jeudi 25 juin 2020

ORGIE POUR VICIEUSE


Je m’appelle Shawn.
J’ai 22 ans.
Je suis une jolie beauté scandinave.
Je suis une brune aux yeux verts. J’ai des pieds fins et latins, des jambes longues bronzées, musclées qui inquiètent par leur perfection. Mon pénil est bombé, ouvert, couronné de noir. Ma pilosité brune couvre mon pubis. Je suis totalement velue entre les cuisses et j’ai une superbe croupe. Les lèvres de mon sexe sont une plaie rouge entre mon entrecuisse velue. Mes hanches s'incurvent et délimitent le ventre plat, délicieusement renflé autour du nombril, les hanches sont larges et rondes, mais sans lourdeur. La taille est affinée. Les seins parfaits intégralement bronzés sont un peu volumineux mais fermes, et leurs pointes marron clair, toujours dressées, cernées par une large aréole marron attirent le regard. J’ai une peau lisse et patine. Finition parfaite, un seul grain de beauté entre mes superbes seins. De longs cheveux plats blonds flottant comme des algues, battent mes épaules rondes et gracieusement athlétiques. Je suis intégralement bronzée. Mes yeux verts limpides s'allument, ma bouche charnue se fend. J’ai des sourcils bruns bien dessinés et des lèvres pulpeuses. J’ai de longs doigts fins et de belles mains. Je fais du 85B de poitrine, 56 de taille, 90 de hanches, 1,72 m.

ORGIE POUR VICIEUSE

12 juin
Je suis secrétaire auprès d’une agence de mannequins photo pour lingerie.
J’aime beaucoup les dessous qui me sont offerts par les clients.
Je suis une adepte des soutien-gorges, strings et porte-jarretelles et bas, transparents blancs assortis avec mes sandales et mes escarpins à hauts talons, les cheveux libres ou avec une queue-de-cheval.
Trois superbes brunes entrent en robes sexy, en escarpins à hauts talons, en bas et coiffure courte brune. Moi, je suis juste en tailleur fuchsia sur mes dessous blancs, en bas et sandales à hauts talons, coiffée d’une queue-de-cheval, maquillée.
- C’est vous, Shawn, qui vous occupez des studios de photo, pour une série lingerie, dit l’une d’elle.
- Oui, je peux vous conduire.
Les mains se font caressantes, sur mes seins, dont les mamelons se tendent sous mon chemisier.
Au studio, l’une d’elle prend l’appareil photo et annonce :
- Mets-toi en dessous, Shawn.
J’obéis. Les deux autres m’embrassent langoureusement, glissent leurs mains dans mon string transparent. Je mouille, mon clitoris me fait mal, tendu.
Elles se mettent juste en bas, baissent leurs strings, dévoilant leurs gros mandrins. Ce sont des hommes travestis. Je ne peux donner l’alerte.
Nue, je suis enculée d’une seule traite par, Val, au gros mandrin de trente-six par huit, m’encule d’une seule traite, allongée sur le dos, les jambes en l’air, écartées.
Je tente de protester, mais ma bouche est remplie par les deux autres.
- Elle aime ça, se faire enculer, dit Val, en excitant les autres étalons.
- Une double pénétration va la calmer, annonce Albane.
Nue, je me fais baiser par les calibres de sept centimètres de Val et de Rose, couché sur le dos, et celui de huit centimètres d’Albane m’encule simultanément. Je connais un violent double orgasme.
Puis je m’encule sur Albane, tandis qu’il se trouve sur le dos et je suis de dos, toujours avec les jambes ouvertes je reçois Val dans ma chatte et je connais le même double plaisir, doublement inondée, telle une pute.
Les calibres de huit centimètres m’enculent, par derrière, en me soutenant, tandis que ceux de sept centimètres me défoncent la chatte simultanément. Je l’entoure de mes jambes, doublement pénétrée.
C’est alors qu’un de sept centimètres sans quitter ma chatte, m’allonge sur le tapis, il est allongé sur le dos. Mes cuisses sont écartées, je suis baisée jusqu’à la garde. Un de huit centimètres nous rejoint et m’encule aussitôt jusqu’aux testicules.
Je connais un double orgasme, ma bouche remplie du sperme des autres étalons qui m’ont baisée et enculée.
A moitié chancelante, la chatte et l’anus dégoulinant de spermes, je ne sais plus quelle heure il est. Je me douche au studio et me rhabille. Le trio a gardé les photos en souvenir.
Je suis doublement déflorée, sans douleur. Ils me laissent leurs cartes de visite pour les rappeler.
Le seul souvenir du trio est un mystérieux objet froid dans mon anus. Un bijou d’anus très beau, il est en aluminium brillant orné par un magnifique cristal rose à son sommet : c’est ce cristal rose qui est visible entre les fesses une fois que il est introduit dans l’anus. Il est très doux et très petit, et me provoque une délicieuse excitation anale permanente, et je peux facilement m’asseoir avec le bijou d’anus ne place. Il mesure cinq par trois pour 34 grammes. Sa forme en sapin et sa large base vous garantissent un excellent maintien dans l’anus. La section qui relie les deux extrémités est très fine et douce afin de laisser l’anus se refermer dessus sans gêne. La tige de la taille de l’auriculaire sert de support lorsque le sphincter se referme.
Sans le vouloir, en marchant pour regagner mon bureau, je me contracte et avance le bijou d’anus contre ma chatte en feu et la stimule. Je le garde l’objet une heure environ. Ma chatte est resserrée, cela détend mes sphincters anaux pour apprivoiser le plaisir anal. Outre un sentiment de grande relaxation, les contractions des muscles anaux provoquent un immense plaisir qui se propage dans tout mon bas-ventre. Je n’ose avouer que j’ai perdu mon double pucelage.
Je dois rester une lesbienne docile.
J’ai des moments de fantasmes, enculée ou baisée par ces inconnues, qui me font jouir.
Je rentre chez moi, peu après le déjeuner non loin du studio. J’ai droit à mon après-midi.
J’habite à une demi-heure de marche. Je suis obligée de trouver un stratagème pour ne pas trahir les ondulations de mon bassin sur le bijou d’anus.
Sous ma douche, je me masturbe longuement, entre et sort le bijou d’anus.
Nue, je m’allonge sur mon lit, sors mon gode de douze par trois de mon tiroir à godes et m’empale dessus, enculée. La base plus large est parfaite et sa forme est réaliste et moulée à la forme d'un mandrin. Equipé d'une télécommande filaire, je teste les trois vitesses de vibration pour moduler mon plaisir, il possède de plus une ventouse à sa base, ce qui permet de le fixer à une surface lisse, afin de pouvoir l'utiliser sans les mains. Je me masturbe mon clitoris tendu et pelote mes seins aux mamelons tendus. Je connais un nouvel orgasme anal violent et je mouille de plaisir.
Vers 18 heures, on sonne à mon appartement. Je me réveille, nue, en sueur, la chatte humide, mon clitoris encore tendu, par l’excitation de mes rêves érotiques. J’ai remis mon bijou d’anus, qui m’a fait jouir sans le vouloir.
Je revêts un kimono court sans fermer la ceinture sur mon corps nu, je reste pieds nus, les cheveux libres.
- Tiens, Shawn, tu sors de ta douche, dit Val, en me draguant. Cela te dirait de te faire à nouveau enculer et de sucer nos queues.
Le trio referme la porte et me met un bâillon anneau O. Je dois garder la bouche ouverte, outre le côté humiliant, ma bouche est ainsi disponible pour le plaisir du trio.
Le O de l’anneau O est assez large pour faire passer un mandrin. Je suis humiliée et je dois me dépasser.
Nue, je dois les sucer, agenouillée.
- Tu écartes les cuisses et les fesses, dit Albane.
Il me retire le bijou d’anus et m’encule à sec, l’anus un peu lubrifié par ma mouille abondante.
Il éjacule dans mon anus. Je ne peux protester, occupé avec les deux autres mandrins qui passent dans ma bouche ouverte.
Rose m’ordonne :
- Shawn, tu vas devenir ma sœur incestueuse. Cela fait longtemps que je rêve de te baiser et de t’enculer profondément, avec une voix féminine.
Val remplace Albane et je suis contrainte de m’empaler jusqu’aux testicules, qui claquent contre mes fesses brûlantes par les claques magistrales de Val. Val éjacule dans mon anus.
Pour Rose, je suis empalée, dos à lui, enculée, cuisses écartées, mes seins sont pelotés par Val et Albane, étirant mes mamelons tendus, mon clitoris tendu est masturbé par Rose, puis Val et Albane me baisent à tour de rôle, pour une double pénétration jouissive et ma chatte et mon anus sont doublement inondés.
J’avale leurs spermes, sans perdre une goutte.
Ils ne cessent de me photographier sous toutes les coutures, gros plan sur mes fesses, ma chatte, mes seins.
- Très bien, elle a eu sa ration pour aujourd’hui, dit Albane.
Rose en veut davantage :
- Je l’encule encore une dernière fois, la vicieuse.
Allongés sur le côté, jambes légèrement repliées, Rose est dans mon dos. Rose me caresse les seins, m’embrasse langoureusement, sans mon bâillon O, masturbe ma chatte humide. Il m’encule en douceur. Je suis profondément enculée jusqu’aux testicules. Mon clitoris n’est pas épargné par les masturbations. Il éjacule à nouveau dans mon anus.
Il me remet le bijou d’anus. Je me douche devant eux.
Pantelante, je m’effondre nue, sur mon lit. Ils repartent au bout de deux heures, en me laissant leurs cartes de visite dans mon sac à main.

13 juin
Vers onze heures, après une matinée, bercée par mes pensées érotiques de la veille, sans string ni soutien-gorge, mais en porte-jarretelles et bas blancs, sous mon tailleur vert, en escarpins blancs, coiffée d’une queue-de-cheval, fardée et parfumée, je reçois la visite de trois Apollons pour des photos de lingerie.
Je craque pour le superbe Africain Noir, Désiré, sans lui avouer ma récente défloration.
J’aime son corps musclé et son mandrin moulé dans ses dessous.
Au restaurant, Désiré mange à mes côtés. Je dois confesser mes aventures lesbiennes avec mon amie Hermine, une jolie brune qui me ressemble.
Nous allons chez moi. Hermine nous attends.
Nues, nous le déshabillons et j’initie Hermine à le sucer.
- Shawn, tu suces à merveille, me complimente désiré.
Son mandrin en érection est de trente par huit.
En 69, au-dessus d’Hermine, je suis l’objet de la langue d’Hermine sur mon clitoris.
Désiré me défonce la chatte jusqu’aux testicules. J’ai retiré mon bijou d’anus, laissant partiellement ouvert mon anus.
- Quel écrin, tu es bien large. Tu mouilles bien. Hermine, lèche lui bien son escargot.
- Oui, Hermine, fais-moi jouir et toi, Désiré, baise-moi à fond, je suis ta déesse.
Sans attendre, après quelques va-et-vient, Désiré enfonce son gland dans mon anus.
- Arrête, tu m’encules avec ton gros sexe.
Il continue.
- Tu me défonces, c’est trop bon. Tes testicules contre mes fesses, fesse-moi ta déesse.
Il s’exécute.
J’avale son mandrin jusqu’aux testicules, en me détendant, surprenant Hermine, qui me lèche la chatte.
- Shawn, tu te fais enculer par un mâle. Tu es une vicieuse.
- Continue, Désiré, vide-toi dans mon puits.
Il s’exécute. Nous le suçons en retour, pantelantes.
Nous prenons une douche, Désiré et moi, devant Hermine. Il me caresse longuement me doigte simultanément la chatte et l’anus pour me vider de son sperme. Je connais un violent orgasme.
Une fois en érection, Désiré me demande :
- J’ai envie de t’enculer encore.
Allongée sur le dos, sur le lit, je me laisse soulever les reins, enculée jusqu’aux testicules. Il me tient par les chevilles, les cuisses grandes ouvertes. Jambes tendues, je me caresse les seins, Hermine me lèche mon clitoris tendu pour me faire conduire à un violent orgasme anal et une nouvelle éjaculation abondante de Désiré.
Désiré nous quitte après une dernière douche. Hermine passe la nuit en ma compagnie, entre baisers, godes et doigtés, pour ma chatte et mon anus à satisfaire.
Désiré me laisse sa carte de visite.

