Je m’appelle Orchidée, née de père inconnu et d’une
mère Danoise.
J’ai 23 ans.
Je suis une jolie beauté scandinave.
Je suis une
brune aux yeux verts. J’ai des pieds fins et latins, des jambes longues
bronzées, musclées qui inquiètent par leur perfection. Mon pénil est bombé,
ouvert, couronné de noir. Ma pilosité brune couvre mon pubis. Je suis
totalement velue entre les cuisses et j’ai une superbe croupe. Les lèvres de
mon sexe sont une plaie rouge entre mon entrecuisse velue. Mes hanches
s'incurvent et délimitent le ventre plat, délicieusement renflé autour du
nombril, les hanches sont larges et rondes, mais sans lourdeur. La taille est
affinée. Les seins parfaits intégralement bronzés sont un peu volumineux mais
fermes, et leurs pointes marron clair, toujours dressées, cernées par une large
aréole marron attirent le regard. J’ai une peau lisse et patine. Finition
parfaite, un seul grain de beauté entre mes superbes seins. De longs cheveux
plats blonds flottant comme des algues, battent mes épaules rondes et
gracieusement athlétiques. Je suis intégralement bronzée. Mes yeux verts
limpides s'allument, ma bouche charnue se fend. J’ai des sourcils bruns bien
dessinés et des lèvres pulpeuses. J’ai de longs doigts fins et de belles mains.
Je fais du 85B de poitrine, 56 de taille, 90 de hanches, 1,72 m.
LE VILLAGE
DU VICE
19 juin
Je suis
depuis cinq ans, l’adjointe du maire, d’un petit village, en pleine campagne,
dévouée, en charge du commerce. Nous sommes à trois heures de la mer.
Je suis
célibataire, capricieuse, ayant eu de nombreux amants depuis mon adolescente.
J’ai quitté le village pour aller au lycée et en université. Je suis encore
vierge, car mes amants me baisent peu profondément, à ma demande. Je suis aussi
lesbienne experte.
Aujourd’hui,
notre village reçoit le nouveau propriétaire d’un institut de massage avec un
spa et des salons de massages, à l’entrée du village.
Vers midi,
l’homme descend d’une superbe BMW coupé. Il a le triple de mon âge, musclé,
athlétique.
Je
l’accueille en personne, à mon bureau.
Je suis
vêtue de mon tailleur fuchsia, sur mon chemisier blanc et mon ensemble
soutien-gorge et string en dentelle assortis blancs, en sandales à hauts
talons, coiffée d’une queue-de-cheval, maquillée.
- Vous devez
être Orchidée. Je suis Nathan de Saint Val, j’ai connu une aventure avec une
très belle femme, qui vous ressemble, à Singapour, dans ma jeunesse.
- Monsieur,
je vais vous conduire à votre institut.
- Prenons ma
voiture. Vous me guiderez. Je connais un peu la région. Il y a un appartement
de libre dans les environs.
- Oui, là où
je réside. Je possède un duplex de disponible.
A
l’institut, Nathan m’invite à me déshabiller, pour me masser, comme sa première
cliente.
Je ne peux
refuser.
Nue, il
découvre ma toison pubienne et ma chatte velue, mes petits seins et mon corps
athlétique.
- Vous êtes
tendue. Savez-vous que je peux vous détendre, sexuellement, sans vous pénétrer.
Vous aimez la belle lingerie, qui met en valeur vos seins, vos fesses musclées.
J’aime ça, chez une femme.
- Comment,
je n’ai jamais eu à faire à ce massage ?
Dénudant mes
fesses avec la serviette, ses doigts passent sur mes fesses, qu’il masse, se
concentrent sur mon clitoris qui se tend. Je commence à jouir.
- Vous êtes
très sensible. Rare, sont les clientes qui mouillent dès les premières minutes.
- Continuez,
je suis détendue. Doigtez-moi ma chatte et surtout pas mon anus.
L’action
combinée des doigts sur mon clitoris et enfoncés dans ma chatte, me provoquent
un violent orgasme.
- Vous êtes
du style masturbation digitale que des godes.
- Non,
j’aime les deux, quand je suis seule sous ma douche ou dans mon lit.
Remise de
mon orgasme, je me repose nue, dans le spa, sous les jets d’eau et
inconsciemment, je dirige un des jets vers mon clitoris qui me fait jouir
longuement.
Une fois
douchée et rhabillée, je vais pour payer Nathan.
- Non, c’est
une première séance gratuite pour vous. Je vous fais un prix pour les
suivantes, si vous souhaitez en faire d’autres, après des réunions.
J’accepte.
Il me dépose
à mon immeuble. Nous visitons le duplex. Il signe le bail. Il va emménager dans
la journée.
Au bureau,
je téléphone à ma gynécologue, pour un rendez-vous dans la semaine.
J’entends
une voix masculine :
- Miss
Orchidée, je suis le gynécologue Alban, qui remplace Rose, qui est partie à un
séminaire professionnel. Vous ne voyez pas d’inconvénient.
- Non, c’est
mon rendez-vous trimestriel que je dois honorer.
- Vous
n’avez aucun souci avec vos règles, de douleurs vaginales, anales ou mammaires.
- Non,
docteur, je suis saine.
- Venez me
voir, vers dix-huit heures, à mon cabinet.
Vers
dix-sept heures, je passe à mon duplex, me douche, me change. Je mets un
tee-shirt rouge sur mon soutien-gorge blanc, une jupe ample pour cacher mon
string blanc et des mules à petits talons, les cheveux libres, parfumée et
maquillée.
Le cabinet
est à une demi-heure de marche de mon immeuble.
A l’entrée
du cabinet, je suis directement accueilli par Alban, en personne. La secrétaire
est partie.
- Tu es
sublime, Orchidée. On se tutoie. J’aime tutoyer mes patientes.
Assise à son
bureau, les jambes croisées, il me questionne sur ma sexualité, complétant le
dossier médical de l’autre gynécologue. Mes règles, depuis quand, abondance,
douleurs ; ma sexualité passée au crible, éveil, masturbation : où, comment,
combien... ; pratiques sexuelles : rapports buccaux, perversions, partouze... À
la question :
- As-tu été
souvent sodomisée ?
Je réponds :
- Non, je
n'ai jamais été pénétrée par là...
- Comment,
une garce aussi chaude que toi ne s'est jamais faite enculer ?
- Non, je
vous le jure...
- De toute
façon, on aura la preuve au cours de l'examen clinique que tu vas subir tout à
l'heure : ton petit trou parlera pour toi...
- On va...
m'examiner cet endroit ?
- Mais oui,
et pas que l'anus, crois-moi !!!
Je me
retrouve rapidement nue, cuisses écartées, sur le fauteuil gynécologique, un
thermomètre dans ma chatte, un dans mon anus et un dans ma bouche. Je dois
rester ainsi deux ou trois minutes, tout en pelotant mes seins, faisant durcir
mes mamelons.
Il palpe mes seins, les presse, pince les
mamelons, tire dessus, les tord dans tous les sens tout en commentant.
Je me
retrouve les fesses au bord de la table, cuisses fortement repliées sur la
poitrine, genoux écartés au maximum, mollets reposant sur des sortes de
gouttières, si ouverte, offerte, ainsi écartelée, ma chatte s’ouvre toute
seule.
- J’aime une
chatte velue comme la tienne.
Il m’enfonce
un spéculum dans ma chatte et m’annonce :
- Ton hymen
n’est pas percé. Tes amants ne te donnent pas assez de plaisir pour ta
jouissance. Je vais y remédier, comme tu mouilles bien.
Puis il
enfonce un écarteur anal dans mon anus.
- Oeillet
étroit, trop serré : prévoir une dilatation anale...
Puis il se
concentre sur mon clitoris tendu, les lèvres de ma chatte, tout en gardant
l’écarteur anal en place, me masturbant longuement mon clitoris et je jouis,
dans un violent orgasme. Puis il continue à me doigter profondément ma chatte
humide, dans de longs va-et-vient jouissifs, jusqu’à un second orgasme.
