déesse, dit Anal Plaisir.

Je m’exécute, agenouillée, cuisses écartées, la chatte et l’anus dégoulinant de spermes. Il éjacule dans ma bouche.

Je vous appartiens, Maître.

- Chantelle, tu la ramènes à sa chambre. Elle devient docile, tu lui mets l’Adam pour la nuit. Elle doit être prête pour demain matin, bien ouverte.

Je me restaure, nue, douchée.

- Allez ma belle, je vais t’enchaîner à ton lit, car tu es une soumise. Tu ne peux te masturber sans autorisation.

Enchaînée par mon collier, les mains jointes à mon cou, Chantelle me met une ceinture de cuir autour de ma taille.

- Voici Adam, ton partenaire pour la nuit, tu vas l’adopter, ma chérie.

L’anus entrouvert, je reçois un superbe gode muni de picots, de bonne dimension, trente-huit par huit. Son prépuce glisse le long du gland pour ma sodomie profonde  avec des va-et-vient. Le gode en érection s’allonge et rétrécit à chaque mouvement de va-et-vient grâce à son enveloppe ultra-souple qui s’étire ou se contracte en suivant les montées et descentes du gode. C’est comme un vrai étalon infatigable qui m’encule. Trois chaînettes pendent de la base du gode. Chantelle accroche les trois chaînettes à la ceinture, une par derrière qui suit le sillon des fesses, et les deux autres par-devant, qui longent le pli des aines en contournant le triangle pubien. Chantelle les ajuste au plus court, de façon que le mouvement intérieur des muscles ne peut repousser le gode et permettre de se resserrer à l'anneau de chair qu'il doit forcer et distendre, et on les attache avec de petits cadenas, pour s'assurer que, lorsque je suis seule, pour me soulager de cette contrainte.

- Si tu as besoin de te soulager, tu m’appelles.

Pendant mon sommeil, Anal Plaisir contacte un inconnu, parlant de mes prestations. Il dirige avec mon téléphone portable, les va-et-vient du gode, décuplant mon plaisir anal.

 

20 mai

Au lever du soleil, Anal Plaisir vient me voir.

- Je vais te retirer Adam, tu as sacrément jouit cette nuit. Je vais t’enculer chaque matin, ma belle. Ton clitoris sera percé aujourd’hui et tu porteras ta bague pour te faire reconnaître.

- Oui, Maître, je suis toute humide et mon œillet est prêt pour vous.

- Ton clitoris est bien tendu, tout comme tes mamelons. Tu es très excitée. Tu vas faire tes besoins et tu vas me sucer.

J’obéis.

Anal Plaisir m’encule sur le champ et éjacule en moi. Adam m’a bien ouverte, je ressens du plaisir non pas de la douleur.

Il me tient en laisse par mon collier, nue, pieds nus, prête à me livrer à d’autres désirs et vices.

Je suis offerte sur un double gode de calibre sept avec des picots sur chaque sur une machine.

Je jouis, fantasmant sur deux étalons qui me prennent.

Tenue en laisse, dans une salle de torture, Anal Plaisir m’encule, debout, pour me préparer davantage. Puis je suis offerte sur un banc de musculation, cuisses très écartées, menottée, avec un bâillon-boule, ma chatte et mon anus sont bien lubrifiés.

Mon anus est rempli par un bijou d’anus en forme de tunnel et une gaine de pénis. Je dois subir l’assaut de ma chatte par Six Orgasmes, mes mamelons sont durcis par l’excitation, tout comme mon clitoris. La douleur devient plaisir anal. Pour enfin, être double godée, dans une position les cuisses écartées, les genoux pliés, tandis que les deux godes de calibre sept s’enfoncent dans ma chatte et mon anus bien lubrifiés. Je me retiens de gémir et je jouis.

Je suis prise en double, Anal Plaisir avec une gaine à picots sous moi, m’enculant et Six Orgasmes me baisant jusqu’à l‘orgasme. Je suis excitée.

