lundi 11 mai 2020

TRIO PERVERS


Je m’appelle Shawn.
J’ai 25 ans.
Je suis une jolie beauté scandinave.
Je suis une brune aux yeux verts. J’ai des pieds fins et latins, des jambes longues bronzées, musclées qui inquiètent par leur perfection. Mon pénil est bombé, ouvert, couronné de noir. Ma pilosité brune couvre mon pubis. Je suis totalement velue entre les cuisses et j’ai une superbe croupe. Les lèvres de mon sexe sont une plaie rouge entre mon entrecuisse velue. Mes hanches s'incurvent et délimitent le ventre plat, délicieusement renflé autour du nombril, les hanches sont larges et rondes, mais sans lourdeur. La taille est affinée. Les seins parfaits intégralement bronzés sont un peu volumineux mais fermes, et leurs pointes marron clair, toujours dressées, cernées par une large aréole marron attirent le regard. J’ai une peau lisse et patine. Finition parfaite, un seul grain de beauté entre mes superbes seins. De longs cheveux plats blonds flottant comme des algues, battent mes épaules rondes et gracieusement athlétiques. Je suis intégralement bronzée. Mes yeux verts limpides s'allument, ma bouche charnue se fend. J’ai des sourcils bruns bien dessinés et des lèvres pulpeuses. J’ai de longs doigts fins et de belles mains. Je fais du 85B de poitrine, 56 de taille, 90 de hanches, 1,72 m.

TRIO PERVERS

12 juin

Je suis l’épouse depuis cinq ans d’un directeur adjoint dans le milieu du luxe. Il m’a défloré peu après mon mariage.
Je suis aussi une experte lesbienne avec mon amie Cyrielle, une jolie brune aux yeux bleus, athlétique qui me ressemble avec ses petits seins, son pubis et sa chatte velue. Nous faisons régulièrement des journées lesbiennes, dans des 69 torrides, nous faisons jouir avec des godes réalistes, des godes ceintures et des caresses torrides sur nos corps musclés.
Je vis dans un luxueux appartement au dernier étage d’un immeuble très sélect.
Je suis intriguée par les voyages de mon chéri Alexandre, du double de mon âge. A-t-il des maîtresses plus vicieuses que moi ? Suis-je plus désirable à ses yeux ?
Après ma sortie des achats de la semaine, je suis vêtue de mon tailleur avec ma jupe droite, fuchsia, sur mon ensemble assorti en dentelle blanche, soutien-gorge, string et porte-jarretelles et bas, en escarpins blancs de douze centimètres, les cheveux libres. Pourquoi je porte des bas en été, c’est mon côté séduction.
Grâce à Alexandre, je suis devenue cette femme moderne au corps provocant, aux yeux, au sourire qui se sont éclairés. Mes seins tendent en permanence leurs mamelons au ciel. Mon ventre arrondi s’est tendu par la rigueur des coups à me baiser, le cambrant. Mon porte-jarretelles rend mes fesses, mon ventre, ma toison sont accessibles à tous et à tout. Mes bas tendus à mon porte-jarretelles, qui s’accroche sur mes reins. Mes fesses, mon ventre sont tirés vers le bas, dès lors que la tension est établie. Mes seins aux mamelons durs sont enfermés dans ce soutien-gorge. Cachée derrière cet uniforme de jeune fille de bonne famille, je suis maintenant prête à tout, ayant reçu . les hommages des téméraires et hommes de goût qui ne s’en laissent pas compter par mon apparence et qui me troussent n’importe où, excités par mes dessous, leurs sens sont plus exacerbés et ils me donnent ainsi le meilleur d’eux-mêmes.
Alexandre aime ma chatte et ma toison velus, qu’il explore à chaque retour de ses voyages et chaque fois qu’il me baise avec vigueur, vers mes orgasmes.
Je rejoins ma chambre, pour me relaxer.
Nue, pieds nus, je me regarde dans mon psyché, caressant mes seins aux mamelons tendus par l’excitation, caresse mon clitoris sans me faire jouir, doigte ma chatte. Désolé, messieurs, mais mon œillet n’est pas ouvert à vos mandrins. Je ne suis pas encore prête, malgré les désirs d’Alexandre, lors de lectures de romans et de films où des héroïnes s’offrent à ce plaisir.
Je me douche, laissant la porte ouverte de ma salle de bains, en attendant le retour d’Alexandre.
Après ma douche masturbatoire, pensant au mandrin de vingt-cinq par sept d’Alexandre, dans ma chatte humide, je revêts un kimono court et mes mules à plumes à talons de dix centimètres à mes pieds nus. Je me coiffe d’une queue-de-cheval, fardée et maquillée.
Vers vingt heures, Alexandre entre en compagnie de Dan et Brice. Dan est le directeur des achats chez Alexandre, il m’offre un bouquet de roses rouges, un peu plus âgé qu’Alexandre, mais, brun, musclé et sexy. Brice est steward pour la société de jets privés que loue Alexandre pour ses voyages. Brice est du même âge qu’Alexandre, mais plus séduisant.
Tous les trois m’embrassent sur la bouche, comme si j’étais leur compagne. Leurs mains s’attardent entre mes cuisses, dénichant mon clitoris.
- Messieurs, je me prépare et nous allons au restaurant à deux rues de là.
- Je pensais que tu avais préparé quelque chose pour ce soir.
- Je fais honneur à ces messieurs.
J’enfile une robe au décolleté en V, fendue discrètement sur mes fesses, blanche, mettant en évidence mon string, m’arrivant à mi-mollets, dos nu et mes sandales à hauts talons.
- Alexandre, tu m’avais pas dit que Shawn est la femme parfaite, dit Dan.
- Non, encore mieux, c’est la reine de la soirée, réplique Brice.
Nous allons à pied jusqu’au restaurant que j’ai discrètement réservée. Je mets les roses dans un vase.
Tantôt Alexandre, Brice et Dan me prennent la main pour m’embrasser sur la bouche ou me caresser discrètement mes seins sous mon décolleté ou entre mes cuisses.
Au restaurant, ils font les chevaliers servants et galants.
Alexandre s’assoit à mes côtés et Brice et Dan en face. Ils ne cessent de me toiser. Suis-je assez en beauté, la chaleur envahit mon ventre, mes mamelons se tendent sous mon décolleté ?
Au plat de résistance, je glisse discrètement mon string et le pose au milieu de la table. Je regarde les réactions.
C’est Dan qui le prend. Il me plait, je m’assois cul nu, la jupe bien ouverte.
Quand je vais aux toilettes, je prend soin d’exhiber mes fesses nues à mon trio.
- Quelles fesses musclées, elle est encore plus excitante, dit Brice.
- Elle a une odeur de vicieuse, prête à tous nos désirs, messieurs, réplique Dan.
Aux toilettes, je me fais jouir, trop excitée, en me masturbant le clitoris et en doigtant ma chatte qui dégouline.
De retour, je prends mon dessert et j’invite :
- Messieurs, nous prendrons les cafés chez moi.
- Chérie, tu vois qu’ils doivent rentrer chez eux.
- Il n’est que vingt-deux heures, ces messieurs ont besoin de me prendre sur le champ dans ma chambre ou au salon. Je suis toute chaude.
Sur le chemin du retour, les mains se glissent plus fréquemment dans la fente de ma robe, avec divers compliments.
Au salon, je retire ma robe et me promène nue, pieds nus, baisse leurs pantalons. Dan bande à fond avec son mandrin de trente par huit, me comble, pour ma chatte et Brice m’offre un mandrin de trente-cinq par huit.
Je les suce accroupie, même Alexandre.
Le signal est donné, c’est Dan qui me baise en premier.
Allongée sur le dos, sur le tapis, je le reçois agenouillé, mes mollets sur ses épaules musclés, ses superbes abdominaux, son pubis, ses testicules et ses cuisses velus m’excitent. Il me caresse mes cuisses, mes mollets et mes chevilles, tout en me baisant légèrement ou profondément. Je l’implore :
- Défonce-moi, Dan, je suis ta jouisseuse. Tu me fais jouir.
- Tu aimes ça, que je te défonce ta chatte trempée avec ma grosse queue.
- Brice, donne-moi ta grosse queue dans ma bouche.
Alexandre se masturbe devant le spectacle offert.
Brice s’allonge sur le tapis, en érection. Je m’empale sur son gros mandrin, la chatte encore écartelée par le mandrin de Dan. Je replie mes jambes, genoux vers mon buste, mes pieds agacent les genoux de Brice.
- Tu es une sacrée jouisseuse. Ton écrin aime ma grosse queue.
- Soulève-toi, empale-moi sur ta grosse queue, je suis une vicieuse.
Ma chatte lubrifiée par la courte éjaculation de Dan, est inondée par les jets de sperme chaud de Brice.
- Tu as déjà joui de l’œillet, ma vicieuse, me susurre Dan.
Je n’ose répondre.
Je me relève, mais aussitôt Dan me met à quatre pattes, m’offrant bras tendus, les fesses bien rebondies à son gros mandrin qui rebande, après que je l’ai sucé.
- Dan, baise-moi, j’ai la chatte en feu.
Dan m’écarte les fesses et frotte son gland contre ma chatte. Soudain, il me force mon anus vierge jusqu’aux testicules.
- Tu es fait ta coquine. Ton puits m’est ouvert, détends-toi, la vicieuse.
- Non, pas ça, ta queue dans… Je ne veux pas…
- Menteuse, Alexandre t’a déjà prise par ton œillet.
Il me saisit par la taille et me fait coulisser, mon anus vierge est écartelé par ses huit centimètres et me tient fermement par les hanches.
Il entre et sort de mon anus ouvert. Je gémis.
Brice prend le relais pour m’enculer aussi.
- Elle proteste, ta chérie, mais elle doit se goder le puits en ton absence.
- Brice, arrête, baise-moi plutôt.
- Attends, tu vas jouir.
Il éjacule dans mon anus et continue ses va-et-vient, tandis que je découvre qu’Alexandre encule Brice et que Dan encule Brice. Je ne peux me retirer, enculée profondément.
Il se retire et je dois le sucer.
- Tu vois, tu aimes ça que je te défonce ton puits de vicieuse.
Les trois hommes continuent leurs ébats homosexuels. Je me douche rapidement, souillée par leurs spermes dans mon anus.
Voyeuse, je me doigte la chatte et mon clitoris tendu, devant ce spectacle. Ce sont des homosexuels qui m’ont enculée. Je me vengerais, Alexandre, les mandrins de Brice et de Dan me font jouir, les yeux fermés.
Mais, Brice et Dan m’enculent à nouveau à quatre pattes, telle une pute anale. Ils éjaculent dans mon anus et dans ma bouche.
Brice et Dan se douchent ensemble, devant moi et m’embrassent langoureusement sur la bouche, avant de partir.
Alexandre m’encule pendant une partie de la nuit, malgré mes protestations. J’ai mal à l’anus.

