samedi 30 novembre 2019

AMOUREUSE DE MON CHIEN


Je m’appelle Hermine.
J’ai 25 ans.
Je suis une jolie beauté scandinave.
Je suis une brune aux yeux verts. J’ai des pieds fins et latins, des jambes longues bronzées, musclées qui inquiètent par leur perfection. Mon pénil est bombé, ouvert, couronné de noir. Ma pilosité brune couvre mon pubis. Ma chatte est velue et j’ai une superbe croupe. Les lèvres de mon sexe sont une plaie rouge entre mon entrecuisse. Mes hanches s'incurvent et délimitent le ventre plat, délicieusement renflé autour du nombril, les hanches sont larges et rondes, mais sans lourdeur. La taille est affinée. Les seins parfaits intégralement bronzés sont un peu volumineux mais fermes, et leurs pointes marron clair, toujours dressées, cernées par une large aréole marron attirent le regard. J’ai une peau lisse et patine. Finition parfaite, un seul grain de beauté entre mes superbes seins. De longs cheveux plats blonds flottant comme des algues, battent mes épaules rondes et gracieusement athlétiques. Je suis intégralement bronzée. Mes yeux verts limpides s'allument, ma bouche charnue se fend. J’ai des sourcils bruns bien dessinés et des lèvres pulpeuses. J’ai de longs doigts fins et de belles mains. Je fais du 85B de poitrine, 56 de taille, 88 de hanches, 1,72 m.

AMOUREUSE DE MON CHIEN


12 avril
Je suis une veuve qui vit dans une villa isolée, sur les hauteurs de la ville. J’ai perdu ma virginité à seize ans, avec mon frère Brice, lors d’une fête. Il m’a initié aux jeux érotiques avec ses copains et j’ai découvert mon premier baiser lesbien avec ma cousine Aimée. Je ne me sens pas bisexuelle, ni libertine.
Ma villa est étroitement surveillée par des maîtres-chiens.
Depuis quelques jours, le berger allemand Adam, du maître-chien Alban, ne cesse de se frotter contre mes jambes nues.
Aujourd’hui, je suis juste vêtue d’une minijupe ample, sans mon string habituel et d’un tee-shirt sur mes seins nus, coiffée d’une queue-de-cheval et de sandales à hauts talons. Je me rends au salon, la porte-fenêtre est restée ouverte.
Soudain, je me retrouve à quatre pattes, bras tendus, offrant inconsciemment mes fesses nues bien rebondies. Adam, qui n’est pas tenu en laisse, saute sur mon dos, il  me monte.
- Non, Adam, lâche-moi. Mauvais chien, mauvais chien.
Adam me tient fermement avec ses pattes. Son corps poilu se frotte sur mon dos Je sens le bout du pénis d’Adam remplir ma chatte trempée. Son sexe de dix-sept centimètres de long et cinq de diamètre me remplit complètement la chatte en chaleur. Adam commence son mouvement de l'arrière vers l'avant. Le va-et-vient d’Adam est très rapide et je jouis à chaque coup qu’Adam me donne. C’est humiliant et pervers. Adam continue son va-et-vient. Il éjacule dans ma chatte et le sperme coule sur mes cuisses. La queue d’Adam grossit encore. Je suis attachée par le nœud qui grossit toujours puis il s’arrête. Je suis verrouillée par la chatte à Adam. Je dois attendre une bonne demi-heure. Un premier orgasme me terrasse.
Alban me surprend, la jupe relevée, haletant de plaisir.
- Hermine, que fais-tu avec Adam ? Adam te défonce la chatte.
- Je suis attachée à lui, Alban. Je dois attendre.
Alban me présente son mandrin long de trente-six centimètres de long et six de diamètre, que j’ai eu dans ma chatte. Je le suce, il s'agenouille devant moi, toujours à quatre pattes, avec le pénis d’Adam dans ma chatte, bien pris et bien solide. Je m’applique. Alban éjacule dans ma bouche et j’avale tout.
Je sens enfin le nœud d’Adam rapetisser. Après avoir assez rétrécit, Adam se retire de ma chatte, laissant couler un flot de sperme de chien.
Sans perdre de temps, Alban me fait empaler sur son mandrin à nouveau en érection, après que j’ai retiré ma minijupe et mon tee-shirt, en sueur.
Adam force mon anus vierge. Il me pilonne par de rapides va-et-vient avec la même vigueur que pour ma chatte en feu, remplie par le mandrin d’Alban. Adam me verrouille par le nœud, enculée. Je gémis un peu, mais le plaisir vaginal me submerge. Adam reste attachée à moi, enculée une bonne demi-heure.
Alban éjacule le premier dans ma chatte et se retire, me laissant enculée par Adam.
- Pour une première sodomie, je suis servie.
- Je t’encule ensuite, l’anus bien lubrifié. Tu n’auras aucune douleur.
L’anus écartelé, j’explose dans des orgasmes anaux, me masturbant mon clitoris tendu, mes mamelons sont aussi tendus.
Adam se retire et m’offre son sexe à lécher, après le léchage de ma chatte et de mon anus dégoulinant.
Je m’offre à nouveau les bras tendus, à quatre pattes, les fesses bien rebondies. Le mandrin d’Alban m’encule jusqu’aux testicules.
Alban me fesse, me saisit par la taille, pour me faire coulisser sur son mandrin, en me disant des mots doux :
 -Hermine, ton œillet est bien chaud, après le passage d’Adam.
- Pine-moi bien profondément, remplis-moi de ton sperme.
Il s’agrippe de plus en plus fortement à mes hanches douloureuses. Adam éjacule dans ma bouche, tandis qu’Alban éjacule dans mon anus.
Il m’offre un bijou d’anus pour que je conserve leurs spermes. Je me douche, me masturbe longuement, en laissant la porte ouverte. Adam m’observe assis, exhibant son sexe. Je connais un nouvel orgasme involontairement avec mon bijou d‘anus.
Il mesure douze centimètres de long et six de diamètre. Ainsi, chaque nouvelle sodomie sera plus agréable. Mon anus se contracte, me menant vers de nouveaux plaisirs anaux inconnus.
Après le déjeuner, je change de tee-shirt griffé par Adam pour un autre tee-shirt sur mes seins nus, remet ma minijupe et mes sandales, garde ma queue-de-cheval.
Mon chauffeur, Brice, un superbe Adonis grec, que j’ai embauché lors de mon séjour à Naxos, musclé, brun, doté d’un mandrin long de trente centimètres et sept de diamètre, m’observe, pensive. Il est peut-être au courant de ma saillie par Adam.
Je rejoins le quai près du port, où est amarré mon yacht « Olympe des Désirs ». Le yacht possède plusieurs chambres, une plate-forme pour hélicoptère, des équipements nautiques et un équipage à ma disposition.
Sur le quai, je croise le regard d’un bel Apollon, du double de mon âge.
- Miss Hermine, je présume. Je suis Edouard Nathan de Bailli Saveurs Mille Désirs, dit le Marquis de Vices, un ami de feu votre mari. J’ai vu votre yacht à quai.
Je me souviens qu’il n’a cessé de vouloir m’enculer à chaque venue à la villa. Je me suis refusée à lui.
- Hermine, prends cette pochette, tu vas dans la chambre nuptiale du yacht, pose la paire de pinces qui se trouve à l'intérieur sur les lèvres de ta chatte. Je t’attends au salon du yacht.
Je monte, déchaussée à bord du yacht, saluée par l’équipage.
Dans la chambre nuptiale, devant mes miroirs, la jupe retirée, je pose les pinces à mes lèvres de ma chatte trempée. Je retire mon tee-shirt et garde mes sandales, avec ma queue-de-cheval.
Je rejoins le salon, seule, nue.
Mes lèvres de ma chatte sont douloureuses, étirées vers le bas.
J’éprouve du plaisir.
- Mets-toi à quatre pattes, cuisses écartées, sur le tapis.
Il m’ouvre la chatte trempée et mon bijou d’anus.
- Ta chatte sent l’odeur d’une chienne en chaleur. Tu portes désormais un bijou d’anus. C’est à dire, que tu acceptes que je t’encule, Miss Hermine.
Humiliée et tremblante de désir, j’ai droit ensuite à une curieuse réplique :
- Nous sommes mardi. Je te vois vendredi. Masturbation quotidienne de ta chatte et de ton anus, ta chatte doit rester sale, fesses nues tous les jours. Tu as bien compris. Mais je vais t’enculer exceptionnellement aujourd’hui.
Il me retire le bijou d’anus et son gros mandrin, long de vingt-sept centimètres et six de diamètre s’enfonce jusqu’aux testicules et il me fesse magistralement.
- Ton œillet est encore un peu serré, mais tu es détendue. Ne bouge pas.
Il accroche un poids à chaque pince pour étirer davantage les lèvres de ma chatte. Les poids se balancent à chaque va-et-vient et je dois m’empaler sur lui.
- Tu aimes que je maltraite ta chatte, tu es une vraie chienne.
Je suis ruisselante, sous les caresses de mes lèvres de la chatte, puis vers mon clitoris tendu à l’extrême. Il fouille ma chatte trempée, sans quitter mon anus et porte alors ses doigts vers nos bouches collées ; nous léchons chacun ses doigts imprégnés de mon intimité ; ce geste me transporte.
Il retire partiellement son mandrin et découvre du sperme canin.
- Tu es donc une vraie chienne. Un amant canin t’encule, ma belle Hermine.
Je n’ose répondre, proche de l’orgasme anal.
- Encule-moi plus fort, je suis ta chienne, Marquis.
Combinant mon orgasme anal et son éjaculation, je suis pantelante et heureuse quand je le suce et j’avale tout.
Il me retire mes pinces et me lèche longuement ma chatte trempée et mon clitoris tendu, tandis que je me retiens de mon orgasme. Il m’a remis mon bijou d’anus.
Vers quatorze heures, je me rhabille et il me donne rendez-vous le 15 avril à l’heure qu’il a fixé.
De retour à la villa, je me déshabille. Cuisses écartées, je m’abandonne au léchage de ma chatte par la longue langue d’Adam, tout en suçant Alban et Brice, pour des doubles pénétrations, toujours avec Adam qui m’encule jusqu’au nœud. Alban et Brice me photographient.
Vers seize heures, lors de mon quatrième orgasme anal avec Adam, mon téléphone sonne. Je décroche :
- Alors, tu fais ta chienne avec un superbe berger allemand, Hermine.
 - Oui, entre deux râles.
- Prends un doberman, trente-deux de long et quatre de diamètre, pour mieux t’écarteler l’œillet.
Après le retrait d’Adam, je m’offre à Hadès, un superbe doberman et son maître-chien, Dan, un jeune étalon suédois, bien monté, vingt-sept centimètres de long et six de diamètre.
Hadès me baise d’abord, à quatre pattes, puis m’encule jusqu’au nœud, prosternée devant Dan, cuisses écartées.
- Hermine, tu prends plaisir, ton bassin ondule sur le sexe d’Hadès.
- Hadès, encule bien ta chienne.
Les orgasmes anaux sont plus rapides et violents.
Pantelante, l’anus dégoulinant de spermes canins, Dan m’encule sur-le-champ et me fesse magistralement. J’aime ça.
Il éjacule dans ma bouche et j’avale tout.
Après une douche rapide, je me détends, le bijou d’anus en place, dans ma piscine, effectuant quelques longueurs, nue et je me sèche, allongée sur la chaise longue, sur le ventre.
Endormie, je suis saillie, enculée par Adam. Je connais quatre orgasmes anaux violents et une longue éjaculation.
Je rejoins ma chambre.
Le rituel dure jusqu’au 14 avril, en alternance avec Adam et Hadès et Alban et Dan, en double pénétration.