Pendant cinq jours, dès que je le peux, je me gode l’anus, qui devient un peu plus sensible chaque jour. Je jouis dès les premiers va-et-vient, en me masturbant mon clitoris tendu.

18 juin
Vers 18 heures, alors que je vais prendre ma douche, mon téléphone sonne.
- Allô, Shawn, c’est Désiré, j’ai fantasmé sur ton œillet de vicieuse. Tu me fais bander.
- Oui, viens me prendre avec ton gros sexe dans mon puits de vicieuse. Je me suis préparée, je me douche, je suis toute à toi.
En sortant de la douche, nue, pieds nus, les cheveux enturbannés, j’ouvre à Désiré.
- Suce-moi, ma chérie.
J’obéis, accroupie. Il me libère mes cheveux.
- Tu as une sacrée envie de ma grosse queue.
- Oui, prends-moi comme ta déesse. Hermine m’a goder l’œillet depuis ton départ chaque fois lors de nos ébats lesbiens.
Allongée sur le dos, l’anus libre du bijou d’anus, sur le lit, Désiré s’agenouille et m’encule jusqu’aux testicules. Il me pose mes mollets sur ses épaules, caresse mes cuisses, mes mollets et mes chevilles, tout en m’enculant profondément. Je jouis.
- Oui, défonce-moi à fond. J’ai mon puits en feu.
- Ta queue m’a manqué, ma belle.
Il éjacule en moi.
Sans débander, je décroche mon téléphone qui vient de sonner
- Alors, Shawn, ma sœur incestueuse, tu te fais défoncer le puits par un superbe étalon noir. Je suis au courant de tes ébats lesbiens.
- Rose, s’il te plait, tu joues les voyeurs. Laisse-moi avec Désiré.
- Tu n’as pas regardée l’enveloppe que tu as mise dans ta table de nuit, coquine.
Je découvre l’enveloppe et je l’ouvre devant Désiré.
Ce sont des photos sans visage, de sodomies par des inconnus en bas et porte-jarretelles. Cela m’excite.
Désiré continue à m’enculer, excité par les photos de l’inconnue.
Rose raccroche.
Désiré se retire et m’invite à m’asseoir entre ses cuisses écartées, enculée, pour commenter les photos.
- Mon puits est bien rempli jusqu’aux testicules, tes caresses sur mes seins, mes fesses, mes reins, me font beaucoup de bien.
Désiré me fait coulisser pour me conduire à l’orgasme anal.
Je me retire et je le suce pour le nettoyer entièrement.
Nous prenons une douche masturbatoire.
Désiré passe la nuit en ma compagnie. Je dors avec mon bijou d’anus, mais Désiré me baise sans ménagement, la chatte resserrée et je jouis plusieurs fois. Il éjacule sur mon pubis.

19 juin
Vers 8 heures, Désiré récupère une mystérieuse boîte chez moi.
- Ton œillet est encore étroit et il faut l’élargir, grâce à ce gode anal spécialement conçu pour toi, ma belle. Prosterne-toi sur ton lit.
La boîte ouverte, contient, sur un lit de velours brun, dans un compartiment un assortiment de chaînette et de ceintures, et dans l'autre un gode réaliste, long de vingt-huit par six.
Le gode comporte trois petits trous percés dans la base, trois chaînettes attachées qu'il laisse pendantes. Il possède un gland décalotté et il est veiné sur toute sa longueur. Le prépuce glisse le long du gland à chaque sodomie.
Il m’enfonce le gode jusqu’à la butée, de gros testicules réalistes. Je ne peux l’expulser.
Désiré me met une étroite ceinture autour de la taille et y accroche les trois chaînettes, une qui suit le sillon de mes fesses, deux autres qui contournent mon triangle pubien.
Il les ajuste au plus court, pour forcer et distendre mon anus. Il les cadenasse.
- Ainsi, tu n’es pas tentée de te soulager.
Sans le savoir, je sens que le gode s’allonge et rétrécit à chaque mouvement de va-et-vient grâce à son enveloppe ultra-souple qui s’étire ou se contracte en suivant les montées et descentes du gode. J’ai l’impression d’avoir un véritable homme à leur disposition qui me fait l’amour en étant infatigable.
- Il m’encule profondément, ce gode, j’aime.
- Tu vas le garder quelques heures par jour. Je te le retire peu avant ton déjeuner et je le remet ce soir pour la nuit.
- Encule-moi à fond avec ce gode. Je vais exploser au travail.
Je peux même me doucher sans perturber les va-et-vient. Je ne sais pas qui dirige les vitesses des va-et-vient.
- Désormais, tu ne portes plus jamais aucun sous vêtement,  ni culottes ni strings, ni soutien-gorges. Tes seins et ta chatte doivent toujours être nus et libres sous tes vêtements et ton entrejambe jamais dissimulée. De ce fait, ni collants, ni shorts, ni jupes culottes ni bien sur de pantalons, mais des jupes ou des robes mais à la condition qu'en aucun cas elles ne soient plus longues que le milieu de tes cuisses. Tes seins sont nus et libres sous tes corsages ou chemisiers. Tes fesses doivent être aussi nues et libres.  Pour tes pieds, soit tu seras pieds nus soit tu porteras des chaussures mais dans ce cas, toujours à talons. A partir de demain matin, tu dois être parfaitement maquillée vingt quatre heures sur vingt quatre, aussi bien le visage que le bout de tes seins. Quand tu te laves, aussitôt après, tu dois te remaquiller. Tu dois avoir dans ton sac en permanence de quoi faire les retouches nécessaires à ton maquillage pour qu'il soit toujours parfait. En ma présence ou en la présence de toutes personnes me représentant, tu ne dois plus regarder personne en face mais toujours avoir les yeux baissés en signe de soumission. Ton corps est désormais public, donc en ma présence ou en présence d'un de mes représentants, tu dois te montrer nue ou partiellement nue sur un simple ordre. Ou que ce soit, quand que ce soit et devant qui que ce soit. Tu n'as pas de temps de réflexion. Tu dois t'exécuter à la seconde même. En dehors de ma présence ou de quelqu'un qui me remplace, si quelqu'un te touche, te tripote, te pelote, tu dois te laisser faire comme si c'est quelque chose de tout à fait normal et ce encore une fois, qui que ce soit et ou que ce soit. Même si ça va jusqu'à te faire baiser. Dans ce cas, tu devras le reste du temps et ou que tu sois, avec qui que tu sois et n'importe quand, tu dois être complètement nue. me tenir informé du fait que tu t'es faîte prendre par quelqu'un et tu dois me donner tous les détails. Lorsque tu es au lit, si ce n'est pas déjà le cas, tu dois toujours être nue. Jamais d'exception à cette règle. Que tu sois chez toi ou n'importe ou ailleurs, seule dans le lit ou pas, seule dans la chambre ou pas, tu restes nue. Désormais, quand tu te laves, c’est uniquement à l'eau froide, que ce soit juste au lavabo, dans la douche ou pour prendre un bain. Toujours les paupières sont légèrement ombrées, la bouche très rouge peinte au pinceau, les mamelons et l'aréole des seins rosies au pinceau, tes petites lèvres de ta chatte rougies au pinceau, en soulignant la fente du giron. Tu te parfumes à trois reprises, tes aisselles lisses et ta fourrure pubienne, dans le sillon entre tes cuisses, dans le sillon sous les seins, et au creux des paumes. Tu te poudre le visage, une fois que tu es peinte. Tu ne peux te dérober, les lèvres entrouvertes, les jambes écartées, les genoux écartés, pour donner libre accès à ta bouche, ta chatte, ton œillet qui sont ouverts à quiconque. Tes yeux sont toujours baissés, pour fixer nos queues, que tu dois sucer. Tu as compris, Shawn.
Je hoche la tête.
Au bureau, en tailleur blanc, sur mon chemisier blanc, en porte-jarretelles, bas et escarpins blancs, on devine mes mamelons tendus par l’excitation, mon bassin ondule sous les va-et-vient du vibromasseur anal, je ne laisse rien indiquer que je suis enculée en permanence.
Vers midi, dans les toilettes pour homme, Désiré me retire le gode et me fait enculer par les hommes présents, sans ménagement. Je suis excitée pour le déjeuner.
Vers 18 heures, je rentre chez moi, me douche, me nettoie mon anus.
Je me maquille et je reste nue.
Je me gode avec le bijou d’anus que j’ai porté l’après-midi.
Vers 22 heures, Désiré revient avec des amis, des étalons Africains Noirs, dotés de mandrins entre huit et neuf de diamètre jusqu’à quarante de long.
Je suis menottée nue à mon lit, cuisses écartées, fardée et parfumée, sur le dos.
- Voici, la déesse Shawn dont je vous ai parlé. Elle va accepter tous vos assauts. Elle aime qu’on l’encule jusqu’aux testicules. Elle va vous sucer d’abord.
J’obéis. J’ai du mal à sucer les gros glands, mais je fais de mon mieux, encouragés par mes étalons.
Le premier m’encule, en me clouant sur le dos, les jambes sur le côté. Il se couche sur mes cuisses, m’immobilisant, me fesse magistralement et je me retiens de jouir, sous ses va-et-vient.
Le second, m’encule, face à face, cuisses écartées à hauteur du buste de l’étalon, allongés. Il me saisit par une cuisse et par l’autre mollet pour m’enculer jusqu’aux testicules, à chaque coup de reins. Ma bouche est remplie par les autres mandrins qui attendent leur tour.
Le troisième me met à quatre pattes, cuisses écartées, pour me soumettre, en m’enculant, me fessant. Ses testicules claquent contre mes fesses brûlantes.
Prosternée, je suis enculée par le quatrième.
Le cinquième m’encule, où je m’assois, dos tourné à lui, les mains libres, me tenant sous les aisselles, ses jambes autour de ma taille, la sodomie est profonde.
Enfin, Désiré m’encule, allongé sur le dos, accoudé. Je suis empalée sur son mandrin, face à lui, jusqu’aux testicules, je m’accroche à ses épaules, pour coulisser sur son mandrin qui m’écartèle.
Tous éjaculent dans ma bouche, j’avale tout.
Peu avant leur départ, je me douche devant eux et Désiré me remet le vibromasseur anal pour la nuit. Je suis pantelante et comblée.

