Je m’appelle Prisca.
J’ai 21 ans.
Je suis une jolie beauté scandinave.
Je suis une brune aux yeux verts. J’ai des pieds fins et
latins, des jambes longues bronzées, musclées qui inquiètent par leur
perfection. Mon pénil est bombé, ouvert, couronné de noir. Ma pilosité brune
couvre mon pubis. Ma chatte est velue et j’ai une superbe croupe. Les lèvres de
mon sexe sont une plaie rouge entre mon entrecuisse. Mes hanches s'incurvent et
délimitent le ventre plat, délicieusement renflé autour du nombril, les hanches
sont larges et rondes, mais sans lourdeur. La taille est affinée. Les seins
parfaits intégralement bronzés sont un peu volumineux mais fermes, et leurs
pointes marron clair, toujours dressées, cernées par une large aréole marron
attirent le regard. J’ai une peau lisse et patine. Finition parfaite, un seul
grain de beauté entre mes superbes seins. De longs cheveux plats blonds
flottant comme des algues, battent mes épaules rondes et gracieusement
athlétiques. Je suis intégralement bronzée. Mes yeux verts limpides s'allument,
ma bouche charnue se fend. J’ai des sourcils bruns bien dessinés et des lèvres
pulpeuses. J’ai de longs doigts fins et de belles mains. Je fais du 85B de
poitrine, 56 de taille, 88 de hanches, 1,72 m.
SECRETAIRE
PARTICULIERE ET LE VICE
12 avril
Je suis une toute jeune secrétaire. Je connais le sexe par mes
relations lesbiennes, par mes cousines, mes nièces et mes amies de collège et
de lycée. Je me suis toujours refuser aux garçons, aimant la douceur féminine,
mais j’aime que l’on fouille ma chatte velue, pour me mener à l’orgasme.
Une amie
m’a trouvée un emploi de secrétaire particulière chez un baron, play-boy et
ancien banquier.
Vers neuf
heures, je me rends, dans mon plus beau tailleur : fuchsia avec une jupe
droite, cachant mes dessous avec mon assortiment soutien-gorge, string et
porte-jarretelles en dentelle blanche, mes bas blancs et mes escarpins blancs à
hauts talons, les cheveux libres, maquillée et parfumée.
Le
bâtiment est un hôtel particulier au fond d’une cour. Dès mon arrivée, je
croise des filles de mon âge, en pleurs, déçues de leurs entrevues. Je croise
le regard du baron Alban Edouard de Saint Brice Désir Mon Plaisir, un bel
athlète du double de mon âge, élégant, qui me baise la main.
- Tu es la
fameuse Prisca, tes amies m’ont beaucoup parler de tes talents de secrétaire.
- Monsieur
le baron, je sais que je suis à la hauteur.
- Mais,
Prisca, en plus de ton travail, viens avec moi. Ces jeunes filles n’ont aucun
savoir vivre.
Nous
entrons dans un luxueux bureau au rez-de-chaussée.
- Voici,
ton bureau, avec tous les moyens de télécommunications et des livres pour vous
instruire sur mes goûts sexuels. J’espère que tu sais aussi sucer et prendre du
plaisir.
Je n’ose
n’avouer que je ne suis pas une suceuse de mandrins, novice, ni ma virginité.
- Retire
ta veste et ton chemisier.
J’obéis.
- En te
prenant vierge, si j'ose dire, je pourrai te dresser à ma guise ! As-tu déjà reçu la fessée ou le martinet ? Alors tu
sais ce que signifie l'éducation anglaise ?
Je n’ose
répondre.
- Dégrafe
ton soutien-gorge ! De superbes petits seins aux mamelons qui se tendent quand
on les effleure. Tu es sensible des mamelons, très bien. J’imagine que tu
mouilles.
Il
continue à les caresser et d'en pincer les mamelons entre ses doigts jusqu'à ce
qu'il les sente se dresser.
- Je suis
très exigeant et très sévère. Je veux de l'ordre, de la discipline et de
l'obéissance. Je te dresserai jusqu'à
ce que tu sois parfaite, tu m'as bien comprise ?
Je retire
ma jupe et mon string trempé, que me prend le baron et qu’il sent.
- J’aime
ton odeur, retire ton porte-jarretelles et tes bas. Je te veux pieds nus et
totalement nue.
Je tente
avec maladresse de dissimuler mon intimité avec mes mains.
-
Penche-toi en avant, les mains au sol, cuisses écartées, Prisca.
J’obéis.
Le mandrin long de vingt-cinq centimètres et cinq de diamètre me remplit
d’abord ma chatte, jusqu’à percer mon hymen, tandis qu’il masturbe mon clitoris
tendu. Je jouis.
- Très
bien, la chatte est déflorée. Maintenant, l’œillet, détends-toi, c’est une
formalité.
Il
s’enfonce en douceur, m’écartant bien les fesses, avec quelques claques
magistrales. Je gémis un peu.
Il
s’enfonce jusqu’aux testicules. Enfin, je sens son ventre contre mes fesses.
Peu à peu, la douleur de mon anus forcé cède la place à un certain plaisir,
puis à un plaisir certain. Par sa technique sans faille, je jouis uniquement
enculée, un orgasme profond comme je n'en ai jamais encore éprouvé.
- Te
voilà, doublement ouverte, Prisca, prête à tous les désirs.
Il éjacule
en moi et me met un bijou d’anus pour que je conserve son sperme chaud.
Après
l'introduction du bijou d’anus, il se resserre sur la tige dont le diamètre est
plus ou moins celui d'un petit doigt, ce qui correspond à l'ouverture normale
et naturelle de l'anus pour permettre les échanges gazeux. Il entretient
l'élasticité de l'anus. Je suis obligée de contracter l’anus pour être sûre que
l’objet ne tombe pas. Cette contraction avance le bijou d’anus contre la chatte
et stimule cette partie hautement érotique de la femme. La sensation est très
agréable. Il mesure treize centimètres et cinq de diamètre. Il est froid.
Puis entre
Horace, un superbe étalon africain, au mandrin imposant. C’est le majordome,
son mandrin mesure trente-deux centimètres et sept de diamètre.
A peine
remise de ma première sodomie, je dois me mettre à quatre pattes, bras tendus
pour tendre mes fesses, bien rebondies. Je dois sucer le baron. Ma bouche
novice se referme et resserre le mandrin que j’ai saisi, et le long duquel je
monte et descend, mon visage défait qui s'inonde de larmes chaque fois que le
mandrin gonflé me frappe jusqu'au fond de la gorge, repoussant la langue et
m’arrachant une nausée. Horace me retire le bijou d’anus et m’encule avec
aisance, l’anus bien lubrifié par le sperme du baron.
- Allez ma
belle, je vais te faire coulisser sur ma belle queue.
Je dois
m’ouvrir davantage, pour l’accueillir. Il me fesse magistralement.
- Tu l’as
bien méritée, Prisca. Tu es chaude de l’œillet.
Il
s’agrippe de plus en plus fort à mes hanches douloureuses par la défloration de
ma chatte.
Tous les
deux éjaculent, le baron dans ma bouche et Horace dans mon anus dilaté et
rougi.
Horace me
remet le bijou d’anus en place.
- Ces
sodomies et nos éjaculations sont faites pour que ton œillet s’habitue à nos
queues. Nous forceront ton œillet.
