jeudi 20 août 2020

FEMME OU VICE DU DESIR

 

Je m’appelle Aimée, mais je suis une femme avec un superbe sexe entre mes cuisses.

J’ai 20 ans.

Je suis une jolie beauté scandinave.

Je suis une brune aux yeux verts. J’ai des pieds fins et latins, des jambes longues bronzées, musclées qui inquiètent par leur perfection. Mon pénil est bombé, ouvert, couronné de noir. Ma pilosité brune couvre mon pubis. Je suis totalement velue entre les cuisses et j’ai une superbe croupe. Mon sexe est de bonne dimension, mon entrecuisse est velue. Mes hanches s'incurvent et délimitent le ventre plat, délicieusement renflé autour du nombril, les hanches sont larges et rondes, mais sans lourdeur. La taille est affinée. Les seins parfaits intégralement bronzés sont un peu volumineux mais fermes, et leurs pointes marron clair, toujours dressées, cernées par une large aréole marron attirent le regard. J’ai une peau lisse et patine. Finition parfaite, un seul grain de beauté entre mes superbes seins. De longs cheveux plats blonds flottant comme des algues, battent mes épaules rondes et gracieusement athlétiques. Je suis intégralement bronzée. Mes yeux verts limpides s'allument, ma bouche charnue se fend. J’ai des sourcils bruns bien dessinés et des lèvres pulpeuses. J’ai de longs doigts fins et de belles mains. Je fais du 85B de poitrine, 56 de taille, 90 de hanches, 1,72 m.

 

FEMME OU VICE DU DESIR

 

19 juin

Je suis une femme à petits seins, dotée d’un mandrin long de quarante par sept. Seules mes coquines depuis mon adolescence, connaissent mon secret. J’aime les baiser et leur donner du plaisir. Mes copines aiment me goder mon œillet et me faire jouir et éjaculer dans leurs bouches, lors de 69 torrides.

Les hommes pensent que je suis une femme, par mes tenues féminines, cachant mon mandrin caché dans mon string. Je bande rien à penser comment les hommes me feront jouir, enculée.

Cet après-midi, dans mon travail de secrétaire d’une revue de rencontres, je suis présentée à un ami de mon patron, Alban, un superbe étalon brun, musclé.

- Aimée, Alban, souhaite que tu rencontres son ami masseur, Brice, pour te relaxer. Je te sens un peu tendue.

Alban m’embrasse langoureusement, en accord avec mon patron, Charles Alexandre, du double de mon âge. Je suis vêtue d’une robe dos nu, estivale, avec une jupe ample, sur mes jambes nues, coiffée d’une queue-de-cheval, chaussée de mules à hauts talons, les ongles des mains et des pieds vernis de rouge, maquillée et parfumée.

- Tu embrasses bien, Aimée. Tes mamelons pointent, cela t’excite.

Après le déjeuner, où Alban et Charles Alexandre me draguent comme une femme.

- Tu sais qu’Aimée est une authentique lesbienne. Elle n’a jamais reçue une queue dans sa chatte.

- Brice va bien s’occuper de toi, ma belle.

Je suis prise d’une soudaine érection. Je dois me soulager aux toilettes pour femmes, baiser mon string trempé, pour me masturber et me doigter l’anus, pour éjaculer.

De retour, prétextant une remise en beauté, nous parlons de mes relations sexuelles.

Vers 14 heures, arrivée au salon de massage, à une demi-heure de marche du restaurant, seule, je découvre le superbe Brice, un superbe blond, qui me drague.

- Déshabille-toi, je t’attends sur la table de massage.

Nue, devant le miroir, du vestiaire, mon mandrin se met en érection involontairement. Je le cache avec ma serviette.

Je m’allonge sur le ventre, cuisses écartées.

Il me masse le cou, les épaules, le dos et dénude mes fesses.

- De superbes fesses, un superbe œillet, qui n’attend qu’à s’ouvrir.

- Brice, je suis là pour être massée.

- Aimée, je baise et encule mes clientes, surtout une telle beauté.

Allongée sur le dos, je cache mon érection.

Brice me retire la serviette et me fait sucer son mandrin de trente-cinq par six, circoncis.

Il masturbe puis suce mon mandrin.

- Que tu es bonne, j’aime sucer une telle queue. J’ai aussi souvent des clients masculins.

Il me relève bien les jambes, posant mes mollets sur ses épaules musclées et enfonce son mandrin dans mon anus qu’il a bien lubrifié.

- Oui, encule-moi, je suis toute à toi.

- Tu aimes ça, que je t’encules. Ton œillet a déjà été défoncé à plusieurs reprises. Jouis, ma belle.

Mes râles de plaisir envahissent la pièce.

- Masturbe bien ta queue, tu vas éjaculer toi aussi.

Ses va-et-vient et mon anus qui se contracte, faisant éjaculer Brice, sans le vouloir.

Il me pilonne encore et m’offre sa queue à sucer, pour le nettoyer, tandis que j’éjacule dans sa main.

- Quel plaisir, c’est le premier transsexuel que je me fais.

- J’ai hâte de recommencer, chez moi, avec toi et d’autres hommes bien montés.

A peine remise de mon orgasme, je me douche devant lui, me masturbe et ses mains pelotant mes seins, lors d’un long baiser.

J’éjacule un peu.

Rhabillée, je retourne au bureau.

Personne n’a eu écho de ma relaxation sexuelle.

Mais Alban me rejoint et me questionne :

- Alors, ma belle, c’est le summum du plaisir avec Brice. Il est bien monté.

- Je reconnais que le massage est fait un expert.

- Je veux dire.

Charles Alexandre l’interrompt.

- Alors, Aimée, tu es plus détendue. Il paraît que tu suces à merveille et tu possèdes un superbe œillet bien ouvert. Tu pratiques souvent cela.

- Charles, je ne souhaites pas en dire plus avec Brice.

- Bien sûr, Aimée, tu es une excellente secrétaire. Ta vie sexuelle doit rester secrète.

Vers 18 heures, je rejoins mon duplex, à un quart de marche à pied.

Là, nue, sous ma douche, je suis prise d’une longue érection. Je dois me soulager en m’enfonçant mon gode réaliste favori de vingt-cinq par six, avec son prépuce rétractable le long du gland et s’allonge et rétrécit à chaque mouvement de va-et-vient grâce à son enveloppe ultra-souple qui s’étire ou se contracte en suivant les montées et descentes du gode. Je l’ai baptisé James.

Je dois m’empaler, cuisses écartées sur James. Je me masturbe et j’éjacule, après un violent orgasme, me rappelant celui avec Brice. Je le retire délicatement et me fais mon lavement anal.

Mon mandrin reste encore dur, je rejoins nue, mon salon, me fais un film gay, pour me masturber.

Je jouis encore.

Je mange, puis je m’allonge dans mon lit, sur les draps, nue, cuisses écartées, guidant James, tout en me masturbant de l’autre. Ma chambre est entièrement recouverte de glaces et de miroirs sur les murs et au plafond pour regarder mon corps.

Alors que je masturbe, avec James en moi, mon téléphone sonne. Je décroche :

- Allô, Aimée, tu es de plus en plus désirable. J’aime ta queue, ta bouche, ton œillet bien rempli par ton gros gode. J’imagine que c’est moi, ton voyeur, Dan. Peut-être qu’un jour, tu me prendras et je te prendrais en retour, pour une jouissance partagée.

- Dan….

Il a raccroché. Dan est un résident de l’immeuble d’en face. Je ne l’ai jamais rencontrée.

Cet appel a provoqué une soudaine éjaculation. J’ai juste le temps de récupérer mon sperme.

Je retire James et je m’endors, sur le dos, la main sur mon mandrin. Je suis prise d’érections nocturnes que je dois soulager.

 

22 juin

Vers 11 heures, je fais une halte à ma boutique de lingerie. Ma vendeuse favorite connaît mon petit secret. Je réalise sur mesure mes corsets et mes guêpières, mes porte-jarretelles, que je cache sous mes tenues.

Les clientes sont surprises de voir dans mes strings transparents et mes soutien-gorges transparents, exhiber mon mandrin au repos ou en érection selon l’excitation sexuelle des clientes. Certaines me sucent, d’autres osent que je les enculent et souvent, elles combinent les deux.

La vendeuse m’invite au restaurant avec d’autres amies.

Vers 14 heures, je retrouve mes amis Val Edouard, un couturier du double de mon âge et son jeune assistant, Horace, un superbe étalon Africain un peu plus âgé que moi, que je suce dans leurs salons, après des essayages de robes, de tailleurs et de bikinis sur mesure.

Val Edouard invite Horace :

- Horace, encule Aimée, elle attends ta grosse queue. Mets-toi à quatre pattes, Aimée.

J’obéis. Le mandrin de trente par huit me remplit jusqu’aux testicules. Il me fesse et je suce Val avec son mandrin de vingt-cinq par six.

Je suis fessée et je jouis rapidement. Mon mandrin en érection est masturbé par Horace.

- Tu bandes, ma chérie.

- Je vais éjaculer, Horace. C’est trop bon.

Val se met sous moi et avale mon sperme.

Pantelante, prosternée, je suis sauvagement enculée par Val, avalant le sperme d’Horace. Val éjacule en moi. Je suis aux anges.

Je remet mon bijou d’anus de treize par cinq de 600 grammes pour ne pas perdre le précieux sperme.

Après une bonne douche avec Horace, ce dernier me confie :

- Tu devrais te présenter au « Jardin des Roses », qui recherchent des beautés comme toi. Je t’y emmène ce soir. Mets ta plus belle robe, bien sûr tu auras obligatoirement et pour toujours les seins nus, les fesses et les jambes nus par commodité et tes mules à hauts talons, fardée et parfumée. Si possible, si tu es en érection, lors du rendez-vous, tu auras des compliments.

Vers 20 heures, au pied de mon immeuble, vêtue de ma robe blanche, au décolleté en V, fendue sur les côtés, fardée, parfumée, cachant mon mandrin entre mes cuisses, en mules, les cheveux coiffés en chignon, je retrouve Horace dans un luxueux taxi.

Après quelques instants, je retire ma robe, dévoilant mon corps nu et je dois libérer mon mandrin de sa cachette. Je bande comme jamais, assise sur la banquette glissante et froide. Je ne croise les jambes ni serre les genoux. J’ai les deux mains appuyées de chaque côté de lui, sur la banquette.

« Voilà ! » dit Horace.

Le taxi s'arrête devant une grille d’une discrète résidence. Dehors il fait sombre.

 

Une autre version du même début était plus brutale : je suis emmenée en voiture par Horace et un ami inconnu. L'inconnu est au volant, Horace assis à côté de moi, et c'est l'ami, l'inconnu, qui parle pour m’expliquer que je dois me mettre nue, m’attacher les mains au dos avec la ceinture, et me bander les yeux avec un mouchoir. Qu'ensuite je suis remise au « Jardin des Roses », où je suis instruite à mesure de ce que je dois faire.

