Je m’appelle Hermine.
J’ai 25 ans.
Je suis une jolie beauté scandinave.
Je suis une
brune aux yeux verts. J’ai des pieds fins et latins, des jambes longues
bronzées, musclées qui inquiètent par leur perfection. Mon pénil est bombé,
ouvert, couronné de noir. Ma pilosité brune couvre mon pubis. Je suis
totalement velue entre les cuisses et j’ai une superbe croupe. Les lèvres de
mon sexe sont une plaie rouge entre mon entrecuisse velue. Mes hanches
s'incurvent et délimitent le ventre plat, délicieusement renflé autour du
nombril, les hanches sont larges et rondes, mais sans lourdeur. La taille est
affinée. Les seins parfaits intégralement bronzés sont un peu volumineux mais
fermes, et leurs pointes marron clair, toujours dressées, cernées par une large
aréole marron attirent le regard. J’ai une peau lisse et patine. Finition
parfaite, un seul grain de beauté entre mes superbes seins. De longs cheveux
plats blonds flottant comme des algues, battent mes épaules rondes et
gracieusement athlétiques. Je suis intégralement bronzée. Mes yeux verts
limpides s'allument, ma bouche charnue se fend. J’ai des sourcils bruns bien
dessinés et des lèvres pulpeuses. J’ai de longs doigts fins et de belles mains.
Je fais du 85B de poitrine, 56 de taille, 90 de hanches, 1,72 m.
ENQUETES
DU COLONEL HERMINE
12 juin
Je suis colonelle de gendarmerie nationale, détachée auprès des
services de la police Européenne, en charge des crimes sexuels. Je travaille à
Vienne et je suis souvent en mission en Europe.
Je suis secondée par le capitaine Alban, le lieutenant Diane et le
major Nathan, tous sont issus des meilleurs éléments de la section judiciaire
dédiée aux crimes sexuels.
Vers 10 heures, je descends, en tailleur et escarpins blanc, les
cheveux libres, du Falcon 900, immatriculé au Luxembourg, en provenance de
Vienne, à l’aéroport de Bâle-Mulhouse.
La gendarmerie du Haut-Rhin a découvert le corps d’une noyée nue, entre
la frontière Suisse et la frontière Allemande, sur la berge Française du Rhin.
La section de recherches se trouve sur place.
Je la rejoins, à bord d’une berline banalisée, conduite par Diane.
Je suis accueillie par le colonel de la brigade fluviale du Rhin.
- Colonelle, je vous ai contacté. La noyée n’ayant aucun papier
d’identité sur elle, mais portant des zébrures sur tout le corps, des marques
au fer rouge et les grandes lèvres de la chatte percées de longs pendentifs,
indique cette noyée est une soumise.
- Je vois, c’est un réseau SM, qui l’a choisie. Diane, tu vas fouiller
avec les collègues du Haut-Rhin, des informations sur des Maîtres SM
transfrontaliers opérant dans le département et les départements voisins. Je
vais à la brigade de Mulhouse, pour des disparitions de jeunes femmes ces
derniers mois.
La noyée est transférée pour identification dans un laboratoire proche.
A la brigade de Mulhouse, je retrouve une vieille connaissance, le
colonel Brice, un ancien du groupement départemental d’Orléans. Je suis aussi à
la recherche de ma sœur jumelle, Shawn, qui a disparue depuis l’âge de ses
dix-huit ans.
- Hermine, que tu es resplendissante, Vienne te fait mettre en charme,
dit Brice.
- Parlons, plutôt d’un ou plusieurs réseaux SM en Alsace, je soupçonne
un meurtre sexuel de leur part.
- Tu veux parler de la blonde intégralement épilée, ferrée et marquée
au fer rouge. C’est peu commun, ce sont plus des Maîtres britanniques,
allemands ou hollandais qui sont les experts. Fouille auprès de tes contacts à
Vienne. Tu veux manger avec Diane, dans un restaurant discret.
- D’accord, mais avant, je contacte Vienne.
L’enquête avance lentement. Aucune disparition n’est répertoriée en
Alsace avec le profil.
J’étudie les diverses pratiques SM depuis quelques années. Jamais, je
n’ai vu une fille porter autant de marques de soumission.
Après mon appel à Vienne, je me promène en compagnie de Diane le long
du Rhin, pour réfléchir.
- Curieuse enquête, aucune disparition en Alsace, ni en France, ni en
Allemagne et ni en Suisse, cela est maigre, dis-je.
- Oui, trop de mystères pour une jeune femme. Il paraît, qu’elle a eu
des grossesses, donc des enfants, non identifiés.
Au restaurant, en compagnie de Brice, Diane, nous parlons de l’époque
de l’école de la gendarmerie.
Le soir, je me dors nue, dans la chambre d’hôtel réservée par Brice.
Vers 23 heures, le téléphone sonne. Je décroche :
- Quelle grâce sur les quais, tu ressembles à une vieille connaissance.
Tu dois aimer te masturber la chatte.
- Oui, j’aime cela, quand je ne suis pas avec mes amants, dis-je.
- Tu es un peu chaude. Caresse-toi la chatte en te filmant.
Cuisses écartées, adossée à mon oreiller, je me masturbe le clitoris
jusqu’à le durcir, tout en plongeant mes doigts dans ma chatte humide
d’excitation.
- Continue, je veux t’entendre jouir.
Un violent orgasme me terrasse.
C’est un bon début, à la prochaine, colonelle. Tu devrais aller voir à
Nice, tu auras peut-être des indices.
Le téléphone raccroche. Ce mystérieux appel féminin m’intrigue. Je me
rendors nue.
13 juin
Vers 8 heures, Diane frappe à la porte.
- Colonelle, debout, on a rendez-vous au groupement départemental avec
le commandant, en grande tenue.
J’arrive.
Je me douche rapidement, sors mon uniforme et m’habille, avec mon
chignon réglementaire.
Diane me conduit au groupement.
- Colonelle, avez-vous d’autres informations sur le réseau SM qui a
soumis cette jeune femme ?
- Je sais peu de choses, mais je devrais aller à Nice. Des indices
pourront m’aider à découvrir son enfance à Nice.
- Nice, colonelle, dit Diane, tu m’as dit aucune disparition en France.
Nous prenons le Falcon 900 vers 10 heures et atterrissons à Nice.
La section de recherche de Nice nous informe :
Une certaine Marie-Chantal de Val de Sire a disparu il y a dix ans, peu
avant un mystérieux accident d’hélicoptère dans les eaux monégasques, avec ses
riches parents.