- Horace,
amène-la à sa chambre. Désiré et Emmanuel vont la préparer.
Je monte
pieds nus, le grand escalier en marbre froid sous mes pieds, avec Horace
derrière moi, regardant mes fesses rougies et brûlantes.
Vers onze heures,
je fais la connaissance de Désiré et Emmanuel. Désiré est un superbe étalon
musclé brun, avec un mandrin long de vingt-cinq centimètres et cinq de diamètre
et Emmanuel est un superbe transsexuel blond aux seins plantureux, doté d’un
imposant mandrin de trente centimètres et six de diamètre.
Ils sont
nus et me conduisent dans une luxueuse chambre avec de nombreux miroirs sur les
murs et au plafond et une grande salle de bains avec douche et baignoire
transparente et un bidet.
Le couple
me douche, me savonne, me lave les cheveux. Bien sûr, l’anus libre, je suis
sauvagement enculée par Désiré et Emmanuel. Ils entrent et sortent
partiellement. Sans même me caresser, mais la masturbation clitoridienne par
celui qui m’encule et mes mamelons tendus roulés par l’autre, me déclenche un
puis deux orgasmes anaux violents.
L’anus
dégouline de spermes chauds. Je m’assois sur le bidet, courbée en avant,
cuisses écartées. L’anus savonné, je reçois une canule, montée à l'extrémité du
flexible de la douche, par laquelle ils m'aspergent d'eau tiède. Je jouis à
nouveau, ainsi je suis propre, afin qu'on puisse recommencer dès qu'on en
aurait le caprice.
J’apprends
à me farder : je me farde la bouche avec un rouge clair, un peu liquide,
qu'elle appliquait au pinceau, et qui fonce en séchant. Je peins du même rouge
l'aréole et les mamelons des seins, et les petites lèvres entre mes cuisses, en
soulignant la fente du giron. La teinture ne s'efface pas quand on l'essuie, et
le démaquillant, et même l'alcool, ne l'enlèvent que difficilement. J’ombre
légèrement mes paupières Je me parfume longuement sur mes aisselles lisses et
sur ma toison pubienne, dans le sillon entre les cuisses, dans le sillon sous
les seins, et au creux des paumes.
Je porte
aussi des bracelets en plusieurs épaisseurs de cuir, chaque épaisseur assez
mince, au total pas plus d'un doigt, verrouillés par un système à déclic, qui
fonctionne automatiquement comme un cadenas quand on le refermait, et ne peut
s'ouvrir qu'avec une petite clé. Dans la partie opposée à la fermeture des
bracelets, pris dans le milieu des épaisseurs de cuir, et n'ayant presque pas
de jeu, il y a un anneau de métal, qui donnait une prise pour fixer, et qu'on
positionne du côté intérieur du poignet. Pour le collier, l'anneau pend devant
le cou, reposant sur la saillie des clavicules, et brinquebale au rythme des
mouvements de celui qui le porte.
On
assujettit ces carcans à mon cou et à mes poignets et à mes chevilles.
Emmanuel
enduit mes mamelons et mon clitoris d’une crème. L'effet, c'est que ça me
déclenche une hyper sensibilité. Le moindre frottement de tissus ou même l'air
sur mes mamelons et mon clitoris me provoquent une excitation énorme. Le
résultat, c'est que mes mamelons pointent au maximum tout le temps, vingt
quatre heures sur vingt quatre et de même pour mon clitoris. Je suis frustrée
et la douleur que cela procure en plus de la douleur provoquée par le fait que
mes mamelons et mon clitoris soient constamment tendus. La teinte de mes
mamelons tient en utilisant simplement un glaçon. Mes mamelons et mon clitoris
sont complètement tendus et très dur au point de me faire vraiment mal et le
moindre effleurement même involontaire devient une véritable torture tellement
ces endroits sont devenus sensibles.
Je
découvre ma robe avec un dos entièrement transparent en dentelle, jusqu’aux
reins, dénudant entièrement mes fesses, le bustier est en réalité un
soutien-gorge quart de seins qui laissent les trois quarts supérieurs du sein
nu en le soutenant et en lui donnant du volume, corsetant discrètement mon
buste, offrant mes hanches de courtisane, un dos cambré et les fesses en
arrière et faisant tendre mes mamelons déjà tendus et durcis, saillants, gros
et longs. La jupe est fendue discrètement devant et couvre jusqu’à mi-cuisses.
Je chausse mes mules à hauts talons, mes ongles des mains et des pieds vernis
en rouge. Ma silhouette est plus élancée, mes chevilles et mes mollets sont
tendus, cela te fait des jambes superbes.
Mon gros
clitoris tendu comme une cerise est saillant et volumineux.
Je dois
redresser le buste et creuser les reins. Je suis prête à être caresser.
Je
descends l’escalier et retrouve au rez-de-chaussée, Horace, qui pelote
gentiment mes seins, jouant avec mes mamelons durcis. Je me retiens de jouir.
Prisca est
prête, messieurs.
Là, deux
autres invités m’attendent au salon : un bel étalon du double de mon âge,
brun, musclé, le Duc Brice Mes Sévices et le Comte Donatien de Beau Saint Mille
Verges, son frère jumeau.
Je
m’abandonne à leurs caresses sur mes seins, sur ma chatte trempée et sur mon
clitoris tendu, les yeux baissés, la bouche entrouverte, comme exigée sur la
note dans ma chambre.
- Superbe
corps, grande beauté, chatte et pubis velus, elle mouille bien, dit le Duc.
- Elle porte
le bijou Douceur. Elle connaît la sodomie et la double pénétration, votre
nouvelle secrétaire, dit le Comte.
Je n’ose
répondre.
- Bien
sûr, cette vierge anale et vaginale s’est révélée tout à l’heure, être une
véritable jouisseuse. Prisca va faire le service. Elle s’empale sur chacun de
vos mandrins qu’elle va sucer, pendant le repas.
Accroupie,
je suce le Duc doté d’un imposant mandrin long de trente centimètres et six de
diamètre puis le Comte, trente-quatre de long et sept de diamètre. J’ai du mal
à sucer son gland.
Pour
l’entrée, l’anus libre de mon bijou d’anus, je m’empale face au baron, enculée
jusqu’aux testicules. Il m’embrasse, mes fesses sont brûlantes par les claques
magistrales des deux autres invités. Je me retiens de jouir, lors de
l’éjaculation.
Pour le
plat de résistance, je m’empale, toujours enculée, dos au duc, cuisses
écartées, jusqu’aux testicules. Il caresse mes reins, mes fesses, mon cou, mes
épaules et mes seins. Lui aussi éjacule en moi. Chaque morceau de viande et de
légumes passe dans ma chatte trempée.
Pour le
dessert, nue, je suis invitée par le comte à m’empaler sur lui, enculée. Il est
allongé sur le dos, cuisses écartées, mes cuisses sont collées aux siennes,
tandis que ma chatte est remplie par les va-et-vient des trois bananes bien
mûres. Je dois retarder mes orgasmes, surtout lorsque le comte éjacule à son
tour.
Je reste
empalée pour que le baron et le duc me baisent simultanément, pour décupler mes
plaisirs sexuels. Ils éjaculent sur ma toison pubienne.
Le bijou
d’anus remis en place, mon anus reste un peu plus ouvert avec les sept
centimètres de diamètre.
