Je m’appelle Hermine.
J’ai 20 ans.
Je suis une jolie beauté scandinave.
Je suis une
brune aux yeux verts. J’ai des pieds fins et latins, des jambes longues
bronzées, musclées qui inquiètent par leur perfection. Mon pénil est bombé,
ouvert, couronné de noir. Ma pilosité brune couvre mon pubis. Je suis
totalement velue entre les cuisses et j’ai une superbe croupe. Les lèvres de
mon sexe sont une plaie rouge entre mon entrecuisse velue. Mes hanches
s'incurvent et délimitent le ventre plat, délicieusement renflé autour du
nombril, les hanches sont larges et rondes, mais sans lourdeur. La taille est
affinée. Les seins parfaits intégralement bronzés sont un peu volumineux mais
fermes, et leurs pointes marron clair, toujours dressées, cernées par une large
aréole marron attirent le regard. J’ai une peau lisse et patine. Finition
parfaite, un seul grain de beauté entre mes superbes seins. De longs cheveux
plats blonds flottant comme des algues, battent mes épaules rondes et
gracieusement athlétiques. Je suis intégralement bronzée. Mes yeux verts
limpides s'allument, ma bouche charnue se fend. J’ai des sourcils bruns bien
dessinés et des lèvres pulpeuses. J’ai de longs doigts fins et de belles mains.
Je fais du 85B de poitrine, 56 de taille, 90 de hanches, 1,72 m.
LES
AVENTURES LESBIENNES D’HERMINE
Je suis
étudiante dans une grande université. J’ai passé ma première année, avec ma
colocataire Prisca, une jolie blonde aux yeux verts, aux petits seins comme
moi, mais à la chatte intégralement épilée, à étudier la littérature et
l’histoire des peuples Scandinaves.
20 mars
A
l’appartement dans la résidence universitaire que nous occupons, nous émergeons
de nos nuits d’amours lesbiens intenses. Ma chatte est tellement trempée par
les doigtés experts de Prisca, je lui rends la pareille. On nous prend pour des
sœurs ou des jumelles.
Nous
déjeunons nues et prenons notre douche commune, pour caresser nos corps vers
des râles de plaisir.
Je choisis
des dessous sexy transparents en dentelle blanche avec soutien-gorge, slip et
porte-jarretelles et bas assortis, sous un chemisier fuchsia et une jupe
s’arrêtant sous le genou, avec des escarpins à petits talons et je me maquille,
coiffée de ma queue-de-cheval d’adolescente, qui fait détourner les regardes
masculins, qui fantasment sur moi. Désolé, je suis lesbienne, aucun sexe
masculin ne plongera dans mon superbe écrin velu.
A la pause
de midi, je suis intriguée à chaque fois que Prisca a une touche masculine. Je
suis aussi attirée par le superbe Apollon musclé, pour moi, sa muse poupée de
soie et d’acier, mais sans lui faire l’amour, le regarder, l’admirer. J’en
mouille d’avance.
- Hermine,
voici Xavier, qui travaille dans la photo de charme. Il recherche des modèles
pour des photos dans une villa. Il fait un bon prix, pour compléter nos fins de
mois.
- Bonjour,
Xavier, je m’appelle Hermine. Mais désolé, tu es mon type d’homme, mais je ne
couche pas le premier soir.
- Hermine
est une authentique lesbienne, qui aime se faire doigter la grotte, mais des
fois, avec un gode.
- Je n’ai
pas de préjugés. Hermine, je te prends. Une limousine nous attends pour la
villa. La séance a lieu cet après-midi.
Nous montons
dans la limousine. Xavier ouvre mon chemisier, sans attendre, caresse mes seins
avec la dentelle du soutien-gorge. Je mouille.
- Tu me
plais autant que Prisca, Hermine. Sacha aime les jeunes beautés comme vous. Il
faut que vous collaborez pour le meilleur rendu des photos de nu intégral.
Après deux
heures de trajet, nous franchissons un portail d’une villa, sur les hauteurs de
la ville, gardée par des maîtres-chiens accompagnés de bergers allemands et de
dobermans.
Une
séduisante blonde aux seins plantureux, en robe bustier, assez courte, blanche,
nous accueille.
- Voici, les
deux nouvelles putes pour Sacha. Elles sont très belles. Hermine est une
lesbienne et elle partage sa colocation avec Prisca. Prisca est portée sur le
sexe.
- Hermine,
la lesbienne, tu vas te déshabiller, pour que je vois tes atouts de séduction.
J’obéis,
devant Pénélope.
- Tu me mets
tes dessous et ta tenue dans cette valise. Tu es velue naturellement. Tu me
plais. Xavier, tu t’occupes d’elle. Elle va d’abord te sucer, puis on s’occupe
de sa grotte et de son œillet. Si tu es vierge, on le saura rapidement.
Accroupie,
je dois avaler le mandrin de Xavier, long de vingt-cinq centimètres et six de
diamètre. Je fais de mon mieux, une première pour moi. Prisca m’a déjà montré
des vidéos de fellation.
- Tu sais y
faire, Iris. Iris sera ton nom de pute. Mets-toi à quatre pattes, le
photographe et la caméra te filment pour Sacha.
J’obéis. Un
autre étalon musclé, entre, plus grand que Xavier, noir et chauve.
- César,
voici ta pute Iris, tu lui donnes du plaisir et tu fais signe si elle est
vierge.
César est
doté d’un imposant mandrin de trente centimètres et sept de diamètre.
Il me baise
d’une seule traite, me déflorant ainsi jusqu’au fond de ma chatte trempée, en
me faisant coulisser sur son mandrin. Je gémis un peu, mais les caresses de mon
clitoris tendu et sensible, me font jouir.
- Tu prends
ton pied, Iris. Ca y est, l’accès est libre.
- Très bien,
occupe-toi de son œillet, c’est une formalité pour une allumeuse comme elle.
Il m’encule
d’une seule traite. Je gémis, l’anus écartelé. Il me fesse magistralement et
cela me détends et m’excite.
- Vierge
anale, devenue pute anale, tu comprends très vite. Ta copine Prisca se fait
prendre en double pénétration. Tu vas y goûter, Iris.
Il éjacule
dans mon anus et je dois le nettoyer. Un troisième partenaire m’encule ainsi,
jusqu’à un sixième, décuplant mes orgasmes anaux, inconnus pour moi.
- Six
étalons, c’est bien pour une novice. Sacha va être satisfait de sa pute Iris.
Un bijou d’anus va te soulager pour les prochaines sodomies de la journée.
Les fesses
écartées et brûlantes par les fessées magistrales, je reçois l’objet froid dans
mon anus partiellement dilaté. Il mesure neuf centimètres de long et quatre de
diamètre pour 135 grammes. Je ne peux l’expulser, provoquant une excitation
anale.
- Va te
reposer, allongée, nue, sur ton lit, après une douche rapide à l’eau froide.
Finis les dessous de pute, tu es constante fesses, jambes et seins nus sous tes
tenues de pute. Tu as compris, Iris, baisse les yeux, la bouche entrouverte,
devant les hommes qui te prennent ou te parlent.
En vérité,
la chambre cache derrière des miroirs et des glaces au plafond, de discrètes
caméras et appareils photographiques. Je suis exhibée.
En guise de
repos, je suis baisée, tout en gardant mon bijou d’anus, je dois sucer et
avaler tout, sans refuser l’acte sexuel.
J’éprouve du
plaisir, prise en double pénétration, la chatte resserrée par le bijou d’anus.
En milieu
d’après-midi, pantelante, la chatte et la bouche dégoulinante de spermes, je
suis invitée à me prosterner, les yeux bandés, cuisses écartées. On me met des
carcans de cuir à mon cou, mes poignets et mes chevilles. Je suis menottée au
lit, l’anus libre. Toute résistance est vaine.
