Je m’appelle Hermine.
J’ai 25 ans.
Je suis une jolie beauté scandinave.
Je suis une brune aux yeux verts. J’ai des pieds fins et
latins, des jambes longues bronzées, musclées qui inquiètent par leur
perfection. Mon pénil est bombé, ouvert, couronné de noir. Ma pilosité brune
couvre mon pubis. Ma chatte est velue et j’ai une superbe croupe. Les lèvres de
mon sexe sont une plaie rouge entre mon entrecuisse. Mes hanches s'incurvent et
délimitent le ventre plat, délicieusement renflé autour du nombril, les hanches
sont larges et rondes, mais sans lourdeur. La taille est affinée. Les seins
parfaits intégralement bronzés sont un peu volumineux mais fermes, et leurs
pointes marron clair, toujours dressées, cernées par une large aréole marron
attirent le regard. J’ai une peau lisse et patine. Finition parfaite, un seul
grain de beauté entre mes superbes seins. De longs cheveux plats blonds
flottant comme des algues, battent mes épaules rondes et gracieusement
athlétiques. Je suis intégralement bronzée. Mes yeux verts limpides s'allument,
ma bouche charnue se fend. J’ai des sourcils bruns bien dessinés et des lèvres
pulpeuses. J’ai de longs doigts fins et de belles mains. Je fais du 85B de
poitrine, 56 de taille, 88 de hanches, 1,72 m.
AMOUREUSE
DE MON CHIEN
12 avril
Je suis une veuve qui vit dans une villa isolée, sur les hauteurs de la
ville. J’ai perdu ma virginité à seize ans, avec mon frère Brice, lors d’une
fête. Il m’a initié aux jeux érotiques avec ses copains et j’ai découvert mon
premier baiser lesbien avec ma cousine Aimée. Je ne me sens pas bisexuelle, ni
libertine.
Ma villa est étroitement surveillée par des maîtres-chiens.
Depuis quelques jours, le berger allemand Adam, du maître-chien Alban,
ne cesse de se frotter contre mes jambes nues.
Aujourd’hui, je suis juste vêtue d’une minijupe ample, sans mon string
habituel et d’un tee-shirt sur mes seins nus, coiffée d’une queue-de-cheval et
de sandales à hauts talons. Je me rends au salon, la porte-fenêtre est restée
ouverte.
Soudain, je me retrouve à quatre pattes, bras tendus, offrant
inconsciemment mes fesses nues bien rebondies. Adam, qui n’est pas tenu en
laisse, saute sur mon dos, il me monte.
- Non, Adam, lâche-moi. Mauvais chien, mauvais chien.
Adam me tient fermement avec ses pattes. Son corps poilu se frotte sur
mon dos Je sens le bout du pénis d’Adam remplir ma chatte trempée. Son sexe de
dix-sept centimètres de long et cinq de diamètre me remplit complètement la
chatte en chaleur. Adam commence son mouvement de l'arrière vers l'avant. Le
va-et-vient d’Adam est très rapide et je jouis à chaque coup qu’Adam me donne.
C’est humiliant et pervers. Adam continue son va-et-vient. Il éjacule dans ma
chatte et le sperme coule sur mes cuisses. La queue d’Adam grossit encore. Je
suis attachée par le nœud qui grossit toujours puis il s’arrête. Je suis
verrouillée par la chatte à Adam. Je dois attendre une bonne demi-heure. Un
premier orgasme me terrasse.
Alban me surprend, la jupe relevée, haletant de plaisir.
- Hermine, que fais-tu avec Adam ? Adam te défonce la chatte.
- Je suis attachée à lui, Alban. Je dois attendre.
Alban me présente son mandrin long de trente-six centimètres de long et
six de diamètre, que j’ai eu dans ma chatte. Je le suce, il s'agenouille devant
moi, toujours à quatre pattes, avec le pénis d’Adam dans ma chatte, bien pris
et bien solide. Je m’applique. Alban éjacule dans ma bouche et j’avale tout.
Je sens enfin le nœud d’Adam rapetisser. Après avoir assez rétrécit,
Adam se retire de ma chatte, laissant couler un flot de sperme de chien.
Sans perdre de temps, Alban me fait empaler sur son mandrin à nouveau
en érection, après que j’ai retiré ma minijupe et mon tee-shirt, en sueur.
Adam force mon anus vierge. Il me pilonne par de rapides va-et-vient
avec la même vigueur que pour ma chatte en feu, remplie par le mandrin d’Alban.
Adam me verrouille par le nœud, enculée. Je gémis un peu, mais le plaisir
vaginal me submerge. Adam reste attachée à moi, enculée une bonne demi-heure.
Alban éjacule le premier dans ma chatte et se retire, me laissant
enculée par Adam.
