samedi 30 novembre 2019

LES AVENTURES LESBIENNES D’HERMINE


Je m’appelle Hermine.
J’ai 20 ans.
Je suis une jolie beauté scandinave.
Je suis une brune aux yeux verts. J’ai des pieds fins et latins, des jambes longues bronzées, musclées qui inquiètent par leur perfection. Mon pénil est bombé, ouvert, couronné de noir. Ma pilosité brune couvre mon pubis. Je suis totalement velue entre les cuisses et j’ai une superbe croupe. Les lèvres de mon sexe sont une plaie rouge entre mon entrecuisse velue. Mes hanches s'incurvent et délimitent le ventre plat, délicieusement renflé autour du nombril, les hanches sont larges et rondes, mais sans lourdeur. La taille est affinée. Les seins parfaits intégralement bronzés sont un peu volumineux mais fermes, et leurs pointes marron clair, toujours dressées, cernées par une large aréole marron attirent le regard. J’ai une peau lisse et patine. Finition parfaite, un seul grain de beauté entre mes superbes seins. De longs cheveux plats blonds flottant comme des algues, battent mes épaules rondes et gracieusement athlétiques. Je suis intégralement bronzée. Mes yeux verts limpides s'allument, ma bouche charnue se fend. J’ai des sourcils bruns bien dessinés et des lèvres pulpeuses. J’ai de longs doigts fins et de belles mains. Je fais du 85B de poitrine, 56 de taille, 90 de hanches, 1,72 m.

LES AVENTURES LESBIENNES D’HERMINE

Je suis étudiante dans une grande université. J’ai passé ma première année, avec ma colocataire Prisca, une jolie blonde aux yeux verts, aux petits seins comme moi, mais à la chatte intégralement épilée, à étudier la littérature et l’histoire des peuples Scandinaves.

20 mars
A l’appartement dans la résidence universitaire que nous occupons, nous émergeons de nos nuits d’amours lesbiens intenses. Ma chatte est tellement trempée par les doigtés experts de Prisca, je lui rends la pareille. On nous prend pour des sœurs ou des jumelles.
Nous déjeunons nues et prenons notre douche commune, pour caresser nos corps vers des râles de plaisir.
Je choisis des dessous sexy transparents en dentelle blanche avec soutien-gorge, slip et porte-jarretelles et bas assortis, sous un chemisier fuchsia et une jupe s’arrêtant sous le genou, avec des escarpins à petits talons et je me maquille, coiffée de ma queue-de-cheval d’adolescente, qui fait détourner les regardes masculins, qui fantasment sur moi. Désolé, je suis lesbienne, aucun sexe masculin ne plongera dans mon superbe écrin velu.
A la pause de midi, je suis intriguée à chaque fois que Prisca a une touche masculine. Je suis aussi attirée par le superbe Apollon musclé, pour moi, sa muse poupée de soie et d’acier, mais sans lui faire l’amour, le regarder, l’admirer. J’en mouille d’avance.
- Hermine, voici Xavier, qui travaille dans la photo de charme. Il recherche des modèles pour des photos dans une villa. Il fait un bon prix, pour compléter nos fins de mois.
- Bonjour, Xavier, je m’appelle Hermine. Mais désolé, tu es mon type d’homme, mais je ne couche pas le premier soir.
- Hermine est une authentique lesbienne, qui aime se faire doigter la grotte, mais des fois, avec un gode.
- Je n’ai pas de préjugés. Hermine, je te prends. Une limousine nous attends pour la villa. La séance a lieu cet après-midi.
Nous montons dans la limousine. Xavier ouvre mon chemisier, sans attendre, caresse mes seins avec la dentelle du soutien-gorge. Je mouille.
- Tu me plais autant que Prisca, Hermine. Sacha aime les jeunes beautés comme vous. Il faut que vous collaborez pour le meilleur rendu des photos de nu intégral.
Après deux heures de trajet, nous franchissons un portail d’une villa, sur les hauteurs de la ville, gardée par des maîtres-chiens accompagnés de bergers allemands et de dobermans.
Une séduisante blonde aux seins plantureux, en robe bustier, assez courte, blanche, nous accueille.
- Voici, les deux nouvelles putes pour Sacha. Elles sont très belles. Hermine est une lesbienne et elle partage sa colocation avec Prisca. Prisca est portée sur le sexe.
- Hermine, la lesbienne, tu vas te déshabiller, pour que je vois tes atouts de séduction.
J’obéis, devant Pénélope.
- Tu me mets tes dessous et ta tenue dans cette valise. Tu es velue naturellement. Tu me plais. Xavier, tu t’occupes d’elle. Elle va d’abord te sucer, puis on s’occupe de sa grotte et de son œillet. Si tu es vierge, on le saura rapidement.
Accroupie, je dois avaler le mandrin de Xavier, long de vingt-cinq centimètres et six de diamètre. Je fais de mon mieux, une première pour moi. Prisca m’a déjà montré des vidéos de fellation.
- Tu sais y faire, Iris. Iris sera ton nom de pute. Mets-toi à quatre pattes, le photographe et la caméra te filment pour Sacha.
J’obéis. Un autre étalon musclé, entre, plus grand que Xavier, noir et chauve.
- César, voici ta pute Iris, tu lui donnes du plaisir et tu fais signe si elle est vierge.
César est doté d’un imposant mandrin de trente centimètres et sept de diamètre.
Il me baise d’une seule traite, me déflorant ainsi jusqu’au fond de ma chatte trempée, en me faisant coulisser sur son mandrin. Je gémis un peu, mais les caresses de mon clitoris tendu et sensible, me font jouir.
- Tu prends ton pied, Iris. Ca y est, l’accès est libre.
- Très bien, occupe-toi de son œillet, c’est une formalité pour une allumeuse comme elle.
Il m’encule d’une seule traite. Je gémis, l’anus écartelé. Il me fesse magistralement et cela me détends et m’excite.
- Vierge anale, devenue pute anale, tu comprends très vite. Ta copine Prisca se fait prendre en double pénétration. Tu vas y goûter, Iris.
Il éjacule dans mon anus et je dois le nettoyer. Un troisième partenaire m’encule ainsi, jusqu’à un sixième, décuplant mes orgasmes anaux, inconnus pour moi.
- Six étalons, c’est bien pour une novice. Sacha va être satisfait de sa pute Iris. Un bijou d’anus va te soulager pour les prochaines sodomies de la journée.
Les fesses écartées et brûlantes par les fessées magistrales, je reçois l’objet froid dans mon anus partiellement dilaté. Il mesure neuf centimètres de long et quatre de diamètre pour 135 grammes. Je ne peux l’expulser, provoquant une excitation anale.
- Va te reposer, allongée, nue, sur ton lit, après une douche rapide à l’eau froide. Finis les dessous de pute, tu es constante fesses, jambes et seins nus sous tes tenues de pute. Tu as compris, Iris, baisse les yeux, la bouche entrouverte, devant les hommes qui te prennent ou te parlent.
En vérité, la chambre cache derrière des miroirs et des glaces au plafond, de discrètes caméras et appareils photographiques. Je suis exhibée.
En guise de repos, je suis baisée, tout en gardant mon bijou d’anus, je dois sucer et avaler tout, sans refuser l’acte sexuel.
J’éprouve du plaisir, prise en double pénétration, la chatte resserrée par le bijou d’anus.
En milieu d’après-midi, pantelante, la chatte et la bouche dégoulinante de spermes, je suis invitée à me prosterner, les yeux bandés, cuisses écartées. On me met des carcans de cuir à mon cou, mes poignets et mes chevilles. Je suis menottée au lit, l’anus libre. Toute résistance est vaine.
