dimanche 3 janvier 2021

COUSINE VICIEUSE SHAWN

 

Je m’appelle Shawn.

J’ai 18 ans.

Je suis une jolie beauté scandinave.

Je suis une brune aux yeux verts. J’ai des pieds fins et latins, des jambes longues bronzées, musclées qui inquiètent par leur perfection. Mon pénil est bombé, ouvert, couronné de noir. Ma pilosité brune couvre mon pubis. Je suis totalement velue entre les cuisses et j’ai une superbe croupe. Mon entrecuisse est velue. Mes hanches s'incurvent et délimitent le ventre plat, délicieusement renflé autour du nombril, les hanches sont larges et rondes, mais sans lourdeur. La taille est affinée. Les seins parfaits intégralement bronzés sont un peu volumineux mais fermes, et leurs pointes marron clair, toujours dressées, cernées par une large aréole marron attirent le regard. J’ai une peau lisse et patine. Finition parfaite, un seul grain de beauté entre mes superbes seins. De longs cheveux plats blonds flottant comme des algues, battent mes épaules rondes et gracieusement athlétiques. Je suis intégralement bronzée. Mes yeux verts limpides s'allument, ma bouche charnue se fend. J’ai des sourcils bruns bien dessinés et des lèvres pulpeuses. J’ai de longs doigts fins et de belles mains. Je fais du 85B de poitrine, 56 de taille, 90 de hanches, 1,75 m.

 

COUSINE VICIEUSE SHAWN

 

10 juillet

Je me rends fréquemment dans la villa familiale dans le Sud, avec un accès privilégié sur la mer.

Je suis encore vierge, mais pratique assidûment les ébats lesbiens avec mes copines de lycée, depuis mes 16 ans. Je suis l’allumeuse lesbienne, peu de femmes expertes me résistent, surtout ma professeur de mathématiques, avec qui j’ai de fréquents rapports lesbiens.

Vers 10 heures, je débarque du taxi qui vient de me prendre à l’aéroport. Je suis élégamment vêtue de mon tailleur fuchsia sur mon chemisier blanc cachant mon soutien-gorge en dentelle blanche transparente, sous ma jupe discrètement fendue par derrière, je cache mon string assorti et un porte-jarretelles et des bas blancs. Je suis chaussée de sandales blanches à talons de dix centimètres et coiffée d’une queue-de-cheval, sans maquillage.

Je suis accueillie par ma cousine Aimée, de 21 ans, brune aux cheveux courts, aux petits seins, déjà en bikini blanc, avec son chéri Alban, de 35 ans, un bel étalon musclé barbu brun, en slip de bain.

Mais je remarque à la piscine, où je me rends toute nue, sans aucune pudeur, la présence d’un couple, invité par Aimée et Alban. C’est un bel Adonis brun de 45 ans, athlétique, bien monté et sa chérie, Justine, une superbe beauté blonde de 35 ans, aux longs cheveux, aux petits seins, en slip de bain et seins nus.

- Sven, que fais-tu là ?

- Shawn, cela fait longtemps que je t’ai pas vue. La dernière fois, c’était à Fuerteventura, pour tes 16 ans, invitée par des amis en commun. Voici ma chérie Justine, cela deux ans que je l’ai épousé.

- Tu la connaît. Quel corps de déesse, elle doit avoir une collection d’amants, dit Justine.

- Non, Justine, je suis encore lesbienne et je compte le rester. A moins…

- Que Sven te déflore, en ma compagnie, belle Shawn, dit Justine.

- Quoi, Sven va te prendre, ma chérie. Non, tu m’appartiens, ma belle gouine d’amour, dit Aimée.

- Non, elle aime se goder le soir, quand elle est seule dans sa chambre au premier étage, dit Alban.

- Tu te godes à ton âge, dit Justine. Moi, j’enchaînais les amants, un chaque soir, mais c’est Sven qui m’a initié à la sodomie.

- C’est douloureux. J’aime plutôt me caresser, me doigter ma chatte toute humide, dis-je.

- Viens te baigner, que je caresse ton superbe corps, dit Aimée.

Aimée retire son bikini et je me baigne nue à ses côtés. Justine nous rejoint, nue. Je me laisse caresser par ce duo lesbien et je jouis.

Les deux hommes bandent. Mais je ne vais pas les sucer, je les laisse à Justine et à Aimée.

- Shawn, mon chaton, cela te ne gêne pas que je te surnomme mon chaton. J’aime tes petits seins, Sven a un petit faible pour les tiens. Ta chatte est trempée sous mes doigts et ceux d’Aimée.

- Elle jouit rapidement, dit Aimée. Dès le premier ébat lesbien avec elle, à 15 ans, elle ne cessait de me réclamer de s’occuper de son clitoris et de ses seins.

- Déjà coquine, elle est séduisante. Pourquoi aucun garçon ne la désire. Une belle queue dans ta chatte et surtout entre tes superbes fesses musclées, dit Justine.

- J’ai dit non. Je suis très capricieuse avec les hommes. C’est moi qui donne mon avis.

- Mais, tu es amoureuse secrètement de mon Sven. Tes mamelons et ton clitoris te trahissent. Cela se voit et en plus tu es toute humide pour lui, dit Justine.

Vers 11 heures, je sors de la piscine et je pars m’allonger sur la chaise longue, allongée sur le ventre, cuisses écartées, dévoilant ma chatte velue et mon anus encore vierge.

Les ébats des deux couples m’excitent, mais je monte ensuite me doucher dans ma chambre, après une courte douche à la piscine. Je choisis un gode de trente par huit pour satisfaire ma chatte et masturber mon clitoris tendu, allongée sur le dos, cuisses écartées. Ma chambre est au premier étage, donnant sur la piscine.

Vers midi, Aimée me retrouve. Je suis pantelante de mes orgasmes en solitaire.

- Shawn, tu viens manger. Nudité obligatoire, idée de Sven, il te veut constamment nue. Il t’invite à sa villa à une demi-heure d’ici, avec Justine. Tu ne peux refuser, car ils te veulent pour la durée de ton séjour, pas la peine de prendre tes bagages. Juste, une tenue estivale et ce sera tout.

Je rejoins les couples. Sven me drague, mais je me refuse à ses avances, surtout devant Justine.

- Mon chaton, Sven conduit la Ferrari F40 rouge qui est stationnée dans l’allée. Il te dépose à la villa et Aimée me dépose ensuite. Comme cela, tu auras ton Sven à toi toute seule avant mon arrivée, dit Justine.

Vers 13 heures, après le dessert, Justine monte à ma chambre et choisit ma tenue pour l’après-midi à la villa.

- Voyons, un tee-shirt blanc sur ses superbes seins nus et un paréo fera l’affaire sur ses superbes jambes nues. Désolée, chez Sven, on vit nu toute la journée. J’hésite à t’épiler intégralement. Moi, c’est Sven qui m’a épilée. Non, tu restes naturelle. Je suis sûre que tu vas trouver un Adonis à ta mesure.

- Je reste lesbienne avant tout, Justine. Je choisirais mon amant.

- Bien, mon chaton, mademoiselle, tiens mets ceci entre tes fesses. Tu vas aimée, tu vas y prendre goût. Penche-toi. Tu vas devoir le garder.

- Oui Justine

Justine me l’insère sur cinq par trois tout de même lentement. Je lâche un petit râle tout mignon, entre peur, surprise et plaisir de me sentir ainsi m’ouvrir sous la pression et me refermer sur cet objet froid.

La sensation d’avoir un objet pourtant très petit dans mon anus me fait tout bizarre. C’est désagréable et plaisant à la fois, mais au final, j’aime bien.

- Surtout ne dit rien à Sven, tout cela est entre nous c’est clair ?

