mardi 28 juillet 2020

VILLAGE DU VICE


Je m’appelle Orchidée, née de père inconnu et d’une mère Danoise.
J’ai 23 ans.
Je suis une jolie beauté scandinave.
Je suis une brune aux yeux verts. J’ai des pieds fins et latins, des jambes longues bronzées, musclées qui inquiètent par leur perfection. Mon pénil est bombé, ouvert, couronné de noir. Ma pilosité brune couvre mon pubis. Je suis totalement velue entre les cuisses et j’ai une superbe croupe. Les lèvres de mon sexe sont une plaie rouge entre mon entrecuisse velue. Mes hanches s'incurvent et délimitent le ventre plat, délicieusement renflé autour du nombril, les hanches sont larges et rondes, mais sans lourdeur. La taille est affinée. Les seins parfaits intégralement bronzés sont un peu volumineux mais fermes, et leurs pointes marron clair, toujours dressées, cernées par une large aréole marron attirent le regard. J’ai une peau lisse et patine. Finition parfaite, un seul grain de beauté entre mes superbes seins. De longs cheveux plats blonds flottant comme des algues, battent mes épaules rondes et gracieusement athlétiques. Je suis intégralement bronzée. Mes yeux verts limpides s'allument, ma bouche charnue se fend. J’ai des sourcils bruns bien dessinés et des lèvres pulpeuses. J’ai de longs doigts fins et de belles mains. Je fais du 85B de poitrine, 56 de taille, 90 de hanches, 1,72 m.

LE VILLAGE DU VICE

19 juin
Je suis depuis cinq ans, l’adjointe du maire, d’un petit village, en pleine campagne, dévouée, en charge du commerce. Nous sommes à trois heures de la mer.
Je suis célibataire, capricieuse, ayant eu de nombreux amants depuis mon adolescente. J’ai quitté le village pour aller au lycée et en université. Je suis encore vierge, car mes amants me baisent peu profondément, à ma demande. Je suis aussi lesbienne experte.
Aujourd’hui, notre village reçoit le nouveau propriétaire d’un institut de massage avec un spa et des salons de massages, à l’entrée du village.
Vers midi, l’homme descend d’une superbe BMW coupé. Il a le triple de mon âge, musclé, athlétique.
Je l’accueille en personne, à mon bureau.
Je suis vêtue de mon tailleur fuchsia, sur mon chemisier blanc et mon ensemble soutien-gorge et string en dentelle assortis blancs, en sandales à hauts talons, coiffée d’une queue-de-cheval, maquillée.
- Vous devez être Orchidée. Je suis Nathan de Saint Val, j’ai connu une aventure avec une très belle femme, qui vous ressemble, à Singapour, dans ma jeunesse.
- Monsieur, je vais vous conduire à votre institut.
- Prenons ma voiture. Vous me guiderez. Je connais un peu la région. Il y a un appartement de libre dans les environs.
- Oui, là où je réside. Je possède un duplex de disponible.
A l’institut, Nathan m’invite à me déshabiller, pour me masser, comme sa première cliente.
Je ne peux refuser.
Nue, il découvre ma toison pubienne et ma chatte velue, mes petits seins et mon corps athlétique.
- Vous êtes tendue. Savez-vous que je peux vous détendre, sexuellement, sans vous pénétrer. Vous aimez la belle lingerie, qui met en valeur vos seins, vos fesses musclées. J’aime ça, chez une femme.
- Comment, je n’ai jamais eu à faire à ce massage ?
Dénudant mes fesses avec la serviette, ses doigts passent sur mes fesses, qu’il masse, se concentrent sur mon clitoris qui se tend. Je commence à jouir.
- Vous êtes très sensible. Rare, sont les clientes qui mouillent dès les premières minutes.
- Continuez, je suis détendue. Doigtez-moi ma chatte et surtout pas mon anus.
L’action combinée des doigts sur mon clitoris et enfoncés dans ma chatte, me provoquent un violent orgasme.
- Vous êtes du style masturbation digitale que des godes.
- Non, j’aime les deux, quand je suis seule sous ma douche ou dans mon lit.
Remise de mon orgasme, je me repose nue, dans le spa, sous les jets d’eau et inconsciemment, je dirige un des jets vers mon clitoris qui me fait jouir longuement.
Une fois douchée et rhabillée, je vais pour payer Nathan.
- Non, c’est une première séance gratuite pour vous. Je vous fais un prix pour les suivantes, si vous souhaitez en faire d’autres, après des réunions.
J’accepte.
Il me dépose à mon immeuble. Nous visitons le duplex. Il signe le bail. Il va emménager dans la journée.
Au bureau, je téléphone à ma gynécologue, pour un rendez-vous dans la semaine.
J’entends une voix masculine :
- Miss Orchidée, je suis le gynécologue Alban, qui remplace Rose, qui est partie à un séminaire professionnel. Vous ne voyez pas d’inconvénient.
- Non, c’est mon rendez-vous trimestriel que je dois honorer.
- Vous n’avez aucun souci avec vos règles, de douleurs vaginales, anales ou mammaires.
- Non, docteur, je suis saine.
- Venez me voir, vers dix-huit heures, à mon cabinet.
Vers dix-sept heures, je passe à mon duplex, me douche, me change. Je mets un tee-shirt rouge sur mon soutien-gorge blanc, une jupe ample pour cacher mon string blanc et des mules à petits talons, les cheveux libres, parfumée et maquillée.
Le cabinet est à une demi-heure de marche de mon immeuble.
A l’entrée du cabinet, je suis directement accueilli par Alban, en personne. La secrétaire est partie.
- Tu es sublime, Orchidée. On se tutoie. J’aime tutoyer mes patientes.
Assise à son bureau, les jambes croisées, il me questionne sur ma sexualité, complétant le dossier médical de l’autre gynécologue. Mes règles, depuis quand, abondance, douleurs ; ma sexualité passée au crible, éveil, masturbation : où, comment, combien... ; pratiques sexuelles : rapports buccaux, perversions, partouze... À la question :
- As-tu été souvent sodomisée ?
Je réponds :
- Non, je n'ai jamais été pénétrée par là...
- Comment, une garce aussi chaude que toi ne s'est jamais faite enculer ?
- Non, je vous le jure...
- De toute façon, on aura la preuve au cours de l'examen clinique que tu vas subir tout à l'heure : ton petit trou parlera pour toi...
- On va... m'examiner cet endroit ?
- Mais oui, et pas que l'anus, crois-moi !!!
Je me retrouve rapidement nue, cuisses écartées, sur le fauteuil gynécologique, un thermomètre dans ma chatte, un dans mon anus et un dans ma bouche. Je dois rester ainsi deux ou trois minutes, tout en pelotant mes seins, faisant durcir mes mamelons.
 Il palpe mes seins, les presse, pince les mamelons, tire dessus, les tord dans tous les sens tout en commentant.
Je me retrouve les fesses au bord de la table, cuisses fortement repliées sur la poitrine, genoux écartés au maximum, mollets reposant sur des sortes de gouttières, si ouverte, offerte, ainsi écartelée, ma chatte s’ouvre toute seule.
- J’aime une chatte velue comme la tienne.
Il m’enfonce un spéculum dans ma chatte et m’annonce :
- Ton hymen n’est pas percé. Tes amants ne te donnent pas assez de plaisir pour ta jouissance. Je vais y remédier, comme tu mouilles bien.
Puis il enfonce un écarteur anal dans mon anus.
- Oeillet étroit, trop serré : prévoir une dilatation anale...
Puis il se concentre sur mon clitoris tendu, les lèvres de ma chatte, tout en gardant l’écarteur anal en place, me masturbant longuement mon clitoris et je jouis, dans un violent orgasme. Puis il continue à me doigter profondément ma chatte humide, dans de longs va-et-vient jouissifs, jusqu’à un second orgasme.
Il me retire l’écarteur anal et m’enfonce sans préavis, son mandrin de vingt-cinq par sept dans ma chatte, me déflorant d’un seul coup, en prenant soin de masturber mon clitoris tendu.
J’ai un nouvel orgasme.
Il me menotte au fauteuil gynécologique, pour éviter que je me débats et me met un bâillon-boule en bouche. Alban est plus âgé que moi.
- Ainsi, je peux t’enculer, sans que tu cries.
Il m’encule d’une seule traite, jusqu’aux testicules. Je suis tendue, mon anus me fait mal. Après quelques va-et-vient, je découvre une vague de plaisir anal, inconnue à ce jour.
- Tu aimes ça, tu l’as cachée à tes amants.
Il se retire, enduit bien mon anus entrouvert de ma mouille abondante et m’encule à nouveau. Je suis plus détendue.
Il me retire le bâillon-boule et je jouis.
- Tu vois, c’est pas douloureux. Tu devras porter un bijou d’anus quelques jours pour t’habituer à ma queue et à celles de tes amants.
Un autre homme entre, je suis pantelante, les yeux mi-clos.
Je ne le reconnais pas, c’est le frère jumeau d’Alban, Charles Edouard.
- Elle est prête, tu peux l’enculer, elle va me sucer.
Charles Edouard m’encule avec un mandrin de vingt-huit par six et je suce jusqu’à l’éjaculation Alban.
- Elle a joui encore, enculée. Excellente, cette patiente a juste besoin d’avoir l’œillet bien rempli, pour obtenir ce que l’on veut d’elle.
Charles Edouard éjacule dans ma bouche et Alban me défonce la chatte plus profondément, détendue.
Je prends une douche devant eux et j’écarte mes fesses pour recevoir mon bijou d’anus. Il a la forme d’un pénis avec des veines et un gland prononcé et en relief, long de dix-sept par quatre.
- Orchidée, je te prends un rendez-vous avec le sexologue Docteur Brice de Mon Plaisir, à sa clinique privée à deux heures de route. Un taxi viendra te chercher. Désormais, j’oublie, plus de culottes ou de strings, plus de soutien-gorges car tes seins et ta chatte doivent toujours être nus sous tes vêtements et ton entrejambes jamais dissimulée. Ni collants, ni shorts, ni jupes culottes ni bien sur de pantalons, juste des jupes ou des robes mais à la condition qu'en aucun cas elles ne soient plus longues que le milieu de tes cuisses. Jamais de tee-shirt ou autres vêtements sous tes corsages ou chemisiers. Pour tes pieds, soit tu seras pieds nus soit tu porteras des chaussures mais dans ce cas, toujours à talons. Tu auras toujours être pieds nus dans tes chaussures, dès aujourd’hui. Tu seras enculée fréquemment jusqu’au rendez-vous.
Je suis photographiée et filmée pendant mes sodomies à mon insu, par des discrets appareils dans le cabinet.
Je me rhabille et rentre chez moi, silencieuse sur mon examen gynécologique.
En marchant, je contracte inconsciemment mon anus et je fais avancer le bijou contre ma chatte trempée et la stimule. Ma chatte est resserrée, pour détendre mes sphincters anaux pour apprivoiser le plaisir anal et se familiariser avec mon anus. Outre un sentiment de grande relaxation, les contractions des muscles anaux provoquent un immense plaisir qui se propagera dans tout le bas-ventre. Je regrette d’avoir été enculée plus tôt par mes amants.
Je dois garder le bijou d’anus pour la nuit. Je dors nue, avec les images du cabinet gynécologique et du masseur. Je suis en sueur.
Je découvre mes mamelons et mon clitoris sont complètement tendus et très dur au point de me faire vraiment mal et le moindre effleurement même involontaire devient une véritable torture tellement ces endroits sont devenus sensibles.

