Je m’appelle Shawn.
J’ai 17 ans.
Je suis une jolie beauté scandinave.
Je suis une brune aux yeux verts. J’ai des pieds fins et latins, des jambes longues bronzées, musclées qui inquiètent par leur perfection. Mon pénil est bombé, ouvert, couronné de noir. Ma pilosité brune couvre mon pubis. Je suis totalement velue entre les cuisses et j’ai une superbe croupe. Mon entrecuisse est velue. Mes hanches s'incurvent et délimitent le ventre plat, délicieusement renflé autour du nombril, les hanches sont larges et rondes, mais sans lourdeur. La taille est affinée. Les seins parfaits intégralement bronzés sont un peu volumineux mais fermes, et leurs pointes marron clair, toujours dressées, cernées par une large aréole marron attirent le regard. J’ai une peau lisse et patine. Finition parfaite, un seul grain de beauté entre mes superbes seins. De longs cheveux plats blonds flottant comme des algues, battent mes épaules rondes et gracieusement athlétiques. Je suis intégralement bronzée. Mes yeux verts limpides s'allument, ma bouche charnue se fend. J’ai des sourcils bruns bien dessinés et des lèvres pulpeuses. J’ai de longs doigts fins et de belles mains. Je fais du 85B de poitrine, 56 de taille, 90 de hanches, 1,75 m.
JEUNE VICIEUSE
19 juin
Future étudiante en arts et littérature, lesbienne à plein temps depuis mes 15 ans, je me suis toujours refusée à un garçon, capricieuse. Je déteste leurs mandrins, même dans ma chatte et dans ma bouche, mais je préfère les godes de mes copines.
Cet été, mon amie Aimée, âgée de 19 ans, m’invite à sa villa isolée sur les hauteurs de l’océan. Elle appartient à ses parents, qui sont amis avec les miens. Je suis sa fidèle lesbienne depuis le collège.
Vers 13 heures, je la rejoins en taxi. J’ai mis juste un tee-shirt noir sur mon soutien-gorge et une jupe mi-longue fuchsia sur mon slip assorti en dentelle transparente, des sandales à hauts talons, maquillée et coiffée d’une queue-de-cheval. J’ai juste ma valise avec des tenues estivales.
Aimée m’accueille, juste vêtue d’un string de bain blanc, mettant en valeur son 92C, intégralement bronzés, en mules à hauts talons, les cheveux libres bruns, longs jusqu’aux reins. Elle a de superbes yeux bleus.
- Shawn, je t’attends depuis ton appel de ton départ de chez tes parents. Tu verras, Alban, Brice, Charles Edouard, Dan, Félix, Horace et Val t’attendent. Ils ont vu tes photos de toi, nue, dans ma villa. Ils sont ravis que tu viennes, car d’autres filles ont annulé ou sont occupées.
- Quoi, nous sommes que deux filles pour ces dragueurs. Non, Aimée, pas cela. Je me refuse à eux.
- Tu fais ta timide. Un bon 69 te mettra de bonne humeur, ma chérie.
Je découvre à la piscine, les étalons en question, musclés à souhait, bronzés, qui m’attendent.
- Je vous présente Shawn, mon amie. Elle fait sa timide. Déshabille-toi que je te caresse devant eux.
Aimée retire son string et dévoile sa chatte et son pubis totalement épilés.
- Tu aimes ma chatte totalement lisse, Shawn, me susurre Aimée, en me retirant mon tee-shirt.
- Mais toi, dit Alban, le brun de 19 ans, qui se masturbe son mandrin de vingt-et-un par cinq, exhibé de son slip de bain, tu es épilée aussi.
- J’aime tes petits seins sous ton soutien-gorge, dit Brice, le blond de 21 ans, plus grand que moi, avec son mandrin de vingt-quatre par six.
Mes seins sont rapidement nus et sont pelotés par Aimée. Alban et Brice ne se gênent pour me lécher mes mamelons tendus. Je mouille dans mon slip.
Charles Edouard, le jaloux, demande à Aimée :
- On peut voir sa chatte à ta chérie Shawn.
Charles Edouard, un barbu de 22 ans, masturbe son mandrin de vingt-sept par six.
Ma jupe tombe ainsi que mon slip. Je suis nue et par pudeur, je tente de couvrir mes seins et mon pubis velu.
- On a tout vu, Shawn la prude, dit Dan, le blond moustachu de 20 ans, doté d’un mandrin imposant de trente-six par huit.
Félix, l’étalon Africain et son frère Horace, dotés tous les deux de mandrins de quarante par six, m’attrape chacun un bras et je me retrouve exhibée totalement nue.
- Tu nous caches ta toison pubienne et ta chatte velue de vicieuse, dit Félix.
- C’est une vicieuse qui fait sa timide, dit Horace.
Val reste silencieuse.
Sans attendre, je me retrouve allongée sur le dos, cuisses écartées, tenue aux poignets et aux chevilles, devant Aimée, qui leur annonce :
- Ca suffit, laissez tranquille Shawn.
- Non, elle a besoin d’un bon coup de queue dans sa chatte, cette vicieuse, dit Alban, qui me pénètre la chatte d’une seule traite.
Je gémis, mais ma bouche est rapidement bâillonnée par Brice.
- Suce, ma belle, tu vas la prendre aussi, dit Brice.
- Non, arrêtez, ce n’est pas… dit Aimée.
