jeudi 21 mai 2020

ENQUETE DE LA COLONELLE HERMINE


Je m’appelle Hermine.
J’ai 25 ans.
Je suis une jolie beauté scandinave.
Je suis une brune aux yeux verts. J’ai des pieds fins et latins, des jambes longues bronzées, musclées qui inquiètent par leur perfection. Mon pénil est bombé, ouvert, couronné de noir. Ma pilosité brune couvre mon pubis. Je suis totalement velue entre les cuisses et j’ai une superbe croupe. Les lèvres de mon sexe sont une plaie rouge entre mon entrecuisse velue. Mes hanches s'incurvent et délimitent le ventre plat, délicieusement renflé autour du nombril, les hanches sont larges et rondes, mais sans lourdeur. La taille est affinée. Les seins parfaits intégralement bronzés sont un peu volumineux mais fermes, et leurs pointes marron clair, toujours dressées, cernées par une large aréole marron attirent le regard. J’ai une peau lisse et patine. Finition parfaite, un seul grain de beauté entre mes superbes seins. De longs cheveux plats blonds flottant comme des algues, battent mes épaules rondes et gracieusement athlétiques. Je suis intégralement bronzée. Mes yeux verts limpides s'allument, ma bouche charnue se fend. J’ai des sourcils bruns bien dessinés et des lèvres pulpeuses. J’ai de longs doigts fins et de belles mains. Je fais du 85B de poitrine, 56 de taille, 90 de hanches, 1,72 m.

ENQUETES DU COLONEL HERMINE

12 juin
Je suis colonelle de gendarmerie nationale, détachée auprès des services de la police Européenne, en charge des crimes sexuels. Je travaille à Vienne et je suis souvent en mission en Europe.
Je suis secondée par le capitaine Alban, le lieutenant Diane et le major Nathan, tous sont issus des meilleurs éléments de la section judiciaire dédiée aux crimes sexuels.
Vers 10 heures, je descends, en tailleur et escarpins blanc, les cheveux libres, du Falcon 900, immatriculé au Luxembourg, en provenance de Vienne, à l’aéroport de Bâle-Mulhouse.
La gendarmerie du Haut-Rhin a découvert le corps d’une noyée nue, entre la frontière Suisse et la frontière Allemande, sur la berge Française du Rhin.
La section de recherches se trouve sur place.
Je la rejoins, à bord d’une berline banalisée, conduite par Diane.
Je suis accueillie par le colonel de la brigade fluviale du Rhin.
- Colonelle, je vous ai contacté. La noyée n’ayant aucun papier d’identité sur elle, mais portant des zébrures sur tout le corps, des marques au fer rouge et les grandes lèvres de la chatte percées de longs pendentifs, indique cette noyée est une soumise.
- Je vois, c’est un réseau SM, qui l’a choisie. Diane, tu vas fouiller avec les collègues du Haut-Rhin, des informations sur des Maîtres SM transfrontaliers opérant dans le département et les départements voisins. Je vais à la brigade de Mulhouse, pour des disparitions de jeunes femmes ces derniers mois.
La noyée est transférée pour identification dans un laboratoire proche.
A la brigade de Mulhouse, je retrouve une vieille connaissance, le colonel Brice, un ancien du groupement départemental d’Orléans. Je suis aussi à la recherche de ma sœur jumelle, Shawn, qui a disparue depuis l’âge de ses dix-huit ans.
- Hermine, que tu es resplendissante, Vienne te fait mettre en charme, dit Brice.
- Parlons, plutôt d’un ou plusieurs réseaux SM en Alsace, je soupçonne un meurtre sexuel de leur part.
- Tu veux parler de la blonde intégralement épilée, ferrée et marquée au fer rouge. C’est peu commun, ce sont plus des Maîtres britanniques, allemands ou hollandais qui sont les experts. Fouille auprès de tes contacts à Vienne. Tu veux manger avec Diane, dans un restaurant discret.
- D’accord, mais avant, je contacte Vienne.
L’enquête avance lentement. Aucune disparition n’est répertoriée en Alsace avec le profil.
J’étudie les diverses pratiques SM depuis quelques années. Jamais, je n’ai vu une fille porter autant de marques de soumission.
Après mon appel à Vienne, je me promène en compagnie de Diane le long du Rhin, pour réfléchir.
- Curieuse enquête, aucune disparition en Alsace, ni en France, ni en Allemagne et ni en Suisse, cela est maigre, dis-je.
- Oui, trop de mystères pour une jeune femme. Il paraît, qu’elle a eu des grossesses, donc des enfants, non identifiés.
Au restaurant, en compagnie de Brice, Diane, nous parlons de l’époque de l’école de la gendarmerie.
Le soir, je me dors nue, dans la chambre d’hôtel réservée par Brice.
Vers 23 heures, le téléphone sonne. Je décroche :
- Quelle grâce sur les quais, tu ressembles à une vieille connaissance. Tu dois aimer te masturber la chatte.
- Oui, j’aime cela, quand je ne suis pas avec mes amants, dis-je.
- Tu es un peu chaude. Caresse-toi la chatte en te filmant.
Cuisses écartées, adossée à mon oreiller, je me masturbe le clitoris jusqu’à le durcir, tout en plongeant mes doigts dans ma chatte humide d’excitation.
- Continue, je veux t’entendre jouir.
Un violent orgasme me terrasse.
C’est un bon début, à la prochaine, colonelle. Tu devrais aller voir à Nice, tu auras peut-être des indices.
Le téléphone raccroche. Ce mystérieux appel féminin m’intrigue. Je me rendors nue.

