Je m’appelle Claire.
Je suis une jolie beauté française.
Je suis une brune aux yeux verts. Je fais 1,68 m pour des mensurations
de rêve 84C-64-89, je suis tatouée sur le haut de ma cuisse droite et au
poignet gauche, mon nombril est percé. Mes seins sont naturels et j’en suis
fière. Mon corps est mince, ma chatte est épilée, je ne garde qu’un ticket
pubien.
FANTASMES DE CLAIRE
Je vis dans un duplex, avec un penthouse, dans une
grande capitale.
Mon penthouse est un appartement haut de gamme situé
au dernier étage d’un immeuble. Il dispose en général d’une grande terrasse et
d'un jardin de toiture aménagé, avec une vue panoramique urbaine privilégiée.
Il occupe généralement un étage entier, est aménagé avec accès direct par
ascenseur privé, baies vitrées sur terrasse aménagée, jardin de toiture, jardin
d'hiver, véranda, solarium, piscine, bain tourbillon. Je dispose d’une chambre
et d’un grand salon.
Je suis une secrétaire pour une grande entreprise.
J’ai de nombreux amants.
On me dit allumeuse, dragueuse et séduisante.
Je vais vous conter mes fantasmes.
LE VOISIN
VOYEUR
Je vis au troisième étage, avec une vue imprenable
sur un luxueux immeuble. Certains de mes amants y vivent.
C’est ainsi qu’un matin, un jour de repos, après ma
grasse matinée, je sors nue de mon lit. Ma chatte est toute trempée par mes
masturbations érotiques et jouissives sur mon amant imprécis, qui vient
aujourd’hui, me prendre dans ses bras et me baiser tendrement et violemment.
Je suis une redoutable lesbienne. En fait, c’est une
amie lesbienne qui m’a déflorée lors d’une nuit au pensionnat de mon collège.
J’ai découvrir le plaisir clitoridien, puis vaginal avec elle, ses doigts, sa
bouche et sa langue.
J’aime taquiner mon clitoris qui se tend sous mes
doigts.
Je quitte ma chambre au quatrième étage avec ma
salle de bains et ma garde-robe, accessible par un escalier.
Je rejoins mon salon, ma cuisine et mon balcon au
troisième étage.
Nue, j’aime exhiber ma chatte à tous. J’aime me
caresser le clitoris et doigter ma chatte, en descendant de l’escalier. J’aime
sentir ma mouille couler sur mes doigts.
Tiens,
aujourd’hui, je ne vois qu’Alban dans son appartement du second. Il est seul.
Il aime me regarder avec son télescope et des fois, il m’envoie sur mon
ordinateur portable, les vidéos de mes séances masturbatoires ou mes ébats
amoureux. Alban est un beau jeune homme musclé.
Il n’est pas seul. Un autre homme, musclé, entre,
c’est mon masseur, Brice, un Hercule, bien bâti et grand.
J’aime les mains de Brice caresser mon corps. Je
finis souvent toute mouillée d’excitation. Souvent, avec Brice, je le suce pour
qu’il me baise.
Mais aujourd’hui, je découvre Alban qui le
déshabille et le suce. Je suis excitée et un peu jalouse, mes deux amants sont
des homosexuels. Je continue de me caresser devant ce spectacle. Je prends mon
café et mon croissant, assise, cuisses écartées sur mon tabouret.
Je fixe le gros mandrin de Brice. Alban le suce
comme je le fais, avec délicatesse.
Puis, Alban se met à quatre pattes sur le canapé et
je vois le gros mandrin de Brice l’enculer. Alban se masturbe. Je me masturbe à
la même cadence.
Vais-je les rejoindre ? Ont-ils besoin d’une
femme pour les exciter ?
Je finis mon café et mon croissant. J’enfile un
tee-shirt sur mes seins nus aux mamelons tendus et une minijupe sur mes fesses
nues et mes escarpins à mes pieds nus.
Je les rejoins. Je sonne.
Brice m’ouvre :
- Tiens, ma beauté, tu viens te joindre à nous.
Je n’ose répondre. Brice et Alban me déshabillent,
me caressent et je me retrouve accroupie, nue, pieds nus à les sucer.
- Tu suces divinement bien, ma chérie.
- Oh oui, j’aime sa langue et sa bouche, me susurre
Alban.
Leurs mandrins bien durs, j’assiste à la sodomie de
Brice par Alban.
- Ma beauté, glisse-toi sous moi, pour que je puisse
te baiser, m’annonce Brice.
Je m’allonge sur le canapé, cuisses écartées et je
sens le gros mandrin de Brice me baiser.
Mais Brice a une autre idée, derrière la tête, je ne
suis pas une adepte de la sodomie. Brice me lubrifie mon anus avec ma mouille
abondante.
Puis il enfonce son gros mandrin. Je me détends.
Centimètre par centimètre, Brice s’enfonce dans mon anus jusqu’à ce que je
sente ses testicules Lentement, Brice commence à m’enculer. Ma chatte dégouline
de mouille, mon anus se détend. Il m’encule violemment. J’ondule pour répondre
à ses invitations et je connais mon premier râle anal. Brice éjacule en moi
dans mon anus. Alban profite de la situation et me met à quatre pattes. Ainsi,
j’offre mieux mes fesses bien rebondies, au mandrin long et raide d’Alban.
Il m’encule à son tour. Mon anus lubrifié par le
sperme de Brice, je ne peux me refuser. Je sens ses testicules gonflés claquer
contre mes fesses. Il me donne quelques claques magistrales sur les fesses pour
me chauffer l’anus. Je ne suis pas contre :
- Oui, fesse-moi, je suis une jouisseuse.
Saisie à la taille, je coulisse sur son mandrin,
tandis que Brice me fait nettoyer son mandrin au goût de mon anus. Alban me
tient plus fermement les hanches à chaque va-et-vient. Je connais cette fois-ci
l’orgasme anal. Alban éjacule aussi, tandis que Brice, bandant à fond, encule à
nouveau Alban. Nous coulissons en cadence, Alban éjacule encore et j’ai un
nouvel orgasme.
Pantelante, je suce mes deux amants. Alban me glisse
dans mon anus béant, mon premier bijou d’anus. Il est en aluminium brillant
orné par un magnifique cristal rose à son sommet : c’est ce cristal rose qui
est visible entre mes fesses une fois que le bijou d’anus est introduit dans
l’anus. Il est très doux et très petit, il peut facilement être porté pendant
toute la journée en restant totalement invisible, le bijou d’anus m’excite.
Long de six centimètres, dans cinq qui m’enculent, il m’ouvre sur trois
centimètres, pour 34 grammes. La forme de sapin du bijou d’anus et sa large
base le maintiennent en place. La section qui relie les deux extrémités est
très fine et douce afin de laisser l’anus se refermer dessus sans gêne. La tige
de la taille de l’auriculaire sert de support lorsque le sphincter se referme.
- Tu peux le garder toute la journée, ma chérie, me
susurre Brice, en doigtant ma chatte resserrée.
D’accord, je ne peux refuser. Ces sodomies m’ont
ouvert vers de nouveaux désirs.
Je me rhabille et je me glisse dans mon bain
moussant. Je caresse mon corps, mon anus se moule sur le bijou d’anus. Je le
sens en glissant mes doigts dans ma chatte. Je repense à mes ébats sexuels et
j’enchaîne les orgasmes.
Je sors de mon bain, me sèche et je rejoins la
cuisine, mes amants sont en 69 à se sucer mutuellement et à lécher leurs anus.
Je viens découvrir ma bisexualité.
Le soir, je me retire le bijou d’anus et me lave
soigneusement l’anus qui déborde de sperme et je jouis en faisant aller et
venir mes doigts dans mon anus.
Nue sous mes draps, devant un film X, je me doigte
simultanément la chatte et l’anus, enchaînant les orgasmes.
TRIO TORRIDE
Quelques jours après, un samedi après-midi, je me
baigne nue dans mon jacuzzi. Je porte chaque jour mon bijou d’anus. Au fait,
Brice m’a offert discrètement à mon bureau, un nouveau modèle.
