Je m’appelle Shawn.
J’ai 20 ans.
Je suis une jolie beauté scandinave.
Je suis
une brune aux yeux verts. J’ai des pieds fins et latins, des jambes longues
bronzées, musclées qui inquiètent par leur perfection. Mon pénil est bombé,
ouvert, couronné de noir. Ma pilosité brune couvre mon pubis. Je suis
totalement velue entre les cuisses et j’ai une superbe croupe. Les lèvres de
mon sexe sont une plaie rouge entre mon entrecuisse velue. Mes hanches
s'incurvent et délimitent le ventre plat, délicieusement renflé autour du
nombril, les hanches sont larges et rondes, mais sans lourdeur. La taille est
affinée. Les seins parfaits intégralement bronzés sont un peu volumineux mais
fermes, et leurs pointes marron clair, toujours dressées, cernées par une large
aréole marron attirent le regard. J’ai une peau lisse et patine. Finition
parfaite, un seul grain de beauté entre mes superbes seins. De longs cheveux
plats blonds flottant comme des algues, battent mes épaules rondes et
gracieusement athlétiques. Je suis intégralement bronzée. Mes yeux verts
limpides s'allument, ma bouche charnue se fend. J’ai des sourcils bruns bien
dessinés et des lèvres pulpeuses. J’ai de longs doigts fins et de belles mains.
Je fais du 90B de poitrine, 56 de taille, 90 de hanches, 1,72 m.
Je suis la présentatrice vedette
d’une émission sur les piscines de grands hôtels en Europe.
Cet après-midi-là, de juin, je
présente mon émission sur la terrasse de la piscine qui surplombe le
centre-ville. Je suis juste vêtue de mon bikini blanc et mes pieds nus aux
ongles vernis en rouge, dans mes mules à très hauts talons.
Je ne sais qu’il m’a pris,
subjugué par un des maîtres-nageurs, un bel Apollon musclé comme je les aime.
Je m’accroupis devant lui et me met à le sucer en experte. Mes doigts agiles et
experts enserrent et soupèsent ses testicules velus.
Puis je m’éclipse avec lui, aux
toilettes pour hommes.
Nue, je me retourne contre le
mur et le supplie, offrant mes fesses bien rebondies, musclées :
- Baise-moi, j’ai la chatte en
feu.
Le maître-nageur possédant un
long et gros mandrin me défonce jusqu’aux testicules qui claquent conter mes
fesses.
Il en profite pour enfoncer son
index dans mon anus encore vierge.
- Tu aimes, sublime Shawn.
- Fais-moi aussi jouir de mon
œillet.
Après quelques va-et-vient, il
passe ses mains de mes hanches à écarter mes fesses.
Il m’encule. Je pousse pour le
recevoir. J'obéis, mais le passage du gland au travers de ma collerette anale
me fait tout de même mal. Il marque une pause avant d'aller de l'avant et d'augmenter
la profondeur de la pénétration, son gros mandrin repoussant mes tissus
s'ouvrant littéralement un chemin entre mes fesses vierges. Enfin, je sens son
ventre contre mes fesses. Il entamer un lent mouvement de va et vient,
ressortant presque entièrement de mon anus, pour y replonger aussitôt. Peu à
peu, la douleur de mon anus forcé cède la place à un certain plaisir, puis à un
plaisir certain. Je jouis uniquement, enculée, un orgasme profond comme je n'en
avais jamais encore éprouvé.
Sans prévenir, son compagnon,
nous rejoint. Il se retire et me tient bien écarter les fesses. Il est plus
long. La seconde sodomie est plus facile.
Je subis une double pénétration
intense : celui qui m’a enculée en premier, décide de me baiser, me prend
dans ses bras, je l'entoure avec ses jambes et se laisse baiser. Celui qui
m’encule me soutient une partie de mon poids. J’explose en un violent double
orgasme, doublement inondée de spermes.
- Tu es une sacrée jouisseuse,
Shawn, me susurre, celui qui m’encule.
- Sa chatte est un véritable
écrin de mouille. Cela t’excite.
- Oui, mes chéris, prenez-moi.
A la fin de mes orgasmes, je les
suce, accroupie, cuisses écartées. Je les nettoie.
Je ne me reconnais plus.
Un des hommes m’écarte les
fesses, pour que je garde leurs spermes dans mon anus, grâce à un bijou d’anus.
Il est froid, il est en aluminium brillant orné par un magnifique cristal rose
à son sommet : c’est ce cristal rose qui est visible entre les fesses une fois
qu’il est introduit dans l’anus. Il est très doux et très petit, il me provoque
une délicieuse excitation anale permanente, sur cinq centimètres de long et
trois de diamètre pour 34 grammes. Je sens sa forme en sapin et sa large base
me garantissent un excellent maintien dans l’anus. La section qui relie les deux
extrémités est très fine et douce afin de laisser l’anus se refermer dessus
sans gêne. La tige de la taille de l’auriculaire sert de support lorsque le
sphincter se referme. Je garde mon anus dilaté, me prépare l’anus à la sodomie,
la rendre plus facile et moins douloureuse aussi.
Je me rhabille de mon bikini et
rejoins ma loge dans un camping-car aménagé.
- Shawn, tu as fait sauter
l’audience avec ta drague du maître-nageur, m’annonce Aimée, une jolie brune
aux seins plantureux, vêtue d’un chemisier et d’une jupe droite.
- Ma chérie, je n’ai pas pu me
contrôler. J’avais envie de lui. Je l’ai repéré ce matin avant l’émission. J’ai
même joui avec un second.
Elle m’embrasse langoureusement,
en caressant mes seins nus, tandis que je me refais une beauté après ma douche
rapide.
Vêtue d’un chemisier fuchsia et
d’une jupe noire, en escarpins noirs, je me rends au buffet. Un bel homme me
susurre à l’oreille :
- Miss Shawn, retirer votre
soutien-gorge et votre slip. Vous serez mieux à l’aise, seins nus et fesses
nues.
Il me glisse une liasse de
billets. J’obéis, je retourne aux toilettes pour femmes. Je me déshabille,
retire mes dessous assortis en dentelle transparente blanche : mon
soutien-gorge quart de seins et mon string. Je les glisse dans un sac discret
et l’homme m’attends à la sortie des toilettes et je lui remets.
- Merci, Miss Shawn, contactez
ce numéro dès ce soir. Il y aura de la visite à votre arrivée à la villa. Ne
vous dérobez pas.
Le chemisier entrouvert, les
hommes ne se gênent pas pour regarder mes petits seins nus et libres, tout
comme mes fesses nues que l’on devine sous ma jupe.
Je rejoins ensuite la villa.
Je prends un taxi. Mais en
chemin, le même homme qui m’a séduit à l’hôtel, fait stopper le taxi. Dans une
ruelle, à mi-chemin de la villa, je dois descendre.
- Donnez-moi aussi votre jupe.
Vous aurez ainsi les fesses à l’air. Voici un vélo pour rejoindre la villa.
Je monte sur le vélo féminin.
Une montée m’attend. J’ai l’habitude. L’homme paie ma course et il m’escorte
avec le taxi. Mais avant, il m’a retiré le bijou d’anus, m’a longuement fouillé
l’anus rempli du sperme de mes amants. Il le fait humer au chauffeur en lui
disant :
- Suis-la, elle a l’odeur d’un
cul d’une prostituée.
Je pédale en danseuse, frottant
mes fesses nues sur la selle. Je pédale plus fort, plus l’orgasme m’envahit.
J’arrive en haut de la côte, pantelante et m’effondre dans les bras d’une
femme, juste devant l’entrée de la villa. Le taxi passe à mes côtés et
disparaît.
- Tu es une sacrée jouisseuse.
La côte est dure à monter, mais tu as réussi sans tomber. J’aime tes petits
seins et ma chatte velue. Tu me plais.
Son mari, un bel Apollon me
soulève de la selle, me prend aux épaules et aux jarrets, m’emporte.
J’émerge nue dans ma chambre. La
femme, prénommée Natacha, une blonde aux seins plantureux, me lèche la chatte
et le clitoris tendu. Je jouis, suçant le gros mandrin de son mari, Nathan.
- Quelle suceuse, elle connaît
son métier.