13 juin
Vers 8 heures, Diane frappe à la porte.
- Colonelle, debout, on a rendez-vous au groupement départemental avec le commandant, en grande tenue.
J’arrive.
Je me douche rapidement, sors mon uniforme et m’habille, avec mon chignon réglementaire.
Diane me conduit au groupement.
- Colonelle, avez-vous d’autres informations sur le réseau SM qui a soumis cette jeune femme ?
- Je sais peu de choses, mais je devrais aller à Nice. Des indices pourront m’aider à découvrir son enfance à Nice.
- Nice, colonelle, dit Diane, tu m’as dit aucune disparition en France.
Nous prenons le Falcon 900 vers 10 heures et atterrissons à Nice.
La section de recherche de Nice nous informe :
Une certaine Marie-Chantal de Val de Sire a disparu il y a dix ans, peu avant un mystérieux accident d’hélicoptère dans les eaux monégasques, avec ses riches parents.
J’étudie le dossier, visite la résidence à Menton, interroge la sûreté Monégasque sur l’accident, dont on n’a pas pu trouver les causes exactes.
Je dors quatre jours dans une résidence louée à une amie de Diane.
Chaque soir, je me douche et je reste nue dans mon lit, à étudier chaque dossier de la vie de Marie-Chantal, qui ressemble un peu à moi, mais blonde, aux seins plantureux.
Le premier soir, le téléphone sonne :
- Alors, la chaude, tu te plais à Nice. Caresse-toi comme hier, tu as envie.
Je ne peux refuser et je jouis jusqu’à un long et violent orgasme, en me filmant.

15 juin
Le soir, nue, le téléphone sonne. La veille, j’ai encore un violent orgasme en me masturbant la chatte, en me filmant.
- Tu as déjà enfoncé tes doigts dans ton œillet. Tu dois être vierge de là, mais pas ta chatte.
- Jamais, je ne peux faire ça.
- Tu te refuses, mais au fond de toi, tu le désires. Il faut aller en douceur.
Je prends une pose cuisses écartées, et j’enfonce un doigt dans mon anus, qui résiste un peu.
- Détends-toi.
À ma grande surprise, il a glissé tout seul sans peine. Je suis totalement détendue.
Allant jusqu’à enfoncé un second et je me masturbe le clitoris tendu et enfonce mes doigts libres dans ma chatte humide.
- Vas-y, fais-toi jouir, la chaude.
J’explose, submergée par une double vague de plaisir.

16 juin
Avant de quitter Nice, dans l’après-midi, je retourne à la résidence, pour une longue douche.
A peine que je me sèche, le téléphone sonne :
- Tu as encore envie de te doigter l’œillet. Tu as très envie.
Je ne peux résister, allant jusqu’à trois doigts d’un coup, sans me masturber mon clitoris tendu.
Je connais mon premier orgasme anal.
Je rentre à Bâle-Mulhouse avec le Falcon 900.
Je dépose mes bagages à l’hôtel. Le réceptionniste me donne une enveloppe neutre à mon nom :
Colonelle Hermine.
Je monte à ma chambre, pour me reposer.
J’ouvre l’enveloppe, découvrant des photos de ma jupe blanche, de ma chatte remplie par mes doigts, mes doigtés de mon anus.
Je veux connaître son auteur.
Vers 15 heures, la porte de ma chambre s’ouvre. Je suis à moitié endormie.
- Tiens, la chaude est déjà prête, toute nue. Ne bouges pas, je ne veux aucun mal.
La femme brune me toise :
- Tu es très belle, sexy, avec ton pubis et ta chatte velus, une vraie bombe sexuelle, pas un mot. Allonge-toi sur le côté gauche.
Sans prêter attention, un bel étalon entre, nu, son mandrin mesure trente par six, en érection.
Il s’allonge sur le côté, jambes légèrement repliées, dans mon dos, pelote mes seins, ma chatte et mon clitoris qui se tend. Il m’encule lentement.
- Caresse-toi la chatte et le clitoris, ma belle, me susurre l’inconnu. Ne me regarde pas, s’il te plait.
Enculée jusqu’aux testicules, mes seins sont pelotés tandis qu’il m’embrasse profondément.
Il se retire en partie et m’encule vigoureusement, pour me faire jouir.
L’orgasme anal me submerge rapidement, doublé par sa longue éjaculation.
L’inconnu se retire et un autre le remplace, m’encule avec la même vigueur, avec son mandrin de trente-deux par sept.
Il est un peu plus gros, mais je gémis un peu, avant de jouir.
- Tu t’y fais, la chaude, seconde sodomie. Mais la troisième sera encore plus chaude.
Absorbée par mon plaisir anal, je suis à nouveau inondée de sperme chaud dans mon anus.
Le troisième possède un mandrin de trente-cinq par huit.
L‘anus bien ouvert, je suis longuement enculée, en gardant la même position.
Après mon troisième orgasme anal, je m’effondre. Je sens un objet froid dans mon anus. C’est un bijou d’anus. Porté par une femme, il resserre les parois vaginales, détends mes sphincters anaux pour apprivoiser le plaisir anal et me familiariser. Outre un sentiment de grande relaxation, les contractions des muscles anaux provoqueront un immense plaisir qui se propagera dans tout le bas-ventre. Il est en aluminium brillant orné par un magnifique cristal rose à son sommet : c’est ce cristal rose qui est visible entre les fesses une fois qu’il est introduit dans l’anus. Il est très doux et très petit, il peut facilement être porté, il provoque une délicieuse excitation anale permanente, cinq par trois, pour 34 grammes. Sa forme en sapin et sa large base vous garantissent un excellent maintien dans l’anus. La section qui relie les deux extrémités est très fine et douce afin de laisser l’anus se refermer dessus sans gêne La tige de la taille de l’auriculaire sert de support lorsque le sphincter se referme.
- Tu vas le garder quelques heures. Désormais, tu te promènes tous les jours seins nus et fesses nues, jambes nues, sans discuter les ordres, avec le bijou d’anus, pour t’habituer. Tu t’es donnée à trois amants qui t’ont enculée. Ton initiation ne fait que commencer, Colonelle. On te surveille. Tu peux le retirer pour te soulager.
A mon réveil, vers 18 heures, par Diane, qui frappe à ma porte.
- Colonelle, on a du nouveau.
J’arrive. Je me douche, en jouant avec le bijou d’anus, en contractant mon anus qui avance le bijou d’anus contre ma chatte en feu. Je n’ose me masturber.
Je m’habille de mon chemisier blanc sur mes seins nus et d’une jupe discrètement fendue derrière et mes sandales à hauts talons, les cheveux libres, maquillée.
- Hermine, sans indiscrétion, tu as joui trois fois très fort. Je n’ai pas rêvée.
- Non, je me masturbe en regardant mon téléphone.
Sur mon téléphone, je découvre une vidéo compilant mes masturbations et mes sodomies sans pouvoir identifier mes inconnus. Je suis troublée, excitée.
J’apprends que Marie-Chantal est née d’une liaison avec un banquier suisse de Berne et une femme d’affaires allemande de Hanovre et qu’elle a fait sa scolarité en Alsace. Elle a fréquenté une certaine Anne Valérie Sophie duchesse de Beau Malherbe, une fille bourgeoise, qui a disparue elle aussi peu après l’accident d’hélicoptère.
Vers 22 heures, je monte me coucher. Je reste nue après ma douche, visionnant mon téléphone, pour me faire jouir. Le bijou d’anus me fait de l’effet, je mouille abondamment.
Soudain, la porte s’ouvre.
- Tiens, la chaude, mets en position, allonge-toi sur le ventre.
J’obéis. Elle me bande les yeux avec un masque de nuit relié à un bâillon-boule.
Trois étalons qui m’ont enculé vers 15 heures, m’enculent, en me fessant, plus trois nouveaux, montés entre sept et huit de diamètre, profitant de mon anus dilaté et ouvert par le bijou d’anus.
Je jouis, fessée.
- Oh Madame, regardez, elle est toute humide par-devant!  Elle ruisselle ! A mon avis, elle fait semblant de se plaindre mais en réalité, elle adore ça !
- Mais oui, la chaude apprécie! Elle n'en a pas eu assez! Elle en redemande!
Je subis ainsi quatre-vingt fessées au total, me rendant mes fesses brûlantes et mon anus se lubrifie abondamment.
Les sodomies se succèdent jusqu’à une certaine heure.
Je suis abandonnée, l’anus rempli par mon bijou d’anus, du sperme dégoulinant de mon anus, pantelante, après le retrait du masque de nuit et de mon bâillon-boule. Elle me fait boire. Tout est filmé en direct.
Elle repart. Je me douche, faisant attention à mes fesses, je me masturbe en fantasmant sur les étalons qui m’ont enculée sauvagement et profondément.