20 juin
Au lever du soleil, j’émerge, nue sur mes draps, mouillée de mon abondante mouille d’excitation. J’ai oublié de fermer mes rideaux de ma chambre et mes volets, donnant une vue parfaite pour mes voisins voyeurs de ma nudité.
Je me douche, déjeune, nue, devant mon miroir. Je me parfume, me maquille. Je choisis une robe dos nu estivale blanche, ne pouvant et je me soulage, avant de remettre le bijou d’anus. Mes mamelons pointent sous ma robe, par l’effleurement du tissu sur mes seins nus.
Je suis chaussée de mules à petits talons et j’ai laissé mes cheveux libres.
Avant de quitter mon domicile, le téléphone sonne :
- Orchidée, c’est Charles Edouard, votre rendez-vous est prévu le 21 juin à huit heures. Je présume que votre œillet s’est un peu élargi avec le port du bijou d’anus. Le docteur te fera portera une taille supérieure. Tu obéis à ses ordres et aux partenaires de la clinique. Tu es désormais sa pute et la notre aussi. Tu as interdiction de te masturber jusqu’à demain matin.
J’arrive en retard à la mairie. Tous regardent leurs courriers et j’aperçois partiellement des photos. Je n’ose les interroger.
Je présente mon projet commercial pour faire venir de nouveaux clients.
La gent masculine me regarde avec insistance mais les femmes aussi, surtout au niveau de mes mamelons tendus sous ma robe. Après mon exposé, je garde les yeux baissés, sans jamais serrer les jambes et à ne jamais me croiser les bras pour masquer mes seins. Je suis terriblement excitée. Plus je suis excitée et plus parfois c'est gênant car ça ce voit parfaitement bien.
A la sortie de la réunion, vers 11 heures, je passe chez mon esthéticienne, pour ma pédicure et ma manucure, pour mes nouveaux amants.
Je découvre une enveloppe anonyme avec des photos en gros plan d’une chatte velue et d’un anus écartelé par un gros mandrin. Les jumeaux m’ont interdit de porter plainte sur mon rendez-vous gynécologique, sous peine de sanctions.
- Orchidée, la fille qui s’offre sur ses photos, est très chaude à mon goût, me dit la sublime Diane, une brune aux seins plantureux, aux cheveux courts.
- Mais, je n’aurai jamais acceptée, si j’étais la fille, de recevoir une telle queue dans mon œillet.
- Tu es très secrète sur tes relations sexuelles, depuis qu’on se connaît.
Je n’ose répondre.
Vers 13 heures, une fois prête, je retrouve Nathan, qui a emménagé ce matin, en mon absence. Il me complimente sur ma robe.
- C’est souvent, que tu te promènes nue sous ta robe qui dévoile ton corps avec le soleil.
- Oui, j’aime être nue sous mes tenues. C’est plus pratique, pour m’offrir à un éventuel amant.
Sans attendre, Nathan me retire ma robe, m’écarte mes fesses et découvre mon bijou d’anus.
- Tu es une jouisseuse anale ou clitoridienne, belle Orchidée. Mets-toi à quatre pattes sur mon lit, que je juge de tes qualités sexuelles.
J’obéis, l’anus libre du bijou d’anus, agenouillée, bras tendus, offrant mes fesses rebondies à son mandrin imposant de trente-six par huit. Il me défonce profondément ma chatte, pour l’écarteler. Je jouis. Il me saisit la taille, pour me faire coulisser.
Puis il enfonce son gland dans mon anus entrouvert, humide.
- Non, Nathan, retires ta queue de mon œillet.
- Tu es étroite, mais j’aime l’œillet étroit d’une telle beauté.
Je dois subir ma sodomie contrainte, maintenue fortement par les hanches.
- Je vais te faire jouir, ma belle.
En effet, il caresse aussi mon clitoris tendu par l’excitation. La douleur et le plaisir se mêlent dans un violent orgasme anal.
Sans débander, il me fait asseoir entre ses cuisses écartées, au bord du lit. Je me retrouve empalée, enculée jusqu’aux testicules. Il caresse mes reins, mes fesses qu’il écarte, mes seins aux mamelons tendus, devenus saillants, gros et longs comme jamais auparavant. Mon clitoris devient  gros comme une cerise, saillants et volumineux, sous ses caresses.
- Ton œillet est bien écartelé, ma queue te défonce bien.
- Encule-moi encore, je veux encore jouir.
Son érection suivie de son éjaculation me conduit à un orgasme anal plus violent que le premier. Je le suce, pour le nettoyer. Nous prenons une douche. Je rentre à mon appartement, pour lire mon courrier.
Je trouve aussi la lettre anonyme avec les mêmes photos que chez l’esthéticienne. Un petit mot signé ACE est écrit :
La prochaine fois, le docteur BMP sera plus exigeant sur votre œillet. Soyez détendue, Orchidée.
Je remets mon bijou d’anus pour ne pas perdre le précieux sperme de Nathan.
Je me repose nue, avant de rejoindre Nathan pour un souper dans un restaurant des environs.
Je choisis un chemisier blanc sur mes seins nus et une jupe ample fuchsia cachant mes fesses et mes jambes nues, et mes mules à hauts talons, les cheveux libres, maquillée et parfumée.
Je fais sensation au restaurant, sans savoir que le docteur BMP est présent. J’ai mis mon bijou d’anus.
Lorsque je me rends aux toilettes, un homme me suit.
- Orchidée, tu es resplendissante. Tu as les fesses nues, je présume. Soulève ta jupe.
J’obéis.
Sans attendre, il m’enfonce son mandrin de trente par huit dans ma chatte resserrée et humide, avant de m’enculer, l’anus libre. Je me retiens de jouir, sous son éjaculation. L’homme disparaît. J’ai juste le temps de me soulager.
Je retrouve Nathan, en discussion avec l’inconnu qui m’a enculée.
- Orchidée, je te présente mon ami le Baron, un amateur de jolies femmes comme toi.
Il me fait le baise-main, il est plus âgé que moi.
Nous parlons de sexes, sur mes goûts sexuels, mes envies, mes fantasmes, dans le parc voisin. Ils me caressent discrètement mes fesses nues et ma chatte trempée. Je me retiens de jouir.
- J’oublie Orchidée, on peut se voir demain matin à ton bureau.
- Non, j’ai un rendez-vous à huit heures, en dehors.
Le Baron m’embrasse langoureusement sur ma bouche, en pelotant mes seins, sous mon chemisier, en étirant mes mamelons tendus.
Je dors très mal, en sueur, sur mes draps mouillés.