Les carcans sont faits en plusieurs épaisseurs de cuir, chaque épaisseur assez mince, au total pas plus d'un doigt, verrouillés par un système à déclic, qui fonctionne automatiquement comme un cadenas quand on le referme, et ne peut s'ouvrir qu'avec une petite clé. Dans la partie opposée à la fermeture des bracelets, pris dans le milieu des épaisseurs de cuir, et n'ayant presque pas de jeu, il y a un anneau de métal, qui donne une prise pour fixer, et qu'on positionne du côté intérieur du poignet. Pour le collier, l'anneau pend devant le cou, reposant sur la saillie des clavicules, et brinquebale au rythme des mouvements de celui qui le porte.
Soudain, dans un grand silence, je sens un mystérieux sexe m’enculer. Le fourreau s’est retiré en arrière, libérant le pénis en érection, qui sort et grossit en dehors du fourreau. Le pénis d'un chien est pointu à l'extrémité et s'élargit au bout de deux ou trois centimètres. C’est un sexe de dix-sept centimètres et cinq de diamètre, soit moins que César.
Le pénis éjacule immédiatement continuellement. Mais après quelque minutes, quand le chien atteint son vrai orgasme, alors la base de son pénis va se gonfler. Il applique une constante pression pour s'assurer que le bulbe du pénis est bien dans vous. Pendant ces quelques secondes, le bulbe va grossir plus encore dans mon anus de telle manière qu'il ne sera plus possible de l'extraire avant la fin du rapport. A partir de là, le chien va éjaculer intensivement au coeur de vous. Le rôle du bulbe est donc de me nouer à lui pendant un bon moment. Son bulbe grossit beaucoup plus encore et soudainement il s'arrête avec tout son sexe dans mon anus. En même temps, vous sentirez gicler au fond de votre ventre du sperme chaud, son pénis compte les pulsations. La quantité de sperme augmente à chaque giclée, et son apparence d'eau. Quelques secondes plus tard son pénis a atteint une telle taille que la base du pénis atteindra trois fois le diamètre de l'érection. Pendant la dernière période de l'attache par le bulbe, je sens le pénis devenir plus petit, et je sens que ses giclés ne sont pas aussi puissantes qu'auparavant. Je connais quatre orgasmes anaux violents sous ses coups de reins.
Le sexe se retire et je suis enculée par des sexes humains et je suce le nouveau sexe qui m’a enculée, sans voir son auteur.
Je m’effondre, allongée sur le ventre, cuisses maintenues écartées, l’anus dégoulinant de spermes chauds.
Un bruit d’hélicoptère m’interroge.
- Tiens, voici Sacha, avec Alban le comptable et Charles Edouard, le Marquis, qui viennent voir les nouvelles putes recrutées.
Je reste menottée sur le lit, les yeux bandés.
J’entends des voix masculines parlées avec Pénélope.
- Sa copine Bisexuelle Désir XXX (mon amie Prisca) s’est fait prendre en six double pénétrations et à sucer presque autant de partenaires que la nouvelle Iris. Iris est une authentique lesbienne, mais qui s’est fait rapidement déflorée de la chatte et de l’œillet, sans aucune résistance, fessée. Elle semble aimer les fessées, c’est un bon point pour les jeux SM. Son œillet est encore entrouvert, Adam vient de la saillir, elle a pris son pied.
- A nous trois, nous allons l’enculer, dit Sacha. Laissez-la menottée, soumise. Elle va signer son contrat après six doubles pénétrations avec mes meilleurs acteurs très bien montés. Il lui faut du sept pour l’assouplir. Les enchères de ses déflorations sont montées à 3.000, mais elle vaut davantage, avec sa toison pubienne et sa chatte velue, des clients aiment ce style de beauté. Sa copine en vaut le double, mais les autres scènes du film montreront ses capacités.
Sacha m’encule avec son gros mandrin de sept centimètres, d’une seule traite. Je jouis et je le fais éjaculer rapidement dans mon anus bien lubrifié.
- Eh, ma belle Iris, tu te retiens de jouir, tant qu’on t’a pas autorisée. D’accord, tu te montres docile.
Alban m’encule avec un mandrin long de quarante centimètres et cinq de diamètre et j’éprouve le même plaisir et il éjacule un peu plus tard qu’avec Sacha.
- Tu es sacrée pute, pour prendre ton pied, ton œillet est tellement sensible, me susurre Alban, lorsque je le suce et j’avale tout.
Pour Charles Edouard, doté d’un mandrin long de trente-cinq centimètres et huit de diamètre, la sodomie profonde est douloureuse. Je gémis, ce qui me vaut quelques coups de cravache sur les fesses et je ne jouis qu’après plusieurs va-et-vient.
- Son œillet doit être encore être élargi, le gode Fleur de Rose lui sera inséré dès la fin des six doubles pénétrations. Le modèle L à picots, pour qu’elle puisse jouir en solitaire. Détachez-la, que l’on tourne les six scènes de doubles pénétrations. Elle est suffisamment lubrifiée de la chatte et de l’œillet.
Libre, le bandeau enlevé, les yeux baissés, la bouche entrouverte comme requis par Pénélope, je rejoins la piscine, toujours nue, pieds nus, où m’attendent douze étalons dotés de mandrins entre six et sept centimètres de diamètre, que je dois sucer d’abord.
Une fois prête, devant le trio masculin, Pénélope et Prisca, je me fais prendre en double pénétration.
Je m’empale sur le mandrin de l’homme qui me baise, qui est couché sur le dos. Le second m’encule simultanément, en appui sur ses jambes. Je jouis sur commande, filmée et photographiée.
Je répète la scène avec deux autres partenaires.
Puis, je m’empale, dos à celui qui m’encule, qui est allongé sur le dos. J’ouvre bien mes jambes pour recevoir celui qui me baise, suçant mes deux partenaires de la scène précédente.
Je renouvelle la scène, ma chatte et mon anus dégoulinent du surplus de spermes.
Enfin, deux étalons musclés, me prennent. Le premier me prend ses bras, je l'entoure avec mes jambes et m’empale baisée, tandis que le second m’encule, me soutenant par derrière également une partie de mon poids. J’explose dans de violents orgasmes.
Pantelante, je nettoie mes douze étalons. Je signe mon contrat sous le pseudonyme Iris.
A quatre pattes, sur le bord de la piscine, je reçois le gode Fleur de rose, taille L, avec des picots sur le dessus. Un des étalons m’écarte mes fesses brûlantes par les fessées magistrales que j’ai reçu.
Le gode est moulé sur un vrai mandrin humain, réaliste, long de vingt-cinq centimètres et quatre de diamètre, mais les picots l’amènent à cinq centimètres. Les picots m’arrachent l’anus sensible. Trois chaînettes sont laissées pendantes à la base. Sacha m’enfonce le gode jusqu’à la base. Sa forme en sapin, la section qui relie les deux extrémités est très fine et douce afin de laisser l’anus se refermer dessus sans gêne et la tige de la taille de l’auriculaire sert de support lorsque le sphincter se referme. Je gémis.
Je me relève, on m’attache une étroite ceinture autour de ma taille, et l'on y accroche les trois chaînettes, une par derrière qui suit le sillon des fesses, et les deux autres par-devant, qui longeaient le pli des aines en contournant le triangle pubien.
- Les chaînettes sont ajustées au plus court, pour que ton œillet soit forcé et distendu au diamètre désiré jusqu’à sept centimètres, avec d’autres modèles, les picots rajoutent un centimètre en plus. Les chaînettes sont cadenassées pour éviter tout soulagement de ce gode anal. En plus, il y a une surprise pour toi, avec. Tu vas le porter en moyenne huit heures, sans aucune sodomie possible, juste le gode anal.