J’étudie le dossier, visite la résidence à Menton, interroge la sûreté
Monégasque sur l’accident, dont on n’a pas pu trouver les causes exactes.
Je dors quatre jours dans une résidence louée à une amie de Diane.
Chaque soir, je me douche et je reste nue dans mon lit, à étudier
chaque dossier de la vie de Marie-Chantal, qui ressemble un peu à moi, mais
blonde, aux seins plantureux.
Le premier soir, le téléphone sonne :
- Alors, la chaude, tu te plais à Nice. Caresse-toi comme hier, tu as
envie.
Je ne peux refuser et je jouis jusqu’à un long et violent orgasme, en
me filmant.
15 juin
Le soir, nue, le téléphone sonne. La veille, j’ai encore un violent
orgasme en me masturbant la chatte, en me filmant.
- Tu as déjà enfoncé tes doigts dans ton œillet. Tu dois être vierge de
là, mais pas ta chatte.
- Jamais, je ne peux faire ça.
- Tu te refuses, mais au fond de toi, tu le désires. Il faut aller en
douceur.
Je prends une pose cuisses écartées, et j’enfonce un doigt dans mon
anus, qui résiste un peu.
- Détends-toi.
À ma grande surprise, il a glissé tout seul sans peine. Je suis
totalement détendue.
Allant jusqu’à enfoncé un second et je me masturbe le clitoris tendu et
enfonce mes doigts libres dans ma chatte humide.
- Vas-y, fais-toi jouir, la chaude.
J’explose, submergée par une double vague de plaisir.
16 juin
Avant de quitter Nice, dans l’après-midi, je retourne à la résidence,
pour une longue douche.
A peine que je me sèche, le téléphone sonne :
- Tu as encore envie de te doigter l’œillet. Tu as très envie.
Je ne peux résister, allant jusqu’à trois doigts d’un coup, sans me
masturber mon clitoris tendu.
Je connais mon premier orgasme anal.
Je rentre à Bâle-Mulhouse avec le Falcon 900.
Je dépose mes bagages à l’hôtel. Le réceptionniste me donne une
enveloppe neutre à mon nom :
Colonelle Hermine.
Je monte à ma chambre, pour me reposer.
J’ouvre l’enveloppe, découvrant des photos de ma jupe blanche, de ma
chatte remplie par mes doigts, mes doigtés de mon anus.
Je veux connaître son auteur.
Vers 15 heures, la porte de ma chambre s’ouvre. Je suis à moitié
endormie.
- Tiens, la chaude est déjà prête, toute nue. Ne bouges pas, je ne veux
aucun mal.
La femme brune me toise :
- Tu es très belle, sexy, avec ton pubis et ta chatte velus, une vraie
bombe sexuelle, pas un mot. Allonge-toi sur le côté gauche.
Sans prêter attention, un bel étalon entre, nu, son mandrin mesure
trente par six, en érection.
Il s’allonge sur le côté, jambes légèrement repliées, dans mon dos,
pelote mes seins, ma chatte et mon clitoris qui se tend. Il m’encule lentement.
- Caresse-toi la chatte et le clitoris, ma belle, me susurre l’inconnu.
Ne me regarde pas, s’il te plait.
Enculée jusqu’aux testicules, mes seins sont pelotés tandis qu’il
m’embrasse profondément.
Il se retire en partie et m’encule vigoureusement, pour me faire jouir.
L’orgasme anal me submerge rapidement, doublé par sa longue
éjaculation.
L’inconnu se retire et un autre le remplace, m’encule avec la même
vigueur, avec son mandrin de trente-deux par sept.
Il est un peu plus gros, mais je gémis un peu, avant de jouir.
- Tu t’y fais, la chaude, seconde sodomie. Mais la troisième sera
encore plus chaude.
Absorbée par mon plaisir anal, je suis à nouveau inondée de sperme
chaud dans mon anus.
Le troisième possède un mandrin de trente-cinq par huit.
L‘anus bien ouvert, je suis longuement enculée, en gardant la même
position.
Après mon troisième orgasme anal, je m’effondre. Je sens un objet froid
dans mon anus. C’est un bijou d’anus. Porté par une femme, il resserre les
parois vaginales, détends mes sphincters anaux pour apprivoiser le plaisir anal
et me familiariser. Outre un sentiment de grande relaxation, les contractions
des muscles anaux provoqueront un immense plaisir qui se propagera dans tout le
bas-ventre. Il est en aluminium brillant orné par un magnifique cristal rose à
son sommet : c’est ce cristal rose qui est visible entre les fesses une fois
qu’il est introduit dans l’anus. Il est très doux et très petit, il peut
facilement être porté, il provoque une délicieuse excitation anale permanente,
cinq par trois, pour 34 grammes. Sa forme en sapin et sa large base vous
garantissent un excellent maintien dans l’anus. La section qui relie les deux
extrémités est très fine et douce afin de laisser l’anus se refermer dessus
sans gêne La tige de la taille de l’auriculaire sert de support lorsque le
sphincter se referme.
- Tu vas le garder quelques heures. Désormais, tu te promènes tous les
jours seins nus et fesses nues, jambes nues, sans discuter les ordres, avec le
bijou d’anus, pour t’habituer. Tu t’es donnée à trois amants qui t’ont enculée.
Ton initiation ne fait que commencer, Colonelle. On te surveille. Tu peux le
retirer pour te soulager.
A mon réveil, vers 18 heures, par Diane, qui frappe à ma porte.
- Colonelle, on a du nouveau.
J’arrive. Je me douche, en jouant avec le bijou d’anus, en contractant
mon anus qui avance le bijou d’anus contre ma chatte en feu. Je n’ose me
masturber.
Je m’habille de mon chemisier blanc sur mes seins nus et d’une jupe
discrètement fendue derrière et mes sandales à hauts talons, les cheveux
libres, maquillée.
- Hermine, sans indiscrétion, tu as joui trois fois très fort. Je n’ai
pas rêvée.
- Non, je me masturbe en regardant mon téléphone.
Sur mon téléphone, je découvre une vidéo compilant mes masturbations et
mes sodomies sans pouvoir identifier mes inconnus. Je suis troublée, excitée.
J’apprends que Marie-Chantal est née d’une liaison avec un banquier
suisse de Berne et une femme d’affaires allemande de Hanovre et qu’elle a fait
sa scolarité en Alsace. Elle a fréquenté une certaine Anne Valérie Sophie
duchesse de Beau Malherbe, une fille bourgeoise, qui a disparue elle aussi peu
après l’accident d’hélicoptère.