21 juin
Je me lève de bonne heure, choisis un bustier sur mes seins nus et une jupe éventail assortie noirs, avec des escarpins noirs, coiffée d’une queue-de-cheval.
Dans le taxi, je dois m’asseoir fesses nues, sur la banquette arrière, cuisses écartées, les yeux baissés, silencieuse. J’ai remis mon bijou d’anus.
Nous entrons par l’entrée du personnel.
Je suis accueilli par le docteur BMP en personne, qui ressemble au Baron, avec son assistante, une brune aux seins plantureux. Le docteur est nu sous sa blouse, le mandrin en érection.
Dans son cabinet, je m’installe nue, sur le fauteuil gynécologique. Deux étalons Africains noirs, se masturbent, nus, avec des mandrins de quarante par six.
J’ai droit au spéculum et à l’écarteur anal, pour vérifier mes ouvertures.
- L’œillet ne s’ouvre que sur quatre, il faut maintenant du six, pour l’élargir davantage. La chatte est bien ouverte, la mouille est abondante, un superbe gros clitoris tendu et des mamelons tendus par l’excitation. Horace et César sont là, pour t’enculer ce matin. D’autres partenaires s’occupent de toi cet après-midi et cette nuit, tu restes à la clinique, tu as une chambre préparée. Deux jours à la clinique sont suffisants pour t’ouvrir davantage.
- Mais,
- Silence, Orchidée, ou je te fais cravacher, si tu parles. Tu n'ouvres désormais ici la bouche, en présence, que pour gémir ou sucer, les yeux baissés.
Je suce les deux étalons, menottée au fauteuil. Ils m’enculent à tour de rôle, jusqu’aux testicules, en me masturbant mon clitoris. Je dois retarder mon orgasme anal.
Après six sodomies profondes, je bois un excitant sexuel et je dois porter un bijou d’anus munie de sphères de plaisir mesurent entre trois et cinq centimètres de diamètre pour me procurer une sensation d'étirement au fur et à mesure que je progresse dans l'insertion, sur dix-sept centimètres. Je jouis aussitôt.
L’après-midi, je suis offerte à deux autres partenaires, dotés de mandrins de sept centimètres de diamètre. Je dois porter un nouveau bijou d’anus de douze par six, pour m’ouvrir un peu plus.
Après six nouvelles sodomies, j’ai droit à un lavement et je rejoins ma chambre, nue, pour une douche à l’eau froide.
Vers 19 heures, je dois enfiler un gode réaliste avec un prépuce qui se rétracte, de dix-huit par six, dans mon anus entrouvert et lubrifié par ma mouille. Il s’allonge et rétrécit à chaque mouvement de va-et-vient grâce à son enveloppe ultra-souple qui s’étire ou se contracte en suivant les montées et descentes du gode. J’ai à disposition un véritable homme qui me fait l’amour en étant infatigable. Sa base se termine par un anneau qui affleure juste de mon anus. Certains anneaux qui en ornent le tour de ma ceinture sont montés au bout d'une chaînette sur un enrouleur assez dur : celui au centre à l'arrière est tiré, ainsi que deux par devant, à l'aplomb des cuisses. Ces deux-là suivent mes aines, l'autre ma raie fessière, les trois anneaux sont mis en parallèle avec celui qui ressort de mon anus, un petit cadenas relie les quatre, et le tour est joué : même avec mes mains libres, je ne peux pas retirer le gode qui me dilate l'anus.
Je suis menottée à mon lit, bras et jambes écartés, sans défense. Je suis à la fois excitée, mais je ne sais quel sort me réserve le docteur BMP. Je jouis sur ce gode. Je ne peux me caresser, mon clitoris, ni mes seins.
Je suis nourrie, menottée à mon lit.
J’essaye de trouver le sommeil, enculée par cet amant infatigable. Je connais de nombreux orgasmes anaux, mon anus est devenu très sensible à chaque va-et-vient. Je mouille abondamment,
Mes mamelons et mon clitoris sont tendus à l’extrême, mais le plaisir l’emporte sur la douleur.