Les carcans
sont faits en plusieurs épaisseurs de cuir, chaque épaisseur assez mince, au
total pas plus d'un doigt, verrouillés par un système à déclic, qui fonctionne
automatiquement comme un cadenas quand on le referme, et ne peut s'ouvrir
qu'avec une petite clé. Dans la partie opposée à la fermeture des bracelets,
pris dans le milieu des épaisseurs de cuir, et n'ayant presque pas de jeu, il y
a un anneau de métal, qui donne une prise pour fixer, et qu'on positionne du
côté intérieur du poignet. Pour le collier, l'anneau pend devant le cou,
reposant sur la saillie des clavicules, et brinquebale au rythme des mouvements
de celui qui le porte.
Soudain,
dans un grand silence, je sens un mystérieux sexe m’enculer. Le fourreau s’est
retiré en arrière, libérant le pénis en érection, qui sort et grossit en dehors
du fourreau. Le pénis d'un chien est pointu à l'extrémité et s'élargit au bout
de deux ou trois centimètres. C’est un sexe de dix-sept centimètres et cinq de
diamètre, soit moins que César.
Le pénis
éjacule immédiatement continuellement. Mais après quelque minutes, quand le
chien atteint son vrai orgasme, alors la base de son pénis va se gonfler. Il
applique une constante pression pour s'assurer que le bulbe du pénis est bien
dans vous. Pendant ces quelques secondes, le bulbe va grossir plus encore dans
mon anus de telle manière qu'il ne sera plus possible de l'extraire avant la
fin du rapport. A partir de là, le chien va éjaculer intensivement au coeur de
vous. Le rôle du bulbe est donc de me nouer à lui pendant un bon moment. Son
bulbe grossit beaucoup plus encore et soudainement il s'arrête avec tout son
sexe dans mon anus. En même temps, vous sentirez gicler au fond de votre ventre
du sperme chaud, son pénis compte les pulsations. La quantité de sperme
augmente à chaque giclée, et son apparence d'eau. Quelques secondes plus tard
son pénis a atteint une telle taille que la base du pénis atteindra trois fois
le diamètre de l'érection. Pendant la dernière période de l'attache par le
bulbe, je sens le pénis devenir plus petit, et je sens que ses giclés ne sont
pas aussi puissantes qu'auparavant. Je connais quatre orgasmes anaux violents
sous ses coups de reins.
Le sexe se
retire et je suis enculée par des sexes humains et je suce le nouveau sexe qui
m’a enculée, sans voir son auteur.
Je
m’effondre, allongée sur le ventre, cuisses maintenues écartées, l’anus
dégoulinant de spermes chauds.
Un bruit
d’hélicoptère m’interroge.
- Tiens,
voici Sacha, avec Alban le comptable et Charles Edouard, le Marquis, qui
viennent voir les nouvelles putes recrutées.
Je reste
menottée sur le lit, les yeux bandés.
J’entends
des voix masculines parlées avec Pénélope.
- Sa copine
Bisexuelle Désir XXX (mon amie Prisca) s’est fait prendre en six double
pénétrations et à sucer presque autant de partenaires que la nouvelle Iris.
Iris est une authentique lesbienne, mais qui s’est fait rapidement déflorée de
la chatte et de l’œillet, sans aucune résistance, fessée. Elle semble aimer les
fessées, c’est un bon point pour les jeux SM. Son œillet est encore entrouvert,
Adam vient de la saillir, elle a pris son pied.
- A nous
trois, nous allons l’enculer, dit Sacha. Laissez-la menottée, soumise. Elle va
signer son contrat après six doubles pénétrations avec mes meilleurs acteurs
très bien montés. Il lui faut du sept pour l’assouplir. Les enchères de ses
déflorations sont montées à 3.000, mais elle vaut davantage, avec sa toison
pubienne et sa chatte velue, des clients aiment ce style de beauté. Sa copine
en vaut le double, mais les autres scènes du film montreront ses capacités.
Sacha
m’encule avec son gros mandrin de sept centimètres, d’une seule traite. Je
jouis et je le fais éjaculer rapidement dans mon anus bien lubrifié.
- Eh, ma
belle Iris, tu te retiens de jouir, tant qu’on t’a pas autorisée. D’accord, tu
te montres docile.
Alban
m’encule avec un mandrin long de quarante centimètres et cinq de diamètre et
j’éprouve le même plaisir et il éjacule un peu plus tard qu’avec Sacha.
- Tu es
sacrée pute, pour prendre ton pied, ton œillet est tellement sensible, me
susurre Alban, lorsque je le suce et j’avale tout.
Pour Charles
Edouard, doté d’un mandrin long de trente-cinq centimètres et huit de diamètre,
la sodomie profonde est douloureuse. Je gémis, ce qui me vaut quelques coups de
cravache sur les fesses et je ne jouis qu’après plusieurs va-et-vient.
- Son œillet
doit être encore être élargi, le gode Fleur de Rose lui sera inséré dès la fin
des six doubles pénétrations. Le modèle L à picots, pour qu’elle puisse jouir
en solitaire. Détachez-la, que l’on tourne les six scènes de doubles
pénétrations. Elle est suffisamment lubrifiée de la chatte et de l’œillet.
Libre, le
bandeau enlevé, les yeux baissés, la bouche entrouverte comme requis par
Pénélope, je rejoins la piscine, toujours nue, pieds nus, où m’attendent douze
étalons dotés de mandrins entre six et sept centimètres de diamètre, que je
dois sucer d’abord.
Une fois
prête, devant le trio masculin, Pénélope et Prisca, je me fais prendre en
double pénétration.
Je m’empale
sur le mandrin de l’homme qui me baise, qui est couché sur le dos. Le second
m’encule simultanément, en appui sur ses jambes. Je jouis sur commande, filmée
et photographiée.
Je répète la
scène avec deux autres partenaires.
Puis, je
m’empale, dos à celui qui m’encule, qui est allongé sur le dos. J’ouvre bien
mes jambes pour recevoir celui qui me baise, suçant mes deux partenaires de la
scène précédente.
Je
renouvelle la scène, ma chatte et mon anus dégoulinent du surplus de spermes.
Enfin, deux
étalons musclés, me prennent. Le premier me prend ses bras, je l'entoure avec
mes jambes et m’empale baisée, tandis que le second m’encule, me soutenant par
derrière également une partie de mon poids. J’explose dans de violents
orgasmes.
Pantelante,
je nettoie mes douze étalons. Je signe mon contrat sous le pseudonyme Iris.
A quatre
pattes, sur le bord de la piscine, je reçois le gode Fleur de rose, taille L,
avec des picots sur le dessus. Un des étalons m’écarte mes fesses brûlantes par
les fessées magistrales que j’ai reçu.
Le gode est
moulé sur un vrai mandrin humain, réaliste, long de vingt-cinq centimètres et
quatre de diamètre, mais les picots l’amènent à cinq centimètres. Les picots
m’arrachent l’anus sensible. Trois chaînettes sont laissées pendantes à la
base. Sacha m’enfonce le gode jusqu’à la base. Sa forme en sapin, la section
qui relie les deux extrémités est très fine et douce afin de laisser l’anus se
refermer dessus sans gêne et la tige de la taille de l’auriculaire sert de
support lorsque le sphincter se referme. Je gémis.
Je me
relève, on m’attache une étroite ceinture autour de ma taille, et l'on y
accroche les trois chaînettes, une par derrière qui suit le sillon des fesses,
et les deux autres par-devant, qui longeaient le pli des aines en contournant
le triangle pubien.
- Les
chaînettes sont ajustées au plus court, pour que ton œillet soit forcé et
distendu au diamètre désiré jusqu’à sept centimètres, avec d’autres modèles,
les picots rajoutent un centimètre en plus. Les chaînettes sont cadenassées
pour éviter tout soulagement de ce gode anal. En plus, il y a une surprise pour
toi, avec. Tu vas le porter en moyenne huit heures, sans aucune sodomie
possible, juste le gode anal.