Et en effet, une fois ainsi dévêtue, et liée, et masquée, au bout d'une heure de route, on m'aide d'une poigne ferme à sortir de voiture, et je sens sur mes jambes la fraîcheur nocturne. Je marche sur du gravier, je monte quelques marches, puis franchis une ou deux portes, toujours à l'aveugle.

Je me retrouve debout dans un endroit obscur, bâillonnée et liée, offerte au milieu de la pièce, nue, en mules.

Enfin, la porte s'ouvre. Je découvre que j’ai attendu dans une pièce banale et confortable, et pourtant singulière : avec un épais tapis par terre, sans un meuble, tout entourée de placards rouges aux portes recouvertes de miroirs. Deux jeunes garçons se trouvent à côté de lui, dont l'un était un joli blond et un brun musclé, habillés de vestes, entièrement ouvertes sur leurs torses, aux cuisses nues. Ils sont chaussés de mules avec des talons épais pour augmenter la cambrure des reins. Ils ont un collier de chien en haut du cou et des bracelets de cuir autour des poignets. Ils sont fardés.

Le blond s’accroupit derrière moi pour me défaire les mains de la ceinture, et m’examine les fesses. Le brun m’a dit qu'on va me baigner et va me coiffer.

Nue, je suis baignée, accroupie, cuisses écartées, caressée par leurs mains masculines. Je bande, excitée, dans les miroirs sur les murs et au plafond. On me libère mes cheveux qui sont lavés, puis on me rince avec la pomme de la douche.

Je suis assise dans ces grands fauteuils qui basculent quand on vous lave la tête, et que l'on redresse pour vous couper les cheveux. Je suis assise sur ce fauteuil, nue, et je garde les cuisses écartées, empalée sur un gode similaire à celui de James. Et comme il y a en face de moi une haute glace que n'interrompt aucune tablette, je me vois, exposée On me sèche ; on me coiffe longuement.

Je suis libérée du gode pour m’asseoir, le mandrin encore en érection, courbé sur le tabouret. J’ai droit à un doigt dans mon anus pour le lubrifier.

Quand je suis prête, ma bouche fardée avec un rouge clair, un peu liquide, appliquée au pinceau, et qui fonce en séchant et du même rouge l'aréole et les mamelons, le visage poudré et je chausse des mules à ma taille, du parfum légèrement passé sous les aisselles lisses et sur le duvet du pubis, sous les testicules, dans le sillon entre les fesses, et au creux des paumes, je retourne dans la pièce aux placards. Je m’assois sur un pouf au milieu des miroirs, et d'attendre.

Le pouf est couvert de fourrure, qui me pique un peu entre les fesses. Je regarde dans les reflets, sous tous les angles, mes bras, son buste élancé, le delta de ses jambes où repose mon mandrin, mes pieds aux fins orteils. Je suis à nouveau empalé sur un gode, pour me garder ouverte. Je bande à nouveau.

Je mange un grand bol de taboulé épicé et parfumé à la menthe, seule, que je mange avec les doigts.

Au retour des deux garçons, accompagnés par un homme vêtu d'un gilet sur son torse nu, le mandrin nu et libre, aux testicules percés d’anneaux dorés, au pubis rasé et aux testicules épilés, des bottes. Je regarde son mandrin bien monté, puis le long fouet de cuir souple passé à la ceinture, puis que l'homme est masqué par une cagoule, dont le réseau de tulle dissimule même les yeux, et, enfin, qu'il a des gants aussi, de fin chevreau.

« Ne bouge pas. » Il caresse mes seins, mon mandrin bien dur. Je garde les yeux baissés, embrassée langoureusement.

- Tu es présentée ce soir, beauté sexuelle, Aimée.

Mon cou et mes poignets sont mis en valeur par mes carcans en plusieurs épaisseurs de cuir, chaque épaisseur assez mince, au total pas plus d'un doigt, verrouillés par un système à déclic, qui fonctionne automatiquement comme un cadenas quand on le referme, et ne peut s'ouvrir qu'avec une petite clé. Dans la partie opposée à la fermeture des bracelets, pris dans le milieu des épaisseurs de cuir, et n'ayant presque pas de jeu, il y a un anneau de métal, qui donne une prise pour fixer, et qu'on positionne du côté intérieur du poignet. Pour le collier, l'anneau pend devant le cou, reposant sur la saillie des clavicules, et brinquebale au rythme des mouvements de celui qui le porte.

Je reste nue, les mains menottées dans le dos. L’homme me suce le mandrin, en soupesant mes testicules.

- Quelle queue, un critère très recherché et ainsi qu’un œillet très souple.

Ils attachent ensemble, dans mon dos, les anneaux de mes bracelets.

Enfin, l’homme me fait pencher en avant, les mains dans le dos, me masturbe mon mandrin jusqu’à l’érection et m’enroule à la base du mandrin, un anneau pénien cadenassé, pour que je reste en érection continue.

Je suis entraînée hors de la pièce.

Le blond avance devant moi et ouvre les portes, l'homme suit, le garçon brun referme derrière nous. Mes mules claquent sur le carrelage. Nous traversons un vestibule, deux salons, et pénétrons dans la bibliothèque où, dans la pénombre, trois hommes prennent le café. Ils portent des capes sur leurs corps nus, les mandrins en érection, bottés, sans masques.

Je ne peux voir leurs visages, aveuglée par une lampe torche.

On me bande les yeux d’un bandeau.

Les garçons se retirent.

Des mains caressent mes seins en faisant tendre mes mamelons par de fines gouttelettes d’un mystérieux parfum. Ainsi, je sens que mes mamelons deviennent saillants, gros et longs, mêlant douleur et plaisir. On m’embrasse aussi langoureusement.

Mon mandrin est pris en main, on caresse mes testicules lourds et on fouille mon anus encore un peu ouvert, sans libérer mes mains.

Je me retrouve agenouillée, cuisses écartées. Deux poignes pèsent sur ses épaules comme pour m’empêcher de m relever.

« Vous ne l'avez jamais attaché ?

– Non...

– Ou suspendu ?

– Non, jamais.

– Ni fouetté ?

– Non plus, mais... » une voix répond

- Si vous l'attachez quelquefois, si vous le fouettez un peu, et qu'il commence à y prendre goût, ça ne vaut pas. Ce qu'il faut, c'est dépasser le moment où il prend du plaisir, pour obtenir des larmes. »

Je me retrouve alors agenouillée, les seins reposant sur un pouf recouvert de fourrure, toujours les mains au dos, et les fesses plus hautes que le dos, la fourrure provoque une tension à mes mamelons déjà bien tendus.

- Allez, ma belle, tu vas aimer ma queue.

Il m’encule jusqu’aux testicules, en masturbant mon mandrin tendu.

- Encore, ma belle, tu as envie d’une plus grosse.

- Ce calibre devrait te plaire, ma belle, dit le troisième très bien monté.

Je me retiens de gémir, la bouche suçant mes amants.

Je me retrouve à terre, cuisses écartées, enculée par un autre.

- Mais tu aimes ça, tu bandes, ma belle.

Je suce encore.

On me laisse enfin, captive, à la renverse.

Le bandeau retiré, je découvre une grande pièce recouverte de glaces et de miroirs sur les murs.

Un des hommes me suce, tandis que l’on prépare un imposant gode de quarante-cinq par six.

Tous sont masqués. Celui qui me suce est mon amant et il tient à m’enculer encore.

Allongée sur le dos, les mollets posés sur ses épaules, il m’encule avec vigueur. Je bande plus fort, mais je ne peux éjaculer, ni jouir.

- Ici, le jour, tu vois nos visages, mais jamais la nuit, car tu as les yeux bandés. Ce soir, tu seras fouettée, sans les yeux bandés.

Les hommes se relaient pour me sucer.

On me présente la cravache, de fin bambou gainé de cuir ; le fouet est long, fait de cuir souple ; une garcette, de cordes assez fines, faite de sept lanières terminées chacune par plusieurs nœuds, et qui sont toutes raides, trempées dans l'eau, car on m’en caresse l’intérieur des cuisses pour sentir combien les cordes sont humides et froides contre la peau tiède de mes cuisses.

Qu'on ne me fouette en principe que les reins et les cuisses, de la taille aux jarrets. Je peux crier, me débattre et pleurer. On me laisse respirer aussi, mais, quand il a repris haleine, on recommence, jugeant du résultat non par mes cris ou mes larmes, mais par les traces plus ou moins vives et persistantes que les fouets font sur ma peau. On me fait observer l’efficacité du fouet, un bâillon efficace, qui ne laisse de liberté qu'aux larmes, étouffe tous les cris, et permet à peine quelques gémissements. Il n'est pas question de l'utiliser ce soir-là, au contraire. Ils veulent l'entendre hurler, et vite.

Je suis conduite au chevalet, il est percé d’un trou. Je me retrouve solidement immobilisée dans cette posture dégradante, le postérieur plus haut que la tête. Mes bras sont fixés le long des pieds avants, mes jambes le long des pieds arrières, et une large sangle m'est passée au niveau de la taille. Mes cuisses, légèrement fléchies sont empêchées de se resserrer par la largeur de la poutre, ainsi d'ailleurs mes fesses que je me peux refermer. Toute mon intimité est ainsi très accessible et on peut me faire tout subir.

Mon mandrin en érection est logé dans le trou.

Je subis la garcette en premier, je gémis, mais je suis prise d’un plaisir inconnu, sur mes fesses zébrées.

Lors d’une pause, un des hommes m’encule sauvagement, en m’écartant bien les fesses brûlantes, profitant de ma position. Je me retiens de jouir, mais j’éjacule, malgré l’anneau pénien.

- Il faut rendre cet œillet encore plus élargi.

On apporte un coffret en bois contenant, sur un lit de velours, dans un compartiment un assortiment de chaînette et de ceintures, et dans l'autre un choix de godes réalistes d'un sexe dressé, qui vont des plus minces aux plus épais.

On sort un modèle de trente-trois par sept, similaire à James, muni de trois chaînettes.

Un des hommes m’écarte bien les fesses et je sens le gode me remplir avec une extrémité renflée, écartelée.

Libre, on me relève, on attache une étroite ceinture autour de ma taille, et l'on y accrocha les trois chaînettes, une par derrière qui suit le sillon des fesses, et les deux autres par-devant, qui longent le pli des aines en contournant le triangle pubien.

Elles sont ajustées au plus court, de façon que le mouvement intérieur des muscles ne peut repousser le gode et permettre de se resserrer à l'anneau de chair qu'il doit forcer et distendre, et elles sont cadenassées pour s'assurer que, lorsque je suis seule, je ne sois pas tenté de me soulager de cette contrainte. Je reconnais les va-et-vient et je me retiens de jouir. Mon érection est au maximum, mes mamelons sont encore plus gros que toute à l’heure.