22 juin
Vers trois heures du matin, je suis libérée de mon lit, sans le gode et conduite sur le fauteuil gynécologique, pour un examen anal, suivie de six longues sodomies par de nouveaux partenaires bien montés jusqu’à huit centimètres, pour m’élargir. Je dois retarder mes orgasmes, nourrie de leurs spermes en bouche.
Comme je suis chaude, je suis prise en double pénétration, debout.
Je suis enculée par un calibre de huit centimètres, par derrière, en me soutenant, tandis que d’un de sept centimètres me défonce la chatte simultanément. Je l’entoure de mes jambes, doublement pénétrée.
Une voix masculine m’annonce :
- Tu seras quotidiennement double pénétrée, pour connaître le plaisir ultime d’une pute.
Je passe ensuite en double pénétration avec divers calibres, pour m’écarteler un peu plus.
Vers 6 heures du matin, le pubis recouvert de spermes, ma bouche remplie de sperme, mon anus rempli de spermes et du gode, pour bien me lubrifier à nouveau.
Vers 8 heures, je déjeune, avant six double pénétrations intenses, sans jouir.
Vers 15 heures, j’ai droit à un écarteur anal pour juger de mon ouverture.
Le docteur BMP m’annonce, l’écarteur anal en place :
- Orchidée est doublement ouverte. Son œillet est élargi à six pour accueillir tout calibre, désormais. Elle est la nouvelle soumise. Son gros clitoris est percé d’un anneau doré avec une pierre précieuse pour la faire reconnaître. Désormais, tu dois garder les yeux baissés et la bouche entrouverte devant tout homme que tu croises. Les seins, les fesses et les jambes nues, montre que tu es accessible à tout moment, les cuisses toujours écartées à toute occasion. Tu es toujours fardée et parfumée. La cravache t’es donnée par l’homme que tu regardes s’il te prends ou te parles, tu ne peux te dérober à lui. Ton écrin, ton œillet et ta bouche lui sont destinés. Tes vêtements sont à trier, pour des tenues plus sexy, dévoilant tes charmes. Tu vas te rendre à l’adresse indiquée sur l’ordonnance lors de ton départ vers vingt heures. Les jumeaux doivent te voir, une fois par semaine.
Dès le retrait de l’écarteur anal, le docteur BMP m’encule longuement, je suis menottée au fauteuil gynécologique, en m’obligeant à retarder mon orgasme anal.
Il éjacule dans ma bouche.
Vers 20 heures, je peux me rhabiller, après une ultime douche à l’eau froide, un long lavement anal et le port de mon bijou d’anus, de quinze par six, moulé sur un vrai mandrin réaliste, muni d’un prépuce qui se rétracte, en même temps que le bijou d’anus va-et-vient, pour me rappeler de statut de jouisseuse anale.
Je rentre chez moi. Je découvre de nouvelles photos de chatte velue et d’anus écartelés par d’imposants mandrins. Ces photos me font jouir, nue, sans que je me caresse. Le bijou d’anus me pilonne avec une telle vitesse, que je dois m’allonger sur mon lit, pour connaître de violents orgasmes anaux que j’ai refusé chez le docteur BMP. Il me faut un vrai mandrin pour m’enculer, me baiser, à sucer.
J’ai un rendez-vous à 22 heures. Je prends une longue douche froide. Je suis tellement excitée, que mes mamelons et mon clitoris sont tendus à l’extrême. Je me farde : les paupières sont légèrement ombrées, la bouche très rouge peinte au pinceau, les mamelons et l'aréole des seins rosies au pinceau, mes petites lèvres de ma chatte rougies au pinceau, en soulignant la fente du giron. Je me parfume à trois reprises, mes aisselles lisses et ma fourrure pubienne, dans le sillon entre mes cuisses, dans le sillon sous les seins, et au creux des paumes.
J’enfile une robe dos nu noire de ma garde-robe, remise au goût désiré. La robe est discrètement fendue par derrière sur mes fesses nues. Je chausse mes sandales blanches à hauts talons et je me coiffe d’une queue-de-cheval.
Arrivée à la salle des fêtes, à une demi-heure à pied de chez moi, je suis l’attraction. Ma disparition soulève des questions, je reste discrète. Je suis aussi attendue au « Pavillon de chasse » à une heure de route de la ville.
Deux beaux étalons me séduisent, entre deux verres et quelques plats du traiteur.
Ils me conduisent aux toilettes pour hommes. Je dois pisser debout à l’urinoir, en soulevant ma jupe, l’anus libre de mon bijou d’anus mis dans mon sac à main.
Sans attendre, le premier doté d’un mandrin de vingt-cinq par huit, m’encule à sec jusqu’aux testicules, en ouvrant bien ma jupe.
- Quel œillet de pute. Tu es une sacrée pute du maire, désormais. Tout le monde connaît ton goût pour la sodomie, avec le docteur BMP.
- Oui, pine-moi à fond mon œillet de pute.
- Tu aimes ça, Orchidée, dit l’autre étalon, doté d’un quarante par sept, me fait glisser ma main sur son mandrin pour le faire bander.
Je suis au bord de l’orgasme anal, quand le premier se retire et je dois le sucer, pour que le second m’encule sur le champ, bien écartelé.
Le premier éjacule dans ma bouche et le second dans mon anus. Je me refais rapidement une beauté.
Quatre autres étalons se relaient jusqu’à deux heures du matin pour me faire jouir, enculée et baisée selon leurs humeurs.

