Je m’appelle Shawn.
J’ai 21 ans.
Je suis une jolie beauté scandinave.
Je suis une brune aux yeux verts. J’ai des pieds fins et latins, des jambes longues bronzées, musclées qui inquiètent par leur perfection. Mon pénil est bombé, ouvert, couronné de noir. Ma pilosité brune couvre mon pubis. Je suis totalement velue entre les cuisses et j’ai une superbe croupe. Mon entrecuisse est velue. Mes hanches s'incurvent et délimitent le ventre plat, délicieusement renflé autour du nombril, les hanches sont larges et rondes, mais sans lourdeur. La taille est affinée. Les seins parfaits intégralement bronzés sont un peu volumineux mais fermes, et leurs pointes marron clair, toujours dressées, cernées par une large aréole marron attirent le regard. J’ai une peau lisse et patine. Finition parfaite, un seul grain de beauté entre mes superbes seins. De longs cheveux plats blonds flottant comme des algues, battent mes épaules rondes et gracieusement athlétiques. Je suis intégralement bronzée. Mes yeux verts limpides s'allument, ma bouche charnue se fend. J’ai des sourcils bruns bien dessinés et des lèvres pulpeuses. J’ai de longs doigts fins et de belles mains. Je fais du 85B de poitrine, 56 de taille, 90 de hanches, 1,75 m.
VICIEUSE DE MON ONCLE
10 juillet 2040
Je sors de ma vie de pensionnaire au pensionnat féminin en région parisienne, avec aucune rencontre de garçons depuis mes 15 ans. Mais, j’ai découvert la masturbation avec mes copines lesbiennes, me godant ma chatte. J’aime ma pilosité entre mes cuisses et sur mon pubis.
Vers 10 heures, je descends du TGV à la gare, vêtue d’un chemisier blanc sur mon soutien-gorge en dentelle transparente blanche assortie à mon string sous une jupe ample noire, arrivant à mi-cuisse, chaussée de sandales blanches à talons de huit centimètres, coiffée d’une queue-de-cheval, sans maquillage.
Là, mon oncle, Alban, âgé de 35 ans, brun, athlétique, musclé, m’accueille et me conduit dans sa villa à une heure de route. Il m’invite dans sa BMW cabriolet :
- Shawn, relève ta jupe, dénude tes jambes et caresse-toi.
J’hésite. J’obéis et je vois qu’il bande. Je ne vais vue une queue de près.
Un orgasme me terrasse en quelques instants, mon string est tout trempé.
J’ouvre mon chemisier pour dévoiler mon soutien-gorge. Cela peut l’exciter.
- Tu as de superbes seins, Shawn. J’ai hâte de les caresser. Il faut parfaire ton éducation.
Mes mamelons et mon clitoris sont tendus par l’excitation.
Arrivée à la villa, surplombant la mer, il m’aide à descendre. La villa est sur un étage, avec un garage en sous-sol.
Il range la BMW.
Nous allons à ma chambre, en passant par le salon donnant sur une piscine, via l’escalier.
Ma chambre donne sur le jardin, sans porte, avec une grande fenêtre, sans rideau, ni volets.
- Déshabille-toi. Je te veux toute nue. Ici, nudité intégrale, tu seras plus belle pour bronzer à la piscine.
J’obéis.
- Tiens, tu es une beauté naturelle velue. J’aime ça et mes amis.
Alban commence à m’embrasser, tout en pelotant mes seins. Je suis toute humide et m’abandonne à lui. Il bande encore.
Puis ses mains caressent mon clitoris et fouille ma chatte.
- Tu es encore vierge, Shawn.
- Oui, je n’ai pas encore trouvé le prince charmant.
- Ce n’est pas grave. On peut arranger ceci. Je vais t’initier, baise, plaisirs sexuels, fellation et autres vices sexuels que tu vas découvrir avec mes amis, plus âgés et experts. Les jeunes filles ne peuvent résister.
- Quoi…
Il m’apprend à sucer, nue, accroupie, cuisses écartées. Je fais de mon mieux sur son mandrin de trente-huit par huit. Je mouille, rien qu’à le recevoir dans ma chatte.
- Tu es toute trempée, même vierge. Tu me plais davantage, Shawn.
- Oui, Alban, j’ai hâte.
- Ecarte bien tes jambes, allonge-toi sur le dos.
Il me lèche longuement le clitoris qui se tend, il dépose quelques gouttelettes comme sur mes mamelons. Ils sont constamment tendus par l’excitation et le vent frais de la fenêtre ouverte.
- Empale-toi sur moi.
J’obéis et je me retrouve empalée jusqu’aux testicules, me déflorant jusqu’au fond de ma chatte trempée. Je jouis pour mon premier orgasme.
Puis il me reprend allongée sur le dos, je l’entoure avec mes jambes, pour qu’il éjacule en moi.
- Pine-moi, j’aime ça.
- Je vois. Déflorée, tu en veux encore, tu es une sacrée coquine, Shawn.
Il me fait encore empalée, face à lui, en me soulevant par les cuisses. Je suis très excitée.
- Maintenant, je vais m’occuper de tes fesses. Tu aimes les fessées.
- Oui, fesse-moi, punis-moi.
Il se retire et me mets à quatre pattes sur le lit, sans savoir à quoi m’attendre.
Il me donne des claques magistrales pour me chauffer, tout en doigtant mon anus encore vierge de son sperme et de ma mouille abondante, suite à ma défloration.
- Je vais t’enculer.
- Non… Pas…
Mais trop tard, le mandrin s’est enfoncé d’abord le gland, puis en totalité jusqu’aux testicules.
- Un gros calibre pour ton œillet vierge, tu vas voir comme tu vas aimé.
En effet, les caresses de mon clitoris tendu par Alban, mes pals sur son gros mandrin, transforment mes gémissements en râles de plaisir.
Vers 11 heures, je ne remarque pas la présence de deux autres étalons. Brice, un bel Adonis de 45 ans, brun, moustachu, avec un trente-six par sept, athlétique et Charles Alexandre, un beau étalon musclé, chauve, de 30 ans, avec un quarante par neuf.