14 avril
A l’aube, encore endormie, nue sur mes draps, un homme cagoulé, nu, botté, avec son gros mandrin en érection, long de trente centimètres et six de diamètre, fait irruption dans ma chambre.
Il me menotte à mon lit, par les poignets. Il me relève les jambes et me donne vingt coups de cravache sur les fesses, le devant et l’arrière de mes cuisses. Mes fesses sont brûlantes. Puis après la cravache, il répète l’opération avec une garcette, de cordes assez fines, faite de sept lanières terminées chacune par plusieurs nœuds, et qui toutes raides, trempées dans l'eau. Je gémis, malgré le bâillon avec un anneau O qui me force à garder la bouche ouverte, outre le côté humiliant, ma bouche est ainsi disponible pour le plaisir de mon Maître. L’anneau du O est assez large pour faire passer la queue du Maître ou tout ce qu’il veut mettre dans ma bouche pour m’humilier et le dépassement de moi, peu importe le niveau d’expérience.
Il s’agenouille et m’encule, en faisant claquer ses testicules, sur mes fesses brûlantes, en posant mes mollets sur ses épaules, caressant mes cuisses, mes mollets et mes chevilles. Il entre et sort pour mieux me soumettre et éjacule sur mon pubis.
J’avale les dernières gouttes.
Il me détache, me lave prestement. Je dois enfiler une robe transparente, dénudant mon sein gauche, fendue des deux côtés, jusqu’à la taille et des mules à très hauts talons. Il me met un masque de nuit. Je monte à bord d’une voiture. Je m’assois cul nu, la jupe relevée, cuisses écartées.
Quand on me retire le masque de nuit, je me retrouve au salon du yacht « Olympe des Désirs », entourée d’inconnus masqués, nus, leurs mandrins en érection et de femmes cagoulées, nues.
Le Marquis des Vices, élégamment vêtu est à mes côtés. Je porte un collier de cuir à mon cou, fait en plusieurs épaisseurs de cuir, chaque épaisseur assez mince, au total pas plus d'un doigt, verrouillé par un système à déclic, qui fonctionne automatiquement comme un cadenas quand on le refermait, et ne peut s'ouvrir qu'avec une petite clé. Dans la partie opposée à la fermeture des bracelets, pris dans le milieu des épaisseurs de cuir, et n'ayant presque pas de jeu, il y a un anneau de métal, qui donne une prise pour fixer, et qu'on positionnait du côté intérieur du poignet. Pour le collier, l'anneau pend devant le cou, reposant sur la saillie des clavicules, et brinquebalait au rythme des mouvements de celui qui le porte.
- Chienne Hermine, saillie depuis mardi par plusieurs chiens, est votre chienne pour aujourd’hui. Les yeux baissés, elle sucera ses messieurs et recevra la mouille de ses dames.
Sans ménagement, le Marquis des Vices déchire ma robe, exhibant mes marques sur mes fesses et mes cuisses, que l’on caresse.
Je dois écarter mes fesses pour exhiber mon anus encore entrouvert.
Il passe ses doigts le long du sillon jusqu’à atteindre mon anus qu’il caresse avant d’y pénétrer un doigt puis deux.
- Son oeillet est un peu assoupli.
Je sens ses doigts appliquer une pommade et un premier mandrin m’encule sans attendre. Je suis prosternée, cuisses écartées, livrée aux assauts, ma bouche est remplie par d’autres mandrins qui m’enculent et tous éjaculent soit sur mes fesses brûlantes par les claques magistrales soit dans ma bouche.
Pantelante, après une dizaine de sodomies profondes et violentes, ne me laissant aucun répit, je ne peux exprimer mon plaisir.
Un des hommes me pose des pinces à mes mamelons tendus, alourdis par des poids, pour étirer mes mamelons et mes seins vers le bas. Je gémis sous le bâillon et mes grandes lèvres de ma chatte portent de nouvelles pinces différentes du premier rendez-vous. Elles sont très puissantes et écrasent mes chairs. Mon visage se déforme par la douleur que je ressens. Mes grandes lèvres s'allongent beaucoup et mes mamelons aussi en déformant aussi mes seins vers le bas.
A quatre pattes, les mamelons et les grandes lèvres étirées par la gravité, je suis à nouveau enculé par d’autres qui ne m’ont pas encore enculée et je suis cravachée sur les fesses.
Les femmes me lèchent uniquement mon clitoris tendu.
Au bout d’une heure, je m’effondre, sous les vagues d’orgasmes anaux.
Quand j’émerge, je suis menottée à un chevalet, la bouche libre, avec mon masque de nuit, sans mes pinces. Le chevalet est une espèce de cheval d'arçon, le postérieur plus haut que la tête. Mes bras sont fixés le long des pieds avants, mes jambes le long des pieds arrières, et une large sangle m'est passée au niveau de la taille. Mes cuisses, légèrement fléchies sont empêchées de se resserrer par la largeur de la poutre, ainsi d'ailleurs mes fesses que je ne peux refermer. Toute mon intimité est ainsi très accessible et on peut me faire tout subir. Je bois beaucoup, me contraignant à pisser. J’ai droit à la poire anale : une sonde rectale avec un ballonnet qu'on gonfle une fois introduit à l'intérieur de mon anus où on peut le laisser des heures durant. J’ai une envie permanente d'aller à la selle, je pisse difficilement par compression, et pénétration vaginale très pénible, par un mandrin
- Chienne Hermine, tu es courageuse, mais tu n’es qu’au début de ton dressage. Ton œillet reste plus longtemps ouvert. Le yacht vogue en mer, pendant trois jours. Tu dois montrer combien tu es soumise. Tu ne porte plus jamais aucun sous-vêtement, ni de culottes ou de strings, plus de soutien-gorges et jamais non plus de body. Tes seins et ta chatte doivent toujours être nus sous tes vêtements et ton entre jambes jamais dissimulées. De ce fait, jamais plus non plus de collants, de shorts, de jupes culottes ni bien sur de pantalons. Tu ne portes que des jupes ou des robes mais à la condition qu'en aucun cas elles ne soient plus longues que le milieu de tes cuisses. Jamais de tee-shirt ou autres vêtements sous tes corsages ou chemisiers. Pour tes pieds, soit tu es pieds nus soit tu portes des chaussures à talons. L'effet de ta pommade sur tes mamelons et ton clitoris, c'est que ça va te déclencher une hyper sensibilité de ses points la. Le moindre frottement de tissus ou même ne que l'air sur tes mamelons ou ton clitoris te provoqueront une excitation énorme. Le résultat, c'est que tes mamelons pointent au maximum tout le temps, vingt quatre heures sur vingt quatre et de même pour ton clitoris. Bien sur, dans le cas de celui la, ça ne se voit pas non plus facilement que pour tes mamelons quel que soit ce que tu portes. Inutile de te dire que malgré cette hyper excitation, je t'interdis de te faire jouir. Tu découvres ainsi la frustration et la douleur que cela procure en plus de la douleur provoquée par le fait que tes mamelons et ton clitoris soient constamment tendus.
Mes mamelons et mon clitoris sont complètement tendus et très dur au point de me faire vraiment mal et le moindre effleurement même involontaire devient une véritable torture tellement ces endroits sont devenus sensibles. Mes mamelons sont saillants, gros et longs, durcis et mon clitoris est gros comme une cerise, saillant et volumineux. J’essaye de me retenir mon excitation sexuelle, sous les sodomies violentes que je subis.
Je suis cravachée pour mes fautes.
Seul le Marquis des Vices me baise et ma bouche est toujours remplie par un mandrin pour étouffer mes râles de plaisir.

17 avril
Au lever du soleil, le yacht « Olympe des Désirs » est de retour à quai.
Après une douche rapide, je me farde la bouche avec un rouge clair, un peu liquide, qu'elle appliquait au pinceau, et qui fonce en séchant. Je peins du même rouge l'aréole et les mamelons des seins, et les petites lèvres entre mes cuisses, en soulignant la fente du giron, j’ombre légèrement les paupières. Je me poudre le visage, une fois que je suis peinte, et je glisse mes pieds nus dans mes mules à très hauts talons.
Je mets une robe à corselet, montant jusque sous les seins nus, durement baleiné, long et rigide, comme au temps des tailles de guêpes, et comporte des goussets où reposent les seins. A mesure qu'on serre, les seins remontent, s'appuient par-dessous sur le gousset, et offrent davantage leur mamelon. En même temps, la taille s'étrangle, ce qui fait saillir le ventre et cambrer profondément les fesses. La robe est composée d'une jupe éventail, qui se retrousse d'un geste, et portée avec un boléro fermé au cou. Il suffit d'enlever le boléro pour que les épaules et les seins soient nus, et sans même enlever le boléro, de l'ouvrir, si l'on désire voir les seins.
- Ces trois jours t’ont dressé davantage. Tu vas porter un corset seins nus, similaire à ton corselet, chez toi, le reste de ton corps nu à tout moment. Tu portes un nouveau bijou d’anus, moulé sur le devant d’un sexe d’un Danois, de six de diamètre. Tu seras saillie aussi par un Danois, chienne Hermine. Je viendrais tous les jours de te voir et te fouette chez toi.
A la descente du yacht, Brice nous accueille. Je m’assois cul nu, cuisses écartées, les yeux baissés, exhibant mes seins nus. Je garde mon collier de cuir.
- Tu ne peux que jouir, enculée, sans te masturber désormais. Tes mamelons et ton clitoris sont constamment tendus et visibles de tous.
Arrivée à la villa, Alban avec Adam, Dan avec Hadès et Val, un superbe transsexuel brun aux seins plantureux, mis en valeur dans un corset seins nus et exhibant son long mandrin de trente-six centimètres et six de diamètre, avec des anneaux dorés aux testicules, avec Olaf, un superbe dogue allemand arlequin m’attendent.
- Chienne Hermine est prête à se faire saillir par Olaf, son nouvel amant. A quatre pattes, relève ta jupe et retire le bijou d’anus.
Olaf m’encule d’une seule traite jusqu’au nœud tandis que je suce Val.
Je connais quatre violents orgasmes anaux avec Olaf et tous les deux éjaculent presque simultanément.
Olaf m’encule à nouveau, en partie en érection, pour me soumettre.
Val m’encule ensuite, tandis que Adam encule Dan. Je dois sucer Dan, en érection dans ma bouche. Cette excitation sexuelle par les ébats homosexuels provoque un violent orgasme anal incontrôlé.
Puis Dan encule Adam, qui m’encule simultanément et je suce Val.
Le Marquis des Vices est ravi de ma disposition.
L’anus dégoulinant, le Marquis me remet le bijou d‘anus en place.
Après le départ du Marquis du Vices, je suis cravachée, menottée à mon lit, avec mes bracelets de cuir, les anneaux des bracelets glissés l’un dans l’autre, puis ces deux-là dans celui du collier. Je me trouve les mains jointes à la hauteur du cou. Une chaîne est fixée à mon collier, m’immobilisant, allongée sur le ventre, exhibant mes fesses pour la cravache, donnée par Val.
Adam, Hadès et Olaf m’enculent jusqu’au coucher du soleil. Je suis épuisée par mes multiples orgasmes anaux. Je dois nettoyer chacun, après le léchage de mon anus entrouvert.
Puis le trio humain m’encule dans une position tantôt tête-bêche, jambes entrelacées, leurs gros mandrins me rendent la sodomie un peu douloureuse, mais je dois les subir jusqu’à l’éjaculation dans mon anus, tantôt allongée sur le dos, les cuisses relevées et bloquées par leurs cuisses, en traction contrôlée, toujours enculée.
Je dois aussi garder la position pour que chaque chien m’encule.
Au coucher du soleil, je suis rapidement douchée. Je reste vêtue de mon corset et je mange avec les doigts, avant de me recoucher, allongée sur le dos, prête pour mes saillies anales canines.

