mardi 1 septembre 2020

CHALEURS ANALES A NAXOS

 

Je m’appelle Shawn.

J’ai 25 ans.

Je suis une jolie beauté scandinave.

Je suis une brune aux yeux verts. J’ai des pieds fins et latins, des jambes longues bronzées, musclées qui inquiètent par leur perfection. Mon pénil est bombé, ouvert, couronné de noir. Ma pilosité brune couvre mon pubis. Je suis totalement velue entre les cuisses et j’ai une superbe croupe. Mon entrecuisse est velue. Mes hanches s'incurvent et délimitent le ventre plat, délicieusement renflé autour du nombril, les hanches sont larges et rondes, mais sans lourdeur. La taille est affinée. Les seins parfaits intégralement bronzés sont un peu volumineux mais fermes, et leurs pointes marron clair, toujours dressées, cernées par une large aréole marron attirent le regard. J’ai une peau lisse et patine. Finition parfaite, un seul grain de beauté entre mes superbes seins. De longs cheveux plats blonds flottant comme des algues, battent mes épaules rondes et gracieusement athlétiques. Je suis intégralement bronzée. Mes yeux verts limpides s'allument, ma bouche charnue se fend. J’ai des sourcils bruns bien dessinés et des lèvres pulpeuses. J’ai de longs doigts fins et de belles mains. Je fais du 85B de poitrine, 56 de taille, 90 de hanches, 1,75 m.

 

CHALEURS ANALES A NAXOS

 

19 juin

Je passe chaque été chez des amis depuis mon adolescence. J’ai été déflorée par mon premier amant, Alban, un jeune homme de dix ans de plus que moi, à dix-sept ans. J’ai découvert ma première relation lesbienne l’année suivante avec ma copine Aimée, une jolie brune aux petits seins.

Je les retrouve chaque été.

Mes amants sont les baigneurs et les maîtres-nageurs, le gérant de la boutique de planches à voile et les jeunes pêcheurs.

Ce matin, vers 8 heures, après mon petit déjeuner et ma douche, je sors de la maison au centre-ville, vêtue d’un tee-shirt noir, d’une jupe ample blanche, cachant mon bikini blanc, chaussée de tongs à hauts talons, mettant en valeur mes ongles de mes pieds vernis, coiffée d’une queue-de-cheval, fardée et parfumée, avant d’aller à la plage.

En chemin, je fais une halte au boulanger, pour prendre quelques petits plaisirs pour la plage et mes amis. Je croise le retour d’une superbe blonde aux seins plantureux, dans une petite tunique blanche, au décolleté en V, dos nu, avec une jupe éventail, chaussée de mules à hauts talons, les cheveux libres, fardée.

- Tu vas où, mademoiselle, en s’adressant à moi, après mes achats.

- Je vais à la plage. Je me prénomme Shawn. Et toi, tu t’appelles ?

- Hermine, je suis une habituée de Naxos, j’y réside.

Nous allons jusqu’à la boutique de Brice, mon baiseur bien monté.

- Salut, Shawn, tu as de la compagnie.

- C’est Hermine. Elle veut faire de la plage à voile comme moi.

Nous allons au vestiaire. La belle Hermine me toise, regarde mes jambes, mes pieds, mon ventre, ma bouche et mes seins, qu’elle caresse. Je mouille dans mon string de bain.

Elle exhibe un superbe bikini fuchsia mettant en valeur ses seins.

Déchaussée, je suis un peu plus petite qu’elle. Elle me plaque contre le mur et me fait un baiser langoureux. C’est mieux que Brice.

Je prends ma planche à voile, sous le regard de mes admirateurs pour une régate que je gagne. Hermine réussit sa première leçon et vient assister à mon porté en trophée.

Nous prenons un bain et nous séchons sur nos serviettes.

Hermine ne cesse de glisser sa main dans mon string, pour me caresser mon clitoris tendu et mes mamelons sont tendus à l’extrême. Je me retiens de jouir, mais Hermine connaît mon corps comme si elle m’avait déjà fait l’amour.

Après la douche, nous rejoignons le vestiaire.

- Non, Shawn, ne met pas ton bikini. Tu es mieux les seins nus et libres, tout comme tes fesses, c’est plus pratique.

J’accepte et me rhabille. Hermine fait de même.

Vers 11 heures, je l’amène à la maison de mes amis, qui sont absents.

Je me déshabille dans ma chambre. Hermine se déshabille et exhibe son mandrin caché entre ses cuisses.

Il mesure vingt-six par huit. Sans attendre, je le suce, comme une experte. Je lui caresse ses testicules.

- Tu es merveilleuse. Je vais te faire jouir, ma chérie. Tu seras ma nouvelle chérie.

- Tu es un transsexuel. C’est la première fois.

- Allonge-toi sur le dos, cuisses écartées.

Agenouillée, Hermine me baise, jusqu’aux testicules, en me prenant par les cuisses, pour que je ne puisse me dérober.

Après un premier orgasme, Hermine me fait me mettre à genoux, bras tendus, offrant mes fesses bien rebondies à son mandrin. Hermine me questionne

As-tu déjà joui par derrière.

- Moi je n’aime pas.

- Tu as déjà essayée ?

- Etre sodomisée, non jamais je ne veux pas.

- Alors comment sais-tu si oui ou non tu peux aimer.

- Oh non, non, arrête.

- Laisse-toi aller, me dit Hermine, tu vas aimer.

- Non ! Pas ça ! Dis-je.

- Laisse toi faire, tu vas aimer !

Hermine titille mon anus, je ne résiste pas, Hermine enfile son doigt dans mon anus qu’elle dilate, je gémis et me tortille sur le lit. Mon anus est maintenant ouvert, prêt à accueillir son mandrin, enfoncé jusqu’aux testicules, en m’attrapant par les hanches pour l’attirer vers Hermine.

- Mais c’est trop gros, me dit-elle, tu vas me déchirer.

- Fait moi confiance, je vais faire doucement.

- Non ! s’il te plait.

Hermine m’encule lentement.

- Ah, tu me fais mal, arrêtes, dis-je.

Ecartelée, je suis enculée lentement puis plus rapidement. Je tends mes fesses vers son mandrin qui m’encule.

- Oui, maintenant c’est bon, oh mon dieu qu’est ce que je me prend, je la sens bien ta bite dans mon cul, oh oui !

Et je jouis.

Nous faisons un 69 torride, elle me lèche ma chatte et mon clitoris, tandis que je suce son mandrin débordant de spermes.

- Alors tu as aimé ?

- Oui, j’ai aimée, mais comment ai-je été aussi sotte de refuser à mes amants.

Je la sodomise une nouvelle fois, alors qu’elle est dans le lit sur le dos les jambes en l’air, et je connais un orgasme anal. Hermine éjacule en moi.

Après une courte pause, Hermine m’attends sur le lit, nue, le mandrin en érection.

Les jambes écartées je commence à m’asseoir sur Hermine en prenant son mandrin d’une main et en le pointant son gland vers mon anus, j’ajuste bien et tout en continuant de descendre se rentre son mandrin pour m’enculer.