- Tu la veux, Brice ou Charles. Son œillet va être bien rempli de mon sperme.
- C’est une nouvelle pute, dit Brice.
- Non, elle a besoin d’être prise par plusieurs amants, pour son éducation, dit Alban.
Je n’ai pas le temps de répondre, Charles Alexandre m’enfonce son mandrin dans ma bouche, tandis qu’Alban éjacule dans mon anus.
Brice m’encule dans la foulée et je nettoie Alban.
Charles Alexandre m’encule en dernier. Je gémis un peu, mais la douleur s’estompe, toujours inondée comme avec Brice.
- Elle aime ça. Il faut l’enculer plusieurs fois par jour pour qu’elle s’y habitue, dit Alban.
L’anus entrouvert, dégoulinant de sperme, Charles Alexandre m’enfonce un objet froid dans mon anus.
Je contracte l’anus pour être sûre que l’objet ne tombe pas. Cette contraction l’avance contre ma chatte humide et la stimule. Je garde l’objet une heure environ. Il mesure vingt-deux par cinq.
- Cela te rendra les prochaines sodomies moins douloureuses et tu jouiras plus facilement. Va te baigner après ta douche, dit Alban.
Je me douche sans pudeur, devant ce trio. Je suis toute excitée.
L’eau tiède de la douche sur mon clitoris devenu gros comme une cerise, volumineux et saillant sous mes doigts, quand je me caresse, mes mamelons sont aussi volumineux, gros et longs. Je suis longuement excitée. J’ai une folle envie d’être enculée encore une ou plusieurs fois.
Je me baigne nue, pas de bikini, devant ce trio, qui me rejoint, me caresse sur tout le corps.
Sur la chaise longue, mon corps enduit de crème solaire, je me fais encore caresser, doigter ma chatte resserrée et mon clitoris tendu entre mes poils qui brillent par ma mouille abondante. Je jouis, en suçant mes amants.
Je suis filmée par leurs téléphones portables, même par les discrètes caméras de la villa dans chaque pièce.
- C’est une sacrée coquine Shawn, dit Brice. Son œillet va être prêt pour le déjeuner, assise sur nos queues.
- Oui, elle va jouir, dit Alban.
- Surtout sur ma belle queue, dit Charles Alexandre.
- Oui, je vous veux tous les trois, dis-je.
Vers midi, je prépare le déjeuner, nue, en mules blanches à talons de douze centimètres, les cheveux libres, aidée par mes amants, qui caressent mes fesses brûlantes par les claques magistrales à la piscine. Je suis toute humide.
Je mange empalée, assise entre leurs cuisses, jusqu’aux testicules, enculée profondément, offrant mes seins, mes fesses, ma chatte et mon clitoris à leurs caresses sensuelles, qui me font jouir, l’anus libre du bijou d‘anus.
- Ma belle Shawn, mon chaton, je vais t’appeler comme cela. Tu ronronnes quand on te prend. Charles Alexandre va te conduire au village voisin, à pied, à une demi-heure. Tee-shirt sur tes seins nus fardés, jupe ample et courte, mules, queue-de-cheval seront ta tenue de sortie. Tu dois t’habituer à marcher avec des hauts talons, dit Alban. Je te mettrais un nouveau gode à ton retour. Tu gardes ton bijou d’anus pour l’instant.
- Il m’excite, quand je le fais aller et venir.
- Ton œillet devient sensible, c’est normal. Tu n’as jamais été prise par là, dit Brice.
Je me douche, me farde, je suis poudrée le visage et mes paupières sont légèrement ombrées. Un glaçon passé sur mes mamelons fixe la couleur rouge, comme aux grandes lèvres de ma chatte. Le parfum que j’ai longuement passé sur mes aisselles lisses et ma fourrure pubienne, dans le sillon entre les cuisses, dans le sillon sous les seins, et au creux des paumes.
Nue devant mon grand miroir, je sens les mains de Charles Alexandre peloter mes seins aux mamelons constamment tendus par les gouttelettes qu’il dépose tout comme sur mon gros clitoris, puis il me prend la taille, simulant une sodomie, en frottant son mandrin bandant contre mes fesses.
Je mets ma jupe fuchsia arrivant à mi-cuisses, laissant deviner ma chatte nue et accessible à tous, mon bijou d’anus avec sa pierre précieuse entre mes fesses, mon tee-shirt blanc moule parfaitement mes seins nus fardés et je chausse mes mules. Je me coiffe de ma queue-de-cheval.
- Shawn, ta silhouette est plus élancée, tes chevilles et tes mollets sont tendus, cela te fait des jambes superbes ! En accentuant ton déséquilibre en avant, tes talons te forcent à redresser le buste et à creuser les reins, dit Charles Alexandre, en regardant mes jambes nues.
- Oui, Charles, je me sens plus désirable.
- Tu es une beauté facile. Trois amants dès le premier jour, tu pourrais faire davantage.
Vers 14 heures, nous quittons la villa. Je vois la Ferrari F40 de Brice et la Porsche 911 cabriolet de Charles Alexandre devant le garage.
Nous longeons par la route, un parc à quelques mètres de la villa, puis d’autres discrètes villas sécurisées. Charles Alexandre me tient tantôt par la main tantôt par la taille, mes hanches sont encore douloureuses, mais mon anus est en chaleur, pensant à mes futures sodomies. Je baisse les yeux devant les hommes qui me croisent, comme me le suggère Charles Alexandre. Ses regards m’excitent et cela se voit.
Au village, nous passons par la boulangerie, où je suis sous le charme du boulanger et de sa vendeuse, puis à la boucherie, deux rues plus loin, le boucher me drague et dans une boutique de vêtements sexy, près du parc, où la vendeuse brune de 35 ans, Amandine, aux cheveux mi-longs me drague.
Je dois essayer un chemisier blanc sans soutien-gorge, de faire un nœud autour de mon ventre et d’enfiler la mini-jupe noire de soubrette, avec des sandales à talons de douze centimètres, avec ma queue de cheval, puis une robe bleue très courte couvrant à peine mes fesses nues, avec un dos nue et un décolleté en V mettant en valeur ma nudité, collant à mes seins, mes hanches et à mon ventre, en mules.