20 juin
Vers 15 heures, je descends à un hôtel de Genève, après une entrevue avec la banque qui a employé le père de Marie-Chantal et amant de Anne Valérie Sophie.
Je suis vêtue d’une robe moulante fuchsia sur mes seins nus et mes fesses nues, avec mon bijou d’anus, en escarpins blancs, coiffée d’un chignon.
- Tiens, la chaude, tu vas loger à cet hôtel. Non, j’ai mieux pour toi. Une limousine t’attends.
Un chauffeur Africain prend mes bagages.
Je monte à l’arrière de la limousine. La femme m’ordonne :
- Retire ta robe. Je vais te préparer pour une rencontre en haut lieu, car tu mets en péril, ton désir de connaître la vérité sur moi et mon amie noyée.
Nue, je me retrouve rapidement, les mains menottées dans le dos.
- Tu seras ainsi pas tenter de te masturber. Ecarte bien les cuisses, que je vois ta chatte. Tu t’es fait jouir avec le bijou d‘anus.
Je n’ose répondre. La limousine continue à rouler.
Elle me bande les yeux avec un masque de nuit. Elle pelote longuement mes seins jusqu’à tendre mes mamelons par l’excitation.
Elle enserre mes mamelons dans des pinces à seins avec des clochettes. Elles possèdent une clochette en métal fixée par un anneau s'anime au moindre mouvement, émettant un tintement cristallin.
Je suis tentée de resserrer mes cuisses, mais une barre d’écartement m’en empêche, fixée par des bracelets à mes chevilles.
Nous marquons une pause.
On me fait descendre quelques instants, dans une allée proche d’un parc.
- Penche-toi, César va te défoncer l’œillet, pour ta rencontre.
Cuisses écartées par la barre d’écartement, je suis penchée en avant, sur le capot encore chaud. Le mandrin de quarante par sept me fait jouir.
Il me défonce avec vigueur.
- Prends-la à fond, elle aime ça, regarde comme elle mouille.
- Elle est plus excitée qu’à l’hôtel, la pute.
Je connais un violent orgasme anal, sanctionnée par de nombreuses fessées magistrales.
Je dois sucer César jusqu’à la dernière goutte, accroupie.
Vers 17 heures, nous rejoignons un quartier résidentiel sous très haute sécurité, fermée par une grande barrière électrique.
On remet mon passeport à un des gardiens, escorté par des maîtres-chiens.
La limousine rejoint un complexe de plusieurs pavillons.
On m'aide à sortir de voiture, je prends un monte-charge, escortée par la brune. Elle me met autour de mon cou, l'anneau pend devant le cou, reposant sur la saillie des clavicules, et brinquebale au rythme des mouvements de celui qui le porte, en plusieurs épaisseurs de cuir, chaque épaisseur assez mince, au total pas plus d'un doigt, verrouillés par un système à déclic, qui fonctionne automatiquement comme un cadenas quand on le referme, et ne peut s'ouvrir qu'avec une petite clé.
Arrivée à l’étage, elle me met un bâillon-pénis en bouche, je me retrouve aveuglée, sans mon bandeau, nue, avec ma barre d’écartement, les mains menottées dans le dos. Autour d’une table, se trouvent six hommes et la brune.
- La chaude va se transformer en quatre jours de dressage, une soumise docile et obéissante. Tu as trop approchée de la vérité, colonelle. Une femme qui te ressemble à exécuter la noyée. Des sosies vont remplacer tes collègues, pendant que nous les éduquerons. Tu aimes le sexe, tu es une bisexuelle, anale, future vicieuse, qui aime les fessées, le summum de la perversion chez une femme. Celle qui te ressemble, l’applique à bon escient. On va te fouetter pour l’exemple.
Je me retrouve dans une pièce mitoyenne, entourée de miroirs et de glaces sur les murs et au plafond. Je me retrouve les bras tendus en l’air, au-dessus de la tête, à peine fléchis. Je garde la barre d’écartement.
La brune me caresse la chatte.
- Tu mouilles avant que l’on te cravache, tu es excitée.
Elle dépose quelques gouttes sur mes mamelons qu’elle libère quelques instants, puis elle remet les pinces à seins en place. Ainsi que sur mon clitoris tendu, par l’excitation.
On me cravache longuement les reins, les fesses et les cuisses, de la taille aux jarrets. Je gémis, mais une vague de plaisir m’envahit.
Au bout d’un quart d’heure, on me fais boire un grand verre d’eau mélangé à un excitant sexuel.
En effet, mon clitoris devient gros comme une cerise, saillant et volumineux tandis que mes mamelons deviennent saillants, gros et longs. Ils sont hyper sensibles. Mes mamelons pointent au maximum tout le temps, vingt quatre heures sur vingt quatre et de même pour mon clitoris. Ils sont complètement tendus et très dur au point de me faire vraiment mal et ces endroit sont devenus sensibles.
On marque une pause, un des six hommes m’écarte bien les fesses brûlantes.
- Son œillet a bien d’être défoncé, la chaude.
Il m’encule jusqu’aux testicules, me donne quelques claques magistrales et masturbe par intermittence mon gros clitoris.
- Un gros gode anal devrait l’écarteler davantage, cette chaude.
Je reçois en plus cinq marques de cravache sur mes fesses et deux sur le dos des cuisses et cinq sur le devant de mes cuisses.
On apporte un coffret en bois ouvert, contenant, sur un lit de velours brun, dans un compartiment un assortiment de chaînette et de ceintures, et dans l'autre un choix de vibromasseurs de sexes réalistes en érection, qui vont des plus minces aux plus épais.
On m’insère un vibromasseur anal, veiné, de trente-six par huit, gainé de picots. Il s’allonge et rétrécit à chaque mouvement de va-et-vient grâce à son enveloppe ultra-souple qui s’étire ou se contracte en suivant les montées et descentes du gode. J’ai l’impression d’avoir un véritable homme à leur disposition qui leur fait l’amour en étant infatigable. Il est doté d’un gros gland, d'un prépuce qui glisse le long du gland lors de la pénétration.
Le vibromasseur possède trois petits trous percés dans la base des testicules réalistes, trois chaînettes qu'il laissa pendantes. Je reste menottée debout, sans ma barre d’écartement.