Je ressens
immédiatement un va et vient automatique dans mon anus, avec l’étirement de son
enveloppe et sa contraction, simulant les montées et descentes du gode et des
vibrations qui s’arrêtent et qui recommencent, par à-coups et aux vibrations à
intensité progressive.
- Ainsi, tu
subis la sodomie d’un étalon inépuisable, ma belle Iris. Mais interdiction de
te masturber, ma belle, tu ne touches pas à ton clitoris, ni ta chatte et ni
tes seins, pendant le port du gode anal, m’annonce Sacha. Célia Vicieuse, va
t’apprendre à te maquiller comme une pute et te mettre une crème sur tes
mamelons et ton clitoris, pour les rendre plus sensibles, saillants. Une fois,
qu’ils sont constamment tendus vingt-quatre heures sur vingt-quatre, on perce
ton gros clitoris comme une cerise et volumineux, pour la pose d’un anneau doré
avec une pierre précieuse, comme Célia Vicieuse. Tes mamelons sont gros, longs
et saillants, raviront tes admirateurs. Tu es reste naturelle et velue, pour
mes clients spéciaux.
Célia me
farde la bouche avec un rouge clair, un peu liquide, qu'elle applique au
pinceau, et qui fonce en séchant. Elle pince et étire mes mamelons jusqu’à
leurs durcissements, avec ses doigts enduits de la crème et en fait de même à
mon clitoris pour le faire ériger au maximum. Je mouille et je me retiens de
jouir. Célia peint du même rouge l'aréole et les mamelons, finit avec un glaçon
pour fixer les couleurs sur mes mamelons et frotte le glaçon sur mon clitoris
érigé et les petites lèvres entre mes cuisses, en soulignant la fente du giron.
Elle enduit mon corps d’une huile parfumée, provoquant une excitation sexuelle.
L’air frais sur mes mamelons et mon clitoris, complètement tendus, très durs,
devenus hyper sensibles, provoque leurs excitations. Le glaçon fond dans ma
chatte humide. Je ressens un nouvel orgasme anal par le gode Fleur de Rose.
Je revêts un
corset seins nus, durement baleiné, long et rigide, et comporte des goussets où
reposent les seins. A mesure qu'on serre, les seins remontent, s'appuient
par-dessous sur le gousset, et offrent davantage leurs mamelons tendus. En même
temps, la taille s'étrangle, ce qui fait saillir le ventre et cambrer
profondément les fesses, me donnant des hanches de courtisane, mon corps moulé,
en épousant et mettant en valeur mes formes.
Une minijupe
ras des fesses transparente, ouverte devant, dévoilant mon pubis et mes
chaînettes, sur mes fesses et mes jambes nues, complète ma tenue de pute. Je
glisse mes pieds nus dans des mules avec une bande sur le cou-de-pied à talons
de dix centimètres, pour accentuer ma silhouette plus élancée, mes chevilles et mes mollets sont tendus, ce qui
fait des jambes superbes, je dois redresser le buste et creuser les reins, pour
marcher. Je garde mes carcans de cuir.
- Viens,
Iris, je te conduis aux studios dans le Dauphin, pour des scènes
complémentaires. Interdiction de te masturber, tu t’assois cul nu sur la
banquette, cuisses écartées, pour que je puisse te caresser.
Après une
heure de vol, longuement caressée et embrassée sur la bouche, ne comptant plus
mes orgasmes anaux, déclenchés par le gode, le Dauphin atterrit sur le toit
d’un luxueux immeuble dans un quartier d’affaire isolé et sécurisé. Sacha m’a
menotté les mains dans le dos.
On m’aide à
descendre. La fin d’après-midi approche et j’ai faim.
Nous
descendons un escalier en marbre, sur lequel mes mules claquent, jusqu’au
vingt-troisième et dernier étage.
Je découvre
ma chambre, entièrement recouverte de glaces et de miroirs, cachant de
discrètes caméras et appareils photographiques, pour immortaliser mon séjour.
La chambre
possède une vue sur le quartier d’affaires, avec des fenêtres blindées et
scellées, la climatisation provoque de nouvelles excitations à mes mamelons et
à mon clitoris. Je me déshabille et me douche devant lui, mais c’est Sacha qui
passe la grosse éponge sur mon corps. Je dois me retenir de jouir. Le
maquillage reste en place.
Une fois
propre et séchée, il brosse soigneusement mes poils pubiens et me libère
quelques instants du gode Fleur de Rose.
- Je vais
t’enculer un peu, avant ta scène de plaisir anal, dans la salle des plaisirs
SM.
- Penche-toi
en avant, cuisses écartées, debout.
Sacha
m’encule d’une seule traite, je connais un nouvel orgasme anal que je tente de
retarder.
Il se met à
genoux et moi, aussi, toujours enculée, touchant son buste.
Il masturbe
mes lèvres humides et mon gros clitoris volumineux et saillant, tout en
pelotant mes seins aux mamelons durcis. Un étalon africain bien monté, de sept
centimètres, me baise simultanément.
- Elle te
plaît, la chatte d’Iris, Horace. Elle n’a pas beaucoup baisée, mais elle aime
qu’on l’encule, comme une pute. Réponds, Iris. Tu m’appelles Maître.
- Oui,
Maître, je suis une ancienne lesbienne, qui est ta pute et à tous les hommes
que je vais accueillir dans mon œillet de pute.
- Jouis,
maintenant, tu seras doublement inondée.
Cette double
inondation provoque un violent double orgasme.
Après cette
préparation, l’anus rempli par un bijou d’anus, froid, de cinq de diamètre, je
me rends nue et en mules, tenue en laisse par mon collier par Horace, jusqu'au
vingtième étage par un escalier de marbre, les yeux baissés et la bouche
entrouverte.
Je suis
installée seule, nue, menottée à un chevalet. Je suis solidement immobilisée
dans cette posture dégradante, le postérieur plus haut que la tête. Mes bras
sont fixés le long des pieds avants, mes jambes le long des pieds arrières, et
une large sangle m'est passée au niveau de la taille. Mes cuisses, légèrement
fléchies sont empêchées de se resserrer par la largeur de la poutre, ainsi
d'ailleurs mes fesses que je me peut refermer. Toute mon intimité est ainsi
très accessible.
Une main en
flèche rentre dans mon oeillet, mais la base de la main est bien plus large.
Détendue, je reçois dans mon anus relâché, et la main pénétrer en moi assez
rapidement jusqu'au poignet ! C'est une sensation de surprise assez dingue ! Je
me sens complètement remplie !
La main
retirée, je reçois une boule anale du crochet dans mon anus. Ayant jouis avec
l’accord de mon Maître, il me retire le crochet du cul, celui-ci est bien
dilaté. Puis je reçois une carotte, un concombre, une courgette et une banane,
pour me faire jouir. Je suis nourrie des légumes et de la banane dans une soupe
que je dois boire et je dois faire pipi dans un seau entre les pieds arrières.
Je suis
cravachée et fouettée à la garcette entre chaque épreuve, sur les fesses et les
cuisses. La garcette, de cordes assez
fines, faite de sept lanières terminées chacune par plusieurs nœuds, et qui
sont toutes raides, trempées dans l'eau.
Mes mamelons
durcis sont pincés par de lourdes pinces avec des poids, qui provoquent une
excitation, ainsi que les petites lèvres de ma chatte humide. Je dois porter
des poids de cent grammes, sous forme de clochettes, qui tintent à chacun de
mes mouvements.
Je suis
saillie, enculée par des bergers allemands, Balzac et Arès, avec une plus
grande facilité, l‘anus bien préparé. Je connais encore des orgasmes anaux sous
leurs longues éjaculations entre une bonne demi-heure à trois quart d’heure par
saillie.
