Je m’appelle Shawn.
J’ai 20 ans.
Je suis une jolie beauté scandinave.
Je suis une brune aux yeux verts. J’ai des pieds fins et
latins, des jambes longues bronzées, musclées qui inquiètent par leur
perfection. Mon pénil est bombé, ouvert, couronné de noir. Ma pilosité brune
couvre mon pubis. Ma chatte est totalement velue entre les cuisses et j’ai une
superbe croupe. Les lèvres de mon sexe sont une plaie rouge entre mon
entrecuisse lisse. Mes hanches s'incurvent et délimitent le ventre plat,
délicieusement renflé autour du nombril, les hanches sont larges et rondes,
mais sans lourdeur. La taille est affinée. Les seins parfaits intégralement
bronzés sont un peu volumineux mais fermes, et leurs pointes marron clair,
toujours dressées, cernées par une large aréole marron attirent le regard. J’ai
une peau lisse et patine. Finition parfaite, un seul grain de beauté entre mes
superbes seins. De longs cheveux plats blonds flottant comme des algues,
battent mes épaules rondes et gracieusement athlétiques. Je suis intégralement
bronzée. Mes yeux verts limpides s'allument, ma bouche charnue se fend. J’ai
des sourcils bruns bien dessinés et des lèvres pulpeuses. J’ai de longs doigts
fins et de belles mains. Je fais du 90B de poitrine, 56 de taille, 90 de
hanches, 1,72 m.
24 heures de soumission
Début juin, je suis responsable de la communication
d’une écurie de voitures d’endurance.
J’ai de nombreux amants. Je couche en moyenne avec
trois par jour.
J’ai perdu ma virginité accidentellement peu après
mes dix-huit ans, avec mon père, excité par ma masturbation. J’ai connu mon
premier orgasme avec lui.
Je me refuse à la sodomie.
Parmi les participants, se trouve l’écurie Toyama
avec une voiture électrique hybride à cockpit fermé avec quatre roues motrices,
l’écurie Orchidée avec une voiture conçue sur son propre châssis à cockpit
fermé et un nouveau moteur diesel, l’écurie Vision, une monocoque à cockpit
ouvert avec un moteur V8 diesel, l’écurie Monaco, une voiture à cockpit ouvert
avec un moteur V6 à double turbo.
Je suis au sein de l’écurie Orchidée. Nous disposons
d’un stand, d’un camp d’assistance technique avec un ensemble routier et d’une
loge sur le circuit. Pour chaque voiture, il y a un responsable du
ravitaillement, un pour le contrôle voiture, un pour l’extincteur, un pour la
vanne de sécurité, un pour l’habitacle, quatre mécaniciens et deux responsables
pour les pneus. Nous avons engagés deux voitures.
Dans l’heure qui suit le départ, je quitte le stand
pour rejoindre l’assistance, vêtue d’un tailleur fuchsia avec une jupe droite
mi-longue sur mon chemisier blanc, cachant mon soutien-gorge et mon slip en
dentelle transparente, mon porte-jarretelles et mes bas blancs, chaussée
d’escarpins blancs à hauts talons.
Mais en passant devant une remorque neutre, je me retrouve
endormie.
Quand je me réveille, je suis allongée sur un grand
lit, nue, pieds nus, allongée sur le ventre. Je suis, attachée en croix sur le
lit, bras et jambes écartés. Un écran diffuse en direct la course sans le son.
La Toyama 2 est en tête, devant l’Orchidée 8 et la
Vision 12.
Ma vision est limitée par des œillères et un collier
immobilise mon cou.
- La Barbie du paddock est bien sage, dans cette
position, dit une des voix, à fort accent anglais.
- Regarde, comme elle mouille, dit une autre voix, à
fort accent allemand.
Soudain, on m’insère un bijou d’anus de petite
taille dans mon anus vierge, maintenu par une ceinture de contrainte qui
m'oblige à le garder en moi :
- Tu va être contrainte de garder ça, ok ? On va
t'élargir ton adorable petit cul pour ensuite te prendre par là. En attendant
on va te regarder te tordre de plaisir, dit l’allemand.
Le bijou d’anus vibre dans mon anus.
En même temps, je suis baisée, la chatte resserrée
par le bijou d‘anus. Je connais le plaisir à chaque mouvement de mon bassin.
Vers quinze heures, baisée par deux ou trois hommes,
avec de longs mandrins, je suis cravachée sur les fesses. Je gémis.
- Tu vas voir, d'ici peu, tes fesses vont virer au
rouge écarlate comme des petites pommes bien mûres, zébrées et brûlantes, dit
l’anglais.