On m’attache une étroite ceinture autour de ma taille, et l'on y accroche les trois chaînettes, une par derrière qui suit le sillon des fesses, et les deux autres par-devant, qui longent le pli des aines en contournant le triangle pubien.
- Elles sont ajustées au plus court, pour forcer et distendre ton œillet de chaude, et cadenassées, tu ne peut seule, te soulager de cette contrainte.
Les va-et-vient me font jouir, malgré la douleur des picots.
Les six hommes profitent de ma chatte resserrée par le vibromasseur, pour m’entraîner à la double pénétration. Je me retiens de jouir sous le double plaisir vécu.
Vers 19 heures, je suis détachée du crochet, l’anus libre.
- Tu vas goûter à tes premières doubles pénétrations, Colonelle. Tu as l’œillet bien ouvert, maintenant.
Nue, je me fais baiser par les calibres de sept centimètres, couché sur le dos, et celui de huit centimètres m’encule simultanément. Je connais un violent double orgasme.
Puis je m’encule sur un autre de huit centimètres, tandis qu’il se trouve sur le dos et je suis de dos, toujours avec les jambes ouvertes je reçois un autre de sept centimètres dans ma chatte et je connais le même double plaisir, doublement inondée, telle une pute.
Les calibres de huit centimètres m’enculent, par derrière, en me soutenant, tandis que ceux de sept centimètres me défoncent la chatte simultanément. Je l’entoure de mes jambes, doublement pénétrée.
C’est alors qu’un de sept centimètres sans quitter ma chatte, m’allonge sur le tapis, il est allongé sur le dos. Mes cuisses sont écartées, je suis baisée jusqu’à la garde. Un de huit centimètres nous rejoint et m’encule aussitôt jusqu’aux testicules.
Je connais un double orgasme, ma bouche remplie du sperme des autres étalons qui m’ont baisée et enculée.
Je ne peux compter combien ils sont pour me faire jouir, ma chatte et mon anus dégoulinent de spermes chauds.
- Très bien, tu te montres docile et soumise à autant d’étalons, Colonelle.
Elle me remet le vibromasseur en place et elle me conduit au sous-sol, dans une petite cellule aménagée, avec des miroirs et des glaces au plafond.
- Ma belle, tu es constamment filmée et photographiée depuis que tu es entrée dans ce lieu. Tu vas y passer quatre jours de perversions, enculée et fouettée à toute heure.
La cellule comprend juste un chevalet et une douche, un bidet pour mes besoins.
- Tu vas le porter huit jours durant, entre son lever et le repas de midi, puis entre la tombée du jour où tu finis ton service et l'heure de la nuit, dix heures généralement, où on te ramène, enchaînée, nue. Tu la gardes pour ton bain, nue, parfumée, au réfectoire. Ton valet ne te l’enlève qu'au moment où tu seras enculée dans ce lieu chaque soir. Ta bouche, ton écrin et ton œillet seront fouillés à notre gré, car tu ne peux plus te dérober, la bouche toujours entrouverte, les cuisses toujours écartées, pour l’accès à ta bouche, ton écrin et ton œillet. Tu t’offres au premier venu, à visage découvert et tu es fouettée qu'entre le coucher et le lever du soleil. Tu es punie du fouet le soir pour manquement à la règle dans la journée : c'est-à-dire pour avoir manqué de complaisance, ou levé les yeux sur celui qui te parle ou te prend : tu ne dois jamais regarder un de nous au visage. Si notre sexe est à découvert, pour que tes yeux s'y fixent, et ne se fixent pas ailleurs, pour que tu apprends que c'est là ton maître, à quoi tes lèvres sont avant tout destinées. En outre, à la nuit, tu n'as que tes lèvres pour nous honorer, et menottée au chevalet, nue, les yeux bandés, pour être fouettée. A ce propos, le fouet est pour votre instruction. Cela est tellement vrai que les nuits où personne n'as envie de toi, tu attends que le valet chargé de cette besogne vienne dans la solitude de ta cellule t’appliquer ta punition. Tu es contrainte. A ta sortie, tu es constamment nue sous ta jupe, si correct et banal que soit ton vêtement, et que c'est pour eux.
On me retire le vibromasseur anal, pour ma douche. Je suis suspendue les bras en l’air, avec mes pinces à seins, qui tintent, une canule me nettoie mon anus à l’eau froide. Je me retiens de jouir, devant la brune.
Je suis solidement immobilisée dans cette posture dégradante, le postérieur plus haut que la tête. Mes bras sont fixés le long des pieds avants, mes jambes le long des pieds arrières, et une large sangle m'est passée au niveau de la taille. Mes cuisses, légèrement fléchies sont empêchées de se resserrer par la largeur de la poutre, ainsi d'ailleurs mes fesses que je me peux refermer. Toute mon intimité est ainsi très accessible et on peut me faire tout subir. Je garde mes pinces à seins, ainsi que d’autres aux grandes lèvres de ma chatte humide. J’offre penchée en avant, laissant bien tomber les seins sous le poids des pinces ensuite le sang cesse de circuler, le mamelon devient froid et là je ne sens plus rien. Il pince aussi mes grandes lèvres humides, pour les étirer beaucoup et mes mamelons aussi en déformant aussi mes seins vers le bas.
Sans attendre, je suis à nouveau enculée par d’autres inconnus, les yeux bandés, que je suce jusqu’à la dernière goutte.
Je me retrouve aussi enculée jusqu’au nœud par le doberman. Je gémis un peu, mais deux orgasmes anaux me submergent, largement inondée.
Toutes les demi-heures, je suis livrée à chacun des chiens, tantôt des dobermans, tantôt des bergers allemands, enculée jusqu’au nœud, décuplant mes orgasmes anaux, l’anus largement inondé de leurs spermes chauds. Je les suce, guidé par un des valets.
A chaque coup de rein de chaque chien, mes clochettes tintent en se balançant entre mes cuisses humides et à mes seins.
Pantelante, je subis sept saillies anales canines sans répit, pendant environ quatre heures, en fonction de l’excitation des chiens.