13 juin
Vers dix heures, alors que je suis prête à partir, après le petit déjeuner tendu et ma douche, je suis empêchée par l’oriental Ahmed et son ami Africain, César.
Ils me déshabillent, de mon chemisier et de ma jupe, mes dessous dont mon porte-jarretelles, je dois les sucer en 69, tandis qu’ils me lèchent la chatte, le clitoris et me doigte longuement l’anus encore douloureux des ébats de la nuit avec Alexandre.
- Quel œillet, encore ouvert, elle s’est fait enculée cette nuit, dit Ahmed.
- Je n’aurais mal à l’enculer, cette pute, dit César.
Ils m’enculent dans ma chambre, tandis que je suce celui qui va m’enculer ou qui m’a enculée. D’abord à quatre pattes, puis prosternée.
- Tu es la chérie d’Alexandre, je travaille pour un riche client qui aime les putes, dit Ahmed.
- Moi, c’est le gros sexe dans ton œillet de pute, qui me plait, dit César, en m’écartant complètement les cuisses.
Je suis allongée sur le dos, les seins pelotés par Ahmed, que je suce. César me tient par les chevilles, mes jambes tendues, il me soulève les reins et m’encule avec son gros mandrin de quarante par huit, pour m’écarteler davantage.
Puis Ahmed m’encule, toujours allongée sur le dos, je lui enserre les reins avec mes jambes et je subis ses coups de queue dans mon anus écartelé par son mandrin de trente par six.
Enfin, je suis allongée sur le ventre, César et Ahmed se relaient pour m’enculer, l’anus bien ouvert. Ils m’enserrent par les hanches, pelotent mes seins et je suce l’autre partenaire. J’agite ma croupe pour qu’il inonde mon anus. Je connais un violent orgasme anal qui les font éjaculer dans mon anus.
Cela dure une éternité. Ils m’abandonnent, les fesses rougies et brûlantes par les claques magistrales pour me lubrifier l’anus. L’un d’eux m’enfonce un objet froid dans l’anus, de trois de diamètre pour huit de long, en acier de 80 grammes et m’annonce :
- Cela va te resserrer la chatte de pute, te détendre l’œillet, pour tu prennes goût à tes futures pilonnage de ton puits de pute. Mais tu vas apprendre à jouir avec. On verra ta pierre précieuse entre tes fesses. Tu le portes quelques heures par jour.
Je me refais une beauté, retrouve Cyrielle à une terrasse et je me confie.
- Tu as été violée, enculée de force, ma chérie. Alexandre t’a transformée en pute.
- Oui, je dois porter plainte, mais je ne peux pas, car c’est Alexandre.
- Viens chez moi, nous allons faire l’amour et tu vas te relaxer.
Les ébats torrides avec Cyrielle m’apaisent, elle me masse. Je retire discrètement mon bijou d’anus aux toilettes avant mes ébats.
- Ma chérie, tu es toute tendue, j’ai tout ce qui faut.
Je me retrouve à moitié endormie, les hanches douloureuses par nos ébats avec nos gode-ceinture de trente par cinq dans nos chattes humides.
Vers quinze heures, je découvre les cartes de visite de Dan, Brice, Ahmed et César mises dans mon sac à main à mon insu, dans ma chambre.
Une enveloppe anonyme se trouve sur la table. Je l’ouvre, ce sont mes sodomies avec les quatre hommes. Qui m’a photographiée à mon insu ?
- Chérie, c’est Alexandre, tu as aimé hier soir avec tes nouveaux amis.
- Mon chéri, je ne suis pas une pute. J’ai toujours détesté que l’on me défonce l’œillet.
- Tu aimes ça, reconnais-le, ma belle.
Il raccroche.
J’ai remis mon bijou d’anus.
Alexandre est parti pour deux jours.
Vers vingt heures, je dîne seule, nue, avec mon bijou d’anus, après ma douche masturbatoire. Mon esprit lutte contre les images de ma sodomie, celles que j’ai subie, avec un certain plaisir et le fait que je dois porter plainte contre Alexandre et ses amis.
On sonne.
J’ouvre, c’est Ahmed et César et leurs amis Youssef et Désiré.
- Tiens, ma belle, nos amis veulent t’enculer. Tu vas juste nous sucer.
Accroupie, cuisses écartées, je suce leurs gros mandrins, Youssef en a un de trente-deux par sept et Désiré, quarante par huit, comme César.
L’anus libre, je m’offre en 69 avec Youssef. Sans prendre garde, César m’encule dans cette position.
- Tu vois, son œillet est bien détendu. Elle va jouir rapidement.
Dès que j’ai mis Youssef en érection, celui-ci m’encule sur le champ, penchée en avant, jusqu’aux testicules, les seins pelotés et mon clitoris masturbé par le trio.
Youssef m’écarte bien les fesses, qu’il me chauffe avec quelques claques magistrales.
- Tu aimes ça, la pute, te faire défoncer l’œillet.
- Défonce-moi, remplis-moi le puits.
- Elle est en manque depuis ce matin, dit Ahmed.
Ahmed prend le relais et m’invite à poser les mains au sol. Son mandrin m’écartèle jusqu’aux testicules et je suce Youssef qui éjacule dans ma bouche.
- Tu es sacrément chaude de l’œillet, tu aimes ça. Tu es facile. Tu as envie de tous les hommes qui te désirent.
Sans débander, nous sommes agenouillés, mon dos contre son buste musclé.
Il pelote mes seins aux mamelons tendus, léchés par les autres et masse les lèvres de ma chatte humide. Mon bassin ondule violemment sur son mandrin.
Désiré enfonce son mandrin dans ma chatte resserrée par le mandrin d’Ahmed.
- Elle aime aussi les doubles, la belle. Elle dégouline.
Désiré m’embrasse langoureusement sur la bouche.
C’est alors que Désiré sans quitter ma chatte, m’allonge sur le tapis, il est allongé sur le dos. Mes cuisses sont écartées, je suis baisée jusqu’à la garde. César nous rejoint et m’encule aussitôt jusqu’aux testicules.
Je connais un double orgasme, ma bouche remplie du sperme de Youssef et Ahmed.
Pour m’achever, mes quatre étalons m’enculent à tour de rôle, après que je les ai sucé. Je reste allongée sur le côté avec chacun.
Nous sommes allongés sur le côté, jambes légèrement repliées, celui qui m’encule  dans mon dos et me défonce l’œillet avec vigueur. Ses mains pelotent mes seins, ma chatte et mon clitoris tendu. Il alterne des mouvements lents doux, ne provoquant qu’une excitation faible. Le mouvement du bassin guide l'acte de la pénétration, j’ajuste mon bassin pour être enculée profondément. La position est câline et sensuelle. Dès qu’il éjacule, je tends mon ventre pour le recevoir.
A la fin de la quatrième éjaculation, Désiré me remet mon bijou d’anus. Je n’ai jamais autant d’orgasmes anaux en une longue orgie.
Vers vingt-trois heures, ils s’éclipsent après une douche en ma compagnie.
Je referme la porte de mon appartement et m’endors nue, en repensant à ma folle soirée anale.
Je me fais jouir en jouant avec mon bijou d’anus, plus gros, de quinze par quatre et cent grammes. Je rêve de mes sodomies avec mes quatre étalons.

14 juin
Je passe la matinée à me goder avec mes godes réalistes cachés dans ma commode, tantôt dans ma chatte tantôt mon anus que je regarde s’ouvrir à chaque entrée du gode. Je maîtrise mes orgasmes anaux de plus en plus violents, en coulissant dessus mes godes.
Vers quatorze heures, Ahmed m’appelle :
- Ma chérie, tu vas mettre ton plus beau chemisier sur tes seins nus, une jupe éventail assorti, un porte-jarretelles et des bas assorti et des sandales à hauts talons, tu gardes tes cheveux libres. Tu te fais belle, j’arrive dans une demi-heure.
Je me douche. J’éprouve une étrange sensation, les seins nus sous mon chemisier blanc, la jupe éventail fuchsia, qui se retrousse d'un geste, mon porte-jarretelles et mes bas et mes sandales blanches assorties à hauts talons. Je me gode quelques instants l’anus avec mon bijou et je mouille abondamment et mon clitoris est bien tendu.
Je raffole d’être enculée comme une pute.
On sonne. C’est Ahmed.
- Tu es prête, ma chérie.
Je relève ma jupe, pour qu’il m’examine.
- Très bien, la chatte nue, tes seins nus sous ton chemisier déboutonné. Tu sens la chatte en feu.
Ahmed me fait monter la limousine conduite par César.
Nous allons dans un parking souterrain, non loin de l’entreprise d’Alexandre, à six étalons, à une demi-heure de chez moi.
Ahmed me remet les photos de mes sodomies avec mes quatre étalons de la veille.
- Tu es très belle quand tu es en plein orgasme. Tu fais davantage pute anale, chaque jour supplémentaire. Alexandre doit être heureux de combien tu lui rapportes.
Au parking souterrain, nous allons au second sous-sol.
Mes étalons m’attendent : Brice, Dan, Youssef et Désiré, se masturbent en me voyant arrivée.
- Allez, ma belle, m’ordonne Brice, relève ta jupe, que Désiré te défonce en premier ton œillet de pute.
Désiré me retire le bijou d’anus et m’encule jusqu’aux testicules, penchée en avant, cuisses écartées, tandis que Brice me fait sucer son mandrin. Brice me retire mon chemisier pour me peloter les seins et Youssef me branle mon clitoris tendu.
Désiré se retire peu avant mon orgasme anal, Youssef prend le relais, puis Brice, Dan, Ahmed et César m’achève. Mes seins sont chauds, mes mamelons sont tendus à l’extrême tout comme mon gros clitoris, par ses sodomies successives.
Accroupie, juste en porte-jarretelles, en bas, je les avale à tout de rôle, un peu de sperme coule sur mes seins.
A peine qu’ils rebandent, que je dois subir des doubles pénétrations intenses, car je suis leur pute.
Brice, Dan et César m’enculent, par derrière, en me soutenant, tandis que Youssef, Désiré et Youssef me défoncent la chatte simultanément. Je l’entoure de mes jambes, doublement pénétrée.
Puis ils alternent et m’achèvent, en éjaculant dans ma bouche. J’avale tout.
Pantelante, je me rhabille et Ahmed et César me ramènent. Il est dix-huit heures, heure de sortie des bureaux. Nous passons par une autre sortie.
De retour chez moi, j’ai gardé mon bijou d’anus.
Ahmed et César me veulent encore après ma douche.
Nue, je me fais baiser par Ahmed, couché sur le dos, et César m’encule simultanément. Je connais un violent double orgasme.
Puis je m’encule sur Ahmed, se trouve sur le dos et je suis de dos, toujours avec les jambes ouvertes je reçois César dans ma chatte et je connais le même double plaisir, doublement inondée, telle une pute.
- Tu as été parfaite, pute Shawn ou dois-je t’appeler chérie anale, me complimente César, tandis que je le nettoie.
- Non, ce sera peut-être la maîtresse de l’un de nous six, réplique Ahmed.
- Je vais y réfléchir. Je dois me venger d’Alexandre, qui m’a traitée comme une chienne. C’est un vrai homosexuel refoulé.
Vers dix-neuf heures, je contacte Cyrielle qui m’indique le numéro de téléphone de Prisca, une spécialiste des homosexuels.
Je passe la soirée, nue, avec mon bijou d’anus après ma douche masturbatoire et un bon lavement anal avec une poire de lavement.
Vers vingt-deux heures, Alexandre entre avec deux amis.
Sans ménagement, au salon, à quatre pattes sur le tapis, je suis longuement enculée par Alexandre, qui me contraint de sucer un de ses amis, qui est lui-même enculé sur l’autre.
- Tu es une sacrée pute anale, ma chérie. Tu m’as rapportée très gros, ma pute.
- Tu m’as humiliée. Quitte l’appartement.
Sans prêter attention, Prisca débarque, en guêpière seins nus, mettant en valeur ses seins plantureux et son mandrin de quarante par huit en érection nu et libre. Les deux homosexuels sont tellement excités et celui que je suce, bande et éjacule.
Prisca encule Alexandre sans demander son reste, ce qui provoque une éjaculation lors de mon orgasme anal.
- Tu as un beau petit cul de lopette, Alexandre. Comme ça, tu traites ta chérie comme une pute anale et tu te fais de l’argent sur son dos. Tu es une honte.
Prisca éjacule dans l’anus d’Alexandre.
- Allez mes lopettes, venez me nettoyer ma queue. Shawn, va dans ta chambre, te doucher, j’arrive.
La porte entrouverte, les trois homosexuels se font punir, avec des parachutes à testicules, des pinces aux testicules et des grosses boules anales. Ils repartent, rhabillés, escortés par Prisca.
Prisca me rejoint.
- Tu es très belle, Shawn. Ton mari sera dressé comme il se doit, comme ses amis. Je déteste qu’une femme soit traitée comme tel.
Après un 69 torride, Prisca m’encule à quatre pattes, sur le lit, puis sur le dos et enfin, empalée de face sur son gros mandrin jusqu’à l’éjaculation.
Je passe trois jours en compagnie de Prisca et de Cyrielle, chez moi, nous faisons l’amour. Prisca aime m’enculer, me fesser et me faire jouir avec sa langue et ses doigts dans mon anus.

