Je m’appelle Shawn.
J’ai 18 ans.
Je suis une jolie beauté scandinave.
Je suis une
brune aux yeux verts. J’ai des pieds fins et latins, des jambes longues
bronzées, musclées qui inquiètent par leur perfection. Mon pénil est bombé,
ouvert, couronné de noir. Ma pilosité brune couvre mon pubis. Je suis
totalement velue entre les cuisses et j’ai une superbe croupe. Les lèvres de
mon sexe sont une plaie rouge entre mon entrecuisse velue. Mes hanches
s'incurvent et délimitent le ventre plat, délicieusement renflé autour du
nombril, les hanches sont larges et rondes, mais sans lourdeur. La taille est
affinée. Les seins parfaits intégralement bronzés sont un peu volumineux mais
fermes, et leurs pointes marron clair, toujours dressées, cernées par une large
aréole marron attirent le regard. J’ai une peau lisse et patine. Finition
parfaite, un seul grain de beauté entre mes superbes seins. De longs cheveux
plats blonds flottant comme des algues, battent mes épaules rondes et
gracieusement athlétiques. Je suis intégralement bronzée. Mes yeux verts
limpides s'allument, ma bouche charnue se fend. J’ai des sourcils bruns bien
dessinés et des lèvres pulpeuses. J’ai de longs doigts fins et de belles mains.
Je fais du 85B de poitrine, 56 de taille, 90 de hanches, 1,72 m.
VICES DE
FUERTEVENTURA
12 juin
Chaque été, depuis l’âge de mes quinze ans, je me rends avec mes
parents à Fuerteventura, dans un complexe hôtelier, avec des bungalows.
Depuis un an, suite à ma défloration accidentelle par mon neveu, âgé de
25 ans, dans ma chambre, je collectionne les amants, dont je note leur talent
sexuel sur mon cahier. Je déteste la sodomie, mais j’aime beaucoup sucer, grâce
à mon cousin, âgé de 22 ans, qui m’a initiée et ma cousine, âgée de 23 ans, qui
m’a initiée aux jeux lesbiens avec gode-ceinture et gode de tous calibres pour
ma chatte à combler.
Je suis une adepte du bronzage en bikini.
Cette année, mes parents m’ont offert le voyage et mon séjour.
Dès mon arrivée à la réception, vêtue d’un chemisier fuchsia, d’une
jupe ample blanche, de sandales à hauts talons et coiffée d’une
queue-de-cheval, mes ongles des pieds vernis de rouge, je retrouve la
directrice, Aimée, une Française, du double de mon âge, qui raffole de ma
chatte et mon clitoris et son assistant, Brice, un Suédois brun, musclé, âgé de
32 ans, qui m’a baisée de nombreuses fois lors de mes venues précédentes.
- Tu conduis Shawn au bungalow 26, avec vue sur la mer et accès direct
à la plage. Tu es attendue par les maîtres-nageurs de la piscine et de la
plage. Il y a Charles Alexandre, un Grec, qui t’attends aussi. Tu lui as laissé
un souvenir d’une nuit torride sur la plage, lors d’un bain de minuit, annonce
Aimée.
- Oui, Charles Alexandre, le gérant des planches à voile. Il m’a donné
beaucoup de plaisir, mais je reste célibataire.
- Tu as raison, Shawn, tu as encore beaucoup à découvrir de l’amour et
de ses secrets, dit Brice, en me conduisant à mon bungalow.
Je vide rapidement ma valise qui contient quelques robes estivales, des
dessous transparents, des maillots de bain deux pièces, ma trousse de
maquillage et quelques godes pour me satisfaire quand je suis seule, que je
range dans mon armoire. Je suis capricieuse et mes amants l’apprennent très
vite.
Nue, j’excite Brice.
- S’il te plait, Brice, défonce-moi la chatte. J’ai trop envie. Je me
suis masturbée cette nuit, peu avant mon départ de Copenhague.
Allongée sur le dos, nue, cuisses écartées, sur le lit, je laisse le
gros mandrin de Brice, trente-cinq par sept, me remplir la chatte. Il est
agenouillé, après m’avoir peloter les seins aux mamelons tendus, lécher et
doigter ma chatte humide. Il me baise jusqu’aux testicules, me saisissant par
les cuisses.
- Oh oui, je suis chaude pour toi, Brice, fais-moi jouir.
- Tu es encore plus ouverte que l’année dernière. Tu baises tous les
jours.
- Oui, pine-moi à fond. Je suis toute à toi.
L’orgasme m’envahit, par une longue vague. Il se retire, pour éjaculer
sur ma toison pubienne et je le nettoie, en le suçant jusqu’à la dernière
goutte. Je me douche et choisis mon bikini.
A la plage, non loin de mon bungalow, je retrouve au centre de planches
à voile, le superbe Charles Alexandre et ma rivale Anne Valérie, une future
duchesse Italienne, aux seins plantureux, simplement vêtue d’un string,
mesurant 1,62 m, pour rivaliser avec mon bikini fuchsia. J’ai pris mon
tee-shirt et mon paréo. J’ai gardée ma queue-de-cheval.
Elle a plusieurs amis à Fuerteventura.
Moi aussi, j’aime surtout la belle Prisca, la nièce d’Aimée, mesurant
1,71 m pour 86-56-86cm et une longue chevelure brune jusqu’aux fesses, une
grande amie lesbienne.
Nous faisons trois régates de planche à voile que je gagne.
Vers midi, nous déjeunons au bar de la plage. Je suis approchée par
deux amis d’Anne Valérie, le Chypriote Dan, un blond musclé bien monté et le
Hollandais Val, un brun bien monté.
Ils me draguent, me pelotent les seins que je dénude, ainsi que ma
chatte dans mon string trempé.
Aux toilettes, je suis avec Dan, le string baissé, les fesses nues. Il
me pelote les seins aux mamelons tendus, que j’ai libéré du soutien-gorge.
