mardi 26 février 2019

FANTASMES DE CLAIRE


Je m’appelle Claire.
Je suis une jolie beauté française.
Je suis une brune aux yeux verts. Je fais 1,68 m pour des mensurations de rêve 84C-64-89, je suis tatouée sur le haut de ma cuisse droite et au poignet gauche, mon nombril est percé. Mes seins sont naturels et j’en suis fière. Mon corps est mince, ma chatte est épilée, je ne garde qu’un ticket pubien. 



FANTASMES DE CLAIRE

Je vis dans un duplex, avec un penthouse, dans une grande capitale.
Mon penthouse est un appartement haut de gamme situé au dernier étage d’un immeuble. Il dispose en général d’une grande terrasse et d'un jardin de toiture aménagé, avec une vue panoramique urbaine privilégiée. Il occupe généralement un étage entier, est aménagé avec accès direct par ascenseur privé, baies vitrées sur terrasse aménagée, jardin de toiture, jardin d'hiver, véranda, solarium, piscine, bain tourbillon. Je dispose d’une chambre et d’un grand salon.
Je suis une secrétaire pour une grande entreprise.
J’ai de nombreux amants.
On me dit allumeuse, dragueuse et séduisante.
Je vais vous conter mes fantasmes.

LE VOISIN VOYEUR

Je vis au troisième étage, avec une vue imprenable sur un luxueux immeuble. Certains de mes amants y vivent.
C’est ainsi qu’un matin, un jour de repos, après ma grasse matinée, je sors nue de mon lit. Ma chatte est toute trempée par mes masturbations érotiques et jouissives sur mon amant imprécis, qui vient aujourd’hui, me prendre dans ses bras et me baiser tendrement et violemment.
Je suis une redoutable lesbienne. En fait, c’est une amie lesbienne qui m’a déflorée lors d’une nuit au pensionnat de mon collège. J’ai découvrir le plaisir clitoridien, puis vaginal avec elle, ses doigts, sa bouche et sa langue.
J’aime taquiner mon clitoris qui se tend sous mes doigts.

Je quitte ma chambre au quatrième étage avec ma salle de bains et ma garde-robe, accessible par un escalier.
Je rejoins mon salon, ma cuisine et mon balcon au troisième étage.
Nue, j’aime exhiber ma chatte à tous. J’aime me caresser le clitoris et doigter ma chatte, en descendant de l’escalier. J’aime sentir ma mouille couler sur mes doigts.
 Tiens, aujourd’hui, je ne vois qu’Alban dans son appartement du second. Il est seul. Il aime me regarder avec son télescope et des fois, il m’envoie sur mon ordinateur portable, les vidéos de mes séances masturbatoires ou mes ébats amoureux. Alban est un beau jeune homme musclé.
Il n’est pas seul. Un autre homme, musclé, entre, c’est mon masseur, Brice, un Hercule, bien bâti et grand.
J’aime les mains de Brice caresser mon corps. Je finis souvent toute mouillée d’excitation. Souvent, avec Brice, je le suce pour qu’il me baise.
Mais aujourd’hui, je découvre Alban qui le déshabille et le suce. Je suis excitée et un peu jalouse, mes deux amants sont des homosexuels. Je continue de me caresser devant ce spectacle. Je prends mon café et mon croissant, assise, cuisses écartées sur mon tabouret.
Je fixe le gros mandrin de Brice. Alban le suce comme je le fais, avec délicatesse.
Puis, Alban se met à quatre pattes sur le canapé et je vois le gros mandrin de Brice l’enculer. Alban se masturbe. Je me masturbe à la même cadence.
Vais-je les rejoindre ? Ont-ils besoin d’une femme pour les exciter ?
Je finis mon café et mon croissant. J’enfile un tee-shirt sur mes seins nus aux mamelons tendus et une minijupe sur mes fesses nues et mes escarpins à mes pieds nus.
Je les rejoins. Je sonne.
Brice m’ouvre :
- Tiens, ma beauté, tu viens te joindre à nous.
Je n’ose répondre. Brice et Alban me déshabillent, me caressent et je me retrouve accroupie, nue, pieds nus à les sucer.
- Tu suces divinement bien, ma chérie.
- Oh oui, j’aime sa langue et sa bouche, me susurre Alban.
Leurs mandrins bien durs, j’assiste à la sodomie de Brice par Alban.
- Ma beauté, glisse-toi sous moi, pour que je puisse te baiser, m’annonce Brice.
Je m’allonge sur le canapé, cuisses écartées et je sens le gros mandrin de Brice me baiser.
Mais Brice a une autre idée, derrière la tête, je ne suis pas une adepte de la sodomie. Brice me lubrifie mon anus avec ma mouille abondante.
Puis il enfonce son gros mandrin. Je me détends. Centimètre par centimètre, Brice s’enfonce dans mon anus jusqu’à ce que je sente ses testicules Lentement, Brice commence à m’enculer. Ma chatte dégouline de mouille, mon anus se détend. Il m’encule violemment. J’ondule pour répondre à ses invitations et je connais mon premier râle anal. Brice éjacule en moi dans mon anus. Alban profite de la situation et me met à quatre pattes. Ainsi, j’offre mieux mes fesses bien rebondies, au mandrin long et raide d’Alban.
Il m’encule à son tour. Mon anus lubrifié par le sperme de Brice, je ne peux me refuser. Je sens ses testicules gonflés claquer contre mes fesses. Il me donne quelques claques magistrales sur les fesses pour me chauffer l’anus. Je ne suis pas contre :
- Oui, fesse-moi, je suis une jouisseuse.
Saisie à la taille, je coulisse sur son mandrin, tandis que Brice me fait nettoyer son mandrin au goût de mon anus. Alban me tient plus fermement les hanches à chaque va-et-vient. Je connais cette fois-ci l’orgasme anal. Alban éjacule aussi, tandis que Brice, bandant à fond, encule à nouveau Alban. Nous coulissons en cadence, Alban éjacule encore et j’ai un nouvel orgasme.
Pantelante, je suce mes deux amants. Alban me glisse dans mon anus béant, mon premier bijou d’anus. Il est en aluminium brillant orné par un magnifique cristal rose à son sommet : c’est ce cristal rose qui est visible entre mes fesses une fois que le bijou d’anus est introduit dans l’anus. Il est très doux et très petit, il peut facilement être porté pendant toute la journée en restant totalement invisible, le bijou d’anus m’excite. Long de six centimètres, dans cinq qui m’enculent, il m’ouvre sur trois centimètres, pour 34 grammes. La forme de sapin du bijou d’anus et sa large base le maintiennent en place. La section qui relie les deux extrémités est très fine et douce afin de laisser l’anus se refermer dessus sans gêne. La tige de la taille de l’auriculaire sert de support lorsque le sphincter se referme.
- Tu peux le garder toute la journée, ma chérie, me susurre Brice, en doigtant ma chatte resserrée.
D’accord, je ne peux refuser. Ces sodomies m’ont ouvert vers de nouveaux désirs.
Je me rhabille et je me glisse dans mon bain moussant. Je caresse mon corps, mon anus se moule sur le bijou d’anus. Je le sens en glissant mes doigts dans ma chatte. Je repense à mes ébats sexuels et j’enchaîne les orgasmes.
Je sors de mon bain, me sèche et je rejoins la cuisine, mes amants sont en 69 à se sucer mutuellement et à lécher leurs anus.
Je viens découvrir ma bisexualité.
Le soir, je me retire le bijou d’anus et me lave soigneusement l’anus qui déborde de sperme et je jouis en faisant aller et venir mes doigts dans mon anus.
Nue sous mes draps, devant un film X, je me doigte simultanément la chatte et l’anus, enchaînant les orgasmes.

TRIO TORRIDE

Quelques jours après, un samedi après-midi, je me baigne nue dans mon jacuzzi. Je porte chaque jour mon bijou d’anus. Au fait, Brice m’a offert discrètement à mon bureau, un nouveau modèle.
Je me lubrifie bien l’anus avec ma mouille, avant de l’insérer dans mon anus. Il est long de huit centimètres, pour six qui m’enculent et trois de diamètre et plus lourd, 170 grammes. Il a une particularité, un personnage en bronze scrute mon impudeur et me caresse la chatte de ses pieds. Je l’ai surnommé le fesseur. Je pense à lui, qui me regarde. Mon bassin ondule sur ce bijou d’anus.
Une fois par jour, depuis ma rencontre avec Alban et Brice, un de mes amants m’encule quelques instants au bureau.
Ce jour-là, je découvre Charles, un bel étalon brun, svelte et mince et Diane, une belle femme blonde aux seins plantureux, du troisième étage. Je connais Charles, c’est un bon amant qui me baise dans la durée avant d’éjaculer. Mais Diane m’est inconnue. Elle m’exhibe son corps nu, intégralement épilée. Tiens, elle porte des anneaux dorés à son clitoris et aux grandes lèvres. Quelle en est la signification ? Charles, nu, lui offre son gros mandrin à sucer. Diane le suce à merveille, c’est une rivale. Je me masturbe en regardant ce spectacle. Ma chatte dégouline de mouille dans mon jacuzzi.
Les yeux clos, je jouis.
On sonne. Tiens, ils ne sont plus là.
Je sors de mon jacuzzi, m’enveloppe dans un petit kimono court sans ceinture, laissant apparaître mon corps nu et j’enturbanne mes cheveux avec une serviette.
Je glisse mes pieds nus dans une paire de mules que m’a offert Alban. Leurs dessus sont recouverts de plumes, avec un talon de douze centimètres et un centimètre de plate-forme, avec un talon fin.
Je descends l’escalier et je rejoins mon salon.
On sonne. C’est Charles et Diane. Tous les deux m’embrassent sur la bouche.
- Déshabille-toi, ma chérie, me susurre Diane.
Je me retrouve nue, les cheveux libres. Diane m’allonge sur le canapé, m’écarte les cuisses et me lèche longuement la chatte et le clitoris, me complimente pour fesseur. Charles me fait sucer son mandrin.
Bien dur, je me retrouve avec le couple dans ma chambre. Ma chambre est entièrement recouverte de miroirs et de glaces, reflétant les formes de mon corps, lors de mes masturbations.
Dans un torride 69, au-dessus de Diane, je regarde plus près ses anneaux, que je prends dans mes doigts, Diane mouille abondamment. Je suis au bord de l’orgasme, sous les coups de langue experte de Diane.
Charles m’a retiré le bijou d’anus et commence à enfoncer, un puis deux jusqu’à trois doigts.
- Tu aimes que je défonce l’œillet.
- Oui, dis-je, entre deux râles.
Soudain, il m’encule d’une seule traite, jusqu’aux testicules. Il me donne quelques claques magistrales sur les fesses, me fait coulisser en me tenant par les hanches.
Diane, la vicieuse, déniche un de mes godes réalistes dans un de mes tiroirs de ma table de nuit.
Charles se retire un peu et Diane m’écarte les lèvres trempées de ma chatte et m’enfonce le gode. Charles m’encule en cadence, tandis que la langue de Diane se fixe sur mon clitoris.
Je manque de souffle, j’atteins l’orgasme. Je me mets à m’empaler sur le gode et le mandrin de Charles.
- Regarde, Diane, comme cette beauté prends son pied. Gode-la bien profondément.
- Oui, n’arrêtes pas. Je vais gicler ma mouille.
Simultanément, j’expulse un jet de mouille sur le gode et un long jet de spermes chauds me tapissent l’anus.
A peine Charles s’est retiré, que je sens le gode réaliste m’enculer et que les doigts de Charles me liment la chatte pour un nouvel orgasme.
A peine remise de mon orgasme, Charles me prend dans ses bras et me conduit au jacuzzi. Je suis assise entre Charles et Diane, qui me caressent les seins, la chatte. Mon fesseur est remis en place, pour que je garde au chaud le sperme de Charles.
Nous buvons à notre trio torride.
Diane me douche, me caresse sur tout le corps, me lèche la chatte et je lui rends la pareille, jusqu’à nos orgasmes.
Charles nous rejoint et Diane se retire. Charles me fait pencher, les mains contre le mur, cuisses écartées. Bien chaude, je ne me peux me refuser à lui.
Il me retire le fesseur et il m’encule. Tantôt ses mains caressent mes seins qui se balancent, je me tends totalement à ses coups, tantôt ses mains m’écartent davantage les fesses pour une sodomie plus profonde tantôt ses mains tiennent mes hanches. Un nouvel orgasme me terrasse. Charles éjacule à nouveau dans mon anus.
- Tu es désirable, ma chérie. J’aime quand une femme ouvre bien son œillet.
- Je t‘aime.
Nue, avec mon bijou d’anus, je suis séchée par Charles. Je le nettoie.
Diane me fait une ultime fois l’amour devant Charles, qui se masturbe.
Diane prend un gode-ceinture avec un double gode réaliste. J’explose, submergée par un long et violent orgasme.
Ce soir-là, j’ai du mal à dormir. Avec fesseur, je le fais aller et venir dans mon anus, pour mon plus grand plaisir.