22 avril
A l’aube, le Marquis des Vices me rend visite dans ma chambre. Je suis menottée, mains jointes à mon cou, enchaînée, cuisses écartées, cuisses et fesses marquées par la cravache et la garcette.
- Alors Chienne Hermine, tu prends plaisir de ta condition de soumise canine. Tu vas connaître de nouveaux plaisirs.
Le Marquis des Vices me détache. Je me douche prestement, mon bijou d’anus remis en place après mon lavement.
Je revêts ma robe à corselet, mon boléro et mes mules à hauts talons, fardée et parfumée.
Une nouvelle limousine nous attend, conduite par un superbe étalon africain, Jason.
Je m’assois, cul nu, cuisses écartées, à l’arrière, les yeux baissés, avec mon collier et mes bracelets de cuir.
Tu es toute humide, ton clitoris et tes mamelons sont au summum de leurs tensions.
Nous quittons la villa pour une longue route. Le Marquis des Vices me pose mes pinces à mes mamelons tendus, je ne porte plus mon boléro.
Nous faisons une halte à un club privé, sur le bord de mer.
Nous devons descendre les escaliers menant au club. Mes mules claquent sur le marbre.
La porte discrète s’ouvre.
- Voici, chienne Hermine, adepte des bergers allemands, des dobermans et des Danois, elle raffole d’être enculée comme une chienne. Mais pour l’instant, soulève ta jupe et montre tes marques de la nuit.
Des mains inconnues caressent mes fesses encore brûlantes, les écartent pour découvrir mon bijou d’anus. Je garde les yeux baissés et la bouche entrouverte, les seins pelotés, on joue avec mes pinces, faisant tinter les clochettes.
Accroupie, je suce les inconnus qui m’entourent.
Nue, je danse devant eux, sans me masturber, faisant tinter les clochettes que vient de me rajouter le Marquis des Vices à mes grandes lèvres de ma chatte humide.
Au bout d’un quart d’heure, dix hommes m’enculent à tour de rôle, tantôt à quatre pattes tantôt allongée sur le dos, les jambes relevées en l’air tantôt en double anale, une première pour moi et empalée en double pénétration, soutenue par deux hommes debout.
Chacun éjacule en moi et je le nettoie ensuite.
Je suis cravachée, suspendue à un crochet, les bras tendus en l’air, sur la pointe de mes pieds nus, déchaussés, jusqu’à l’épuisement, sur les fesses, le devant, l’arrière et l’intérieur des cuisses. Je dois compter les coups sans me tromper.
Puis on m’épile intégralement les lèvres de ma chatte, ne gardant que ma toison pubienne. Mon gros clitoris tendu est percé d’un anneau doré serti d’une pierre précieuse et je porte aussi une bague sertie d’un petit anneau à l’annulaire gauche, pour prouver ma soumission.
D’autres inconnus m’enculent sans ménagement, après la pose de l’anneau à mon clitoris, décuplant mon plaisir, sans me masturber, toujours menottée, les bras tendus en l’air.
Au bout de trois heures, pantelante, je suis libérée, je me douche rapidement, me refais une beauté. Je me rhabille. Le Marquis des Vices me remet mon bijou d’anus.
Nous reprenons la Limousine.
Jason me met un masque de nuit et me déshabille entièrement, mes bracelets sont joints à mon cou. Je reste les cuisses écartées.
Nous quittons le bord de mer pour une route forestière.
Nous franchissons plusieurs points de contrôle, où je suis fouillée et caressée.
Enfin, je continue à pied, nue, en mules, tenue en laisse par mon collier, les yeux bandés.
J’entends des chiens aboyer et des chevaux hennir.
Nous marchons un bon quart d’heure, dans des graviers.
Sans attendre, je suis prosternée et saillie par un doberman jusqu’au nœud, qui m’encule, me menant à quatre orgasmes anaux violents.
On me retire le masque de nuit, une fois, suspendue les bras en l’air, sur la pointe des pieds nus, sur le carrelage froid, entourée de miroirs et de glaces sans tain, les yeux baissés et la bouche entrouverte, seule.
Puis des mains forcent ma bouche, pelotent mes seins aux mamelons encore douloureux par les pinces et mes lèvres de ma chatte elles aussi, dont on fouille ma chatte trempée.
- Elle a du potentiel, chienne Hermine, mon ami, dit une voix féminine, dans mon dos.
- Ma chérie, chienne Hermine est ancienne vierge anale, devenue reine des saillies anales canines, selon mes désirs et ceux de feu Baron Désir des Sévices de Mon Plaisir. Elle est bien instruite, mais il lui manque encore plus de vices, de sévices et d’obéissance. Elle fera une excellente Maîtresse à la fin de son instruction.
Le Marquis des Vices part. La voix féminine se trouve une superbe beauté blonde, cagoulée, avec une guêpière en cuir seins nus, aux seins plantureux, au pubis et à la chatte totalement lisse, en cuissardes, tenant un imposant gode.
Il mesure quarante centimètres et entre six et sept de diamètre. Lady Natacha me l’enfonce dans ma chatte humide jusqu’au fond. Il est muni de va-et-vient puissant. Il me plait. Je me retiens de jouir, tout en gardant mon bijou d’anus.
Après quelques va-et-vient, elle me retire le bijou d’anus et me l’enfonce doucement, dans mon anus lubrifié. Je dois m’ouvrir davantage et je gémis un peu, sur le tiers qui m’encule.
Lady Natacha me lèche le clitoris et étire mes mamelons tendus pincés et étirés par de lourds poids, provoquant un premier puis un second orgasme anal.
- Passons de la théorie à la pratique, chienne Hermine, l’effet sera le même.
Détachée, nue, en mules, mains jointes à mon cou, avec mes pinces cette fois posées sur les grandes lèvres de ma chatte, je rejoins les écuries à l’arrière du pavillon de chasse.
Je suis menottée sur un chevalet, allongée sur le dos, cuisses écartées. Deux autres soumises, bâillonnées, nues, en cuissardes, m’installent.
Mes jambes sont tendues, les cuisses complètement ouvertes, des bracelets de cuir sont passées à mes chevilles, une chaîne les relie ensemble, passant sur le dos du cheval, un superbe pur-sang arabe, offrant un sexe long de quatre-vingt centimètres en érection, me baise d’abord. Il se prénomme Alizé des Plaisirs. Le cheval tape un peu des pieds arrières d'excitation lorsque je fourre enfin sa bite dans ma chatte, totalement remplie qu'il dilate excessivement. Je lutte pour ne pas jouir comme une femelle en chaleur. Le cheval pousse très fort.
- Fleur d’Anal, retire le sexe d’Alizé et met-le dans son œillet.
Mon anus résiste interminablement. Enfin le passage anal cède à la pression. Le phallus c’est mis plus profond en moi, sur trente centimètres. La douleur diminue. Le gland et toute sa longueur de bite du cheval gonfle encore. Soudainement, hennissant comme un sauvage j’ai senti une énorme quantité de spermes dans mon anus dilaté. Le liquide épais jaillit de mon anus rougi, complètement distendu, boursouflé, dégouline le long de mes jambes jusqu’aux mollets, dans une bassine.
On me libère d’Alizé, mais je dois encore me faire enculer par un autre cheval, un trotteur français, mais cette fois, je suis offerte à quatre pattes, menottée au chevalet.
Les fesses brûlantes par les coups de cravache de Lady Natacha, sont maintenues écartées par Fleur d’Anal, la blonde aux seins plantureux, totalement lisse, avec de lourds anneaux aux grandes lèvres de sa chatte, un lourd bijou à son gros clitoris. La seconde, une brune, Jasmin la Pouliche, aux petits seins, avec les mêmes attributs que Fleur d’Anal, enfonce le sexe en érection de Zéphyr des Vices, dans mon anus encore distendu. La seconde saillie anale équine est plus facile et plus longue dans mon anus. Comme pour Alizé, elles se relaient pour le masturber et ma bouche est remplie par le sexe d’Alizé, pour le récompenser et le nettoyer.
Zéphyr m’encule avec plus de vigueur, ses va-et-vient me font rapidement jouir. Cela est encore mieux qu’un homme et qu’un chien. Je l’encourage, entre deux nettoyages d’Alizé.
- Zéphyr, encule ta pouliche. J’ai l’œillet en feu.
Il éjacule à son tour, mais Alizé, le sexe en érection, m’encule ensuite, sans demander mon reste.
Cette troisième éjaculation décuple mon orgasme anal très violent.
Je passe aussi une partie de la journée avec Sultan de l’Atlas, un superbe pur-sang arabe, appartenant à un Emir, ami de Lady Natacha. Sultan m’encule plus longtemps et plus profondément jusqu’au deux tiers de sa longueur, m’ouvrant davantage l’anus. Je gémis un peu, mais le plaisir anal reprend le dessus.
Epuisée, je suis rincée à l’eau froide, avant de nouvelles saillies, buvant des soupes froides, mélangées à des excitants sexuels, provoquant l’excitation constante de mes mamelons et de mon gros clitoris.

3 mai
Chaque matin, je me réveille en sueur, menottée, nue, cuisses écartées, l’anus rempli par un vibromasseur équin, pour m’habituer. Il n’est pas rare qu’un doberman ou un berger allemand me baise simultanément, malgré ma chatte étroite, remplie jusqu’au nœud.
Je mets en pratique les doubles saillies, anales équines et vaginales canines jusqu’au nœud, décuplant mes orgasmes, doublement inondées. Je perds souvent connaissance, sous la double vague de plaisirs.

10 mai
Après une douche froide, suivant mes saillies anales équines nocturnes, dans une des écuries, nue, en cuissardes, je retrouve Lady Natacha.
- Chienne Hermine, c’est aujourd’hui, tu vas être chiffrée.
Je suis installée sur le chevalet, allongée sur le dos, avec un bâillon-boule en bouche, maintenu par des lanières de cuir dont deux passent sous les oreilles et se fixaient derrière la nuque, et deux autres remontent en travers des pommettes au-dessus des oreilles et se referment sur l'occiput. On m’attache en arrière les poignets au mur. Une sangle immobilise fortement sous le chevalet et autour de mon ventre. Mes jambes sont basculées par-dessus la tête, jusqu'à ce que mes pieds viennent toucher mes mains, auxquelles on les attache en rendant solidaires les anneaux des chevilles avec ceux des poignets. J’ai les reins dressés vers le plafond, et ouverts.
Soudain, une seule et abominable douleur me transperce, je suis raidie dans mes liens. On enfonce dans la chair de mes fesses les deux fers rouges à la fois, ni quelle voix a compté lentement, jusqu'à cinq, ni sur le geste de qui ils ont été retirés.
Libre, je suis caressée longuement par le Marquis des Vices, dans ma chatte humide, sur mon clitoris tendu à l’extrême, tout comme mes mamelons, pincés par des clochettes qui tintent à chaque mouvement.
Les traces qui sont imprimées par le fer, hautes de trois doigts et larges de moitié leur hauteur, sont creusées dans la chair comme par une gouge, à près d'un centimètre de profondeur, avec les lettres M et V entrelacés sur la fesse gauche et une cravache et un fouet entrecroisés sur la fesse droite.
De retour à la villa, j’exhibe mon corps, mon anus est encore entrouvert par mes saillies anales équines. Adam, Hadès et Olaf m’enculent avec vigueur, nue, dans le salon, suçant leurs maîtres.
Mes chemisiers sans boutons, mes bustiers, mes guêpières seins nus sur mes seins nus, décolletés et transparents assortis à mes jupes courtes et fines et petit boléro ajusté et fermé, à peine fardée, sans chapeau, et les cheveux libres, j’ai l'air d'une jeune fille sage.
Partout où le Marquis des Vices m’emmène, on me prend pour sa fille ou pour sa nièce, d'autant plus que maintenant il me tutoie. Les regards masculins sont plus insistants mais les femmes aussi. Je suis terriblement excitée et mes mamelons et mon gros clitoris sont tendus à l’extrême et cela se voit.
Les propriétaires des chevaux qui m’ont saillie m’enculent sur le yacht lors de longues sorties en mer, où je suis fouettée. Le Marquis de Vices me baise régulièrement pour me conduire à ma grossesse, surveillée par Lady Natacha.