Désormais, huit jours durant, entre mon lever et le repas de midi, puis entre la tombée du jour où finit mon service et l'heure de la nuit, dix heures généralement, où on m'y ramène – quand on m'y ramène – enchaînée, nue, et tendu, je porte fixé dans mon oeillet un de ces godes qui m'écartèlent, et chaque jour davantage, car je suis prosternée, pour un gode plus épais. Au repas du soir, que les garçons et moi prenons ensemble dans le même réfectoire, après leur bain, nus et parfumés, je le porte encore, et du fait des chaînettes et de la ceinture, tout le monde peut voir qu'il me porte. Il ne m’est enlevée par le valet qu'au moment où il vient m'enchaîner, soit les mains au dos s'il doit le conduire à la bibliothèque, soit au mur pour la nuit si personne ne me réclame. Rares sont celles où je suis enculée, mon œillet ainsi rapidement rendue plus aisé.

Je suis ensuite menottée au chevalet et cravachée sur mon dos et mes fesses.

Libre, je reste nue, seulement ceint du collier et des bracelets en cuir, et les marques de mon dos.

Je glisse mes pieds nus dans des mules à semelles surélevées et très hauts talons qu'une bande de satin épais, empêche seule d'échapper au pied. Je porte un corset seins nus, est durement baleiné, long et rigide, et comporte des goussets où reposent les seins. A mesure qu'on serre, les seins remontent, s'appuient par-dessous sur le gousset, et offrent davantage leur pointe. En même temps, la taille s'étrangle, ce qui fait saillir le ventre et cambrer profondément les fesses. Je dois garder mon mandrin nu et libre, comme les autres hommes.

Voici le discours que lui tint ensuite l'homme que Y avait vu en premier :

« Tu es ici au service de tes maîtres. Le jour durant, tu balayes, ou ranges les livres, ou dispose les fleurs, ou sert à table. Tu te prêtes. Tes mains ne sont plus à vous, ni ta queue, ni tout particulièrement aucun des orifices de ton corps, que nous pouvons fouiller, et dans lesquels nous pouvons nous enfoncer à notre gré. Par manière de signe, pour qu'il vous soit constamment présent à l'esprit que tu ne peux te dérober, devant nous tes lèvres restent entrouvertes, les cuisses écartées, pour montrer que ta bouche et ton œillet nous sont ouverts. Le jour durant, tu es donc habillé de ce corset, et tu es enculée, à visage découvert – à la réserve toutefois du fouet. Le fouet n’est appliqué qu'entre le coucher et le lever du soleil, et les yeux bandés. Mais outre celui qui t’es donné par qui le désire, tu es puni du fouet le soir pour toute infraction à la règle, c'est-à-dire pour avoir manqué de complaisance, ou levé les yeux sur celui qui te parle ou te prend. Tu ne dois jamais regarder l'un de nous au visage. Si notre queue est à découvert, pour que tes yeux s'y fixent, et ne se fixent pas ailleurs, pour que tu apprends que c'est là ton maître, à quoi vos lèvres sont avant tout destinées. Dans la journée, tu te livres au premier venu. En outre, à la nuit, tu n'as pour nous honorer que tes lèvres et l'écartement de tes cuisses, car tu as les mains liées, et es simplement nue. Avant chaque soirée, tu te masturbes jusqu'à l’érection, maintenue par un anneau pénien. On ne te bande les yeux que pour te maltraiter, et maintenant que tu as vu comment on te fouette, pour te fouetter. À ce propos, si tu reçois le fouet tous les jours, pour ton instruction. Tu es contrainte. A ta sortie, tu portes une bague à ton annulaire gauche pour te faire reconnaître auprès de ceux qui ont été les hôtes avant ta venue, ou qui le sont quand tu en es partie : tu as appris à ce moment-là à obéir à ceux qui portent ce même signe, et eux-mêmes savent à le voir que tu es complètement nue sous tes vêtements, si corrects et si banals qu'ils soient, et que c'est à leur destination. Ceux qui te trouvent indocile te ramènent ici. »

Les mules claquent sur les carrelages des couloirs où il n’y a aucune porte.

Le blond me dit soudain :

- Tu es dans l'aile des Vicieuses, et ton valet s'appelle Eros.

- Quel valet ? » dis-je.

- Et comment tu t'appelles ?

- Justin de Sade.

- Et moi Anal Lopette » dit le garçon brun.

Justin reprend : « C'est le valet qui a les clefs. Il t'attache et te détache et il te fouette quand tu es puni, ou quand on ne veux pas de toi.

- J'étais dans l'aile des Vicieuses l'année dernière » dit Anal Lopette. « Eros y était déjà. Il vient souvent la nuit. Les valets ont les clefs. Dans leur section, ils ont le droit de se servir de nous. »

Eros est un superbe étalon musclé, brun, debout devant une banquette, en cape, sur son corps nu, le mandrin en érection très bien monté, avec des anneaux dorés aux testicules, au pubis totalement lisse, botté, avec à la ceinture un fouet à lanière de cuir.

Il nous fait entrer.

La cellule se compose d'une petite chambre, avec une fenêtre qui donne sur le parc, et d'une salle de bains. En guise de lit, se trouve un chevalet spécialement adapté aux hommes, avec un support pour le mandrin, une chaîne est fixée au plafond, pour la fixer à mon collier.

- Nous devons faire ta toilette » dit Anal Lopette. « Je vais défaire tes vêtements. »

Justin de Sade dégrafe mon corset, devant Eros. Ce dernier m’ôte le gode et m’encule, penchée en avant, les mains menottées dans le dos.

Son mandrin de vingt-quatre par huit, gainé de picots, me fait jouir, mais je me retiens. Mon mandrin durcit rapidement, sous ses caresses.

- Tu aimes te faire caresser, tout en défonçant ton œillet.

Il se retire et me fait agenouillée, cuisses écartées, les yeux baissés et je le suce, avalant son sperme.

Nous allons à la salle bains, je suis nue et déchaussée, avec mes carcans.

Je monte les marches vers la baignoire. Eros me menotte les bras en l’air à une chaîne fixée à un crochet, pour observer mon corps qui se reflète dans les miroirs des murs et du plafond.

Lavée, savonnée, sur tout le corps, je bande encore. Eros, en profite, pour me sucer le mandrin et caresser mes testicules remplis. J’éjacule à mon tour, malgré l’anneau pénien, sous l’excitation.

Il aime ça. Justin de Sade me frotte précautionneusement le dos et les fesses, en ayant soin de ne pas raviver le souvenir du fouet, Anal Lopette me savonne les seins et le ventre, me passe la main entre les jambes, décalotte délicatement mon mandrin pour le nettoyer jusque dans son petit sillon. Les yeux clos, je jouis en silence. Eros m’insère une canule pour me laver l’anus, je bande de plus belle.

Après la douche, je regagne la chambre.

Déconcertée, je reste devant le chevalet, debout et nue, le collier au cou, les bracelets pesant au bout de ses bras ballants.

- Tu es encore plus resplendissante. Tes mamelons sont encore davantage tendus. Tu bandes à toutes les occasions.

Il me menotte sur le chevalet, caressant mes cuisses et mes fesses qu’il écarte.

Dans le noir, je sens un mystérieux sexe m’enculer jusqu’au nœud. Le sexe est fait en entier rose-rouge, et très sensible au toucher. Un fourreau dans lequel se trouve en entier le pénis du chien quand il n'est pas en érection. Le pénis est plus large que le fourreau. Lors d'une érection, le fourreau va se retirer en arrière, en même temps que le pénis va pousser pour sortir et grossir en dehors du fourreau. Le pénis d'un chien est pointu à l'extrémité et s'élargit au bout de deux ou trois centimètres. Le pénis en entier est aussi sensible. Au bout du pénis, le chien a un petit trou à partir duquel il éjacule, il a une fente, cependant le rôle est identique. Quand un chien est excité, son pénis entre en érection et retire en arrière son fourreau de protection. Il crée du sperme en continue en même temps que le pénis est en érection et qu'il est excité et il va gicler pendant tout le rapport sexuel, du début de l'érection jusqu'à la fin du rapport sexuel, ce qui rend le rapport extrêmement agréable. Le bulbe du pénis est une caractéristique très intéressante qui rend l'amour canin extrêmement agréable. Un pénis de chien est fait d'une matière qui ressemble à du caoutchouc qui peut gonfler prodigieusement, ce qui fait tout son intérêt. Il éjacule immédiatement continuellement. Mais après quelque minutes, quand le chien atteint son vrai orgasme, alors la base de son pénis va se gonfler. Une fois le pénis bien entré dans mon anus, il ne bouge plus, il applique une constante pression pour s'assurer que le bulbe du pénis est bien dans vous. Pendant ces quelques secondes, le bulbe va grossir plus encore dans mon anus qu'il ne sera plus possible de l'extraire avant la fin du rapport. A partir de là, le chien va éjaculer intensivement, pour que le sperme se dépose bien profondément dans mon anus dilaté.

Je jouis pendant une bonne demi-heure avec ce premier amant, que je dois sucer, tandis qu’un second m’encule aussitôt.

J’ai droit à trois amants de différents calibres, pour m’écarteler l’anus. Je bande et j’éjacule aussi.

Menottée, dans le noir, immobile, enculée, je ne peux me masturber. Le fouet m’a fait excitée, tout comme le fait d’avoir été enculée par les quatre hommes.

 

Aux dernières heures de la nuit, quand elle est plus sombre et plus froide, juste avant l'aube, Eros revient. Il allume dans la salle de bains, en laissant la porte ouverte, je suis menottée au chevalet, l’anus expulsant le surplus de spermes et mon mandrin un peu ramolli, avec une grande tâche de spermes.

Il me cravache les fesses à toute volée.

Il me fait lever, les mains libérées, qu’il fixe à la chaîne au plafond. Il me saisit les mains avec familiarité, et il fait glisser l'un dans l'autre les anneaux des bracelets, puis ces deux-là dans celui du collier. Je me trouve les mains jointes à la hauteur du cou.

Il cravache le devant de mes cuisses.

Il m’encule sauvagement, éjaculant sur mes fesses zébrées et brûlantes et me menotte au chevalet, pour de nouveaux plaisirs anaux.

Le tout a duré une minute.

Quand le valet part, après avoir refermé la lumière, je suis à nouveau enculée par mes mystérieux amants jusqu’au lever du soleil.

Je regarde naître une lente aurore pâle, dehors, au pied de la fenêtre, et dégage une pelouse, et au bout de la pelouse, une allée.

Puis un des amants mystérieux apparaît, le sexe en érection.

L’anus entrouvert, je retourne ma tête et je découvre un superbe berger allemand avec un sexe de vingt-sept par huit. Il m’encule jusqu’au nœud. Je jouis rapidement et connais de nouveau trois orgasmes anaux.

Au bout de trois quart d’heure, je le suce, après son retrait. Je suis subjuguée par ce superbe sexe.