Vers 22 heures, je monte me coucher. Je reste nue après ma douche,
visionnant mon téléphone, pour me faire jouir. Le bijou d’anus me fait de
l’effet, je mouille abondamment.
Soudain, la porte s’ouvre.
- Tiens, la chaude, mets en position, allonge-toi sur le ventre.
J’obéis. Elle me bande les yeux avec un masque de nuit relié à un
bâillon-boule.
Trois étalons qui m’ont enculé vers 15 heures, m’enculent, en me
fessant, plus trois nouveaux, montés entre sept et huit de diamètre, profitant
de mon anus dilaté et ouvert par le bijou d’anus.
Je jouis, fessée.
- Oh Madame, regardez, elle est toute humide par-devant! Elle ruisselle ! A mon avis, elle fait
semblant de se plaindre mais en réalité, elle adore ça !
- Mais oui, la chaude apprécie! Elle n'en a pas eu assez! Elle en
redemande!
Je subis ainsi quatre-vingt fessées au total, me rendant mes fesses
brûlantes et mon anus se lubrifie abondamment.
Les sodomies se succèdent jusqu’à une certaine heure.
Je suis abandonnée, l’anus rempli par mon bijou d’anus, du sperme
dégoulinant de mon anus, pantelante, après le retrait du masque de nuit et de
mon bâillon-boule. Elle me fait boire. Tout est filmé en direct.
Elle repart. Je me douche, faisant attention à mes fesses, je me
masturbe en fantasmant sur les étalons qui m’ont enculée sauvagement et
profondément.
20 juin
Vers 15 heures, je descends à un hôtel de Genève, après une entrevue
avec la banque qui a employé le père de Marie-Chantal et amant de Anne Valérie
Sophie.
Je suis vêtue d’une robe moulante fuchsia sur mes seins nus et mes
fesses nues, avec mon bijou d’anus, en escarpins blancs, coiffée d’un chignon.
- Tiens, la chaude, tu vas loger à cet hôtel. Non, j’ai mieux pour toi.
Une limousine t’attends.
Un chauffeur Africain prend mes bagages.
Je monte à l’arrière de la limousine. La femme m’ordonne :
- Retire ta robe. Je vais te préparer pour une rencontre en haut lieu,
car tu mets en péril, ton désir de connaître la vérité sur moi et mon amie
noyée.
Nue, je me retrouve rapidement, les mains menottées dans le dos.
- Tu seras ainsi pas tenter de te masturber. Ecarte bien les cuisses,
que je vois ta chatte. Tu t’es fait jouir avec le bijou d‘anus.
Je n’ose répondre. La limousine continue à rouler.
Elle me bande les yeux avec un masque de nuit. Elle pelote longuement
mes seins jusqu’à tendre mes mamelons par l’excitation.
Elle enserre
mes mamelons dans des pinces à seins avec des clochettes. Elles possèdent une
clochette en métal fixée par un anneau s'anime au moindre mouvement, émettant
un tintement cristallin.
Je suis tentée de resserrer mes cuisses, mais une barre d’écartement
m’en empêche, fixée par des bracelets à mes chevilles.
Nous marquons une pause.
On me fait descendre quelques instants, dans une allée proche d’un
parc.
- Penche-toi, César va te défoncer l’œillet, pour ta rencontre.
Cuisses écartées par la barre d’écartement, je suis penchée en avant,
sur le capot encore chaud. Le mandrin de quarante par sept me fait jouir.
Il me défonce avec vigueur.
- Prends-la à fond, elle aime ça, regarde comme elle mouille.
- Elle est plus excitée qu’à l’hôtel, la pute.
Je connais un violent orgasme anal, sanctionnée par de nombreuses
fessées magistrales.
Je dois sucer César jusqu’à la dernière goutte, accroupie.
Vers 17 heures, nous rejoignons un quartier résidentiel sous très haute
sécurité, fermée par une grande barrière électrique.
On remet mon passeport à un des gardiens, escorté par des
maîtres-chiens.
La limousine rejoint un complexe de plusieurs pavillons.
On m'aide à sortir de voiture, je prends un monte-charge, escortée par
la brune. Elle me met autour de mon cou, l'anneau pend devant le cou, reposant
sur la saillie des clavicules, et brinquebale au rythme des mouvements de celui
qui le porte, en plusieurs épaisseurs de cuir, chaque épaisseur assez mince, au
total pas plus d'un doigt, verrouillés par un système à déclic, qui fonctionne
automatiquement comme un cadenas quand on le referme, et ne peut s'ouvrir qu'avec
une petite clé.
Arrivée à l’étage, elle me met un bâillon-pénis en bouche, je me
retrouve aveuglée, sans mon bandeau, nue, avec ma barre d’écartement, les mains
menottées dans le dos. Autour d’une table, se trouvent six hommes et la brune.
- La chaude va se transformer en quatre jours de dressage, une soumise
docile et obéissante. Tu as trop approchée de la vérité, colonelle. Une femme
qui te ressemble à exécuter la noyée. Des sosies vont remplacer tes collègues,
pendant que nous les éduquerons. Tu aimes le sexe, tu es une bisexuelle, anale,
future vicieuse, qui aime les fessées, le summum de la perversion chez une
femme. Celle qui te ressemble, l’applique à bon escient. On va te fouetter pour
l’exemple.
Je me retrouve dans une pièce mitoyenne, entourée de miroirs et de
glaces sur les murs et au plafond. Je me retrouve les bras tendus en l’air,
au-dessus de la tête, à peine fléchis. Je garde la barre d’écartement.
La brune me caresse la chatte.
- Tu mouilles avant que l’on te cravache, tu es excitée.
Elle dépose quelques gouttes sur mes mamelons qu’elle libère quelques
instants, puis elle remet les pinces à seins en place. Ainsi que sur mon
clitoris tendu, par l’excitation.
On me cravache longuement les reins, les fesses et les cuisses, de la
taille aux jarrets. Je gémis, mais une vague de plaisir m’envahit.
Au bout d’un quart d’heure, on me fais boire un grand verre d’eau
mélangé à un excitant sexuel.
En effet, mon clitoris devient gros comme une cerise, saillant et
volumineux tandis que mes mamelons deviennent saillants, gros et longs. Ils
sont hyper sensibles. Mes mamelons pointent au maximum tout le temps, vingt
quatre heures sur vingt quatre et de même pour mon clitoris. Ils sont
complètement tendus et très dur au point de me faire vraiment mal et ces endroit
sont devenus sensibles.