Quelques mois après, je donne naissance à une fille et je dresse de jeunes vierges soumises tantôt chez Lady Natacha tantôt chez le Marquis des Vices, dans une discrète villa avec piscine. Je porte toujours mes bijoux d’anus moulés sur le devant d’un sexe d’un Danois et de celui d’Alizé des Plaisirs, me rappelant combien je suis une chienne et une pouliche anale.

A bientôt, votre Chienne Maîtresse Lady H, mon œillet attend vos hommages, mes chéris.

SECRETAIRE PARTICULIERE ET LE VICE


Je m’appelle Prisca.
J’ai 21 ans.
Je suis une jolie beauté scandinave.
Je suis une brune aux yeux verts. J’ai des pieds fins et latins, des jambes longues bronzées, musclées qui inquiètent par leur perfection. Mon pénil est bombé, ouvert, couronné de noir. Ma pilosité brune couvre mon pubis. Ma chatte est velue et j’ai une superbe croupe. Les lèvres de mon sexe sont une plaie rouge entre mon entrecuisse. Mes hanches s'incurvent et délimitent le ventre plat, délicieusement renflé autour du nombril, les hanches sont larges et rondes, mais sans lourdeur. La taille est affinée. Les seins parfaits intégralement bronzés sont un peu volumineux mais fermes, et leurs pointes marron clair, toujours dressées, cernées par une large aréole marron attirent le regard. J’ai une peau lisse et patine. Finition parfaite, un seul grain de beauté entre mes superbes seins. De longs cheveux plats blonds flottant comme des algues, battent mes épaules rondes et gracieusement athlétiques. Je suis intégralement bronzée. Mes yeux verts limpides s'allument, ma bouche charnue se fend. J’ai des sourcils bruns bien dessinés et des lèvres pulpeuses. J’ai de longs doigts fins et de belles mains. Je fais du 85B de poitrine, 56 de taille, 88 de hanches, 1,72 m.