 

Aucun garçon n'a les clefs, ni celles des chaînes, ni celles des carcans, mais tous les hommes portaient à un anneau les clefs qui, chacune dans leur genre, ouvrent toutes les grilles, ou tous les cadenas, ou tous les colliers. Les valets les ont aussi. Mais au matin, ceux qui ont été de service la nuit dorment, et c'est l'un des maîtres ou un autre valet qui vient ouvrir les serrures.

 L'homme qui entre dans ma cellule, accompagné d'Anal Lopette et de Justin de Sade, est habillé d'un blouson de cuir, le mandrin nu et les testicules percés d’anneaux dorés, et il est botté.

Son mandrin de trente par sept m’encule sauvagement, sans attendre, tout en caressant mes testicules, qu’il emprisonne dans un séparateur de testicules qui les étire bien en les séparant comme deux clémentines bien fermes : chaque testicule devient bien gonflé et beaucoup plus sensible, étiré sur deux centimètres chacun.

Il caresse aussi mes fesses zébrées. Il me libère du chevalet pour que je le suce et j’avale tout, accroupie, cuisses écartées, le mandrin en érection.

Justin de Sade pousse vers le chevet une table roulante qui porte du café au lait, du sucre, du pain, du beurre et des croissants.

« Mange vite, il est neuf heures, tu peux ensuite dormir jusqu'à midi. Quand tu entends sonner, il faudra que tu te prépares pour le déjeuner. Tu prends ton bain et tu te coiffes. Je viens t'habiller.

– Tu n’es de service que pour l'après-midi », dit Anal Lopette.

– Mais vous... » dis-je.

- Ah, nous sommes chargés de toi que pour la première journée. Ensuite, tu es seule. Nous pouvons plus te parler, et toi non plus tu pourras pas.

– Restez, restez encore, dites-moi... »

Mais je n’ai pas le temps d'achever, la porte s'ouvre : c'est Horace, accompagné d’un superbe étalon.

Les deux garçons disparaissent.

Je me tiens debout, à côté de la table roulante, tenant une tasse de café au lait à la main et de l'autre un croissant, immobile.

- Tu bandes encore, plus qu’hier soir, ma belle.

Je garde les yeux baissés et la bouche à peine entrouverte tandis que je repose la tasse sur la table, met le croissant sur la soucoupe.

À son tour Horace examine les balafres, appuyant légèrement la pointe de ses doigts tout le long de celle des cuisses, puis, le tournant, posant ses lèvres fraîches sur celles des fesses, l'embrassant tendrement, le léchant là – et sous ses caresses mon ventre s'épanouit rapidement.

« Avance, qu'on te voie », dit Horace. Et lui ayant mis une main aux reins, il le poussa vers son compagnon.

- Quelle superbe beauté, de superbes seins, une belle queue en érection, dit le compagnon.

L’homme me prend le mandrin en main, s’attarde sur mes testicules et me suce sans me demander mon avis. En pleine érection, je m’abandonne à sa bouche.

Horace m’attache les bracelets par-derrière au moyen des anneaux, puis, se collant à mon dos, il se retient d'une main par mon collier, et d'un bras me ceinture le ventre.

Cette fellation est stoppée avant mon éjaculation.

Je me retrouve sur le chevalet, offerte au compagnon.

Celui-ci m’encule profondément, avec son mandrin de trente-un par huit. Je jouis sous ses coups de reins jusqu’à son éjaculation. Moi aussi, j’éjacule, en plein orgasme silencieux.

Il se retire et Horace me laisse le masturber et avaler son sperme. Je dois avaler celui d’Horace.

 

Le soleil a percé la brume et inonde la chambre, mais seule la cloche de midi nous réveille.

- Désormais, tu es offerte à tous les hommes du « Jardin », soumise, fouettée et respectueuse d’eux, telle une prostituée. C'est parce qu'il t'est facile de consentir que je veux de toi ce qu'il te sera impossible de supporter, même si d'avance tu l'acceptes, même si tu dis “oui” maintenant, et que tu t'imagines capable de te soumettre. Tu ne peux pas ne pas te révolter. On obtient ta soumission malgré toi, non seulement pour l'incomparable plaisir que moi ou d'autres y trouvons, mais pour que tu prennes conscience de ce qu'on a fait de toi. On t'a dit hier que tu ne dois, tant que tu es ici, ni regarder un homme au visage, ni lui parler. Tu ne le dois pas davantage à moi, mais te taire et obéir. Tu n'ouvres désormais ici la bouche, en présence d'un adulte, que pour crier ou sucer. Va te préparer.

Je me plonge nue, me baigne, l'eau tiède me fait frémir quand mes cuisses meurtries y plongent, et je m’éponge sans frotter, pour ne pas réveiller la brûlure. Je me sèche dans la grande serviette, je me coiffe devant la glace et, toujours nue mais les yeux baissés et la bouche entrouverte, revient dans la cellule.

Horace encule Justin de Sade, penché en avant, cuisses écartées. Horace joue avec les testicules de Justin de Sade.

- Suce-le, pour recevoir son sperme dans ta bouche. Je vais te mettre ton gode en place, avant le déjeuner.

Accroupie, je m’exécute. Je n’ose me masturber devant Horace.

Je reçois mon gode et Justin de Sade me met mon corset. Je chausse mes mules fardée et parfumée.

Nous sommes escortés par un nouveau valet, vêtu comme Eros. Il nous précède et nous fait entrer dans une antichambre dallée de marbre où, devant une porte en fer forgé qui se découpait sur de hauts rideaux, deux autres valets attendaient, deux dobermans bruns à leurs pieds.

- C'est la clôture », murmure Justin de Sade.

- Eh, toi ! Tu oublies le règlement ? Viens ici ! » Il claque dans ses doigts. « À quatre pattes. Par terre. Tout de suite ! »

Justin de Sade obéit et je dois aussi me mettre à quatre pattes, libéré du gode.

- Toi, la nouvelle, c’est d’abord Hannibal avec sa queue de trente-deux par sept, va t’enculer. Tu vas jouir, tu vas nous sucer aussi.

Hannibal m’encule d’une seule traite jusqu’au nœud. Je bande et j’éjacule lors de ses orgasmes. Je reste l’anus écartelé pour que Hadès m’encule aussi dans la demi-heure après la saillie par Hannibal.

Je connais le même plaisir anal, plus violent et plus jouissif.

Justin est aussi sailli par les deux dobermans.

J’avale le sperme des deux dobermans et des valets présents.

On me remet le gode en place. Je garde une longue érection, excitée et mes mamelons sont constamment tendus.

Je rejoins le réfectoire dallé, la table longue, en verre épais, et chacun a pour siège un tabouret rond recouvert de cuir. Les soumis regardent mes seins et mon mandrin, tout comme le valet de permanence. Il les caresse pendant le repas et me masturbe sans me faire éjaculer. Je m’assois, au contact du cuir lisse et froid sous mes cuisses. A ma sortie, j’ai les fesses nues et les cuisses nues, sous mes vêtements.

Après le repas, je me retrouve seule à faire le service du café et du feu. Les portes-fenêtres ouvrent à l'ouest, sur une commode une énorme gerbe de chrysanthèmes soufre qui sentent la terre et les feuilles mortes.

Les invités observent mes fesses marquées. Les quatre balafres sur les fesses vont du noir au violet, les deux sur le dos des cuisses sont d'un brun-rouge.

Je sers le café aux invités. Ils prennent soin de me retirer le gode et de faire écarter mes fesses, mon anus rentre entrouvert des saillies récentes d’Hannibal et d’Hadès.

- Viens me sucer, dit un homme mince, si jeune, blond.

L'autre homme est blond aussi, trapu, m’offre à sucer son mandrin, similaire à celui qui est venu le matin avec Horace. Tous deux dans les grands fauteuils de cuir, les pieds au feu, lisent leurs journaux.

Sans attendre, un doberman entre, avec son maître chien et il m’ordonne :

- Continue de sucer et cambre-toi bien, pour que Cœur de Lion te possède.

J’obéis, son gros sexe me remplit d’une seule traite jusqu’au nœud. Je continue à sucer.

Le trapu vient m’enculer sauvagement après le retrait de Cœur de Lion, c’est la sodomie humaine que je subis cet après-midi. Hannibal, Hadès et deux bergers allemands m’enculent dans l’après-midi, pendant trois quart d’heure chacun.

Les deux hommes et leurs maîtres-chiens me sucent pour me récompenser. Je me retiens d’éjaculer.

 

Au bout de huit jours, aucun gode n’est plus nécessaire, et Horace m’annonce :

- Je suis heureux que je sois bien ouvert, et qu'il veille à ce que je le demeure.

Les invités m’enculent jusqu’au lever du soleil, ma bouche est remplie de leurs spermes, je suis fouettée.

Et cependant, les parties de son corps les plus régulièrement offensées, rendues plus sensibles, lui paraissent en même temps devenues plus belles, et comme anoblies : ma bouche refermée sur des mandrins anonymes, mon mandrin que des mains masturbent et, entre mes cuisses écartelées, je suis enculée à plaisir.

 

1er juillet

Dans ma cellule, libre à mon chevalet, c'est l'après-midi, j’ai les yeux ouverts, les mains libres, et Horace m’encule avec vigueur.

« Il faut te préparer. Nous partons. »

Justin de Sade me donne un dernier bain. Ensuite il me brosse les cheveux, me tend le parfum. Il sort. Je porte encore mon anneau pénien et mon séparateur de testicules.

Quand je reviens dans la cellule, Justin de Sade n'y est plus. Horace m’attends avec juste ma robe blanche.

Un homme entre, me retire mon anneau pénien et mon séparateur de testicules qu’il remet à Horace. Je ne bande plus.

L’homme m’encule quelques instants sans éjaculer, je suis penchée en avant, cuisses écartées, offerte une dernière fois.

Il me retire ensuite mes carcans, après une ultime éjaculation dans ma bouche.

Je porte ma bague à mon annulaire gauche désormais, sertie d’un petit anneau.

- Habille-toi », dit Horace.

Encore nue, Horace m'attire pour examiner mes reins et mes fesses. Il passe les doigts sur les nombreuses traces du fouet, plus ou moins estompées selon leur ancienneté, sur les marques des carcans. Vêtue de ma robe, le mandrin mou, je chausse mes mules.

L’antichambre est vide, ni valets ni chiens.

Nous quittons le « Jardin » par le parc. Je reconnais la limousine. Je m’assois, la robe relevée, dénudant mes seins, les fesses nues sur la banquette. Je bande d’excitation.

Nous sortons du parc et nous rejoignons ma nouvelle résidence.

C’est une superbe villa isolée, à une heure de route de mon lieu de travail.

Elle comprend une luxueuse salle à manger, un salon au rez-de-chaussée, des cuisines au sous-sol. Au premier étage, se trouve ma chambre, avec une salle de bains commune avec une douche et une baignoire, avec celle d’Horace. Au second étage, se trouvent des pièces fermées à clé. Toutes les pièces sont recouvertes sur les murs de glaces et de miroirs ainsi qu’au plafond, pour mieux renvoyer mon image.