-
Cravachons Prisca, elle doit goûter à la cravache, dit le comte, en caressant
mes fesses brûlantes et rougies par les claques magistrales de chacun.
Je me
retrouve suspendue à un crochet au milieu du salon, offerte à un miroir à trois
faces et un quatrième miroir au mur permettent de me bien voir. Je suis nue,
pieds nus, sur la pointe de pieds, cuisses écartées par une barre d’écartement
fixée aux bracelets de mes chevilles, bras tendus en l’air, au-dessus de la tête.
Les yeux
baissés, je découvre la cravache. Elle est longue et fine, de fin bambou gainé
de cuir, comme on en voit dans les vitrines des grands selliers.
- On ne
cravache que les fesses et les cuisses, bref, de la taille aux genoux. On me
laisse respirer, mais quand j’ai repris haleine, on recommence, par les traces
plus ou moins vives ou durables, que la cravache laisse sur ma peau.
Après dix
coups sur les fesses, je les supplie :
-
Détachez-moi, arrêtez.
La
cravache s’abat sur le devant et l’arrière des cuisses.
Humiliée
et exposée, exhibée, je dois subir la garcette, faites de cordes assez fines,
qui se terminaient par plusieurs noeuds, et qui sont toutes raides, trempées
dans l'eau, en caresse ma chatte trempée, mon clitoris tendu, mes mamelons tendus
et surtout l’intérieur de mes cuisses. Les cordes sont bien humides et froides.
Je reçois
aussi dix coups sur les fesses et les cuisses, enculée sauvagement par les
trois invités et Horace, alourdissant mon anus de spermes chauds.
Sous
l’excitation sexuelle, j’expulse un violent jet de mouille de ma chatte
trempée.
Prenons en
double, elle a besoin de sexe, Prisca, dit le baron.
On me
retire la barre d’écartement et je me retrouve empalée simultanément sur le duc
qui me prend dans ses bras, je l'entoure avec ses jambes et se laisse baiser et
le comte m’encule, derrière moi me soutenant également une partie de mon poids.
J’explose dans un double violent orgasme.
- Mais,
Prisca, elle me fait éjaculer dans son œillet, dit le comte.
- Elle me
fait éjaculer dans sa chatte, dit le duc.
Vers
quatorze heures, doublement remplie de spermes, je suis reconduite à ma
chambre, nue, avec mon bijou d’anus et une ceinture de chasteté en acier
inoxydable d'environ trois centimètres de large, suffisamment flexible pour s'ouvrir
et se refermer sans nécessiter de charnière. Il en résulte ainsi une apparence
très plate. Le système de verrouillage maintient solidement la protection
d'entrejambe et la bande de taille en un joint lisse, la protection
d'entrejambe est ainsi maintenue verticalement sans possibilité de pivotement
latéral. La protection d'entrejambe est incurvée afin de recouvrir la région
génitale pour s'arrêter près de l'anus, où elle se termine par deux chaînes de
section plate en acier chromé. Les lèvres de ma chatte dépassent au travers
d'une fine fente longitudinale, arrêtant toute pénétration. La ceinture de
chasteté est totalement efficace pour empêcher tout rapport sexuel. La ceinture
comporte un orifice anal pour que je puisse aller aux toilettes, mais aussi être
enculée. La ceinture est réalisée en inox brossé très esthétique, très solide
et simultanément très souple. Les bords de la ceinture sont recouverts d’un
rembourrage en caoutchouc moelleux pour assurer un confort de port.
- Ainsi,
tu peux te soulager par la fente. Tu es uniquement enculée, ce dont ton
dressage de soumise stipule. Si tu es docile, malgré le fouet entre le lever et
le coucher du soleil, ton regard fixant uniquement nos queues, tu peux être
récompensée, dit le baron.
Je monte à
ma chambre, nue, pieds nus, déchaussée. Désiré et Emmanuel me baignent et je
suis menottée à mon lit, bras et jambes écartées, allongée sur le dos, l’anus
libre est rempli par un puissant vibromasseur anal. Ce gode va et vient
automatiquement dans mon anus, monte et descend car le gode s’allonge à chaque
mouvement grâce à sa texture réaliste ultra-souple et ultra-douce. C’est un
mandrin en érection, à la hampe veinée, long de trente-cinq centimètres et sept
de diamètre. Le gode s’allonge et rétrécit à chaque mouvement de va-et-vient
grâce à son enveloppe ultra-souple qui s’étire ou se contracte en suivant les
montées et descentes du gode. J’ai l’impression d’être enculée par un véritable
étalon à ma disposition qui me fait l’amour en étant infatigable. Mes orgasmes anaux
sont de plus en plus violents. De temps à autre, les yeux bandés, je suis
enculée et je dois sucer, les seins pelotés, pour décupler mon plaisir anal.
Je suis
allongée sur le ventre, bras et jambes écartées, un coussin pour soulever mes
fesses brûlantes par la cravache et les fessées magistrales. Le gode reprend sa
mission.
Les
sodomies se succèdent, mon anus s’habitue aux gros mandrins qui m’écartèlent.
Vers
dix-huit heures, à moitié évanouie, je me retrouve détachée. Je me refais une
beauté, aidée par Désiré, qui me fait un rapide lavement anal.
Je
descends au rez-de-chaussée, nue, avec ma ceinture de chasteté, en mules. Je
retrouve Horace.
- Tu es la
reine anale, Prisca. On a compté une dizaine d’orgasmes anaux pendant ton
séjour à la chambre. Tu vas sortir, prendre l’air.
Je
m’habille d’un corset seins nus en dentelle sous un boléro fermé au cou. Il
suffit d'enlever le boléro pour que les épaules et les seins soient nus, et
sans même enlever le boléro, de l'ouvrir, si l'on désire voir les seins. Une jupe
éventail couvrant à peine mes fesses rougies nues. J’aime me sentir les seins,
les reins et les fesses nus à disposition, avec mon bijou d’anus. Je chausse
des sandales transparentes à hauts talons, je me coiffe d’une queue-de-cheval,
dévoilant mon collier en cuir, sans mes bracelets à mes poignets et à mes
chevilles.
Le baron
me considère comme sa fille, devant les regards insistants masculins mais les
femmes aussi. Je ne réagis à aucun regard, je ne serre jamais les jambes et je
ne croise jamais les bras pour masquer mes seins aux mamelons tendus par le
vent frais. Je suis tout de suite terriblement excitée. Plus je suis excitée et
plus parfois c'est gênant car ça ce voit parfaitement bien, aux mamelons et à
mon clitoris.
Le baron
me fait porter mon gode anal va-et-vient, maintenu à trois petits trous percés
dans la base, trois chaînettes. Il attache une étroite ceinture autour de ma
taille, et il y accroche les trois chaînettes, une par derrière qui suit le
sillon des fesses, et les deux autres par-devant, qui longent le pli des aines
en contournant le triangle du ventre. On les ajuste au plus court, de façon que
le mouvement intérieur des muscles ne peut repousser le gode et permettre de se
resserrer à l'anneau de chair qu’il doit forcer et distendre, et il les attache
avec de petits cadenas, pour s'assurer que, lorsque je suis seule, je ne peux
être tentée de me soulager de cette contrainte. Mon bassin ondule sur ce gode.
Le
quartier de l’hôtel particulier abrite un club privé auquel je suis destinée, un
gynécologue, une boutique de lingerie SM, un sellier et un discret sex-shop.