Mes mamelons et mon clitoris sont tendus à l’extrême, mais je prends du plaisir.

Menottée, les bras tendus en l’air, cuisses écartées, des chaînes fixées à mes chevilles, je suis fouettée.

La garcette, de cordes assez fines, faite de sept lanières terminées chacune par plusieurs nœuds, et qui sont toutes raides, trempées dans l'eau, ce qui a été fait comme je peux le constater, sur l’intérieur de mes cuisses, combien les cordes sont humides et froides.

Chantelle me passe de la pommade sur mes fesses, mes cuisses, mes reins, avant que je me douche.

Mon gros clitoris est percé d’un anneau doré avec une pierre précieuse, peu après une de mes nouvelles sodomies sauvages, pour multiplier mon plaisir, lors des doubles pénétrations par des gaines à picots. Je porte aussi une bague sertie d’un anneau à mon annulaire gauche.

- Ma belle, Shawn, Déesse du Plaisir, tu vas vivre non loin du club. Il faut que tu t’habitues à être appelée ici, à n’importe quelle heure de la journée. Tu dois être excitée, annonce Anal Plaisir.

- Maître, je veux vous embrasser, je suis une bonne soumise, dis-je.

- Oui, tu as le droit de rejoindre ton appartement. Tu ignores Aimée. Tu fais l’amour avec le premier venu, dans tous les lieux où tu te trouves. Désormais, tu dois vivre nue, chez toi et avoir constamment les seins, les fesses et les jambes nus, pour montrer que tu es accessible à ceux qui ont la bague. Tu es doublement ouverte, mais tu dois porter encore Adam quelques jours, pour t’élargir. Une fois élargie, tu seras encore plus désirable. On épilera ta chatte selon les désirs de tes clients. Tu es une beauté bisexuelle. N’oublies pas, tu es une soumise, tu réponds aux ordres et exigences.

- Oui, Maître, je ne porte plus de dessous, ni de tenues qui entravent mon accès. Je me farde et me parfume tous les jours. Je me donne à tous les hommes qui me désirent.

Vers 18 heures, sans mes carcans de cuir, Chantelle, en robe dos nu noire, chaussée de mules noires à talons de douze centimètres, me conduit à mon nouvel appartement à cinq minutes de ma boutique, où m’attend une surprise. J’entre les yeux bandés, avec juste mon tailleur, ma veste sur mes seins nus et ma jupe sur mes fesses et mes jambes nues, en sandales, fardée et parfumée, comme on me l’a appris. L’appartement est au-dessus du sex-shop « Eros et Vice » tenue par une amie de Chantelle.

- Tiens, une superbe déesse, viens me sucer.

Brice me fait sucer son mandrin de trente-six par huit, c’est un superbe Apollon brun de 25 ans, musclé, bronzé.

- Quelle chatte, en deux jours, tu es bien élargie.

Il m’encule.

- Quel œillet, un peu étroit, mais il va s’élargir à force de te prendre, ma belle.

Sans mon bandeau, je mange, enculée, assise entre ses cuisses.

- Viens t’asseoir, sur ma queue, ouvre bien les fesses.

La sodomie est profonde, jusqu’aux testicules, sous mon propre poids. Il caresse mes seins aux mamelons tendus, mon clitoris tendu entre mes cuisses écartées, mes reins et mes fesses.

- J’aime quand tu me prends. Mon œillet s’ouvre sous ta queue. Caresse-moi.

- Tu aimes ça, te faire défoncer, ma belle soumise.

- Je vais jouir, remplis-moi.

Je découvre ma nouvelle garde-robe. Je n’ai pas besoin de déménager de mon studio. Aimée va être jalouse. La boutique est tenue en mon absence, par des amies de Chantelle.

Je passe la nuit avec Brice, me faisant enculer dès qu’il le désire.

 

21 mai

Vers 7 heures, j’émerge, me douche longuement, tentée de me caresser, malgré mes orgasmes de la nuit.

