Je m’appelle Hermine.
J’ai 17 ans.
Je suis une jolie beauté scandinave.
Je suis une
brune aux yeux verts. J’ai des pieds fins et latins, des jambes longues
bronzées, musclées qui inquiètent par leur perfection. Mon pénil est bombé,
ouvert, couronné de noir. Ma pilosité brune couvre mon pubis. Je suis
totalement velue entre les cuisses et j’ai une superbe croupe. Les lèvres de
mon sexe sont une plaie rouge entre mon entrecuisse velue. Mes hanches
s'incurvent et délimitent le ventre plat, délicieusement renflé autour du
nombril, les hanches sont larges et rondes, mais sans lourdeur. La taille est
affinée. Les seins parfaits intégralement bronzés sont un peu volumineux mais
fermes, et leurs pointes marron clair, toujours dressées, cernées par une large
aréole marron attirent le regard. J’ai une peau lisse et patine. Finition
parfaite, un seul grain de beauté entre mes superbes seins. De longs cheveux
plats blonds flottant comme des algues, battent mes épaules rondes et
gracieusement athlétiques. Je suis intégralement bronzée. Mes yeux verts
limpides s'allument, ma bouche charnue se fend. J’ai des sourcils bruns bien
dessinés et des lèvres pulpeuses. J’ai de longs doigts fins et de belles mains.
Je fais du 85B de poitrine, 56 de taille, 90 de hanches, 1,72 m.
JEUNE OIE
BLANCHE VICIEUSE
12 juin
Je suis une
jeune lycéenne, qui habite la tour J5, un groupe d’immeubles dans une zone
rurale.
Je suis la
favorite d’Ahmed, un bel étalon de dix-huit ans, qui m’a initié dès mes seize
ans à sucer les mandrins de ses amis Nord Africains des autres tours J. Il
refuse que je sois baisée ou enculée, pour préserver ma virginité.
Je suis
aussi lesbienne par ses amies Nord Africaines Jasmine et Sarah et l’Européenne
Aimée, qui m’ont initié aux jeux lesbiens. J’ai de nombreuses liaisons
lesbiennes, mais je suis difficile avec les hommes, capricieuse et maligne,
Ahmed est le seul homme que je respecte.
Après le lycée et les devoirs, je me promène souvent au pied de la tour
J5, vêtue d’un tee-shirt blanc moulant mes seins nus. J’ai un corps de
rêve : je suis une femme moderne au corps provocant. Mes yeux, mon sourire
se sont éclairés. Mes seins flattés par tes savantes caresses, ils tendent en
permanence leurs mamelons au ciel. Si je porte des bas souvent, car je suis un
peu exhibitionniste. Mon porte-jarretelles ceint mon ventre. Quant en fait, mes
fesses, mon ventre, ma toison sont accessibles à tous et à tout. Mes bas sont
tendus aux jarretelles. Ainsi harnachée, je sens toute la tension des bas
tendus sur ce porte-jarretelles, qui s’accroche sur mes reins. Mes fesses, mon
ventre sont tirés vers le bas, dès lors que la tension est établie.
Aujourd’hui,
je porte mon porte-jarretelles, mon string et mes bas blancs assortis sous une
jupe fuchsia qui couvre à peine mes bas, avec mes sandales à hauts talons. Je
suis maquillée, parfumée et coiffée de ma queue-de-cheval.
Vers
dix-huit heures, une BMW coupé sport suivie d’une Jaguar entrent dans la zone
des tours et s’arrêtent devant la tour J5.
Un grand
étalon Africain Noir descend de la BMW et il est accompagné d’un bel étalon
brun, du double de mon âge.
Ahmed les
voit et les rejoint avec deux gardes du corps.
- Elle est
superbe, la beauté en jupe et bas. Elle se prénomme comment, dit l’étalon brun.
- Hermine,
elle m’appartient.
- Du
calme, Ahmed, je connais ta réputation. Ca te dirait de la conduire dans une de
tes caves, pour l’observer de plus près.
Hermine,
viens ici, m’ordonne Ahmed.
J’arrive.
- Tu as
quel âge, Hermine ?
- Dix-huit
ans.
- Donc, tu
n’es plus vierge. Tu as couché avec combien de mâles ?
- Une
trentaine.
Je mens
comme l’a appris Ahmed.
Sans
ménagement, l’Africain Noir, prénommé César, me pousse vers la cave qui reste
toujours ouverte au sous-sol.
- Retire
ton tee-shirt et ta jupe et tes sandales, ordonne l’étalon brun. Je m’appelle
Charles Alexandre, je suis connu dans le milieu d’Ahmed, pour lui fournir ses
trafics. Je recherche une fille comme toi, pour un casting photo de beautés
nues et naturelles. Attention, dix étalons vont te prendre et tu as intérêt à
jouir. Puis, César te prends en dernier, il est bien monté. Je filme tout, pour
un ami photographe.
Je me mets
à quatre pattes, pour exciter les étalons Nord Africains, qui m’ont jamais
baisés auparavant, mais que j’ai déjà sucée et avalée.
Le
premier, que je connais bien, Omar, doté d’un mandrin de vingt-cinq par six.
- Eh,
Omar, pas son écrin, tu la prends directement dans l’œillet. Elle a l’habitude.
Je me
détends. Omar pointe son gland devant mon anus. Il me remplit jusqu’aux
testicules. Je gémis, mais le mandrin de Soliman, un beau Turc, de vingt-six
par six m’empêche de crier.
Les
testicules d’Omar butent sur mon pubis. Il me donne quelques claques
magistrales sur les fesses, ma chatte dégouline. Je suis excitée, par ma
première sodomie. Mon anus se détend et Omar accélère, en me tenant par la
taille, puis de plus en plus fort à mes hanches.
-
Dis-donc, Hermine est chaude de l’œillet, ce soir.
- Omar,
arrête, elle déteste ça.
- Disons
qu’elle aime ça, dit Charles Alexandre, son bassin ondule sur la queue d’Omar.
La bouche
libre, j’émets mon premier râle de plaisir. Omar éjacule en moi dans mon anus,
qui est aussitôt rempli par Soliman.
L’anus
lubrifié de spermes, la seconde sodomie est plus facile. Je suce alors les
autres étalons présents, entre vingt-trois jusqu’à vingt-huit et de six à sept
de diamètre.
Même
Ahmed, avec son vingt-huit par six, m’encule aussi et me fesse.
- Tu vois,
elle mouille, elle jouit et elle aime ça.
Enfin,
César m’exhibe son mandrin imposant de quarante par sept et me l’enfonce d’une
seule traite jusqu’aux testicules. Je suis écartelée.
- Il faut
l’élargir. Ces dix sodomies l’ont rendue encore un peu étroite.
- Ce sera
dés ce soir, annonce Charles Alexandre. Hermine, avale le sperme de tes amants,
jusqu’à la dernière goutte.
J’obéis,
exhibée, humiliée et excitée de la situation. Surtout quand Charles Alexandre
exhibe une liasse de billets dans une enveloppe à Ahmed.
Je l’emmène dès que César a éjaculé dans sa bouche de pute.
On me met un bijou d’anus pour conserver le sperme chaud. Il très beau,
il est en aluminium brillant orné par un magnifique cristal rose à son sommet :
c’est ce cristal rose qui est visible entre les fesses une fois que il est
introduit dans l’anus. Il est très doux et très petit, et me provoque une
délicieuse excitation anale permanente, et je peux facilement m’asseoir avec le
bijou d’anus ne place. Il mesure cinq par trois pour 34 grammes. Sa forme en
sapin et sa large base vous garantissent un excellent maintien dans l’anus. La
section qui relie les deux extrémités est très fine et douce afin de laisser
l’anus se refermer dessus sans gêne. La tige de la taille de l’auriculaire sert
de support lorsque le sphincter se referme.
Je reste en porte-jarretelles, bas et sandales, en sueur, après avoir
avalé le sperme de César.
Vers vingt-deux heures, je dois monter à l’arrière de la Jaguar.
Charles Alexandre me met un masque de nuit avec un bâillon-boule et me
contraint, les mains menottées dans le dos, à garder les cuisses écartées. Je
sens le moleskine, glissant et froid, c'est saisissant de la sentir coller aux
cuisses. Il me pelote les seins jusqu’à tendre mes mamelons et masturbe mon
clitoris. Je jouis sous le bâillon.