- Pour une première sodomie, je suis servie.
- Je t’encule ensuite, l’anus bien lubrifié. Tu n’auras aucune douleur.
L’anus écartelé, j’explose dans des orgasmes anaux, me masturbant mon
clitoris tendu, mes mamelons sont aussi tendus.
Adam se retire et m’offre son sexe à lécher, après le léchage de ma
chatte et de mon anus dégoulinant.
Je m’offre à nouveau les bras tendus, à quatre pattes, les fesses bien
rebondies. Le mandrin d’Alban m’encule jusqu’aux testicules.
Alban me fesse, me saisit par la taille, pour me faire coulisser sur
son mandrin, en me disant des mots doux :
-Hermine, ton œillet est bien
chaud, après le passage d’Adam.
- Pine-moi bien profondément, remplis-moi de ton sperme.
Il s’agrippe de plus en plus fortement à mes hanches douloureuses. Adam
éjacule dans ma bouche, tandis qu’Alban éjacule dans mon anus.
Il m’offre un bijou d’anus pour que je conserve leurs spermes. Je me
douche, me masturbe longuement, en laissant la porte ouverte. Adam m’observe
assis, exhibant son sexe. Je connais un nouvel orgasme involontairement avec
mon bijou d‘anus.
Il mesure douze centimètres de long et six de diamètre. Ainsi, chaque
nouvelle sodomie sera plus agréable. Mon anus se contracte, me menant vers de
nouveaux plaisirs anaux inconnus.
Après le déjeuner, je change de tee-shirt griffé par Adam pour un autre
tee-shirt sur mes seins nus, remet ma minijupe et mes sandales, garde ma
queue-de-cheval.
Mon chauffeur, Brice, un superbe Adonis grec, que j’ai embauché lors de
mon séjour à Naxos, musclé, brun, doté d’un mandrin long de trente centimètres
et sept de diamètre, m’observe, pensive. Il est peut-être au courant de ma
saillie par Adam.
Je rejoins le quai près du port, où est amarré mon yacht « Olympe
des Désirs ». Le yacht possède plusieurs chambres, une plate-forme pour
hélicoptère, des équipements nautiques et un équipage à ma disposition.
Sur le quai, je croise le regard d’un bel Apollon, du double de mon
âge.
- Miss Hermine, je présume. Je suis Edouard Nathan de Bailli Saveurs
Mille Désirs, dit le Marquis de Vices, un ami de feu votre mari. J’ai vu votre
yacht à quai.
Je me souviens qu’il n’a cessé de vouloir m’enculer à chaque venue à la
villa. Je me suis refusée à lui.
- Hermine, prends cette pochette, tu vas dans la chambre nuptiale du yacht,
pose la paire de pinces qui se trouve à l'intérieur sur les lèvres de ta
chatte. Je t’attends au salon du yacht.
Je monte, déchaussée à bord du yacht, saluée par l’équipage.
Dans la chambre nuptiale, devant mes miroirs, la jupe retirée, je pose
les pinces à mes lèvres de ma chatte trempée. Je retire mon tee-shirt et garde
mes sandales, avec ma queue-de-cheval.
Je rejoins le salon, seule, nue.
Mes lèvres de ma chatte sont douloureuses, étirées vers le bas.
J’éprouve du plaisir.
- Mets-toi à quatre pattes, cuisses écartées, sur le tapis.
Il m’ouvre la chatte trempée et mon bijou d’anus.
- Ta chatte sent l’odeur d’une chienne en chaleur. Tu portes désormais
un bijou d’anus. C’est à dire, que tu acceptes que je t’encule, Miss Hermine.
Humiliée et tremblante de désir, j’ai droit ensuite à une curieuse
réplique :
- Nous sommes mardi. Je te vois vendredi. Masturbation quotidienne de
ta chatte et de ton anus, ta chatte doit rester sale, fesses nues tous les
jours. Tu as bien compris. Mais je vais t’enculer exceptionnellement
aujourd’hui.
Il me retire le bijou d’anus et son gros mandrin, long de vingt-sept
centimètres et six de diamètre s’enfonce jusqu’aux testicules et il me fesse
magistralement.
- Ton œillet est encore un peu serré, mais tu es détendue. Ne bouge
pas.
Il accroche un poids à chaque pince pour étirer davantage les lèvres de
ma chatte. Les poids se balancent à chaque va-et-vient et je dois m’empaler sur
lui.
- Tu aimes que je maltraite ta chatte, tu es une vraie chienne.
Je suis ruisselante, sous les caresses de mes lèvres de la chatte, puis
vers mon clitoris tendu à l’extrême. Il fouille ma chatte trempée, sans quitter
mon anus et porte alors ses doigts vers nos bouches collées ; nous léchons
chacun ses doigts imprégnés de mon intimité ; ce geste me transporte.