Il me retire
l’écarteur anal et m’enfonce sans préavis, son mandrin de vingt-cinq par sept
dans ma chatte, me déflorant d’un seul coup, en prenant soin de masturber mon
clitoris tendu.
J’ai un
nouvel orgasme.
Il me
menotte au fauteuil gynécologique, pour éviter que je me débats et me met un
bâillon-boule en bouche. Alban est plus âgé que moi.
- Ainsi, je
peux t’enculer, sans que tu cries.
Il m’encule
d’une seule traite, jusqu’aux testicules. Je suis tendue, mon anus me fait mal.
Après quelques va-et-vient, je découvre une vague de plaisir anal, inconnue à
ce jour.
- Tu aimes
ça, tu l’as cachée à tes amants.
Il se
retire, enduit bien mon anus entrouvert de ma mouille abondante et m’encule à
nouveau. Je suis plus détendue.
Il me retire
le bâillon-boule et je jouis.
- Tu vois,
c’est pas douloureux. Tu devras porter un bijou d’anus quelques jours pour
t’habituer à ma queue et à celles de tes amants.
Un autre
homme entre, je suis pantelante, les yeux mi-clos.
Je ne le
reconnais pas, c’est le frère jumeau d’Alban, Charles Edouard.
- Elle est
prête, tu peux l’enculer, elle va me sucer.
Charles
Edouard m’encule avec un mandrin de vingt-huit par six et je suce jusqu’à
l’éjaculation Alban.
- Elle a
joui encore, enculée. Excellente, cette patiente a juste besoin d’avoir
l’œillet bien rempli, pour obtenir ce que l’on veut d’elle.
Charles
Edouard éjacule dans ma bouche et Alban me défonce la chatte plus profondément,
détendue.
Je prends
une douche devant eux et j’écarte mes fesses pour recevoir mon bijou d’anus. Il
a la forme d’un pénis avec des veines et un gland prononcé et en relief, long
de dix-sept par quatre.
- Orchidée,
je te prends un rendez-vous avec le sexologue Docteur Brice de Mon Plaisir, à
sa clinique privée à deux heures de route. Un taxi viendra te chercher.
Désormais, j’oublie, plus de culottes ou de strings, plus de soutien-gorges car
tes seins et ta chatte doivent toujours être nus sous tes vêtements et ton
entrejambes jamais dissimulée. Ni collants, ni shorts, ni jupes culottes ni
bien sur de pantalons, juste des jupes ou des robes mais à la condition qu'en
aucun cas elles ne soient plus longues que le milieu de tes cuisses. Jamais de
tee-shirt ou autres vêtements sous tes corsages ou chemisiers. Pour tes pieds,
soit tu seras pieds nus soit tu porteras des chaussures mais dans ce cas,
toujours à talons. Tu auras toujours être pieds nus dans tes chaussures, dès
aujourd’hui. Tu seras enculée fréquemment jusqu’au rendez-vous.
Je suis
photographiée et filmée pendant mes sodomies à mon insu, par des discrets
appareils dans le cabinet.
Je me
rhabille et rentre chez moi, silencieuse sur mon examen gynécologique.
En marchant,
je contracte inconsciemment mon anus et je fais avancer le bijou contre ma
chatte trempée et la stimule. Ma chatte est resserrée, pour détendre mes
sphincters anaux pour apprivoiser le plaisir anal et se familiariser avec mon
anus. Outre un sentiment de grande relaxation, les contractions des muscles
anaux provoquent un immense plaisir qui se propagera dans tout le bas-ventre.
Je regrette d’avoir été enculée plus tôt par mes amants.
Je dois
garder le bijou d’anus pour la nuit. Je dors nue, avec les images du cabinet
gynécologique et du masseur. Je suis en sueur.
Je découvre
mes mamelons et mon clitoris sont complètement tendus et très dur au point de
me faire vraiment mal et le moindre effleurement même involontaire devient une
véritable torture tellement ces endroits sont devenus sensibles.
20 juin
Au lever du
soleil, j’émerge, nue sur mes draps, mouillée de mon abondante mouille
d’excitation. J’ai oublié de fermer mes rideaux de ma chambre et mes volets,
donnant une vue parfaite pour mes voisins voyeurs de ma nudité.
Je me
douche, déjeune, nue, devant mon miroir. Je me parfume, me maquille. Je choisis
une robe dos nu estivale blanche, ne pouvant et je me soulage, avant de
remettre le bijou d’anus. Mes mamelons pointent sous ma robe, par
l’effleurement du tissu sur mes seins nus.
Je suis
chaussée de mules à petits talons et j’ai laissé mes cheveux libres.
Avant de
quitter mon domicile, le téléphone sonne :
- Orchidée,
c’est Charles Edouard, votre rendez-vous est prévu le 21 juin à huit heures. Je
présume que votre œillet s’est un peu élargi avec le port du bijou d’anus. Le
docteur te fera portera une taille supérieure. Tu obéis à ses ordres et aux
partenaires de la clinique. Tu es désormais sa pute et la notre aussi. Tu as
interdiction de te masturber jusqu’à demain matin.
J’arrive en
retard à la mairie. Tous regardent leurs courriers et j’aperçois partiellement
des photos. Je n’ose les interroger.
Je présente
mon projet commercial pour faire venir de nouveaux clients.
La gent
masculine me regarde avec insistance mais les femmes aussi, surtout au niveau
de mes mamelons tendus sous ma robe. Après mon exposé, je garde les yeux
baissés, sans jamais serrer les jambes et à ne jamais me croiser les bras pour
masquer mes seins. Je suis terriblement excitée. Plus je suis excitée et plus
parfois c'est gênant car ça ce voit parfaitement bien.
A la sortie
de la réunion, vers 11 heures, je passe chez mon esthéticienne, pour ma
pédicure et ma manucure, pour mes nouveaux amants.
Je découvre
une enveloppe anonyme avec des photos en gros plan d’une chatte velue et d’un
anus écartelé par un gros mandrin. Les jumeaux m’ont interdit de porter plainte
sur mon rendez-vous gynécologique, sous peine de sanctions.
- Orchidée,
la fille qui s’offre sur ses photos, est très chaude à mon goût, me dit la
sublime Diane, une brune aux seins plantureux, aux cheveux courts.
- Mais, je
n’aurai jamais acceptée, si j’étais la fille, de recevoir une telle queue dans
mon œillet.
- Tu es très
secrète sur tes relations sexuelles, depuis qu’on se connaît.
Je n’ose
répondre.
Vers 13
heures, une fois prête, je retrouve Nathan, qui a emménagé ce matin, en mon
absence. Il me complimente sur ma robe.
- C’est
souvent, que tu te promènes nue sous ta robe qui dévoile ton corps avec le
soleil.
- Oui,
j’aime être nue sous mes tenues. C’est plus pratique, pour m’offrir à un
éventuel amant.
Sans
attendre, Nathan me retire ma robe, m’écarte mes fesses et découvre mon bijou
d’anus.
- Tu es une
jouisseuse anale ou clitoridienne, belle Orchidée. Mets-toi à quatre pattes sur
mon lit, que je juge de tes qualités sexuelles.
J’obéis,
l’anus libre du bijou d’anus, agenouillée, bras tendus, offrant mes fesses
rebondies à son mandrin imposant de trente-six par huit. Il me défonce
profondément ma chatte, pour l’écarteler. Je jouis. Il me saisit la taille,
pour me faire coulisser.
Puis il
enfonce son gland dans mon anus entrouvert, humide.
- Non,
Nathan, retires ta queue de mon œillet.
- Tu es
étroite, mais j’aime l’œillet étroit d’une telle beauté.
Je dois
subir ma sodomie contrainte, maintenue fortement par les hanches.
- Je vais te
faire jouir, ma belle.
En effet, il
caresse aussi mon clitoris tendu par l’excitation. La douleur et le plaisir se
mêlent dans un violent orgasme anal.