UN MYSTERIEUX RENDEZ-VOUS

Après mes multiples jeux sexuels à trois, je reçois dans mon courrier personnel, un étrange mot amoureux :
Venez nue sous votre robe dos nu, fardée et parfumée, ongles des mains et des pieds vernis en rouge et l’œillet bien lubrifié.
Signé E
Il est joint un mot pour me farder.
Nue, après ma douche, j’enduis de mouille mon anus et je porte fesseur. J’ombre légèrement mes paupières, vernis mes ongles des pieds, m’épile les jambes, farde ma bouche avec un rouge clair, un peu liquide, que j'applique au pinceau, et qui fonce en séchant. Je prends le même rouge pour mes aréoles et mes mamelons, ce qui déclenche une excitation de ma chatte qui est toute trempée. Puis je peins mes petites lèvres de ma chatte trempée en rouge, en soulignant la fente du giron. Je me poudre le visage, je vernis mes ongles des mains.
Une fois le vernis sec, je parfume mon corps, avec un vaporisateur, qui projette le parfum en brume épaisse. Sur ma peau, la brume fond et coule, sur mes aisselles lisses et ma fourrure pubienne, se fixe en gouttelettes minuscules. Je me parfume trois fois, laissant à chaque fois le parfum sécher sur moi.
Une fois, fardée et parfumée, je choisis une robe dos nu.
Mon choix se porte sur une robe blanche, où l’on devine mes seins aux mamelons fardés et mon pubis brun. Je glisse mes pieds nus aux ongles vernis dans des sandales à hauts talons.
Un taxi me dépose dans un luxueux quartier d’affaires. A l’entrée d’un club privé, un homme m’attend. Il est grand, brun, de dos, avec de longs cheveux.
Quand il se retourne, je découvre sous sa veste de tailleur, de superbes seins nus plantureux. Est-ce un homme ou une femme ou les deux ?
- Bonsoir, Claire, je suis votre chevalier servant. Je suis Emmanuelle. Mais j’ai d’autres secrets pour vous. Tu es très en beauté.
Emmanuelle glisse sa main sous ma jupe de ma robe et caresse ma toison pubienne et mon clitoris, en me susurrant :
- Tu es bien velue sur le pubis et la chatte. J’aime les beautés poilues. Aime-tu te faire défoncer l’oeillet ?
Je n’ose répondre.
Nous entrons par la porte sécurisée du club. Je découvre des dizaines de couples, nus, attablés, s’embrassant, se caressant, se suçant mutuellement, se léchant mutuellement.
- Déshabille-toi au vestiaire.
Emmanuelle me suit et je découvre dans un grand miroir, son corps de femme parfait, et entre ses cuisses, un mandrin en semi-érection.
- Mais, dis-je, tu as un.
- Oui, j’aime attirer les regards. Mais si je fais l’amour avec des hommes, je fais aussi avec des femmes.
Emmanuelle m’écarte les fesses et découvre le fesseur.
Je suis surprise, excitée et sous le charme.
Emmanuelle me prend par la main et m’offre à deux lesbiennes, une grande blonde aux petits seins et une brune aux seins plantureux. Ma chatte ruisselle, je crie mes râles de plaisir.
Après cet intermède lesbien, nous montons au premier étage. Là, Emmanuelle me fait installer dans un fauteuil gynécologique, me déchausse.
Des projecteurs m’illuminent, des caméras se mettent en route, des flash crépitent.
Des télévisions projettent des vues de ma chatte, dont les lèvres sont écartées par les doigts experts d’Emmanuelle.
Regarde, comment notre amie mouille, ce soir.
Il me retire le fesseur.
Belle ouverture de l’œillet, c’est une adepte de la dilatation anale.
Sans prévenir, Emmanuelle m’encule. Je me mets à jouir comme jamais auparavant. Il me défonce tantôt partiellement tantôt profondément. Une langue inconnue me lèche le clitoris, des doigts inconnus s’enfoncent dans ma chatte, des langues et des lèvres s’occupent de ma bouche et des mains pelotent gentiment mes seins dont mes mamelons se tendent.
Je ne sais combien d’orgasmes je connais, car d’autres mandrins m’enculent ensuite.
Je suis nourrie du sperme de mes amants.
Pantelante, je m’endors sur le fauteuil gynécologique.
Quand j’ouvre les yeux, je suis allongée sur le dos, les cuisses grandes ouvertes, dans un canapé. Des bracelets en cuir fixés dans mon dos, m’empêchent de me défendre, mon corps est lui à moi-même inaccessible ; que c'est étrange de ne pouvoir toucher mes propres genoux, ni ma chatte. Mes lèvres de ma chatte me brûlent, me sont interdites, et me brûlent peut-être parce que je les sais ouvertes à qui veut. Je suis baisée et enculée à tout moment, je suce les mandrins que l’on me présente. Emmanuelle me regarde.
Après une dizaine d’ébats, le pubis, les seins et la bouche sont recouverts de spermes, Emmanuelle me rejoint, me fait boire, en caressant mes seins.
J’ai décelé en toi, une esclave sexuelle. J’ai du te menotter pour te donner à tes amants. Je vais te détacher et nous allons rentrer chez toi.
Au vestiaire, Emmanuelle me lave les parties non fardées. Je sens la sueur qui perle sur mon corps parfumé.
Il me remet le fesseur en place et rhabillée, il me fait monter dans une décapotable et m’ordonne de relever ma jupe. Je sens le cuir sous mes cuisses écartées.
Arrivée chez moi, il me douche, je le suce et nous passons la nuit à des sodomies torrides, de face, de dos, à quatre pattes et portée dans ses bras.
Je connais de multiples orgasmes.
Au petit matin, je me réveille seule. Un plateau de petit déjeuner est posé sur le lit avec un petit mot
Quel plaisir d’avoir fouillé votre œillet, votre corps exulte de charme, de sexe et votre bouche appelle d’autres sexes. Votre œillet est prêt à tous les calibres. Je vous offre ce bijou d’anus et ce collier à porter en ma présence.
Le collier est réalisé en daim et cuir, avec un plongeant de dix-huit centimètres, qui descend jusqu’entre les seins, équipé d'un anneau de bondage en acier brossé. Il se règle et se ferme par une boucle en acier située sur l'arrière du cou.
Quant au bijou d‘anus, porte un serpent en ornement, long de treize centimètres dont douze m’enculent, pour cinq de diamètre et 600 grammes. Dès sa mise en place, je sens qu’il darde de sa langue ma chatte, mon clitoris. Je suis aux anges.
Je découvre une liasse de billets avec un petit mot : votre pourboire de votre premier soir de soumise anale.
En me masturbant devant mon miroir, je ne cesse de repenser à mon premier transsexuel. J’ai hâte d’en rencontrer d’autres.

DOUBLE PLAISIR

Depuis ma rencontre avec Emmanuelle, je me suis plongée dans la lecture d’Histoire d’O, les Milles Verges et l’Amant de Lady Chatterley. Pour moi, la sodomie n’a plus de secret. J’utilise mes divers godes et vibromasseurs à satisfaire mon désir anal. Je suis achetée une chaîne dorée de taille. Je la porte constamment.
Je continue à me farder et à me parfumer.
Nue dans mon duplex, j’entends sonner. En effet, j’ai passé une petite annonce sur un réseau de rencontres à plusieurs. Aujourd’hui, j’ai rendez-vous avec mes premiers clients : les doubles H. Il y a Hercule et Horace, deux superbes étalons africains.
Une fois dans mon salon, les deux hommes me caressent sur tout le corps, m’embrassent. Ils me dépassent d’une tête. Hercule va jusqu’à me soulever tête-bêche. Moi, je lui suce son long et gros mandrin, que je tente d’avaler jusqu’aux testicules, enserrant et soupesant ses testicules entre mes doigts agiles et experts. Horace me tient par la taille, mes cuisses posées sur ses épaules. Je sens sa langue sur ma chatte trempée, tandis que leurs doigts s’enfoncent dans mon anus dilaté par le serpent.
Après ce 69 torride, je me retrouve baisée par le long mandrin d’Horace. Horace est allongé sur le tapis, je m’empale sur son mandrin, agenouillée face à lui, jusqu’aux testicules. Je joue avec le gland entre mes lèvres grandes ouvertes et m’empalant totalement. Horace me pétrit les fesses avec ses pieds, tandis qu’Hercule m’enfonce trois doigts lubrifiés par ma mouille dans mon anus.
- Oh oui, j’aime cette queue dans ma mangue.
- J’avoue, que tu es bien trempée, ma chérie.
- Ton œillet mouille, en attendant une queue, ma belle, me susurre Horace.
- Oui, encule-moi. Je veux deux queues en moi.
Sans attendre, Horace m’écarte les jambes et je sens ses mains m’écarter mes fesses brûlantes sous ses claques magistrales, puis son long mandrin me remplir. Je jouis sous leurs va-et-vient. Horace me caresse les seins.
Puis, je me couche sur Hercule, qui a allongé ses jambes, facilitant la sodomie par Horace. J’embrasse Hercule. Horace entre et sort partiellement de mon anus, me fesse.
Puis tous les deux éjaculent en moi, presque simultanément, lors de mon troisième orgasme.
Je les nettoie. Nous prenons une douche et un rafraîchissement. Nue, cuisses écartées, je leur raconte mes dernières aventures.
Je me retrouve allongée entre mes deux amants. Hercule se colle contre mon dos et m’encule, tandis qu’Horace me soulève ma jambe et me baise. Je suis aux anges.
Sans débander, je m’assois sur Hercule, qui me tient ouverte les cuisses, tandis qu’Horace me baise. J’ai un nouvel orgasme et une double éjaculation.
Je les nettoie et nous masturbons mutuellement nos sexes jusqu’à l’orgasme.
Je passe ma sieste entre leur compagnie, nue entre tous les deux, sous leurs caresses, baisers et doigtés.

ORGIE POUR SOUMISE

Emmanuelle m’a transformée en soumise.
Un soir, il me convie dans un lieu secret. Je me suis fardée et parfumée et je porte son collier en cuir.
Il me retire ma robe dos nu, à jupe ample, dévoilant mon corps nu. Je me suis rasée les poils autour de ma chatte et de mon anus.
Il me met un masque de nuit, me menotte les mains dans le dos, après m’avoir mis des bracelets en cuir et je me déchausse de mes sandales pour chausser des mules à plate-forme. Le talon mesure seize centimètres avec une plate-forme de six centimètres. Je me sens confortable dedans.
Je suis au rez-de-chaussée d’un mystérieux lieu. Emmanuelle m’a bandé entre mon duplex et le lieu.
Il fixe à mon collier, une chaîne. C’est la première fois que je suis conduite en laisse. Je le suis, aveugle.
Je traverse diverses pièces, puis je descends un escalier en pierre.
La porte s’ouvre et là, je suis menottée, bras en l’air, à une barre. Emmanuelle me fixe une barre d’écartement à mes chevilles.
Je sens des mains me caresser le corps, m’écarter les fesses, des lèvres inconnues lèchent mes mamelons, ma chatte et mon anus et des doigts me fouillent la chatte et l’anus. Je jouis.
Des coups de cravache sur mes fesses me rappellent à l’ordre que je ne dois que sur ordre de mon Maître. Mes fesses me brûlent.
C’est le signal, un premier m’encule, puis je suis prise en double pénétration debout. Je ne sais combien d’hommes sont présents. Mais tous me prennent. Mes fesses sont couvertes de spermes chauds, de même que mon pubis. Je suis haletante, me retenant de jouir.
Entre chaque pause, je suis à nouveau cravachée, mais cette fois, sur les cuisses, le devant, l’arrière et l’intérieur.
Puis je sens une étrange sensation, mes mamelons durcis sont enfermés dans des pinces qui les mordent. Je gémis un peu, car je subis le même supplice aux lèvres de ma chatte trempée.
Lors de nouvelles sodomies, les lourdes clochettes tintent à mes mamelons et aux lèvres de ma chatte. Je suis entre douleur et plaisir.
J’entends des flashs, des caméras et des commentaires sur mon comportement. Tous me complimentent sur mon comportement de soumise.
Après deux heures, on me retire le masque et je découvre par un jeu de miroirs et de glaces autour de la pièce, mon corps, aux cuisses et aux fesses zébrées, mes clochettes et un écarteur anal qui donne une vue imprenable sur mon anus dilaté, les traces blanches de sperme. Les hommes sont nus et masqués.
Emmanuelle s’approche et me susurre :
- Tu es bien la soumise que je recherche. Tu es gracieuse, soumise, intelligente et fière. Je vais te faire fesser.
Il fait claquer une raquette en bois, sur mes fesses. Je dois compter les coups, puis une canne de bambou.
Il me remet mon masque et je subis une longue série de sodomies, avec entrée et sortie des mandrins pour me soumettre.
On me retire mes clochettes à mes mamelons et je sens une piqûre d’abord dans une des aréoles, un de mes mamelons et sur l’autre aréole et l’autre mamelon et sur mon clitoris. Après quelques minutes, je sens mes mamelons et mon clitoris se tendrent au maximum. On me remet les clochettes.
A la quatrième heure, je suis détachée, seule en compagnie d’Emmanuelle. Il me baigne dans une baignoire remplie d’eau froide. Il me lave avec une grosse éponge.
Maintenant, tes mamelons et ton clitoris vont être constamment tendus vingt-quatre heures sur vingt-quatre d’ici quelques piqûres. Je t’interdis de jouir en présence d’un homme ou d’une femme. Je tiens à ce que tu éprouves une hyper sensibilité et une excitation énorme, la frustration et la douleur.
- Allez, va te rhabiller.
De retour chez moi, Emmanuelle me fait de nouvelles piqûres. Cela dure à raison de quatre injections par semaine.

En un mois, mes mamelons sont transformés, gros et longs et saillants et mon clitoris est devenu gros comme une cerise, saillant et volumineux. Emmanuelle me fait porter régulièrement les pinces à clochettes lors de nos rendez-vous chez moi. Il me cravache et me donne des coups de raquette de bois.

A l’approche de l’été, Emmanuelle tient à ce ma peau lisse et déjà douce comme un fruit, soit patinée. Je me rends souvent au solarium, nue, pour que mon corps soit entièrement bronzé.
Les esthéticiennes sont bouleversées par mes cicatrices sur mes fesses, mes cuisses et surtout, quand je demande une épilation à la cire chaude autour de mon anus et des lèvres de ma chatte.
Mais certaines esthéticiennes lesbiennes vont jusqu’à me faire l’amour, après la séance, pour goûter à ma chatte trempée et à mon gros clitoris. J’enchaîne les orgasmes. Je ne quitte pas mon bijou d’anus avec son serpent.

SEXE AU PARADIS

Au mois de mai, je me rends dans une station balnéaire sur une île.
Là, à la piscine de l’hôtel, je bronze seins nus et en string blanc, qui cache mon bijou d’anus, les cheveux libres, les ongles des pieds vernis, avec ma chaîne dorée de taille.
J’y retrouve mes amants de la capitale avec leurs femmes ou maîtresses.
Lors d’une de mes longueurs de la piscine, en sortant, en montant à l’échelle, je tombe nez à nez avec un superbe Apollon brun, musclé, jeune, qui m’annonce :
- Alors, la belle, on se muscle le corps. J’aime tes seins et tes épaules athlétiques et surtout tes fesses musclées. Je me prénomme Yannis.
Yannis me prend la main et me conduit à ma chaise longue. Il me sèche, en prenant soin de caresser longuement mes seins aux mamelons constamment tendus, mes fesses, mes reins, mon cou, mes épaules et mon dos.
Il glisse sa main sous mon string et me déniche mon gros clitoris.
- Tu es parfaite, comme déesse.
Une fois sèche, j’enfile un bustier et un paréo autour de mes hanches et chausse mes mules à hauts talons.
Nous allons à ma chambre.
Il me déshabille, je m’offre en 69, léchant son gros mandrin, tandis qu’il doigte profondément mon anus libre.
Il m’encule longuement d’abord à quatre pattes, puis pour me reposer, il me fait asseoir entre ses cuisses écartées. Sous mon poids, je suis empalée jusqu’aux testicules. Il me pelote les seins et me masturbe le clitoris. Je ne mets pas longtemps à avoir un orgasme anal.
Puis un autre homme, plus âgé, barbu, au torse velu, bien monté, entre dans ma chambre, alerté par mes râles. C’est Nathan, un homosexuel grec tout comme Yannis.
Mais je suis entre les mains de deux beaux bisexuels.
Nathan prend ma main et m’invite à le masturber.
Sans débander, j’écarte mes cuisses et Nathan me prend en double pénétration. Je sens le fer qui troue son périnée, juste sous les testicules, augmenté d’un disque gravé, descend au niveau du bout de son pénis au repos, et à chacun de ses pas bouge entre ses jambes comme le battant d'une cloche, le disque étant plus lourd que l'anneau auquel il pend.
Mon plaisir est décuplé. Leurs deux gros mandrins me remplissent.
Puis Nathan s’allonge sur le lit, je m’empale sur lui, baisée, tandis que Yannis continue à m’enculer, en m’écartant bien les fesses.
Ils ne tardent pas à éjaculer en moi.
Ils m’abandonnent sur le lit, pantelante.
Les yeux mi-clos, je les observe, se sucer mutuellement. Ma chatte mouille abondamment, dégoulinant de mouille et de sperme. Je remet mon bijou d’anus, m’essuie la chatte et les rejoint. Je les suce à mon tour.
Tu es une vraie gourmande, ma belle.
- Elle a une chatte dévoreuse, dit Nathan.
- Son œillet est bien large, mieux qu’un homme, dit Yannis.
Nathan m’encule ensuite, tandis que je suce Yannis.
Après de nouveaux ébats sexuels, je me douche, en leur compagnie, livrée à leurs caresses.
Nous dormons ensemble, moi entre mes deux amants. Je les masturbe, recevant leurs spermes dans mes mains.
A mon réveil, Nathan me fesse magistralement à quatre pattes, ayant remarqué mes cicatrices.
- Tu es une soumise, ma belle, dit Nathan.
- Oui, j’aime être fessée, fouettée par des inconnus. J’aime le vice, la perversion.
C’est ainsi que le soir, vêtue d’une courte robe d’été, sur mon corps nu et chaussée de sandales, coiffée d’une queue-de-cheval, fardée et parfumée, je fais la connaissance d’un nouvel amant, un jeune androgyne brun, prénommé Sade.
Nathan et Yannis lui ont raconté mes exploits sexuels.
Sade m’embrasse sur la bouche, me caresse ma chatte nue sous ma jupe et glisse ses doigts dans mon décolleté plongeant en V sur mes seins nus.
- J’aime les femmes au corps accessible. Es-tu une soumise ?
- Oui, depuis peu de temps, j’ai lu Histoire d’O. Je porte un bijou d’anus et des cicatrices de mes séances de flagellation.
- Très bien, as-tu fait l’amour avec plusieurs hommes ?
- Oui, j’aime ça, surtout quand ils me prennent en double pénétration.
- Un jour, tu porteras des anneaux à ta chatte et à ton clitoris avec mes fers et ma marque sur tes fesses.
Je ne peux refuser votre proposition.

