dimanche 31 mai 2020

VICES DE FUERTEVENTURA


Je m’appelle Shawn.
J’ai 18 ans.
Je suis une jolie beauté scandinave.
Je suis une brune aux yeux verts. J’ai des pieds fins et latins, des jambes longues bronzées, musclées qui inquiètent par leur perfection. Mon pénil est bombé, ouvert, couronné de noir. Ma pilosité brune couvre mon pubis. Je suis totalement velue entre les cuisses et j’ai une superbe croupe. Les lèvres de mon sexe sont une plaie rouge entre mon entrecuisse velue. Mes hanches s'incurvent et délimitent le ventre plat, délicieusement renflé autour du nombril, les hanches sont larges et rondes, mais sans lourdeur. La taille est affinée. Les seins parfaits intégralement bronzés sont un peu volumineux mais fermes, et leurs pointes marron clair, toujours dressées, cernées par une large aréole marron attirent le regard. J’ai une peau lisse et patine. Finition parfaite, un seul grain de beauté entre mes superbes seins. De longs cheveux plats blonds flottant comme des algues, battent mes épaules rondes et gracieusement athlétiques. Je suis intégralement bronzée. Mes yeux verts limpides s'allument, ma bouche charnue se fend. J’ai des sourcils bruns bien dessinés et des lèvres pulpeuses. J’ai de longs doigts fins et de belles mains. Je fais du 85B de poitrine, 56 de taille, 90 de hanches, 1,72 m.