25 juin
Après le restaurant du midi, vêtue d’une robe dos nu blanche, sans soutien-gorge, ni string, seins, fesses et jambes, en mules à hauts talons, fardée, parfumée et coiffée d’une queue-de-cheval, je suis conduite par Désiré, à une heure du lieu. Je suis assise cul nu sur le siège passager, la jupe relevée, les seins nus dénudés.
Nous entrons dans un parking souterrain et nous prenons l’ascenseur jusqu’au second étage. Je reste comme je suis, excitée.
Nous entrons dans une pièce. Au milieu de la pièce trône le fauteuil gynécologique avec les supports pour les jambes. Je marque un instant d'arrêt, mais madame Martin me demande de m'installer. Nue, je m'allonge sur le siège qui est un peu frais sur mon dos. Je porte encore le vibromasseur anal exceptionnellement depuis la veille au soir.
Le gynécologue, un des étalons Africains Noirs, qui m’a enculé, me guide mes pieds sur les supports pour les jambes. Je suis menottée, mes lèvres de ma chatte s'entrouvrent toutes seules. Je ferme les yeux. Mes cuisses sont écartées soit maximum. Je sens que le fauteuil bouge en me basculant vers l'arrière, puis il monte pour que mon bassin soit à la hauteur du visage du gynécologue, prénommé César, lui exposant mes cuisses écartées au maximum. Il s'assied aussi entre mes jambes ouvertes, appuie avec son pied sur une pédale et je vois le fauteuil basculer et monter. Ma chatte est à hauteur des yeux de César, ouverte toute seule. Il me masturbe mon clitoris pour le tendre au maximum, entrouvre les lèvres de ma chatte humide.
- En tous cas, vous n'avez aucun problème de production de mouille. C'est bien.
Il enfonce deux doigts dans ma chatte, tout en masturbant mon clitoris.
Il les remplace par un spéculum, pour un examen approfondi de ma chatte déflorée le 12 juin.
Il saisit le capuchon du clitoris pour dégager celui-ci et le triture puis il fait de même avec petites lèvres, les ouvrant et les étirant, le spéculum toujours en place.
Désiré me retire mon vibromasseur anal pour exhiber mon anus humide et entrouvert.
Délaissant les lèvres, il enfonce deux doigts dans ma chatte trempée puis deux doigts de son autre main dans l’anus. Par une succession de pressions et de va et vient dans les deux orifices, César procède à l’examen du vagin et du rectum de sa patiente. Satisfait de cet examen, César annonce :
- Les parois de la chatte et du rectum sont saines et suffisamment souples pour supporter des pénétrations volumineuses et répétées. Cependant le rectum devra préalablement faire l'objet d'un élargissement et toujours être préparé par une lubrification. »
Il me retire le spéculum et me met un écarteur anal. L’examen ne décela aucune lésion. Cependant, nue, cuisses écartées dans le fauteuil, un écarteur anal enfoncé dans l’anus, je me sens esclave soumise et cette situation m’excite.
Le docteur enlève l’écarteur anal et Désiré m’encule.
- Tu est saine, je te prends sans préservatif... »
- Je veux jouir avec sa grosse bite. » Réponds-je sous la jouissance que je sens venir. Je ressens mon orgasme anal. Désiré inonde mon anus de son sperme.
- Elle est de facile à prendre. » Commente César.
- Cette pute est douée. » Répond Désiré. « Mais elle doit encore se perfectionner. »
- Je vais l’enculer aussi, mais avant, elle va me sucer.
Le gland de neuf centimètres de diamètre me remplit la bouche. Il menotte mes chevilles et il m’encule jusqu’aux testicules.
César éjacule aussi.
Libre, César m’amène au cabinet de toilettes afin que je me nettoie et mon anus soit propre.
Je vais pour me rhabiller.
- Non, Shawn, tu restes nue et en mules, nous allons au rez-de-chaussée. J’ai des amis à te présenter.
Vers 17 heures, j’obéis. Il me bande les yeux avec un bandeau de velours et me menotte mes poignets dans le dos.
Au rez-de-chaussée, j’entre dans une grande pièce avec un épais tapis par terre, sans un meuble, tout entourée de placards aux portes recouvertes de miroirs.
Deux femmes ont ouvert la porte, deux femmes jeunes et jolies, vêtues de longues jupes largement fendues devant, dénudant la chatte et le pubis totalement lisses, avec des anneaux dorés aux petites lèvres, avec un grand décolleté dénudant entièrement leurs seins à corselet serré qui fait jaillir les seins et agrafés par-devant, et des manches à demi longues, leurs yeux et leurs bouches sont fardés. Elles ont un collier serré autour du cou, des bracelets serrés autour des poignets.
Elles me libèrent mes poignets et me retirent mon bandeau.
Je quitte la pièce et je monte un grand escalier de marbre, où nos mules claquent. Je rejoins une immense salle à bains entièrement recouvertes de miroirs et de glaces sur les murs et au plafond. Je monte des marches pour entrer dans la baignoire transparente.
- Accroupis-toi, cuisses écartées, dit l’une d’elle.
Puis la femme enfonce son doigt savonné dans mon anus pour le laver soigneusement, et elle m’enfonce une canule, montée à l'extrémité du flexible de la douche, par laquelle elle m'asperge d'eau tiède, pendant la durée de mon bain. Elles pelotent mes seins, déposent des gouttes sur mes mamelons, masturbent mon clitoris sur lequel elles déposent aussi des gouttes.
 Mon clitoris, sous l’effet de mystérieuses gouttes, devient gros comme une cerise, saillant et volumineux tandis que mes mamelons deviennent saillants, gros et longs. Ils sont hyper sensibles. Mes mamelons pointent au maximum tout le temps, vingt quatre heures sur vingt quatre et de même pour mon clitoris. Ils sont complètement tendus et très dur au point de me faire vraiment mal et ces endroit sont devenus sensibles.
A la sortie du bain, je suis séchée, les cheveux lavés et rincés.
Je m’assois sur un de ces grands fauteuils qui basculent quand on vous lave la tête, et que l'on redresse pour vous mettre le séchoir, après la mise en plis. Le fauteuil me contraint à m’empaler sur un gode réaliste de huit centimètres de diamètre, avec un prépuce qui glisse à chaque va-et-vient, pour m’enculer.
Cuisses écartées, nue, je me regarde, dans une grande glace en face de moi, du haut en bas de la paroi, que n'interrompt aucune tablette, ainsi ouverte, chaque fois que son regard rencontre la glace.
Je suis fardée comme on me l’a appris et parfumée. Je connais un violent orgasme anal.
Nue, pieds nus, je rejoins une pièce où un miroir à trois faces et un quatrième miroir au mur permettent de me bien voir. Je m’assois sur le pouf au milieu des miroirs, couvert de fourrure, qui me pique un peu, et le tapis est au sol.
Sur une des parois du petit boudoir, il y a une grande fenêtre qui donne sur un beau parc sombre.
Une de femmes me met mon collier et mes bracelets à mes poignets et à mes chevilles, en compagnie d’un bel étalon cagoulé, nu, avec une cape, ganté, botté. Je ne cesse de regarde son mandrin nu et libre, puis le fouet de lanières de cuir passé à la ceinture. Mes carcans de cuir sont  faits en plusieurs épaisseurs de cuir, chaque épaisseur assez mince, au total pas plus d'un doigt, verrouillés par un système à déclic, qui fonctionne automatiquement comme un cadenas quand on le referme, et ne peut s'ouvrir qu'avec une petite clé. Dans la partie opposée à la fermeture des bracelets, pris dans le milieu des épaisseurs de cuir, et n'ayant presque pas de jeu, il y a un anneau de métal, qui donne une prise pour fixer, et qu'on positionne du côté intérieur du poignet. Pour le collier, l'anneau pend devant le cou, reposant sur la saillie des clavicules, et brinquebale au rythme des mouvements de celui qui le porte.
L’homme s’assoit à ma place sur le pouf de fourrure, et me fait approcher contre ses genoux, lui passe sa main gantée entre les cuisses et sur les seins
- Tu es présentée après un court repas seule. Mais avant, comme tu jouis, sur le fauteuil, je vais te fesser et tu vas porter des pinces à seins.
A quatre pattes, sur le pouf, il me donne des claques magistrales. Je mouille comme à chaque fois, sous les vingt-cinq fessées.
Il enserre mes mamelons tendus, chacun dans une pince qui serre au moyen d’écrous, avec une clochette qui tinte à chacun de mes pas. Je me retrouve mes mamelons allongés en déformant aussi mes seins vers le bas.
- Il faut sensibiliser tes seins et tes mamelons de pute anale.
Penchée en avant, cuisses écartées, mains menottées dans le dos, l’homme m’écarte bien les fesses brûlantes et m’encule jusqu’aux testicules. Mes seins tombent sous le poids des pinces ensuite le sang cesse de circuler, le téton devient froid et là je ne sens plus rien.
Il masturbe aussi mon gros clitoris. Je me retiens de jouir et il éjacule dans ma bouche. Je garde toujours les yeux baissés.
Je mange agenouillée, cuisses écartées sur le pouf, un bol de semoule, toujours nue, dans une sorte de petite cabine où une main invisible me tend les plats par un guichet.
Enfin, le repas fini, les deux femmes reviennent me chercher.
Dans le boudoir, elles fixent ensemble, derrière mon dos, les deux anneaux de mes bracelets.
Une femme avance devant elle et ouvre les portes, l'autre la suit et les referme. Elles traversent un vestibule, deux salons, et pénétrèrent dans la bibliothèque, où quatre hommes prennent le café. Ils portent des capes mais aucun masque.
Je garde mon bandeau sur les yeux. Deux mains descendent le long de ses fesses après avoir vérifié l'attache des bracelets : elles ne sont pas gantées, et l'une me pénètre de deux parts à la fois, si brusquement que je jouis.
Une main me prend un sein, une bouche saisit le mamelon de l'autre, pincé par la pince.
- Le mamelon est bien tendu sous la pince. Elle mouille, c’est bon signe.
Je me retrouve sans ménagement, menottée à un chevalet. Allongée sur le dos de la poutre, cuisses écartées, immobilisée. On me doigte longuement ma chatte, masturbe mon clitoris tendu et on me pose des pinces à mes petites lèvres, avec des clochettes comme pour mes mamelons.
Je dois sucer les mandrins que l’on me met en bouche.
Puis je suis libérée quelques instants, pour être offerte, le postérieur plus haut que la tête. Mes bras sont fixés le long des pieds avants, mes jambes le long des pieds arrières, et une large sangle m'est passée au niveau de la taille. Mes cuisses, légèrement fléchies sont empêchées de se resserrer par la largeur de la poutre, ainsi d'ailleurs mes fesses que je me peux refermer. Toute mon intimité est ainsi très accessible et on peut me faire tout subir.
- Elle n’a jamais été attachée, ni fouettée. Elle doit prendre plaisir à être attachée et fouettée, dit une des voix masculines. Son œillet manque encore d’assouplissement, malgré le gode Anal Désir qu’elle porte depuis quelques jours. Peu importe le nombre d’hommes qui l’ont enculée, elle le sera tous les jours au « Donjon », cette pute anale.
Je suis enculée par de gros mandrins de neuf centimètres de diamètre, sans répit, avalant leurs spermes en bouche, sans perdre une goutte avec mon bâillon anneau O.
Les clochettes tintent à chaque coup de rein et étirent davantage mes petites lèvres et mes mamelons tendus à l’extrême. Je ne sais si je dois jouir ou gémir. Le plaisir succède à la douleur.
On me laisse sanglée au chevalet. Soudain on m’enlève mon bandeau.
La grande pièce avec des miroirs et des glaces sur les murs est faiblement éclairée par une lampe sur une console.
Deux des hommes sont debout. Un autre est assis, une cravache sur les genoux, et celui qui est penché sur elle et me caresse le sein est un superbe étalon brun, prénommé Alban.
- Tu t’es donnée à nous quatre, ma pute anale. Au « Donjon », tu ne vois les visages de ceux qui te violent ou te tourment, mais jamais la nuit, et que tu ne connaîtras jamais quels sont les responsables du pire. Pour le premier jour, tu dois voir comme tu es fouettée, sans bandeau et que nous portons nos masques pour ne pas les distinguer.
Alban m’encule sauvagement, en entrant et sortant son gros mandrin muni d’une gaine à picots. Je mouille davantage, décuplant mon excitation sexuelle à mes mamelons et à mon clitoris davantage tendus.
Je reste menottée au chevalet.
On me montre la cravache, qui est longue et fine, de fin bambou gainé de cuir ; le fouet de cuir que le premier des hommes que j’ai porté à la ceinture est long, fait de six lanières terminées par un noeud ; une garcette, de cordes assez fines, faite de sept lanières terminées chacune par plusieurs nœuds, et qui sont toutes raides, trempées dans l'eau, en m’en caresse la chatte et la peau tendre de l’intérieur de mes cuisses, je sens combien les cordes sont humides et froides.
Les premiers coups de cravache sur mes fesses et l’arrière de mes cuisses me font mouiller. Je prends du plaisir à être humiliée, exposée, fouettée.
- Mais elle mouille, quand on la fouette, dit un des hommes. Elle aime ça, elle apprécie! Elle n'en a pas eu assez! Elle en redemande!
Entre deux séances de cravache et de garcette, je suis enculée profondément, la bouche remplie par un mandrin, pour étouffer mes râles de plaisir. Je dois tout avaler.
- Son œillet commence à s’ouvrir un peu plus, elle est brûlante.
Après quelques nouvelles sodomies et les fesses brûlantes et zébrées, ainsi que l’arrière de mes cuisses, on me présente une nouvelle boîte avec un nouveau gode réaliste avec une gaine à picots.
Mes fesses brûlantes sont écartées pour insérer le gode de trente-six par huit, montant à neuf avec la gaine. Je jouis dès qu’il est en place.
On me libère, chancelante et on me met ma ceinture de cuir, on cadenasse les chaînettes.
Je sens le prépuce réagir comme Anal Désir, mais celui-ci se prénomme Anal Vice.
- Son bassin ondule, elle l’a adoptée. Tu es ici au service de tes maîtres. A n’importe quelle heure de la journée, tu te prêtes. Ta bouche, ta chatte et ton œillet nous sont ouverts à tout instant, par le refus de te dérober, les lèvres entrouvertes, les cuisses écartées. Tu es nue, pour tu sois aussi fouettée qu’entre le coucher et le lever du soleil. On te fouette si lève les yeux sur celui qui te parle ou te prends : tu ne dois jamais regarder un de nous au visage. Ta bouche doit sucer et avaler le sperme de nos queues nues offertes. En outre, à la nuit, tu nous suces, menottée, nue. Tu es fouettée chaque jour, pour ton instruction, tout comme les sodomies. Tu es contrainte. A la sortie du « Donjon », tu portes un anneau de fer à l'annulaire, qui te fait reconnaître : tu es constamment nue sous tes tenues et si tu es indocile, tu rejoins ici. Entre son lever et le repas de midi, puis entre la tombée du jour où finit ton service et l'heure de la nuit, tu portes Anal Vice, pour rendre facile l’accès à ton œillet de pute anale. Prosternée, tu reçois un modèle plus épais pour t’écarteler l’œillet plus assoupli. Au repas du soir, tu portes Anal Vice, nue, et du fait des chaînettes et de la ceinture, tout le monde peut voir que tu le portes. Tu vas rejoindre ta cellule.
Je glisse mes pieds nus dans des mules à semelles surélevées et très hauts talons qu'une bande de satin empêche seule d'échapper au pied.
Je suis tenue en laisse par une chaîne de plus d’un mètre de long fixé à mon collier, les mains menottées dans le dos, par un des valets, nu sous sa cape, botté, avec son mandrin gainé de picots, aux testicules percés d’anneaux dorés. Les deux femmes m’accompagnent.
Les mules claquent sur les carrelages des couloirs, sans aucune porte qui les ferme.
- Tu es dans l'aile des vicieuses, et ton valet s'appelle Natacha.
- Je m'appelle Aimée de Dogue.
- Et moi Justine de Vices », dit la seconde.
La première reprend : « C'est le valet qui a les clefs, qui t’attaches et te détaches, te fouettes quand tu es punie et quand on n'a pas de temps pour toi.
- J'ai été dans l'aile rouge l'année dernière, dit Justine de Vices, Natacha y était déjà. Il vient souvent la nuit ; les valets ont les clefs et dans les chambres qui font partie de leur section, ils ont le droit de se servir de nous.
Au détour du couloir, je découvre un imposant étalon musclé, aux seins plantureux, au mandrin long de trente-six par huit, gainé de picots, aux testicules percés d’anneaux dorés, avec juste un gilet et des bottes. Lui aussi porte à la ceinture un fouet à lanière de cuir. Il sort un passe de sa poche de gilet, ouvre la porte et nous fait entrer les trois femmes en sa compagnie.
La cellule comporte en réalité deux pièces. L’accès au couloir, on se trouve dans une antichambre, qui ouvre sur la cellule proprement dite et à l’étage inférieur, se trouve la salle de bains.
Il y a la fenêtre. Les seuls meubles sont un chevalet et une croix de Saint-André, mais ni miroirs ni glaces et un tapis.
- Nous devons te faire prendre ton bain, dit Justine de Vices.
Les mains libérées, déchaussée, tenue en laisse par Natacha, je descends l’escalier en marbre, menant directement à la baignoire transparente, les parois sont entièrement revêtues de glace.
Mes mules sont rangées dans le placard.
Dans la baignoire, Natacha me fait accroupir, cuisses écartées, les bras tendus en l’air, menottée, l’anus libre d’Anal Vice, remplacé par la canule pour me laver à l’eau froide.
Les yeux baissés, la bouche entrouverte, sous le regard d’Aimée et de Justine, Natacha passe la grosse éponge sur mon dos et mes fesses, mes seins, faisant tinter mes clochettes ainsi que sur ma chatte, mon clitoris est tendu à l’extrême, excitée par la situation.
J’ondule le bassin, sous les jets d’eau froide dans mon anus.
- Tu aimes ça te faire enculer, pute anale. Tu mouilles beaucoup et ton clitoris est bien tendu.
Une fois propre, Natacha me sèche longuement, pelotant mes seins, glissant la serviette entre mes cuisses humides et m’enculant sauvagement quelques instants.
Aimée de Dogue sourit en partant, et Justine de Vices, avant de la suivre, caresse, à la pointe des seins, je reste debout à côté du chevalet, interdite.
A la réserve du collier et des bracelets de cuir, que l'eau a durcis quand je me suis baignée, et qui me serrent davantage, je suis nue.
L’homme me menotte au chevalet et me retire mes pinces à mes mamelons et les laisse à mes petites lèvres.
Le soleil est couché et je peux être fouettée à n’importe quel moment.
Mais Natacha me veut encore et m’encule longuement, jusqu’aux testicules, faisant tinter mes clochettes. Je me retiens de jouir.
L’anus entrouvert, Natacha m’abandonne, en caressant ma chatte humide qu’il doigte, masturbant mon gros clitoris.
Natacha m’abandonne.
Immobilisée, les mains menottées, je ne peux me masturber, ma chatte humide ouverte au premier venu. Je suis sereine, fouettée. Je m’endors.
Quelques instants après, un mystérieux sexe m’encule jusqu’au nœud et me fait jouir trois quart d’heure avec une longue éjaculation. Je dois sucer et nettoyer ce sexe.
Un sexe similaire prend le relais pour la même durée et un troisième, je suis pantelante, mais j’ai eu six orgasmes anaux violents. Mon anus dégouline de ce sperme inconnu.
Aux dernières heures de la nuit, quand elle est plus noire et plus froide, juste avant l'aube, Natacha me cravache par le travers des fesses, et me cravache à toute volée. Natacha recommence quatre fois, en prenant soin de cingler chaque fois ou plus, haut ou plus bas que la fois précédente, pour que les traces soient nettes.
Il me menotte à la Croix de Saint-André, face à lui et me cravache aussi le devant des cuisses, avant de me menotter à nouveau au chevalet pour finir ma nuit. Il m’enduit mon anus de miel.
Le tout a duré cinq minutes.
Avant l’aurore, mes trois amants mystérieux m’enculent encore jusqu’au nœud, avec plus de vigueur et je m’effondre, pantelante, à moitié évanouie, par les vagues de plaisir anal.
Aucune femme n'a les clefs, ni celles des portes, ni celles des chaînes, ni celles des bracelets et des colliers, mais tous les hommes portent à un anneau les trois sortes de clefs qui, chacune dans leur genre, ouvrent toutes les portes, ou tous les cadenas, ou tous les colliers.
Les valets les ont aussi. Mais, au matin, les valets qui ont été de service la nuit dorment, et c'est l'un des maîtres ou un autre valet qui vient ouvrir les serrures.