23 juin
A la sortie de la salle des fêtes, vers trois heures du matin, pantelante, je suis invitée à monter dans une Rolls-Royce m’attend avec son chauffeur. Je monte à l’arrière, assise cul nu.
Mon voisin, un bel étalon musclé, du double de mon âge, me déshabille prestement. J’ai gardé mon bijou d’anus.
Il me bande les yeux, je suis assise fesses nues sur le cuir de la banquette, cuisses écartées, silencieuse, nue. Je porte des carcans de cuir, à mes poignets, mes chevilles et à mon cou. Mes mains sont menottées dans le dos. Je suis longuement caressée par l’inconnu, que je dois sucer. Il est bien monté.
Mes carcans de cuir sont faits : en plusieurs épaisseurs de cuir, chaque épaisseur assez mince, au total pas plus d'un doigt, verrouillés par un système à déclic, qui fonctionne automatiquement comme un cadenas quand on le referme, et ne peut s'ouvrir qu'avec une petite clé. Dans la partie opposée à la fermeture des bracelets, pris dans le milieu des épaisseurs de cuir, et n'ayant presque pas de jeu, il y a un anneau de métal, qui donne une prise pour fixer, et qu'on positionne du côté intérieur du poignet. Pour le collier, l'anneau pend devant le cou, reposant sur la saillie des clavicules, et brinquebale au rythme des mouvements de celui qui le porte.
Après un long trajet, nous entrons par une porte cochère menant à une allée vers le « Pavillon de chasse », j’entends des chiens aboyer.
On m’aide à descendre. Je parcours une partie de l’allée en gravier, à pied, tenue en laisse par l’anneau de mon collier. J’entends des commentaires de pute anale, suceuse experte, dévouée au vice et à de nouveaux désirs. Des mains caressent ma chatte, mes seins aux mamelons tendus et mon gros clitoris percé.
Je monte quelques marches d’un escalier en marbre, déchaussée, toujours tenue en laisse. Le marbre est froid sous mes pieds nus. Nous sommes dans un grand bâtiment à un étage.
Je me retrouve seule, nue, pieds nus, sans ma laisse, dans une immense pièce au premier étage, entourée de glaces et de miroirs sur les murs et au plafond, les yeux bandés, menottée dans le dos, l’anus libre.
J’ai été enculée pendant le trajet à pied, pour juger de mon œillet.
Quand on me retire mon bandeau, je découvre une vaste salle de bains avec une grande baignoire transparente avec des marches, un bidet, un urinoir masculin, une canule fixée au robinet du bidet et un fauteuil de coiffeur. Deux superbes femmes nues sous une robe seins nus à corselet, avec une jupe éventail largement ouverte devant, dévoilant leurs pubis et leurs chattes totalement lisses, leurs lèvres des chattes sont percées d’anneaux dorés, cadenassés, telle une ceinture de chasteté, leurs gros clitoris sont percés comme le mien. Elles sont coiffées d’un chignon et des mêmes carcans de cuir que le mien. Elles sont chaussées de mules transparentes à hauts talons.
Elles me baignent longuement. Je dois m’accroupir, cuisses écartées, devant un des miroirs, qui me reflète ainsi ouverte, chaque fois que mon regard rencontre la glace. Je mouille, sous les caresses féminines. J’ai droit à recevoir un long jet d’eau froide par la canule insérée pour nettoyer mon anus, prêt à servir à nouveau.
Je suis à nouveau fardée et parfumée, empalée sur un gode à prépuce qui se rétracte, muni de puissants va-et-vient, pour m’enculer.
Nue, en mules à hauts talons, les cheveux libres, avec mes carcans de cuir, je rejoins une pièce mitoyenne, où un miroir à trois faces et un quatrième miroir au mur permettent de me bien voir. Je m’assois sur le pouf au milieu des miroirs, et d'attendre. Le pouf est couvert de fourrure, qui me pique un peu, et le tapis est au sol, une porte fenêtre donne sur le parc. Je suis tellement excitée, que mes mamelons et mon clitoris sont tendus à l’extrême, par l’application à nouveau de quelques gouttelettes.
Un homme entre seul, vêtu d'un gilet de cuir, nu, musclé, le mandrin de trente-cinq par sept en érection, avec des anneaux dorés aux testicules. Je regarde son mandrin, puis le fouet de lanières de cuir passé à la ceinture, puis que l'homme est masqué par une cagoule, où un réseau de tulle noir dissimule même les yeux - et enfin, qu'il a des gants, et de fin chevreau.
- Voici, enfin, la pute Orchidée, la favorite de BMP et du Baron, des jumeaux. Tu es sacrément chaude pour te faire défoncer l’œillet à tout moment. Prosterne-toi sur le pouf, que je te prenne.
Prosternée, croupe tendue, je subis sa longue sodomie sauvage, tout en retardant mon orgasme anal.
- Tu aimes ça, tu mouilles bien. Cela va plaire.
Il se retire, avant mon orgasme anal et me fait sucer son mandrin encore dur, jusqu’à l’éjaculation en bouche. J’avale tout.
Je mange seule dans la pièce, nue, agenouillée, cuisses écartées. Je mange avec mes doigts un bol de taboulé.
Je suis ensuite conduite nue, en mules, tenue en laisse par l’homme, un valet, escortée par les deux femmes. Nous marchons dans le couloir recouvert de marbre jusqu’au rez-de-chaussée. Nos mules claquent.
Au rez-de-chaussée, nous passons devant des portes ouvertes, où des femmes gémissent. J’entre dans une grande pièce entièrement recouverte de glaces sur les murs et au plafond. Je découvre quatre mandrins nus, des bottes.
Menottée dans le dos, les yeux bandés, debout, mes seins sont pelotés, on m’embrasse langoureusement, on me doigte simultanément ma chatte et mon anus, pour me faire jouir.
Allongée sur le dos, je suis enculée, déchaussée. Mes mollets reposent sur les épaules de celui qui m’encule.
« Agenouille-toi ! – Ouvre tes jambes ! » je m’agenouille, fléchie un peu en arrière, à demi assise sur les talons, en les éloignant l'un de l'autre, et on me défend de les rapprocher. Deux poignes pèsent sur mes épaules comme pour m'empêcher de me relever.
« Elle n’a jamais été attachée, suspendue, ni fouettée. Elle doit prendre goût, ça ne vaut pas. Ce qu'il faut, c'est dépasser le moment où elle prends du plaisir, pour obtenir des larmes. »
Je suis offerte, agenouillée, mais cette fois le buste reposant sur un pouf recouvert de fourrure comme celui de la pièce où il avait attendu, toujours les mains au dos, et les fesses plus hautes que le dos. L'un des hommes, en me maintenant par les hanches, m’encule, puis un second et le troisième, bien monté, m’encule, mais je dois m’ouvrir davantage. Je gémis un peu.
Un quatrième sexe différent des autres m’encule, m’écartelant davantage mon anus. Je dois aussi le sucer, comme les trois autres.
Quand on me lâche, les yeux bandés, je glisse à terre : je suce tous les mandrins offerts.
On me laisse enfin, captive, à la renverse, cuisses écartées.
Soudain on m’enlève mon bandeau.
La grande pièce est faiblement éclairée par une lampe sur une console, et par la clarté du feu.
Deux des hommes sont debout. Un autre est assis, une cravache sur les genoux, et celui qui est penché sur elle et me caresse le sein, m’encule aussi. Je suis offerte, allongée sur le côté, les jambes  légèrement repliées, celui qui m’encule dans mon dos. Il pelote mes seins, ma chatte, mon gros clitoris, m’encule lentement. J’ajuste mon bassin en face de son mandrin. Mais tous quatre m'ont prise.
- Son œillet mérite un nouvel élargissement. Elle est encore tendue. Tu vois les visages de ceux qui te violent ou te tourmentent, mais jamais la nuit, et que tu ne sais jamais quels sont les responsables du pire. Pour te fouetter, tu te vois fouettée, qu'une première fois tu n'as donc pas de bandeau, mais qu'eux mettent leurs masques, et que tu ne les distingues plus.
Je me retrouve sans ménagement, menottée à un chevalet. Allongée sur le dos de la poutre, cuisses écartées, immobilisée. On me doigte longuement ma chatte, masturbe mon clitoris tendu et on me pose des pinces à mes petites lèvres, avec des clochettes comme pour mes mamelons.
Puis je suis libérée quelques instants, pour être offerte, le postérieur plus haut que la tête. Mes bras sont fixés le long des pieds avants, mes jambes le long des pieds arrières, et une large sangle m'est passée au niveau de la taille. Mes cuisses, légèrement fléchies sont empêchées de se resserrer par la largeur de la poutre, ainsi d'ailleurs mes fesses que je me peux refermer. Toute mon intimité est ainsi très accessible et on peut me faire tout subir.
On me caresse avec la cravache, longue et fine, de fin bambou gainé de cuir, comme on en voit dans les vitrines des grands selliers ; le fouet de cuir qui est long, fait de six lanières terminées par un noeud ; il y a la garcette faites de cordes assez fines, qui se terminent par plusieurs noeuds, et qui sont toutes raides, trempées dans l'eau, car on m’en caresse l’intérieur de mes cuisses, je sens les cordes humides et froides sur la peau tendre de l'intérieur.
Les clochettes tintent à chaque coup de rein et étirent davantage mes petites lèvres et mes mamelons tendus à l’extrême. Je ne sais si je dois jouir ou gémir. Le plaisir succède à la douleur.
On me laisse sanglée au chevalet.
Les premiers coups de cravache sur mes fesses et l’arrière de mes cuisses me font mouiller. Je prends du plaisir à être humiliée, exposée, fouettée.
- Mais elle mouille, quand on la fouette, dit un des hommes. Elle aime ça, elle apprécie! Elle n'en a pas eu assez! Elle en redemande!
Entre deux séances de cravache et de garcette, je suis enculée profondément, la bouche remplie par un mandrin, pour étouffer mes râles de plaisir. Je dois tout avaler.
- Son œillet commence à s’ouvrir un peu plus, elle est brûlante.
On me présente une nouvelle boîte avec un nouveau gode réaliste avec une gaine à picots.
Mes fesses brûlantes sont écartées pour insérer le gode de trente-six par huit, montant à neuf avec la gaine. Je jouis dès qu’il est en place.
Il est similaire au gode du tabouret.
On me libère, chancelante et on me met ma ceinture de cuir, on cadenasse les chaînettes.
Je sens le prépuce réagir avec Anal Vice. On en profite pour raser ma chatte et la percer d’anneaux dorés à mes grandes lèvres, que l’on cadenasse ensemble comme une ceinture de chasteté. Je gémis sous le bâillon-boule.
- Son bassin ondule, elle l’a adoptée. Tu es ici au service de tes maîtres. A n’importe quelle heure de la journée, tu te prêtes. Ta bouche, ta chatte et ton œillet nous sont ouverts à tout instant, par le refus de te dérober, les lèvres entrouvertes, les cuisses écartées. Tu es nue, pour tu sois aussi fouettée qu’entre le coucher et le lever du soleil. On te fouette si lève les yeux sur celui qui te parle ou te prends : tu ne dois jamais regarder un de nous au visage. Ta bouche doit sucer et avaler le sperme de nos queues nues offertes. En outre, à la nuit, tu nous suces, menottée, nue. Tu es fouettée chaque jour, pour ton instruction, tout comme les sodomies. Tu es contrainte. A la sortie du « Paradis SM », tu portes un anneau de fer à l'annulaire, qui te fait reconnaître : tu es constamment nue sous tes tenues et si tu es indocile, tu rejoins ici. Entre son lever et le repas de midi, puis entre la tombée du jour où finit ton service et l'heure de la nuit, tu portes Anal Vice, pour rendre facile l’accès à ton œillet de pute anale. Prosternée, tu reçois un modèle plus épais pour t’écarteler l’œillet plus assoupli. Au repas du soir, tu portes Anal Vice, nue, et du fait des chaînettes et de la ceinture, tout le monde peut voir que tu le portes. Tu vas rejoindre ta cellule.
Vers 9 heures, je suis libérée du chevalet et tenue en laisse de plus d’un mètre de long, par un des valets, en gilet de cuir, nu, en bottes, le mandrin gainé de picots, aux testicules percés. On me laisse uniquement mes clochettes à mes mamelons constamment tendus.
Je garde mes mules à semelles surélevées et très hauts talons qu'une bande de satin empêche seule d'échapper au pied.
Je suis escortée par les deux femmes et un superbe doberman accompagné d’un maître-chien. Je reste silencieuse, les yeux baissés, la bouche ouverte, je jouis du gode.
Nous rejoignons un bâtiment annexe en traversant une cour intérieure, gardée.
Nous restons au rez-de-chaussée.
Je rencontre mon valet, prénommé Sacha, doté lui aussi d’un mandrin imposant de quarante par huit, avec une gaine à picots, juste vêtu d’un blouson de cuir sur son torse musclé et de bottes, avec une garcette à sa ceinture.
- Elle porte Anal Vice pour l’élargir quelques jours. Il faut l’instruire.
Les cellules n’ont pas de portes, pour que les valets, les Maîtres puissent entrer, pour voir les soumises enchaînées.
Ma cellule comprend une porte-fenêtre et une salle de bains dans la même pièce.
Elle comprend un chevalet et une croix de Saint-André, mais pas de lit, pour me reposer.
La salle de bains comprend une baignoire, avec des marches pour y accéder, avec un crochet fixé au mur et déporter pour me menotter bras tendus, accroupie et des miroirs et des glaces sur les quatre murs.
Je reconnais que les multiples sodomies et les double pénétrations ont déclenchée en moi une excitation sexuelle, d’où la tension constante de mes mamelons et de mon clitoris, sans que je me caresse. Sacha le remarque :
- Tu es excitée, d’être humiliée, fouettée, exhibée nue à d’autres hommes. C’est normal, tes mamelons vont devenir aussi sensibles que ton œillet et ton clitoris.
Je suis baignée, à l’eau froide, les yeux baissés, la bouche entrouverte, en sa compagnie, accroupie, menottée. Il s’attarde sur mes seins, mes reins, mes fesses, mon gros clitoris. Je ne sais si je dois jouir ou gémir, par ses caresses masturbatoires érotiques. Je découvres ainsi la frustration et la douleur que cela procure en plus de la douleur provoquée par le fait que mes mamelons et mon clitoris soient constamment tendus, très durs. Les deux femmes m’observent. Il me retire quelques instants Anal Vice, pour mon lavement anal.
A la sortie du bain, à la réserve du collier et des bracelets de cuir, que l'eau a durcis quand je me suis baignée, et qui me serrent davantage, je reste nue avec mon gode en place.
Les deux femmes partent, tandis que Sacha me menotte au chevalet, en prenant soin de me retirer le gode anal, pour juger de mon ouverture.
Il m’encule jusqu’aux testicules. Je ne peux le repousser et je dois me retenir de jouir.
Il me retire mes clochettes à mes petites lèvres, mais je les garde à mes mamelons.
Je tente de me reposer après son départ, jusqu’à midi.
Mais mon repos est de courte durée, on me bande les yeux et un mystérieux sexe m’encule jusqu’au nœud. La sodomie dure trois quart d’heure, mon anus est écartelé davantage qu’avec Anal Vice. Je gémis un peu au début, mais le plaisir anal l’emporte. Je suce ce nouveau sexe, sans prépuce, sorti d’un fourreau, le pénis d'un chien est pointu à l'extrémité et s'élargit au bout de deux ou trois centimètres et aussi sensible que le gland d'un homme. Il éjacule encore dans ma bouche, après avoir inondé mon anus.
L’opération se répète deux fois encore à raison d’une demi-heure à chaque fois, pour m’élargir l’anus. Entre-temps, je suis cravachée à toute volée sur mes fesses et mes cuisses, pour me rappeler que je suis soumise.
Sans mon bandeau, je suis à nouveau enculée par le doberman qui m’a enculée dans la grande pièce. Je prends beaucoup de plaisir en sa compagnie.
Vers midi, je suis détachée, sans mon bandeau sur les yeux, du sperme coule de mon anus. Nue, en mules, je rejoins le réfectoire, tenue en laisse, par un autre valet.
A la fin du repas, je suis sauvagement enculée par le valet de permanence. Je me retiens de jouir.
Je retrouve la grande pièce du matin, seule, nue, en mules.
Deux valets avec chacun un doberman sont présents en compagnie de deux autres hommes, nus, qui se masturbent.
A quatre pattes, je les suce, entre deux services.
Un des valets m’écarte bien les fesses brûlantes et enfonce le sexe d’un des doberman. Je me retrouve attachée à lui, enculée jusqu’au nœud, suçant les mandrins offerts.
Jusqu’à la tombée du jour, je suis saillie, suçant les hommes venant dans la pièce.
Je retrouve ensuite ma cellule, pour mon bain, menottée les bras tendus, cuisses écartées, avec mon lavement anal.
Je retourne au réfectoire, nue, avec Anal Vice, en place.
A l’heure de la nuit, je suis offerte nue, dans la grande pièce, l’anus libre, enculée par les invités, les dobermans et les bergers allemands jusqu’à l’aube.
Les saillies anales canines reprennent à toute heure, tant que je ne porte pas Anal Vice de 9 heures à midi et de la tombée du jour jusqu’à l’heure de la nuit.