17 juin
A quelques mètres du restaurant où j’ai mangé avec Alexandre, se trouve une boutique de lingerie sexy où je suis une fidèle cliente.
Vers quinze heures, l’après-midi, vêtue de mon chemisier blanc sur mes seins nus, de ma jupe éventail fuchsia, sur mon string, pour cacher mon bijou d’anus de douze par cinq pour 899 grammes pour avoir mon anus bien rempli, mes sandales à hauts talons, coiffée d’une queue-de-cheval, fardée et parfumé, je m’y rends.
Un bel athlète du triple de mon âge m’aborde, lors de mon choix d’un nouveau soutien-gorge fermé au milieu du devant, juste sous le creux des seins.
- Non, tu ne dois plus porter des guêpières seins nus ou des corsets, avec des serre-tailles avec jarretelles. Tu dois avoir constamment les seins nus et ainsi que vos fesses, pour faciliter l’accès à ton écrin et à ton œillet, tes jambes doivent être nues, tout le temps. Tu ne peux plus te dérober et te prêter. Tu es facile. Tu as envie de tous les hommes qui te désirent. Déshabille-toi sans tirer le rideau, tu me plais, Shawn.
J’obéis, exhibée, humiliée, comme une pute sexuelle.
- Je vais garder ton string humide. Tu portes un bijou d’anus, parfait, tu aimes alors être enculée par de grosses queues. Tu seras servie. Tu es naturelle, chatte et pubis velus, c’est rare pour une pute.
Je dois porter une guêpière seins nus, à ma taille, remise par la vendeuse. Elle est tenue rigide par de larges baleines très rapprochées, courbées vers l'intérieur au ventre et au-dessus des hanches, qu'un busc, sur un côté derrière, permet de boucler et de déboucler. Par-derrière aussi, un large laçage se serre ou se desserre à volonté. L’athlète me la lace aussi étroitement qu'il peut. Je sens ma taille et mon ventre se creuser sous la pression des baleines, qui sur le ventre descendent presque jusqu'au pubis, qu'elles dégagent, ainsi que les hanches. La guêpière est plus courte par-derrière et laissait la croupe entièrement libre.
L’athlète caresse mes seins nus mis en valeur, mes fesses, ma chatte et mon clitoris tendu tout comme mes mamelons par l’excitation.
Il découpe les boutons de mon chemisier et je dois le remettre tel quel et remettre ma jupe.
Le tout est déjà payé d’avance, avec l’argent d’Alexandre, sans me prévenir.
Nous prenons une limousine stationnée non loin de la boutique de lingerie. Je dois m’asseoir cul nu, sur la banquette arrière, cuisses écartées, la jupe relevée, les yeux baissés, la bouche entrouverte, suivant ses instructions.
Il me bande les yeux et me menotte mes poignets dans mon dos.
- Tu reste silencieuse jusqu’à ta nouvelle résidence.
Pendant le trajet, il pelote mes seins, étirant mes mamelons, me masturbe le clitoris et enfonce sa main dans ma bouche, pour étouffer mes râles de plaisir. Aveugle, je suis excitée.
Nous quittons le centre-ville pour un quartier sécurisé à deux heures de là.
Vers dix-sept heures, le portail blindé se referme dès le passage de la limousine.
On m’aide à descendre de voiture, je monte quelques marches, puis franchis une ou deux portes toujours à l'aveugle, je me retrouve seule, mon bandeau enlevé, debout dans une pièce noire où on me laisse, juste en guêpière et en sandales.
Puis, quand enfin la porte s'ouvre, et que s'allume la lumière, la pièce comporte un épais tapis par terre, mais sans un meuble, tout entourée de placards avec des miroirs.
Deux personnes entrent, une jeune femme brune vêtue d’une robe seins nus avec une longue jupes légère et bouffante, qui dévoilent les jambes, le pubis et la chatte entièrement épilés, agrafée par-devant, et seins nus plantureux dénudés des manches à demi longues, les yeux et la bouche fardés. Elle a un collier serré autour du cou, des bracelets serrés autour des poignets et autour des chevilles. L’autre est un transsexuel aux seins plantureux dont je regarde uniquement son gros mandrin bien monté, intégralement épilé, dans la même robe, avec des anneaux aux testicules.
Je reçois mes carcans de cuir, en plusieurs épaisseurs de cuir, chaque épaisseur assez mince, au total pas plus d'un doigt, verrouillés par un système à déclic, qui fonctionne automatiquement comme un cadenas quand on le referme, et ne peut s'ouvrir qu'avec une petite clé. Dans la partie opposée à la fermeture des bracelets, pris dans le milieu des épaisseurs de cuir, et n'ayant presque pas de jeu, il y a un anneau de métal, qui donnait une prise pour fixer, et qu'on positionne du côté intérieur du poignet. Pour le collier, l'anneau pendait devant le cou, reposant sur la saillie des clavicules, et brinquebalait au rythme des mouvements de celui qui le porte. J’en porte au cou, aux poignets et aux chevilles.
Ils me conduisent dans une vaste salle de bains, entièrement recouverte de miroirs et de glaces sur les murs et le plafond.
Nue, pieds nus, je monte les marches menant à la baignoire.
Je dois m’accroupir, cuisses écartées, pendant tout la durée du bain.
Ils me savonnent tout le corps, me mouille les cheveux et on me masse les tempes longuement. Puis je me lève pour me rincer avec la pomme de la douche.
Je sors de la baignoire et je dois m’empaler sur un gros gode réaliste de huit de diamètre, enculée, pendant qu’on me lave les cheveux, dans un de ces grands fauteuils qui basculent quand on vous lave la tête, et que l'on redresse pour vous couper les cheveux.
Je ne peux croiser les genoux ou de les rapprocher l'un de l'autre. Et comme il y a en face de lui une haute glace que n'interrompt aucune tablette, je me vois ainsi, chaque fois que mon regard rencontre mon reflet, exposé, mon bassin ondule sous les va-et-vient du gode, me faisant mouiller. On me rincé ; on me sèche ; on me coiffe longuement.
Puis, je suis courbée sur un tabouret, l’anus enduit de lubrifiant.
Quand je suis prête, la femme me farde la bouche avec un rouge clair, un peu liquide, qu'elle applique au pinceau, et qui fonce en séchant et ombre légèrement mes paupières.
Le transsexuel me dépose quelques gouttes sur mes mamelons et mon clitoris. Elle me peint du même rouge l'aréole et les mamelons, et les petites lèvres entre mes cuisses, en soulignant la fente du giron. Elle me poudre le visage, une fois que je suis peinte, on passe longuement du parfum sur mes aisselles lisses, sur ma fourrure pubienne, dans le sillon entre les cuisses, dans le sillon sous les seins, et au creux des paumes.
Je me rassois dans la pièce des placards, je m’assois sur un pouf au milieu des miroirs, et d'attendre. Le pouf est couvert de fourrure noire, qui me piquait un peu entre les fesses. Je suis nue, pieds nus, avec mes carcans de cuir, cuisses écartées. Je n’ose me masturber. Mon clitoris devient gros comme une cerise, saillant et volumineux par l’excitation tandis mes mamelons saillants, gros et longs tétons pendant une durée indéterminée, hyper sensibles. J’ai un peu mal, mais la douleur est apaisée par les va-et-vient du gode anal placé sur le pouf.
Soudain, un homme vêtu d'une longue cape, nu, musclé, le mandrin en érection libre, entre, puis le long fouet de cuir souple passé à la ceinture, puis que l'homme est masqué par une cagoule, dont le réseau de tulle dissimule même les yeux, et, enfin, qu'il avait des gants aussi, de fin chevreau. Il me saisit les mains avec familiarité, comme une chose naturelle, et il fait glisser l'un dans l'autre les anneaux des bracelets, puis ces deux-là dans celui du collier.
L’homme me fait lever et penchée en avant, les mains jointes à mon cou, pour m’enculer sauvagement, tout en masturbant mon clitoris tendu et douloureux. Je ne sais si je dois jouir ou gémir.
- Quel œillet, tu es bien la pute d’Alexandre. Retiens-toi de jouir, ou tu seras punie sur tes jolies fesses musclées.
Mon orgasme anal me submerge, le muscle anal se contracte très fortement et fait éjaculer l’homme.
- Tu seras punie, la pute.
Il se retire et je dois m’accroupir, cuisses écartées pour le nettoyer et tout avaler.
Il me met un bâillon O et un masque de nuit relié ensemble, m’attache une chaîne à mon collier et me conduit, tenue en laisse, à travers un long couloir. Je suis chaussée de mules à hauts talons.
Il marque une pause.
On me menotte les mains dans le dos, pour que deux mains descendent le long de mes fesses après avoir vérifié l'attache des bracelets : elles ne sont pas gantées, et l'une me pénètre par la chatte et l’anus simultanément. Je jouis sous le bâillon.
Une main me pelote un sein, une bouche saisit le mamelon constamment tendu de l'autre.
Basculée à la renversée, je suis sauvagement enculée, une barre d’écartement est fixée aux bracelets de mes chevilles, pour ne pas resserrer les cuisses.
Je me retrouve agenouillée, fléchie un peu en arrière, à demi assise sur les talons.
- Elle a besoin d’être attachée et fouettée, pour qu’elle prenne du plaisir, qu’elle mouille sous les coups de cravache, en plus d’être enculée comme une pute anale.
Je me retrouve ensuite le buste reposant sur un pouf, toujours les mains au dos, et les fesses plus haut que le torse, trois hommes m’enculent à tour de rôle, avec leurs gros mandrins jusqu’aux testicules et tous éjaculent dans mon anus.
Puis un quatrième sexe différent m’encule jusqu’au nœud. Je gémis mais l’orgasme anal m’envahit.
Je me retrouve allongée sur le dos, prise en double pénétration jusqu’à l’éjaculation, avec un double orgasme. Ma bouche est remplie de spermes chauds que je dois avaler.
Je retrouve allongée sur le dos, cuisses écartées par la barre d’écartement, les mains dans le dos.
On me retire le masque de nuit et je découvre quatre mandrins en érection, des capes et un superbe doberman, le sexe en érection.
Mon anus est maintenu ouvert en permanence par un dilatateur tunnel creux d’un bout à l’autre tout en regardant bien à l’intérieur de l’anus. Je suis ouverte sur quatre centimètres de diamètre intérieur sur toute la longueur, grâce à son gland en forme de boule qui retient le dilatateur tunnel dans l’anus. Le diamètre maximum est de sept centimètres mais ce diamètre est compressible lors de l’entrée dans l’anus ; une fois dans l’anus le gland du tunnel retrouve sa forme naturelle et empêche la sortie. Je suis dilatée de l’anus jusqu’à cinq centimètres en permanence sur douze centimètres de long.
- Désormais, elle sera cravachée, pour ses orgasmes non autorisés, comme elle l’a fait avec le valet Désir Garcette.
On me relève les jambes en l’air, des chaînes sont fixées à mes bracelets de cheville, allongée sur un banc, la taille sanglée.
On me présente la cravache, qui est de fin bambou gainé de cuir, comme on en voit dans les vitrines des grands selliers et une garcette, de cordes assez fines, faite de sept lanières terminées chacune par plusieurs nœuds, et qui sont toutes raides comme si on les a trempées dans l'eau, on m’en caresse l’intérieur des cuisses pour que je sens mieux combien les cordes sont humides et froides.
Dès les premiers coups de cravache, je gémis un peu, la bouche libre. Mais un des hommes remarque :
- Regardez, elle est toute humide par-devant!
- Elle ruisselle ! A mon avis, elle fait semblant de se plaindre mais en réalité, elle adore ça ! annonce un autre homme.
Mes fesses sont brûlantes et zébrées, ainsi que l’arrière de mes cuisses et mon anus se lubrifie.
- Passez à la garcette pour la corriger.