- Tu es très chaude, Hermine. Je te réserve une surprise dans ta
nouvelle chambre. Garde tes cuisses écartées et désormais, on peut de fouiller
tous tes orifices, sans te dérober, la bouche entrouverte, pour laisser libre
accès à ton écrin et ton œillet. Surtout, ton œillet, tous les jours, même en
double, pour toi, la pute soumise. Tu aimes être fessée, tu vas découvrir la
cravache dès ce soir pour avoir levé les yeux sur celui qui te parle ou te
prend : tes yeux doivent désormais fixés nos queues nues et libres que tu suces
à merveilles. Nue, tu suces, cuisses écartées, menottée dans le dos. Tu as
compris, Hermine. Ahmed va devenir une vraie lopette pour les amis qu’il a
trahi et toi, tu es sa monnaie d’échange, la belle.
Je me
contracte et avance le bijou d’anus contre ma chatte en feu et la stimule. Je
le garde l’objet. Ma chatte est resserrée, cela détend mes sphincters anaux
pour apprivoiser le plaisir anal. Outre un sentiment de grande relaxation, les
contractions des muscles anaux provoquent un immense plaisir qui se propage
dans tout mon bas-ventre.
13 juin
Vers trois heures du matin, après cinq heures de route qui sont
espacées de sodomies sauvages par Charles Alexandre, le chauffeur bien monté et
César, mes fesses brûlantes par les fessée magistrales sont tâchées de spermes.
Je mouille beaucoup sous les fessées ou est-ce du à mon plaisir anal.
Nous arrivons dans le quartier de la métropole dont dépend la tour J5.
C’est le quartier chaud, où se trouvent des clubs privés, des hôtels discrets
et des sex-shops et autres lieux de plaisir.
Je monte les marches en bois d’un des hôtels, guidée par Charles
Alexandre et son chauffeur.
J’entre dans ma chambre, avec juste un lit, un lavabo et une grande
glace, du haut en bas de la paroi.
Je suis déchaussée. Charles Alexandre me met mon collier de cuir et mes
bracelets à mes poignets. Ils sont faits : en plusieurs épaisseurs de cuir,
chaque épaisseur assez mince, au total pas plus d'un doigt, verrouillés par un
système à déclic, qui fonctionne automatiquement comme un cadenas quand on le
referme, et ne peut s'ouvrir qu'avec une petite clé. Dans la partie opposée à
la fermeture des bracelets, pris dans le milieu des épaisseurs de cuir, et
n'ayant presque pas de jeu, il y a un anneau de métal, qui donne une prise pour
fixer, et qu'on positionne du côté intérieur du poignet. Pour le collier,
l'anneau pend devant le cou, reposant sur la saillie des clavicules, et
brinquebale au rythme des mouvements de celui qui le porte.
Mes mains sont menottées à nouveau dans le dos, une chaîne cliquète
dans l'anneau du collier, et se tend si bien que je ne peux seulement se
déplacer sur la largeur du lit, ou se tenir debout de chaque côté du chevet.
Il me retire mon masque de nuit et mon bâillon. Je dois rester
silencieuse.
On frappe à la porte. Un bel étalon bien monté, en blouse blanche,
entre, plus âgé que moi.
- Voici, la vierge anale, elle doit avoir son écrin non défloré. Cela
se voit au premier coup d’œil. Le spéculum va dévoiler la vérité.
Je me retrouve les cuisses écartées, tandis que l’homme prénommé
Docteur Anal Sévices, m’enfonce en profondeur le spéculum.
Avec une torche, il commente :
- Elle a encore son hymen, mais elle se gode la chatte, c’est une
lesbienne experte. Disons qu’elle a eu trente ébats lesbiens avec des godes et
non pas trente amants, plutôt copines. Il faut la déflorer, pour la préparer.
Sans ménagement, le Docteur m’enfonce son gros mandrin de trente par
huit dans ma chatte humide, jusqu’au fond et me pilonne, malgré ma chatte
resserrée par le bijou d’anus.
Je gémis un peu, mais les va-et-vient me font jouir.
- Bon, l’écrin est bien ouvert, mais un peu étroit. Voyons, son œillet
de pute, qui va devenir être élargi. Le bijou l’a un peu relaxé.
L’écarteur anal est différent du spéculum et se présente comme une
paire de ciseaux qui s’écarte par crans d’arrêt. La bonne qualité de cet objet
est je pense nécessaire pour résister à la pression exercée.
Mesurant huit de long et jusqu’à cinq de diamètre, je suis remplie.
Charles Alexandre me masturbe le clitoris pendant l’insertion de
l’écarteur anal, pour me détendre.
Le docteur espace l’ouverture de chaque cran supplémentaire, il doit
remarquer que je commence à couiner malgré le bâillon. Le cran suivant est
difficile à atteindre et je sens que cela me tire franchement. Cet écarteur
anal est redoutable !
Il me réinsère cet écarteur anal dans l’anus. Je suis très étirée et ce
devient difficile d’aller plus loin. Il augmente d’un cran supplémentaire et
j’ai l’impression que je vais me déchirer tellement la pression est forte. Le
Docteur enfonce ses doigts dans ma chatte, pour me détendre, j’en oublie très
vite l’humiliation due à l’écarteur et profite de ces élans. Je déclenche les
spasmes de mon anus. L’écarteur en devient tout à fait agréable.
Il retire l’écarteur anal et m’encule jusqu’aux testicules. Je dois me
retenir de jouir sous le bâillon.
- Tu vois, Hermine, c’est une formalité maintenant. Tu vas porter un
bijou plus gros, dès que j’ai inondé ton puits de pute.
Charles Alexandre m’encule à nouveau, mais je suis cette fois, je suis
empalée, enculée jusqu’aux testicules, sous mon propre poids. Charles Alexandre
est allongé sur le dos, sur le lit, mes cuisses écartées contre ses cuisses,
sans défense, tandis que le Docteur me fouille longuement la chatte et masturbe
mon clitoris, en vue d’une double pénétration future.
Je jouis sans le vouloir, l’anus écartelé, l’anus encore inondé du
sperme de Charles Alexandre.
C’est un dix-sept par quatre que je reçois, similaire par sa forme.
Prosternée, cuisses écartées, je suis cravachée. Je mouille et je
jouis, de cette punition, ce qui plait aux deux amants.
- Charles, regarde, elle est toute humide par-devant! Elle ruisselle !
A mon avis, elle fait semblant de se plaindre mais en réalité, elle adore ça !
- Mais oui, tu as tout à fait
raison. Hermine apprécie! Hermine en redemande!
Les coups de cravache reprennent sur mes fesses et l’arrière de mes
cuisses.
Détachée, je me lave, nue, au lavabo, devant mes amants, qui caresse
mes fesses encore brûlantes.
Il est cinq heures du matin, quand je suis invitée par les deux amants
à quitter l’hôtel, le second étage, nue, en mules à talons de huit centimètres,
avec mon bijou d’anus. Je suis tenue en laisse par mon collier, Charles
Alexandre m’annonce :
- Tu as besoin de connaître d’autres amants. Tu es facile, Hermine,
mais tu aimes Ahmed, cette lopette. Il est en train de se faire enculer et de
sucer de beaux étalons, pour te faire plaisir. Tu as envie de tous les hommes
qui te désirent. Ton nouveau lieu, va te faire découvrir d’autres plaisirs, ma
belle pute d’Ahmed.
A la sortie de l’hôtel, jusqu’à un club privé, distant d’une centaine
de mètres, nue, je suis offerte à des inconnus, qui m’enculent sauvagement et
éjaculent sur mes fesses zébrées, en me traitant de pute, chienne par mon
collier. Je suis excitée, d’être humiliée.
Nous entrons par une porte d’accès privé, sur le côté. Je porte mon
masque de nuit et mon bâillon-boule avant de franchir la porte, les mains sont
menottées dans le dos.
Mes mules claquent dans l’escalier en marbre jusqu’au troisième étage.
Là, je suis livrée à deux femmes, vêtues d’une robe à corselet seins
nus, aux seins plantureux, blondes, la jupe éventail est largement fendue
devant sur le pubis et la chatte intégralement épilés, mettant en valeur les
anneaux dorés de leurs grandes lèvres des chattes. Leurs mamelons tendus sont
percés d’anneaux dorés aussi et leurs gros clitoris sont percés d’un anneau
serti d’une pierre précieuse. Elles sont coiffées de chignons et chaussées de
mules à plate-formes.