Sans
débander, il me fait asseoir entre ses cuisses écartées, au bord du lit. Je me
retrouve empalée, enculée jusqu’aux testicules. Il caresse mes reins, mes
fesses qu’il écarte, mes seins aux mamelons tendus, devenus saillants, gros et
longs comme jamais auparavant. Mon clitoris devient gros comme une cerise, saillants et volumineux, sous ses
caresses.
- Ton œillet
est bien écartelé, ma queue te défonce bien.
- Encule-moi
encore, je veux encore jouir.
Son érection
suivie de son éjaculation me conduit à un orgasme anal plus violent que le
premier. Je le suce, pour le nettoyer. Nous prenons une douche. Je rentre à mon
appartement, pour lire mon courrier.
Je trouve
aussi la lettre anonyme avec les mêmes photos que chez l’esthéticienne. Un
petit mot signé ACE est écrit :
La prochaine
fois, le docteur BMP sera plus exigeant sur votre œillet. Soyez détendue,
Orchidée.
Je remets
mon bijou d’anus pour ne pas perdre le précieux sperme de Nathan.
Je me repose
nue, avant de rejoindre Nathan pour un souper dans un restaurant des environs.
Je choisis
un chemisier blanc sur mes seins nus et une jupe ample fuchsia cachant mes
fesses et mes jambes nues, et mes mules à hauts talons, les cheveux libres,
maquillée et parfumée.
Je fais
sensation au restaurant, sans savoir que le docteur BMP est présent. J’ai mis
mon bijou d’anus.
Lorsque je
me rends aux toilettes, un homme me suit.
- Orchidée,
tu es resplendissante. Tu as les fesses nues, je présume. Soulève ta jupe.
J’obéis.
Sans
attendre, il m’enfonce son mandrin de trente par huit dans ma chatte resserrée
et humide, avant de m’enculer, l’anus libre. Je me retiens de jouir, sous son
éjaculation. L’homme disparaît. J’ai juste le temps de me soulager.
Je retrouve
Nathan, en discussion avec l’inconnu qui m’a enculée.
- Orchidée,
je te présente mon ami le Baron, un amateur de jolies femmes comme toi.
Il me fait
le baise-main, il est plus âgé que moi.
Nous parlons
de sexes, sur mes goûts sexuels, mes envies, mes fantasmes, dans le parc
voisin. Ils me caressent discrètement mes fesses nues et ma chatte trempée. Je
me retiens de jouir.
- J’oublie
Orchidée, on peut se voir demain matin à ton bureau.
- Non, j’ai
un rendez-vous à huit heures, en dehors.
Le Baron
m’embrasse langoureusement sur ma bouche, en pelotant mes seins, sous mon
chemisier, en étirant mes mamelons tendus.
Je dors très
mal, en sueur, sur mes draps mouillés.
21 juin
Je me lève
de bonne heure, choisis un bustier sur mes seins nus et une jupe éventail
assortie noirs, avec des escarpins noirs, coiffée d’une queue-de-cheval.
Dans le
taxi, je dois m’asseoir fesses nues, sur la banquette arrière, cuisses
écartées, les yeux baissés, silencieuse. J’ai remis mon bijou d’anus.
Nous entrons
par l’entrée du personnel.
Je suis
accueilli par le docteur BMP en personne, qui ressemble au Baron, avec son
assistante, une brune aux seins plantureux. Le docteur est nu sous sa blouse,
le mandrin en érection.
Dans son
cabinet, je m’installe nue, sur le fauteuil gynécologique. Deux étalons
Africains noirs, se masturbent, nus, avec des mandrins de quarante par six.
J’ai droit
au spéculum et à l’écarteur anal, pour vérifier mes ouvertures.
- L’œillet
ne s’ouvre que sur quatre, il faut maintenant du six, pour l’élargir davantage.
La chatte est bien ouverte, la mouille est abondante, un superbe gros clitoris
tendu et des mamelons tendus par l’excitation. Horace et César sont là, pour
t’enculer ce matin. D’autres partenaires s’occupent de toi cet après-midi et
cette nuit, tu restes à la clinique, tu as une chambre préparée. Deux jours à
la clinique sont suffisants pour t’ouvrir davantage.
- Mais,
- Silence,
Orchidée, ou je te fais cravacher, si tu parles. Tu n'ouvres désormais ici la
bouche, en présence, que pour gémir ou sucer, les yeux baissés.
Je suce les
deux étalons, menottée au fauteuil. Ils m’enculent à tour de rôle, jusqu’aux
testicules, en me masturbant mon clitoris. Je dois retarder mon orgasme anal.
Après six
sodomies profondes, je bois un excitant sexuel et je dois porter un bijou
d’anus munie de sphères de plaisir mesurent entre trois et cinq centimètres de
diamètre pour me procurer une sensation d'étirement au fur et à mesure que je
progresse dans l'insertion, sur dix-sept centimètres. Je jouis aussitôt.
L’après-midi,
je suis offerte à deux autres partenaires, dotés de mandrins de sept
centimètres de diamètre. Je dois porter un nouveau bijou d’anus de douze par
six, pour m’ouvrir un peu plus.
Après six
nouvelles sodomies, j’ai droit à un lavement et je rejoins ma chambre, nue,
pour une douche à l’eau froide.
Vers 19 heures,
je dois enfiler un gode réaliste avec un prépuce qui se rétracte, de dix-huit
par six, dans mon anus entrouvert et lubrifié par ma mouille. Il s’allonge et
rétrécit à chaque mouvement de va-et-vient grâce à son enveloppe ultra-souple
qui s’étire ou se contracte en suivant les montées et descentes du gode. J’ai à
disposition un véritable homme qui me fait l’amour en étant infatigable. Sa
base se termine par un anneau qui affleure juste de mon anus. Certains anneaux
qui en ornent le tour de ma ceinture sont montés au bout d'une chaînette sur un
enrouleur assez dur : celui au centre à l'arrière est tiré, ainsi que deux par
devant, à l'aplomb des cuisses. Ces deux-là suivent mes aines, l'autre ma raie
fessière, les trois anneaux sont mis en parallèle avec celui qui ressort de mon
anus, un petit cadenas relie les quatre, et le tour est joué : même avec mes
mains libres, je ne peux pas retirer le gode qui me dilate l'anus.
Je suis
menottée à mon lit, bras et jambes écartés, sans défense. Je suis à la fois excitée,
mais je ne sais quel sort me réserve le docteur BMP. Je jouis sur ce gode. Je
ne peux me caresser, mon clitoris, ni mes seins.
Je suis
nourrie, menottée à mon lit.
J’essaye de
trouver le sommeil, enculée par cet amant infatigable. Je connais de nombreux
orgasmes anaux, mon anus est devenu très sensible à chaque va-et-vient. Je
mouille abondamment,
Mes mamelons
et mon clitoris sont tendus à l’extrême, mais le plaisir l’emporte sur la
douleur.
22 juin
Vers trois
heures du matin, je suis libérée de mon lit, sans le gode et conduite sur le
fauteuil gynécologique, pour un examen anal, suivie de six longues sodomies par
de nouveaux partenaires bien montés jusqu’à huit centimètres, pour m’élargir.
Je dois retarder mes orgasmes, nourrie de leurs spermes en bouche.
Comme je
suis chaude, je suis prise en double pénétration, debout.
Je suis enculée par un calibre de huit centimètres, par derrière, en me
soutenant, tandis que d’un de sept centimètres me défonce la chatte
simultanément. Je l’entoure de mes jambes, doublement pénétrée.
Une voix masculine m’annonce :
- Tu seras quotidiennement double pénétrée, pour connaître le plaisir
ultime d’une pute.
Je passe ensuite en double pénétration avec divers calibres, pour
m’écarteler un peu plus.
Vers 6 heures du matin, le pubis recouvert de spermes, ma bouche
remplie de sperme, mon anus rempli de spermes et du gode, pour bien me
lubrifier à nouveau.
Vers 8 heures, je déjeune, avant six double pénétrations intenses, sans
jouir.
Vers 15 heures, j’ai droit à un écarteur anal pour juger de mon
ouverture.