- Tu portes un bijou d’anus, comme moi. C’est excitant.
- Oui, j’aime être enculée, surtout par des grosses queues, dis-je, surprise.
- C’est une ancienne vierge anale, elle apprécie beaucoup ce plaisir, dit Charles Alexandre, quand je suis nue, devant le miroir, le rideau ouvert pour m’exhiber.
Il remet à Amandine, une carte avec mon numéro de téléphone portable et l’adresse de la villa pour la livraison.
De retour à la villa, Charles Alexandre me fait faire une halte au parc. Il trouve un bosquet, j’ai mis ma robe dos nu, en échange de mon tee-shirt et ma minijupe.
Je me penche en avant, cuisses écartées, l’anus libre. Il m’encule juste ce qu’il faut pour me faire jouir et éjacule sur mes fesses rougies par quelques claques magistrales. Je dois mordre mes doigts pour apaiser mes râles de plaisir.
Vers 17 heures, à la villa, nue, je suis enculée à nouveau par mes amants, à la piscine, plus vigoureusement que le matin. Je ne compte plus mes orgasmes de plus en plus violemment, ni les litres de spermes qui inondent mon anus.
On sonne. C’est Amandine.
Je la rejoins, nue et en mules, en sueur, les cheveux libres.
- Voici ton paquet, j’ai mis un cadeau en supplément. On pourra faire l’amour entre filles ou avec mon chéri, tu réfléchis, la sexy Shawn.
- Merci, Amandine, je te rappelle.
Dans le paquet, je trouve un gode réaliste de trente-six par sept, avec un prépuce qui glisse le gland et muni d’un va-et-vient, connecté à un téléphone portable.
Je monte à ma chambre, ranger mes tenues achetées, mais le trio exige que je défile avec. Je m’exécute sans les décevoir.
Je reçois ma bague sertie d’un anneau, à mon annulaire gauche.
Nue, l’anus entrouvert, je reçois un superbe gode muni de picots, de bonne dimension, trente-huit par huit. Son prépuce glisse le long du gland pour ma sodomie profonde avec des va-et-vient. Le gode en érection s’allonge et rétrécit à chaque mouvement de va-et-vient grâce à son enveloppe ultra-souple qui s’étire ou se contracte en suivant les montées et descentes du gode. C’est comme un vrai étalon infatigable qui m’encule. Il mesure trente-huit par huit et neuf avec sa gaine à picots. Trois chaînettes pendent de la base du gode. Brice attache une étroite ceinture autour de ma taille, et l'on y accroche les trois chaînettes, une par derrière qui suit le sillon des fesses, et les deux autres par-devant, qui longent le pli des aines en contournant le triangle pubien. Alban les ajuste au plus court, de façon que le mouvement intérieur des muscles ne peut repousser le gode et permettre de se resserrer à l'anneau de chair qu'il doit forcer et distendre, et on les attache avec de petits cadenas, pour s'assurer que, lorsque je suis seule, pour me soulager de cette contrainte.
Je suis enculée par cet infatigable étalon, mes mamelons et mon clitoris sont constamment tendus par l’excitation sexuelle que je ressens.
Je soupe nue, en compagnie de mes amants, caressée de toutes parts.
Nous regardons un film X de SM. J’éprouve le besoin :
- J’aime les fessées. Je suis prête aussi la cravache. A quand une double avec moi ?
- Patience, Shawn, laisse ton œillet s’habituer à des queues, dit Alban. Je vais t’enchaîner à ton lit, ce soir, pour que tu sois prête à t’offrir pendant la nuit, cuisses écartées, telle une belle soumise.
- Comme dans le film, je ne peux pas refuser, dis-je, gênée.
- Nous sommes libres de fouiller ta bouche, ta chatte et ton œillet, sans te dérober à nos queues, la bouche entrouverte, les cuisses toujours écartées, ton regard toujours fixé sur nos queues désormais, même en promenade, pour sucer. En outre, à la nuit, tu nous suces, cuisses écartées, car tu as les mains menottées et es nue.
Vers 22 heures, Alban me conduit à ma chambre, laissant la fenêtre ouverte. Il me menotte, les bras écartés. Je garde mes cuisses écartées, un miroir reflète ma chatte trempée, qui brille de ma mouille abondante pendant le film.
- Le gode va bien t’ouvrir pendant la nuit. Tu aimes les va-et-vient et les pilonnages anaux, ton bassin et tes râles de plaisir sont les preuves.
- Oui, Alban, j’ai trop envie de me faire enculer par de vraies queues.
- Plus tard, demain, d’ici quelques jours, tu seras bien ouverte.
Pendant la nuit, les trois amants se relaient pour défoncer ma chatte. Je découvre le plaisir des doubles pénétrations avant de recevoir deux mandrins simultanément.
Je suis pantelante après ses trois premières doubles pénétrations, mon pubis, mes seins et ma bouche sont remplis de leurs spermes.
11 juillet
A l’aube, Alban me retire discrètement le gode anal et m’encule, prosternée, les mains menottées dans le dos, je mord l’oreiller, sous l’orgasme anal violent et sa longue éjaculation. Il me fesse longuement en retour. Les fesses brûlantes, je mouille, ce qui excite Alban. Il m’encule sauvagement et me laisse l’anus rempli par le gode anal, les fesses recouvertes de spermes.
Vers 8 heures, j’émerge, en sueur, le gode anal en place. Charles Alexandre me fait doucher, les mains menottées dans le dos, à l’eau froide, s’attardant sur mes seins, mes fesses et mon clitoris tendu à l’extrême.
Je passe une partie de la journée, enculée par mes amants et le gode anal.
Le rituel dure jusqu’au 13 juillet.
Les sodomies sont moins douloureuses et je suce mieux.
Amandine m’envoie des messages sur mon téléphone portable, plus d’autres messages d’anonymes qui ont vu mes vidéos de sodomies et de fellations.
Alban est fier d’apprendre que j’attire d’autres hommes avec ma chatte velue.