- Sa chatte et son clitoris sont
un vrai délice. Un écrin de mouille de premier choix, velu, elle aime ça.
Une fois prête, Natacha me
retire le bijou d’anus et fouille l’anus avec ses trois doigts.
Inconsciemment, j’écarte
davantage mes cuisses humides.
- Tu veux jouir, ma belle.
Nathan, encule-la maintenant, elle est à point.
Nathan s’allonge sur le dos et
Natacha guide son gros mandrin. Je me frotte la chatte dessus.
- Ce n’est pas ta chatte qu’il
désire, mais ton puits de prostituée. Je vais te masturber, pendant que tu
t’empales sur lui.
Le gland force mon anus et je me
retrouve empalée jusqu’aux testicules sous mon propre poids. Je ne me peux me
dérober. La sodomie est moins douloureuse, avec le bijou d’anus et le doigté
anal de Natacha. Empalée de face à Nathan, je lui offre la vue de mes seins,
mes cuisses écartées de part et d’autre de son bassin. Je m’accroche à ses
épaules, je coulisse doucement pour sentir son gros mandrin qui m’encule
profondément. Je me balance d’avant en arrière, frottant ma chatte humide sur
la main de Natacha. La bouche de Natacha lèche mes mamelons tendus.
- Continue, ma belle, tu vas le
faire éjaculer.
Je suis tellement excitée, de
m’enculer, un orgasme puissant, car à ce moment là le muscle anal se contracte
très fortement autour de son mandrin bien dur. J’ai droit à une longue
éjaculation, tellement j’ai massé son gland.
- La belle m’a fait éjaculer.
Elle connaît son affaire.
- Laisse-moi, je vais prendre le
relais.
Natacha sort de son sac à main,
un gode ceinture spécial à triple godes réalistes. Il est sans ceinture, elle
enfonce la partie vaginale interne dans sa chatte et Natacha m’invite à
s’asseoir entre ses cuisses écartées.
Les deux godes sont de même
longueur, quinze centimètres, veinés, aux glands proéminents. Nathan m’écarte
bien les fesses pour mieux m’empaler. Le gode vaginal est plus étroit, trois
centimètres de diamètre et l’anal, cinq de diamètre. Je suis doublement
pénétrée, c’est un plaisir. Nathan me pelote les seins, me lèche la chatte et
le clitoris. Je coulisse sur les deux godes, qui se révèlent de puissants
vibromasseurs. En cadence simultanée, ou de façon aléatoire, j’ai à un double
coup de reins ou un seul soit dans ma chatte soit dans mon anus trempé. Leurs
va et vient automatiques de montée et descente, à différentes vitesses et
vibrations. Chacun s’allonge et rétrécit à chaque mouvement de va-et-vient
grâce à son enveloppe ultra-souple qui s’étire ou se contracte en suivant les
montées et descentes du gode. Je ferme les yeux, repensant à la double
pénétration que je vais de subir. Natacha me caresse les fesses, le cou, les
épaules et le dos pour me stimuler.
Un double orgasme me terrasse.
Nathan éjacule sur mon pubis, après que je l’ai masturbé.
- Tu as pris du plaisir, ma
belle.
Pantelante, à moitié évanouie,
j’ai du mal à reprendre mes esprits.
Nathan m’aide à me retirer
délicatement des godes.
L’anus béant, dégoulinant de
spermes, Natacha le remplit avec un bijou d’anus plus large.
- Tu es prête à recevoir de gros
sexes, ma belle.
Elle m’embrasse langoureusement
sur la bouche, les seins pelotés par Nathan. Natacha et moi prenons une douche
lesbienne intense, je mouille sous ses doigts.
Le couple disparaît comme il est
venu.
Peu de temps après, mes copines
rentrent. Je suis allongée nue, sur le dos, cuisses écartées, la main entre mes
cuisses, les cheveux enturbannés.
J’enfile un peignoir court, le
laissant entrouvert sur mon corps nu et je reste pieds nus.
- Voici, la pin-up des piscines,
le directeur te félicite, me dit Aimée, entre deux baisers sur ma bouche puis
ma chatte en feu.
- Tu viens de te faire baiser,
ma chérie, réplique Orchidée, la jeune assistante brune aux petits seins. Je ne
t’ai jamais aussi la chatte aussi trempée.
- Non, elle s’est fait un petit
plaisir solo, rajoute Diane, la beauté châtain aux petits seins. Regarde le
cristal entre ses fesses, elle s’est enculée en solo, la vicieuse.
Je n’ose répondre.
Nous soupons et je rejoins ma
chambre.
Dans un des miroirs, je regarde
mon corps transformé, nu. J’ai mal aux hanches, ma chatte a les lèvres gonflées
par l’excitation, mon clitoris et mes mamelons sont tendus. Je me sens au
sommet du désir.
Je compose le numéro de
téléphone de la première carte de visite du « Domaine 6999 ».
- Je m’appelle Shawn. On m’a dit
de vous contacter.
- Nathan et Natacha vous ont
donné du plaisir, sans vous dérober. Excellent, demain, vous les retrouverez.
Gardez-bien le bijou d’anus en place, godez-vous avec jusqu’à l’orgasme. Vous
devez uniquement jouir enculée, sans aucune caresse.
Je raccroche. Je compose le
numéro de la carte laissée par Natacha du « Club Lèvres de Feu ».
- C’est toi, Shawn, j’attendais
ton appel. Tu es désirable. Tu seras l’invitée du Marquis du Baiser des Sévices
du Désir. Mémorise le numéro sur la carte et dès la fin de ton émission, tu
t’éclipses. Tu m’appelles. Je mouille, en pensant à toi.
Natacha raccroche. J’ai joui en
écoutant. Je n’ai retenu que Marquis et je pense à toi.
Je dors très mal, sous l’effet
de rêves érotiques, prises par plusieurs étalons en rut, dotés de gros
mandrins, tous m’enculent ou me prennent en double.
A l’aube, je me lève en sueur.
Ma chatte est trempée, mon bassin ne cesse d’onduler inconsciemment sur le
bijou d’anus. J’ai besoin d’un mandrin pour me satisfaire. J’ouvre le tiroir de
la commode, retire mon bijou d’anus et m’empale dessus. Je m’effondre sur le
lit, allongée sur le ventre, guidant le gode dans mon anus trempé.
Je donne différents noms à des
amants invisibles qui m’enculent. Je suis aux anges.
L’après-midi, de retour à
l’hôtel, en bikini vert et mules blanches, je continue la visite de l’hôtel,
les spa et les sauna, avec des couples nus.
De retour à ma loge, je suis
prête à me changer, quand excitée, je croise le réalisateur de l’émission.
Je le fais venir dans ma loge.
- S’il te plaît, encule-moi,
j’ai le cul en feu depuis la nuit dernière.
Je retire mon slip, mon
soutien-gorge. Nue, les fesses écartées, je me laisse enculer par son long
mandrin.
- Tu es une sacrée jouisseuse,
pour te faire enculer sur le champ.
- Oui, pine-moi le cul
profondément. J’aime me faire remplir le cul.
En plein orgasme anal, sans me
masturber, je sens qu’il éjacule dans mon anus. Je n’y prête pas attention.
Libre, je le suce, pour le
nettoyer. Il me remet mon bijou d’anus et me donne quelques claques magistrales
sur les fesses.
- Tu es exceptionnelle. On va te
faire une augmentation.
Je remets mon slip de bain et un
tee-shirt blanc sur mes seins nus et mes mules à très hauts talons.
Je vois un taxi qui m’attend. Un
superbe chauffeur m’ouvre la portière. Je ne reconnais pas Nathan. Natacha est
coiffée d’une perruque longue brune, m’attends sur la banquette arrière.
- Te voilà enfin, ma chérie.
- J’ai…
- Le réalisateur t’a enculée.
Nous l’avons payé pour te donner du plaisir. En route, chauffeur.
Natacha me retire mon slip et je
me retrouve assise fesses nues sur la banquette en moleskine, glissante et
froide, c'est saisissant de la sentir coller à mes cuisses.
Elle me retire mon tee-shirt. Je
suis totalement nue, les seins libres et nus comme j’ai nus et libres les
fesses et le ventre, de la taille aux genoux. Natacha me lie les mains dans le
dos, et me bande les yeux.