26 juin
L'homme qui entre dans ma cellule est habillé d'un blouson de cuir et d'une culotte de cheval, et bottes.
Il me passe la main entre les cuisses humides, me masturbe mon gros clitoris enduit par les gouttes et fait de même à mes mamelons saillants, gros et longs. Il regarde attentivement les marques sur le devant de mes cuisses. Puis il compare les traces fraîches aux fesses, avec celles de Natacha au dos des cuisses qui datent de la soirée.
Il m’encule sauvagement, avant de me mettre Anal Vices en place, cadenassé.
Il me libère du chevalet. Je découvre les yeux baissés, la bouche entrouverte, ondulant mon bassin sur le gode anal Aimée de Dogue et Justine de Vices, qui sont présentes avec un berger allemand, un doberman et un labrador. Il s’en va, les trois chiens restent assis, leurs sexes en érection. Je suis subjugué par leurs calibres. Sont-ils mes amants de la nuit ?
Assise sur le chevalet, cuisses écartées, je déjeune devant une table roulante qui a été amenée dans le couloir et porte du café, du lait, du sucre, du bain, du beurre et des croissants.
- Mange vite, dit Aimée de Dogue, il est neuf heures, tu peux ensuite dormir jusqu'à  midi, et quand tu entends sonner il est temps de t’apprêter pour le déjeuner. Tu prends ton bain et tu te coiffes, je te farde
- Tu es de service que dans l'après-midi, dit Justine de Vices, pour servir le café, les liqueurs. Ah ! nous sommes seulement chargées de toi pour les premières vingt-quatre heures de ton séjour, ensuite tu es seule et tu n'as affaire qu'aux hommes. Nous ne pouvons pas te parler, et toi non plus à  nous.
Alban entre nu avec un bel étalon bien monté, gainé à picots.
Les deux femmes partent.
- Alors, la pute anale, dit Alban, tu deviens aussi chienne pendant la nuit. Je vais te faire prendre en double pénétration pour te faire jouir. Tu es assez lubrifiée.
Le bel étalon me lèche la chatte et doigte mon anus libéré du gode anal.
Nue, je me fais baiser par l’étalon de sept centimètres, couché sur le dos, et Alban m’encule simultanément. Je me retiens de jouir.
Puis je m’encule sur Alban, tandis qu’il se trouve sur le dos et je suis de dos, toujours avec les jambes ouvertes je reçois l’autre dans ma chatte, doublement inondée, telle une pute.
L’autre étalon m’encule, par derrière, en me soutenant, tandis qu’Alban me défonce la chatte simultanément. Je l’entoure de mes jambes, doublement pénétrée.
Allongé sur le dos, l’autre étalon me baise, tandis qu’Alban m’encule.
Pantelante, Alban me remet le gode en place.
Devant les deux hommes, je dois me baigner en leur présence, accroupie, cuisses écartées, la canule insérée dans mon anus.
Je me retiens de jouir.
Nue, pieds nus, je suis menottée à la Croix de Saint-André, dos aux deux hommes, l’anus libre, attendant jusqu’à midi. Ils me fessent jusqu’à rougir mes fesses, tout en m’enculant sauvagement. Je mouille davantage.
A midi, l’autre étalon repart.
Alban me libère de la Croix Saint-André après m’avoir annoncé :
- Tu es désormais mise en commun avec tous les hommes du « Donjon », soumise à eux, telle une pute anale. C'est parce qu'il t'est facile de consentir que je veux de toi ce à quoi il te sera impossible de consentir, même si d'avance tu l'acceptes, même si tu dis oui maintenant, et que tu t'imagines capable de te soumettre. Tu ne pourras pas ne pas te révolter. On obtiendra ta soumission malgré toi, non seulement pour l'incomparable plaisir que moi ou d'autres y trouverons, mais pour que tu prennes conscience de ce qu'on a fait de toi. On t'a dit hier que tu ne devais, tant que tu serais dans ce château, ni regarder un homme au visage, ni lui parler. Tu ne le dois pas davantage à moi, mais te taire, et obéir. Je t'aime. Tu n'ouvre désormais ici la bouche, en présence d'un homme, que pour crier ou sucer.
Libre, je descends à la salle de bains. Le valet me menotte comme Natacha, pour me baigner à l’eau tiède. Il m’encule devant Alban, à la sortie du bain, en me séchant.
Je farde ma bouche, non mes yeux, me poudre, et toujours nue, mais les yeux baissés, reviens dans la cellule.
Justine de Vices m’attend avec ma robe de vicieuse.
Le corset est durement baleiné, long et rigide, comme au temps des tailles de guêpes, et comporte des goussets où reposaient les seins. A mesure qu'on serrait, les seins remontaient, s'appuient par-dessous sur le gousset, et offrent davantage leurs mamelons tendus. En même temps, la taille s'étrangle, ce qui fait saillir le ventre et cambrer profondément les fesses.
Le corset est intégré à la robe seins nus, dans le corsage échancré en trapèze, de la base du cou jusqu'à la pointe et sur toute la largeur des seins. Le corset est lacé par un double nœud. La jupe est largement fendue devant juste au-dessus du pubis entièrement dévoilé et l’arrière de la jupe est fendue pour dénuder les fesses, sans l’ouvrir. Je remets mes mules et je garde mes cheveux libres.
Alban me doigte la chatte, masturbe mon clitoris par l’ouverture et pelote mes seins. Je me retiens de jouir devant Justine de Vices. Penchée en avant, les mains sur le chevalet, il m’encule sauvagement et me fait sucer son mandrin jusqu’à la dernière goutte.
Je suis tenue en laisse par une chaîne de plus d’un mètre de long fixé à mon collier, les mains menottées dans le dos, par un des valets, nu sous sa cape, botté, avec son mandrin gainé de picots, aux testicules percés d’anneaux dorés. Justine m’accompagne.
Nos mules claquent sur le carrelage. Nous entrons dans une antichambre dallée de marbre où, devant une porte en fer forgé qui se découpe sur de hauts rideaux, deux autres valets attendent, deux dobermans bruns à leurs pieds.
Il claque dans ses doigts. « À quatre pattes. Par terre. Tout de suite ! Toi, la chienne Shawn, fais comme Justine de Vices, dénudez vos fesses.
Sans attendre, les deux dobermans nous enculent jusqu’au nœud, d’une seule traite. Mes orgasmes sont étouffés en suçant les trois valets.
Le second doberman, Apollo, m’a enculée pendant la nuit et m’encule aussitôt qu’il a fini avec Justine de Vices.
- Hadès, tu aimes défoncer l’œillet de Shawn, elle est mieux que Justine de Vices.
Pantelante, de mes orgasmes, je suis relevée, l’anus dégoulinant de spermes canins, ma bouche remplie du sperme des trois valets.
Je rejoins le réfectoire, totalement nue, à la demande d’un des valets. La salle est dallée, avec une table longue aussi, en verre épais, et je dois m’asseoir sur un tabouret rond recouvert de cuir. Je dois m’empaler sur le gode anal canin, enculée sous mon propre poids, cuisses écartées. A la sortie du « Donjon », je suis vêtue comme tout le monde, mais les fesses nues sous mes tenues, relever à chaque fois ma jupe pour m'asseoir, à même la banquette d'une auto ou d'un café, c'était le « Donjon » que je retrouve, les seins offerts dans les corsets de soie, les mains et les bouches à qui tout est permis, et le terrible silence.
A la fin du déjeuner, je suis longuement enculée par le valet de permanence et fessée, profitant de mon anus entrouvert et lubrifié.
Je suis conduite, nue, en mules, tenue en laisse à la pièce où j’ai été présentée hier soir. Deux hommes regardent mes fesses marquées. Il y a trois valets avec chacun, le berger allemand, Adam, le doberman, Hadès et le labrador, Arès, qui me sont destinées.
Pendant que je fais le service seule, je suce les deux hommes, tandis qu’à tour de rôle, je suis enculée par les chiens. Cela étouffe mes râles de plaisir, car tout le monde sait que je connais des orgasmes avec mes amants canins, mieux que certaines soumises du « Donjon ».
A la tombée du jour, jusqu’à la heure de la nuit, comprenant mon bain, je porte à nouveau Anal Vices, pour m’assouplir. Les saillies anales canines m’écartèlent aussi et mon anus s’habitue rapidement à leurs sexes.
Je retrouve le soir, nue, en mules, l’anus libre, la pièce, pour jouir, enculée par les chiens, baisée simultanément par les invités, qui me fouettent aussi et aussi qui m’enculent quand les chiens se reposent.