- Si, elle est une pute vicieuse, pour les hommes que nous sommes, dit Charles Edouard, en remplaçant Brice dans ma bouche.
- Elle m’a fait jouir, cette vicieuse, dit Alban. Elle a besoin de sa ration, cette vicieuse.
Dan me baise vigoureusement jusqu’à mon premier orgasme, juste déflorée.
Je dois nettoyer Alban, puis les autres me défoncent ma chatte avec une telle vigueur, que je ne peux contrôler mes orgasmes, surtout quand ils me masturbent mon clitoris tendu, étire mes mamelons tendus.
- Shawn, ça va, réponds-moi.
- Tu vois, elle suce et elle avale comme une pute vicieuse.
Lorsque le dernier, Horace se retire de ma chatte, dégoulinante de spermes et que je le nettoie, je m’évanouis, au bout de deux heures de baise intense.
- Regardez, elle a perdu connaissance. Amenez-la à sa chambre, au premier étage. Val va veiller sur elle.
Vers 18 heures, dans ma chambre, au premier étage, avec la porte-fenêtre grande ouverte, j’ouvre les yeux. Ma bouche a le goût de spermes.
- Ils m’ont violé, Val. Tu as tout vu.
- Non, Shawn, ils t’ont donné du plaisir. Tu étais vierge de la chatte.
- Tu m’as trahi. Aimée m’a piégée.
Val me réconforte, en un long baiser langoureux, tout en caressant mon clitoris douloureux par l’excitation sexuelle que j’éprouve pour elle.
Aimée me rejoint.
- Alors, Shawn, tu fais l’amour avec des hommes. Tu me l’as cachée, ma coquine.
- Non, ils m’ont violée, tes invités.
- Val, prends soin d’elle, elle a besoin de s’offrir davantage. Tu es une pute vicieuse cachée, tu aimes le sexe.
Allongée à plat ventre, Val me masse le dos, les épaules, puis doigte ma chatte humide et masturbe mon clitoris.
Ses doigts fouillent mon anus.
Relaxée, je me fais écarter les fesses et je sens son gland à l'entrée. Et pousse. Val m’encule jusqu’aux testicules. Je suis cambrée, la tête relevée, je serre les fesses, me faisant enculer sauvagement. Val se laisse tomber, faisant claquer son corps sur mes fesses, pendant dix minutes, puis, je perds connaissance.
Je me réveille, je suce Val.
Mon anus encore vierge se dilate, s’ouvre. Val m’encule encore une fois, à quatre pattes, je jouis, lors de mon premier orgasme anal, le clitoris masturbé, avant de m’offrir à Dan et Félix tour de rôle.
- Quel œillet, Shawn, tu as être souvent prise par là, ma chérie.
Je n’ose répondre. Ses mains prennent ma taille pour me faire coulisser sur son mandrin de trente-six par huit. Val me tient par les hanches douloureuses de mon viol de ma chatte. Val éjacule dans mon anus.
Lorsque Dan m’encule jusqu’aux testicules :
- Tu aimes ça, la vicieuse, te faire défoncer l’œillet. Tu es chaude encore plus que j’ai défoncé ta chatte.
Je dois m’empaler sur lui à sa demande. Je suce Val, pour la nettoyer. Je lui obéis.
- Suce-moi, ma chérie, tu as une superbe bouche.
Enfin, Félix m’encule :
- Dan, tu m’offres un superbe œillet bien lubrifié. Elle est trop chaude, enculée.
Je les nettoie et je suis surprise par Val, enculée par Horace. Je suce Val.
Vers 20 heures, après une longue douche masturbatoire avec Val, je descends nue, en mules à hauts talons, fardée et parfumée, les cheveux libres, préparer le souper avec Val. Je descends l’escalier en marbre, en faisant calquer mes mules sur le marbre.
- Shawn, m’annonce Aimée, tu manges, empalée sur quel partenaire ce soir au souper.
- Je préfère Val, elle est plus douce que les autres.
Je mange enculée sur Val, à sa demande. Je suis assise entre ses cuisses écartées, enculée jusqu’aux testicules selon mon envie. J’ai trop envie de me faire enculer à nouveau par son mandrin. Val me caresse mes seins dont les mamelons sont constamment tendus, enduits d’une mystérieuse crème, sous la douche. Le vent frais de l’extérieur sur mes mamelons et mon clitoris me provoquent une excitation énorme. Mes mamelons pointent au maximum tout le temps, vingt quatre heures sur vingt quatre et de même pour mon clitoris. Mon clitoris devient gros comme une cerise, saillant et volumineux comme jamais auparavant. Mes mamelons saillants sont aussi gros et longs. Mes mamelons et mon clitoris sont complètement tendus et très durs au point de me faire vraiment mal et le moindre effleurement même involontaire devient une véritable torture tellement ces endroits sont devenus sensibles. Val n’hésite pas à étirer mes mamelons et à masturber mon gros clitoris, tout en caressant ma chatte trempée.
Les dragueurs sont jaloux.
- Regarde, dit Alban, c’est une pute anale avec Val.
- Val l’encule mieux que nous, commente Dan. Je me ferais un plaisir de lui honorer sa chatte, quand elle est enculée, cette vicieuse.
Nous regardons des films hard pour m’exciter. Je suis offerte, caressée, nue par Aimée et Val. Je jouis à de nombreuses reprises, malgré la douleur aux mamelons et au clitoris sollicités.
Je dors avec Val, pour me réconforter de mon viol par les dragueurs.