- Oui Justine très clair

- Tu comprends vite. Cet après-midi ou ce soir, selon les envies de Sven, il te prendra par là, si tu veux rester vierge. Contracte-toi et tu stimules ta chatte aussi. Si tu aimes, je t’en mets un plus gros.

- Non, pour l’instant, je dois m’habituer.

- Habille-toi. Je vais t’apprendre à te maquiller pour séduire à la villa.

Justine laisse un message sur le téléphone portable de Sven, sans me le dire. J’ai toujours mon téléphone portable sur moi.

Pendant le trajet vers la villa, Sven caresse mes cuisses que je dois garder écartées, pour exhiber ma chatte velue.

- Tu me plais de plus en plus, surtout de voir tes jambes nues et tes superbes seins nus.

- Oui, mon Sven, j’ai envie de toi.

- Tu vas devoir apprendre à sucer, à jouir avec un homme, en plus de jouir avec Justine.

Je mouille sous ses caresses concentrées sur mon clitoris tendu, par une mystérieuse vaporisation par Justine, tout comme mes mamelons.

La villa est cachée derrière une grande grille, équipée de caméras de surveillance, de vigiles à pied, avec de superbes bergers allemands.

- Ici, tout est surveillé. C’est notre sécurité. Tu devras t’y habituer. Tu te promènes constamment nue et en hauts talons.

- Tout le temps, mon Sven, mais j’ai pas trop l’habitude, sauf à la piscine d’Aimée.

Il stationne la Ferrari F40 à côté de la BMW cabriolet blanche de Justine.

Le rez-de-chaussée comprend un salon avec piscine intérieure et prolongement piscine extérieure à débordement, une vue sur la mer, une salle à manger avec la cuisine, au sol en marbre.

Au premier étage, par le grand escalier de marbre, se trouvent la chambre d’amis, qui devient ma chambre, celle de Sven et de Justine, une salle de bains commune avec jacuzzi, grande baignoire avec un petit escalier, douche à l’italienne et une salle de sport avec une pièce secrète.

Au second étage, se trouvent le poste de surveillance secret de Sven, qui est relié à toutes les caméras intérieures de la maison, interdit à toute personne non habilitée, fermée par un code secret.

- Déshabille-toi, de suite. Ecarte un peu tes fesses. Tu portes un bijou maintenant.

Je n’ose avouer que c’est Justine qui me l’a mise. Je mouille abondamment depuis que je le porte.

- Reste au salon, tu peux te baigner ou bronzer encore, passe-toi de la crème solaire.

- Oui, mon Sven, je le fais.

Justine arrive et me voit toute nue.

- Au maquillage, mon chaton, tu dois plaire, dit Justine. Tu aimes ton bijou.

J’obéis.

Je me poudre le visage et mes paupières sont légèrement ombrées. Justine dépose quelques gouttes d’un vaporisateur sur mes mamelons et mon clitoris. Un glaçon passé sur mes mamelons fixe la couleur rouge, comme aux grandes lèvres de ma chatte. Le parfum que j’ai longuement passé sur mes aisselles lisses et ma fourrure pubienne, dans le sillon entre les cuisses, dans le sillon sous les seins, et au creux des paumes.

Mes seins offrent les mamelons constamment tendus, par les glaçons. Le vent frais de l’extérieur sur mes mamelons et mon clitoris me provoquent une excitation énorme. Mes mamelons pointent au maximum tout le temps, vingt quatre heures sur vingt quatre et de même pour mon clitoris. Mon clitoris devient gros comme une cerise, saillant et volumineux comme jamais auparavant, avec les mêmes glaçons. Mes mamelons saillants sont aussi gros et longs. Mes mamelons et mon clitoris sont complètement tendus et très durs au point de me faire vraiment mal et le moindre effleurement même involontaire devient une véritable torture tellement ces endroits sont devenus sensibles.

- Tu es très belle, le maquillage résiste à l’eau, même s’il faut le refaire de temps à autre. Embrasse-moi comme à la piscine.

J’obéis. Les caméras de la salle de bains épient nos ébats lesbiens.

- Je peux le retirer quand.

- Tout à l’heure, tu es toute trempée, ma chaude gouine, dit Justine. Tu sais Sven, c’est du quarante par huit. C’est un gros calibre pour un novice. Tu ne peux te dérober à ses coups quand il te prends. Quand tu te douches, je te veux accroupie, cuisses écartées, pour dévoiler tes charmes.

- Oui, Justine, je me laisserais faire.

Arrivée à la piscine extérieure, je fais quelques longueurs seule, puis rejointe par Sven. Justine prépare les boissons.

Vers 14 heures, on sonne discrètement. Je ne fais pas attention, trop attentionnée à apprendre à sucer mon Sven.

- Encore un peu, tu vas me faire éjaculer et tu dois tout avaler.

J’obéis, tant bien que mal. Le sperme déborde de ma bouche.

Un bel étalon élégant en homme d’affaires, accompagne Justine toute nue. Il a 45 ans, brun, barbu, bien monté.

- Sven, c’est moi Hubert, le producteur de films. Quelle superbe beauté, on dirait votre fille. Justine, ce film sera joué par une superbe beauté, comme celle-ci. Elle aura le premier rôle, quel est son nom ?

- Shawn, dis-je, comme le prénom masculin. Je suis uniquement lesbienne.

- Ce n’est pas grave. J’ai l’habitude. Souvent de jeunes lesbiennes se révèlent être d’authentiques bisexuelles, prenant du plaisir avec d’autres hommes. Donc, tu n’as jamais fait l’amour avec un ou plusieurs hommes. Même avec Sven, tu caches bien ton jeu, ma coquine.

- Non, je vous le jure, même prise par derrière avec mon gode.

- Tu es une vicieuse cachée, Shawn. Tu viens de sucer Sven. Tu commences ton instruction. Le maquillage est parfait pour une novice. Les fessées sont aussi tes punitions. Tu mérites mieux, la cravache et la garcette sur tes fesses et tes cuisses.

Je suis gênée, embarrassée par ces mots inconnus.

- Elle est novice, Hubert. Elle devra s’y faire, d’abord l’enculer, lui fera un grand bien pour son instruction, dit Justine. J’ai joui lorsque Sven m’a enculée la première fois, tu te souviens.

Il me fait allonger sur le ventre, cuisses écartées et me retire mon bijou d’anus, offrant mon anus ouvert et lubrifié.

- Ecarte bien les fesses et je vais te mettre mon trente-six par huit dans ton œillet de novice. Tu seras enculée régulièrement pendant mon film, profondément jusqu’aux testicules.

Hubert m’encule trois fois d’affilié et éjacule trois fois dans mon anus écartelé.

- Un premier jet pour la débutante. Je vais te prendre sauvagement, maintenant que tu as pris goût.

- Oui, prends-moi encore, j’ai envie. Ce bijou m’a bien ouverte.

- Allonge-toi sur le dos, cuisses écartées pour une troisième et je vais t’inonder.

Pantelante, Justine me remet le bijou d’anus pour que je conserve le sperme d’Hubert.

Vers 16 heures, dans ma chambre, entièrement recouverte de glaces et de miroirs sans tain sur les murs et au plafond, sans rideau, ni volets, je reste nue, en compagnie d’Hubert. Il me met des carcans en cuir.

- Comme cela tu joues la soumise pour le film.

Ils sont faits en plusieurs épaisseurs de cuir, chaque épaisseur assez mince, au total pas plus d'un doigt, verrouillés par un système à déclic, qui fonctionne automatiquement comme un cadenas quand on le referme, et ne peut s'ouvrir qu'avec une petite clé. Dans la partie opposée à la fermeture des bracelets, pris dans le milieu des épaisseurs de cuir, et n'ayant presque pas de jeu, il y a un anneau de métal, qui donne une prise pour fixer, et qu'on positionne du côté intérieur du poignet. Pour le collier, l'anneau pend devant le cou, reposant sur la saillie des clavicules, et brinquebale au rythme des mouvements de celui qui le porte.