Une des mains masculines me doigte la chatte et
caresse mon clitoris qui se tend, sous l’excitation.
- Quelles superbes fesses musclées, elle a besoin
d’un bon dressage, dit le hollandais.
- Regardez, elle est toute humide par-devant. Elle
ruisselle, dit l’australien. Elle adore ça, être cravachée.
Un des hommes me retire le bijou d’anus, après avoir
caressé ma chatte trempée. Je jouis.
- Sa chatte est en feu, s’ouvre sous mes doigts.
-Prenons-la
maintenant par son œillet qui est un peu serré. Elle est encore vierge par là.
Sans attendre, un des hommes, au gros mandrin,
m’encule sans ménagement.
- Ecarte les fesses. Ouvre-toi bien : ça va rentrer
tout seul, pousse fort...
J'obéis, mais le passage du gland au travers de ma
collerette anale me fait tout de même mal. Son mandrin repousse mes tissus
s'ouvrant littéralement un chemin entre mes fesses vierges. Enfin, je sens son
ventre contre mes fesses.
- Je suis jusqu’aux testicules. Elle est bien
lubrifiée, une fois cravachée.
- Elle va apprendre à être enculée, jolie beauté. Tu
dois connaître le plaisir par tous les trous, au plus profond.
Un autre m’enfonce son mandrin dans ma bouche et je
dois le sucer pour étouffer mes gémissements.
Peu à peu, la douleur de mon anus forcé cède la
place à un certain plaisir, puis à un plaisir certain. Je connais mon premier
orgasme anal sans me caresser.
- Je vais éjaculer en toi, ma belle.
En effet, un long jet de sperme chaud m’inonde, puis
trois hommes m’enculent à tour de rôle. Je prends du plaisir avec mes
mouvements de mon bassin et en jouant avec mon muscle anal.
On éjacule dans ma bouche, je dois tout avaler.
Vers dix-sept heures, je découvre que la Monaco 14
et la Vision 11 ont connu des pannes moteur et des crevaisons, que les deux
voitures Orchidée sont au garage et les deux voitures Toyama mènent la course.
Pantelante, j’ai droit de boire.
- Tu vas devenir rapidement docile. Nous allons te
mettre sur un chevalet pour un nouveau plaisir.
Je suis détachée, mon anus dégouline de spermes, mes
fesses sont brûlantes par les nouveaux coups de cravache que je reçois.
Installée sur le chevalet, menottée, les yeux
bandés, je reçois simultanément un sexe en bouche et un qui m’écartèle l’anus.
Je sens une boule qui m’écartèle davantage.
- Très bien, elle est attachée à son amant.
Laissons-la.
Au bout d’une heure, je reçois une longue
éjaculation de spermes chauds, tandis que j’atteins mon quatrième orgasme anal.
L’anus béant et débordant de spermes, une langue
râpeuse me lèche avant un nouvel assaut. Le sexe est plus gros. Je n’ai aucun
mal à l’accueillir jusqu’à la boule.
- Adam pour l’entrée, voici Balzac pour le plat de
résistance, tu aimes ça les grosses queues.
L’assaut dure trois quart d’heures.
Enfin, un autre sexe m’encule pendant près d’une
heure.
On me retire le bandeau et on me met un
bâillon-pénis et de lourdes clochettes à mes mamelons tendus d’excitation.
- Cela va t’apprendre à sensibiliser les seins et
les mamelons.
J’ai mal, je ne sens plus mes mamelons devenus
froids et durcis.
Je découvre Adam, un superbe berger allemand, au
sexe de dix-sept centimètres de long pour cinq de diamètre, Balzac, un doberman
au gros sexe et Lancelot, un dogue allemand, au sexe de vingt centimètres de
long et six de diamètre.
- Regarde tes nouveaux amants. Ils t’ont enculé avec
amour. Tu as aimé, beauté.
- Désormais, à la fin de ton dressage, tu es service
de tes maîtres. Tu restes nue, pour que nous puissions honorer ta bouche, ta
chatte et ton œillet qui nous sont ouverts. Tu ne peux te dérober, tu gardes
toujours les lèvres entrouvertes, tes cuisses restent écartées, pour l’accès à
ta bouche, ta chatte et ton œillet. On te fouette pour ton manque de
complaisance, ou lever les yeux sur celui qui te parle ou te prend : tu
regardes uniquement nos sexes à découvert, tout comme ceux des chiens, pour
sucer. Tu es fouettée pour ton instruction. Tu seras constamment nue sous tes
tenues à la fin de ton dressage, pour être pénétrée et t’asseoir cul nu. Tu
dois rester silencieuse, et obéir. Tu n'ouvres désormais ici la bouche, en présence
d'un homme, que pour crier ou caresser.