Natacha tient à ce que je garde
mes cuisses écartées pendant le trajet.
Nous allons dans le même
quartier de ma villa louée, dans une rue parallèle.
Arrivée à la villa, Natacha
m’aide à descendre. La porte est ouverte. Je monte les marches, mes mules
claquent sur le marbre. Je ne sais si je suis à ma villa.
Je longe la piscine, la
porte-fenêtre est grande ouverte. J’entends des râles de plaisir.
Sans attendre, je me retrouve
prise en double pénétration, suçant un troisième partenaire, bien monté. Les
projecteurs m’aveuglent, quand on me retire le bandeau.
Celui qui me baise est couché
sur le dos, je suis couché sur lui. Celui qui m’encule avec un mandrin plus
gros, me monte, appuie ses jambes ouvertes sur les miennes et ses bras dans le
dos. Doublement pénétrée, je dois subir, tandis que je suce un autre
partenaire. Mon anus lubrifié par ma sodomie de tout à l’heure, me fait moins
mal.
Après trois partenaires qui
m’enculent dans cette position, éjaculant en moi, celui qui me baise, éjacule à
son tour.
Je n’ai pas le temps de
reprendre mon souffle que je me retrouve cette fois, empalée, enculée dos à
celui qui m’encule, bien monté, les jambes ouvertes. Les partenaires se
relaient de ma bouche à ma chatte. Je ne compte plus mes orgasmes. Malgré la fatigue,
je continue à sucer.
A moitié évanouie, la chatte et
l’anus dégoulinant de spermes chauds, Natacha me tient par les hanches
douloureuses par mes orgasmes, me fait monter les marches d’un escalier en
marbre, froid sous mes pieds nus.
Là, je découvre, une jeune femme
blonde aux seins plantureux, nue, avec une cagoule laissant apparaître son nez
et sa bouche, qui est bâillonnée par un bâillon-pénis. Elle est suspendue à un
crochet reliée par une chaîne au plafond, les cuisses écartées, des bracelets de
cuir à ses poignets et aux chevilles, reliés par des chaînes au sol. Tout
mouvement lui est impossible. Elle est entièrement épilée, ses seins, ses
fesses et ses cuisses sont marquées par les coups de cravache, de garcette et
de martinet.
- Eros le Sexe d’Etalon, voici
ta nouvelle vicieuse à dresser. Elle a pris goût à la sodomie. Regarde ses
fesses.
Je me retrouve sans attendre,
entre les mains d’Eros. Il me met mes carcans en cuir, à mon cou, mes poignets
et mes chevilles : en plusieurs épaisseurs de cuir, chaque épaisseur assez
mince, au total pas plus d'un doigt, verrouillés par un système à déclic, qui
fonctionne automatiquement comme un cadenas quand on le referme, et ne peut
s'ouvrir qu'avec une petite clé. Dans la partie opposée à la fermeture des bracelets,
pris dans le milieu des épaisseurs de cuir, et n'ayant presque pas de jeu, il y
a un anneau de métal, qui donnait une prise pour fixer, et qu'on positionnait
du côté intérieur du poignet. Pour le collier, l'anneau pend devant le cou,
reposant sur la saillie des clavicules, et brinquebale au rythme des mouvements
de celui qui le porte.
Equipée, Natacha me met un
bâillon. Le bâillon O de bouche me force à garder la bouche ouverte. Le O du O
de bouche est assez large pour faire passer la queue du Maître ou tout ce qu’il
veut mettre dans ma bouche.
- Comme cela, tu te tiendras
bien sage, me susurre Natacha. Eros va pouvoir t’enculer avec son gros mandrin,
avec sa gaine.
Les yeux bandés, la bouche
ouverte, je regarde en effet, son mandrin est gros de sept centimètres pour
dix-huit de long. Je suis servie. Ceux qui m’ont prise en bas l’ont moins
grosse.
- Alors, ma belle, tu veux être
dressée.
Debout, les mains dans le dos,
sans défense, je me laisse peloter les seins. Eros enduit mes mamelons d’une
crème et ainsi que mon clitoris. Suis-je excitée, mes mamelons et mon clitoris
deviennent hyper sensibles. Le vent frais du ventilateur au plafond m’excite
énormément. Frustrée, ne pouvant me masturber, la douleur provoquée par la
tension. En quelques instants, mes mamelons et mon clitoris sont complètement
tendus et très dur au point de me faire vraiment mal. Eros les effleure.
Un miroir montre l’effet :
mes mamelons sont saillants, gros et longs et mon clitoris est gros comme une
cerise et particulièrement saillant, volumineux.
- Tu es plus désirable, ma
chérie.
Eros m’encule prosternée,
cuisses écartées.
- Tu as le cul en feu. J’aime
ça. Je vais jouir en toi, avant de te dresser.
Eros éjacule en moi, en plein
orgasme anal.
Je suis offerte en double
pénétration par deux énormes mandrins. Je ne sais plus comment jouir, malgré la
douleur aux mamelons et au clitoris tendus.
Les deux hommes se retirent.
J’avale leurs spermes, accroupie, cuisses écartées.
Debout, pantelante, je dois
pisser dans un seau, cuisses écartées, devant les deux hommes.
Je suis à mon tour, suspendue à
un crochet, sur la pointe des pieds nus, les chevilles, enchaînée, face à la
fille, qui est sauvagement enculée.
Eros enserre mes mamelons tendus
dans de redoutables pinces à seins. Cette chaîne en forme de Y est une
tentation sûre pour les personnes en quête de sensations fortes au niveau de ma
chatte. Ces pinces se fixent respectivement sur les mamelons et le clitoris.
Les pinces plates de mes mamelons sont recouvertes de caoutchouc noir à leurs
extrémités. Eros retire ces caoutchoucs pour faire apparaître des rangées de
dents minuscules en métal ; les sensations intimes sont alors beaucoup plus
intenses. Il me pose à chacun de mes mamelons un poids de 500 grammes. Elles
sont très puissantes et écrasent mes chairs. Mon visage se déforme par la
douleur que je ressens. Mes mamelons déjà longs s’allongent aussi en déformant
aussi mes seins vers le bas.
- Il faut sensibiliser tes
seins, ma belle.
Une fois prête, Eros me cravache
les fesses et les cuisses. Je gémis sous le bâillon.
Comme pour m’exciter, entre deux
pauses, entourée d’un miroir à trois faces et un quatrième miroir au mur
permettent de me bien voir, je suis sauvagement enculée. Cuisses écartées, mon
regard se porte sur ma chatte trempée, mon gros clitoris et mes seins tirés
vers le base.
Je ne sais combien de temps je
suis cravachée. Je m’évanouis.
Quand j’émerge, je suis encore
suspendue, offerte à deux gros mandrins, en double pénétration.
- La belle se réveille. Tu as du
plaisir à être humiliée, exhibée, fouettée, dit l’un des hommes.
Je baisse les yeux.
- Allez, on reprend. On
t’attends en bas, pour le raccord d’éjaculation dans ma bouche ouverte.
Je suis cravachée à toute volée.
Après le départ d’Eros et de son
complice, Natacha enduit mes fesses et mes cuisses zébrées d’une crème
apaisante, me masturbant le clitoris.
- Le Marquis va aimer. Il t’a
regardé par le circuit de télévision en circuit fermé. Tu es aussi au
« Domaine 6999 ». Tu es son invitée.
Détachée, pantelante, Natacha me
fait boire de l’eau. Les mains dans le dos, je rejoins le rez-de-chaussée.,
sans mes pinces à seins.
Accroupie, cuisses écartées, je
suis nourrie du sperme de mes partenaires sans perdre une goutte, filmée en
gros plan. D’autres caméras filment mes fesses et mes cuisses. On prend un
malin plaisir d’écarter mes fesses brûlantes, retirant mon bijou d’anus pour me
fouiller. Je ne sais si je dois jouir, tellement c’est bon.
Un peu plus tard, Natacha
revient avec les deux godes sont de même longueur, quinze centimètres, veinés,
aux glands proéminents. Ils me sont insérés. Le gode vaginal est plus étroit,
trois centimètres de diamètre et l’anal, cinq de diamètre. Un slip empêche
qu’ils s’échappent et il est muni d’un double gode similaire.