Je me lubrifie bien l’anus avec ma mouille, avant de
l’insérer dans mon anus. Il est long de huit centimètres, pour six qui
m’enculent et trois de diamètre et plus lourd, 170 grammes. Il a une
particularité, un personnage en bronze scrute mon impudeur et me caresse la
chatte de ses pieds. Je l’ai surnommé le fesseur. Je pense à lui, qui me
regarde. Mon bassin ondule sur ce bijou d’anus.
Une fois par jour, depuis ma rencontre avec Alban et
Brice, un de mes amants m’encule quelques instants au bureau.
Ce jour-là, je découvre Charles, un bel étalon brun,
svelte et mince et Diane, une belle femme blonde aux seins plantureux, du
troisième étage. Je connais Charles, c’est un bon amant qui me baise dans la
durée avant d’éjaculer. Mais Diane m’est inconnue. Elle m’exhibe son corps nu,
intégralement épilée. Tiens, elle porte des anneaux dorés à son clitoris et aux
grandes lèvres. Quelle en est la signification ? Charles, nu, lui offre
son gros mandrin à sucer. Diane le suce à merveille, c’est une rivale. Je me
masturbe en regardant ce spectacle. Ma chatte dégouline de mouille dans mon
jacuzzi.
Les yeux clos, je jouis.
On sonne. Tiens, ils ne sont plus là.
Je sors de mon jacuzzi, m’enveloppe dans un petit
kimono court sans ceinture, laissant apparaître mon corps nu et j’enturbanne
mes cheveux avec une serviette.
Je glisse mes pieds nus dans une paire de mules que
m’a offert Alban. Leurs dessus sont recouverts de plumes, avec un talon de
douze centimètres et un centimètre de plate-forme, avec un talon fin.
Je descends l’escalier et je rejoins mon salon.
On sonne. C’est Charles et Diane. Tous les deux
m’embrassent sur la bouche.
- Déshabille-toi, ma chérie, me susurre Diane.
Je me retrouve nue, les cheveux libres. Diane
m’allonge sur le canapé, m’écarte les cuisses et me lèche longuement la chatte
et le clitoris, me complimente pour fesseur. Charles me fait sucer son mandrin.
Bien dur, je me retrouve avec le couple dans ma
chambre. Ma chambre est entièrement recouverte de miroirs et de glaces,
reflétant les formes de mon corps, lors de mes masturbations.
Dans un torride 69, au-dessus de Diane, je regarde
plus près ses anneaux, que je prends dans mes doigts, Diane mouille
abondamment. Je suis au bord de l’orgasme, sous les coups de langue experte de
Diane.
Charles m’a retiré le bijou d’anus et commence à
enfoncer, un puis deux jusqu’à trois doigts.
- Tu aimes que je défonce l’œillet.
- Oui, dis-je, entre deux râles.
Soudain, il m’encule d’une seule traite, jusqu’aux
testicules. Il me donne quelques claques magistrales sur les fesses, me fait
coulisser en me tenant par les hanches.
Diane, la vicieuse, déniche un de mes godes
réalistes dans un de mes tiroirs de ma table de nuit.
Charles se retire un peu et Diane m’écarte les
lèvres trempées de ma chatte et m’enfonce le gode. Charles m’encule en cadence,
tandis que la langue de Diane se fixe sur mon clitoris.
Je manque de souffle, j’atteins l’orgasme. Je me
mets à m’empaler sur le gode et le mandrin de Charles.
- Regarde, Diane, comme cette beauté prends son
pied. Gode-la bien profondément.
- Oui, n’arrêtes pas. Je vais gicler ma mouille.
Simultanément, j’expulse un jet de mouille sur le
gode et un long jet de spermes chauds me tapissent l’anus.
A peine Charles s’est retiré, que je sens le gode
réaliste m’enculer et que les doigts de Charles me liment la chatte pour un
nouvel orgasme.
A peine remise de mon orgasme, Charles me prend dans
ses bras et me conduit au jacuzzi. Je suis assise entre Charles et Diane, qui
me caressent les seins, la chatte. Mon fesseur est remis en place, pour que je
garde au chaud le sperme de Charles.
Nous buvons à notre trio torride.
Diane me douche, me caresse sur tout le corps, me
lèche la chatte et je lui rends la pareille, jusqu’à nos orgasmes.
Charles nous rejoint et Diane se retire. Charles me
fait pencher, les mains contre le mur, cuisses écartées. Bien chaude, je ne me
peux me refuser à lui.
Il me retire le fesseur et il m’encule. Tantôt ses
mains caressent mes seins qui se balancent, je me tends totalement à ses coups,
tantôt ses mains m’écartent davantage les fesses pour une sodomie plus profonde
tantôt ses mains tiennent mes hanches. Un nouvel orgasme me terrasse. Charles
éjacule à nouveau dans mon anus.
- Tu es désirable, ma chérie. J’aime quand une femme
ouvre bien son œillet.
- Je t‘aime.
Nue, avec mon bijou d’anus, je suis séchée par Charles.
Je le nettoie.
Diane me fait une ultime fois l’amour devant
Charles, qui se masturbe.
Diane prend un gode-ceinture avec un double gode
réaliste. J’explose, submergée par un long et violent orgasme.
Ce soir-là, j’ai du mal à dormir. Avec fesseur, je le
fais aller et venir dans mon anus, pour mon plus grand plaisir.
UN MYSTERIEUX
RENDEZ-VOUS
Après mes multiples jeux sexuels à trois, je reçois
dans mon courrier personnel, un étrange mot amoureux :
Venez nue sous votre robe dos nu, fardée et
parfumée, ongles des mains et des pieds vernis en rouge et l’œillet bien
lubrifié.
Signé E
Il est joint un mot pour me farder.
Nue, après ma douche, j’enduis de mouille mon anus
et je porte fesseur. J’ombre légèrement mes paupières, vernis mes ongles des
pieds, m’épile les jambes, farde ma bouche avec un rouge clair, un peu liquide,
que j'applique au pinceau, et qui fonce en séchant. Je prends le même rouge
pour mes aréoles et mes mamelons, ce qui déclenche une excitation de ma chatte
qui est toute trempée. Puis je peins mes petites lèvres de ma chatte trempée en
rouge, en soulignant la fente du giron. Je me poudre le visage, je vernis mes
ongles des mains.
Une fois le vernis sec, je parfume mon corps, avec
un vaporisateur, qui projette le parfum en brume épaisse. Sur ma peau, la brume
fond et coule, sur mes aisselles lisses et ma fourrure pubienne, se fixe en
gouttelettes minuscules. Je me parfume trois fois, laissant à chaque fois le
parfum sécher sur moi.
Une fois, fardée et parfumée, je choisis une robe
dos nu.
Mon choix se porte sur une robe blanche, où l’on
devine mes seins aux mamelons fardés et mon pubis brun. Je glisse mes pieds nus
aux ongles vernis dans des sandales à hauts talons.
Un taxi me dépose dans un luxueux quartier
d’affaires. A l’entrée d’un club privé, un homme m’attend. Il est grand, brun,
de dos, avec de longs cheveux.
Quand il se retourne, je découvre sous sa veste de
tailleur, de superbes seins nus plantureux. Est-ce un homme ou une femme ou les
deux ?
- Bonsoir, Claire, je suis votre chevalier servant.
Je suis Emmanuelle. Mais j’ai d’autres secrets pour vous. Tu es très en beauté.
Emmanuelle glisse sa main sous ma jupe de ma robe et
caresse ma toison pubienne et mon clitoris, en me susurrant :
- Tu es bien velue sur le pubis et la chatte. J’aime
les beautés poilues. Aime-tu te faire défoncer l’oeillet ?
Je n’ose répondre.
Nous entrons par la porte sécurisée du club. Je
découvre des dizaines de couples, nus, attablés, s’embrassant, se caressant, se
suçant mutuellement, se léchant mutuellement.
- Déshabille-toi au vestiaire.
Emmanuelle me suit et je découvre dans un grand
miroir, son corps de femme parfait, et entre ses cuisses, un mandrin en
semi-érection.
- Mais, dis-je, tu as un.