D’autres inconnus m’enculent jusqu’aux six heures de
course, entrecoupées de saillies anales canines et de coups de cravache.
Vers vingt-deux heures, je suis menottée sur mon
lit, sur le dos, les mains jointes à mon cou avec un collier et des bracelets
en cuir, une barre d’écartement fixée à mes bracelets de cheville, m’empêchent
de resserrer les cuisses. Je me soulage debout, au-dessus d’un seau. Le devant
de mes cuisses est aussi zébré. Mes carcans en cuir sont faits : en plusieurs
épaisseurs de cuir, chaque épaisseur assez mince, au total pas plus d'un doigt,
verrouillés par un système à déclic, qui fonctionne automatiquement comme un
cadenas quand on le referme, et ne peut s'ouvrir qu'avec une petite clé. Dans
la partie opposée à la fermeture des bracelets, pris dans le milieu des
épaisseurs de cuir, et n'ayant presque pas de jeu, il y avait un anneau de
métal, qui donne une prise pour fixer, et qu'on positionnait du côté intérieur
du poignet. Pour le collier, l'anneau pend devant le cou, reposant sur la
saillie des clavicules, et brinquebale au rythme des mouvements de celui qui le
porte.
Je subis ma première d’une longue série de double
pénétration, l’anus bien assoupli par les chiens.
Enfin, je suis menottée debout, sur la pointe des
pieds nus, avec mon bâillon-pénis, mes clochettes à mes mamelons tendus et aux
grandes lèvres humides de ma chatte entrouverte, dégoulinante. Mon anus est
rempli par un gros bijou d’anus à picots.
On me marque les fesses au fer rouge des lettres S
et V, pour Sévices et Vices. On tatoue juste au-dessus de la naissance de mes
fesses, les initiales V et D pour Vicieuse Désir et on me perce les grandes
lèvres de ma chatte de deux anneaux dorés.
Je suis à moitié évanouie, portée à bout de bras, à
l’extérieur, à l’abri des regards.
L’aube se lève. Les hommes qui m’accompagnent, me
masturbent la chatte, mon clitoris et pelote mes seins. Je jouis sous le
bâillon, les mains liées dans le dos.
- Elle a besoin d’être caressée, cette beauté, après
les sévices subis. C’est sa récompense.
- Elle a aussi besoin d’être enculée, elle aime ça.
J’hoche la tête, les yeux baissés.
Les sodomies reprennent avec d’autres inconnus et de
nouveaux chiens. Mon anus est alourdi, mais j’ai droit à des lavements à l’eau
froide.
Le lendemain, vers onze heures, on me rase la chatte
et le pourtour de l’anus, pendant ma douche à l’eau froide. Je revis. Les
hommes m’apprennent à me maquiller la bouche, les seins et la chatte.
Ce n’est que vers quatorze heures, rhabillée, nue
sous mon tailleur, le chemisier sans bouton, mes pieds nus dans mes escarpins,
que je quitte la remorque.
Je rejoins l’équipe. Toyama 1, Orchidée 7, Monaco 13
et Vision 12 sont dans le même tour, à quelques secondes d’écart.
Soudain, je m’effondre, inconsciente.
Je suis hospitalisée, évacuée par hélicoptère.
Je reste trois jours dans le coma, nue sous ma
blouse.
A mon réveil, l’inspectrice Eva et la psychologue
Claire m’interrogent. J’ai une extinction de voix.
- Tu as sacrément prendre du plaisir. Pendant ton
coma, tu n’arrêtais pas de jouir. A chaque fois, ta chatte était trempée, tes
mamelons et ton clitoris étaient tendus, me dit Eva.
Je lui tends des messages sur mon viol.
- Ma belle, tes violeurs t’ont marqué au fer rouge
et t’ont tatouée et tu portes aussi des anneaux à la chatte. Tu dois sacrément
être une bonne soumise sexuelle, dit Claire, en soulevant ma blouse, pour voir
ma chatte nue.
- Claire, elle prétends avoir été enculée par des
chiens. Voilà, l’explication de sa béance de son œillet, quand on l’a
découverte.
- Oui, on a même retrouvé du sperme canin mélangé au
sperme humain. Elle a du bien aimé ça.
Après leur départ, je prends ma douche. Je découvre
mes marques au fer rouge, hautes de trois doigts et larges de moitié leur
hauteur, sont creusées dans la chair comme par une gouge, à près d'un
centimètre de profondeur. Je découvre mon tatouage et à mes grandes lèvres de
ma chatte humide, mes anneaux dorés.
Je suis devenue une soumise sexuelle en moins de
vingt-quatre heures.