VICES DE FUERTEVENTURA

12 juin
Chaque été, depuis l’âge de mes quinze ans, je me rends avec mes parents à Fuerteventura, dans un complexe hôtelier, avec des bungalows.
Depuis un an, suite à ma défloration accidentelle par mon neveu, âgé de 25 ans, dans ma chambre, je collectionne les amants, dont je note leur talent sexuel sur mon cahier. Je déteste la sodomie, mais j’aime beaucoup sucer, grâce à mon cousin, âgé de 22 ans, qui m’a initiée et ma cousine, âgée de 23 ans, qui m’a initiée aux jeux lesbiens avec gode-ceinture et gode de tous calibres pour ma chatte à combler.
Je suis une adepte du bronzage en bikini.
Cette année, mes parents m’ont offert le voyage et mon séjour.
Dès mon arrivée à la réception, vêtue d’un chemisier fuchsia, d’une jupe ample blanche, de sandales à hauts talons et coiffée d’une queue-de-cheval, mes ongles des pieds vernis de rouge, je retrouve la directrice, Aimée, une Française, du double de mon âge, qui raffole de ma chatte et mon clitoris et son assistant, Brice, un Suédois brun, musclé, âgé de 32 ans, qui m’a baisée de nombreuses fois lors de mes venues précédentes.
- Tu conduis Shawn au bungalow 26, avec vue sur la mer et accès direct à la plage. Tu es attendue par les maîtres-nageurs de la piscine et de la plage. Il y a Charles Alexandre, un Grec, qui t’attends aussi. Tu lui as laissé un souvenir d’une nuit torride sur la plage, lors d’un bain de minuit, annonce Aimée.
- Oui, Charles Alexandre, le gérant des planches à voile. Il m’a donné beaucoup de plaisir, mais je reste célibataire.
- Tu as raison, Shawn, tu as encore beaucoup à découvrir de l’amour et de ses secrets, dit Brice, en me conduisant à mon bungalow.
Je vide rapidement ma valise qui contient quelques robes estivales, des dessous transparents, des maillots de bain deux pièces, ma trousse de maquillage et quelques godes pour me satisfaire quand je suis seule, que je range dans mon armoire. Je suis capricieuse et mes amants l’apprennent très vite.
Nue, j’excite Brice.
- S’il te plait, Brice, défonce-moi la chatte. J’ai trop envie. Je me suis masturbée cette nuit, peu avant mon départ de Copenhague.
Allongée sur le dos, nue, cuisses écartées, sur le lit, je laisse le gros mandrin de Brice, trente-cinq par sept, me remplir la chatte. Il est agenouillé, après m’avoir peloter les seins aux mamelons tendus, lécher et doigter ma chatte humide. Il me baise jusqu’aux testicules, me saisissant par les cuisses.
- Oh oui, je suis chaude pour toi, Brice, fais-moi jouir.
- Tu es encore plus ouverte que l’année dernière. Tu baises tous les jours.
- Oui, pine-moi à fond. Je suis toute à toi.
L’orgasme m’envahit, par une longue vague. Il se retire, pour éjaculer sur ma toison pubienne et je le nettoie, en le suçant jusqu’à la dernière goutte. Je me douche et choisis mon bikini.
A la plage, non loin de mon bungalow, je retrouve au centre de planches à voile, le superbe Charles Alexandre et ma rivale Anne Valérie, une future duchesse Italienne, aux seins plantureux, simplement vêtue d’un string, mesurant 1,62 m, pour rivaliser avec mon bikini fuchsia. J’ai pris mon tee-shirt et mon paréo. J’ai gardée ma queue-de-cheval.
Elle a plusieurs amis à Fuerteventura.
Moi aussi, j’aime surtout la belle Prisca, la nièce d’Aimée, mesurant 1,71 m pour 86-56-86cm et une longue chevelure brune jusqu’aux fesses, une grande amie lesbienne.
Nous faisons trois régates de planche à voile que je gagne.
Vers midi, nous déjeunons au bar de la plage. Je suis approchée par deux amis d’Anne Valérie, le Chypriote Dan, un blond musclé bien monté et le Hollandais Val, un brun bien monté.
Ils me draguent, me pelotent les seins que je dénude, ainsi que ma chatte dans mon string trempé.
Aux toilettes, je suis avec Dan, le string baissé, les fesses nues. Il me pelote les seins aux mamelons tendus, que j’ai libéré du soutien-gorge.
- Oh oui, Dan, baise-moi à fond la chatte en feu.
- Shawn, tu es excitée comme cela. Tu aimes ma grosse queue.
Ce mandrin de vingt-six par huit m’excite. Mon clitoris est tendu sous les doigts experts.
Il caresse bien mes fesses, tout en me baisant, me taquine l’anus du doigt et mon anus cède un peu avec son index. Enduit de ma mouille, il continue.
- Ah non, pas ça, tu me fais mal.
Il se retire. Je le suce et j’avale tout.
Je me venge en offrant Dan à un couple homosexuel sur la plage, où il se fait enculer et suce ses nouveaux amants, sous le regard d’Anne Valérie.
L’après-midi, je gagne les trois autres régates, cette fois, torse nu, juste en string, pour exciter les maîtres-nageurs.
Je retrouve Prisca à mon bungalow, après une bonne douche, simplement vêtue de mon tee-shirt sur mes seins mouillés et mon string, sous mon paréo et en sandales, les cheveux libres.
- Shawn, tu es sexy. Viens me donner ta chatte et ton clitoris à lécher.
En 69, torride, nous jouissons simultanément, jusqu’à nous goder nos chattes respectives. Mes mamelons et mon clitoris sont tendus à l’extrême.
Pantelantes de nos orgasmes, je reçois la visite de Brice, avec une enveloppe adressée à Shawn.
Je l’ouvre :
« Rendez-vous à la villa sur les hauteurs. Ta tenue t’attends dans ton bungalow. »
Je t’ouvre en effet, un corset seins nus, avec une jupe transparente largement ouverte devant, dénudant le pubis et un boléro pour cacher mes seins nus et une minijupe. Je me douche une heure avant le rendez-vous de vingt heures, me farde comme l’instruction : les paupières légèrement ombrées, ma bouche fardée avec un rouge clair, un peu liquide, appliqué au pinceau, et qui fonce en séchant et mes aréoles et mes mamelons du même rouge, et les petites lèvres entre mes cuisses, en soulignant la fente du giron. Je me parfume longuement sur mes aisselles lisses, ma fourrure pubienne, dans le sillon entre les cuisses, dans le sillon sous les seins, et au creux des paumes.
Je m’habille, en laissant soin de garder mes seins nus, mes fesses nues et mes jambes nues. Je chausse mes sandales à hauts talons. Je garde mes cheveux libres.
Je passe par une sortie discrète où m’attends une limousine avec Anne Valérie.
- Je suis là, pour te guider à la villa. Dis donc, Dan, je ne savais pas que c’était un homosexuel refoulé.
- Il aime se faire enculer et sucer les hommes, lui dis-je.
- Quand à toi, Shawn, j’espère que tu aimes la sodomie et les doubles pénétrations, c’est la pratique de la villa.
Je ne réponds pas.
Pendant le trajet, elle me retire ma jupe et mon boléro, devant d’autres femmes déjà nues, qui se caressent et s’embrassent. Elle me prépare, en m’embrassant, me caressant mes zones de plaisir.
A la villa, je me déshabille aux vestiaires, je parade sur le podium, en compagnie d’Anne Valérie.
- Voici la nouvelle beauté de la villa, suceuse de queue, son pseudonyme, prête à tous les désirs sexuels. Son œillet a déjà reçu de nombreuses queues, ainsi que sa bouche et son écrin, annonce l’organisateur.
Après le podium, je n’ose pas répondre sur mon anus encore vierge.
Les points s’accumulent, suivant les sondages des invités.
- Allez, suceuse de queue, tu as rendez-vous au pavillon 69, pour montrer tes talents, m’annonce l’organisateur.
Nue, en sandales, je suis laissée par Anne Valérie, devant une grande pièce, où se trouvent quatre étalons musclés, bien montés, munis de gaines à picots, en érection. Je m’exécute et les suce.
A quatre pattes, je me fais baiser par les quatre sans qu’ils éjaculent. Je connais des orgasmes.
Je suis conduite dans une pièce mitoyenne et là, ce sont huit étalons du même gabarit qui m’attendent, il y a deux Européens, deux Africains du Nord, deux Africains noirs et deux orientaux.
Le premier Européen, Val, au gros mandrin de trente-six par huit, m’encule d’une seule traite, allongée sur le dos, les jambes en l’air, écartées.
Je tente de protester, mais ma bouche est remplie par les deux Africains noirs.
- Elle aime ça, se faire enculer, dit Val, en excitant les autres étalons.
Tous les huit m’enculent à tour de rôle, déflorant mon anus. Mes cuisses, mon pubis sont recouverts de spermes, ainsi que ma bouche d’où déborde un peu de spermes.
Je suis épuisée.
- Une double pénétration va la calmer, annonce un des Africains du Nord.
Nue, je me fais baiser par les calibres de sept centimètres, couché sur le dos, et celui de huit centimètres m’encule simultanément. Je connais un violent double orgasme.
Puis je m’encule sur un autre de huit centimètres, tandis qu’il se trouve sur le dos et je suis de dos, toujours avec les jambes ouvertes je reçois un autre de sept centimètres dans ma chatte et je connais le même double plaisir, doublement inondée, telle une pute.
Les calibres de huit centimètres m’enculent, par derrière, en me soutenant, tandis que ceux de sept centimètres me défoncent la chatte simultanément. Je l’entoure de mes jambes, doublement pénétrée.
C’est alors qu’un de sept centimètres sans quitter ma chatte, m’allonge sur le tapis, il est allongé sur le dos. Mes cuisses sont écartées, je suis baisée jusqu’à la garde. Un de huit centimètres nous rejoint et m’encule aussitôt jusqu’aux testicules.
Je connais un double orgasme, ma bouche remplie du sperme des autres étalons qui m’ont baisée et enculée.
A moitié chancelante, la chatte et l’anus dégoulinant de spermes, je ne sais plus quelle heure il est.
Huit autres étalons se relaient pour me reprendre en double pénétration sans ménagement.