- Oh, oui c’est bon, dis-je.

Complètement empalée, je commence à monter et descendre sur le mandrin d’Hermine.

- Oui, j’aime quand tu m’encule. J’adore.

Je connais un nouvel orgasme anal.

- Tu vois, désormais, je t’encule tous les jours, ici ou chez moi ou chez mes copines. Ce bijou d’anus va t’élargir un peu plus et t’assouplir, pour rendre moins douloureuses les prochaines.

Il mesure six par trois pour 34 grammes. C’est ce cristal rose qui est visible entre mes fesses une fois qu’il est introduit dans l’anus. J’éprouve une délicieuse excitation anale permanente, et vous pouvez facilement vous asseoir avec le bijou dans l’anus. La forme en sapin et sa large base vous garantissent un excellent maintien dans l’anus.  La section qui relie les deux extrémités est très fine et douce afin de laisser l’anus se referme dessus sans gêne. La tige de la taille de l’auriculaire sert de support lorsque le sphincter se referme.

Je vais aimer cette pratique.

Je suce longuement Hermine pour avaler son sperme. Nous prenons une douche commune, je caresse son mandrin en échange d’un double doigté chatte et anus libre pour l’occasion.

- Ma chérie, tu ne portes plus jamais aucun sous vêtement. Plus de culottes ou de strings, plus de soutien-gorges, car tes seins et ta chatte doivent toujours être nus sous tes vêtements et ton entrejambe jamais dissimulée. Donc ni shorts mais des jupes ou des robes mais à la condition qu'en aucun cas elles ne soient plus longues que le milieu de tes cuisses. Jamais de tee-shirt ou autres vêtements sous tes corsages ou chemisiers. Pour tes pieds, soit tu restes pieds nus soit tu portes des chaussures à talons. Tu te baignes désormais nue. Je connais des plages discrètes naturistes, pour exhiber ton corps avec ta pilosité naturelle, garde tes aisselles lisses. Tu te prêtes, tes seins, ta bouche, ta chatte et ton œillet sont libres d’être honorés, sans te dérober. Ta bouche reste aux lèvres entrouvertes, les jambes toujours écartées, même assise, pour donner libre à accès ta bouche, ta chatte, et ton anus. Tu dois t’asseoir cul nu sur la chaise, le divan, le lit. Tu dois restée constamment nue sous tes tenues estivales, tes mamelons et tes aréoles et tes petites lèvres de ta chatte sont constamment maquillées, pour mettre en valeur ta chatte velue. Je te maquille dans mon hôtel tout à l’heure.

Je porte la même tunique d’Hermine, avec mes mules à talons de dix centimètres remplaçant mes tongs à talons de huit.

- Tu as tes chevilles et tes mollets qui sont tendus, cela te fait des jambes superbes, Shawn.

Nous quittons la maison, pour l’après-midi, pour nous restaurer.

Je soulève ma tunique pour m’asseoir sur le cuir de la chaise, exhibant mes jambes nues, qui plaisent à la clientèle du restaurant.

Je me confesse sur mes amants.

Comme poupée de soie et d’acier, nous allons voir les pêcheurs, qui sont aussi mes amants. J’ai repéré le jeune Eros, de dix-huit ans, encore puceau. Mais avec Hermine, je vais le dépuceler.

Dans une cabane de pêcheurs, je l’invite. Je l’attends nue, il a déjà vu mon corps nu avec d’autres pêcheurs qui aiment me caresser et me faire jouir.

- Shawn, tu es resplendissante. Je veux…

- Je sais ton désir. Je suis chaude pour toi. Ma chérie Hermine va s’occuper de toi.

Il m’embrasse fougueusement, tout en pelotant mes seins aux mamelons tendus, mon clitoris se tend sous sa langue, je mouille bien.

Puis avec Hermine, nous le suçons, son mandrin de trente-cinq par sept comble Hermine.

J’invite Eros, à s’allonger sur le dos, pour que je m’empale sur lui, l’anus libre, cuisses écartées de part et d’autre de son bassin.

Je coulisse sur son mandrin bien dur, dans ma chatte trempée, d’avant en arrière, en me tenant à ses épaules.

J’incline mon corps et Hermine m’encule simultanément, tandis que j’embrasse Eros. Je connais un double plaisir, Eros éjacule en moi ainsi qu’Hermine.

Pantelante, je m’offre allongée sur le dos, pour qu’Eros me baise encore.

Je pose mes mollets sur les épaules d’Eros, agenouillé, jusqu’à mon orgasme. Hermine encule et déflore l’anus d’Eros, trop préoccupé à me faire jouir. Il bande à fond, enculé.

Nous léchons son mandrin, pour le nettoyer. Je remet mon bijou d’anus.

Vers 16 heures, nous allons à l’hôtel d’Hermine.

Nues, nous prenons une longue douche masturbatoire. J’ai droit à un long lavement anal avec une poire pour me reprendre à nouveau.

Après un 69 torride, nues, je m’empale comme sur Eros, mais Hermine guide son mandrin dans mon anus. Je reconnais que la sodomie est encore plus jouissive, enculée jusqu’aux testicules.

Nous jouissons ensemble.

Je me rassois sur son mandrin, entre ses cuisses. Hermine est assise sur le bord du lit. Hermine me tient par les reins, pelote mes seins aux mamelons tendus, mon clitoris est tendu à l’extrême, je jouis encore.

Enfin, elle me fesse longuement. Je suis offerte, à quatre pattes, cuisses écartées, les fesses bien tendues. Je jouis sous une nouvelle éjaculation d’Hermine.

Mon anus s’est fait à son mandrin. Nous faisons un ultime 69, suivi d’une longue douche jouissive. Hermine m’encule sous la douche, l’eau ruisselle sur mes reins, mes hanches sont douloureuses. Je jouis encore.

Nous dormons quelques instants. J’ai ma main autour de son mandrin et elle a mis sa main entre mes cuisses écartées, un doigt sur mon clitoris et les autres entre ma chatte et mon anus encore entrouvert. Les lèvres de ma chatte sont plus proéminentes et ma rosette anale est plus large, en une journée.

Vers 19 heures, nous prenons un souper léger dans la chambre, nues toutes les deux.

Hermine m’invite à porter un gode ceinture muni de deux godes internes et un gode anal externe.

Les godes internes sont dotés de prépuces qui glissent le long du gland comme un vrai rapport, veinés, aux glands dessinés et chacun s’allonge et rétrécit à chaque mouvement de va-et-vient grâce à son enveloppe ultra-souple qui s’étire ou se contracte en suivant les montées et descentes du gode. Le vaginal mesure trente et l’anal vingt-cinq pour sept de diamètre et l’anal externe mesure vingt-cinq par cinq.

J’encule Hermine, comme si j’étais un vrai étalon, dans diverses positions. Je lui masturbe son mandrin pour la faire éjaculer.

Je connais de nombreux orgasmes par les va-et-vient des godes.

Nous sommes pantelantes toutes les deux et nous prenons une longue douche.