Je ressens immédiatement un va et vient automatique dans mon anus, avec l’étirement de son enveloppe et sa contraction, simulant les montées et descentes du gode et des vibrations qui s’arrêtent et qui recommencent, par à-coups et aux vibrations à intensité progressive.
- Ainsi, tu subis la sodomie d’un étalon inépuisable, ma belle Iris. Mais interdiction de te masturber, ma belle, tu ne touches pas à ton clitoris, ni ta chatte et ni tes seins, pendant le port du gode anal, m’annonce Sacha. Célia Vicieuse, va t’apprendre à te maquiller comme une pute et te mettre une crème sur tes mamelons et ton clitoris, pour les rendre plus sensibles, saillants. Une fois, qu’ils sont constamment tendus vingt-quatre heures sur vingt-quatre, on perce ton gros clitoris comme une cerise et volumineux, pour la pose d’un anneau doré avec une pierre précieuse, comme Célia Vicieuse. Tes mamelons sont gros, longs et saillants, raviront tes admirateurs. Tu es reste naturelle et velue, pour mes clients spéciaux.
Célia me farde la bouche avec un rouge clair, un peu liquide, qu'elle applique au pinceau, et qui fonce en séchant. Elle pince et étire mes mamelons jusqu’à leurs durcissements, avec ses doigts enduits de la crème et en fait de même à mon clitoris pour le faire ériger au maximum. Je mouille et je me retiens de jouir. Célia peint du même rouge l'aréole et les mamelons, finit avec un glaçon pour fixer les couleurs sur mes mamelons et frotte le glaçon sur mon clitoris érigé et les petites lèvres entre mes cuisses, en soulignant la fente du giron. Elle enduit mon corps d’une huile parfumée, provoquant une excitation sexuelle. L’air frais sur mes mamelons et mon clitoris, complètement tendus, très durs, devenus hyper sensibles, provoque leurs excitations. Le glaçon fond dans ma chatte humide. Je ressens un nouvel orgasme anal par le gode Fleur de Rose.
Je revêts un corset seins nus, durement baleiné, long et rigide, et comporte des goussets où reposent les seins. A mesure qu'on serre, les seins remontent, s'appuient par-dessous sur le gousset, et offrent davantage leurs mamelons tendus. En même temps, la taille s'étrangle, ce qui fait saillir le ventre et cambrer profondément les fesses, me donnant des hanches de courtisane, mon corps moulé, en épousant et mettant en valeur mes formes.
Une minijupe ras des fesses transparente, ouverte devant, dévoilant mon pubis et mes chaînettes, sur mes fesses et mes jambes nues, complète ma tenue de pute. Je glisse mes pieds nus dans des mules avec une bande sur le cou-de-pied à talons de dix centimètres, pour accentuer ma silhouette  plus élancée, mes chevilles et mes mollets sont tendus, ce qui fait des jambes superbes, je dois redresser le buste et creuser les reins, pour marcher. Je garde mes carcans de cuir.
- Viens, Iris, je te conduis aux studios dans le Dauphin, pour des scènes complémentaires. Interdiction de te masturber, tu t’assois cul nu sur la banquette, cuisses écartées, pour que je puisse te caresser.
Après une heure de vol, longuement caressée et embrassée sur la bouche, ne comptant plus mes orgasmes anaux, déclenchés par le gode, le Dauphin atterrit sur le toit d’un luxueux immeuble dans un quartier d’affaire isolé et sécurisé. Sacha m’a menotté les mains dans le dos.
On m’aide à descendre. La fin d’après-midi approche et j’ai faim.
Nous descendons un escalier en marbre, sur lequel mes mules claquent, jusqu’au vingt-troisième et dernier étage.
Je découvre ma chambre, entièrement recouverte de glaces et de miroirs, cachant de discrètes caméras et appareils photographiques, pour immortaliser mon séjour.
La chambre possède une vue sur le quartier d’affaires, avec des fenêtres blindées et scellées, la climatisation provoque de nouvelles excitations à mes mamelons et à mon clitoris. Je me déshabille et me douche devant lui, mais c’est Sacha qui passe la grosse éponge sur mon corps. Je dois me retenir de jouir. Le maquillage reste en place.
Une fois propre et séchée, il brosse soigneusement mes poils pubiens et me libère quelques instants du gode Fleur de Rose.
- Je vais t’enculer un peu, avant ta scène de plaisir anal, dans la salle des plaisirs SM.
- Penche-toi en avant, cuisses écartées, debout.
Sacha m’encule d’une seule traite, je connais un nouvel orgasme anal que je tente de retarder.
Il se met à genoux et moi, aussi, toujours enculée, touchant son buste.
Il masturbe mes lèvres humides et mon gros clitoris volumineux et saillant, tout en pelotant mes seins aux mamelons durcis. Un étalon africain bien monté, de sept centimètres, me baise simultanément.
- Elle te plaît, la chatte d’Iris, Horace. Elle n’a pas beaucoup baisée, mais elle aime qu’on l’encule, comme une pute. Réponds, Iris. Tu m’appelles Maître.
- Oui, Maître, je suis une ancienne lesbienne, qui est ta pute et à tous les hommes que je vais accueillir dans mon œillet de pute.
- Jouis, maintenant, tu seras doublement inondée.
Cette double inondation provoque un violent double orgasme.
Après cette préparation, l’anus rempli par un bijou d’anus, froid, de cinq de diamètre, je me rends nue et en mules, tenue en laisse par mon collier par Horace, jusqu'au vingtième étage par un escalier de marbre, les yeux baissés et la bouche entrouverte.
Je suis installée seule, nue, menottée à un chevalet. Je suis solidement immobilisée dans cette posture dégradante, le postérieur plus haut que la tête. Mes bras sont fixés le long des pieds avants, mes jambes le long des pieds arrières, et une large sangle m'est passée au niveau de la taille. Mes cuisses, légèrement fléchies sont empêchées de se resserrer par la largeur de la poutre, ainsi d'ailleurs mes fesses que je me peut refermer. Toute mon intimité est ainsi très accessible.
Une main en flèche rentre dans mon oeillet, mais la base de la main est bien plus large. Détendue, je reçois dans mon anus relâché, et la main pénétrer en moi assez rapidement jusqu'au poignet ! C'est une sensation de surprise assez dingue ! Je me sens complètement remplie !
La main retirée, je reçois une boule anale du crochet dans mon anus. Ayant jouis avec l’accord de mon Maître, il me retire le crochet du cul, celui-ci est bien dilaté. Puis je reçois une carotte, un concombre, une courgette et une banane, pour me faire jouir. Je suis nourrie des légumes et de la banane dans une soupe que je dois boire et je dois faire pipi dans un seau entre les pieds arrières.
Je suis cravachée et fouettée à la garcette entre chaque épreuve, sur les fesses et les cuisses. La  garcette, de cordes assez fines, faite de sept lanières terminées chacune par plusieurs nœuds, et qui sont toutes raides, trempées dans l'eau.
Mes mamelons durcis sont pincés par de lourdes pinces avec des poids, qui provoquent une excitation, ainsi que les petites lèvres de ma chatte humide. Je dois porter des poids de cent grammes, sous forme de clochettes, qui tintent à chacun de mes mouvements.
Je suis saillie, enculée par des bergers allemands, Balzac et Arès, avec une plus grande facilité, l‘anus bien préparé. Je connais encore des orgasmes anaux sous leurs longues éjaculations entre une bonne demi-heure à trois quart d’heure par saillie.