La femme blonde cagoulée est
allongée sur le dos, cuisses écartées.
Natacha m’invite à la pénétrer.
J’obéis, sa chatte et son anus sont bien lubrifiés. Je sens les va-et-vient du
double gode en moi. Je donne des coups de reins similaires à ceux des hommes.
Les partenaires masculins se délectent, voyeurs de nos ébats lesbiens, se
masturbant leurs mandrins bien durs. Les caméras filment en gros plan, mes
va-et-vient, mon visage, ma bouche et mes seins.
Natacha inverse le double gode
pour la blonde. Son anus est écartelé par le gode de cinq centimètres. La
blonde gémit, tandis que je connais un nouvel orgasme, provoquant une violente
ondulation de mon bassin.
A peine remise de mon orgasme
avec le gode ceinture, je découvre que l’on m’installe sur un chevalet, nue,
menottée, la chatte et l’anus libres. On les enduit d’huile d’olive. Je suis
solidement immobilisée dans cette posture dégradante, le postérieur plus haut
que la tête. Mes bras sont fixés le long des pieds avant, mes jambes le long
des pieds arrières, et une large sangle m'est passée au niveau de la taille.
Mes cuisses, légèrement fléchies sont empêchées de se resserrer par la largeur
de la poutre, ainsi d'ailleurs mes fesses que je me peux refermer. Je découvre
par un jeu de miroirs, une quinzaine d’hommes bien montés. Tous me sont
destinées.
Le premier m’encule. Pour me
stimuler, Natacha m’enfonce un gode dans la chatte.
Deux autres m’enculent à tour de
rôle. Je gratifie chacun d’une fellation. Puis trois me baisent puis d’autres
m’enculent à tour de rôle. Puis de nouveaux hommes m’enculent. On bouchonne
l’accès de ma chatte, remplie de spermes.
D’autres hommes m’enculent à
tour de rôle. Mais je connais l’orgasme anal.
On libère ma chatte. Debout, je
me soulage du sperme au-dessus d’une bassine entre mes jambes écartées. Mes mamelons
et mon clitoris sont tendus à l’extrême, mais je ne ressens pas la douleur.
Menottée, je suis à nouveau
baisée, enculée par cinq autres hommes.
Je suis à moitié évanouie par
mes nombreux orgasmes.
On me promène sur le chevalet,
du salon, vers une allée menant à un donjon, dans une tour.
Là, je fais la connaissance du
Marquis du Baiser des Sévices du Désir, un bel Apollon musclé, nu, cagoulé,
avec un mandrin impressionnant, long de vingt-deux centimètres et six de
diamètre, en érection.
- Voici, la nouvelle Jouisseuse
Anale, qui va apprendre les règles du « Domaine ». tu ne peux
t’échapper. Tout est surveillé, il y a des chiens qui sont en liberté, qui ont
eu le privilège de te faire goûter leurs sexes. Quand tu es prête, et fardée,
les paupières légèrement ombrées, la bouche très rouge, la pointe et l'aréole
des seins rosies, le bord des lèvres de ta chatte rougi, du parfum longuement
passé sur la fourrure des aisselles et du pubis, dans le sillon entre les
cuisses, dans le sillon sous les seins, et au creux des paumes. Tu es ici au
service de tes maîtres. Le jour durant, tu te prêtes. Nous fouillons tous les
accès de ton corps. Tu ne peux plus te dérober, les lèvres de la bouche
entrouverte, cuisses écartées, tu nous ouvres ta bouche, ta chatte et ton œillet.
Tu écartes ta jupe pour te donner. Tu n’es fouettée qu'entre le coucher et le
lever du soleil. Mais outre celui qui t’es donné par qui le désire, tu es punie
du fouet le soir pour manquement à la règle dans la journée : c'est-à-dire pour
avoir manqué de complaisance, ou levé les yeux sur celui qui te parle ou te
prend : tu ne dois jamais regarder un de nous au visage. Nos sexes sont à
découvert, pour que tu fixes uniquement ton regard, pour sucer. La journée, tu
ouvres tes vêtements, pour te prendre. En outre, à la nuit, tu nous suces,
cuisses écartées, les mains liées au dos, et nue ; tu es fouettée, les
yeux bandés ou saillie selon les envies. Tu es fouettée tous les jours. Tu es
contrainte. Laisse-moi t’enculer.
Je prends du plaisir, en
retardant mon orgasme anal. Le Marquis connaît son affaire. Il me remet mes
pinces à seins, pour me frustrer.
Puis il me libère du chevalet.
Il me veut encore : je me retrouve en appui arrière sur mes bras, cuisses
écartées, il enfile une gaine sur son mandrin encore en érection. Cet extenseur
rallonge son mandrin de quatre centimètres de longueur son mandrin et il est
élargi d’un centimètre. L’extenseur comporte des nodules et des picots souples
qui stimulent mon anus, dès qu’il m’encule. Je gémis l’anus arraché par les
picots. Il m’encule longuement, en me tenant la taille.
Je dois garder la pose pour
qu’un dogue allemand m’encule, l’anus béant. Je frotte mes seins, mes mamelons
et mon clitoris tendus contre son ventre, attachée à lui. Il éjacule en moi.
Le Marquis retire son extenseur
et éjacule dans ma bouche.
Il me met un bijou d’anus avec
une forme conique long de dix-huit centimètres et sept de diamètre. J’aime
avoir l’anus bien rempli.
Le Marquis me prend aux épaules
et aux jarrets, m’emporte.
Il me conduit à ma cellule, au
troisième étage. Mon anus est alourdi par le sperme.
Quand j’émerge, on me saisit les
deux mains. On fait glisser l'un dans l'autre les deux anneaux de mes
bracelets, ce qui me joint étroitement les poignets, et ces deux anneaux dans
l'anneau du collier. Je me trouve donc les mains jointes à la hauteur du cou.
Nue, les mains jointes à mon
cou, cuisses écartées, allongée sur le dos, sur un matelas, je découvre que la
cellule possède une petite ouverture et un éclairage constant. Il y a une salle
de bains avec une petite baignoire, avec un crochet pour m’enchaîner.
Un valet entre et me baigne à
l’eau froide, accroupie, cuisses écartées, les bras tendus en l’air. Je me
retiens de jouir sous l’éponge.
Une fois propre, le valet
m’insère une canule pour mon lavement anal à l’eau froide.
Il m’encule sauvagement, les
mains jointes à mon cou. Je me retiens de jouir. Il m’inonde largement l’anus.
Il me remet le bijou d‘anus en
place.
Au coucher du soleil, je mange
seule, agenouillée, cuisses écartées, dans ma cellule, avec mes doigts.
Les sodomies, se succèdent,
ainsi que les coups de cravache, de garcette et de martinet sur mes seins, aux
mamelons pincés. La garcette, de cordes assez fines, faite de sept lanières
terminées chacune par plusieurs nœuds, et qui sont toutes raides trempées dans
l'eau, car on m’en caresse l’intérieur des cuisses et le ventre. Je dors très
peu. Prosternée, cuisses écartées, pour me faire saillir par mes amants canins,
je ne compte plus mes orgasmes.
Les valets m’enculent et me fouettent
les yeux bandés, pour que je ne sois pas tentée.
Le lendemain à l’aube, je suis
levée, à moitié endormie, avec mon bijou d’anus, mains jointes à mon cou, nue,
pieds nus. on me retire les pinces à seins. Une longue chaîne est attachée à
l’anneau du collier. Je le suis, debout. Je marche sur les pierres. Je ne
compte plus les marches.
Lors d’une pause, nous
franchissons une porte que se referme derrière moi.
Le valet me retire la chaîne, je
dois rester seule, immobile, les yeux baissés.
- Alors, Jouisseuse Anale, tu as
pris ton pied cette nuit. Tu mouilles sous le fouet, tu jouis avec les chiens.
Tu te montres perverse et vicieuse, j’aime ça chez toi. Viens avec moi.
Le Marquis me fait sortir de la
tour, pour me mener au balcon. Les mains liées dans le dos, il m’enduit les
mamelons et le clitoris, comme après mon bain. Le vent frais remonte sur mon
corps. Je me retiens de gémir.