13 juin
A l’aube, j’émerge, dans une autre position, allongée sur le ventre, des bracelets de cuir aux poignets fixés ensemble à mon collier de cuir, une barre d’écartement fixée aux bracelets de cuir de mes chevilles. Je suis immobilisée. Une chaîne me retient à un crochet fixé dans le mur. Ils sont faits en plusieurs épaisseurs de cuir, chaque épaisseur assez mince, au total pas plus d'un doigt, verrouillés par un système à déclic, qui fonctionne automatiquement comme un cadenas quand on le referme, et ne peut s'ouvrir qu'avec une petite clé. Dans la partie opposée à la fermeture des bracelets, pris dans le milieu des épaisseurs de cuir, et n'ayant presque pas de jeu, il y a un anneau de métal, qui donne une prise pour fixer, et qu'on positionne du côté intérieur du poignet. Pour le collier, l'anneau pend devant le cou, reposant sur la saillie des clavicules, et brinquebalait au rythme des mouvements de celui qui le porte.
- Alors, tu es une ancienne vierge anale, la suceuse de queue, me susurre un homme cagoulé, nu, le mandrin dans une gaine à picots. Je vais te mettre un gode anal pour t’ouvrir davantage et d’ici cinq jours, chaque nouvelle sodomie te donnera du plaisir.
On m’insère un vibromasseur anal, veiné, de trente-six par huit, gainé de picots. Il s’allonge et rétrécit à chaque mouvement de va-et-vient grâce à son enveloppe ultra-souple qui s’étire ou se contracte en suivant les montées et descentes du gode. J’ai l’impression d’avoir un véritable homme à leur disposition qui leur fait l’amour en étant infatigable. Il est doté d’un gros gland, d'un prépuce qui glisse le long du gland lors de la pénétration.
Le vibromasseur possède trois petits trous percés dans la base des testicules réalistes, trois chaînettes qu'il laissa pendantes. Je reste menottée debout, sans ma barre d’écartement.
On m’attache une étroite ceinture autour de ma taille, et l'on y accroche les trois chaînettes, une par derrière qui suit le sillon des fesses, et les deux autres par-devant, qui longent le pli des aines en contournant le triangle pubien.
- Elles sont ajustées au plus court, pour forcer et distendre ton œillet de chaude, et cadenassées, tu ne peut seule, te soulager de cette contrainte.
Les va-et-vient me font jouir, malgré la douleur des picots.
L’homme me remet en place sur le lit, enchaînée, sans défense. Mon clitoris, sous l’effet de mystérieuses gouttes, devient gros comme une cerise, saillant et volumineux tandis que mes mamelons deviennent saillants, gros et longs. Ils sont hyper sensibles. Mes mamelons pointent au maximum tout le temps, vingt quatre heures sur vingt quatre et de même pour mon clitoris. Ils sont complètement tendus et très dur au point de me faire vraiment mal et ces endroit sont devenus sensibles.
J’ondule mon bassin sur ce vibromasseur, me rappelant mes sodomies de la veille.
Je jouis et découvre les orgasmes anaux sans me caresser.
Vers neuf heures, je suis libérée de ma chaîne à mon collier. Je dois marcher avec ma barre d’écartement, nue, pieds nus, grotesquement à petits pas, les jambes très écartées, les mains menottées dans le dos. Mon bassin continue à onduler sur le vibromasseur anal. Je suis tenue en laisse par mon collier
Je fais pipi debout, avec beaucoup de difficulté, mais j’y arrive dans un seau.
Je traverse les pièces où j’ai été offerte, des télévisions diffusent en boucle des vidéos de soumises enculées et prises en double pénétration.
Je rejoins le réfectoire, m’assois sur un tabouret en cuir, muni d’un gode vaginal pour m’habituer aux doubles pénétrations. J’ai totale interdiction de jouir, de lever les yeux et je dois garder ma bouche entrouverte, pour sucer, les hommes cagoulés, nus, qui me surveillent. Ils pelotent mes seins aux mamelons tendus, mon clitoris est tendu à l’extrême.
- Elle a déjà reçu seize sodomies hier soir. Elle aime ça, la suceuse de queue, dit l’un d’eux. Elle mouille bien.
Il me donne quelques claques magistrales, pendant que je déjeune.
Dès que j’ai fini, je suis offerte à un gynécologue, pour vérifier que je suis bien déflorée de la chatte et de l’anus. Je suis menottée sur le dos, cuisses écartées, immobilisée.
Il me met un spéculum et un écarteur anal. Ce dernier m’ouvre sur huit centimètres de long et cinq de diamètre.
Je dois me retenir de jouir dans les deux examens.
Il me baise avec son gros mandrin de trente par huit centimètres, sans me faire jouir, dans ma chatte humide, masturbant mon gros clitoris tendu, puis il m’encule. Je gémis un peu, mais il connaît son affaire.
- Tu vas apprendre à te faire enculer, tous les jours, ma belle soumise. Tu seras enculée profondément s’il le faut jusqu’aux testicules.
Il éjacule dans mon anus.
Libre, je dois tout avaler le sperme, en plus de celui que j’ai dans mon anus.
Il me remet le vibromasseur anal et un bâillon anneau O pour garder la bouche ouverte. Le O de l’anneau O est assez large pour faire passer la queue du Maître ou tout ce qu’il voudra mettre dans la bouche de sa Soumise. Je suis ainsi humiliée, me dépassant et je suis excitée.
Je passe la journée à subir jusqu’à vingt sodomies et doubles pénétrations, tantôt avec mon bâillon anneau O ou un bâillon pénis doté d’un pénis de cinq par trois. Mon anus et ma chatte dégoulinent de spermes. Je suis douchée, j’ai droit à mon lavement anal et à des fessées quotidiennes, non pas fouettée comme les autres soumises.