- Ma chérie, ils t’ont vraiment violée. Ta chatte est trop sensible, pour que tu sois à nouveau baiser par ces dragueurs.
- Oui, je veux juste être uniquement enculée.
- Tu le seras dès que tu le désires.
20 juin
Peu avant l’aube, malgré ma chatte douloureuse, caressée en douceur par Val, je me fais jouir, baisée par Val.
- Je te fais mal, ma chérie.
- Non, tu me baises avec douceur. J’aime mieux comme cela.
Au lever du soleil, je me soulage, libre de mon bijou d’anus offert par Val, de cinq par trois, pour ma première nuit avec elle. Je lui avoue :
- Val, j’ai connu ma première sodomie avec le transsexuel Shawn.
- Donc, tu as aimée que je t’encule hier.
- Oui, c’est divin, une belle queue qui me défonce mon puits. Je t’aime toi aussi.
Nous prenons une douche ensemble avec Val.
A la cuisine, je découvre Charles Edouard qui caresse Aimée. Je suis jalouse, nue, pieds nus, avec ma queue-de-cheval.
Val me surprend :
- Viens, ma chérie. Nous allons voir un ami.
Je suis vêtue d’un boléro, d’une robe à corselet qui monte jusque sous les seins nus et d’une jupe éventail, sur mes fesses et mes jambes nues, en sandales à hauts talons, coiffée d’un chignon, fardée.
Nous allons au bas du village par une route sinueuse.
Je dois m’asseoir fesses nues comme en voiture, cuisses écartées, les yeux baissés, la bouche entrouverte. Je suis les instructions de Val. Je ne porte pas aucun dessous et je dois avoir constamment, ne pas me dérober, garder les lèvres de ma bouche entrouverte, mes jambes toujours écartées pour laisser libre accès à ma bouche, ma chatte et mon anus qui sont ouverts au premier venu. Je n’ouvre ma bouche que pour gémir ou sucer.
Nous entrons par une porte cochère à la sortie du village.
Nous stationnons la BMW cabriolet.
La soubrette D99, une jolie blonde aux petits seins nus mis en valeur par sa tenue de soubrette, avec une jupe assez courte, couvrant à peine ses fesses nues zébrées et sa chatte épilée, portant de petits cadenas de chasteté, en mules à très hauts talons, les cheveux à la garçonne, nous conduit par l’escalier en marbre au premier étage.
J’ai droit à un baise-main par le Baron, aux cheveux grisonnants.
- Voici ma nièce, Olivia Hyacinthe, fille d’une de vos amies, une baronne.
- Superbe beauté, montre-moi tes seins et ta chatte, ma belle.
J’obéis. Je relève ma jupe éventail, qui se retrousse d'un geste. J’ouvre le boléro fermé au cou, pour exhiber mes seins nus aux mamelons tendus par l’excitation.
- Non, tu retires ton boléro. Je te veux toute nue.
J’enlève le boléro pour que les épaules et les seins soient nus.
Val délace ma robe et je suis nue.
Je reste silencieuse. Il force ma bouche, pelote mes seins, étire mes mamelons, fouille ma chatte, tout en masturbant mon clitoris. L’anus libre, je suis fouillée simultanément et je gémis un peu.
- Ta chatte est sensible, c’est normal. Tu es doublement ouverte. Tu n’as jamais été prise en double. Il le faudra un jour ou l’autre. Allonge-toi sur le pouf.
Le Baron exhibe un mandrin de trente par huit.
Il pose mes chevilles sur ses épaules et m’encule en douceur.
- Ton œillet réagit bien, s’ouvre bien. Tu es sensible aussi. Je vais éjaculer en toi.
Un orgasme anal me submerge lors de l’éjaculation. Je le nettoie. Je remet mon bijou d’anus.
Pour te récompenser, D99 va te faire visionner une vidéo.
- C’est le doberman Hadès qui m’a enculée ce jour-là, jusqu’au nœud. Je suis restée attachée à lui, une bonne demi-heure, c’est divin.
- D99, le numéro de cette saillie est..
- La 69e, Baron, je pense. Cela fait six mois que je suis saillie quotidiennement.
Je suis choquée, surprise, mais je dois regarder toute la vidéo. Je mouille de désir.
D99 a été dressée par Maîtresse D et le Baron.
- Regarde son livre de photos du dressage de D99, m’annonce le Baron.
Je suis surprise et choquée par les pratiques sexuelles SM.
La soubrette D99 désobéit.
Je fais la connaissance de Maîtresse D, une grande brune aux seins plantureux, dans une robe décolletée seins nus, largement fendue sur le côté, dévoilant son imposant mandrin. C’est une transsexuelle.
- Tiens, une nouvelle beauté, une amie d’Aimée. Elle fait d’excellents choix.
Maîtresse D me complimente et me donne d’autres conseils,
- Tu es naturellement velue. Ton œillet a déjà été honoré, d’après mes informations. Tu n’es plus vierge. Viens me sucer. Tu es une experte, continue comme ça. Il faut assouplir davantage ton oeillet, avec mon bijou d’anus et les sodomies par d’autres partenaires.
Je punis D99, qui est à quatre pattes, à la cravache sur les fesses et les cuisses, enculée par Maîtresse D, qui le même calibre que Val.
- Maîtresse D, j’ai connu l’amour avec le transsexuel Shawn, en écartant mes fesses pour exhiber mon anus récemment défloré par Val.