Je m’habitue à rester agenouillée, cuisses écartées, les mains dans le dos, fléchie un peu en arrière, à demi assise sur les talons, en gardant mon gode anal, tout en regardant des films hard SM, pour m’exciter. J’ai droit à mes longueurs de piscine avec mon bijou d’anus et à des pénétrations de ma chatte chaque fois que je porte le gode anal pour me préparer.
13 juillet
Après ma courte nuit de plaisirs, la chatte dégoulinante de spermes chauds, les fesses et les seins recouverts de spermes aussi, détachée, je me douche longuement. Mes mamelons et mon clitoris sont désormais constamment tendus, par mes caresses et mon excitation sexuelle très intense.
- Alban, j’ai très envie de toi encore aujourd’hui, dis-je, l’anus libre de mon gode anal.
- Mon chaton, tu es bien élargie maintenant. Ton instruction n’est pas encore achevée. Il te faut apprendre à maîtriser ton plaisir, quand on te l’ordonne.
- Prends-moi encore, encule-moi, j’ai trop envie.
- Farde-toi, parfume-moi, mets ta tenue sur le lit, sur ton corps nu. Nous prenons la Ferrari pour sortir en ville.
Prête devant le miroir, je dois mettre une robe noire courte au corsage avec des bonnets transparents, couvrant à peine mes fesses zébrées par les coups de cravache de la nuit, chaussée de mes mules blanches à talons de douze centimètres et coiffée de ma queue-de-cheval. Je mouille rien qu’en l’évoquant. J’aime tout autant la cravache que les sodomies et les doubles pénétrations. Je me sens telle une esclave sexuelle.
Vers 10 heures, nous rejoignons une rue cachée derrière la boulangerie et donnant sur une vue sur la mer par un discret parking.
Alban me prend par la main pour me faire descendre de la voiture, ma jupe relevée permet une vue imprenable sur ma chatte trempée, cuisses écartées. Le fauteuil passager est trempée par ma mouille, caressée pendant le trajet par Alban.
Il y a un discret immeuble et un escalier menant au sous-sol.
- Viens, au sous-sol, c’est le « Paradis d’Eve ». J’ai contacté Hubert, un amant bien monté. Il recherche de jeunes beautés de ton profil. Tu vas plaire, mon chaton.
- Oui, Alban, je suis prête à me donner à Hubert.
Dès l’entrée, je regarde des rayons de DVD hard, des collections de godes, des tenues de cuir et des clients qui regardent dans des cabines des films hard. Je suis toute excitée.
- Tiens, voici, la belle d’Alban, elle est très sexy, dit Hubert, un superbe barbu athlétique brun, de 50 ans.
- C’est Prudence. Elle est en vacances sur la côte. Elle a besoin de sexe, surtout anal, double, fessée. Tu vois ses désirs sexuels.
- Oui…
- Prudence, tu as un physique très recherché. Elle a déjà couchée, même une double beauté virginale fera l’affaire, dit Hubert, en caressant ma chatte et mon clitoris tendu.
- Oui…
- Prudence, baisse les yeux et laisse-moi m’occuper de quelques points avec Hubert. Va faire un tour dans les rayons DVD, godes, tu choisis le ou les cadeaux que tu veux.
- Oui.
J’obéis. Ma robe attire les regards, surtout quand je me penche. Mes seins bougent, mes fesses nues se dévoilent quand je m’accroupis.
Un des clients me soulève bien ma jupe et me baise sans préavis, avant de m’enculer jusqu’aux testicules. Je jouis rapidement sur son trente-huit par huit.
Hubert et Alban me rejoignent.
- Anal Eros, tu t’occupes déjà de Prudence. Elle te plait.
- Quel œillet, elle a l’habitude de se faire enculer, cette beauté. Tu mouilles bien, chienne, dit l’étalon brun musclé de 26 ans.
- Oui… Encore…
Ma bouche est bâillonnée par un trente-deux par sept.
- Pilon Vice, elle te plait aussi sa bouche.
- Bien dressée, elle suce bien. Je vais l’enculer aussi.
Je ne peux résister, la seconde sodomie me fait davantage jouir. C’est un superbe étalon Africain noir de 32 ans qui me prend.
Je dois sucer Hubert, avec son trente-six par neuf.
- Alban, je peux aussi l’enculer.
- Oui, elle est toute à toi, le « Vice Club Sévices » aura une attraction de choix.
Hubert m’encule tandis que je nettoie mes deux amants.
Ces amants m’ont comblé. Alban me remet mon bijou d‘anus et Hubert m’offre mes cadeaux gracieusement. Je garde du sperme chaud sur mes fesses brûlantes par les fessées reçues.
Je porte un chapelet anal relié à un slip en cuir ouvert dénudant ma chatte jusqu'au gros clitoris. A chaque pas, les billes vibrent et font six centimètres de diamètre sur un support flexible long de trente centimètres.
Je suis au bord de l’orgasme anal, quand je monte en voiture.
Vers midi, nous rejoignons un restaurant. Je porte un collier de cuir avec une laisse, à la demande d’Hubert. Mon chapelet anal est télécommandé par mon téléphone portable qu’Alban a pris avec lui et il compose des numéros correspondants à différentes vibrations.
Au restaurant, les yeux baissés, des habitués viennent me voir. La table est au premier rang, près de la réception. Le réceptionniste, les serveurs se rincent l’œil de me voir assise, cuisses écartées, la jupe bien relevée, les fesses et les jambes nues, dévoilant mon pubis velu et surtout ma bague.
Alban m’a juste retiré ma laisse.
Des habitués me donnent leurs numéros de téléphone portable, leurs pseudonymes (sans savoir qu’ils sont des clients du « Paradis d’Eve » et du « Vice Club Sévices ») et un rendez-vous possible avec eux.
- Tu sais, elle aime le sexe, surtout deux queues en elle et une dans sa bouche, c’est le plaisir, pour cette chienne, dit Alban à chacun d’eux.
Je dois aller me soulager. Alban me conduit aux toilettes pour hommes où je dois pisser debout, un peu gênée.