A la
sortie de la cour, se trouve le club privé « 6996 LOVE », tenu par le
transsexuel Albane. Le baron me présente à Albane, un superbe transsexuel brun
aux petits seins, doté d’un imposant mandrin de trente-un centimètres et sept
de diamètre. Les yeux baissés, je m’accroupis et je suce Albane, qui éjacule
dans ma bouche, alors qu’un orgasme anal me terrasse.
- Cette
Prisca a du potentiel, pour de futurs clients très exigeants, annonce Albane.
A la
sortie du club, nous allons chez le gynécologue, Nathan, un bel étalon musclé
blond, bien monté. Je suis exhibée, menottée au fauteuil gynécologique, cuisses
écartées, l’anus libre. Il m’enfonce le spéculum dans ma chatte pour vérifier
que ma défloration est réussie, puis un écarteur anal, pour m’ouvrir davantage
tout en léchant mon gros clitoris tendu et étirant mes mamelons tendus. Je me
retiens de jouir.
- Baron,
son œillet bien ouvert sera rempli par ma queue bien dure, que va sucer Prisca.
J’obéis et
le mandrin long de vingt-sept centimètres et six de diamètre m’encule jusqu’aux
testicules. Je connais un nouvel orgasme anal plus violent. Il éjacule en moi.
Le baron
me remet le gode en place.
Libre,
douchée et rhabillée, je rencontre son assistante, une transsexuelle blonde,
Hyacinthe. Elle m’embrasse langoureusement sur la bouche, tout en me masturbant
mon clitoris.
A la
sortie du cabinet au second étage d’un luxueux immeuble, à deux rues du club
privé, nous allons en face, à la boutique de lingerie SM, fermé par un
digicode, « Secrets de cuir et Dentelle », tenue par l’élégante
Orchidée, une transsexuelle thaïlandaise, aux petits seins et avec un mandrin
moyen.
Nue, je
parade devant elle, tout en gardant ma ceinture. Elle caresse mes seins,
m’embrasse, me doigte longuement la chatte jusqu’à un nouvel orgasme. Elle me
prend mes mensurations. J’essaye divers corsets, guêpières et robes courtes et
seins nus mêlant cuir et dentelle.
Je suce
Orchidée qui éjacule aussi dans ma bouche.
- Prisca
est le mannequin recherché par des agences avec son physique, même une chatte
et un pubis velu cela aura du succès. Il lui faut une cravache spécifique pour
ses jolies fesses musclées et ses cuisses de déesse.
A la
sortie de la boutique, nous traversons deux autres rues, pour rejoindre le
sellier.
Là, je
découvre une collection de cravaches. Penchée en avant, cuisses écartées, la
jupe relevée, je présente mes fesses nues au sellier.
Le
sellier, un bel athlète de l’âge du baron, me caresse les fesses qu’il chauffe
par de longues claques magistrales. Je dois compter les coups sans me montrer,
pendant que le baron choisit quelques cravaches à m’acheter.
- Val a le
même physique que Prisca. Elle aime les fessées.
Soudain,
les coups de cravache cinglent mes fesses sans prévenir. Je dois continuer à
compter.
- Xavier
Edouard Maître des Désirs et Sévices de Baisers, Prisca est tout à vous.
Après
vingt coups sur chacune de mes fesses, j’en reçois autant sur l’arrière et
l’avant de mes cuisses voir à l’intérieur de mes cuisses. Ce qui déclenche un
violent jet de mouille, sous l’excitation.
- Elle
prend son plaisir, Prisca, cravachée, annonce Xavier Edouard. Je peux
l’enculer, en la cravachant.
-
Prosterne-toi, Prisca, toute nue, sur le tapis.
J’obéis,
tout en m’enculant avec son mandrin similaire à celui d’Alban. La cravache
cingle mes fesses, à chaque va-et-vient. J’ai un nouvel orgasme anal lorsque
Xavier Edouard éjacule en moi.
Cet
orgasme me vaut trente coups de cravache sur les reins et sur mon dos.
- Prisca, tu
as interdiction de jouir, tant que celui qui t’encule ne t’a pas autorisé. Donc
tu as été punie.
Le baron
m’encule ensuite, avant de me remettre le gode en place.
Nous
rentrons à l’hôtel. Il est vingt et une heures, je suis épuisée.
Je mange
seule, agenouillée, cuisses écartées, les yeux baissés, nue, avec mes doigts,
avec le gode aux va-et-vient à la vitesse maximum, me procurant des orgasmes
anaux incontrôlés, sévèrement sanctionnés par des coups de cravache, sur mes
fesses et mon dos.
Menottée, l’anus libre, après mon lavement et ma douche, Horace, Désiré
et Emmanuel me font sucer leurs mandrins avant de longues sodomies avec
éjaculations. Je dois retarder mes orgasmes anaux, à la sortie de leurs
mandrins, sous peine de coups de cravache.
15 avril
A l’aube,
après été cravachée sur l’intérieur des cuisses, enculée par les amis du baron
et prise en double pénétration, nue, l’anus dégoulinant de spermes, je me
regarde dans les miroirs et les glaces sur les murs et au plafond. Je suis
devenue une vraie jouisseuse anale.
Les
voyeurs se régalent par la fenêtre sans rideaux.
Emmanuel
vient me voir, vérifie que mes mamelons sont tendus à l’extrême, tout comme mon
clitoris gros comme une cerise, dont le contour a été dégagé pour le rendre
plus visible.
Il me libère,
m’allonge sur le ventre, fesses tendues, un coussin sous mon ventre, menottée.
Il m’encule longuement et je retarde mon orgasme anal tandis qu’il éjacule dans
mon anus.
Il me
libère, me douche. Je fais mon lavement sur le bidet. J’enfile ma guêpière seins
nus, sans jarretelles, tenue rigide par de larges baleines très rapprochées,
courbées vers l'intérieur au ventre et au-dessus des hanches, qu'un busc, sur
un côté derrière, permet de boucler et de déboucler. Par-derrière aussi, un
large laçage se serre ou se desserre à volonté. Elle est lacée aussi
étroitement. Je sens ma taille et mon ventre se creuser sous la pression des
baleines, qui sur le ventre descendent presque jusqu'au pubis, qu'elles
dégagent, ainsi que les hanches. La guêpière était plus courte par-derrière et
laisse la croupe entièrement libre. Je suis prête à me faire enculer par le
premier venu.
Je mets
mon boléro fermé au cou pour cacher mes seins nus et une jupe transparente
couvrant à peine mes fesses, qui portent encore les marques de la cravache, des
lignes blanches et des lignes rouges pour les plus récentes. Je chausse des
mules à très hauts talons. Je me coiffe d’une queue-de-cheval, fardée et
parfumée. Je garde mon collier et mes bracelets de cuir aux poignets et aux
chevilles.
Je quitte
ma chambre avec Horace, qui m’escorte au club privé.
L’entrée
par l’arrière du club privé passe par un souterrain discret.
Albane
m’accueille seule.
- Prisca,
te voici. Dans deux heures, je ferme. Mes clients veulent te connaître, ils ont
vu des photos et des vidéos de toi, au club. Tu es une sacrée jouisseuse anale.
Nue, en
mules, je suis présentée les yeux baissés, la bouche entrouverte à de superbes
étalons européens, américains et africains.