SECRETAIRE PARTICULIERE ET LE VICE


12 avril
Je suis une toute jeune secrétaire. Je connais le sexe par mes relations lesbiennes, par mes cousines, mes nièces et mes amies de collège et de lycée. Je me suis toujours refuser aux garçons, aimant la douceur féminine, mais j’aime que l’on fouille ma chatte velue, pour me mener à l’orgasme.
Une amie m’a trouvée un emploi de secrétaire particulière chez un baron, play-boy et ancien banquier.
Vers neuf heures, je me rends, dans mon plus beau tailleur : fuchsia avec une jupe droite, cachant mes dessous avec mon assortiment soutien-gorge, string et porte-jarretelles en dentelle blanche, mes bas blancs et mes escarpins blancs à hauts talons, les cheveux libres, maquillée et parfumée.
Le bâtiment est un hôtel particulier au fond d’une cour. Dès mon arrivée, je croise des filles de mon âge, en pleurs, déçues de leurs entrevues. Je croise le regard du baron Alban Edouard de Saint Brice Désir Mon Plaisir, un bel athlète du double de mon âge, élégant, qui me baise la main.
- Tu es la fameuse Prisca, tes amies m’ont beaucoup parler de tes talents de secrétaire.
- Monsieur le baron, je sais que je suis à la hauteur.
- Mais, Prisca, en plus de ton travail, viens avec moi. Ces jeunes filles n’ont aucun savoir vivre.
Nous entrons dans un luxueux bureau au rez-de-chaussée.
- Voici, ton bureau, avec tous les moyens de télécommunications et des livres pour vous instruire sur mes goûts sexuels. J’espère que tu sais aussi sucer et prendre du plaisir.
Je n’ose n’avouer que je ne suis pas une suceuse de mandrins, novice, ni ma virginité.
- Retire ta veste et ton chemisier.
J’obéis.
- En te prenant vierge, si j'ose dire, je pourrai te dresser à  ma guise ! As-tu déjà  reçu la fessée ou le martinet ? Alors tu sais ce que signifie l'éducation anglaise ?
Je n’ose répondre.
- Dégrafe ton soutien-gorge ! De superbes petits seins aux mamelons qui se tendent quand on les effleure. Tu es sensible des mamelons, très bien. J’imagine que tu mouilles.
Il continue à les caresser et d'en pincer les mamelons entre ses doigts jusqu'à ce qu'il les sente se dresser.
- Je suis très exigeant et très sévère. Je veux de l'ordre, de la discipline et de l'obéissance. Je te dresserai jusqu'à  ce que tu sois parfaite, tu m'as bien comprise ?
Je retire ma jupe et mon string trempé, que me prend le baron et qu’il sent.
- J’aime ton odeur, retire ton porte-jarretelles et tes bas. Je te veux pieds nus et totalement nue.
Je tente avec maladresse de dissimuler mon intimité avec mes mains.
- Penche-toi en avant, les mains au sol, cuisses écartées, Prisca.
J’obéis. Le mandrin long de vingt-cinq centimètres et cinq de diamètre me remplit d’abord ma chatte, jusqu’à percer mon hymen, tandis qu’il masturbe mon clitoris tendu. Je jouis.
- Très bien, la chatte est déflorée. Maintenant, l’œillet, détends-toi, c’est une formalité.
Il s’enfonce en douceur, m’écartant bien les fesses, avec quelques claques magistrales. Je gémis un peu.
Il s’enfonce jusqu’aux testicules. Enfin, je sens son ventre contre mes fesses. Peu à peu, la douleur de mon anus forcé cède la place à un certain plaisir, puis à un plaisir certain. Par sa technique sans faille, je jouis uniquement enculée, un orgasme profond comme je n'en ai jamais encore éprouvé.
- Te voilà, doublement ouverte, Prisca, prête à tous les désirs.
Il éjacule en moi et me met un bijou d’anus pour que je conserve son sperme chaud.
Après l'introduction du bijou d’anus, il se resserre sur la tige dont le diamètre est plus ou moins celui d'un petit doigt, ce qui correspond à l'ouverture normale et naturelle de l'anus pour permettre les échanges gazeux. Il entretient l'élasticité de l'anus. Je suis obligée de contracter l’anus pour être sûre que l’objet ne tombe pas. Cette contraction avance le bijou d’anus contre la chatte et stimule cette partie hautement érotique de la femme. La sensation est très agréable. Il mesure treize centimètres et cinq de diamètre. Il est froid.
Puis entre Horace, un superbe étalon africain, au mandrin imposant. C’est le majordome, son mandrin mesure trente-deux centimètres et sept de diamètre.
A peine remise de ma première sodomie, je dois me mettre à quatre pattes, bras tendus pour tendre mes fesses, bien rebondies. Je dois sucer le baron. Ma bouche novice se referme et resserre le mandrin que j’ai saisi, et le long duquel je monte et descend, mon visage défait qui s'inonde de larmes chaque fois que le mandrin gonflé me frappe jusqu'au fond de la gorge, repoussant la langue et m’arrachant une nausée. Horace me retire le bijou d’anus et m’encule avec aisance, l’anus bien lubrifié par le sperme du baron.
- Allez ma belle, je vais te faire coulisser sur ma belle queue.
Je dois m’ouvrir davantage, pour l’accueillir. Il me fesse magistralement.
- Tu l’as bien méritée, Prisca. Tu es chaude de l’œillet.
Il s’agrippe de plus en plus fort à mes hanches douloureuses par la défloration de ma chatte.
Tous les deux éjaculent, le baron dans ma bouche et Horace dans mon anus dilaté et rougi.
Horace me remet le bijou d’anus en place.
- Ces sodomies et nos éjaculations sont faites pour que ton œillet s’habitue à nos queues. Nous forceront ton œillet.
- Horace, amène-la à sa chambre. Désiré et Emmanuel vont la préparer.
Je monte pieds nus, le grand escalier en marbre froid sous mes pieds, avec Horace derrière moi, regardant mes fesses rougies et brûlantes.
Vers onze heures, je fais la connaissance de Désiré et Emmanuel. Désiré est un superbe étalon musclé brun, avec un mandrin long de vingt-cinq centimètres et cinq de diamètre et Emmanuel est un superbe transsexuel blond aux seins plantureux, doté d’un imposant mandrin de trente centimètres et six de diamètre.
Ils sont nus et me conduisent dans une luxueuse chambre avec de nombreux miroirs sur les murs et au plafond et une grande salle de bains avec douche et baignoire transparente et un bidet.
Le couple me douche, me savonne, me lave les cheveux. Bien sûr, l’anus libre, je suis sauvagement enculée par Désiré et Emmanuel. Ils entrent et sortent partiellement. Sans même me caresser, mais la masturbation clitoridienne par celui qui m’encule et mes mamelons tendus roulés par l’autre, me déclenche un puis deux orgasmes anaux violents.
L’anus dégouline de spermes chauds. Je m’assois sur le bidet, courbée en avant, cuisses écartées. L’anus savonné, je reçois une canule, montée à l'extrémité du flexible de la douche, par laquelle ils m'aspergent d'eau tiède. Je jouis à nouveau, ainsi je suis propre, afin qu'on puisse recommencer dès qu'on en aurait le caprice.
J’apprends à me farder : je me farde la bouche avec un rouge clair, un peu liquide, qu'elle appliquait au pinceau, et qui fonce en séchant. Je peins du même rouge l'aréole et les mamelons des seins, et les petites lèvres entre mes cuisses, en soulignant la fente du giron. La teinture ne s'efface pas quand on l'essuie, et le démaquillant, et même l'alcool, ne l'enlèvent que difficilement. J’ombre légèrement mes paupières Je me parfume longuement sur mes aisselles lisses et sur ma toison pubienne, dans le sillon entre les cuisses, dans le sillon sous les seins, et au creux des paumes.
Je porte aussi des bracelets en plusieurs épaisseurs de cuir, chaque épaisseur assez mince, au total pas plus d'un doigt, verrouillés par un système à déclic, qui fonctionne automatiquement comme un cadenas quand on le refermait, et ne peut s'ouvrir qu'avec une petite clé. Dans la partie opposée à la fermeture des bracelets, pris dans le milieu des épaisseurs de cuir, et n'ayant presque pas de jeu, il y a un anneau de métal, qui donnait une prise pour fixer, et qu'on positionne du côté intérieur du poignet. Pour le collier, l'anneau pend devant le cou, reposant sur la saillie des clavicules, et brinquebale au rythme des mouvements de celui qui le porte.
On assujettit ces carcans à mon cou et à mes poignets et à mes chevilles.
Emmanuel enduit mes mamelons et mon clitoris d’une crème. L'effet, c'est que ça me déclenche une hyper sensibilité. Le moindre frottement de tissus ou même l'air sur mes mamelons et mon clitoris me provoquent une excitation énorme. Le résultat, c'est que mes mamelons pointent au maximum tout le temps, vingt quatre heures sur vingt quatre et de même pour mon clitoris. Je suis frustrée et la douleur que cela procure en plus de la douleur provoquée par le fait que mes mamelons et mon clitoris soient constamment tendus. La teinte de mes mamelons tient en utilisant simplement un glaçon. Mes mamelons et mon clitoris sont complètement tendus et très dur au point de me faire vraiment mal et le moindre effleurement même involontaire devient une véritable torture tellement ces endroits sont devenus sensibles.
Je découvre ma robe avec un dos entièrement transparent en dentelle, jusqu’aux reins, dénudant entièrement mes fesses, le bustier est en réalité un soutien-gorge quart de seins qui laissent les trois quarts supérieurs du sein nu en le soutenant et en lui donnant du volume, corsetant discrètement mon buste, offrant mes hanches de courtisane, un dos cambré et les fesses en arrière et faisant tendre mes mamelons déjà tendus et durcis, saillants, gros et longs. La jupe est fendue discrètement devant et couvre jusqu’à mi-cuisses. Je chausse mes mules à hauts talons, mes ongles des mains et des pieds vernis en rouge. Ma silhouette est plus élancée, mes chevilles et mes mollets sont tendus, cela te fait des jambes superbes.
Mon gros clitoris tendu comme une cerise est saillant et volumineux.
Je dois redresser le buste et creuser les reins. Je suis prête à être caresser.
Je descends l’escalier et retrouve au rez-de-chaussée, Horace, qui pelote gentiment mes seins, jouant avec mes mamelons durcis. Je me retiens de jouir.
Prisca est prête, messieurs.
Là, deux autres invités m’attendent au salon : un bel étalon du double de mon âge, brun, musclé, le Duc Brice Mes Sévices et le Comte Donatien de Beau Saint Mille Verges, son frère jumeau.
Je m’abandonne à leurs caresses sur mes seins, sur ma chatte trempée et sur mon clitoris tendu, les yeux baissés, la bouche entrouverte, comme exigée sur la note dans ma chambre.
- Superbe corps, grande beauté, chatte et pubis velus, elle mouille bien, dit le Duc.
- Elle porte le bijou Douceur. Elle connaît la sodomie et la double pénétration, votre nouvelle secrétaire, dit le Comte.
Je n’ose répondre.
- Bien sûr, cette vierge anale et vaginale s’est révélée tout à l’heure, être une véritable jouisseuse. Prisca va faire le service. Elle s’empale sur chacun de vos mandrins qu’elle va sucer, pendant le repas.
Accroupie, je suce le Duc doté d’un imposant mandrin long de trente centimètres et six de diamètre puis le Comte, trente-quatre de long et sept de diamètre. J’ai du mal à sucer son gland.
Pour l’entrée, l’anus libre de mon bijou d’anus, je m’empale face au baron, enculée jusqu’aux testicules. Il m’embrasse, mes fesses sont brûlantes par les claques magistrales des deux autres invités. Je me retiens de jouir, lors de l’éjaculation.
Pour le plat de résistance, je m’empale, toujours enculée, dos au duc, cuisses écartées, jusqu’aux testicules. Il caresse mes reins, mes fesses, mon cou, mes épaules et mes seins. Lui aussi éjacule en moi. Chaque morceau de viande et de légumes passe dans ma chatte trempée.
Pour le dessert, nue, je suis invitée par le comte à m’empaler sur lui, enculée. Il est allongé sur le dos, cuisses écartées, mes cuisses sont collées aux siennes, tandis que ma chatte est remplie par les va-et-vient des trois bananes bien mûres. Je dois retarder mes orgasmes, surtout lorsque le comte éjacule à son tour.
Je reste empalée pour que le baron et le duc me baisent simultanément, pour décupler mes plaisirs sexuels. Ils éjaculent sur ma toison pubienne.
Le bijou d’anus remis en place, mon anus reste un peu plus ouvert avec les sept centimètres de diamètre.
- Cravachons Prisca, elle doit goûter à la cravache, dit le comte, en caressant mes fesses brûlantes et rougies par les claques magistrales de chacun.
Je me retrouve suspendue à un crochet au milieu du salon, offerte à un miroir à trois faces et un quatrième miroir au mur permettent de me bien voir. Je suis nue, pieds nus, sur la pointe de pieds, cuisses écartées par une barre d’écartement fixée aux bracelets de mes chevilles, bras tendus en l’air, au-dessus de la tête.
Les yeux baissés, je découvre la cravache. Elle est longue et fine, de fin bambou gainé de cuir, comme on en voit dans les vitrines des grands selliers.
- On ne cravache que les fesses et les cuisses, bref, de la taille aux genoux. On me laisse respirer, mais quand j’ai repris haleine, on recommence, par les traces plus ou moins vives ou durables, que la cravache laisse sur ma peau.
Après dix coups sur les fesses, je les supplie :
- Détachez-moi, arrêtez.
La cravache s’abat sur le devant et l’arrière des cuisses.
Humiliée et exposée, exhibée, je dois subir la garcette, faites de cordes assez fines, qui se terminaient par plusieurs noeuds, et qui sont toutes raides, trempées dans l'eau, en caresse ma chatte trempée, mon clitoris tendu, mes mamelons tendus et surtout l’intérieur de mes cuisses. Les cordes sont bien humides et froides.
Je reçois aussi dix coups sur les fesses et les cuisses, enculée sauvagement par les trois invités et Horace, alourdissant mon anus de spermes chauds.
Sous l’excitation sexuelle, j’expulse un violent jet de mouille de ma chatte trempée.
Prenons en double, elle a besoin de sexe, Prisca, dit le baron.
On me retire la barre d’écartement et je me retrouve empalée simultanément sur le duc qui me prend dans ses bras, je l'entoure avec ses jambes et se laisse baiser et le comte m’encule, derrière moi me soutenant également une partie de mon poids. J’explose dans un double violent orgasme.
- Mais, Prisca, elle me fait éjaculer dans son œillet, dit le comte.
- Elle me fait éjaculer dans sa chatte, dit le duc.
Vers quatorze heures, doublement remplie de spermes, je suis reconduite à ma chambre, nue, avec mon bijou d’anus et une ceinture de chasteté en acier inoxydable d'environ trois centimètres de large, suffisamment flexible pour s'ouvrir et se refermer sans nécessiter de charnière. Il en résulte ainsi une apparence très plate. Le système de verrouillage maintient solidement la protection d'entrejambe et la bande de taille en un joint lisse, la protection d'entrejambe est ainsi maintenue verticalement sans possibilité de pivotement latéral. La protection d'entrejambe est incurvée afin de recouvrir la région génitale pour s'arrêter près de l'anus, où elle se termine par deux chaînes de section plate en acier chromé. Les lèvres de ma chatte dépassent au travers d'une fine fente longitudinale, arrêtant toute pénétration. La ceinture de chasteté est totalement efficace pour empêcher tout rapport sexuel. La ceinture comporte un orifice anal pour que je puisse aller aux toilettes, mais aussi être enculée. La ceinture est réalisée en inox brossé très esthétique, très solide et simultanément très souple. Les bords de la ceinture sont recouverts d’un rembourrage en caoutchouc moelleux pour assurer un confort de port.
- Ainsi, tu peux te soulager par la fente. Tu es uniquement enculée, ce dont ton dressage de soumise stipule. Si tu es docile, malgré le fouet entre le lever et le coucher du soleil, ton regard fixant uniquement nos queues, tu peux être récompensée, dit le baron.
Je monte à ma chambre, nue, pieds nus, déchaussée. Désiré et Emmanuel me baignent et je suis menottée à mon lit, bras et jambes écartées, allongée sur le dos, l’anus libre est rempli par un puissant vibromasseur anal. Ce gode va et vient automatiquement dans mon anus, monte et descend car le gode s’allonge à chaque mouvement grâce à sa texture réaliste ultra-souple et ultra-douce. C’est un mandrin en érection, à la hampe veinée, long de trente-cinq centimètres et sept de diamètre. Le gode s’allonge et rétrécit à chaque mouvement de va-et-vient grâce à son enveloppe ultra-souple qui s’étire ou se contracte en suivant les montées et descentes du gode. J’ai l’impression d’être enculée par un véritable étalon à ma disposition qui me fait l’amour en étant infatigable. Mes orgasmes anaux sont de plus en plus violents. De temps à autre, les yeux bandés, je suis enculée et je dois sucer, les seins pelotés, pour décupler mon plaisir anal.
Je suis allongée sur le ventre, bras et jambes écartées, un coussin pour soulever mes fesses brûlantes par la cravache et les fessées magistrales. Le gode reprend sa mission.
Les sodomies se succèdent, mon anus s’habitue aux gros mandrins qui m’écartèlent.
Vers dix-huit heures, à moitié évanouie, je me retrouve détachée. Je me refais une beauté, aidée par Désiré, qui me fait un rapide lavement anal.
Je descends au rez-de-chaussée, nue, avec ma ceinture de chasteté, en mules. Je retrouve Horace.
- Tu es la reine anale, Prisca. On a compté une dizaine d’orgasmes anaux pendant ton séjour à la chambre. Tu vas sortir, prendre l’air.
Je m’habille d’un corset seins nus en dentelle sous un boléro fermé au cou. Il suffit d'enlever le boléro pour que les épaules et les seins soient nus, et sans même enlever le boléro, de l'ouvrir, si l'on désire voir les seins. Une jupe éventail couvrant à peine mes fesses rougies nues. J’aime me sentir les seins, les reins et les fesses nus à disposition, avec mon bijou d’anus. Je chausse des sandales transparentes à hauts talons, je me coiffe d’une queue-de-cheval, dévoilant mon collier en cuir, sans mes bracelets à mes poignets et à mes chevilles.
Le baron me considère comme sa fille, devant les regards insistants masculins mais les femmes aussi. Je ne réagis à aucun regard, je ne serre jamais les jambes et je ne croise jamais les bras pour masquer mes seins aux mamelons tendus par le vent frais. Je suis tout de suite terriblement excitée. Plus je suis excitée et plus parfois c'est gênant car ça ce voit parfaitement bien, aux mamelons et à mon clitoris.
Le baron me fait porter mon gode anal va-et-vient, maintenu à trois petits trous percés dans la base, trois chaînettes. Il attache une étroite ceinture autour de ma taille, et il y accroche les trois chaînettes, une par derrière qui suit le sillon des fesses, et les deux autres par-devant, qui longent le pli des aines en contournant le triangle du ventre. On les ajuste au plus court, de façon que le mouvement intérieur des muscles ne peut repousser le gode et permettre de se resserrer à l'anneau de chair qu’il doit forcer et distendre, et il les attache avec de petits cadenas, pour s'assurer que, lorsque je suis seule, je ne peux être tentée de me soulager de cette contrainte. Mon bassin ondule sur ce gode.
Le quartier de l’hôtel particulier abrite un club privé auquel je suis destinée, un gynécologue, une boutique de lingerie SM, un sellier et un discret sex-shop.
A la sortie de la cour, se trouve le club privé « 6996 LOVE », tenu par le transsexuel Albane. Le baron me présente à Albane, un superbe transsexuel brun aux petits seins, doté d’un imposant mandrin de trente-un centimètres et sept de diamètre. Les yeux baissés, je m’accroupis et je suce Albane, qui éjacule dans ma bouche, alors qu’un orgasme anal me terrasse.
- Cette Prisca a du potentiel, pour de futurs clients très exigeants, annonce Albane.
A la sortie du club, nous allons chez le gynécologue, Nathan, un bel étalon musclé blond, bien monté. Je suis exhibée, menottée au fauteuil gynécologique, cuisses écartées, l’anus libre. Il m’enfonce le spéculum dans ma chatte pour vérifier que ma défloration est réussie, puis un écarteur anal, pour m’ouvrir davantage tout en léchant mon gros clitoris tendu et étirant mes mamelons tendus. Je me retiens de jouir.
- Baron, son œillet bien ouvert sera rempli par ma queue bien dure, que va sucer Prisca.
J’obéis et le mandrin long de vingt-sept centimètres et six de diamètre m’encule jusqu’aux testicules. Je connais un nouvel orgasme anal plus violent. Il éjacule en moi.
Le baron me remet le gode en place.
Libre, douchée et rhabillée, je rencontre son assistante, une transsexuelle blonde, Hyacinthe. Elle m’embrasse langoureusement sur la bouche, tout en me masturbant mon clitoris.
A la sortie du cabinet au second étage d’un luxueux immeuble, à deux rues du club privé, nous allons en face, à la boutique de lingerie SM, fermé par un digicode, « Secrets de cuir et Dentelle », tenue par l’élégante Orchidée, une transsexuelle thaïlandaise, aux petits seins et avec un mandrin moyen.
Nue, je parade devant elle, tout en gardant ma ceinture. Elle caresse mes seins, m’embrasse, me doigte longuement la chatte jusqu’à un nouvel orgasme. Elle me prend mes mensurations. J’essaye divers corsets, guêpières et robes courtes et seins nus mêlant cuir et dentelle.
Je suce Orchidée qui éjacule aussi dans ma bouche.
- Prisca est le mannequin recherché par des agences avec son physique, même une chatte et un pubis velu cela aura du succès. Il lui faut une cravache spécifique pour ses jolies fesses musclées et ses cuisses de déesse.
A la sortie de la boutique, nous traversons deux autres rues, pour rejoindre le sellier.
Là, je découvre une collection de cravaches. Penchée en avant, cuisses écartées, la jupe relevée, je présente mes fesses nues au sellier.
Le sellier, un bel athlète de l’âge du baron, me caresse les fesses qu’il chauffe par de longues claques magistrales. Je dois compter les coups sans me montrer, pendant que le baron choisit quelques cravaches à m’acheter.
- Val a le même physique que Prisca. Elle aime les fessées.
Soudain, les coups de cravache cinglent mes fesses sans prévenir. Je dois continuer à compter.
- Xavier Edouard Maître des Désirs et Sévices de Baisers, Prisca est tout à vous.
Après vingt coups sur chacune de mes fesses, j’en reçois autant sur l’arrière et l’avant de mes cuisses voir à l’intérieur de mes cuisses. Ce qui déclenche un violent jet de mouille, sous l’excitation.
- Elle prend son plaisir, Prisca, cravachée, annonce Xavier Edouard. Je peux l’enculer, en la cravachant.
- Prosterne-toi, Prisca, toute nue, sur le tapis.
J’obéis, tout en m’enculant avec son mandrin similaire à celui d’Alban. La cravache cingle mes fesses, à chaque va-et-vient. J’ai un nouvel orgasme anal lorsque Xavier Edouard éjacule en moi.
Cet orgasme me vaut trente coups de cravache sur les reins et sur mon dos.
- Prisca, tu as interdiction de jouir, tant que celui qui t’encule ne t’a pas autorisé. Donc tu as été punie.
Le baron m’encule ensuite, avant de me remettre le gode en place.
Nous rentrons à l’hôtel. Il est vingt et une heures, je suis épuisée.
Je mange seule, agenouillée, cuisses écartées, les yeux baissés, nue, avec mes doigts, avec le gode aux va-et-vient à la vitesse maximum, me procurant des orgasmes anaux incontrôlés, sévèrement sanctionnés par des coups de cravache, sur mes fesses et mon dos.
Menottée, l’anus libre, après mon lavement et ma douche, Horace, Désiré et Emmanuel me font sucer leurs mandrins avant de longues sodomies avec éjaculations. Je dois retarder mes orgasmes anaux, à la sortie de leurs mandrins, sous peine de coups de cravache.