Dans une grande salle de bains, nue, déchaussée, j’entre dans une
grande baignoire par des marches, entièrement recouverte de glaces et de
miroirs sur les murs et au plafond.
- Accroupis-toi, pendant que je tende tes bras au-dessus de la tête,
dit une voix masculine.
Je garde les yeux baissés. La position est érotique, surtout quand on
me retire le bijou d’anus pour m’insérer une canule pour me rincer à l’eau
froide mon anus rempli de spermes, pour que je sois propre.
Les deux femmes s’attardent sur mes seins, dont elles déposent quelques
gouttelettes d’un parfum sur mes mamelons et mon clitoris. Mes fesses, mon dos,
mes reins sont longuement lavés et je dois me retenir de jouir, sous les jets
d’eau froide. Je me soulage sur le bidet et on me remet la canule en place.
L’homme exhibe un imposant mandrin de trente par huit, intégralement
épilé, aux testicules percés d’anneaux dorés. Il observe les ondulations de mon
bassin.
A la sortie du bain, libre, je suis séchée par l’homme, puis je
m’installe sur un tabouret moulé d’un gode réaliste de vingt-six par sept, pour
m’enculer, sous mon propre poids, toujours devant les miroirs, cuisses
écartées. Il possède un gland décalotté et il est veiné sur toute sa longueur.
Le prépuce glisse le long du gland à chaque sodomie. Sans le savoir, je sens
que le gode s’allonge et rétrécit à chaque mouvement de va-et-vient grâce à son
enveloppe ultra-souple qui s’étire ou se contracte en suivant les montées et
descentes du gode. J’ai l’impression d’avoir un véritable homme à leur
disposition qui me fait l’amour en étant infatigable.
Mon clitoris, sous l’effet de mystérieuses gouttes, devient gros comme
une cerise, saillant et volumineux tandis que mes mamelons deviennent
saillants, gros et longs. Ils sont hyper sensibles. Mes mamelons pointent au
maximum tout le temps, vingt quatre heures sur vingt quatre et de même pour mon
clitoris. Ils sont complètement tendus et très dur au point de me faire
vraiment mal et ces endroit sont devenus sensibles.
Les femmes me fardent : les paupières sont légèrement ombrées, la
bouche très rouge peinte au pinceau, les mamelons et l'aréole des seins rosies
au pinceau, tes petites lèvres de ta chatte rougies au pinceau, en soulignant
la fente du giron. Elles me parfument à trois reprises, mes aisselles lisses et
ma fourrure pubienne, dans le sillon entre mes cuisses, dans le sillon sous les
seins, et au creux des paumes.
Puis je rejoins une pièce mitoyenne, nue, en mules à talons de dix
centimètres à mes pieds nus. Je dois attendre assise, avec un miroir à trois
faces et un quatrième miroir au mur permettent de me bien voir. Je m’assois sur
le pouf au milieu des miroirs, couvert de fourrure, qui me pique un peu, et le
tapis est au sol.
L’homme qui a assisté à mon bain, me fait approcher debout, me passe sa
main gantée entre les cuisses et sur les seins
- Tu es présentée après un court repas seule. Mais avant, comme tu jouis,
sur le fauteuil, je vais te fesser et tu vas porter des pinces à seins.
A quatre pattes, sur le pouf, il me donne des claques magistrales. Je
mouille comme à chaque fois, sous les vingt-cinq fessées.
Il enserre mes mamelons tendus, chacun dans une pince qui serre au
moyen d’écrous, avec une clochette qui tinte à chacun de mes pas. Je me
retrouve mes mamelons allongés en déformant aussi mes seins vers le bas.
- Il faut sensibiliser tes seins et tes mamelons de pute anale.
Penchée en avant, cuisses écartées, mains menottées dans le dos,
l’homme m’écarte bien les fesses brûlantes et m’encule jusqu’aux testicules.
Mes seins tombent sous le poids des pinces ensuite le sang cesse de circuler,
le téton devient froid et là je ne sens plus rien.
Il masturbe aussi mon gros clitoris. Je me retiens de jouir et il
éjacule dans ma bouche. Je garde toujours les yeux baissés.
Je mange agenouillée, cuisses écartées sur le pouf, mains menottées
dans le dos, nourrie par une main invisible.
Enfin, le repas fini, les deux femmes reviennent me chercher.
Dans le boudoir, elles fixent ensemble, derrière mon dos, les deux
anneaux de mes bracelets.
Une femme avance devant elle et ouvre les portes, l'autre la suit et
les referme. Elles nous descendons au rez-de-chaussée. Je suis tenue en laisse
par mon collier. Au rez-de-chaussée, nous traversons un vestibule, deux salons,
et pénétrons dans la bibliothèque, où quatre hommes prennent le café. Ils
portent des capes mais aucun masque.
Je garde mon bandeau sur les yeux.
Je suis enculée par un calibre de huit centimètres, par derrière, en me
soutenant, tandis que d’un de sept centimètres me défonce la chatte
simultanément. Je l’entoure de mes jambes, doublement pénétrée.
Une main me prend un sein, une bouche saisit le mamelon de l'autre,
pincé par la pince.
- Le mamelon est bien tendu sous la pince. Elle mouille, c’est bon
signe.
Je me retrouve sans ménagement, menottée à un chevalet. Allongée sur le
dos de la poutre, cuisses écartées, immobilisée. On me doigte longuement ma
chatte, masturbe mon clitoris tendu et on me pose des pinces à mes petites
lèvres, avec des clochettes comme pour mes mamelons.
Je dois sucer les mandrins que l’on me met en bouche.
Puis je suis libérée quelques instants, pour être offerte, le
postérieur plus haut que la tête. Mes bras sont fixés le long des pieds avants,
mes jambes le long des pieds arrières, et une large sangle m'est passée au
niveau de la taille. Mes cuisses, légèrement fléchies sont empêchées de se
resserrer par la largeur de la poutre, ainsi d'ailleurs mes fesses que je me
peux refermer. Toute mon intimité est ainsi très accessible et on peut me faire
tout subir.
- Elle n’a jamais été attachée, ni fouettée. Elle doit prendre plaisir
à être attachée et fouettée, dit une des voix masculines. Son œillet manque
encore d’assouplissement, malgré le gode Anal Désir qu’elle porte depuis
quelques jours. Peu importe le nombre d’hommes qui l’ont enculée, elle le sera
tous les jours au « Donjon », cette pute anale.
Je suis enculée par de gros mandrins de neuf centimètres de diamètre,
avec des gaines à picots, sans répit, avalant leurs spermes en bouche, sans
perdre une goutte avec mon bâillon anneau O.
Les clochettes tintent à chaque coup de rein et étirent davantage mes
petites lèvres et mes mamelons tendus à l’extrême. Je ne sais si je dois jouir
ou gémir. Le plaisir succède à la douleur.
On me laisse sanglée au chevalet. Soudain on m’enlève mon bandeau.
La grande pièce avec des miroirs et des glaces sur les murs est
faiblement éclairée par une lampe sur une console.
Deux des hommes sont debout. Un autre est assis, une cravache sur les
genoux, et celui qui est penché sur elle et me caresse le sein est un superbe
étalon brun, prénommé Alban.
- Tu t’es donnée à nous quatre, ma pute anale. Au « Paradis
SM », tu ne vois les visages de ceux qui te violent ou te tourment, mais
jamais la nuit, et que tu ne connaîtras jamais quels sont les responsables du
pire. Pour le premier jour, tu dois voir comme tu es fouettée, sans bandeau et
que nous portons nos masques pour ne pas les distinguer.
Alban m’encule sauvagement, en entrant et sortant son gros mandrin muni
d’une gaine à picots. Je mouille davantage, décuplant mon excitation sexuelle à
mes mamelons et à mon clitoris davantage tendus.
Je reste menottée au chevalet.
On me montre la cravache, qui est longue et fine, de fin bambou gainé
de cuir ; le fouet de cuir que le premier des hommes que j’ai porté à la
ceinture est long, fait de six lanières terminées par un noeud ; une garcette,
de cordes assez fines, faite de sept lanières terminées chacune par plusieurs
nœuds, et qui sont toutes raides, trempées dans l'eau, en m’en caresse la
chatte et la peau tendre de l’intérieur de mes cuisses, je sens combien les
cordes sont humides et froides.