Vers 14 heures, nous quittons le restaurant après avoir payé. Les habitués sont déjà partis avant moi.
- Tu t’es bien donnée au restaurant, comme au sex-shop, Prudence. Tu mouilles de désir. Ces hommes t’envient, tu es une vraie chienne.
- Non, je suis…
- C’est vrai, tu es une belle et jeune soumise, offerte à tes amants. Au belvédère, je vais te prendre. Tu as très envie.
Après une longue montée par une route sinueuse, nous arrivons au belvédère.
Il y a un site d’observation.
Vers 15 heures, je dois me pencher pour regarder par les jumelles d’observation. Alban dénude mes fesses, libère mon anus du chapelet anal et m’encule sauvagement. Je me retiens de jouir, malgré les caresses de mon gros clitoris.
Une autre voix masculine me surprend :
- Très belle chienne, corps musclé, petits seins, mamelons et clitoris bien tendus, elle est très excitée.
- Oui, vous voulez l’enculer. Elle aime les grosses queues, cette chienne.
L’homme m’encule sur le champ, l’anus bien ouvert, non lubrifié, car Alban n’a pas éjaculé en moi.
- Quel œillet de chienne, bien ouvert. Elle est une habituée du VCS. Les habituées du VCS sont bien élargies.
- Oui, elle s’y rend ce soir.
- J’y serais. Je m’appelle Pine Cravache, car j’aime cravaché les jolies beautés comme elle. C’est comment son prénom à ta chienne ? Elle se faisait cravacher les fesses, elle mouille je présume, comme toute chienne habituée.
- Prudence, ou Shawn selon tes envies.
- Chienne Prudence, on se voit ce soir au VCS. Tu as intérêt d’être à l’heure.
- Oui… dis-je les yeux baissés, en le suçant, tandis qu’il éjacule dans ma bouche longuement, profondément. Je manque de m’étrangler.
L’homme disparaît comme il est venu.
- Et de huit, ma chienne, tu plais beaucoup. Monte, tu vas te préparer pour ta sortie, mon chaton.
Je suis embarrassée, gênée, le chapelet anal remis en place. Alban continue à me caresser mes cuisses et ma chatte trempée, pendant le retour à la villa.
Tout le monde à la villa a vu mes vidéos du sex-shop, du restaurant et du belvédère.
Vers 17 heures, à la villa, nue, dans ma chambre, devant Alban, je tente de m’expliquer :
- Alban, je suis excitée, c’est normal. Depuis mon arrivée…
- Tu n’as pas à te justifier, mon chaton. Tu es une allumeuse, une chienne.
- Ton chaton est une nymphomane obsédée de sexe, dit Brice. Tu as vu à chaque fois une queue en bouche, une pour l’enculer ou pour sa chatte, elle jouit, rien qu’en trois jours de dressage sexuel.
- C’est vrai que tu jouis, même fessée ou cravachée, rajoute Charles Alexandre.
- Oui…
- Tu parles quand on t’autorise. Le VCS impose le silence, dit Alban. On va l’enculer, menottée à son lit, jusqu’à son départ.
Je subis les sodomies sauvages, fessée, cravachée, sans répit, mon anus et ma bouche tentent de conserver le sperme chaud.
Au coucher du soleil, Alban me menotte dans une position particulière, allongée sur le dos, les cuisses serrées, des bracelets de cuir à mes chevilles reliées par une courte chaîne, des bracelets de cuir à mes poignets pour que j’ai les bras tendus, m’empêchant de me caresser.
Ils sont faits en plusieurs épaisseurs de cuir, chaque épaisseur assez mince, au total pas plus d'un doigt, verrouillés par un système à déclic, qui fonctionne automatiquement comme un cadenas quand on le referme, et ne peut s'ouvrir qu'avec une petite clé. Dans la partie opposée à la fermeture des bracelets, pris dans le milieu des épaisseurs de cuir, et n'ayant presque pas de jeu, il y a un anneau de métal, qui donne une prise pour fixer, et qu'on positionne du côté intérieur du poignet. Pour le collier, l'anneau pend devant le cou, reposant sur la saillie des clavicules, et brinquebale au rythme des mouvements de celui qui le porte.
Un gland d’un gode réaliste est posé sur mon gros clitoris, fermement maintenu entre mes cuisses, j’ai mon bijou d’anus en place.
J’ai droit au mouvement de va-et-vient du prépuce sur mon clitoris.
Je ne compte plus mes orgasmes qui durent une éternité. Alban connaît mes zones érogènes. Je me cambre, râle de plaisir bruyant, mon bassin ondule.
Ce n’est que vers 21 heures, que je suis libérée.
Je suis sauvagement enculée, avant une bonne douche. Je me farde, me parfume, revêt une robe plus sexy que celle de la journée. Elle est entièrement transparente blanche, seins nus, largement fendue court devant jusqu’au-dessus de son pubis et couvrant à peine mes fesses nues derrière, plus mes sandales blanches à talons de douze centimètres, les ongles des mains et des pieds vernis en rouge. Je fais forte impression.
Vers 22 heures, une limousine vient me chercher, avec deux inconnus à l’arrière. Nous allons à VCS.
Je suis assise, les fesses nues sur le cuir de la banquette arrière, derrière les vitres teintées en noir, une vitre teintée noire me sépare du chauffeur. Sans attendre, je me retrouve nue, avec un masque de nuit relié à un bâillon boule, pour étouffer mes râles. Je ne porte pas mon bijou d’anus, car je suis bien ouverte, propre lors de mon lavement anal.
Les deux hommes que je n’ai pu apercevoir, me caresse mes seins, après m’avoir menottée mes bracelets dans mon dos. Ils me complimentent sur mon corps, mon excitation trahie par mes mamelons et mon clitoris tendus, ma chatte trempée et sur mon bassin qui ondule quand ils enfoncent leurs doigts simultanément dans ma chatte et mon anus. Je jouis.
Pendant le trajet jusqu’au niveau de la mer par un tunnel souterrain avec une route sinueuse adaptée, je dois aussi sucer sans les faire éjaculer.