Un des hommes enfile une paire de gants en cuir, il les ajuste soigneusement sur les poignets, et il prend la garcette.
Il frappe. Quand les nœuds en cuir s'incrustent en travers de ses cuisses.
- Elle est fière ! » ricane-t-il.
Il lance de nouveau les sept lanières avec vivacité, en visant le bas des fesses.
Le tout dure cinq minutes. Je les supplie d’arrêter, mais ils continuent.
On me retire le tunnel et je suis sauvagement enculée par le plus gros mandrin des quatre, en jouissant.
- Son œillet est un peu étroit. Il faudra l’élargir, le gode Vice Anal est le mieux adapté pour l’élargir.
Quand on me détache, chancelante et groggy, les jambes ankylosées, le haut de ses cuisses traversé par deux lignes d'un rouge sombre, presque parallèles.
Un des hommes m’allonge sur la canapé et m’encule sur le champ, on m’a retiré la barre d’écartement à mes chevilles.
Nous sommes allongés sur le côté, jambes légèrement repliées, celui qui m’encule  dans mon dos et me défonce l’œillet avec vigueur. Ses mains pelotent mes seins, ma chatte et mon clitoris tendu. Il alterne des mouvements lents doux, ne provoquant qu’une excitation faible. Le mouvement du bassin guide l'acte de la pénétration, j’ajuste mon bassin pour être enculée profondément. La position est câline et sensuelle.
- La pute d’Alexandre, tu voit les visages de ceux qui te violent ou le tourmentent, mais jamais la nuit, où tu as les yeux bandés, et que tu ne sais jamais quels sont les responsables du pire. Même fouettée, ce sera pareil. Ton œillet mérite bien de recevoir le Vice Anal. Même détendue, lubrifiée, tu es encore serrée.
Il se retire avant d’éjaculer dans mon anus.
Je me retrouve à quatre pattes, enculée jusqu’au nœud par le doberman. Je gémis un peu, mais deux orgasmes anaux me submergent, largement inondée.
- Très bien, Apollo t’a fait jouir une seconde fois. Tu seras désormais livrée à Adam, Atlas, Balzac, Conan, Hadès et Cœur de Lion, en plus d’Apollo. Tu vas le sucer.
J’obéis et j’avale son sperme.
Je sens en même temps, un gros gode réaliste, en érection, de quarante par neuf, avec une gaine à picots, me remplir mon anus encore ouvert par le sexe d’Apollo.
Un des hommes sort d’un coffret en bois, qui contient sur un lit de velours brun, dans un compartiment un assortiment de chaînette et de ceintures, et dans l'autre un choix de godes réalistes en érection, qui vont des plus minces aux plus épais.
Il attache au gode, à trois petits trous percés dans la base, trois chaînettes qu'il laisse pendantes.
Je jouis dès son insertion.
Je me relève, on m’attache une étroite ceinture autour de ma taille, et l'on y accroche les trois chaînettes, une par derrière qui suit le sillon des fesses, et les deux autres par-devant, qui longent le pli des aines en contournant le triangle pubien. On les ajuste au plus court
- Ainsi tu ne peux l’expulser, tandis que ton œillet est forcé et distendu. On va les cadenasser pour lorsque tu es seule, tu ne peux te soulager de ce gode.
Je sens le gode qui s’allonge et rétrécit à chaque mouvement de va-et-vient grâce à son enveloppe qui s’étire ou se contracte en suivant les montées et descentes du gode. J’ai l’impression d’avoir un véritable homme à ma disposition qui me fait l’amour en étant infatigable.
La jeune brune revient avec une jeune blonde aux cheveux courts, habillée comme elle.
- Tu vas le porter huit jours durant, entre son lever et le repas de midi, puis entre la tombée du jour où tu finis ton service et l'heure de la nuit, dix heures généralement, où on te ramène, enchaînée, nue. Tu la gardes pour ton bain, nue, parfumée, au réfectoire. Ton valet ne te l’enlève qu'au moment où tu seras enculée dans ce lieu chaque soir.
Je porte le corset, agrafé sur le devant, le lacet est serré par-derrière. Le corset est durement baleiné, long et rigide, et comporte des goussets où reposaient les seins. A mesure qu'on serre, les seins remontent, s'appuient par-dessous sur le gousset, et offrent davantage leurs mamelons tendus. En même temps, la taille s'étrangle, ce qui fait saillir le ventre et cambrer profondément les fesses. La robe est composée d’un  corsage échancré en trapèze, de la base du cou jusqu'à la pointe et sur toute la largeur des seins. Sur le devant de la jupe, découpée très haut au-dessus du pubis, long jusqu’à mi-cuisses et l’arrière de la jupe s’arrête à mi-mollet, discrètement fendu, exhibant ainsi mes seins nus, ma chatte et mes fesses nues. Pour dénuder mes fesses, je dois par-derrière d'écarter les deux côtés de la jupe pour que la croupe soit nue. Avec deux attaches qui soulèvent les deux pans et se nouent sur le devant de la taille, il est facile de les maintenir ouverts. Je garde mes mules à mes pieds nus.
Voici le discours que l'on me tient ensuite.
« Tu es ici au service de tes maîtres. Au premier mot de qui te l'enjoins, ou au premier signe, ce que tu fais, pour ton seul véritable service, qui est de te prêter. Ta bouche, ton écrin et ton œillet seront fouillés à notre gré, car tu ne peux plus te dérober, la bouche toujours entrouverte, les cuisses toujours écartées, pour l’accès à ta bouche, ton écrin et ton œillet. En journée, habillée, tu ouvres ta jupe, pour t’offrir au premier venu, à visage découvert et tu es fouettée qu'entre le coucher et le lever du soleil. Tu es punie du fouet le soir pour manquement à la règle dans la journée : c'est-à-dire pour avoir manqué de complaisance, ou levé les yeux sur celui qui te parle ou te prend : tu ne dois jamais regarder un de nous au visage. La nuit, si notre sexe est à découvert, pour que tes yeux s'y fixent, et ne se fixent pas ailleurs, pour que tu apprends que c'est là ton maître, à quoi tes lèvres sont avant tout destinées. Dans la journée, tu ouvres ta jupe et la referme dès la fin des ébats. En outre, à la nuit, tu n'as que tes lèvres pour nous honorer, et menottée au chevalet, nue, les yeux bandés, pour être fouettée. A ce propos, le fouet est pour votre instruction. Cela est tellement vrai que les nuits où personne n'as envie de toi, tu attends que le valet chargé de cette besogne vienne dans la solitude de ta cellule t’appliquer ta punition. Tu es contrainte. A ta sortie, tu portes un anneau de fer à l'annulaire, qui te fait reconnaître : tu as appris à ce moment-là à obéir à ceux qui portent ce même signe - eux savent à le voir que tu es constamment nue sous ta jupe, si correct et banal que soit ton vêtement, et que c'est pour eux. Ceux qui te trouvent indocile te ramènent ici. On va te conduire dans ta cellule. »
Vers vingt heures, un des hommes me remet ma laisse à mon collier, me menotte les mains dans le dos.
Je retiens mon orgasme anal par les va-et-vient croissant de Vice Anal.
Les mules claquent sur les carrelages des couloirs, sans aucune porte.
- Tu êtes dans l'aile des chiennes, et ton valet s'appelle Nathan.
- Quel valet ? dis-je saisie par la douceur de la voix, et comment vous appelez-vous ?
- Je m'appelle Aimée des Vices.
- Et moi Justine des Saillies », dit la seconde.
La première reprit : « C'est le valet qui a les clefs, qui t’attache et te détache, te fouette quand tu es punie et quand on n'aura pas de temps pour toi.
- J'ai été dans l'aile des chiennes l'année dernière, dit Justine des Saillies, Nathan y était déjà. Il vient souvent la nuit ; les valets ont les clefs, ils ont le droit de se servir de nous.
Devant une cellule sans porte je découvre un superbe Apollon musclé, au gros mandrin de trente par huit, gainé de picots, avec des testicules rasés et avec des anneaux dorés, nu sous sa cape et botté, avec à la ceinture un fouet à lanière de cuir.
Aimée des Vices cède la laisse à Nathan.
La cellule est toute petite, et comporte en réalité deux pièces. L’entrée abrite l’accès à une antichambre, qui ouvre sur la cellule proprement dite ; sur la même paroi ouvre, de la chambre, une autre porte, sur une salle de bains.
En face des portes il y a la fenêtre, avec un chevalet au centre de la pièce, des glaces au plafond, sur un tapis. Une chaîne est suspendue au plafond, tombant à côté du chevalet.
Nathan libère mes mains, mais pas du gode.
Les yeux baissés, la bouche entrouverte, je me laisse peloter les seins dont les mamelons sont encore saillants et surtout, doigte ma chatte trempée et mon gros clitoris tendu. Aimée et Justine me retirent ma robe et mon corset.
Nue, déchaussée, je suis conduite à la salle de bains, tenue en laisse.
- Tout le charme et la beauté, la grâce sont réunis. Des soumises au pubis et à la chatte velus au naturel sont très rares de nos jours, me susurre Nathan.
Je monte les marches menant à la baignoire.
Je m’accroupis, cuisses écartées, entièrement entourée de glaces et de miroirs qui reflètent mon corps.
Nathan me menotte les bracelets de mes poignets à un crochet, pour que mes bras sont tendus, faisant saillir mes seins.
Aimée et Justine me baignent, s’attardant sur ma chatte et mon clitoris, mes seins. Je me retiens de jouir.
- Tu comprendras très vite, dit Justine. Nous viendrons te chercher demain matin. »
Aimée des Vices sourit en partant, et Justine des Saillies, avant de la suivre, caresse, à la pointe des seins, je reste menottée dans la baignoire.
Nathan me détache. A la réserve du collier et des bracelets, de la ceinture de cuir, que l'eau a durcis quand elle me suis baignée, et qui me serrent davantage, je suis nue.
Je suis solidement immobilisée dans cette posture dégradante, le postérieur plus haut que la tête. Mes bras sont fixés le long des pieds avants, mes jambes le long des pieds arrières, et une large sangle m'est passée au niveau de la taille. Mes cuisses, légèrement fléchies sont empêchées de se resserrer par la largeur de la poutre, ainsi d'ailleurs mes fesses que je me peux refermer. Toute mon intimité est ainsi très accessible et on peut me faire tout subir.
Nathan me dispose des pinces à seins, pour sensibiliser les seins. Elles possèdent une clochette en métal fixée par un anneau s'anime au moindre mouvement, émettant un tintement cristallin.
Il enserre mes mamelons que j’offre penchée en avant , laissant bien tomber les seins sous le poids des pinces ensuite le sang cesse de circuler, le mamelon devient froid et là je ne sens plus rien. Il pince aussi mes grandes lèvres humides, pour les étirer beaucoup et mes mamelons aussi en déformant aussi mes seins vers le bas.
- Tu seras plus docile avec, on saura si tu es enculée. Je vais te soulager de Vice Anal. Le soleil s’est couché, c’est donc l’heure de te fouetter qui a commencé. Ton œillet sera rempli par Apollo, Adam, Atlas, Balzac, Conan, Hadès et Cœur de Lion, que tu dois aussi sucer après chaque sodomie, ma belle chienne.
Nathan m’abandonne, après avoir caressé mes fesses brûlantes et enfoncé quelques instants son mandrin gainé dans mon anus en feu. Je me retiens de jouir.
Toutes les demi-heures, je suis livrée à chacun des chiens, tantôt des dobermans, tantôt des bergers allemands, enculée jusqu’au nœud, décuplant mes orgasmes anaux, l’anus largement inondé de leurs spermes chauds. Je les suce, guidé par un des valets.
A chaque coup de rein de chaque chien, mes clochettes tintent en se balançant entre mes cuisses humides et à mes seins.
Pantelante, je subis sept saillies anales canines sans répit, pendant environ quatre heures, en fonction de l’excitation des chiens.