Il retire partiellement son mandrin et découvre du sperme canin.
- Tu es donc une vraie chienne. Un amant canin t’encule, ma belle
Hermine.
Je n’ose répondre, proche de l’orgasme anal.
- Encule-moi plus fort, je suis ta chienne, Marquis.
Combinant mon orgasme anal et son éjaculation, je suis pantelante et
heureuse quand je le suce et j’avale tout.
Il me retire mes pinces et me lèche longuement ma chatte trempée et mon
clitoris tendu, tandis que je me retiens de mon orgasme. Il m’a remis mon bijou
d’anus.
Vers quatorze heures, je me rhabille et il me donne rendez-vous le 15
avril à l’heure qu’il a fixé.
De retour à la villa, je me déshabille. Cuisses écartées, je
m’abandonne au léchage de ma chatte par la longue langue d’Adam, tout en suçant
Alban et Brice, pour des doubles pénétrations, toujours avec Adam qui m’encule
jusqu’au nœud. Alban et Brice me photographient.
Vers seize heures, lors de mon quatrième orgasme anal avec Adam, mon
téléphone sonne. Je décroche :
- Alors, tu fais ta chienne avec un superbe berger allemand, Hermine.
- Oui, entre deux râles.
- Prends un doberman, trente-deux de long et quatre de diamètre, pour
mieux t’écarteler l’œillet.
Après le retrait d’Adam, je m’offre à Hadès, un superbe doberman et son
maître-chien, Dan, un jeune étalon suédois, bien monté, vingt-sept centimètres
de long et six de diamètre.
Hadès me baise d’abord, à quatre pattes, puis m’encule jusqu’au nœud,
prosternée devant Dan, cuisses écartées.
- Hermine, tu prends plaisir, ton bassin ondule sur le sexe d’Hadès.
- Hadès, encule bien ta chienne.
Les orgasmes anaux sont plus rapides et violents.
Pantelante, l’anus dégoulinant de spermes canins, Dan m’encule
sur-le-champ et me fesse magistralement. J’aime ça.
Il éjacule dans ma bouche et j’avale tout.
Après une douche rapide, je me détends, le bijou d’anus en place, dans
ma piscine, effectuant quelques longueurs, nue et je me sèche, allongée sur la
chaise longue, sur le ventre.
Endormie, je suis saillie, enculée par Adam. Je connais quatre orgasmes
anaux violents et une longue éjaculation.
Je rejoins ma chambre.
Le rituel dure jusqu’au 14 avril, en alternance avec Adam et Hadès et
Alban et Dan, en double pénétration.
14 avril
A l’aube, encore endormie, nue sur mes draps, un homme cagoulé, nu,
botté, avec son gros mandrin en érection, long de trente centimètres et six de
diamètre, fait irruption dans ma chambre.
Il me menotte à mon lit, par les poignets. Il me relève les jambes et
me donne vingt coups de cravache sur les fesses, le devant et l’arrière de mes
cuisses. Mes fesses sont brûlantes. Puis après la cravache, il répète
l’opération avec une garcette, de cordes assez fines, faite de sept lanières
terminées chacune par plusieurs nœuds, et qui toutes raides, trempées dans
l'eau. Je gémis, malgré le bâillon avec un anneau O qui me force à garder la
bouche ouverte, outre le côté humiliant, ma bouche est ainsi disponible pour le
plaisir de mon Maître. L’anneau du O est assez large pour faire passer la queue
du Maître ou tout ce qu’il veut mettre dans ma bouche pour m’humilier et le
dépassement de moi, peu importe le niveau d’expérience.
Il s’agenouille et m’encule, en faisant claquer ses testicules, sur mes
fesses brûlantes, en posant mes mollets sur ses épaules, caressant mes cuisses,
mes mollets et mes chevilles. Il entre et sort pour mieux me soumettre et
éjacule sur mon pubis.
J’avale les dernières gouttes.
Il me détache, me lave prestement. Je dois enfiler une robe
transparente, dénudant mon sein gauche, fendue des deux côtés, jusqu’à la
taille et des mules à très hauts talons. Il me met un masque de nuit. Je monte
à bord d’une voiture. Je m’assois cul nu, la jupe relevée, cuisses écartées.
Quand on me retire le masque de nuit, je me retrouve au salon du yacht
« Olympe des Désirs », entourée d’inconnus masqués, nus, leurs
mandrins en érection et de femmes cagoulées, nues.