Je suis
cravachée et fouettée, suspendue d’abord debout, sur la pointe des pieds nus,
puis à une croix de Saint-André de face et de dos, suspendue dans le vide,
cuisses grandes ouvertes, pour être enculée et sucer les mandrins que l’on me
présente, les yeux bandés. Chaque orgasme anal est sévèrement puni.
Je ne sais
combien d’étalons m’ont enculée, fouettée. Albane m’annonce que je suis une
bonne soumise sexuelle, qui rapporte gros.
Albane
m’encule aussi, après m’avoir cravachée l’intérieur de mes cuisses, suspendue
dans le vide.
- Quel
superbe œillet bien ouvert, tu es chaude, ma chérie.
- Oui,
baise-moi, encule-moi, je suis ta soumise, Albane.
Albane
éjacule longuement en moi, avant de me mettre un nouveau bijou d’anus plus
gros, vingt centimètres et sept de diamètre avec des picots.
Libérée,
je me restaure.
- Prisca,
tu as encore beaucoup à apprendre. Ton dressage n’est pas encore achevé.
J’espère que tes confessions de soumise sur l’ordinateur, sont aussi brûlantes
que ton œillet.
Je me
douche, me farde, me parfume, remet ma guêpière, mon boléro et une robe assez
courte transparente seins nus, largement fendue jusqu’aux reins dans le dos et
devant dévoilant mon pubis. Je remets mes mules à hauts talons.
A la
fermeture du club privé, Albane me conduit dans un bar discret à trois rues du
club privé.
Je fais
sensation. On me complimente sur ma tenue.
- Vas aux
toilettes, te préparer Prisca. J’ai des amis pour toi.
Nue, avec
mon bijou d’anus, en mules, j’attends, me refais une beauté.
Un
africain, deux arabes et deux hollandais me rejoignent.
Je les
suce, accroupie, cuisses écartées, l’un après l’autre. Je mouille d’excitation.
Puis je
m’offre, penchée en avant, l’anus, cuisses écartées.
Leurs
mandrins vont de vingt-cinq à trente-deux de long pour cinq à huit de diamètre,
pour mon œillet bien ouvert.
Le premier
hollandais, Jan, m’encule jusqu’aux testicules, tandis que son ami Hans, me
pelote mes seins qui se balancent au rythme de ses coups. Il me fesse
magistralement, tout en m’écartant davantage les fesses brûlantes et me fait
coulisser en me tenant par les hanches.
Dès qu’il
a éjaculé, Hans prend sa place, je masturbe Jan qui éjacule dans ma main.
Hector
l’africain prend la suite avec Ahmed et Omar.
Malgré la
fatigue, je dois subir une double pénétration, avec Jan qui m’encule et Hans
qui me baise, suçant Hector, qui me baise ensuite. Ahmed et Omar me prennent en
double vaginale.
Les
spermes chauds dégoulinent, de ma chatte, de mon anus et de ma bouche.
Albane
m’observe, me photographie et me filme discrètement.
A peine
remise de mes orgasmes autorisés, les fesses brûlantes, je me rafraîchis, les
cinq amis sont partis. Je prends une douche rapide, me rhabille, avec mon bijou
d’anus.
- Ma
chérie Prisca, tu dois connaître d’autres désirs sexuels. La cravache et la
sodomie sont une partie de ton dressage.
Horace
nous attends avec une limousine.
Nous
sortons de la ville. Je suis assise, nue, cuisses écartées. Albane me saisit
les deux mains. Albane fait glisser l'un dans l'autre les deux anneaux de mes
bracelets, ce qui me joint étroitement les poignets, et ces deux anneaux dans
l'anneau du collier. Je me trouve donc les mains jointes à la hauteur du cou.
- Tu es
toujours aussi excitée. Humiliée, exhibée à tous, livrée, tu es facile. Tu
as envie de tous les hommes qui te
désirent, que je te livre à d'autres, car tu es facile.
Albane me
masturbe longuement mon gros clitoris tendu à l’extrême, tout comme mes
mamelons.
Elle me
met un masque de nuit avec un bâillon avec un anneau O qui me force à garder la
bouche ouverte, outre le côté humiliant, la bouche de la soumise est ainsi
disponible pour le plaisir. Le O de l’anneau O est assez large pour faire
passer la queue du Maître ou tout ce qu’on veut mettre dans ma bouche. Je suis
humiliée et je dois me dépasser.
- Ce
matin, tu vas découvrir d’autres amants bien montés. Nous devons quitter le
centre-ville. Tu es libre de jouir, avec mes doigts dans ta chatte trempée. Tu
es devenue une pute, une soumise, mais surtout une chienne docile.
Après un
long trajet, marqué de pauses où tantôt Albane et Horace m’enculent. Je me
retiens de jouir, nous franchissons une grille, gardée par des maîtres-chiens,
dont les chiens aboient et des gardes à cheval.
On m’aide
à descendre de la limousine. Un vent frais remonte le long de mes cuisses
jusqu’à mon clitoris tendu et sur mes mamelons tendus aussi. On fixe une
chaîne, pareille à celles avec lesquelles on attache les chiens, qui a plus
d'un mètre de long, et se termine par un mousqueton, à mon collier. Je marche
dans les graviers, tenue en laisse.
Des
museaux flairent mes cuisses, lèchent ma chatte trempée.
- Il
semble que Prisca plaise. Regarde comment ils la flairent, dit un des hommes.
Je suis
toujours aveugle et muette.
- C’est
pour cela, que le comte et le duc ont exigé qu’Adam la prend en premier, pour
lui faire goûter. Prosterne-toi, ma belle, me susurre Albane.
J’obéis.
On me retire le bijou d’anus.
Le berger
allemand descend son museau vers l’endroit fatidique et me lèche de plus belle
et de plus en plus frénétiquement.
Je gémis
de plus en plus fort et j’hurle de plaisir sous les coups de langue de plus en
plus dévastateurs pour mon anus.
Je gémis
avec des gémissements haletants par mon bâillon.
Je suis
secouée d’orgasmes multiples.
Le nœud
d’Adam écartèle mon anus. Il continue à m’enculer puis s'immobilise, déversant
son sperme dans les boyaux en se verrouillant. J’ai un orgasme. Un quart
d'heure après, le chien se retire. Un second berger allemand m’offre sa queue
en bouche. Elle mesure dix-sept centimètres de long et cinq de diamètre. Un
troisième berger allemand m’encule simultanément.
La vigueur des chiens me procure de nombreux
orgasmes et je deviens de plus en plus chienne. Les deux derniers animaux, des
douze chiens offerts, ce sont des dogues allemand, avec un sexe long de vingt
centimètres et six de diamètre. Je suce un et l’autre m’encule. Le nœud du
dogue m’écartèle davantage. J’enchaîne orgasmes sur orgasmes.
Les deux
dogues jouissent ensemble et me remplirent de concert mes deux orifices me
faisant prendre son pied une dernière fois. Je suis épuisée.
Les
saillies canines anales durent entre une bonne demi-heure à trois quart d’heure
selon l’endurance des chiens.
Mais les
maîtres-chiens m’enculent ensuite, me fessant magistralement pendant que les
chiens se reposent.
Enfin,
après huit heures de sodomie, je peux me relever, le bijou d’anus est remis en
place et marcher sur les graviers vers des marches.
Je monte
quelques marches, puis franchis une ou deux portes toujours à l'aveugle, je me
retrouve seule, mon masque enlevé et je garde mon bâillon O, debout dans une
pièce avec un épais tapis par terre, mais sans un meuble, tout entourée de
placards.