14 juin
Je passe à une trentaine de sodomies et doubles pénétrations. Je prends beaucoup de plaisir, même seule avec le vibromasseur anal.

17 juin
A l’aube, j’émerge dans ma chambre, juste enchaînée à mon lit, par mon collier, cuisses écartées, l’anus dégoulinant de spermes. Désormais, mes mamelons et mon clitoris tendent constamment vingt-quatre heures sur vingt-quatre.
Mon gros clitoris est percé d’un anneau doré serti d’une pierre précieuse et je porte fréquemment un gros bijou d’anus, pour me rendre mes sodomies moins douloureuses, de treize par cinq pour 895g. Chaque mouvement de cette pomme de pin fait se mouvoir le bijou d’anus en moi, et frotte tout ou partie de ma chatte. J’aime avoir l’anus bien rempli.
Vers neuf heures, Anne Valérie me rejoint.
- Ça y est, tu as offert ton œillet à tous ses étalons en rut. Tu aimes ça, il paraît. Tu es une vraie soumise, docile, juste quelques fessées pour te corriger. Va te doucher et habille-toi, j’ai des amis à te présenter.
Je me douche, sans pudeur, devant Anne Valérie, me fait mon lavement anal, avant de remettre mon bijou d’anus.
Elle ouvre une valise avec ma nouvelle garde-robe, avec corsets et guêpières seins nus, jupe éventail, tee-shirt, dos nu en décolleté en V profond, mini-jupe couvrant à peine mes fesses, des robes et des ensembles au corsage transparent en dentelle, dos nu. Des mules et des sandales à hauts talons sont assortis.
L’homme cagoulé me retire mes carcans de cuir.
J’enfile juste un tee-shirt blanc, mes mamelons pointent dessous et on voit ma chatte velue, mon clitoris percé. Une paire de mules blanches complète ma tenue, avec une queue-de-cheval, fardée et parfumée. Je porte aussi une bague sertie d’un petit anneau à mon annulaire gauche.
Nous quittons la villa par un passage secret, avec ma valise.
Dans la limousine qui m’a amenée à la villa, nous allons dans une crique isolée, loin des regards.
Le vent remonte le long de mes cuisses nues jusqu’à ma chatte, cela m’excite davantage.
Je mets juste un paréo sur mes jambes nues et sur la plage, nous sommes seules.
- Déshabille-toi, tu dois désormais te baigner nue.
J’obéis. Je me baigne quelques instants et je reviens m’installer sur mon paréo, à côté de Anne Valérie, qui est nue.
- Ton gros clitoris percé te va à merveille. Je vais te bander les yeux, ne dis rien.
Je me retrouve aussitôt, la bouche remplie d’un gros mandrin, puis des mains pelotent mes seins, étirent mes mamelons tendus, d’autres caressent ma chatte trempée.
Je me retrouve l’anus libre rapidement.
Un des inconnus m’allonge sur le côté, mes jambes sont légèrement repliées, je suis enculée, dos à l’inconnu. La sodomie est lente, profonde, jusqu’aux testicules, mes seins, ma chatte, mon clitoris sont caressés sans répit, les mandrins se succèdent dans ma bouche. Je ne sais combien ils sont.
- C’est une soumise anale, quel œillet bien souple, me susurre celui qui m’encule.
Dès qu’il a éjaculé dans mon anus, un autre le remplace, je le nettoie. Les sodomies se succèdent, décuplant mes orgasmes anaux, par les caresses masturbatoires.
Quand Anne Valérie me remet le bandeau, nous sommes seules, seul du sperme dégouline de mon bijou d’anus. Anne Valérie tient une enveloppe avec des billets.
- Va te rincer, il y a une douche, à côté.
- Combien d’hommes m’ont enculée ?
- Désolé, tout est filmé et enregistré comme à la villa. Ils sont ravis de ton œillet de soumise.
Sous la douche, je repense aux sodomies que je venais de subir, me faisant jouir.
Nous rejoignons une petite maison non loin de la crique.
- Tu vas passer quelques jours là. Tu restes nue, prête à t’offrir au premier étalon en rut. Je t’ai bandé les yeux, car tu as interdiction de connaître ceux qui t’ont enculée et que tu as sucée, pour l’instant.
Dans la chambre, je découvre un superbe gode réaliste.
Il est doté d’un vrai gland nervuré, d’un gros gland, d'un prépuce qui glisse le long du gland lors de la pénétration. Il est veiné.
Je m’agenouille dessus, en m’enculant sous mon propre poids. Je jouis rapidement après quelques va-et-vient, sans me caresser.
Mes râles de plaisir provoquent la venue d’un des inconnus qui m’a prise à la crique.
- Prosterne-toi, les yeux baissés, pour qu’il satisfaire ton œillet de soumise.
J’obéis, l’anus libre du gode, encore ouvert. En appui sur ses jambes, il m’encule avec son mandrin de huit centimètres de diamètre, jusqu’aux testicules. Je me retiens de jouir.
Sans débander, il se penche latéralement pour me faire jouir enjambe mes fesses, me masse les seins aux mamelons constamment tendus par une nouvelle application de nouvelles gouttes ainsi que sur mon clitoris percé. Il me donne quelques claques magistrales sur mes fesses.
Il éjacule en moi et je dois le sucer, les yeux baissés et tout avaler sans perdre une goutte.