- Oui, j’aime attirer les regards. Mais si je fais
l’amour avec des hommes, je fais aussi avec des femmes.
Emmanuelle m’écarte les fesses et découvre le
fesseur.
Je suis surprise, excitée et sous le charme.
Emmanuelle me prend par la main et m’offre à deux
lesbiennes, une grande blonde aux petits seins et une brune aux seins
plantureux. Ma chatte ruisselle, je crie mes râles de plaisir.
Après cet intermède lesbien, nous montons au premier
étage. Là, Emmanuelle me fait installer dans un fauteuil gynécologique, me
déchausse.
Des projecteurs m’illuminent, des caméras se mettent
en route, des flash crépitent.
Des télévisions projettent des vues de ma chatte,
dont les lèvres sont écartées par les doigts experts d’Emmanuelle.
Regarde, comment notre amie mouille, ce soir.
Il me retire le fesseur.
Belle ouverture de l’œillet, c’est une adepte de la
dilatation anale.
Sans prévenir, Emmanuelle m’encule. Je me mets à
jouir comme jamais auparavant. Il me défonce tantôt partiellement tantôt
profondément. Une langue inconnue me lèche le clitoris, des doigts inconnus
s’enfoncent dans ma chatte, des langues et des lèvres s’occupent de ma bouche
et des mains pelotent gentiment mes seins dont mes mamelons se tendent.
Je ne sais combien d’orgasmes je connais, car
d’autres mandrins m’enculent ensuite.
Je suis nourrie du sperme de mes amants.
Pantelante, je m’endors sur le fauteuil
gynécologique.
Quand j’ouvre les yeux, je suis allongée sur le dos,
les cuisses grandes ouvertes, dans un canapé. Des bracelets en cuir fixés dans
mon dos, m’empêchent de me défendre, mon corps est lui à moi-même inaccessible
; que c'est étrange de ne pouvoir toucher mes propres genoux, ni ma chatte. Mes
lèvres de ma chatte me brûlent, me sont interdites, et me brûlent peut-être
parce que je les sais ouvertes à qui veut. Je suis baisée et enculée à tout
moment, je suce les mandrins que l’on me présente. Emmanuelle me regarde.
Après une dizaine d’ébats, le pubis, les seins et la
bouche sont recouverts de spermes, Emmanuelle me rejoint, me fait boire, en
caressant mes seins.
J’ai décelé en toi, une esclave sexuelle. J’ai du te
menotter pour te donner à tes amants. Je vais te détacher et nous allons
rentrer chez toi.
Au vestiaire, Emmanuelle me lave les parties non
fardées. Je sens la sueur qui perle sur mon corps parfumé.
Il me remet le fesseur en place et rhabillée, il me
fait monter dans une décapotable et m’ordonne de relever ma jupe. Je sens le
cuir sous mes cuisses écartées.
Arrivée chez moi, il me douche, je le suce et nous
passons la nuit à des sodomies torrides, de face, de dos, à quatre pattes et
portée dans ses bras.
Je connais de multiples orgasmes.
Au petit matin, je me réveille seule. Un plateau de
petit déjeuner est posé sur le lit avec un petit mot
Quel plaisir d’avoir fouillé votre œillet, votre
corps exulte de charme, de sexe et votre bouche appelle d’autres sexes. Votre
œillet est prêt à tous les calibres. Je vous offre ce bijou d’anus et ce
collier à porter en ma présence.
Le collier est réalisé en daim et cuir, avec un
plongeant de dix-huit centimètres, qui descend jusqu’entre les seins, équipé
d'un anneau de bondage en acier brossé. Il se règle et se ferme par une boucle
en acier située sur l'arrière du cou.
Quant au bijou d‘anus, porte un serpent en ornement,
long de treize centimètres dont douze m’enculent, pour cinq de diamètre et 600
grammes. Dès sa mise en place, je sens qu’il darde de sa langue ma chatte, mon
clitoris. Je suis aux anges.
Je découvre une liasse de billets avec un petit
mot : votre pourboire de votre premier soir de soumise anale.
En me masturbant devant mon miroir, je ne cesse de
repenser à mon premier transsexuel. J’ai hâte d’en rencontrer d’autres.
DOUBLE
PLAISIR
Depuis ma rencontre avec Emmanuelle, je me suis
plongée dans la lecture d’Histoire d’O, les Milles Verges et l’Amant de Lady
Chatterley. Pour moi, la sodomie n’a plus de secret. J’utilise mes divers godes
et vibromasseurs à satisfaire mon désir anal. Je suis achetée une chaîne dorée
de taille. Je la porte constamment.
Je continue à me farder et à me parfumer.
Nue dans mon duplex, j’entends sonner. En effet,
j’ai passé une petite annonce sur un réseau de rencontres à plusieurs.
Aujourd’hui, j’ai rendez-vous avec mes premiers clients : les doubles H.
Il y a Hercule et Horace, deux superbes étalons africains.
Une fois dans mon salon, les deux hommes me
caressent sur tout le corps, m’embrassent. Ils me dépassent d’une tête. Hercule
va jusqu’à me soulever tête-bêche. Moi, je lui suce son long et gros mandrin,
que je tente d’avaler jusqu’aux testicules, enserrant et soupesant ses
testicules entre mes doigts agiles et experts. Horace me tient par la taille,
mes cuisses posées sur ses épaules. Je sens sa langue sur ma chatte trempée,
tandis que leurs doigts s’enfoncent dans mon anus dilaté par le serpent.
Après ce 69 torride, je me retrouve baisée par le
long mandrin d’Horace. Horace est allongé sur le tapis, je m’empale sur son
mandrin, agenouillée face à lui, jusqu’aux testicules. Je joue avec le gland
entre mes lèvres grandes ouvertes et m’empalant totalement. Horace me pétrit
les fesses avec ses pieds, tandis qu’Hercule m’enfonce trois doigts lubrifiés
par ma mouille dans mon anus.
- Oh oui, j’aime cette queue dans ma mangue.
- J’avoue, que tu es bien trempée, ma chérie.
- Ton œillet mouille, en attendant une queue, ma
belle, me susurre Horace.
- Oui, encule-moi. Je veux deux queues en moi.
Sans attendre, Horace m’écarte les jambes et je sens
ses mains m’écarter mes fesses brûlantes sous ses claques magistrales, puis son
long mandrin me remplir. Je jouis sous leurs va-et-vient. Horace me caresse les
seins.
Puis, je me couche sur Hercule, qui a allongé ses
jambes, facilitant la sodomie par Horace. J’embrasse Hercule. Horace entre et
sort partiellement de mon anus, me fesse.
Puis tous les deux éjaculent en moi, presque
simultanément, lors de mon troisième orgasme.
Je les nettoie. Nous prenons une douche et un
rafraîchissement. Nue, cuisses écartées, je leur raconte mes dernières
aventures.
Je me retrouve allongée entre mes deux amants.
Hercule se colle contre mon dos et m’encule, tandis qu’Horace me soulève ma
jambe et me baise. Je suis aux anges.
Sans débander, je m’assois sur Hercule, qui me tient
ouverte les cuisses, tandis qu’Horace me baise. J’ai un nouvel orgasme et une
double éjaculation.
Je les nettoie et nous masturbons mutuellement nos
sexes jusqu’à l’orgasme.
Je passe ma sieste entre leur compagnie, nue entre
tous les deux, sous leurs caresses, baisers et doigtés.
ORGIE POUR
SOUMISE
Emmanuelle m’a transformée en soumise.
Un soir, il me convie dans un lieu secret. Je me
suis fardée et parfumée et je porte son collier en cuir.
Il me retire ma robe dos nu, à jupe ample, dévoilant
mon corps nu. Je me suis rasée les poils autour de ma chatte et de mon anus.
Il me met un masque de nuit, me menotte les mains
dans le dos, après m’avoir mis des bracelets en cuir et je me déchausse de mes
sandales pour chausser des mules à plate-forme. Le talon mesure seize
centimètres avec une plate-forme de six centimètres. Je me sens confortable
dedans.
Je suis au rez-de-chaussée d’un mystérieux lieu.
Emmanuelle m’a bandé entre mon duplex et le lieu.