Je me douche. L’eau fait durcir mes carcans qui épouse mon cou, mes poignets et mes chevilles.

- Le bijou d’anus t’a préparé. Il faut que tu portes ceci, l’anus bien lubrifié, tu seras ainsi élargie pendant quelques jours.

Il prépare un gode anal avec des chaînettes et une ceinture en cuir.

L’anus entrouvert, je reçois un superbe gode muni de picots, de bonne dimension, trente-huit par huit. Son prépuce glisse le long du gland pour ma sodomie profonde, avec des va-et-vient. Le gode en érection s’allonge et rétrécit à chaque mouvement de va-et-vient grâce à son enveloppe ultra-souple qui s’étire ou se contracte en suivant les montées et descentes du gode. C’est comme un vrai étalon infatigable qui m’encule. Il mesure trente-huit par huit et neuf avec sa gaine à picots. Trois chaînettes pendent de la base du gode. Il attache une étroite ceinture autour de ma taille, et l'on y accroche les trois chaînettes, une par derrière qui suit le sillon des fesses, et les deux autres par-devant, qui longent le pli des aines en contournant le triangle pubien. Il les ajuste au plus court, de façon que le mouvement intérieur des muscles ne peut repousser le gode et permettre de se resserrer à l'anneau de chair qu'il doit forcer et distendre, et on les attache avec de petits cadenas, pour s'assurer que, lorsque je suis seule, pour me soulager de cette contrainte.

Il me tient en laisse par mon collier. Je descends nue, fardée, parfumée, avec mes mules blanches à talons de douze centimètres. Je m’habitue à cette hauteur de talon.

- Voici, la nouvelle pute Shawn, elle sera livrée dès demain à ses amants pour l’instruire. Tu gardes tes carcans pendant ton séjour, sauf pour sortir. Tu restes constamment nue, pour séduire. Elle va garder son gode quelques heures. Si possible, il faut lui retirer pendant la journée, mais lui remettre à son lever vers huit heures jusqu’à midi, la tombée du jour jusqu’à minuit. Elle s’ouvre plus facilement ainsi. Elle est une soumise à vos ordres. Regardez comme elle jouit, son bassin ondule. Elle a très envie d’être enculée à nouveau. N’est-ce pas, soumise Shawn ? dit Hubert. Elle garde sa toison et sa chatte velue, j’ai des clients pour ce genre de films.

- Oui, Maître, si possible le plus rapidement possible, j’ai très envie de votre queue.

Je ne sais pas que des codes sont activés sur mon téléphone portable qu’à mis sous clé Justine.

- Mon chaton, tu dois t’y habituer avant de recevoir celle de mon Sven, dit Justine. Tu dois apprendre à mieux sucer mon Sven. Je vais devoir te punir.

En aparté, Hubert et Sven se rendent au poste de surveillance pour choisir les séquences envoyées sur le téléphone portable de Hubert puis à ses amis.

 - Mets tes mains aux murs et baisse-toi. Es-tu bien consciente que tu nous as manqué de respect en t’offrant à Hubert?

Un premier coup de cravache part. Le second part sur l’autre fesse. La première claque s’abat sur ma fesse qui devient rouge immédiatement, me poussant à lâcher un petit cri de surprise.

 - Plus fort, Justine, s’il te plaît.

La seconde claque davantage. Les fessées tombent à un rythme régulier.

 - Écarte plus tes jambes, dit Justine en tapotant l’intérieur de ses cuisses avec la cravache pour les lui faire ouvrir.

Je m’exécute.

 Tout en me fessant, Justine me pince un mamelon tendu fortement, mais je prends du plaisir. La fessée se poursuit toujours, régulière, Justine me pince l’autre mamelon, plus fortement. Mes fesses irradient de douleur, un mélange de brûlures et de picotements indescriptibles.

Hubert nous rejoint.

- Tu as fessée la pute Shawn. Elle mouille bien. C’est le gode qui doit faire de l’effet. A demain, huit heures, avec des amis, pour toi ma belle pute Shawn, tu te laisse bien enculer profondément comme aujourd’hui. Tu es libre de sucer.

Vers 18 heures, après avoir raccompagné Hubert, Sven ne se prive pas.

Sven me saisit les mains, et il fait glisser l'un dans l'autre les anneaux des bracelets, puis ces deux-là dans celui du collier. Je me trouve les mains jointes à la hauteur du cou.

- Ainsi, tu suceras mieux, agenouillée, cuisses écartées, que je vois ta chatte.

Je fais un peu mieux, guidée par les conseils de Justine.

Sven m’enfonce profondément son mandrin dans ma bouche, jusqu’à la nausée.

Sven éjacule abondamment dans ma bouche, tandis qu’un nouvel orgasme anal me terrasse.

Vers 20 heures, pour le souper, je reste agenouillée, cuisses écartées à côté de Sven, qui me nourrit. Je garde les mains jointes à mon cou.

Après un film porno, regardé en leur compagnie, cuisses écartées, livrée à leurs caresses de ma chatte, mon clitoris tendu à l’extrême tout comme mes mamelons. Je jouis encore.

C’est Sven qui me conduit à la chambre, me fait accroupir, cuisses écartées, mains libres, pour ma douche que je dois exécuter en un quart d’heure.

Il m’installe sur mon grand lit. Il m’enchaîne à mon lit, une première pour moi. Il joint mes mains à mon cou, me contraint à garder les cuisses écartées et il m’enchaîne à un crochet dans le mur. Je dors sur les draps, sans pouvoir me caresser. Je suis submergée par les vagues de plaisir anal et l’envie d’être enculée à nouveau par un vrai mâle.

 

11 juillet

Vers 3 heures du matin, Sven vient me voir. Je suis prosternée sur le lit, cuisses écartées, mordant l’oreiller.

Il me libère le gode quelques instants et m’encule profondément, en appui sur ses jambes. Je connais un nouvel orgasme anal, largement inondée par Sven. Justine nous observe.

Il me remet le gode en place, pour la nuit.

J’ai une terrible envie de me soulager, mais je dois me retenir.

Vers 6 heures, Justine me retire le gode et découvre mon anus bien lubrifié par le sperme de Sven et de Hubert.

- Tu as sacrément joui, cette nuit, même enchaînée.

- Oui, Justine, j’ai très envie de la queue de Sven.

- On verra plus tard. Va te soulager, lave-toi l’œillet avec la poire remplie d’eau froide. Tu te douches à l’eau froide désormais.

J’obéis. Je fais ma toilette intime devant Sven, que je suce, pour me récompenser.

- Tu as bien joui avec ma queue. J’espère que Hubert va te satisfaire pour son film porno SM, belle soumise.

- Un porno…

- Oui, un porno pour toi, prise par tous les orifices, d’abord enculée, puis ta chatte défoncée, ta bouche bien remplie. Tu aimes ça.

- Mais, je suis vierge de la chatte, Sven, pas ça.

- Désolé, tu ne peux plus reculer, tu as signé le contrat avec tes trois sodomies par Hubert.

J’obéis. Je reste nue, me farde et me parfume, chaussée de mes mules blanches à talons de douze centimètres, les ongles des mains et des pieds vernis en rouge, coiffée de ma queue-de-cheval.

Hubert est accompagné de deux superbes étalons, Africains noirs, bien montés, déjà nus.

Justine me tient en laisse. Je baisse les yeux, la bouche entrouverte.

- Voici, votre nouveau objet de plaisir, Shawn, novice, déflorée anale, mais pas encore pour la chatte, ce sera pour plus tard. Sa bouche est en partie dressée. Elle mouille déjà. Horace et Hercules, elle est toute à vous.

Je suis en extase devant les deux mandrins de quarante-deux par neuf, circoncis, de ses étalons musclés, plus grands que moi.