Je reste jusqu’au samedi matin à l’hôpital.
Je suis transférée dans une discrète maison de
repos, sous une fausse identité, où je suis attirée par les infirmières, qui me
pelotent les seins, me doigtent ma chatte voir mon anus, pour me faire jouir.
Le directeur, un homme plus âgé que moi, n’hésite
pas à me fesser cul nu dans ma chambre. Je jouis.
Début juillet, je sors de la maison de repos, en
compagnie d’Eva et Claire.
Un doberman m’approche. Je suis nue sous ma petite
robe d’été, sans slip ni soutien-gorge et en sandales à hauts talons.
Il vient flairer ma chatte.
Je me laisse faire et je jouis devant Eva et Claire.
Je réussis à noter le numéro du chien dans son oreille. C’est Balzac.
Eva fait ses recherches et aboutit à un chenil non
loin du circuit. Là, le propriétaire les informe qu’un groupe de clients
fortunés, de trois écuries de course automobile, un allemand, un anglais et un
américain, accompagnés d’un représentant du groupe international S V, qui
détient des parts dans Orchidée, lui ont demandé trois chiens de garde,
habitués à monter des femmes. Ils ont payé en espèce. Le propriétaire a gardé
discrètement une photocopie des passeports. Les trois suspects sont arrêtés et
interrogés non loin de leurs usines. Ils nient les faits.
Mais je confirme par l’enregistrement audio des
voix.
Je retrouve le propriétaire quelques jours après,
profitant de ma journée de sortie. J’ai pris un taxi.
L’homme, prénommé Sir Alban, n’est surpris de mon
retour et me dit :
- Alors Vicieuse Désir, tu as envie de te faire
monter. Cela t’a manqué.
Je suis juste vêtue d’un tee-shirt blanc moulant mes
seins aux mamelons tendus et d’un mini-short fendu à l’entrejambe et des mules
à hauts talons que j’ai acheté avec Eva.
- Oh oui, je veux surtout Balzac et Lancelot. Ils
m’ont manqué. Cela plus d’un mois que je n’ai pas joui d’une queue.
- Tu n’es pas toute seule, ma chérie. Des hommes
cagoulés t’attendent aussi pour s’occuper de ton œillet bien chaud.
En effet, j’entre dans une immense pièce où étaient
installés chevalets et fauteuil gynécologique.
Je me déshabille devant eux. Ils bandent.
Je m’installe dans le fauteuil gynécologique. Sir
Alban me travaille la chatte et l’anus, s’attardant sur mes mamelons et mon
clitoris. Je jouis avec le spéculum puis avec l’écarteur anal.
- Très bien, tu es bien excitée pour tes amants.
J’entre dans une pièce attenante, entourée de cages
avec mes amants canins.
Je suis allongée sur une table, sur le dos, les
chevilles et les poignets entravés, cuisses écartées. Ma chatte ruisselle
abondamment. Les hommes se masturbent, lèchent mes mamelons et mon clitoris.
Un berger allemand, Adam, me baise en premier
jusqu’au nœud, puis un malinois m’encule. Je suis entravée, sur le ventre, pour
mieux offrir mes fesses. J’explose avec quatre nouveaux orgasmes anaux violents,
sous sa longue éjaculation.
- Quelle beauté dans le désir, elle aime ça.
- Laisse-toi écarteler l’œillet, ma belle.
- Il te défonce bien.
- Tous les chiens doivent la saillir aujourd’hui.
En effet, Balzac, Lancelot et trois autres chiens de
garde me baisent ou m’enculent, m’inondant largement de spermes. Je prends
beaucoup de plaisir avec un berger belge, un doberman.
A la fin de l’orgie canine, les hommes présents se
relaient pour m’enculer, malgré ma fatigue.
D’abord à quatre pattes, prosternée, enculée
latéralement, cuisses complètement ouvertes, puis les cuisses relevées
complètement sur mes épaules, sur le dos, avec les cuisses relevées et bloquées
par les cuisses de mon amant et au final, tête-bêche, avec un gros mandrin qui
m’encule.
J’ai l’anus et la chatte en feu, mais heureuse de
m’être faite saillir par autant de mâles.
Le lendemain, je suis tellement usée et fatiguée que
je dors toute la journée en pensant à ce que j’avais pris ce jour là.
L’enquête avance, les hommes cagoulés voyeurs du chenil
sont interrogés, car ils m’ont pris pour une soumise.
L’attrait pour la sodomie m’envahit. Je ne cesse de
doigter mon anus, tout en me masturbant seule sous ma douche.
La remorque du viol est retrouvée à la frontière.