Brice me rejoint avant le petit déjeuner. Il se douche devant moi, je n’ose me caresser.

- Tu as le droit de te caresser, c’est un ordre d’Anal Plaisir. Mais dès que tu es au club, interdiction absolue.

- Oui, Maître Brice, je suis toute à vous.

- Tu peux me tutoyer. Le « Eros et Vice » attends ta venue quand tu le désires. Appelle-moi entre nous, Sévices Plaisir.

- Je dois aller à ma boutique. Aimée va me sermonner, pour mon absence.

- Tu vas mettre un corset seins nus avec une minijupe et un boléro fermé au cou, une paire de mules à talons de douze centimètres, fardée et parfumée.

- Mais, cela fait pute. Je ne suis pas une pute, Brice.

- Tu es Déesse du Plaisir. Tu dois connaître tous les vices sexuels, même ceux que tu n’as jamais connu.

- Bien, je me donnerais aux hommes et aux femmes, baise, sodomie et double pénétration.

- Je te mets encore Adam pour quelques heures. Tu dois le porter encore deux jours encore, pour t’élargir.

- J’aime Adam, c’est un amant infatigable.

Le club « Amour et Sévices » se trouve dans la rue parallèle de ma boutique de lingerie. Le bloc d’immeuble est face à mon appartement. Je remarque qu’il n’y a ni rideaux ni volets à mon appartement. Tout le monde peut me voir, c’est excitant. J’en mouille d’avance.

Habillée, je rejoins ma boutique avec Brice.

- Tiens, te voilà enfin. Tu disparais deux jours sans nouvelles et tu reviens aujourd’hui, dit Aimée.

- Je vais t’expliquer.

- Mais le patron va te virer, ma belle gouine. Tu as encore une relation avec une de tes chéries.

- Aimée, ta chérie Shawn a du s’absenter pour parfaire son éducation sexuelle. Tu sais qu’elle est secrètement heureuse de toi, mais aussi du Baron, qui dirige la boutique et gère la location de ton studio, dit Brice. N’est-ce pas Déesse du Plaisir ?

- Tu ondules ton bassin. Tu te fais jouir, ma chérie Shawn.

- Oui, j’aime ce gode dans mon puits de chienne. Tu devrais essayer. Regarde mes fesses nues zébrées.

- Tu es devenue adepte de la sodomie. Tu es devenue une pute, mais je rêve.

- Non, je ne suis pas une pute, mais une bisexuelle prête à tous les désirs, n’est-ce pas, mon Brice. Je veux revoir le Baron.

- Tu le verras, ma chérie, lors d’un baiser langoureux, les fesses dénudées par la minijupe relevée.

- Aimée, tu reste là. Tu es jalouse que Shawn soit bisexuelle et soumise. Occupez-vous des clientes, ordonne Brice. Je vous laisse. Toi, on se retrouve au bar « Dionysos & Ariane », non loin de là.

- Oui, j’y serais, mon chéri.

Brice disparaît.

- Tu es raide dingue de cet Apollon, ma chérie. Tu as vue comment tu es devenue, pute, soumise, offerte à un homme, toi qui déteste les hommes.

- J’ai changée et je suis fière de moi.

Je regarde mon téléphone portable. Il y a des vidéos de mon dressage. Je mouille en me rappelant mon dressage en deux jours.

- Madame Shawn, vous auriez un string dentelle transparente pour couvrir une superbe chatte velue, dit une voix masculine inconnue.

Je lève les yeux et je vois un superbe athlète brun barbu chauve de 35 ans, bien monté, en costume d’homme d’affaire, très élégant.

- Oui, voici nos modèles, regardez la taille que vous désirez, monsieur.

- Pouvez-vous l’essayer, que je vois l’effet.

- Bien sûr, venez me voir en cabine d’essayage.

Je l’essaye avec le gode anal, mais j’éprouve une étrange sensation, de douleur et de plaisir avec mon clitoris percé.