On marque une pause, un des six hommes m’écarte bien les fesses
brûlantes.
- Son œillet a bien d’être défoncé, la chaude.
Il m’encule jusqu’aux testicules, me donne quelques claques magistrales
et masturbe par intermittence mon gros clitoris.
- Un gros gode anal devrait l’écarteler davantage, cette chaude.
Je reçois en plus cinq marques de cravache sur mes fesses et deux sur
le dos des cuisses et cinq sur le devant de mes cuisses.
On apporte un coffret en bois ouvert, contenant, sur un lit de velours
brun, dans un compartiment un assortiment de chaînette et de ceintures, et dans
l'autre un choix de vibromasseurs de sexes réalistes en érection, qui vont des
plus minces aux plus épais.
On m’insère un vibromasseur anal, veiné, de trente-six par huit, gainé
de picots. Il s’allonge et rétrécit à chaque mouvement de va-et-vient grâce à
son enveloppe ultra-souple qui s’étire ou se contracte en suivant les montées
et descentes du gode. J’ai l’impression d’avoir un véritable homme à leur disposition
qui leur fait l’amour en étant infatigable. Il est doté d’un gros gland, d'un
prépuce qui glisse le long du gland lors de la pénétration.
Le vibromasseur possède trois petits trous percés dans la base des
testicules réalistes, trois chaînettes qu'il laissa pendantes. Je reste
menottée debout, sans ma barre d’écartement.
On m’attache une étroite ceinture autour de ma taille, et l'on y
accroche les trois chaînettes, une par derrière qui suit le sillon des fesses,
et les deux autres par-devant, qui longent le pli des aines en contournant le
triangle pubien.
- Elles sont ajustées au plus court, pour forcer et distendre ton
œillet de chaude, et cadenassées, tu ne peut seule, te soulager de cette
contrainte.
Les va-et-vient me font jouir, malgré la douleur des picots.
Les six hommes profitent de ma chatte resserrée par le vibromasseur,
pour m’entraîner à la double pénétration. Je me retiens de jouir sous le double
plaisir vécu.
Vers 19 heures, je suis détachée du crochet, l’anus libre.
- Tu vas goûter à tes premières doubles pénétrations, Colonelle. Tu as
l’œillet bien ouvert, maintenant.
Nue, je me
fais baiser par les calibres de sept centimètres, couché sur le dos, et celui
de huit centimètres m’encule simultanément. Je connais un violent double orgasme.
Puis je
m’encule sur un autre de huit centimètres, tandis qu’il se trouve sur le dos et
je suis de dos, toujours avec les jambes ouvertes je reçois un autre de sept
centimètres dans ma chatte et je connais le même double plaisir, doublement
inondée, telle une pute.
Les
calibres de huit centimètres m’enculent, par derrière, en me soutenant, tandis
que ceux de sept centimètres me défoncent la chatte simultanément. Je l’entoure
de mes jambes, doublement pénétrée.
C’est
alors qu’un de sept centimètres sans quitter ma chatte, m’allonge sur le tapis,
il est allongé sur le dos. Mes cuisses sont écartées, je suis baisée jusqu’à la
garde. Un de huit centimètres nous rejoint et m’encule aussitôt jusqu’aux
testicules.
Je connais
un double orgasme, ma bouche remplie du sperme des autres étalons qui m’ont
baisée et enculée.
Je ne peux
compter combien ils sont pour me faire jouir, ma chatte et mon anus dégoulinent
de spermes chauds.
- Très
bien, tu te montres docile et soumise à autant d’étalons, Colonelle.
Elle me remet
le vibromasseur en place et elle me conduit au sous-sol, dans une petite
cellule aménagée, avec des miroirs et des glaces au plafond.
- Ma
belle, tu es constamment filmée et photographiée depuis que tu es entrée dans
ce lieu. Tu vas y passer quatre jours de perversions, enculée et fouettée à
toute heure.
La cellule
comprend juste un chevalet et une douche, un bidet pour mes besoins.
- Tu vas
le porter huit jours durant, entre son lever et le repas de midi, puis entre la
tombée du jour où tu finis ton service et l'heure de la nuit, dix heures
généralement, où on te ramène, enchaînée, nue. Tu la gardes pour ton bain, nue,
parfumée, au réfectoire. Ton valet ne te l’enlève qu'au moment où tu seras
enculée dans ce lieu chaque soir. Ta bouche, ton écrin et ton œillet seront
fouillés à notre gré, car tu ne peux plus te dérober, la bouche toujours
entrouverte, les cuisses toujours écartées, pour l’accès à ta bouche, ton écrin
et ton œillet. Tu t’offres au premier venu, à visage découvert et tu es
fouettée qu'entre le coucher et le lever du soleil. Tu es punie du fouet le
soir pour manquement à la règle dans la journée : c'est-à-dire pour avoir
manqué de complaisance, ou levé les yeux sur celui qui te parle ou te prend :
tu ne dois jamais regarder un de nous au visage. Si notre sexe est à découvert,
pour que tes yeux s'y fixent, et ne se fixent pas ailleurs, pour que tu
apprends que c'est là ton maître, à quoi tes lèvres sont avant tout destinées.
En outre, à la nuit, tu n'as que tes lèvres pour nous honorer, et menottée au
chevalet, nue, les yeux bandés, pour être fouettée. A ce propos, le fouet est
pour votre instruction. Cela est tellement vrai que les nuits où personne n'as
envie de toi, tu attends que le valet chargé de cette besogne vienne dans la
solitude de ta cellule t’appliquer ta punition. Tu es contrainte. A ta sortie,
tu es constamment nue sous ta jupe, si correct et banal que soit ton vêtement,
et que c'est pour eux.
On me
retire le vibromasseur anal, pour ma douche. Je suis suspendue les bras en
l’air, avec mes pinces à seins, qui tintent, une canule me nettoie mon anus à
l’eau froide. Je me retiens de jouir, devant la brune.
Je suis
solidement immobilisée dans cette posture dégradante, le postérieur plus haut
que la tête. Mes bras sont fixés le long des pieds avants, mes jambes le long
des pieds arrières, et une large sangle m'est passée au niveau de la taille.
Mes cuisses, légèrement fléchies sont empêchées de se resserrer par la largeur
de la poutre, ainsi d'ailleurs mes fesses que je me peux refermer. Toute mon
intimité est ainsi très accessible et on peut me faire tout subir. Je garde mes
pinces à seins, ainsi que d’autres aux grandes lèvres de ma chatte humide.