Deux
femmes jeunes et jolies, vêtues de courtes jupes légères, des corselets serrés
qui font jaillir la poitrine et sont lacés ou agrafés par-devant, et des
dentelles autour de la gorge, et des manches à demi longues. Elles ont les yeux
et la bouche fardés. Elles ont un collier serré autour du cou, des bracelets
serrés autour des poignets, similaires aux miens.
Elles
libèrent mes mains.
Je suis
déchaussée et je me plonge dans une baignoire transparente. Un valet nu et
cagoulé me menotte les poignets à un crochet au-dessus de ma tête.
Je suis
accroupie, cuisses écartées, avec une canule enfoncée dans l’anus, pour mon
lavement anal.
Je me retrouve ensuite, nue, assise dans un
grand fauteuil, cuisses écartées, en face d'elle une grande glace, du haut en
bas de la paroi, que n'interrompt aucune tablette, je me vois, ainsi ouverte,
chaque fois que mon regard rencontre la glace.
Un gode
anal canin qui mesure dix-sept centimètres de long et cinq de diamètre, muni
d’un puissant va-et-vient, me conduit à un orgasme anal violent.
Elles
ombrent légèrement les paupières, me fardent la bouche avec un rouge clair, un
peu liquide, appliqué au pinceau, et qui fonce en séchant. Elles me peignent du
même rouge l'aréole et les mamelons tendus à l’extrême des seins, et les
petites lèvres entre mes cuisses, en soulignant la fente du giron. Le produit
ne s'efface pas quand on l'essuie, et le démaquillant, et même l'alcool, ne
l'enlève que difficilement. On me poudre le visage, du parfum longuement passé
sur la fourrure des aisselles et du pubis, dans le sillon entre les cuisses,
dans le sillon sous les seins, et au creux des paumes, j’entre dans une pièce
où un miroir à trois faces et un quatrième miroir au mur permettent de se bien
voir. Je m’assois sur le pouf au milieu des miroirs, et d'attendre. Le pouf est
couvert de fourrure, qui me pique un peu, et il y a un tapis. J’ai gardé mes
mules aux pieds. Sur une des parois du petit boudoir, il y a une grande fenêtre
qui donne sur un beau parc sombre. Un nouveau gode anal canin m’encule à
nouveau.
Deux
superbes étalons nus et cagoulés me rejoignent et me libèrent du gode anal.
Un des
hommes me prend dans ses bras, je l'entoure avec mes jambes et me laisse baiser.
Le deuxième homme, bien monté, derrière me soutenant également une partie de
son poids et m’encule. Ils synchronisent leurs va-et-vient et j’explose dans un
double orgasme, doublement inondée. Ce qui me vaut une cuisante punition :
trente coups de cravache sur les fesses, les reins et les cuisses.
Je nettoie
mes deux étalons.
Je mange
seule, agenouillée, sur le pouf, cuisses écartées.
- Allez ma
belle Prisca, tu vas porter ta tenue de soumise, pour ta promenade, avant ta
présentation, m’annonce un autre superbe étalon nu et cagoulé, botté.
Son
mandrin est aussi imposant que celui d’Horace.
Ma tenue
de soumise se compose d’un corset seins nus tout en dentelle, durement baleiné,
long et rigide, et comporte des goussets où reposent les seins. A mesure qu'on
serrait, les seins remontent, s'appuient par-dessous sur le gousset, et offrent
davantage leurs mamelons tendus à l’extrême. En même temps, la taille
s'étrangle, ce qui fait saillir le ventre et cambrer profondément les fesses.
Le valet
me tient en laisse par mon collier, les mains menottées dans mon dos, les yeux
bandés.
Je
redescends l’escalier, mes mules claquent sur le marbre.
Le vent
frais me provoque une excitation énorme.
Des mains
pelotent mes seins, jouant avec mes mamelons qui sont étirés, pincés, je me
retiens de jouir, sous peine de sanctions. Bien sûr, je suis sauvagement et
longuement enculée par les valets et les chiens dont Adam et Lancelot et Arès.
Après
cette promenade autour du manoir, une voix familière m’interroge :
- Voici la
fameuse chienne Prisca, elle se joint à nous pour peaufiner son dressage.
- Comte
Donatien, c’est vous. Je suis votre soumise docile.
- J’espère
que tu te montres à la hauteur de nouveaux clients bien montés.
Ayant
recouvré la vue, je découvre une grande pièce avec plusieurs hommes cagoulés,
avec des capes et bottés, leurs mandrins en érection.
Suspendue
sur la pointe des pieds nus, je suis en alternance cravachée, fouettée à la
garcette, puis prise longuement en double pénétration, puis pour mes premières
doubles anales. Je me retiens de jouir, mais ma chatte trempée dégouline de
spermes et de mouille, tellement je suis excitée.
Après une dizaine de clients, je suis menottée à un chevalet,
horizontal, de la hauteur d'une table, composé d'une poutre d'un mètre cinquante
de long, terminé à chaque extrémité par un madrier perpendiculaire d'un mètre,
formant une sorte de I aux empattements prolongés. Je me retrouve en croix, la
tête et la colonne vertébrale sur la poutre, mais les bras et les jambes, qui
rejoignent les extrémités des madriers, tendus dans le vide. Un double gode me
pilonne, avec un puissant va-et-vient, monte et descend car le gode s’allonge à
chaque mouvement grâce à sa texture réaliste ultra-souple et ultra-douce. Ce
sont des mandrins en érection, à la hampe veinée, long de trente-cinq
centimètres et sept de diamètre pour ma chatte et quarante centimètres de long
et sept de diamètre pour m’enculer. Le gode s’allonge et rétrécit à chaque
mouvement de va-et-vient grâce à son enveloppe ultra-souple qui s’étire ou se
contracte en suivant les montées et descentes du gode. J’ai l’impression d’être
prise par deux véritables étalons à ma
disposition qui me font l’amour en étant infatigable. Pour étouffer mes râles
de plaisir, je suce les autres clients, qui me cravachent et me fouettent les
fesses. Je ne compte plus mes doubles orgasmes.
Pendant trois jours, le Comte me fait saillir analement par Adam, le
berger allemand et les dogues allemands Lancelot et Arès, à de nombreuses
reprises, sur le chevalet, ou menottée à mon lit, bras et jambes écartées, sur
le dos et sur le ventre, jusqu’au nœud, pour que je reste attachée à eux, pour
recevoir le maximum de spermes pour me remplir l’anus.
19 avril
Vers 9
heures, je quitte le manoir, vêtue d’un corset seins nus en dentelle sous un
boléro fermé au cou. Il suffit d'enlever le boléro pour que les épaules et les
seins soient nus, et sans même enlever le boléro, de l'ouvrir, si l'on désire
voir les seins. Une jupe éventail couvre à peine mes fesses rougies et zébrées nues.
J’aime me sentir les seins, les reins et les fesses nus à disposition, avec mon
bijou d’anus. Je chausse des sandales transparentes à hauts talons, je me
coiffe d’une queue-de-cheval, dévoilant mon collier en cuir, sans mes bracelets
à mes poignets et à mes chevilles.
Je conduis
la Porsche cabriolet qui m’est mis à disposition par le Comte. Je dois
rejoindre un village isolé du manoir, à trois heures de route.