- Elle vous va à merveille. Je vous l’offre, je suis le Comte Donatien Sexe Mille Baisers. Je réside à l’entrée de la ville, dans une villa que je vous réserve, si vous le souhaitez.

- Comte, vous devez le payer.

- Je te le paye, ainsi que d’autres strings à ta taille, dès que tu me les livre. Voici ma carte de visite. Je suis un ami du Baron. Tu as de superbes fesses. Adepte BDSM, anal, tout autre plaisir sexuel, tu me plais.

Je suis un peu gênée, en aparté d’Aimée.

Vers midi, je rejoins le bar. Chantelle me retire le gode, pour que Brice ou un autre homme m’encule, à la fin du déjeuner.

J’attends, les fesses nues aux toilettes pour hommes.

Brice me rejoint et m’encule, bien ouverte. Un autre homme plus âgé de 45 ans, moustachu, athlétique nous rejoint :

- Je peux la prendre, elle me tente. Oui, chérie, tends tes fesses, il en a une très grosse.

- Oui, j’aime ce calibre.

L’homme me fait coulisser comme Brice, en me tenant par les hanches. Brice m’a bien lubrifié avec son sperme. Je suis penchée au-dessus de l’urinoir.

Le calibre huit me fait jouir. Je ne sais si je serais punie.

Il éjacule sur mes fesses et je dois le sucer avec Brice, accroupie, cuisses écartées.

Brice me met un bijou d’anus de treize par cinq pour rendre mes sodomies moins douloureuses, tout en stimulant ma chatte, par mes contractions, ma chatte est resserrée en le portant. Il est froid, mais je m’habitue.

- Ainsi, on peut te prendre, l’œillet déjà ouvert. Chantelle va s’occuper de toi, cet après-midi, pas de boutique.

- D’accord, Sévices Plaisir, j’obéis à Lesbos Vice. Tu m’as filmée, enculée.

- Bien sûr, Anal Plaisir a tout vu depuis hier soir à l’appartement.

Vers 13 heures, rhabillée, rafraîchie, fardée, je me rends à « Eros et Vice ». Je possède une collection de godes réalistes, pas avec des prépuces comme ceux du club.

C’est son amie Pénélope, une superbe brune aux petits seins, aux cheveux mi-longs, en chemisier blanc sur ses seins nus et une jupe éventail fuchsia, chaussée de sandales blanches à talons de douze centimètres qui nous accueille.

- Voici, Déesse du Plaisir, doublement ouverte depuis deux jours, une reine du SM anal, montre tes fesses.

J’obéis, elles sont zébrées. Brice m’a cravachée ce matin, avant de m’habiller.

- Elle porte un bijou d’anus. Elle doit avoir une grosse envie de se faire enculer, ma belle. J’ai ce qu’il te faut, des godes anaux, des double godes et même des clients pour te satisfaire, dit Pénélope.

- Calibre huit surtout, les gros calibres vont l’élargir un peu plus, dit Chantelle.

- Voici mes modèles avec prépuce, tu portes déjà un Adam. Ce sont les mêmes. Retire ton bijou.

J’obéis.

- Son œillet est bien ouvert. Elle s’est faite enculée récemment.

Je sens soudain un mandrin me remplir. Je pense que c’est un gode.

- Tiens, prends ma queue jusqu’aux testicules, chienne Déesse du Plaisir, je vais te fesser aussi.

Je mouille, mon clitoris me fait un peu mal. Ce mandrin de trente par huit m’écartèle.

- Vas-y, jouis, prends du plaisir. Je vais éjaculer en toi.

Puis le mandrin se retire et il est remplacé par le bijou.

Je n’ose questionner si c’est un gode ou une vraie queue.

- Voici les modèles pour toi, ma belle, tu dois les porter tous les jours, selon tes envies.

- Oui, Pénélope, je le ferais. Qui m’as enculée tout à l’heure, j’aime cette queue ?

- Tout à l’heure, tu verras ce sera encore meilleur. Un film lesbien anal pour te faire patienter, la cabine est au sous-sol.