J’offre penchée en avant, laissant bien tomber les seins sous le poids des
pinces ensuite le sang cesse de circuler, le mamelon devient froid et là je ne
sens plus rien. Il pince aussi mes grandes lèvres humides, pour les étirer
beaucoup et mes mamelons aussi en déformant aussi mes seins vers le bas.
Sans
attendre, je suis à nouveau enculée par d’autres inconnus, les yeux bandés, que
je suce jusqu’à la dernière goutte.
Je me
retrouve aussi enculée jusqu’au nœud par le doberman. Je gémis un peu, mais
deux orgasmes anaux me submergent, largement inondée.
Toutes les
demi-heures, je suis livrée à chacun des chiens, tantôt des dobermans, tantôt
des bergers allemands, enculée jusqu’au nœud, décuplant mes orgasmes anaux,
l’anus largement inondé de leurs spermes chauds. Je les suce, guidé par un des
valets.
A chaque
coup de rein de chaque chien, mes clochettes tintent en se balançant entre mes
cuisses humides et à mes seins.
Pantelante,
je subis sept saillies anales canines sans répit, pendant environ quatre
heures, en fonction de l’excitation des chiens.
21 juin
Avant
l’aurore, je subis trois saillies de ma chatte par un doberman, un berger
allemand et un malinois, pour me récompenser de mes orgasmes anaux. Je les suce
aussi et j’avale tout. Mon anus expulse le surplus de spermes canins, qui coule
dans ma chatte.
Un
doberman, un berger allemand et un malinois m’enculent aussi dans la pièce,
pour leurs plaisirs.
Je reçois
à nouveau les gouttes sur mes mamelons libérés et mon gros clitoris.
J’enchaîne
les doubles pénétrations sur des doubles vibromasseurs réalistes de huit
centimètres chacun, les fesses et les cuisses fouettées, mes bracelets de mes
poignets joints à mon collier, devant maîtriser mes orgasmes.
Bien sûr,
je suis livrée en doubles pénétrations intenses à d’autres inconnus, je suis
toujours les yeux bandés.
Les
saillies canines continuent à divers moments de la journée.
25 juin
A l’aube,
encore menottée au chevalet, pantelante, par de nouvelles saillies anales et
vaginales, la brune me fait épiler autour de mon gros clitoris, pour le percer
d’un anneau doré serti d’une pierre précieuse pour l’étirer et un anneau à
chacune de mes grandes lèvres étirées par le port des pinces à seins. Mes
mamelons sont constamment tendus.
- Ca y est,
tu es une vraie soumise docile. Tu aimes énormément le sexe, baise, anal,
double pénétration, saillie canine, une vraie pute chienne, Colonelle.
Elle
m’enfonce dans mon anus entrouvert et humide de spermes canins, un bijou d’anus
de cinq de diamètre, moulé sur le devant du sexe du doberman, me rappelant que
je suis une chienne.
- Le
commandant du groupement régional Alsace n’a vu que du feu, avec ton sosie et
les autres. Je garde les autres en attendant. Je te fais déposer à la frontière
entre la Suisse et la France. Tu vas enfiler cette nouvelle tenue de soumise.
C’est une
robe pour le grand soleil composée d'une jupe éventail, qui se retrousse d'un
geste, mais toujours à corselet montant jusque sous les seins, et portée avec
un boléro fermé au cou. Il suffit d'enlever le boléro pour que les épaules et
les seins soient nus, et sans même enlever le boléro, de l'ouvrir, si l'on
désire voir les seins. Si tu portes ton uniforme, finis les soutien-gorges et
les slips, strings, bas dessous, seins, fesses et jambes constamment nues, tes
mamelons tendus seront bien visibles, si tu es excitée. Je chausse mes pieds
nus de mules à très hauts talons et me coiffe d’une queue-de-cheval, fardée et
maquillée. Mes paupières sont légèrement ombrées, ma bouche fardée avec un
rouge clair, un peu liquide, appliqué au pinceau, et qui fonce en séchant. Du
même rouge sur les aréoles des seins et les mamelons constamment tendus, et les
petites lèvres entre ses cuisses, en soulignant la fente du giron. Mon visage
est poudré le visage, du parfum longuement passé sur les aisselles lisses et la
fourrure pubienne, dans le sillon entre les cuisses, dans le sillon sous les
seins, et au creux des paumes, comme j’ai appris pendant les quatre jours.
Je suis
libérée à la frontière. Une limousine conduite par la fausse Diane me reconduit
à mon hôtel. Je passe mon uniforme pour mon rapport en Suisse. Ma garde-robe
dans ma valise a été remplacée par des tenues autorisées.
- Alors,
Colonelle, les quatre jours en Suisse ont été concluant.
- Non,
Commandant, je n’ai pas pu avoir accès à certaines informations confidentielles
sur le père banquier. Je suis désolé, mais mes collègues Suisses vont faire le
maximum.
- Ce n’est
pas grave, Colonelle, vous avez fait votre maximum, mais le coupable sera
arrêté un jour.
Vers 23
heures, alors que je me déshabille dans ma chambre d’hôtel, de mon uniforme,
après un rendez-vous à la brigade fluviale de la gendarmerie d’Alsace, la porte
s’ouvre.
C’est le
général de brigade, Charles Edouard, du double de mon âge, qui entre.
- Hermine,
tu es très belle, nue, qu’en uniforme. Je sais pourquoi tu as retenu ta langue
devant les autres. C’est Miss AV qui t’a corrigée, regarde les marques sur tes
fesses et tes cuisses, la pierre précieuse à ton gros clitoris percé, tes
anneaux dorés à ta chatte et ta pierre entre tes fesses. Tu es une vraie
soumise docile, Hermine.
- Général,
je…
- Pas un
mot, Hermine, ni regarder un homme au visage, ni me parler. Tu ne le dois pas
davantage à moi, mais te taire, et obéir. Tu n'ouvres désormais ici la bouche,
en présence d'un homme, que pour crier ou caresser. Viens me sucer.
J’obéis,
son mandrin de trente-six par sept me remplit la bouche.
Sans
attendre, nu, il me prend sur le lit, cuisses écartées, l’anus libre, je suis
enculée, fesses bien tendues, accoudée.
- Ton
œillet est bien ouvert, belle pute Hermine. Je vais te fesser, pour t’apprendre
à bien te tenir.
Les
claques magistrales me chauffent les fesses et l’anus et ses testicules
claquent contre mes fesses brûlantes.