Il fixe à mon collier, une chaîne. C’est la première
fois que je suis conduite en laisse. Je le suis, aveugle.
Je traverse diverses pièces, puis je descends un
escalier en pierre.
La porte s’ouvre et là, je suis menottée, bras en
l’air, à une barre. Emmanuelle me fixe une barre d’écartement à mes chevilles.
Je sens des mains me caresser le corps, m’écarter
les fesses, des lèvres inconnues lèchent mes mamelons, ma chatte et mon anus et
des doigts me fouillent la chatte et l’anus. Je jouis.
Des coups de cravache sur mes fesses me rappellent à
l’ordre que je ne dois que sur ordre de mon Maître. Mes fesses me brûlent.
C’est le signal, un premier m’encule, puis je suis
prise en double pénétration debout. Je ne sais combien d’hommes sont présents.
Mais tous me prennent. Mes fesses sont couvertes de spermes chauds, de même que
mon pubis. Je suis haletante, me retenant de jouir.
Entre chaque pause, je suis à nouveau cravachée,
mais cette fois, sur les cuisses, le devant, l’arrière et l’intérieur.
Puis je sens une étrange sensation, mes mamelons
durcis sont enfermés dans des pinces qui les mordent. Je gémis un peu, car je
subis le même supplice aux lèvres de ma chatte trempée.
Lors de nouvelles sodomies, les lourdes clochettes
tintent à mes mamelons et aux lèvres de ma chatte. Je suis entre douleur et
plaisir.
J’entends des flashs, des caméras et des
commentaires sur mon comportement. Tous me complimentent sur mon comportement
de soumise.
Après deux heures, on me retire le masque et je
découvre par un jeu de miroirs et de glaces autour de la pièce, mon corps, aux
cuisses et aux fesses zébrées, mes clochettes et un écarteur anal qui donne une
vue imprenable sur mon anus dilaté, les traces blanches de sperme. Les hommes
sont nus et masqués.
Emmanuelle s’approche et me susurre :
- Tu es bien la soumise que je recherche. Tu es
gracieuse, soumise, intelligente et fière. Je vais te faire fesser.
Il fait claquer une raquette en bois, sur mes
fesses. Je dois compter les coups, puis une canne de bambou.
Il me remet mon masque et je subis une longue série
de sodomies, avec entrée et sortie des mandrins pour me soumettre.
On me retire mes clochettes à mes mamelons et je
sens une piqûre d’abord dans une des aréoles, un de mes mamelons et sur l’autre
aréole et l’autre mamelon et sur mon clitoris. Après quelques minutes, je sens
mes mamelons et mon clitoris se tendrent au maximum. On me remet les
clochettes.
A la quatrième heure, je suis détachée, seule en
compagnie d’Emmanuelle. Il me baigne dans une baignoire remplie d’eau froide.
Il me lave avec une grosse éponge.
Maintenant, tes mamelons et ton clitoris vont être
constamment tendus vingt-quatre heures sur vingt-quatre d’ici quelques piqûres.
Je t’interdis de jouir en présence d’un homme ou d’une femme. Je tiens à ce que
tu éprouves une hyper sensibilité et une excitation énorme, la frustration et
la douleur.
- Allez, va te rhabiller.
De retour chez moi, Emmanuelle me fait de nouvelles
piqûres. Cela dure à raison de quatre injections par semaine.
En un mois, mes mamelons sont transformés, gros et
longs et saillants et mon clitoris est devenu gros comme une cerise, saillant
et volumineux. Emmanuelle me fait porter régulièrement les pinces à clochettes
lors de nos rendez-vous chez moi. Il me cravache et me donne des coups de
raquette de bois.
A l’approche de l’été, Emmanuelle tient à ce ma peau
lisse et déjà douce comme un fruit, soit patinée. Je me rends souvent au
solarium, nue, pour que mon corps soit entièrement bronzé.
Les esthéticiennes sont bouleversées par mes
cicatrices sur mes fesses, mes cuisses et surtout, quand je demande une
épilation à la cire chaude autour de mon anus et des lèvres de ma chatte.
Mais certaines esthéticiennes lesbiennes vont
jusqu’à me faire l’amour, après la séance, pour goûter à ma chatte trempée et à
mon gros clitoris. J’enchaîne les orgasmes. Je ne quitte pas mon bijou d’anus
avec son serpent.
SEXE AU
PARADIS
Au mois de mai, je me rends dans une station
balnéaire sur une île.
Là, à la piscine de l’hôtel, je bronze seins nus et
en string blanc, qui cache mon bijou d’anus, les cheveux libres, les ongles des
pieds vernis, avec ma chaîne dorée de taille.
J’y retrouve mes amants de la capitale avec leurs
femmes ou maîtresses.
Lors d’une de mes longueurs de la piscine, en
sortant, en montant à l’échelle, je tombe nez à nez avec un superbe Apollon
brun, musclé, jeune, qui m’annonce :
- Alors, la belle, on se muscle le corps. J’aime tes
seins et tes épaules athlétiques et surtout tes fesses musclées. Je me prénomme
Yannis.
Yannis me prend la main et me conduit à ma chaise
longue. Il me sèche, en prenant soin de caresser longuement mes seins aux
mamelons constamment tendus, mes fesses, mes reins, mon cou, mes épaules et mon
dos.
Il glisse sa main sous mon string et me déniche mon
gros clitoris.
- Tu es parfaite, comme déesse.
Une fois sèche, j’enfile un bustier et un paréo
autour de mes hanches et chausse mes mules à hauts talons.
Nous allons à ma chambre.
Il me déshabille, je m’offre en 69, léchant son gros
mandrin, tandis qu’il doigte profondément mon anus libre.
Il m’encule longuement d’abord à quatre pattes, puis
pour me reposer, il me fait asseoir entre ses cuisses écartées. Sous mon poids,
je suis empalée jusqu’aux testicules. Il me pelote les seins et me masturbe le
clitoris. Je ne mets pas longtemps à avoir un orgasme anal.
Puis un autre homme, plus âgé, barbu, au torse velu,
bien monté, entre dans ma chambre, alerté par mes râles. C’est Nathan, un
homosexuel grec tout comme Yannis.
Mais je suis entre les mains de deux beaux
bisexuels.
Nathan prend ma main et m’invite à le masturber.
Sans débander, j’écarte mes cuisses et Nathan me
prend en double pénétration. Je sens le fer qui troue son périnée, juste sous
les testicules, augmenté d’un disque gravé, descend au niveau du bout de son
pénis au repos, et à chacun de ses pas bouge entre ses jambes comme le battant
d'une cloche, le disque étant plus lourd que l'anneau auquel il pend.
Mon plaisir est décuplé. Leurs deux gros mandrins me
remplissent.
Puis Nathan s’allonge sur le lit, je m’empale sur
lui, baisée, tandis que Yannis continue à m’enculer, en m’écartant bien les
fesses.
Ils ne tardent pas à éjaculer en moi.
Ils m’abandonnent sur le lit, pantelante.
Les yeux mi-clos, je les observe, se sucer
mutuellement. Ma chatte mouille abondamment, dégoulinant de mouille et de
sperme. Je remet mon bijou d’anus, m’essuie la chatte et les rejoint. Je les
suce à mon tour.
Tu es une vraie gourmande, ma belle.
- Elle a une chatte dévoreuse, dit Nathan.
- Son œillet est bien large, mieux qu’un homme, dit
Yannis.
Nathan m’encule ensuite, tandis que je suce Yannis.
Après de nouveaux ébats sexuels, je me douche, en
leur compagnie, livrée à leurs caresses.
Nous dormons ensemble, moi entre mes deux amants. Je
les masturbe, recevant leurs spermes dans mes mains.
A mon réveil, Nathan me fesse magistralement à
quatre pattes, ayant remarqué mes cicatrices.
- Tu es une soumise, ma belle, dit Nathan.
- Oui, j’aime être fessée, fouettée par des
inconnus. J’aime le vice, la perversion.
C’est ainsi que le soir, vêtue d’une courte robe
d’été, sur mon corps nu et chaussée de sandales, coiffée d’une queue-de-cheval,
fardée et parfumée, je fais la connaissance d’un nouvel amant, un jeune
androgyne brun, prénommé Sade.