Nue au salon, devant Horace, je reste debout.

Il me masturbe et me remet mon anneau pénien et mon séparateur de testicules qui sont cadenassés ensemble.

- Tu es encore plus resplendissante. Ces sexes qui t’ont écartelé, t’ont fait jouir, ma chérie. Tu vis totalement nue ici, à toute heure de la journée. Tu peux te baigner nue dans la piscine. Tu gardes toujours tes cuisses écartées, à toute occasion, tout comme ta bouche entrouverte, fardée et parfumée, ta queue en érection. Ta garde-robe ne comprend que des jupes ou des robes mais à la condition qu'en aucun cas elles ne soient plus longues que le milieu de tes cuisses et tes seins nus sous tes corsages ou chemisiers, guêpière et corset seins nus de rigueur. Pour tes pieds, tu est  toujours pieds nus dans tes escarpins, tes mules et tes sandales à talons. Tu dois être parfaitement maquillée vingt quatre heures sur vingt quatre, aussi bien le visage que tes mamelons. Quand tu te laves, aussitôt après, tu dois te remaquiller. Tu dois avoir dans ton sac en permanence de quoi faire les retouches nécessaires à ton maquillage pour qu'il soit toujours parfait. Ton corps est désormais public, donc en ma présence ou en présence d'un de mes représentants, tu dois te montrer nue  sur un simple ordre. Où que ce soit, quand que ce soit et devant qui que ce soit. Tu n'as pas de temps de réflexion. Tu dois t'exécuter à la seconde même. En dehors de ma présence ou de quelqu'un qui me remplace, si quelqu'un te touche, te tripote, te pelote, tu dois te laisser faire comme si c'est quelque chose de tout à fait normal et ce encore une fois, qui que ce soit et ou que ce soit. Même si ça va jusqu'à te faire enculer. Dans ce cas, tu dois me tenir informé du fait que tu es enculée par quelqu'un et tu dois me donner tous les détails. Tu te masturbes juste avant de mettre ton anneau pénien.

Nous allons à la chambre.

Dans un 69 torride, nous suçons mutuellement nos mandrins en érection.

Allongés sur le côté, les jambes légèrement repliées, dans mon dos, Horace m’encule. Les mains d’Horace atteignent mes seins, mon ventre, mon mandrin. S’il s’écarte un peu, il peut caresser le dos, les reins, les hanches, les fesses.

Horace m’encule lentement. J’ajuste mon bassin pour qu’il m’encule profondément. Horace masturbe mon mandrin et pelote mes seins aux mamelons constamment tendus. Il éjacule dans mon anus.

- Tu aimes que je te prennes. Tu es encore plus ouverte. Tu bandes, prends-moi ensuite.

Nous inversons les rôles et je masturbe le mandrin d’Horace, qui éjacule dans ma main.

Pantelante, j’éjacule sous la douche, libérée de l’anneau pénien.

Horace me fait porter un bijou d’anus moulé sur l’avant du sexe du doberman.

Horace m’encule dans diverses positions jusqu’au coucher du soleil. Mes éjaculations sont longues.

Après le souper, que je prends nue, enculée, assise entre ses cuisses, lui offrant mes seins, mes reins, mes fesses, surtout mon mandrin en érection par l’anneau pénien.

Je me baigne, pour me relaxer, libre de l’anneau pénien et du séparateur de testicules.

Douchée, je dors seule dans ma chambre, allongée sur le dos, cuisses écartées, attendant d’être enculée, avec uniquement le séparateur de testicules.

 

2 juillet

Après une courte nuit, enculée par Horace ou moi, l’enculant, je me lève.

Vers neuf heures, une jeune soubrette m’apporte mon petit déjeuner au lit. Je reste nue et elle me suce ensuite.

Elle me douche, me farde et me parfume.

Je me masturbe, pour recevoir l’anneau pénien cadenassé.

Quelle superbe queue, tu possèdes, les hommes doivent avoir de toi, me dit-elle.

Je n’ose répondre.

La soubrette disparaît.

Nue, en mules, je descends au salon et le téléphone sonne. Je décroche.

- Tu es habillée ?

- Non, je suis nue, ma queue bande à fond.

- Tu as gardée ta bague, naturellement ? »

J’ai gardée ma bague.

Reste nue, des invités vont venir, te solliciter, tu t’offres à eux, les yeux bandés.

Il raccroche.

En effet, la sonnette de l’accès au jardin, tinte. Je me mets un bandeau sur les yeux comme au « Jardin ».

La porte s’ouvre.

- Quelle beauté, dit la voix masculine. Quelle superbe queue bien dure, tu as un corps de déesse. Ecarte tes fesses que je vois ton œillet élargi.

Cela m’excite.

Sans m’avertir, l’homme très bien monté, m’encule d’une seule traite et je me retrouve à quatre pattes, bras tendus, offrant mes fesses bien rebondies.

Il me fait coulisser, en me tenant par la taille et de plus en plus fortement à mes hanches douloureuses.

- Quel œillet bien élargi, ma queue t’écartèle bien.

- Prenez-moi, je suis toute à vous.

- Silence, ma belle, tu dois te soumettre, en silence et ne pas jouir.

Je suis prise d’une violente éjaculation et je mouille le tapis. Il éjacule dans mon anus serré.

Il se retire et éjacule dans ma bouche. Il disparaît.

J’ai juste le temps de nettoyer mon sperme.

Un autre invité arrive peu après.

Lui, il me fait empaler, enculée sur lui, face à lui, mes cuisses très écartées de part et d’autre de son bassin, jusqu’aux testicules, mes mains accrochées à son buste dressé. Je coulisse sur son mandrin de bonnes dimensions. J’accélère lors de mon orgasme décidé par lui seul et il éjacule en moi, mes mamelons bien tendus offerts à sa langue.

Je me retire et je le suce.

Je me douche, surprise par de tels amants inconnus.

J’attends nue, Horace.

Il me complimente pour mes ébats sexuels que je lui raconte.

L’après-midi et le lendemain, je suis à nouveau enculée par des amants inconnus.

 

3 juillet

Je retourne retrouver Charles Alexandre, conduite par la limousine. Je porte mon tailleur fuchsia avec une jupe éventail, qui se retrousse d'un geste, sur mon corset seins nus, en sandales blanches à hauts talons, coiffée de ma queue-de-cheval, fardée et parfumée. Je porte juste mon séparateur de testicules et mon bijou d’anus moulé sur le sexe d’un doberman.

Je retrousse ma jupe pour exhiber mon mandrin non en érection et mes fesses et mes cuisses portant les balafres de la cravache.

- Tu es encore plus resplendissante, après ton séjour au « Jardin ». Je t’ai aperçue une fois, enculée par un superbe amant, suçant un autre.

- Charles Alexandre, je suis toute à toi, désormais.

- Je connais ta bague. Viens me donner ta queue à sucer. Nous irons au parc.

J’obéis. Nue, dans le bureau, Charles Alexandre me suce et m’encule sur le champ, avant que je l’encule à mon tour, pour éjaculer dans nos bouches respectives.

Au parc, je suis prise pour sa fille ou sa nièce.

- Tu es resplendissante, dit Charles Alexandre à Alban, que nous croisons.

Alban caresse discrètement mes fesses nues et mon mandrin sous ma jupe. Je me retiens de jouir, lorsqu’il enserre mes testicules gonflés de ses doigts experts.

Après Alban, nous retrouvons Brice. Je suis massée par ses soins, sans ma serviette, exhibant mes fesses et mes cuisses zébrées. Je me relaxe, quand je le suce, avant une longue sodomie profonde. Il éjacule dans ma bouche.

 

18 juillet

Peu avant quitter l’agence de la revue, Horace m’appelle :

- Ma chérie, tu dois être prête à huit heures pour venir dîner avec un de ses amis. Une voiture passe te prendre, le chauffeur monte te chercher. Tu dois porter ton boléro et ta jupe éventail noirs, tes mules noirs, fardée et parfumée comme au « Jardin ».

De retour chez moi, je me déshabille de mon tailleur, me douche longuement, me masturbe un peu pour évacuer le surplus de spermes dans mes testicules libérés du séparateur de testicules et je jouis.

Je me farde, me parfume à trois reprises, des gouttelettes se forment sur ma toison pubienne. Je laisse mes cheveux libres et glisse mes pieds nus dans mes mules noires à hauts talons.

Je rejoins le salon et j’attends, assise, la jupe relevée.

Le chauffeur vient me chercher, c’est le frère jumeau d’Horace, César. Je soulève ma jupe pour lui exhiber mon mandrin qu’il emprisonne en érection dans un anneau pénien sur mesure.

Nous rejoignons un club privé à deux heures de route de ma villa.

Là, je suis présentée à Sir Donatien de Bon Plaisir, un bel athlète musclé du triple de mon âge. César reste aussi.

Je m’assois sur un tabouret entre les deux hommes, et je glisse ma jupe en dehors du tabouret, dont je sens le cuir froid sous ma peau et le rebord gainé de métal au creux même de mes cuisses, assise qu'à demi. En relevant ma jupe, tout le monde peut admirer mon mandrin nu et libre en érection. Ma jupe s'étale autour d'elle. Mon talon droit est accroché à l'un des barreaux du tabouret, la pointe de son pied gauche touche terre.

Il regarde mes genoux, mes mains, mes lèvres de ma bouche, regardant mon annulaire gauche la bague de fer.

Ils m’aident à descendre du tabouret, après avoir bu.

Nous montons à l’étage, où après avoir sucé les deux hommes, je dois m’empaler entre leurs cuisses, enculée, seins nus, devant les serveurs. Je partage leurs plats. Ils caressent mes seins, commentent mon érection, ma jouissance, m’embrassent langoureusement.

Ils éjaculent dans ma bouche. Je dois garder mon bijou d’anus à la fin du repas, pour ne pas perdre le précieux sperme.

Nous quittons le restaurant pour rejoindre la villa de Sir Donatien, mitoyenne de la mienne.

Sa villa est similaire à la mienne.

- Déshabille-toi, tu dois tout nous dévoiler de tes charmes.

Nue, en mules, je suis approchée par le doberman Apollo que je dois sucer.

J’obéis, puis ensuite, je suis enculée par Apollo jusqu’au nœud, d’une seule traite.

- Tu es une excellente chienne, ma belle, me complimente Sir Donatien.

Au bout de trois quart d’heure, il éjacule longuement après mes trois orgasmes anaux, j’éjacule aussi dans une coupe, sous l’excitation.

Puis pantelante, l’anus entrouvert, je dois m’empaler sur Horace, doté d’un mandrin de huit centimètres de diamètre, allongé sur le tapis. Assise sur lui, je replie mes jambes, mon mandrin est au summum de son érection, je suis caressée et soulevée régulièrement au-dessus de son mandrin. Je dois me retenir de jouir.