18 juin
Aux dernières heures de la nuit, quand elle est plus noire et plus froide, juste avant l'aube, Nathan revient, me cravache les fesses et l’arrière de cuisses à toute volée, quatre fois, en prenant soin de cingler chaque fois ou plus, haut ou plus bas que la fois précédente, pour que les traces soient nettes. Je jouis.
Puis il me libère mes poignets et me menotte dans le dos, me cravache sur le devant des cuisses.
Le tout a duré cinq minutes.
Il me remet en position sur le chevalet.
Avant l’aurore, je subis trois saillies de ma chatte par un doberman, un berger allemand et un malinois, pour me récompenser de mes orgasmes anaux. Je les suce aussi et j’avale tout. Mon anus expulse le surplus de spermes canins, qui coule dans ma chatte.
Devant la fenêtre, il y a une pelouse, au bout de la pelouse une allée. Il fait grand jour. Aucune femme n'a les clefs, ni celles des chaînes, ni celles des bracelets et des colliers, mais tous les hommes portent à un anneau les trois sortes de clefs qui, chacune dans leur genre, ouvrent, ou tous les cadenas, ou tous les colliers.
Les valets les ont aussi. Mais, au matin, les valets qui ont été de service la nuit dormaient, et c'est l'un des maîtres ou un autre valet qui vient ouvrir les serrures. L'homme qui entre dans ma cellule est habillé d'un blouson de cuir, le mandrin nu et libre, gainé de picots, aux testicules épilés, percés d’anneaux dorés et botté.
Il m’encule sauvagement, pour bien lubrifier mon anus encore un peu ouvert.
- Tu es une sacrée chienne, sept sodomies et trois baises canines. Tu es endurante.
Il me fesse magistralement. Je me retiens de jouir.
Il m’enfonce une canule dans l’anus et je dois expulser le sperme mêlé dans l’eau. Cela dure jusqu’à ce que je sois propre. Il me dépose quelques gouttes sur mes mamelons et mon clitoris.
Le valet me remet le gode avec aisance. Les va-et-vient reprennent.
Il me détache, devant Aimée des Vices et Justine des Saillies, puis il s’en va.
Je dois m’asseoir sur un pouf, cuisses écartées. Justine des Saillies tire vers le chevet une table roulante qui avait été amenée dans le couloir et porte du café, du lait, du sucre, du bain, du beurre et des croissants.
- Mange vite, dit Aimée des Vices, il est neuf heures, tu peux ensuite dormir jusqu'à  midi, et quand tu entends sonner il est temps de t’apprêter pour le déjeuner. Tu te baignes et tu te coiffes, je viens te farder et te lacer ton corset.
- Tu sers ensuite le café et les liqueurs dans la salle où tu as été présenté dans l'après-midi, dit Justine des Saillies. Ah ! nous sommes seulement chargées de toi pour les premières vingt-quatre heures de ton séjour, ensuite tu es seule et tu n'as affaire qu'aux hommes. Nous ne pouvons pas te parler, et toi non plus à  nous.
Deux superbes étalons entrent, nus, les mandrins en érection, bottés. Les yeux baissés, la bouche ouverte, je ne sais si c’est l’athlète.
Les deux femmes disparaissent.
Je tiens une tasse de café à  la main gauche et de l'autre un croissant, assise cuisses écartées, le bassin ondule sur le gode sur le pouf, reste immobile. Je pose la tasse sur la table, ainsi que le croissant entamé.
Le premier, un superbe brun musclé, s'assoit près de moi, me renverse et l'embrasse, ses doigts enfoncés dans ma chatte resserrée et trempée.
- Les chiens t’ont bien défoncé ton écrin et ton œillet, lève-toi ma belle pute.
Il appuie doucement la paume fraîche de ses mains, puis ses lèvres tout le long des balafres.
L’autre homme, un peu plus jeune que le premier, pelote mes seins, étire mes clochettes à mes mamelons tendus, et le long de ses fesses
- Ecarte les jambes, ma belle pute et obéis.
Le premier, me soutient debout, appuyée du dos contre lui qui est debout aussi. Et sa main droite me caresse un sein, et l'autre me tient l'épaule.
Le second enfonce son mandrin gainé dans ma chatte, aux grandes lèvres étirées par les clochettes. Je me retiens de jouir, poussée en avant, le bras droit du premier glisse autour de ma taille, ce qui lui donne plus de prise. Le second se frotte contre mon clitoris tendu à l’extrême.
- Quel écrin humide qu’elle offre. J’ai envie de lui remplir son œillet.
- Je vais la libérer du gode, pour la combler.
Je me retrouve allongée sur le dos, libérée du gode, l’anus ouvert.
Le second s’allonge tête-bêche, m’enculant jusqu’aux testicules, caressant mes cuisses écartées.
Le premier me fait sucer son mandrin libre de la gaine.
- Son œillet est chaud. Elle est encore un peu étroite.
Celui que je venais de sucer, s’allonge sur moi et me baise simultanément, avec son mandrin gainé. Je dois me retenir de jouir.
Puis ils se retirent, en éjaculant dans ma bouche, leurs mandrins libres des gaines.
Le second repart.
Pour combler le premier, je dois m’empaler sur lui, qui est allongée sur le dos. Son mandrin gainé m’encule jusqu’aux testicules.
Je frotte mon clitoris tendu contre son pubis et je dois retenir mon orgasme.
A chaque érection, jusqu’à midi, je m’empale dans la même position.
La sonnerie de midi retentit.
Il me remet le gode en place.
- Tu es désormais la pute des lieux, docile, prête à t’offrir à tous les hommes. Tout regard des hommes au visage, ni leur parler. Tu ne le dois pas davantage à moi, mais te taire, et obéir. Lève-toi. Tu n'ouvres désormais ici la bouche, en présence d'un homme, que pour crier ou sucer.
Il me fixe ma laisse à mon collier et me conduit à la salle de bains, où je suis menottée, bras tendus, cuisses écartées, baignée par Justine des Saillies. L'eau tiède me fait frémir quand mes fesses meurtries y plongent, et Justine les éponge sans frotter, pour ne pas réveiller la brûlure.
Libre, elle farde ma bouche, non ses yeux, me poudra, et toujours nue, mais les yeux baissés, je reviens dans la cellule.
Je suis habillée par Justine des Saillies.
L’homme encule Justine des Saillies, la jupe ouverte, jusqu’aux testicules.
Je reste debout, voyeuse, sans me masturber.
Je suis tenue, seule, en laisse, les mains menottées dans le dos, en compagnie d’un nouveau valet. Nous remontons le couloir. Mes mules claquent de nouveau sur le carrelage.
Nous rejoignons une antichambre où, devant une porte en fer forgé, deux autres valets attendent, deux dobermans à leurs pieds.
Je me retrouve prosternée, la jupe ouverte, le gode retiré, enculée par les deux dobermans que je dois sucer, ainsi que les trois valets qui se relaient pour m’enculer aussi jusqu’aux testicules.
- Regarde comment ils l’enculent jusqu’au nœud, elle aime, la nouvelle. J’ai hâte de lui défoncer son œillet bien ouvert, dit un des valets.
On me remet le gode en place, l’anus dégoulinant de spermes canins et ma bouche remplie de spermes humains.
Je rejoins le réfectoire, une salle au sol dallé, la table longue, en verre épais, pour que les valets puissent voir ce que les soumises y font par-dessous, et chacune a pour siège un tabouret rond recouvert de cuir. Je dois écarter ma jupe pour s'y poser, et je retrouve ainsi, au contact du cuir lisse et froid sous mes cuisses. Inversement, lors de ma sortie, je dois, vêtue comme tout le monde, mais les fesses nues sous mon tailleur banal ou ma robe ordinaire, relever à chaque fois ma jupe pour s'asseoir à même la banquette d'une auto ou d'un café, c'est le lieu de mon instruction que je retrouve, les seins offerts dans les corsets de soie, les mains et les bouches à qui tout est permis, et le terrible silence.
Je suis longuement lavée du sperme dans mon anus, lors de mon bain. Je rejoins nue, l’anus libre, en mules, les yeux baissés, la bouche ouverte, tenue en laisse, vers une grande pièce, recouverte de glaces et de miroirs sur les murs et au plafond.
Je laisse les deux hommes regarder mes fesses, avant d’être enculée et fouettée selon leurs envies.
- C’est toi, la nouvelle pute, qui jouit comme une chienne. Ton œillet va s’assouplir à chaque saillie, dit l’un d’eux.
- Oui, les chiennes savent donner du plaisir à leur chien, n’est-ce pas ? dit le second.
Un doberman, un berger allemand et un malinois m’enculent aussi dans la pièce, pour leurs plaisirs.