Les premiers coups de cravache sur mes fesses et l’arrière de mes
cuisses me font mouiller. Je prends du plaisir à être humiliée, exposée,
fouettée.
- Mais elle mouille, quand on la fouette, dit un des hommes. Elle aime
ça, elle apprécie! Elle n'en a pas eu assez! Elle en redemande!
Entre deux séances de cravache et de garcette, je suis enculée
profondément, la bouche remplie par un mandrin, pour étouffer mes râles de
plaisir. Je dois tout avaler.
- Son œillet commence à s’ouvrir un peu plus, elle est brûlante.
Nue, je me fais baiser par les calibres de sept centimètres, couché sur
le dos, et celui de huit centimètres m’encule simultanément. Je connais un
violent double orgasme.
Puis je
m’encule sur un autre, tandis qu’il se trouve sur le dos et je suis de dos,
toujours avec les jambes ouvertes je reçois le second dans ma chatte et je
connais le même double plaisir, doublement inondée, telle une pute.
C’est
alors qu’un de sept centimètres sans quitter ma chatte, m’allonge sur le tapis,
il est allongé sur le dos. Mes cuisses sont écartées, je suis baisée jusqu’à la
garde. Un de huit centimètres nous rejoint et m’encule aussitôt jusqu’aux
testicules.
Je connais
un double orgasme, ma bouche remplie du sperme des autres étalons qui m’ont
baisée et enculée.
A moitié chancelante, la chatte et l’anus dégoulinant de spermes, je ne
sais plus quelle heure il est.
Après quelques nouvelles sodomies et les fesses brûlantes et zébrées,
ainsi que l’arrière de mes cuisses, on me présente une nouvelle boîte avec un
nouveau gode réaliste avec une gaine à picots.
Mes fesses brûlantes sont écartées pour insérer le gode de trente-six
par huit, montant à neuf avec la gaine. Je jouis dès qu’il est en place.
Il est similaire au gode du tabouret.
On me libère, chancelante et on me met ma ceinture de cuir, on cadenasse
les chaînettes.
Je sens le prépuce réagir avec Anal Vice.
- Son bassin ondule, elle l’a adoptée. Tu es ici au service de tes
maîtres. A n’importe quelle heure de la journée, tu te prêtes. Ta bouche, ta
chatte et ton œillet nous sont ouverts à tout instant, par le refus de te
dérober, les lèvres entrouvertes, les cuisses écartées. Tu es nue, pour tu sois
aussi fouettée qu’entre le coucher et le lever du soleil. On te fouette si lève
les yeux sur celui qui te parle ou te prends : tu ne dois jamais regarder un de
nous au visage. Ta bouche doit sucer et avaler le sperme de nos queues nues
offertes. En outre, à la nuit, tu nous suces, menottée, nue. Tu es fouettée
chaque jour, pour ton instruction, tout comme les sodomies. Tu es contrainte. A
la sortie du « Paradis SM », tu portes un anneau de fer à
l'annulaire, qui te fait reconnaître : tu es constamment nue sous tes tenues et
si tu es indocile, tu rejoins ici. Entre son lever et le repas de midi, puis
entre la tombée du jour où finit ton service et l'heure de la nuit, tu portes
Anal Vice, pour rendre facile l’accès à ton œillet de pute anale. Prosternée,
tu reçois un modèle plus épais pour t’écarteler l’œillet plus assoupli. Au
repas du soir, tu portes Anal Vice, nue, et du fait des chaînettes et de la ceinture,
tout le monde peut voir que tu le portes. Tu vas rejoindre ta cellule.
Je glisse mes pieds nus dans des mules à semelles surélevées et très
hauts talons qu'une bande de satin empêche seule d'échapper au pied.
Je suis tenue en laisse par une chaîne de plus d’un mètre de long fixé
à mon collier, les mains menottées dans le dos, par un des valets, nu sous sa
cape, botté, avec son mandrin gainé de picots, aux testicules percés d’anneaux
dorés. Les deux femmes m’accompagnent jusqu’au sous-sol. Je garde ma ceinture
maintenant mon gode aux chaînettes cadenassées, faisant onduler mon bassin.
Il est neuf heures.
Je rencontre mon valet, prénommé Dan Eros, doté lui aussi d’un mandrin
imposant de quarante par huit, avec une gaine à picots, juste vêtu d’un blouson
de cuir sur son torse musclé et de bottes, avec une garcette à sa ceinture.
Elle porte Anal Vice pour l’élargir quelques jours. C’est la pute
d’Ahmed, il faut l’instruire.
Les cellules n’ont pas de portes, pour que les valets, les Maîtres
puissent entrer, pour voir les soumises enchaînées.
Ma cellule est constamment éclairée, sans miroirs, avec un escalier
menant au rez-de-chaussée vers la salle de bains.
Elle comprend un chevalet et une croix de Saint-André, mais pas de lit,
pour me reposer.
La salle de bains comprend une baignoire à ciel ouvert, avec un crochet
fixé au mur et déporter pour me menotter bras tendus, accroupie et des miroirs
et des glaces sur les quatre murs.
Je reconnais que les multiples sodomies et les double pénétrations ont
déclenchée en moi une excitation sexuelle, d’où la tension constante de mes
mamelons et de mon clitoris, sans que je me caresse. Dan Eros le
remarque :
- Tu es excitée, d’être humiliée, fouettée, exhibée nue à d’autres
hommes. C’est normal, tes mamelons vont devenir aussi sensibles que ton œillet
et ton clitoris.
Je suis baignée, à l’eau froide, les yeux baissés, la bouche
entrouverte, en sa compagnie, accroupie, menottée. Il s’attarde sur mes seins,
mes reins, mes fesses, mon gros clitoris. Je ne sais si je dois jouir ou gémir,
par ses caresses masturbatoires érotiques. Je découvres ainsi la frustration et
la douleur que cela procure en plus de la douleur provoquée par le fait que mes
mamelons et mon clitoris soient constamment tendus, très durs. Les deux femmes
m’observent.
A la sortie du bain, à la réserve du collier et des bracelets de cuir,
que l'eau a durcis quand je me suis baignée, et qui me serrent davantage, je
reste nue avec mon gode en place.
Les deux femmes partent, tandis que Dan Eros me menotte au chevalet, en
prenant soin de me retirer le gode anal, pour juger de mon ouverture.
Il m’encule jusqu’aux testicules. Je ne peux le repousser et je dois me
retenir de jouir.
Il me retire mes clochettes à mes petites lèvres, mais je les garde à
mes mamelons.
Je tente de me reposer après son départ, jusqu’à midi.
Mais mon repos est de courte durée, on me bande les yeux et un
mystérieux sexe m’encule jusqu’au nœud. La sodomie dure trois quart d’heure,
mon anus est écartelé davantage qu’avec Anal Vice. Je gémis un peu au début,
mais le plaisir anal l’emporte. Je suce ce nouveau sexe, sans prépuce, sorti
d’un fourreau, le pénis d'un chien est pointu à l'extrémité et s'élargit au
bout de deux ou trois centimètres et aussi sensible que le gland d'un homme. Il
éjacule encore dans ma bouche, après avoir inondé mon anus.
L’opération se répète deux fois encore à raison d’une demi-heure à
chaque fois, pour m’élargir l’anus.
Vers midi, je suis détachée, sans mon bandeau sur les yeux, du sperme
coule de mon anus. Nue, en mules, je rejoins le réfectoire, tenue en laisse,
par un autre valet.
Au réfectoire, je suis empalée sur un gode ressemblant au sexe qui m’a
prise dans ma cellule. Je suis assise cuisses écartées, les yeux baissés, sur
un tabouret recouvert de cuir. La pièce est dallée avec une table longue, en
verre épais.
Je me retiens de jouir sur ce sexe.
Le valet de permanence pelote mes seins offerts, en faisant tinter mes
clochettes, mon clitoris tendu et m’embrasse langoureusement sur la bouche.
A la fin du repas, je suis longuement
et sauvagement par lui, avec sa gaine à picots, tout en retardant mon orgasme
anal, frustrée.