- Olivia Hyacinthe, disons pseudonyme OH18, même si tu n’as que dix-sept ans, tu dois me le présenter dans les cinq jours.
Nous rentrons chez Aimée.
Je vis désormais constamment nue, pieds nus, pour m’exhiber et mettre en valeur mon superbe corps musclé par des longueurs de piscine.
- Val, je ne connais pas de transsexuel Shawn.
- Tu as menti, Shawn. Tu risques gros.
- Non, Alban fera l’affaire. Tes copines vont le transformer.
- D’accord, mais si Maîtresse D ne le trouve pas à son goût, tu seras punie par ses soins.
Je dois trouver une parade. Car il me faut un transsexuel, mais les quatre copines de Val m’aident en transformant Alban, en une superbe femme, avec une perruque, des dessous féminins, sans slip, maquillée, en hauts talons.
Les dragueurs sont furieux contre moi. Brice le jaloux va jusqu’à me corriger devant Val et ses copines.
- Ne touche pas Shawn, sinon tu risques gros.
En effet, Brice, nu, se fait cravacher par Val et ses copines, plus moi, pour mon plus grand plaisir. Je le cravache à toute volée, sans retenue. Il me supplie d’arrêter.
Arrête, s’il te plaît, ma belle Shawn, je t’aime.
Brice doit sucer tout comme le transsexuel Shawn Val et ses amies et avaler leurs spermes.
Maîtresse D se pointe vers 22 heures, vêtue d’une robe bustier seins nus, largement fendue devant, dévoilant son mandrin en érection nu et libre, à la fin du souper.
- Où est le transsexuel Shawn, ma chérie ?
Je lui remet le transsexuel Shawn et Brice pour un dressage en règle. Je lui avoue
- Les dragueurs m’ont violée, Maîtresse D.
- Ils seront punis en temps voulu, ma chérie.
Les transsexuels ne se gênent pas pour se faire sucer et enculer les dragueurs, même les punissent en les cravachant sur les fesses, les testicules.
Quant à moi, j’ai droit à des plaisirs sexuels de mes nouvelles amies transsexuelles, en tour de rôle dans ma chambre, avec Aimée.
- Quelle chatte, quel œillet, Aimée choisit bien ses copines, dit l’une d’elle, à l’imposant mandrin que je reçois dans ma chatte et mon anus entrouvert.
- Tu es une vicieuse cachée, ma chérie. Tu me suces à merveille, dit une que je suce.
21 juin
Aimée me conduit chez Maîtresse D, qui habite une villa dominant la villa d’Aimée par une unique route, à bord de sa 205 cabriolet. Le transsexuel Shawn collabore, suçant et se faisant enculer sans répit, mais Brice en homme soubrette et mules à hauts talons, se rebelle et finit fouetté par Maîtresse D.
Je suis suivie de près par les bergers allemands et les dobermans, par mon odeur de ma chatte en chaleur, sous ma jupe éventail et mon chemisier non boutonné sur mes seins nus. Je suis chaussée de mules à hauts talons, les ongles de mes mains et mes pieds sont vernis de rouge, fardée et parfumée, les cheveux libres.
- Tiens, ma chérie, tu es resplendissante encore plus que la veille, annonce Maîtresse D. Je recherche une lopette pour satisfaire ses chiens.
Je suis vêtue d’un chemisier blanc sans boutons sur mes seins nus, mes mamelons sont fardés de rouge et sont tendus sous le pinceau que j’utilise, ainsi mes aréoles, ma bouche et mes petites lèvres de ma chatte humide, mon clitoris est tendu à l’extrême. Je me suis poudrée le visage et mes paupières sont légèrement ombrées. Un glaçon passé sur mes mamelons fixe la couleur. Le parfum que j’ai longuement passé sur mes aisselles lisses et ma fourrure pubienne, dans le sillon entre les cuisses, dans le sillon sous les seins, et au creux des paumes, comme stipuler sur les instructions. Ma chatte est cachée sous une jupe blanche couvrant à peine mes fesses nues, je suis chaussée de mules blanches à très hauts talons, mes ongles des mains et des pieds vernis en rouge, mes cheveux sont libres.
- Dan sera votre lopette, Maîtresse.
Aimée ramène Dan.
Dan doit se déshabiller et se mettre à quatre pattes chez la Maîtresse D.
Le berger allemand, Adam encule Dan et en même temps, nue, cuisses écartées, je suis offerte à la langue d’Adam. Sa langue a de puissants muscles qu'il peut utiliser beaucoup plus longtemps sans être fatigué. La langue d'un chien, est plutôt grosse, fine mais large et longue et extrêmement flexible. Elle est râpeuse entre mes lèvres de ma chatte que j’écarte pour lui. Mon clitoris est devenu gros comme une cerise, constamment tendus par une mystérieuse crème, tout comme mes mamelons, que m’applique plusieurs fois par jour Aimée. J’enchaîne les orgasmes, mon clitoris n’est pas épargné par sa langue.
Dan est dressé par Maîtresse D chez elle, comme lopette canine. Il suce Adam après son éjaculation dans l’anus de Dan.
De retour chez Aimée, Adam veut me saillir et je me déshabille et m’offre à quatre pattes.
Son sexe me baise jusqu’au nœud. Je suis au summum du plaisir. Il me pilonne vigoureusement, son nœud m’écartèle ma chatte. Je prends plus de plaisir, pendant une bonne demi-heure. Il éjacule en moi abondamment.