1er juillet
Encore menottée au chevalet, vers neuf heures, je reçois la visite de Désiré, qui enfonce jusqu’à trois doigts dans mon anus encore entrouvert des saillies anales canines de la nuit.
- Elle est bien ouverte et assouplie comme exigé par le « Donjon ». C’est devenue une soumise docile, pute anale et chienne, comme tatouée sur ses reins « P C A avec une cravache entrecroisée à un S ». Les marques sur ses cuisses, ses fesses et ses mamelons et son clitoris constamment tendus sont parfaits. Son gros clitoris est percé d’un anneau doré avec une pierre précieuse, elle sera peut-être ferrée et marquée un jour ou l’autre.
Silencieuse, les yeux baissés, j’écoute Désiré, qui confirme :
- Sa bouche de suceuse, ses mamelons étirés par les pinces à seins, les lèvres de sa chatte étirées aussi, son écrin et son œillet constamment pilonnées à plaisir, l’ont doublement ouverte, telle une prostituée digne. Je te ramène.
Un valet me libère du chevalet. Je me baigne devant Désiré. Il remarque en détail mes reins et mes fesses. Il passe les doigts sur les nombreuses traces du fouet, plus ou moins estompées selon leur ancienneté.
A la sortie du bain, fardée et parfumée, je suis libérée des carcans par un des hommes. Je reçois ma bague pour mon annulaire gauche, sertie d’un petit anneau.
Je revêts ma nouvelle tenue : une robe pour le grand soleil composée d'une jupe éventail, qui se retrousse d'un geste, mais toujours à corselet montant jusque sous les seins, et portée avec un boléro fermé au cou. Il suffit d'enlever le boléro pour que les épaules et les seins soient nus, et sans même enlever le boléro, de l'ouvrir, si l'on désire voir les seins. J’aime de plus en plus avoir les seins, les fesses, la chatte accessibles. Je garde ma toison pubienne et ma chatte velue. Je porte désormais un bijou d’anus de six centimètres de diamètre, lourd et long, moulé sur le devant du sexe d’un doberman, pour prouver que je suis chienne.
Je chausse des mules sans plate-forme à talons de douze centimètres. Je laisse mes cheveux libres.
Nous traversons l’antichambre et prenons l’ascenseur au rez-de-chaussée.
Vers 11 heures, nous montons au huitième étage de l’immeuble. Désiré pelote mes seins, que je dénude, en retirant mon boléro, ma chatte, mon gros clitoris, sans me faire jouir.
Les portes de l’ascenseur s’ouvrent sur un grand bureau, avec une piscine intérieure.
Un bel athlète du triple de mon âge, nous attend.
Les yeux baissés, la bouche entrouverte, je reste debout devant son bureau.
- Ca y est, enfin, la Pute Chienne Anale est sortie du « Donjon », docile, doublement ouverte, fouettée et enculée à souhait. Déshabille-toi et caresse-toi la chatte et ton œillet.
J’obéis, retirant mon bijou d’anus, les deux hommes m’observent, commentent. Je me retiens de jouir, puis je dois continuer, en suçant le gros mandrin de Sir Donatien de Sade, un Britannique, francophone, de six de diamètre.
- Sa bouche est bien dressée. Je vais l’enculer, elle est bien lubrifiée.
Je m’empale sur lui, enculée. Il est allongé sur le dos, mes mains sont accrochées à ses épaules. Je suis enculée jusqu’aux testicules, Désiré étire mes mamelons tendus, pour décupler mon plaisir anal.
- Elle est bien ouverte de l’œillet. Tous les calibres des hommes qui la désirent vont la satisfaire, comme ma secrétaire personnelle. Elle loge dans l’immeuble. Si elle est indocile, je peux la renvoyer au « Donjon ». Retiens-toi de jouir, Pute Chienne Anale Shawn.
Mon clitoris tendu et percé frotte contre le pubis de Sir Donatien de Sade, m’excite davantage, sans le vouloir.
Il éjacule dans mon anus. Je me retire, remet mon bijou d’anus et attends debout.
Je découvre mon bureau, dans le hall du couloir du huitième étage, entièrement transparent. J’ai uniquement accès aux toilettes pour hommes, pour uriner debout, comme un homme et être enculée par les hommes qui s’y rendent.
Je rédige diverses fiches sans connaître l’idée des personnes citées, qui sont des soumises du « Donjon », en informatique avec des scènes racontées réelles, qui me font mouiller. Je bois des verres de jus de fruits mélangés à des excitants sexuels pour me contraindre à me soulager.
Assise, cuisses écartées, discrètement filmée par des caméras dans le bureau, aux toilettes et chez Sir Donatien, j’ai droit à un visionnage de mes scènes au « Donjon », pour me relaxer, sans me masturber.
Ma mouille abondante plait à Sir Donatien.
Vers 13 heures, je peux me restaurer, agenouillée, cuisses écartées, nue, dans le bureau de Sir Donatien, mangeant avec les doigts. Les morceaux de viande, de légumes et de fruits sont passés longuement dans ma chatte avant de les manger, pour que je m’habitue au goût de ma chatte.
Ce n’est qu’au coucher du soleil, que je peux me rhabiller, après une douche rapide, dans une petite salle de bains à côté des toilettes pour femmes.
Fardée, parfumée, je rejoins ma chambre, qui se trouve au dixième étage. Je ne suis pas seule, d’autres femmes y logent, nues, menottées à leurs lits, enculées et baisées par de puissantes machines à godes réalistes.
Nue, les bras et les jambes écartées, je suis offerte à une machine, d’abord allongée sur le ventre, un coussin sous mon bassin. Un gode réaliste remplit ma bouche, pour étouffer mes râles.
La vitesse des va-et-vient est gérée par ordinateur, en cadence simultanée ou alternée. Une femme cagoulée, en guêpière seins nus et cuissardes, vient me cravacher les fesses, les reins et le dos, pendant mes orgasmes.
Ensuite, au bout d’un temps indéfini, je suis enculée par un transsexuel très bien monté, avant d’être prise par la machine, mais couchée sur le dos, l’intérieur des cuisses sont cravachées et je reçois toujours un gode en bouche.
Vers 20 heures, je suis douchée, fardée et parfumée, avec mon bijou d’anus, habillée de ma robe à corselet, en mules, coiffée d’une queue-de-cheval. Je suis conduite par la limousine de Sir Donatien, conduite par Désiré, sur les hauteurs de la ville, à deux heures de route. La villa est très sécurisée, avec des maîtres-chiens.
Désiré nous dépose devant la grille. J’entre nue, en mules, sans ma robe, avec mon collier de cuir, tenue en laisse par Sir Donatien.
Je suis une soumise offerte dans une grande pièce SM, avec chevalet, croix de Saint-André, balançoire, suspendue dans le vide, où je passe des heures, les yeux bandés, livrée aux invités hommes et femmes, certains viennent avec leurs chiens, pour regarder mes saillies.
Chaque client paye un droit d’entrée, versé dans une cagnotte en bois. Je ne connais pas les tarifs de ma soirée SM.
On me complimente sur mon comportement de chienne, de pute anale, de soumise docile et surtout de suceuse experte.
Je dois retarder au maximum mes orgasmes, dédiés uniquement aux saillies.
Jusqu’à l’aube, je passe l’abattage.
Sir Donatien est fier de moi.