Je monte ensuite au troisième étage, tenue en laisse, les mains
menottées dans le dos. Anal Vice me sera remis qu’à la tombée du jour jusqu’à
l’heure d’être offerte à d’autres invités du « Paradis SM », pour
être enculée, fouettée et sucée.
Je découvre un vaste salon, avec deux valets, en gilets de cuir,
bottés, nus, leurs mandrins gainés de picots, aux testicules percés d’anneaux
dorés, tenant en laisse, deux superbes chiens, un berger allemand, prénommé
Adam et un doberman, prénommé Hadès. Ce sont peut-être eux qui m’ont enculée
dans ma cellule ?
Deux autres hommes nus, cagoulés, leurs mandrins bien montés, en
érection, observent mes marques sur mes fesses et mes cuisses, qu’ils
commentent. Je dois écarter mes fesses pour montrer mon anus encore entrouvert
par ma dernière sodomie par le valet.
Je les sers, les suce, mais mon anus est uniquement réservé à Adam et
Hadès, pour leurs spectacles. Je suis saillie d’une seule traite jusqu’au nœud,
par l’excitation des chiens.
Les valets me font sucer leurs mandrins, pour étouffer mes râles de
plaisir.
Chaque saillie dure entre une demi-heure à trois quart d’heure. Les
chiens se reposent ensuite. Je suis autorisée à les sucer, en échange d’un
léchage jouissif de ma chatte et de mon anus par l’autre chien.
Dès qu’ils sont en érection, le rituel reprend, pour me qualifier de
chienne soumise.
Mes fesses sont cravachées par les valets si je ne suis pas
suffisamment endurante pour sucer.
A la tombée du jour, pantelante des saillies anales canines, l’anus
dégoulinant de sperme, je suis ramenée à ma cellule, pour mon bain.
Fardée et parfumée, je porte à nouveau Anal Vice. Tout le monde voit ma
ceinture de cuir et mes chaînettes, je suis nue et en mules, au réfectoire.
Après le souper, je suis à nouveau livrée seule au salon, à des
inconnus, les yeux bandés, fouettée, suçant les inconnus, en plus d’Adam et
Hadès, un second doberman m’encule aussi, Arès. Mon anus s’habitue à leurs
sexes.
Je ne compte plus le nombre d’amants que je suce, ni les chiens qui
m’enculent, ni les coups de fouet sur mes fesses et mes cuisses.
Je dors menottée au chevalet, les pinces à mes mamelons tendus à
l’extrême, enculée à toute heure par mes trois amants canins, pour m’élargir
davantage.
Chaque jour, Anal Vice passe de trente-six à quarante par neuf au
maximum, avec la gaine à picots.
16 juin
Au lever du soleil, après une ultime saillie anale canine, qui m’a
conduit à quatre orgasmes anaux violents, je reçois la visite de Charles
Alexandre.
- La pute d’Ahmed est officiellement doublement ouverte. Les chiens
l’ont bien ouverte, son œillet est aussi sensible que ses mamelons, son
clitoris et sa bouche est bien dressée. Nous partons, tu n’as pas encore finie
ton instruction.
Détachée, je prends mon dernier bain, lavée par Charles Alexandre en
personne, menottée une dernière fois au crochet, avec une canule pour un
lavement à l’eau froide.
Une fois propre, je découvre sur un des miroirs de la salle de bains,
mes reins tatoués à l’encre noire : « Chienne Soumise H ».
Après le retrait de mes carcans de cuir, nue, je reçois ma bague sertie
d’un anneau, à mon annulaire gauche, faite sur mesure et je remarque que mon
gros clitoris est percé d’un anneau doré serti d’une pierre précieuse. C’est la
marque des soumises du « Paradis SM ».
Fardée, parfumée, je me rhabille de ma robe à corselet, mon boléro et
mes mules à hauts talons de douze centimètres. J’aime davantage avoir les
seins, les fesses, la chatte et l’anus nus et libres, accessibles à tous.
Un bijou d’anus de six centimètres et de quinze de long, moulé sur
l’avant du sexe d’un doberman me remplit bien.
Nous quittons le « Paradis SM », à bord de la même Jaguar qui
m’a conduite. Je m’assois cul nu, en relevant ma jupe d’un seul geste.
Nous rejoignons la campagne, un village isolé, avec une ferme.
La Jaguar stoppe à l’entrée d’une petite route.
Je découvre une superbe BMW coupé sportive. C’est ma nouvelle voiture.
- Tu te rends au bout de la route, une ferme est à l’entrée du village.
J’obéis, m’assois cul nu.
Je traverse des champs avec des chevaux en liberté et des
maîtres-chiens qui gardent l’accès.
En effet, je découvre une entrée par le portail. Je stationne la BMW.
- Bienvenue, ma chienne soumise H, dit une superbe brune plantureuse,
en robe estivale, au décolleté en V, les cheveux libres.
Cinq hommes sont en sa compagnie, un peu plus âgés que moi, voir du
triple de mon âge, des Européens, des Nord Africains, des Africains noirs et
des Australiens.
Ils se masturbent en me voyant sortir de la voiture. Ma jupe dévoile ma
chatte velue nue, mon clitoris percé, la pierre précieuse brille au soleil.
Je suis aux ordres des hommes et de vous.
- Tu as une belle chatte velue, naturelle. C’est rare chez les soumises.
Tu vas découvrir tes copines. Perle des Sables, une des filles de la tour J5,
l’ancienne favorite d’Ahmed, baptisée Anal Doberman, qui raffole des saillies
par mes dobermans et Natacha Alexandra, une Européenne, chérie d’un des rivaux
d’Ahmed, baptisée Pénélope du Vice et toi, tu deviens Jouisseuse des Sévices.
Les deux jeunes femmes un peu plus âgées que moi sortent, avec leurs
carcans de cuir au cou, aux poignets et aux chevilles, nues, en mules. Anal
Doberman, la brune aux seins plantureux, est intégralement épilée, avec des
anneaux aux grandes lèvres, au clitoris et aux mamelons constamment tendus
comme moi et Pénélope, la blonde aux petits seins, a encore son pubis velu, sa
chatte est cadenassée par des anneaux, son clitoris et ses mamelons sont constamment
tendus.
Je retire mon bijou d’anus, j’écarte bien mes fesses, devant les
étalons.
Sans attendre, je me retrouve prise en double pénétration, nue, suçant
un des Africains noirs, le gros mandrin m’encule et un calibre moyen me baise
et tous éjaculent en moi, devant la brune.
- Elle aime ça. Elle a fait toute sa vie, cette experte.
Les deux autres me prennent aussi, en double pénétration debout.
- Allez ma belle, tu vas mettre ce double vibromasseur, avant de
t’occuper du chenil, tu me plais.
Le vaginal mesure trente par sept et l’anal quarante par sept.
Je l’enfile comme un string. Ils sont dotés chacun de prépuce qui
glisse le long du gland à chaque sodomie. Sans le savoir, je sens que le gode
s’allonge et rétrécit à chaque mouvement de va-et-vient grâce à son enveloppe
ultra-souple qui s’étire ou se contracte en suivant les montées et descentes du
gode. J’ai l’impression d’avoir un véritable homme à leur disposition qui me
fait l’amour en étant infatigable.
Cette double pénétration me fait rapidement jouir et la brune me
fouette aussitôt les fesses à la garcette, menottée à un chevalet.
Au bout d’une demi-heure, à la garcette, je suis libérée du double
vibromasseur. La brune m’exhibe son gros mandrin de quarante par sept et
m’encule sur le champ, en masturbant mon gros clitoris et étirant mes mamelons.
Je me retiens de jouir.
Elle éjacule dans ma bouche, c’est un transsexuel.
Elle enduit de miel mon anus et je me rends au chenil avec Perle, nue,
comme moi, en mules, avec les gamelles.
Les dobermans, les bergers allemands, les malinois, les labradors sont
attirés par mon odeur.
Rapidement, un labrador m’encule jusqu’au nœud d’une seule traite. Je
dois continuer le service. Dès que le labrador s’est retiré, un doberman me
prend.
Je réussis à faire manger l’ensemble des chiens, pantelante par mes
orgasmes anaux, sous l’œil des cinq étalons.
Les cinq étalons me reprennent en double pénétration et je suce et
j’avale.
Pénélope fait tout pour que je sois punie. On rase même ma chatte pour
mieux mettre en valeur mes anneaux dorés aux petites et grandes lèvres et mes
clochettes entre mes cuisses.