Puis allongée sur le dos, cuisses écartées,
il m’encule à nouveau, face à lui. Je me retiens de jouir, tellement le plaisir
anal est intense.
Il éjacule
en moi. Je le nettoie en 69, pour être à nouveau enculée, cette fois à quatre
pattes.
Il
m’étreint la taille, m’enculant jusqu’aux testicules, me pelote les seins aux
mamelons constamment tendus tout comme mon gros clitoris tendu. Il éjacule à
nouveau. Je le nettoie. Il me remet le vibromasseur anal que j’ai porté à
Genève, cadenassé pour la nuit.
Seule, je
dois lutter pour ne pas hurler mon plaisir, sans me masturber.
26 juin
Vers 9
heures, le général vient me chercher. Je suis encore nue. Je me douche, me
farde, me parfume et enfile ma robe à corselet et mon boléro, chausse mes
mules.
Les yeux
bandés, le général me conduit dans un lieu mystérieux.
Là, des
lieutenants aux colonels de gendarmerie, amis du général m’attendent.
Je suis
menottée nue, à un chevalet, les yeux bandés.
Je dois
sucer en subissant de longues sodomies profondes, fessée. Je dois retenir mes
orgasmes anaux violents.
Cela dure
une éternité, puis je suis prise en double pénétration, suçant toujours.
Pantelante,
je dois me soumettre aux désirs des inconnus.
Ma chatte,
mon anus et ma bouche dégoulinent de spermes chauds.
Quand on
me retire le bandeau, je suis seule, menottée au chevalet, entourée par Miss AV
et Charles Edouard.
- Elle a
eu sa ration pour aujourd’hui. C’est une pute docile, facile, elle a envie de
tous les hommes qui la désirent, en la livrant à d'autres, pour sa propre
facilité, annonce Charles Edouard.
- Non,
quelques chiens vont la faire jouir, annonce Miss AV.
Je me fais
saillir, enculée toutes les demi-heures par des dobermans et des malinois
affectés à la gendarmerie.
Je dois
sucer les maîtres-chiens.
A bout de
dix saillies, je perds connaissance.
Quand
j’émerge, je suis menottée nue, dans un grand lit, d’une luxueuse chambre,
entourée de miroirs et de glaces sur les murs et au plafond, bras et jambes
écartées, avec le vibromasseur anal. Ai-je rêvée ou fantasmée, ma chatte et mon
anus dégoulinent.
- Alors,
Colonelle Hermine, on reprend ses esprits, après dix heures d’orgies avec des
collègues. Tu es une vraie pute, annonce Miss AV. Repose-toi. Charles Edouard
te veux demain matin à Nice, avec ton Falcon.
Je suis
submergée par les orgasmes anaux dus au vibromasseur anal à picots.
27 juin
Vers 11
heures, j’atterris à bord de mon Falcon 900 à l’aéroport de Nice, en tailleur
fuchsia sur mon chemisier, seins, fesses et jambes nues, en escarpins blancs,
les cheveux libres. Je ne porte plus le vibromasseur anal. Je suis toujours
fardée et parfumée.
-
Colonelle, un amant de Marie Chantal a avoué des faits sexuels sur la noyée,
m’annonce le commandant de la brigade de Menton.
Je suis
conduite à la brigade.
L’amant
est un beau jeune homme, qui me toise.
- Tu
ressembles à une autre pute que j’ai rencontré à Menton, peu avant la
disparition de Marie Chantal. Tu sais, Marie Chantal aime se faire saillir,
fouetter, et surtout, enculer profondément. Tu dois connaître ça, toi aussi.
Je ne
comprends pas.
- Tu sais,
tu es devenue une soumise docile. Tu baisse les yeux devant moi. Tu es comme
Marie Chantal et Miss SV.
Je ne réponds
pas.
Je quitte
la brigade et je prends un taxi pour rejoindre Monaco.
En chemin,
le chauffeur de taxi fait un détour par un quartier d’immeubles, où se trouve
des amis de l’amant, sans que je le sache.
Il me
laisse seule et repart. Je n’ai pas pris mon téléphone sur moi. Je l’ai laissée
à la brigade, le tenant de faire mon trajet.
Quatre
étalons me cernent, un Européen brun, un Africain noir et deux Nord Africains,
Miss AV est présente.
-
Messieurs, cette pute à besoin de se faire défoncer l’œillet, comme l’autre
pute. Elle est toute à vous.
Sans
ménagement, je suis conduite à la cave. Je suis rapidement déshabillée et je
suis offerte nue, avec mes carcans de cuir de Genève, plus des bracelets de
cuir aux chevilles.
- Comme
cela, tu es bien sage, Colonelle.
- Quelle
chatte velue et quel œillet bien ouvert avec ton bijou d’anus, annonce Sacha,
qui me fait sucer son mandrin de vingt-sept par sept.
Je suis
menottée dans le dos, sur un matelas.
Ils me
relèvent les jambes, claquent mes fesses, mes cuisses et ma chatte humide
d’excitation, mes mamelons et mon clitoris sont tendus à l’extrême.
Je reçois
trente claques par le quatuor, avant quatre longues sodomies et éjaculation en
bouche.
On fixe
des chaînes aux bracelets de mes chevilles, pour que je reste les cuisses
complètement ouvertes, les reins soulevés.
Puis
l’Africain, Désiré, ramène d’autres amis, des Africains noirs et des Nord
Africains qui payent pour m’enculer. Je tente de retarder mes orgasmes anaux,
mais certains doivent éjaculer dans mon anus.
Au bout
d’une heure, les jambes en l’air, jambes ouvertes et relevées, exposée, je ne
peux cesser de désirer refermer mes jambes.
D’autres
mandrins m’enculent tantôt sauvagement tantôt profondément, je fais mon maximum
pour avaler leurs spermes. Mes mamelons sont étirés, pincés, mes seins sont
brûlants de désir.
On me
libère quelques instants, pour me prendre dans une autre position.
Prosternée,
mains jointes à mon cou, cuisses écartées, une barre d’écartement m’empêche de
les refermer, je suis enculée latéralement par les gros mandrins des Africains
Noirs, qui me fessent aussi, je dois tout avaler.
Je ne
compte plus mes sodomies. J’ai droit des doubles pénétrations, debout, mains
jointes à mon cou, avec d’autres amis. Je suis constamment filmée et photographiée.
Soudain,
j’envoie Désiré annoncer :
- L’amant
de la pute s’est suicidé. Elle ne connaîtra pas l’identité du coupable,
Colonelle.