Nathan et Yannis lui ont raconté mes exploits
sexuels.
Sade m’embrasse sur la bouche, me caresse ma chatte
nue sous ma jupe et glisse ses doigts dans mon décolleté plongeant en V sur mes
seins nus.
- J’aime les femmes au corps accessible. Es-tu une
soumise ?
- Oui, depuis peu de temps, j’ai lu Histoire d’O. Je
porte un bijou d’anus et des cicatrices de mes séances de flagellation.
- Très bien, as-tu fait l’amour avec plusieurs
hommes ?
- Oui, j’aime ça, surtout quand ils me prennent en
double pénétration.
- Un jour, tu porteras des anneaux à ta chatte et à
ton clitoris avec mes fers et ma marque sur tes fesses.
Je ne peux refuser votre proposition.
LE PLAISIR DE
LA SOUMISSION
Après le souper, où il n’a cessé de regarder mes
genoux, mes mains et enfin mes lèvres mais si tranquillement.
Nous prenons sa voiture, pour rejoindre au centre de
l’île, dans un hôtel particulier. Je suis accueillie par un superbe majordome,
un bel étalon africain, au mandrin nu en érection.
- Je te présente César, mon fidèle majordome.
Déshabille-toi dans la salle de bains du rez-de-chaussée. César va s’occuper de
toi.
J’entre dans une grande salle de bains entièrement
recouverte de miroirs et de glaces, avec un lavabo, un bidet avec une canule,
une douche, un urinoir masculin et une table roulante avec divers accessoires.
César me douche, me farde, puis je dois m’empaler
sur la canule, qui m’encule.
- C’est pour que tu sois propre, pour Sade. Il aime
enculer ses soumises bien propre. Je vais te raser le pubis et la chatte. Sade
aime les femmes au corps lisse.
César me met des bracelets en cuir à mes poignets et
me les fixe dans le dos, me met mon collier.
Menottée dans le dos, je subis mon long lavement.
Cuisses écartées, les yeux baissés, la bouche entrouverte, je me regarde, les
gestes précis du rasoir droit. Je découvre mes poils pubiens et autour de ma
chatte, tombés dans le bidet. L’homme me met de la lotion apaisante.
Je me soulage, debout au bidet, de l’eau dans mon
anus.
Une fois propre, César me parfume et je glisse mes
pieds nus dans des mules à très hauts talons sans plate-forme, à talons de
douze centimètres.
Il me tient en laisse par le collier.
Je le suis, nous quittons la salle de bains, pour un
dédale d’escalier menant au premier étage. Là, dans une grande salle
entièrement recouverte de miroirs, je suis suspendue dans le vide, bras en
l’air, les cuisses très ouvertes, des chaînes sont fixés à mes bracelets de mes
poignets et à mes chevilles. Je ne peux me dérober.
Sade entre, cagoulé et nu. Il regarde mon pubis et
ma chatte totalement lisses.
- Tu es prête maintenant.
En effet, je sens qu’il perce mes petites lèvres de
ma chatte trempée pour poser à chacune un anneau doré et perce mon gros
clitoris d’un anneau plus gros et doré.
César et Sade se relaient pour m’enculer devant une
caméra qui me filme en gros plan sur mon anus, mon visage, le mouvement de mon
bassin et enregistre mes râles de plaisir.
Ils éjaculent sur mon pubis.
Puis je suis cravachée sur les cuisses, derrière et
l’intérieur et sur les fesses, comptant les coups.
On abaisse la longueur des chaînes et je découvre un
superbe berger allemand qui vient se positionner de part et d’autre de mon
torse. Soudain, je sens son gros sexe m’enculer. Je gémis un peu surtout quand
son nœud m’écartèle.
- Toute soumise doit jouir avec un chien. Tu devras
t’y habituer.
Après la douleur anale, une série d’orgasmes
m’envahit, sans que je me caresse.
Le berger allemand m’encule mieux qu’un homme. Il me
reprend à plusieurs reprises, jusqu’au quatrième orgasme.
Il se retire, me lèche l’anus, puis je suis montée
par un doberman, mais cette fois, je suis enculée, à quatre pattes, menottée
sur un chevalet. Je dois sucer le berger allemand, pour lui rendre mes
hommages.
Les deux chiens alternent, pour me donner du
plaisir.
Je deviens une soumise zoophile.
César et Sade me fouettent ensuite, lors de la pause
des chiens.
Je réclame ma nouvelle saillie.
Sade pousse le vice à une double pénétration canine,
enculée par le doberman et baisée par le berger allemand, les mains jointes à
mon cou.
Je perds connaissance, mais je suis doublement
inondée.
Sade me prend dans ses bras et me conduit au second
étage, dans une étrange chambre, avec une grande porte-fenêtre, un hamac où je
suis menottée, cuisses grandes ouvertes et de multiples miroirs sur les murs et
au plafond.
Je fais de mystérieux rêves, prise d’imposants
chiens de garde et des hommes aux mandrins long et gros. Ma chatte ruisselle.
Pendant deux jours, je suis soumise aux jeux SM de
Sade, César et ses chiens. Je connais ma première double anale, bien ouverte.
Au matin du troisième jour, je me réveille,
allongée, nue, sur mon lit, dans ma chambre d’hôtel. Je caresse mon corps
devant la glace de la salle de bains, découvrant mes anneaux. Je porte aussi
une bague au majeur droit, reliée au poignet par une fine chaînette et une
autre bague à mon annulaire gauche, de fer, intérieurement cerclée d'or, dont
le chaton large et lourd, comme le chaton d'une chevalière mais renflé, porte
en nielles d'or le dessin d'un signe masculin entrelacé avec un signe féminin.
Désormais, je dois me baigner nue.
C’est Yannis qui me conduit à une plage privée
naturiste. Là, nue, je suis l’objet des regards concupiscents des couples nus.
Je suis prêtée, baisée, enculée et prise en double pénétration. Des billets me
sont remis car je suis une prostituée soumise. D’autres femmes portent elles
aussi des anneaux aux petites et grandes lèvres de leurs chattes que je lèche,
pour les satisfaire.
Je m’y rends plusieurs fois pendant mon séjour. Sade
ou César m’observent, notent mes prestances.
C’est peu avant le coucher du soleil, après une
dernière collation, que Yannis me raccompagne à l’hôtel.
Le soir, nue, sous ma robe, je suis offerte à de
jeunes étalons jusqu’à l’aube.
Le dimanche matin, je rentre avec mes amants à la
capitale.
Sade m’a laissé un dernier message :
Le prochain rendez-vous sera ta pose des fers et de
ma marque, en un lieu secret. Tous les hommes savent désormais par tes bagues
que tu es toujours nue et disponible sous tes tenues. Continue à garder ton
corps lisse, fardé et parfumé.
Je porte un plus gros bijou d’anus, selon les vœux
de Sade. Il mesure treize centimètres de long dont douze m’encule, pour cinq de
diamètre et pèse 895 gramme. La pomme de pin frotte ma chatte nue. J’aime avoir
ainsi l’anus bien rempli.
Au bureau, on remarque que je me tiens plus droite,
j’ai le regard plus clair, je suis parfaite immobile et je mesure mes gestes.
D’un simple regard, on devine mes seins nus sous mes
chemisiers, mes jupes qui arrivent à mi-cuisses, dévoilent mes jambes nues et
ma chatte nue dessous. Je suis toujours pieds nus dans mes escarpins, sandales
et bottes. Je porte des jupes éventail qui se relèvent d’un seul geste. Toutes
les occasions sont bonnes, pour que les collaborateurs et les clients puissent
m’enculer et je me fais lécher l’anus par certaines femmes, qui me doigtent
longuement ensuite.
Je reçois fréquemment mes amants chez moi, selon les
vœux de Sade, à qui je raconte dans un journal intime chacun de mes ébats.
Je continue mes relations lesbiennes, souvent à
trois, à nous goder et à nous enculer avec divers godes, vibromasseurs, nous
léchons nos anus et nos chattes trempées.