- Viens, ma belle, tu veux me sucer, dit Horace.

Je fais de mon mieux, pour le sucer, mais lors de la gorge profonde, je dois m’arrêter par les jets de sperme en bouche.

- Mais, ma belle, tu n’avales pas, dit Hercules. Tu viens sur ma queue dans ta bouche. Un bâillon O fera l’affaire. Tu dois tout avaler.

Je m’exécute sur Hercules, Horace, Hubert et Sven.

Une fois bien durs, je suis longuement enculée, prosternée, à quatre pattes, allongée sur le dos, cuisses écartées, empalée face à mes amants, avec à chaque fois, de longues éjaculations de sperme, l’anus bien écartelé. Pour m’élargir, je suis bien élargie par ces douze sodomies successives.

Jamais, je n’ai pris autant de pris, enculée.

- Elle aime ça, dit Hercules, en me prenant à nouveau. Elle sera bien ouverte, dépucelée. Elle était étroite, mais elle sera enculée plusieurs fois par jour.

Vers midi, on marque une pause et je peux me laver.

Pour le repas, je dois m’asseoir sur mes amants, enculée, sans jouir. Je fais de mon mieux.

Vers 14 heures, je suis déflorée de la chatte par mes amants, à plusieurs reprises, profondément, jusqu’à de multiples orgasmes, largement inondée, suçant et nettoyant mes amants. Je suis aux anges, doublement ouverte.

- Sa chatte est déflorée, dit Hubert. Elle a besoin d’être prise souvent par la chatte. Il faut lui inonder le fond de la chatte, Horace.

Vers 16 heures, avant ma double pénétration, douchée, je porte le gode anal, pour me préparer. Je jouis et j’ai très envie d’être prise en double.

- Ce gode anal va te préparer pour ta double. Il faut t’habituer à être prise en double, pour le film, dit Hubert.

- Oui, Maître, j’ai été tellement inondée des deux côtés.

- C’est normal, comme tu étais vierge. Il faut t’inonder de spermes pour te mener aux orgasmes.

Vers 22 heures, libérée du gode anal, bien ouverte, après le souper, ce sont mes premières doubles pénétrations, d’abord couchée sur celui qui me baise, puis dos à celui qui m’encule et enfin, soutenue par mes deux amants. Les calibres neuf m’enculent et les calibre huit me baisent et vice-versa selon les positions. Ma bouche est remplie de leurs spermes. Je suis pantelante de mes orgasmes. Les testicules claquent contre mes fesses, en cadence.

- Elle aime les double, désormais, messieurs. La pute Shawn est prête à son plaisir sexuel, dit Hubert.

- Elle ne va regretter sa journée de demain. Horace, tu me l’encules cette nuit, dit Hercules.

Après une courte douche, un lavement anal, Horace passe la nuit avec moi, à m’enculer à six reprises, enchaînée par mon collier et mes mains menottées dans le dos, cuisses écartées et levées, maintenues par les chevilles par Horace. Je suis pantelante.

 

12 juillet

Vers 5 heures, j’émerge. Horace m’a remis le gode anal, mon anus est lubrifié par son sperme chaud. Je me soulage comme je peux, libérée par Sven, mais les mains menottées dans mon dos.

Sven me rejoint.

- Alors, tu as aimée ta journée d’hier et cette nuit.

- Mes mamelons et mon clitoris sont constamment tendus depuis hier. J’ai constamment envie de belles queues dans ma chatte et mon œillet de pute.

- Tu seras à la hauteur. Rendors-toi.

Vers 8 heures, je me réveille. Je me douche rapidement. Horace me rejoint, le mandrin en érection.

- J’ai hâte de te cravacher et te reprendre encore. Tu veux que je t’encule ou te baise.

- Maître, je suis toute à vous.

Nous déjeunons. L’équipe est déjà arrivée, avec deux autres acteurs. Deux superbes Adonis bruns, Hercules n’est pas là, Hubert les accompagne.

- Voici, l’actrice principale, Shawn, vous avez vu ses essais d’hier. Ils sont concluants. On peut donc tourner. Il faudra percer son gros clitoris pour la faire reconnaître ainsi qu’une bague à son annulaire gauche.

Je bois un verre de jus de fruits avec un stimulant sexuel, plus les gouttelettes sur mes mamelons et mon clitoris.

Les deux Adonis possèdent un trente-six par huit et un trente-huit par neuf, que je dois sucer, avant d’être longuement enculée dans diverses positions. Mon anus est encore douloureux, mais je dois subir ses sodomies sauvages, comme soumise.

Anal Vices le trente-six par huit me complimente, en m’enculant :

- Tu es bien ouverte, je te vais te piner profondément et bien te remplir.

- Oui, pines-moi, je suis tout à toi.

Pilon Anal le trente-huit par neuf en fait autant :

- Horace t’a bien défoncée hier avec Hercules. Je vais en faire autant, avec six éjaculations dans ton œillet de soumise.

- Oui, j’aime être enculée comme une pute.

Ma chatte déguste en double pénétration par les deux amants, Horace et Hubert me prennent avec Sven. Je ne compte plus mes orgasmes que je retiens à leur demande. Je suis cravachée sur les fesses et les cuisses par chacun, je mouille sous les coups, offerte à quatre pattes.

Vers 14 heures, nous marquons une pause et je mange empalée sur mes amants, enculée. Mes marques sont recouvertes par une pommade apaisante.

- Shawn, nous marquons une pause. Justine, tu lui fais poser un anneau doré qui est se trouve dans cet écrin. Voici ta bague, Shawn, pour ton annulaire gauche, il te fera reconnaître par des amis. Je ne savais que tu allais prendre du plaisir, cravachée. C’est rare.

Je glisse la bague sertie d’un anneau à mon annulaire gauche, en plus de mes autres bagues.

Justine me remet mon gode anal, sous une minijupe couvrant à peine mes bas blancs, mon porte-jarretelles blanc, laissant deviner mes fesses nues et ma chatte exhibée nue, un chemisier blanc sans boutons sur mes seins nus. Je suis fardée, parfumée, coiffée de ma queue-de-cheval, sans mes carcans de cuir, chaussée de sandales blanches à talons de douze centimètres. Justine choisit un chemisier blanc et une jupe ample, les cheveux libres, chaussée de mules blanches à talons de douze centimètres.

Nous prenons la Ferrari F40 de Sven, à sa requête.

Cuisses écartées, je subis les caresses de ma chatte trempée, par les assauts répétés du gode et de ses va-et-vient. Je jouis pendant le trajet.

Nous allons au centre-ville, dans le quartier chaud.

Une devanture discrète nous accueille.

- Je souhaite pour ma fille Pénélope, que son gros clitoris soit percé d’un anneau doré avec une pierre précieuse.

- Allonge-toi sur la table, cuisses écartées, en porte-jarretelles et bas, déchaussée.

J’obéis.

- Quelle beauté, on peut lui retirer le gode.

- Bien sûr, regarde son œillet de pute, bien lubrifié. Elle se fait enculer tous les jours, n’est-ce pas. Tu peux l’enculer dès que tu as fini avec elle, Val.

Le percement du clitoris dure une éternité, mais dès qu’il me caresse le clitoris, je mouille et je jouis. L’anneau repose directement sur mon clitoris.

- Suce ma belle queue, avant.

Val, le beau brun, m’offre un trente-six par huit, circoncis, que je suce à la perfection.

- Détends-toi, je vais te défoncer l’œillet. Elle ruisselle déjà, avec la pose de son anneau.

La sodomie est profonde, il me tient par les cuisses écartées, ajustant ses coups jusqu’aux testicules.

- Oui, pine-moi profondément… Ah… Oui… Encore…

- Elle a l’habitude, bien détendue.