15 avril
A l’aube, après été cravachée sur l’intérieur des cuisses, enculée par les amis du baron et prise en double pénétration, nue, l’anus dégoulinant de spermes, je me regarde dans les miroirs et les glaces sur les murs et au plafond. Je suis devenue une vraie jouisseuse anale.
Les voyeurs se régalent par la fenêtre sans rideaux.
Emmanuel vient me voir, vérifie que mes mamelons sont tendus à l’extrême, tout comme mon clitoris gros comme une cerise, dont le contour a été dégagé pour le rendre plus visible.
Il me libère, m’allonge sur le ventre, fesses tendues, un coussin sous mon ventre, menottée. Il m’encule longuement et je retarde mon orgasme anal tandis qu’il éjacule dans mon anus.
Il me libère, me douche. Je fais mon lavement sur le bidet. J’enfile ma guêpière seins nus, sans jarretelles, tenue rigide par de larges baleines très rapprochées, courbées vers l'intérieur au ventre et au-dessus des hanches, qu'un busc, sur un côté derrière, permet de boucler et de déboucler. Par-derrière aussi, un large laçage se serre ou se desserre à volonté. Elle est lacée aussi étroitement. Je sens ma taille et mon ventre se creuser sous la pression des baleines, qui sur le ventre descendent presque jusqu'au pubis, qu'elles dégagent, ainsi que les hanches. La guêpière était plus courte par-derrière et laisse la croupe entièrement libre. Je suis prête à me faire enculer par le premier venu.
Je mets mon boléro fermé au cou pour cacher mes seins nus et une jupe transparente couvrant à peine mes fesses, qui portent encore les marques de la cravache, des lignes blanches et des lignes rouges pour les plus récentes. Je chausse des mules à très hauts talons. Je me coiffe d’une queue-de-cheval, fardée et parfumée. Je garde mon collier et mes bracelets de cuir aux poignets et aux chevilles.
Je quitte ma chambre avec Horace, qui m’escorte au club privé.
L’entrée par l’arrière du club privé passe par un souterrain discret.
Albane m’accueille seule.
- Prisca, te voici. Dans deux heures, je ferme. Mes clients veulent te connaître, ils ont vu des photos et des vidéos de toi, au club. Tu es une sacrée jouisseuse anale.
Nue, en mules, je suis présentée les yeux baissés, la bouche entrouverte à de superbes étalons européens, américains et africains.
Je suis cravachée et fouettée, suspendue d’abord debout, sur la pointe des pieds nus, puis à une croix de Saint-André de face et de dos, suspendue dans le vide, cuisses grandes ouvertes, pour être enculée et sucer les mandrins que l’on me présente, les yeux bandés. Chaque orgasme anal est sévèrement puni.
Je ne sais combien d’étalons m’ont enculée, fouettée. Albane m’annonce que je suis une bonne soumise sexuelle, qui rapporte gros.
Albane m’encule aussi, après m’avoir cravachée l’intérieur de mes cuisses, suspendue dans le vide.
- Quel superbe œillet bien ouvert, tu es chaude, ma chérie.
- Oui, baise-moi, encule-moi, je suis ta soumise, Albane.
Albane éjacule longuement en moi, avant de me mettre un nouveau bijou d’anus plus gros, vingt centimètres et sept de diamètre avec des picots.
Libérée, je me restaure.
- Prisca, tu as encore beaucoup à apprendre. Ton dressage n’est pas encore achevé. J’espère que tes confessions de soumise sur l’ordinateur, sont aussi brûlantes que ton œillet.
Je me douche, me farde, me parfume, remet ma guêpière, mon boléro et une robe assez courte transparente seins nus, largement fendue jusqu’aux reins dans le dos et devant dévoilant mon pubis. Je remets mes mules à hauts talons.
A la fermeture du club privé, Albane me conduit dans un bar discret à trois rues du club privé.
Je fais sensation. On me complimente sur ma tenue.
- Vas aux toilettes, te préparer Prisca. J’ai des amis pour toi.
Nue, avec mon bijou d’anus, en mules, j’attends, me refais une beauté.
Un africain, deux arabes et deux hollandais me rejoignent.
Je les suce, accroupie, cuisses écartées, l’un après l’autre. Je mouille d’excitation.
Puis je m’offre, penchée en avant, l’anus, cuisses écartées.
Leurs mandrins vont de vingt-cinq à trente-deux de long pour cinq à huit de diamètre, pour mon œillet bien ouvert.
Le premier hollandais, Jan, m’encule jusqu’aux testicules, tandis que son ami Hans, me pelote mes seins qui se balancent au rythme de ses coups. Il me fesse magistralement, tout en m’écartant davantage les fesses brûlantes et me fait coulisser en me tenant par les hanches.
Dès qu’il a éjaculé, Hans prend sa place, je masturbe Jan qui éjacule dans ma main.
Hector l’africain prend la suite avec Ahmed et Omar.
Malgré la fatigue, je dois subir une double pénétration, avec Jan qui m’encule et Hans qui me baise, suçant Hector, qui me baise ensuite. Ahmed et Omar me prennent en double vaginale.
Les spermes chauds dégoulinent, de ma chatte, de mon anus et de ma bouche.
Albane m’observe, me photographie et me filme discrètement.
A peine remise de mes orgasmes autorisés, les fesses brûlantes, je me rafraîchis, les cinq amis sont partis. Je prends une douche rapide, me rhabille, avec mon bijou d’anus.
- Ma chérie Prisca, tu dois connaître d’autres désirs sexuels. La cravache et la sodomie sont une partie de ton dressage.
Horace nous attends avec une limousine.
Nous sortons de la ville. Je suis assise, nue, cuisses écartées. Albane me saisit les deux mains. Albane fait glisser l'un dans l'autre les deux anneaux de mes bracelets, ce qui me joint étroitement les poignets, et ces deux anneaux dans l'anneau du collier. Je me trouve donc les mains jointes à la hauteur du cou.
- Tu es toujours aussi excitée. Humiliée, exhibée à tous, livrée, tu es facile. Tu as  envie de tous les hommes qui te désirent, que je te livre à d'autres, car tu es facile.
Albane me masturbe longuement mon gros clitoris tendu à l’extrême, tout comme mes mamelons.
Elle me met un masque de nuit avec un bâillon avec un anneau O qui me force à garder la bouche ouverte, outre le côté humiliant, la bouche de la soumise est ainsi disponible pour le plaisir. Le O de l’anneau O est assez large pour faire passer la queue du Maître ou tout ce qu’on veut mettre dans ma bouche. Je suis humiliée et je dois me dépasser.
- Ce matin, tu vas découvrir d’autres amants bien montés. Nous devons quitter le centre-ville. Tu es libre de jouir, avec mes doigts dans ta chatte trempée. Tu es devenue une pute, une soumise, mais surtout une chienne docile.
Après un long trajet, marqué de pauses où tantôt Albane et Horace m’enculent. Je me retiens de jouir, nous franchissons une grille, gardée par des maîtres-chiens, dont les chiens aboient et des gardes à cheval.
On m’aide à descendre de la limousine. Un vent frais remonte le long de mes cuisses jusqu’à mon clitoris tendu et sur mes mamelons tendus aussi. On fixe une chaîne, pareille à celles avec lesquelles on attache les chiens, qui a plus d'un mètre de long, et se termine par un mousqueton, à mon collier. Je marche dans les graviers, tenue en laisse.
Des museaux flairent mes cuisses, lèchent ma chatte trempée.
- Il semble que Prisca plaise. Regarde comment ils la flairent, dit un des hommes.
Je suis toujours aveugle et muette.
- C’est pour cela, que le comte et le duc ont exigé qu’Adam la prend en premier, pour lui faire goûter. Prosterne-toi, ma belle, me susurre Albane.
J’obéis. On me retire le bijou d’anus.
Le berger allemand descend son museau vers l’endroit fatidique et me lèche de plus belle et de plus en plus frénétiquement.
Je gémis de plus en plus fort et j’hurle de plaisir sous les coups de langue de plus en plus dévastateurs pour mon anus.
Je gémis avec des gémissements haletants par mon bâillon.
Je suis secouée d’orgasmes multiples.
Le nœud d’Adam écartèle mon anus. Il continue à m’enculer puis s'immobilise, déversant son sperme dans les boyaux en se verrouillant. J’ai un orgasme. Un quart d'heure après, le chien se retire. Un second berger allemand m’offre sa queue en bouche. Elle mesure dix-sept centimètres de long et cinq de diamètre. Un troisième berger allemand m’encule simultanément.
 La vigueur des chiens me procure de nombreux orgasmes et je deviens de plus en plus chienne. Les deux derniers animaux, des douze chiens offerts, ce sont des dogues allemand, avec un sexe long de vingt centimètres et six de diamètre. Je suce un et l’autre m’encule. Le nœud du dogue m’écartèle davantage. J’enchaîne orgasmes sur orgasmes.
Les deux dogues jouissent ensemble et me remplirent de concert mes deux orifices me faisant prendre son pied une dernière fois. Je suis épuisée.
Les saillies canines anales durent entre une bonne demi-heure à trois quart d’heure selon l’endurance des chiens.
Mais les maîtres-chiens m’enculent ensuite, me fessant magistralement pendant que les chiens se reposent.
Enfin, après huit heures de sodomie, je peux me relever, le bijou d’anus est remis en place et marcher sur les graviers vers des marches.
Je monte quelques marches, puis franchis une ou deux portes toujours à l'aveugle, je me retrouve seule, mon masque enlevé et je garde mon bâillon O, debout dans une pièce avec un épais tapis par terre, mais sans un meuble, tout entourée de placards.
Deux femmes jeunes et jolies, vêtues de courtes jupes légères, des corselets serrés qui font jaillir la poitrine et sont lacés ou agrafés par-devant, et des dentelles autour de la gorge, et des manches à demi longues. Elles ont les yeux et la bouche fardés. Elles ont un collier serré autour du cou, des bracelets serrés autour des poignets, similaires aux miens.
Elles libèrent mes mains.
Je suis déchaussée et je me plonge dans une baignoire transparente. Un valet nu et cagoulé me menotte les poignets à un crochet au-dessus de ma tête.
Je suis accroupie, cuisses écartées, avec une canule enfoncée dans l’anus, pour mon lavement anal.
 Je me retrouve ensuite, nue, assise dans un grand fauteuil, cuisses écartées, en face d'elle une grande glace, du haut en bas de la paroi, que n'interrompt aucune tablette, je me vois, ainsi ouverte, chaque fois que mon regard rencontre la glace.
Un gode anal canin qui mesure dix-sept centimètres de long et cinq de diamètre, muni d’un puissant va-et-vient, me conduit à un orgasme anal violent.
Elles ombrent légèrement les paupières, me fardent la bouche avec un rouge clair, un peu liquide, appliqué au pinceau, et qui fonce en séchant. Elles me peignent du même rouge l'aréole et les mamelons tendus à l’extrême des seins, et les petites lèvres entre mes cuisses, en soulignant la fente du giron. Le produit ne s'efface pas quand on l'essuie, et le démaquillant, et même l'alcool, ne l'enlève que difficilement. On me poudre le visage, du parfum longuement passé sur la fourrure des aisselles et du pubis, dans le sillon entre les cuisses, dans le sillon sous les seins, et au creux des paumes, j’entre dans une pièce où un miroir à trois faces et un quatrième miroir au mur permettent de se bien voir. Je m’assois sur le pouf au milieu des miroirs, et d'attendre. Le pouf est couvert de fourrure, qui me pique un peu, et il y a un tapis. J’ai gardé mes mules aux pieds. Sur une des parois du petit boudoir, il y a une grande fenêtre qui donne sur un beau parc sombre. Un nouveau gode anal canin m’encule à nouveau.
Deux superbes étalons nus et cagoulés me rejoignent et me libèrent du gode anal.
Un des hommes me prend dans ses bras, je l'entoure avec mes jambes et me laisse baiser. Le deuxième homme, bien monté, derrière me soutenant également une partie de son poids et m’encule. Ils synchronisent leurs va-et-vient et j’explose dans un double orgasme, doublement inondée. Ce qui me vaut une cuisante punition : trente coups de cravache sur les fesses, les reins et les cuisses.
Je nettoie mes deux étalons.
Je mange seule, agenouillée, sur le pouf, cuisses écartées.
- Allez ma belle Prisca, tu vas porter ta tenue de soumise, pour ta promenade, avant ta présentation, m’annonce un autre superbe étalon nu et cagoulé, botté.
Son mandrin est aussi imposant que celui d’Horace.
Ma tenue de soumise se compose d’un corset seins nus tout en dentelle, durement baleiné, long et rigide, et comporte des goussets où reposent les seins. A mesure qu'on serrait, les seins remontent, s'appuient par-dessous sur le gousset, et offrent davantage leurs mamelons tendus à l’extrême. En même temps, la taille s'étrangle, ce qui fait saillir le ventre et cambrer profondément les fesses.
Le valet me tient en laisse par mon collier, les mains menottées dans mon dos, les yeux bandés.
Je redescends l’escalier, mes mules claquent sur le marbre.
Le vent frais me provoque une excitation énorme.
Des mains pelotent mes seins, jouant avec mes mamelons qui sont étirés, pincés, je me retiens de jouir, sous peine de sanctions. Bien sûr, je suis sauvagement et longuement enculée par les valets et les chiens dont Adam et Lancelot et Arès.
Après cette promenade autour du manoir, une voix familière m’interroge :
- Voici la fameuse chienne Prisca, elle se joint à nous pour peaufiner son dressage.
- Comte Donatien, c’est vous. Je suis votre soumise docile.
- J’espère que tu te montres à la hauteur de nouveaux clients bien montés.
Ayant recouvré la vue, je découvre une grande pièce avec plusieurs hommes cagoulés, avec des capes et bottés, leurs mandrins en érection.
Suspendue sur la pointe des pieds nus, je suis en alternance cravachée, fouettée à la garcette, puis prise longuement en double pénétration, puis pour mes premières doubles anales. Je me retiens de jouir, mais ma chatte trempée dégouline de spermes et de mouille, tellement je suis excitée.
Après une dizaine de clients, je suis menottée à un chevalet, horizontal, de la hauteur d'une table, composé d'une poutre d'un mètre cinquante de long, terminé à chaque extrémité par un madrier perpendiculaire d'un mètre, formant une sorte de I aux empattements prolongés. Je me retrouve en croix, la tête et la colonne vertébrale sur la poutre, mais les bras et les jambes, qui rejoignent les extrémités des madriers, tendus dans le vide. Un double gode me pilonne, avec un puissant va-et-vient, monte et descend car le gode s’allonge à chaque mouvement grâce à sa texture réaliste ultra-souple et ultra-douce. Ce sont des mandrins en érection, à la hampe veinée, long de trente-cinq centimètres et sept de diamètre pour ma chatte et quarante centimètres de long et sept de diamètre pour m’enculer. Le gode s’allonge et rétrécit à chaque mouvement de va-et-vient grâce à son enveloppe ultra-souple qui s’étire ou se contracte en suivant les montées et descentes du gode. J’ai l’impression d’être prise par deux  véritables étalons à ma disposition qui me font l’amour en étant infatigable. Pour étouffer mes râles de plaisir, je suce les autres clients, qui me cravachent et me fouettent les fesses. Je ne compte plus mes doubles orgasmes.