Mes seins restent tombés sous le poids des pinces ensuite le sang cesse de circuler, les mamelons deviennent froids et là je ne sens plus rien.
Profitant de ma position, de mon clitoris gros comme une cerise, est percé et je reçois un anneau doré serti d’une pierre précieuse, qui étire mon clitoris. Mes grandes lèvres humides reçoivent des anneaux dorés qui se cachent dans les poils de ma chatte et enfin, je suis marquée au fer rouge, sur l’épaule gauche, d’un lys, pour me faire reconnaître par mes admirateurs.
Quand j’émerge, je suis dans ma chambre, avec toujours mes carcans de cuir, attachée en croix sur le lit, bras et jambes écartés, une barre d’écartement m’empêche à mes cuisses de se refermer, je porte aussi le gode Fleur de Rose, en mode vibration par intensité progressive. Mon bassin ondule sur le gode. Une chaîne fixée à mon collier m’empêche de me lever du lit. Je ne porte plus mes clochettes.
Il fait nuit dehors. Il n’y a aucun rideau ni volet, pour m’exhiber aux voyeurs. Je suis constamment filmée.
- La belle pute Iris a fait un carton avec les nouvelles scènes. Tu es encore un peu serré de l’œillet, mais cela va s’améliorer jour après jour, avec tes amants canins et tes partenaires, annonce Sacha. Tu viens de franchir le cap des 5.000. Ta docilité sera récompensée.
- Maître, j’ai faim et je veux être enculée à nouveau dès que possible.
- Ma pute Iris, tu dois te montrer patiente, respectueuse, gentille et souriante, quand tu me parles.
- Tu vas boire ta soupe et Adam va t’enculer pendant la nuit. La porte de ta chambre sera fermée par une carte sécurisée. Ainsi, Adam t’encule selon ses envies. Tu es toute propre, douchée, l’anus propre.
Sacha me fait boire mon litre de soupe. J’ai une envie permanente d'aller à la selle, j’éprouve des difficultés pour uriner par compression.
Il me retire le gode, me glisse un coussin sous les fesses, pour un meilleur accès.
Adam entre, excité de me revoir, le sexe en érection. Sans attendre, il m’encule jusqu’au nœud, tout en pelotant mes seins, aux mamelons encore durcis. Je connais quatre orgasmes anaux, ce qui le ravit. Il double sa ration de spermes et me lèche l’anus, pour me récompenser au bout de trois quart d’heure.
Je suis en sueur, malgré l’air de la climatisation, mon clitoris est aussi tendu à l’extrême.
Ne pouvant me masturber, je tente de me faire jouir, en fantasmant sur mes amants de la journée.

21 mars
A trois heures du matin, Adam m’encule à nouveau, puis à cinq et à six heures, laissant mon anus dégoulinant de son sperme. Mes orgasmes m’épuisent et me font dormir profondément.
Vers sept heures, un étalon bien monté, César, qui a libéré mes chevilles, m’encule avec vigueur, l’anus bien lubrifié par le sperme d’Adam. Mes mollets sont posés sur ses épaules. Il me caresse mes cuisses, mes mollets et mes chevilles. Je retarde mon orgasme anal, mais je ne peux résister sous ses coups profonds dans mon anus en feu.
Puis il m’abandonne.
Après ma douche et un bon lavement anal, une bonne soupe frugale, nue, je rejoins les studios, tenue en laisse par César.
Menottée sur le chevalet, j’enchaîne les saillies anales canines, les sodomies avec les fruits et les légumes, des inconnus cagoulés qui me fouettent et m’enculent, je dois retarder mes orgasmes anaux qui sont de plus en plus violents. Mes mamelons et mes grandes lèvres sont étirés par les pinces à clochettes. Je ne compte plus mes sodomies. Le réalisateur ne garde que les meilleures scènes pour mes admirateurs.
Le soir, je suis saillie par Adam, Balzac, Arès, le doberman Hadès avec un sexe long de trente-deux centimètres et cinq de diamètre et le dogue allemand Lancelot avec un sexe long de trente-six centimètres et six de diamètre. Le gode Fleur de Rose taille XL, long de trente-cinq centimètres et cinq de diamètre, mais les picots l’amènent à six centimètres m’a bien préparé à le recevoir. Je connais avec chacun quatre violents orgasmes anaux, menottée à quatre pattes sur le lit, comme une chienne.

23 mars
A l’aube, après un nouveau tournage, douchée, fardée, parfumée, je suis conduite au quinzième étage, tenue en laisse par César, par les anneaux de mes grandes lèvres, fermées par un petit cadenas.
Sacha me reçoit :
- Ma pute Iris, tu as atteint 10.000. J’ai besoin de toi, pour recruter de nouvelles jeunes filles, si possible vierges de la chatte et de l’œillet. Des lesbiennes comme toi, tu dois en connaître à l’université. Ta copine Bisexuelle Désir XXX ira cet après-midi. Tu y vas ce matin. César te dépose toute à l’heure, à l’ouverture de l’université : tu te rends à ton immeuble et à la cafétéria, habillée en pute de luxe. Je ne te rase pas la toison pubienne et ta chatte, j’ai mes raisons. Penche-toi en avant, que je te prenne.
J’obéis.
- Ton oeillet s’ouvre maintenant jusqu’à sept centimètres. Très bien, tu vas rendre jaloux tes dragueurs. Je me charge d’eux, si tu veux des soumis.
- Maître, je vais jouir, mon œillet est tellement sensible.
- C’est normal, Lancelot t’a bien saillie.
Sacha éjacule dans mon anus, me remet le bijou d’anus et je visionne en sa compagnie, des extraits de mes scènes SM et mes saillies anales, agenouillée à ses côtés, cuisses écartées, me retenant de me masturber et de jouir.
Vers neuf heures, fardée, parfumée, je m’habille d’une tenue provocante : une guêpière, tenue rigide par de larges baleines très rapprochées, courbées vers l'intérieur au ventre et au-dessus des hanches, qu’un busc, sur un côté derrière, permet de boucler ou de déboucler et par-derrière, elle est lacée. Une fois lacée, ma taille et mon ventre se creusent sous la pression des baleines, qui sur le ventre descendaient presque jusqu'au pubis, qu'elles dégageaient, ainsi que les hanches. La guêpière est plus courte par-derrière et laisse la croupe entièrement libre. J’accroche mes bas blancs aux quatre jarretelles, assortis à la guêpière. Mes seins nus sont mis en valeur. Je la cache sous une robe  composée d'une jupe éventail, qui se retrousse d'un geste, portée avec un boléro fermé au cou. Il suffisait d'enlever le boléro pour que les épaules et les seins soient nus, et sans même enlever le boléro, de l'ouvrir, si l'on désire voir les seins. J’échange mes mules à talons de dix centimètres et une paire de douze centimètres, pour me cambrer davantage et me rendre plus pute et allumeuse. Tout le monde peut voir que j’ai la chatte et les fesses nues. Je me coiffe d’une queue-de-cheval d’adolescente.
César me conduit, au pied de l’ascenseur, dans le parking privé de l’immeuble du groupe Bijou Désir Sexe et Mon Plaisir. Là, nous prenons une BMW cabriolet. Je dois m’exhiber pendant le trajet de deux heures, les yeux bandés, la bouche entrouverte, la jupe relevée assez haut, cambrée sur le siège passager, cuisses écartées, les seins exhibés, le vent frais m’excite. Je mouille comme jamais.
Nous arrivons devant l’entrée de l’université.
Ayant recouvré la vue, je rentre sans aucun souci, avec mon boléro remis. J’ai mis mon bijou d’anus, l’anus rempli du sperme de César, qui m’a enculée dans le parking.