Les transsexuels me prennent en double pénétration à tour de rôle, je suce celui qui me baise ou m’encule. Les double pénétrations me font exploser dans de violents doubles orgasmes.
Un des transsexuels se couche sur le dos et je m’empale ma chatte sur lui, tandis qu’un second m’encule simultanément. Je prends beaucoup de plaisir.
Puis je m’offre empalée sur celui qui se trouve sur le dos et j’ouvre bien les jambes pour que le second me baise simultanément. Le frottement de mon clitoris tendu à l’extrême contre le pubis que celui qui me baise, me provoque une vague de plaisir comme à la première double pénétration.
Enfin, le summum, je m’empale la chatte, sur un qui me prend dans ses bras, je l’entoure de mes jambes et le second qui me soutient aussi, m’encule simultanément.
J’explose sous les orgasmes, tellement mon clitoris est sollicité.
Charles Edouard, Félix et Horace m’enculent uniquement, ma chatte est réservée aux transsexuels, au berger allemand et à Aimée.
Adam me lèche la chatte et le clitoris, à n’importe quel moment de la journée. Adam est uniquement dressé pour baiser les chiennes en chaleur.
A la sortie de la piscine, souvent, Adam vient me baiser ou me lécher selon ses envies. J’ai juste le temps de prendre une douche revigorante.
Il passe la nuit en ma compagnie et me lèche juste la chatte, sans me baiser. C’est encore mieux que je me masturbe seule.
Je raconte à Maîtresse D mes ébats sexuels avec les transsexuels et Adam. Je mouille rien à l’évoquer.
22 juin
Mais Charles Edouard, par jalousie, me baise en pleine nuit, seule dans ma chambre. Je gémis, car ma chatte est encore douloureuse.
Sans ménagement, il m’allonge sur le ventre, je suis nue. Il insère son mandrin dans ma chatte, entre mes reins tendus, jusqu’aux testicules. Il me câline :
- La chienne aime que je la baise. Tu aimes ça, c’est mieux qu’avec Adam, vicieuse.
- Arrête, tu me fais mal.
- Menteuse, tu aimes ça.
Adam aboie, car il me protège indirectement.
- Charles Edouard libère Shawn de suite, annonce Val..
Avec l’aide de ses amies, Charles Edouard se retire de ma chatte trempée, aussitôt investie par le sexe d’Adam pour me consoler. Je jouis sous ses longues éjaculations abondantes.
Val le remet à Maîtresse D immédiatement.
Félix et Horace me montrent plus attentionnés à mon encontre, me fardent, me parfument.
Dans l’après-midi, Maîtresse D vient chercher Adam et m’offre un superbe doberman Hadès, en échange.
Sans attendre, à quatre pattes, je pense qu’il va me baiser.
Mais non, Hadès m’encule en douceur, sans son nœud, pour que je m’habitue et il éjacule en moi.
Après quelques nouvelles saillies anales, avec le nœud. Cette situation avec le nœud m’écartèle davantage, mais Hadès le fait en douceur, aidée par Val.
Je connais de nombreux orgasmes anaux, plus violents qu’en compagnie des hommes et des transsexuels. Mon anus est un peu douloureux par la grosseur du nœud, mais je m’habitue.
23 juin
Adepte des fessées, une des amies transsexuelles me cravache les fesses et les cuisses, pour que je connaisse de nouvelles sensations. Je mouille à chaque coup.
J’avoue que cela m’excite, nue, cravachée.
Je jouis, sans me masturber, sous les coups. Elle est très surprise, mais je suis cravachée de temps à autre, dans ma chambre, à la cuisine, au salon et à la piscine.
Mon anus s’élargit par les multiples sodomies et ma chatte offre des lèvres plus proéminentes.
J’ai droit même à un examen gynécologique chez Maîtresse D, pour mesurer ma dilatation anale et ma défloration vaginale. Bien sûr, je suis menottée et livrée, cuisses écartées.
- Cher ami Docteur Anal Plaisir, voici ma nouvelle protégée, Shawn, une ancienne double vierge, déflorée de son écrin et de son œillet par des étalons bien montés. Elle se perfectionne par des saillies canines pour l’élargir.
- Quelle superbe chatte velue, ce qui est rare maintenant. La jeunesse vicieuse est en elle, son œillet est bien entrouvert. Mon assistant César la prendra tout à l’heure.
J’ai droit au spéculum et à l’écarteur anal, avec une caméra pour que je puisse admirer en sa compagnie mes trésors intimes lubrifiés.
- Elle devrait porter quelques jours un gode anal réaliste pour l’élargir un peu plus. Son œillet est assoupli mais encore assez. Elle mouille abondamment. Elle a été cravachée sur les fesses et les cuisses, une soumise potentielle.
- Shawn se donne à tous les vices enfouis en elle. Regardez comment elle me suce.
- Quelle belle douche à dresser, elle doit sucer et avaler toutes les queues offertes pour elle.
Je suis photographiée et filmée comme chez Aimée, chez le Baron et chez Maîtresse D, pour mon cahier de photos de mon instruction.
Le mandrin de trente-six par huit du Docteur dans ma chatte, me fait jouir. Il est âgé d’une cinquantaine d’années. Je suis surprise par son endurance sexuelle.
- Sa chatte est devenue sensible. Elle prend du plaisir. Je sais pour son viol. Elle va s’en remettre, Adam et Hadès l’ont satisfaite sexuellement.