26 juin
Vers 11 heures, lors de ma promenade en laisse, dans le parc, après une saillie par un doberman, je suis enculée jusqu’au nœud par un dogue allemand, le plus gros sexe canin. Je gémis un peu, mais le plaisir l’emporte.
Vers 15 heures, nue sous une robe seins nus à corselet, avec une jupe éventail largement ouverte devant, coiffée d’un chignon et avec mes mêmes carcans de cuir, chaussée de mules transparentes à hauts talons, je retrouve dans ma cellule, un des jumeaux qui est venu me chercher.
Je soulève ma jupe et je suis sauvagement enculée par lui et je dois le sucer, accroupie devant un autre homme.
Nue, après mon ultime bain, je suis libérée de mes carcans de cuir. Mon petit cadenas qui a étiré mes grandes lèvres, est remplacé par un modèle moyen, un peu plus lourd. Mes mamelons sont devenus plus sensibles tout comme mon anus et mon clitoris.
Je revêts un corset seins nus, avec une jupe ample et courte, un boléro fermé au cou. Il suffit d'enlever le boléro pour que les épaules et les seins soient nus, et sans même enlever le boléro, de l'ouvrir, si l'on désire voir les seins. Je chausse des mules à talons moyens et je me coiffe d’une queue-de-cheval, fardée et parfumée, avec mon bijou d’anus, moulé sur le sexe du doberman, confirmant mon statut de chienne soumise.
Nous quittons le « Pavillon de Chasse », à bord de la Rolls-Royce qui m’a déposé quelques jours auparavant.
Je m’assois, cul nu, cuisses écartées, sur la banquette arrière, le boléro retiré. Je me laisse caresser les seins et le clitoris, par le jumeau Alban.
- Tu es devenue une vraie soumise, prête à toutes les envies sexuelles et au désir des autres hommes. Tu es facile, tu as envie de tous les hommes qui te désirent, tu as autant d’alibis pour ta propre facilité. Ta chatte sera accessible qu’à certains hommes, mais ton œillet sera toujours au premier venu, dans n’importe quel lieu.
Nous rejoignons non pas le village, mais la clinique du docteur BMP.
Là, un Dauphin nous attend, la porte arrière ouverte.
Je dois me déshabiller et rester pieds nus, pour monter à l’arrière. Je suis sanglée, cuisses écartées, menottée dans le dos, avec un masque de nuit relié à un bâillon-boule. Un homme monte à mes côtés.
Je suis à nouveau caressée, pelotée. Je jouis sous le bâillon-boule.
Vers 19 heures, après un long trajet, le Dauphin atterrit sur un débarcadère menant à une luxueuse villa sur deux étages, un luxueux yacht est amarré. Il est baptisé « Naïade Vénus », immatriculé dans les Caraïbes.
L’homme me fait descendre. Mes pieds nus sentent le bois brûlant sous le soleil, une laisse me guide vers la villa.
Après avoir franchi les marches menant à la piscine, j’entends des commentaires sur mon corps, mes goûts sexuels et surtout mon vice anal canin. Une langue vient me lécher ma chatte cadenassée et me fait jouir.
Mes fesses sont écartées, le bijou d’anus est retiré, on utilise ma bouche libre, mais je reste les yeux bandés.
Accroupie, je suce, je lèche des chattes et des anus à tour de rôle.
Puis prosternée, cuisses écartées, sur le carrelage brûlant de la piscine, je suis enculée par les chiens de garde des invités du berger allemand, au malinois, en passant par le doberman et le colley. Avec chacun, entre une demi-heure à trois quart heure, je ne compte plus mes orgasmes anaux de plus en plus violents.
Vers 22 heures, à peine remise de mes orgasmes, je suis portée jusqu’au fauteuil gynécologique, les mains menottées dans le dos, un collier est fixé au fauteuil, pour empêcher ma tête, cuisses grandes ouvertes.
On me retire le bandeau. Le luxueux cabinet comprend des glaces et des miroirs, sur les murs et au plafond, des caméras et des appareils photographiques immortalisent mon examen.
Le spéculum dans ma chatte cadenassée, est commenté gynécologue, un bel étalon bien monté, le mandrin de trente par huit, en érection.
- L’écrin est humide, elle est excitée, bien ouverte, malgré la chasteté contrainte. Elle sera baisée en temps et en heure.
Mes fesses humides sont dans une mare de mouille et de spermes canins.
L’écarteur anal est commenté :
- Le puits s’ouvre sur six, ce qui est remarquable pour une ancienne vierge anale. Les saillies anales canines sont d’excellents moyens pour assouplir une novice. Elle accepte tous les calibres désormais.
Les invités masculins se masturbent autour de moi, à quelques centimètres de ma bouche, de mes seins et de ma chatte, tout en regardant des écrans de télévision filmant en gros plan ma chatte et mon anus encore écartelé, expulsant le surplus de spermes canins.
Le gynécologue m’encule longuement et sauvagement, puis les invités, tout en m’interdisant de jouir. Mes fesses, mes cuisses et l’intérieur de mes cuisses sont zébrés par la cravache que j’ai reçu à la piscine. Les mains caressent mes zones brûlantes et zébrées.
J’avale tout leur sperme, avant de rester seule dans la pièce quelques instants.
Le gynécologue revient seul.
Il libère ma chatte et me baise jusqu’à l’orgasme, en masturbant longuement mon gros clitoris. Ce sera mon unique orgasme avec un homme à la villa.
Je me douche devant lui, avec une canule pour nettoyer mon anus, me farde, me parfume et je reste nue, avant de rejoindre ma chambre, dans l’annexe près de la piscine. Je suis offerte, allongée sur un lit, trois heures encore - jambes ouvertes et relevées, des bracelets de cuir sont fixés à mes chevilles, pour que je garde la pose, exposée, ma chatte et mes fesses violemment écartelés. Je ne peux cesser de désirer refermer mes jambes.
Les clients viennent commenter ma beauté, me font sucer à nouveau et éjaculent dans ma bouche bien dressée, mais aucun m’encule.
Pendant la nuit, je suis saillie dans cette position, par divers chiens, décuplant mes orgasmes.
L’intérieur de mes cuisses est cravachée, ainsi que mes fesses.