Le Marquis des Vices, élégamment vêtu est à mes côtés. Je porte un
collier de cuir à mon cou, fait en plusieurs épaisseurs de cuir, chaque
épaisseur assez mince, au total pas plus d'un doigt, verrouillé par un système
à déclic, qui fonctionne automatiquement comme un cadenas quand on le
refermait, et ne peut s'ouvrir qu'avec une petite clé. Dans la partie opposée à
la fermeture des bracelets, pris dans le milieu des épaisseurs de cuir, et n'ayant
presque pas de jeu, il y a un anneau de métal, qui donne une prise pour fixer,
et qu'on positionnait du côté intérieur du poignet. Pour le collier, l'anneau
pend devant le cou, reposant sur la saillie des clavicules, et brinquebalait au
rythme des mouvements de celui qui le porte.
- Chienne Hermine, saillie depuis mardi par plusieurs chiens, est votre
chienne pour aujourd’hui. Les yeux baissés, elle sucera ses messieurs et
recevra la mouille de ses dames.
Sans ménagement, le Marquis des Vices déchire ma robe, exhibant mes
marques sur mes fesses et mes cuisses, que l’on caresse.
Je dois écarter mes fesses pour exhiber mon anus encore entrouvert.
Il passe ses doigts le long du sillon jusqu’à atteindre mon anus qu’il
caresse avant d’y pénétrer un doigt puis deux.
- Son oeillet est un peu assoupli.
Je sens ses doigts appliquer une pommade et un premier mandrin m’encule
sans attendre. Je suis prosternée, cuisses écartées, livrée aux assauts, ma
bouche est remplie par d’autres mandrins qui m’enculent et tous éjaculent soit
sur mes fesses brûlantes par les claques magistrales soit dans ma bouche.
Pantelante, après une dizaine de sodomies profondes et violentes, ne me
laissant aucun répit, je ne peux exprimer mon plaisir.
Un des hommes me pose des pinces à mes mamelons tendus, alourdis par
des poids, pour étirer mes mamelons et mes seins vers le bas. Je gémis sous le
bâillon et mes grandes lèvres de ma chatte portent de nouvelles pinces
différentes du premier rendez-vous. Elles sont très puissantes et écrasent mes
chairs. Mon visage se déforme par la douleur que je ressens. Mes grandes lèvres
s'allongent beaucoup et mes mamelons aussi en déformant aussi mes seins vers le
bas.
A quatre pattes, les mamelons et les grandes lèvres étirées par la
gravité, je suis à nouveau enculé par d’autres qui ne m’ont pas encore enculée
et je suis cravachée sur les fesses.
Les femmes me lèchent uniquement mon clitoris tendu.
Au bout d’une heure, je m’effondre, sous les vagues d’orgasmes anaux.
Quand j’émerge, je suis menottée à un chevalet, la bouche libre, avec
mon masque de nuit, sans mes pinces. Le chevalet est une espèce de cheval
d'arçon, le postérieur plus haut que la tête. Mes bras sont fixés le long des
pieds avants, mes jambes le long des pieds arrières, et une large sangle m'est
passée au niveau de la taille. Mes cuisses, légèrement fléchies sont empêchées
de se resserrer par la largeur de la poutre, ainsi d'ailleurs mes fesses que je
ne peux refermer. Toute mon intimité est ainsi très accessible et on peut me
faire tout subir. Je bois beaucoup, me contraignant à pisser. J’ai droit à la
poire anale : une sonde rectale avec un ballonnet qu'on gonfle une fois
introduit à l'intérieur de mon anus où on peut le laisser des heures durant.
J’ai une envie permanente d'aller à la selle, je pisse difficilement par
compression, et pénétration vaginale très pénible, par un mandrin
- Chienne Hermine, tu es courageuse, mais tu n’es qu’au début de ton
dressage. Ton œillet reste plus longtemps ouvert. Le yacht vogue en mer,
pendant trois jours. Tu dois montrer combien tu es soumise. Tu ne porte plus
jamais aucun sous-vêtement, ni de culottes ou de strings, plus de
soutien-gorges et jamais non plus de body. Tes seins et ta chatte doivent
toujours être nus sous tes vêtements et ton entre jambes jamais dissimulées. De
ce fait, jamais plus non plus de collants, de shorts, de jupes culottes ni bien
sur de pantalons. Tu ne portes que des jupes ou des robes mais à la condition
qu'en aucun cas elles ne soient plus longues que le milieu de tes cuisses. Jamais
de tee-shirt ou autres vêtements sous tes corsages ou chemisiers. Pour tes
pieds, soit tu es pieds nus soit tu portes des chaussures à talons. L'effet de
ta pommade sur tes mamelons et ton clitoris, c'est que ça va te déclencher une
hyper sensibilité de ses points la. Le moindre frottement de tissus ou même ne
que l'air sur tes mamelons ou ton clitoris te provoqueront une excitation
énorme. Le résultat, c'est que tes mamelons pointent au maximum tout le temps,
vingt quatre heures sur vingt quatre et de même pour ton clitoris. Bien sur,
dans le cas de celui la, ça ne se voit pas non plus facilement que pour tes
mamelons quel que soit ce que tu portes. Inutile de te dire que malgré cette
hyper excitation, je t'interdis de te faire jouir. Tu découvres ainsi la
frustration et la douleur que cela procure en plus de la douleur provoquée par
le fait que tes mamelons et ton clitoris soient constamment tendus.