Pour Sir Donatien, je le rejoins, il est allongé sur le divan, je m’allonge face à lui, enculée. Il me saisit ma cuisse gauche et mon mollet droit, pour me rapprocher à chaque coup de rein, jusqu’aux testicules, sur son mandrin lui aussi de huit de diamètre. Horace me suce, tandis que je nettoie Horace.

- Quel plaisir, de te prendre, ma belle. Tu es encore plus ouverte que les autres.

Ne pouvant jouir, je réussis à éjaculer dans la bouche d’Horace.

Remise de mes ébats, je dois à nouveau être enculée par Apollo, que je suce.

Cette fois, je suis offerte, couchée sous lui, redresse les jambes, je les passe par-dessus le dos d’Apollo et je m'agrippe à lui, les mollets croisés sur ses reins, jusqu'à me coller étroitement sous lui. Il éjacule au bout de trois quart d’heure.

« Je reconnais à Sir Donatien le droit de disposer de mon corps à votre gré... En quelque lieu et de quelque manière qu'il vous plaira... Le droit de me tenir enchaîné... Le droit de me fouetter comme un esclave pour la moindre faute ou pour votre plaisir... Le droit de ne pas tenir compte de mes supplications ni de mes cris... » Je baisse la tête, épuisé par l'angoisse et l'excitation qui le consumaient. Je vous laisse disposer de ma bouche, mes jambes écartées, me fouetter et d’accepter toutes vos demandes, Sir Donatien.

Sir Donatien m’encule à nouveau. Il est assis au bord du divan, je m’empale, enculée, assise, face à lui, sur ses cuisses, mes mains accrochées à son cou, mes mollets sur ses épaules, nos cuisses écartées. Je bande, enculée jusqu’aux testicules. Il me fait glisser sur son mandrin muni d’une gaine à picots, en me tenant sous les reins. Je me retiens de jouir. Horace me suce en même temps.

J’éjacule dans la bouche d’Horace, puis c’est au tour de Sir Donatien.

Libre, mon bijou d’anus en place, nous montons à ma chambre. Je suis déchaussée.

Je me douche, en sa présence. Il m’invite à me masturber et à éjaculer dans sa bouche, libre de l’anneau pénien.

- Ta superbe queue est un délice à sucer.

Avant de fermer la porte, je dors nue sur les draps, cuisses écartées, l’anus libre. Sir Donatien s'approche de moi et me suce encore, sans me faire éjaculer. Il n’y a aucun rideau dans la chambre, exhibant mon corps nu aux voyeurs.

 

19 juillet

A dix heures je me réveille, un homme soubrette m’apporte une tasse de café, me prépare un bain et me donne mes vêtements. Je descends au salon vide, l’homme soubrette me tend une lettre où, sur l'enveloppe, était sa seule initiale ; la feuille blanche porte : « La cravache est pour votre prochaine visite. » Je regarde autour de moi : sur la table, il y a une très longue et mince cravache de cuir. L’homme soubrette m’attends à la porte.

Chez moi, je me change, me douche longuement, me farde et me parfume. Je choisis un corset seins nus avec ma veste de tailleur fuchsia et ma jupe éventail, le séparateur de testicules en place avec une boule anale liée par une barre métallique, pour me garder ouverte. Je chausse mes sandales à hauts talons et je laisse mes cheveux libres.

J’appartiens désormais à Sir Donatien. Mon anus va s’habituer à ce superbe mandrin.

Ma boutique de lingerie me remet désormais des corsets et des guêpières seins nus sur mesure. La guêpière seins nus est tenue rigide par de larges baleines très rapprochées, courbées vers l'intérieur au ventre et au-dessus des hanches, avec un busc, sur un côté derrière, permet de boucler et de déboucler et par-derrière aussi, un large laçage se serre ou se desserre à volonté. Ma taille et mon ventre se creusent sous la pression des baleines, qui sur le ventre descendent presque jusqu'au pubis, qu'elles dégagent, ainsi que les hanches, mon mandrin nu et libre est sans entrave. La guêpière est plus courte par-derrière et laisse la croupe entièrement libre, pour m’enculer aisément.

Mes robes et mes jupes de Val Edouard sont désormais plus longues que le milieu de mes cuisses, cachant mon mandrin nu et libre, tout comme mes fesses nues.

 

Je passe mes après-midis après le déjeuner chez Sir Donatien, nue, en mules, dans le salon, enculée par Apollo, cravachée par Sir Donatien, sur le chevalet similaire à celui du « Jardin ». Je ne refuse aucune proposition de Sir Donatien.

Je suis cravachée, menottée les bras tendus, avec mes bracelets de cuir du « Jardin », nue, sur la pointe des pieds, coiffée de mon chignon, sur les fesses, les cuisses, les reins, le dos et remerciée par une longue sodomie de Sir Donatien, qui me suce ensuite.

Je le suce en retour.

L’homme soubrette me regarde me déshabiller. J’ai envie de lui.

Certains soirs, je passe la nuit chez lui, offerte à tous ses désirs sexuels.

 

25 juillet

Vers huit heures, alors que je suis nue, dans ma chambre, seule, j’entends la porte s’ouvrir.

Je descends, sans me chausser, les cheveux libres, non fardée, non parfumée. Mon mandrin est en érection, suite à mes rêves érotiques nocturnes.

C’est Sir Donatien.

- Aimée, tu es très belle, même sans être maquillée. Tu te masturbes souvent la nuit, quand tu rentres chez toi.

- Oui, cela m’arrive.

- As-tu plusieurs amants ?

- Oui, j’aime les hommes depuis mon retour du « Jardin ». Surtout, ceux que je suce et qui m’enculent profondément.

- Appartiens-tu à eux ?

- Non, je vous appartiens, Sir Donatien.

Sans attendre, Sir Donatien libère son mandrin bien dur et me prend sur le champ.

Je me retrouve allongée sur le dos, les cuisses relevées et bloquées par les cuisses de Sir Donatien, en traction. Je me retiens de jouir.

Il éjacule en moi et je le nettoie en retour.

- Habille-toi, nous allons au restaurant.

Je choisis un chemisier blanc sur mes seins nus aux mamelons constamment tendus par l’excitation. Une jupe éventail fuchsia complète ma tenue et mes sandales blanches à hauts talons, coiffée d’une queue-de-cheval, fardée et parfumée.

Au restaurant en plein air, je m’assois, la jupe relevée, les fesses nues sur la chaise de fer.

Les yeux baissés, je déjeune en sa compagnie, parlant de mes amants, mes sodomies, mes saillies par Apollo. Je bande sous ma jupe éventail, sans pouvoir me masturber.

Je dois éjaculer dans ma serviette, en sa présence.

Sir Donatien est satisfait de moi.

A la sortie du restaurant, il faut stopper la limousine dans un endroit discret.

Nue, je suis enculée, allongée sur la banquette, les genoux sur mes épaules. Il est en traction, jusqu’aux testicules. Je me retiens de jouir. Ses testicules claquent contre mes fesses.

Il éjacule longuement et César m’encule ensuite vigoureusement dans la même position.

Je porte mon bijou d’anus pour ne pas perdre leurs précieux spermes.

Vers quinze heures, je rencontre Olivia, une superbe transsexuelle blonde aux yeux bleus, aux seins plantureux, vêtue d’une robe dos nu, noire, en mules à hauts talons noires, coiffée d’une queue-de-cheval, à mon agence.

Elle m’embrasse langoureusement et glisse sa main sous ma jupe éventail et prend dans sa main mon mandrin qui bande, malgré l’anneau pénien que je porte seul.

- Tu es bien montée, ma chérie, Aimée. Tu aimes te faire sucer.

- Olivia, j’aime ça et plus davantage, allons chez moi.

Chez moi, nue, j’exhibe mon corps.

- Tu me plais, dit-elle en s’offrant elle aussi nue, son mandrin de trente-six par huit.

Dans un 69 torride, nous suçons longuement nos mandrins, caressant nos testicules. Ceux d’Olivia sont intégrés rasés, ainsi que son pubis.

- Quel superbe œillet bien ouvert, ma chérie, me complimente Olivia, en me doigtant jusqu’à quatre doigts.

Excitée, je m’empale sur Olivia, nous sommes agenouillées sur le lit, enculée jusqu’aux testicules, mon buste contre ses seins plantureux. Olivia me masturbe mon mandrin bien dur et pelote mes seins aux mamelons tendus. Je jouis.

Puis elle m’encule, allongée sur le dos, les cuisses complètement ouvertes, en me tenant par les chevilles. Jambes tendues, je suis profondément enculée, les reins soulevés. Je me masturbe et caresse mes seins.

- Tu me pines bien à fond l’œillet.

- Tu aimes ça.

Enfin, pour me faire éjaculer, je la reçois, en appui sur mes bras et mes jambes écartées, Olivia est agenouillée et me tient par la taille, pour me faire coulisser.

Dès qu’elle me masturbe, j’éjacule, tandis qu’elle éjacule dans mon anus.

Nous suçons mutuellement nos mandrins après une ultime éjaculation.

- Tu me suces à merveille, ma chérie.

- Toi, aussi, ta grosse queue me ravit, dis-je pour la complimenter.

Elle contemple mes fesses et mes cuisses zébrées, tout les caressant sous la douche commune.

- Qui te cravache ?

- Un ami, qui tient à ce que je sois son unique objet du désir.

Nous faisons l’amour à nouveau jusqu’au coucher, tantôt Olivia m’encule tantôt c’est moi.

Je lui donne tant de vigueur qu’elle m’en a donnée, Olivia est satisfaite de mes plaisirs.

Vers 22 heures, après notre souper en commun, Horace et César nous rejoignent. Olivia et moi sommes aux anges, suçant, enculées par nos amants, avec leurs mandrins de trente par huit. Nous les enculons aussi jusqu’à l’épuisement de nos orgasmes.

 

Olivia emménage chez moi, en accord avec Horace et César. Ainsi, je peux m’offrir à Olivia, quand je le désire.

 

10 août

J’avoue à Sir Donatien, ma liaison avec Olivia.

Cela lui plait. Je bande et mes mamelons se tendent, rien à l’évoquer devant lui, nue.

Sir Donatien m’encule ce jour-là, menottée au chevalet, devant l’homme soubrette.

Involontairement, je resserre mon anus contracté et fermé, il me force brutalement. J’ai un violent orgasme, enculée jusqu’aux testicules, coulissant sur son mandrin.

Il se retire et me confie à l’homme soubrette. Il m’embrasse langoureusement, libre et me suce, pour avaler mon sperme du à mon orgasme.

 

16 août

« J'espère bien. Et lorsque tu porteras, comme tu dois bientôt – si tu y consens –, ma marque et mes fers, tu auras beaucoup plus de raisons de le craindre. C'est Val qui te l'explique. Je dois d'abord te montrer à elle. Nous lui rendons visite dès cet après-midi, m’annonce Sir Donatien.