- Tu n’es pas encore docile. Tu
aimes le sexe sous toutes ses formes.
Après une demi-heure de caresses
de me seins, les mamelons pincés et étirés par de lourds poids, la chatte et le
clitoris tendu masturbés, je ne sais si je dois jouir ou gémir.
Il me ramène chez Eros, pour
continuer mon dressage. J’y passe la demi-journée, nourrie, menottée par
Natacha.
Après quelques minutes, je sens
tout d'un coup mon anus se relâcher, et sa main pénètre en moi assez rapidement
jusqu'au poignet. Je me sens complètement remplie. Je sens ses doigts bouger
dans mon anus. Sentant que je suis au bord de l'explosion, Natacha insère deux
doigts de son autre mains dans ma chatte, et fait simplement pression sur mon
point G. J'ai alors un orgasme comme je n'en ai jamais eu ! J'explose
littéralement de mouille, que Natacha lèche à la sortie de ma chatte ! Natacha
se retire de moi, mais je met quelques minutes à me calmer, avec Sophie dans
mes bras, jouant avec sa main qui il y a quelques instants était au plus
profond de moi.
- Tu es une vraie jouisseuse
anale. Même la main jusqu’à mon poignet te met en transe, ma chérie.
- Oh oui, j’aime ça, c’est presque
aussi gros qu’une queue.
La raquette en bois qu’Eros a
choisi ce soir est particulièrement solide et efficace. Il me frappe à toute
volée. Je suis obligée de me mordre les lèvres pour ne pas hurler. Je sens ma
mouille qui coule de plus en plus, tomber entre mes cuisses écartées. Je
pleure, ma chatte se transforme en fontaine, je suis mouillée, humide. Mes
fesses sont brûlantes, Eros me caresse avec sa main. Mes fesses doivent être
marquées, ses caresses ne me soulagent pas, bien au contraire.
- Tu es bien endurante. Tu as
envie de te soulager, après le plaisir de Natacha. Viens avec moi, dans le
jardin.
Pantelante, les mains jointes à
mon cou, nue et en mules, je rejoins le jardin au rez-de-chaussée, non loin
d’une piscine.
Eros me fait accroupir, cuisses
écartées. Je lâche un long jet de pisse et vide mes intestins. Un des dogues
allemands me lèche la chatte, pendant mes besoins. Je me retiens de jouir.
Penchée en avant, après mon
lavement, Eros me fouille l’anus avec trois doigts gainés de picots. Il commence
l’insertion avec deux doigts puis continu avec des mouvements de va-et-vient à
me dilater. Peu de temps s’écoule avant qu’il ne me mette un troisième doigt.
Je suis enfin bien ouverte, l’anus dilaté, je mouille comme une folle, je
gigote les fesses pour montrer à Eros que je prends du plaisir.
Le pouce d’Eros étant maintenant dans mon anus, je suis détendue, ainsi
que mon anus. Eros me caresse en même temps le clitoris tendu à l’extrême.
Il retire ses doigts et enfonce son mandrin, m’écarte bien les fesses.
Je sens qu’il remplit mon anus de sa pisse chaude. Une première pour moi, je
n’ai jamais connu cette pratique. Un orgasme surprise arrive, je ne peux
m’empêcher de faire ressortir une petite quantité de pisse à l’extérieur
coulant sur le sol. Je dois garder l’urine dans mon anus avec mon bijou d’anus
assez gros.
Humiliée, je suis fouettée jusqu’au repas de midi, où je peux me
soulager.
Fardée, parfumée, je porte ma nouvelle tenue : sur un corset très
baleiné, et rigoureusement serré à la taille, long et rigide, comporte des
goussets où reposent les seins. A mesure qu'on serre, les seins remontent,
s'appuient par-dessous sur le gousset, et offraient davantage leur pointe. En
même temps, la taille s'étrangle, ce qui fait saillir le ventre et cambrer
profondément les fesses. L'étrange est que cette armature est très confortable,
et jusqu'à un certain point reposante. La robe à large jupe dont le corsage
laisse les seins entièrement nus, remontés, par le corset, la jupe est
largement fendue devant jusque au-dessus du pubis et derrière juste au-dessus
de la naissance des fesses. En quelques jours mes zones sont devenues plus
sensibles, me paraissent en même temps devenues plus belles, et comme
anoblies : ma bouche refermée sur des mandrins anonymes, les pointes de
ses seins que des mains constamment froissent, et baisée et enculée à tout va.
Qu'à être prostituée je gagne en dignité.
Au réfectoire, assise cul nu, je bois un grand verre avec un mélange
incolore, contenant un stimulant sexuel et un micro émetteur. Je ressens une
étrange sensation, une vague irradie mes mamelons qui se tendent de façon
continue tout comme mon clitoris. J’ai un peu mal, mais mon anus et ma chatte
réclament une queue, de n’importe quel sexe. Ma mouille est abondante.
Les valets prennent un malin à me remplir l’anus de leur sperme ou de
leurs pisses. Des fois, certains me font sucer leurs mandrins pour que je sois
nourrie de leur sperme ou de leurs pisses. Ces jeux me pervertissent. Même, je
me retrouve les fesses recouvertes de pisses, après avoir été fouettée.
Après une semaine de dressage intense, je me réveille, nue, libre, dans
le lit du Marquis à mes côtés.
Le sperme dégoulinant de ma bouche, ma chatte et mon anus trahit une
nuit agitée, mes fesses et mes cuisses marquées par la cravache, la raquette en
bois, la garcette et le martinet, montrent combien que je suis soumise.
Le Marquis me baigne en personne, avant un long petit déjeuner, que je
prends agenouillée, cuisses écartées, les yeux baissés, devant lui, avec mes
pinces à seins et mon clitoris pincé. Nul besoin de continuer le traitement,
mes mamelons et mon clitoris sont constamment tendus vingt-quatre heures sur
vingt-quatre.
Le Marquis me destine vers d’autres amants : les transsexuels.
Dans une annexe, je suis livrée aux désirs de Sam, une brune aux petits
seins, au long mandrin et Val, une blonde aux seins plantureux, au gros
mandrin. Tous les deux me fessent, m’enculent, je les suce, nourrie de sperme
et de leurs pisses. Enculée en solo, ou prise en double pénétration, avec mes
pinces à seins, je suis la plus vicieuse des soumises, qu’ils ont connu.
Je dors en leur compagnie, prête à subir leurs envies nocturnes.
Au bout de la seconde semaine, je ne sais plus combien d’amants m’ont
prise, soumise à leurs désirs. Seuls ma chatte trempée, mon clitoris tendu et
mon anus assoupli trahissent ma soumission totale. Je porte les marques
maintenant presque effacées de la cravache, de la garcette sur le devant de mes
cuisses et mes fesses.
Je porte ma bague à l’annulaire gauche : une bague sertie d’un
petit anneau. Le Marquis me retire mes carcans, je suis devenue entre ses
mains, la soumise vicieuse, perverse et docile. Il sait que j’ouvre désormais
mon anus sur commande, prête à me faire enculer par le premier venu, homme ou chien.
Il m’avoue :
- Shawn, saches que tu es la bienvenue. Dans le centre du pays, il y a
un château qui t’attend, si tu es en manque de sensations. J’ai viré de
l’argent sur ton compte, pour les abattages subis.
Nathan me ramène. J’ai remis mon chemisier blanc sur mes seins nus, une
jupe fuchsia dont les pans s’écartent par-derrière sur mes fesses nues, pour
les dévoiler entièrement, prête pour me faire enculer. J’ai gardé mes mules à
hauts talons à mes pieds nus. Fardée, parfumée, je suis prête pour de nouvelles
aventures.
Arrivée à l’hôtel, vers quatorze heures, je rejoins une chambre,
simplement vêtue d’une nuisette blanche au décolleté transparent en dentelle
sur mes seins nus, avec une jupe courte dévoilant mes fesses nues et mes mules.
Là, je rencontre un bel Apollon du double de mon âge. Nous parlons de son
séjour. Il ne cesse avec son accent anglais, de regarder mes genoux, mes
cuisses écartées, je suis assise dans le fauteuil devant lui, mes mains et mes
lèvres mais si tranquillement, et avec une attention si précise et si sûre je
me sens pesée et jaugée et il voit à l'annulaire gauche la bague.