22 juin
Après une ultime orgie anale dans la crique, le matin, peu après un déjeuner rapide, Anne Valérie me conduit, vêtue d’un boléro fermé au cou. Il suffit d'enlever le boléro pour que le torse soit nu, et sans même enlever le boléro, de l'ouvrir, si l'on désire voir les seins et une minijupe couvrant à peine mes fesses nues, mes mules à hauts talons et je suis fardée et parfumée. Je suis coiffée d’une queue-de-cheval.
Je découvre une vaste plage où des couples sont nus.
Nue, je suis présentée aux couples, en échange de caresses de mon corps, de doigté anal pour vérifier ma souplesse anale, de baisers langoureux.
Certains étalons musclés m’enculent, sur une serviette, dans toutes les positions, devant les autres couples, leurs femmes et leurs amies me lèchent ma chatte et pelotent mes seins, étirent mes mamelons.
En une matinée, une vingtaine de couples m’ont satisfait, je suis nourrie de leurs spermes et de la mouille de leurs femmes.
Au bar, je suis sauvagement enculée par des étalons célibataires, penchée en avant, cuisses écartées, telle une soumise, fessée magistralement.
- Quel œillet, elle aime ça, se faire défoncer, me susurre l’un d’eux, en masturbant mon gros clitoris tendu.
Je les suce.
L’après-midi, je gagne la régate de planches à voile nudiste.
Je suis offerte en orgie anale, avec cinq couples et presque autant de célibataires.
Pantelante, j’ai droit à un bon repos, en bronzant nue, sur mon paréo, cuisses écartées, offrant une vue sur mon bijou d’anus.
Peu avant le coucher du soleil, je suis à nouveau offerte à d’autres clients différents.
Je me restaure en compagnie des couples, me laissant caresser et embrasser et même, enculée, assise entre les cuisses de certains.
Je prends un bain de minuit, excitant. Je suis offerte à quatre pattes.
J’ai trois amants à ma disposition, un dans ma bouche, un pour m’enculer et un pour me baiser simultanément. Bien sûr, mes râles dans le bruit des vagues, excitent d’autres clients et je subis jusqu’à trois double pénétrations intenses et jouissives.
Je rejoins ma chambre, sans porte comme dans l’ensemble du complexe hôtelier. Ainsi les clients peuvent venir quand ils le désirent.
Anne Valérie a payé mon séjour dans l’autre hôtel.
Je les attends nue, après une longue douche masturbatoire. J’ai remis mon bijou d’anus après mon lavement.
En quelques instants, trois étalons et une femme me rejoignent. Je suis offerte en double pénétration, enculée sur celui qui est sur le dos. Un quatrième étalon nous rejoint et me baise profondément, mon clitoris est léché par la femme, qui me pelote les seins. Je suis bien inondée par chacun.
A peine qu’ils ont quitté ma chambre, qu’une autre femme me prend avec un double vibromasseur réaliste dans diverses positions, décuplant mes orgasmes.
- Tu es une sacrée pute anale, pour jouir doublement pénétrée, me complimente la femme.
Peu avant l’aube, je passe la nuit avec un couple, le mari l’encule et sa femme me baise simultanément avec un gros gode réaliste dans ma chatte resserrée.

23 juin
J’émerge en sueur, nue, dans mon lit. Je me douche, me rafraîchis en buvant de l’eau.
Mon excitation sexuelle est à son comble, quand six étalons Africains noirs me font jouir en m’enculant à tour de rôle, jusqu’aux testicules, me fessant, tandis que je les suce et j’avale tout.
Vers huit heures, j’émerge, d’un court sommeil, sors de ma chambre, prends le soleil, me baigne et je reprends mes ébats sexuels, entre deux régates de planches à voile.
Je passe quelques jours au complexe hôtelier, collectionnant de nouveaux amants et maîtresses, en échange d’argent pour payer mon séjour de soumise.