Je retrouve deux amies de notre immeuble. La norvégienne Astrid, la blonde et la croate Jasmine, la brune, toutes les deux aux petits seins, me complimentent pour ma tenue.
- Si tu veux gagner de l’argent comme moi, je leur annonce, prends cette carte et tu vas aimé.
- Hermine, ma chaude et douce chérie, je suis lesbienne, annonce Astrid.
- Tu trouveras des lesbiennes aussi, lui dis-je (je sais qu’elle va devoir se soumettre aux étalons qui m’ont prise, enculée et baisée).
Je me déhanche vers la cafétéria, sous les sifflets de quatre dragueurs qui ont tenté de me prendre.
- Les gars, c’est la gouine Hermine. Elle est superbe séduisante, me dit Edouard, le bourgeois Danois.
- Tu nous offres tes fesses musclées, la poupée, me dit Nathan, le séducteur Suédois.
Je garde mes distances, tout en me déhanchant, soulevant discrètement ma jupe sur mes fesses nues.
A l’approche de la cafétéria, je monte les escaliers, devant eux, pour qu’ils profitent de la vue de ma chatte et de mes fesses nues et de mon saphir entre mes fesses.
Je retrouve quatre autres lesbiennes : Elodie, la brune hollandaise, Frédérique, la blonde tchèque, Justine, la brune hongroise et Valérie, la blonde australienne, toutes ont des seins plantureux. Elodie n’a jamais accepté que je la gode. J’aurais ma revanche.
Je leur passe des cartes.
Mais Hermine, il paraît que tu n’es plus vierge, annonce Valérie.
- Oui, j’offre ma chatte et mon œillet à tous les hommes qui me plaisent. Regarde, Edouard, Nathan, Ken l’américain et James le sud-africain, vont me manger dans ma main.
- Tu plaisantes, Hermine. Toi, tu vas t’offrir aux dragueurs, annonce Elodie. C’est sale, des queues dans ta superbe chatte velue. Tu mérites ma langue.
Je soulève ma jupe et je dévoile mon bijou clitoridien et mes anneaux dorés à mes grandes lèvres humides velues.
- Tu t’es fait percée, comme une pute, annonce Justine.
- Je ne me considère pas comme une pute, mais comme une jouisseuse anale. Voici, Sacha, mon chéri, il a hâte de vous rencontrer, mes chéries.
Je le rejoins devant le quatuor de dragueurs.
- Sacha, défonce-moi devant ces dragueurs. Je suis ta chienne.
Penchée en avant, dans les escaliers, la jupe relevée, Sacha me retire mon bijou d’anus et m’encule sauvagement. Nathan se masturbe devant le spectacle offert. Je connais deux orgasmes anaux successifs.
- Nathan, pantelante, tu veux me prendre. Je suis tout à toi.
Nathan s’approche et je lui mords le gland et griffe les testicules. Il gémit.
Sacha éjacule dans mon anus. il me remet le bijou d’anus.
- Ma chienne, Damien, t’attends sur sa superbe moto.
- Adieu, les voyeurs, Sacha va vous offrir de vraies beautés. N’est-ce pas mon chéri ?
Je retrouve Damien avec sa superbe moto. Je m’empale, enculée, l’anus libre, sur son gros mandrin qui me remplit jusqu’aux testicules et je connais encore un orgasme anal.
Pantelante, je rentre avec Damien à l’immeuble, mes seins nus collés contre son dos, avec mon casque, les cheveux au vent.
Sacha me rejoint dans la chambre privative de Sacha, au quinzième étage. Je suis allongée nue, cuisses écartées.
- Tu es excellente, Iris. Six nouvelles putes et quatre pervers, tous sont ta propriété. Souhaites-tu corriger quelques-uns, tu as des talents de Maîtresse SM ?
- Oui, Elodie et les quatre pervers, je vais les éduquer. Mais avant, enculez-moi, je suis chaude et excitée.
- Iris, tu es libre de te masturber, en attendant tes soumis.
Sacha m’encule. Sacha est allongé sur le dos, les jambes relevées. Je m’empale, enculée jusqu’aux testicules, mes cuisses contre ses cuisses velues, assise sur lui.
- Que c’est bon, ta queue dans mon œillet de pute.
- Tu aimes cette position. Tu vas me faire gicler, Iris.
Je tourne autour du mandrin qui bande. Sans débander, enculée, je me retrouve, en pivotant vers Sacha, de face, glisse mes jambes entre les siennes. Sacha se relève lentement et s’assoit sur ses talons. Il éjacule enfin.
Je le nettoie.
Je remets mon bijou d’anus et le fait aller et venir vers de nouveaux orgasmes anaux, mes mamelons et mon clitoris sont tendus à l’extrême.
Je suis récompensée. Vêtue de ma guêpière seins nus, de bas, de cuissardes, d’une cagoule avec ma queue-de-cheval, de longs gants, tenant une cravache et une garcette, je retrouve Elodie et Astrid sur les chevalets, nues, déjà cravachées.
- Alors, mes belles, on refuse la venue de Miss Désir.
- Hermine, non, je ne veux pas que l’on me baise, supplie Elodie.
 -Qui t’as autorisé, Gouine Vierge de me parler. Je vais te baiser et t’enculer, ma chienne.
- Non, Hermine, tu vas pas faire cela à Elodie, réplique Astrid.
- Toi, Natacha la Docile, tu regardes.
Equipée d’un gode ceinture muni de deux vibromasseurs internes, avec va-et-vient interne, moulés sur les sexes d’Adam pour ma chatte et de Lancelot pour m’enculer simultanément ou en alternance, les doubles godes externes sont imposants : le vaginal mesure trente centimètres et l’anal mesure quarante centimètres et tous les deux mesurent sept de diamètre.
Agenouillée, derrière Elodie, je les enfonce simultanément pour la déflorer. Elodie gémit, je dois alterner avec la cravache et la garcette, jusqu’au râle de plaisir, mais elle serre les fesses.
Quant à moi, un double orgasme me submerge.
Je mets un autre double gode et je m’occupe d’Astrid. Astrid jouit presque en même temps que moi. Elodie, avec son bâillon-pénis canin, pleure.
- Natacha la Docile, tu as interdiction de jouir sans mon autorisation. Je vais te cravacher comme la Gouine.
- Oui, Miss Désir, je me retiens.
Je suis tellement excitée, que je décide d’enfoncer mes vibromasseurs dans la chatte et l’anus d’Astrid, pour la faire gémir.
Astrid aime ces doubles vibromasseurs canins et en demande davantage.
Je les récompense à ma manière. Hadès encule la Gouine Vierge et Lancelot encule Natacha, tous les deux jusqu’au nœud, à plusieurs reprises. Comme la Gouine Vierge gémit, je lui offre mon anus à lécher. Elle se refuse. Hadès l’encule plus vigoureusement.
Je prends l’ascenseur et rejoins mes quatre soumis.
Ils sont au sous-sol avec les jumeaux Alexandre et Val, aux petits seins, d’authentiques transsexuels brésiliens, recrutés par Sacha. Ils sont dotés de mandrins longs de vingt-cinq centimètres et sept de diamètre, le summum.
Chacun est menotté à un chevalet, nu, avec un anneau de gland métallique, qui empêche toute éjaculation et un étireur de testicules, un parachute se fixe à la base des testicules en formant un cône en cuir qui emprisonne les testicules, ensuite il vous suffit de suspendre des poids à l’anneau placé sous les trois chaînettes et enfin, les testicules sont étirés en les séparant comme deux clémentines bien fermes : chaque testicule devient bien gonflé et beaucoup plus sensible. Le mandrin avec son anneau de gland, est lui-même pris en étau entre l’étireur et le bracelet de cuir autour de la base commune du mandrin et des testicules : le mandrin sensibilisé gonfle facilement et atteint rapidement des érections bien lourdes et bien épaisses.