Je rééduque mon anus, qui redevient avec des muscles
toniques, tout à fait normal, tel un poinçon strié de rose, très serré, mais il
peut s'ouvrir tout grand pour me faire enculer.
CLUB 6996
Au mois de juin, je reçois un mystérieux colis chez
moi.
Nue et en mules, je l’ouvre. Il contient mes carcans
en cuir et une robe à corselet seins nus à jupe éventail, entièrement
transparente et blanche, avec un boléro doré, plus des pinces à seins
vibrantes.
Le mot qui l’accompagne :
Rendez-vous ce soir au club privé
« 6996 », dans ta tenue, fardée et parfumée, portes tes pinces et ton
bijou d’anus.
Sade
Sade se trouve dans la capitale. Je passe mon
après-midi, à me raser les aisselles, le pubis, la chatte et l’anus, avant de
me doucher longuement. Je me gode longuement l’anus avec un vibromasseur
gonflable pour me préparer. Je mouille comme une fontaine, d’excitation. Je
n’ai nul besoin de me caresser pour me faire jouir.
Puis j’insère mon bijou d’anus.
Je me farde longuement, me parfume trois fois et
j’enfile ma robe à corselet. Je desserre légèrement le corselet et je l'agrafe
par-devant en commençant par le haut tandis que je creuse le ventre, ensuite je
mets mes mains dans le dos et je tires sur les boucles en plusieurs fois et je
resserres progressivement le laçage en partant du haut vers le milieu puis en
partant du bas vers le milieu jusqu'à ce qu'il soit parfaitement ajusté et que
je me sentes confortable. Je tires alors de toutes mes forces sur le lacet
central afin de bien marquer la taille et de l'affiner au maximum. Mes seins
nus sont mis en valeur, projetés en avant. Le corset fait saillir mon ventre et
cambrer profondément mes fesses nues.
Je relève ma jupe, exhibant mon pubis aux petites
lèvres peintes en rouge et aux anneaux dorés. je pince mes seins avec les
pinces vibrantes, mes mamelons constamment tendus sont emprisonnés et je mets
mon boléro fermé au cou. Je glisse mes pieds nus dans des mules à très hauts
talons. Je mets mon collier et mes bracelets à mes poignets. Je me recoiffe.
On sonne. C’est César qui vient me chercher. Il
m’inspecte. Il ouvre mon boléro pour voir mes seins nus avec mes pinces. Sans
mon boléro, j’ai les épaules et les seins nus dévoilés.
- Tu es très en beauté, ma chérie.
Il m’embrasse langoureusement sur la bouche, tout en
glissant sa main entre mes cuisses pour me faire mouiller la chatte.
Nous prenons une limousine blanche aux vitres
teintées en noir. Je suis assise seule derrière, la jupe relevée, empalée sur
un gros gode réaliste dans ma chatte.
César m’a retiré mon boléro et il a joint mes mains
à mon cou.
Nous entrons avec une heure de trajet, dans un
mystérieux hôtel particulier.
César me bande les yeux et m’aide à descendre de la
limousine. Mes mules claquent sur les pavés, puis sur le marbre de l’escalier
que je gravis, tenue en laisse par mon collier.
Des coups de cravache me sont donnés sur les fesses
pour me faire avancer.
Après plusieurs portes, César s’arrête.
On délace ma robe et on me déchausse. Mes pieds nus
reposent sur un tapis en laine. Je suis caressée de toutes parts, on
m’embrasse.
Prosternée, je suis à nouveau cravachée sur les
fesses, sur les cuisses et sur les reins. Je gémis un peu.
On me retire le bandeau. Je découvre cinq hommes nus
et cagoulés.
- Voici, votre nouvelle soumise, elle sera baptisée
Vicieuse Canine. Elle portera les lettres V et C sur son pubis à l’encre noire
dès ce soir, avant son abattage. Mettez-la sur la table, cuisses grandes
ouvertes, enchaîner ses chevilles.
Je me retrouve exhibée, exposée, nue, les lèvres de
ma chatte grandes ouvertes. Mes chevilles sont enchaînées par des bracelets
dans la table, une chaîne me retient au dos du collier pour m’immobiliser.
J’éprouve une étrange sensation quand le tatoueur me
tatoue les lettres en caractère gothique et entrelacés. Un miroir au plafond me
permet de me regarder me faire tatouer. Pour apaiser mes gémissements, je suce
les hommes présents. Je garde les yeux baissés.
Une fois tatouée, on me fouette l’intérieur des
cuisses.
Le bas du corps zébré, je suis détachée et conduite,
nue, pieds nus, dans une grande pièce isolée.
Je suis menottée à une croix de Saint-André, dos aux
hommes, qui se relaient pour m’enculer et me fesser.
Pantelante, je suis libérée et portée debout, entre
deux hommes, m’empalant sur leurs deux mandrins, un me baisant et l’autre
m’enculant. Je sens leurs testicules claquer contre mes fesses. Je reçois leurs
spermes en moi.
D’autres hommes se relaient, nus et cagoulés.
Peu avant l’aube, je me retrouve nue, menottée à un
chevalet, dans une grande pièce sombre, au sous-sol de l’hôtel.
Trois chiens de garde m’enculent à tour de rôle,
j’enchaîne les orgasmes.
Puis un des hommes viennent avec un étrange gode.
Il est moulé sur le sexe en érection d’un poney. Il
mesure quatorze centimètres pour six de diamètre.
L’homme me l’introduit dans la chatte, je jouis, en
échange de claques magistrales sur les fesses.
Il écarte mes fesses et il m’encule avec. Je gémis.
Il gonfle le gode pour m’élargir. Je dois rester une demi-heure avec le gode
gonflé, sans pouvoir l’enlever, pour que je m’habitue. Puis on fait des
va-et-vient et je sens venir l’orgasme anal.
On échange le gode équin du poney pour celui d’un
pur-sang arabe, long de quarante centimètres pour cinq à huit de diamètre. Je
serre les dents, lorsqu’il enfonce la moitié dans mon anus trempé.
Je reste ainsi une demi-heure à me faire enculer par
le gode. Les douleurs s’apaisent, je m’ouvre davantage.
Après quelques heures de sodomies par ces godes, je
suis prête à me faire réellement saillir par de vrais chevaux, le désir de
Sade. Je dois devenir aussi une pouliche à satisfaire, après mon statut de
chienne.
On me douche, me fait mon lavement. Je me rhabille
et je monte dans un 4x4 qui nous dépose loin de la capitale, dans une forêt.
Le lieu est sous très haute protection. Il
appartient à la garde rapprochée chargée de la sécurité des lieux
gouvernementaux. Après plusieurs fouilles au corps, nous entrons après trois
postes de contrôle dans une grande cour, menant à plusieurs écuries.
Nue, et en mules, tenue par la main par Sade, avec
mon bijou d‘anus, je découvre mes nouveaux amants, de superbes étalons
reproducteurs enculant de jeunes soumises sur des chevalets, suçant la gent
masculine.
Je suis menottée à une table gynécologique et
glissée à bonne hauteur sous un superbe pur-sang arabe. Sade guide son gros
sexe dans mon anus béant et lubrifié par le sperme humain et canin.
Des hommes m’entourent, se masturbent, m’offrent
leurs mandrins à sucer, tandis que l’on masturbe le pur-sang.
J’ai un premier orgasme anal avec un vrai cheval.
Puis je sens une longue giclée de spermes chauds dans mon anus écartelé.
On retire le cheval, dont je suce le sexe, tandis
que les hommes qui se sont masturbés se relaient pour m’enculer. Je suis
chaude.
Un trotteur français et un cheval de selle
m’enculent ensuite et un cheval de trait au sexe imposant.
Je suis abandonnée, pantelante, le visage couvert de
spermes, ainsi que sur mes seins, mes fesses et mon anus dégouline de spermes
qui tombent dans une bassine.
Menottée, je suis juste nourrie de spermes équins.
Au coucher du soleil, dans une des étables,
menottée, debout, les bras en l’air, cuisses maintenues écartées, je suis
partiellement enculée par un sexe d’un cheval, la cravache cingle mes fesses et
mes cuisses.