Le docteur BMP m’annonce, l’écarteur anal en place :
- Orchidée est doublement ouverte. Son œillet est élargi à six pour
accueillir tout calibre, désormais. Elle est la nouvelle soumise. Son gros
clitoris est percé d’un anneau doré avec une pierre précieuse pour la faire
reconnaître. Désormais, tu dois garder les yeux baissés et la bouche
entrouverte devant tout homme que tu croises. Les seins, les fesses et les
jambes nues, montre que tu es accessible à tout moment, les cuisses toujours
écartées à toute occasion. Tu es toujours fardée et parfumée. La cravache t’es
donnée par l’homme que tu regardes s’il te prends ou te parles, tu ne peux te
dérober à lui. Ton écrin, ton œillet et ta bouche lui sont destinés. Tes
vêtements sont à trier, pour des tenues plus sexy, dévoilant tes charmes. Tu
vas te rendre à l’adresse indiquée sur l’ordonnance lors de ton départ vers
vingt heures. Les jumeaux doivent te voir, une fois par semaine.
Dès le retrait de l’écarteur anal, le docteur BMP m’encule longuement,
je suis menottée au fauteuil gynécologique, en m’obligeant à retarder mon
orgasme anal.
Il éjacule dans ma bouche.
Vers 20
heures, je peux me rhabiller, après une ultime douche à l’eau froide, un long
lavement anal et le port de mon bijou d’anus, de quinze par six, moulé sur un
vrai mandrin réaliste, muni d’un prépuce qui se rétracte, en même temps que le
bijou d’anus va-et-vient, pour me rappeler de statut de jouisseuse anale.
Je rentre
chez moi. Je découvre de nouvelles photos de chatte velue et d’anus écartelés
par d’imposants mandrins. Ces photos me font jouir, nue, sans que je me
caresse. Le bijou d’anus me pilonne avec une telle vitesse, que je dois
m’allonger sur mon lit, pour connaître de violents orgasmes anaux que j’ai
refusé chez le docteur BMP. Il me faut un vrai mandrin pour m’enculer, me
baiser, à sucer.
J’ai un rendez-vous à 22 heures. Je prends une longue douche froide. Je
suis tellement excitée, que mes mamelons et mon clitoris sont tendus à
l’extrême. Je me farde : les paupières sont légèrement ombrées, la bouche
très rouge peinte au pinceau, les mamelons et l'aréole des seins rosies au
pinceau, mes petites lèvres de ma chatte rougies au pinceau, en soulignant la
fente du giron. Je me parfume à trois reprises, mes aisselles lisses et ma
fourrure pubienne, dans le sillon entre mes cuisses, dans le sillon sous les
seins, et au creux des paumes.
J’enfile une robe dos nu noire de ma garde-robe, remise au goût désiré.
La robe est discrètement fendue par derrière sur mes fesses nues. Je chausse
mes sandales blanches à hauts talons et je me coiffe d’une queue-de-cheval.
Arrivée à la salle des fêtes, à une demi-heure à pied de chez moi, je
suis l’attraction. Ma disparition soulève des questions, je reste discrète. Je
suis aussi attendue au « Pavillon de chasse » à une heure de route de
la ville.
Deux beaux étalons me séduisent, entre deux verres et quelques plats du
traiteur.
Ils me conduisent aux toilettes pour hommes. Je dois pisser debout à
l’urinoir, en soulevant ma jupe, l’anus libre de mon bijou d’anus mis dans mon
sac à main.
Sans attendre, le premier doté d’un mandrin de vingt-cinq par huit,
m’encule à sec jusqu’aux testicules, en ouvrant bien ma jupe.
- Quel œillet de pute. Tu es une sacrée pute du maire, désormais. Tout
le monde connaît ton goût pour la sodomie, avec le docteur BMP.
- Oui, pine-moi à fond mon œillet de pute.
- Tu aimes ça, Orchidée, dit l’autre étalon, doté d’un quarante par
sept, me fait glisser ma main sur son mandrin pour le faire bander.
Je suis au bord de l’orgasme anal, quand le premier se retire et je
dois le sucer, pour que le second m’encule sur le champ, bien écartelé.
Le premier
éjacule dans ma bouche et le second dans mon anus. Je me refais rapidement une
beauté.
Quatre
autres étalons se relaient jusqu’à deux heures du matin pour me faire jouir,
enculée et baisée selon leurs humeurs.
23 juin
A la sortie
de la salle des fêtes, vers trois heures du matin, pantelante, je suis invitée
à monter dans une Rolls-Royce m’attend avec son chauffeur. Je monte à
l’arrière, assise cul nu.
Mon voisin,
un bel étalon musclé, du double de mon âge, me déshabille prestement. J’ai
gardé mon bijou d’anus.
Il me bande
les yeux, je suis assise fesses nues sur le cuir de la banquette, cuisses
écartées, silencieuse, nue. Je porte des carcans de cuir, à mes poignets, mes
chevilles et à mon cou. Mes mains sont menottées dans le dos. Je suis
longuement caressée par l’inconnu, que je dois sucer. Il est bien monté.
Mes carcans de cuir sont faits : en plusieurs
épaisseurs de cuir, chaque épaisseur assez mince, au total pas plus d'un doigt,
verrouillés par un système à déclic, qui fonctionne automatiquement comme un
cadenas quand on le referme, et ne peut s'ouvrir qu'avec une petite clé. Dans
la partie opposée à la fermeture des bracelets, pris dans le milieu des
épaisseurs de cuir, et n'ayant presque pas de jeu, il y a un anneau de métal,
qui donne une prise pour fixer, et qu'on positionne du côté intérieur du
poignet. Pour le collier, l'anneau pend devant le cou, reposant sur la saillie
des clavicules, et brinquebale au rythme des mouvements de celui qui le porte.
Après un
long trajet, nous entrons par une porte cochère menant à une allée vers le
« Pavillon de chasse », j’entends des chiens aboyer.
On m’aide à
descendre. Je parcours une partie de l’allée en gravier, à pied, tenue en
laisse par l’anneau de mon collier. J’entends des commentaires de pute anale,
suceuse experte, dévouée au vice et à de nouveaux désirs. Des mains caressent
ma chatte, mes seins aux mamelons tendus et mon gros clitoris percé.
Je monte
quelques marches d’un escalier en marbre, déchaussée, toujours tenue en laisse.
Le marbre est froid sous mes pieds nus. Nous sommes dans un grand bâtiment à un
étage.
Je me
retrouve seule, nue, pieds nus, sans ma laisse, dans une immense pièce au
premier étage, entourée de glaces et de miroirs sur les murs et au plafond, les
yeux bandés, menottée dans le dos, l’anus libre.
J’ai été
enculée pendant le trajet à pied, pour juger de mon œillet.
Quand on me
retire mon bandeau, je découvre une vaste salle de bains avec une grande
baignoire transparente avec des marches, un bidet, un urinoir masculin, une
canule fixée au robinet du bidet et un fauteuil de coiffeur. Deux superbes
femmes nues sous une robe seins nus à corselet, avec une jupe éventail
largement ouverte devant, dévoilant leurs pubis et leurs chattes totalement
lisses, leurs lèvres des chattes sont percées d’anneaux dorés, cadenassés,
telle une ceinture de chasteté, leurs gros clitoris sont percés comme le mien.
Elles sont coiffées d’un chignon et des mêmes carcans de cuir que le mien.
Elles sont chaussées de mules transparentes à hauts talons.
Elles me
baignent longuement. Je dois m’accroupir, cuisses écartées, devant un des
miroirs, qui me reflète ainsi ouverte, chaque fois que mon regard rencontre la
glace. Je mouille, sous les caresses féminines. J’ai droit à recevoir un long
jet d’eau froide par la canule insérée pour nettoyer mon anus, prêt à servir à
nouveau.
Je suis à
nouveau fardée et parfumée, empalée sur un gode à prépuce qui se rétracte, muni
de puissants va-et-vient, pour m’enculer.