Mes seins
restent tombés sous le poids des pinces ensuite le sang cesse de circuler, les
mamelons deviennent froids et là je ne sens plus rien.
Profitant de
ma position, de mon clitoris gros comme une cerise, est percé et je reçois un
anneau doré serti d’une pierre précieuse, qui étire mon clitoris. Mes grandes
lèvres humides reçoivent des anneaux dorés qui se cachent dans les poils de ma
chatte et enfin, je suis marquée au fer rouge, sur l’épaule gauche, d’un lys,
pour me faire reconnaître par mes admirateurs.
Quand
j’émerge, je suis dans ma chambre, avec toujours mes carcans de cuir, attachée
en croix sur le lit, bras et jambes écartés, une barre d’écartement m’empêche à
mes cuisses de se refermer, je porte aussi le gode Fleur de Rose, en mode
vibration par intensité progressive. Mon bassin ondule sur le gode. Une chaîne
fixée à mon collier m’empêche de me lever du lit. Je ne porte plus mes
clochettes.
Il fait nuit
dehors. Il n’y a aucun rideau ni volet, pour m’exhiber aux voyeurs. Je suis
constamment filmée.
- La belle
pute Iris a fait un carton avec les nouvelles scènes. Tu es encore un peu serré
de l’œillet, mais cela va s’améliorer jour après jour, avec tes amants canins
et tes partenaires, annonce Sacha. Tu viens de franchir le cap des 5.000. Ta
docilité sera récompensée.
- Maître,
j’ai faim et je veux être enculée à nouveau dès que possible.
- Ma pute
Iris, tu dois te montrer patiente, respectueuse, gentille et souriante, quand
tu me parles.
- Tu vas
boire ta soupe et Adam va t’enculer pendant la nuit. La porte de ta chambre
sera fermée par une carte sécurisée. Ainsi, Adam t’encule selon ses envies. Tu
es toute propre, douchée, l’anus propre.
Sacha me
fait boire mon litre de soupe. J’ai une envie permanente d'aller à la selle,
j’éprouve des difficultés pour uriner par compression.
Il me retire
le gode, me glisse un coussin sous les fesses, pour un meilleur accès.
Adam entre,
excité de me revoir, le sexe en érection. Sans attendre, il m’encule jusqu’au
nœud, tout en pelotant mes seins, aux mamelons encore durcis. Je connais quatre
orgasmes anaux, ce qui le ravit. Il double sa ration de spermes et me lèche
l’anus, pour me récompenser au bout de trois quart d’heure.
Je suis en
sueur, malgré l’air de la climatisation, mon clitoris est aussi tendu à
l’extrême.
Ne pouvant
me masturber, je tente de me faire jouir, en fantasmant sur mes amants de la
journée.
21 mars
A trois
heures du matin, Adam m’encule à nouveau, puis à cinq et à six heures, laissant
mon anus dégoulinant de son sperme. Mes orgasmes m’épuisent et me font dormir
profondément.
Vers sept
heures, un étalon bien monté, César, qui a libéré mes chevilles, m’encule avec
vigueur, l’anus bien lubrifié par le sperme d’Adam. Mes mollets sont posés sur
ses épaules. Il me caresse mes cuisses, mes mollets et mes chevilles. Je
retarde mon orgasme anal, mais je ne peux résister sous ses coups profonds dans
mon anus en feu.
Puis il
m’abandonne.
Après ma
douche et un bon lavement anal, une bonne soupe frugale, nue, je rejoins les
studios, tenue en laisse par César.
Menottée sur
le chevalet, j’enchaîne les saillies anales canines, les sodomies avec les
fruits et les légumes, des inconnus cagoulés qui me fouettent et m’enculent, je
dois retarder mes orgasmes anaux qui sont de plus en plus violents. Mes
mamelons et mes grandes lèvres sont étirés par les pinces à clochettes. Je ne
compte plus mes sodomies. Le réalisateur ne garde que les meilleures scènes
pour mes admirateurs.
Le soir, je
suis saillie par Adam, Balzac, Arès, le doberman Hadès avec un sexe long de
trente-deux centimètres et cinq de diamètre et le dogue allemand Lancelot avec
un sexe long de trente-six centimètres et six de diamètre. Le gode Fleur de
Rose taille XL, long de trente-cinq centimètres et cinq de diamètre, mais les
picots l’amènent à six centimètres m’a bien préparé à le recevoir. Je connais avec
chacun quatre violents orgasmes anaux, menottée à quatre pattes sur le lit,
comme une chienne.
23 mars
A l’aube,
après un nouveau tournage, douchée, fardée, parfumée, je suis conduite au
quinzième étage, tenue en laisse par César, par les anneaux de mes grandes
lèvres, fermées par un petit cadenas.
Sacha me
reçoit :
- Ma pute
Iris, tu as atteint 10.000. J’ai besoin de toi, pour recruter de nouvelles
jeunes filles, si possible vierges de la chatte et de l’œillet. Des lesbiennes
comme toi, tu dois en connaître à l’université. Ta copine Bisexuelle Désir XXX
ira cet après-midi. Tu y vas ce matin. César te dépose toute à l’heure, à
l’ouverture de l’université : tu te rends à ton immeuble et à la
cafétéria, habillée en pute de luxe. Je ne te rase pas la toison pubienne et ta
chatte, j’ai mes raisons. Penche-toi en avant, que je te prenne.
J’obéis.
- Ton
oeillet s’ouvre maintenant jusqu’à sept centimètres. Très bien, tu vas rendre
jaloux tes dragueurs. Je me charge d’eux, si tu veux des soumis.
- Maître, je
vais jouir, mon œillet est tellement sensible.
- C’est
normal, Lancelot t’a bien saillie.
Sacha
éjacule dans mon anus, me remet le bijou d’anus et je visionne en sa compagnie,
des extraits de mes scènes SM et mes saillies anales, agenouillée à ses côtés,
cuisses écartées, me retenant de me masturber et de jouir.
Vers neuf
heures, fardée, parfumée, je m’habille d’une tenue provocante : une
guêpière, tenue rigide par de larges baleines très rapprochées, courbées vers
l'intérieur au ventre et au-dessus des hanches, qu’un busc, sur un côté
derrière, permet de boucler ou de déboucler et par-derrière, elle est lacée.
Une fois lacée, ma taille et mon ventre se creusent sous la pression des
baleines, qui sur le ventre descendaient presque jusqu'au pubis, qu'elles dégageaient,
ainsi que les hanches. La guêpière est plus courte par-derrière et laisse la
croupe entièrement libre. J’accroche mes bas blancs aux quatre jarretelles,
assortis à la guêpière. Mes seins nus sont mis en valeur. Je la cache sous une
robe composée d'une jupe éventail, qui
se retrousse d'un geste, portée avec un boléro fermé au cou. Il suffisait
d'enlever le boléro pour que les épaules et les seins soient nus, et sans même
enlever le boléro, de l'ouvrir, si l'on désire voir les seins. J’échange mes mules
à talons de dix centimètres et une paire de douze centimètres, pour me cambrer
davantage et me rendre plus pute et allumeuse. Tout le monde peut voir que j’ai
la chatte et les fesses nues. Je me coiffe d’une queue-de-cheval d’adolescente.
César me
conduit, au pied de l’ascenseur, dans le parking privé de l’immeuble du groupe
Bijou Désir Sexe et Mon Plaisir. Là, nous prenons une BMW cabriolet. Je dois
m’exhiber pendant le trajet de deux heures, les yeux bandés, la bouche
entrouverte, la jupe relevée assez haut, cambrée sur le siège passager, cuisses
écartées, les seins exhibés, le vent frais m’excite. Je mouille comme jamais.
Nous
arrivons devant l’entrée de l’université.
Ayant
recouvré la vue, je rentre sans aucun souci, avec mon boléro remis. J’ai mis mon
bijou d’anus, l’anus rempli du sperme de César, qui m’a enculée dans le
parking.