LE PLAISIR DE LA SOUMISSION

Après le souper, où il n’a cessé de regarder mes genoux, mes mains et enfin mes lèvres mais si tranquillement.
Nous prenons sa voiture, pour rejoindre au centre de l’île, dans un hôtel particulier. Je suis accueillie par un superbe majordome, un bel étalon africain, au mandrin nu en érection.
- Je te présente César, mon fidèle majordome. Déshabille-toi dans la salle de bains du rez-de-chaussée. César va s’occuper de toi.
J’entre dans une grande salle de bains entièrement recouverte de miroirs et de glaces, avec un lavabo, un bidet avec une canule, une douche, un urinoir masculin et une table roulante avec divers accessoires.
César me douche, me farde, puis je dois m’empaler sur la canule, qui m’encule.
- C’est pour que tu sois propre, pour Sade. Il aime enculer ses soumises bien propre. Je vais te raser le pubis et la chatte. Sade aime les femmes au corps lisse.
César me met des bracelets en cuir à mes poignets et me les fixe dans le dos, me met mon collier.
Menottée dans le dos, je subis mon long lavement. Cuisses écartées, les yeux baissés, la bouche entrouverte, je me regarde, les gestes précis du rasoir droit. Je découvre mes poils pubiens et autour de ma chatte, tombés dans le bidet. L’homme me met de la lotion apaisante.
Je me soulage, debout au bidet, de l’eau dans mon anus.
Une fois propre, César me parfume et je glisse mes pieds nus dans des mules à très hauts talons sans plate-forme, à talons de douze centimètres.
Il me tient en laisse par le collier.
Je le suis, nous quittons la salle de bains, pour un dédale d’escalier menant au premier étage. Là, dans une grande salle entièrement recouverte de miroirs, je suis suspendue dans le vide, bras en l’air, les cuisses très ouvertes, des chaînes sont fixés à mes bracelets de mes poignets et à mes chevilles. Je ne peux me dérober.
Sade entre, cagoulé et nu. Il regarde mon pubis et ma chatte totalement lisses.
- Tu es prête maintenant.
En effet, je sens qu’il perce mes petites lèvres de ma chatte trempée pour poser à chacune un anneau doré et perce mon gros clitoris d’un anneau plus gros et doré.
César et Sade se relaient pour m’enculer devant une caméra qui me filme en gros plan sur mon anus, mon visage, le mouvement de mon bassin et enregistre mes râles de plaisir.
Ils éjaculent sur mon pubis.
Puis je suis cravachée sur les cuisses, derrière et l’intérieur et sur les fesses, comptant les coups.
On abaisse la longueur des chaînes et je découvre un superbe berger allemand qui vient se positionner de part et d’autre de mon torse. Soudain, je sens son gros sexe m’enculer. Je gémis un peu surtout quand son nœud m’écartèle.
- Toute soumise doit jouir avec un chien. Tu devras t’y habituer.
Après la douleur anale, une série d’orgasmes m’envahit, sans que je me caresse.
Le berger allemand m’encule mieux qu’un homme. Il me reprend à plusieurs reprises, jusqu’au quatrième orgasme.
Il se retire, me lèche l’anus, puis je suis montée par un doberman, mais cette fois, je suis enculée, à quatre pattes, menottée sur un chevalet. Je dois sucer le berger allemand, pour lui rendre mes hommages.
Les deux chiens alternent, pour me donner du plaisir.
Je deviens une soumise zoophile.
César et Sade me fouettent ensuite, lors de la pause des chiens.
Je réclame ma nouvelle saillie.
Sade pousse le vice à une double pénétration canine, enculée par le doberman et baisée par le berger allemand, les mains jointes à mon cou.
Je perds connaissance, mais je suis doublement inondée.
Sade me prend dans ses bras et me conduit au second étage, dans une étrange chambre, avec une grande porte-fenêtre, un hamac où je suis menottée, cuisses grandes ouvertes et de multiples miroirs sur les murs et au plafond.
Je fais de mystérieux rêves, prise d’imposants chiens de garde et des hommes aux mandrins long et gros. Ma chatte ruisselle.

Pendant deux jours, je suis soumise aux jeux SM de Sade, César et ses chiens. Je connais ma première double anale, bien ouverte.

Au matin du troisième jour, je me réveille, allongée, nue, sur mon lit, dans ma chambre d’hôtel. Je caresse mon corps devant la glace de la salle de bains, découvrant mes anneaux. Je porte aussi une bague au majeur droit, reliée au poignet par une fine chaînette et une autre bague à mon annulaire gauche, de fer, intérieurement cerclée d'or, dont le chaton large et lourd, comme le chaton d'une chevalière mais renflé, porte en nielles d'or le dessin d'un signe masculin entrelacé avec un signe féminin.
Désormais, je dois me baigner nue.
C’est Yannis qui me conduit à une plage privée naturiste. Là, nue, je suis l’objet des regards concupiscents des couples nus. Je suis prêtée, baisée, enculée et prise en double pénétration. Des billets me sont remis car je suis une prostituée soumise. D’autres femmes portent elles aussi des anneaux aux petites et grandes lèvres de leurs chattes que je lèche, pour les satisfaire.
Je m’y rends plusieurs fois pendant mon séjour. Sade ou César m’observent, notent mes prestances.
C’est peu avant le coucher du soleil, après une dernière collation, que Yannis me raccompagne à l’hôtel.
Le soir, nue, sous ma robe, je suis offerte à de jeunes étalons jusqu’à l’aube.

Le dimanche matin, je rentre avec mes amants à la capitale.
Sade m’a laissé un dernier message :
Le prochain rendez-vous sera ta pose des fers et de ma marque, en un lieu secret. Tous les hommes savent désormais par tes bagues que tu es toujours nue et disponible sous tes tenues. Continue à garder ton corps lisse, fardé et parfumé.
Je porte un plus gros bijou d’anus, selon les vœux de Sade. Il mesure treize centimètres de long dont douze m’encule, pour cinq de diamètre et pèse 895 gramme. La pomme de pin frotte ma chatte nue. J’aime avoir ainsi l’anus bien rempli.
Au bureau, on remarque que je me tiens plus droite, j’ai le regard plus clair, je suis parfaite immobile et je mesure mes gestes.
D’un simple regard, on devine mes seins nus sous mes chemisiers, mes jupes qui arrivent à mi-cuisses, dévoilent mes jambes nues et ma chatte nue dessous. Je suis toujours pieds nus dans mes escarpins, sandales et bottes. Je porte des jupes éventail qui se relèvent d’un seul geste. Toutes les occasions sont bonnes, pour que les collaborateurs et les clients puissent m’enculer et je me fais lécher l’anus par certaines femmes, qui me doigtent longuement ensuite.
Je reçois fréquemment mes amants chez moi, selon les vœux de Sade, à qui je raconte dans un journal intime chacun de mes ébats.
Je continue mes relations lesbiennes, souvent à trois, à nous goder et à nous enculer avec divers godes, vibromasseurs, nous léchons nos anus et nos chattes trempées.
Je rééduque mon anus, qui redevient avec des muscles toniques, tout à fait normal, tel un poinçon strié de rose, très serré, mais il peut s'ouvrir tout grand pour me faire enculer.

CLUB 6996

Au mois de juin, je reçois un mystérieux colis chez moi.
Nue et en mules, je l’ouvre. Il contient mes carcans en cuir et une robe à corselet seins nus à jupe éventail, entièrement transparente et blanche, avec un boléro doré, plus des pinces à seins vibrantes.
Le mot qui l’accompagne :
Rendez-vous ce soir au club privé « 6996 », dans ta tenue, fardée et parfumée, portes tes pinces et ton bijou d’anus.
Sade
Sade se trouve dans la capitale. Je passe mon après-midi, à me raser les aisselles, le pubis, la chatte et l’anus, avant de me doucher longuement. Je me gode longuement l’anus avec un vibromasseur gonflable pour me préparer. Je mouille comme une fontaine, d’excitation. Je n’ai nul besoin de me caresser pour me faire jouir.
Puis j’insère mon bijou d’anus.
Je me farde longuement, me parfume trois fois et j’enfile ma robe à corselet. Je desserre légèrement le corselet et je l'agrafe par-devant en commençant par le haut tandis que je creuse le ventre, ensuite je mets mes mains dans le dos et je tires sur les boucles en plusieurs fois et je resserres progressivement le laçage en partant du haut vers le milieu puis en partant du bas vers le milieu jusqu'à ce qu'il soit parfaitement ajusté et que je me sentes confortable. Je tires alors de toutes mes forces sur le lacet central afin de bien marquer la taille et de l'affiner au maximum. Mes seins nus sont mis en valeur, projetés en avant. Le corset fait saillir mon ventre et cambrer profondément mes fesses nues.
Je relève ma jupe, exhibant mon pubis aux petites lèvres peintes en rouge et aux anneaux dorés. je pince mes seins avec les pinces vibrantes, mes mamelons constamment tendus sont emprisonnés et je mets mon boléro fermé au cou. Je glisse mes pieds nus dans des mules à très hauts talons. Je mets mon collier et mes bracelets à mes poignets. Je me recoiffe.
On sonne. C’est César qui vient me chercher. Il m’inspecte. Il ouvre mon boléro pour voir mes seins nus avec mes pinces. Sans mon boléro, j’ai les épaules et les seins nus dévoilés.
- Tu es très en beauté, ma chérie.
Il m’embrasse langoureusement sur la bouche, tout en glissant sa main entre mes cuisses pour me faire mouiller la chatte.
Nous prenons une limousine blanche aux vitres teintées en noir. Je suis assise seule derrière, la jupe relevée, empalée sur un gros gode réaliste dans ma chatte.
César m’a retiré mon boléro et il a joint mes mains à mon cou.
Nous entrons avec une heure de trajet, dans un mystérieux hôtel particulier.
César me bande les yeux et m’aide à descendre de la limousine. Mes mules claquent sur les pavés, puis sur le marbre de l’escalier que je gravis, tenue en laisse par mon collier.
Des coups de cravache me sont donnés sur les fesses pour me faire avancer.
Après plusieurs portes, César s’arrête.
On délace ma robe et on me déchausse. Mes pieds nus reposent sur un tapis en laine. Je suis caressée de toutes parts, on m’embrasse.
Prosternée, je suis à nouveau cravachée sur les fesses, sur les cuisses et sur les reins. Je gémis un peu.
On me retire le bandeau. Je découvre cinq hommes nus et cagoulés.
- Voici, votre nouvelle soumise, elle sera baptisée Vicieuse Canine. Elle portera les lettres V et C sur son pubis à l’encre noire dès ce soir, avant son abattage. Mettez-la sur la table, cuisses grandes ouvertes, enchaîner ses chevilles.
Je me retrouve exhibée, exposée, nue, les lèvres de ma chatte grandes ouvertes. Mes chevilles sont enchaînées par des bracelets dans la table, une chaîne me retient au dos du collier pour m’immobiliser.
J’éprouve une étrange sensation quand le tatoueur me tatoue les lettres en caractère gothique et entrelacés. Un miroir au plafond me permet de me regarder me faire tatouer. Pour apaiser mes gémissements, je suce les hommes présents. Je garde les yeux baissés.
Une fois tatouée, on me fouette l’intérieur des cuisses.
Le bas du corps zébré, je suis détachée et conduite, nue, pieds nus, dans une grande pièce isolée.
Je suis menottée à une croix de Saint-André, dos aux hommes, qui se relaient pour m’enculer et me fesser.
Pantelante, je suis libérée et portée debout, entre deux hommes, m’empalant sur leurs deux mandrins, un me baisant et l’autre m’enculant. Je sens leurs testicules claquer contre mes fesses. Je reçois leurs spermes en moi.
D’autres hommes se relaient, nus et cagoulés.
Peu avant l’aube, je me retrouve nue, menottée à un chevalet, dans une grande pièce sombre, au sous-sol de l’hôtel.
Trois chiens de garde m’enculent à tour de rôle, j’enchaîne les orgasmes.
Puis un des hommes viennent avec un étrange gode.
Il est moulé sur le sexe en érection d’un poney. Il mesure quatorze centimètres pour six de diamètre.
L’homme me l’introduit dans la chatte, je jouis, en échange de claques magistrales sur les fesses.
Il écarte mes fesses et il m’encule avec. Je gémis. Il gonfle le gode pour m’élargir. Je dois rester une demi-heure avec le gode gonflé, sans pouvoir l’enlever, pour que je m’habitue. Puis on fait des va-et-vient et je sens venir l’orgasme anal.
On échange le gode équin du poney pour celui d’un pur-sang arabe, long de quarante centimètres pour cinq à huit de diamètre. Je serre les dents, lorsqu’il enfonce la moitié dans mon anus trempé.
Je reste ainsi une demi-heure à me faire enculer par le gode. Les douleurs s’apaisent, je m’ouvre davantage.
Après quelques heures de sodomies par ces godes, je suis prête à me faire réellement saillir par de vrais chevaux, le désir de Sade. Je dois devenir aussi une pouliche à satisfaire, après mon statut de chienne.
On me douche, me fait mon lavement. Je me rhabille et je monte dans un 4x4 qui nous dépose loin de la capitale, dans une forêt.
Le lieu est sous très haute protection. Il appartient à la garde rapprochée chargée de la sécurité des lieux gouvernementaux. Après plusieurs fouilles au corps, nous entrons après trois postes de contrôle dans une grande cour, menant à plusieurs écuries.
Nue, et en mules, tenue par la main par Sade, avec mon bijou d‘anus, je découvre mes nouveaux amants, de superbes étalons reproducteurs enculant de jeunes soumises sur des chevalets, suçant la gent masculine.
Je suis menottée à une table gynécologique et glissée à bonne hauteur sous un superbe pur-sang arabe. Sade guide son gros sexe dans mon anus béant et lubrifié par le sperme humain et canin.
Des hommes m’entourent, se masturbent, m’offrent leurs mandrins à sucer, tandis que l’on masturbe le pur-sang.
J’ai un premier orgasme anal avec un vrai cheval. Puis je sens une longue giclée de spermes chauds dans mon anus écartelé.
On retire le cheval, dont je suce le sexe, tandis que les hommes qui se sont masturbés se relaient pour m’enculer. Je suis chaude.
Un trotteur français et un cheval de selle m’enculent ensuite et un cheval de trait au sexe imposant.
Je suis abandonnée, pantelante, le visage couvert de spermes, ainsi que sur mes seins, mes fesses et mon anus dégouline de spermes qui tombent dans une bassine.
Menottée, je suis juste nourrie de spermes équins.
Au coucher du soleil, dans une des étables, menottée, debout, les bras en l’air, cuisses maintenues écartées, je suis partiellement enculée par un sexe d’un cheval, la cravache cingle mes fesses et mes cuisses.
Je ne sais combien d’hommes me prennent, que je suce, ni le nombre d’étalons équins qui m’enculent.