Elle est inspectée et permet de trouver de nombreux indices pour faire parler
les suspects.
L’allemand est identifié comme un membre financier
de l’écurie Vision. Il se prénomme Maître Erwan. L’anglais est un membre de
l’état-major technique de l’écurie Toyama, Sir Basile. Le hollandais est un
agent de sécurité de l’écurie Monaco et un de mes anciens amants, Dan.
L’australien est un pilote privé du Falcon 7X de l’écurie Orchidée, Ken. Tous
ont un jour ou l’autre m’ont croisé et je me suis refusée à leurs avances, même
à Dan, après qu’il ait tenté de m’enculer.
Quand à S V, son représentant, le Duc Victor, veut
fusionner les trois écuries Toyama, Orchidée et Monaco, pour pouvoir contrôler
les différents services de chaque écurie. Le Duc a financé l’achat de la
remorque sous un prête nom d’une banque aux Bahamas et a versé un million pour
la vidéo et cinq millions pour la diffusion sur un réseau privé SM. D’après
certaines sources, mon dressage et mon abattage auraient coûté au bas mot douze
millions, soit vingt pour cent des parts de S V dans Orchidée.
Mon dressage aurait servi de prétexte pour le
regroupement.
Tous nient les faits.
Peu de temps après, un procès se tient sur les
possibles copies du moteur qui équipe l’Orchidée, pour équiper Vision et
Monaco. Ma sœur jumelle Hermine se présente à la barre, reconnaît quelques
protagonistes et remet au procureur des photos de son dressage de 24 heures
qu’elle a subi en même temps que moi. Une enquête complémentaire est ouverte.
Après deux semaines de procès, le jugement est
rendu, les protagonistes échappent à la prison et n’ont que faibles amendes à
payer.
Au pied de mon immeuble, vêtue d’un chemisier
fuchsia sur mes seins nus et d’une jupe ample blanche sur mes fesses nues et
chaussée de sandales, j’embarque dans un faux taxi, malgré la protection
rapprochée d’Eva.
Pendant le trajet, l’homme cagoulé verrouille les
portes et les vitres se teintent.
Il coupe un à un les boutons de mon chemisier. Je
n’ose protester. Il le retire, j’offre mes seins nus et libres, dont il enduit
mes mamelons d’une mystérieuse crème. Je sens mes mamelons complètement tendus
et très dur au point de me faire vraiment mal et le moindre effleurement même
involontaire devient une véritable torture tellement ces endroit sont devenus
sensibles.
Il glisse ma jupe. Je suis totalement nue, assise
sur la banquette froide. Il me met mes carcans de cuir à mes poignets, mes
chevilles et à mon cou. Nue, je voudrais me caresser, surtout quand l’homme
enduit aussi mon clitoris entre mes cuisses écartées inconsciemment. Lui aussi,
me fait mal, tendu. L’homme me fixe les bracelets dans mon dos. Il me met un
bâillon boule harnais en cuir, composé de plusieurs sangles rivetées, reliées
entres par des anneaux et des passants et trois boucles permettent de
l'adapter. Je dois mordre la boule. Mes yeux sont recouverts par un masque.
- Tu seras ainsi plus docile, ma belle Vicieuse
Désir.
Il pince mes mamelons tendus par de lourdes
clochettes.
Il me fait empaler sur son gros mandrin en érection.
Je suis assise entre ses cuisses, empalée jusqu’aux testicules, jusqu’à la fin
du trajet. Je jouis et ondule mon bassin sur son gros mandrin. Il me pelote les
seins provoquant une tension maximale à mes mamelons, puis mon clitoris en
doigtant ma chatte.
- Tu as déjà goûté à la double, ta chatte est
trempée.
Un orgasme me terrasse, mais il retarde son
éjaculation.
Le taxi s’arrête. L’homme m’aide à me retirer.
Mes sandales claquent dans un grand escalier, tenue
en laisse par les anneaux de mes grandes lèvres. Je dois suivre, toujours
aveugle et muette. Je reçois des coups de cravache pour me faire avancer.
J’entends des chiens aboyer et des hennissements.
Quand je recouvre la vue, je suis nue, entourée de
miroirs et de glaces, dans une grande pièce, les mains jointes à mon cou. Des
chaînes sont fixées aux bracelets de mes chevilles pour m’empêcher de bouger.
Soudain, deux jeunes femmes entrent, portant un
bâillon O, un écarteur de chatte et un gros vibromasseur anal avec une base
empêchant toute expulsion. Elles sont nues, intégralement épilées, marquées au
fer rouge sur les fesses, l’intérieur de la cuisse gauche et sur l’épaule
droite. Elles sont chaussées de mules à hauts talons.