Je retrouve
deux amies de notre immeuble. La norvégienne Astrid, la blonde et la croate
Jasmine, la brune, toutes les deux aux petits seins, me complimentent pour ma
tenue.
- Si tu veux
gagner de l’argent comme moi, je leur annonce, prends cette carte et tu vas
aimé.
- Hermine,
ma chaude et douce chérie, je suis lesbienne, annonce Astrid.
- Tu
trouveras des lesbiennes aussi, lui dis-je (je sais qu’elle va devoir se
soumettre aux étalons qui m’ont prise, enculée et baisée).
Je me
déhanche vers la cafétéria, sous les sifflets de quatre dragueurs qui ont tenté
de me prendre.
- Les gars,
c’est la gouine Hermine. Elle est superbe séduisante, me dit Edouard, le
bourgeois Danois.
- Tu nous
offres tes fesses musclées, la poupée, me dit Nathan, le séducteur Suédois.
Je garde mes
distances, tout en me déhanchant, soulevant discrètement ma jupe sur mes fesses
nues.
A l’approche
de la cafétéria, je monte les escaliers, devant eux, pour qu’ils profitent de
la vue de ma chatte et de mes fesses nues et de mon saphir entre mes fesses.
Je retrouve
quatre autres lesbiennes : Elodie, la brune hollandaise, Frédérique, la
blonde tchèque, Justine, la brune hongroise et Valérie, la blonde australienne,
toutes ont des seins plantureux. Elodie n’a jamais accepté que je la gode.
J’aurais ma revanche.
Je leur
passe des cartes.
Mais
Hermine, il paraît que tu n’es plus vierge, annonce Valérie.
- Oui,
j’offre ma chatte et mon œillet à tous les hommes qui me plaisent. Regarde,
Edouard, Nathan, Ken l’américain et James le sud-africain, vont me manger dans
ma main.
- Tu
plaisantes, Hermine. Toi, tu vas t’offrir aux dragueurs, annonce Elodie. C’est
sale, des queues dans ta superbe chatte velue. Tu mérites ma langue.
Je soulève
ma jupe et je dévoile mon bijou clitoridien et mes anneaux dorés à mes grandes
lèvres humides velues.
- Tu t’es
fait percée, comme une pute, annonce Justine.
- Je ne me
considère pas comme une pute, mais comme une jouisseuse anale. Voici, Sacha,
mon chéri, il a hâte de vous rencontrer, mes chéries.
Je le
rejoins devant le quatuor de dragueurs.
- Sacha,
défonce-moi devant ces dragueurs. Je suis ta chienne.
Penchée en
avant, dans les escaliers, la jupe relevée, Sacha me retire mon bijou d’anus et
m’encule sauvagement. Nathan se masturbe devant le spectacle offert. Je connais
deux orgasmes anaux successifs.
- Nathan,
pantelante, tu veux me prendre. Je suis tout à toi.
Nathan
s’approche et je lui mords le gland et griffe les testicules. Il gémit.
Sacha
éjacule dans mon anus. il me remet le bijou d’anus.
- Ma
chienne, Damien, t’attends sur sa superbe moto.
- Adieu, les
voyeurs, Sacha va vous offrir de vraies beautés. N’est-ce pas mon chéri ?
Je retrouve
Damien avec sa superbe moto. Je m’empale, enculée, l’anus libre, sur son gros
mandrin qui me remplit jusqu’aux testicules et je connais encore un orgasme
anal.
Pantelante,
je rentre avec Damien à l’immeuble, mes seins nus collés contre son dos, avec
mon casque, les cheveux au vent.
Sacha me
rejoint dans la chambre privative de Sacha, au quinzième étage. Je suis
allongée nue, cuisses écartées.
- Tu es
excellente, Iris. Six nouvelles putes et quatre pervers, tous sont ta
propriété. Souhaites-tu corriger quelques-uns, tu as des talents de Maîtresse
SM ?
- Oui,
Elodie et les quatre pervers, je vais les éduquer. Mais avant, enculez-moi, je
suis chaude et excitée.
- Iris, tu
es libre de te masturber, en attendant tes soumis.
Sacha
m’encule. Sacha est allongé sur le dos, les jambes relevées. Je m’empale, enculée
jusqu’aux testicules, mes cuisses contre ses cuisses velues, assise sur lui.
- Que c’est
bon, ta queue dans mon œillet de pute.
- Tu aimes
cette position. Tu vas me faire gicler, Iris.
Je tourne
autour du mandrin qui bande. Sans débander, enculée, je me retrouve, en
pivotant vers Sacha, de face, glisse mes jambes entre les siennes. Sacha se
relève lentement et s’assoit sur ses talons. Il éjacule enfin.
Je le
nettoie.
Je remets
mon bijou d’anus et le fait aller et venir vers de nouveaux orgasmes anaux, mes
mamelons et mon clitoris sont tendus à l’extrême.
Je suis
récompensée. Vêtue de ma guêpière seins nus, de bas, de cuissardes, d’une
cagoule avec ma queue-de-cheval, de longs gants, tenant une cravache et une
garcette, je retrouve Elodie et Astrid sur les chevalets, nues, déjà
cravachées.
- Alors, mes
belles, on refuse la venue de Miss Désir.
- Hermine,
non, je ne veux pas que l’on me baise, supplie Elodie.
-Qui t’as autorisé, Gouine Vierge de me
parler. Je vais te baiser et t’enculer, ma chienne.
- Non, Hermine,
tu vas pas faire cela à Elodie, réplique Astrid.
- Toi,
Natacha la Docile, tu regardes.
Equipée d’un
gode ceinture muni de deux vibromasseurs internes, avec va-et-vient interne,
moulés sur les sexes d’Adam pour ma chatte et de Lancelot pour m’enculer
simultanément ou en alternance, les doubles godes externes sont
imposants : le vaginal mesure trente centimètres et l’anal mesure quarante
centimètres et tous les deux mesurent sept de diamètre.
Agenouillée,
derrière Elodie, je les enfonce simultanément pour la déflorer. Elodie gémit,
je dois alterner avec la cravache et la garcette, jusqu’au râle de plaisir,
mais elle serre les fesses.
Quant à moi,
un double orgasme me submerge.
Je mets un
autre double gode et je m’occupe d’Astrid. Astrid jouit presque en même temps
que moi. Elodie, avec son bâillon-pénis canin, pleure.
- Natacha la
Docile, tu as interdiction de jouir sans mon autorisation. Je vais te cravacher
comme la Gouine.
- Oui, Miss
Désir, je me retiens.
Je suis
tellement excitée, que je décide d’enfoncer mes vibromasseurs dans la chatte et
l’anus d’Astrid, pour la faire gémir.
Astrid aime
ces doubles vibromasseurs canins et en demande davantage.
Je les
récompense à ma manière. Hadès encule la Gouine Vierge et Lancelot encule
Natacha, tous les deux jusqu’au nœud, à plusieurs reprises. Comme la Gouine
Vierge gémit, je lui offre mon anus à lécher. Elle se refuse. Hadès l’encule
plus vigoureusement.
Je prends
l’ascenseur et rejoins mes quatre soumis.
Ils sont au
sous-sol avec les jumeaux Alexandre et Val, aux petits seins, d’authentiques
transsexuels brésiliens, recrutés par Sacha. Ils sont dotés de mandrins longs
de vingt-cinq centimètres et sept de diamètre, le summum.
Chacun est
menotté à un chevalet, nu, avec un anneau de gland métallique, qui empêche
toute éjaculation et un étireur de testicules, un parachute se fixe à la base
des testicules en formant un cône en cuir qui emprisonne les testicules,
ensuite il vous suffit de suspendre des poids à l’anneau placé sous les trois
chaînettes et enfin, les testicules sont étirés en les séparant comme deux
clémentines bien fermes : chaque testicule devient bien gonflé et beaucoup plus
sensible. Le mandrin avec son anneau de gland, est lui-même pris en étau entre
l’étireur et le bracelet de cuir autour de la base commune du mandrin et des
testicules : le mandrin sensibilisé gonfle facilement et atteint rapidement des
érections bien lourdes et bien épaisses.