Ce n’est qu’au petit matin, que j’émerge, toujours nue, au club 6996, menottée à quatre pattes, avec un écarteur anal, filmant mes excès des écuries.
Sade me réconforte, en me nourrissant, me lave avec une grosse éponge.
Vers dix heures, je suis détachée, à moitié évanouie.
Je retourne aux écuries plusieurs fois pendant la semaine où je loge au club 6996.
Mon tatouage est bien visible, maintenant.

SOUMISE POUR NOUVEAU MAITRE

Au mois de juillet, Sade me présente à un nouveau maître, Sir William, comte de Mon Plaisir et de sa femme, Lady V, une superbe blonde aux seins plantureux, intégralement épilée et aux mamelons, au clitoris et aux petites lèvres percées d’anneaux dorés et elle porte des fers aux grandes lèvres et la marque de Sir William. Sir William est un bel athlète du triple de mon âge, un ancien des forces spéciales et des services secrets. Il est bien monté.
Nous allons à son château, en pleine campagne, à trois heures de route de la capitale. J’ai mis ma robe à corselet à jupe éventail, avec mon boléro, mes mules à très hauts talons, je suis fardée et parfumée. Je porte mon bijou d’anus. Sade m’a fouettée longtemps le bas du corps et mes seins, avant ma toilette.
Avant d’arriver à son château, Sade me bande les yeux et me déshabille. Je porte mes carcans en cuir, mes mains sont jointes à mon cou, mes cuisses sont écartées et je m’abandonne à ses caresses.
Après avoir franchi le portail, Sade me fait descendre. Je marche dans le gravier, avec mes mules. On me cravache et me fouette les fesses pour me faire avancer. De temps à autre, un chien me lèche la chatte et le clitoris. Je me retiens de jouir.
Un gardien à cheval nous accompagne.
Avant mon arrivée au bout de l’allée, je dois sucer le sexe du cheval, en signe de soumission et avaler son sperme.
Nous franchissons le perron et entrons dans un grand hall avec un grand escalier en marbre.
On me retire le bandeau et on me met un bâillon-pénis, mes mains sont liées dans mon dos, mes mamelons sont emprisonnés dans des pinces avec de lourds poids et mes petites lèvres sont elles aussi pincées par les mêmes pinces. Je mouille.
Je suis déchaussée et tenue en laisse par mon collier.
Je sens le carrelage froid sous mes pieds nus. Mes seins sont déformés vers le bas tout comme mes mamelons tendus et mes petites lèvres.
Je garde les yeux baissés.
Sade m’abandonne.
Je franchis plusieurs portes dans un long couloir, puis des marches en pierre menant au premier étage. L’homme qui me tient en laisse et cagoulé, avec une cape sur son corps nu et botté.
- J’oubliais, soumise Vicieuse, je suis Nathan, le valet chargé de ton éducation de soubrette. Je vais te préparer en soubrette. Vanessa sera chargée de t’expliquer les règles imposées par Sir William. Tu vas porter tes poids pendant une semaine, dix à douze heures par jour.
Au premier étage, je franchis une nouvelle porte, gardée par deux autres valets, Brice, l’européen et Sexe d’Or, un superbe étalon africain, tous les deux portent la même tenue que Nathan.
Je découvre ma chambre, qui donne sur le jardin avec une grande terrasse et des écuries et un chenil.
Vanessa m’attend. Elle porte un tablier sur ses fesses nues, un corset seins nus, une cagoule qui laisse juste visible ses yeux, ses cheveux sont coiffés dessous en chignon, sa bouche est bâillonnée par un bâillon O. Elle porte des carcans en fer et des sandales à très hauts talons.
Je rejoins la salle de bains commune entre les deux chambres. Là, entièrement recouverte de miroirs, je suis contrainte de m’accroupir, cuisses écartées, devant les valets, mes bras sont tendus en l’air, on remplace mes bracelets en cuir de mes poignets par d’autres en fer ainsi que mon collier. Je suis menottée.
Je suis longuement lavée, tandis que mon anus libre est remplie par une canule envoyant de l’eau froide pour me rincer.
J’éprouve du plaisir à porter les poids à mes seins et à mes grandes lèvres.
Une fois l’anus propre, Nathan, Brice et Sexe d’Or m’enculent sans éjaculer. Je jouis sous le bâillon et mon bassin ondule sur leurs gros mandrins.
Détachée et séchée, je suis à nouveau fardée et parfumée.
Vanessa me fait un chignon et Nathan me fait enfiler la cagoule. Ma bouche reste bien ouverte, outre le côté humiliant, ma bouche est ainsi disponible pour le plaisir de son Maître. Accroupie, je dois sucer les trois valets, avec mon bâillon.
Vanessa me serre mon corset seins nus et je revêts mon tablier sur mes fesses nues. Je chausse des sandales à très hauts talons. Je marche à petits pas.
Je rejoins le salon avec Vanessa et Nathan.
- Voici, soumise Vicieuse, notre nouvelle soubrette.
Le couple me caresse de partout. Je me retiens de jouir.
Je reçois jusqu’à quatre doigts dans mon anus.
- Bon, soumise Vicieuse, elle est affectée pour son premier jour, au port des plats des cuisines au salon et le reste du temps, elle va apprendre à marcher et à se tenir droite, avec une barre d’écartement fixée à ses cuisses et le vibromasseur Etalon géant.
Je suis équipée. Des sangles sont fixées à mes cuisses, reliées à une barre en fer sur laquelle se trouve un vibromasseur réaliste qui m’encule profondément. Je fais les exercices devant Lady V et un miroir. Je dois rester concentrée, malgré le plaisir anal qui m’envahit.
Chaque faute est sanctionnée par soit la cravache soit le martinet soit le fouet selon la gravité. Je dois recommencer chaque exercice à zéro à chaque faute.
Lady V veut la perfection.
On me retire la cagoule que lorsque je suis en présence des valets. Ils ne me ménagent pas, me doigtant la chatte, léchant mon clitoris, fouettant mes seins et l’intérieur de mes cuisses et surtout, tout en faisant les exercices.
Pantelante, peu avant le coucher du soleil, Lady V me retire le vibromasseur. Je suis prête pour le souper.
Je monte et descend un escalier en pierre, aux marches inégales pour le port des plats.
Après le dessert, je suis offerte nue aux chiens du chenil, sans défense, jusqu’à l’épuisement, l’anus rempli de spermes.
Je suis portée dans ma chambre, je suis douchée et enchaînée à mon lit, cuisses grandes ouvertes, les mains dans le dos, nue.
Je suis violée par les valets à toute heure de la nuit.

Après une semaine, je suis officiellement soubrette de service. On remplace les pinces à mes seins par un dispositif de pinces à seins reliées par des chaînes à un plateau à hauteur de ma taille. Je porte de lourdes clochettes à mes grandes lèvres. Je porte toujours ma cagoule et mes sandales à très hauts talons. Je fais désormais du 105C de tour de poitrine, après un traitement qui a stimulé la pousse de mes seins. Je corresponds mieux aux critères des soubrettes du château. Je deviens l’éducatrice de la jeune Pénélope, une beauté européenne, aux longs cheveux blonds jusqu’au bas du dos, portant les lettres P S pour prostituée sodomite sur le pubis comme moi.
Le château possède douze soubrettes, deux majordomes, douze hommes pour les écuries et presque autant pour le chenil.
Je suis conviée lors de ma seconde semaine, au pavillon de chasse, où se réunissent des amis de Sir William, pour une chasse à courre particulière où de jeunes soubrettes sont lâchées en pleine forêt pour être débusquées par les chiens de chasse et subir les désirs des chasseurs.
J’en fais les frais, les chiens m’enculent dès qu’ils me trouvent. Je suis nue et en sandales. Puis les chasseurs me violent d’abord seul, puis à plusieurs. Mon corps est recouvert de divers motifs.
Etant la plus courtisée, je finis gagnante de la chasse à courre et je deviens aussi chasseuse de jeunes soumis que je viole avec un gode-ceinture doté d’un double vibromasseur interne.
Je tombe amoureux d’un des soumis, qui se révèle être un transsexuel.
Le soir venu, il m’encule longuement devant les chasseurs jusqu’à une série d’orgasmes.

En un mois, je suis devenue très recherchée comme soubrette, docile, soumise et courtoise.
Avant d’être ferrée et marquée, j’assiste à la séance pour les autres filles. Je suis équipée d’un bâillon-pénis, d’un collier de maintien qui m’empêche de baisser la tête, mes seins sont entourés de cordes et des pinces sont reliées à mon collier de maintien, mes mains sont liées dans le dos, ma chatte est maintenue grande ouverte par un système de porte-jarretelles et mon anus est rempli par un vibromasseur moulé sur le sexe d’un cheval et je suis nue et en mules à très hauts talons. Je dois regarder la séance, immobile, juste mon bassin ondule sur le vibromasseur.
Je mouille en regardant le supplice de la fille.
A son réveil, je lui offre mon anus à lécher, puis je l’encule, en compagnie des invités, offrant mon anus simultanément à l’un d’eux. Ce double plaisir me conduit à un violent orgasme anal.
Sir William est fier de moi.

Début septembre, à l’aube, je suis réveillée, encore enchaînée à mon lit, les cuisses complètement ouvertes, mes chevilles fixées par des chaînes au plafond, mes mains fixées à mon cou, la bouche débordant de sperme, ainsi que mon anus, par les saillies canines nocturnes.
Nathan me détache, me lave et je rejoins nue, pieds nus, la salle pour être marquée et ferrée.
A moitié endormie, je suis suspendue dans le vide, toujours les cuisses complètement ouvertes, les bras en l’air, enchaînée à des crochets au plafond. Je porte pendant quelques heures encore mes clochettes à mes grandes lèvres. Un collier de maintien m’empêche de bouger la tête. Il fait sombre. Ma chatte est léchée par les chiens. Je jouis jusqu’à l’orgasme. Les clochettes tintent.
Au lever du soleil, je suis lavée, fardée et parfumée.
On amène un gros poêle noir et rond dont le couvercle a été ôté, on voit rougeoyer des braises intenses.
On me retire les clochettes et on perce mes grandes lèvres, pour poser deux fers, un par lèvre. Chaque anneau est long comme deux phalanges du petit doigt, qu'on y peut glisser. A chacun est suspendu, comme un nouveau maillon, ou comme au support d'une boucle d'oreille un anneau qui doit être dans le même plan que l'oreille et la prolonger, un disque de même métal aussi large que l'anneau est long. Sur une des faces, un S niellé d'or, sur l'autre, mon nom, le titre, le nom et le prénom de mon Maître, et au-dessous, un fouet et une cravache entrecroisés. Les ressorts s’emboîtent d’un seul coup.
Puis je reçois un bâillon-pénis en bouche. Perdue dans mon épouvante, je sens la main de Lady V sur mes fesses, qui indique où poser les fers, j’entends le sifflement d'une flamme. Une seule abominable douleur me transperce, j’hurle sous le bâillon et raidie dans mes chaînes, et je ne sais jamais qui a enfoncé dans la chair, de mes fesses les deux fers rouges à la fois, ni quelle voix a compté lentement jusqu'à cinq, ni sur le geste de qui ils ont été retirés.
A moitié évanouie, je suis livrée à un harem d’étalons qui m’enculent jusqu’à plusieurs orgasmes. Mon pubis se couvre de spermes.
Après une heure d’orgie, on me détache. Nathan me porte dans ses bras, me prend aux épaules et aux jarrets, me soulève et m’emporte.
Je me retrouve sur le canapé du salon, cuisses écartées, dévoilant mes fers. On me complimente tout en prenant un apéritif. On me nourrit, tout en caressant ma chatte ferrée et mes lettres sur mes fesses. Les fers me descendent jusqu’au tiers de cuisses. Les marques imprimées par le fer rouge, hautes de trois doigts et larges de moitié leur hauteur, sont creusées dans la chair comme par une gouge, à près d'un centimètre de profondeur.
Je suis devenue une soumise facilement identifiée par mes fers et mes marques.
Ce n’est qu’en fin d’après-midi, que je quitte le château, pour retrouver Emmanuelle.
Nue devant lui, je me laisse caresser par lui et d’autres transsexuels. Je passe la soirée jusqu’à l’aube, à passer de mandrins en mandrins pour m’enculer, jusqu’à l’évanouissement.

RETOUR AU CLUB PRIVE

Le lendemain matin, entourée par Emmanuelle et le superbe transsexuel brésilien, blond, aux seins plantureux, Sabrina, j’apprend par Emmanuelle :
- Ma soumise Vicieuse, maintenant que tu es ferrée et marquée, tu dois séjourner dans une annexe du club privé, en bord de mer. Des dizaines de clients ont hâte de revoir ton corps, ton écrin lisse et surtout honorer ton œillet. Tu seras payée comme tu l’es depuis le premier jour de notre rencontre. Chaque abattage te donne droit à un pourboire. L’argent est placé en lieu sûr. Va te doucher, je vais te cravacher ensuite et tu seras conduite nue sous ton tailleur, au lieu secret.
Dans ma salle de bains, je regarde mon nouveau corps. Mes grandes lèvres sont étirées davantage par les fers, mes mamelons constamment tendus portent encore les marques des pinces, mon clitoris est constamment tendu, mes seins plantureux sont chauds. Je mouille sans me caresser sous la douche. Les fers se balancent entre mes cuisses à chaque mouvement. Je ne cesse de penser à un mandrin ou un sexe canin ou équin.
Une fois propre, Emmanuelle me cravache, menottée, les bras en l’air, accroupie, cuisses écartées, l’anus rempli par une canule pour mon lavement. Mes fesses, mes cuisses, mes reins et mes seins sont zébrés.
Libre, je me farde et me parfume. Je revêts un corset seins nus sous ma veste de tailleur fuchsia, enfile une jupe éventail fuchsia et chausse mes mules blanches à hauts talons, je me coiffe d’une queue-de-cheval. Je mets mon gros bijou d’anus.
Comme convenu, les yeux bandés, je traverse le pays, pour rejoindre la côte.
On m’aide à sortir. Je gravis un grand escalier menant à un étage.
Là, je suis déshabillée et présentée, les yeux bandés, avec mes carcans en fer, pieds nus.
On me caresse de toutes parts, on me fesse. Je dois sucer. On m’encule sans ménagement.
Je sais combien d’hommes sont présents dans la salle. Mon anus déborde de spermes frais. Un chien me saillit aussi. Je suis aux anges.
Je deviens la favorite d’un couple de valets bisexuels qui aiment me prendre en double pénétration ou double anale, car mon anus est bien large pour accueillir deux mandrins simultanément.
Je deviens serveuse seins nus, dans une robe à corselet seins nus, transparente, s’arrêtant à mi-cuisse, largement ouverte sur mon pubis et mes fesses, en mules à très hauts talons.
Je suis fouettée et enculée par de nombreux clients pendant mon séjour.