Nue, en
mules à hauts talons, les cheveux libres, avec mes carcans de cuir, je rejoins
une pièce mitoyenne, où un miroir à trois faces et un quatrième miroir au mur
permettent de me bien voir. Je m’assois sur le pouf au milieu des miroirs, et
d'attendre. Le pouf est couvert de fourrure, qui me pique un peu, et le tapis
est au sol, une porte fenêtre donne sur le parc. Je suis tellement excitée, que
mes mamelons et mon clitoris sont tendus à l’extrême, par l’application à
nouveau de quelques gouttelettes.
Un homme
entre seul, vêtu d'un gilet de cuir, nu, musclé, le mandrin de trente-cinq par
sept en érection, avec des anneaux dorés aux testicules. Je regarde son
mandrin, puis le fouet de lanières de cuir passé à la ceinture, puis que
l'homme est masqué par une cagoule, où un réseau de tulle noir dissimule même
les yeux - et enfin, qu'il a des gants, et de fin chevreau.
- Voici,
enfin, la pute Orchidée, la favorite de BMP et du Baron, des jumeaux. Tu es
sacrément chaude pour te faire défoncer l’œillet à tout moment. Prosterne-toi
sur le pouf, que je te prenne.
Prosternée,
croupe tendue, je subis sa longue sodomie sauvage, tout en retardant mon
orgasme anal.
- Tu aimes
ça, tu mouilles bien. Cela va plaire.
Il se
retire, avant mon orgasme anal et me fait sucer son mandrin encore dur, jusqu’à
l’éjaculation en bouche. J’avale tout.
Je mange
seule dans la pièce, nue, agenouillée, cuisses écartées. Je mange avec mes
doigts un bol de taboulé.
Je suis
ensuite conduite nue, en mules, tenue en laisse par l’homme, un valet, escortée
par les deux femmes. Nous marchons dans le couloir recouvert de marbre jusqu’au
rez-de-chaussée. Nos mules claquent.
Au
rez-de-chaussée, nous passons devant des portes ouvertes, où des femmes
gémissent. J’entre dans une grande pièce entièrement recouverte de glaces sur
les murs et au plafond. Je découvre quatre mandrins nus, des bottes.
Menottée
dans le dos, les yeux bandés, debout, mes seins sont pelotés, on m’embrasse
langoureusement, on me doigte simultanément ma chatte et mon anus, pour me
faire jouir.
Allongée sur
le dos, je suis enculée, déchaussée. Mes mollets reposent sur les épaules de
celui qui m’encule.
«
Agenouille-toi ! – Ouvre tes jambes ! » je m’agenouille, fléchie un peu en
arrière, à demi assise sur les talons, en les éloignant l'un de l'autre, et on
me défend de les rapprocher. Deux poignes pèsent sur mes épaules comme pour
m'empêcher de me relever.
« Elle n’a
jamais été attachée, suspendue, ni fouettée. Elle doit prendre goût, ça ne vaut
pas. Ce qu'il faut, c'est dépasser le moment où elle prends du plaisir, pour
obtenir des larmes. »
Je suis
offerte, agenouillée, mais cette fois le buste reposant sur un pouf recouvert
de fourrure comme celui de la pièce où il avait attendu, toujours les mains au
dos, et les fesses plus hautes que le dos. L'un des hommes, en me maintenant
par les hanches, m’encule, puis un second et le troisième, bien monté,
m’encule, mais je dois m’ouvrir davantage. Je gémis un peu.
Un quatrième
sexe différent des autres m’encule, m’écartelant davantage mon anus. Je dois
aussi le sucer, comme les trois autres.
Quand on me
lâche, les yeux bandés, je glisse à terre : je suce tous les mandrins offerts.
On me laisse
enfin, captive, à la renverse, cuisses écartées.
Soudain on
m’enlève mon bandeau.
La grande
pièce est faiblement éclairée par une lampe sur une console, et par la clarté
du feu.
Deux des
hommes sont debout. Un autre est assis, une cravache sur les genoux, et celui
qui est penché sur elle et me caresse le sein, m’encule aussi. Je suis offerte,
allongée sur le côté, les jambes
légèrement repliées, celui qui m’encule dans mon dos. Il pelote mes
seins, ma chatte, mon gros clitoris, m’encule lentement. J’ajuste mon bassin en
face de son mandrin. Mais tous quatre m'ont prise.
- Son œillet
mérite un nouvel élargissement. Elle est encore tendue. Tu vois les visages de
ceux qui te violent ou te tourmentent, mais jamais la nuit, et que tu ne sais
jamais quels sont les responsables du pire. Pour te fouetter, tu te vois
fouettée, qu'une première fois tu n'as donc pas de bandeau, mais qu'eux mettent
leurs masques, et que tu ne les distingues plus.
Je me retrouve sans ménagement, menottée à un chevalet. Allongée sur le
dos de la poutre, cuisses écartées, immobilisée. On me doigte longuement ma
chatte, masturbe mon clitoris tendu et on me pose des pinces à mes petites
lèvres, avec des clochettes comme pour mes mamelons.
Puis je suis libérée quelques instants, pour être offerte, le
postérieur plus haut que la tête. Mes bras sont fixés le long des pieds avants,
mes jambes le long des pieds arrières, et une large sangle m'est passée au
niveau de la taille. Mes cuisses, légèrement fléchies sont empêchées de se
resserrer par la largeur de la poutre, ainsi d'ailleurs mes fesses que je me
peux refermer. Toute mon intimité est ainsi très accessible et on peut me faire
tout subir.
On me
caresse avec la cravache, longue et fine, de fin bambou gainé de cuir, comme on
en voit dans les vitrines des grands selliers ; le fouet de cuir qui est long,
fait de six lanières terminées par un noeud ; il y a la garcette faites de
cordes assez fines, qui se terminent par plusieurs noeuds, et qui sont toutes
raides, trempées dans l'eau, car on m’en caresse l’intérieur de mes cuisses, je
sens les cordes humides et froides sur la peau tendre de l'intérieur.
Les clochettes tintent à chaque coup de rein et étirent davantage mes
petites lèvres et mes mamelons tendus à l’extrême. Je ne sais si je dois jouir
ou gémir. Le plaisir succède à la douleur.
On me laisse sanglée au chevalet.
Les premiers coups de cravache sur mes fesses et l’arrière de mes
cuisses me font mouiller. Je prends du plaisir à être humiliée, exposée,
fouettée.
- Mais elle mouille, quand on la fouette, dit un des hommes. Elle aime
ça, elle apprécie! Elle n'en a pas eu assez! Elle en redemande!
Entre deux séances de cravache et de garcette, je suis enculée
profondément, la bouche remplie par un mandrin, pour étouffer mes râles de
plaisir. Je dois tout avaler.
- Son œillet commence à s’ouvrir un peu plus, elle est brûlante.
On me présente une nouvelle boîte avec un nouveau gode réaliste avec
une gaine à picots.
Mes fesses brûlantes sont écartées pour insérer le gode de trente-six
par huit, montant à neuf avec la gaine. Je jouis dès qu’il est en place.
Il est similaire au gode du tabouret.
On me libère, chancelante et on me met ma ceinture de cuir, on
cadenasse les chaînettes.
Je sens le prépuce réagir avec Anal Vice. On en profite pour raser ma
chatte et la percer d’anneaux dorés à mes grandes lèvres, que l’on cadenasse
ensemble comme une ceinture de chasteté. Je gémis sous le bâillon-boule.
- Son bassin ondule, elle l’a adoptée. Tu es ici au service de tes
maîtres. A n’importe quelle heure de la journée, tu te prêtes. Ta bouche, ta
chatte et ton œillet nous sont ouverts à tout instant, par le refus de te
dérober, les lèvres entrouvertes, les cuisses écartées. Tu es nue, pour tu sois
aussi fouettée qu’entre le coucher et le lever du soleil. On te fouette si lève
les yeux sur celui qui te parle ou te prends : tu ne dois jamais regarder un de
nous au visage. Ta bouche doit sucer et avaler le sperme de nos queues nues
offertes. En outre, à la nuit, tu nous suces, menottée, nue. Tu es fouettée
chaque jour, pour ton instruction, tout comme les sodomies. Tu es contrainte. A
la sortie du « Paradis SM », tu portes un anneau de fer à
l'annulaire, qui te fait reconnaître : tu es constamment nue sous tes tenues et
si tu es indocile, tu rejoins ici. Entre son lever et le repas de midi, puis
entre la tombée du jour où finit ton service et l'heure de la nuit, tu portes
Anal Vice, pour rendre facile l’accès à ton œillet de pute anale. Prosternée,
tu reçois un modèle plus épais pour t’écarteler l’œillet plus assoupli. Au
repas du soir, tu portes Anal Vice, nue, et du fait des chaînettes et de la
ceinture, tout le monde peut voir que tu le portes. Tu vas rejoindre ta
cellule.