- Oh oui, Dan, baise-moi à fond la chatte en feu.
- Shawn, tu es excitée comme cela. Tu aimes ma grosse queue.
Ce mandrin de vingt-six par huit m’excite. Mon clitoris est tendu sous
les doigts experts.
Il caresse bien mes fesses, tout en me baisant, me taquine l’anus du
doigt et mon anus cède un peu avec son index. Enduit de ma mouille, il
continue.
- Ah non, pas ça, tu me fais mal.
Il se retire. Je le suce et j’avale tout.
Je me venge en offrant Dan à un couple homosexuel sur la plage, où il
se fait enculer et suce ses nouveaux amants, sous le regard d’Anne Valérie.
L’après-midi, je gagne les trois autres régates, cette fois, torse nu,
juste en string, pour exciter les maîtres-nageurs.
Je retrouve Prisca à mon bungalow, après une bonne douche, simplement vêtue
de mon tee-shirt sur mes seins mouillés et mon string, sous mon paréo et en
sandales, les cheveux libres.
- Shawn, tu es sexy. Viens me donner ta chatte et ton clitoris à
lécher.
En 69, torride, nous jouissons simultanément, jusqu’à nous goder nos chattes
respectives. Mes mamelons et mon clitoris sont tendus à l’extrême.
Pantelantes de nos orgasmes, je reçois la visite de Brice, avec une
enveloppe adressée à Shawn.
Je l’ouvre :
« Rendez-vous à la villa sur les hauteurs. Ta tenue t’attends dans
ton bungalow. »
Je t’ouvre en effet, un corset seins nus, avec une jupe transparente
largement ouverte devant, dénudant le pubis et un boléro pour cacher mes seins
nus et une minijupe. Je me douche une heure avant le rendez-vous de vingt
heures, me farde comme l’instruction : les paupières légèrement ombrées,
ma bouche fardée avec un rouge clair, un peu liquide, appliqué au pinceau, et
qui fonce en séchant et mes aréoles et mes mamelons du même rouge, et les
petites lèvres entre mes cuisses, en soulignant la fente du giron. Je me
parfume longuement sur mes aisselles lisses, ma fourrure pubienne, dans le
sillon entre les cuisses, dans le sillon sous les seins, et au creux des
paumes.
Je m’habille, en laissant soin de garder mes seins nus, mes fesses nues
et mes jambes nues. Je chausse mes sandales à hauts talons. Je garde mes
cheveux libres.
Je passe par une sortie discrète où m’attends une limousine avec Anne
Valérie.
- Je suis là, pour te guider à la villa. Dis donc, Dan, je ne savais
pas que c’était un homosexuel refoulé.
- Il aime se faire enculer et sucer les hommes, lui dis-je.
- Quand à toi, Shawn, j’espère que tu aimes la sodomie et les doubles
pénétrations, c’est la pratique de la villa.
Je ne réponds pas.
Pendant le trajet, elle me retire ma jupe et mon boléro, devant
d’autres femmes déjà nues, qui se caressent et s’embrassent. Elle me prépare,
en m’embrassant, me caressant mes zones de plaisir.
A la villa, je me déshabille aux vestiaires, je parade sur le podium,
en compagnie d’Anne Valérie.
- Voici la nouvelle beauté de la villa, suceuse de queue, son
pseudonyme, prête à tous les désirs sexuels. Son œillet a déjà reçu de
nombreuses queues, ainsi que sa bouche et son écrin, annonce l’organisateur.
Après le podium, je n’ose pas répondre sur mon anus encore vierge.
Les points s’accumulent, suivant les sondages des invités.
- Allez, suceuse de queue, tu as rendez-vous au pavillon 69, pour
montrer tes talents, m’annonce l’organisateur.
Nue, en sandales, je suis laissée par Anne Valérie, devant une grande
pièce, où se trouvent quatre étalons musclés, bien montés, munis de gaines à
picots, en érection. Je m’exécute et les suce.
A quatre pattes, je me fais baiser par les quatre sans qu’ils
éjaculent. Je connais des orgasmes.
Je suis conduite dans une pièce mitoyenne et là, ce sont huit étalons
du même gabarit qui m’attendent, il y a deux Européens, deux Africains du Nord,
deux Africains noirs et deux orientaux.
Le premier Européen, Val, au gros mandrin de trente-six par huit,
m’encule d’une seule traite, allongée sur le dos, les jambes en l’air,
écartées.
Je tente de protester, mais ma bouche est remplie par les deux
Africains noirs.
- Elle aime ça, se faire enculer, dit Val, en excitant les autres
étalons.
Tous les huit m’enculent à tour de rôle, déflorant mon anus. Mes
cuisses, mon pubis sont recouverts de spermes, ainsi que ma bouche d’où déborde
un peu de spermes.
Je suis épuisée.
- Une double pénétration va la calmer, annonce un des Africains du
Nord.
Nue, je me fais baiser par les calibres de sept centimètres, couché sur
le dos, et celui de huit centimètres m’encule simultanément. Je connais un
violent double orgasme.
Puis je
m’encule sur un autre de huit centimètres, tandis qu’il se trouve sur le dos et
je suis de dos, toujours avec les jambes ouvertes je reçois un autre de sept
centimètres dans ma chatte et je connais le même double plaisir, doublement
inondée, telle une pute.
Les
calibres de huit centimètres m’enculent, par derrière, en me soutenant, tandis
que ceux de sept centimètres me défoncent la chatte simultanément. Je l’entoure
de mes jambes, doublement pénétrée.
C’est
alors qu’un de sept centimètres sans quitter ma chatte, m’allonge sur le tapis,
il est allongé sur le dos. Mes cuisses sont écartées, je suis baisée jusqu’à la
garde. Un de huit centimètres nous rejoint et m’encule aussitôt jusqu’aux
testicules.