Début novembre, je me promène nue dans le froid, tenue en laisse par mes fers, par un de mes valets, dans le parc, d’un immense château. Des gardiens à cheval me font saillir par leurs chevaux, pour mon plus grand plaisir.
Je reprends mes ébats lesbiens avec les femmes des clients.
Le Maître des lieux, un bel étalon du double de mon âge, m’autorise à quitter le château qu’après six mois.
Je peux retrouver mon duplex. Mes amants m’envient par mes gros seins, mon corps lisse, marqué et ferré.
Je prépare d’autres jeunes filles vierges pour le Maître du club.

lundi 25 février 2019

BIKINI VICES


Je m’appelle Shawn.
J’ai 20 ans.
Je suis une jolie beauté scandinave.
Je suis une brune aux yeux verts. J’ai des pieds fins et latins, des jambes longues bronzées, musclées qui inquiètent par leur perfection. Mon pénil est bombé, ouvert, couronné de noir. Ma pilosité brune couvre mon pubis. Je suis totalement velue entre les cuisses et j’ai une superbe croupe. Les lèvres de mon sexe sont une plaie rouge entre mon entrecuisse velue. Mes hanches s'incurvent et délimitent le ventre plat, délicieusement renflé autour du nombril, les hanches sont larges et rondes, mais sans lourdeur. La taille est affinée. Les seins parfaits intégralement bronzés sont un peu volumineux mais fermes, et leurs pointes marron clair, toujours dressées, cernées par une large aréole marron attirent le regard. J’ai une peau lisse et patine. Finition parfaite, un seul grain de beauté entre mes superbes seins. De longs cheveux plats blonds flottant comme des algues, battent mes épaules rondes et gracieusement athlétiques. Je suis intégralement bronzée. Mes yeux verts limpides s'allument, ma bouche charnue se fend. J’ai des sourcils bruns bien dessinés et des lèvres pulpeuses. J’ai de longs doigts fins et de belles mains. Je fais du 90B de poitrine, 56 de taille, 90 de hanches, 1,72 m.

  

Je suis la présentatrice vedette d’une émission sur les piscines de grands hôtels en Europe.
Cet après-midi-là, de juin, je présente mon émission sur la terrasse de la piscine qui surplombe le centre-ville. Je suis juste vêtue de mon bikini blanc et mes pieds nus aux ongles vernis en rouge, dans mes mules à très hauts talons.
Je ne sais qu’il m’a pris, subjugué par un des maîtres-nageurs, un bel Apollon musclé comme je les aime. Je m’accroupis devant lui et me met à le sucer en experte. Mes doigts agiles et experts enserrent et soupèsent ses testicules velus.
Puis je m’éclipse avec lui, aux toilettes pour hommes.
Nue, je me retourne contre le mur et le supplie, offrant mes fesses bien rebondies, musclées :
- Baise-moi, j’ai la chatte en feu.
Le maître-nageur possédant un long et gros mandrin me défonce jusqu’aux testicules qui claquent conter mes fesses.
Il en profite pour enfoncer son index dans mon anus encore vierge.
- Tu aimes, sublime Shawn.
- Fais-moi aussi jouir de mon œillet.
Après quelques va-et-vient, il passe ses mains de mes hanches à écarter mes fesses.
Il m’encule. Je pousse pour le recevoir. J'obéis, mais le passage du gland au travers de ma collerette anale me fait tout de même mal. Il marque une pause avant d'aller de l'avant et d'augmenter la profondeur de la pénétration, son gros mandrin repoussant mes tissus s'ouvrant littéralement un chemin entre mes fesses vierges. Enfin, je sens son ventre contre mes fesses. Il entamer un lent mouvement de va et vient, ressortant presque entièrement de mon anus, pour y replonger aussitôt. Peu à peu, la douleur de mon anus forcé cède la place à un certain plaisir, puis à un plaisir certain. Je jouis uniquement, enculée, un orgasme profond comme je n'en avais jamais encore éprouvé.
Sans prévenir, son compagnon, nous rejoint. Il se retire et me tient bien écarter les fesses. Il est plus long. La seconde sodomie est plus facile.
Je subis une double pénétration intense : celui qui m’a enculée en premier, décide de me baiser, me prend dans ses bras, je l'entoure avec ses jambes et se laisse baiser. Celui qui m’encule me soutient une partie de mon poids. J’explose en un violent double orgasme, doublement inondée de spermes.
- Tu es une sacrée jouisseuse, Shawn, me susurre, celui qui m’encule.
- Sa chatte est un véritable écrin de mouille. Cela t’excite.
- Oui, mes chéris, prenez-moi.
A la fin de mes orgasmes, je les suce, accroupie, cuisses écartées. Je les nettoie.
Je ne me reconnais plus.
Un des hommes m’écarte les fesses, pour que je garde leurs spermes dans mon anus, grâce à un bijou d’anus. Il est froid, il est en aluminium brillant orné par un magnifique cristal rose à son sommet : c’est ce cristal rose qui est visible entre les fesses une fois qu’il est introduit dans l’anus. Il est très doux et très petit, il me provoque une délicieuse excitation anale permanente, sur cinq centimètres de long et trois de diamètre pour 34 grammes. Je sens sa forme en sapin et sa large base me garantissent un excellent maintien dans l’anus. La section qui relie les deux extrémités est très fine et douce afin de laisser l’anus se refermer dessus sans gêne. La tige de la taille de l’auriculaire sert de support lorsque le sphincter se referme. Je garde mon anus dilaté, me prépare l’anus à la sodomie, la rendre plus facile et moins douloureuse aussi.
Je me rhabille de mon bikini et rejoins ma loge dans un camping-car aménagé.
- Shawn, tu as fait sauter l’audience avec ta drague du maître-nageur, m’annonce Aimée, une jolie brune aux seins plantureux, vêtue d’un chemisier et d’une jupe droite.
- Ma chérie, je n’ai pas pu me contrôler. J’avais envie de lui. Je l’ai repéré ce matin avant l’émission. J’ai même joui avec un second.
Elle m’embrasse langoureusement, en caressant mes seins nus, tandis que je me refais une beauté après ma douche rapide.
Vêtue d’un chemisier fuchsia et d’une jupe noire, en escarpins noirs, je me rends au buffet. Un bel homme me susurre à l’oreille :
- Miss Shawn, retirer votre soutien-gorge et votre slip. Vous serez mieux à l’aise, seins nus et fesses nues.
Il me glisse une liasse de billets. J’obéis, je retourne aux toilettes pour femmes. Je me déshabille, retire mes dessous assortis en dentelle transparente blanche : mon soutien-gorge quart de seins et mon string. Je les glisse dans un sac discret et l’homme m’attends à la sortie des toilettes et je lui remets.
- Merci, Miss Shawn, contactez ce numéro dès ce soir. Il y aura de la visite à votre arrivée à la villa. Ne vous dérobez pas.
Le chemisier entrouvert, les hommes ne se gênent pas pour regarder mes petits seins nus et libres, tout comme mes fesses nues que l’on devine sous ma jupe.
Je rejoins ensuite la villa.
Je prends un taxi. Mais en chemin, le même homme qui m’a séduit à l’hôtel, fait stopper le taxi. Dans une ruelle, à mi-chemin de la villa, je dois descendre.
- Donnez-moi aussi votre jupe. Vous aurez ainsi les fesses à l’air. Voici un vélo pour rejoindre la villa.
Je monte sur le vélo féminin. Une montée m’attend. J’ai l’habitude. L’homme paie ma course et il m’escorte avec le taxi. Mais avant, il m’a retiré le bijou d’anus, m’a longuement fouillé l’anus rempli du sperme de mes amants. Il le fait humer au chauffeur en lui disant :
- Suis-la, elle a l’odeur d’un cul d’une prostituée.
Je pédale en danseuse, frottant mes fesses nues sur la selle. Je pédale plus fort, plus l’orgasme m’envahit. J’arrive en haut de la côte, pantelante et m’effondre dans les bras d’une femme, juste devant l’entrée de la villa. Le taxi passe à mes côtés et disparaît.
- Tu es une sacrée jouisseuse. La côte est dure à monter, mais tu as réussi sans tomber. J’aime tes petits seins et ma chatte velue. Tu me plais.
Son mari, un bel Apollon me soulève de la selle, me prend aux épaules et aux jarrets, m’emporte.
J’émerge nue dans ma chambre. La femme, prénommée Natacha, une blonde aux seins plantureux, me lèche la chatte et le clitoris tendu. Je jouis, suçant le gros mandrin de son mari, Nathan.
- Quelle suceuse, elle connaît son métier.
- Sa chatte et son clitoris sont un vrai délice. Un écrin de mouille de premier choix, velu, elle aime ça.
Une fois prête, Natacha me retire le bijou d’anus et fouille l’anus avec ses trois doigts.
Inconsciemment, j’écarte davantage mes cuisses humides.
- Tu veux jouir, ma belle. Nathan, encule-la maintenant, elle est à point.
Nathan s’allonge sur le dos et Natacha guide son gros mandrin. Je me frotte la chatte dessus.
- Ce n’est pas ta chatte qu’il désire, mais ton puits de prostituée. Je vais te masturber, pendant que tu t’empales sur lui.
Le gland force mon anus et je me retrouve empalée jusqu’aux testicules sous mon propre poids. Je ne me peux me dérober. La sodomie est moins douloureuse, avec le bijou d’anus et le doigté anal de Natacha. Empalée de face à Nathan, je lui offre la vue de mes seins, mes cuisses écartées de part et d’autre de son bassin. Je m’accroche à ses épaules, je coulisse doucement pour sentir son gros mandrin qui m’encule profondément. Je me balance d’avant en arrière, frottant ma chatte humide sur la main de Natacha. La bouche de Natacha lèche mes mamelons tendus.
- Continue, ma belle, tu vas le faire éjaculer.
Je suis tellement excitée, de m’enculer, un orgasme puissant, car à ce moment là le muscle anal se contracte très fortement autour de son mandrin bien dur. J’ai droit à une longue éjaculation, tellement j’ai massé son gland.
- La belle m’a fait éjaculer. Elle connaît son affaire.
- Laisse-moi, je vais prendre le relais.
Natacha sort de son sac à main, un gode ceinture spécial à triple godes réalistes. Il est sans ceinture, elle enfonce la partie vaginale interne dans sa chatte et Natacha m’invite à s’asseoir entre ses cuisses écartées.
Les deux godes sont de même longueur, quinze centimètres, veinés, aux glands proéminents. Nathan m’écarte bien les fesses pour mieux m’empaler. Le gode vaginal est plus étroit, trois centimètres de diamètre et l’anal, cinq de diamètre. Je suis doublement pénétrée, c’est un plaisir. Nathan me pelote les seins, me lèche la chatte et le clitoris. Je coulisse sur les deux godes, qui se révèlent de puissants vibromasseurs. En cadence simultanée, ou de façon aléatoire, j’ai à un double coup de reins ou un seul soit dans ma chatte soit dans mon anus trempé. Leurs va et vient automatiques de montée et descente, à différentes vitesses et vibrations. Chacun s’allonge et rétrécit à chaque mouvement de va-et-vient grâce à son enveloppe ultra-souple qui s’étire ou se contracte en suivant les montées et descentes du gode. Je ferme les yeux, repensant à la double pénétration que je vais de subir. Natacha me caresse les fesses, le cou, les épaules et le dos pour me stimuler.
Un double orgasme me terrasse. Nathan éjacule sur mon pubis, après que je l’ai masturbé.
- Tu as pris du plaisir, ma belle.
Pantelante, à moitié évanouie, j’ai du mal à reprendre mes esprits.
Nathan m’aide à me retirer délicatement des godes.
L’anus béant, dégoulinant de spermes, Natacha le remplit avec un bijou d’anus plus large.
- Tu es prête à recevoir de gros sexes, ma belle.
Elle m’embrasse langoureusement sur la bouche, les seins pelotés par Nathan. Natacha et moi prenons une douche lesbienne intense, je mouille sous ses doigts.
Le couple disparaît comme il est venu.
Peu de temps après, mes copines rentrent. Je suis allongée nue, sur le dos, cuisses écartées, la main entre mes cuisses, les cheveux enturbannés.
J’enfile un peignoir court, le laissant entrouvert sur mon corps nu et je reste pieds nus.
- Voici, la pin-up des piscines, le directeur te félicite, me dit Aimée, entre deux baisers sur ma bouche puis ma chatte en feu.
- Tu viens de te faire baiser, ma chérie, réplique Orchidée, la jeune assistante brune aux petits seins. Je ne t’ai jamais aussi la chatte aussi trempée.
- Non, elle s’est fait un petit plaisir solo, rajoute Diane, la beauté châtain aux petits seins. Regarde le cristal entre ses fesses, elle s’est enculée en solo, la vicieuse.
Je n’ose répondre.
Nous soupons et je rejoins ma chambre.
Dans un des miroirs, je regarde mon corps transformé, nu. J’ai mal aux hanches, ma chatte a les lèvres gonflées par l’excitation, mon clitoris et mes mamelons sont tendus. Je me sens au sommet du désir.
Je compose le numéro de téléphone de la première carte de visite du « Domaine 6999 ».
- Je m’appelle Shawn. On m’a dit de vous contacter.
- Nathan et Natacha vous ont donné du plaisir, sans vous dérober. Excellent, demain, vous les retrouverez. Gardez-bien le bijou d’anus en place, godez-vous avec jusqu’à l’orgasme. Vous devez uniquement jouir enculée, sans aucune caresse.
Je raccroche. Je compose le numéro de la carte laissée par Natacha du « Club Lèvres de Feu ».
- C’est toi, Shawn, j’attendais ton appel. Tu es désirable. Tu seras l’invitée du Marquis du Baiser des Sévices du Désir. Mémorise le numéro sur la carte et dès la fin de ton émission, tu t’éclipses. Tu m’appelles. Je mouille, en pensant à toi.
Natacha raccroche. J’ai joui en écoutant. Je n’ai retenu que Marquis et je pense à toi.
Je dors très mal, sous l’effet de rêves érotiques, prises par plusieurs étalons en rut, dotés de gros mandrins, tous m’enculent ou me prennent en double.