Puis il me libère mes jambes et m’ouvre complètement les jambes, en me tenant par les chevilles, jambes tendues.
- Je vais t’enculer jusqu’aux testicules. Si tu as mal, dis-le moi.
Je jouis dès qu’il encule.
- Continuez, je suis toute à vous.
- Tu es sacrément chaude de l’œillet. Hadès t’as bien ouverte, la vicieuse.
- Pinez-moi à fond, je suis votre pute anale.
Le Docteur éjacule en moi et je le suce. César m’encule à son tour, l’anus bien lubrifié, avec son mandrin de quarante par six, de 35 ans. Je connais un violent orgasme anal, sans me caresser.
L’anus entrouvert, je reçois un superbe gode muni de picots, de bonne dimension, trente-huit par huit.
Son prépuce glisse le long du gland de la sodomie, avec des va-et-vient. Le gode en érection s’allonge et rétrécit à chaque mouvement de va-et-vient grâce à son enveloppe ultra-souple qui s’étire ou se contracte en suivant les montées et descentes du gode. C’est comme un vrai étalon infatigable qui m’encule. Il mesure trente par huit et neuf avec sa gaine à picots. Trois chaînettes pendent de la base du gode. Enculée, je suis libérée et on attache une étroite ceinture autour de ma taille, et l'on y accroche les trois chaînettes, une par derrière qui suit le sillon des fesses, et les deux autres par-devant, qui longent le pli des aines en contournant le triangle pubien. On les ajuste au plus court, de façon que le mouvement intérieur des muscles ne peut repousser le gode et permettre de se resserrer à l'anneau de chair qu'il doit forcer et distendre, et on les attache avec de petits cadenas, pour s'assurer que, lorsque je suis seule, pour me soulager de cette contrainte.
- Tu le portes dès ton lever jusqu’au repas de midi et de la tombée du jour jusqu’à l’heure de la nuit, dix heures quotidiennement. Je m’occupe personnellement de l’ôter, pour que tu sois enculée par des sexes à chaque fois que ton œillet est libre. Comme pute anale et soumise, tu dois accepter ta sodomie sans te dérober.
Je mouille et mon bassin ondule sur ce gode qui réagit à mes ondulations.
26 juin
A mon lever, comme chaque jour, je dois porter mon gode anal, mon anus s’est habitué à ce gode.
Mais aujourd’hui, Maîtresse D vient me voir et m’annonce :
- Ma chérie, je t’ai réservée une surprise, une orgie anale rien que pour toi, chez moi. Tes soumis sont en lieu sûr. Tu restes nue et en mules, fardée, parfumée, du miel dans ton écrin et ton anus. Tu te douches à l’eau froide comme d’habitude.
Une fois prête, je monte à bord d’une limousine, assise, cuisses écartées à coté de Maîtresse D.
Chez elle, je découvre des couples cagoulés, laissant leurs imposants mandrins nus et libres et leurs chattes intégralement épilées accessibles.
Accroupie, je les suce et lèche les chattes.
Prosternée, je suis enculée par chacun le temps de ne pas jouir, puis je suis livrée à leurs bergers allemands, leurs malinois, leurs dobermans pour des demi-heures d’orgasmes anaux violents.
L’anus débordant de spermes canins, pantelante, je nettoie leurs mandrins offerts jusqu’à la dernière goutte.
Un couple me choisit, pour passer plusieurs jours en leur compagnie, pour mon dressage.
Je dois porter des carcans de cuir à mon cou et à mes poignets et à mes chevilles, fardée et parfumée après une courte douche froide.
Ils sont faits en plusieurs épaisseurs de cuir, chaque épaisseur assez mince, au total pas plus d'un doigt, verrouillés par un système à déclic, qui fonctionne automatiquement comme un cadenas quand on le referme, et ne peut s'ouvrir qu'avec une petite clé. Dans la partie opposée à la fermeture des bracelets, pris dans le milieu des épaisseurs de cuir, et n'ayant presque pas de jeu, il y a un anneau de métal, qui donne une prise pour fixer, et qu'on positionne du côté intérieur du poignet. Pour le collier, l'anneau pend devant le cou, reposant sur la saillie des clavicules, et brinquebale au rythme des mouvements de celui qui le porte.
C’est la première fois que l’on me parle de dressage.
L’homme de 45 ans est doté d’un mandrin similaire à celui du Baron.
- Tu nous dois une obéissance absolue. Tu vis totalement nue à disposition de notre doberman Apollo, qui t’encule selon ses envies. Tu vas faire tes besoins dans le jardin, cuisses écartées, accroupie. Tu es punie si tu commets une faute. Tes jolis yeux verts doivent rester baissés et ta bouche entrouverte, cuisses écartées, me dit la femme, une brune aux longs cheveux, intégralement épilée. Je me prénomme Alexandra, baronne des plaisirs SM (elle a 32 ans).
Je me retrouve allongée nue, sur la banquette arrière, les mains menottées dans le dos, les chevilles fixées ensemble, avec un gros bijou d’anus, un masque de nuit et un bâillon-pénis en bouche.
- C’est une future soumise de premier choix. Son œillet est parfait, son écrin est sublime, dit son mari. OC devrait lui plaire.
Nous rejoignons le bord de mer, dans une villa sécurisée, reliée à deux autres villas par un chemin.