Là, je
découvre un groupe d’hommes et une séduisante blonde aux seins plantureux.
Je
m’arrête dans la cour de la ferme.
- Voici
chienne Prisca, annonce la blonde, la soumise du baron A, elle a été dressée
par le comte D. Ma belle soumise Prisca, je me prénomme Maîtresse Natacha. Tu
es docile. Déshabille-toi pour mes amis s’occupent de toi.
Nue, en mules,
je découvre que ma chatte et mon anus ont été intégralement épilés et mon gros
clitoris est encore plus visible. Je mouille d’excitation.
Natacha
soulève sa jupe éventail et me fait lécher son clitoris et sa chatte. Je dois
la mener à l‘orgasme, les mains menottées dans le dos, accroupie, cuisses
écartées.
- Tu es
experte comme lécheuse.
Soudain,
Natacha se lâche et je dois lui nettoyer la chatte, sans perdre une goutte.
Sans
perdre de temps, un gros mandrin d’un africain m’encule jusqu’aux testicules.
Je ne peux me refuser à lui. Il est plus gros que Lancelot. Il me fesse
magistralement.
- Natacha,
ta chienne lesbienne, elle a un puits sacrément ouvert.
- Oui,
Lancelot et Arès l’ont saillie comme leur chienne. Quant à toi, chaque orgasme
sera sanctionné.
L’africain
César se retire et me fait sucer son gros mandrin, tandis qu’un oriental prend
le relais, bien monté.
Je me
retiens de mon nouvel orgasme anal, mais la pression est trop forte.
Un orgasme
puissant me terrasse, mon muscle anal se contracte très fortement.
- Alors,
chienne, tu as eu un orgasme anal. Détends-toi.
J’obéis,
mon anus dégouline et Natacha choisit un chapelet anal en acier avec deux
boules de sept centimètres qu’elle enfonce jusqu’à la garde. Elle le fixe par
le crochet à une corde, qu’elle tend à un autre crochet près d’un mur. Je dois
garder la pose, penchée en avant, les mains au sol, cuisses écartées.
Elle me
cravache les fesses et les cuisses, puis à la garcette. Je dois compter les
coups.
Je dois
garder la pose. Les boules en acier me font jouir et j’ai une série d’orgasmes
violents non contrôlés, avec la cravache et la garcette pour me punir.
Je reste
trois heures, à bronzer toute nue.
Le
chapelet anal retiré, je dois m’empaler sur un double gode canin, avec de
puissants va-et-vient, sur un tabouret, cuisses écartées, mains jointes à mon
cou, décuplant mes orgasmes, offrant l’intérieur de mes cuisses à la cravache.
Je me retiens de gémir. Je reste trois heures dans la position offerte, les
yeux baissés, émettant des râles de plaisir.
J’ai droit
à une longue douche au jet d’eau froide, dans la cour.
Je fais la
connaissance de Justine la Vicieuse, une jolie brune aux petits seins,
intégralement épilée, aux cheveux courts, exhibant une cravache et un fouet
entrelacés marqués au fer rouge sur sa nuque. Son anus est distendu, par les
nombreuses saillies anales qu’elle a subi.
Justine me
lèche la chatte et l’anus, pour me faire jouir dans un 69 torride. Je suis
couchée sur elle, offrant mes fesses à la garcette et à la cravache des invités.
Nous
doigtons mutuellement nos anus, retardant nos orgasmes anaux.
Puis les
invités nous enculent simultanément. Je dois me retenir.
Pendant
plusieurs jours, d’autres invités viennent nous voir.
27 avril
A l’aube,
je suis réveillée, la première. Je dors nue, menottée à un chevalet, solidement
immobilisée dans cette posture dégradante, le postérieur plus haut que la tête.
Mes bras sont fixés le long des pieds avants, mes jambes le long des pieds
arrières, et une large sangle m'est passée au niveau de la taille. Mes cuisses,
légèrement fléchies sont empêchées de se resserrer par la largeur de la poutre,
ainsi d'ailleurs mes fesses que je me peux refermer. Toute mon intimité est
ainsi très accessible et on peut me faire tout subir.
Des dogues
allemands m’ont enculée pendant la nuit, j’ai eu de nombreux orgasmes, malgré
mon bâillon-pénis canin, mon anus dégouline de spermes chauds.
- Allez,
chienne Prisca, à la douche, tu dois te faire belle aujourd’hui.
Après le
jet à l’eau froide, je me farde, me parfume, rase mes poils rebelles autour de
ma chatte et de mon anus.
Je chausse
mes mules et j’attends dehors, les mains menottées dans mon dos.
Soudain,
des phares éclairent la cour. Deux superbes limousines : une Jaguar et une
Rolls-Royce stationnent.
Les phares
restent éclairées sur moi. Les yeux baissés, je reste immobile.
Natacha
parle aux inconnus des voitures :
- Chienne
Prisca a rejoint Justine la Vicieuse, après son dressage au « Donjon des
Chiennes ». Prisca est une beauté docile, très perverse et vicieuse.
Trois
hommes descendent de la Jaguar et une femme élégante de la Rolls-Royce.
Tous me
caressent et surtout la femme, qui se révèle être un transsexuel blond à petits
seins, mais au mandrin imposant.
Nathan,
Sacha, Eros me complimentent, quand ils m’écartent mes fesses brûlantes par les
derniers coups de cravache reçues dans la nuit. Lady Hyacinthe m’embrasse
langoureusement sur la bouche.
- Tu
embrasses bien, ma chérie Prisca. J’ai hâte de t’enculer.
- Ma chère
Lady Hyacinthe, je pense que Prisca a un gros clitoris bien tendu, pour porter
ton bijou au capuchon et peut-être des anneaux aux grandes lèvres de sa superbe
chatte toute lisse.
Je me
retrouve menottée au chevalet. On perce verticalement le capuchon de mon gros
clitoris de façon à ce que le bijou repose directement sur le clitoris, ce qui
provoque souvent, une stimulation permanente de l’organe érectile et une
amélioration des sensations et du plaisir au cours des rapports sexuels. Il
permet de stimuler le clitoris sans qu’il n’y ait un risque de désensibilisation.
Le capuchon du clitoris est le petit bout de peau qui recouvre le clitoris.
Lorsque ce capuchon est percé verticalement, la stimulation sexuelle sera plus
forte, voir permanente. Dans ce cas, l’extrémité du bijou repose directement
sur le clitoris. Il faut deux à quatre mois pour la cicatrisation et je porte
une barre décorée d’une pierre précieuse.
Tous les
quatre m’enculent, tandis que je les suce à tour de rôle. Mon excitation
clitoridienne est à son comble, je mouille comme jamais auparavant. Le bijou
porte les initiales AESBDM. J’éprouve de la fierté et de savoir que je serais
chiffrée, comme toute soumise que je suis.
Lady
Hyacinthe passe de longues heures en ma compagnie, à me baiser, pour faire
tendre au maximum mon clitoris percé. C’est le summum du plaisir. Même quand
les dogues allemands se relaient pour m’enculer simultanément. Je suis
doublement inondée de spermes. J’aime ça.
Je passe
quelques jours au village, constamment enculée et fouettée.