Dès le lever du soleil, jusqu’au coucher, je suis saillie, fouettée et
offerte aux étalons du village, cinq jusqu’à vingt par jour, pour mon
instruction.
Le transsexuel aime me fouetter.
18 juin
A l’aube, après m’être fait saillie enculée par un des doberman, la
transsexuelle suggère que je sois prise par deux chiens, pour augmenter mes
orgasmes.
D’abord, je me défonce la chatte sur un berger allemand, allongé sur le
dos et mon anus est défoncé par un doberman, puis par deux dobermans, toujours
attachés à eux, puis un labrador m’encule, tandis que ma chatte est remplie par
un malinois. Je ne compte plus mes orgasmes, mon clitoris est devenu tellement
sensible, que je ne ressens plus la douleur. Je perds souvent connaissance par
ses violents orgasmes combinés, mais la transsexuelle continue jusqu’au repas
de midi.
L’après-midi, je suis offerte en double pénétration, enculée par un des
chiens et baisée par un des villageois, jusqu’au coucher du soleil.
Douchée au jet d’eau froide, je porte mon string à double vibromasseur,
après mes besoins et mon lavement.
La nuit, je suis saillie, prosternée sur mon lit, par n’importe quel
chien jusqu’à l’aube le suçant en retour.
21 juin
Au lever du soleil, une superbe Ferrari entre dans la cour. Un bel
étalon musclé en descend.
Je suis encore menottée à mon lit, bras et jambes écartées, allongée
sur le dos, une chaîne fixée à mon collier. Les yeux baissés, je découvre
l’étalon qui parle avec le transsexuel.
- C’est la chienne soumise, à la chatte rasée, qui est au milieu, que
tu me proposes.
- Oui, Sire Xavier, elle est docile, instruite au « Paradis
SM », le chenil l’a écartelé davantage. Dernièrement, elle s’est faite
enculée par deux dogues allemands. Leurs gros sexes ont eu raison de son œillet
de chienne. Elle a joui de nombreuses fois en leur compagnie.
L’étalon libère son mandrin de trente par huit et m’encule jusqu’aux
testicules d’une seule traite.
Le transsexuel me libère mes chevilles pour que je les pose sur ses
épaules. Il s’agenouille pour mieux m’enculer.
- Quelles superbes jambes, des seins de rêves aux mamelons tendus. Ton
clitoris est tendu, ma belle.
- Oui, encule-moi à fond. Je suis ta pute.
Il m’encule avec vigueur. Je me retiens de jouir, mais il éjacule en
moi.
- Marché conclu, je la prends. Pénélope sera vendue à un rival d’Ahmed.
J’ai des amis qui vont bien la dresser.
Libérée, douchée, fardée et parfumée, je monte nue, en mules, avec mon
bijou d’anus et mes carcans de cuir.
Nous rejoignons un lieu isolé à l’opposé de la route menant au chenil.
Je découvre un camp de caravanes. Des hommes m’attendent.
Je suis prise en double pénétration, suçant les mandrins qui se
présentent à moi, enculée à plusieurs reprises, remplissant ma bouche et mon
anus de spermes chauds, en moins d’une demi-heure.
Je suis pantelante, allongée sur le dos, sur un matelas, cuisses
écartées, mes clochettes toujours posées à mes grandes lèvres de ma chatte
trempée.
Sire Xavier me filme pendant toute la durée des ébats sexuels.
Prosternée, je suis enculée par cinq dobermans en continu. Je jouis,
entre deux fellations des autres dobermans.
Je reste nue, dans une des caravanes, lavée par de jeunes femmes.
Puis les ébats reprennent jusqu’au coucher du soleil, mais uniquement
avec des dobermans, suçant les hommes.
Sire Xavier récupère l’argent de mes ébats sexuels. Je suis devenue une
authentique pute anale et chienne soumise.
Dans la caravane, après le souper, je suis enculée par les hommes des
caravanes jusqu’à l’aube, sans répit.
Sire Xavier me quitte, après m’avoir une ultime fois enculée.
24 juin
A l’aube, après une longue discussion avec le propriétaire d’une BMW
cabriolet, je monte nue, avec mes carcans de cuir, en mules, en sa compagnie.
Je garde mon bijou moulé sur l’avant du sexe du doberman, fait sur mesure, en
acier.
Nous restons à une journée de route de la tour J5.
L’homme me bande les yeux pendant le trajet par des petites routes.
Nous croisons une patrouille de deux motards de la gendarmerie.
L’homme me montre ma carte d’identité et leur annonce :
- Vous pouvez l’enculer, elle attends que cela. C’est une vraie pute
anale.
Je suis sortie de la voiture, les yeux bandés, penchée en avant,
cuisses écartées, l’anus libre, sur le coffre et les deux motards bien montés,
m’enculent jusqu’aux testicules, en me fessant magistralement.
- Elle aime ça, la pute.
- Si on la croise prochainement, elle se donnera davantage, dit
l’autre. Mais tu vas nous sucer aussi, ma belle.
Accroupie, je les suce, sans perdre une goutte de sperme dans ma
bouche.
Nous reprenons la route, sans payer d’amende.
Nous entrons dans un parc. Je dois descendre, les yeux bandés et me
mettre à quatre pattes et attendre, l’anus libre, débordant du sperme des
gendarmes.
Aussitôt, un sexe m’encule. Il est différent des humains et des chiens.
Aussi gros que peut l'être un mandrin humain, il se termine par une pointe
effilée, au bout duquel un gland minuscule fait comme une petite boule de
chair, long de dix-huit centimètres. Il m’encule profondément, en me tenant par
les hanches, ses mains sont velues.
Il s'active de plus en plus vigoureusement, au point de sentir en moi
son dard puissant aller et venir de plus en plus librement, m'emplissant le
rectum de cette chair chaude et dure. Des mouvements plus violents encore me
font néanmoins crier, ouvrir la bouche. C'est ce moment dont profite un autre
sexe entre mes lèvres de ma bouche, l'engloutissant jusqu'à la garde.
Je suis prise par devant et par derrière, des mains caressent mon gros
clitoris, mes seins. Je suis toute excitée, faisant durcir davantage mes
mamelons et mon gros clitoris.
J’avale le sperme en bouche. Un autre sexe le remplace, similaire, dans
ma bouche.
Celui qui m’encule, éjacule en moi et cède la place à un autre.
Ce sont cinq chimpanzés et deux macaques qui me prennent, certains me
baisent avec la même vigueur. Je ne peux retenir mes râles de plaisir.
Au final, j’ai même droit à une double pénétration par deux chimpanzés,
pour une double éjaculation, sans compter celles en bouche.
Quand on me retire le bandeau, l’homme est toujours présent, m’a
photographié tout le temps.
J’entends des râles. Je découvre un trio d’hommes bien montés, faisant
l’amour.
Ils s’enculent mutuellement.
- Tu vas sucer un des hommes, tu peux. Bien sûr, le mâle Alpha va
t’enculer à nouveau.
Je ne peux me retenir de jouir, surtout quand l’homme qui est enculé
par le second et suçant le troisième, éjacule dans ma bouche.
Cette vision d’ébats homosexuels m’attire, m’excite.
Un des hommes, bien montés, m’annonce :
- Tu as envie que je t’encule aussi.
Je ne peux refuser, l’anus dégoulinant du sperme des singes. Je le
laisse m’enculer dans diverses positions, en retardant mon orgasme.
L’homme qui m’a accompagné, m’encule à son tour, enculé lui-même par un
des hommes.
Je passe la journée avec ce trio homosexuel, l’homme à la BMW et les
singes qui me défoncent la chatte et l’anus dès qu’ils en éprouvent le désir.
J’apprends que tout est payé d’avance et que j’ai droit à une
commission depuis mon séjour au chenil.
Le midi, je fais le service nue et en mules, avec ma queue-de-cheval,
dans un club privé naturiste, gérant le parc des singes.
Les hommes n’hésitent pas à me caresser la chatte, me fouiller l’anus,
peloter mes seins en échange de fellations et le patron du club, m’encule à
chaque fois que je vais pour prendre les commandes.
Pantelante, je me repose à la fin du service.
Je reste quelques jours au club.
30 juin
Je retourne au chenil, forte de mon expérience avec les singes.