Je ne sais combien d’hommes me prennent, que je
suce, ni le nombre d’étalons équins qui m’enculent.
Ce n’est qu’au petit matin, que j’émerge, toujours
nue, au club 6996, menottée à quatre pattes, avec un écarteur anal, filmant mes
excès des écuries.
Sade me réconforte, en me nourrissant, me lave avec
une grosse éponge.
Vers dix heures, je suis détachée, à moitié
évanouie.
Je retourne aux écuries plusieurs fois pendant la
semaine où je loge au club 6996.
Mon tatouage est bien visible, maintenant.
SOUMISE POUR NOUVEAU
MAITRE
Au mois de juillet, Sade me présente à un nouveau
maître, Sir William, comte de Mon Plaisir et de sa femme, Lady V, une superbe
blonde aux seins plantureux, intégralement épilée et aux mamelons, au clitoris
et aux petites lèvres percées d’anneaux dorés et elle porte des fers aux
grandes lèvres et la marque de Sir William. Sir William est un bel athlète du
triple de mon âge, un ancien des forces spéciales et des services secrets. Il
est bien monté.
Nous allons à son château, en pleine campagne, à
trois heures de route de la capitale. J’ai mis ma robe à corselet à jupe
éventail, avec mon boléro, mes mules à très hauts talons, je suis fardée et
parfumée. Je porte mon bijou d’anus. Sade m’a fouettée longtemps le bas du
corps et mes seins, avant ma toilette.
Avant d’arriver à son château, Sade me bande les
yeux et me déshabille. Je porte mes carcans en cuir, mes mains sont jointes à
mon cou, mes cuisses sont écartées et je m’abandonne à ses caresses.
Après avoir franchi le portail, Sade me fait descendre.
Je marche dans le gravier, avec mes mules. On me cravache et me fouette les
fesses pour me faire avancer. De temps à autre, un chien me lèche la chatte et
le clitoris. Je me retiens de jouir.
Un gardien à cheval nous accompagne.
Avant mon arrivée au bout de l’allée, je dois sucer
le sexe du cheval, en signe de soumission et avaler son sperme.
Nous franchissons le perron et entrons dans un grand
hall avec un grand escalier en marbre.
On me retire le bandeau et on me met un
bâillon-pénis, mes mains sont liées dans mon dos, mes mamelons sont emprisonnés
dans des pinces avec de lourds poids et mes petites lèvres sont elles aussi
pincées par les mêmes pinces. Je mouille.
Je suis déchaussée et tenue en laisse par mon
collier.
Je sens le carrelage froid sous mes pieds nus. Mes
seins sont déformés vers le bas tout comme mes mamelons tendus et mes petites
lèvres.
Je garde les yeux baissés.
Sade m’abandonne.
Je franchis plusieurs portes dans un long couloir,
puis des marches en pierre menant au premier étage. L’homme qui me tient en
laisse et cagoulé, avec une cape sur son corps nu et botté.
- J’oubliais, soumise Vicieuse, je suis Nathan, le
valet chargé de ton éducation de soubrette. Je vais te préparer en soubrette.
Vanessa sera chargée de t’expliquer les règles imposées par Sir William. Tu vas
porter tes poids pendant une semaine, dix à douze heures par jour.
Au premier étage, je franchis une nouvelle porte,
gardée par deux autres valets, Brice, l’européen et Sexe d’Or, un superbe
étalon africain, tous les deux portent la même tenue que Nathan.
Je découvre ma chambre, qui donne sur le jardin avec
une grande terrasse et des écuries et un chenil.
Vanessa m’attend. Elle porte un tablier sur ses
fesses nues, un corset seins nus, une cagoule qui laisse juste visible ses
yeux, ses cheveux sont coiffés dessous en chignon, sa bouche est bâillonnée par
un bâillon O. Elle porte des carcans en fer et des sandales à très hauts
talons.
Je rejoins la salle de bains commune entre les deux
chambres. Là, entièrement recouverte de miroirs, je suis contrainte de
m’accroupir, cuisses écartées, devant les valets, mes bras sont tendus en
l’air, on remplace mes bracelets en cuir de mes poignets par d’autres en fer
ainsi que mon collier. Je suis menottée.
Je suis longuement lavée, tandis que mon anus libre
est remplie par une canule envoyant de l’eau froide pour me rincer.
J’éprouve du plaisir à porter les poids à mes seins
et à mes grandes lèvres.
Une fois l’anus propre, Nathan, Brice et Sexe d’Or
m’enculent sans éjaculer. Je jouis sous le bâillon et mon bassin ondule sur
leurs gros mandrins.
Détachée et séchée, je suis à nouveau fardée et
parfumée.
Vanessa me fait un chignon et Nathan me fait enfiler
la cagoule. Ma bouche reste bien ouverte, outre le côté humiliant, ma bouche
est ainsi disponible pour le plaisir de son Maître. Accroupie, je dois sucer
les trois valets, avec mon bâillon.
Vanessa me serre mon corset seins nus et je revêts
mon tablier sur mes fesses nues. Je chausse des sandales à très hauts talons.
Je marche à petits pas.
Je rejoins le salon avec Vanessa et Nathan.
- Voici, soumise Vicieuse, notre nouvelle soubrette.
Le couple me caresse de partout. Je me retiens de
jouir.
Je reçois jusqu’à quatre doigts dans mon anus.
- Bon, soumise Vicieuse, elle est affectée pour son
premier jour, au port des plats des cuisines au salon et le reste du temps,
elle va apprendre à marcher et à se tenir droite, avec une barre d’écartement
fixée à ses cuisses et le vibromasseur Etalon géant.
Je suis équipée. Des sangles sont fixées à mes cuisses,
reliées à une barre en fer sur laquelle se trouve un vibromasseur réaliste qui
m’encule profondément. Je fais les exercices devant Lady V et un miroir. Je
dois rester concentrée, malgré le plaisir anal qui m’envahit.
Chaque faute est sanctionnée par soit la cravache
soit le martinet soit le fouet selon la gravité. Je dois recommencer chaque
exercice à zéro à chaque faute.
Lady V veut la perfection.
On me retire la cagoule que lorsque je suis en
présence des valets. Ils ne me ménagent pas, me doigtant la chatte, léchant mon
clitoris, fouettant mes seins et l’intérieur de mes cuisses et surtout, tout en
faisant les exercices.
Pantelante, peu avant le coucher du soleil, Lady V
me retire le vibromasseur. Je suis prête pour le souper.
Je monte et descend un escalier en pierre, aux
marches inégales pour le port des plats.
Après le dessert, je suis offerte nue aux chiens du
chenil, sans défense, jusqu’à l’épuisement, l’anus rempli de spermes.
Je suis portée dans ma chambre, je suis douchée et
enchaînée à mon lit, cuisses grandes ouvertes, les mains dans le dos, nue.
Je suis violée par les valets à toute heure de la
nuit.
Après une semaine, je suis officiellement soubrette
de service. On remplace les pinces à mes seins par un dispositif de pinces à
seins reliées par des chaînes à un plateau à hauteur de ma taille. Je porte de
lourdes clochettes à mes grandes lèvres. Je porte toujours ma cagoule et mes
sandales à très hauts talons. Je fais désormais du 105C de tour de poitrine,
après un traitement qui a stimulé la pousse de mes seins. Je corresponds mieux
aux critères des soubrettes du château. Je deviens l’éducatrice de la jeune
Pénélope, une beauté européenne, aux longs cheveux blonds jusqu’au bas du dos,
portant les lettres P S pour prostituée sodomite sur le pubis comme moi.
Le château possède douze soubrettes, deux
majordomes, douze hommes pour les écuries et presque autant pour le chenil.
Je suis conviée lors de ma seconde semaine, au
pavillon de chasse, où se réunissent des amis de Sir William, pour une chasse à
courre particulière où de jeunes soubrettes sont lâchées en pleine forêt pour
être débusquées par les chiens de chasse et subir les désirs des chasseurs.
J’en fais les frais, les chiens m’enculent dès
qu’ils me trouvent. Je suis nue et en sandales. Puis les chasseurs me violent
d’abord seul, puis à plusieurs. Mon corps est recouvert de divers motifs.