Val éjacule en moi et Justine me remet le gode anal en place pour que je conserve son sperme chaud en moi.

Justine me promène dans les boutiques environnantes. Les regards masculins sont concupiscents, je baisse les yeux, sans me dérober.

Dans une boutique de vêtements, un homme me toise, ainsi que la vendeuse par les mouvements de mon bassin sur le gode anal. Justine me choisit des corsages transparents, des jupes très courtes faciles à relever, des corsets et des guêpières seins nus et dans une boutique de chaussures, de nouvelles mules, escarpins et sandales de divers coloris à talons de douze centimètres, devant un autre homme et la vendeuse.

- Te voilà, prête, désormais, miss Shawn la pute, mon chaton. Val t’a bien enculée, tu as bien joui comme avec tes autres amants. Alban et Aimée vont être ravis de te voir doublement ouverte, prête au désir sexuel.

Je suis prise d’un violent orgasme anal, que je reste la bouche ouverte pour émettre mon râle de plaisir, assise dans la Ferrari.

- Ce sont ces hommes qui te mettent dans un tel état d’excitation.

- Non… C’est le gode…

- Sven va encore te prendre à ton retour, mon chaton.

Hubert et son équipe sont partis pour quelques jours, pour le montage des premiers jours.

A la villa, je dois défiler dans mes tenues, tout en gardant mon gode anal, avec mes carcans de cuir, en mules à talons de douze centimètres, après une courte douche et fardée, parfumée.

- Tu as vu le clitoris percé de ton chaton. Elle mouille abondamment.

- Elle sera plus pratique à enculer, le clitoris plus sensible, tout comme son œillet à chaque nouvelle sodomie, n’est-ce pas, Shawn ?

- Oui, Sven, encule-moi, j’ai trop envie.

- Patience, le gode va encore faire quelques va-et-vient et je te prends ensuite.

Je suis au bord d’un nouvel orgasme anal, sans connaître qui dirige la vitesse et les vibrations que je subis.

Sven me retire enfin le gode anal. Mon anus est lubrifié par le sperme de Val. Je m’offre allongée sur le dos, cuisses écartées, enculée jusqu’aux testicules par Sven.

Je connais encore un orgasme anal après quelques va-et-vient et une longue éjaculation en moi.

Mon téléphone portable sonne. Justine le décroche :

- La belle soumise Shawn est-elle accessible ? C’est Hubert.

- Je vous la passe. C’est Hubert.

- Oui…

- Tu te fais encore jouir, enculée. Je te prends demain vers 20 heures chez Justine. Je te conduis dans un nouveau lieu de tournage. Tu devras te soumettre à de nombreux amants, toi, la belle adepte BDSM, pour ton instruction pendant quelques heures.

- Oui… Encore… Je veux votre queue, mon Maître.

- Tu l’auras et plusieurs autres surtout dans ton œillet bien assoupli par le gode anal.

Il raccroche.

Sven se retire après une nouvelle éjaculation en moi.

Il me remet le gode anal jusqu’au coucher du soleil.

Je me douche, accroupie, cuisses écartées et je peux me soulager, l’anus libre et me fais mon lavement anal.

Mon anneau doré brille parmi mes poils bruns de ma chatte et de mon pubis.

Je mouille abondamment, plus que d’habitude.

Je mange, empalée et enculée et je dois retarder mon orgasme anal jusqu’au dessert. Sven et Justine me caressent surtout mon clitoris tendu et mes seins qu’ils pelotent.

Je passe la nuit, enchaînée, les mains jointes à mon cou, cuisses écartées, cravachée sur les fesses et les cuisses, prosternée et enculée sauvagement.

 

13 juillet

Au lever du soleil, je peux me soulager. Justine me cravache encore, libérée.

Je me farde, me parfume, reste nue et en mules, tenue en laisse par Sven et Justine.

Sven m’encule jusqu’à seize heures, en alternance avec le gode anal que je porte.

Justine m’habille de ma guêpière seins nus. La guêpière est tenue rigide par de larges baleines très rapprochées, courbées vers l'intérieur au ventre et au-dessus des hanches, qu'un busc, sur un côté derrière, permet de boucler et de déboucler. Par-derrière aussi, un large laçage se serre ou se desserre à volonté. Elle est lacée aussi étroitement par Equine Vicieuse, qui en porte une aussi, que je dois lui lacer. Je sens ma taille et mon ventre se creuser sous la pression des baleines, qui sur le ventre descendent presque jusqu'au pubis, qu'elles dégagent, ainsi que les hanches. La guêpière est plus courte par-derrière et laisse la croupe entièrement libre.

Je chausse mes mules à talons de douze centimètres, fardée et parfumée, coiffée de ma queue-de-cheval. Un boléro fermé au cou complète ma tenue. Il suffit d'enlever le boléro pour que les épaules et les seins soient nus, et sans même enlever le boléro, de l'ouvrir, si l'on désire voir les seins.

Hubert me fait monter à bord de sa Ferrari F8 rouge. Je dois m’asseoir les fesses nues sur le fauteuil passager, cuisses écartées, livrée à ses caresses. Il m’a mis un masque de nuit et un bâillon boule pour me rendre aveugle et muette pour son rendez-vous. Je porte mon bijou d’anus de calibre six. Il me menotte les mains dans mon dos.

- Tu mouilles, bien, ma pute Shawn. Cambre-toi bien en avant, pour t’exhiber. Ton anneau brille.

Nous prenons l’autoroute un certain temps avant de rejoindre une route de campagne puis traversons une forêt, à trois heures de route de la villa de Sven.

Hubert marque une nouvelle pause. Il me retire mon boléro et me libère quelques instants mes mains qu’il menotte ensuite.

Il me fait pencher en avant, cuisses écartées, l’anus libre pour une sodomie sauvage, sans éjaculer et il éjacule dans ma bouche, que j’offre, accroupie, cuisses écartées.

- Te voilà prête, ma belle pute Shawn. Tu suis qui t'ouvres, tu fais ce qu'on t'ordonne. Si tu n'obéis pas tout de suite, on te fait obéir. Tu es seulement la fille que je fournis. Si, si, je serais là. Va.

Vers 23 heures, tenue en laisse, on m’aide à descendre de la Ferrari. Je monte le perron et entre dans un grand salon, entièrement recouvert de glaces et de miroirs, où se trouvent des dizaines d’invités, nus, masqués.

- Voici, l’invitée du soir, Shawn, ou nièce Pénélope ou Anal Plaisir Bi, son nouveau pseudonyme au Domaine des Biches Vicieuses, sa nouvelle résidence qu’elle va découvrir ce soir. Si vous le voulez, elle reviendra ensuite. Elle est doublement ouverte par les amis de Marquis Sévices de Bite Dresseur, habituée aux doubles, fouettée, suceuse experte, soumise et préparée en trois jours seulement. Son masque nous cache son superbe regard vert. Elle est toute à vos désirs et sévices.

Nue, je me retrouve enculée à plusieurs reprises sur un chevalet, menottée. Je suis offerte, solidement immobilisée dans cette posture dégradante, le postérieur plus haut que la tête. Mes bras sont fixés le long des pieds avants, mes jambes le long des pieds arrières, et une large sangle m'est passée au niveau de la taille. Mes cuisses, légèrement fléchies sont empêchées de se resserrer par la largeur de la poutre, ainsi d'ailleurs mes fesses que je me peut refermer. Toute mon intimité est ainsi très accessible et on peut me faire tout subir. De plus la cagoule de tissu noir me rend aveugle et décuple mon angoisse.

Les compliments se succèdent sur ma bouche dressée et mon anus assoupli. Je reçois de nombreux jets de spermes en bouche et dans mon anus béant par les gros calibres.