Je caresse
chacun des mandrins offerts.
- Hermine,
libère-moi, me supplient Edouard et Nathan.
Je leur cravache
les fesses.
- Tu vas me
lécher l’œillet, comme la Gouine Vierge. Tu m’appelles Miss Désir, soumis.
- Jamais,
Hermine, tu es trop sale, répliquent Ken et James.
Alexandre et
Val déflorent leurs anus vierges de chacun. Ils gémissent et j’écarte bien mes
fesses pour qu’ils me lèchent l’anus. Je me retiens de jouir, quand leurs
langues lèchent ma chatte humide.
Je me venge
aussi en les enculant avec un gode canin à picots et enfin, quatre dogues
allemands les enculent enfin, à plusieurs reprises.
Je retrouve
Natacha, en sueur.
- Miss
Désir, s’il te plaît, le doberman peut-il se retirer ?
- Non, c’est
lui qui décide de la fin de ton attache.
- J’ai
l’œillet en feu, doublement inondée de son sperme chaud.
- Alors la
Gouine Vierge, tu prends plaisir avec Lancelot, le plus gros sexe canin.
- Retire-le
de mon anus, je ne suis pas sa chienne.
- Tu es sa
chienne, comme j’ai été la chienne d’Hadès et de Lancelot, pour m’écarteler
l’œillet.
Sans
attendre, je m’offre à quatre pattes, le berger allemand Conan me baise et le
dogue allemand Romulus m’encule simultanément jusqu’aux nœuds. Les orgasmes
m’épuisent et je suis doublement inondée de leurs spermes chauds. Hadès et
Lancelot éjaculent à leur tour.
Les deux
soumises les sucent pour les récompenser, sous mes ordres.
Je met un
bijou d’anus canin à Natacha que je libère, laissant Hadès et Lancelot enculer
la Gouine Vierge.
Nous
retrouvons Sacha dans son bureau.
- Très bien,
Natacha est bien chaude, Iris. Epile-la intégralement et fais lui poser ses
anneaux aux grandes lèvres. Vous tournerez des scènes lesbiennes SM dès
aujourd’hui. Vous prenez une douche commune lesbienne.
Nue, sous la
douche, je lave le corps de Natacha, qui se retiens de jouir, mais je jouis
sous son doigté anal et de ma chatte trempée.
- Miss Désir,
je t’aime.
- Natacha,
tu restes désormais silencieuse, les yeux baissés. Les godes que tu vas porter
vont t’écarteler davantage ton œillet, comme moi, jusqu’à sept centimètres.
Je pratique
le même traitement aux mamelons et au clitoris de Natacha, pour lui faire poser
ses anneaux. Le perceur encule ensuite Natacha, qui est autorisée à jouir.
Nous passons
ensuite de longues heures d’ébats lesbiens SM, à nous goder mutuellement. Je
choisis mes deux vibromasseurs soit réalistes soit canins de sept centimètres
de diamètre. Natacha jouit à ma demande. Je la fais saillir, devant les
caméras, je la cravache sur les fesses et les cuisses.
Le soir,
menottée nue, dans sa chambre, mon ancienne chambre, je la masturbe, la
nourrit, l’anus libre, après son lavement et je l’encule avec mon vibromasseur
anal canin. Les amants canins l’enculent pendant la nuit jusqu’à l’aube. Elle
apprend à sucer ses amants canins.
Quant à moi,
je passe mes nuits avec Sacha ou César, ou deux autres partenaires, dans des
doubles pénétrations jouissives, doublement inondée, souvent un de mes amants
canins vient m’enculer, tandis que je baise avec un partenaire.
27 mars
A l’aube,
j’émerge dans ma chambre de la villa, qui se trouve à trois heures
d’hélicoptères de l’immeuble. La villa appartient au groupe BDSMP. Natacha dort
à mes côtés, nue, l’anus dégoulinant des assauts canins nocturnes.
J’ai mes
quatre soumis : Edouard, Nathan, Ken et James, que je fais éjaculer toutes
les douze heures, sur mes fesses. Ma chatte et mon anus leur sont interdits.
Mes amants canins les enculent vigoureusement, tandis que je me masturbe devant
eux, les seins pelotés par Natacha, qui masturbe mon gros clitoris percé comme
le sien.
Entre deux
longueurs de piscine, avec mon bijou d’anus, avec Natacha, nous sommes enculées
devant nos soumis par nos amants canins.
Les soumis
sont fous d’excitation, avec leurs anneaux. Ils voudraient me prendre, mais
non, les doigts de Natacha et sa langue me donnent du plaisir.
Ce matin,
Natacha porte encore son vibromasseur anal canin de sept centimètres, avec sa
ceinture de cuir et ses chaînettes, depuis le 23 mars.
Le Marquis
atterrit à bord de son Dauphin médical. Le Marquis est un sexologue réputé, âgé
du triple de mon âge, doté d’un imposant mandrin long de quarante centimètres et
sept de diamètre.
Je me
présente à lui, nue, en mules à hauts talons, fardée et parfumée, les yeux
baissés, la bouche entrouverte, cuisses écartées.
- Voici, la
sublime Hermine, alias pute Iris et Miss Désir, tu es très en beauté.
- Marquis,
enculez-moi, je suis sous vos ordres. Je rêve de votre queue dans mon œillet de
pute.
- Mettez-toi
à quatre pattes, retire ton bijou d’anus.
A quatre
pattes, sur une serviette, le Marquis m’enfonce un jusqu’à quatre doigts dans
mon anus lubrifié par les saillies anales nocturnes et il masturbe longuement
mon gros clitoris tendu.
Je le suce
et il m’encule jusqu’aux testicules.
- Tu es bien
assouplie, Hermine. J’aime les femmes doublement ouvertes.
Natacha nous
rejoint.
- J’oublie.
Voici, Natacha, elle finit son initiation anale. Elle est tout dévouée à vous.
- Toi
d’abord, Hermine, tu es libre de jouir.
- Marquis,
c’est jouissif, de me piner l’œillet. Je vais jouir.
Le Marquis
éjacule simultanément et avec Natacha, nous nettoyons le Marquis.
Allongée sur
le dos, sur la chaise longue, les cuisses complètement ouvertes, je m’offre au
Marquis, ainsi que Natacha. Il saisit les lèvres de nos chattes, celles qui
sont percées.
- Vous êtes
toutes les deux percées. Hermine, ton anus a été forcé et bien distendu. Ton
amie Natacha connaîtra le même sort.
Le Marquis
retire le vibromasseur anal et encule Natacha d’un coup sec jusqu’aux
testicules. Natacha gémit puis jouit. Son anus est forcé et bien distendu.
Gardant la
pose, Romulus m’encule jusqu’au nœud. Puis je redresse les jambes, je les passe
par-dessus le dos de Romulus, et je m'agrippe à lui, les mollets croisés sur
ses reins, jusqu'à me coller étroitement sous lui, jusqu’à quatre orgasmes
anaux devant le Marquis et Natacha.
- Allez,
Hermine et Natacha, douchez-vous, fardées et parfumées, je vous conduis en mode
drague.
Devant le
Marquis, nous douchons nos corps en chaleur, faisons nos lavements.
L’anus
propre, le Marquis m’encule un peu, avant de remettre mon bijou d’anus moulé
sur le sexe de Lancelot.