Etant la plus courtisée, je finis gagnante de la
chasse à courre et je deviens aussi chasseuse de jeunes soumis que je viole
avec un gode-ceinture doté d’un double vibromasseur interne.
Je tombe amoureux d’un des soumis, qui se révèle
être un transsexuel.
Le soir venu, il m’encule longuement devant les
chasseurs jusqu’à une série d’orgasmes.
En un mois, je suis devenue très recherchée comme
soubrette, docile, soumise et courtoise.
Avant d’être ferrée et marquée, j’assiste à la
séance pour les autres filles. Je suis équipée d’un bâillon-pénis, d’un collier
de maintien qui m’empêche de baisser la tête, mes seins sont entourés de cordes
et des pinces sont reliées à mon collier de maintien, mes mains sont liées dans
le dos, ma chatte est maintenue grande ouverte par un système de
porte-jarretelles et mon anus est rempli par un vibromasseur moulé sur le sexe
d’un cheval et je suis nue et en mules à très hauts talons. Je dois regarder la
séance, immobile, juste mon bassin ondule sur le vibromasseur.
Je mouille en regardant le supplice de la fille.
A son réveil, je lui offre mon anus à lécher, puis
je l’encule, en compagnie des invités, offrant mon anus simultanément à l’un
d’eux. Ce double plaisir me conduit à un violent orgasme anal.
Sir William est fier de moi.
Début septembre, à l’aube, je suis réveillée, encore
enchaînée à mon lit, les cuisses complètement ouvertes, mes chevilles fixées
par des chaînes au plafond, mes mains fixées à mon cou, la bouche débordant de
sperme, ainsi que mon anus, par les saillies canines nocturnes.
Nathan me détache, me lave et je rejoins nue, pieds
nus, la salle pour être marquée et ferrée.
A moitié endormie, je suis suspendue dans le vide,
toujours les cuisses complètement ouvertes, les bras en l’air, enchaînée à des
crochets au plafond. Je porte pendant quelques heures encore mes clochettes à
mes grandes lèvres. Un collier de maintien m’empêche de bouger la tête. Il fait
sombre. Ma chatte est léchée par les chiens. Je jouis jusqu’à l’orgasme. Les
clochettes tintent.
Au lever du soleil, je suis lavée, fardée et
parfumée.
On amène un gros poêle noir et rond dont le
couvercle a été ôté, on voit rougeoyer des braises intenses.
On me retire les clochettes et on perce mes grandes
lèvres, pour poser deux fers, un par lèvre. Chaque anneau est long comme deux
phalanges du petit doigt, qu'on y peut glisser. A chacun est suspendu, comme un
nouveau maillon, ou comme au support d'une boucle d'oreille un anneau qui doit
être dans le même plan que l'oreille et la prolonger, un disque de même métal
aussi large que l'anneau est long. Sur une des faces, un S niellé d'or, sur
l'autre, mon nom, le titre, le nom et le prénom de mon Maître, et au-dessous, un
fouet et une cravache entrecroisés. Les ressorts s’emboîtent d’un seul coup.
Puis je reçois un bâillon-pénis en bouche. Perdue
dans mon épouvante, je sens la main de Lady V sur mes fesses, qui indique où
poser les fers, j’entends le sifflement d'une flamme. Une seule abominable
douleur me transperce, j’hurle sous le bâillon et raidie dans mes chaînes, et
je ne sais jamais qui a enfoncé dans la chair, de mes fesses les deux fers
rouges à la fois, ni quelle voix a compté lentement jusqu'à cinq, ni sur le geste
de qui ils ont été retirés.
A moitié évanouie, je suis livrée à un harem
d’étalons qui m’enculent jusqu’à plusieurs orgasmes. Mon pubis se couvre de
spermes.
Après une heure d’orgie, on me détache. Nathan me
porte dans ses bras, me prend aux épaules et aux jarrets, me soulève et
m’emporte.
Je me retrouve sur le canapé du salon, cuisses
écartées, dévoilant mes fers. On me complimente tout en prenant un apéritif. On
me nourrit, tout en caressant ma chatte ferrée et mes lettres sur mes fesses.
Les fers me descendent jusqu’au tiers de cuisses. Les marques imprimées par le
fer rouge, hautes de trois doigts et larges de moitié leur hauteur, sont
creusées dans la chair comme par une gouge, à près d'un centimètre de
profondeur.
Je suis devenue une soumise facilement identifiée
par mes fers et mes marques.
Ce n’est qu’en fin d’après-midi, que je quitte le
château, pour retrouver Emmanuelle.
Nue devant lui, je me laisse caresser par lui et
d’autres transsexuels. Je passe la soirée jusqu’à l’aube, à passer de mandrins
en mandrins pour m’enculer, jusqu’à l’évanouissement.
RETOUR AU
CLUB PRIVE
Le lendemain matin, entourée par Emmanuelle et le
superbe transsexuel brésilien, blond, aux seins plantureux, Sabrina, j’apprend
par Emmanuelle :
- Ma soumise Vicieuse, maintenant que tu es ferrée
et marquée, tu dois séjourner dans une annexe du club privé, en bord de mer.
Des dizaines de clients ont hâte de revoir ton corps, ton écrin lisse et
surtout honorer ton œillet. Tu seras payée comme tu l’es depuis le premier jour
de notre rencontre. Chaque abattage te donne droit à un pourboire. L’argent est
placé en lieu sûr. Va te doucher, je vais te cravacher ensuite et tu seras
conduite nue sous ton tailleur, au lieu secret.
Dans ma salle de bains, je regarde mon nouveau
corps. Mes grandes lèvres sont étirées davantage par les fers, mes mamelons
constamment tendus portent encore les marques des pinces, mon clitoris est
constamment tendu, mes seins plantureux sont chauds. Je mouille sans me
caresser sous la douche. Les fers se balancent entre mes cuisses à chaque
mouvement. Je ne cesse de penser à un mandrin ou un sexe canin ou équin.
Une fois propre, Emmanuelle me cravache, menottée,
les bras en l’air, accroupie, cuisses écartées, l’anus rempli par une canule
pour mon lavement. Mes fesses, mes cuisses, mes reins et mes seins sont zébrés.
Libre, je me farde et me parfume. Je revêts un
corset seins nus sous ma veste de tailleur fuchsia, enfile une jupe éventail
fuchsia et chausse mes mules blanches à hauts talons, je me coiffe d’une queue-de-cheval.
Je mets mon gros bijou d’anus.
Comme convenu, les yeux bandés, je traverse le pays,
pour rejoindre la côte.
On m’aide à sortir. Je gravis un grand escalier
menant à un étage.
Là, je suis déshabillée et présentée, les yeux
bandés, avec mes carcans en fer, pieds nus.
On me caresse de toutes parts, on me fesse. Je dois
sucer. On m’encule sans ménagement.
Je sais combien d’hommes sont présents dans la
salle. Mon anus déborde de spermes frais. Un chien me saillit aussi. Je suis
aux anges.
Je deviens la favorite d’un couple de valets
bisexuels qui aiment me prendre en double pénétration ou double anale, car mon
anus est bien large pour accueillir deux mandrins simultanément.
Je deviens serveuse seins nus, dans une robe à
corselet seins nus, transparente, s’arrêtant à mi-cuisse, largement ouverte sur
mon pubis et mes fesses, en mules à très hauts talons.
Je suis fouettée et enculée par de nombreux clients
pendant mon séjour.
Début novembre, je me promène nue dans le froid,
tenue en laisse par mes fers, par un de mes valets, dans le parc, d’un immense
château. Des gardiens à cheval me font saillir par leurs chevaux, pour mon plus
grand plaisir.
Je reprends mes ébats lesbiens avec les femmes des
clients.
Le Maître des lieux, un bel étalon du double de mon
âge, m’autorise à quitter le château qu’après six mois.
Je peux retrouver mon duplex. Mes amants m’envient
par mes gros seins, mon corps lisse, marqué et ferré.
Je prépare d’autres jeunes filles vierges pour le Maître du club.

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