21 juin
Avant l’aurore, je subis trois saillies de ma chatte par un doberman, un berger allemand et un malinois, pour me récompenser de mes orgasmes anaux. Je les suce aussi et j’avale tout. Mon anus expulse le surplus de spermes canins, qui coule dans ma chatte.
Un doberman, un berger allemand et un malinois m’enculent aussi dans la pièce, pour leurs plaisirs.
Je reçois à nouveau les gouttes sur mes mamelons libérés et mon gros clitoris.
J’enchaîne les doubles pénétrations sur des doubles vibromasseurs réalistes de huit centimètres chacun, les fesses et les cuisses fouettées, mes bracelets de mes poignets joints à mon collier, devant maîtriser mes orgasmes.
Bien sûr, je suis livrée en doubles pénétrations intenses à d’autres inconnus, je suis toujours les yeux bandés.
Les saillies canines continuent à divers moments de la journée.

25 juin
A l’aube, encore menottée au chevalet, pantelante, par de nouvelles saillies anales et vaginales, la brune me fait épiler autour de mon gros clitoris, pour le percer d’un anneau doré serti d’une pierre précieuse pour l’étirer et un anneau à chacune de mes grandes lèvres étirées par le port des pinces à seins. Mes mamelons sont constamment tendus.
- Ca y est, tu es une vraie soumise docile. Tu aimes énormément le sexe, baise, anal, double pénétration, saillie canine, une vraie pute chienne, Colonelle.
Elle m’enfonce dans mon anus entrouvert et humide de spermes canins, un bijou d’anus de cinq de diamètre, moulé sur le devant du sexe du doberman, me rappelant que je suis une chienne.
- Le commandant du groupement régional Alsace n’a vu que du feu, avec ton sosie et les autres. Je garde les autres en attendant. Je te fais déposer à la frontière entre la Suisse et la France. Tu vas enfiler cette nouvelle tenue de soumise.
C’est une robe pour le grand soleil composée d'une jupe éventail, qui se retrousse d'un geste, mais toujours à corselet montant jusque sous les seins, et portée avec un boléro fermé au cou. Il suffit d'enlever le boléro pour que les épaules et les seins soient nus, et sans même enlever le boléro, de l'ouvrir, si l'on désire voir les seins. Si tu portes ton uniforme, finis les soutien-gorges et les slips, strings, bas dessous, seins, fesses et jambes constamment nues, tes mamelons tendus seront bien visibles, si tu es excitée. Je chausse mes pieds nus de mules à très hauts talons et me coiffe d’une queue-de-cheval, fardée et maquillée. Mes paupières sont légèrement ombrées, ma bouche fardée avec un rouge clair, un peu liquide, appliqué au pinceau, et qui fonce en séchant. Du même rouge sur les aréoles des seins et les mamelons constamment tendus, et les petites lèvres entre ses cuisses, en soulignant la fente du giron. Mon visage est poudré le visage, du parfum longuement passé sur les aisselles lisses et la fourrure pubienne, dans le sillon entre les cuisses, dans le sillon sous les seins, et au creux des paumes, comme j’ai appris pendant les quatre jours.
Je suis libérée à la frontière. Une limousine conduite par la fausse Diane me reconduit à mon hôtel. Je passe mon uniforme pour mon rapport en Suisse. Ma garde-robe dans ma valise a été remplacée par des tenues autorisées.
- Alors, Colonelle, les quatre jours en Suisse ont été concluant.
- Non, Commandant, je n’ai pas pu avoir accès à certaines informations confidentielles sur le père banquier. Je suis désolé, mais mes collègues Suisses vont faire le maximum.
- Ce n’est pas grave, Colonelle, vous avez fait votre maximum, mais le coupable sera arrêté un jour.
Vers 23 heures, alors que je me déshabille dans ma chambre d’hôtel, de mon uniforme, après un rendez-vous à la brigade fluviale de la gendarmerie d’Alsace, la porte s’ouvre.
C’est le général de brigade, Charles Edouard, du double de mon âge, qui entre.
- Hermine, tu es très belle, nue, qu’en uniforme. Je sais pourquoi tu as retenu ta langue devant les autres. C’est Miss AV qui t’a corrigée, regarde les marques sur tes fesses et tes cuisses, la pierre précieuse à ton gros clitoris percé, tes anneaux dorés à ta chatte et ta pierre entre tes fesses. Tu es une vraie soumise docile, Hermine.
- Général, je…
- Pas un mot, Hermine, ni regarder un homme au visage, ni me parler. Tu ne le dois pas davantage à moi, mais te taire, et obéir. Tu n'ouvres désormais ici la bouche, en présence d'un homme, que pour crier ou caresser. Viens me sucer.
J’obéis, son mandrin de trente-six par sept me remplit la bouche.
Sans attendre, nu, il me prend sur le lit, cuisses écartées, l’anus libre, je suis enculée, fesses bien tendues, accoudée.
- Ton œillet est bien ouvert, belle pute Hermine. Je vais te fesser, pour t’apprendre à bien te tenir.
Les claques magistrales me chauffent les fesses et l’anus et ses testicules claquent contre mes fesses brûlantes.
 Puis allongée sur le dos, cuisses écartées, il m’encule à nouveau, face à lui. Je me retiens de jouir, tellement le plaisir anal est intense.
Il éjacule en moi. Je le nettoie en 69, pour être à nouveau enculée, cette fois à quatre pattes.
Il m’étreint la taille, m’enculant jusqu’aux testicules, me pelote les seins aux mamelons constamment tendus tout comme mon gros clitoris tendu. Il éjacule à nouveau. Je le nettoie. Il me remet le vibromasseur anal que j’ai porté à Genève, cadenassé pour la nuit.
Seule, je dois lutter pour ne pas hurler mon plaisir, sans me masturber.