On me fixe une laisse à mon collier comme l’a fait Alban.
Vers 22 heures 30, nous franchissons une série de trois grilles ouvertes, gardées par des maîtres-chiens. Je suis présentée comme Chienne S, par les deux hommes.
Enfin, nous remontons une longue allée jusqu’au bâtiment principal, un luxueux hôtel particulier dans un grand parc, entouré d’arbres et devant, sont stationnées de luxueuses voitures sportives.
On m’aide à descendre, toujours tenue en laisse, je monte les marches du perron menant au grand salon, où des dizaines d’hommes m’attendent, nus, leurs mandrins en érection, pour moi.
- Voici, Chienne S, la nouvelle chérie d’Eros Sévices, elle a tous les critères requis : double, anale, cravache, sous son corps d’exhibitionniste, déflorée depuis trois jours, elle sera une beauté docile BDSM à votre service. Elle aime se donner, faire envie aux hommes, jusqu’au calibre neuf. Cette chienne sera offerte à ses amants. Ses films hard seront des chefs d’œuvre pour le milieu. Elle est toute à vous, mettez-lui ses clochettes pour l’identifier. Elle sera tatouée et percée dès ce soir. Ses seins doivent être sensibilisés. Ses vidéos sont publiques durant son séjour au VCS.
Mes mamelons ainsi que mes seins, mon gros clitoris et les grandes lèvres de ma chatte sont étirés par le bas par le poids des clochettes qui tintent d’un son cristallin, quand on me promène, en laisse.
On libère ma bouche et je suce, accroupie, cuisses écartées, une partie des invités, puis je suis sauvagement enculée par d’autres que je suce, avalant leurs spermes, mes fesses et mon anus sont recouverts de leurs spermes.
Je suis cravachée sur les fesses et les cuisses, menottée à un chevalet. Je suis solidement immobilisée dans cette posture dégradante, le postérieur plus haut que la tête. Mes bras sont fixés le long des pieds avant, mes jambes le long des pieds arrières, et une large sangle m'est passée au niveau de la taille. Mes cuisses, légèrement fléchies sont empêchées de se resserrer par la largeur de la poutre, ainsi d'ailleurs mes fesses que je me peux refermer. Toute mon intimité est ainsi très accessible et on peut me faire tout subir. Je jouis sous les coups en les comptant, ce qui plait au Maître de VCS.
Elle mouille sous la cravache, elle progresse très vite, cette chienne.
J’alterne entre la cravache, la garcette et les sodomies avec des gaines à picots
La garcette, de cordes assez fines, est faite de sept lanières terminées chacune par plusieurs nœuds, et qui sont toutes raides, trempées dans l'eau, car on lui en caressa mes seins, faisant tinter les clochettes, puis mes cuisses brûlantes et l’intérieur de mes cuisses.
14 juillet
Vers 2 heures du matin, je dois parcourir le salon, pieds nus, en sueur, les mains libres, les yeux baissés, doublement empalée sur deux imposants godes réalistes avec prépuce, le chevauchant, subissant un double plaisir, jusqu’à la base du ballon. Je réussis l’exercice, malgré les orgasmes subis.
Un valet vient me prendre en laisse. Je suis pantelante, doublement trempée, il possède un trente-huit par huit, nu sous son blouson, botté. Je garde les mains menottées dans le dos.
Je quitte les tapis du salon, pour monter l’escalier de marbre qui se glace sous mes pieds nus. Je fais de mon mieux pour plaire aux invités qui m’ont prise.
Au premier étage, je croise un autre valet, doté d’un trente-deux par sept.
- C’est Chienne S, la nouvelle soumise de VCS. Elle s’est fait explosée l’œillet ce soir et elle mouille quand on la fouette.
- C’est du premier choix, A E, moi P V et le valet du lendemain P C nous allons la défoncer et la fouetter avec plaisir. Quelle belle bouche dressée, va la baigner. Elle a besoin d’un bon bain. Je prépare Adam et Roméo pour l’aile des Chiennes du Vice.
J’entre dans une immense salle de bains avec une grande baignoire accessible par des marches, un crochet suspendu au-dessus, un bidet avec une canule, une coiffeuse avec un gode réaliste et surtout des miroirs sans tain et des glaces sur les murs et au plafond.
J’entre dans le bain d’eau froide, je m’accroupis, cuisses écartées, les yeux baissés.
A E m’introduit la canule dans mon anus et l’inonde d’eau froide, tandis que menottée, les bras tendus, je suis savonnée avec une grosse éponge sur mon corps sensible, sur mes fesses, mes reins, mes seins, ma chatte, mon gros clitoris, j’ai gardée mes clochettes. Je mouille et j’ondule mon bassin sur la canule.
- Tu es toute excitée. C’est la première fois au VCS. Tu m’as mentie, mais tu seras punie quand même.
Je reste silencieuse, par crainte de punition.
- Quel œillet, j’aurai du te mettre une canule plus grosse. Mais ce que Adam et Roméo vont te mettre, tu vas t’ouvrir davantage.
Vers 3 heures, du matin, à la fin du bain et les cheveux lavés, l’anus propre, mains dans le dos, tenue en laisse, je quitte la baignoire, pour rejoindre ma cellule, mes pieds nus sont glacés par le carrelage et le parquet qui se succèdent devant chaque cellule sans porte.
- Viens, ma belle chienne, tu vas rejoindre tes appartements.
Je découvre un superbe berger allemand et un doberman tenus en laisse par P V.
- C’est Adam et Roméo, pour tout à l’heure, ma chienne. Je la mets au lit, puis tu l’a mets au chevalet pour sa punition.
- Oui, elle sera au summum du plaisir, dit P V.
Ces deux chiens me sont destinées. Jamais je ne pourrais être enculée par de telles queues, vingt-sept par six avec le nœud pour le berger allemand et trente-deux par sept pour le doberman.
Ma cellule est juste réduite à une plate-forme pour dormir, une douche avec un crochet et une canule, un chevalet et une grande porte-fenêtre qui reste ouverte pour la nuit.