Pendant trois jours, le Comte me fait saillir analement par Adam, le berger allemand et les dogues allemands Lancelot et Arès, à de nombreuses reprises, sur le chevalet, ou menottée à mon lit, bras et jambes écartées, sur le dos et sur le ventre, jusqu’au nœud, pour que je reste attachée à eux, pour recevoir le maximum de spermes pour me remplir l’anus.

19 avril
Vers 9 heures, je quitte le manoir, vêtue d’un corset seins nus en dentelle sous un boléro fermé au cou. Il suffit d'enlever le boléro pour que les épaules et les seins soient nus, et sans même enlever le boléro, de l'ouvrir, si l'on désire voir les seins. Une jupe éventail couvre à peine mes fesses rougies et zébrées nues. J’aime me sentir les seins, les reins et les fesses nus à disposition, avec mon bijou d’anus. Je chausse des sandales transparentes à hauts talons, je me coiffe d’une queue-de-cheval, dévoilant mon collier en cuir, sans mes bracelets à mes poignets et à mes chevilles.
Je conduis la Porsche cabriolet qui m’est mis à disposition par le Comte. Je dois rejoindre un village isolé du manoir, à trois heures de route.
Là, je découvre un groupe d’hommes et une séduisante blonde aux seins plantureux.
Je m’arrête dans la cour de la ferme.
- Voici chienne Prisca, annonce la blonde, la soumise du baron A, elle a été dressée par le comte D. Ma belle soumise Prisca, je me prénomme Maîtresse Natacha. Tu es docile. Déshabille-toi pour mes amis s’occupent de toi.
Nue, en mules, je découvre que ma chatte et mon anus ont été intégralement épilés et mon gros clitoris est encore plus visible. Je mouille d’excitation.
Natacha soulève sa jupe éventail et me fait lécher son clitoris et sa chatte. Je dois la mener à l‘orgasme, les mains menottées dans le dos, accroupie, cuisses écartées.
- Tu es experte comme lécheuse.
Soudain, Natacha se lâche et je dois lui nettoyer la chatte, sans perdre une goutte.
Sans perdre de temps, un gros mandrin d’un africain m’encule jusqu’aux testicules. Je ne peux me refuser à lui. Il est plus gros que Lancelot. Il me fesse magistralement.
- Natacha, ta chienne lesbienne, elle a un puits sacrément ouvert.
- Oui, Lancelot et Arès l’ont saillie comme leur chienne. Quant à toi, chaque orgasme sera sanctionné.
L’africain César se retire et me fait sucer son gros mandrin, tandis qu’un oriental prend le relais, bien monté.
Je me retiens de mon nouvel orgasme anal, mais la pression est trop forte.
Un orgasme puissant me terrasse, mon muscle anal se contracte très fortement.
- Alors, chienne, tu as eu un orgasme anal. Détends-toi.
J’obéis, mon anus dégouline et Natacha choisit un chapelet anal en acier avec deux boules de sept centimètres qu’elle enfonce jusqu’à la garde. Elle le fixe par le crochet à une corde, qu’elle tend à un autre crochet près d’un mur. Je dois garder la pose, penchée en avant, les mains au sol, cuisses écartées.
Elle me cravache les fesses et les cuisses, puis à la garcette. Je dois compter les coups.
Je dois garder la pose. Les boules en acier me font jouir et j’ai une série d’orgasmes violents non contrôlés, avec la cravache et la garcette pour me punir.
Je reste trois heures, à bronzer toute nue.
Le chapelet anal retiré, je dois m’empaler sur un double gode canin, avec de puissants va-et-vient, sur un tabouret, cuisses écartées, mains jointes à mon cou, décuplant mes orgasmes, offrant l’intérieur de mes cuisses à la cravache. Je me retiens de gémir. Je reste trois heures dans la position offerte, les yeux baissés, émettant des râles de plaisir.
J’ai droit à une longue douche au jet d’eau froide, dans la cour.
Je fais la connaissance de Justine la Vicieuse, une jolie brune aux petits seins, intégralement épilée, aux cheveux courts, exhibant une cravache et un fouet entrelacés marqués au fer rouge sur sa nuque. Son anus est distendu, par les nombreuses saillies anales qu’elle a subi.
Justine me lèche la chatte et l’anus, pour me faire jouir dans un 69 torride. Je suis couchée sur elle, offrant mes fesses à la garcette et à la cravache des invités.
Nous doigtons mutuellement nos anus, retardant nos orgasmes anaux.
Puis les invités nous enculent simultanément. Je dois me retenir.
Pendant plusieurs jours, d’autres invités viennent nous voir.