26 juin
Vers 9 heures, le général vient me chercher. Je suis encore nue. Je me douche, me farde, me parfume et enfile ma robe à corselet et mon boléro, chausse mes mules.
Les yeux bandés, le général me conduit dans un lieu mystérieux.
Là, des lieutenants aux colonels de gendarmerie, amis du général m’attendent.
Je suis menottée nue, à un chevalet, les yeux bandés.
Je dois sucer en subissant de longues sodomies profondes, fessée. Je dois retenir mes orgasmes anaux violents.
Cela dure une éternité, puis je suis prise en double pénétration, suçant toujours.
Pantelante, je dois me soumettre aux désirs des inconnus.
Ma chatte, mon anus et ma bouche dégoulinent de spermes chauds.
Quand on me retire le bandeau, je suis seule, menottée au chevalet, entourée par Miss AV et Charles Edouard.
- Elle a eu sa ration pour aujourd’hui. C’est une pute docile, facile, elle a envie de tous les hommes qui la désirent, en la livrant à d'autres, pour sa propre facilité, annonce Charles Edouard.
- Non, quelques chiens vont la faire jouir, annonce Miss AV.
Je me fais saillir, enculée toutes les demi-heures par des dobermans et des malinois affectés à la gendarmerie.
Je dois sucer les maîtres-chiens.
A bout de dix saillies, je perds connaissance.
Quand j’émerge, je suis menottée nue, dans un grand lit, d’une luxueuse chambre, entourée de miroirs et de glaces sur les murs et au plafond, bras et jambes écartées, avec le vibromasseur anal. Ai-je rêvée ou fantasmée, ma chatte et mon anus dégoulinent.
- Alors, Colonelle Hermine, on reprend ses esprits, après dix heures d’orgies avec des collègues. Tu es une vraie pute, annonce Miss AV. Repose-toi. Charles Edouard te veux demain matin à Nice, avec ton Falcon.
Je suis submergée par les orgasmes anaux dus au vibromasseur anal à picots.

27 juin
Vers 11 heures, j’atterris à bord de mon Falcon 900 à l’aéroport de Nice, en tailleur fuchsia sur mon chemisier, seins, fesses et jambes nues, en escarpins blancs, les cheveux libres. Je ne porte plus le vibromasseur anal. Je suis toujours fardée et parfumée.
- Colonelle, un amant de Marie Chantal a avoué des faits sexuels sur la noyée, m’annonce le commandant de la brigade de Menton.
Je suis conduite à la brigade.
L’amant est un beau jeune homme, qui me toise.
- Tu ressembles à une autre pute que j’ai rencontré à Menton, peu avant la disparition de Marie Chantal. Tu sais, Marie Chantal aime se faire saillir, fouetter, et surtout, enculer profondément. Tu dois connaître ça, toi aussi.
Je ne comprends pas.
- Tu sais, tu es devenue une soumise docile. Tu baisse les yeux devant moi. Tu es comme Marie Chantal et Miss SV.
Je ne réponds pas.
Je quitte la brigade et je prends un taxi pour rejoindre Monaco.
En chemin, le chauffeur de taxi fait un détour par un quartier d’immeubles, où se trouve des amis de l’amant, sans que je le sache.
Il me laisse seule et repart. Je n’ai pas pris mon téléphone sur moi. Je l’ai laissée à la brigade, le tenant de faire mon trajet.
Quatre étalons me cernent, un Européen brun, un Africain noir et deux Nord Africains, Miss AV est présente.
- Messieurs, cette pute à besoin de se faire défoncer l’œillet, comme l’autre pute. Elle est toute à vous.
Sans ménagement, je suis conduite à la cave. Je suis rapidement déshabillée et je suis offerte nue, avec mes carcans de cuir de Genève, plus des bracelets de cuir aux chevilles.
- Comme cela, tu es bien sage, Colonelle.
- Quelle chatte velue et quel œillet bien ouvert avec ton bijou d’anus, annonce Sacha, qui me fait sucer son mandrin de vingt-sept par sept.
Je suis menottée dans le dos, sur un matelas.
Ils me relèvent les jambes, claquent mes fesses, mes cuisses et ma chatte humide d’excitation, mes mamelons et mon clitoris sont tendus à l’extrême.
Je reçois trente claques par le quatuor, avant quatre longues sodomies et éjaculation en bouche.
On fixe des chaînes aux bracelets de mes chevilles, pour que je reste les cuisses complètement ouvertes, les reins soulevés.
Puis l’Africain, Désiré, ramène d’autres amis, des Africains noirs et des Nord Africains qui payent pour m’enculer. Je tente de retarder mes orgasmes anaux, mais certains doivent éjaculer dans mon anus.
Au bout d’une heure, les jambes en l’air, jambes ouvertes et relevées, exposée, je ne peux cesser de désirer refermer mes jambes.
D’autres mandrins m’enculent tantôt sauvagement tantôt profondément, je fais mon maximum pour avaler leurs spermes. Mes mamelons sont étirés, pincés, mes seins sont brûlants de désir.
On me libère quelques instants, pour me prendre dans une autre position.
Prosternée, mains jointes à mon cou, cuisses écartées, une barre d’écartement m’empêche de les refermer, je suis enculée latéralement par les gros mandrins des Africains Noirs, qui me fessent aussi, je dois tout avaler.
Je ne compte plus mes sodomies. J’ai droit des doubles pénétrations, debout, mains jointes à mon cou, avec d’autres amis. Je suis constamment filmée et photographiée.
Soudain, j’envoie Désiré annoncer :
- L’amant de la pute s’est suicidé. Elle ne connaîtra pas l’identité du coupable, Colonelle.
- Continuez à l’enculer, jusqu’au coucher du soleil. Vous serez bien payés.
Au coucher du soleil, je sors de la cave, rhabillée, avec mon bijou d’anus, avec une douche sommaire devant mes étalons.
Une voiture de la brigade de la gendarmerie de Menton me retrouve, suite à un appel anonyme.
Je dors peu, repensant à la scène de la cave. Je dors à Menton, dans un lieu sécurisé, dans la caserne.