L’homme me porte dans ses bras et m’allonge dans ma chambre au premier étage, sur le dos, cuisses écartées, menottée aux barreaux du lit, les mains toujours menottées dans le dos, aveugle et libre du bâillon-pénis. Je peux boire un peu.
L’homme me baise dans cette position, pour me faire jouir. Je connais un violent orgasme, malgré la douceur des va-et-vient et de la gaine à picots.
Je le suce ensuite, pour avaler son sperme.
Le doberman Apollo me baise et m’encule dans la même position, éjaculant dans mon anus. Je connais trois quart d’heure d’orgasmes.
Vers quatorze heures, je suis libérée, mais toujours les mains dans le dos, je dois pisser dans un seau, pour me soulager. Je reste pieds nus.
Je suis nourrie, sans les mains, les seins pelotés par Alexandra et ma chatte est longuement doigtée.
- Penche en avant, maintenant, que je te punis pour avoir joui, toute à l’heure baisée par Marquis de Désirs et Baisers Sadiques.
J’obéis, des pinces à seins avec clochettes emprisonnent mes mamelons constamment tendus. Les clochettes tintent au moindre mouvement. La clochette en métal fixée par un anneau s'anime au moindre mouvement, émettant un tintement cristallin. Mes seins doivent être sensibilisés. Penchée en avant, mes seins tombent sous le poids des pinces, mes mamelons deviennent froids. Mes grandes lèvres de ma chatte en portent aussi avec des clochettes, pour les étirer davantage, ainsi qu’une pince sur mon gros clitoris tendu avec une clochette. Des dents minuscules mordent mes mamelons.
Je gémis un peu, c’est la première fois pour moi.
Alexandra m’enfonce aussi un chapelet anal composé de cinq boules dans mon anus encore lubrifié par le sperme d’Apollo.
Elle me cravache les fesses et les cuisses, pour me corriger.
Je lui avoue :
- Je suis une pute anale, qu doit être corrigée sévèrement et je suis une chienne.
Je reçois vingt coups de cravache.
- Tu mouilles après vingt coups de cravache. Tu aimes ça, enculée et cravachée, ma petite pute anale.
- Maîtresse, cravachez-moi encore, je vous en supplie.
Plus tard, il faut t’exhiber nue dans le jardin, pour tes besoins.
Elle me fixe une laisse à mon collier, les clochettes tintent à chacun de mes pas, chaussée de mules à hauts talons, après une toilette rapide.
Accroupie, cuisses écartées, je me soulage à nouveau et je dois ramasser mes déchets que je dois mettre dans la cuvette des toilettes. Je m’essuie avec un mouchoir en papier que je jette.
- Tu es docile et propre, Shawn.
Je découvre un jeune étalon, de 16 ans, qui se masturbe devant mon spectacle. Il éjacule. J’ai hâte de le sucer et qu’il m’encule.
- Ma chérie, Nicolas ne t’es pas réservé, il aime que les hommes bien montés, comme toi. Regarde plutôt ta voisine, Olivia Câline, est une novice lesbienne, tu dois la dresser dès aujourd’hui.
Olivia Câline me ressemble, mais elle est blonde aux yeux verts, de mon âge, avec des petits seins, la chatte épilée et un pubis taillé en une petite bande brune.
Dans l’heure, Olivia Câline tenue en laisse par sa Maîtresse, la sœur jumelle d’Alexandra, Pénélope, m’est présentée.
- Voici Olivia Câline, soumise anale uniquement, cravachée régulièrement, bouche bien dressée, docile, elle n’a aucune expérience lesbienne, ma soumise Shawn. Tu dois lui apprendre, toi, la bisexuelle.
- Bien, Maîtresse Pénélope, je vais lui apprendre l’amour lesbien. Elle me plait.
- Toi, aussi, Shawn, tu es resplendissante, tout en grâce. Tu es naturelle.
- Elle sera prochainement préparée pour ses anneaux à sa chatte, tout comme Olivia Câline qui en porte à ses grandes lèvres ainsi que vos clitoris seront percés pour vos pierres de reconnaissance. Tu portes désormais une bague sertie d’un anneau pour te reconnaître Soumise Shawn, à ton annulaire gauche.
Elle me met la bague, elle est faite sur mesure. Je porte ma bague serti d’un petit anneau à mon annulaire gauche.
Libérée des clochettes, je conduis Olivia à ma chambre, sous l’œil voyeur de Pénélope et d’Alexandra.
Dans un 69 torride, nous léchons nos chattes, nos gros clitoris et fouillons nos anus. La novice Olivia se débrouille bien et me fait jouir la première.
Puis je gode Olivia pour l’enculer, avec un gode-ceinture particulier doté d’un double gode interne similaire à celui que m’a fait porter Maîtresse D et un gode externe similaire. Olivia s’offre à quatre pattes et se cambre, sous la montée de ses orgasmes, tout en caressant son clitoris.
- Shawn, continue, tu me fais jouir.
- Oh oui, ces godes sont fameux, je jouis aussi, en te prenant ma chérie.
Nous inversons les rôles pour la première double pénétration par gode. Olivia a interdiction de jouir en double pénétration.
Olivia enchaîne les orgasmes et moi aussi, enculée.
Pantelantes, nous prenons une douche lesbienne. Pénélope nous laisse jusqu’à ce soir. A la réserve du collier et des bracelets de cuir, que l'eau a durcis quand je me suis douchée, et qui me serrent davantage, je suis nue.