Je connais
un double orgasme, ma bouche remplie du sperme des autres étalons qui m’ont
baisée et enculée.
A moitié chancelante, la chatte et l’anus dégoulinant de spermes, je ne
sais plus quelle heure il est.
Huit autres étalons se relaient pour me reprendre en double pénétration
sans ménagement.
13 juin
A l’aube, j’émerge, dans une autre position, allongée sur le ventre,
des bracelets de cuir aux poignets fixés ensemble à mon collier de cuir, une barre
d’écartement fixée aux bracelets de cuir de mes chevilles. Je suis immobilisée.
Une chaîne me retient à un crochet fixé dans le mur. Ils sont faits en
plusieurs épaisseurs de cuir, chaque épaisseur assez mince, au total pas plus
d'un doigt, verrouillés par un système à déclic, qui fonctionne automatiquement
comme un cadenas quand on le referme, et ne peut s'ouvrir qu'avec une petite
clé. Dans la partie opposée à la fermeture des bracelets, pris dans le milieu
des épaisseurs de cuir, et n'ayant presque pas de jeu, il y a un anneau de
métal, qui donne une prise pour fixer, et qu'on positionne du côté intérieur du
poignet. Pour le collier, l'anneau pend devant le cou, reposant sur la saillie
des clavicules, et brinquebalait au rythme des mouvements de celui qui le
porte.
- Alors, tu es une ancienne vierge anale, la suceuse de queue, me
susurre un homme cagoulé, nu, le mandrin dans une gaine à picots. Je vais te
mettre un gode anal pour t’ouvrir davantage et d’ici cinq jours, chaque
nouvelle sodomie te donnera du plaisir.
On m’insère un vibromasseur anal, veiné, de trente-six par huit, gainé
de picots. Il s’allonge et rétrécit à chaque mouvement de va-et-vient grâce à
son enveloppe ultra-souple qui s’étire ou se contracte en suivant les montées
et descentes du gode. J’ai l’impression d’avoir un véritable homme à leur
disposition qui leur fait l’amour en étant infatigable. Il est doté d’un gros
gland, d'un prépuce qui glisse le long du gland lors de la pénétration.
Le vibromasseur possède trois petits trous percés dans la base des
testicules réalistes, trois chaînettes qu'il laissa pendantes. Je reste
menottée debout, sans ma barre d’écartement.
On m’attache une étroite ceinture autour de ma taille, et l'on y
accroche les trois chaînettes, une par derrière qui suit le sillon des fesses,
et les deux autres par-devant, qui longent le pli des aines en contournant le
triangle pubien.
- Elles sont ajustées au plus court, pour forcer et distendre ton
œillet de chaude, et cadenassées, tu ne peut seule, te soulager de cette
contrainte.
Les va-et-vient me font jouir, malgré la douleur des picots.
L’homme me remet en place sur le lit, enchaînée, sans défense. Mon
clitoris, sous l’effet de mystérieuses gouttes, devient gros comme une cerise,
saillant et volumineux tandis que mes mamelons deviennent saillants, gros et
longs. Ils sont hyper sensibles. Mes mamelons pointent au maximum tout le
temps, vingt quatre heures sur vingt quatre et de même pour mon clitoris. Ils
sont complètement tendus et très dur au point de me faire vraiment mal et ces
endroit sont devenus sensibles.
J’ondule mon bassin sur ce vibromasseur, me rappelant mes sodomies de
la veille.
Je jouis et découvre les orgasmes anaux sans me caresser.
Vers neuf heures, je suis libérée de ma chaîne à mon collier. Je dois
marcher avec ma barre d’écartement, nue, pieds nus, grotesquement à petits pas,
les jambes très écartées, les mains menottées dans le dos. Mon bassin continue
à onduler sur le vibromasseur anal. Je suis tenue en laisse par mon collier
Je fais pipi debout, avec beaucoup de difficulté, mais j’y arrive dans
un seau.
Je traverse les pièces où j’ai été offerte, des télévisions diffusent
en boucle des vidéos de soumises enculées et prises en double pénétration.
Je rejoins le réfectoire, m’assois sur un tabouret en cuir, muni d’un
gode vaginal pour m’habituer aux doubles pénétrations. J’ai totale interdiction
de jouir, de lever les yeux et je dois garder ma bouche entrouverte, pour
sucer, les hommes cagoulés, nus, qui me surveillent. Ils pelotent mes seins aux
mamelons tendus, mon clitoris est tendu à l’extrême.
- Elle a déjà reçu seize sodomies hier soir. Elle aime ça, la suceuse
de queue, dit l’un d’eux. Elle mouille bien.
Il me donne quelques claques magistrales, pendant que je déjeune.
Dès que j’ai fini, je suis offerte à un gynécologue, pour vérifier que
je suis bien déflorée de la chatte et de l’anus. Je suis menottée sur le dos,
cuisses écartées, immobilisée.
Il me met un spéculum et un écarteur anal. Ce dernier m’ouvre sur huit
centimètres de long et cinq de diamètre.
Je dois me retenir de jouir dans les deux examens.
Il me baise avec son gros mandrin de trente par huit centimètres, sans
me faire jouir, dans ma chatte humide, masturbant mon gros clitoris tendu, puis
il m’encule. Je gémis un peu, mais il connaît son affaire.
- Tu vas apprendre à te faire enculer, tous les jours, ma belle
soumise. Tu seras enculée profondément s’il le faut jusqu’aux testicules.
Il éjacule dans mon anus.
Libre, je dois tout avaler le sperme, en plus de celui que j’ai dans
mon anus.
Il me remet le vibromasseur anal et un bâillon anneau O pour garder la
bouche ouverte. Le O de l’anneau O est assez large pour faire passer la queue
du Maître ou tout ce qu’il voudra mettre dans la bouche de sa Soumise. Je suis
ainsi humiliée, me dépassant et je suis excitée.