Un valet les escorte. Il est simplement vêtu d’une
veste sur son torse musclé, le mandrin nu et libre en érection dans une gaine à
picots, des bottes, un fouet à lanière de cuir. Les yeux baissés, je regarde
son mandrin.
- Voici Vicieuse Désir, la nouvelle invitée du
Domaine S V pour continuer son dressage. Vingt-quatre heures ont été trop
courtes. Tu es en manque de sexe, de punitions et de saillies.
Je mouille à l’évocation des mots.
Il m’enfonce une tige métallique flexible
entièrement recouverte de silicone très doux à la texture parfaitement annelée
pour une délicieuse stimulation dans ma chatte trempée, en laissant les deux
extrémités arrondies à l'extérieur. Je sens l'effet des stries sur les parois
internes de ma chatte vagin tandis que la courbe idéalement inclinée stimule
mon point G. J’offre une vue de mes lèvres vaginales écartées, donnant un accès
direct au clitoris et à toute ma chatte et ce, sans les mains.
Le valet me libère. J’échange mes sandales contre
des mules à plate-formes.
Je suis le trio.
Nous allons à la salle gynécologique, elle aussi
entièrement recouverte de miroirs et de téléviseurs.
Là, je suis offert à un harem d’hommes nus,
cagoulés. Je suis menottée au fauteuil, allongée sur le dos, cuisses écartées.
Avec une torche et une mini caméra, j’aperçois
l’intérieur de ma chatte trempée, détaillée par le gynécologue, qui masturbe
mon clitoris.
- Cette beauté aime se masturber. Ses lèvres de la
chatte sont proéminentes, preuve qu’elle baise fréquemment.
Simultanément, le gynécologue me met un écarteur
dans ma rosette anale plus large par les saillies anales canines que j’ai subi.
- Cette beauté a besoin de se faire saillir. Son
œillet est encore un peu serré, mais assoupli jusqu’à six centimètres de
diamètre. Faites-lui prendre son bain, qu’elle soit fardée et saillie sur le
champ.
Avant d’être libérée, je suis enculée à de
nombreuses reprises par les hommes présents, qui tous éjaculent dans ma bouche
libre.
On me remet ensuite le harnais en place.
Pantelante, je marche difficilement, l’anus rempli
par un vibromasseur canin moulé sur celui d’un labrador. Je ne peux l’expulser
par un système de trois chaînettes cadenassés, une suit le sillon des fesses et
deux contournant mon triangle pubien, au plus court, à une étroite ceinture de
cuir autour de ma taille. Mon anus ne peut repousser le vibromasseur long de
vingt-six centimètres et six de diamètre, enfoncé sur toute sa longueur
jusqu’au nœud de la taille d’une balle de tennis. Je sens les va-et-vient du
vibromasseur me rappelant mes saillies anales.
Je rejoins la grande salle de bains entièrement
recouverte de miroirs et de glaces sur les murs et au plafond.
Je me glisse nue dans l’eau froide.
Les mains menottées à un crochet au-dessus de ma
tête, les yeux baissés, la chatte écartée, je dois rester accroupie, cuisses
écartées, dans la grande baignoire transparente. Le valet savonne mes seins,
faisant tinter mes clochettes, mon ventre. Les deux femmes savonnent mon dos,
mes fesses, ma chatte et le bas de mon corps. Je mouille d’excitation lorsque
je frotte ma chatte et mon clitoris sur l’éponge. Puis je suis rincée, l’eau a
durci mes carcans et ma ceinture de cuir. On décalotte mon clitoris tendu pour
le nettoyer.
- Tes mamelons et ton clitoris sont constamment
tendus d’excitation. Tu connais aussi avec la crème, une hyper sensibilité.
D’ici quelques jours, tes mamelons et ton clitoris pointent au maximum tout le
temps, vingt-quatre heures sur vingt-quatre. Bien sur, tu es interdites de te
faire jouir. Tu découvres ainsi la frustration et la douleur que cela procure
en plus de la douleur provoquée par le fait que tes mamelons et ton clitoris
soient constamment tendus.
A la sortie de la baignoire, libre, je suis fardée.
Mes paupières sont légèrement ombrées, ma bouche très rouge, les mamelons
pincés et l'aréole des seins rosies, le bord des lèvres de ma chatte écartée
rougi.
Je franchis une autre porte, seule, les mains libres,
en mules.
Deux hommes cagoulés nus, me font me mettre, cuisses
écartées, l’anus libre, accoudée, fesses bien tendues. Un doberman m’encule
jusqu’au nœud, d’une seule traite. Je jouis rapidement et connais quatre
orgasmes. De discrètes caméras et appareils photographiques immortalisent la
scène.