Hermine me farde la bouche avec un rouge clair, un peu liquide, qu'elle appliquait au pinceau, et qui fonce en séchant. Elle me peint du même rouge l'aréole et les mamelons, et les petites lèvres de ma chatte, en soulignant la fente du giron. Hermine me dépose quelques gouttes sur mes mamelons et mon clitoris. Je me poudre le visage. Mes paupières sont légèrement ombrées, Hermine me parfume longuement ma fourrure pubienne et mes aisselles lisses, dans le sillon entre les cuisses, dans le sillon sous les seins, et au creux des paumes.

Je revêts une robe dos nu, au décolleté en V, fuchsia sur mon corps nu, courte jusqu’à mi-cuisse, avec une jupe ample, mes mules blanches à talons de dix centimètres, les cheveux libres. Je garde mon bijou d’anus.

Nous allons à un club privé à mi-chemin entre l’hôtel et le port.

Mes mamelons et mon clitoris sont hyper sensibles, par le frottement du tissu et le vent sous ma jupe me provoquent une excitation énorme. Mes mamelons pointent au maximum tout le temps, vingt quatre heures sur vingt quatre et de même pour ton clitoris. Hermine m’a fixé sur mes mamelons les couleurs, en utilisant simplement un glaçon. Mes mamelons et mon clitoris sont complètement tendus et très durs au point de lui faire vraiment mal et le moindre effleurement même involontaire devient une véritable torture tellement ces endroit sont devenus sensibles.

Nous accédons au club privé par une discrète entrée. Nous allons au vestiaire mixte, pour nous déshabiller.

Je suis surprise par l’érection d’Hermine. Je n’ose la sucer. Nous avons chacune nos bracelets à nos chevilles pour nous reconnaître.

Nous restons nues devant les couples. Je suis caressée sur tout mon corps, certains me doigtent la chatte, m’embrassent langoureusement.

Dès que je suis prête, je libère mon anus.

Un premier étalon bien monté, un Africain noir, m’empale sur son mandrin de trente-deux par sept. Je me m’empale dos à lui, toujours avec les jambes ouvertes pour permettre la double pénétration. Le second bien monté me remplit la chatte et une femme me lèche le clitoris et je suce Hermine. Je connais un double orgasme.

Je change de partenaires, deux hommes musclés m’invitent en double. Un des hommes me prend dans ses bras, je l'entoure avec mes jambes et me faire défoncer la chatte. Le deuxième homme est derrière soutenant également une partie de mon poids et m’encule. Je suis aux anges.

J’alterne avec une dizaine d’étalons bien montés, inondés de leurs spermes chauds. Hermine me fait photographier et je suis couronnée Miss Naturelle, offerte à de nombreux couples.

Je finis nue dans la piscine, avec mon bijou d‘anus remis en place, enlacée avec Hermine.

Nous prenons une douche avant de rentrer à l’hôtel.

L’étalon Africain noir souhaite m’encule encore. Je ne peux me refuser à lui, je le suce en 69, devant l’assistance.

Prosternée, je suis enculée latéralement, puis il enjambe mes fesses, qu’il chauffe. Je connais un violent orgasme et une longue éjaculation. Je le nettoie.

 

20 juin

Il est deux heures du matin, quand nous quittons le club.

Je dois relever ma jupe pour qu’Hermine m’encule dans un sex-shop, à un quart d’heure du club. Les rares clients se relaient pour m’enculer pour me faire jouir et nettoyer leurs mandrins imposants.

La gérante m’offre une robe composée d'une jupe éventail, qui se retrousse d'un geste, mais toujours à corselet montant jusque sous les seins, et portée avec un boléro fermé au cou. Il suffit d'enlever le boléro pour que les épaules et les seins soient nus, et sans même enlever le boléro, de l'ouvrir, si l'on désire voir les seins.

Nous rentrons à l’hôtel, pour une courte nuit de sodomies alternatives.

Vers 7 heures, j’émerge, je remets mon bijou d’anus et je soulage. Ma chatte est toute trempée. Dans la glace, je découvre mes gros et longs mamelons saillants et mon clitoris gros comme une cerise, saillant et volumineux. Je n’ose le masturber, la douleur devient un plaisir. Hermine me rejoint :

- Quel superbe spectacle, tes mamelons et ton clitoris, tu es toute excitée de ta nuit.

- Je suis tellement excitée, que cela se voit tellement.

- Tes jupes seront de plus en plus courtes et de plus en plus fines et tes hauts de plus en plus décolletés et surtout de plus en plus transparents, pour attirer les regards masculins et féminins. Tu dois garder toujours les yeux baissés et la bouche entrouverte, devant un homme et regarder toujours son sexe, que tu suceras s’il le demande, ni cacher tes seins, même si tu es excitée.

Nous dormons jusqu’à 9 heures.

Je ne cesse d’évoquer, de repenser aux mandrins qui m’ont enculée hier, sans que je me dérobe. La sodomie est excellente pour moi.

Nous déjeunons au lit, donnant du plaisir au majordome.

Je choisis une robe estivale assez courte sur mon corps nu, couvrant à peine mes fesses nues, fardée et parfumée comme l’a appris Hermine. Je chausse des sandales à talons de douze centimètres et je laisse mes cheveux libres.

Je rentre chez moi et je croise l’oncle de mes amis, du triple de mon âge, bien monté.

Il m’embrasse langoureusement, en glissant sa main sous ma jupe, caressant mon clitoris et doigtant ma chatte resserrée par le bijou d’anus.

Sans attendre, il me fait déshabiller, dans ma chambre, me baise puis il m’encule, l’anus libre, jusqu’à l’orgasme. Je le suce dans un 69 torride, pour le nettoyer.

- Shawn, tu es devenue une allumeuse anale. Ton œillet est bien assoupli. Combien d’étalons t’ont enculée ?

Je n’ose répondre, en me douchant devant lui.

Il me sèche longuement.

Rhabillée, je rejoins la plage, mais une voiture s’arrête devant moi.

Je me retrouve à l’arrière, les yeux bandés, nue, en sandales, les cuisses écartées.

On me menotte mes poignets dans le dos.

Nous roulons jusqu’à la sortie du centre-ville.

La voiture s’immobilise dans une cour d’un domaine.

On me fait descendre.

Je me retrouve rapidement penchée en avant, enculée sauvagement par deux étalons bien montés. Je tente de jouir.

Quand on me retire mon bandeau, je suis menottée nue, déchaussée, sur un lit, dans une pièce éclairée, les bras et les jambes écartées.

Un superbe étalon, nu, le mandrin de trente-huit par huit, entre, cagoulé.

- Voici, Shawn, la belle chérie d’Hermine, tu es très belle. Tu seras dressée en pute anale obéissante, pour tes amants.

- Qui êtes-vous ?

- Je vais te cravacher, pour avoir ouvert ta superbe bouche de suceuse. Il baise bien l’oncle et les étalons du club et du sex-shop. J’ai toutes les photos et vidéos de toi, l’allumeuse. Tu es capricieuse, finis tes caprices, ma belle. Je vais d’abord t’enculer.