3 mai
Vers 9
heures, après le petit déjeuner, Lady Hyacinthe vient me chercher avec Justine
la Vicieuse. Nous sommes fardées et parfumées, vêtues de corsets seins nus en
dentelle sous un boléro fermé au cou. Une jupe éventail couvrent à peine nos
fesses rougies et zébrées nues. Nous sommes chaussées de mules à très hauts
talons.
J’aime me
sentir les seins, les reins et les fesses nus à disposition, avec mon bijou
d’anus. Je me coiffe d’une queue-de-cheval, dévoilant mon collier en cuir, avec
mes bracelets à mes poignets et à mes chevilles, tout comme Justine la
Vicieuse.
Nous
prenons la Rolls-Royce, conduite par Lady Orchidée, un transsexuel thaïlandais
aux petits seins et au mandrin imposant. Nous allons à une journée de route de
l’hôtel particulier, dans une école très spéciale.
Lady Orchidée
m’encule lors d’une pause et je me retiens de jouir.
A l’école,
munie d’un gode-ceinture avec un gros gode anal canin et un gros gode réaliste
vaginal et d’un gode réaliste anal, tous sont munis de puissants va-et-vient,
je dois enculer une dizaine de soumis, cagoulés, nus, menottés à des chevalets,
tout en prenant mon plaisir, puis une dizaine de jeunes transsexuels bien
montés. Je ne compte plus mes orgasmes par mes coups de reins que je donne et
ceux que je reçois.
Nous
déjeunons, nues, avec nos gode-ceintures. Mon clitoris est tendu à l’extrême
tout comme mes mamelons par l’excitation que je ressens.
L’après-midi,
je déflore une dizaine de jeunes soumises, que je cravache. Je choisis mon
soumis, ce sera Nathan, un jeune puceau, que je féminise. Il s’habille en
soubrette, mules à hauts talons et des anneaux dorés aux testicules. Il porte
sa ceinture de punition pour mandrin et testicules est fabuleuse, ils sont
passés dans un anneau en métal massif dont le diamètre intérieur est de cinq
centimètres, je lui sangle ensemble les testicules et le mandrin afin de les
faire gonfler tout en les étirant vers l’avant ce qui les offre d’une manière
magnifique aux jeux pervers de la Maîtresse. Son mandrin et ses testicules sont
réunis en un seul paquet gonflé. Je serre plus ou moins la sangle des
testicules pour déterminer la balance entre plaisir et douleur que je juge la
plus adaptée à leur soumis. L’anneau en métal massif placé à la base commune du
mandrin et des testicules excite le soumis en stimulant et prolongeant son
érection. Je peux fesser ou enculer mon soumis pendant que je punis ses
testicules. Je lui fais porter sa ceinture huit à dix heures par jour et mes
soumises portent aussi des gros doubles godes canins pour les écarteler huit à
dix heures par jour.
15 mai
A l’aube, je reprends ma Porsche cabriolet, vêtue d’un corset seins nus
en dentelle sous un boléro fermé au cou. Une jupe éventail couvre à peine mes
fesses rougies et zébrées nues. J’aime me sentir les seins, les reins et les
fesses nus à disposition, avec mon bijou d’anus moulé sur le sexe d’Arès, mon
amant canin favori. Je chausse des sandales transparentes à hauts talons, je me
coiffe d’une queue-de-cheval, sans mon collier en cuir, ni mes bracelets à mes
poignets et à mes chevilles. Je retourne à l’hôtel particulier du baron Alban
Edouard de Saint Brice Désir Mon Plaisir. J’ai continué à écrire ma vie de
soumise depuis le 12 avril, dans mon journal intime, avec de nombreuses photos
documentées des parties de mon corps. Le vice, le désir, la luxure, la
soumission et la domination sont parties intégrantes de ma vie de secrétaire
particulière.
Je gare ma Porsche dans la cour. Le bijou d’anus m’a procurée des
orgasmes en solitaire très violents. Ce n’est pas Horace qui m’accueille, mais
Nathan devenu Miss Petite Chienne Rose.
- Alors, comment va ma belle Rose ?
- Prisca, je ne pensais pas que tu venais aujourd’hui.
- Mais, qui t’as autorisé à tutoyer ta Maîtresse. Tu mérites une
punition, ma Rose.
Le baron me rejoint.
- Ma chérie Prisca a tout à fait raison. Seule Prisca peut me tutoyer,
c’est ma nièce, Rose la soubrette.
Le baron me fait le baise-main.
- Tu es très belle, désirable, depuis notre première rencontre.
- Rose, mets-toi en position, penchée en avant, jupe relevée.
Rose obéit au salon.
- Mais, ma Chienne, tu bandes, avec ta ceinture. Tu me fais honte.
Malgré tes saillies par Atlas le Danois, tu prends du plaisir. Je vais te
doigter l’oeillet, ma chienne.
Rose écarte bien ses fesses et j’enfonce en douceur : j’insère
deux doigts puis continu avec des mouvements de va et vient. Peu de temps
s’écoule avant que je ne lui mette un troisième doigt puis un quatrième. Le
pouce étant maintenant dans son oeillet. Son anus se dilate autour de ma main.
J’enlève doucement ma main de son anus.
- Bon, ma Chienne Rose, tu vas avoir droit à ta récompense. Tu te mets
à quatre pattes par terre, et de lever mon cul en l’air.
Je pisse sur ses fesses et dans son anus qu’il garde ouvert.
- Tu dois rester sage, ou bien Atlas viendra t’enculer, ma Petite Chienne.
Tu vas nettoyer par terre, tu es très sale.
Je lui met le bijou d’anus d’Arès pour qu’il reste sage.
Mais Atlas l’encule quand même, puis Atlas m’encule ensuite, je m’offre
à quatre pattes et je connais plusieurs orgasmes, attachée à lui, nue, au salon.
Je passe quelques jours à reprendre le dressage de Rose.
22 mai
A l’aube, je porte officiellement mes fers à mes deux grandes lèvres,
sont des anneaux de fer mat inoxydable, comme le fer de la bague doublée d'or.
La tige en est ronde, épaisse, et ils sont oblongs : les maillons des grosses
chaînes sont semblables. Chacun est formé de deux U qui s'emboîtent l'un dans
l'autre. Le modèle définitif, comporte un ressort intérieur sur lequel on force
pour le faire pénétrer dans la rainure où il se bloque. Chaque anneau est long
comme deux phalanges du petit doigt, qu'on y pouvait glisser. A chacun est
suspendu, comme un nouveau maillon, ou comme au support d'une boucle d'oreille
un anneau qui doit être dans le même plan que l'oreille et la prolonger, un
disque de même métal aussi large que l'anneau était long. Sur une des faces,
AESBDM sur l'autre, Prisca, Comte Donatien BSMV et au-dessous, un fouet et une
cravache entrecroisés, me descendaient jusqu'au tiers de la cuisse, et à chacun
de mes pas bougent entre mes jambes comme un battant de cloche, le disque gravé
étant plus lourd et plus long que l'anneau auquel il pend. Mes reins sont
marqués au fer rouge, AESBDM et DBSMV Les marques imprimées par le fer rouge,
hautes de trois doigts et larges de moitié leur hauteur, sont creusées dans la
chair comme par une gouge, à près d'un centimètre de profondeur. Rien que de
les effleurer, on les perçoit sous le doigt.
Je suis officiellement une soumise ferrée et marquée, docile.
Je suis prête à m’offrir à de nouveaux clients soit à l’hôtel
particulier soit chez Lady Hyacinthe.
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