Je caresse chacun des mandrins offerts.
- Hermine, libère-moi, me supplient Edouard et Nathan.
Je leur cravache les fesses.
- Tu vas me lécher l’œillet, comme la Gouine Vierge. Tu m’appelles Miss Désir, soumis.
- Jamais, Hermine, tu es trop sale, répliquent Ken et James.
Alexandre et Val déflorent leurs anus vierges de chacun. Ils gémissent et j’écarte bien mes fesses pour qu’ils me lèchent l’anus. Je me retiens de jouir, quand leurs langues lèchent ma chatte humide.
Je me venge aussi en les enculant avec un gode canin à picots et enfin, quatre dogues allemands les enculent enfin, à plusieurs reprises.
Je retrouve Natacha, en sueur.
- Miss Désir, s’il te plaît, le doberman peut-il se retirer ?
- Non, c’est lui qui décide de la fin de ton attache.
- J’ai l’œillet en feu, doublement inondée de son sperme chaud.
- Alors la Gouine Vierge, tu prends plaisir avec Lancelot, le plus gros sexe canin.
- Retire-le de mon anus, je ne suis pas sa chienne.
- Tu es sa chienne, comme j’ai été la chienne d’Hadès et de Lancelot, pour m’écarteler l’œillet.
Sans attendre, je m’offre à quatre pattes, le berger allemand Conan me baise et le dogue allemand Romulus m’encule simultanément jusqu’aux nœuds. Les orgasmes m’épuisent et je suis doublement inondée de leurs spermes chauds. Hadès et Lancelot éjaculent à leur tour.
Les deux soumises les sucent pour les récompenser, sous mes ordres.
Je met un bijou d’anus canin à Natacha que je libère, laissant Hadès et Lancelot enculer la Gouine Vierge.
Nous retrouvons Sacha dans son bureau.
- Très bien, Natacha est bien chaude, Iris. Epile-la intégralement et fais lui poser ses anneaux aux grandes lèvres. Vous tournerez des scènes lesbiennes SM dès aujourd’hui. Vous prenez une douche commune lesbienne.
Nue, sous la douche, je lave le corps de Natacha, qui se retiens de jouir, mais je jouis sous son doigté anal et de ma chatte trempée.
- Miss Désir, je t’aime.
- Natacha, tu restes désormais silencieuse, les yeux baissés. Les godes que tu vas porter vont t’écarteler davantage ton œillet, comme moi, jusqu’à sept centimètres.
Je pratique le même traitement aux mamelons et au clitoris de Natacha, pour lui faire poser ses anneaux. Le perceur encule ensuite Natacha, qui est autorisée à jouir.
Nous passons ensuite de longues heures d’ébats lesbiens SM, à nous goder mutuellement. Je choisis mes deux vibromasseurs soit réalistes soit canins de sept centimètres de diamètre. Natacha jouit à ma demande. Je la fais saillir, devant les caméras, je la cravache sur les fesses et les cuisses.
Le soir, menottée nue, dans sa chambre, mon ancienne chambre, je la masturbe, la nourrit, l’anus libre, après son lavement et je l’encule avec mon vibromasseur anal canin. Les amants canins l’enculent pendant la nuit jusqu’à l’aube. Elle apprend à sucer ses amants canins.
Quant à moi, je passe mes nuits avec Sacha ou César, ou deux autres partenaires, dans des doubles pénétrations jouissives, doublement inondée, souvent un de mes amants canins vient m’enculer, tandis que je baise avec un partenaire.

27 mars
A l’aube, j’émerge dans ma chambre de la villa, qui se trouve à trois heures d’hélicoptères de l’immeuble. La villa appartient au groupe BDSMP. Natacha dort à mes côtés, nue, l’anus dégoulinant des assauts canins nocturnes.
J’ai mes quatre soumis : Edouard, Nathan, Ken et James, que je fais éjaculer toutes les douze heures, sur mes fesses. Ma chatte et mon anus leur sont interdits. Mes amants canins les enculent vigoureusement, tandis que je me masturbe devant eux, les seins pelotés par Natacha, qui masturbe mon gros clitoris percé comme le sien.
Entre deux longueurs de piscine, avec mon bijou d’anus, avec Natacha, nous sommes enculées devant nos soumis par nos amants canins.
Les soumis sont fous d’excitation, avec leurs anneaux. Ils voudraient me prendre, mais non, les doigts de Natacha et sa langue me donnent du plaisir.
Ce matin, Natacha porte encore son vibromasseur anal canin de sept centimètres, avec sa ceinture de cuir et ses chaînettes, depuis le 23 mars.
Le Marquis atterrit à bord de son Dauphin médical. Le Marquis est un sexologue réputé, âgé du triple de mon âge, doté d’un imposant mandrin long de quarante centimètres et sept de diamètre.
Je me présente à lui, nue, en mules à hauts talons, fardée et parfumée, les yeux baissés, la bouche entrouverte, cuisses écartées.
- Voici, la sublime Hermine, alias pute Iris et Miss Désir, tu es très en beauté.
- Marquis, enculez-moi, je suis sous vos ordres. Je rêve de votre queue dans mon œillet de pute.
- Mettez-toi à quatre pattes, retire ton bijou d’anus.
A quatre pattes, sur une serviette, le Marquis m’enfonce un jusqu’à quatre doigts dans mon anus lubrifié par les saillies anales nocturnes et il masturbe longuement mon gros clitoris tendu.
Je le suce et il m’encule jusqu’aux testicules.
- Tu es bien assouplie, Hermine. J’aime les femmes doublement ouvertes.
Natacha nous rejoint.
- J’oublie. Voici, Natacha, elle finit son initiation anale. Elle est tout dévouée à vous.
- Toi d’abord, Hermine, tu es libre de jouir.
- Marquis, c’est jouissif, de me piner l’œillet. Je vais jouir.
Le Marquis éjacule simultanément et avec Natacha, nous nettoyons le Marquis.
Allongée sur le dos, sur la chaise longue, les cuisses complètement ouvertes, je m’offre au Marquis, ainsi que Natacha. Il saisit les lèvres de nos chattes, celles qui sont percées.
- Vous êtes toutes les deux percées. Hermine, ton anus a été forcé et bien distendu. Ton amie Natacha connaîtra le même sort.
Le Marquis retire le vibromasseur anal et encule Natacha d’un coup sec jusqu’aux testicules. Natacha gémit puis jouit. Son anus est forcé et bien distendu.
Gardant la pose, Romulus m’encule jusqu’au nœud. Puis je redresse les jambes, je les passe par-dessus le dos de Romulus, et je m'agrippe à lui, les mollets croisés sur ses reins, jusqu'à me coller étroitement sous lui, jusqu’à quatre orgasmes anaux devant le Marquis et Natacha.
- Allez, Hermine et Natacha, douchez-vous, fardées et parfumées, je vous conduis en mode drague.
Devant le Marquis, nous douchons nos corps en chaleur, faisons nos lavements.
L’anus propre, le Marquis m’encule un peu, avant de remettre mon bijou d’anus moulé sur le sexe de Lancelot.