28 juin
A l’aube, la brigade de gendarmerie de Menton arrête mes quatre violeurs, car ils sont aussi les auteurs du viol de l’amant de Marie Chantal. Il a été enculé par les quatre étalons, pour le soumettre au désir de Miss AV.
Je rentre à Vienne, en tailleur noir, sur mon corselet seins nus.
Discrètement, je fais interpeller le général Charles Edouard et ses complices en Alsace. Ils sont dégradés et remis à la justice.
Mais il reste à intercepter Miss AV et Miss SV.
Grâce à la vraie Diane, qui a réussi à s’enfuir et à Alban et à Nathan, nous piégeons Miss AV, qui est connue sous l’identité de Anne Valérie Sophie, lors d’un contrôle routier entre Nice et Lyon, par le peloton autoroutier, à bord de sa Ferrari, immatriculée en Suisse. Elle se dit sous protection diplomatique Suisse, mais son alibi ne tient pas, car le Ministère des Affaires Etrangères Suisse révèle que c’est un faux passeport diplomatique.
Vers 18 heures, quand je rentre à mon appartement non loin de mon bureau, à Vienne, je tombe sous le charme d’un bel athlète du triple de mon âge.
- Miss SV, je présume. Je vous attends depuis votre arrivée à l’aéroport de Vienne de votre Falcon.
- Vous faites erreur, je suis la Colonelle Hermine de la police Européenne.
- Non, c’est toi, Miss SV.
Nous entrons dans mon appartement.
- Déshabille-toi, que je vois tes signes de reconnaissance de soumise.
J’obéis, en gardant les yeux baissés.
- Tes mamelons et ton gros clitoris sont constamment tendus, tes grandes lèvres sont percées, ton gros clitoris aussi, tu portes un bijou d’anus. C’est bien toi, Miss SV.
Il me fait sucer son gros mandrin de trente par huit, accroupie.
Sans attendre, il me fait pencher en avant, cuisses écartées, l’anus libre. Il m’encule jusqu’aux testicules. Il m’écarte bien les fesses brûlantes par les claques magistrales, me masturbe mon clitoris tendu. Je ne sais si je dois jouir ou gémir.
- Tu as un œillet ouvert comme une chienne. Tu aimes te faire défoncer par les dobermans, chienne.
Je n’ose répondre, cela m’excite.
Il me fait agenouillée, dos contre son buste musclé. Je suis enculée jusqu’aux testicules, sa main droite pelote mon sein droit et me masturbe longuement mon clitoris, ses doigts de la main gauche dans ma chatte humide.
- Tu es toute mouillée d’excitation. Tu aimes que je t’encules, chienne.
Je retarde mon orgasme anal.
Enfin, il me renverse en arrière, les genoux sur les épaules, enculée, par l’endurant athlète, en traction et en appui sur ses bras et il m’achève sans débander, prosterné devant moi. Je jouis et il éjacule en moi.
- Tu as été parfaite, Miss SV. Merci pour ta collaboration, chienne.
Je le suce et j’avale tout.
Il disparaît comme il est venu. Il me laisse une carte de visite mystérieuse :
« Mes hommages à Miss SV,
Votre Maître, Sir Donatien de Beau Mille Sévices
Je vous attends prochainement à Monaco. »
Il y a une adresse privée et un code d’accès.
Qui est Miss SV, qui me ressemble ?