-
Continuez à l’enculer, jusqu’au coucher du soleil. Vous serez bien payés.
Au coucher
du soleil, je sors de la cave, rhabillée, avec mon bijou d’anus, avec une
douche sommaire devant mes étalons.
Une
voiture de la brigade de la gendarmerie de Menton me retrouve, suite à un appel
anonyme.
Je dors
peu, repensant à la scène de la cave. Je dors à Menton, dans un lieu sécurisé,
dans la caserne.
28 juin
A l’aube,
la brigade de gendarmerie de Menton arrête mes quatre violeurs, car ils sont
aussi les auteurs du viol de l’amant de Marie Chantal. Il a été enculé par les
quatre étalons, pour le soumettre au désir de Miss AV.
Je rentre
à Vienne, en tailleur noir, sur mon corselet seins nus.
Discrètement,
je fais interpeller le général Charles Edouard et ses complices en Alsace. Ils
sont dégradés et remis à la justice.
Mais il
reste à intercepter Miss AV et Miss SV.
Grâce à la
vraie Diane, qui a réussi à s’enfuir et à Alban et à Nathan, nous piégeons Miss
AV, qui est connue sous l’identité de Anne Valérie Sophie, lors d’un contrôle
routier entre Nice et Lyon, par le peloton autoroutier, à bord de sa Ferrari,
immatriculée en Suisse. Elle se dit sous protection diplomatique Suisse, mais
son alibi ne tient pas, car le Ministère des Affaires Etrangères Suisse révèle
que c’est un faux passeport diplomatique.
Vers 18
heures, quand je rentre à mon appartement non loin de mon bureau, à Vienne, je
tombe sous le charme d’un bel athlète du triple de mon âge.
- Miss SV,
je présume. Je vous attends depuis votre arrivée à l’aéroport de Vienne de
votre Falcon.
- Vous
faites erreur, je suis la Colonelle Hermine de la police Européenne.
- Non,
c’est toi, Miss SV.
Nous
entrons dans mon appartement.
-
Déshabille-toi, que je vois tes signes de reconnaissance de soumise.
J’obéis,
en gardant les yeux baissés.
- Tes
mamelons et ton gros clitoris sont constamment tendus, tes grandes lèvres sont
percées, ton gros clitoris aussi, tu portes un bijou d’anus. C’est bien toi,
Miss SV.
Il me fait
sucer son gros mandrin de trente par huit, accroupie.
Sans
attendre, il me fait pencher en avant, cuisses écartées, l’anus libre. Il
m’encule jusqu’aux testicules. Il m’écarte bien les fesses brûlantes par les
claques magistrales, me masturbe mon clitoris tendu. Je ne sais si je dois
jouir ou gémir.
- Tu as un
œillet ouvert comme une chienne. Tu aimes te faire défoncer par les dobermans,
chienne.
Je n’ose
répondre, cela m’excite.
Il me fait
agenouillée, dos contre son buste musclé. Je suis enculée jusqu’aux testicules,
sa main droite pelote mon sein droit et me masturbe longuement mon clitoris,
ses doigts de la main gauche dans ma chatte humide.
- Tu es
toute mouillée d’excitation. Tu aimes que je t’encules, chienne.
Je retarde
mon orgasme anal.
Enfin, il
me renverse en arrière, les genoux sur les épaules, enculée, par l’endurant
athlète, en traction et en appui sur ses bras et il m’achève sans débander,
prosterné devant moi. Je jouis et il éjacule en moi.
- Tu as
été parfaite, Miss SV. Merci pour ta collaboration, chienne.
Je le suce
et j’avale tout.
Il
disparaît comme il est venu. Il me laisse une carte de visite
mystérieuse :
« Mes
hommages à Miss SV,
Votre
Maître, Sir Donatien de Beau Mille Sévices
Je vous
attends prochainement à Monaco. »
Il y a une
adresse privée et un code d’accès.
Qui est
Miss SV, qui me ressemble ?
1er
juillet
Vers 14
heures, j’atterris à l’aéroport de Nice, à bord de mon Falcon 900. Un Dauphin,
immatriculé aux Bermudes, m’attends.
Je suis
vêtue d’une robe d’été, longue jusqu’à mi-mollets, discrètement fendue, devant
et derrière, à corselet seins nus, avec mon boléro assorti, mes sandales à
hauts talons, coiffée d’un chignon, fardée et parfumée. J’ai mis mon bijou
d’anus.
Je monte à
bord du Dauphin et nous rejoignons le yacht de cent cinquante mètres de long
« Désir d’Océan », immatriculé aux Bahamas, au large de Monaco.
Le Dauphin
me dépose.
Je
retrouve Sir Donatien.
- Miss SV,
tu es resplendissante. Déshabille-toi devant nos invités.
Nue, je
suis caressée, pelotée, les yeux baissés, la bouche entrouverte, comme exigée.
- Ce n’est
pas Miss SV, elle n’a pas les reins tatoués, ni les marques sur les fesses,
mais elle lui ressemble, dit un des invités, en m’enculant sauvagement, à
quatre pattes sur le tapis, du salon, l’anus libre.
Je me
retrouve rapidement emprisonnée dans un pilori et des stocks pour mes pieds
nus, immobilisée, dans une pièce capitonnée, constamment filmée et
photographiée.
Je subis
la cravache, la garcette un long moment, mais je mouille, plus que je ne parle,
prise par le plaisir.
Enfin, une
femme entre en guêpière de cuir, seins nus, en cuissardes, le visage cagoulé,
laissant visible ses grands yeux verts et sa bouche, coiffée d’une queue-de-cheval.
La guêpière est plus courte par-derrière et laisse la croupe entièrement libre.
- Tiens,
mais je rêve, mon sosie. Je ne l’ai plus revue depuis nos dix-huit ans, Hermine
Aimée, future Comtesse Beau Séjour Du Mon Plaisir. Le Prince Omar sera ravie de
voir ma sœur jumelle. Désolé, je dois te faire rester immobilisée pour les
présentations.
- Shawn…
dis-je.
- Silence,
soumise, tu ne dois pas parler, mais sucer et lécher, comme cela t’es exigée.
Miss SV
enfile un gode-ceinture à double vibromasseur de sept centimètres chacun et un
vibromasseur anal pour elle de huit centimètres.
-
Laissez-nous seules.
Miss SV me
prend ainsi en double pénétration, en me cravachant. Je jouis.