A l’aube, je me lève en sueur. Ma chatte est trempée, mon bassin ne cesse d’onduler inconsciemment sur le bijou d’anus. J’ai besoin d’un mandrin pour me satisfaire. J’ouvre le tiroir de la commode, retire mon bijou d’anus et m’empale dessus. Je m’effondre sur le lit, allongée sur le ventre, guidant le gode dans mon anus trempé.
Je donne différents noms à des amants invisibles qui m’enculent. Je suis aux anges.
L’après-midi, de retour à l’hôtel, en bikini vert et mules blanches, je continue la visite de l’hôtel, les spa et les sauna, avec des couples nus.
De retour à ma loge, je suis prête à me changer, quand excitée, je croise le réalisateur de l’émission.
Je le fais venir dans ma loge.
- S’il te plaît, encule-moi, j’ai le cul en feu depuis la nuit dernière.
Je retire mon slip, mon soutien-gorge. Nue, les fesses écartées, je me laisse enculer par son long mandrin.
- Tu es une sacrée jouisseuse, pour te faire enculer sur le champ.
- Oui, pine-moi le cul profondément. J’aime me faire remplir le cul.
En plein orgasme anal, sans me masturber, je sens qu’il éjacule dans mon anus. Je n’y prête pas attention.
Libre, je le suce, pour le nettoyer. Il me remet mon bijou d’anus et me donne quelques claques magistrales sur les fesses.
- Tu es exceptionnelle. On va te faire une augmentation.
Je remets mon slip de bain et un tee-shirt blanc sur mes seins nus et mes mules à très hauts talons.
Je vois un taxi qui m’attend. Un superbe chauffeur m’ouvre la portière. Je ne reconnais pas Nathan. Natacha est coiffée d’une perruque longue brune, m’attends sur la banquette arrière.
- Te voilà enfin, ma chérie.
- J’ai…
- Le réalisateur t’a enculée. Nous l’avons payé pour te donner du plaisir. En route, chauffeur.
Natacha me retire mon slip et je me retrouve assise fesses nues sur la banquette en moleskine, glissante et froide, c'est saisissant de la sentir coller à mes cuisses.
Elle me retire mon tee-shirt. Je suis totalement nue, les seins libres et nus comme j’ai nus et libres les fesses et le ventre, de la taille aux genoux. Natacha me lie les mains dans le dos, et me bande les yeux.
Natacha tient à ce que je garde mes cuisses écartées pendant le trajet.
Nous allons dans le même quartier de ma villa louée, dans une rue parallèle.
Arrivée à la villa, Natacha m’aide à descendre. La porte est ouverte. Je monte les marches, mes mules claquent sur le marbre. Je ne sais si je suis à ma villa.
Je longe la piscine, la porte-fenêtre est grande ouverte. J’entends des râles de plaisir.
Sans attendre, je me retrouve prise en double pénétration, suçant un troisième partenaire, bien monté. Les projecteurs m’aveuglent, quand on me retire le bandeau.
Celui qui me baise est couché sur le dos, je suis couché sur lui. Celui qui m’encule avec un mandrin plus gros, me monte, appuie ses jambes ouvertes sur les miennes et ses bras dans le dos. Doublement pénétrée, je dois subir, tandis que je suce un autre partenaire. Mon anus lubrifié par ma sodomie de tout à l’heure, me fait moins mal.
Après trois partenaires qui m’enculent dans cette position, éjaculant en moi, celui qui me baise, éjacule à son tour.
Je n’ai pas le temps de reprendre mon souffle que je me retrouve cette fois, empalée, enculée dos à celui qui m’encule, bien monté, les jambes ouvertes. Les partenaires se relaient de ma bouche à ma chatte. Je ne compte plus mes orgasmes. Malgré la fatigue, je continue à sucer.
A moitié évanouie, la chatte et l’anus dégoulinant de spermes chauds, Natacha me tient par les hanches douloureuses par mes orgasmes, me fait monter les marches d’un escalier en marbre, froid sous mes pieds nus.
Là, je découvre, une jeune femme blonde aux seins plantureux, nue, avec une cagoule laissant apparaître son nez et sa bouche, qui est bâillonnée par un bâillon-pénis. Elle est suspendue à un crochet reliée par une chaîne au plafond, les cuisses écartées, des bracelets de cuir à ses poignets et aux chevilles, reliés par des chaînes au sol. Tout mouvement lui est impossible. Elle est entièrement épilée, ses seins, ses fesses et ses cuisses sont marquées par les coups de cravache, de garcette et de martinet.
- Eros le Sexe d’Etalon, voici ta nouvelle vicieuse à dresser. Elle a pris goût à la sodomie. Regarde ses fesses.
Je me retrouve sans attendre, entre les mains d’Eros. Il me met mes carcans en cuir, à mon cou, mes poignets et mes chevilles : en plusieurs épaisseurs de cuir, chaque épaisseur assez mince, au total pas plus d'un doigt, verrouillés par un système à déclic, qui fonctionne automatiquement comme un cadenas quand on le referme, et ne peut s'ouvrir qu'avec une petite clé. Dans la partie opposée à la fermeture des bracelets, pris dans le milieu des épaisseurs de cuir, et n'ayant presque pas de jeu, il y a un anneau de métal, qui donnait une prise pour fixer, et qu'on positionnait du côté intérieur du poignet. Pour le collier, l'anneau pend devant le cou, reposant sur la saillie des clavicules, et brinquebale au rythme des mouvements de celui qui le porte.
Equipée, Natacha me met un bâillon. Le bâillon O de bouche me force à garder la bouche ouverte. Le O du O de bouche est assez large pour faire passer la queue du Maître ou tout ce qu’il veut mettre dans ma bouche.
- Comme cela, tu te tiendras bien sage, me susurre Natacha. Eros va pouvoir t’enculer avec son gros mandrin, avec sa gaine.
Les yeux bandés, la bouche ouverte, je regarde en effet, son mandrin est gros de sept centimètres pour dix-huit de long. Je suis servie. Ceux qui m’ont prise en bas l’ont moins grosse.
- Alors, ma belle, tu veux être dressée.
Debout, les mains dans le dos, sans défense, je me laisse peloter les seins. Eros enduit mes mamelons d’une crème et ainsi que mon clitoris. Suis-je excitée, mes mamelons et mon clitoris deviennent hyper sensibles. Le vent frais du ventilateur au plafond m’excite énormément. Frustrée, ne pouvant me masturber, la douleur provoquée par la tension. En quelques instants, mes mamelons et mon clitoris sont complètement tendus et très dur au point de me faire vraiment mal. Eros les effleure.
Un miroir montre l’effet : mes mamelons sont saillants, gros et longs et mon clitoris est gros comme une cerise et particulièrement saillant, volumineux.
- Tu es plus désirable, ma chérie.
Eros m’encule prosternée, cuisses écartées.
- Tu as le cul en feu. J’aime ça. Je vais jouir en toi, avant de te dresser.
Eros éjacule en moi, en plein orgasme anal.
Je suis offerte en double pénétration par deux énormes mandrins. Je ne sais plus comment jouir, malgré la douleur aux mamelons et au clitoris tendus.
Les deux hommes se retirent. J’avale leurs spermes, accroupie, cuisses écartées.
Debout, pantelante, je dois pisser dans un seau, cuisses écartées, devant les deux hommes.
Je suis à mon tour, suspendue à un crochet, sur la pointe des pieds nus, les chevilles, enchaînée, face à la fille, qui est sauvagement enculée.
Eros enserre mes mamelons tendus dans de redoutables pinces à seins. Cette chaîne en forme de Y est une tentation sûre pour les personnes en quête de sensations fortes au niveau de ma chatte. Ces pinces se fixent respectivement sur les mamelons et le clitoris. Les pinces plates de mes mamelons sont recouvertes de caoutchouc noir à leurs extrémités. Eros retire ces caoutchoucs pour faire apparaître des rangées de dents minuscules en métal ; les sensations intimes sont alors beaucoup plus intenses. Il me pose à chacun de mes mamelons un poids de 500 grammes. Elles sont très puissantes et écrasent mes chairs. Mon visage se déforme par la douleur que je ressens. Mes mamelons déjà longs s’allongent aussi en déformant aussi mes seins vers le bas.
- Il faut sensibiliser tes seins, ma belle.
Une fois prête, Eros me cravache les fesses et les cuisses. Je gémis sous le bâillon.
Comme pour m’exciter, entre deux pauses, entourée d’un miroir à trois faces et un quatrième miroir au mur permettent de me bien voir, je suis sauvagement enculée. Cuisses écartées, mon regard se porte sur ma chatte trempée, mon gros clitoris et mes seins tirés vers le base.
Je ne sais combien de temps je suis cravachée. Je m’évanouis.
Quand j’émerge, je suis encore suspendue, offerte à deux gros mandrins, en double pénétration.
- La belle se réveille. Tu as du plaisir à être humiliée, exhibée, fouettée, dit l’un des hommes.
Je baisse les yeux.
- Allez, on reprend. On t’attends en bas, pour le raccord d’éjaculation dans ma bouche ouverte.
Je suis cravachée à toute volée.
Après le départ d’Eros et de son complice, Natacha enduit mes fesses et mes cuisses zébrées d’une crème apaisante, me masturbant le clitoris.
- Le Marquis va aimer. Il t’a regardé par le circuit de télévision en circuit fermé. Tu es aussi au « Domaine 6999 ». Tu es son invitée.
Détachée, pantelante, Natacha me fait boire de l’eau. Les mains dans le dos, je rejoins le rez-de-chaussée., sans mes pinces à seins.
Accroupie, cuisses écartées, je suis nourrie du sperme de mes partenaires sans perdre une goutte, filmée en gros plan. D’autres caméras filment mes fesses et mes cuisses. On prend un malin plaisir d’écarter mes fesses brûlantes, retirant mon bijou d’anus pour me fouiller. Je ne sais si je dois jouir, tellement c’est bon.
Un peu plus tard, Natacha revient avec les deux godes sont de même longueur, quinze centimètres, veinés, aux glands proéminents. Ils me sont insérés. Le gode vaginal est plus étroit, trois centimètres de diamètre et l’anal, cinq de diamètre. Un slip empêche qu’ils s’échappent et il est muni d’un double gode similaire.
La femme blonde cagoulée est allongée sur le dos, cuisses écartées.
Natacha m’invite à la pénétrer. J’obéis, sa chatte et son anus sont bien lubrifiés. Je sens les va-et-vient du double gode en moi. Je donne des coups de reins similaires à ceux des hommes. Les partenaires masculins se délectent, voyeurs de nos ébats lesbiens, se masturbant leurs mandrins bien durs. Les caméras filment en gros plan, mes va-et-vient, mon visage, ma bouche et mes seins.
Natacha inverse le double gode pour la blonde. Son anus est écartelé par le gode de cinq centimètres. La blonde gémit, tandis que je connais un nouvel orgasme, provoquant une violente ondulation de mon bassin.
A peine remise de mon orgasme avec le gode ceinture, je découvre que l’on m’installe sur un chevalet, nue, menottée, la chatte et l’anus libres. On les enduit d’huile d’olive. Je suis solidement immobilisée dans cette posture dégradante, le postérieur plus haut que la tête. Mes bras sont fixés le long des pieds avant, mes jambes le long des pieds arrières, et une large sangle m'est passée au niveau de la taille. Mes cuisses, légèrement fléchies sont empêchées de se resserrer par la largeur de la poutre, ainsi d'ailleurs mes fesses que je me peux refermer. Je découvre par un jeu de miroirs, une quinzaine d’hommes bien montés. Tous me sont destinées.
Le premier m’encule. Pour me stimuler, Natacha m’enfonce un gode dans la chatte.
Deux autres m’enculent à tour de rôle. Je gratifie chacun d’une fellation. Puis trois me baisent puis d’autres m’enculent à tour de rôle. Puis de nouveaux hommes m’enculent. On bouchonne l’accès de ma chatte, remplie de spermes.
D’autres hommes m’enculent à tour de rôle. Mais je connais l’orgasme anal.
On libère ma chatte. Debout, je me soulage du sperme au-dessus d’une bassine entre mes jambes écartées. Mes mamelons et mon clitoris sont tendus à l’extrême, mais je ne ressens pas la douleur.
Menottée, je suis à nouveau baisée, enculée par cinq autres hommes.
Je suis à moitié évanouie par mes nombreux orgasmes.
On me promène sur le chevalet, du salon, vers une allée menant à un donjon, dans une tour.
Là, je fais la connaissance du Marquis du Baiser des Sévices du Désir, un bel Apollon musclé, nu, cagoulé, avec un mandrin impressionnant, long de vingt-deux centimètres et six de diamètre, en érection.
- Voici, la nouvelle Jouisseuse Anale, qui va apprendre les règles du « Domaine ». tu ne peux t’échapper. Tout est surveillé, il y a des chiens qui sont en liberté, qui ont eu le privilège de te faire goûter leurs sexes. Quand tu es prête, et fardée, les paupières légèrement ombrées, la bouche très rouge, la pointe et l'aréole des seins rosies, le bord des lèvres de ta chatte rougi, du parfum longuement passé sur la fourrure des aisselles et du pubis, dans le sillon entre les cuisses, dans le sillon sous les seins, et au creux des paumes. Tu es ici au service de tes maîtres. Le jour durant, tu te prêtes. Nous fouillons tous les accès de ton corps. Tu ne peux plus te dérober, les lèvres de la bouche entrouverte, cuisses écartées, tu nous ouvres ta bouche, ta chatte et ton œillet. Tu écartes ta jupe pour te donner. Tu n’es fouettée qu'entre le coucher et le lever du soleil. Mais outre celui qui t’es donné par qui le désire, tu es punie du fouet le soir pour manquement à la règle dans la journée : c'est-à-dire pour avoir manqué de complaisance, ou levé les yeux sur celui qui te parle ou te prend : tu ne dois jamais regarder un de nous au visage. Nos sexes sont à découvert, pour que tu fixes uniquement ton regard, pour sucer. La journée, tu ouvres tes vêtements, pour te prendre. En outre, à la nuit, tu nous suces, cuisses écartées, les mains liées au dos, et nue ; tu es fouettée, les yeux bandés ou saillie selon les envies. Tu es fouettée tous les jours. Tu es contrainte. Laisse-moi t’enculer.
Je prends du plaisir, en retardant mon orgasme anal. Le Marquis connaît son affaire. Il me remet mes pinces à seins, pour me frustrer.
Puis il me libère du chevalet. Il me veut encore : je me retrouve en appui arrière sur mes bras, cuisses écartées, il enfile une gaine sur son mandrin encore en érection. Cet extenseur rallonge son mandrin de quatre centimètres de longueur son mandrin et il est élargi d’un centimètre. L’extenseur comporte des nodules et des picots souples qui stimulent mon anus, dès qu’il m’encule. Je gémis l’anus arraché par les picots. Il m’encule longuement, en me tenant la taille.
Je dois garder la pose pour qu’un dogue allemand m’encule, l’anus béant. Je frotte mes seins, mes mamelons et mon clitoris tendus contre son ventre, attachée à lui. Il éjacule en moi.
Le Marquis retire son extenseur et éjacule dans ma bouche.
Il me met un bijou d’anus avec une forme conique long de dix-huit centimètres et sept de diamètre. J’aime avoir l’anus bien rempli.
Le Marquis me prend aux épaules et aux jarrets, m’emporte.
Il me conduit à ma cellule, au troisième étage. Mon anus est alourdi par le sperme.
Quand j’émerge, on me saisit les deux mains. On fait glisser l'un dans l'autre les deux anneaux de mes bracelets, ce qui me joint étroitement les poignets, et ces deux anneaux dans l'anneau du collier. Je me trouve donc les mains jointes à la hauteur du cou.
Nue, les mains jointes à mon cou, cuisses écartées, allongée sur le dos, sur un matelas, je découvre que la cellule possède une petite ouverture et un éclairage constant. Il y a une salle de bains avec une petite baignoire, avec un crochet pour m’enchaîner.
Un valet entre et me baigne à l’eau froide, accroupie, cuisses écartées, les bras tendus en l’air. Je me retiens de jouir sous l’éponge.
Une fois propre, le valet m’insère une canule pour mon lavement anal à l’eau froide.
Il m’encule sauvagement, les mains jointes à mon cou. Je me retiens de jouir. Il m’inonde largement l’anus.
Il me remet le bijou d‘anus en place.
Au coucher du soleil, je mange seule, agenouillée, cuisses écartées, dans ma cellule, avec mes doigts.
Les sodomies, se succèdent, ainsi que les coups de cravache, de garcette et de martinet sur mes seins, aux mamelons pincés. La garcette, de cordes assez fines, faite de sept lanières terminées chacune par plusieurs nœuds, et qui sont toutes raides trempées dans l'eau, car on m’en caresse l’intérieur des cuisses et le ventre. Je dors très peu. Prosternée, cuisses écartées, pour me faire saillir par mes amants canins, je ne compte plus mes orgasmes.
Les valets m’enculent et me fouettent les yeux bandés, pour que je ne sois pas tentée.