Je passe la journée à subir jusqu’à vingt sodomies et doubles
pénétrations, tantôt avec mon bâillon anneau O ou un bâillon pénis doté d’un
pénis de cinq par trois. Mon anus et ma chatte dégoulinent de spermes. Je suis
douchée, j’ai droit à mon lavement anal et à des fessées quotidiennes, non pas
fouettée comme les autres soumises.
14 juin
Je passe à une trentaine de sodomies et doubles pénétrations. Je prends
beaucoup de plaisir, même seule avec le vibromasseur anal.
17 juin
A l’aube, j’émerge dans ma chambre, juste enchaînée à mon lit, par mon
collier, cuisses écartées, l’anus dégoulinant de spermes. Désormais, mes
mamelons et mon clitoris tendent constamment vingt-quatre heures sur
vingt-quatre.
Mon gros clitoris est percé d’un anneau doré serti d’une pierre
précieuse et je porte fréquemment un gros bijou d’anus, pour me rendre mes
sodomies moins douloureuses, de treize par cinq pour 895g. Chaque mouvement de
cette pomme de pin fait se mouvoir le bijou d’anus en moi, et frotte tout ou
partie de ma chatte. J’aime avoir l’anus bien rempli.
Vers neuf heures, Anne Valérie me rejoint.
- Ça y est, tu as offert ton œillet à tous ses étalons en rut. Tu aimes
ça, il paraît. Tu es une vraie soumise, docile, juste quelques fessées pour te
corriger. Va te doucher et habille-toi, j’ai des amis à te présenter.
Je me douche, sans pudeur, devant Anne Valérie, me fait mon lavement
anal, avant de remettre mon bijou d’anus.
Elle ouvre une valise avec ma nouvelle garde-robe, avec corsets et
guêpières seins nus, jupe éventail, tee-shirt, dos nu en décolleté en V
profond, mini-jupe couvrant à peine mes fesses, des robes et des ensembles au
corsage transparent en dentelle, dos nu. Des mules et des sandales à hauts
talons sont assortis.
L’homme cagoulé me retire mes carcans de cuir.
J’enfile juste un tee-shirt blanc, mes mamelons pointent dessous et on
voit ma chatte velue, mon clitoris percé. Une paire de mules blanches complète
ma tenue, avec une queue-de-cheval, fardée et parfumée. Je porte aussi une bague
sertie d’un petit anneau à mon annulaire gauche.
Nous quittons la villa par un passage secret, avec ma valise.
Dans la limousine qui m’a amenée à la villa, nous allons dans une
crique isolée, loin des regards.
Le vent remonte le long de mes cuisses nues jusqu’à ma chatte, cela
m’excite davantage.
Je mets juste un paréo sur mes jambes nues et sur la plage, nous sommes
seules.
- Déshabille-toi, tu dois désormais te baigner nue.
J’obéis. Je me baigne quelques instants et je reviens m’installer sur
mon paréo, à côté de Anne Valérie, qui est nue.
- Ton gros clitoris percé te va à merveille. Je vais te bander les
yeux, ne dis rien.
Je me retrouve aussitôt, la bouche remplie d’un gros mandrin, puis des
mains pelotent mes seins, étirent mes mamelons tendus, d’autres caressent ma
chatte trempée.
Je me retrouve l’anus libre rapidement.
Un des inconnus m’allonge sur le côté, mes jambes sont légèrement
repliées, je suis enculée, dos à l’inconnu. La sodomie est lente, profonde,
jusqu’aux testicules, mes seins, ma chatte, mon clitoris sont caressés sans
répit, les mandrins se succèdent dans ma bouche. Je ne sais combien ils sont.
- C’est une soumise anale, quel œillet bien souple, me susurre celui
qui m’encule.
Dès qu’il a éjaculé dans mon anus, un autre le remplace, je le nettoie.
Les sodomies se succèdent, décuplant mes orgasmes anaux, par les caresses
masturbatoires.
Quand Anne Valérie me remet le bandeau, nous sommes seules, seul du
sperme dégouline de mon bijou d’anus. Anne Valérie tient une enveloppe avec des
billets.
- Va te rincer, il y a une douche, à côté.
- Combien d’hommes m’ont enculée ?
- Désolé, tout est filmé et enregistré comme à la villa. Ils sont ravis
de ton œillet de soumise.
Sous la douche, je repense aux sodomies que je venais de subir, me
faisant jouir.
Nous rejoignons une petite maison non loin de la crique.
- Tu vas passer quelques jours là. Tu restes nue, prête à t’offrir au
premier étalon en rut. Je t’ai bandé les yeux, car tu as interdiction de
connaître ceux qui t’ont enculée et que tu as sucée, pour l’instant.
Dans la chambre, je découvre un superbe gode réaliste.
Il est doté d’un vrai gland nervuré, d’un gros gland, d'un prépuce qui
glisse le long du gland lors de la pénétration. Il est veiné.
Je m’agenouille dessus, en m’enculant sous mon propre poids. Je jouis
rapidement après quelques va-et-vient, sans me caresser.
Mes râles de plaisir provoquent la venue d’un des inconnus qui m’a
prise à la crique.
- Prosterne-toi, les yeux baissés, pour qu’il satisfaire ton œillet de
soumise.
J’obéis, l’anus libre du gode, encore ouvert. En appui sur ses jambes,
il m’encule avec son mandrin de huit centimètres de diamètre, jusqu’aux
testicules. Je me retiens de jouir.
Sans débander, il se penche latéralement pour me faire jouir enjambe
mes fesses, me masse les seins aux mamelons constamment tendus par une nouvelle
application de nouvelles gouttes ainsi que sur mon clitoris percé. Il me donne
quelques claques magistrales sur mes fesses.