A peine s’est-il retiré, qu’un dogue allemand prend
le relais, puis un labrador et enfin, je suis offerte en double pénétration
canine, un doberman me baise jusqu’au nœud et un dogue allemand m’encule
jusqu’au nœud. Je suis épuisée par mes orgasmes violents et le poids des
spermes canins qui me remplit l’anus qui déborde.
J’ai droit à un lavement rapide, à quatre pattes,
une canule enfoncée dans l’anus, menottée à un chevalet. Je gémis sous l’eau
froide qui me rince.
Puis je rejoins une grande pièce entièrement
recouverte de miroirs et de glaces. Des hommes nus avec des femmes nues sous
des capes m’attendent. Les hommes sont cagoulés et portent des gaines à picots
sur leurs mandrins en érection.
Accroupie, les mains liées dans le dos, je dois
sucer les hommes et lécher la chatte ou l’anus des femmes selon leurs désirs.
Je suis suspendue dans le vide, avec un collier de
posture, qui m’empêche de bouger la tête. Mes cuisses sont complètement
ouvertes, donnant une vision de ma chatte écartelée et de mon anus encore béant
et dégoulinant de spermes canins.
Mon anus est positionné à hauteur des mandrins. Le
collier posture est un collier rigide qui est assez large pour restreindre le
mouvement du cou. Je dois garder le menton élevé et le cou étendu.
On caresse mes fesses, remarquant mes marques au fer
rouge, on joue à doigter ma chatte pour mes réactions, on pince, étire mes
mamelons tendus à l’extrême par l’excitation de mon exhibition et on sollicite
mon clitoris tendu. Je ne sais si je dois jouir. Mais je mouille.
-Messieurs,
Vicieuse Désir a toutes les qualités requises. Une superbe chatte, regardez-la
sur les écrans. Elle aime être baisée.
Un écran de télévision permet de voir ma chatte
trempée.
- Voyons son œillet assoupli par de multiples
assauts. Il s’ouvre aisément. Mais elle a encore besoin d’être enculée par de
nouveaux sexes. N’est-ce pas ?
Je n’ose répondre.
- Messieurs, elle est à vous, avec ses jambes en
l’air, prête à tout.
Environ une quinzaine d’étalons m’enculent et
éjaculent dans ma bouche offerte. Je dois tout avaler. Les femmes, munies de
gros vibromasseurs m’enculent aussi. Je ne compte plus mes orgasmes.
Pantelante, à moitié évanouie, je suis longuement
fouettée à la cravache, la garcette, la chicotte et la raquette en bois sur mes
fesses et mes cuisses brûlantes, que je ne peux resserrer, pendant les trois
heures que je reste suspendue.
La garcette est constituée de cordes assez fines,
faite de sept lanières terminées chacune par plusieurs nœuds, et qui sont
toutes raides trempées dans l'eau, ce que je constate quand on caresse
l’intérieur de mes cuisses, je sens les cordes humides. La chicotte est un
engin fait en deux parties, d'une part un manche en bois verni et de l'autre
une tresse en cuir noir, reliés ensemble par une boucle qui forme charnière, de
telle sorte que, quand on l'utilise avec habilité, le coup de poignet sur le
manche donne encore plus de vitesse à la tresse en cuir.
Un des hommes s’approche de moi et me détache,
m’allonge sur le canapé. Je garde mon collier de posture et mes mains sont
liées dans le dos.
Je suis couchée sur le côté et l’homme m’encule, les
cuisses un peu écartées, face à mon dos, ses jambes derrière mes jambes, tout
en pelotant mes seins aux mamelons encore tendus, ma chatte trempée et mon
clitoris. Je me retiens de jouir, malgré la sodomie profonde.
- Que tu es chaude, ma belle, j’ai hâte de te voir
avec tes nouveaux amants. Je te laisse jouir.
Il éjacule en moi et je le nettoie.
Encore nue, avec un vibromasseur anal canin,
maintenue par une ceinture, en mules, les mains liées dans le dos, je quitte le
château par l’escalier que j’ai emprunté pour venir. Je traverse un petit pont
en bois, menant au chenil.
Non, pas le chenil, pour ma beauté, j’ai un autre
choix pour ma vicieuse.
Avant d’entrer dans le haras, l’homme me penche en
avant, d’autres mains m’écartent les fesses et je reçois sa main gantée dans
mon anus. Je gémis un peu.
Je suis installée sur un chevalet, menottée, sans
défense.