En quelques jours, mes parties de mon corps offensées, devenues plus sensibles : ma bouche suceuse, mes mamelons constamment tendus sont étirés par les doigts, et enculée et baisée à plaisir par les valets, les chiens et les inconnus, les yeux bandés.

23 juin
Au bout de huit jours, aucun appareil n’est plus nécessaire,
- Elle est désormais bien ouverte, dit un des valets.
Je passe l’après-midi à une orgie anale et fouettée jusqu’au coucher du soleil.
De retour à ma cellule, je regarde au miroir de ma salle de bains les marques maintenant presque effacées de la cravache de Nathan sur le devant de mes cuisses, Nathan entra.
Il y a deux heures encore avant le dîner.
Sans ménagement, il me menotte au chevalet et m’encule sauvagement et éjacule dans ma bouche.
Libre, il me conduit, tenue en laisse, par mon collier. Je suis accroupie, les bras tendus en l’air, menottée au crochet, avec une canule pour me laver mon anus rempli de spermes chauds. Il me lave longuement, s’attardant sur mes seins, mes mamelons tendus dans les pinces à seins, mon gros clitoris percé d’un anneau doré serti d’une pierre précieuse pour l’étirer, ma chatte humide aux grandes lèvres étirées par des pinces aussi.
Une fois propre, il me met quelques gouttes sur mes mamelons constamment tendus tout comme mon gros clitoris. Je me farde.
Il me bande les yeux, attache sur mes yeux le bandeau de velours. Il se renfle un peu au-dessus des orbites et s'applique exactement aux pommettes : impossible de glisser le moindre regard, impossible de lever les paupières.
Il menotte mes mains dans le dos et me tient en laisse, je reste pieds nus, sans mettre mes mules. Je quitte le carreau glacé du couloir de l'aile des chiennes Puis le sol, toujours aussi froid, devient rugueux – je marche sur un dallage de pierre, grès ou granit.
Je monte un grand escalier vers le haut du bâtiment.
Au dernier palier, Nathan marque une pause.
Je dois le sucer, accroupie sur les marches.
Il me couche contre les marches froides où de mes mains liées je m'accroche tant bien que mal pour ne pas glisser, et qu'il me pelote les seins, tout en m’enculant jusqu’aux testicules, entre mes cuisses écartées.
- Tu es plus ouverte que le premier jour de ton arrivée, ma belle pute d’Alexandre.
Il ne me relève que lorsqu'il a éjaculé dans ma bouche, lors de mon orgasme anal. Moite et tremblante de froid, je franchis le dernier palier quand j'entends ouvrir encore une porte, que je franchis, et sens aussitôt sous mes pieds un épais tapis.
La chaîne fut tirée, puis les mains de Pierre détachèrent ses mains, dénouèrent son bandeau.
La chaîne qui est fixée à mon collier tient au mur à un mètre de haut, et ne me laisse que la liberté de faire un pas ou de s'allonger par terre. À ma portée, dans une niche, un plateau de bois présentait de l'eau, des fruits et du pain.
Les valets me remettent sur le plateau de l'eau, des fruits et du pain lorsqu'il n'en reste plus, et me baigner dans un réduit voisin.
Les yeux bandés par le valet, je suis offerte à des chiens, des hommes, sans pouvoir les compter, ni les distinguer, sans jamais détacher la chaîne.
Je suis souvent offerte à trois hommes, en double pénétration, suçant le homme qui m’encule. On caresse mon corps, souvent je porte les clochettes selon les envies des hommes. Je suis aussi fouettée sur les fesses et les cuisses.
Les chiens m’enculent à quatre pattes jusqu'à nœud, m’abandonnant à mes orgasmes anaux.

25 juin
L’après-midi, j’émerge menottée nue, à mon chevalet, l’anus dégoulinant d’une ultime saillie anale par un dogue allemand, le plus gros sexe canin pour m’écarteler davantage.
L’athlète de la boutique de lingerie est là à contempler mes fesses et mes cuisses zébrées. Il passe les doigts sur les nombreuses traces du fouet, plus ou moins estompées selon leur ancienneté.
L’athlète m’encule pour juger de mon ouverture anale.
- Très bien, tu es ouverte à la perfection. Je vais te libérer et tu vas te baigner. Justine des Saillies va s’occuper de toi.
L’athlète me tient en laisse par le collier jusqu’à la salle de bains, où m’attends Justine des Saillies, nue, les fesses et les cuisses zébrées elle aussi.
Elle me donne un dernier bain. Ensuite elle me brosse les cheveux, me tend le parfum ; nos regards se croisent, mais aussitôt elle détourne le sien. Il sort.
Quand de retour à ma cellule, Justine n'y est plus.
Je trouve sur le porte-manteau, mon chemisier blanc sans les boutons sur mes seins nus, ma jupe éventail fuchsia, mon bijou d’anus de douze par cinq pour 899 grammes dans son étui, des mules à hauts talons, ma guêpière seins nus.
À cet instant, l'homme qui le premier soir m’a expliqué ce qui serait exigé de moi, entre. Je baisse les yeux et entrouvre la bouche.
Il me retire mes carcans de cuir, au cou, aux poignets et aux chevilles.
Il m’encule une dernière fois, sur le chevalet libre, sans me faire jouir.
L'homme me présente ensuite, dans un petit coffret de bois, la bague sertie d’un petit anneau. Elle marque la condition de la soumise ainsi que son appartenance, faite sur mesure. En ce qui me concerne, elle est très importante à mes yeux, elle est intime et il m’est très agréable d’avoir un bijou discret mais parlant, visible de tous, en permanence sur moi à mon annulaire gauche.
Je reçois mon bijou d’anus en premier, puis je chausse mes mules à talons de dix centimètres, remplaçant celles de douze centimètres que j‘ai porté, à mes pieds nus, puis ma guêpière que je lace seule, mon chemisier et ma jupe.
Les portes sont fermées, l'antichambre est vide, il n'y a ni valets ni chiens. Il me tient par la main. L'homme qui nous accompagne ouvre la grille, et il soulève un des rideaux de velours pour nous faire passer tous les deux. Le rideau retombe, nous entendons la grille se refermer. Nous sommes seuls dans une petite entrée qui donne sur le parc. Il n'y a plus qu'à descendre les marches du perron, devant lequel je reconnais la même limousine du 17 juin. Je m’assois à l’arrière, la jupe relevée, mes fesses nues sur la banquette, à côté de l’athlète.
Quand nous sortons du parc dont la grille es grande ouverte, au bout de quelques centaines de mètres, le bel athlète s'arrête sur le bas-côté. Il m'embrasse profondément.
Puis la limousine redémarre. Nous roulons deux heures dans la campagne.
- Je me prénomme Sir Beau des Mille Verges. Tu vas désormais vivre au « Domaine des Mille Vices », ton séjour au « Domaine des Chiennes » t’ont fait découvrir le statut de soumise docile et chienne à la fois. Les chiens sont des amants endurants pour t’enculer et te baiser.
Il me parle, j’ai les yeux baissés, la bouche entrouverte, les seins pelotés, le chemisier retiré, cuisses écartées.
- Comme tu es la pute d’Alexandre, tu portes en plus de ta bague, l’anneau clitoridien qui te fait reconnaître comme tel. Tu seras ferrée naturellement prochainement et tatouée sur les reins. Nous allons marqués une pause, dans ce chemin forestier.
Déchaussée, en guêpière, je reste seule à l’arrière, l’anus libre. Sir Beau sort et c’est le chauffeur, un bel Adonis doté d’un mandrin de trente-cinq par huit, nu, qui me rejoint. Il me renverse sur le dos, en arrière, les genoux sur les épaules, cuisses écartées. Il m’encule en traction et en appui sur ses bras. Je me retiens de jouir, sous le poids et le volume de ses testicules.
Il m’encule pendant plus d’une heure, les cuisses relevées et bloquées par les cuisses du chauffeur, en traction, sans qu'une seconde je ne peux me dérober, assurée qu'il en a le droit, jusqu'à l'épuisement de ses forces.
Puis il me fait sucer son mandrin, enfoncé jusqu'à la gorge que chaque mouvement par lequel il heurte de ce bélier le fond de son palais fait jaillir de nouvelles larmes.
Quand il a enfin terminé, je reste en guêpière, le bijou d’anus remis en place, je me peigne mes cheveux emmêlés, me repoudre, me rougit les lèvres.
Nous reprenons la route. Sir Beau reprend ses caresses de mes seins pelotés par le bel Adonis, dont mes mamelons sont constamment tendus vingt-quatre heures sur vingt-quatre tout comme mon gros clitoris percé.
- Tu as aimé, te faire enculer, ma belle pute. Tu plais aux hommes.
Il m’embrasse langoureusement, tout en doigtant longuement ma chatte trempée.
Enfin, nous arrivons au « Domaine des Mille Vices ».
Nous finissons le trajet à pied. Sir Beau me remet mon collier de cuir et me tient en laisse. Je suis juste en guêpière et en mules, coiffée d’une queue-de-cheval.
Au bout d’une longue allée, je découvre un vaste bâtiment, un château moderne, entouré d’un chenil et d’un haras.
Des hommes soubrettes en tablier, m’accueillent, avec des mules plus hautes que les miennes.
- Ce sont tes serviteurs. Tu portes une ceinture de chasteté, malgré qu’ils soient dans l’impossibilité de te faire jouir. Je te l’ôte si je souhaite te baiser selon mes envies. Tu loges au rez-de-chaussée. Alice s’occupe de ton bain, tes tenues et surtout de te farder, ton anus sera lubrifié au miel, tu comprendras très vite. Ta nouvelle garde-robe commandée à la boutique de lingerie est à ta disposition. Tu es libre de vivre nue, de te baigner nue et de faire du sport nue. Selon mes envies, je peux t’enculer ou te baiser, tu partages les repas et tu es fouettée comme au « Domaine des Chiennes ».
Je rejoins ma chambre, entièrement recouverte de glaces et de miroirs sur les murs et au plafond, certains cachent des garde-robes, des accessoires pour me fouetter, me menotter. Elle donne sur une piscine intérieure et extérieure et sur le chenil, avec une grande baie vitrée.
Nue, après ma douche par Alice, je suis fardée et mon anus est enduit de miel. Je semble reconnaître Alexandre, avec sa perruque.
Beau me met ma vraie ceinture de chasteté, laissant ma chatte inaccessible à la pénétration par un mandrin : une fente de sept centimètres de long (sur une largeur maximale d’un centimètre) me permet d’uriner, mon clitoris et mes petites lèvres sont étirés à travers la fente étroite. La ceinture comporte un orifice anal pour que la femme soumise puisse aller aux toilettes. Beau pourra m’enculer si le désire ou un autre amant. Les bords de la ceinture sont recouverts d’un rembourrage en caoutchouc moelleux pour assurer un confort de port et elle est cadenassée.
Je chausse mes mules et je découvre les lieux, un grand salon avec une table en verre épais transparent, un pouf en cuir qui m’est destinée, les hommes soubrettes logent au premier étage, qui m’est interdit d’accès.
La salle de sport comprend un vélo d’appartement pour muscler mes jambes, un banc de musculation pour mes bras et autres sévices et un chevalet.
Les hommes soubrettes portent tous aux testicules épilés, sur les deux testicules, plusieurs anneaux dorés, leurs mandrins en érection sont enserrés par deux anneaux en métal, cadenassé, leurs érections sont contraintes ou impossibles, mais peuvent se soulager et leurs testicules sont soumis à un parachute qui étire bien les testicules en les séparant comme deux clémentines bien fermes : chaque testicule devient bien gonflé et beaucoup plus sensible et sans même qu’il soit nécessaire de commencer à les lester.
Les yeux baissés, la bouche entrouverte, devant mes hommes soubrettes, je les inspecte. Mais l’un d’eux, un beau brun musclé m’ordonne :
- La pute, tu viens me sucer, j’ai envie de ta bouche de chienne.
- Miss S, tel est ton nouveau pseudo, à la hauteur d’un million, tu es libre de le punir. C’est ta soumise.
- Jamais, Sir, je n’oserais sans votre autorisation. Je suis votre soumise avant tout.
- Non, ici, tu es là aussi, pour dresser d’autres hommes, tes soumis à ta disposition.
Sans attendre, je le menotte au chevalet, je prend la garcette et enculée simultanément par Sir Beau. Je le fouette avec une telle vigueur sur les fesses et les testicules, tout en jouissant de mon geste.
- Continue, Miss S, plus fort, tu dois le corriger. Il t’a humiliée. Tu es une Maîtresse que l’on doit respecter.
- Oui, Sir, mais je vais jouir.
- Continue, à le fouetter, il est tout à toi.
En plein orgasme anal, l’anus inondé de spermes chauds, je donne un ultime coup de garcette sur les testicules zébrés.
- Miss S, je vous en supplie, dit le brun pantelant, pardonnez-moi.
- Jamais, aucun soumis ne doit m’implorer le pardon. Je vais t’enculer sur le champ.
Sir Beau me retire ma ceinture de chasteté et m’équipe d’un gode-ceinture long de trente par sept externe et un gode à va-et-vient similaire à Vice Anal, avec une gaine à picots, pour me remplir mon anus lubrifié.
C’est la première fois pour moi, que j’encule un soumis. Je me souviens lors de ma première sodomie, la technique de celui qui m’a enculé. Je l’emploie.
Le brun éjacule et je le cravache dans la foulée sans débander. Je dois cesser, lorsque mon orgasme anal me submerge.
Pantelante, je continue jusqu’au second orgasme anal.
Je me retire et le brun suce le gode, pour le nettoyer.
Sir Beau me retire le gode-ceinture pour quelques longueurs de piscine, nue, sans ma ceinture de chasteté. Je me relaxe.
Une fois sèche et douchée, fardée, je porte à nouveau ma ceinture de chasteté.
Je prends mon repas, empalée, enculée, assise à tour de rôle, sur Sir Beau et son chauffeur, entre leurs cuisses, je suis enculée jusqu’aux testicules, sans pouvoir me dérober aux caresses de mes seins, aux mamelons pincés par des clochettes, de mes reins, mes fesses qui sont davantage écartées pour mieux m’enculer profondément.
Les hommes soubrettes nettoient le sperme qui coulent des mandrins qui m’ont enculée. J’ai interdiction de les nettoyer ou de les sucer, sauf sur ordre.
Avant de me coucher, je suis douchée et Sir Beau me met pour la nuit, un harnais dorsal à menottes qui prive totalement l’esclave de l’usage de ses mains et de ses bras ! Les superbes menottes en cuir (fournies avec le harnais) attachés très aisément pour m’immobiliser. Le très large collier en cuir (haut de six centimètres) est très doux à porter autour du cou. Une fois sanglé dans mon harnais, je suis allongée sur le dos, sur le lit, sans ma ceinture de chasteté, une chaîne est fixée à mon collier jusqu’au crochet au-dessus de ma tête.
Sir Beau m’embrasse langoureusement sur la bouche, me pelote les seins sans mes pinces à seins, me lèche ma chatte humide et mon gros clitoris percé. Je jouis. Il me baise, agenouillé jusqu’aux testicules, en me saisissant les cuisses écartées, pour m’immobiliser. Je jouis jusqu’à son éjaculation sur mon pubis, car il souhaite me faire mettre enceinte par un inconnu.
En pleine nuit, endormie, dans la même position, je suis saillie par un doberman, qui me baise quelques instants, les pattes sur mes seins, puis m’encule jusqu’au nœud.
Puis un malinois et un berger allemand m’enculent en deux heures de durée jusqu’au nœud chacun.