Il éjacule en moi et je dois le sucer, les yeux baissés et tout avaler
sans perdre une goutte.
22 juin
Après une ultime orgie anale dans la crique, le matin, peu après un
déjeuner rapide, Anne Valérie me conduit, vêtue d’un boléro fermé au cou. Il
suffit d'enlever le boléro pour que le torse soit nu, et sans même enlever le boléro,
de l'ouvrir, si l'on désire voir les seins et une minijupe couvrant à peine mes
fesses nues, mes mules à hauts talons et je suis fardée et parfumée. Je suis
coiffée d’une queue-de-cheval.
Je découvre une vaste plage où des couples sont nus.
Nue, je suis présentée aux couples, en échange de caresses de mon
corps, de doigté anal pour vérifier ma souplesse anale, de baisers langoureux.
Certains étalons musclés m’enculent, sur une serviette, dans toutes les
positions, devant les autres couples, leurs femmes et leurs amies me lèchent ma
chatte et pelotent mes seins, étirent mes mamelons.
En une matinée, une vingtaine de couples m’ont satisfait, je suis
nourrie de leurs spermes et de la mouille de leurs femmes.
Au bar, je suis sauvagement enculée par des étalons célibataires,
penchée en avant, cuisses écartées, telle une soumise, fessée magistralement.
- Quel œillet, elle aime ça, se faire défoncer, me susurre l’un d’eux,
en masturbant mon gros clitoris tendu.
Je les suce.
L’après-midi, je gagne la régate de planches à voile nudiste.
Je suis offerte en orgie anale, avec cinq couples et presque autant de
célibataires.
Pantelante, j’ai droit à un bon repos, en bronzant nue, sur mon paréo,
cuisses écartées, offrant une vue sur mon bijou d’anus.
Peu avant le coucher du soleil, je suis à nouveau offerte à d’autres
clients différents.
Je me restaure en compagnie des couples, me laissant caresser et
embrasser et même, enculée, assise entre les cuisses de certains.
Je prends un bain de minuit, excitant. Je suis offerte à quatre pattes.
J’ai trois amants à ma disposition, un dans ma bouche, un pour
m’enculer et un pour me baiser simultanément. Bien sûr, mes râles dans le bruit
des vagues, excitent d’autres clients et je subis jusqu’à trois double
pénétrations intenses et jouissives.
Je rejoins ma chambre, sans porte comme dans l’ensemble du complexe
hôtelier. Ainsi les clients peuvent venir quand ils le désirent.
Anne Valérie a payé mon séjour dans l’autre hôtel.
Je les attends nue, après une longue douche masturbatoire. J’ai remis
mon bijou d’anus après mon lavement.
En quelques instants, trois étalons et une femme me rejoignent. Je suis
offerte en double pénétration, enculée sur celui qui est sur le dos. Un
quatrième étalon nous rejoint et me baise profondément, mon clitoris est léché
par la femme, qui me pelote les seins. Je suis bien inondée par chacun.
A peine qu’ils ont quitté ma chambre, qu’une autre femme me prend avec
un double vibromasseur réaliste dans diverses positions, décuplant mes
orgasmes.
- Tu es une sacrée pute anale, pour jouir doublement pénétrée, me
complimente la femme.
Peu avant l’aube, je passe la nuit avec un couple, le mari l’encule et
sa femme me baise simultanément avec un gros gode réaliste dans ma chatte
resserrée.
23 juin
J’émerge en sueur, nue, dans mon lit. Je me douche, me rafraîchis en
buvant de l’eau.
Mon excitation sexuelle est à son comble, quand six étalons Africains
noirs me font jouir en m’enculant à tour de rôle, jusqu’aux testicules, me
fessant, tandis que je les suce et j’avale tout.
Vers huit heures, j’émerge, d’un court sommeil, sors de ma chambre,
prends le soleil, me baigne et je reprends mes ébats sexuels, entre deux
régates de planches à voile.
Je passe quelques jours au complexe hôtelier, collectionnant de
nouveaux amants et maîtresses, en échange d’argent pour payer mon séjour de
soumise.
30 juin
Vers sept heures, me remettant de plusieurs doubles pénétrations
jouissives, nue, je reçois la visite de Anne Valérie :
- Alors, la belle soumise, tu te plais et les clients sont satisfaits
de tes services de soumise docile. Vas te doucher, te faire belle.
J’obéis. Je me douche rapidement, me farde et me parfume.
Je remets mon boléro, ma jupe et mes mules, je garde mes cheveux
libres.
Anne Valérie me conduit dans un nouveau lieu.
Nous allons à un haras. Je découvre une saillie d’une jument par un
étalon. Cela m’excite.
Surtout, l’éleveur qui me suggère de tester Alizé des Haies, un
magnifique alezan.
- Tu ne devrais avoir aucun mal à jouir avec un tel sexe dans ta chatte
trempée, sous mes doigts.
- Je suis tentée, dis-je, au bord de l’orgasme, mon clitoris masturbé
et ma chatte doigtée par un expert.
- Tu vas me sucer tandis qu’il te baise avec son sexe.
Devant l’écurie d’Alizé des Haies, je me penche en avant, nue, les
cuisses écartées. Il introduit sa main dans ma chatte écartelée.
Je mouille très fort à l'idée de ce qui m'attend.
Je suce le sexe d’Alizé des Haies, en prenant le gland monstrueux.
Celui-ci, sous les caresses labiales, entre en érection jusqu’à l’éjaculation
en bouche.
Reprenant son souffle, j’enfonce son sexe dans ma chatte trempée, en
m’empalant dessus, jusqu’à l’orgasme, la chatte bien remplie. Je coulisse
dessus et il éjacule à nouveau me provoquant un nouvel orgasme foudroyant.