30 juin
Vers sept heures, me remettant de plusieurs doubles pénétrations jouissives, nue, je reçois la visite de Anne Valérie :
- Alors, la belle soumise, tu te plais et les clients sont satisfaits de tes services de soumise docile. Vas te doucher, te faire belle.
J’obéis. Je me douche rapidement, me farde et me parfume.
Je remets mon boléro, ma jupe et mes mules, je garde mes cheveux libres.
Anne Valérie me conduit dans un nouveau lieu.
Nous allons à un haras. Je découvre une saillie d’une jument par un étalon. Cela m’excite.
Surtout, l’éleveur qui me suggère de tester Alizé des Haies, un magnifique alezan.
- Tu ne devrais avoir aucun mal à jouir avec un tel sexe dans ta chatte trempée, sous mes doigts.
- Je suis tentée, dis-je, au bord de l’orgasme, mon clitoris masturbé et ma chatte doigtée par un expert.
- Tu vas me sucer tandis qu’il te baise avec son sexe.
Devant l’écurie d’Alizé des Haies, je me penche en avant, nue, les cuisses écartées. Il introduit sa main dans ma chatte écartelée.
Je mouille très fort à l'idée de ce qui m'attend.
Je suce le sexe d’Alizé des Haies, en prenant le gland monstrueux. Celui-ci, sous les caresses labiales, entre en érection jusqu’à l’éjaculation en bouche.
Reprenant son souffle, j’enfonce son sexe dans ma chatte trempée, en m’empalant dessus, jusqu’à l’orgasme, la chatte bien remplie. Je coulisse dessus et il éjacule à nouveau me provoquant un nouvel orgasme foudroyant.
L’éleveur éjacule aussi dans ma bouche, mais en profite, lors de mon retrait, pour m’enculer, à quatre pattes dans le foin, en bandant à fond et enfonçant sa main dans ma chatte entrouverte et dégoulinant de spermes équins. Je connais un violent orgasme anal.
- Quel potentiel, c’est une future pute équine. Trois saillies de la chatte par jour, devraient lui convenir. J’ai aussi Zéphyr des Vallées, un superbe étalon, un selle Français, pour la faire jouir.
Un palefrenier me prend aux épaules et aux jarrets, me soulève et m’empale la chatte sur le sexe de Zéphyr, en érection, dans son box.
Des bracelets de cuir me sont mis, pour que j’entoure le cou de Zéphyr avec mes bras et pour mes chevilles, les jambes tendues, reliées par une chaîne. Ainsi je suis constamment empalée sur le sexe.
Je suis conduite au manège, subissant les va-et-vient du sexe de Zéphyr par un balancement. Je ne compte plus mes orgasmes, ni les éjaculations reçues en une demi-heure.
Le palefrenier me fait aussi sucer son gros mandrin et m’encule, sans me retirer du sexe de Zéphyr. J’explose dans un long et violent orgasme.
La promenade reprend.
Puis on me fait changer de position, toujours empalée sur le sexe de Zéphyr, mais je suis dos contre le ventre de Zéphyr, les jambes relevées et écartées, pour une saillie plus profonde.
Zéphyr connaît son affaire et me fait encore jouir, me remplissant à nouveau ma chatte écartelée, lors d’un nouveau tour de manège.
Pantelante, la chatte dégoulinante de spermes équins, de retour au box, je suis rincée à l’eau froide. Je suis sauvagement enculée par les autres membres du haras.
Je suis à nouveau offerte à Alizé, baisée sous lui, jusqu’à l’éjaculation.
Je suis autorisée à monter Alizé, sur une selle spéciale, nue, en cuissardes, avec mes carcans de cuir, ainsi que mon collier de cuir.
La selle se dresse deux godes équins réalistes moulés sur l’avant du sexe en érection avec le gland, pour combler ma chatte et mon anus simultanément. Je gémis un peu lors de ma sodomie équine sur le gode.
La douleur est balancée par le plaisir de ma chatte en feu.
Après une heure de promenade, dans le parc voisin, avec un des adjoints du haras, un bel étalon bien monté. Je suis pantelante par mes orgasmes.
Il m’aide à me retirer des godes de huit centimètres de diamètre.
L’anus encore ouvert, je suis sauvagement enculée, tout en suçant Alizé.
Pour le retour, il me sangle sous Alizé, dos contre le ventre d’Alizé, pour ma première vraie saillie anale équine. Je gémis, mais après plusieurs va-et-vient, je jouis, largement inondée.
Je suis rincée à l’eau froide, avec un bon lavement anal.
Les hommes présents me conduisent dans un box proche de celui d’Alizé, me menottent à un chevalet. Je suis solidement immobilisée dans cette posture dégradante, le postérieur plus haut que la tête. Mes bras sont fixés le long des pieds avants, mes jambes le long des pieds arrières, et une large sangle m'est passée au niveau de la taille. Mes cuisses, légèrement fléchies sont empêchées de se resserrer par la largeur de la poutre, ainsi d'ailleurs mes fesses que je me peux refermer. Toute mon intimité est ainsi très accessible et on peut me faire tout subir.
Là, je suis enculée, fessée et offerte à toute heure de la nuit, aux sexes équins des étalons, de retour de leurs entraînements. On préfère me faire d’abord baiser puis de temps à autre m’enculer par leurs sexes, tout en suçant les hommes qui l’accompagnent.

2 juillet
A l’aube, je suis enculée par Alizé, pour deux orgasmes anaux consécutifs, tellement mon anus est devenu sensible.
Je suis conduite au manège, après le petit déjeuner copieux, suce Alizé et je m’empale sur les deux godes équins, sans difficulté. Mon anus est bien assoupli par les saillies anales équines.
Ma chatte est intégralement épilée, tous les jours, depuis mon arrivée au haras, je garde mon triangle pubien. Je porte aussi des bijoux d’anus de huit centimètre de diamètre, pour que je sois constamment remplie.
Je suce les invités, qui assistent à mes saillies filmées.
Je suis offerte en double pénétration, la chatte remplie par un sexe équin et un des invités qui m’encule sous moi.

5 juillet
Menottée à mon chevalet, au lever du soleil, je reçois la visite de l’éleveur avec un ami.
Son ami, du double de mon âge, observe mon anus assoupli encore un peu ouvert par la saillie anale de la nuit, dégoulinant de spermes frais.
Elle se fait saillir fréquemment par tes étalons. Adam ne devrait aucun problème pour l’enculer.
En un instant Adam m’encule jusqu’au nœud, d’une seule traite. Il me pistonne avec force, sourd à mes cris de douleur, il me viole pendant deux minutes et d'un coup se figea pour me remplir de ses jets de foutre, je le sens se vider à l'intérieur et c’est pour moi une extase totale, et son ami me caresse ma chatte humide me font partir aussitôt.
Le sang bat dans ma tête, mon anus me brûle tellement, Adam m’a défoncé avec toute sa fougue, soudé à moi.
- C’est une vraie chienne soumise, cette beauté. Trois quart d’heure de saillie, elle aime ça.
Je suce Adam, pour le récompenser.
Apollo le doberman prend le relais, pour m’enculer et enfin, un dogue allemand, Lancelot, le plus gros sexe canin m’encule.
Libre, je dois me faire saillir en double pénétration canine, baisée par Adam et enculée par Apollo, je perds connaissance sous mes orgasmes violents et ma chatte et mon anus dégoulinent de leurs spermes chauds, que je nettoie.
Son ami m’encule aussi, tandis que je me fais baiser par Apollo. Je perds aussi connaissance, par la montée du plaisir.
Je suis douchée à l’eau froide. Je me repose, menottée au chevalet.
Les trois chiens restent au haras, pour me satisfaire, me baisant et m’enculant et en double pénétration canine.
L’éleveur monte les enchères pour les photos et vidéos de moi, la nouvelle soumise chienne et soumise équine.
Je suis marquée au fer rouge, menottée à mon chevalet, sur ma fesse gauche, le sceau du haras et sur l’autre fesse, un fouet et une cravache entrecroisés, hautes de trois doigts et larges de moitié leur hauteur, sont creusées dans la chair comme par une gouge, à près d'un centimètre de profondeur.
 On tatoue mes reins en lettre gothique « Soumise Chienne Equine Vicieuse ».