Le lendemain à l’aube, je suis levée, à moitié endormie, avec mon bijou d’anus, mains jointes à mon cou, nue, pieds nus. on me retire les pinces à seins. Une longue chaîne est attachée à l’anneau du collier. Je le suis, debout. Je marche sur les pierres. Je ne compte plus les marches.
Lors d’une pause, nous franchissons une porte que se referme derrière moi.
Le valet me retire la chaîne, je dois rester seule, immobile, les yeux baissés.
- Alors, Jouisseuse Anale, tu as pris ton pied cette nuit. Tu mouilles sous le fouet, tu jouis avec les chiens. Tu te montres perverse et vicieuse, j’aime ça chez toi. Viens avec moi.
Le Marquis me fait sortir de la tour, pour me mener au balcon. Les mains liées dans le dos, il m’enduit les mamelons et le clitoris, comme après mon bain. Le vent frais remonte sur mon corps. Je me retiens de gémir.
- Tu n’es pas encore docile. Tu aimes le sexe sous toutes ses formes.
Après une demi-heure de caresses de me seins, les mamelons pincés et étirés par de lourds poids, la chatte et le clitoris tendu masturbés, je ne sais si je dois jouir ou gémir.
Il me ramène chez Eros, pour continuer mon dressage. J’y passe la demi-journée, nourrie, menottée par Natacha.
Après quelques minutes, je sens tout d'un coup mon anus se relâcher, et sa main pénètre en moi assez rapidement jusqu'au poignet. Je me sens complètement remplie. Je sens ses doigts bouger dans mon anus. Sentant que je suis au bord de l'explosion, Natacha insère deux doigts de son autre mains dans ma chatte, et fait simplement pression sur mon point G. J'ai alors un orgasme comme je n'en ai jamais eu ! J'explose littéralement de mouille, que Natacha lèche à la sortie de ma chatte ! Natacha se retire de moi, mais je met quelques minutes à me calmer, avec Sophie dans mes bras, jouant avec sa main qui il y a quelques instants était au plus profond de moi.
- Tu es une vraie jouisseuse anale. Même la main jusqu’à mon poignet te met en transe, ma chérie.
- Oh oui, j’aime ça, c’est presque aussi gros qu’une queue.
La raquette en bois qu’Eros a choisi ce soir est particulièrement solide et efficace. Il me frappe à toute volée. Je suis obligée de me mordre les lèvres pour ne pas hurler. Je sens ma mouille qui coule de plus en plus, tomber entre mes cuisses écartées. Je pleure, ma chatte se transforme en fontaine, je suis mouillée, humide. Mes fesses sont brûlantes, Eros me caresse avec sa main. Mes fesses doivent être marquées, ses caresses ne me soulagent pas, bien au contraire.
- Tu es bien endurante. Tu as envie de te soulager, après le plaisir de Natacha. Viens avec moi, dans le jardin.
Pantelante, les mains jointes à mon cou, nue et en mules, je rejoins le jardin au rez-de-chaussée, non loin d’une piscine.
Eros me fait accroupir, cuisses écartées. Je lâche un long jet de pisse et vide mes intestins. Un des dogues allemands me lèche la chatte, pendant mes besoins. Je me retiens de jouir.
Penchée en avant, après mon lavement, Eros me fouille l’anus avec trois doigts gainés de picots. Il commence l’insertion avec deux doigts puis continu avec des mouvements de va-et-vient à me dilater. Peu de temps s’écoule avant qu’il ne me mette un troisième doigt. Je suis enfin bien ouverte, l’anus dilaté, je mouille comme une folle, je gigote les fesses pour montrer à Eros que je prends du plaisir.
Le pouce d’Eros étant maintenant dans mon anus, je suis détendue, ainsi que mon anus. Eros me caresse en même temps le clitoris tendu à l’extrême.
Il retire ses doigts et enfonce son mandrin, m’écarte bien les fesses. Je sens qu’il remplit mon anus de sa pisse chaude. Une première pour moi, je n’ai jamais connu cette pratique. Un orgasme surprise arrive, je ne peux m’empêcher de faire ressortir une petite quantité de pisse à l’extérieur coulant sur le sol. Je dois garder l’urine dans mon anus avec mon bijou d’anus assez gros.
Humiliée, je suis fouettée jusqu’au repas de midi, où je peux me soulager.
Fardée, parfumée, je porte ma nouvelle tenue : sur un corset très baleiné, et rigoureusement serré à la taille, long et rigide, comporte des goussets où reposent les seins. A mesure qu'on serre, les seins remontent, s'appuient par-dessous sur le gousset, et offraient davantage leur pointe. En même temps, la taille s'étrangle, ce qui fait saillir le ventre et cambrer profondément les fesses. L'étrange est que cette armature est très confortable, et jusqu'à un certain point reposante. La robe à large jupe dont le corsage laisse les seins entièrement nus, remontés, par le corset, la jupe est largement fendue devant jusque au-dessus du pubis et derrière juste au-dessus de la naissance des fesses. En quelques jours mes zones sont devenues plus sensibles, me paraissent en même temps devenues plus belles, et comme anoblies : ma bouche refermée sur des mandrins anonymes, les pointes de ses seins que des mains constamment froissent, et baisée et enculée à tout va. Qu'à être prostituée je gagne en dignité.
Au réfectoire, assise cul nu, je bois un grand verre avec un mélange incolore, contenant un stimulant sexuel et un micro émetteur. Je ressens une étrange sensation, une vague irradie mes mamelons qui se tendent de façon continue tout comme mon clitoris. J’ai un peu mal, mais mon anus et ma chatte réclament une queue, de n’importe quel sexe. Ma mouille est abondante.
Les valets prennent un malin à me remplir l’anus de leur sperme ou de leurs pisses. Des fois, certains me font sucer leurs mandrins pour que je sois nourrie de leur sperme ou de leurs pisses. Ces jeux me pervertissent. Même, je me retrouve les fesses recouvertes de pisses, après avoir été fouettée.

Après une semaine de dressage intense, je me réveille, nue, libre, dans le lit du Marquis à mes côtés.
Le sperme dégoulinant de ma bouche, ma chatte et mon anus trahit une nuit agitée, mes fesses et mes cuisses marquées par la cravache, la raquette en bois, la garcette et le martinet, montrent combien que je suis soumise.
Le Marquis me baigne en personne, avant un long petit déjeuner, que je prends agenouillée, cuisses écartées, les yeux baissés, devant lui, avec mes pinces à seins et mon clitoris pincé. Nul besoin de continuer le traitement, mes mamelons et mon clitoris sont constamment tendus vingt-quatre heures sur vingt-quatre.
Le Marquis me destine vers d’autres amants : les transsexuels.
Dans une annexe, je suis livrée aux désirs de Sam, une brune aux petits seins, au long mandrin et Val, une blonde aux seins plantureux, au gros mandrin. Tous les deux me fessent, m’enculent, je les suce, nourrie de sperme et de leurs pisses. Enculée en solo, ou prise en double pénétration, avec mes pinces à seins, je suis la plus vicieuse des soumises, qu’ils ont connu.
Je dors en leur compagnie, prête à subir leurs envies nocturnes.
Au bout de la seconde semaine, je ne sais plus combien d’amants m’ont prise, soumise à leurs désirs. Seuls ma chatte trempée, mon clitoris tendu et mon anus assoupli trahissent ma soumission totale. Je porte les marques maintenant presque effacées de la cravache, de la garcette sur le devant de mes cuisses et mes fesses.
Je porte ma bague à l’annulaire gauche : une bague sertie d’un petit anneau. Le Marquis me retire mes carcans, je suis devenue entre ses mains, la soumise vicieuse, perverse et docile. Il sait que j’ouvre désormais mon anus sur commande, prête à me faire enculer par le premier venu, homme ou chien. Il m’avoue :
- Shawn, saches que tu es la bienvenue. Dans le centre du pays, il y a un château qui t’attend, si tu es en manque de sensations. J’ai viré de l’argent sur ton compte, pour les abattages subis.
Nathan me ramène. J’ai remis mon chemisier blanc sur mes seins nus, une jupe fuchsia dont les pans s’écartent par-derrière sur mes fesses nues, pour les dévoiler entièrement, prête pour me faire enculer. J’ai gardé mes mules à hauts talons à mes pieds nus. Fardée, parfumée, je suis prête pour de nouvelles aventures.
Arrivée à l’hôtel, vers quatorze heures, je rejoins une chambre, simplement vêtue d’une nuisette blanche au décolleté transparent en dentelle sur mes seins nus, avec une jupe courte dévoilant mes fesses nues et mes mules. Là, je rencontre un bel Apollon du double de mon âge. Nous parlons de son séjour. Il ne cesse avec son accent anglais, de regarder mes genoux, mes cuisses écartées, je suis assise dans le fauteuil devant lui, mes mains et mes lèvres mais si tranquillement, et avec une attention si précise et si sûre je me sens pesée et jaugée et il voit à l'annulaire gauche la bague.
A la fin de l’entretien, il me tend la main droite, dans laquelle je pose la sienne, et m’adressant enfin directement la parole, il remarque que mes mains sont faites pour porter des fers, tant le fer me va bien.
Après le départ de l’équipe, je me déshabille, offrant entre mes fesses, mon gros bijou d‘anus sculpté sur le sexe d’un dogue allemand.
Il me retire en me susurrant :
- Shawn, ou dois-je dire Jouisseuse Anale, tu es splendide. Rends-moi les hommages.
Dans un 69, moi sous lui, le suçant, les fesses écartées, offrant mon anus à sa langue jusqu’à mon clitoris tendu. Je jouis, bâillonnée, par le mandrin de Sir Hercules, long de vingt-deux centimètres et six de diamètre, caressant ses testicules. Je sais que je lui plais. Mon anus s’ouvre pour recevoir jusqu’à trois doigts. Je mouille de plaisir.
- Quel plaisir, cet écrin tout humide, ton œillet s’ouvre avec facilité, forcé, assoupli, me dit Sir Hercules.
Une fois prête, il m’encule d’une seule traite jusqu’aux testicules. Il me fesse magistralement. Je m’empale en retour.
- Bien ouverte, tu as du en recevoir des sexes. Tu es facile, tu as envie de tous les hommes qui te désirent. Ne dis pas un mot, jouis sur ma queue, soumise.
Sans débander, je me redresse, pour toucher son buste musclé et velu, son pubis velu frotte contre mes fesses brûlantes par les fessées. Il me masse la chatte :
- Tu mouilles, ma belle. Viens sur ma queue. Tu aimes serrer et détendre ton puits de soumise, quand tu prends ton plaisir. Tu vas me faire éjaculer. Tes seins sont chauds, tes mamelons sont durcis. Laisse-moi les étirer.
Mes mamelons sont pincés simultanément, décuplant mon jet de mouille de ma chatte et de mon anus, mêlé à son abondante éjaculation.
Je me retire délicatement et je le suce dans un 69 torride, je suis au-dessus de lui. Il se délecte de ma chatte trempée.
Nous prenons une douche et Sir Hercules m’invite dans son Falcon privé pour me rendre au centre du pays.
Sir Hercules me pare d’une petite robe d’été fuchsia ne dissimulant rien de mon corps, le décolleté pigeonnant, mes mamelons qui pointent dessous, couvrant à peine mes fesses et je garde mes mules. J’ai remis mon bijou d’anus.
Une limousine nous dépose à l’aérodrome privé.
Après trois heures de vol, violée par les stewards, nous atterrissons sur un aérodrome privé. Le Falcon 900 est rejoint par une limousine. J’y monte, vêtue de ma robe du « Domaine 6999 », en mules, comme stipulé par Sir Hercules. Je suis seule à bord, assise cul nu, cuisses écartées, sous le regard du beau chauffeur, Nathan. Je porte mes carcans en cuir à mon cou, mes poignets et mes chevilles.
Nous traversons la forêt vers un lac isolé.
Nous franchissons une première clôture gardée par des civils armés. Je décline mon identité.
Deux cent mètres après, la limousine franchit une porte cochère au portail ouvert, gardé par des hommes armés à cheval. Je suis toute excitée en voyant le sexe des chevaux. De superbes étalons avec de superbes cavaliers, cela m’excite.
Enfin, après un ultime contrôle, dans un sas, où je dois descendre, pour être fouillée. On inspecte même ma chatte et mon anus. Je suis escortée par deux maîtres-chiens dans un chemin en gravier vers un pavillon.
On me bande les yeux. Mes mains sont jointes à mon cou, une chaîne est reliée à mon collier. Je suis les hommes. Des portes s’ouvrent sans bruit et se referment.
Je me retrouve seule dans une petite pièce, entourée de nombreux miroirs et glaces.
On me retire mon bandeau. Je découvre devant la petite pièce, une grande pièce entourée de miroirs sur les murs et au plafond. Je découvre, une jeune femme blonde aux seins plantureux, nue, pieds nus, sans chaussures, avec une cagoule laissant apparaître son nez et sa bouche, libres. Je garde les yeux baissés et la bouche entrouverte.
- Voici, Jouisseuse Anale, bienvenue au Salon des Sévices, j’oublie. Appelle-moi Baron Dresseur. Je suis l’ami du Marquis et de Sir Hercules. Tu connais O la Mystérieuse, elle t’a accompagnée au « Domaine 6999 ». Maintenant, sa chatte est percée de lourds anneaux dorés pour sa chasteté, son gros clitoris est percé d’un gros anneau avec une pierre précieuse pour l’étirer et tu remarques aussi que O porte marqué au fer rouge sur son pubis totalement épilé, tout comme sa chatte, un V pour vicieuse. O ne voit la lumière qu’à la tombée de la nuit. Faites entrer les autres invités.
La porte s’ouvre et je découvre un mystérieux couple, une superbe femme brune, coiffée à la garçonne, aux petits seins, aux mamelons tendus percés de lourds anneaux, un superbe collier de chien, qui garde sa tête immobilisée et droite, sa bouche est gardée ouverte par un bâillon O, un corset est étroitement serré, sa chatte et son pubis totalement lisses, sont couverts de spermes frais. Entre ses cuisses, se balancent deux longues chaînes avec un anneau perçant chacune de ses grandes lèvres de sa chatte, relié à une lourde clochette qui tinte à chacun de ses pas. La brune est chaussée de mules à plate-formes. L’homme qui l’accompagne est nu, le mandrin en érection, enserré des anneaux péniens alourdis par des poids sur une partie du mandrin, ses testicules sont séparés, étirés et gonflés. Ses testicules sont bien étirés en les séparant comme deux clémentines bien fermes : chaque testicule devient bien gonflé et beaucoup plus sensible. Il porte aussi un splendide parachute à testicules. Le parachute se fixe à la base des testicules en formant un cône en cuir qui emprisonne les testicules, des poids sont fixés à l’anneau placé sous les trois chaînettes. Ses testicules sont bien étirés et gonflés. C’est la première fois que je vois un homme avec un tel dispositif. Il porte aussi une grosse boule anale reliée aux anneaux péniens par une tige en fer. L’homme est tatoué aux testicules à l’encre noire de son prénom de soumis. Il porte aussi un bâillon O, un fourreau bras et épaules pour l’immobiliser. Ses seins ont poussé. Tous les deux ont les yeux baissés.
- Jouisseuse Anale, voici les soumis du Salon : Anale Désir, la reine des saillies anales par quinze doberman en tournante, ce qui est un record, abandonnée par le Marquis pour mauvaise conduite, ferrée et marquée au fer rouge par Eros. Quant à Rose la Transsexuelle, elle a trahi son amant, Sir Hercules, car elle a violé peu après sa transformation, deux soumises lesbiennes. Sir Hercules l’a fait corriger au Haras du Vices. Regarde, Jouisseuse Anale, la longueur de cette queue que tu désires. Vingt-trois centimètres, que tu ne peux que sucer avec Anale Désir. Il a été castré et ne peux éjaculer. Au travail, mes beautés, sans les mains.
Accroupie, la jupe ouverte sur mes fesses, je m’exécute. Je lèche le gland circoncis, tandis qu’Anale Doberman, lèche les testicules. Rose se contorsionne, enchaîné par l’anneau de son fourreau.
Après avoir sollicité le gland, j’embrasse Rose sur la bouche, dans un long baiser, suggéré par Baron Dresseur. La bouche ouverte d’Anale Doberman embouche le gland.
Le Baron me doigte l’anus libre jusqu’à quatre doigts tandis que je continue à embrasser Rose.
Le Baron m’invite à frotter mes seins aux mamelons tendus contre les seins de Rose. Je suis excitée, fouillée analement, seins contre seins, bouche contre bouche.
- Tu mouilles ma belle.
Sans attendre, le Baron m’encule et j’embouche le mandrin de Rose. Il entre et sort pour me faire jouir. Fesses nues, il me cravache pour m’encourager.
Cela dure une éternité. Anale Doberman s’éclipse. J’entends ses mules claquer dans l’escalier en marbre.
Pantelante, je me retire, les fesses zébrées et brûlantes, les yeux baissés.
- Tu es docile, Jouisseuse Anale. Va rejoindre Anale Désir, avec le valet Valentin.
Je monte à mon tour, l’imposant escalier de marbre qui mène aux cellules. Je monte jusqu’au troisième étage, en prenant de garder ouverte l’arrière de ma jupe, sur mes fesses nues zébrées, sans mon bijou d‘anus.
Baron Dresseur m’informe pendant que je monte les marches :
- Jouisseuse Anale, Rose sera punie pour mauvaise conduite envers toi. Nous lui poserons de nouveaux poids et le fouetterons jusqu’à l’aveu de sa faute.
Au troisième étage, je découvre que les cellules possède un lit ordinaire, une salle de bain, et une penderie. Les portes des chambres ne ferment pas à clé, et les valets et les Maîtres peuvent y entrer n'importe quand dans la nuit, que les filles passent enchaînées.
Le valet m’aide à me déshabiller. Le soleil est couché. Le valet inspecte mon corps, fouille ma bouche, pelote mes seins, étirant mes mamelons tendus, écarte mes fesses pour me doigter l’anus, ma chatte et mon clitoris ne sont pas épargnés par ses caresses sensuelles et jouissives. Je me retiens de jouir sous ses doigts, les yeux baissés, la bouche entrouverte.
Déchaussée, je rejoins la salle de bains. Valentin me menotte au crochet au-dessus du bac de la douche, les bras tendus en l’air, sur la pointe des pieds, cuisses écartées, devant un grand miroir, reflétant mon corps exposé. Malgré l’inconfort, je sens aussi un doigt savonné de Valentin m’enculer et investiguer mon anus pour le laver soigneusement et il m’enfonce une canule, moulée sur un gode réaliste, montée à l'extrémité du flexible de la douche, par laquelle je suis aspergée d'eau tiède. Cela m’excite, mais je me retiens de jouir. Je sais que je serais propre. Pendant toute la durée du lavement, Valentin me frotte le dos et les fesses, les seins, la chatte, décalotte mon clitoris tendu pour le nettoyer. Je garde la tête baissée, les yeux baissés. Valentin sait m’exciter. Après un premier lavement, il recommence jusqu’à ce que j’expulse une eau propre. Il me rince les pieds.
Une fois propre, le collier et les bracelets de cuir sont durcis par l’eau, me serrent davantage. Valentin me détache, joint mes poignets à mon cou et m’encule sauvagement devant le miroir, penchée en avant, les fesses écartées, sur la pointe des pieds.
- Tu es bien chaude, après la douche. Tu aimes te faire défoncer le puits, la Maîtresse.
Je n’ose répondre. Je retarde mon orgasme, pendant qu’il éjacule en moi. J’ai mon orgasme anal discret, quand il me remet le bijou d‘anus.
Je me rechausse et je découvre ma chambre que je partage avec Anale Désir qui est menottée, prosternée sur le lit, cuisses écartées. La bouche remplie par un imposant sexe. Ses seins penchés en avant, une chaîne relie chacun de ses mamelons percés aux anneaux de sa chatte.
- Tu vois, Anale Désir, attend ses mâles jusqu’à l’aube. Toi aussi, tu auras ton harem. Mais avant, au troisième étage, se trouve la salle des sévices et des plaisirs.
J’y découvre une grande pièce, tous les murs, le plafond, l'envers de la porte, et jusqu'au sol, molletonnés de satin. Deux barres verticales en bois blond, espacées d'un bon mètre, sont été plantées au milieu, sur toute la hauteur de la pièce. Elles sont régulièrement percées pour permettre d'ajuster, au moyen de goupilles, la position de quatre anneaux d'acier qui y sont suspendus, deux en l'air et deux au sol. Deux autres barres verticales font face. On peut fouetter deux soumises en même temps. Des miroirs et des glaces couvrent les murs et les plafonds. Une grande fenêtre donne sur le parc. Pieds nus, je marche sur le sol moelleux. La pièce est capitonnée, comme la porte. Sur un mur, cloutés, plusieurs cravaches différentes, deux un peu épaisses, deux fines au contraire, un fouet de flagellant à longues lanières de cuir, chacune repliée et formant boucle à son extrémité, un autre de cordelettes à nœuds, un fouet de chien fait d'une seule et dure lanière de cuir dont le manche est tressé, enfin des carcans. Aux extrémités des manches des fouets et des cravaches, il y a des anneaux que l'on peut accrocher aux crochets des clous X, ce qui permet d'enlever et de reposer chaque fouet facilement ; avec les bracelets.
Je suis subjuguée par le panneau. Mes fesses n’attendent que cela.
Déchaussée, Valentin m'attache en croix, jambes écartées et bras en l'air, faisant glisser mes poignets et mes chevilles dans les anneaux qui se ferment comme des menottes. Je suis sur la pointe des pieds.
Valentin me masturbe frénétiquement la chatte et le clitoris tendu à l’extrême.
Une heure plus tard, effondrée entre les deux barres, seulement retenu par les bras, j’ai les seins, le ventre, et les cuisses zébrés de fraîches traces de cravache, devant Baron Dresseur.
- Je t’aime ainsi, Jouisseuse Anale, pantelante, le corps zébré, la chatte et l’anus trempés par le désir. Tu me plais.
Il m’embrasse langoureusement sur la bouche.
Il me détache, je me rechausse et j’assiste, empalée, enculée sur le mandrin du Baron Dresseur. Son bassin ondule pour montrer son désir anal à ses amants. Tous restent longuement attachés à elle.
Je retarde mon orgasme, mes mains jointes à mon cou.
Le Baron Dresseur se retire et éjacule longuement sur mes fesses, m’abandonnant voyeuse. Je voudrais me caresser, pour jouir à mon tour.
A mon tour, je suis enchaînée à mon lit, l’anus enduit d’huile d’olive. Prosternée, cuisses écartées, je suis enculée d’une seule traite. Mes orgasmes se succèdent. Après trois bergers allemands, pour me préparer, dix hommes se relaient. Je le suce en échange. J’aime leurs spermes.
Malgré la fatigue, l’anus béant et dégoulinant, je suis fière.
Le quatorzième hommes  m’achève. Je suis en sueur.
Valentin caresse mes fesses.
Il me fait boire, me fait un lavement, avec une canule suspendue au-dessus de mes fesses.
Les sodomies reprennent jusqu’à une partie de la nuit.
Enchaînée, allongée sur le dos, les mains jointes à mon cou, je m’offre cuisses relevées, à la cravache, à la garcette et à la chicotte. C'est un engin fait en deux parties, d'une part un manche en bois verni et de l'autre une tresse en cuir noir, reliés ensemble par une boucle qui forme charnière, de telle sorte que, quand on l'utilisait avec habilité, le coup de poignet sur le manche donne encore plus de vitesse à la tresse en cuir. Sous la chicotte, je gémis plus. Mes fesses et l’arrière de mes cuisses sont zébrées et brûlantes. Pour m’achever, le valet qui me fouette, m’encule dans la même position. Il me bloque les cuisses, en traction contrôlée. La sodomie est jouissive par leurs gros mandrins. Je retarde mes orgasmes pour être bien inondée.
Je garde la position jusqu’à l’aube, pour me faire saillir. Les chiens me lèchent le visage en m’enculant. Mon anus est plus facile d’accès.
A l’aube, les jambes ankylosées, on me détache, pour que je marche, pieds nus, les mains jointes à mon cou, avec mon bijou d’anus en place pour garder le sperme. Je rejoins le rez-de-chaussée. Le vent frais cingle mes seins et mon clitoris.
- Pour une nouvelle, tu as sacrément pris ton pied, enculée. Admire, tes futurs amants auxquels te destinent le Baron.
Je découvre trois superbes hommes cagoulés, torse nus, portant un fouet à la ceinture, bottés, leurs mandrins nus et libres, en érection.
On me retire le bijou d’anus.
L’un d’eux m’encule.
- Comment s’appelle cette jeune beauté aux plaisirs équins ? demande l’un des hommes, en faisant passer les lanières de son fouet entre mes cuisses humides et dégoulinant de sperme équin.
- C’est Jouisseuse Anale, une des protégées du Marquis du Baiser des Sévices du Désir, une experte.
- C’est vrai, qu’elle donne envie de se faire enculer par des hommes, dit le second, en me relevant le menton. Je garde les yeux baissés. Tu me la réserves. Elle jouira avec moi.
Nous retournons à la chambre. Je dors très mal, envahie de sodomies. Je ne peux refermer mes cuisses par la barre d’écartement. Ma mouille se mêle au sperme équin.