Libre, je suis prise en double, avec des gaines à picots, cravachée, fouettée à la garcette. La garcette, de cordes assez fines, faite de sept lanières terminées chacune par plusieurs nœuds, et qui sont toutes raides, trempées dans l'eau, ce qui a été fait comme je peux le constater, peu après ma sodomie, sur l’intérieur de mes cuisses, combien les cordes sont humides et froides.

Je ne compte plus le temps que je passe, offerte à ces nombreux amants inconnus.

Mes hanches sont douloureuses par mes orgasmes que je dois retarder selon les amants.

 

14 juillet

Vers deux heures du matin, je suis tenue en laisse par un valet, nu, sous son gilet, botté, pantelante, les mains menottées dans le dos, pour une pause de rafraîchissement.

- Je suis Désir Vice, ton valet pour la nuit, mon trente-six par huit te satisfera. Tu aimes être enculée, tu seras servie, soumise A P B. Tu es très belle.

Le valet me conduit dans une grande salle de bains au rez-de-chaussée. Elle comprend une douche, un bidet, un lavabo et une baignoire, le tout recouvert de glaces et de miroirs sur les murs et au plafond. Là, je suis contrainte de m’accroupir, nue, cuisses écartées, devant des murs et un plafond qui sont couverts de glaces et de miroirs. Il me menotte, les bras tendus, sans mon bandeau ni mon bâillon-boule, dans cette position. Il me lave avec une grosse éponge, s’attardant sur mes seins aux mamelons tendus, mon gros clitoris tendu et surtout ma chatte fraîchement épilée, ornée de deux anneaux dorés à mes grandes lèvres humides.

Le valet m’encule dès la sortie du bain et éjacule en moi, avant un lavement avec une poire remplie d’eau froide.

Il me conduit ensuite au premier étage, nue, pieds nus, les mains jointes à mon cou, dans ma chambre, qui ne possède pas de portes, dans un long couloir recouvert de tapis. Je croise d’autres valets, nus, dont je regarde uniquement leurs mandrins bien montés. Sont-ils pour moi ?

Je suis allongée sur un grand lit, menottée, toujours les mains jointes à mon cou, cuisses écartées, enchaînée par mon collier, sans défense.

Le valet m’encule une ultime fois et éjacule dans ma bouche.

Je suis cravachée pendant la nuit prosternée, sur les fesses et les cuisses.

Avant d’être enculée par un mystérieux sexe, prosternée, qui me conduit à trois violents orgasmes anaux en une bonne demi-heure. Je dois sucer ce mystérieux sexe, dans la pénombre.

Le même rituel reprend avant l’aube et avant le lever du soleil. Ce mystérieux sexe m’excite. Je dois porter de clochettes qui pincent mes mamelons qui doivent être sensibilisés tout comme les grandes lèvres de ma chatte.

Vers 9 heures, j’émerge, l’anus dégoulinant de spermes chauds inconnus. Mes fesses sont brûlantes, ma chatte me brûle de désir.

Le valet Dresseur Pilon me libère, mais avant, il m’allonge sur le ventre, pour m’enculer profondément avec son quarante par huit, en me fessant magistralement. Je dois retarder mon orgasme anal.

Libre, je peux enfin, déjeuner, cuisses écartées, assise sur un tabouret doté d’un gode anal similaire à celui que m’a fait porter Hubert. Je garde les yeux baissés, mon anus lubrifié me fait jouir rapidement. Je garde mes clochettes.

Hubert entre, nu.

- Ma belle A P B s’est bien comportée pour ton premier soir.

- Oui, Maître, j’ai beaucoup joui, surtout avec…

- On t'a dit hier que tu ne devais, tant que tu serais ici, ni regarder un homme au visage, ni lui parler. Tu ne le dois pas davantage à moi, mais te taire, et obéir. Je t'aime. Lève-toi. Tu n'ouvres désormais ici la bouche, en présence d'un homme, que pour crier ou caresser.

Hubert m’encule aussi, prosternée, avant que je prenne mon bain.

Je me baigne, l'eau tiède me fait frémir quand mes cuisses et mes fesses meurtries y plongent, et je dois m'éponger sans frotter, pour ne pas réveiller la brûlure. Je me sèche dans la grande serviette, je me coiffe devant la glace et, toujours nue mais les yeux baissés et la bouche entrouverte, revient dans la cellule.

- Sven viendra te prendre cet après-midi, à la salle des plaisirs, au rez-de-chaussée. Tu restes nue pour l’occasion et en mules, coiffée de ta queue-de-cheval, fardée et parfumée. Tu quittes les lieux qu’à 20 heures pour ton retour chez moi.

Tenue en laisse, en mules, avec mon gode anal en place, cadenassé et maintenu par des chaînettes à ma ceinture de cuir. Il est différent des autres, long de vingt-sept par cinq avec un gros nœud de la taille d’un œuf qui m’écartèle bien l’anus lubrifié. Je dois le porter quelques heures. Je mange nue, cuisses écartées, mains menottées dans le dos, nourrie par le valet de permanence, au rez-de-chaussée.

Puis le valet me conduit à la salle des plaisirs, me retire le gode anal, exhibant mon anus bien ouvert.

Il y a quatre hommes que je dois sucer, accroupie, cuisses écartées, avant de faire enculer par chacun et prendre ensuite en double pénétration. J’ai même droit à me faire saillir par un berger allemand une bonne demi-heure enculée jusqu’au nœud, comme pendant la nuit, un doberman le même temps et enfin par un dogue allemand, le plus gros sexe canin, trente-six par neuf, jusqu’au nœud. Je gémis un peu avec lui, mais je connais ensuite de longs orgasmes anaux avec chacun, menottée au chevalet.

On me fouette aussi.

Puis je suis à nouveau enculée et je suce en même temps, avalant le sperme de mes amants.

Au coucher du soleil, je quitte la salle des plaisirs.

Hubert vient me chercher. Je suis baignée, fardée, parfumée, vêtue uniquement de ma guêpière, avec le gode anal canin en place, à sa demande.

Nous retournons à bord de sa Ferrari chez lui, à mi-chemin entre le Domaine et la villa de Sven.

Je suis présentée à la luxueuse villa très sécurisée. La gent masculine me toise.

Je suis la seule femme. Nue, je revêts, aidée par le majordome Jason, un superbe étalon Africain Noir, de 35 ans, bien monté, ma robe blanche corsetée laissant mes seins nus fardés dénudés, avec mes clochettes, laissant fendue devant jusqu’au-dessus du pubis, au dos s’arrêtant à mi-mollet, discrètement fendue par-derrière, d'écarter les deux côtés de la jupe pour que la croupe soit nue. Deux attaches qui soulèvent les deux pans et se nouent sur le devant de la taille, il est facile de les maintenir ouverts. Je garde mes cheveux libres et mes mules.

Il me retire mon gode anal et m’encule sur le champ, la jupe ouverte. Je me retiens de jouir sur son gros mandrin de quarante par neuf, il caresse mon gros clitoris. Je mouille.

Jason me conduit de ma chambre au premier étage, entièrement recouverte de miroirs sans tain sur les murs et au plafond, comme à la salle de bains avec une douche, où je suis menottée, bras tendus, sur la pointe des pieds, un bidet et un urinoir pour pisser debout.

Tenue en laisse, je rejoins le salon par un escalier en marbre, les yeux baissés.

- A P B est à votre disposition, messieurs. Voici, Jason, ton majordome, Dan, ton Maître de la cravache, de la garcette, Eros Sévices, ton fournisseur d’amants canins, Pilon Vices, ton maquilleur pour la suite du film et Ken Ejaculateur, ton maître queue pour ta chatte. Ils sont tous là pour ton dressage, d’où ta superbe robe et tes carcans de cuir. Tu as aimé être prise par Adam, Lancelot et Hadès, au Domaine. Ici, d’autres amants t’attendent pour ton plaisir anal.