Toutes les
deux habillées d’une mini-robe blanche en dentelle transparente, s’arrêtant à
quelques centimètres des fesses nues, avec une jupe éventail, qui se retrousse
d'un geste, mais toujours à corselet montant jusque sous les seins nus, et
portées avec un boléro fermé au cou. Il suffit d'enlever le boléro pour que les
épaules et les seins soient nus, et sans même enlever le boléro, de l'ouvrir,
si l'on désire voir les seins. Nous sommes des jeunes filles sages. Nous sommes
chaussées de nos mules à hauts talons à nos pieds nus et coiffées de nos
cheveux libres.
Au centre
commercial, nous tenons la main du Marquis, on nous prend pour sa nièce pour
moi et Natacha est ma sœur. Il nous tutoie et nous répondons par vous.
Dans une
boutique de lingerie, avec Natacha, nous draguons un couple. Je m’occupe du
mari, un bel étalon musclé, très bien monté, que je caresse devant sa femme,
une blonde aux seins plantureux, qui regarde nos tenues. Nous exhibons nos
seins nus, pour un essayage de soutien-gorge avec la vendeuse. J’exhibe mes
fesses nues et mon bijou d‘anus.
- Chérie, tu
devrais être les fesses nues plus souvent, comme…
- Hermine,
je m’appelle Hermine, je suis la nièce du Marquis, César est mon amant et
Damien est mon chéri. Encule-moi si tu veux, pendant ma chérie s’occupe de ta
femme.
Dans une
cabine d’essayage, le rideau ouvert, la vendeuse a fermé le magasin, penchée en
avant, la jupe relevée, l’anus libre, je suis longuement enculée par le mari,
un futur soumis. Je connais un violent orgasme anal, tandis que sa femme fait
jouir Natacha, en lui léchant l’anus.
Nous suçons
son mari. Je livre le couple au Marquis pour peaufiner son dressage. La
vendeuse a rendez-vous aussi à la villa.
Après cette
drague, je suis chaude. Ma chatte est trempée, mes mamelons et mon clitoris
sont tendus à l’extrême, je jouis en jouant avec mon bijou d’anus en masturbant
mon clitoris.
- Hermine,
je vais te conduire dans mon hélicoptère dans un nouveau lieu pour ton
éducation. Un jour, tu porteras des fers à ta chatte.
De retour à
la villa, Natacha dresse mes soumis.
Je monte à
bord de son Dauphin médical, allongée nue, sur une civière, sanglée, avec deux
puissants vibromasseurs canins de sept centimètres de diamètre, maintenus par
des chaînettes cadenassées et une ceinture en cuir, un bâillon O me force à garder
la bouche ouverte. Le O de l’anneau O est assez large pour faire passer la
queue du Maître ou tout ce qu’il voudra mettre dans ma bouche. Je suis
humiliée, excitée et je me dépasse. Je porte aussi la bague sertie d’un petit
anneau en permanence, faite sur mesure, à mon annulaire gauche, avec mes autres
bagues.
Le vol dure
trois heures. Je ne compte plus mes orgasmes, par les va-et-vient séparés et
combinés.
Le Dauphin
atterrit, après avoir descendu dans une vaste ouverture dans la roche, sur une
plate-forme.
On descend
la civière et je rejoins une grande pièce éclairée, entièrement recouverte de
glaces et de miroirs sur les murs, sur le sol et au plafond. Je suis debout,
pieds nus, sur le tapis, les yeux baissés, la bouche bâillonnée, avec mes
vibromasseurs à l’arrêt. Ma chatte dégouline.
- Voici,
Hermine, connue sous pute Iris et Miss Désir, sa soumission et son goût pour le
dressage de soumis, sont excellents. Elle est une grande adepte de la cravache,
de la garcette et de la sodomie par un Maître et un chien jusqu’au nœud,
jusqu’au dogue allemand, d’où son œillet assoupli par ses multiples saillies
canines, dit un des hommes nus, cagoulés, bottés, qui me toise.
Je suis
menottée par mes carcans en cuir, à mes poignets dans le crochet, fixé à un
lustre. Je me retrouve les bras tendus au-dessus de la tête, à peine fléchis,
les cuisses écartées, une barre d’écartement est fixée aux carcans de cuir à
mes chevilles. Je ne peux resserrer mes cuisses. Je suis sur la pointe des
pieds nus sur le tapis, sans ma ceinture de cuir ni les chaînettes. Les yeux
baissés, la bouche entrouverte, je suis fouettée à la garcette, par un des
hommes, cagoulé, comme les autres, ganté. Je mouille de plaisir, humiliée,
exposée, exhibée à ces inconnus. Tous le remarquent.
- Elle mouille,
c’est bon signe. Elle aime ça, être dressée. Préparez le gode Arès et le gode
Vulcain.
Une caméra
sur pied filme chacun de mes mouvements. Chancelante, un des quatre, séduit par
ma croupe offerte, en écarte les deux parts qui brûlent sous ses mains et
m’encule sans éjaculer, tandis que les poids de cinq kilos tirent sur mes
mamelons tendus et les grandes lèvres de ma chatte humide.
Il garde mes
fesses bien écartées et m’enfonce le gode Arès, similaire au sexe de Lancelot.
Je jouis, totalement détendue.
Pour
recevoir Vulcain, qui mesure quarante-huit centimètres et huit de diamètre, je
dois m’ouvrir davantage et je gémis un peu.
Je le reçois
jusqu’à la garde et on le fait aller et venir, avec un va-et-vient automatique.
Mes gémissements deviennent des râles de plaisir. Je reçois sur mes fesses et
mes cuisses, des coups de chicotte, pour m’exciter. C'est un engin fait en deux
parties, d'une part un manche en bois verni et de l'autre une tresse en cuir
noir, reliés ensemble par une boucle qui forme charnière, de telle sorte que,
quand on l'utilise avec habilité, le coup de poignet sur le manche donne encore
plus de vitesse à la tresse en cuir.
L’anus bien
rougi complètement distendu et boursouflé est rempli par les mandrins des
quatre hommes, je connais quatre orgasmes anaux violents et chacun éjacule en
moi.
A moitié
évanouie, je suis prise sous les bras et aux jarrets, me soulève et m'emporte.
J’émerge
dans une luxueuse chambre, menottée à mon lit, mes bracelets sont glissés l'un
dans l'autre les anneaux des bracelets, puis ces deux-là dans celui du collier.
Je me trouve les mains jointes à la hauteur du cou, une chaîne me relie par un
anneau de mon collier à un crochet au-dessus du lit. Je suis immobilisée. Des
glaces et mes miroirs m’entourent, avec une lumière artificielle. J’éprouve le
besoin de me caresser. Je mouille sans le pouvoir.
Rapidement,
je suis enculée à plusieurs reprises par les hommes cagoulés, on m’encule avec
Arès et Vulcain, pour que je m’habitue.
Je suis
douchée, avec une canule enfoncée dans mon anus, pour que je sois propre. On me
nourrit.
Ma docilité
est éprouvée pendant huit jours.
Chaque
sodomie par Vulcain me continue vers de nouveaux plaisirs.
Je visionne
des films où des soumises se font saillir par des dogues allemands et de superbes
chevaux. Je suis surprise et subjuguée par les dimensions du sexe équin. Jamais
mon anus ne pourra recevoir un tel sexe en érection.
Je me
promène avec le gode Vulcain pendant huit heures par jour, partiellement
enfoncé dans mon anus, maintenu par des chaînettes à une ceinture de cuir.
5 avril
Vers 9
heures, je suis réveillée, encore enchaînée à mon lit, l’anus dégoulinant du
sperme de mes Maîtres, rempli par le gode Vulcain, enfoncé au tiers de sa
longueur.
Le Marquis
me rejoint.
Il libère
mes poignets de mon collier, me retire la chaîne, me retire délicatement le
gode, exhibant mon anus bien rougi complètement distendu et boursouflé.
- Tu es bien
ouverte avec ce gode. Tu aimes le sexe équin, après les sexes canins, ma belle
Hermine.