27 avril
A l’aube, je suis réveillée, la première. Je dors nue, menottée à un chevalet, solidement immobilisée dans cette posture dégradante, le postérieur plus haut que la tête. Mes bras sont fixés le long des pieds avants, mes jambes le long des pieds arrières, et une large sangle m'est passée au niveau de la taille. Mes cuisses, légèrement fléchies sont empêchées de se resserrer par la largeur de la poutre, ainsi d'ailleurs mes fesses que je me peux refermer. Toute mon intimité est ainsi très accessible et on peut me faire tout subir.
Des dogues allemands m’ont enculée pendant la nuit, j’ai eu de nombreux orgasmes, malgré mon bâillon-pénis canin, mon anus dégouline de spermes chauds.
- Allez, chienne Prisca, à la douche, tu dois te faire belle aujourd’hui.
Après le jet à l’eau froide, je me farde, me parfume, rase mes poils rebelles autour de ma chatte et de mon anus.
Je chausse mes mules et j’attends dehors, les mains menottées dans mon dos.
Soudain, des phares éclairent la cour. Deux superbes limousines : une Jaguar et une Rolls-Royce stationnent.
Les phares restent éclairées sur moi. Les yeux baissés, je reste immobile.
Natacha parle aux inconnus des voitures :
- Chienne Prisca a rejoint Justine la Vicieuse, après son dressage au « Donjon des Chiennes ». Prisca est une beauté docile, très perverse et vicieuse.
Trois hommes descendent de la Jaguar et une femme élégante de la Rolls-Royce.
Tous me caressent et surtout la femme, qui se révèle être un transsexuel blond à petits seins, mais au mandrin imposant.
Nathan, Sacha, Eros me complimentent, quand ils m’écartent mes fesses brûlantes par les derniers coups de cravache reçues dans la nuit. Lady Hyacinthe m’embrasse langoureusement sur la bouche.
- Tu embrasses bien, ma chérie Prisca. J’ai hâte de t’enculer.
- Ma chère Lady Hyacinthe, je pense que Prisca a un gros clitoris bien tendu, pour porter ton bijou au capuchon et peut-être des anneaux aux grandes lèvres de sa superbe chatte toute lisse.
Je me retrouve menottée au chevalet. On perce verticalement le capuchon de mon gros clitoris de façon à ce que le bijou repose directement sur le clitoris, ce qui provoque souvent, une stimulation permanente de l’organe érectile et une amélioration des sensations et du plaisir au cours des rapports sexuels. Il permet de stimuler le clitoris sans qu’il n’y ait un risque de désensibilisation. Le capuchon du clitoris est le petit bout de peau qui recouvre le clitoris. Lorsque ce capuchon est percé verticalement, la stimulation sexuelle sera plus forte, voir permanente. Dans ce cas, l’extrémité du bijou repose directement sur le clitoris. Il faut deux à quatre mois pour la cicatrisation et je porte une barre décorée d’une pierre précieuse.
Tous les quatre m’enculent, tandis que je les suce à tour de rôle. Mon excitation clitoridienne est à son comble, je mouille comme jamais auparavant. Le bijou porte les initiales AESBDM. J’éprouve de la fierté et de savoir que je serais chiffrée, comme toute soumise que je suis.
Lady Hyacinthe passe de longues heures en ma compagnie, à me baiser, pour faire tendre au maximum mon clitoris percé. C’est le summum du plaisir. Même quand les dogues allemands se relaient pour m’enculer simultanément. Je suis doublement inondée de spermes. J’aime ça.
Je passe quelques jours au village, constamment enculée et fouettée.

3 mai
Vers 9 heures, après le petit déjeuner, Lady Hyacinthe vient me chercher avec Justine la Vicieuse. Nous sommes fardées et parfumées, vêtues de corsets seins nus en dentelle sous un boléro fermé au cou. Une jupe éventail couvrent à peine nos fesses rougies et zébrées nues. Nous sommes chaussées de mules à très hauts talons.
J’aime me sentir les seins, les reins et les fesses nus à disposition, avec mon bijou d’anus. Je me coiffe d’une queue-de-cheval, dévoilant mon collier en cuir, avec mes bracelets à mes poignets et à mes chevilles, tout comme Justine la Vicieuse.
Nous prenons la Rolls-Royce, conduite par Lady Orchidée, un transsexuel thaïlandais aux petits seins et au mandrin imposant. Nous allons à une journée de route de l’hôtel particulier, dans une école très spéciale.
Lady Orchidée m’encule lors d’une pause et je me retiens de jouir.
A l’école, munie d’un gode-ceinture avec un gros gode anal canin et un gros gode réaliste vaginal et d’un gode réaliste anal, tous sont munis de puissants va-et-vient, je dois enculer une dizaine de soumis, cagoulés, nus, menottés à des chevalets, tout en prenant mon plaisir, puis une dizaine de jeunes transsexuels bien montés. Je ne compte plus mes orgasmes par mes coups de reins que je donne et ceux que je reçois.
Nous déjeunons, nues, avec nos gode-ceintures. Mon clitoris est tendu à l’extrême tout comme mes mamelons par l’excitation que je ressens.
L’après-midi, je déflore une dizaine de jeunes soumises, que je cravache. Je choisis mon soumis, ce sera Nathan, un jeune puceau, que je féminise. Il s’habille en soubrette, mules à hauts talons et des anneaux dorés aux testicules. Il porte sa ceinture de punition pour mandrin et testicules est fabuleuse, ils sont passés dans un anneau en métal massif dont le diamètre intérieur est de cinq centimètres, je lui sangle ensemble les testicules et le mandrin afin de les faire gonfler tout en les étirant vers l’avant ce qui les offre d’une manière magnifique aux jeux pervers de la Maîtresse. Son mandrin et ses testicules sont réunis en un seul paquet gonflé. Je serre plus ou moins la sangle des testicules pour déterminer la balance entre plaisir et douleur que je juge la plus adaptée à leur soumis. L’anneau en métal massif placé à la base commune du mandrin et des testicules excite le soumis en stimulant et prolongeant son érection. Je peux fesser ou enculer mon soumis pendant que je punis ses testicules. Je lui fais porter sa ceinture huit à dix heures par jour et mes soumises portent aussi des gros doubles godes canins pour les écarteler huit à dix heures par jour.

15 mai
A l’aube, je reprends ma Porsche cabriolet, vêtue d’un corset seins nus en dentelle sous un boléro fermé au cou. Une jupe éventail couvre à peine mes fesses rougies et zébrées nues. J’aime me sentir les seins, les reins et les fesses nus à disposition, avec mon bijou d’anus moulé sur le sexe d’Arès, mon amant canin favori. Je chausse des sandales transparentes à hauts talons, je me coiffe d’une queue-de-cheval, sans mon collier en cuir, ni mes bracelets à mes poignets et à mes chevilles. Je retourne à l’hôtel particulier du baron Alban Edouard de Saint Brice Désir Mon Plaisir. J’ai continué à écrire ma vie de soumise depuis le 12 avril, dans mon journal intime, avec de nombreuses photos documentées des parties de mon corps. Le vice, le désir, la luxure, la soumission et la domination sont parties intégrantes de ma vie de secrétaire particulière.
Je gare ma Porsche dans la cour. Le bijou d’anus m’a procurée des orgasmes en solitaire très violents. Ce n’est pas Horace qui m’accueille, mais Nathan devenu Miss Petite Chienne Rose.
- Alors, comment va ma belle Rose ?
- Prisca, je ne pensais pas que tu venais aujourd’hui.
- Mais, qui t’as autorisé à tutoyer ta Maîtresse. Tu mérites une punition, ma Rose.
Le baron me rejoint.
- Ma chérie Prisca a tout à fait raison. Seule Prisca peut me tutoyer, c’est ma nièce, Rose la soubrette.
Le baron me fait le baise-main.
- Tu es très belle, désirable, depuis notre première rencontre.
- Rose, mets-toi en position, penchée en avant, jupe relevée.
Rose obéit au salon.
- Mais, ma Chienne, tu bandes, avec ta ceinture. Tu me fais honte. Malgré tes saillies par Atlas le Danois, tu prends du plaisir. Je vais te doigter l’oeillet, ma chienne.
Rose écarte bien ses fesses et j’enfonce en douceur : j’insère deux doigts puis continu avec des mouvements de va et vient. Peu de temps s’écoule avant que je ne lui mette un troisième doigt puis un quatrième. Le pouce étant maintenant dans son oeillet. Son anus se dilate autour de ma main. J’enlève doucement ma main de son anus.
- Bon, ma Chienne Rose, tu vas avoir droit à ta récompense. Tu te mets à quatre pattes par terre, et de lever mon cul en l’air.
Je pisse sur ses fesses et dans son anus qu’il garde ouvert.
- Tu dois rester sage, ou bien Atlas viendra t’enculer, ma Petite Chienne. Tu vas nettoyer par terre, tu es très sale.
Je lui met le bijou d’anus d’Arès pour qu’il reste sage.
Mais Atlas l’encule quand même, puis Atlas m’encule ensuite, je m’offre à quatre pattes et je connais plusieurs orgasmes, attachée à lui, nue, au salon.
Je passe quelques jours à reprendre le dressage de Rose.

22 mai
A l’aube, je porte officiellement mes fers à mes deux grandes lèvres, sont des anneaux de fer mat inoxydable, comme le fer de la bague doublée d'or. La tige en est ronde, épaisse, et ils sont oblongs : les maillons des grosses chaînes sont semblables. Chacun est formé de deux U qui s'emboîtent l'un dans l'autre. Le modèle définitif, comporte un ressort intérieur sur lequel on force pour le faire pénétrer dans la rainure où il se bloque. Chaque anneau est long comme deux phalanges du petit doigt, qu'on y pouvait glisser. A chacun est suspendu, comme un nouveau maillon, ou comme au support d'une boucle d'oreille un anneau qui doit être dans le même plan que l'oreille et la prolonger, un disque de même métal aussi large que l'anneau était long. Sur une des faces, AESBDM sur l'autre, Prisca, Comte Donatien BSMV et au-dessous, un fouet et une cravache entrecroisés, me descendaient jusqu'au tiers de la cuisse, et à chacun de mes pas bougent entre mes jambes comme un battant de cloche, le disque gravé étant plus lourd et plus long que l'anneau auquel il pend. Mes reins sont marqués au fer rouge, AESBDM et DBSMV Les marques imprimées par le fer rouge, hautes de trois doigts et larges de moitié leur hauteur, sont creusées dans la chair comme par une gouge, à près d'un centimètre de profondeur. Rien que de les effleurer, on les perçoit sous le doigt.
Je suis officiellement une soumise ferrée et marquée, docile.
Je suis prête à m’offrir à de nouveaux clients soit à l’hôtel particulier soit chez Lady Hyacinthe.

A bientôt, votre chère Prisca, qui attend vos queues pour assouvir tous vos désirs.