La transsexuelle m’affecte quotidiennement aux services des deux dogues
allemands pour m’enculer, me baiser, me prendre en double pénétration à tout
moment de la journée. Je bronze aussi, sans le savoir.
La transsexuelle m’encule entre deux saillies anales canines.
L’après-midi, trois hommes du triple de mon âge me rendent visite.
- C’est la favorite d’Ahmed, dit l’un d’eux. Elle est très belle, cette
pute anale et une vraie chienne soumise.
- J’ai une hâte de lui défoncer son œillet, dit le second.
Je suis livrée aux trois hommes, dont d’imposants mandrins de
trente-six par huit.
- Allez ma belle, masturbe-toi un peu avant que je défonce ta superbe
chatte trempée.
J’obéis, cuisses écartées. Mon clitoris et mes mamelons se tendent
rapidement.
Il s’allonge sur le dos et je m’enfonce son gros mandrin dans ma chatte
jusqu’aux testicules, agenouillée, ma taille enserrée par ses jambes. Je lui
caresse ses testicules bloquées à l’entrée de ma chatte humide, mon clitoris a
encore grossi. Je joue avec le gland entre les lèvres de ma chatte et m’empale
en totalité. Sans prêter garde, le second m’encule simultanément.
- Comme ça, tu aimes prise en double, la belle pute.
- Oh oui, vos queues me font jouir.
Celui qui m’encule, me pelote les seins et étire mes mamelons durcis.
Le troisième me fait sucer son mandrin, pour étouffer mes râles de
plaisir.
- Quelle suceuse, Ahmed l’a bien dressée.
Celui qui m’a baisé, m’invite à m’asseoir entre ses cuisses. Il est
assis sur le lit. Je suis empalée, enculée, cuisses écartées, mes seins, ma
chatte et mon clitoris sont livrés aux autres partenaires. Je connais un
violent orgasme. Tous retardent leurs éjaculations.
- Ton puits est brûlant et bien ouvert. Tu es une sacrée chienne pour
te faire monter, enculée.
Tête-bêche, les jambes repliées vers mes seins, je suis enculée par le
troisième, jusqu’à l’orgasme, la bouche remplie du sperme des deux autres.
Pantelante, je dois m’offrir à nouveau au trio, jusqu’au coucher du
soleil.
Avant leurs départs, du futur beau-père, de l’oncle et du tonton de la
famille d’Ahmed, je suis enculée par mes deux dogues allemands, avant une
double pénétration jouissive avec mes dogues allemands.
Charles Alexandre me rend visite et connaît tous mes exploits sexuels.
L’inceste fait partie de mes vices, désormais. J’ai eu des ébats sexuels avec
la famille d’Ahmed.
Mon instruction n’est pas finie, les hommes, les chiens, les singes et
l’inceste ne sont qu’une partie.
Quand je ne suis pas saillie, je porte un gode canin moulé sur le sexe
d’un dogue allemand, pour m’écarteler davantage, avec ma ceinture de cuir et
mes chaînettes, comme au « Paradis SM ».
J’apprends que les trois hommes ont racheté Anal Doberman.
Je fais la connaissance de deux nouvelles soumises : ma copine
Aimée, brune aux petits seins, qui a subi des doubles pénétrations, elle une
lesbienne, baptisée Fleur du Désir et Opale, une Nord Africaine, une brune aux
seins plantureux, qui vendait dans un réseau parallèle à Charles Alexandre,
baptisée Rose des Sévices.
Toutes les deux ont été instruites. Je dois m’occuper personnellement Aimée.
Aimée me supplie :
- Hermine, je ne veux pas être prise par des hommes, ni par des chiens.
- Désolé, Aimée, j’y suis passée. C’est un peu douloureux surtout pour
ta chatte et ton œillet.
- Allez, Jouisseuse des Sévices, prépare Fleur du Désir. Les dobermans
attendent l’œillet de ta copine.
J’obéis, je dois la goder avec un gode canin, à quatre pattes.
- Arrête, tu me fais mal.
- Tais-toi. Tes mâles t’attendent, annonce le transsexuel.
Pendant que les dogues allemands m’enculent, j’assiste à la saillie
anale par les dobermans de ma copine. Elle gémit, même avec le sexe du
transsexuel en bouche. Rose des Sévices est livrée aux malinois.
Puis ma copine est prise en doubles pénétrations par les villageois,
tandis que je suis offerte à d’autres nouveaux villageois bien montés.
Ma copine lesbienne va devenir bisexuelle et une chienne soumise comme
moi.
La transsexuelle me transforme en Maîtresse SM, pour corriger les
écarts d’Aimée.
Je découvre une étrange sensation de domination sexuelle, j’en mouille.
Tout en cravachant Aimée, prosternée, cuisses écartées, sur son lit, la
transsexuelle m’encule et m’encourage à la cravacher plus fort. Aimée hurle
sous le bâillon-boule, ses cuisses et ses fesses sont rapidement zébrées. Elle
mouille aussi.
Ce dressage d’Aimée dure plusieurs jours, mais je suis toujours saillie
et prise par d’autres amants.
4 juillet
Vers neuf heures, après un rapide lavage au jet d’eau froide, je vois
la Ferrari, la Jaguar et la BMW cabriolet dans la cour.
Les yeux baissés, la bouche entrouverte, je rejoins Aimée et Opale.
Il y a deux jours, Aimée s’est fait épiler la chatte comme moi, avec
des anneaux dorés aux petites lèvres, étirées comme moi par des pinces à
clochettes et son gros clitoris a été percé. Elle a été tatouée sur les reins à
l‘encre noire : « Pute de chienne soumise H » et elle a été
marquée au fer rouge dans la chatte comme moi, du numéro attribué au
« Paradis SM ».
Il y a Charles Alexandre, Sire Xavier et le Marquis Donatien des Bijoux
des Sévices, qui m’a conduit aux singes.
- Voici, la sublime chienne soumise H, elle est resplendissante depuis
son instruction au « Paradis SM », dit Sire Xavier. J’ai vu ses
photos et ses vidéos, elle sait tout faire dans le vice.
- Son œillet est bien assoupli, son amie Aimée doit l’être aussi, dit
Charles Alexandre. Ce sont comme deux sœurs et d’anciennes lesbiennes devenues
bisexuelles, soumises à toutes les envies des hommes.
Le trio me caresse en compagnie d’Aimée. Opale nous observe.
- Je prends en charge Opale, dit le Marquis. Je vous laisse les deux
autres.
Opale part avec le Marquis.
Chienne soumise H et Fleur du désir vont continuer leurs dressages au
haras. Une grosse queue ne fait pas peur à ces deux belles soumises. Vous
portez toutes les deux des robes à corselet, fardées et parfumées.
Une fois habillées, toujours en mules, les cheveux libres, sans nos
carcans de cuir, avec de gros bijoux d’anus de six centimètres moulés sur les
sexes des dobermans, nous montons chacune dans une des voitures.
Je monte dans la Ferrari, la jupe relevée, sans mon boléro.
- Je t’ai manqué depuis le 21 juin, ma belle. Tu mouilles d’excitation.
Tu as envie que je t’encule aussi. Patience, le chemin est long.
En effet, nous passons diverses routes et nous retrouvons les deux
motards de la gendarmerie qui me reconnaissent, malgré que je porte un masque
de nuit et un bâillon-boule. Je ne porte pas mon boléro, pour que le vent
fouette mes mamelons constamment tendus, pour m’exciter.
Vers midi, on me fait descendre de la voiture et je suis aussitôt
enculée par les deux motards, qui éjaculent en moi.
Nous continuons le chemin.
J’entends hennir les chevaux.
Le haras est en fait un bordel SM, avec des gardes montés, pour sa
sécurité, non loin du centre-ville et à trois heures de la tour J5.
Sire Xavier me déshabille rapidement. Il me met mon collier de cuir,
similaire à celui du « Paradis SM » et des bracelets de cuir à mes
poignets. Je garde mes mules et je suis coiffée d’une queue-de-cheval.
Menottée dans le dos, je suis tenue par Sire Xavier, nous montons des
marches menant à un bâtiment, où mes mules claquent sur le marbre.
Des mains inconnues pelotent mes seins, fouillent mon anus et ma chatte
libres.