Mes mamelons et mon clitoris sont complètement tendus et très dur au
point de me faire vraiment mal et le moindre effleurement même involontaire
devient une véritable torture tellement ces endroits sont devenus sensibles.
Mes mamelons sont saillants, gros et longs, durcis et mon clitoris est gros
comme une cerise, saillant et volumineux. J’essaye de me retenir mon excitation
sexuelle, sous les sodomies violentes que je subis.
Je suis cravachée pour mes fautes.
Seul le Marquis des Vices me baise et ma bouche est toujours remplie
par un mandrin pour étouffer mes râles de plaisir.
17 avril
Au lever du soleil, le yacht « Olympe des Désirs » est de
retour à quai.
Après une douche rapide, je me farde la bouche avec un rouge clair, un
peu liquide, qu'elle appliquait au pinceau, et qui fonce en séchant. Je peins
du même rouge l'aréole et les mamelons des seins, et les petites lèvres entre
mes cuisses, en soulignant la fente du giron, j’ombre légèrement les paupières.
Je me poudre le visage, une fois que je suis peinte, et je glisse mes pieds nus
dans mes mules à très hauts talons.
Je mets une robe à corselet, montant jusque sous les seins nus,
durement baleiné, long et rigide, comme au temps des tailles de guêpes, et
comporte des goussets où reposent les seins. A mesure qu'on serre, les seins
remontent, s'appuient par-dessous sur le gousset, et offrent davantage leur
mamelon. En même temps, la taille s'étrangle, ce qui fait saillir le ventre et
cambrer profondément les fesses. La robe est composée d'une jupe éventail, qui
se retrousse d'un geste, et portée avec un boléro fermé au cou. Il suffit
d'enlever le boléro pour que les épaules et les seins soient nus, et sans même
enlever le boléro, de l'ouvrir, si l'on désire voir les seins.
- Ces trois jours t’ont dressé davantage. Tu vas porter un corset seins
nus, similaire à ton corselet, chez toi, le reste de ton corps nu à tout
moment. Tu portes un nouveau bijou d’anus, moulé sur le devant d’un sexe d’un
Danois, de six de diamètre. Tu seras saillie aussi par un Danois, chienne
Hermine. Je viendrais tous les jours de te voir et te fouette chez toi.
A la descente du yacht, Brice nous accueille. Je m’assois cul nu,
cuisses écartées, les yeux baissés, exhibant mes seins nus. Je garde mon
collier de cuir.
- Tu ne peux que jouir, enculée, sans te masturber désormais. Tes
mamelons et ton clitoris sont constamment tendus et visibles de tous.
Arrivée à la villa, Alban avec Adam, Dan avec Hadès et Val, un superbe
transsexuel brun aux seins plantureux, mis en valeur dans un corset seins nus
et exhibant son long mandrin de trente-six centimètres et six de diamètre, avec
des anneaux dorés aux testicules, avec Olaf, un superbe dogue allemand arlequin
m’attendent.
- Chienne Hermine est prête à se faire saillir par Olaf, son nouvel
amant. A quatre pattes, relève ta jupe et retire le bijou d’anus.
Olaf m’encule d’une seule traite jusqu’au nœud tandis que je suce Val.
Je connais quatre violents orgasmes anaux avec Olaf et tous les deux
éjaculent presque simultanément.
Olaf m’encule à nouveau, en partie en érection, pour me soumettre.
Val m’encule ensuite, tandis que Adam encule Dan. Je dois sucer Dan, en
érection dans ma bouche. Cette excitation sexuelle par les ébats homosexuels
provoque un violent orgasme anal incontrôlé.
Puis Dan encule Adam, qui m’encule simultanément et je suce Val.
Le Marquis des Vices est ravi de ma disposition.
L’anus dégoulinant, le Marquis me remet le bijou d‘anus en place.
Après le départ du Marquis du Vices, je suis cravachée, menottée à mon
lit, avec mes bracelets de cuir, les anneaux des bracelets glissés l’un dans
l’autre, puis ces deux-là dans celui du collier. Je me trouve les mains jointes
à la hauteur du cou. Une chaîne est fixée à mon collier, m’immobilisant,
allongée sur le ventre, exhibant mes fesses pour la cravache, donnée par Val.