- Oui, leurs queues m’ont bien élargies. Jamais je n’ai pris autant de plaisir depuis ma double défloration.

- Tu en prendras encore, dit Hubert. Une soumise doit évoluer dans sa progression. Sven que tes reins soient tatoués, en plus de tes anneaux et de ta bague. Messieurs, prenez-la. Eros Sévices, amène-la ensuite à ses amants.

Nue, je suis offerte à une double pénétration, suçant à tour de rôle mes amants, Dan m’offre un trente-six par huit, ES un trente-huit par neuf, PV un quarante-deux par neuf et KE un trente par sept. Je suis bien inondée par leurs jets de spermes, sans m’offrir d’orgasmes, à la demande d’Hubert.

Cette mise en bouche, me permet de m’offrir, enculée sur un chevalet dans un chenil, à une centaine de mètres de la villa, derrière le garage de la Ferrari, à dix chiens de garde en continu jusqu’à l’aube. Je suis pantelante, quand je quitte le chenil, tenue par les hanches douloureuses. Je me soulage accroupie, cuisses écartées, dans une pièce où sent l’urine canine.

- Tu as bien joui, A P B, dit ES. Je te prendrais bien cette nuit.

- Oui, Maître, je suis toute à vous et aux autres hommes qui ont envie de moi.

- Tu es docile. Douche-toi et nettoie bien ta chatte et ton œillet, après ce que tu as pris.

J’obéis. Hubert m’observe. Je le fais les yeux baissés.

 

15 juillet

Vers 2 heures du matin, Hubert me menotte, bras et jambes écartées, sur le ventre, un coussin pour cambrer mes fesses zébrées par la cravache de Dan. Je jouis sous les coups.

Dan m’encule, en écartant mes fesses brûlantes.

- Quel œillet, tu es une sacrée chienne, Shawn.

- Oui, Maître, pine-moi l’œillet jusqu’aux testicules. Je suis ta soumise.

Hubert m’encule ensuite et je suis récompensée pendant la nuit par la saillie anale canine du berger allemand Balzac jusqu’au nœud. Je jouis sous ses coups de reins, l’anus bien ouvert et encore un peu lubrifié par le sperme canin lors des saillies du chenil.

- Balzac, oui, pine-moi. J’aime… Encore…

Puis il se retire pour défoncer ma chatte avec la même vigueur et il éjacule en moi.

Je prends le même plaisir.

Je le suce, pour le récompenser.

Je me sens davantage chienne.

Au lever du soleil, après une ultime saillie anale canine par Balzac, je suis sauvagement enculée par KE, qui me douche, ensuite, menottée, avec une canule pour mon lavement anal.

Je dois m’offrir au doberman Roméo, qui m’encule à quatre pattes, à la sortie de la douche. Un bijou d’anus de calibre six me permet de garder son sperme chaud.

Je prends mon petit déjeuner, nue, fardée, au salon, buvant un nouveau verre de jus de fruits comme pendant la nuit, avec un stimulant sexuel.

Revêtue de ma robe, je fais les tâches ménagères, suçant mes amants et me faisant enculer à toute heure jusqu’au coucher du soleil.

Au chenil, j’expérimente ma première double saillie canine, qui me fait évanouir par la montée du double plaisir. Je suis comblée.

Je passe une nouvelle nuit, saillie jusqu’à l’aube.

Je porte régulièrement mes clochettes tantôt à mes mamelons que je dois sensibiliser tantôt à ma chatte humide, pour les étirer.

 

17 juillet

Après deux jours de saillie, Hubert m’offre au dogue allemand Romulus pour la journée. Il appartient à un Maître qui aime les chiennes comme moi.

Mes reins sont tatoués « A votre dévouée chienne S ».

Les invités d’Hubert viennent m’enculer, me prendre en double anale, une première pour moi et m’offrent à leurs chiens.

Sven se fait enculer devant moi par Hubert, je dois le sucer, tandis que Balzac m’encule simultanément. Je dois trouver une position confortable pour me soumettre aux deux queues. Tous les deux éjaculent en moi. Puis ils inversent.

Balzac s’allonge sur le dos, m’offrant sa queue dans ma chatte et Sven m’encule, tandis que je suce Hubert. Je suis submergée par leurs plaisirs.

Ils éjaculent presque simultanément en moi. Je suis pantelante et heureuse de cet acte sexuel.

 

19 juillet

Hubert me fait embaucher comme secrétaire chez un de ses amis.

Vers 8 heures, fardée, parfumée, vêtue d’une veste de tailleur sur mes seins nus, aux mamelons tendus par le tissu, une jupe ample, mais discrètement fendue de mi-cuisse jusqu’à la naissance des fesses nues, couleur vert, sur un porte-jarretelles à lacer étroitement, blanc avec des bas blancs, chaussée de sandales blanches à talons de douze centimètres, coiffée d’une queue-de-cheval, sans mes carcans de cuir, je suis conduite par KE. L’entreprise se trouve à une demi-heure de route de chez Hubert. J’ai mis mon bijou d’anus canin de calibre huit, pour éprouver le besoin d’être constamment saillie.

Le patron m’accueille. C’est un bel étalon de 60 ans, athlétique, élégant.

- Miss Shawn, la chienne, ton bureau t’attend au premier étage. Tes collaborateurs attendent ta venue. Tu dois les satisfaire à toute heure, jusqu’à midi, puis dans l’après-midi, tout en effectuant tes travaux.

- Oui, Maître, je serais à la hauteur. Voici mes fesses, si vous souhaitez me prendre dès que vous le désirez.

- Plus tard, tu es sacrément chaude. Peu de chiennes ont tenu une semaine chez moi.

Arrivée à l’étage, je découvre de superbes Adonis de tous les âges, bien montés. Je suis aux anges.

En relevant ma jupe pour m’asseoir, tout le monde voit ma chatte lisse et percée, ainsi que mon clitoris percé.

Plus d’un est en érection devant un tel spectacle, surtout quand j’exhibe mes seins nus.

Je dois les sucer l’un après l’autre, pour connaître leurs préférences.

Il y a que des toilettes pour homme. Je dois me soulager debout pour pisser, ce qui intéresse beaucoup d’hommes.

Bien sûr, il en profite pour m’enculer profondément, me fessant, filmée en direct pour le directeur, Marquis Sévices Brice de Mille Désirs, qui se masturbe devant le spectacle offert. Je nettoie ceux qui me prennent.

J’achève mon travail peu avant midi.

Je suis convoquée au bureau du Marquis.

- Alors, tu as comblée une partie des collaborateurs. Ils sont satisfaits de ta double ouverture.

- Prenez-moi aussi, j’ai un oeillet bien lubrifié par leurs spermes chauds.

Je me retrouve nue, empalée, dos à lui, enculée jusqu’aux testicules, soutenue sous les bras, sur son quarante par neuf avec sa gaine à picots.

Un des collaborateurs me rejoint et me baise simultanément, caressant mon clitoris tendu, tandis qu’un second me fait sucer son mandrin pour me baiser ensuite.

Je dégouline de spermes dans ma chatte, multipliant mes orgasmes.

Pantelante, je me refais une beauté avant d’aller au restaurant avec les hommes, non loin de là.

Jusqu’au coucher du soleil, les sodomies reprennent.

De retour chez Hubert, je suis saillie en règle par mes amants canins.

Ceci dure jusqu’au 28 juillet.

 

29 juillet

Le Marquis est satisfait de mes services et je fais ramener chez moi, en région parisienne, à bord d’un train privé, à l’annexe du Domaine des Biches Vicieuses.

Le Marquis et Hubert et d’autres invités viennent me voir dans ma cabine couchette. Je suis nue, la chatte épilée, en mules à petits talons, les cheveux libres, fardée, parfumée.

L’un d’eux, un autre Sven, un superbe Apollon Allemand, de 45 ans, me toise au premier regard.