26 juin
A l’aube, je dois me prosterner, pour me faire enculer par mes trois amants canins, décuplant mes orgasmes anaux.
Je les suce en échange pour les nettoyer.
Au lever du soleil, pantelante, je suis enculée par un des maîtres-chiens, prosternée, qui éjacule en moi. Mon anus dégouline de spermes chauds.
Le rituel se répète pendant les douze jours de port de ma ceinture de chasteté et de mon harnais dorsal.
Je monte à cheval, nue, en bottes. Un des hommes m’escorte dans le parc, me fait saillir, la chatte d’abord pendant une dizaine de jours, avec un peu de plus de longueur de sexe équin, pour me faire jouir et je reçois son sperme équin dans ma chatte.

8 juillet
Lors de ma promenade, l’homme me fait enculer par le sexe équin, l’anus bien lubrifié par le gros gode va-et-vient Vice Anal qui est installé sur ma selle chaque jour. Je gémis mais la douleur devient un plaisir, l’anus bien écartelé par le gros sexe au tiers de sa longueur. Je le nettoie comme à chaque sortie.
Je suis devenue une pute chevaline.
Vers vingt heures, nue, avec mon harnais dorsal, en mules, tenue en laisse par Sir Beau, devant un harem d’étalons cagoulés, nus, les mandrins en érection, je suis l’objet de nombreuses caresses, doigtés de mon anus pour m’ouvrir. Prosternée, je suis sauvagement enculée sans répit, suçant tous les mandrins présents.
Je suis enculée par le sexe d’un poney devant l’assistance et je connais un violent orgasme anal, suivi par trois saillies par mes amants canins.
Pantelante, je suis nourrie de spermes jusqu’à l’aube, entre sodomies humaines, double pénétration canine et saillie anale équine avec le poney.
Je suis longuement fouettée, menottée sur le chevalet, avant un long repos ponctué par les assauts vigoureux de Sir Beau, devant les invités, de ma chatte en feu.
Sir Beau éjacule sur mon pubis.
Profitant de ma chatte entrouverte, je sens une étrange chaleur. Je suis marquée au fer rouge des lettres SB entrelacées dans ma chatte.
On me tatoue à l’encre noire les lettres Miss S avec dessous un fouet et une cravache entrelacés, sur mes reins. Je gémis sous le bâillon-pénis en bouche. Je perd connaissance, avant de longues sodomies par les étalons cagoulés jusqu’à l’aube.
Je dois rester trois jours sans me baigner à la piscine, ni me doucher, juste me laver le reste du corps, en évitant mes reins et faire du vélo d’appartement.
Menottée par les poignets et aux chevilles, déchaussée, je suis enculée par Vice Anal, à chaque coup de pédale, caché sous la selle. Je retombe sous mon propre poids, sur la selle, empalée et enculée en poussant un râle profond. Le gode va-et-vient et m’écartèle l’anus. Je parcoure des kilomètres pendant deux heures en moyenne, fouettée par Sir Beau, sur les fesses et les cuisses.

12 juillet
A l’aube, après des saillies anales et vaginales canines, je découvre mon tatouage officiel.
Les grandes lèvres de ma chatte sont épilées, pour bien dégager mon gros clitoris.
Sir Beau me fouette aussi, allongée sur le dos, les jambes en l’air, des chaînes passées aux bracelets de mes chevilles, cuisses écartées, pour viser mes fesses et l’intérieur de mes cuisses. Je mouille dans cette situation. Il m’encule longuement ensuite, toujours menottée, ainsi que le chauffeur et d’autres amis.
Je retiens mes orgasmes anaux, qui deviennent violents par la sensibilité de mon anus.
Nous fêtons mon mois de dressage de soumise docile, par de longues orgies anales et des saillies anales canines et équines avec un superbe trotteur français, propriété de Sir Beau jusqu’au coucher du sol.

15 juillet
Sir Beau me ramène, après mon ultime douche prise par Alice.
- Tu seras ferrée prochainement, Miss S, comme le stipule ton contrat de trois millions.
Je suis vêtue de ma nouvelle tenue : ma robe pour le grand soleil composée d'une jupe éventail, qui se retrousse d'un geste, mais toujours à corselet montant jusque sous les seins, et portée avec un boléro fermé au cou. Il suffit d'enlever le boléro pour que les épaules et les seins soient nus, et sans même enlever le boléro, de l'ouvrir, si l'on désire voir les seins, tout le monde peut voir ma chatte épilée, mais j’ai gardé mon triangle pubien velu. Je me baigne toujours nue.
Sir Beau aime saisir et tirer à plein poing mes poils pubiens, m'ouvrir et me fouiller longuement de la main.
Je retrouve mon appartement avec ma nouvelle garde-robe, sans soutien-gorge, ni slip, ni string, ni porte-jarretelles, remplacés par des corsets et guêpières seins nus, dégageant mes fesses nues, des robes assez courtes de mi-cuisses jusqu’au ras des fesses, au décolleté en V, dos nu ou au décolleté en dentelle transparente laissant voir mes seins nus fardés, aux mamelons constamment tendus. Je ne porte plus aussi ni de bas ni de collants, pour garder mes jambes nues par tous les temps, mes pieds nus sont cambrés dans des mules et sandales de divers hauteurs de talons sans plate-formes. Ma trousse de maquillage est adaptée à mon statut de soumise docile, je dois rester constamment fardée et parfumée, l’anus lubrifié au miel, si jamais un chien doit me saillir.
Pour les habitants de l’immeuble, avec ma queue-de-cheval, mon maintien, je suis prise pour la fille, ou pour la nièce de Sir Beau, d'autant plus que maintenant il me tutoies à chaque instant, mais non pour sa soumise. Mes factures sont payées, Cyrielle m’attends avec impatience, par ses nombreux messages sur mon répondeur et je découvre un recueil de photos de mon instruction, sans montrer mon visage, juste les parties nues de mon corps exhibées, remplies par des mandrins de tout calibre. Sir Beau a toujours son petit carnet Miss S où sont notées mes punitions, mes actes sexuels, ma progression de chienne.
Vers dix-huit heures, en compagnie de Sir Beau, toujours vêtue de ma robe à corselet et de mon boléro, en mules à talons de douze centimètres, les cheveux libres, nous retrouvons Cyrielle à une terrasse.
Nous soupons ensemble à un restaurant sélect connu par Sir Beau, non loin de l’immeuble où travaille Alexandre.
Nous montons à l’étage. J’attire les regards, en soulevant discrètement ma jupe, dévoilant mes fesses nues.
Assise, je m’assois cul nu, cuisses écartées, devant Cyrielle, intriguée. Je retire mon boléro, exhibant mes seins nus.
- Ma chérie, tu es très belle. Tu m’as manquée.
- Toi aussi, ton écrin, ta bouche, m’ont manquée aussi.
- Cyrielle, que dites-tu de faire l’amour à trois avec Miss S, toi et moi.
- Je ne peux refuser. Ma chérie est devenue bisexuelle, mais je n’ai connu la sodomie même entre femmes.
- Tu vas voir, c’est jouissif, surtout avec une grosse queue comme Sir Beau.
Pendant le repas, Sir Beau me pelote les seins devant les serveurs.
Après le repas, nous rentrons avec le chauffeur de Sir Beau, chez moi.
Nues, nous faisons un 69 torride entre femmes, Sir Beau m’encule, avec une gaine à picots, tandis que Cyrielle me lèche mon gros clitoris percé, qu’elle adore et ma chatte trempée. Je me retiens de jouir.
Puis Sir Beau me conduit dans la chambre et m’offre un gode ceinture à triple gode réaliste.
- C’est pour toi, Vice Anal pour te combler, en prenant ton amie Cyrielle, qui me plait. La première, et la moins importante, est que je désire te voir embrasser et caresser Cyrielle et tu dois l’emmener au « Domaine des Chiennes. Et comment crois-tu que se recrutent les filles pour le Domaine ? Une fois que tu l'as amenée, rien ne te regarde plus et d'ailleurs, si elle veut partir, elle partira. Viens.
Le Vice Anal est bien enfoncé et maintenu par le gode-ceinture. Chaque gode mesure sept centimètres de diamètre, le vaginal mesure quarante et l’anal vingt-cinq.
Cyrielle s’offre à quatre pattes, la chatte dégoulinante de mouille.
- Tu vas la posséder des deux côtés. Elle doit prendre goût aux doubles pénétrations
- Ma chérie, non pas, s’il te plait.
J’obéis et je remplis les deux orifices de Cyrielle, qui suce Sir Beau, pour apaiser ses gémissements.
Les gémissements deviennent des râles de plaisir, au bout de plusieurs va-et-vient, combinés à mon orgasme anal par Vice Anal.
Nous inversons les rôles, Vice Anal remplit l’anus de Cyrielle, encore un peu étroit. Je jouis, la bouche remplit par le mandrin de Sir Beau. Cyrielle jouit aussi.
Sir Beau encule Cyrielle, tandis qu’elle me lèche ma chatte trempée et mon gros clitoris. Je connais un violent orgasme.
Devant Cyrielle, Sir Beau m’encule aussi et nous avalons son sperme chaud.
Cyrielle découvre mon tatouage sur mes reins. Elle a remarqué de l’intérieur de ma chatte est marquée au fer rouge.
Après le départ de Cyrielle, ramenée par le chauffeur de Sir Beau, Brice, Dan, Ahmed et César me rejoignent pour une orgie anale, filmée à mon insu par de discrètes caméras dans l’ensemble des pièces de l’appartement par Sir Beau, en mon absence.
Pantelante, je les satisfais, m’offrant une douche masturbatoire, autorisée par Sir Beau, avant de partager mon lit dans de jouissives doubles pénétrations jusqu’à l’aube, la bouche remplie de spermes, mes fesses, mes reins sont aussi couverts de spermes.