A E me saisit les mains avec familiarité, comme une chose naturelle, et il fait glisser l'un dans l'autre les anneaux des bracelets, puis ces deux-là dans celui du collier. Je me trouve les mains jointes à la hauteur du cou. Il accroche l'anneau de la chaîne qui se trouve sur l'oreiller à celui du collier, et je m’allonge. Je me couche prudemment sur le flanc. La chaîne cliquète dans l'anneau, se tend. Je suis enchaînée par le collier. Cuisses écartées, je sens le mandrin d’A E m’enculer profondément jusqu’aux testicules.
- Tu as très envie de ma grosse queue, chienne.
Je me retiens de jouir, mes yeux baissés, mes cuisses zébrées et brûlantes caressées par ses mains et P V enfonce son mandrin dans ma bouche pour étouffer mes possibles râles de plaisir.
- C’est bon, prosterne-la et je l’achève, dit P V.
Je dois subir une triple éjaculation dans mon anus, avant d’être abandonnée, couchée sur le dos, cuisses écartées. Mes fesses sont brûlantes, par ces sodomies.
Je n’ai pas le droit à un drap pour me couvrir.
Aux dernières heures de la nuit, quand elle est plus sombre et plus froide, juste avant l'aube, P V revient.
Il me libère et me menotte au chevalet, comme au salon.
Il me cravache les fesses et les cuisses sur le devant et l’arrière et même à l’intérieur à toute volée, ainsi que ma chatte faisant tinter les clochettes. Je sens plus mes mamelons dans cette position.
Le tout a duré une minute.
Jusqu’à l’aurore, je suis enculée pendant une bonne demi-heure voir trois quart d’heure par de mystérieux sexes non humain sans prépuces, l’anus écartelé par le nœud qui grossit jusqu’à de longues éjaculations qui provoquent de nombreux orgasmes. Je dois sucer le sexe, après un long léchage de mon anus dégoulinant de spermes chauds. J’avale tout, comme on me l’a appris.
A l’aurore, il y a une pelouse, et au bout de la pelouse, une allée.
Il fait jour, et depuis longtemps je ne bouge plus. Une femme nue se fait saillir par un superbe étalon équin, au sexe impressionnant. Je suis surprise, choquée et excitée tout en même temps par cette saillie. Mon anus est à nouveau rempli par ce mystérieux sexe jusqu’à une nouvelle série d’orgasmes. J’ai peu dormie.
Les balafres ont gonflé et forment des renflements étroits, plus foncés.
Les hommes portent à un anneau les clefs, celles des chaînes, celles des carcans, qui ouvrent toutes les grilles, ou tous les cadenas, ou tous les colliers. Les valets les ont aussi. Mais au matin, ceux qui ont été de service la nuit dorment, et c'est l'un des maîtres ou un autre valet qui vient ouvrir les serrures.
P C entre nu, habillé d'un blouson de cuir, botté.
Il caresse mes cuisses, mes fesses, mes seins en faisant tinter mes clochettes à mes mamelons en les étirant tout comme les grandes lèvres de ma chatte humide.
- Tu es sacrément humide, chienne Prudence ou chienne S. Tes reins sont tatoués chienne S depuis le lever du jour, ton gros clitoris est percé d’un anneau doré avec une pierre précieuse, en plus de ta bague pour te faire reconnaître. Adam et Roméo t’ont bien défoncé l’œillet, tu as joui plusieurs fois, chienne. Je vais te libérer. Tu déjeunes et je vais te mettre ton gode anal jusqu’à midi.
Justine Doberman, une superbe brune aux cheveux courts, de 25 ans, aux petits seins, nue, intégralement épilée, avec des anneaux dorés aux grandes lèvres et à son gros clitoris, aux reins tatoués « A votre dévouée chienne S », en mules à plate-forme, pousse vers le chevet une table roulante qui porte du café au lait, du sucre, du pain, du beurre et des croissants.
Hubert entre avec un autre bel Adonis nu, bien monté.
Justine me quitte.
Je me tiens assise, cuisses écartées, au rebord du lit, une tasse de café au lait à la main et de l'autre un croissant, immobile.
- Tu connais Chienne S, Pilon Sévices. Elle aime les grosses queues, dans sa bouche dressée. Elle s’est fait bien saillir pendant la nuit. Si elle lève les yeux, elle pourrait nous montrer ses superbes yeux verts. On peut la prendre menottée au chevalet.
Mais je me retiens par crainte d’être punie.
P S me menotte au chevalet. Ils caressent mon corps, pour me faire jouir. Je mouille abondamment.
Mon gros clitoris est tendu par l’excitation.
- Quel superbe clitoris excité, ses mamelons le sont tous aussi. Elle est une ancienne gouine devenue bisexuelle soumise, dit P S.
- Oui, c’est cela. Elle va continuer son instruction en une semaine. Saillie, sodomie et divers sévices, c’est le programme de Chienne S.
A tour de rôle, je suis enculée sauvagement, profondément, fessée, cravachée, suçant et avalant pendant une éternité.
Dès le départ de P S, Hubert me couche sur le lit, cuisses écartées, libre.
Je le masturbe pour qu’il éjacule dans ma main que je lèche.
P C revient avec un superbe gode canin de vingt-six par cinq, que je dois porter enculée par ce dernier, cadenassé comme le gode que m’a fait porter Alban le premier jour. Mon anus est écartelé par un œuf sur le gode, formant le nœud, que je dois supporter. Il est un peu gonflé jusqu’à la taille d’une balle de golf. Je gémis un peu, mais je m’habitue à ce gode.
Je me douche, en faisant attention à mes fesses et mes cuisses.
Je me farde, me parfume.
Nue, en mules blanches à talons de douze centimètres, coiffée de ma queue-de-cheval, vers midi, je quitte ma cellule pour le rez-de-chaussée, pour m’offrir à d’autres hommes.
Avant de rejoindre le réfectoire, je suis à nouveau doublement saillie en double par deux dobermans, un dans ma chatte et un qui m’encule simultanément. Je m’évanouis, nourrie de leurs spermes.
Je mange, nue, cuisses écartées, sur le tabouret de cuir, l’anus libre du gode anal canin.