Toutes les deux habillées d’une mini-robe blanche en dentelle transparente, s’arrêtant à quelques centimètres des fesses nues, avec une jupe éventail, qui se retrousse d'un geste, mais toujours à corselet montant jusque sous les seins nus, et portées avec un boléro fermé au cou. Il suffit d'enlever le boléro pour que les épaules et les seins soient nus, et sans même enlever le boléro, de l'ouvrir, si l'on désire voir les seins. Nous sommes des jeunes filles sages. Nous sommes chaussées de nos mules à hauts talons à nos pieds nus et coiffées de nos cheveux libres.
Au centre commercial, nous tenons la main du Marquis, on nous prend pour sa nièce pour moi et Natacha est ma sœur. Il nous tutoie et nous répondons par vous.
Dans une boutique de lingerie, avec Natacha, nous draguons un couple. Je m’occupe du mari, un bel étalon musclé, très bien monté, que je caresse devant sa femme, une blonde aux seins plantureux, qui regarde nos tenues. Nous exhibons nos seins nus, pour un essayage de soutien-gorge avec la vendeuse. J’exhibe mes fesses nues et mon bijou d‘anus.
- Chérie, tu devrais être les fesses nues plus souvent, comme…
- Hermine, je m’appelle Hermine, je suis la nièce du Marquis, César est mon amant et Damien est mon chéri. Encule-moi si tu veux, pendant ma chérie s’occupe de ta femme.
Dans une cabine d’essayage, le rideau ouvert, la vendeuse a fermé le magasin, penchée en avant, la jupe relevée, l’anus libre, je suis longuement enculée par le mari, un futur soumis. Je connais un violent orgasme anal, tandis que sa femme fait jouir Natacha, en lui léchant l’anus.
Nous suçons son mari. Je livre le couple au Marquis pour peaufiner son dressage. La vendeuse a rendez-vous aussi à la villa.
Après cette drague, je suis chaude. Ma chatte est trempée, mes mamelons et mon clitoris sont tendus à l’extrême, je jouis en jouant avec mon bijou d’anus en masturbant mon clitoris.
- Hermine, je vais te conduire dans mon hélicoptère dans un nouveau lieu pour ton éducation. Un jour, tu porteras des fers à ta chatte.
De retour à la villa, Natacha dresse mes soumis.
Je monte à bord de son Dauphin médical, allongée nue, sur une civière, sanglée, avec deux puissants vibromasseurs canins de sept centimètres de diamètre, maintenus par des chaînettes cadenassées et une ceinture en cuir, un bâillon O me force à garder la bouche ouverte. Le O de l’anneau O est assez large pour faire passer la queue du Maître ou tout ce qu’il voudra mettre dans ma bouche. Je suis humiliée, excitée et je me dépasse. Je porte aussi la bague sertie d’un petit anneau en permanence, faite sur mesure, à mon annulaire gauche, avec mes autres bagues.
Le vol dure trois heures. Je ne compte plus mes orgasmes, par les va-et-vient séparés et combinés.
Le Dauphin atterrit, après avoir descendu dans une vaste ouverture dans la roche, sur une plate-forme.
On descend la civière et je rejoins une grande pièce éclairée, entièrement recouverte de glaces et de miroirs sur les murs, sur le sol et au plafond. Je suis debout, pieds nus, sur le tapis, les yeux baissés, la bouche bâillonnée, avec mes vibromasseurs à l’arrêt. Ma chatte dégouline.
- Voici, Hermine, connue sous pute Iris et Miss Désir, sa soumission et son goût pour le dressage de soumis, sont excellents. Elle est une grande adepte de la cravache, de la garcette et de la sodomie par un Maître et un chien jusqu’au nœud, jusqu’au dogue allemand, d’où son œillet assoupli par ses multiples saillies canines, dit un des hommes nus, cagoulés, bottés, qui me toise.
Je suis menottée par mes carcans en cuir, à mes poignets dans le crochet, fixé à un lustre. Je me retrouve les bras tendus au-dessus de la tête, à peine fléchis, les cuisses écartées, une barre d’écartement est fixée aux carcans de cuir à mes chevilles. Je ne peux resserrer mes cuisses. Je suis sur la pointe des pieds nus sur le tapis, sans ma ceinture de cuir ni les chaînettes. Les yeux baissés, la bouche entrouverte, je suis fouettée à la garcette, par un des hommes, cagoulé, comme les autres, ganté. Je mouille de plaisir, humiliée, exposée, exhibée à ces inconnus. Tous le remarquent.
- Elle mouille, c’est bon signe. Elle aime ça, être dressée. Préparez le gode Arès et le gode Vulcain.
Une caméra sur pied filme chacun de mes mouvements. Chancelante, un des quatre, séduit par ma croupe offerte, en écarte les deux parts qui brûlent sous ses mains et m’encule sans éjaculer, tandis que les poids de cinq kilos tirent sur mes mamelons tendus et les grandes lèvres de ma chatte humide.
Il garde mes fesses bien écartées et m’enfonce le gode Arès, similaire au sexe de Lancelot. Je jouis, totalement détendue.
Pour recevoir Vulcain, qui mesure quarante-huit centimètres et huit de diamètre, je dois m’ouvrir davantage et je gémis un peu.
Je le reçois jusqu’à la garde et on le fait aller et venir, avec un va-et-vient automatique. Mes gémissements deviennent des râles de plaisir. Je reçois sur mes fesses et mes cuisses, des coups de chicotte, pour m’exciter. C'est un engin fait en deux parties, d'une part un manche en bois verni et de l'autre une tresse en cuir noir, reliés ensemble par une boucle qui forme charnière, de telle sorte que, quand on l'utilise avec habilité, le coup de poignet sur le manche donne encore plus de vitesse à la tresse en cuir.
L’anus bien rougi complètement distendu et boursouflé est rempli par les mandrins des quatre hommes, je connais quatre orgasmes anaux violents et chacun éjacule en moi.
A moitié évanouie, je suis prise sous les bras et aux jarrets, me soulève et m'emporte.
J’émerge dans une luxueuse chambre, menottée à mon lit, mes bracelets sont glissés l'un dans l'autre les anneaux des bracelets, puis ces deux-là dans celui du collier. Je me trouve les mains jointes à la hauteur du cou, une chaîne me relie par un anneau de mon collier à un crochet au-dessus du lit. Je suis immobilisée. Des glaces et mes miroirs m’entourent, avec une lumière artificielle. J’éprouve le besoin de me caresser. Je mouille sans le pouvoir.
Rapidement, je suis enculée à plusieurs reprises par les hommes cagoulés, on m’encule avec Arès et Vulcain, pour que je m’habitue.
Je suis douchée, avec une canule enfoncée dans mon anus, pour que je sois propre. On me nourrit.
Ma docilité est éprouvée pendant huit jours.
Chaque sodomie par Vulcain me continue vers de nouveaux plaisirs.
Je visionne des films où des soumises se font saillir par des dogues allemands et de superbes chevaux. Je suis surprise et subjuguée par les dimensions du sexe équin. Jamais mon anus ne pourra recevoir un tel sexe en érection.
Je me promène avec le gode Vulcain pendant huit heures par jour, partiellement enfoncé dans mon anus, maintenu par des chaînettes à une ceinture de cuir.

5 avril
Vers 9 heures, je suis réveillée, encore enchaînée à mon lit, l’anus dégoulinant du sperme de mes Maîtres, rempli par le gode Vulcain, enfoncé au tiers de sa longueur.
Le Marquis me rejoint.
Il libère mes poignets de mon collier, me retire la chaîne, me retire délicatement le gode, exhibant mon anus bien rougi complètement distendu et boursouflé.
- Tu es bien ouverte avec ce gode. Tu aimes le sexe équin, après les sexes canins, ma belle Hermine.
J’hoche la tête, les yeux baissés.