16 juillet
Ils s’éclipsent avant le lever du soleil. Je me repose toute la journée, pour récupérer.
J’entretiens ma chatte épilée, brossant longuement mes poils pubiens, me godant l’anus à toutes les occasions, me rappelant mes premières sodomies. Je porte aussi mon nouveau bijou d’anus, moulé sur le devant du sexe d’un doberman, me rappelant mon statut de soumise docile chienne.
Je reçois nue, mes amants envoyés par Sir Beau, pour me satisfaire.
Cyrielle me confie :
- Ma chérie, je veux encore me faire défoncer l’œillet par une grosse queue, comme Sir Beau et son chauffeur.
- Tu as pris goût, ma chérie. Tu n’as pas pu résister. Je vais jouir, je suis enculée par mon gros gode réaliste Vice Anal, quel amant infatigable.
Je raccroche.

Pendant deux semaines, mes amants viennent enculer Cyrielle et moi dans mon appartement, pour écarteler davantage l’anus encore un peu étroit de Cyrielle.

1er août
A l’aube, je rejoins Sir Beau à son domaine.
Je me douche longuement, épile ma chatte et porte mes clochettes à mes grandes lèvres quelques heures pour les étirer, nue et en mules, les cheveux libres.
Après le déjeuner, je suis menotté nue, au chevalet, avec un bâillon-pénis en bouche.
Mes grandes lèvres sont percées et on rive des anneaux de fer mat inoxydable. La tige en est ronde, épaisse comme un gros crayon de couleur, et ils sont oblongs : les maillons des grosses chaînes sont semblables. Chacun est formé de deux U qui s'emboîtent l'un dans l'autre. Un ressort intérieur sur lequel on doit forcer pour le faire pénétrer dans la rainure où il se bloque. Chaque anneau est long comme deux phalanges du petit doigt, qu'on y peut glisser. A chacun est suspendu, comme un nouveau maillon, ou comme au support d'une boucle d'oreille un anneau qui doit être dans le même plan que l'oreille et la prolonger, un disque de même métal aussi large que l'anneau est long. J’en porte deux, un pour Sir Beau et au-dessous, un fouet et une cravache entrecroisés et le second pour le Maître du « Domaine des Chiennes ».
Je suis marquée au fer rouge sur les fesses rouges, les lettres S et V.
Des inconnus m’enculent jusqu’à mon réveil et éjaculent dans ma bouche. J’avale tout.
Tout le temps que dure sa convalescence, je reste couchée sur le dos, cuisses écartées.
Les fers qui trouent mes grandes lèvres de ma chatte, me descendaient jusqu'au tiers de la cuisse, et à chacun de ses pas bougent entre mes jambes comme un battant de cloche, le disque gravé étant plus lourd et plus long que l'anneau auquel il pend. Les marques imprimées par le fer rouge, hautes de trois doigts et larges de moitié leur hauteur, sont creusées dans la chair comme par une gouge, à près d'un centimètre de profondeur. Rien que de les effleurer, on les perçoit sous le doigt. De ces fers et de ces marques, O éprouvait une fierté insensée.

10 août
Je retrouve Cyrielle dans une luxueuse résidence privée, en bord de mer.
Je profite de me baigner nue, exhibant mes fers et mes marques au fer rouge à Cyrielle, qui les remarque.
Chaque jour, Sir Beau me fouette, menottée à mon lit, allongée sur le ventre, pour me rappeler combien je suis une soumise docile. Avec Cyrielle, nous le suçons, avant de longues sodomies jouissives.
Certaines fois, Sir Beau me baise, pour me faire jouir, en masturbant longuement mon gros clitoris.

12 août
Sir Beau amène des masques. A la fois coiffures et masques, on voyait qu'ils étaient faits pour couvrir toute la tête, en ne laissant libres, outre la fente des yeux, que la bouche et le menton. Chouette, ce sont que à mesure humaine, mais faits des plumes de la bête véritable, et la plume descendant assez bas pour atteint les épaules de qui les porterait. Il suffit de resserrer une sangle assez large, cachée sous cette manière de chape qui retombe par-derrière, pour que le masque s'applique étroitement au-dessus de la lèvre supérieure (un orifice étant ménagé pour chaque narine) et le long des joues. Une armature de carton modelé et durci en maintient la forme rigide, entre de revêtement extérieur et la doublure de peau. Devant la grande glace où je me vois en pied. plus singulier, et celui qui à la fois transforme le plus et me semble le plus naturel, est un des masques de la chouette chevêche, sans doute parce qu'il est de plumes fauves et beiges, dont la couleur se fond avec la couleur de son hâle ; la chape de plumes me cache presque complètement les épaules, descendant jusqu'à mi-dos, et par-devant jusqu'à la naissance des seins.
« Tu seras donc chevêche pour le Commandant. Tu seras menée en laisse.
Sir Beau défait le dernier maillon, qu'il passe dans le second anneau que je porte à mes grandes lèvres, puis referme. La chaîne, pareille à celles avec lesquelles on attache les chiens - c'en est une - a un mètre et demi de long, et se termine par un mousqueton. Cyrielle en prends l'extrémité, et de marcher dans la pièce, devant moi. Cyrielle fait trois fois le tour de la pièce, tirant derrière elle, par la chatte, moi nue et masquée.
« Eh bien, dit Sir Stephen, le Commandant avait raison, il faut aussi te faire épiler complètement. Ce sera pour demain. Pour l'instant, garde ta chaîne. »
Le même soir, je dîne nue, ma chaîne passée entre mes jambes, remontée sur mes fesses, et entourant ma taille, mes fesses, mes reins et mes cuisses zébrées par la cravache et la garcette.

13 août
Vêtue de ma robe à corselet, de mon boléro, en mules, les cheveux libres, je me rends chez le coiffeur et me faire épiler la chatte et le pubis pour devenir totalement lisse, comme une soumise.
Chez le coiffeur, il m’invite dans une pièce privée, où je suis nue, et me faire coiffer par des garçons, nus eux aussi, recevoir des soins raffinés, voire demander ensuite « les finitions ».
Assise sur le fauteuil, cuisses écartées, nue, devant la glace, je sens un gros gode réaliste m’enculer, l’anus libre de mon bijou d’anus que j’ai retiré.
Les garçons me massent les cheveux, me rafraîchit les cheveux.
Les garçons et le patron m’enculent sauvagement ensuite et éjaculent dans ma bouche. Je suis comblée.
Nue, par une discrète porte mitoyenne, je rejoins, l’esthéticienne m’épile à la cire, où l'on arrache d'un coup la cire durcie où sont pris les poils, n'est pas moins cuisante qu'un coup de cravache, et lui répéter, et même essayer de lui expliquer, sinon quel était son sort, du moins qu'elle en était heureuse, il n'y eut pas moyen de calmer son scandale, ni son effroi.
A mon retour, nue devant Sir Beau, qui me trouve plus émouvante, et lorsque je revêts mon masque, les lèvres également dépourvues de fard au visage et au ventre et si pâles, il me caresse presque timidement comme on fait d'une bête qu'on veut apprivoiser.
Il m’encule longuement, après m’avoir fouettée à la garcette, allongée sur le lit, menottée au lit.
Vers minuit, masquée, j’entends du bruit, sur la grande terrasse.
Une dizaine de couples dansent sur la terrasse, tous sont nus.
Le Commandant m’oblige à les sucer et me faire enculer par chacun, car je suis leur invitée.
De minuit jusqu'à l'aube, on utilise ma bouche, mon anus pour divers commentaires, sur le port de mes fers.

14 août
C’est seulement le plein jour venu, tous les danseurs partis, que Sir Beau et le Commandant m'amènent au milieu de la terrasse, me défont ma chaîne et mon masque, et me renversant sur une table, m’enculent tour à tour. Je suis libre de jouir, nourrie de leurs spermes.
Comme promis Cyrielle rejoint le « Domaine des Chiennes » dans la semaine.
Sir Beau m’offre à deux Européens et un Africain, qui me fouettent, m’enculent plusieurs fois, sans répit. Je ne me dérobe pas à eux, nourrie de leurs spermes.
Le trio revient le lendemain et Sir Beau m’abandonne, allongée sur le dos, cuisses grandes ouvertes, des chaînes fixées aux bracelets de mes chevilles, au trio. Je reste trois heures de plus, dans cette position, exhibant ma chatte ruisselante, mon anus dégoulinant de spermes, mes fesses zébrées. Sir Beau ne me fait pas l’amour ce jour-là, quand il me détache.

12 septembre
Je retrouve le « Domaine des Chiennes », vêtue de mon nouvel uniforme : une large jupe fendue, courte derrière jusqu’à ras des fesses et largement ouverte jusqu’à mi-cuisses. Un boléro transparent complète l’ensemble. Les manches comme les jambes sont assez courtes, et laissaient apparaître les bracelets d'acier. Le boléro se porte entrouvert, sur mes seins nus. Je porte aussi de nouveaux carcans, de fer inoxydable, articulés et à demi rigides. Ils sont larges de près de deux doigts et a chacun un anneau de même métal. Mon collier entoure exactement le cou dans son milieu, sans le serrer mais suffisamment pour qu'il soit difficile de le faire tourner, et plus difficile encore d'y glisser un doigt entre la peau et le métal. De même, à mes poignets et à mes chevilles, juste au-dessus de l'articulation qui est laissée libre, les bracelets. Je les garde jour et nuit. Je chausse mes pieds nus des tongs à hauts talons avec une large bande en cuir brun dans laquelle on glisse le pied. Je suis toujours fardée et parfumée, mon anus est toujours enduit de miel.
Ferrée naturellement, comme écrit sur ma fiche, je suis très recherchée par les clients réguliers du « Domaine », mon comportement de soumise docile chienne m’a fait monter en célébrité, car rare sont les soumises à atteindre un tel degré.
Je suis libre de me promener nue, tenue en laisse par les fers de ma chatte, selon les envies des clients.
Je dors dans une chambre avec un double lit, avec une salle de bain et une penderie communes, sans portes, et les clients peuvent y entrer n'importe quand dans la nuit, enchaînée à mon lit, par mon collier, les mains menottées dans le dos, cuisses écartées, prête à m’offrir.

Le matin, à dix heures, libre de mes chaînes, après mon bain et ma toilette, nue, je suis fouettée, sur le palier de l'étage, courbée sur la main-courante de l'escalier, liée par les anneaux des poignets à la lisse inférieure, jamais assez fort pour les marquer, toujours assez longtemps pour m’arracher des cris, des supplications et souvent des larmes.
Le valet va aussi jusqu’à m’enculer pour me faire jouir et éjaculer sur mes fesses, avant que je le suce.
Nue, je mange au réfectoire.
L’après-midi, je suis fouettée et enculée par les clients, les valets dont Nathan et son frère jumeau Sacha.

Je séjourne de longs mois. Le maître des lieux me baise fréquemment sans éjaculer en moi. C’est le seul à me baiser.

10 novembre
Ce matin-là, j’apprends la disparition de Sir Beau dans un mystérieux accident routier.
J’hérite de sa fortune et je recouvre la liberté, tout en gardant mes fers, mes tatouages et mes marquages au fer rouge.
Je retrouve mes amants dans mon luxueux appartement. Cyrielle est devenue elle aussi une soumise docile tout comme. Je la ferais peut-être ferrée et marquée au fer rouge.
Retrouvez-moi soit à mon appartement soit au « Domaine de Chiennes », votre soumise docile et chienne Shawn, je vous attend, mon œillet sera ouvert à vos queues.

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