Val habite à trois heures de route de chez Sir Donatien, dans un luxueux domaine, avec plusieurs bâtiments. Quand nous arrivons, il est quatorze heures, un superbe doberman nous accueille.

Sans attendre, je relève ma jupe et m’offre à lui, l’anus libre de mon bijou d’anus, devant Sir Donatien. Il m’encule jusqu’au nœud. Je connais plusieurs orgasmes anaux.

Val nous rejoint, de l'âge de Sir Stephen, brune aux yeux bleus.

- Adam t’a adopté, ma belle Aimée. Tu as un superbe sexe en érection.

Libérée au bout d’une demi-heure, je remet mon bijou d’anus et remet ma jupe en place, je porte mon corset seins nus sous mon boléro fermé au cou. Il suffit d'enlever le boléro pour que les épaules et les seins soient nus, et sans même enlever le boléro, de l'ouvrir, si l'on désire voir les seins.

J’exhibe mes seins nus.

De petits seins et une belle queue, tu es très belle ainsi. Mais, tu devras rester chaste avec mes filles.

- Déshabille-toi, Aimée, je veux ton corps intégralement nu.

Nue, je parade devant elle, en mules.

Elle pelote mes seins, caresse mes testicules et masturbe mon mandrin encore en érection. Elle caresse mes fesses que j’écarte, me fouille l’anus jusqu’à trois doigts.

- Tu as été forcée, déchirée et élargie au « Jardin ». Jouis, si tu le désires. Ton œillet est sensible.

J’éjacule, Val me suce, tout en caressant longuement mes testicules pour les vider.

Je revêts ma guêpière blanche seins nus sans jarretelles que Val m’a préparé.

Je la cache sous une robe courte au décolleté en V, blanche, m’arrivant à mi-cuisses, couvrant à peine mon mandrin en érection et des sandales à hauts talons assorties.

D’ici dix jours, tu seras ramenée chez moi, annonce Val. Tu es plus féminine qu’un homme, ma belle.

Je retrouve Horace, qui m’encule longuement, en compagnie d’Olivia, qui vit chez moi.

 

26 août

Je suis conduite chez Val, vêtue de ma guêpière seins nus, sans bas, de ma jupe éventail, d’un boléro et de mules à hauts talons, fardée et parfumée, coiffée d’une queue-de-cheval.

Val me fait déshabiller et m’équipe d’une cage de chasteté à boule anale. Je me retrouve enculée en permanence sans avoir la possibilité de se masturber ou d’éjaculer.

Elle est cadenassée pour la durée de mon séjour. La boule anale mesure cinq centimètres de diamètre. Je ne peux exciter directement mon gland. Mes testicules sont lourds de spermes, mis en valeur par le séparateur de testicules pour les étirer aussi. Toute érection m’est impossible.

- Aimée, toutes les filles présentes ont envie de ta belle queue, mais je les préserve de celle-ci. Je te libère le soir, pour te faire sucer par elles, mais aucune ne doit faire l’amour avec toi. Si Adam veut t’enculer, il le fera le soir dans ta chambre.

Je retrouve mes carcans de cuir du « Jardin » à mon cou, mes poignets et mes chevilles.

Je suis longuement cravachée sur l’intérieur des cuisses, exhibée, entre deux piliers, les cuisses complètement ouvertes, les jambes tendues, des chaînes fixées aux carcans de mes chevilles, les mains jointes à mon cou. Je gémis un peu, mais je prends du plaisir ensuite.

Val me pose aussi mes fers d’essais à mes testicules intégralement épilés, tout en gardant la position.

Je suis percée par-dessous, à la base des testicules, au travers du périnée. Les fers d’essais, un par testicule, en fer mat inoxydable. La tige en est ronde, de l'épaisseur d'un crayon, et il est oblong ; les maillons des grosses chaînes sont semblables. Ce sont deux U qui s'emboîtent l'un dans l'autre. Dans la version définitive, il faut forcer le ressort intérieur pour le faire pénétrer dans la rainure où il se bloque. Une fois posé, il est impossible de l'ôter. Ils sont longs comme deux phalanges du petit doigt, qu'on y peut glisser. Un disque est suspendu à chacun, avec mon nom, mon prénom et la propriété de Sir Donatien.

Une guêpière seins nus complète ma tenue, laissant libre accès à mes fesses pour mes besoins, une fois l’anus libre de la boule anale.

Je passe trois heures exhibée, cuisses écartées.

Le soir, je dors nue, sans ma cage, l’anus libre, mon mandrin sucé par les filles, avant une longue saillie par Adam. Je m’offre prosternée à lui, jusqu’à l’orgasme.

 

Pendant mon séjour, je suis fouettée tous les jours, ma taille s’affine avec la guêpière, mes saillies avec Adam sont quotidiennes.

 

10 septembre

A l’aube, je me lève, le mandrin nu et libre, avec mes fers d’essais sont remplacés par mes fers définitifs. Je m’offre, les cuisses écartées, menottée, devant Sir Donatien.

Il caresse mes testicules épilés et fouille mon anus encore entrouvert de mes saillies nocturnes avec Adam.

- Tu es encore plus resplendissante. Les fers te vont à ravir.

Sir Donatien m’encule sauvagement, avant que je sois marquée au fer rouge sur mes fesses.

Je gémis sous le bâillon-boule.

Quand j’émerge, je suis chez moi, nue, mon mandrin sucé par Horace.

- Que tu es très belle, Aimée, ferrée et marquée par Sir Donatien.

Quand je me lève, les fers qui trouent mon périnée, juste sous les testicules, augmenté du disque gravé, descendent au niveau du bout de mon mandrin au repos, et à chacun de ses pas bouge entre mes jambes comme le battant d'une cloche, le disque étant plus lourd que l'anneau auquel il pend. Les traces imprimées par le fer, hautes de deux doigts et larges de moitié, sont creusées dans la chair comme par une gouge, à deux ou trois millimètres de profondeur. En les effleurant je les perçoit sous le doigt. Je porte les lettres « S » et « DBM ».

- Encule-moi, Horace, j’ai envie de ta queue.

Horace s’assoit sur le lit, je m’assois entre ses cuisses, enculée jusqu’aux testicules. Mes testicules sont étirés vers le bas, mon mandrin bande à fond.

Je coulisse sur son mandrin, tenue par les hanches, contractant et détendant mes muscles anaux, pour son plus grand plaisir, en échange de caresses sur mes testicules, mon mandrin, mes seins aux mamelons tendus par l’excitation, sous ses coups de reins.

- Tu bandes à fond, ma chérie.

- Tu me fais beaucoup de bien. J’aime recevoir ta queue dans mon puits.

César nous rejoint et me suce mon mandrin, je ne peux retenir mon éjaculation.

Pantelante, de mon orgasme, je réclame encore. Je bande encore un peu.

Je m’empale de face sur César, pour me faire jouir et le faire jouir. Horace pelote mes seins en m’offrant son mandrin.

Nous jouissons ensemble.

Enfin, j’encule Horace et César, tous les deux à quatre pattes, pour les faire coulisser sur mon mandrin en feu. Je les suce tous les deux.

Nous prenons une douche commune.

 

Avec Sir Donatien, ferrée et marquée, j’éprouve une fierté insensée, je suis invitée à porter des quelques robes pour le grand soleil et quelques robes du soir très légères composée d'une jupe éventail, qui se retrousse d'un geste, mais toujours à corselet montant jusque sous les seins, et portée avec un boléro fermé au cou.

Je dois désormais me baigner nue.

Dans mes tenues, au parc, non loin de l’agence, je suis prise pour sa fille ou sa nièce, tutoyée par Sir Donatien.

Sir Donatien aime caresser mon mandrin nu et libre, tirer sur mes fers ou me doigter mon anus libéré du bijou d’anus que je porte.

Je jouis à ses attentions sexuelles, je bande selon ses envies.

 

15 septembre

Sir Donatien m’invite dans un luxueux restaurant à trois heures de route de chez lui.

Je suis assise entre ses deux amis et Sir Donatien en face de moi. Je porte ma robe à corselet seins nus, mon boléro et ma jupe éventail, mes mules à hauts talons, fardée et parfumée, avec ma queue de cheval.

L’un a le même âge que Sir Donatien et l’autre, un jeune homme plus âgé que moi. Devant les serveurs, je dois exhiber mes seins nus en retirant mon boléro.

Mes mamelons sont constamment tendus par l’excitation sexuelle. Je dois relever ma jupe pour exhiber mon mandrin nu, qui est caressé par ces messieurs, mes cuisses et mes fesses cravachées, montrer que je suis chiffrée et ferrée, penchée en avant, cuisses écartées, l’anus libre. Je suis considérée par eux comme une pute anale, une chienne, une suceuse experte. Je garde les yeux baissés, lorsque je dois m’empaler sur chacun, enculée jusqu’aux testicules, cuisses écartées, me laissant caresser mon mandrin qui bande, observée par les serveurs. Je dois les sucer, pour recevoir leurs spermes en bouche.

Sir Donatien est fier de ma docilité.

Le soir, de retour chez moi, je me douche en compagnie d’Olivia. Elle découvre mes fers à mes testicules rasés et mes marques sur mes fesses.

- C’est Sir Donatien qui m’a fait ferrée et marquée à son nom. Je suis cravachée par lui-même.

Olivia me lace ma guêpière, après m’avoir séchée, je me farde et me parfume, chausse mes mules. Olivia me suce mon mandrin, pour mieux admirer mes fers. Je jouis dans sa bouche.

Nous faisons longuement l’amour, pour nos retrouvailles, éjaculant dans nos bouches et nos anus respectifs.

Je lui raconte mon séjour au « Jardin » où Olivia se rendra prochainement. Les transsexuels sont très recherchés par les clients.

 

18 septembre

Nous arrivons à notre nouvelle résidence balnéaire, à une journée de route. Horace, César, Sir Donatien, Olivia et moi, sommes accompagnés par Nathan, un ami de la famille d’Olivia, âgé de dix-huit ans, encore puceau.

La villa de plain-pied possède une piscine, un accès à la mer par un débarcadère et de nombreuses pièces. Ma chambre est mitoyenne avec celle de Nathan.

Nathan me voit offerte à Olivia, fouettée par Sir Donatien ou Horace ou César, enculée par mes amants, nue, le mandrin toujours en érection. Je rase tous les jours mes testicules percés.

 

22 septembre

L’après-midi, je m’allonge sur le dos, sur le canapé, à l’extérieur de ma chambre, nue, les cuisses écartées.

Nathan vient me sucer, par surprise et caresse mes seins.

Aimée, que tu es belle dans le désir. J’ai hâte d’honorer ton œillet écartelé par Adam. Je sais tout de toi.

Continue, Nathan, tu me fais beaucoup de bien.

Aimée, Nathan va désormais vivre à tes côtés. Il te sucera, te pelotera les seins, t’enculera, mais moi seul, je décide de son œillet personnel.

Tel un rituel, Nathan m’observe, en 69 avec Olivia, ou tout autre homme, me faire jouir, enculée et suçant pour les nettoyer.