Pendant la semaine qui suit au Salon des Sévices, je connais mes premières saillies anales équines. J’ai un peu mal la première fois malgré que je m’ouvre bien. En quelques jours, de sodomies d’abord deux à trois puis jusqu’à six par jour, je suis prise d’orgasmes anaux incontrôlés, enculée par mes amants, que je suce avec amour, pour les nettoyer. Le Baron Dresseur me filme et me photographie pour que Sir Hercules et le Marquis puissent voir mes progrès.
J’en oublie carrément que je suis présentatrice. Mais le réalisateur utilise ma doublure photo.
Le réalisateur paye mon instruction et a droit à quelques-uns de mes photos de ma soumission.
Certains jours, je peux rester soit à l’écurie près du lac, soit au chenil à la première clôture ou au sas. Les valets ne m’enculent qu’après m’avoir longuement fouettée.
Je suis fière des marques de fouet sur mes seins, mes fesses, mes cuisses, mon dos et mes reins.
Selon les vœux de Baron Dresseur, un matin, enchaînée à mon lit, je suis intégralement rasée, offrant mon anus, ma chatte trempée et mon anus béant, totalement lisses comme une jeune fille.
Je porte un bâillon-pénis, prosternée, cuisses écartées, après mon épilation à la cire chaude, pour être marquée sur mon épaule gauche d’un V au fer rouge et d’un V sur mon pubis. Ceux sont les marques officielles des soumises du « Domaine 6999 ». Mon gros clitoris tendu à l’extrême de façon constante fait l’objet d’une attention particulière. On le perce pour me poser un anneau doré pour le mettre en valeur, avec une pierre précieuse. Quand on me libère, mon clitoris est immédiatement tiré vers le bas. Une masturbation de mon clitoris par le Baron Dresseur me fait jouir en silence.
- Très bien, ton clitoris percé augmente ton excitation. Tu portes désormais tes marques au fer rouge sur ton corps, pour te faire reconnaître. Il manque encore tes fers à ta chatte. Ce sera pour plus tard. Tu vas quitter le Salon des Sévices, tu as le niveau requis. Regarde ton nouveau corps, ta taille est affinée par le port du corset, tes seins sont plus désirables par tes mamelons tendus, ton gros clitoris est mis en valeur par l’anneau et désormais ton épaule gauche et ton pubis totalement lisse portent les marques de ta soumission totale, consensuelle. Tu les montres en dénudant ton épaule ou en soulevant ta jupe, pour exhiber ton pubis marqué et ton clitoris percé. J’ai prévu un rendez-vous à trois heures de vol du Salon des Sévices. Nous prenons un hélicoptère pour embarquer quelques invités du rendez-vous. Va te préparer. Anale Désir va te farder et te parfumer. Tu vas garder tes carcans pour le vol.
Le Baron fixe ensemble, derrière mon dos, les deux anneaux de mes bracelets, me mettent sur les épaules, attachée à mon collier, une longue cape rouge qui la couvre tout entière, mais s'ouvre quand je marche puisque je ne peux la retenir, ayant les mains attachées derrière le dos. Je garde mes mules à mes pieds nus.
Un EH-101 VIP, immatriculé aux Bermudes, nous attend, dehors dans le parc près du pavillon. Je m’assois cul nu, la cape retirée, cuisses écartées. Je porte un bâillon-pénis en bouche, une cagoule qui limite ma vision et je suis empalée, enculée sur un gode équin me rappelant mes saillies.
Nous faisons une pause après une heure de vol, sur le toit d’un luxueux complexe. Le « Domaine des Vicieuses ». Là, un couple élégamment vêtu me font face, me dévisage. Les yeux baissés sous la cagoule, j’aperçois le superbe mandrin bandant et le sexe totalement de son épouse, qui porte aussi des anneaux aux lèvres de sa chatte. Les prénoms du couple sont Duc de Mille Plaisirs et Marquise Bijou de Vices.
Lors d’une nouvelle après trois quart d’heure, cette fois nous posons sur le pont d’un yacht sur un fleuve, nous embarquons une superbe beauté au bustier seins nus, dévoilant ses mamelons percés de lourds anneaux dorés, sa jupe relevée dévoile son pubis marquée au fer rouge d’un S et d’un D entrelacés. La femme se prénomme la Comtesse Orchidée de Braise.
Enfin, à un quart d’heure de l’arrivée, nous posons sur l’hélisurface d’un complexe. Un bel Apollon vient me lécher la chatte. Je me laisse faire. Cela plait au Comte Sade Mille Désirs.
Le lieu du rendez-vous est isolé du monde, dans les bois. La zone est entourée de trois clôtures pour sa sécurité.
On m’aide à descendre. Le Baron me remet ma cape. Je mouille de désir.
Tenue en laisse par mon collier, je suis le Comte Sade. Nous traversons un couloir où nous sommes fouillés.
Je découvre un complexe souterrain, éclairé par des fentes dans le toit, laissant entrer la lumière extérieure. Il y a de nombreux miroirs et glaces, dans de grandes pièces. J’y découvre d’autres soumises, menottées, suspendues, violées par des geôliers, clients ou autres. Je n’ai pas le temps de regarder.
Je descends un grand escalier en marbre. Quelques femmes très décolletées et des hommes en spencer se figent à mon passage. Je semble plaire. Certains me caressent entre les cuisses, dénichant mon gros clitoris, ou pelote mes seins aux mamelons tendus.
« Qui est-ce, disent-ils, à qui est-elle ?
A vous si vous voulez », répond le Baron.
Je rejoins un trône au centre d’une immense pièce où les couples dansent, font l’amour. Je retrouve mon vibromasseur équin, qui m’encule. Je jouis dans mon coin, sous les montées et descentes, mes mains restent menottées dans le dos, à un crochet. On fixe des chaînes aux bracelets de mes chevilles.
Je reste sur ce trône, offerte. Certains s’approchent pour voir les mouvements de mon bassin, caressent ma chatte et me font goûter ma mouille abondante. Mes orgasmes se succèdent. On me fait boire. Une coupelle sous mes cuisses me permet de me soulager. Je bois mon pipi, comme toute soumise docile. Des fois, on asperge mon pubis lisse de mon pipi. Je m’accommode de mon odeur.
Les mouvements du vibromasseur s’arrêtent. Je suis détachée, pantelante. Je ne sais quelle heure il est. Mains jointes à mon cou, sur un chevalet, au centre de la pièce, je suis sauvagement enculée et fessée, sans obtenir mon plaisir ni mon orgasme anal. Je ne compte plus mes partenaires humains, canins et transsexuels. J’avale à chaque fois.
Profitant de ma fatigue, on perce mes grandes lèvres pour les fers. Les fers qui trouent les deux grandes lèvres de ma chatte et portent en toutes lettres qu'elle était la propriété du Baron, me descendent jusqu'au tiers de la cuisse, et à chacun de mes pas bougent entre mes jambes comme un battant de cloche, le disque gravé étant plus lourd et plus long que l'anneau auquel il pend.