2 juillet
A l’aube, Sir Donatien m’encule en dernier et me fouette personnellement.
Je me repose à la villa, nue, menottée au chevalet.
Vers 9 heures, je suis libérée, déjeune et je prends mon poste à l’immeuble, conduite par Désiré. Je porte mes pinces à seins espacées dans la journée, ainsi qu’à mes petites ou grandes lèvres selon mon excitation.
Le rituel reprend pendant cinq jours et je passe mes nuits à la villa.
Je signe mon contrat qui fait de moi, la soumise exclusive de Sir Donatien.
Hadès vient m’enculer au bureau.
Je prends toujours mes repas au bureau, jamais au restaurant. Seuls les clients de Sir Donatien ont ce privilège. Je dois juste sucer ses clients et me faire fouetter par eux.
Des vidéos sont diffusées sur mon ordinateur pour m’exciter davantage, où je prends du plaisir sans me masturber, mon anus est tellement sensible que je jouis rapidement.
Je dois choisir mes amants pour mes soirées dans ma chambre. Menottée, je suis livrée à leurs désirs SM, fouettée des épaules jusqu’aux cuisses, dans le dos et sur le devant de mes cuisses.
Mon salaire journalier est augmenté par mes prestations nocturnes, avec un pourcentage.
Tous les hommes du huitième étage connaissent mes penchants sexuels SM.

5 juillet
Sir Donatien me confie à une amie sexologue, à propos de mon goût de collection des hommes, pour satisfaire mes besoins sexuels.
Je m’y rends vers 8 heures, après une douche rapide à l’eau froide, fardée et parfumée, avec mon tailleur sans chemisier, ni soutien-gorge, ni string, mais une guêpière seins nus, faite sur mesure. Elle est tenue rigide par de larges baleines très rapprochées, courbées vers l'intérieur au ventre et au-dessus des hanches, sans jarretelles. Le busc, sur un côté derrière, permet de boucler et de déboucler. Par-derrière aussi, un large laçage se serre ou se desserre à volonté. Je sens ma taille et mon ventre se creuser sous la pression des baleines, qui sur le ventre descendent presque jusqu'au pubis, qu'elles dégagent, ainsi que les hanches. La guêpière est plus courte par-derrière et laisse la croupe entièrement libre. Je chausse mes mules et je me coiffe d’une queue-de-cheval. J’ai mis mon plus gros bijou d’anus pendant la nuit, long de dix par six.
Désiré me dépose devant un hall d’immeuble discret, à une heure de route de chez Sir Donatien.
- Voici, la fameuse chienne Shawn, dois-je t’appeler soumise chienne S, comme l’exige ton Maître.
Les yeux baissés, la bouche entrouverte, je ne réponds pas. La sexologue est juste en guêpière seins nus, intégralement épilée, les grandes lèvres percées d’anneaux dorés, coiffée d’un chignon, en mules à très hauts talons, fardée et parfumée.
- C’est vrai, tu as interdiction de parler, même en présence d’une femme, ma chienne.
Nous entrons dans son cabinet.
Il y a un fauteuil gynécologique, une douche transparente, un divan cambré.
- Déshabille-toi, ma belle. Je veux voir ton corps de soumise. Orchidée va nous seconder.
Nue, je ne cache pas mon corps. Elle me pelote les seins, mesure l’ouverture de ma bouche, ma chatte et mon anus libéré du bijou d’anus. Orchidée me toise, en masturbant son imposant mandrin de trente-trois par sept.
- Tu mouilles d’excitation, ton clitoris et tes mamelons sont constamment tendus. Tu désires Orchidée, patience ma belle chienne.
J’ai droit à un lavement anal et une douche rapide devant le couple.
- Tu as le droit de te masturber, avant de t’allonger sur le divan cambré.
Le divan épouse mon corps, en offrant une cambrure de mes reins, cuisses écartées. Mes poignets sont menottés, ainsi que mes chevilles.
La sexologue me doigte l’anus avec un jusqu’à trois doigts.
- Tu es une sacrée chienne pour recevoir jusqu’à trois doigts. Alban, t’as bien assoupli, incestueuse.
Elle me prends la température de ma chatte, mon anus et ma bouche.
- Tu es chaude. Orchidée, elle est pour toi, regarde un peu ses seins, chienne.
Ce sont des seins plantureux que je découvre, comme Natacha. Ses testicules sont percés d’anneaux dorés.
Orchidée m’encule d’une seule traite et me parle en thaïlandais, pour m’insulter et me fesse magistralement.
Je dois retarder mon orgasme anal. Orchidée sait comment me faire jouir.
Avant mon orgasme, Orchidée éjacule dans mon anus et je dois la sucer.
Mon anus éjacule un peu de sperme, avant la remise du bijou d’anus.
- Tu es docile, chienne soumise S. Orchidée t’a bien enculée.
Puis d’autres inconnus m’enculent et me fessent, tandis que j’ai les yeux bandés, menottée au fauteuil gynécologique, sans répit, éjaculant en moi.
Le tout dure une éternité.
Vers 11 heures, Orchidée me retire le bandeau tandis que je le suce, la bouche remplie de spermes que j’ai du avaler.
- Tu es une sacrée vicieuse, suceuse à souhait. Ton puits est un lieu de délice. Tu vas te doucher et te rhabiller, chienne docile S.
Je retiens le sperme qui dégouline de mon anus entrouvert et je me douche devant le couple.
Attends, on se voit encore trois fois, le 6 à 8 heures, le 7 à 18 heures et le 8 à midi, c’est exceptionnel.
De retour au bureau, nue, avec mon bijou d’anus, je dois me confesser par téléphone à Sir Donatien de ma séance chez la sexologue, prénommée Hermine.
Sir Donatien m’avoue :
- Hermine est une ancienne soumise reconvertie. C’est une très belle vicieuse, elle n’est pas ferrée, car c’est ma première épouse. Toutes tes séances sont déjà payées d’avance, en plus des pourcentages pour tes ébats sexuels chez Hermine.
Je dors très mal le soir, enculée régulièrement par le transsexuel et Hadès, qui décuple mes orgasmes et m’inonde largement l’anus.