13 juillet
On me dévoile officiellement mon tatouage.
Le même jour, le Prince Omar et sa suite débarquent d’un jet privé pour acheter des étalons reproducteurs pour son haras oriental.
Je suis longuement baignée dans une grande salle de bains, entièrement recouverte de glaces et de miroirs sur les murs et au plafond, accroupie, cuisses écartées, les yeux baissés, avec mes carcans de cuir, pour me retirer l’odeur des chevaux et des chiens. Je suis fardée et parfumée, puis vêtue comme une orientale : je revêts une longue jupe transparente, dénudant entièrement mon pubis, et un soutien-gorge demi-seins, brodé de fils d'or et de paillettes. Sur ses cheveux, je porte un tchador doré opaque qui laissait juste apparaître son visage et quelques mèches. Tout cet habillement ne cachait absolument rien en fait car à travers ma jupe transparente, on voit clairement mon pubis brun se dessiner et d'autre part, les mailles de la brassière en or font apparaître les auréoles roses des seins aux mamelons constamment tendus rougis. Mes seins sont magnifiquement mis en valeur et offerts, qui laissent la moitié supérieure du sein nu en le soutenant et en lui donnant du volume.
Je reste pieds nus et je rejoins un grand salon, où le Prince Omar, du triple de mon âge, d’autres membres du « gouvernement » m’accueillent. Je pratique la danse du ventre, que m’a initié deux femmes du harem.
Tous les regards se fixent sur mes seins, mes fesses, mon pubis velu.
Je me retrouve rapidement nue, suçant, l’anus et la chatte fouillés par les hommes, de gros mandrins m’enculent sauvagement dans diverses positions.
Pantelante, la bouche remplie de spermes, ainsi que mes fesses, je suis enfin offerte au Prince Omar.

15 juillet
Le soleil chauffe mon dos nu. Je suis nue, menottée avec mes carcans de cuir, allongée sur mon matelas, posé à même le sol, sur le dos, les mains menottées dans le dos, cuisses maintenues écartées par une barre d’écartement et une chaîne fixée à mon collier.
Une pièce circulaire est fermée par une porte unique qui constitue son seul passage. Des étroites ouvertures sont fermées par des persiennes fixées aux montants. Au milieu de la pièce, un bassin de 25 mètres sur dix est rempli d'eau. Les autres femmes du harem sont là m’adressant des mots en Arabe que je ne comprends pas. Elles sont de mon âge et quelques-unes sont plus âgées.
Je suis détachée de la chaîne de mon collier et de la barre d’écartement par trois d’entre elles. Je suis lavée, avec même un poignet enduit de lotion pour me nettoyer la chatte et l’anus à deux doigts. Je dois stopper tout orgasme lors du bain. A la fin, elle sortit de la piscine et ses 'collègues' la firent allonger sur le ventre pour lui appliquer de la pommade sur les fesses zébrées et cravachées, ainsi que mes cuisses. Ensuite, des mains me pratiquent un massage sur le dos, achevant de m'assoupir.
Mais mon repos est de courte durée, j’apprends l’arabe et je deviens Opale du Désir. Je suis godée fréquemment dans la chatte et enculée, par les femmes du harem, avant chaque rendez-vous avec le Prince Omar.
Je me soulage nue dans les toilettes à la turque.
Le bassin central fait à peine un mètre de profondeur. Dans ce bassin, j’y fais tout ma toilette. Je reste nue, pieds nus, quelquefois en paréo transparent qui ne cache absolument rien de mon corps.
Bien sûr, le Prince me fait saillir par ses meilleurs étalons équins et ses chiens de garde, telle une soumise. Je suis autorisée à avoir mes orgasmes qu’avec des chevaux et des chiens.
De temps à autre, je suis autorisée à passer la nuit avec le Prince.
Prosternée, les mains jointes à mon cou, je suis enculée par ses soins et par d’autres riches invités, avec interdiction de jouir, sous peine de la cravache, de la garcette (de cordes assez fines, faite de sept lanières terminées chacune par plusieurs nœuds, et qui sont toutes raides, trempées dans l'eau, je le constate sur l’intérieur de mes cuisses) et la chicotte (C'est un engin fait en deux parties, d'une part un manche en bois verni et de l'autre une tresse en cuir noir, reliés ensemble par une boucle qui forme charnière, de telle sorte que, quand on l'utilise avec habilité, le coup de poignet sur le manche donnait encore plus de vitesse à la tresse en cuir). Je garde les yeux baissés à toute occasion.
Hors chaque fois que je suis fouettée, je mouille abondamment sous l’excitation, faisant tendre au maximum mes mamelons et mon clitoris, ce qui plait au Prince et à ses invités.
Après trente coups de fouet, malgré la fatigue, je suis à nouveau enculée ou prise en double pénétration selon les envies de celui qui m’a fouettée.
Mon anus se lubrifie davantage aussi sous les claques magistrales.