Vers 9 heures, je suis libérée du chevalet et tenue en laisse de plus
d’un mètre de long, par un des valets, en gilet de cuir, nu, en bottes, le
mandrin gainé de picots, aux testicules percés. On me laisse uniquement mes
clochettes à mes mamelons constamment tendus.
Je garde mes mules à semelles surélevées et très hauts talons qu'une
bande de satin empêche seule d'échapper au pied.
Je suis escortée par les deux femmes et un superbe doberman accompagné
d’un maître-chien. Je reste silencieuse, les yeux baissés, la bouche ouverte,
je jouis du gode.
Nous rejoignons un bâtiment annexe en traversant une cour intérieure,
gardée.
Nous restons au rez-de-chaussée.
Je rencontre mon valet, prénommé Sacha, doté lui aussi d’un mandrin
imposant de quarante par huit, avec une gaine à picots, juste vêtu d’un blouson
de cuir sur son torse musclé et de bottes, avec une garcette à sa ceinture.
- Elle porte Anal Vice pour l’élargir quelques jours. Il faut
l’instruire.
Les cellules n’ont pas de portes, pour que les valets, les Maîtres
puissent entrer, pour voir les soumises enchaînées.
Ma cellule comprend une porte-fenêtre et une salle de bains dans la
même pièce.
Elle comprend un chevalet et une croix de Saint-André, mais pas de lit,
pour me reposer.
La salle de bains comprend une baignoire, avec des marches pour y
accéder, avec un crochet fixé au mur et déporter pour me menotter bras tendus,
accroupie et des miroirs et des glaces sur les quatre murs.
Je reconnais que les multiples sodomies et les double pénétrations ont
déclenchée en moi une excitation sexuelle, d’où la tension constante de mes
mamelons et de mon clitoris, sans que je me caresse. Sacha le remarque :
- Tu es excitée, d’être humiliée, fouettée, exhibée nue à d’autres
hommes. C’est normal, tes mamelons vont devenir aussi sensibles que ton œillet
et ton clitoris.
Je suis baignée, à l’eau froide, les yeux baissés, la bouche
entrouverte, en sa compagnie, accroupie, menottée. Il s’attarde sur mes seins,
mes reins, mes fesses, mon gros clitoris. Je ne sais si je dois jouir ou gémir,
par ses caresses masturbatoires érotiques. Je découvres ainsi la frustration et
la douleur que cela procure en plus de la douleur provoquée par le fait que mes
mamelons et mon clitoris soient constamment tendus, très durs. Les deux femmes
m’observent. Il me retire quelques instants Anal Vice, pour mon lavement anal.
A la sortie du bain, à la réserve du collier et des bracelets de cuir,
que l'eau a durcis quand je me suis baignée, et qui me serrent davantage, je
reste nue avec mon gode en place.
Les deux femmes partent, tandis que Sacha me menotte au chevalet, en
prenant soin de me retirer le gode anal, pour juger de mon ouverture.
Il m’encule jusqu’aux testicules. Je ne peux le repousser et je dois me
retenir de jouir.
Il me retire mes clochettes à mes petites lèvres, mais je les garde à
mes mamelons.
Je tente de me reposer après son départ, jusqu’à midi.
Mais mon repos est de courte durée, on me bande les yeux et un
mystérieux sexe m’encule jusqu’au nœud. La sodomie dure trois quart d’heure,
mon anus est écartelé davantage qu’avec Anal Vice. Je gémis un peu au début,
mais le plaisir anal l’emporte. Je suce ce nouveau sexe, sans prépuce, sorti
d’un fourreau, le pénis d'un chien est pointu à l'extrémité et s'élargit au
bout de deux ou trois centimètres et aussi sensible que le gland d'un homme. Il
éjacule encore dans ma bouche, après avoir inondé mon anus.
L’opération se répète deux fois encore à raison d’une demi-heure à
chaque fois, pour m’élargir l’anus. Entre-temps, je suis cravachée à toute
volée sur mes fesses et mes cuisses, pour me rappeler que je suis soumise.
Sans mon bandeau, je suis à nouveau enculée par le doberman qui m’a
enculée dans la grande pièce. Je prends beaucoup de plaisir en sa compagnie.
Vers midi, je suis détachée, sans mon bandeau sur les yeux, du sperme
coule de mon anus. Nue, en mules, je rejoins le réfectoire, tenue en laisse,
par un autre valet.
A la fin du repas, je suis sauvagement enculée par le valet de
permanence. Je me retiens de jouir.
Je retrouve la grande pièce du matin, seule, nue, en mules.
Deux valets avec chacun un doberman sont présents en compagnie de deux
autres hommes, nus, qui se masturbent.
A quatre pattes, je les suce, entre deux services.
Un des valets m’écarte bien les fesses brûlantes et enfonce le sexe
d’un des doberman. Je me retrouve attachée à lui, enculée jusqu’au nœud, suçant
les mandrins offerts.
Jusqu’à la tombée du jour, je suis saillie, suçant les hommes venant
dans la pièce.
Je retrouve ensuite ma cellule, pour mon bain, menottée les bras
tendus, cuisses écartées, avec mon lavement anal.
Je retourne au réfectoire, nue, avec Anal Vice, en place.
A l’heure de la nuit, je suis offerte nue, dans la grande pièce, l’anus
libre, enculée par les invités, les dobermans et les bergers allemands jusqu’à
l’aube.
Les saillies anales canines reprennent à toute heure, tant que je ne
porte pas Anal Vice de 9 heures à midi et de la tombée du jour jusqu’à l’heure
de la nuit.
26 juin
Vers 11 heures, lors de ma promenade en laisse, dans le parc, après une
saillie par un doberman, je suis enculée jusqu’au nœud par un dogue allemand,
le plus gros sexe canin. Je gémis un peu, mais le plaisir l’emporte.
Vers 15 heures, nue sous une robe seins nus à corselet, avec une jupe éventail
largement ouverte devant, coiffée d’un chignon et avec mes mêmes carcans de
cuir, chaussée de mules transparentes à hauts talons, je retrouve dans ma
cellule, un des jumeaux qui est venu me chercher.
Je soulève
ma jupe et je suis sauvagement enculée par lui et je dois le sucer, accroupie
devant un autre homme.
Nue, après
mon ultime bain, je suis libérée de mes carcans de cuir. Mon petit cadenas qui
a étiré mes grandes lèvres, est remplacé par un modèle moyen, un peu plus
lourd. Mes mamelons sont devenus plus sensibles tout comme mon anus et mon
clitoris.
Je revêts un
corset seins nus, avec une jupe ample et courte, un boléro fermé au cou. Il
suffit d'enlever le boléro pour que les épaules et les seins soient nus, et
sans même enlever le boléro, de l'ouvrir, si l'on désire voir les seins. Je
chausse des mules à talons moyens et je me coiffe d’une queue-de-cheval, fardée
et parfumée, avec mon bijou d’anus, moulé sur le sexe du doberman, confirmant
mon statut de chienne soumise.
Nous
quittons le « Pavillon de Chasse », à bord de la Rolls-Royce qui m’a
déposé quelques jours auparavant.
Je m’assois,
cul nu, cuisses écartées, sur la banquette arrière, le boléro retiré. Je me
laisse caresser les seins et le clitoris, par le jumeau Alban.