Avec Chantelle, nous allons en cabine. Je relève ma minijupe, exhibant mon pubis velu.

- Tu es une soumise naturelle, cela me plait. Régale-toi, tu peux te caresser, la porte reste entrouverte, des fois, les clients viennent voir les clientes, c’est très libertin.

En effet, un inconnu m’offre sa belle queue de trente par six en bouche. Je dois le sucer, tout en regardant la gouine se faire enculer par sa copine. Je suis très excitée. Chantelle a retiré mon boléro et pelote mes seins aux mamelons constamment tendus, mon clitoris est aussi tendu.

- Elle suce bien, dit l’homme âgé de 55 ans.

- Tu peux l’enculer, elle aime ça, dit Chantelle. Retire ta jupe et ton bijou, penche-toi en avant, il te prendre.

J’obéis. Je ne suis pas déçu, un mandrin de vingt-huit par sept.

- Oui, elle aime ça. Je vais bien t’écarter les fesses brûlantes.

- Prends-moi, je suis ta chienne.

- Suce-moi aussi, dit un autre homme bien monté.

J’obéis.

- Quelle suceuse, elle doit avoir un œillet bien ouvert, mon cher.

- Oui, elle est bien lubrifiée, dit l’autre.

Il se retire de mon œillet et le laisse à celui de trente par six.

- Nettoie-moi bien, ma belle.

Je m’exécute, un nouvel orgasme anal me terrasse. L’homme éjacule en moi et l’autre dans ma bouche.

En une heure, j’ai joui avec deux hommes. Le second que j’ai sucé et qui m’a enculée est un bel athlète de 45 ans, brun, élégant.

- Je suis Dan, commercial en lingerie et voici, mon amant, Charles Edouard.

- Tu suces à merveille. Tu es une des filles du club. On se verra peut-être, dit Charles Edouard.

Chantelle m’a remis mon bijou d’anus. Mon anus dégouline un peu.

Je retrouve Pénélope.

- On t’a payé tes godes, ma belle. Tu loges au-dessus, ma belle. Tu as choisi un bel amant, Sévices Plaisir est le meilleur amant en catégorie homosexuel tendance superbes beautés. Il fréquente entre Dan et Charles Edouard, tes amants d’un soir. Je les prends tous les trois par alternance.

- Gode-ceinture, tu dois mettre, dis-je.

- Non, regarde sous ma jupe, ma belle.

Je suis subjuguée par cette superbe et belle queue encore dure. Je ne peux évoquer les queues qui m’ont prise depuis trois jours.

Vers 15 heures, après une nouvelle heure offerte à mes trois amants, je suis pantelante, surtout offerte en double pénétration, suçant un troisième. Un paquet neutre cache mes godes. Nous remontons la rue sur une centaine de mètres.

- On va faire un peu le tour du quartier chaud. Tu loges dans le quartier chaud. Tu verras des couples, mais tu as très faim, ma belle.

- Oui, j’ai encore envie d’une queue.

- Plus tard, voici la boulangerie et pâtisserie « Délices des Ecrins », elle est juste au-dessus du club « Amour et Sévices ». Là, où tu as été dressée, tu te souviens.

- Oui, c’est l’entrée principale, dis-je.

- Non, c’est l’entrée pour le casting SM. Il y a une autre entrée secrète.

- Quand vais-je revoir Anal Plaisir ?

- Tu es très amoureuse. Sévices Plaisir ne te plait pas.

- J’hésite. J’aime les gros calibres.

- Viens, on va remonter la rue. Tu te déhanches devant les hommes, que tu croises, les yeux baissés, la bouche entrouverte. Attends, je vais te mettre Adam. Penche-toi un peu. Mais tu mouilles abondamment.

Une fois Adam en place, je me déhanche, tout en ondulant mon bassin. Les hommes me toisent, me font des compliments. Des couples souhaitent même me prendre. Je n’ose répondre, pas encore habituée.