Adam, Hadès et Olaf m’enculent jusqu’au coucher du soleil. Je suis
épuisée par mes multiples orgasmes anaux. Je dois nettoyer chacun, après le
léchage de mon anus entrouvert.
Puis le trio humain m’encule dans une position tantôt tête-bêche,
jambes entrelacées, leurs gros mandrins me rendent la sodomie un peu
douloureuse, mais je dois les subir jusqu’à l’éjaculation dans mon anus, tantôt
allongée sur le dos, les cuisses relevées et bloquées par leurs cuisses, en
traction contrôlée, toujours enculée.
Je dois aussi garder la position pour que chaque chien m’encule.
Au coucher du soleil, je suis rapidement douchée. Je reste vêtue de mon
corset et je mange avec les doigts, avant de me recoucher, allongée sur le dos,
prête pour mes saillies anales canines.
22 avril
A l’aube, le Marquis des Vices me rend visite dans ma chambre. Je suis
menottée, mains jointes à mon cou, enchaînée, cuisses écartées, cuisses et
fesses marquées par la cravache et la garcette.
- Alors Chienne Hermine, tu prends plaisir de ta condition de soumise
canine. Tu vas connaître de nouveaux plaisirs.
Le Marquis des Vices me détache. Je me douche prestement, mon bijou
d’anus remis en place après mon lavement.
Je revêts ma robe à corselet, mon boléro et mes mules à hauts talons,
fardée et parfumée.
Une nouvelle limousine nous attend, conduite par un superbe étalon
africain, Jason.
Je m’assois, cul nu, cuisses écartées, à l’arrière, les yeux baissés,
avec mon collier et mes bracelets de cuir.
Tu es toute humide, ton clitoris et tes mamelons sont au summum de
leurs tensions.
Nous quittons la villa pour une longue route. Le Marquis des Vices me
pose mes pinces à mes mamelons tendus, je ne porte plus mon boléro.
Nous faisons une halte à un club privé, sur le bord de mer.
Nous devons descendre les escaliers menant au club. Mes mules claquent
sur le marbre.
La porte discrète s’ouvre.
- Voici, chienne Hermine, adepte des bergers allemands, des dobermans
et des Danois, elle raffole d’être enculée comme une chienne. Mais pour
l’instant, soulève ta jupe et montre tes marques de la nuit.
Des mains inconnues caressent mes fesses encore brûlantes, les écartent
pour découvrir mon bijou d’anus. Je garde les yeux baissés et la bouche
entrouverte, les seins pelotés, on joue avec mes pinces, faisant tinter les
clochettes.
Accroupie, je suce les inconnus qui m’entourent.
Nue, je danse devant eux, sans me masturber, faisant tinter les
clochettes que vient de me rajouter le Marquis des Vices à mes grandes lèvres
de ma chatte humide.
Au bout d’un quart d’heure, dix hommes m’enculent à tour de rôle,
tantôt à quatre pattes tantôt allongée sur le dos, les jambes relevées en l’air
tantôt en double anale, une première pour moi et empalée en double pénétration,
soutenue par deux hommes debout.
Chacun éjacule en moi et je le nettoie ensuite.
Je suis cravachée, suspendue à un crochet, les bras tendus en l’air,
sur la pointe de mes pieds nus, déchaussés, jusqu’à l’épuisement, sur les
fesses, le devant, l’arrière et l’intérieur des cuisses. Je dois compter les
coups sans me tromper.
Puis on m’épile intégralement les lèvres de ma chatte, ne gardant que
ma toison pubienne. Mon gros clitoris tendu est percé d’un anneau doré serti
d’une pierre précieuse et je porte aussi une bague sertie d’un petit anneau à
l’annulaire gauche, pour prouver ma soumission.
D’autres inconnus m’enculent sans ménagement, après la pose de l’anneau
à mon clitoris, décuplant mon plaisir, sans me masturber, toujours menottée,
les bras tendus en l’air.
Au bout de trois heures, pantelante, je suis libérée, je me douche
rapidement, me refais une beauté. Je me rhabille. Le Marquis des Vices me remet
mon bijou d’anus.
Nous reprenons la Limousine.
Jason me met un masque de nuit et me déshabille entièrement, mes
bracelets sont joints à mon cou. Je reste les cuisses écartées.
Nous quittons le bord de mer pour une route forestière.
Nous franchissons plusieurs points de contrôle, où je suis fouillée et
caressée.
Enfin, je continue à pied, nue, en mules, tenue en laisse par mon
collier, les yeux bandés.
J’entends des chiens aboyer et des chevaux hennir.
Nous marchons un bon quart d’heure, dans des graviers.