Avant chaque saillie anale canine, je dois porter pendant deux heures, un vibromasseur anal moulé sur le sexe d’un doberman, maintenu par des chaînes comme à la villa et aussi un vibromasseur anal moulé sur le devant d’un sexe d’un étalon, pour les saillies anales équines, au harem.

Tous les mois, je suis livrée au gynécologue du harem, avec des spéculums et écarteur anal, en compagnie des autres soumises, avant une longue sodomie sans orgasme, juste une longue éjaculation dans ma bouche. Je suis menottée au fauteuil gynécologique.
En moyenne, une vingtaine d’invités m’enculent, me fouettent, une dizaine de saillies anales canines et équines par jour comblent mon plaisir. Mes marques sur mes fesses, mes cuisses, mon dos, mes reins et mes seins s’entrecroisent.
Je porte aussi des fers qui percent mes grandes lèves humides, lisses. Ce sont des anneaux de fer mat inoxydable, comme le fer de la bague doublée d'or. La tige en était ronde, épaisse comme un gros crayon de couleur, et ils sont oblongs : les maillons des grosses chaînes sont semblables. Chacun est formé de deux U qui s'emboîtent l'un dans l'autre. Un ressort intérieur sur lequel on doit forcer pour le faire pénétrer dans la rainure où il se bloque. Chaque anneau est long comme deux phalanges du petit doigt, qu'on y peut glisser. A chacun est suspendu, comme un nouveau maillon, ou comme au support d'une boucle d'oreille un anneau qui doit être dans le même plan que l'oreille et la prolonger, un disque de même métal aussi large que l'anneau est long. Je suis la propriété du Prince Omar et de Anne Valérie, les fers me descendent jusqu'au tiers de la cuisse, et à chacun de ses pas bougent entre mes jambes comme un battant de cloche, le disque gravé étant plus lourd et plus long que l'anneau auquel il pend.

En un an, chez le Prince Omar, j’ai un vocabulaire arabe maîtrisé et je suis officiellement nommée à la villa, pour dresser de jeunes vierges. Le Prince Omar ne m’a jamais baisée, car il tient à ce que ce soit mon Maître à Fuerteventura qui me fasse jouir de la chatte.

12 juin, un an plus tard,
Je retrouve le pavillon 69 de la villa.
Je découvre Prisca, récemment déflorée de l’anus, quelques jours auparavant par les mêmes étalons qui m’ont dressée.
Elle porte des carcans de cuir, comme moi.
Sa chatte est elle aussi épilée. Nous sommes nues devant Anne Valérie.
- Regarde, Prisca, comment ta chérie Shawn est devenue une vraie soumise docile bisexuelle, chienne et pute chevaline. Elle aime ça.
- Oui, Maîtresse, dis-je, les yeux baissés.
- Shawn, tu sais ce que tu dois faire à ton amie Prisca, une ancienne lesbienne. Enfile ce double gode ceinture, sept centimètres de diamètre devrait la combler et toi, tu as un vibromasseur anal doberman, pour te faire jouir.
J’enfile le gode ceinture. Prisca a la chatte en feu.
Dès que je suis empalée sur le vibromasseur anal, j’ondule mon bassin pour faire jouir Prisca, allongée sur le dos.
- Non, pas le gode dans mon œillet, s’il te plait, ma chérie, dit Prisca.
- Je le dois. Tu as du être enculée souvent depuis ton arrivée ici.
- Arrête, défonce-moi ma chatte, dit Prisca.
- Silence, Prisca, Shawn connaît son travail, annonce Anne Valérie.
Puis à quatre pattes, je continue le double gode. Prisca jouit enfin.
Libérée du gode ceinture, Prisca doit me faire jouir à son tour.
- A ton tour Prisca, de faire jouir ta chérie Shawn, après un an d’absence, dit Anne Valérie.
J’explose, allongée sur le dos et à quatre pattes, tandis que Prisca, gémit, enculée par le vibromasseur anal canin.
Puis lors d’une orgie anale, où je suis offerte à une quinzaine d’étalons bien montés, Prisca subit sa première double pénétration.
Nos corps sont couverts de spermes chauds, sur nos seins, dans nos bouches, sur nos pubis et nos anus dégoulinent.
Le soir, le Maître de la villa passe de longues heures à me baiser dans toutes les positions, pour retarder mon orgasme, tout en visionnant mes ébats avec Prisca.
- Alors, ma belle Shawn, tu es devenue une sacrée Maîtresse, le Prince Omar t’a bien éduquée. Tu vas pouvoir assurer ma descendance.
Prisca est aussi baisée par le Maître de la villa.
Chaque soir, jusqu’aux premières rondeurs de nos ventres, nous sommes constamment baisées, après nos orgies anales.
Malgré nos grossesses, nous sommes constamment enculées par les invités et le Maître de la villa.

Nos règles disparaissent ; nos ventres augmentent petit à petit de volume après quelques semaines, quelques mois. Juliette était tombée enceinte selon les désirs de son maître. Nos jambes et nos hanches gardent leur finesse première. Nos ventres et nos seins augmentent de volume. Nous gardons un corps ferme et désirable.
Je donne naissance à des jumeaux, un garçon et une fille et Prisca donne naissance à un garçon.
Je suis offerte à plusieurs étalons de ma famille, pour l’inceste, peu après ma grossesse.
Prisca devient officiellement ma soumise à plein temps. Elle est aussi marquée au fer rouge et ferrée comme moi, son gros clitoris est percé.

Retrouvez-nous à Fuerteventura, vous trouverez la villa en demandant Miss Shawn et soumise Prisca, nos œillets vous sont ouverts à vos gros sexes.

A bientôt, votre Shawn adorée.

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