L’étalon du double de mon âge, enfonce son mandrin dans mon anus encore entrouvert.

- Interdiction de jouir, ma belle, c’est moi, qui décide. Je suis connu sous le nom du Baron des Cyclades. Tu ne dois ni regarder un homme au visage, ni lui parler. Tu dois te taire, et obéir. Tu n'ouvres désormais ici la bouche, en présence d'un homme, que pour crier ou sucer.

Il m’encule jusqu’aux testicules, tout en masturbant mon clitoris tendu.

- Tu es bien ouverte, détendue. Hermine t’a bien déflorée l’œillet.

Il reste en moi, jusqu’à l’éjaculation, juste avant mon orgasme anal, qu’il remarque.

Il me libère du lit et me suspend les bras tendus à un crochet. Je suis sur la pointe des pieds nus. Il cravache les fesses et les cuisses. Je gémis un peu.

Mes fesses et mes cuisses zébrées sont douloureuses, tout comme mes mamelons et mon clitoris tendus à l’extrême, par l’excitation sexuelle, humiliée et exposée. Il passe la cravache sur les lèvres de ma chatte, je mouille davantage.

- Ta chatte est toute moite, tu aimes ça.

Il m’encule à nouveau, éjaculant à nouveau. Je jouis, avec son autorisation.

Accroupie, libre, cuisses écartées, je le nettoie et j’avale tout.

- Tu es docile.

Je suis prise en double, enculée par le Baron et deux autres étalons cagoulés, un Africain noir et un Nord Africain, lors de doubles pénétrations avec éjaculations.

J’avale tout.

 

Pendant deux jours, je subis les doubles pénétrations et les sodomies par le Baron et ses hommes, tous différents, ainsi que la cravache, pour me rendre plus docile.

Je dois porter aussi un gode anal en érection de vingt-trois par huit, muni d’un prépuce qui glisse le long du gland comme un vrai rapport, veiné, aux gland dessinés et  s’allonge et rétrécit à chaque mouvement de va-et-vient grâce à son enveloppe ultra-souple qui s’étire ou se contracte en suivant les montées et descentes du gode. Une gaine à picots le recouvre.

A sa base, se trouvent trois chaînettes accrochées à une étroite ceinture autour de ma taille, et une par derrière qui suit le sillon des fesses, et les deux autres par-devant, qui longent le pli des aines en contournant le triangle pubien.

- Elles sont ajustées au plus court, pour que ton œillet soit forcé et distendu et sont cadenassées, pour s'assurer que, lorsque tu es seule, tu ne peux être tentée de me soulager de cette contrainte. Tu le portes, entre ton lever et le repas de midi, puis entre la tombée du jour, dix heures généralement. D’ici deux jours, tu seras davantage bien ouverte, m’annonce le Baron. Le reste du temps sera enculée ou prise en double, suçant un troisième étalon.

J’accepte et me retiens de jouir, malgré les va-et-vient automatiques du gode et le fait d’avoir mon anus arraché par les picots, devenu sensible et érogène.

 

22 juin

Dans l’après-midi, alors que j’ai l’anus libre, douchée, fardée et parfumée, j’entends la voix d’Hermine et d’une autre voix féminine.

- Shawn a accepté son dressage, annonce Hermine.

- Son œillet sera plus ouvert, dit le Baron.

- D’ici quelques jours, elle logera dans ma villa, dit l’autre voix féminine. Elle deviendra la reine des orgies anales. Voici l’argent pour son dressage, le reste sera dans quelques jours.

Je suis nue, pieds nus, dans l’escalier de marbre, qui est froid sous mes pieds, tenue en laisse par mon collier de cuir. Le collier et mes bracelets aux poignets et aux chevilles sont faits en plusieurs épaisseurs de cuir, chaque épaisseur assez mince, au total pas plus d'un doigt, verrouillés par un système à déclic, qui fonctionne automatiquement comme un cadenas quand on le refermait, et ne peut s'ouvrir qu'avec une petite clé. Dans la partie opposée à la fermeture des bracelets, pris dans le milieu des épaisseurs de cuir, et n'ayant presque pas de jeu, il y a un anneau de métal, qui donnait une prise pour fixer, et qu'on positionne du côté intérieur du poignet. Pour le collier, l'anneau pend devant le cou, reposant sur la saillie des clavicules, et brinquebale au rythme des mouvements de celui qui le porte. Je porte une cagoule pour m’empêcher de voir, laisse libre ma bouche fardée. Je suis fardée et parfumée, équipée de mon gode anal.

Et cependant ma bouche refermée sur des mandrins anonymes, les mamelons constamment tendus que des mains constamment froissent, et entre mes cuisses écartelées, ma chatte et mon anus sont labourés à plaisir. Je suis une prostituée digne.

Je suis conduite pour la première fois au cabinet gynécologique du lieu. On me retire le gode anal.

Je suis menottée sur un fauteuil gynécologique avec les supports pour les jambes. Mes chevilles et mes poignets sont fixés à des chaînes. Je sens les lèvres de ma chatte qui s'entrouvrent toutes seules. Mes cuisses sont écartées au maximum, pour les glaces et les miroirs de la pièce.

Je subis une ouverture de ma chatte trempée par un spéculum. Des commentaires masculins me complimentent sur ma chatte velue et mon gros clitoris tendu par l’excitation.

Sans attendre, une dizaine d’étalons me baisent sans retenue, sans éjaculer, ni me faire jouir.

Puis c’est au tour de l’écarteur anal pour m’ouvrir l’anus. Je suis longuement enculée par chacun, très bien monté, que je suce pour avaler son sperme.

Pantelante, sans jouir, je reste ainsi trois heures dans la position, sans être libérée.

Des mains caressent ma chatte entrouverte, mon clitoris et mon anus encore ouvert.

Quand on m’ôte la cagoule, je reconnais mon ami gynécologue, plus âgé que moi, que je fréquente dans mon pays d’origine.

- Tu es devenue une sacrée pute et soumise anale. Je ne sais combien d‘étalons t’ont enculée, mais tu as l’œillet bien ouvert.

Le Baron entre nu, le mandrin en érection, regardant des photos de moi, prise lors de la séance gynécologique et annonce :

- Tu trouves comment ta Shawn. Elle est devenue une sacrée jouisseuse anale, la vierge anale. Encule-la, elle attends que ça.

Le mandrin du gynécologue Dan est de trente-neuf par huit, gainé de picots, m’encule sans ménagement, d’une seule traite, jusqu’aux testicules.

- Elle aime ça, elle n’a pas gémi. Elle est habituée, la pute anale.

- Quel plaisir de te prendre par ton puits, ma vicieuse cachée.

Je n’ose répondre, ma bouche est remplie par le mandrin du Baron.

Dan me conduit à l’orgasme anal, mais se retire juste avant que mon anus se contracte. Il éjacule sur mon pubis.

Dès qu’il se retire, le Baron me cravache l’intérieur de mes cuisses, mes gémissements sont étouffés par le mandrin de Dan que je nettoie. Le Baron prend le relais et se retire aussi juste avant mon orgasme anal.