J’hoche la
tête, les yeux baissés.
Je dois
marcher grotesquement à petits pas, les jambes très écartées, pour me doucher,
devant lui.
Je me farde,
me parfume.
-
Prosterne-toi, je vais t’enculer.
Le gros
mandrin du Marquis me remplit jusqu’aux testicules. Je me retiens de jouir. Il
se retire, me met mon bijou d’anus.
Le Marquis
examine mes reins et mes fesses. Il passa les doigts sur les nombreuses traces
du fouet, plus ou moins estompées selon leur ancienneté, sur les marques des
carcans.
Je revêts
une mini-robe à corselet seins nus, mettant en valeur mes pinces individuelles
à mes mamelons, munies de clochettes légères et j’en porte aussi aux grandes
lèvres de ma chatte humide, mes fesses nues sont bien visibles, car la jupe les
couvre à peine.
Je chausse
mes mules à hauts talons.
Nous prenons
le Dauphin VIP de Sacha, qui m’attends.
Je passe le
vol, les seins pelotés, le clitoris masturbé et je me retiens de jouir, assise
cul nu, la jupe relevée, les cuisses écartées.
Après trois
heures de vol, vers la forêt, j’aperçois une île isolée et fortifiée.
- C’est ta
nouvelle résidence, le Manoir des Plaisirs, dont tu es l’invitée. Il y a tes
quatre soumis, Natacha, Bisexuelle, Gouine et de nouveaux amants pour ton
plaisir anal. Tu vas garder tes carcans de cuir. Tu seras ferrée prochainement
comme tes amies.
Une fois
posée sur l’héliport, je suis tenue en laisse par le Marquis. Je suis excitée
et surprise de ce que me réserve le Marquis.
Je découvre
une grande écurie. Les vingt étalons étaient divisés en deux rangées, une sur
chaque mur. Là encore un dispositif spécial est disposé sous leur ventre et une
jeune femme, courbée en deux et entravées chevilles et poignets, est enculée
par le sexe équin puis le sexe est masturbé jusqu'à l'éjaculation. Pendant la
phase de sodomie forcée, les palefreniers en profitent pour baiser les bouches
des jeunes femmes, maintenues ouvertes par des écarteurs buccaux et ils y
déversent généralement leur semence.
Je découvre
mes six amies, enculées, les autres soumises me sont inconnues. Il reste un chevalet
de libre. Je suis menottée nue, après avoir sucé Vulcain, un superbe pur-sang
arabe. Sans un mot, je suce son énorme
sexe, les mains jointes à mon cou. Sa bite a immédiatement gonflé. Elle s’est
allongée et est devenue très grosse et
dure. Elle faisait au moins quatre-vingt centimètres. Je passe ma langue sur un
étonnant petit tuyau qui était en plein centre de son gland dilaté. Ma langue
passe et repassait sur cette chose.
Une fois le
sexe en érection, le Marquis m’écarte bien les fesses brûlantes par les coups
de cravache. Le bijou d’anus retiré, offre mon anus bien ouvert.
Mon anus
résiste interminablement. Je grimace de douleur en voulant forcer le passage.
Je pousse des cris déchirant tandis que des larmes de souffrances coulent sur
mon visage.
- Il est un
peu gros pour ton œillet, une fois en place, tu vas aimé, ma belle, me susurre
le Marquis.
Mon passage
anal cède. Le palefrenier m’enfonce en douceur plus de vingt-cinq centimètres
de sexe équin dans mon anus. L’anus écartelé, je gémis un peu, tout en suçant
les autres hommes très bien montés.
- Vingt
centimètres pour une première saillie anale équine, c’est un bon début.
Le gland et
toute sa longueur de bite de Vulcain gonfle encore.
Mon anus
d'Ophélie est bien écartelé et je coulisse alors, pour mon premier orgasme anal
avec Vulcain sur plus trente centimètres du braquemart sur lequel je coulisse.
La vague de
plaisir m’irradie, je suce avec vigueur.
Soudainement,
hennissant comme un sauvage Vulcain inonde mon anus. Le liquide épais jaillit
de mon anus, dégouline le long de mes
jambes jusqu’aux mollets.
Quand on
retire le sexe de Vulcain, mon anus est rougi complètement distendu et ce qui
libère un flot de sperme.
- Alizé, mon
cheval de selle Français, va te remplir la chatte et t’enculer ensuite et
enfin, Zéphyr, mon trotteur Français va t’enculer pour ta première journée.
Même baisée
par Alizé, dans ma chatte, j’explose en un violent orgasme, après quelques
va-et-vient. Ma bouche dégouline du surplus de sperme de Vulcain que j’ai
nettoyé.
Pantelante,
après ces quatre saillies équines, je suis comblée par ces nouveaux amants.
Je suis
sauvagement enculée, menottée et fouettée, par les palefreniers entre deux
nouvelles saillies.
Mes soumis
se font enculés par de nombreux chiens du chenil. Bien sûr, les dogues
allemands m’enculent aussi et me font jouir.
Je suis
nourrie, menottée.
Toutes les
quatre heures, je suis saillie, avec un nouveau pur-sang, cheval de selle et
trotteur. Ma douleur anale devient une voie de plaisir.
4 mai
Vers dix
heures, je suis menottée, nue, pieds nus, sur la pointe des pieds, suspendue à
un crochet, avec une barre d’écartement, les bras tendus, en compagnie de mes
six soumises et de mes quatre soumis. Je porte un bâillon-pénis, pour être
marquée au fer rouges sur les fesses rouges et sur l’intérieur de ma cuisse
gauche.
Ma chatte a
été soigneusement rasée, ne laissant que mon triangle pubien velu, à la demande
du Marquis. Mes anneaux dorés de mes grandes lèvres de ma chatte humide sont
remplacés par mes fers : Ce sont des anneaux de fer mat inoxydable, comme
le fer de la bague doublée d'or. La tige en est ronde, épaisse comme un gros
crayon de couleur, et ils étaient oblongs : les maillons des grosses chaînes
sont semblables. Chacun est formé de deux U qui s'emboîtent l'un dans l'autre.
Le ressort intérieur sur lequel on doit forcer pour le faire pénétrer dans la
rainure où il se bloque. Une fois posé, il est impossible de l'ôter. Chaque
anneau est long comme deux phalanges du petit doigt, qu'on y pouvait glisser. A
chacun est suspendu, comme un nouveau maillon, ou comme au support d'une boucle
d'oreille un anneau qui doit être dans le même plan que l'oreille et la
prolonger, un disque de même métal aussi large que l'anneau est long. Sur une
des faces, Pute Iris niellée d'or, sur l'autre, Hermine, le Marquis, Sacha, et
au-dessous, un fouet et une cravache entrecroisés. Mon anus s’ouvre sur
commande pour mes saillies anales intenses, voir des doubles anales par des
hommes.
Je porte un
fer pour chacune de mes grandes lèvres.
Nous sommes
marquées simultanément au fer rouge. Je porte les lettres : S sur ma fesse
gauche et V sur ma fesse droite et le fouet et la cravache entrecroisés dans
l’intérieur de ma cuisse gauche, comme promis.
Je perds
connaissance, mais la sodomie par Vulcain me fait émerger, jusqu’à son
éjaculation. Je suis fière de mon nouveau corps de soumise, ferrée et marquée,
bien dressée comme me complimente le Marquis.
Quelques
jours après, je suis enceinte du Marquis, vivant dans ma luxueuse villa
étroitement surveillée, avec des dogues allemands pour me saillir, mes soumis
et Prisca et Astrid, mes deux soumises. Je continue mes saillies, nue dans ma
villa.
Je donne
naissance à un fils, dans une clinique privée du Marquis. Je reprends mes
saillies. Le Marquis m’autorise à me masturber et à jouir, baisée par mes
amants canins jusqu’au nœud.
Aucun commentaire:
Enregistrer un commentaire