A la fin de l’entretien, il me tend la main droite, dans laquelle je
pose la sienne, et m’adressant enfin directement la parole, il remarque que mes
mains sont faites pour porter des fers, tant le fer me va bien.
Après le départ de l’équipe, je me déshabille, offrant entre mes
fesses, mon gros bijou d‘anus sculpté sur le sexe d’un dogue allemand.
Il me retire en me susurrant :
- Shawn, ou dois-je dire Jouisseuse Anale, tu es splendide. Rends-moi
les hommages.
Dans un 69, moi sous lui, le suçant, les fesses écartées, offrant mon
anus à sa langue jusqu’à mon clitoris tendu. Je jouis, bâillonnée, par le
mandrin de Sir Hercules, long de vingt-deux centimètres et six de diamètre,
caressant ses testicules. Je sais que je lui plais. Mon anus s’ouvre pour
recevoir jusqu’à trois doigts. Je mouille de plaisir.
- Quel plaisir, cet écrin tout humide, ton œillet s’ouvre avec
facilité, forcé, assoupli, me dit Sir Hercules.
Une fois prête, il m’encule d’une seule traite jusqu’aux testicules. Il
me fesse magistralement. Je m’empale en retour.
- Bien ouverte, tu as du en recevoir des sexes. Tu es facile, tu as
envie de tous les hommes qui te désirent. Ne dis pas un mot, jouis sur ma
queue, soumise.
Sans débander, je me redresse, pour toucher son buste musclé et velu,
son pubis velu frotte contre mes fesses brûlantes par les fessées. Il me masse
la chatte :
- Tu mouilles, ma belle. Viens sur ma queue. Tu aimes serrer et
détendre ton puits de soumise, quand tu prends ton plaisir. Tu vas me faire
éjaculer. Tes seins sont chauds, tes mamelons sont durcis. Laisse-moi les
étirer.
Mes mamelons sont pincés simultanément, décuplant mon jet de mouille de
ma chatte et de mon anus, mêlé à son abondante éjaculation.
Je me retire délicatement et je le suce dans un 69 torride, je suis
au-dessus de lui. Il se délecte de ma chatte trempée.
Nous prenons une douche et Sir Hercules m’invite dans son Falcon privé
pour me rendre au centre du pays.
Sir Hercules me pare d’une petite robe d’été fuchsia ne dissimulant
rien de mon corps, le décolleté pigeonnant, mes mamelons qui pointent dessous,
couvrant à peine mes fesses et je garde mes mules. J’ai remis mon bijou d’anus.
Une limousine nous dépose à l’aérodrome privé.
Après trois heures de vol, violée par les stewards, nous atterrissons
sur un aérodrome privé. Le Falcon 900 est rejoint par une limousine. J’y monte,
vêtue de ma robe du « Domaine 6999 », en mules, comme stipulé par Sir
Hercules. Je suis seule à bord, assise cul nu, cuisses écartées, sous le regard
du beau chauffeur, Nathan. Je porte mes carcans en cuir à mon cou, mes poignets
et mes chevilles.
Nous traversons la forêt vers un lac isolé.
Nous franchissons une première clôture gardée par des civils armés. Je
décline mon identité.
Deux cent mètres après, la limousine franchit une porte cochère au
portail ouvert, gardé par des hommes armés à cheval. Je suis toute excitée en
voyant le sexe des chevaux. De superbes étalons avec de superbes cavaliers,
cela m’excite.
Enfin, après un ultime contrôle, dans un sas, où je dois descendre,
pour être fouillée. On inspecte même ma chatte et mon anus. Je suis escortée
par deux maîtres-chiens dans un chemin en gravier vers un pavillon.
On me bande les yeux. Mes mains sont jointes à mon cou, une chaîne est
reliée à mon collier. Je suis les hommes. Des portes s’ouvrent sans bruit et se
referment.
Je me retrouve seule dans une petite pièce, entourée de nombreux
miroirs et glaces.
On me retire mon bandeau. Je découvre devant la petite pièce, une
grande pièce entourée de miroirs sur les murs et au plafond. Je
découvre, une jeune femme blonde aux seins plantureux, nue, pieds nus, sans
chaussures, avec une cagoule laissant apparaître son nez et sa bouche, libres.
Je garde les yeux baissés et la bouche entrouverte.
- Voici, Jouisseuse Anale,
bienvenue au Salon des Sévices, j’oublie. Appelle-moi Baron Dresseur. Je suis
l’ami du Marquis et de Sir Hercules. Tu connais O la Mystérieuse, elle t’a
accompagnée au « Domaine 6999 ». Maintenant, sa chatte est percée de
lourds anneaux dorés pour sa chasteté, son gros clitoris est percé d’un gros
anneau avec une pierre précieuse pour l’étirer et tu remarques aussi que O
porte marqué au fer rouge sur son pubis totalement épilé, tout comme sa chatte,
un V pour vicieuse. O ne voit la lumière qu’à la tombée de la nuit. Faites
entrer les autres invités.
La porte s’ouvre et je découvre
un mystérieux couple, une superbe femme brune, coiffée à la garçonne, aux
petits seins, aux mamelons tendus percés de lourds anneaux, un superbe collier
de chien, qui garde sa tête immobilisée et droite, sa bouche est gardée ouverte
par un bâillon O, un corset est étroitement serré, sa chatte et son pubis
totalement lisses, sont couverts de spermes frais. Entre ses cuisses, se
balancent deux longues chaînes avec un anneau perçant chacune de ses grandes
lèvres de sa chatte, relié à une lourde clochette qui tinte à chacun de ses
pas. La brune est chaussée de mules à plate-formes. L’homme qui l’accompagne
est nu, le mandrin en érection, enserré des anneaux péniens alourdis par des
poids sur une partie du mandrin, ses testicules sont séparés, étirés et
gonflés. Ses testicules sont bien étirés en les séparant comme deux clémentines
bien fermes : chaque testicule devient bien gonflé et beaucoup plus sensible.
Il porte aussi un splendide parachute à testicules. Le parachute se fixe à la
base des testicules en formant un cône en cuir qui emprisonne les testicules,
des poids sont fixés à l’anneau placé sous les trois chaînettes. Ses testicules
sont bien étirés et gonflés. C’est la première fois que je vois un homme avec
un tel dispositif. Il porte aussi une grosse boule anale reliée aux anneaux
péniens par une tige en fer. L’homme est tatoué aux testicules à l’encre noire de
son prénom de soumis. Il porte aussi un bâillon O, un fourreau bras et épaules
pour l’immobiliser. Ses seins ont poussé. Tous les deux ont les yeux baissés.
- Jouisseuse Anale, voici les
soumis du Salon : Anale Désir, la reine des saillies anales par quinze
doberman en tournante, ce qui est un record, abandonnée par le Marquis pour
mauvaise conduite, ferrée et marquée au fer rouge par Eros. Quant à Rose la
Transsexuelle, elle a trahi son amant, Sir Hercules, car elle a violé peu après
sa transformation, deux soumises lesbiennes. Sir Hercules l’a fait corriger au
Haras du Vices. Regarde, Jouisseuse Anale, la longueur de cette queue que tu
désires. Vingt-trois centimètres, que tu ne peux que sucer avec Anale Désir. Il
a été castré et ne peux éjaculer. Au travail, mes beautés, sans les mains.
Accroupie, la jupe ouverte sur
mes fesses, je m’exécute. Je lèche le gland circoncis, tandis qu’Anale
Doberman, lèche les testicules. Rose se contorsionne, enchaîné par l’anneau de
son fourreau.
Après avoir sollicité le gland,
j’embrasse Rose sur la bouche, dans un long baiser, suggéré par Baron Dresseur.
La bouche ouverte d’Anale Doberman embouche le gland.
Le Baron me doigte l’anus libre
jusqu’à quatre doigts tandis que je continue à embrasser Rose.
Le Baron m’invite à frotter mes
seins aux mamelons tendus contre les seins de Rose. Je suis excitée, fouillée
analement, seins contre seins, bouche contre bouche.
- Tu mouilles ma belle.