L’éleveur éjacule aussi dans ma bouche, mais en profite, lors de mon
retrait, pour m’enculer, à quatre pattes dans le foin, en bandant à fond et
enfonçant sa main dans ma chatte entrouverte et dégoulinant de spermes équins.
Je connais un violent orgasme anal.
- Quel potentiel, c’est une future pute équine. Trois saillies de la
chatte par jour, devraient lui convenir. J’ai aussi Zéphyr des Vallées, un
superbe étalon, un selle Français, pour la faire jouir.
Un palefrenier me prend aux épaules et aux jarrets, me soulève et
m’empale la chatte sur le sexe de Zéphyr, en érection, dans son box.
Des bracelets de cuir me sont mis, pour que j’entoure le cou de Zéphyr
avec mes bras et pour mes chevilles, les jambes tendues, reliées par une
chaîne. Ainsi je suis constamment empalée sur le sexe.
Je suis conduite au manège, subissant les va-et-vient du sexe de Zéphyr
par un balancement. Je ne compte plus mes orgasmes, ni les éjaculations reçues
en une demi-heure.
Le palefrenier me fait aussi sucer son gros mandrin et m’encule, sans
me retirer du sexe de Zéphyr. J’explose dans un long et violent orgasme.
La promenade reprend.
Puis on me fait changer de position, toujours empalée sur le sexe de
Zéphyr, mais je suis dos contre le ventre de Zéphyr, les jambes relevées et
écartées, pour une saillie plus profonde.
Zéphyr connaît son affaire et me fait encore jouir, me remplissant à
nouveau ma chatte écartelée, lors d’un nouveau tour de manège.
Pantelante, la chatte dégoulinante de spermes équins, de retour au box,
je suis rincée à l’eau froide. Je suis sauvagement enculée par les autres
membres du haras.
Je suis à nouveau offerte à Alizé, baisée sous lui, jusqu’à
l’éjaculation.
Je suis autorisée à monter Alizé, sur une selle spéciale, nue, en
cuissardes, avec mes carcans de cuir, ainsi que mon collier de cuir.
La selle se dresse deux godes équins réalistes moulés sur l’avant du
sexe en érection avec le gland, pour combler ma chatte et mon anus
simultanément. Je gémis un peu lors de ma sodomie équine sur le gode.
La douleur est balancée par le plaisir de ma chatte en feu.
Après une heure de promenade, dans le parc voisin, avec un des adjoints
du haras, un bel étalon bien monté. Je suis pantelante par mes orgasmes.
Il m’aide à me retirer des godes de huit centimètres de diamètre.
L’anus encore ouvert, je suis sauvagement enculée, tout en suçant
Alizé.
Pour le retour, il me sangle sous Alizé, dos contre le ventre d’Alizé,
pour ma première vraie saillie anale équine. Je gémis, mais après plusieurs
va-et-vient, je jouis, largement inondée.
Je suis rincée à l’eau froide, avec un bon lavement anal.
Les hommes présents me conduisent dans un box proche de celui d’Alizé,
me menottent à un chevalet. Je suis solidement immobilisée dans cette posture
dégradante, le postérieur plus haut que la tête. Mes bras sont fixés le long
des pieds avants, mes jambes le long des pieds arrières, et une large sangle
m'est passée au niveau de la taille. Mes cuisses, légèrement fléchies sont
empêchées de se resserrer par la largeur de la poutre, ainsi d'ailleurs mes
fesses que je me peux refermer. Toute mon intimité est ainsi très accessible et
on peut me faire tout subir.
Là, je suis enculée, fessée et offerte à toute heure de la nuit, aux
sexes équins des étalons, de retour de leurs entraînements. On préfère me faire
d’abord baiser puis de temps à autre m’enculer par leurs sexes, tout en suçant
les hommes qui l’accompagnent.
2 juillet
A l’aube, je suis enculée par Alizé, pour deux orgasmes anaux
consécutifs, tellement mon anus est devenu sensible.
Je suis conduite au manège, après le petit déjeuner copieux, suce Alizé
et je m’empale sur les deux godes équins, sans difficulté. Mon anus est bien
assoupli par les saillies anales équines.
Ma chatte est intégralement épilée, tous les jours, depuis mon arrivée
au haras, je garde mon triangle pubien. Je porte aussi des bijoux d’anus de
huit centimètre de diamètre, pour que je sois constamment remplie.
Je suce les invités, qui assistent à mes saillies filmées.
Je suis offerte en double pénétration, la chatte remplie par un sexe
équin et un des invités qui m’encule sous moi.
5 juillet
Menottée à mon chevalet, au lever du soleil, je reçois la visite de
l’éleveur avec un ami.
Son ami, du double de mon âge, observe mon anus assoupli encore un peu
ouvert par la saillie anale de la nuit, dégoulinant de spermes frais.
Elle se fait saillir fréquemment par tes étalons. Adam ne devrait aucun
problème pour l’enculer.
En un instant Adam m’encule jusqu’au nœud, d’une seule traite. Il me
pistonne avec force, sourd à mes cris de douleur, il me viole pendant deux
minutes et d'un coup se figea pour me remplir de ses jets de foutre, je le sens
se vider à l'intérieur et c’est pour moi une extase totale, et son ami me
caresse ma chatte humide me font partir aussitôt.
Le sang bat dans ma tête, mon anus me brûle tellement, Adam m’a défoncé
avec toute sa fougue, soudé à moi.
- C’est une vraie chienne soumise, cette beauté. Trois quart d’heure de
saillie, elle aime ça.
Je suce Adam, pour le récompenser.
Apollo le doberman prend le relais, pour m’enculer et enfin, un dogue
allemand, Lancelot, le plus gros sexe canin m’encule.
Libre, je dois me faire saillir en double pénétration canine, baisée
par Adam et enculée par Apollo, je perds connaissance sous mes orgasmes
violents et ma chatte et mon anus dégoulinent de leurs spermes chauds, que je
nettoie.