27 juin
Au lever du soleil, je suis à nouveau douchée et conduite nue, au yacht.
Les yeux baissés, je retrouve les clients, qui ont chacun une mallette sur la grande table du salon, avec des numéros. Les numéros sont rassemblés et la combinaison donne le nom de mon nouveau Maître.
Je dois m’empaler sur lui, enculée, assise entre ses cuisses, son mandrin de trente-six par huit m’écartèle. Mes voisins et lui me pelotent mes seins, aux mamelons pincés par des clochettes, me caressent mes reins, mes fesses zébrées, mes épaules. Je me retiens de jouir, empalée profondément jusqu’aux testicules.
Je partage son petit déjeuner.
Puis les autres clients m’enculent dans diverses positions au salon, je suis nourrie de leurs spermes.
Je ne connais pas le montant des enchères. Le gynécologue me fait signer mon contrat de soumise.
Je porte un cadenas plus lourd que le premier et un bijou d’anus plus gros et plus lourd.
Le yacht part dans l’après-midi. Je reste avec mon nouveau Maître et le gynécologue.
Mon nouveau Maître, Sir Donatien, du double de mon âge, me fait tatouer mes reins à l’encre noire « Soumise Canine O » et me fait cravacher les reins et les fesses, peu après mon tatouage. Je suis offerte, allongée sur le ventre, nue, cuisses écartées, pour une longue sodomie sans jouir.
Nous retournons au village en fin d’après-midi.
Je loge au dernier étage d’un immeuble à proximité de celui que j’occupe. Je vis nue, déchaussée, fardée et parfumée, en compagnie d’un jeune homme soubrette, en tenue, mules à très hauts talons, intégralement épilé, castré, portant des anneaux dorés aux testicules.
Sir Donatien me fait porter dix heures par jour, un gode imposant de quarante par sept, avec une gaine à picots, doté d’un prépuce qui se rétracte. Il s’allonge et rétrécit à chaque mouvement de va-et-vient grâce à son enveloppe ultra-souple qui s’étire ou se contracte en suivant les montées et descentes du gode. Le gode est maintenu par des chaînettes cadenassées à une ceinture de cuir.
Je reçois la visite d’amis de Sir Donatien, les yeux baissés, l’anus libre, je dois sucer, être fouettée par eux, jusqu’à satisfaire leurs désirs sexuels. Aucun m’encule, seul Sir Donatien m’encule selon ses envies.
Quand je dois sucer l’homme soubrette, celui ne peut éjaculer dans ma bouche.

29 juin
Vers 21 heures, lors d’une soirée dans un restaurant chic, des environs du village, vêtue d’une robe à corselet seins nus, de mon boléro fermé au cou, et de ma jupe éventail, de mules à hauts talons, fardée et parfumée, je fais sensation, en soulevant ma jupe, dévoilant mes fesses nues zébrées et mon gros bijou d’anus, de treize par cinq, pesant 895 grammes, en forme de pomme de pin. Je m’empale dessus, sans jouir.
De temps à autre, j’ouvre mon boléro pour montrer mes seins munis de pinces à seins ornés de petites pierres précieuses, similaires à celle de mon clitoris percé.
Sir Donatien envisage de me fouetter les seins, mon dos et d’autres parties de mon corps, non zébrés.
Il m’accompagne aux toilettes pour hommes, pour que je sois enculée par les hommes présents que je suce pour avaler leurs spermes, les fesses brûlantes par les claques magistrales lors de sodomies sauvages.
Nous payons le souper.
Vers 23 heures, sur le parking, éclairée par les phares de la BMW de Nathan, je suis sauvagement enculée par Nathan, Sir Donatien et un autre inconnu, jusqu’à l’épuisement.
Je monte nue à bord de la Jaguar de Sir Donatien et nous allons en bord de mer.
Nue, je dois me baigner, éclairée par les phares de la BMW et de la Jaguar.
La chatte libérée du cadenas, je suis offerte en double pénétration, offerte au trio. Je suis filmée et photographiée.