Sans attendre, je suis prosternée et saillie par un doberman jusqu’au
nœud, qui m’encule, me menant à quatre orgasmes anaux violents.
On me retire le masque de nuit, une fois, suspendue les bras en l’air,
sur la pointe des pieds nus, sur le carrelage froid, entourée de miroirs et de
glaces sans tain, les yeux baissés et la bouche entrouverte, seule.
Puis des mains forcent ma bouche, pelotent mes seins aux mamelons
encore douloureux par les pinces et mes lèvres de ma chatte elles aussi, dont
on fouille ma chatte trempée.
- Elle a du potentiel, chienne Hermine, mon ami, dit une voix féminine,
dans mon dos.
- Ma chérie, chienne Hermine est ancienne vierge anale, devenue reine
des saillies anales canines, selon mes désirs et ceux de feu Baron Désir des
Sévices de Mon Plaisir. Elle est bien instruite, mais il lui manque encore plus
de vices, de sévices et d’obéissance. Elle fera une excellente Maîtresse à la
fin de son instruction.
Le Marquis des Vices part. La voix féminine se trouve une superbe
beauté blonde, cagoulée, avec une guêpière en cuir seins nus, aux seins
plantureux, au pubis et à la chatte totalement lisse, en cuissardes, tenant un
imposant gode.
Il mesure quarante centimètres et entre six et sept de diamètre. Lady
Natacha me l’enfonce dans ma chatte humide jusqu’au fond. Il est muni de
va-et-vient puissant. Il me plait. Je me retiens de jouir, tout en gardant mon
bijou d’anus.
Après quelques va-et-vient, elle me retire le bijou d’anus et me
l’enfonce doucement, dans mon anus lubrifié. Je dois m’ouvrir davantage et je
gémis un peu, sur le tiers qui m’encule.
Lady Natacha me lèche le clitoris et étire mes mamelons tendus pincés
et étirés par de lourds poids, provoquant un premier puis un second orgasme
anal.
- Passons de la théorie à la pratique, chienne Hermine, l’effet sera le
même.
Détachée, nue, en mules, mains jointes à mon cou, avec mes pinces cette
fois posées sur les grandes lèvres de ma chatte, je rejoins les écuries à
l’arrière du pavillon de chasse.
Je suis menottée sur un chevalet, allongée sur le dos, cuisses
écartées. Deux autres soumises, bâillonnées, nues, en cuissardes, m’installent.
Mes jambes sont tendues, les cuisses complètement ouvertes, des
bracelets de cuir sont passées à mes chevilles, une chaîne les relie ensemble,
passant sur le dos du cheval, un superbe pur-sang arabe, offrant un sexe long
de quatre-vingt centimètres en érection, me baise d’abord. Il se prénomme Alizé
des Plaisirs. Le cheval tape un peu des pieds arrières d'excitation lorsque je
fourre enfin sa bite dans ma chatte, totalement remplie qu'il dilate
excessivement. Je lutte pour ne pas jouir comme une femelle en chaleur. Le
cheval pousse très fort.
- Fleur d’Anal, retire le sexe d’Alizé et met-le dans son œillet.
Mon anus résiste interminablement. Enfin le passage anal cède à la
pression. Le phallus c’est mis plus profond en moi, sur trente centimètres. La
douleur diminue. Le gland et toute sa longueur de bite du cheval gonfle encore.
Soudainement, hennissant comme un sauvage j’ai senti une énorme quantité de spermes
dans mon anus dilaté. Le liquide épais jaillit de mon anus rougi, complètement
distendu, boursouflé, dégouline le long de mes jambes jusqu’aux mollets, dans
une bassine.
On me libère d’Alizé, mais je dois encore me faire enculer par un autre
cheval, un trotteur français, mais cette fois, je suis offerte à quatre pattes,
menottée au chevalet.
Les fesses brûlantes par les coups de cravache de Lady Natacha, sont
maintenues écartées par Fleur d’Anal, la blonde aux seins plantureux,
totalement lisse, avec de lourds anneaux aux grandes lèvres de sa chatte, un
lourd bijou à son gros clitoris. La seconde, une brune, Jasmin la Pouliche, aux
petits seins, avec les mêmes attributs que Fleur d’Anal, enfonce le sexe en
érection de Zéphyr des Vices, dans mon anus encore distendu. La seconde saillie
anale équine est plus facile et plus longue dans mon anus. Comme pour Alizé,
elles se relaient pour le masturber et ma bouche est remplie par le sexe
d’Alizé, pour le récompenser et le nettoyer.
Zéphyr m’encule avec plus de vigueur, ses va-et-vient me font
rapidement jouir. Cela est encore mieux qu’un homme et qu’un chien. Je
l’encourage, entre deux nettoyages d’Alizé.