Le valet de permanence m’encule à la fin du repas, je le suce et j’avale tout.
L’après-midi, dans une grande pièce entièrement recouverte de miroirs, avec un chevalet, je suis offerte à quatre hommes bien montés, enculée, cravachée jusqu’au coucher du soleil. Des chiens viennent me saillir, quand je suis menottée au chevalet.
Le soir, le rituel reprend jusqu’à l’aube, toujours nue.
19 juillet
En milieu d’après-midi, après une ultime saillie anale canine par Roméo et deux autres dobermans, je me repose nue, cuisses écartées, libre, l’anus propre, sur la fourrure de mon lit. Je me suis habituée à ces saillies en plus des sodomies par les hommes de VCS.
Un homme élégant de 60 ans, brun, athlétique, entre avec un autre homme nu, bien monté, musclé de 50 ans, chauve.
- Maître, voici la chienne dont m’a parlé E S. Elle est très belle, chienne à souhait. Donnez-moi son carnet. Quelle prouesse à son âge, aucune soumise ne lui arrive à la cheville. Pour une ancienne gouine, elle a bien progressé. Elargie de l’œillet, saillie, fouettée, elle n’aura aucun souci chez moi.
- Oui, elle est très docile, jusqu’au calibre neuf. Elle mouille sous le fouet, très rare.
- Je la prendrais une fois arrivé à destination. Son œillet a besoin de sa ration quotidienne.
L’homme nu me retire mes carcans. Je peux me doucher, me faire mon lavement anal.
L’homme élégant caresse mon corps, en détail, cherchant mes zones érogènes, fouillant ma chatte, mon anus, s’attardant sur mes mamelons libres des clochettes tout comme les grandes lèvres de ma chatte, percées par deux discrets anneaux dorés.
Je m’habille d’une robe ultra courte fuchsia sur mes fesses nues, mes seins nus et je chausse des sandales blanches à talons de douze centimètres, les cheveux libres.
Nous quittons le VCS par l’entrée principale de l’hôtel particulier.
Je découvre une Ferrari F8 rouge de l’homme.
- Je suis Sir Donatien Bite Mille Plaisirs, ton Maître, en attendant que ton Maître soit choisi. Tu t’es donnée à d’autres clients de VCS. Tu me dois totale obéissance, même au pavillon de chasse où tu seras encore dressée, chienne.
- Oui, Maître…
Je m’assois, fesses nues à ses côtés.
Nous remontons sur les hauteurs jusqu’à un petit hameau isolé.
Nous entrons dans deux cours successives. Je mouille d’excitation.
Là, devant trois superbes étalons bien montés, je dois me déshabiller et me caresser devant eux, pour être prise en double pénétration tout en suçant celui qui va m’enculer ou me baiser, je reçois de longues éjaculations de spermes.
Je suis fouettée, tout en étant enculée par deux grosses boules en acier de cinq de diamètre. Je jouis sous les coups de garcette.
Je passe une semaine entre orgies anales, double pénétration, double anale et saillie anale avec divers chiens du chenil : berger allemand, malinois, labrador, doberman, dogue allemand qui possède le plus gros sexe canin pour m’écarteler avec son gros nœud, je m’habitue rapidement à leurs sexes.
Je suis fouettée à la garcette plusieurs fois par jour.
Je suis ensuite offerte à tous les hommes majeurs du hameau, prise le plus souvent en double, nue, menottée.
27 juillet
Sir Donatien m’accueille dans le pavillon de chasse, qui se trouve à une demi-heure à pied, tenue en laisse, nue, mains menottées à mon collier, pour me récompenser. Je peux rédiger mes mémoires de soumise, nue, empalée sur deux gros godes canins télécommandés par un téléphone portable. Je me retiens de jouir.
Je fais la connaissance de Sven, un superbe pur-sang pour ma première saillie équine de ma chatte, suçant le personnel des écuries.
Ma chatte est bien remplie par ce long et gros sexe. Je connais plusieurs orgasmes avant sa longue éjaculation. Je maîtrise la fellation de son gros sexe.
3 août
Je dois mettre cinq jours avant ma première saillie anale équine avec Sven. Je la pratique couramment.
Je suis ferrée et chiffrée comme une vraie soumise, ma chatte est totalement lisse désormais.
Mes fers sont des anneaux de fer mat inoxydable, comme le fer de la bague doublée d'or. La tige en est ronde, épaisse comme un gros crayon de couleur, et ils sont oblongs : les maillons des grosses chaînes sont semblables. Chacun est formé de deux U qui s'emboîtent l'un dans l'autre. Le ressort intérieur sur lequel on doit forcer pour le faire pénétrer dans la rainure où il se bloque. Chaque anneau est long comme deux phalanges du petit doigt, qu'on y peut glisser. A chacun est suspendu, comme un nouveau maillon, ou comme au support d'une boucle d'oreille un anneau qui doit être dans le même plan que l'oreille et la prolonger, un disque de même métal aussi large que l'anneau est long. J’en possède un à chacune de mes grandes lèvres toutes lisses. Les fers me descendent jusqu'au tiers de la cuisse, et à chacun de mes pas bougeaient entre mes jambes comme un battant de cloche, le disque gravé étant plus lourd et plus long que l'anneau auquel il pend.
Les marques imprimées par le fer rouge, hautes de trois doigts et larges de moitié leur hauteur, sont creusées dans la chair comme par une gouge, à près d'un centimètre de profondeur. Rien que de les effleurer, on les perçoit sous le doigt. Sur mes fesses, je porte marquée au fer rouge, une cravache et un fouet entrecroisés sur la gauche et les lettres E S entrelacées sur la droite.
De ces fers et de ces marques, j’éprouve une fierté insensée.
Je retrouve Alban, à bord de ma Ferrari F40 noire. Il m’offre à d’autres amants, nue, cravachée par eux, plusieurs fois par jour.
Je fréquente aussi le VCS, comme dominatrice, à la demande de Sir Donatien.
Ma taille s’est affinée par le port constant de
corsets seins nus étroitement lacés.
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