- Tu es
devenue une vraie soumise, prête à toutes les envies sexuelles et au désir des
autres hommes. Tu es facile, tu as envie de tous les hommes qui te désirent, tu
as autant d’alibis pour ta propre facilité. Ta chatte sera accessible qu’à
certains hommes, mais ton œillet sera toujours au premier venu, dans n’importe
quel lieu.
Nous
rejoignons non pas le village, mais la clinique du docteur BMP.
Là, un
Dauphin nous attend, la porte arrière ouverte.
Je dois me
déshabiller et rester pieds nus, pour monter à l’arrière. Je suis sanglée,
cuisses écartées, menottée dans le dos, avec un masque de nuit relié à un
bâillon-boule. Un homme monte à mes côtés.
Je suis à
nouveau caressée, pelotée. Je jouis sous le bâillon-boule.
Vers 19
heures, après un long trajet, le Dauphin atterrit sur un débarcadère menant à
une luxueuse villa sur deux étages, un luxueux yacht est amarré. Il est baptisé
« Naïade Vénus », immatriculé dans les Caraïbes.
L’homme me
fait descendre. Mes pieds nus sentent le bois brûlant sous le soleil, une
laisse me guide vers la villa.
Après avoir
franchi les marches menant à la piscine, j’entends des commentaires sur mon
corps, mes goûts sexuels et surtout mon vice anal canin. Une langue vient me
lécher ma chatte cadenassée et me fait jouir.
Mes fesses
sont écartées, le bijou d’anus est retiré, on utilise ma bouche libre, mais je
reste les yeux bandés.
Accroupie,
je suce, je lèche des chattes et des anus à tour de rôle.
Puis
prosternée, cuisses écartées, sur le carrelage brûlant de la piscine, je suis
enculée par les chiens de garde des invités du berger allemand, au malinois, en
passant par le doberman et le colley. Avec chacun, entre une demi-heure à trois
quart heure, je ne compte plus mes orgasmes anaux de plus en plus violents.
Vers 22
heures, à peine remise de mes orgasmes, je suis portée jusqu’au fauteuil
gynécologique, les mains menottées dans le dos, un collier est fixé au
fauteuil, pour empêcher ma tête, cuisses grandes ouvertes.
On me retire
le bandeau. Le luxueux cabinet comprend des glaces et des miroirs, sur les murs
et au plafond, des caméras et des appareils photographiques immortalisent mon
examen.
Le spéculum
dans ma chatte cadenassée, est commenté gynécologue, un bel étalon bien monté,
le mandrin de trente par huit, en érection.
- L’écrin
est humide, elle est excitée, bien ouverte, malgré la chasteté contrainte. Elle
sera baisée en temps et en heure.
Mes fesses
humides sont dans une mare de mouille et de spermes canins.
L’écarteur
anal est commenté :
- Le puits
s’ouvre sur six, ce qui est remarquable pour une ancienne vierge anale. Les
saillies anales canines sont d’excellents moyens pour assouplir une novice.
Elle accepte tous les calibres désormais.
Les invités
masculins se masturbent autour de moi, à quelques centimètres de ma bouche, de
mes seins et de ma chatte, tout en regardant des écrans de télévision filmant
en gros plan ma chatte et mon anus encore écartelé, expulsant le surplus de
spermes canins.
Le
gynécologue m’encule longuement et sauvagement, puis les invités, tout en
m’interdisant de jouir. Mes fesses, mes cuisses et l’intérieur de mes cuisses
sont zébrés par la cravache que j’ai reçu à la piscine. Les mains caressent mes
zones brûlantes et zébrées.
J’avale tout
leur sperme, avant de rester seule dans la pièce quelques instants.
Le
gynécologue revient seul.
Il libère ma
chatte et me baise jusqu’à l’orgasme, en masturbant longuement mon gros
clitoris. Ce sera mon unique orgasme avec un homme à la villa.
Je me douche
devant lui, avec une canule pour nettoyer mon anus, me farde, me parfume et je
reste nue, avant de rejoindre ma chambre, dans l’annexe près de la piscine. Je
suis offerte, allongée sur un lit, trois heures encore - jambes ouvertes et
relevées, des bracelets de cuir sont fixés à mes chevilles, pour que je garde
la pose, exposée, ma chatte et mes fesses violemment écartelés. Je ne peux
cesser de désirer refermer mes jambes.
Les clients
viennent commenter ma beauté, me font sucer à nouveau et éjaculent dans ma
bouche bien dressée, mais aucun m’encule.
Pendant la
nuit, je suis saillie dans cette position, par divers chiens, décuplant mes
orgasmes.
L’intérieur
de mes cuisses est cravachée, ainsi que mes fesses.
27 juin
Au lever du
soleil, je suis à nouveau douchée et conduite nue, au yacht.
Les yeux
baissés, je retrouve les clients, qui ont chacun une mallette sur la grande
table du salon, avec des numéros. Les numéros sont rassemblés et la combinaison
donne le nom de mon nouveau Maître.
Je dois
m’empaler sur lui, enculée, assise entre ses cuisses, son mandrin de trente-six
par huit m’écartèle. Mes voisins et lui me pelotent mes seins, aux mamelons
pincés par des clochettes, me caressent mes reins, mes fesses zébrées, mes
épaules. Je me retiens de jouir, empalée profondément jusqu’aux testicules.
Je partage
son petit déjeuner.
Puis les
autres clients m’enculent dans diverses positions au salon, je suis nourrie de
leurs spermes.
Je ne
connais pas le montant des enchères. Le gynécologue me fait signer mon contrat
de soumise.
Je porte un
cadenas plus lourd que le premier et un bijou d’anus plus gros et plus lourd.
Le yacht
part dans l’après-midi. Je reste avec mon nouveau Maître et le gynécologue.
Mon nouveau
Maître, Sir Donatien, du double de mon âge, me fait tatouer mes reins à l’encre
noire « Soumise Canine O » et me fait cravacher les reins et les
fesses, peu après mon tatouage. Je suis offerte, allongée sur le ventre, nue,
cuisses écartées, pour une longue sodomie sans jouir.
Nous
retournons au village en fin d’après-midi.
Je loge au
dernier étage d’un immeuble à proximité de celui que j’occupe. Je vis nue,
déchaussée, fardée et parfumée, en compagnie d’un jeune homme soubrette, en
tenue, mules à très hauts talons, intégralement épilé, castré, portant des
anneaux dorés aux testicules.
Sir Donatien
me fait porter dix heures par jour, un gode imposant de quarante par sept, avec
une gaine à picots, doté d’un prépuce qui se rétracte. Il s’allonge et rétrécit
à chaque mouvement de va-et-vient grâce à son enveloppe ultra-souple qui
s’étire ou se contracte en suivant les montées et descentes du gode. Le gode
est maintenu par des chaînettes cadenassées à une ceinture de cuir.
Je reçois la
visite d’amis de Sir Donatien, les yeux baissés, l’anus libre, je dois sucer,
être fouettée par eux, jusqu’à satisfaire leurs désirs sexuels. Aucun m’encule,
seul Sir Donatien m’encule selon ses envies.
Quand je
dois sucer l’homme soubrette, celui ne peut éjaculer dans ma bouche.
29 juin
Vers 21
heures, lors d’une soirée dans un restaurant chic, des environs du village,
vêtue d’une robe à corselet seins nus, de mon boléro fermé au cou, et de ma
jupe éventail, de mules à hauts talons, fardée et parfumée, je fais sensation,
en soulevant ma jupe, dévoilant mes fesses nues zébrées et mon gros bijou
d’anus, de treize par cinq, pesant 895 grammes, en forme de pomme de pin. Je
m’empale dessus, sans jouir.
De temps à
autre, j’ouvre mon boléro pour montrer mes seins munis de pinces à seins ornés
de petites pierres précieuses, similaires à celle de mon clitoris percé.
Sir Donatien
envisage de me fouetter les seins, mon dos et d’autres parties de mon corps,
non zébrés.
Il
m’accompagne aux toilettes pour hommes, pour que je sois enculée par les hommes
présents que je suce pour avaler leurs spermes, les fesses brûlantes par les
claques magistrales lors de sodomies sauvages.