- Tu aimes
ça, maintenant les doubles pénétrations. Toi, qui a toujours refusée que je te
doigte ton œillet vierge.
- Shawn,
donne-moi du plaisir.
J’explose
dans un double orgasme combiné à celui de Shawn, dans son orgasme anal.
- Omar sera fier de toi, doublement ouverte, perverse, vicieuse et
aimant le plaisir sous le fouet.
Peu après, le Prince Omar entre, nu, doté d’un gros mandrin de quarante
par huit, en érection.
- C’est elle, la fameuse tombeuse de la pute Miss AV, qui l’a bien
mérité. Laisse-moi ton œillet, ma chérie.
Omar m’encule avec une lenteur calculée, me fessant magistralement et
me donnant quelques coups de cravache, telle une jument en rut. Je me retiens
de jouir. Miss SV me fait lécher sa chatte intégralement épilée et son gros
clitoris tendu et percé comme le mien. Je découvre sur son pubis tatoué la
cravache et le fouet entrecroisés et écrit en arabe Vicieuse des Sables Shawn.
Je connais mon orgasme anal, dès le retrait d’Omar, qui me fait sucer
et nettoyer son gros mandrin.
Miss SV en profite pour m’épiler mes grandes lèvres de ma chatte
humide, remplacer les anneaux dorés par des fers, dont un au nom de Sir
Donatien et l’autre au nom d’Omar. Ce sont des anneaux de fer mat inoxydable.
La tige en est ronde, épaisse comme un gros crayon de couleur, et ils sont
oblongs : les maillons des grosses chaînes sont semblables. Chacun est formé de
deux U qui s'emboîtent l'un dans l'autre. Un ressort intérieur sur lequel on
doit forcer pour le faire pénétrer dans la rainure où il se bloque. Chaque
anneau est long comme deux phalanges du petit doigt, qu'on y peut glisser. A
chacun est suspendu, comme un nouveau maillon, ou comme au support d'une boucle
d'oreille un anneau qui doit être dans le même plan que l'oreille et la
prolonger, un disque de même métal aussi large que l'anneau était long.
Munie d’un bâillon-boule, je reçois les lettres H et S entrelacées sur
ma fesse gauche et sur l’autre, BDSM entrelacées avec une cravache et un fouet
au-dessous. Je perds connaissance.
Mes reins sont tatoués à l’encre noire, Chienne H, docile et vicieuse.
Les fers me descendent jusqu'au tiers de la cuisse, et à chacun de mes
pas bougent entre mes jambes comme un battant de cloche, le disque gravé étant
plus lourd et plus long que l'anneau auquel il pend. Les marques imprimées par
le fer rouge, hautes de trois doigts et larges de moitié leur hauteur, sont
creusées dans la chair comme par une gouge, à près d'un centimètre de
profondeur. Rien que de les effleurer, on les perçoit sous le doigt. De ces
fers et de ces marques, j’éprouve une fierté insensée.
Pendant ma perte de connaissance, les invités m’enculent, me font
sucer, avaler leurs spermes.
A mon réveil, je suis entourée par Shawn ma sœur jumelle, enculée par
Omar. Je suis devenue une soumise docile, chienne et incestueuse.
- Quel œillet, Hermine, tu es une jouisseuse aussi exceptionnelle que Shawn.
- Omar, faites-moi jouir, tandis que je doigte l’anus de Shawn, dans ce
69 torride.
Nous restons des heures à faire l’amour, offrant en alternance nos anus
à Omar.
2 juillet
Au lever du soleil, j’émerge nue de la chambre, en sueur, me douche et
rejoins le pont terrasse, toujours nue et pieds nus, les cheveux libres.
Mes fesses sont encore rougies par les fessées. Je porte mon bijou
d’anus.
Les autres invités sont partis, sauf Sir Donatien, qui vient me voir.
Tiens, la belle Hermine émerge. Tu es officiellement marquée et ferrée
naturellement, tout comme une soumise docile de choix. Désormais, tout le monde
connaît la signification de ta marque et de tes fers. Tu vas garder ton
triangle pubien, pour te différencier des autres soumises. Tu es libre de quitter
ton emploi de gendarme, pour devenir soumise à temps plein, en compagnie de ta
sœur jumelle Shawn, que j’ai aussi ferré naturellement.
Le lendemain, je me réveille nue, avec mes carcans de cuir, dans une
luxueuse chambre sur une île paradisiaque avec ma sœur jumelle Shawn. Elle est
desservie par de luxueux yachts dans le lagon.
L’île abrite des dizaines de soumises ferrées et marquées comme moi,
livrées à de riches clients fortunés pour nous enculer, nous fouetter et nous
subissons les saillies anales des chiens de garde en totale liberté.
Je monte à cheval, sur une selle munie d’un double vibromasseur de huit
centimètres de diamètre. Je connais mon premier orgasme avec le sexe équin
grâce à Shawn. C’est divin, un tiers de la longueur me remplit ma chatte humide
d’excitation. Je nettoie le sexe comme toute bonne soumise.
Le soir, je suis offerte dans de longues orgies anales avec d’autres
soumises, des invités. Chaque acte sexuel, coup de fouet, saillie sont
tarifiées et me remplit mon compte bancaire. J’ai quitté la gendarmerie. Miss
AV est emprisonnée, personne ne connaîtra le nom de l’exécutrice, ma sœur
jumelle Shawn.
Le lendemain, au lever du soleil, après mon lavement anal, je me douche
à l’extérieur, sur la terrasse donnant sur la mer, de mon bungalow sur pilotis,
attirant les regards des invités débarquant des yachts.
Je sais que certains me sont destinés, comme toute soumise que je suis.
Mais Shawn a le dernier mot, en fonction de mes spécialités.
Pour un des invités, je m’essaye à ma première saillie anale équine. Je
gémis, mais le plaisir anal l’emporte.
Je fouette aussi les soumises rebelles, selon les ordres de Shawn.
Je peux faire aussi l’amour, enculée par un chien et baisée par un
homme, pour me faire exploser dans une vague de plaisir.
Je reste des mois sur cette île, ignorée des non initiés. Tous
connaissent la signification de mes tatouages, mes fers et mes marques au fer
rouge.
Si vous souhaitez me retrouvez avec ma sœur jumelle Shawn, vous savez
où me contactez : Chienne Hermine, Pute à bouche dressée, soumise de Sir
Donatien et du Prince Omar, je vous attends, mon œillet est déjà tout ouvert à
vos queues en érection, mes futurs amants.
Aucun commentaire:
Enregistrer un commentaire