- Tous les jours, elle viendra au cabinet pour s’offrir à des nouveaux étalons, telle une prostituée anale.

Ils me remettent le gode anal en place et je rejoins ma chambre au grenier, suspendue à un crochet, sur la pointe des pieds, cuisses écartées, pour ma punition quotidienne.

 

28 juin

L’après-midi, on me retire enfin le gode anal et on juge mon ouverture bien adaptée.

Nue, fardée et parfumée, je monte à bord d’une voiture me menant, les yeux non bandés, assise, cuisses écartées, escortée par deux transsexuels. La brune aux petits seins, bien montée, Albane et la blonde aux seins plantureux, au mandrin imposant, Beauté Anale. Je porte désormais à mon gros clitoris percé, un anneau doré pour l’étirer, avec une émeraude au centre. Je porte aussi ma bague, sertie d’un petit anneau, à mon annulaire gauche, pour me faire reconnaître.

Nous rejoignons une villa sur les hauteurs de la plage que je fréquente pour les régates de planche à voile.

Je garde mes carcans de cuir.

Je marche pieds nus sur le gravier brûlant.

- Alors, ma pute anale Shawn, tu as pris goût aux vices du Baron. Mais, tu es facile. Tu as envie de tous les hommes qui te désirent pour ta propre facilité, annonce Hermine, nue.

Hermine caresse ma chatte et mon anus qu’elle doigte jusqu’à trois doigts, sans me faire jouir. Je découvre une superbe brune à petits seins, en soubrette, avec des mules à très hauts talons.

- Je te présente Rose, ton puceau Eros. Il est intégralement épilé, doté d’un harnais de chasteté et a interdiction de te baiser ou t’enculer. Désolé, ma belle, il est aussi docile que toi, ma chérie.

Je garde la bouche entrouverte et les yeux baissés en sa présence.

- Va t’habiller en pute anale, ta chambre est au premier étage, à côté de la salle de dressage.

Beauté Anale m’escorte. Je dois me doucher à l’eau froide, devant elle, faire mon lavement anal et mettre ma robe à corselet à seins nus, sans mon boléro, avec la jupe éventail, largement fendue, dévoilant entièrement mon pubis et ma chatte velus et discrètement fendue derrière sur mes fesses nues. Je me farde, me parfume. Je chausse des mules à talons de douze centimètres. Je garde les cheveux libres avec mes carcans de cuir.

Je fais le ménage, mange la dernière avec Rose. Je suis fouettée nue, sur le chevalet, solidement immobilisée dans cette posture dégradante, le postérieur plus haut que la tête. Mes bras sont fixés le long des pieds avants, mes jambes le long des pieds arrières, et une large sangle m'est passée au niveau de la taille. Mes cuisses, légèrement fléchies sont empêchées de se resserrer par la largeur de la poutre, ainsi d'ailleurs mes fesses que je me peux refermer. Toute mon intimité est ainsi très accessible et on peut me faire tout subir. J’ai droit à la cravache et à la garcette, sur mes fesses et mes cuisses.

La garcette, de cordes assez fines, faite de sept lanières terminées chacune par plusieurs nœuds, et qui sont toutes raides, trempées dans l'eau, car on m’en caresse l’intérieur des cuisses, je sens combien les cordes étaient humides et froides contre la peau tiède de ses cuisses.

J’ai le droit de fouetter Rose, sur le chevalet pour développer mon emploi de maîtresse SM. J’éprouve de la fierté à fouetter ses fesses et ses cuisses. Rose et moi sont régulièrement enculés. J’ai droit à des doubles pénétrations et à sucer un troisième transsexuel. Mon anus est régulièrement inondé de spermes chauds.

Je fais mes besoins dans le jardin et à une heure de bronzage intégral sur la terrasse, nue, surveillée. Je suis masturbée par les transsexuels selon leurs désirs et je me retiens de jouir. Je ne reçois pas la visite d’aucun homme.

 

1er juillet

Eros est envoyé à Lesbos pour son dressage.

Au large de Naxos, devant la plage où je fais mes régates de planche à voile, le grand yacht « Sirène de Diamant », immatriculé aux Bermudes, sous pavillon des Bahamas, cent mètres de long, avec à son bord EC135 sur sa plate-forme, est en statique, non ancré. L’EC135 est immatriculé aux Bermudes.

Le yacht « Neptune de Nassau », immatriculé aux îles Caïmans, sous pavillon des Bermudes, long de quatre-vingt-quinze mètres avec aussi un A109 à son bord et le yacht « Opale et Jasmin » est long de cent mètres, immatriculé à l’Ile de Man, sous pavillon des Bahamas, avec un EC135, immatriculé aux Iles Caïmans, sont en rotation entre les îles des Cyclades, avec leurs soumises.

Vers 9 heures, je rejoins nue, pieds nus, déchaussée, l’embarcadère, escorté par deux gardes du corps, jusqu’à la vedette affrétée par le « Sirène de Diamant » à un quart d’heure de traversée. Je monte à bord seule. J’ai gardé mes carcans de cuir, coiffée d’une queue-de-cheval.

Nous amarrons au pont loisirs nautiques. Je monte les escaliers en marbre, tenue en laisse par mon collier, les yeux baissés, la bouche entrouverte.

Je découvre le pont salon, avec un alignement de soubrettes nues sous leurs tabliers, pieds nus, coiffées de queue-de-cheval, fardées. Certaines sont tatouées sur les reins, les fesses et portent des anneaux dorés à leurs gros clitoris ainsi que des cadenas à leurs grandes lèvres de leurs chattes. Elles sont intégralement épilées.

- Voici, notre nouvelle beauté danoise, Shawn, la pute anale envoyée par le Baron. Tu es très belle, naturelle et gracieuse. Mesdemoiselles, vous pouvez rejoindre vos occupations, sauf Miss Pute Iris et Miss Anal Doberman.

Pute Iris est une jeune femme de 18 ans, intégralement épilée, au crâne rasé, portant plusieurs cadenas à sa chatte, aux reins tatoués au fer rouge « Pute Iris Votre Chienne à vos désirs » en lettres gothiques.

Anal Doberman est une superbe brune aux seins plantureux, avec juste sa toison pubienne, avec un seul cadenas à sa chatte, un gros bijou d’anus canin et une pierre précieuse à son gros clitoris percé.

- Pute Iris, prosterne-toi pour ta punition. Shawn observe bien. Elle a désobéi encore une fois à son Maître.

Il marque au fer rouge les fesses des lettres S D et M entrelacés comme le logo sur l’EC 135, puis je dois lui écarter les lèvres de sa chatte libérées des cadenas, pour le marquage au fer rouge des lettres S D M sur un seul fer. Iris gémit.

Je remarque que toutes les soumises portent un bracelet à leur cheville gauche, avec une combinaison.

On cadenasse la chatte d’Iris, qui est aussitôt installée sur la banquette arrière de l’EC 135, cagoulée, avec un bâillon-pénis.