 

25 septembre

Avec Olivia, nous allons chez un coiffeur. Nous sommes nus dans une pièce discrète, pour une coiffure par de superbes beaux et jeunes étalons nus. Nous les suçons en échange de leur fellation de nos mandrins nus et libres.

Ils sont surpris par mes testicules percés.

A notre retour, je suis présentée à un bel homme plus âgé que Sir Donatien. Nue, en mules, coiffée de ma queue-de-cheval, je reste debout, la bouche entrouverte, les yeux baissés.

L’homme nommé le Baron, m’écarte bien les fesses et m’encule jusqu’aux testicules d’une seule traite, je me retiens de jouir, le mandrin masturbé par ses doigts experts, caressant aussi mes testicules.

- Tu aimes ça, te faire défoncer et caresser tes bijoux.

- Oui, Commandant, je suis toute à vous.

Le Commandant se retire et je m’accroupis, cuisses écartées et j’avale son sperme et je le nettoie.

- Elle sera conduite nue, cagoulée, tenue en laisse, pour la soirée. Tout le monde la désire dans la station balnéaire. Ce superbe mandrin, ses seins, son corps musclé et surtout son regard émeraude vont enchanter la soirée.

Les deux fers sont fixés ensemble et une laisse d’un mètre de long est fixé. Nathan me tire devant lui, nue, en mules. Je porte une cagoule, qui limite ma vision, coiffée de ma queue-de-cheval.

Je suis ensuite cravachée, nue, sur le chevalet, sur les fesses et les cuisses, avant qu’Adam m’encule jusqu’à l’orgasme anal.

Je soupe, nue, sans la cagoule, avec la chaîne, tombant de la chaise entre mes jambes et attachée au pied de la table.

 

26 septembre

Je suis épilée à la cire chaude, sur le pubis, les testicules, les jambes pour être intégralement lisse. L’esthéticienne est choquée par mes fesses et mes cuisses cravachées.

Elle récompense mon érection en me suçant et me fait jouir pour apaiser mes gémissements lors du retrait de la cire chaude.

Avant minuit, nous sommes invités à bord d’un yacht amarré au débarcadère. Je suis tenue en laisse, déchaussée, cagoulée.

Les invités caressent mon corps, me doigtent, me font jouir. Cagoulée, je les suce en retour. Tous regardent mes fers à mes testicules et mes marques au fer rouge sur mes fesses. Ils me complimentent.

Le commandant m’encule, c’est le seul autorisé, en levrette, devant les invités. Je jouis, mon mandrin bande à fond, sous les va-et-vient d’une des mains du commandant.

 

27 septembre

Au lever du soleil, j’émerge, à quatre pattes, menottée, dans le lit d’une des chambres, nue, sans ma cagoule, mon mandrin en érection, emprisonné dans son harnais de chasteté.

Je suis enculée à nouveau par le commandant et Sir Donatien, les suçant à tour de rôle, devant Nathan, que je suce aussi. Ma bouche et mon anus sont remplis de leurs spermes.

 

3 octobre

Olivia se rend au « Jardin » comme promis par Sir Donatien.

Je reste avec Nathan, Sir Donatien mais sans Horace et César.

Le soir, je suis offerte à trois étalons bien montés, enculée et fouettée à leur guise.

Je les suce en retour.

Je suis ensuite cravachée sur les fesses et les cuisses, allongée sur le ventre, bras et jambes écartées, menottée, peu après leur départ et enculée sauvagement par Sir Donatien, sans jouir à sa demande.

 

4 octobre

Après le petit déjeuner, je fais l’amour avec Nathan, avant de le livrer à Sir Donatien.

Il encule Nathan, écartelé par le gros mandrin de Sir Donatien. Il gémit.

Je le console ensuite, tandis qu’il suce mon mandrin.

 

6 octobre

Nathan rejoint le « Jardin » lui aussi.

Le soir, je prends un train privé, nue sous ma robe à corselet seins nus, en boléro, en mules, les cheveux libres, fardée et parfumée.

En pleine nuit, on frappe à ma cabine. C’est un des étalons bien montés qui m’a prise le 3 octobre.

Je suis nue, le mandrin sans érection.

Je le fais entrer. Il caresse mon mandrin, m’embrasse langoureusement, soupèse mes testicules. Je bande, mes mamelons sont constamment tendus par l’excitation.

Il m’encule pendant une éternité tantôt sur le dos, les jambes bien écartées, tantôt à quatre pattes.

Je le suce en retour.

 

7 octobre

Avant d’arriver au terminus, deux heures auparavant, je me douche, me farde, me parfume, me rhabille de ma robe à corselet et de mon boléro. Mon mandrin bande encore à fond de ma soirée d’hier.

Je retrouve l’homme et Sir Donatien. Nous déjeunons, je m’assois fesses nues sur le siège.

De retour dans ma cabine, Sir Donatien m’encule longuement, ma jupe relevée et je jouis à sa demande. J’éjacule aussi, tandis qu’il éjacule dans mon anus écartelé par celui de l’homme de la veille.

À la sortie, sur le terre-plein, un garçon en grand uniforme blanc se détache d'auprès une DS noire, aussitôt qu'il aperçoit Sir Donatien. Il salue, ouvre la portière, s'efface.

Quand je m’assois sur la banquette arrière, et pendant que son bagage est placé dans le coffre. La voiture démarre.

La DS file à une demi-heure de la gare et à une demi-heure du « Jardin ». Je ne connais le lieu de ma nouvelle résidence.

Mais avant, la voiture, entrant dans un bois sur un bas-côté de la route, se gare dans l'ombre d'un chemin forestier.

L’homme âgé de vingt-cinq ans, me retrousse ma jupe éventail, pour exhiber mon mandrin en érection nu et libre. Il me suce, me retire mon boléro, pelote mes seins.

Il exhibe son mandrin de trente-cinq par sept. Il me relève les jambes, après m’avoir déchaussée, pose mes mollets sur ses épaules musclées et m’encule jusqu’aux testicules. Mes pieds touchent le plafond. Pendant une heure, il m’encule sauvagement jusqu’à mon orgasme anal et son éjaculation en moi. Il me met un bijou d’anus pour conserver son sperme. Je le suce pour le nettoyer.

Le chauffeur disparaît et revient, nous rejoignons un village jusqu’à une grille ouverte. La DS me dépose dans une cours intérieure.

Je descends, le chauffeur sort ma valise.

La porte s’ouvre, j’entre dans un vestibule. Val m’accueille et prend ma valise.

- Aujourd'hui, tu vas déjeuner chez moi, et tu t'apprêtes. Tu es libre à trois heures.   Qu'est-ce que tu attends pour te déshabiller ? On va venir prendre tes affaires. Et quand tu es nue, viens ici.

Orchidée, un superbe transsexuel Thaïlandais, nue, dotée de petits seins et d’un mandrin de vingt-sept par six, nous rejoint. Elle est intégralement épilée comme moi et ferrée aux testicules.

Orchidée me suce le mandrin, sans me faire jouir, en tenant mes fers entre ses doigts.

Je me baigne, l’anus libre après mon lavement avec la canule.

Val me met mes carcans de fer aux poignets, aux chevilles et au cou. Ils sont de fer inoxydable, articulés et à demi rigides. Ils sont larges de près de deux doigts et a chacun un anneau de même métal. Un m’entoure exactement le cou dans son milieu, sans le serrer mais suffisamment pour qu'il soit difficile de le faire tourner, et plus difficile encore d'y glisser un doigt entre la peau et le métal. De même, à ses poignets et à ses chevilles, juste au-dessus de l'articulation qui est laissée libre, les bracelets. Je les garde jour et nuit, même pour me baigner, tant que je suis au « Pavillon des Vicieuses »

Val me farde, me brosse les cheveux, me parfume tout le corps jusqu’à l’anus que j’offre, allongée sur le dos, cuisses grandes ouvertes en l’air, des chaînes sont passées par les bracelets de mes chevilles.

- Tu possèdes des fesses que les clients cravacheront.

Quelques instants plus tard, libre, debout devant le miroir, pris aux cinq extrémités de son corps par les carcans de métal, enveloppé par le regard de Val qui, depuis le seuil, ne le quitte pas des yeux.

- Tu restes nue comme Orchidée et Iris, une beauté Brésilienne, pour te différencier des autres soumis. Les clients aiment vos corps nus, avec vos séparateurs de testicules.

Je chausse mes mules à hauts talons, coiffée d’un chignon, dégageant mon collier en fer.

Iris est présente, doté d’un mandrin de trente par huit, brune comme Orchidée aux longs cheveux.

Iris et Orchidée sont doigtées par Val jusqu’à leurs orgasmes, j’avale leurs spermes.

Vers quinze heures, je suis conduite, nue, en mules, tenue en laisse par mes fers, par un des valets que j’ai rencontré au « Jardin », au salon, mon mandrin en érection dans son anneau pénien. Trois superbes étalons m’attendent, leurs mandrins en érection.

Suçant le premier, enculée par le second et mon mandrin sucé par le troisième, je suis offerte sans répit, ma bouche et mon anus débordent de leurs spermes frais après que chacun m’encule à tour de rôle.

Tu es encore plus belle qu’Orchidée et Iris. Tu as une superbe queue et un œillet bien ouvert, ma belle.

Je retrouve le valet Eros, au restaurant, encore en érection. Je porte mon bijou d’anus pour ne pas perdre le précieux sperme.

- Tiens, te revoilà Aimée, tu m’as manquée. Ferrée et marquée, tu es fouettée tous les jours au « Pavillon » dès dix heures, nue.

Sans attendre, Eros m’encule sur le champ. Je dois m’accouder au comptoir, cuisses écartées, livrée à lui, sans jouir. Il me remplit bien de son sperme aussi.

Je suis offerte à d’autres clients au restaurant, qui me font monter à la chambre, puis j’ai droit à un bon lavement anal, assise sur le bidet, pour de nouveaux clients.

Vers minuit, je dors nue, enchaînée par mon collier, mains jointes à mon cou, cuisses écartées, l’anus libre, livrée aux clients, par l’accès sans porte.

 

Je suis aussi souvent saillie comme au « Jardin » par les chiens des clients et ceux des maîtres-chiens, pour augmenter mon salaire qui est déjà doublé, car je suis ferrée et marquée.

 

Je reste longtemps au « Pavillon », enculée à tout moment, suçant les clients et offrant mes charmes. Je deviens la favorite d’Eros.

 

La mort mystérieuse de Sir Donatien me permet de posséder sa maison. Je garde pour toujours mes marques au fer rouge et mes fers aux testicules quand je reviens chez moi. Je continue à travailler pour Charles Alexandre. Mes amants aiment mes fers et mes marques.

 

A bientôt, votre Aimée chérie, mon œillet vous sera toujours ouvert et ma queue attends vos bouches expertes et mes testicules seront caressés par vos doigts experts.

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