6 juillet
Vers 8 heures, j’arrive ponctuelle au rendez-vous, malgré une courte nuit. Je porte juste ma guêpière seins nus, mes mules et coiffée d’une queue-de-cheval, c’est tout.
- Tu t’es faite saillir cette nuit. Très bien, mes amis vont adorer, ton côté chienne.
Nue, je suis menottée au chevalet, longuement cravachée sur les fesses et les cuisses par Orchidée, pour me préparer.
Les yeux bandés, je suis offerte à des inconnus, qui m’enculent, me cravachent et éjaculent dans ma bouche offerte.
Il me semble plus nombreux que la veille.
Je reconnais le sexe d’un berger allemand, d’un doberman, d’un labrador et un nouveau sexe, un dogue allemand, un très gros, le plus imposant des sexes canins pour m’écarteler davantage et tous éjaculent en moi, attachée par le nœud.
Je les suce aussi.
Vers 10 heures, je suis libérée.
- Minute, nous avons encore une heure à occuper. Je vais te faire encore saillir par les chiens. Une heure devrait suffire pour te faire jouir violemment, ma chienne soumise.
Les saillies sont plus courtes et jouissives. Le dogue allemand me baise jusqu’au nœud et j’explose rapidement, mon clitoris est tendu à l’extrême, frottant contre la poutre du chevalet. Je m’évanouis.
Quand j’émerge, je suis menottée au lit de ma chambre de l’immeuble de Sir Donatien.
- Quelle jouisseuse, tu as pris une telle dose de plaisirs, que le dogue s’est retiré, tu t’es évanouie. Tu te reposes, tu vas manger, tu dois avoir faim.
Je suis nourrie par le transsexuel, entre deux fellations.
Je reprends le travail en rédigeant mes mémoires depuis ma double défloration jusqu’à mon instruction au « Donjon », avec tous les détails, mes émotions.
Vers 20 heures, alors que je suis encore au travail, Sir Donatien vient me voir.
- Tu rattrapes ton retard de ce matin. Tu es excusée. Va te faire belle, je te conduis au restaurant, Hermine et Orchidée et un ami nous attendent. Tu mets ta robe à corselet, ton boléro, ton bijou d’anus canin, tes mules, chignon obligatoire. Tu as une demi-heure pour être prête, fardée, parfumée et tu enduis ton œillet de miel.
Une fois prête, nous prenons la limousine et allons à un restaurant discret, en bord de fleuve, à une heure de route de l’immeuble.
Je suis assise cul nu, les seins pelotés par Sir Donatien et je porte mes pinces à clochettes à mes mamelons tendus. Je me retiens de jouir.
A l’entrée du restaurant, j’attire les regards, car nous mangeons en terrasse. Je n’ose retirer mon boléro. Tout le monde est intrigué par les tintements de mes clochettes.
- Shawn est excitée, c’est normal, cette soumise a besoin de jouir en solo, dit Sir Donatien.
- Elle aime être humiliée, exhibée, telle une soumise bisexuelle, bien doublement, ouverte, comme cela est écrit sur sa carte de visite, dit l’homme. Au fait, je suis le Marquis Brice de Double Sévices, pour les connaisseurs. J’ai éduqué Hermine, Orchidée, ma chère Shawn, soumise docile du « Donjon ». Tu vas te mettre sous la table et me sucer, pendant que je te nourris. Nous allons partager tes plats qui ont été déjà commandés.
J’obéis.
- Quelle bouche, j’espère que son écrin et son œillet sont aussi accueillants.
- Marquis, cette soumise est à bonne école avec Hermine.
- J’oublie, le rendez-vous du 7 à 18 heures pour Shawn est décalé à 22 heures, après une après-midi en votre compagnie Marquis et Sir Donatien, annonce Hermine.
- Du calme, retiens-toi de me faire jouir, ta bouche est chaude, annonce le Marquis.
Je mange, nourrie sous la table et je continue à sucer.
Avant le dessert, le Marquis me conduit aux toilettes, pour que je puisse me soulager. Je dois pisser debout, enculée sauvagement par le mandrin du Marquis, trente-six par neuf et il inonde largement mon anus écartelé, mes fesses sont brûlantes par les claques magistrales et je dois subir l’assaut de trois autres clients que je suce à tour de rôle.
Il me remet le bijou d’anus en me disant :
- Tu es donc une vraie chienne. Tu préfères le berger allemand, le doberman, le labrador, le dogue allemand. Tu dois en préférer un, qui me donne beaucoup de plaisir.
- J’aime beaucoup le doberman, Maître.
- Donc, un ou plusieurs dobermans te feront plaisir prochainement, chez un ami.
Lors du dessert, où je suis assise cul nu, Hermine annonce :
- L’œillet de Shawn est bien assoupli, surtout quand elle se fait monter.
- Oui, Maîtresse, je suis votre chienne et celle du Marquis et de Sir Donatien.
- Mais tu es aussi une pute anale pour les hommes qui te désirent, n’est-ce pas ?
- Je suis une pute anale et chienne soumise, Maîtres.
- Elle connaît son rôle par cœur, dit le Marquis.
Nous payons l’addition.
Avant de partir, le restaurant possède un accès à un club privé SM.
Nue, je fais l’objet de séances de cravache, de garcette et de longues sodomies, tout en gardant mes pinces à mes mamelons ainsi qu’aux grandes lèvres humides de ma chatte, à la merci des Maîtres présents, docile et silencieuse, ouvrant ma bouche pour jouir ou gémir.
Nous y restons jusqu’à l’aube. Les clients se succèdent sans répit pour moi. Hermine et Sir Donatien se relaient pour me soumettre et le Marquis encule devant moi Orchidée, dont je dois sucer les testicules pendant toute la sodomie d’Orchidée.

7 juillet
A l’aube, nous sortons du club privé SM. Je tente de trouver le sommeil dans le lit personnel de la villa de Sir Donatien. Sir Donatien tient à m’enculer dès qu’il est en érection avec interdiction de jouir.
Je reste la journée à me reposer chez lui, nourrie, menottée au lit, nue, cuisses écartées par une barre d’écartement, livrée aux sodomies du personnel masculin, que je suce et j’avale. Je suis douchée à l’eau froide avec un long lavement.
Vers 20 heures, Désiré me conduit non pas au cabinet d’Hermine, mais dans un lieu secret, isolé, les yeux bandés, nue, avec mon bijou d’anus canin en place.
Quand on me retire le bandeau, je suis menottée nue, à un chevalet, l’anus libre, enduit de miel, en compagnie d’autres femmes nues, saillies par des bergers allemands, des labradors, des dogues allemands, des malinois et des colleys. Quand à moi, je suis enculée par mon premier doberman, prénommé Apollo, jusqu’au nœud et la saillie dure trois quart d’heure, largement inondée.
L’éleveur me nourrit et me fait boire. Hermine, Orchidée, le Marquis et Sir Donatien m’observent en mangeant. Les commentaires qualifient ma saillie, mes râles de plaisir et surtout le diamètre du nœud.
Hannibal, Cœur de Lion et Arès m’enculent aussi, entre trois quart d’heure à une heure, mais vient ensuite le berger allemand Conan, le labrador Atlas, le malinois Marquis, le colley Prince et le dogue allemand Lancelot pour m’achever, tous me donnent beaucoup de plaisir. Je manque à m’évanouir.
Le quatuor est satisfait de mes prouesses.
L’éleveur m’encule aussi et je le nettoie, son mandrin de trente par huit me comble.
Je passe la nuit au chenil, faisant mes besoins à quatre pattes, en compagnie de mes amants canins, qui me lèchent la chatte et le clitoris en retour, tenue en laisse par mon collier.

8 juillet
Vers 9 heures, je me présente au bureau, nue, en mules, les cuisses et les fesses zébrées par la garcette de l’éleveur.
- Voici, ma chienne soumise S favorite, tu es une sacrée jouisseuse anale. Tu deviens une experte anale. Je vais t’augmenter. N’oublie pas tu à rendez-vous à midi avec Hermine, Orchidée et un ami, au restaurant de l’immeuble. Robe à corselet sans boléro, de rigueur, mules à très hauts talons, queue-de-cheval, avec ton collier de cuir, tes pinces à seins aux mamelons et à tes grandes lèvres, fardée et parfumée, tu peux prendre ta douche maintenant.
Je me prépare comme convenue. Je suis encore excitée des saillies canines. L’éleveur a bien choisi mes amants canins.
A 11 h 50, je me présente au restaurant au neuvième étage de l’immeuble. Hermine, Orchidée sont présents avec un bel Apollon du triple de mon âge.
- Voici, la pute anale chienne soumise S, comme je dois t’appeler. Je m’appelle Baron Sacha Maso Désir. Tu me montres du respect, en baissant tes yeux, ta bouche ouverte. Tu aimes être exhibée, tu es servie. Tous les clients sont là, pour voir tes qualités. Penche-toi en avant, sans ton boléro, les mains sur la table, jupe relevée, cuisses écartées.
En position, il remarque :
- Tu n’es pas encore chiffrée et ferrée. Cela se réalisera prochainement, selon les vœux de ton Maître et de ta Maîtresse Hermine. Quel puits offert, tu t’es faite saillir il y a peu.
Il m’encule profondément avec son mandrin de trente-huit par sept, jusqu’aux testicules.
- Quel plaisir de t’enculer, tu es bien chaude. Retiens-toi juste de jouir, puis tu me nettoies ensuite, avant de manger. Tu es encore plus resplendissante que des vidéos que j’ai vu de toi.
Il me donne quelques claques magistrales. Les clients me regardent avec un certain plaisir. Je suis au bord de l’orgasme anal, quand le Baron se retire. Mes clochettes tintent à mes mamelons étirés vers le bas et entre mes cuisses humides.
Je le suce, accroupie, cuisses écartées, j’avale tout.
- Tu es une future actrice de films SM, doublement ouverte, une bouche bien dressée et adepte des saillies canines.
Pendant le déjeuner, le Baron ne cesse de regarder mon visage, mes mains avec ma bague à mon annulaire gauche, mes seins dont il me complimente pour les fards et leurs tensions maximales sous les pinces à seins.
Nous payons, mais avant, le Baron me fait enculer par d’autres clients, des amis du Maître. Je dois m’offrir à quatre pattes, la jupe relevée, suçant les mandrins qui m’ont enculée ou qui vont m’enculer. J’avale tout.
Cette série de sodomies, les fesses brûlantes, m’a mis dans un état d’excitation sexuel avancé.
Nous retrouvons le bureau du Marquis.
- Tu sais, ta pute anale, à des qualités comme actrice de films SM. Je connais des producteurs pour la faire tourner, annonce le Baron. C’est sa voix, elle connaît son rôle par cœur. Quelques chiens, des sexes bien montés, des transsexuels et des amants inconnus, pour la prendre par la bouche, l’écrin et l’œillet de pute. Voici son contrat, elle a juste à le signer de « P C A soumise S ».
Je le signe, les yeux baissés, avant une longue double pénétration debout avec les deux hommes, qui éjaculent en moi et dans ma bouche.
Un producteur va te contacter prochainement. Ton agenda sera le sien, en accord avec ton Maître.
Je passe trois jours et trois nuits sans aucun rapport sexuel, par un homme, ni par un chien ni par des godes, pour me frustrer sexuellement.

12 juillet
Au lever du soleil, douchée, fardée et parfumée, dans ma robe à corselet, sans mon boléro, en mules, les cheveux libres, avec mes carcans de cuir, mon collier et mes bracelets à mes poignets et à mes chevilles, avec mon gros bijou d’anus, je retourne la villa du rendez-vous du 1er juillet.
Le sous-sol abrite les pièces SM. Dans les autres pièces, se trouvent entre cinq à six étalons bien montés, nus, cagoulés, certains portent des anneaux dorés aux testicules et d’autres des gaines à picots. Quant à moi, ma chatte a été épilée pendant trois jours, pour qu’elle soit lisse, tout en gardant ma toison pubienne. Je porte aussi à mes grandes lèvres et à mes petites lèvres de ma chatte, un anneau doré à chacune, en plus de mon gros clitoris percé, mis en valeur par ma chatte épilée.
Je plais aux étalons lors de ma présentation, tenue en laisse, par ma chatte, nue, déchaussée, les yeux laissés, l’anus libre. Le producteur m’écarte bien les fesses pour exhiber mon anus encore entrouvert, racontant mes prouesses sexuelles surtout canines.
C’est un bel étalon musclé du double de mon âge, bien monté, accompagné d’un cameraman et du réalisateur, le frère jumeau du Baron.
Dans la première pièce, un grand salon, je suis prise par les étalons, en double pénétration, avec éjaculation dans ma bouche et sur mes seins, plus quelques sodomies avec les gaines à picots. Mes fesses sont brûlantes par les claques magistrales.
Pantelante, je passe à la salle de bains, entièrement recouverte de glaces et de miroirs sur les murs et au plafond, menottée, accroupie comme au « Donjon », subissant l’assaut des étalons, dans ma bouche, mon anus et ma chatte sans répit.
A la chambre entièrement elle aussi de glaces et de miroirs sur les murs et au plafond, je me retrouve les poignets menottés au lit, sur le dos, cuisses écartées, puis sur le ventre, prosternée, enculée sans répit, suçant et avalant.
On achève sur la terrasse, sur un chevalet, offerte à l’ensemble des étalons, qui me baisent, m’enculent, me fessent selon leurs envies et j’avale leurs spermes.
Je suis à moitié évanouie par mes orgasmes violents que j’ai gardé, jusqu’à la terrasse, comme exigé par le producteur.
Les étalons sont satisfaits de moi. Nous mangeons ensemble, après une longue douche froide et une canule d’eau froide pour mon lavement anal.
Je me repose nue, dans la chambre.
Le producteur prénommé James, m’encule pendant plus d’une heure, dans diverses positions, menottée au lit. Son mandrin de quarante par sept me remplit et je tente de retarder mon orgasme, mais la masturbation de mon gros clitoris et l’étirement de mes mamelons tendus, m’achève, en pleine éjaculation de James.
- Tu es sacrément chaude, les étalons t’ont bien rempli ton écrin, ton œillet et ta bouche bien dressée. Tu aimes ça, pute anale. Je vais augmenter ton cachet.
Le réalisateur, Sexe Eros, profite de mon anus encore béant, pour m’enculer lui aussi, uniquement prosternée, pour mieux me fesser, tout me filmant.
- Ma grosse queue te remplit bien ton puits de pute anale. Tu es une sacrée jouisseuse.
- Encule-moi à fond. J’ai l’œillet en feu.
- Du calme, ma belle, tu jouis quand je t’autorise. Je dois te fouiller à fond. Tes fesses sont rougies par mes claques magistrales.
- Je suis votre soumise, envoyez-moi votre sperme dans mon puits de pute.
Un violent orgasme anal combiné à une éjaculation me comble ainsi que Sexe Eros. Je suis officiellement admise au club très fermé.
J’enchaîne trois jours de tournage intense, avec le dernier jour, une après-midi SM, où menottée au chevalet, je suis longuement fouettée par une partie des acteurs, avant de longues sodomies avec des gaines à picots.
J’ai droit à un jour de repos, sans aucun rapport sexuel avec des hommes, mais avec Apollo, Hannibal, Cœur de Lion et Arès. Je bois beaucoup de mélange pour accroître mon appétit sexuel.
Ces saillies anales canines sont aussi filmées et rajoutées au film. Je finis à moitié évanouie par mes violents orgasmes donnés par mes amants canins.