Nous payons
le souper.
Vers 23
heures, sur le parking, éclairée par les phares de la BMW de Nathan, je suis
sauvagement enculée par Nathan, Sir Donatien et un autre inconnu, jusqu’à
l’épuisement.
Je monte nue
à bord de la Jaguar de Sir Donatien et nous allons en bord de mer.
Nue, je dois
me baigner, éclairée par les phares de la BMW et de la Jaguar.
La chatte
libérée du cadenas, je suis offerte en double pénétration, offerte au trio. Je
suis filmée et photographiée.
30 juin
Vers 5
heures, après un court repos sur la banquette de la Jaguar, nous allons dans un
club privé à mi-chemin de la plage et du village.
Nue, je suis
offerte aux clients hommes et femmes, des transsexuels et des lesbiennes, pour
satisfaire mon besoin libertin et je ne compte plus les ébats, prise souvent en
double pénétration.
Je me baigne
nue dans la piscine, en compagnie de mes amants et de mon Maître. Je porte
toujours mes pinces à seins.
Nous
déjeunons au club privé.
J’ai droit à
une matinée de repos à l’immeuble.
Vers 15
heures, nue, je suis menottée à un crochet dans la pièce insonorisée, mes bras
levés et joints, que les bracelets de cuir maintient par une chaînette à
l'anneau du plafond, font saillir ses seins. Sir Donatien les caresse, mes
mamelons sont libres des pinces à seins, tendus à l’extrême puis les baise,
puis me baise la bouche, une fois, dix fois. Je porte un bâillon-boule et me
prend doucement aux cheveux. Balancée par la chaîne, je chancèle sur mes pieds
nus. Puis il me lâche et me frappe.
Le soir, je
suis couchée, avec d'épaisses balafres violettes faisant comme des cordes en
travers des épaules, du dos, des fesses, du ventre et des seins, et parfois
s'entrecroisent. Sir Donatien m’encule longuement jusqu’à l’orgasme sous mon
bâillon-boule et éjacule en moi.
Les balafres, sur mon corps, mettent près
d'un mois à s'effacer. Encore me reste-t-il, aux endroits où la peau a éclaté,
une ligne un peu blanche, comme une très ancienne cicatrice.
2 juillet
Je suis à
nouveau exhibée nue au club privé. On juge que je dois être marquée et ferrée
comme toute soumise.
- Tu seras
marquée au fer rouge sur tes fesses et dans ta chatte, ma belle Orchidée,
m’annonce Nathan. Ton cadenas reliera tes fers pour ta chasteté.
Je suis
saillie fréquemment dans un chenil privé, pour garder mon anus bien écartelé.
Je suis
remise à un ami de Sir Donatien, pour porter les fers d’essais à mes grandes
lèvres. Je suis désormais la chatte totalement lisse.
Ce sont des
anneaux de fer mat inoxydable. La tige en est ronde, épaisse comme un gros
crayon de couleur, et ils sont oblongs : les maillons des grosses chaînes sont
semblables. Chacun est formé de deux U qui s'emboîtent l'un dans l'autre.
Le modèle
définitif possède un ressort intérieur sur lequel on doit forcer pour le faire
pénétrer dans la rainure où il se bloque. Une fois posé, il est impossible de
l'ôter, il faut limer.
Chaque
anneau est long comme deux phalanges du petit doigt, qu'on y peut glisser. A
chacun est suspendu, comme un nouveau maillon, ou comme au support d'une boucle
d'oreille un anneau qui doit être dans le même plan que l'oreille et la
prolonger, un disque de même métal aussi large que l'anneau est long. Il y aura
mon nom, le titre, le nom et le prénom de Sir Donatien et au-dessous, un fouet
et une cravache entrecroisés.
5 juillet
Je suis
reconduite à la villa de la vente aux enchères.
Je suis
menottée nue au chevalet, avec un bâillon-boule. On marque mes fesses au fer
rouge des lettres SC sur ma fesse gauche et O sur ma fesse droite, ma chatte
libérée du cadenas, mes grandes lèvres sont ferrées des deux côtés et écartelée
et je reçois les lettres SD à l’intérieur. Je perds connaissance.
Quand je
reprends connaissance, je suis offerte sur le fauteuil gynécologique du yacht,
enculée par plusieurs hommes masqués, nus, que je suce, la bouche libre. Ils me
complimentent sur mon comportement, ma beauté et mes vices.
Je dois
retourner au « Pavillon de chasse » parfaire mon instruction
incomplète selon Sir Donatien.
Je me
promène en ville, dans mes robes estivales à corselet seins nus avec une jupe
éventail, en mules à hauts talons, les cheveux libres, intégralement épilée. Ma
toison pubienne a été rasée. Je me sens encore plus nue et désirable.
Les fers qui
trouent les grandes lèvres de ma chatte me descendent jusqu'au tiers de la
cuisse, et à chacun de ses pas bougent entre ses jambes comme un battant de
cloche, le disque gravé étant plus lourd et plus long que l'anneau auquel il
pend. Les marques imprimées par le fer rouge, hautes de trois doigts et larges
de moitié leur hauteur, sont creusées dans la chair comme par une gouge, à près
d'un centimètre de profondeur. Rien que de les effleurer, on les perçoit sous
le doigt. De ces fers et de ces marques, j’éprouve une fierté insensée.
14 août
Je retrouve
le « Pavillon de chasse ».
Je porte
désormais un collier et des bracelets de fer inoxydable, articulés et à demi
rigides comme on fait en or certains bracelets-montres. Ils sont hauts de près
de deux doigts et portaient chacun un anneau de même métal. Le fer était de la
même couleur et du même éclat mat que les fers de ma chatte. Je les garde jour
et nuit, ni même pour me baigner. Je me farde la bouche avec un rouge clair, un
peu liquide, appliqué au pinceau, et qui fonce en séchant. Je peins du même
rouge l'aréole de mes seins et mes mamelons constamment tendus, et les petites
lèvres de ma chatte, en soulignant la fente du giron. Je me poudre le visage,
une fois que je suis peinte, et je chausse mes mules à hauts talons, on
vaporise le parfum sur mon corps.
Je revêts
sur mon corps nu une large jupe bouffante, doublée de taffetas montée à gros
plis creux non repassés sur une bande droit fil, qui se boutonne sur le corset,
exactement comme les robes de cérémonies. Mais alors qu'elle parait fermée,
elle est ouverte dans le milieu du dos de la taille aux pieds. A moins qu'on ne
tire délibérément sur un côté ou l'autre de la jupe, on ne le remarque pas. Je
porte un corselet seins nus. Il suffit par-derrière d'écarter les deux côtés de
la jupe pour que la croupe soit nue. Avec deux attaches qui soulèvent les deux
pans et se nouent sur le devant de la taille, il est facile de les maintenir
ouverts.
Je retrouve
au salon, Sacha et des clients. Je garde les yeux baissés, à quatre pattes.
Chacun
m’encule et je les suce en échange. Je me retiens de jouir.
Les clients
me font fouetter dans ma nouvelle chambre, nue, menottée par mon collier, les
mains menottées dans le dos, le temps qu’ils désirent.
Je subis un
lavement anal à chaque rendez-vous. Je suis payée selon le mode décidé, le
double car je suis ferrée et marquée.
Je suis
aussi fouettée le lendemain par un valet, nue, avant le petit déjeuner.
Le rituel
reprend.
Je dois être
nue dans les autres pièces du salon, pour exhiber mes fers et mes marques au
fer rouge et prêtée à d’autres clients, qui me font aussi saillir par leurs
chiens et les maîtres-chiens avec leurs chiens.
20 août
Le yacht
transportant Sir Donatien et ses amis disparaît lors d’une tempête.
J’hérite et
je découvre que je suis la fille de Nathan, que les jumeaux sont mes frères et
que Sir Donatien est un membre de ma famille.
Je donne
naissance à des jumeaux, peu après, de père inconnu.
Aucun commentaire:
Enregistrer un commentaire