- Zéphyr, encule ta pouliche. J’ai l’œillet en feu.
Il éjacule à son tour, mais Alizé, le sexe en érection, m’encule
ensuite, sans demander mon reste.
Cette troisième éjaculation décuple mon orgasme anal très violent.
Je passe aussi une partie de la journée avec Sultan de l’Atlas, un
superbe pur-sang arabe, appartenant à un Emir, ami de Lady Natacha. Sultan
m’encule plus longtemps et plus profondément jusqu’au deux tiers de sa
longueur, m’ouvrant davantage l’anus. Je gémis un peu, mais le plaisir anal
reprend le dessus.
Epuisée, je suis rincée à l’eau froide, avant de nouvelles saillies,
buvant des soupes froides, mélangées à des excitants sexuels, provoquant
l’excitation constante de mes mamelons et de mon gros clitoris.
3 mai
Chaque matin, je me réveille en sueur, menottée, nue, cuisses écartées,
l’anus rempli par un vibromasseur équin, pour m’habituer. Il n’est pas rare
qu’un doberman ou un berger allemand me baise simultanément, malgré ma chatte
étroite, remplie jusqu’au nœud.
Je mets en pratique les doubles saillies, anales équines et vaginales
canines jusqu’au nœud, décuplant mes orgasmes, doublement inondées. Je perds
souvent connaissance, sous la double vague de plaisirs.
10 mai
Après une douche froide, suivant mes saillies anales équines nocturnes,
dans une des écuries, nue, en cuissardes, je retrouve Lady Natacha.
- Chienne Hermine, c’est aujourd’hui, tu vas être chiffrée.
Je suis installée sur le chevalet, allongée sur le dos, avec un
bâillon-boule en bouche, maintenu par des lanières de cuir dont deux passent
sous les oreilles et se fixaient derrière la nuque, et deux autres remontent en
travers des pommettes au-dessus des oreilles et se referment sur l'occiput. On
m’attache en arrière les poignets au mur. Une sangle immobilise fortement sous
le chevalet et autour de mon ventre. Mes jambes sont basculées par-dessus la
tête, jusqu'à ce que mes pieds viennent toucher mes mains, auxquelles on les
attache en rendant solidaires les anneaux des chevilles avec ceux des poignets.
J’ai les reins dressés vers le plafond, et ouverts.
Soudain, une seule et abominable douleur me transperce, je suis raidie
dans mes liens. On enfonce dans la chair de mes fesses les deux fers rouges à
la fois, ni quelle voix a compté lentement, jusqu'à cinq, ni sur le geste de
qui ils ont été retirés.
Libre, je suis caressée longuement par le Marquis des Vices, dans ma
chatte humide, sur mon clitoris tendu à l’extrême, tout comme mes mamelons,
pincés par des clochettes qui tintent à chaque mouvement.
Les traces qui sont imprimées par le fer, hautes de trois doigts et
larges de moitié leur hauteur, sont creusées dans la chair comme par une gouge,
à près d'un centimètre de profondeur, avec les lettres M et V entrelacés sur la
fesse gauche et une cravache et un fouet entrecroisés sur la fesse droite.
De retour à la villa, j’exhibe mon corps, mon anus est encore
entrouvert par mes saillies anales équines. Adam, Hadès et Olaf m’enculent avec
vigueur, nue, dans le salon, suçant leurs maîtres.
Mes chemisiers sans boutons, mes bustiers, mes guêpières seins nus sur
mes seins nus, décolletés et transparents assortis à mes jupes courtes et fines
et petit boléro ajusté et fermé, à peine fardée, sans chapeau, et les cheveux
libres, j’ai l'air d'une jeune fille sage.
Partout où le Marquis des Vices m’emmène, on me prend pour sa fille ou
pour sa nièce, d'autant plus que maintenant il me tutoie. Les regards masculins
sont plus insistants mais les femmes aussi. Je suis terriblement excitée et mes
mamelons et mon gros clitoris sont tendus à l’extrême et cela se voit.
Les propriétaires des chevaux qui m’ont saillie m’enculent sur le yacht
lors de longues sorties en mer, où je suis fouettée. Le Marquis de Vices me
baise régulièrement pour me conduire à ma grossesse, surveillée par Lady
Natacha.
Quelques mois après, je donne naissance à une fille et je dresse de
jeunes vierges soumises tantôt chez Lady Natacha tantôt chez le Marquis des
Vices, dans une discrète villa avec piscine. Je porte toujours mes bijoux
d’anus moulés sur le devant d’un sexe d’un Danois et de celui d’Alizé des
Plaisirs, me rappelant combien je suis une chienne et une pouliche anale.
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