1er juillet
Vers 14 heures, j’atterris à l’aéroport de Nice, à bord de mon Falcon 900. Un Dauphin, immatriculé aux Bermudes, m’attends.
Je suis vêtue d’une robe d’été, longue jusqu’à mi-mollets, discrètement fendue, devant et derrière, à corselet seins nus, avec mon boléro assorti, mes sandales à hauts talons, coiffée d’un chignon, fardée et parfumée. J’ai mis mon bijou d’anus.
Je monte à bord du Dauphin et nous rejoignons le yacht de cent cinquante mètres de long « Désir d’Océan », immatriculé aux Bahamas, au large de Monaco.
Le Dauphin me dépose.
Je retrouve Sir Donatien.
- Miss SV, tu es resplendissante. Déshabille-toi devant nos invités.
Nue, je suis caressée, pelotée, les yeux baissés, la bouche entrouverte, comme exigée.
- Ce n’est pas Miss SV, elle n’a pas les reins tatoués, ni les marques sur les fesses, mais elle lui ressemble, dit un des invités, en m’enculant sauvagement, à quatre pattes sur le tapis, du salon, l’anus libre.
Je me retrouve rapidement emprisonnée dans un pilori et des stocks pour mes pieds nus, immobilisée, dans une pièce capitonnée, constamment filmée et photographiée.
Je subis la cravache, la garcette un long moment, mais je mouille, plus que je ne parle, prise par le plaisir.
Enfin, une femme entre en guêpière de cuir, seins nus, en cuissardes, le visage cagoulé, laissant visible ses grands yeux verts et sa bouche, coiffée d’une queue-de-cheval. La guêpière est plus courte par-derrière et laisse la croupe entièrement libre.
- Tiens, mais je rêve, mon sosie. Je ne l’ai plus revue depuis nos dix-huit ans, Hermine Aimée, future Comtesse Beau Séjour Du Mon Plaisir. Le Prince Omar sera ravie de voir ma sœur jumelle. Désolé, je dois te faire rester immobilisée pour les présentations.
- Shawn… dis-je.
- Silence, soumise, tu ne dois pas parler, mais sucer et lécher, comme cela t’es exigée.
Miss SV enfile un gode-ceinture à double vibromasseur de sept centimètres chacun et un vibromasseur anal pour elle de huit centimètres.
- Laissez-nous seules.
Miss SV me prend ainsi en double pénétration, en me cravachant. Je jouis.
- Tu aimes ça, maintenant les doubles pénétrations. Toi, qui a toujours refusée que je te doigte ton œillet vierge.
- Shawn, donne-moi du plaisir.
J’explose dans un double orgasme combiné à celui de Shawn, dans son orgasme anal.
- Omar sera fier de toi, doublement ouverte, perverse, vicieuse et aimant le plaisir sous le fouet.
Peu après, le Prince Omar entre, nu, doté d’un gros mandrin de quarante par huit, en érection.
- C’est elle, la fameuse tombeuse de la pute Miss AV, qui l’a bien mérité. Laisse-moi ton œillet, ma chérie.
Omar m’encule avec une lenteur calculée, me fessant magistralement et me donnant quelques coups de cravache, telle une jument en rut. Je me retiens de jouir. Miss SV me fait lécher sa chatte intégralement épilée et son gros clitoris tendu et percé comme le mien. Je découvre sur son pubis tatoué la cravache et le fouet entrecroisés et écrit en arabe Vicieuse des Sables Shawn.
Je connais mon orgasme anal, dès le retrait d’Omar, qui me fait sucer et nettoyer son gros mandrin.
Miss SV en profite pour m’épiler mes grandes lèvres de ma chatte humide, remplacer les anneaux dorés par des fers, dont un au nom de Sir Donatien et l’autre au nom d’Omar. Ce sont des anneaux de fer mat inoxydable. La tige en est ronde, épaisse comme un gros crayon de couleur, et ils sont oblongs : les maillons des grosses chaînes sont semblables. Chacun est formé de deux U qui s'emboîtent l'un dans l'autre. Un ressort intérieur sur lequel on doit forcer pour le faire pénétrer dans la rainure où il se bloque. Chaque anneau est long comme deux phalanges du petit doigt, qu'on y peut glisser. A chacun est suspendu, comme un nouveau maillon, ou comme au support d'une boucle d'oreille un anneau qui doit être dans le même plan que l'oreille et la prolonger, un disque de même métal aussi large que l'anneau était long.
Munie d’un bâillon-boule, je reçois les lettres H et S entrelacées sur ma fesse gauche et sur l’autre, BDSM entrelacées avec une cravache et un fouet au-dessous. Je perds connaissance.
Mes reins sont tatoués à l’encre noire, Chienne H, docile et vicieuse.
Les fers me descendent jusqu'au tiers de la cuisse, et à chacun de mes pas bougent entre mes jambes comme un battant de cloche, le disque gravé étant plus lourd et plus long que l'anneau auquel il pend. Les marques imprimées par le fer rouge, hautes de trois doigts et larges de moitié leur hauteur, sont creusées dans la chair comme par une gouge, à près d'un centimètre de profondeur. Rien que de les effleurer, on les perçoit sous le doigt. De ces fers et de ces marques, j’éprouve une fierté insensée.
Pendant ma perte de connaissance, les invités m’enculent, me font sucer, avaler leurs spermes.
A mon réveil, je suis entourée par Shawn ma sœur jumelle, enculée par Omar. Je suis devenue une soumise docile, chienne et incestueuse.
- Quel œillet, Hermine, tu es une jouisseuse aussi exceptionnelle que Shawn.
- Omar, faites-moi jouir, tandis que je doigte l’anus de Shawn, dans ce 69 torride.
Nous restons des heures à faire l’amour, offrant en alternance nos anus à Omar.

2 juillet
Au lever du soleil, j’émerge nue de la chambre, en sueur, me douche et rejoins le pont terrasse, toujours nue et pieds nus, les cheveux libres.
Mes fesses sont encore rougies par les fessées. Je porte mon bijou d’anus.
Les autres invités sont partis, sauf Sir Donatien, qui vient me voir.
Tiens, la belle Hermine émerge. Tu es officiellement marquée et ferrée naturellement, tout comme une soumise docile de choix. Désormais, tout le monde connaît la signification de ta marque et de tes fers. Tu vas garder ton triangle pubien, pour te différencier des autres soumises. Tu es libre de quitter ton emploi de gendarme, pour devenir soumise à temps plein, en compagnie de ta sœur jumelle Shawn, que j’ai aussi ferré naturellement.

Le lendemain, je me réveille nue, avec mes carcans de cuir, dans une luxueuse chambre sur une île paradisiaque avec ma sœur jumelle Shawn. Elle est desservie par de luxueux yachts dans le lagon.
L’île abrite des dizaines de soumises ferrées et marquées comme moi, livrées à de riches clients fortunés pour nous enculer, nous fouetter et nous subissons les saillies anales des chiens de garde en totale liberté.
Je monte à cheval, sur une selle munie d’un double vibromasseur de huit centimètres de diamètre. Je connais mon premier orgasme avec le sexe équin grâce à Shawn. C’est divin, un tiers de la longueur me remplit ma chatte humide d’excitation. Je nettoie le sexe comme toute bonne soumise.
Le soir, je suis offerte dans de longues orgies anales avec d’autres soumises, des invités. Chaque acte sexuel, coup de fouet, saillie sont tarifiées et me remplit mon compte bancaire. J’ai quitté la gendarmerie. Miss AV est emprisonnée, personne ne connaîtra le nom de l’exécutrice, ma sœur jumelle Shawn.

Le lendemain, au lever du soleil, après mon lavement anal, je me douche à l’extérieur, sur la terrasse donnant sur la mer, de mon bungalow sur pilotis, attirant les regards des invités débarquant des yachts.
Je sais que certains me sont destinés, comme toute soumise que je suis. Mais Shawn a le dernier mot, en fonction de mes spécialités.
Pour un des invités, je m’essaye à ma première saillie anale équine. Je gémis, mais le plaisir anal l’emporte.
Je fouette aussi les soumises rebelles, selon les ordres de Shawn.
Je peux faire aussi l’amour, enculée par un chien et baisée par un homme, pour me faire exploser dans une vague de plaisir.
Je reste des mois sur cette île, ignorée des non initiés. Tous connaissent la signification de mes tatouages, mes fers et mes marques au fer rouge.

Si vous souhaitez me retrouvez avec ma sœur jumelle Shawn, vous savez où me contactez : Chienne Hermine, Pute à bouche dressée, soumise de Sir Donatien et du Prince Omar, je vous attends, mon œillet est déjà tout ouvert à vos queues en érection, mes futurs amants.

Hermine et Shawn, vos chéries

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