On m’installe mon bracelet à ma cheville, l’empreinte digitale de l’annulaire du Maître le scelle définitivement.

- Mets-toi à quatre pattes comme Anal Doberman, pour ta saillie. Tu seras servie. Je te propose le berger allemand ou le doberman.

Le sexe de dix-huit centimètres par six du doberman m’encule jusqu’au nœud. Je ne peux résister longtemps à un premier jusqu’à trois orgasmes anaux en trois quart d’heure.

Anal Doberman se fait saillir par un second doberman.

Il éjacule longuement en moi et se retire, pour qu’Apollo, le second m’encule aussi. Je suce le premier prénommé Hadès, j’aime son sperme qui remplit ma bouche.

Pantelante, je suis saillie enculée par Adam, le berger allemand avec son vingt-neuf par sept. Je connais de nombreux orgasmes anaux plus violents. Le Maître est satisfait de moi.

- Tu es une excellente chienne en chaleur.

Il m’encule aussi avec son mandrin de trente-neuf par huit, jusqu’aux testicules, profitant de mon anus bien lubrifié par le sperme canin.

Je me retiens de jouir, suçant Adam, puis mon Maître.

Je reçois un gode canin de douze par sept moulé sur le devant du sexe du doberman, pour m’habituer.

Anal Doberman me conduit à ma cabine que je partage avec trois autres soumises.

Nous sommes enchaînées par nos colliers de fer, fermés par une combinaison codée et l’empreinte de l’annulaire gauche du Maître.

Nous gagnons la haute mer.

Nous mangeons agenouillées, cuisses écartées, dans nos cabines, avant de faire nos occupations quotidiennes.

Vers 13 heures, le Maître me convoque seule au pont salon. Je suis tenue en laisse par mon collier, toujours nue, avec mon bijou d’anus en place, après m’être rapidement douchée à l’eau froide, fardée et non parfumée.

- Désormais, ma pute canine anale Shawn, tu deviens Vicieuse Doberman 099. C’est le nom auquel tu dois répondre. Tu es ma favorite, après la déception de mon ancienne favorite, Pute Iris, pour son comportement sexuel et irrespectueux envers moi.

- Oui, Maître, j’obéis à tous vos ordres, je suis Vicieuse Doberman 099 à votre service.

- Tu apprends vite. J’aime ça, chez une soumise docile. Tu loges au pont supérieur, derrière la passerelle du capitaine. Mais avant, tu va fouetter une de mes soumises qui m’a désobéi à la cale. Je veux que tu montres tes talents de Maîtresse cachée.

A la cale, je découvre une soumise cagoulée, avec des pinces à clochettes à ses mamelons constamment tendus et à ses grandes lèvres de sa chatte cadenassée.

Je la cravache à toute volée sur les fesses et les cuisses. Elle gémit sous le bâillon O. Sir D m’encule simultanément pour décupler mes coups. Je me retiens de jouir.

- Tu es libre de jouir et d’enculer cette pute.

Sans attendre, je porte un gode-ceinture au gode imposant avec un gode interne pour ma chatte, avec un prépuce qui glisse le long du gland comme un vrai rapport, veiné, aux gland dessinés et  s’allonge et rétrécit à chaque mouvement de va-et-vient grâce à son enveloppe ultra-souple qui s’étire ou se contracte en suivant les montées et descentes du gode. Mon anus libre est rempli jusqu’aux testicules par Sir D.

Cette sodomie décuple mes coups, avec la garcette. Je ne me contrôle plus.

- Tu aimes ça, ma vicieuse, fouettée une femme.

- Maître, je vais jouir.

- Je vais t’inonder ton puits de vicieuse.

Pantelante, je dois continuer encore un peu, enculée à nouveau.

J’ai droit à un lavement devant Sir D.

Je signe mon contrat d’esclave et de Maîtresse en formation. J’ai droit à un salaire pour chaque soumise fouettée.

Libérée du gode-ceinture, Sir D me prend sous les bras et aux jarrets, me soulève et m’emporte dans ma luxueuse chambre.

Vers 15 heures, je me repose cuisses écartées, sur les draps de satin, un peu de sperme dégouline de mon anus, mes poignets sont joints dans mon dos. Sir D me fait sucer son mandrin, pour me remercier. J’avale tout.

Peu de temps après, j’entends l’EC 135 revenir.

- Mets-toi en position d’attente, ma belle.

J’obéis, agenouillée, cuisses écartées, demi-assise sur mes talons, le dos bien droit, légèrement cambrée, la tête droite mais les yeux baissés, ma bouche doit rester légèrement entrouverte.

Les autres soubrettes sont alignées sur le pont salon.

Une étrange voix électronique parle :

- Pute Iris n’est plus des tiennes, elle n’a ce qu’elle mérite, quelle peste. Elle sera dressée comme il se doit.

- Maîtresse Pénélope, j’ai une nouvelle recrue. Vicieuse Doberman 099 qui possède un potentiel sexuel et de dressage. Elle aime le fouet et aime aussi fouettée une soumise. C’est une ancienne vierge anale. Elle est dans ma cabine, pour ton usage.

J’entends des pas dans l’escalier de marbre menant au pont. Anal Doberman l’escorte.

- Laisse-nous, Anal Doberman. Quelle superbe déesse, une brune aux yeux verts, suceuse experte, bisexuelle et aimant dresser. Lève-toi que je caresse ta chatte.

Je me retiens de jouir. Maîtresse Pénélope est en cuissardes, corset seins nus mettant en valeur ses seins plantureux, son mandrin en érection et ses testicules rasés, un collier de posture avec une pièce en cuir couvrant sa bouche devant un micro, une cagoule laisse libre ses cheveux blonds en queue-de-cheval, on voit uniquement ses yeux.

- Tu mouilles abondamment, tu aimes ça te masturber. Ton clitoris est tendu à l’extrême comme tes superbes mamelons. Les petits seins, une chatte et un pubis velu sont des critères très recherchés par les Maîtres. Tu vas sucer ma queue, ma belle.

Accroupie, cuisses écartées, pieds nus, je m’exécute.

- Doucement, ma belle, elle a une bonne dimension pour ta bouche dressée.

En effet, le mandrin de trente-deux par huit m’étouffe.

- A quatre pattes, pour que je te baise et t‘encule.

A genoux, bras tendus, les fesses bien rebondies, je reçois son gros mandrin dans ma chatte, pour le lubrifier et elle m’encule longuement.

- Ta chatte est un vrai écrin et ton oeillet s’ouvre bien. Tu as subi de nombreuses sodomies, ma belle. Coulisse sur ma queue.

Me tenant par les hanches douloureuses par la montée de mon orgasme dans ma chatte, elle me supplie.

- Cambre-toi, ouvre encore davantage.

Puis soudain, elle m’annonce :

- Je vais te remplir le puits de mon foutre, ma belle vicieuse.

Elle éjacule et se retire juste avant mon orgasme anal.

Je savais que tu allais avoir ton orgasme anal. Je sais déceler les jouisseuses anales. Suce-moi encore et avale tout.

J’obéis.