Sans attendre, le Baron m’encule
et j’embouche le mandrin de Rose. Il entre et sort pour me faire jouir. Fesses
nues, il me cravache pour m’encourager.
Cela dure une éternité. Anale
Doberman s’éclipse. J’entends ses mules claquer dans l’escalier en marbre.
Pantelante, je me retire, les
fesses zébrées et brûlantes, les yeux baissés.
- Tu es docile, Jouisseuse
Anale. Va rejoindre Anale Désir, avec le valet Valentin.
Je monte à mon tour, l’imposant
escalier de marbre qui mène aux cellules. Je monte jusqu’au troisième étage, en
prenant de garder ouverte l’arrière de ma jupe, sur mes fesses nues zébrées,
sans mon bijou d‘anus.
Baron Dresseur m’informe pendant
que je monte les marches :
- Jouisseuse Anale, Rose sera
punie pour mauvaise conduite envers toi. Nous lui poserons de nouveaux poids et
le fouetterons jusqu’à l’aveu de sa faute.
Au troisième étage, je découvre
que les cellules possède un lit ordinaire, une salle de bain, et une penderie.
Les portes des chambres ne ferment pas à clé, et les valets et les Maîtres
peuvent y entrer n'importe quand dans la nuit, que les filles passent
enchaînées.
Le valet m’aide à me
déshabiller. Le soleil est couché. Le valet inspecte mon corps, fouille ma
bouche, pelote mes seins, étirant mes mamelons tendus, écarte mes fesses pour
me doigter l’anus, ma chatte et mon clitoris ne sont pas épargnés par ses
caresses sensuelles et jouissives. Je me retiens de jouir sous ses doigts, les
yeux baissés, la bouche entrouverte.
Déchaussée, je rejoins la salle
de bains. Valentin me menotte au crochet au-dessus du bac de la douche, les
bras tendus en l’air, sur la pointe des pieds, cuisses écartées, devant un
grand miroir, reflétant mon corps exposé. Malgré l’inconfort, je sens aussi un
doigt savonné de Valentin m’enculer et investiguer mon anus pour le laver
soigneusement et il m’enfonce une canule, moulée sur un gode réaliste, montée à
l'extrémité du flexible de la douche, par laquelle je suis aspergée d'eau
tiède. Cela m’excite, mais je me retiens de jouir. Je sais que je serais
propre. Pendant toute la durée du lavement, Valentin me frotte le dos et les
fesses, les seins, la chatte, décalotte mon clitoris tendu pour le nettoyer. Je
garde la tête baissée, les yeux baissés. Valentin sait m’exciter. Après un
premier lavement, il recommence jusqu’à ce que j’expulse une eau propre. Il me
rince les pieds.
Une fois propre, le collier et les bracelets de cuir sont durcis par
l’eau, me serrent davantage. Valentin me détache, joint mes poignets à mon cou
et m’encule sauvagement devant le miroir, penchée en avant, les fesses
écartées, sur la pointe des pieds.
- Tu es bien chaude, après la douche. Tu aimes te faire défoncer le
puits, la Maîtresse.
Je n’ose répondre. Je retarde mon orgasme, pendant qu’il éjacule en
moi. J’ai mon orgasme anal discret, quand il me remet le bijou d‘anus.
Je me rechausse et je découvre ma chambre que je partage avec Anale
Désir qui est menottée, prosternée sur le lit, cuisses écartées. La bouche
remplie par un imposant sexe. Ses seins penchés en avant, une chaîne relie
chacun de ses mamelons percés aux anneaux de sa chatte.
- Tu vois, Anale Désir, attend ses mâles jusqu’à l’aube. Toi aussi, tu
auras ton harem. Mais avant, au troisième étage, se trouve la salle des sévices
et des plaisirs.
J’y découvre une grande pièce, tous les murs, le plafond, l'envers de
la porte, et jusqu'au sol, molletonnés de satin. Deux barres verticales en bois
blond, espacées d'un bon mètre, sont été plantées au milieu, sur toute la
hauteur de la pièce. Elles sont régulièrement percées pour permettre d'ajuster,
au moyen de goupilles, la position de quatre anneaux d'acier qui y sont suspendus,
deux en l'air et deux au sol. Deux autres barres verticales font face. On peut
fouetter deux soumises en même temps. Des miroirs et des glaces couvrent les
murs et les plafonds. Une grande fenêtre donne sur le parc. Pieds nus, je
marche sur le sol moelleux. La pièce est capitonnée, comme la porte. Sur un
mur, cloutés, plusieurs cravaches différentes, deux un peu épaisses, deux fines
au contraire, un fouet de flagellant à longues lanières de cuir, chacune
repliée et formant boucle à son extrémité, un autre de cordelettes à nœuds, un
fouet de chien fait d'une seule et dure lanière de cuir dont le manche est
tressé, enfin des carcans. Aux extrémités des manches des fouets et des
cravaches, il y a des anneaux que l'on peut accrocher aux crochets des clous X,
ce qui permet d'enlever et de reposer chaque fouet facilement ; avec les
bracelets.
Je suis subjuguée par le panneau. Mes fesses n’attendent que cela.
Déchaussée, Valentin m'attache en croix, jambes écartées et bras en
l'air, faisant glisser mes poignets et mes chevilles dans les anneaux qui se
ferment comme des menottes. Je suis sur la pointe des pieds.
Valentin me masturbe frénétiquement la chatte et le clitoris tendu à
l’extrême.
Une heure plus tard, effondrée entre les deux barres, seulement retenu
par les bras, j’ai les seins, le ventre, et les cuisses zébrés de fraîches
traces de cravache, devant Baron Dresseur.
- Je t’aime ainsi, Jouisseuse Anale, pantelante, le corps zébré, la
chatte et l’anus trempés par le désir. Tu me plais.
Il m’embrasse langoureusement sur la bouche.
Il me détache, je me rechausse et j’assiste, empalée, enculée sur le
mandrin du Baron Dresseur. Son bassin ondule pour montrer son désir anal à ses
amants. Tous restent longuement attachés à elle.
Je retarde mon orgasme, mes mains jointes à mon cou.
Le Baron Dresseur se retire et éjacule longuement sur mes fesses,
m’abandonnant voyeuse. Je voudrais me caresser, pour jouir à mon tour.
A mon tour, je suis enchaînée à mon lit, l’anus enduit d’huile d’olive.
Prosternée, cuisses écartées, je suis enculée d’une seule traite. Mes orgasmes
se succèdent. Après trois bergers allemands, pour me préparer, dix hommes se
relaient. Je le suce en échange. J’aime leurs spermes.
Malgré la fatigue, l’anus béant et dégoulinant, je suis fière.
Le quatorzième hommes m’achève.
Je suis en sueur.
Valentin caresse mes fesses.
Il me fait boire, me fait un lavement, avec une canule suspendue
au-dessus de mes fesses.
Les sodomies reprennent jusqu’à une partie de la nuit.
Enchaînée, allongée sur le dos, les mains jointes à mon cou, je m’offre
cuisses relevées, à la cravache, à la garcette et à la chicotte. C'est un engin
fait en deux parties, d'une part un manche en bois verni et de l'autre une
tresse en cuir noir, reliés ensemble par une boucle qui forme charnière, de
telle sorte que, quand on l'utilisait avec habilité, le coup de poignet sur le
manche donne encore plus de vitesse à la tresse en cuir. Sous la chicotte, je
gémis plus. Mes fesses et l’arrière de mes cuisses sont zébrées et brûlantes.
Pour m’achever, le valet qui me fouette, m’encule dans la même position. Il me
bloque les cuisses, en traction contrôlée. La sodomie est jouissive par leurs
gros mandrins. Je retarde mes orgasmes pour être bien inondée.
Je garde la position jusqu’à l’aube, pour me faire saillir. Les chiens
me lèchent le visage en m’enculant. Mon anus est plus facile d’accès.
A l’aube, les jambes ankylosées, on me détache, pour que je marche,
pieds nus, les mains jointes à mon cou, avec mon bijou d’anus en place pour
garder le sperme. Je rejoins le rez-de-chaussée. Le vent frais cingle mes seins
et mon clitoris.