30 juin
Vers 5 heures, après un court repos sur la banquette de la Jaguar, nous allons dans un club privé à mi-chemin de la plage et du village.
Nue, je suis offerte aux clients hommes et femmes, des transsexuels et des lesbiennes, pour satisfaire mon besoin libertin et je ne compte plus les ébats, prise souvent en double pénétration.
Je me baigne nue dans la piscine, en compagnie de mes amants et de mon Maître. Je porte toujours mes pinces à seins.
Nous déjeunons au club privé.
J’ai droit à une matinée de repos à l’immeuble.
Vers 15 heures, nue, je suis menottée à un crochet dans la pièce insonorisée, mes bras levés et joints, que les bracelets de cuir maintient par une chaînette à l'anneau du plafond, font saillir ses seins. Sir Donatien les caresse, mes mamelons sont libres des pinces à seins, tendus à l’extrême puis les baise, puis me baise la bouche, une fois, dix fois. Je porte un bâillon-boule et me prend doucement aux cheveux. Balancée par la chaîne, je chancèle sur mes pieds nus. Puis il me lâche et me frappe.
Le soir, je suis couchée, avec d'épaisses balafres violettes faisant comme des cordes en travers des épaules, du dos, des fesses, du ventre et des seins, et parfois s'entrecroisent. Sir Donatien m’encule longuement jusqu’à l’orgasme sous mon bâillon-boule et éjacule en moi.
 Les balafres, sur mon corps, mettent près d'un mois à s'effacer. Encore me reste-t-il, aux endroits où la peau a éclaté, une ligne un peu blanche, comme une très ancienne cicatrice.

2 juillet
Je suis à nouveau exhibée nue au club privé. On juge que je dois être marquée et ferrée comme toute soumise.
- Tu seras marquée au fer rouge sur tes fesses et dans ta chatte, ma belle Orchidée, m’annonce Nathan. Ton cadenas reliera tes fers pour ta chasteté.
Je suis saillie fréquemment dans un chenil privé, pour garder mon anus bien écartelé.
Je suis remise à un ami de Sir Donatien, pour porter les fers d’essais à mes grandes lèvres. Je suis désormais la chatte totalement lisse.
Ce sont des anneaux de fer mat inoxydable. La tige en est ronde, épaisse comme un gros crayon de couleur, et ils sont oblongs : les maillons des grosses chaînes sont semblables. Chacun est formé de deux U qui s'emboîtent l'un dans l'autre.
Le modèle définitif possède un ressort intérieur sur lequel on doit forcer pour le faire pénétrer dans la rainure où il se bloque. Une fois posé, il est impossible de l'ôter, il faut limer.
Chaque anneau est long comme deux phalanges du petit doigt, qu'on y peut glisser. A chacun est suspendu, comme un nouveau maillon, ou comme au support d'une boucle d'oreille un anneau qui doit être dans le même plan que l'oreille et la prolonger, un disque de même métal aussi large que l'anneau est long. Il y aura mon nom, le titre, le nom et le prénom de Sir Donatien et au-dessous, un fouet et une cravache entrecroisés.

5 juillet
Je suis reconduite à la villa de la vente aux enchères.
Je suis menottée nue au chevalet, avec un bâillon-boule. On marque mes fesses au fer rouge des lettres SC sur ma fesse gauche et O sur ma fesse droite, ma chatte libérée du cadenas, mes grandes lèvres sont ferrées des deux côtés et écartelée et je reçois les lettres SD à l’intérieur. Je perds connaissance.
Quand je reprends connaissance, je suis offerte sur le fauteuil gynécologique du yacht, enculée par plusieurs hommes masqués, nus, que je suce, la bouche libre. Ils me complimentent sur mon comportement, ma beauté et mes vices.
Je dois retourner au « Pavillon de chasse » parfaire mon instruction incomplète selon Sir Donatien.
Je me promène en ville, dans mes robes estivales à corselet seins nus avec une jupe éventail, en mules à hauts talons, les cheveux libres, intégralement épilée. Ma toison pubienne a été rasée. Je me sens encore plus nue et désirable.
Les fers qui trouent les grandes lèvres de ma chatte me descendent jusqu'au tiers de la cuisse, et à chacun de ses pas bougent entre ses jambes comme un battant de cloche, le disque gravé étant plus lourd et plus long que l'anneau auquel il pend. Les marques imprimées par le fer rouge, hautes de trois doigts et larges de moitié leur hauteur, sont creusées dans la chair comme par une gouge, à près d'un centimètre de profondeur. Rien que de les effleurer, on les perçoit sous le doigt. De ces fers et de ces marques, j’éprouve une fierté insensée.

14 août
Je retrouve le « Pavillon de chasse ».
Je porte désormais un collier et des bracelets de fer inoxydable, articulés et à demi rigides comme on fait en or certains bracelets-montres. Ils sont hauts de près de deux doigts et portaient chacun un anneau de même métal. Le fer était de la même couleur et du même éclat mat que les fers de ma chatte. Je les garde jour et nuit, ni même pour me baigner. Je me farde la bouche avec un rouge clair, un peu liquide, appliqué au pinceau, et qui fonce en séchant. Je peins du même rouge l'aréole de mes seins et mes mamelons constamment tendus, et les petites lèvres de ma chatte, en soulignant la fente du giron. Je me poudre le visage, une fois que je suis peinte, et je chausse mes mules à hauts talons, on vaporise le parfum sur mon corps.
Je revêts sur mon corps nu une large jupe bouffante, doublée de taffetas montée à gros plis creux non repassés sur une bande droit fil, qui se boutonne sur le corset, exactement comme les robes de cérémonies. Mais alors qu'elle parait fermée, elle est ouverte dans le milieu du dos de la taille aux pieds. A moins qu'on ne tire délibérément sur un côté ou l'autre de la jupe, on ne le remarque pas. Je porte un corselet seins nus. Il suffit par-derrière d'écarter les deux côtés de la jupe pour que la croupe soit nue. Avec deux attaches qui soulèvent les deux pans et se nouent sur le devant de la taille, il est facile de les maintenir ouverts.
Je retrouve au salon, Sacha et des clients. Je garde les yeux baissés, à quatre pattes.
Chacun m’encule et je les suce en échange. Je me retiens de jouir.
Les clients me font fouetter dans ma nouvelle chambre, nue, menottée par mon collier, les mains menottées dans le dos, le temps qu’ils désirent.
Je subis un lavement anal à chaque rendez-vous. Je suis payée selon le mode décidé, le double car je suis ferrée et marquée.
Je suis aussi fouettée le lendemain par un valet, nue, avant le petit déjeuner.
Le rituel reprend.
Je dois être nue dans les autres pièces du salon, pour exhiber mes fers et mes marques au fer rouge et prêtée à d’autres clients, qui me font aussi saillir par leurs chiens et les maîtres-chiens avec leurs chiens.

20 août
Le yacht transportant Sir Donatien et ses amis disparaît lors d’une tempête.
J’hérite et je découvre que je suis la fille de Nathan, que les jumeaux sont mes frères et que Sir Donatien est un membre de ma famille.
Je donne naissance à des jumeaux, peu après, de père inconnu.

Retrouvez-moi, votre belle Orchidée au « Pavillon de chasse », je vous aime, Orchidée. Mon œillet vous sera tout ouvert à vos désirs.

Aucun commentaire:

Enregistrer un commentaire