- Sir, je peux la prendre quelques jours sur « Opale et Jasmin » pour son métier de Maîtresse. Tu restes nue, ma belle, va te doucher devant moi et mon hélicoptère va te déposer sur mon yacht.

Maîtresse Pénélope me lave personnellement, car j’ai interdiction de toucher mon corps souillé par elle.

Elle me remet mon bijou d’anus en place. Je suis fardée. Sir D me fait juste percer mes petites lèvres pour me mettre un cadenas personnalisé léger pour les étirer.

- Désormais, Vicieuse Doberman 099, seul un Maître peut libérer ta chatte pour assurer sa descendance. Ton œillet sera constamment défoncé, même comme Maîtresse.

Le cadenas se balance entre mes cuisses à chacun de mes pas. Je mouille avec ce nouvel accessoire. Mes lèvres de ma chatte sont partiellement épilées.

Nous prenons l’EC 135. Nous sommes en haute mer depuis le départ du débarcadère, à dix nautiques des côtes.

Je dois m’empaler sur un gode anal réaliste, cuisses écartées, qui sort du siège en cuir. Mes mains sont menottées dans le dos et je garde les yeux baissés, la bouche entrouverte, pour jouir.

Après un court vol, l’EC 135 atterrit sur le pont du « Opale et Jasmin ». Pénélope me conduit dans sa garde-robe. Elle me retire mon collier par un code secret.

Devant une grande glace, nue, je me pare d’une guêpière de taffetas de nylon, tenue rigide par de larges baleines très rapprochées, courbées vers l'intérieur au ventre et au-dessus des hanches. Pénélope la lace aussi étroitement qu'elle peut. Je sens ma taille et mon ventre se creuser sous la pression des baleines, qui sur le ventre descendent presque jusqu'au pubis, qu'elles dégagent, ainsi que les hanches. La guêpière est plus courte par-derrière et laisse la croupe entièrement libre.

Cette guêpière est faite sur mesure à tes mensurations, ma belle. Ainsi, je peux t’enculer si je le désire lorsque tu fouetteras un soumis.

Je glisse mes jambes et mes pieds nus des cuissardes à talons de douze centimètres.

Je porte le collier de posture avec le cache sur ma bouche, mes cheveux en queue-de-cheval sont mis en valeur par la cagoule. On ne voit que mes yeux verts que je garde ouverts, comme Miss Vicieuse Désir Sévices.

Je suis resplendissante, mes mamelons et ma chatte sont maquillés, mes yeux et mes paupières, mais pas ma bouche.

Pénélope me présente à mon premier soumis. Un bel étalon musclé, nu, avec son harnais de chasteté qui bloque son érection de son gros mandrin. Il a été cravaché sur les fesses et les cuisses.

- Voici, Lopette Anale 022, un soumis qui a besoin d’un bon dressage.

- Alors, Lopette Anale 022, on va obéir à Miss Vicieuse.

- C’est toi, Shawn.

- Tu as parlé, Lopette Anale 022, je vais te cravacher.

- Non, Shawn, sois gentille.

Les gardiennes, vêtues de corsets seins nus, de gode-ceintures imposants, en cuissardes, cagoulées, ne laissant que la bouche visible, le font prosterner.

Je le cravache à toute volée sur les fesses et sur les testicules.

- Non, pas les testicules, Shawn, sois gentille.

- Pénélope, encule-moi, j’ai trop envie, lorsque je vais le fouetter à la garcette.

- Bien sûr, je suis là pour cela.

Les coups de garcette se font plus violents sur les fesses, les testicules et je conclu en lui marchant sur son mandrin emprisonné. Pénélope éjacule en moi et lorsque je présente mon anus dégoulinant de sperme à la bouche de Lopette.

- Non, Shawn, pas cela.

- Lèche et nettoie bien l’œillet.

Je m’assois sur sa bouche et je sens sa langue me nettoyer.

Puis la Lopette est conduite en dressage intensif.

- Tu le connais.

- Jamais rencontrée ce type, il fait son intéressant.

- Voici Gouine Canine, une superbe beauté slave, une lesbienne qui se refuse toujours à l’orgie anale, même avec des chiens.

Gouine Canine est une femme de 18 ans, blonde à la garçonne, aux seins plantureux, intégralement épilée, portant trois cadenas à sa chatte, une langue sur l’anneau clitoridien de son gros clitoris percé et des clochettes à ses mamelons tendus à l’extrême. Elle porte un bâillon O. Elle porte des marques sur les fesses, les cuisses, l’intérieur des cuisses et sur les seins.

Je la contrains à me lécher l’anus, car je dégouline de spermes.

Elle se refuse.

- Tu obéis, la Gouine ou il faut que je t’aide à tirer la langue.

Elle refuse.

- Amenez un doberman pour son refus, saillie anale canine à sec.

Le doberman l’encule à sec, elle gémit sous le bâillon, la langue du doberman Roméo sur mon clitoris et ma chatte me font jouir rapidement.

En me mettant à quatre pattes, mon odeur de chienne en chaleur attire le superbe dogue allemand Lancelot qui m’encule jusqu’au nœud d’une seule traite. J’explose sous les orgasmes anaux. Lancelot connaît son travail.

Dès le retrait de Roméo, Pénélope le fait nettoyer par Gouine Canine. Elle doit accepter, sous les coups de garcette sur ses fesses et sur son dos.

Lancelot se retire partiellement pour mieux m’enculer. Je me retrouve prise par Roméo, qui me défonce la chatte libérée du cadenas, le sexe en érection par Gouine Canine.

Je m’évanouis sous mes orgasmes combinés.

Vers 17 heures, j’émerge, je suis allongée nue, dans un grand lit, entouré de miroirs et de glaces, en 69, suçant Pénélope, la chatte et l’anus léchés par ses soins.

- Ma chérie, tu as pris un de ses plaisirs avec tes deux amants canins.

- C’est la première double canine pour moi.

- Avec deux hommes ou deux transsexuels, plus un troisième à satisfaire, tu exploses dans le plaisir. Je vais t’enculer, tu l’as bien mérité. Lopette Anale 022 est un client que tu as refusé au sex-shop. Tu es capricieuse en plus.

Pénélope s’allonge sur le dos, cuisses relevées et écartées. Je m’encule jusqu’aux testicules sous mon propre poids, cuisses contre cuisses. Je ne peux me dérober ainsi, recevant son jet de sperme, tandis que Roméo et Lancelot me lèchent la chatte trempée et le clitoris. Un violent orgasme me terrasse.

Roméo et Lancelot m’enculent à tour de rôle, je suis allongée sur le dos, les enlaçant avec mes jambes autour de leur corps, mes seins sont pelotés par leurs pattes. Les orgasmes anaux s’enchaînent, avec une puissance croissante.

Je m’effondre, dans un profond sommeil, le vent frais fait tendre au maximum mes mamelons et mon gros clitoris. La douleur est devenue un plaisir incontrôlable. Mais une envie de me masturber, mais je n’ose devant Pénélope.