Son ami m’encule aussi, tandis que je me fais baiser par Apollo. Je
perds aussi connaissance, par la montée du plaisir.
Je suis douchée à l’eau froide. Je me repose, menottée au chevalet.
Les trois chiens restent au haras, pour me satisfaire, me baisant et
m’enculant et en double pénétration canine.
L’éleveur monte les enchères pour les photos et vidéos de moi, la
nouvelle soumise chienne et soumise équine.
Je suis marquée au fer rouge, menottée à mon chevalet, sur ma fesse
gauche, le sceau du haras et sur l’autre fesse, un fouet et une cravache
entrecroisés, hautes de trois doigts et larges de moitié leur hauteur, sont
creusées dans la chair comme par une gouge, à près d'un centimètre de
profondeur.
On tatoue mes reins en lettre
gothique « Soumise Chienne Equine Vicieuse ».
13 juillet
On me dévoile officiellement mon tatouage.
Le même jour, le Prince Omar et sa suite débarquent d’un jet privé pour
acheter des étalons reproducteurs pour son haras oriental.
Je suis longuement baignée dans une grande salle de bains, entièrement
recouverte de glaces et de miroirs sur les murs et au plafond, accroupie,
cuisses écartées, les yeux baissés, avec mes carcans de cuir, pour me retirer
l’odeur des chevaux et des chiens. Je suis fardée et parfumée, puis vêtue comme
une orientale : je revêts une longue jupe transparente, dénudant
entièrement mon pubis, et un soutien-gorge demi-seins, brodé de fils d'or et de
paillettes. Sur ses cheveux, je porte un tchador doré opaque qui laissait juste
apparaître son visage et quelques mèches. Tout cet habillement ne cachait
absolument rien en fait car à travers ma jupe transparente, on voit clairement
mon pubis brun se dessiner et d'autre part, les mailles de la brassière en or
font apparaître les auréoles roses des seins aux mamelons constamment tendus
rougis. Mes seins sont magnifiquement mis en valeur et offerts, qui laissent la
moitié supérieure du sein nu en le soutenant et en lui donnant du volume.
Je reste pieds nus et je rejoins un grand salon, où le Prince Omar, du triple
de mon âge, d’autres membres du « gouvernement » m’accueillent. Je
pratique la danse du ventre, que m’a initié deux femmes du harem.
Tous les regards se fixent sur mes seins, mes fesses, mon pubis velu.
Je me retrouve rapidement nue, suçant, l’anus et la chatte fouillés par
les hommes, de gros mandrins m’enculent sauvagement dans diverses positions.
Pantelante, la bouche remplie de spermes, ainsi que mes fesses, je suis
enfin offerte au Prince Omar.
15 juillet
Le soleil chauffe mon dos nu. Je suis nue, menottée avec mes carcans de
cuir, allongée sur mon matelas, posé à même le sol, sur le dos, les mains
menottées dans le dos, cuisses maintenues écartées par une barre d’écartement
et une chaîne fixée à mon collier.
Une pièce circulaire est fermée par une porte unique qui constitue son
seul passage. Des étroites ouvertures sont fermées par des persiennes fixées
aux montants. Au milieu de la pièce, un bassin de 25 mètres sur dix est rempli
d'eau. Les autres femmes du harem sont là m’adressant des mots en Arabe que je
ne comprends pas. Elles sont de mon âge et quelques-unes sont plus âgées.
Je suis détachée de la chaîne de mon collier et de la barre
d’écartement par trois d’entre elles. Je suis lavée, avec même un poignet
enduit de lotion pour me nettoyer la chatte et l’anus à deux doigts. Je dois
stopper tout orgasme lors du bain. A la fin, elle sortit de la piscine et ses
'collègues' la firent allonger sur le ventre pour lui appliquer de la pommade
sur les fesses zébrées et cravachées, ainsi que mes cuisses. Ensuite, des mains
me pratiquent un massage sur le dos, achevant de m'assoupir.
Mais mon repos est de courte durée, j’apprends l’arabe et je deviens
Opale du Désir. Je suis godée fréquemment dans la chatte et enculée, par les
femmes du harem, avant chaque rendez-vous avec le Prince Omar.
Je me soulage nue dans les toilettes à la turque.
Le bassin central fait à peine un mètre de profondeur. Dans ce bassin,
j’y fais tout ma toilette. Je reste nue, pieds nus, quelquefois en paréo
transparent qui ne cache absolument rien de mon corps.
Bien sûr, le Prince me fait saillir par ses meilleurs étalons équins et
ses chiens de garde, telle une soumise. Je suis autorisée à avoir mes orgasmes
qu’avec des chevaux et des chiens.
De temps à autre, je suis autorisée à passer la nuit avec le Prince.
Prosternée, les mains jointes à mon cou, je suis enculée par ses soins
et par d’autres riches invités, avec interdiction de jouir, sous peine de la
cravache, de la garcette (de cordes assez fines, faite de sept lanières terminées
chacune par plusieurs nœuds, et qui sont toutes raides, trempées dans l'eau, je
le constate sur l’intérieur de mes cuisses) et la chicotte (C'est un engin fait
en deux parties, d'une part un manche en bois verni et de l'autre une tresse en
cuir noir, reliés ensemble par une boucle qui forme charnière, de telle sorte
que, quand on l'utilise avec habilité, le coup de poignet sur le manche donnait
encore plus de vitesse à la tresse en cuir). Je garde les yeux baissés à toute
occasion.
Hors chaque fois que je suis fouettée, je mouille abondamment sous
l’excitation, faisant tendre au maximum mes mamelons et mon clitoris, ce qui
plait au Prince et à ses invités.
Après trente coups de fouet, malgré la fatigue, je suis à nouveau
enculée ou prise en double pénétration selon les envies de celui qui m’a
fouettée.