Je dois marcher grotesquement à petits pas, les jambes très écartées, pour me doucher, devant lui.
Je me farde, me parfume.
- Prosterne-toi, je vais t’enculer.
Le gros mandrin du Marquis me remplit jusqu’aux testicules. Je me retiens de jouir. Il se retire, me met mon bijou d’anus.
Le Marquis examine mes reins et mes fesses. Il passa les doigts sur les nombreuses traces du fouet, plus ou moins estompées selon leur ancienneté, sur les marques des carcans.
Je revêts une mini-robe à corselet seins nus, mettant en valeur mes pinces individuelles à mes mamelons, munies de clochettes légères et j’en porte aussi aux grandes lèvres de ma chatte humide, mes fesses nues sont bien visibles, car la jupe les couvre à peine.
Je chausse mes mules à hauts talons.
Nous prenons le Dauphin VIP de Sacha, qui m’attends.
Je passe le vol, les seins pelotés, le clitoris masturbé et je me retiens de jouir, assise cul nu, la jupe relevée, les cuisses écartées.
Après trois heures de vol, vers la forêt, j’aperçois une île isolée et fortifiée.
- C’est ta nouvelle résidence, le Manoir des Plaisirs, dont tu es l’invitée. Il y a tes quatre soumis, Natacha, Bisexuelle, Gouine et de nouveaux amants pour ton plaisir anal. Tu vas garder tes carcans de cuir. Tu seras ferrée prochainement comme tes amies.
Une fois posée sur l’héliport, je suis tenue en laisse par le Marquis. Je suis excitée et surprise de ce que me réserve le Marquis.
Je découvre une grande écurie. Les vingt étalons étaient divisés en deux rangées, une sur chaque mur. Là encore un dispositif spécial est disposé sous leur ventre et une jeune femme, courbée en deux et entravées chevilles et poignets, est enculée par le sexe équin puis le sexe est masturbé jusqu'à l'éjaculation. Pendant la phase de sodomie forcée, les palefreniers en profitent pour baiser les bouches des jeunes femmes, maintenues ouvertes par des écarteurs buccaux et ils y déversent généralement leur semence.
Je découvre mes six amies, enculées, les autres soumises me sont inconnues. Il reste un chevalet de libre. Je suis menottée nue, après avoir sucé Vulcain, un superbe pur-sang arabe. Sans un mot,  je suce son énorme sexe, les mains jointes à mon cou. Sa bite a immédiatement gonflé. Elle s’est allongée  et est devenue très grosse et dure. Elle faisait au moins quatre-vingt centimètres. Je passe ma langue sur un étonnant petit tuyau qui était en plein centre de son gland dilaté. Ma langue passe et repassait sur cette chose.
Une fois le sexe en érection, le Marquis m’écarte bien les fesses brûlantes par les coups de cravache. Le bijou d’anus retiré, offre mon anus bien ouvert.
Mon anus résiste interminablement. Je grimace de douleur en voulant forcer le passage. Je pousse des cris déchirant tandis que des larmes de souffrances coulent sur mon visage.
- Il est un peu gros pour ton œillet, une fois en place, tu vas aimé, ma belle, me susurre le Marquis.
Mon passage anal cède. Le palefrenier m’enfonce en douceur plus de vingt-cinq centimètres de sexe équin dans mon anus. L’anus écartelé, je gémis un peu, tout en suçant les autres hommes très bien montés.
- Vingt centimètres pour une première saillie anale équine, c’est un bon début.
Le gland et toute sa longueur de bite de Vulcain gonfle encore.
Mon anus d'Ophélie est bien écartelé et je coulisse alors, pour mon premier orgasme anal avec Vulcain sur plus trente centimètres du braquemart sur lequel je coulisse.
La vague de plaisir m’irradie, je suce avec vigueur.
Soudainement, hennissant comme un sauvage Vulcain inonde mon anus. Le liquide épais jaillit de  mon anus, dégouline le long de mes jambes jusqu’aux mollets.
Quand on retire le sexe de Vulcain, mon anus est rougi complètement distendu et ce qui libère un flot de sperme.
- Alizé, mon cheval de selle Français, va te remplir la chatte et t’enculer ensuite et enfin, Zéphyr, mon trotteur Français va t’enculer pour ta première journée.
Même baisée par Alizé, dans ma chatte, j’explose en un violent orgasme, après quelques va-et-vient. Ma bouche dégouline du surplus de sperme de Vulcain que j’ai nettoyé.
Pantelante, après ces quatre saillies équines, je suis comblée par ces nouveaux amants.
Je suis sauvagement enculée, menottée et fouettée, par les palefreniers entre deux nouvelles saillies.
Mes soumis se font enculés par de nombreux chiens du chenil. Bien sûr, les dogues allemands m’enculent aussi et me font jouir.
Je suis nourrie, menottée.
Toutes les quatre heures, je suis saillie, avec un nouveau pur-sang, cheval de selle et trotteur. Ma douleur anale devient une voie de plaisir.

4 mai
Vers dix heures, je suis menottée, nue, pieds nus, sur la pointe des pieds, suspendue à un crochet, avec une barre d’écartement, les bras tendus, en compagnie de mes six soumises et de mes quatre soumis. Je porte un bâillon-pénis, pour être marquée au fer rouges sur les fesses rouges et sur l’intérieur de ma cuisse gauche.
Ma chatte a été soigneusement rasée, ne laissant que mon triangle pubien velu, à la demande du Marquis. Mes anneaux dorés de mes grandes lèvres de ma chatte humide sont remplacés par mes fers : Ce sont des anneaux de fer mat inoxydable, comme le fer de la bague doublée d'or. La tige en est ronde, épaisse comme un gros crayon de couleur, et ils étaient oblongs : les maillons des grosses chaînes sont semblables. Chacun est formé de deux U qui s'emboîtent l'un dans l'autre. Le ressort intérieur sur lequel on doit forcer pour le faire pénétrer dans la rainure où il se bloque. Une fois posé, il est impossible de l'ôter. Chaque anneau est long comme deux phalanges du petit doigt, qu'on y pouvait glisser. A chacun est suspendu, comme un nouveau maillon, ou comme au support d'une boucle d'oreille un anneau qui doit être dans le même plan que l'oreille et la prolonger, un disque de même métal aussi large que l'anneau est long. Sur une des faces, Pute Iris niellée d'or, sur l'autre, Hermine, le Marquis, Sacha, et au-dessous, un fouet et une cravache entrecroisés. Mon anus s’ouvre sur commande pour mes saillies anales intenses, voir des doubles anales par des hommes.
Je porte un fer pour chacune de mes grandes lèvres.
Nous sommes marquées simultanément au fer rouge. Je porte les lettres : S sur ma fesse gauche et V sur ma fesse droite et le fouet et la cravache entrecroisés dans l’intérieur de ma cuisse gauche, comme promis.
Je perds connaissance, mais la sodomie par Vulcain me fait émerger, jusqu’à son éjaculation. Je suis fière de mon nouveau corps de soumise, ferrée et marquée, bien dressée comme me complimente le Marquis.
Quelques jours après, je suis enceinte du Marquis, vivant dans ma luxueuse villa étroitement surveillée, avec des dogues allemands pour me saillir, mes soumis et Prisca et Astrid, mes deux soumises. Je continue mes saillies, nue dans ma villa.

Je donne naissance à un fils, dans une clinique privée du Marquis. Je reprends mes saillies. Le Marquis m’autorise à me masturber et à jouir, baisée par mes amants canins jusqu’au nœud.

Mes chéris, retrouvez-moi, appelez-moi Hermine ou Iris, selon vos envies, à l’université.

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