Soudain, je me retrouve les jambes levées en l’air, mes hanches sont douloureuses sous les coups de reins de Pénélope dans ma chatte écartelée. Tête-bêche, à quatre pattes, Pénélope me baise profondément, en regardant ma chatte s’ouvrir sous ses coups.

Sans débander, je glisse mes jambes, le long de son torse. Ma chatte est massée de haut en bas. Je caresse les fesses de Pénélope et nous jouissons ensemble. Elle frotte son gland contre les lèvres de ma chatte trempée, pour mieux me baiser plus profondément.

- Ton écrin est chaud.

- Pine-moi à fond, Pénélope.

- Ton écrin n’a jamais reçu une telle queue depuis des jours.

- Ejacule en moi.

Après son éjaculation, je suce Pénélope.

Ma chatte dégouline de son sperme chaud.

Tu es une sacrée beauté reine de l’orgasme. Il faut satisfaire tous tes orifices.

Je me douche longuement, me fais mon lavement anal et me farde et me parfume. Nue, en cuissardes, avec mon collier de maintien, je soupe, enculée, assise entre le cuisses de Pénélope.

Lopette Anale 022 fait le service.

- Tu es une sacrée pute, pour te faire enculer par cette Maîtresse.

- Répètes un peu, Lopette Anale. Tu as interdiction de parler, ta bouche ne sert qu’à sucer les autres mâles, surtout Lancelot et Roméo.

A leurs noms, les deux chiens enculent jusqu’au nœud Lopette Anale, qui suce l’autre pour le relais.

Pénélope me doigte ma chatte et caresse avec ses doigts experts mon gros clitoris.

Nous jouissons ensemble.

Nous passons des heures jusqu’à l’aube, nues à nous caresser, nous sucer, nous lécher, nos zones érogènes jusqu’à l’explosion de nos plaisirs mutuels.

Les membres de la passerelle se relaient pour m’enculer avec leurs mandrins imposants.

 

5 juillet

A l’aube, après un ultime assaut de ma chatte par le mandrin de Pénélope, j’émerge, en sueur, mes mamelons et mon clitoris sont complètement tendus, mes hanches sont douloureuses, je peine à reprendre mon souffle.

- Tu vas devenir mon épouse, ma belle. Tu porteras aussi les marquages au fer rouge sur tes fesses et ton pubis épilé, ta chatte sera intégralement épilée. Tu seras libérée de tes carcans, comme Maîtresse Soumise.

Pénélope et les gardiennes me douchent longuement, me font divers soins, me massent le corps jusqu’à l’orgasme.

Vers 11 heures, Sir D et le Baron nous rejoignent pour le mariage.

Je porte comme Pénélope, une robe de mariage à corselet seins nus, avec une jupe largement fendue devant juste au-dessus du pubis, s’ouvrant par-derrière, sans ma cagoule, coiffée d’une queue-de-cheval et chaussée de mules à talons de douze centimètres.

Sir D et le Baron qui aiment tirer mes poils pubiens sont ravis de mon épilation intégrale. Je suis encore plus désirable, ma chatte est toute perlée, totalement lisse désormais.

Offerte, menottée à un chevalet, avec un bâillon-boule, avant le mariage, je reçois sur mes fesses nues, les lettres S D M sur ma fesse gauche et V D S sur ma fesse droite, mon pubis porte le blason de Miss Pénélope. Mes grandes lèvres sont étirées par des anneaux de fer mat inoxydable. La tige en est ronde, épaisse comme un gros crayon de couleur, et ils sont oblongs : les maillons des grosses chaînes sont semblables. Chacun est formé de deux U qui s'emboîtent l'un dans l'autre. Le ressort intérieur sur lequel on doit forcer pour le faire pénétrer dans la rainure où il se bloque. Une fois posé, il est impossible de l'ôter, il faut limer. Chaque anneau est long comme deux phalanges du petit doigt, qu'on y peut glisser. A chacun est suspendu, comme un nouveau maillon, ou comme au support d'une boucle d'oreille un anneau qui doit être dans le même plan que l'oreille et la prolonger, un disque de même métal aussi large que l'anneau est long.

Les fers qui trouent mes deux grandes lèvres de ma chatte et portent en toutes lettres que je suis la propriété de Sir D, du Baron et de Miss Pénélope, me descendent jusqu'au tiers de la cuisse, et à chacun de ses pas bougent entre mes jambes comme un battant de cloche, le disque gravé étant plus lourd et plus long que l'anneau auquel il pend. Les marques imprimées par le fer rouge, hautes de trois doigts et larges de moitié leur hauteur, sont creusées dans la chair comme par une gouge, à près d'un centimètre de profondeur. Rien que de les effleurer, on les perçoit sous le doigt. De ces fers et de ces marques, j’éprouve une certaine fierté.

- Quiconque, même toi devant la glace, quiconque relève ta jupe voit immédiatement ses anneaux à ta chatte, et si on le retourne, ton chiffre sur tes fesses, m’annonce Miss Pénélope.

Une fois, l’acte de mariage célébré et les papiers signés par mes Maîtres, je m’offre à une orgie anale jouissive. Tous m’autorisent à prendre du plaisir. Je ne porte plus de cadenas à ma chatte libérée pour recevoir leurs mandrins.

Ma bouche, mon anus et ma chatte dégoulinent de spermes, même Lancelot et Roméo m’enculent et me baisent, me prennent en double pénétration canine devant les invités.

Les ébats durent jusqu’au coucher du soleil. Je suis pantelante, mais j’en veux encore.

Dans la journée, je suis propriétaire du luxueux yacht « Vénus Désir », long de cent-quinze mètres, immatriculé aux Bahamas, avec le pavillon de l’Ile de Man, avec son Dauphin avec le logo V S D entrelacés.

Je possède mes soumis, mes soumises, des gardiennes de Miss Pénélope me rejoignent.

Je vis totalement nue avec mes amants canins, le doberman Arès, le frère d’Apollo et d’Hadès, le dogue allemand Romulus, le frère de Lancelot et le berger allemand, Conan, le frère d’Adam.

Je passe des heures à me faire enculer ou prise en double pénétration canine par leurs soins, quand ce ne sont pas les invités qui me font jouir enculée, telle une soumise, me fouettent. Selon mes envies, je les autorise à me prendre en double pénétration.

Je touche une bonne commission, ferrée et marquée, pour mes rendez-vous de soumise.

 

Quand je fais escale, je suis toute vêtue de cuir, une combinaison moulante seins nus, avec mon gode anal canin dissimulé, ma cagoule, laissant visible mes yeux et ma queue-de-cheval, fardée, chaussée de mes cuissardes. Mon gynécologue me suit régulièrement à bord du cabinet gynécologique du yacht.

Quelques mois après, je tombe enceinte d’un inconnu. Je donne naissance à des jumeaux, un garçon et une fille. Je continue mes plaisirs sur les rivages grecs.

 

A bientôt, mes admirateurs, j’attends vos queues dans mon œillet de soumise. J’en mouille d’avance. J’ai hâte de vous sucer.

Votre Shawn adorée qui vous aime.

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