Mon anus se lubrifie davantage aussi sous les claques magistrales.
Avant chaque saillie anale canine, je dois porter pendant deux heures,
un vibromasseur anal moulé sur le sexe d’un doberman, maintenu par des chaînes
comme à la villa et aussi un vibromasseur anal moulé sur le devant d’un sexe
d’un étalon, pour les saillies anales équines, au harem.
Tous les mois, je suis livrée au gynécologue du harem, avec des
spéculums et écarteur anal, en compagnie des autres soumises, avant une longue
sodomie sans orgasme, juste une longue éjaculation dans ma bouche. Je suis
menottée au fauteuil gynécologique.
En moyenne, une vingtaine d’invités m’enculent, me fouettent, une
dizaine de saillies anales canines et équines par jour comblent mon plaisir.
Mes marques sur mes fesses, mes cuisses, mon dos, mes reins et mes seins
s’entrecroisent.
Je porte aussi des fers qui percent mes grandes lèves humides, lisses.
Ce sont des anneaux de fer mat inoxydable, comme le fer de la bague doublée
d'or. La tige en était ronde, épaisse comme un gros crayon de couleur, et ils
sont oblongs : les maillons des grosses chaînes sont semblables. Chacun est
formé de deux U qui s'emboîtent l'un dans l'autre. Un ressort intérieur sur
lequel on doit forcer pour le faire pénétrer dans la rainure où il se bloque.
Chaque anneau est long comme deux phalanges du petit doigt, qu'on y peut
glisser. A chacun est suspendu, comme un nouveau maillon, ou comme au support
d'une boucle d'oreille un anneau qui doit être dans le même plan que l'oreille
et la prolonger, un disque de même métal aussi large que l'anneau est long. Je
suis la propriété du Prince Omar et de Anne Valérie, les fers me descendent
jusqu'au tiers de la cuisse, et à chacun de ses pas bougent entre mes jambes
comme un battant de cloche, le disque gravé étant plus lourd et plus long que
l'anneau auquel il pend.
En un an, chez le Prince Omar, j’ai un vocabulaire arabe maîtrisé et je
suis officiellement nommée à la villa, pour dresser de jeunes vierges. Le
Prince Omar ne m’a jamais baisée, car il tient à ce que ce soit mon Maître à
Fuerteventura qui me fasse jouir de la chatte.
12 juin, un an plus tard,
Je retrouve le pavillon 69 de la villa.
Je découvre Prisca, récemment déflorée de l’anus, quelques jours
auparavant par les mêmes étalons qui m’ont dressée.
Elle porte des carcans de cuir, comme moi.
Sa chatte est elle aussi épilée. Nous sommes nues devant Anne Valérie.
- Regarde, Prisca, comment ta chérie Shawn est devenue une vraie
soumise docile bisexuelle, chienne et pute chevaline. Elle aime ça.
- Oui, Maîtresse, dis-je, les yeux baissés.
- Shawn, tu sais ce que tu dois faire à ton amie Prisca, une ancienne
lesbienne. Enfile ce double gode ceinture, sept centimètres de diamètre devrait
la combler et toi, tu as un vibromasseur anal doberman, pour te faire jouir.
J’enfile le gode ceinture. Prisca a la chatte en feu.
Dès que je suis empalée sur le vibromasseur anal, j’ondule mon bassin
pour faire jouir Prisca, allongée sur le dos.
- Non, pas le gode dans mon œillet, s’il te plait, ma chérie, dit
Prisca.
- Je le dois. Tu as du être enculée souvent depuis ton arrivée ici.
- Arrête, défonce-moi ma chatte, dit Prisca.
- Silence, Prisca, Shawn connaît son travail, annonce Anne Valérie.
Puis à quatre pattes, je continue le double gode. Prisca jouit enfin.
Libérée du gode ceinture, Prisca doit me faire jouir à son tour.
- A ton tour Prisca, de faire jouir ta chérie Shawn, après un an
d’absence, dit Anne Valérie.
J’explose, allongée sur le dos et à quatre pattes, tandis que Prisca,
gémit, enculée par le vibromasseur anal canin.
Puis lors d’une orgie anale, où je suis offerte à une quinzaine
d’étalons bien montés, Prisca subit sa première double pénétration.
Nos corps sont couverts de spermes chauds, sur nos seins, dans nos
bouches, sur nos pubis et nos anus dégoulinent.
Le soir, le Maître de la villa passe de longues heures à me baiser dans
toutes les positions, pour retarder mon orgasme, tout en visionnant mes ébats
avec Prisca.
- Alors, ma belle Shawn, tu es devenue une sacrée Maîtresse, le Prince
Omar t’a bien éduquée. Tu vas pouvoir assurer ma descendance.
Prisca est aussi baisée par le Maître de la villa.
Chaque soir, jusqu’aux premières rondeurs de nos ventres, nous sommes
constamment baisées, après nos orgies anales.
Malgré nos grossesses, nous sommes constamment enculées par les invités
et le Maître de la villa.
Nos règles disparaissent ; nos ventres augmentent petit à petit de
volume après quelques semaines, quelques mois. Juliette était tombée enceinte
selon les désirs de son maître. Nos jambes et nos hanches gardent leur finesse
première. Nos ventres et nos seins augmentent de volume. Nous gardons un corps
ferme et désirable.
Je donne naissance à des jumeaux, un garçon et une fille et Prisca
donne naissance à un garçon.
Je suis offerte à plusieurs étalons de ma famille, pour l’inceste, peu
après ma grossesse.
Prisca devient officiellement ma soumise à plein temps. Elle est aussi
marquée au fer rouge et ferrée comme moi, son gros clitoris est percé.
Retrouvez-nous à Fuerteventura, vous trouverez la villa en demandant
Miss Shawn et soumise Prisca, nos œillets vous sont ouverts à vos gros sexes.
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