- Pour une nouvelle, tu as sacrément pris ton pied, enculée. Admire,
tes futurs amants auxquels te destinent le Baron.
Je découvre trois superbes hommes cagoulés, torse nus, portant un fouet
à la ceinture, bottés, leurs mandrins nus et libres, en érection.
On me retire le bijou d’anus.
L’un d’eux m’encule.
- Comment s’appelle cette jeune beauté aux plaisirs équins ?
demande l’un des hommes, en faisant passer les lanières de son fouet entre mes
cuisses humides et dégoulinant de sperme équin.
- C’est Jouisseuse Anale, une des protégées du Marquis
du Baiser des Sévices du Désir, une experte.
- C’est vrai, qu’elle donne
envie de se faire enculer par des hommes, dit le second, en me relevant le
menton. Je garde les yeux baissés. Tu me la réserves. Elle jouira avec moi.
Nous retournons à la chambre. Je
dors très mal, envahie de sodomies. Je ne peux refermer mes cuisses par la
barre d’écartement. Ma mouille se mêle au sperme équin.
Pendant la semaine qui suit au
Salon des Sévices, je connais mes premières saillies anales équines. J’ai un
peu mal la première fois malgré que je m’ouvre bien. En quelques jours, de
sodomies d’abord deux à trois puis jusqu’à six par jour, je suis prise
d’orgasmes anaux incontrôlés, enculée par mes amants, que je suce avec amour,
pour les nettoyer. Le Baron Dresseur me filme et me photographie pour que Sir
Hercules et le Marquis puissent voir mes progrès.
J’en oublie carrément que je
suis présentatrice. Mais le réalisateur utilise ma doublure photo.
Le réalisateur paye mon
instruction et a droit à quelques-uns de mes photos de ma soumission.
Certains jours, je peux rester
soit à l’écurie près du lac, soit au chenil à la première clôture ou au sas.
Les valets ne m’enculent qu’après m’avoir longuement fouettée.
Je suis fière des marques de
fouet sur mes seins, mes fesses, mes cuisses, mon dos et mes reins.
Selon les vœux de Baron
Dresseur, un matin, enchaînée à mon lit, je suis intégralement rasée, offrant
mon anus, ma chatte trempée et mon anus béant, totalement lisses comme une
jeune fille.
Je porte un bâillon-pénis,
prosternée, cuisses écartées, après mon épilation à la cire chaude, pour être
marquée sur mon épaule gauche d’un V au fer rouge et d’un V sur mon pubis. Ceux
sont les marques officielles des soumises du « Domaine 6999 ». Mon
gros clitoris tendu à l’extrême de façon constante fait l’objet d’une attention
particulière. On le perce pour me poser un anneau doré pour le mettre en
valeur, avec une pierre précieuse. Quand on me libère, mon clitoris est
immédiatement tiré vers le bas. Une masturbation de mon clitoris par le Baron
Dresseur me fait jouir en silence.
- Très bien, ton clitoris percé
augmente ton excitation. Tu portes désormais tes marques au fer rouge sur ton
corps, pour te faire reconnaître. Il manque encore tes fers à ta chatte. Ce
sera pour plus tard. Tu vas quitter le Salon des Sévices, tu as le niveau
requis. Regarde ton nouveau corps, ta taille est affinée par le port du corset,
tes seins sont plus désirables par tes mamelons tendus, ton gros clitoris est
mis en valeur par l’anneau et désormais ton épaule gauche et ton pubis
totalement lisse portent les marques de ta soumission totale, consensuelle. Tu
les montres en dénudant ton épaule ou en soulevant ta jupe, pour exhiber ton
pubis marqué et ton clitoris percé. J’ai prévu un rendez-vous à trois heures de
vol du Salon des Sévices. Nous prenons un hélicoptère pour embarquer quelques
invités du rendez-vous. Va te préparer. Anale Désir va te farder et te
parfumer. Tu vas garder tes carcans pour le vol.
Le Baron fixe ensemble, derrière
mon dos, les deux anneaux de mes bracelets, me mettent sur les épaules,
attachée à mon collier, une longue cape rouge qui la couvre tout entière, mais
s'ouvre quand je marche puisque je ne peux la retenir, ayant les mains
attachées derrière le dos. Je garde mes mules à mes pieds nus.
Un EH-101 VIP, immatriculé aux
Bermudes, nous attend, dehors dans le parc près du pavillon. Je m’assois cul
nu, la cape retirée, cuisses écartées. Je porte un bâillon-pénis en bouche, une
cagoule qui limite ma vision et je suis empalée, enculée sur un gode équin me
rappelant mes saillies.
Nous faisons une pause après une
heure de vol, sur le toit d’un luxueux complexe. Le « Domaine des
Vicieuses ». Là, un couple élégamment vêtu me font face, me dévisage. Les
yeux baissés sous la cagoule, j’aperçois le superbe mandrin bandant et le
sexe totalement de son épouse, qui porte aussi des anneaux aux lèvres de sa
chatte. Les prénoms du couple sont Duc de Mille Plaisirs et Marquise Bijou de
Vices.
Lors d’une nouvelle après trois
quart d’heure, cette fois nous posons sur le pont d’un yacht sur un fleuve,
nous embarquons une superbe beauté au bustier seins nus, dévoilant ses mamelons
percés de lourds anneaux dorés, sa jupe relevée dévoile son pubis marquée au
fer rouge d’un S et d’un D entrelacés. La femme se prénomme la Comtesse
Orchidée de Braise.
Enfin, à un quart d’heure de
l’arrivée, nous posons sur l’hélisurface d’un complexe. Un bel Apollon vient me
lécher la chatte. Je me laisse faire. Cela plait au Comte Sade Mille Désirs.
Le lieu du rendez-vous est isolé
du monde, dans les bois. La zone est entourée de trois clôtures pour sa
sécurité.
On m’aide à descendre. Le Baron
me remet ma cape. Je mouille de désir.
Tenue en laisse par mon collier,
je suis le Comte Sade. Nous traversons un couloir où nous sommes fouillés.
Je découvre un complexe
souterrain, éclairé par des fentes dans le toit, laissant entrer la lumière
extérieure. Il y a de nombreux miroirs et glaces, dans de grandes pièces. J’y
découvre d’autres soumises, menottées, suspendues, violées par des geôliers,
clients ou autres. Je n’ai pas le temps de regarder.
Je descends un grand escalier en
marbre. Quelques femmes très décolletées et des hommes en spencer se figent à
mon passage. Je semble plaire. Certains me caressent entre les cuisses,
dénichant mon gros clitoris, ou pelote mes seins aux mamelons tendus.
« Qui est-ce, disent-ils, à qui
est-elle ?
A vous si vous voulez », répond
le Baron.
Je rejoins un trône au centre
d’une immense pièce où les couples dansent, font l’amour. Je retrouve mon
vibromasseur équin, qui m’encule. Je jouis dans mon coin, sous les montées et
descentes, mes mains restent menottées dans le dos, à un crochet. On fixe des chaînes
aux bracelets de mes chevilles.
Je reste sur ce trône, offerte.
Certains s’approchent pour voir les mouvements de mon bassin, caressent ma
chatte et me font goûter ma mouille abondante. Mes orgasmes se succèdent. On me
fait boire. Une coupelle sous mes cuisses me permet de me soulager. Je bois mon
pipi, comme toute soumise docile. Des fois, on asperge mon pubis lisse de mon
pipi. Je m’accommode de mon odeur.
Les mouvements du vibromasseur
s’arrêtent. Je suis détachée, pantelante. Je ne sais quelle heure il est. Mains
jointes à mon cou, sur un chevalet, au centre de la pièce, je suis sauvagement
enculée et fessée, sans obtenir mon plaisir ni mon orgasme anal. Je ne compte
plus mes partenaires humains, canins et transsexuels. J’avale à chaque fois.
Profitant de ma fatigue, on
perce mes grandes lèvres pour les fers. Les fers qui trouent les deux grandes
lèvres de ma chatte et portent en toutes lettres qu'elle était la propriété du
Baron, me descendent jusqu'au tiers de la cuisse, et à chacun de mes pas bougent
entre mes jambes comme un battant de cloche, le disque gravé étant plus lourd
et plus long que l'anneau auquel il pend.

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