Nous faisons une halte devant un immeuble avec une entrée Sexe Vices SM.

Viens, un certain Hercules t’attends, ma chérie.

Il habite dans cet immeuble. C’est discret comme endroit.

Nous montons l’escalier jusqu’au premier étage. Mes mules claquent.

Hercules nous accueille.

- Tiens, Déesse du Plaisir, je te manques déjà.

- Non, dit Chantelle, elle s’est faite jouir avec Lady Anal et deux superbes Apollons au « Eros », mais avant au « Dionysos » avec deux belles queues.

- Elle est rassasiée.

- Non, Hercules, j’en veux encore, dis-je, en me déshabillant. Il voit que je porte Adam.

- Tu es toute humide. Tiens, pour te faire patienter, ce délicieux gâteau au chocolat va te combler ton estomac.

Je le dévore, mais j’en envie de Hercules.

Libérée d’Adam, Hercules m’encule à plusieurs reprises, sans me faire jouir.

Il éjacule sur mes fesses qu’il cravache. Je mouille davantage.

- Sévices Plaisir et Hercules vont s’occuper de ta chérie Aimée. Elle n’a jamais été enculée.

- Non, pourquoi, elle est très jalouse.

Vers 17 heures, nous montons à bord d’une BMW série 3 et allons à la boutique.

- Shawn, tu es maintenant avec deux beaux étalons. Tu es en plein délire.

Aimée est simplement d’un chemisier noir sur ses seins nus et d’un jean, en escarpins noirs à talons de dix centimètres.

Ils la conduisent à l’arrière-boutique. J’assure le service.

- On va lui déflorer son œillet, Aimée, dit Hercules.

- Non…

- Il faut l’enculer profond, comme son ex chérie, dit Hercules. Tu la prends ensuite.

- Allez, suce, la pute. Tu as traité ton ex de pute, dit Sévices. Je bande bien.

J’observe discrètement, Aimée est toute nue, penchée en avant, cuisses écartées.

Le Comte Donatien les rejoint, car il veut l’enculer aussi.

- Bonjour, ma belle Shawn, votre ex est prête, je présume.

- Oui, Comte, dis-je les yeux baissés. Je m’occupe de toi ensuite.

Sévices encule Aimée, dont l’anus est lubrifié par une première giclée de spermes.

Aimée s’offre en double pénétration, à quatre pattes, suçant à tour de rôle les trois étalons. Elle est couverte de spermes.

Puis elle disparaît, conduite au club par l’entrée secrète.

- A toi, ma belle Déesse du Plaisir, ferme la boutique, on en a une petite heure avec toi.

J’obéis, nue, l’anus libre et lubrifié.

Je suis d’abord cravachée sur les fesses et les cuisses, avant une longue double pénétration, sans jouir.

- Regarde, par rapport à son ex, elle se donne davantage. Elle aime ça, dit Hercules.

- Elle préfère Anal Plaisir, mais Délices Vices tu devrais aimer, dit Sévices.

En effet, le Comte m’offre un trente-huit par neuf, pour m’enculer.

Je suis bien écartelée, mais j’aime ça.

- Quel œillet, il faut encore un peu l’assouplir, annonce le Comte. Elle prendra une bonne douche à son appartement.

Jusqu’à 19 heures, je suis constamment enculée, suçant, pour de nouveaux plaisirs.

Je ferme la boutique et je reçois un appel du Baron :

- Vos ventes du jour sont doublées et celles d’Aimée sont reversées sur mon compte. Vos deux journées de congés sont déjà payées. Vous avez un supplément de trente pour cent sur vos ébats sexuels depuis votre départ du club.

- Merci, Monsieur le Baron, je suis toute chaude. J’aurais le droit que vous me prenez aussi.

- Tu seras prise bientôt. Tu aimes les chiens, j’ai de quoi te satisfaire.

Il raccroche.