L’homme m’enfonce le sexe d’un des vingt étalons
présents. C’est un pur-sang arabe, Zéphyr. Mon anus résiste un peu, mais je
suis enculée sur trente centimètres et neuf de diamètre. Une fois en place, je
commence à m’agiter doucement puis, mon anus se dilatant, accélère le mouvement
mais s'arrête net en poussant un hurlement de douleur: le cheval, sous l'effet
du coulissement sur sa queue, bande. Ma bouche est remplie par d’autres hommes.
Mon anus s'étant habitué au sexe énorme qui le pourfend, je reprend mes
mouvements et hurle maintenant de plaisir. Zéphyr éjacule en moi jusqu’à mon
orgasme.
L’homme retire le sexe débandé de mon anus rougi
complètement distendu et boursouflé ce qui libère un flot de sperme.
Mais Zéphyr est rapidement remplacé par Eclair
Double Plaisir, un trotteur français. Il me donne encore de plus de plaisir,
largement inondée.
Puis Hercules Double Sexe m’achève. Je passe la nuit
à me faire saillir trois à quatre fois par mes amants équins puis canins,
jusqu’à l’épuisement.
On me fait mon lavement et je dors aux haras,
menottée à une croix de Saint-André, fouettée sur le dos, les fesses, les
cuisses, le dos, les seins. Mes mamelons et mon clitoris sont tendus à
l’extrême par les applications régulières des crèmes.
Je deviens la vicieuse du haras. On cherche de nouveaux
étalons en rut pour me saillir. Les autres soumises qui m’accompagnent,
gémissent, tandis que je prends du plaisir.
A la fin de la première semaine au Domaine S V, je
découvre ma sœur jumelle Hermine exposée nue, le corps zébré, sur une croix de
Saint-André.
Au même moment, lors d’une orgie anale, avec vente
aux enchères, je découvre aussi la voiture d’endurance la Shawn V8, équipée de
pièces copiées sur les voitures Orchidée, Vision et Monaco.
Je ne sais combien d’hommes m’enculent, me prennent
en double pénétration, en double anale et m’offre à leurs chiens pour des
saillies anales canines.
A chaque évanouissement, je suis fouettée sur les
fesses. Mon anus est alourdi par les litres de spermes et je dois avaler le
sperme en bouche, mon unique nourriture.
Je rejoins fréquemment le haras pour me faire
saillir.
Je porte à mon gros clitoris tendu, un anneau doré
serti d’une pierre précieuse et mes anneaux à mes grandes lèvres sont remplacés
par des fers à chacune. Ce sont des anneaux de fer mat inoxydable. La tige en
est ronde, épaisse, et ils sont oblongs : les maillons des grosses chaînes sont
semblables. Les deux U s'emboîtent l'un dans l'autre, le ressort intérieur
force ma chair percée pour se bloquer. Chaque anneau est long comme deux
phalanges du petit doigt, qu'on y peut glisser. A chacun est suspendu, comme un
nouveau maillon, ou comme au support d'une boucle d'oreille un anneau qui doit
être dans le même plan que l'oreille et la prolonger, un disque de même métal
aussi large que l'anneau est long. Il y a mon nom, les noms et prénoms de mes
Maîtres, et au-dessous, un fouet et une cravache entrecroisés. J’éprouve de la
fierté, d’être marquée au fer rouge, tatouée et ferrée.
Mon pubis totalement lisse reçoit lui aussi un
marquage au fer rouge d’un fouet et d’une cravache entrecroisés.
C’est qu’à l’aube du second samedi, que l’assaut de
la police est donné au Domaine. Je suis encore au haras, enculée par un superbe
étalon.
La police judiciaire, la brigade des mœurs, la
douane, les services fiscaux avec leurs unités spéciales encerclent le Domaine,
arrêtent tous les suspects, libèrent les soumises. Des numéros de compte
bancaire sont saisis, des vidéos aussi, des corps sans vie sont découverts.
Hermine a été incinérée et je retrouve une urne.
Des complices sont arrêtés à la même heure dans tout
le pays.
Quand Eva me découvre enculée par un cheval, elle
est surprise. On m’aide à retire le sexe. Je me douche. Je rééduque mon muscle
anal.
Le groupe international S V et ses filiales sont
dissoutes après un long jugement.
Je deviens la pilote numéro 3 de l’écurie Orchidée,
devenue H V en hommage à Hermine. Je reste désormais nue sous mes tenues et
j’ai gardé mes fers, mes tatouages et mes marquages au fer rouge. Je donne
naissance à un fils issu de mes relations au Domaine.
J’aime mes mamelons et mon clitoris constamment
tendus.

Très jolie histoire et très excitante : bravo. bisous, mia
RépondreSupprimerBeau blog et très excitant : bravo. Bisous, mia
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