Il m’allonge sur la couchette, cuisses écartées et m’encule sur le champ sans répit, jusqu’à l’éjaculation dans mon anus entrouvert.

- Quel plaisir de te prendre, belle chienne Shawn.

- Oui, Maître, pine-moi jusqu’au plaisir.

- Je vais user de toi, ma belle pute, jusqu’à l’épuisement.

En effet, il m’encule dans d’autres positions, m’inondant à cinq fois encore. Je le suce pour le remercier de m’avoir prise.

Il me quitte. Je me repose, mon bijou d’anus en place.

Il est 3 heures du matin. Hubert m’encule ensuite, puis son fidèle Balzac, pour m’achever vers 5 heures du matin.

Vers 9 heures, vêtue de mon tailleur blanc sur mes seins nus, avec ma jupe éventail, mon porte-jarretelles et mes bas blancs, encadrant mes fesses nues récemment cravachées, en escarpins blancs à talons de dix centimètres, fardée et parfumée, les cheveux libres, je rejoins le wagon restaurant, attirant les regards masculins. J’ai remis mon bijou d’anus.

Je retrouve Sven, Hubert et un autre partenaire qui m’a prise aussi peu avant le coucher du soleil.

- Quelle beauté, dit Sven, elle est radieuse. Le sexe lui fait du bien.

- Oui, enculée, saillie, je me sens encore plus soumise, dit-je.

- A l’annexe, tu le seras encore davantage, dit Hubert.

Arrivée à destination, je monte à bord d’une Rolls-Royce dorée, conduite par une bel Adonis brun en uniforme de chauffeur. Il me conduit vers l’ouest.

En chemin, nous marquons une pause dans une route forestière.

Le chauffeur me rejoint, relève ma jupe, après m’avoir allongée sur le dos, cuisses écartées, déchaussée. Il libère mon anus et m’encule longuement, les cuisses complètement relevées sur les épaules, pour m’enculer profondément jusqu’aux testicules. Je jouis à plusieurs reprises sur son mandrin de trente-six par huit.

Il me fait sucer son mandrin pour éjaculer dans ma bouche.

Je me rhabille et nous allons jusqu’au Domaine des Chiennes, après avoir traversé un village et longé un mur pour atteindre l’entrée principale.

Il me dépose avec mes bagages devant le bâtiment principal.

Là, je suis accueillie par une superbe transsexuelle brune aux longs cheveux, aux petits seins nus mis en valeur par un corset blanc seins nus et une jupe blanche dénudant son long mandrin de trente-huit par huit, aux testicules épilés portant des anneaux dorés, fardée, parfumée, chaussée de mules blanches à talons de douze centimètres, les cheveux libres, 45 ans.

- Voilà, la fameuse Shawn, soumise d’Hubert. Il te fera ferrée et chiffrée dès ce soir. Ta chatte sera constamment épilée dès ce jour. Déshabille-toi, va te baigner et que je mets tes carcans pour ton séjour de deux semaines au Domaine. Tu seras saillie quotidiennement et enculée, fouettée par les clients, même tes petits seins, ma belle.

Nue, je me baigne, l’anus libre rempli par une canule pour le nettoyer du sperme du chauffeur.

Je fais couler l'eau, me démaquille, me brosse les cheveux, et entrée dans la baignoire, me savonne lentement. Debout dans la baignoire, courbée, le dos tourné vers la glace qui revêt le mur, je me savonne des doigts l'intérieur de ma chatte. Je sors de l'eau et m'essuie.

Je porte désormais au cou, aux poignets et aux chevilles, un collier qui, sans me serrer, m’entoure exactement le cou dans mon milieu, suffisamment pour qu'il soit difficile de le faire tourner, et plus difficile encore d'y glisser un doigt entre la peau et le métal. De même, à mes poignets et à mes chevilles, juste au-dessus de l'articulation qui était laissée libre, les bracelets. Le collier et les bracelets sont de fer inoxydable, articulés et à demi rigides comme on fait en or certains bracelets-montres. Ils sont hauts de près de deux doigts et portent chacun un anneau de même métal. Je les garde jour et nuit, ni même pour me baigner pendant mon séjour. Je me maquille devant le grand miroir à trois faces me farde la bouche avec un rouge clair, un peu liquide, que j'applique au pinceau, et qui fonce en séchant. Je me peins du même rouge l'aréole et les mamelons constamment tendus, et les petites lèvres entre mes cuisses, en soulignant la fente du giron. Je me poudre le visage, je choisis des mules à talons de douze centimètres à ma pointure.

- Ecarte tes fesses que j’insère dans ton œillet le gode anal canin Lancelot moulé sur le sexe d’un dogue allemand en érection, avec ses testicules pour le maintenir en place, cadenassé. Tu le portes huit à dix heures par jour entre tes saillies et les sodomies par les clients.

Je reste constamment nue, pour exhiber mon gode et ma ceinture de cuir.

L’après-midi, munie d’un bâillon-pénis, je suis marquée au fer rouge des lettres S sur ma fesse gauche et V sur l’autre fesse. Mes grandes lèvres n’ont plus des anneaux, mais des fers qui sont rivés au nom de Hubert et de Sven sur chacun. Ce sont des anneaux de fer mat inoxydable. La tige en est ronde, épaisse comme un gros crayon de couleur, et ils sont oblongs : les maillons des grosses chaînes sont semblables. Chacun est formé de deux U qui s'emboîtent l'un dans l'autre, le ressort intérieur sur lequel on doit forcer pour le faire pénétrer dans la rainure où il se bloque. Chaque anneau est long comme deux phalanges du petit doigt, qu'on y peut glisser. A chacun est suspendu, comme un nouveau maillon, ou comme au support d'une boucle d'oreille un anneau qui doit être dans le même plan que l'oreille et la prolonger, un disque de même métal aussi large que l'anneau est long.

Mes grandes lèvres sont ainsi constamment étirées.

Devant mon miroir, je me regarde, les fers me descendent jusqu'au tiers de la cuisse, et à chacun de ses pas bougent entre mes jambes comme un battant de cloche, le disque gravé étant plus lourd et plus long que l'anneau auquel il pend. Les marques imprimées par le fer rouge, hautes de trois doigts et larges de moitié leur hauteur, sont creusées dans la chair comme par une gouge, à près d'un centimètre de profondeur. Rien que de les effleurer, on les perçoit sous le doigt. De ces fers et de ces marques, j’éprouve une fierté insensée.

Dès le soir, remis de ma perte de connaissance, je suis offerte au bar et au restaurant à des clients, ma chatte et mon pubis totalement lisses, mon anus entrouvert me permet de m’offrir à une dizaine de clients jusqu’à l’aube. Je suis fouettée.

 

30 juillet

Je dors nue, enchaînée, saillie par des bergers allemands, des dobermans et des dogues allemands jusqu’au lever du soleil, ma chambre ne possède pas de porte, pour que les clients viennent me prendre selon leurs envies.

A 10 heures, je suis fouettée, enchaînée à mon lit, prosternée et enculée selon les envies par le valet de permanence.

Ma chambre est tranquille et sombre, avec une grande porte-fenêtre qui ouvre sur le parc, mais qui est masquée par les rideaux. Le lit est si bas qu'on dirait à peine un lit, il se confond avec le sol, avec le mur auquel il s'appuie. Il y a aussi un miroir qui fait face au lit, fixé sur la porte ; s'il bouge, c'est qu'on entre.

Je suis offerte en moyenne à une dizaine de clients chaque jour.

 

14 août

Vers 10 heures, encore nue, je suis invitée à retrouver Hubert, dans un luxueux domaine non loin du Domaine des Chiennes. J’y vis avec lui, offerte à ses amis, constamment nue, fouettée et enculée, saillie par les chiens de son chenil.

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