Je retourne à l’appartement déposé par Hercules. Sévices me laisse avec le Comte, qui a fait venir sa limousine Cadillac DTS-L, conduite par une superbe brune.

Je me douche devant lui. Il m’autorise à me caresser devant lui. Je le suce, accroupie, cuisses écartées.

Nous soupons. Je suis enculée, assise entre ses cuisses, partageant son souper. Je me retiens de jouir sous ses caresses.

Puis, la porte de l’appartement s’ouvre. Un superbe Adonis brun barbu de 35 ans, élégant, musclé, athlétique, entre.

Shawn, ma muse, j’ai vu tes photos et tes vidéos. J’ai hâte de te prendre la chatte et surtout de te défoncer ton œillet.

- Qui êtes-vous ? dis-je, alors que je sens mon orgasme anal m’envahir.

- Tu ne le connais pas. C’est Hubert, Duc des Saillies et Baisers des Mille Sévices. C’est un écrivain très spécial, qui aime les belles soumises comme toi, avec la bouche bien dressée, docile, chienne et surtout prête à tous les vices qu’il connaît, dit Donatien. Prisca, tu as amenée Arès, c’est pour sa chienne.

Puis la brune, les cheveux longs coiffés en tresse, en uniforme de chauffeur, entre avec le berger allemand Arès, le sexe déjà en érection.

Je me retrouve aussi la chatte défoncée, par le mandrin d’Hubert, un vingt-huit par huit, prise en double pénétration, les jambes écartées et levées. Je jouis malgré moi, le clitoris caressé par Hubert.

Hubert éjacule en même temps que le Comte.

Je me retire et je suce et nettoie mes deux amants. Arès me lèche ma chatte et surtout mon anus. Je mouille abondamment.

- Prosterne-toi, ma belle. Arès va te prendre. Tu vas aimée, surtout tu aimes les saillies anales canines.

Arès me lèche longuement la chatte se concentrant sur mon gros clitoris, avant de m’enculer jusqu’au nœud. Je gémis un peu, mais ses coups de reins me conduisent à une série d’orgasmes anaux en une bonne demi-heure. Il me lèche mon anus, pour que j’expulse le surplus.

Il éjacule longuement en moi, avant de me baiser trois quart d’heure, jusqu’au nœud. Je m’évanouis sous mes orgasmes. Je dois le sucer, pour le récompenser. Il m’a léché la chatte pour le même plaisir.

- Prisca, c’est bon, Arès s’est bien donnée à sa nouvelle chienne Shawn dite Déesse du Plaisir. Arès va rester avec elle, car elle doit s’habituer à le recevoir dès qu’il a envie d’elle. N’est-ce pas ma belle ? Tu dors nue pour t’offrir.

- Oui, Maître, je me donnerais à lui, à toute heure.

- Je vais la surveiller, en alternance je l’encule et Arès l’encule ensuite. Elle va pouvoir jouir avec Arès et se retenir avec moi, dit Hubert.

Vers 21 heures, Prisca et le Comte s’en vont. Je reste avec Hubert et Arès. Je me douche rapidement.

A la sortie de la douche, Arès me prend, en me mettant à quatre pattes devant Hubert. Il m’encule et il aime m’enculer. Je jouis sous ses coups de son pénis canin qui grossit et m’écartèle. La douleur devient un long plaisir, surtout lorsqu’il éjacule longuement en moi. Hubert me fait sucer son mandrin, tandis qu’il se douche.

- Tu aimes ça, te faire monter, ma chienne Shawn.

- Oui… Arès, encore…

Hubert sait que l’appartement possède des vidéos pour me filmer constamment et que les vidéos sont envoyées à des Maîtres sur mes qualités sexuelles.

Il se retire, me lèche. Je dois me faire un lavement et Hubert m’autorise à me coucher, cuisses écartées, sans me caresser, car Arès va passer la nuit à me lécher et à me prendre, dans toutes les positions.

Hubert profite de mon anus entrouvert et lubrifié pour m’enculer aussi. Je leur appartiens.

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