17 juillet
A l’aube, je reçois la visite du Baron, de Sir Donatien, à la villa. Je suis encore menottée à mon lit, nue, la chatte entrouverte, l’anus aussi, mon clitoris et mes mamelons sont constamment tendus, je mouille abondamment.
- Tu t’es donnée au maximum de ta jouissance, P C A, annonce le Baron. James et Sexe Eros en ont eu pour leur argent. Ton cachet va monter. Ton album photo va prendre du volume pour le prochain réalisateur et le studio de production.
- Des chiennes jouisseuses sont rares dans le milieu. Tu es encore plus resplendissante, humiliée, exhibée, docile, soumise, pute anale et surtout tu es ma protégée, annonce Sir Donatien en m’embrassant langoureusement.
Les deux hommes m’enculent à tour de rôle, sans me donner du plaisir et je les nettoie.
James nous rejoint.
- Satisfait de sa prestation, messieurs, elle va devenir plus vicieuse prochainement. Un haras recherche des putes pour se faire baiser par des sexes de superbes étalons reproducteurs, pour les changer des juments. Sa chatte est bien large pour les recevoir.
James sort un gode équin et profite que j’ai les cuisses écartées, allongée sur le dos, menottée.
Il mesure quarante par sept. Il me l’enfonce jusqu’au fond de la chatte, tandis que le Baron me masturbe le clitoris et Sir Donatien me pelote les seins, étirant mes mamelons tendus. Je connais un violent orgasme, sous les va-et-vient par James.
- Elle l’a adopté, cette pouliche du sexe, dit James.
- Continuez, j’en veux encore.
- Tu as hâte d’en recevoir un vrai dans ta chatte et peut-être te faire enculer, tu es bien assoupli, me murmure le Baron.
Un nouvel orgasme plus rapide me terrasse, sous les masturbations simultanés.
Je me repose, après une bonne douche à l’eau froide, devant le trio qui se masturbe et je nettoie, accroupie, inondée par le jet de la douche sur mes fesses encore brûlantes des fessées et des coups de cravache reçus.
Pendant trois jours, je me gode uniquement la chatte avec le gode équin, dès que je ressens le désir. Je ne contrôle mes orgasmes avec cet imposant sexe.

20 juillet
Après le petit déjeuner, nue, fardée, en mules, avec mes carcans de cuir, coiffée d’une queue-de-cheval, je suis conduite en limousine au haras des Vicieuses, spécialisé dans le dressage de soumises équines.
Le Baron m’accompagne.
- Voici la soumise pute canine anale S que je t’ai parlé. Elle a une folle envie de se faire remplir d’abord l’écrin par tes meilleurs reproducteurs.
- Très belle, elle mouille déjà d’excitation. Je la comprends, un tel sexe dans ton écrin ne peut se refuser. Laisse-moi un peu la fouiller.
Penchée en avant, cuisses écartées, l’homme, plus âgé que moi, enfonce sa main jusqu’au poignet dans ma chatte trempée.
- Elle est bien ouverte, elle est prête à jouir. Bon, Charles Alexandre, amène le pur-sang arabe Sultan des Roses, plus le selle français Zéphyr de Castel et le trotteur français Etoile Sexe d’Or. Tu prépares le chevalet pour notre invitée.
- Bien, Duc Boris Divin Mille Sévices, je les prépare.
Le Duc m’encule aussi, profitant de mon anus entrouvert par mes dernières saillies anales canines.
- Son œillet n’est pas encore assoupli, pour recevoir de tels sexes. Mais d’ici quelques jours, la saillie anale équine lui donnera du plaisir.
Je m’occupe de Sultan, accroupie, fascinée par sa taille et le lèche, tente de le sucer, mais il bande jusqu’à l’éjaculation en bouche.
Menottée sur le chevalet, on m’insère le sexe de Sultan dans ma chatte jusqu’au fond, me provoquant un orgasme fulgurant.
- Elle aime ça, dit le Baron, qui me photographie et Charles Alexandre me filme.
Le Marquis fait coulisser sur le sexe, jusqu’à l’érection équine, écartelant ma chatte.
- Oh oui, pine-moi, Sultan. Je suis ta pouliche sexuelle.
Un flot de sperme s'y échappe et se répand sur le sol.
Ma chatte est tellement distendue.
On retire Sultan que je suce, pour que Zéphyr puisse m’enculer en partie. Mon anus est lubrifié avec le sperme de Sultan. La sodomie est progressive, avec l’érection. Je gémis un peu, avant la montée du plaisir anal, d’abord quinze centimètres, mais je supplie et je reçois trente centimètres. Le Duc me fait coulisser comme pour me défoncer la chatte.
- Arrête, tu me fais mal. Tu bandes, dans mon œillet de pute.
Habituée au bout de quelques instants, les va-et-vient reprennent et je connais un violent orgasme anal, avec une longue éjaculation, simultanément, Sultan éjacule aussi dans ma bouche.
Lors du retrait du sexe de Zéphyr, mon anus est rougi complètement distendu et boursouflé ce qui libère un flot de sperme.
Etoile Sexe d’Or m’encule aussi et je connais un nouvel orgasme anal.
L’anus entrouvert, je suis enculée par le Duc, le Baron, Charles Alexandre et d’autres hommes du haras, attirés par mes râles de plaisir, je les suce avant et après mes sodomies. Je suis pantelante, nourrie de spermes équins et humains.
On me rince au jet à l’eau froide, avant de me faire saillir par les chiens de garde du haras, nouée à eux, avant un court repos, toujours menottée au chevalet. J’avale aussi le sperme canin.
Je reprends mon initiation anale équine avec mes trois amants jusqu’au coucher du soleil. Le Baron est satisfait de sa nouvelle pouliche.
D’autres soumises n’ont pu tenir une journée, enculées par les sexes équins et sont renvoyées au « Donjon ».
Le soir, je suis offerte, les mains menottées dans le dos, enculée, empalée sur les invités du Marquis, les yeux bandés, suçant des sexes humains, canins et équins, pour satisfaire mes envies.

23 juillet
A l’aube, après deux longues saillies anales équines avec Sultan et Zéphyr et une promenade au manège, enculée sous Etoile Sexe d’Or, je suis menottée au chevalet, avec un bâillon-boule.
Le maréchal ferrant vient me marquer au fer rouge mes fesses, comme stipuler sur le contrat du haras.
Je reçois les lettres S et V, puis les lettres P C A et S dans ma chatte, pour me reconnaître si l’on me baise.
Je porte désormais à mes grandes lèvres de ma chatte, en place des anneaux dorés, des fers pour compléter ma reconnaissance. Ce sont des anneaux de fer mat inoxydable. La tige en est ronde, épaisse comme un gros crayon de couleur, et ils sont oblongs : les maillons des grosses chaînes sont semblables. Chacun est formé de deux U qui s'emboîtent l'un dans l'autre. On force sur le ressort intérieur pour le faire pénétrer dans la rainure où il se bloque. Chaque anneau est long comme deux phalanges du petit doigt, qu'on y pouvait glisser. A chacun est suspendu, comme un nouveau maillon, ou comme au support d'une boucle d'oreille un anneau qui doit être dans le même plan que l'oreille et la prolonger, un disque de même métal aussi large que l'anneau est long.
Les fers qui trouent les grandes lèvres de ma chatte et portent en toutes lettres que je suis la propriété du Marquis, me descendaient jusqu'au tiers de la cuisse, et à chacun de mes pas bougent entre mes jambes comme un battant de cloche, le disque gravé étant plus lourd et plus long que l'anneau auquel il pend. Les marques imprimées par le fer rouge, hautes de trois doigts et larges de moitié leur hauteur, sont creusées dans la chair comme par une gouge, à près d'un centimètre de profondeur. Rien que de les effleurer, on les perçoit sous le doigt. De ces fers et de ces marques, j’éprouve une fierté insensée.
A moitié évanouie, je suis enculée, saillie une dizaine de fois enculée par des chiens et des chevaux, pour marquer mon nouveau degré de docilité.
Je retourne à la villa, pour tourner de nouvelles scènes SM, ferrée et marquée, pendant trois jours. Je ne peux reconnaître les acteurs cagoulés. James et Sexe Eros me prennent pour ma première double anale, car j’ai l’anus bien assoupli. Je jouis, doublement inondée.
Je suis aussi cravachée, debout, nue, sur la pointe des pieds, pour les admirateurs, avec mes pinces à seins à mes mamelons et à mes petites lèvres de ma chatte, empalée sur un gode équin qui me remplit l’anus bien ouvert.
Je jouis aussi sans me caresser, dans mon lit.

28 juillet
Je deviens officiellement la secrétaire personnelle de Sir Donatien. Je touche un gros salaire, combiné à mes prestations dans les films qui sont vendus discrètement.
Je dresse les nouvelles recrues pour le « Donjon », ainsi quelques amants que je soumets à mes désirs sexuels.
J’épouse secrètement Désiré, avec l’accord de Sir Donatien.
Je continue à pratiquer mes saillies canines et équines pour mes admirateurs en direct dans des haras, des chenils et des clubs privés.
Désormais, je suis intégralement épilée, comme une soumise et sur mon pubis épilé, je porte la cravache et le fouet entrecroisés marqués au fer rouge.
Si vous voulez me rejoindre, mes amants bien montés, j’ai hâte d’être rempli par vos queues bien dures dans mon œillet de pute anale chienne et pouliche docile.

Votre chérie, Shawn, je vous attends.

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