Après ces préliminaires, aveugle, accroupie, je suce avec Aimée, les
mandrins à nos dispositions, les commentaires sur notre comportement de pute,
de chienne, de soumise, de suceuses de luxe et d’autres expressions brutales et
crues sur nos statuts.
Puis nous sommes prises en doubles pénétrations, allongées, debout, nos
chattes et nos anus dégoulinent de spermes chauds, ainsi que nos bouches.
J’avale le maximum de spermes, mélangés à des coupes de champagne.
En quatre heures, je ne peux compter le nombre de mes amants, bien
montés, qui me complimentent sur mon anus bien assoupli.
Nous marquons une pause, pour reprendre nos esprits, offertes,
allongées sur le dos, cuisses écartées, sur la table basse du salon. Mais nos
bouches restent occupées par les mandrins qui veulent bander à nouveau.
Nous sommes uniquement enculées dans diverses positions. J’entends les
flashs crépités, les caméras nous filment.
Quand on retire nos masques de nuit, nous sommes dans une chambre
commune, le soleil se couche.
Une chaîne est fixée à mon collier en fer, mes bracelets sont menottés
dans mon dos, mes fesses, mes cuisses et mes reins sont brûlants par les coups
de cravache et de garcette pour m’encourager. Mes bracelets en fer inoxydable,
articulés et à demi rigides à mes poignets et à mes chevilles, hauts de près de
deux doigts et portaient chacun un anneau de même métal. Un jeu de miroirs me
permet de découvrir ma chatte humide, aux lèvres entrouvertes, mon anus est
rempli par son bijou d’anus, du sperme dégouline des deux orifices en feu. Mes
poils pubiens et mon ventre sont aussi de spermes séchés. Mon excitation
sexuelle amplifiée par les boissons que j’ai consommée, a fait tendre à
l’extrême mes mamelons et mon clitoris. Je ressens un certain plaisir, moins
que la douleur.
Je garde mes cuisses écartées., comme on l’a rappelé. Je ne porte plus
mes mules à hauts talons. Je partage ma chambre avec Aimée.
Les yeux baissés, par l’entrée de ma chambre, sans porte, je crois
reconnaître Dan Eros.
Je n’ose l’appeler.
Il me reconnaît, m’embrasse langoureusement, son mandrin est gainé de
picots.
- Désolé, chienne soumise H, je dois t’enculer, comme au premier soir.
Tu te retiens de jouir.
Dans un face-à-face, il me fait empaler sur son mandrin, qui m’encule
jusqu’aux testicules, je ne peux opposer de résistance. Ses coups de reins et
ses caresses de mon gros clitoris, m’achève. Je dois retarder mon orgasme anal.
Il retire sa gaine et éjacule dans ma bouche.
Il m’allonge sur le ventre, avec un coussin et je suis offerte à un
doberman, pour ma saillie anale du haras, devant des clients. Je connais quatre
orgasmes.
Puis un autre doberman et un dogue allemand m’enculent aussi dans la
foulée.
Je suis fouettée pendant la nuit, debout à côté de mon lit, penchée en
avant. Je me retiens de gémir.
Mes râles couvrent les gémissements d’Aimée, enculée par mes mêmes
amants canins.
9 juillet
A l’aube, j’émerge, de ma courte nuit, fouettée et enculée par des
inconnus, même par des dogues allemands. Je suis juste nourrie de ma mouille
mélangée à mon urine et aux spermes humains et canins, depuis mon arrivée au
haras.
Je reste les mains menottées dans le dos ou à mon collier, selon les
requêtes du Maître.
J’ai droit de prendre un bon bain tiède, pour me relaxer.
Je porte plusieurs heures par jour, mes pinces tantôt à mes grandes
lèvres tantôt à mes petites lèvres de ma chatte humide pour les étirer
davantage, avant d’être ferrée.
Ma chatte est soigneusement épilée tous les jours. Je suis conduite,
nue, en cuissardes, en compagnie de mon amie Aimée, aux écuries, derrière le
bâtiment principal abritant le bordel SM.
- Voici, mes deux belles futures putes chevalines, vos amants équins.
Toi, chienne soumise H, tu vas monter Zéphyr des Haies, un superbe pur-sang
arabe et quant à toi, Fleur du Désir, tu vas monter Alizé des Vices, un
trotteur. Ils sont équipés de godes pour vos chattes et vos œillets. Le vaginal
est moulé sur le sexe d’un cheval pour vous habituer et l’anal est celui de vos
chiens favoris. Sacha va vous escorter dans le domaine, pour une heure de
promenade.
Nous sommes empalées sur nos propres poids sur les godes. Mon gros
clitoris frotte contre les poils de Zéphyr, décuplant mon double plaisir.
Au milieu de la forêt, Sacha nous aide à descendre. Nos chattes et nos
anus sont bien ouverts.
- Tiens, soumise H, tu vas Zéphyr et Fleur, tu suces Alizé.
J’observe son sexe, fascinée par sa taille et n'y tenant plus, me met à
le lécher avec gourmandise. Je fais rentrer le gland monstrueux et commence à
sucer le cheval. Celui-ci, sous les caresses labiales, entre en érection
jusqu’à son éjaculation.
Sacha m’introduit le sexe à demi-dur dans ma chatte et fait de même
avec Fleur du Désir.
Je coulisse en jouissant, mais Aimée gémit un peu, la chatte étroite,
mais l’érection la fait écarteler tout comme la mienne.
En plein orgasme de nous deux, ils éjaculent dans nos chattes.
Mais Sacha, en profite, pour me libérer de Zéphyr et me l’enfonce
jusqu’au gland dans mon anus. Je gémis, mais sous l’effet d’une nouvelle
érection, je suis violemment écartelée, pire qu’avec le dogue allemand.
Sacha m’enfonce son sexe équin jusqu’à trente centimètres et je dois
coulisser, les fesses cravachées. Il éjacule encore.
Nous remontons à cheval, pour une douche au jet d’eau froide. Nous
remettons nos bijoux d’anus plus gros.
Plusieurs fois dans la journée, et les jours suivants, avec Aimée, nous
sommes enculées par nos amants équins, devant des invités qui nous filment et
nous photographient.
12 juillet
Nous sommes officiellement ferrées aux noms de nos Maîtres. Nos anneaux
dorés sont remplacés par des anneaux de fer mat inoxydable. La tige en est
ronde, épaisse comme un gros crayon de couleur, et ils sont oblongs : les
maillons des grosses chaînes sont semblables. Chacun est formé de deux U qui
s'emboîtent l'un dans l'autre. Un ressort intérieur sur lequel on doit forcer
pour le faire pénétrer dans la rainure où il se bloque. Chaque anneau est long
comme deux phalanges du petit doigt, qu'on y peut glisser. A chacun est
suspendu, comme un nouveau maillon, ou comme au support d'une boucle d'oreille
un anneau qui doit être dans le même plan que l'oreille et la prolonger, un
disque de même métal aussi large que l'anneau est long.
Nous sommes marquées toutes les deux au fer rouge sur nos fesses, les
lettres S et H.
A moitié évanouie sur mon chevalet, menottée, nue, je suis enculée par
plusieurs chevaux du haras, pour me réveiller, par mes orgasmes anaux violents.
Quand je me lève, les fers qui trouent ma chatte, me descendent
jusqu'au tiers de la cuisse, et à chacun de mes pas bougent entre mes jambes
comme un battant de cloche, le disque gravé étant plus lourd et plus long que
l'anneau auquel il pend. Les marques imprimées par le fer rouge, hautes de
trois doigts et larges de moitié leur hauteur, sont creusées dans la chair
comme par une gouge, à près d'un centimètre de profondeur.
Rien que de les effleurer, on les perçoit sous le doigt. De ces fers et
de ces marques, j’éprouve une fierté insensée.
16 juillet
J’épouse Charles Alexandre, comme sa soumise et Aimée, devient ma
soumise. Ahmed est emprisonné avec ses complices.
Je quitte la tour J5 pour un luxueux manoir dans un quartier
résidentiel sécurisé, avec quelques-uns de mes amants canins, pour me faire
saillir.
Je me rends de temps à autre, au haras, pour mes saillies équines avec
Aimée.
Je touche un pourcentage sur mes photos et mes films depuis ma
défloration.
Je vous attends, mes amants, pour me faire jouir, avec ma chérie Aimée
et mes amants.
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