Alexandra me fait porter ma ceinture avec mon gode anal, comme stipuler par Maîtresse D. Ma chatte et mon clitoris sont offerts à la langue d’Apollo, qui s’occupe aussi d’Olivia, qui jouit, une première pour elle avec un chien.
Adam l’encule sans le nœud, car mon anus est occupé.
Le Marquis est fier que j’éduque Olivia en lesbienne.
L’anus libre, je suis longuement enculée, menottée à mon lit, par la chaîne de mon collier, les mains jointes à mon cou, à l’anneau de mon collier, dès le départ d’Olivia. J’ai les jambes libres pour diverses positions.
27 juin
A l’aube, je suis enculée par Apollo, prosternée sur le lit et je connais plusieurs orgasmes anaux en trois quart d’heure.
Vers 8 heures, je suis libérée et je porte mon gode anal, pour apporter le petit déjeuner au couple, je suis nue.
Je déjeune ensuite, juste avec mes doigts. Je me douche et fais mes besoins dehors.
Olivia m’observe, fantasmant sur nos prochains ébats lesbiens.
- Shawn, tu vas déflorer la chatte d‘Olivia en présence de Pénélope et de son ami le Duc Brice des Mille Sévices.
C’est un homme de 48 ans, bien monté comme le Baron, que je suce à mon arrivée, accroupie, les cuisses écartées.
Il me fait mettre à quatre pattes et je suis baisée puis enculée jusqu’aux testicules, sans jouir.
Il me met un gode ceinture pour baiser Olivia, qui est offerte à quatre pattes. Le gode est plus long que celui que j’ai utilisé, un quarante par huit. Elle gémit un peu, mais mes coups de reins la font jouir, puis le Duc la baise et l’encule ensuite. J’enfonce le gode dans sa chatte, pour une double pénétration jouissive pour Olivia.
Je suis offerte au Duc à deux étalons bien montés, une dans ma chatte et un qui m’encule simultanément, dans diverses positions, suçant le Duc, la chatte et le clitoris léchés par Olivia.
Olivia subit le même traitement, avec les mêmes étalons.
Menottée à un chevalet, je suis immobilisée, nue, dans cette posture dégradante, le postérieur plus haut que la tête. Mes bras sont fixés le long des pieds avants, mes jambes le long des pieds arrières, et une large sangle m'est passée au niveau de la taille. Mes cuisses, légèrement fléchies sont empêchées de se resserrer par la largeur de la poutre, ainsi d'ailleurs mes fesses que je me peut refermer. Toute mon intimité est ainsi très accessible. Je suis d’abord cravachée, je mouille abondamment sous les coups, ce qui excite le Duc, qui utilise aussi un gros gode anal pour me faire jouir sous les coups.
Je nettoie le Duc.
Puis un sexe canin vient m’enculer, c’est le dogue allemand Lancelot. Son sexe est plus imposant que ceux des bergers allemands et des dobermans. Il mesure trente-six par huit sans le nœud. Il m’enfonce le nœud, je gémis un peu, mais les masturbations de mon clitoris me font rapidement jouir et je connais des orgasmes anaux violents en une demi-heure.
Libérée, le Duc me rase ma chatte et me pose mes anneaux dorés à mes grandes lèvres humides, perce mon gros clitoris pour la pose d’un anneau doré avec une pierre précieuse pour l’étirer davantage et me marque au fer rouge sur les reins C P A S pour chienne pute anale Shawn. Je m’évanouis. Les marques imprimées par le fer rouge, hautes de trois doigts et larges de moitié leur hauteur, sont creusées dans la chair comme par une gouge, à près d'un centimètre de profondeur. Rien que de les effleurer, on les perçoit sous le doigt.
J’émerge, nue, sur le lit, en double pénétration, suçant Lancelot. Mes orgasmes me provoquent des vagues de plaisir, avec de longues éjaculations de mes étalons.
Enchaînée par mon collier, dans mon lit, je dois m’offrir à Lancelot, devant mes étalons, qui se masturbent.
Il m’encule jusqu’au nœud. Je connais plusieurs orgasmes et un autre dogue allemand, Atlas baise frénétiquement Olivia, pour lui élargir sa chatte récemment déflorée. Nos orgasmes sont simultanés et nous sommes remplis de leurs spermes et nous suçons nos amants canins.
Puis Lancelot et Atlas, de nouveau en érection, échangent de chiennes.
Vers 18 heures, les étalons repartent après avoir pris plusieurs fois en double pénétration Olivia, enculée uniquement par le Duc. Olivia connaît plusieurs orgasmes.
Quant à moi, je suis doublement pénétrée par Atlas dans ma chatte et Lancelot qui m’encule. Je perds connaissance, mais je suis doublement inondée de leurs spermes chauds.
Nous sommes douchées à l’eau froide. Je suis fière de mes bijoux intimes et mes reins marqués au fer rouge.
Ce soir, nous allons au restaurant. Nos tenues sont similaires des robes dos nu au décolleté en V, transparents, mettant en valeur nos seins nus fardés aux mamelons tendus, avec une jupe longue devant jusqu’à mi-cuisse et une jupe courte discrètement fendue sur nos fesses nues. Nous portons nos bijoux d’anus moulés sur l’avant du sexe d’un dogue allemand, pour rester ouvertes. Nous sommes fardés et parfumés, coiffées d’un chignon. Nous sommes chaussées de mules à hauts talons. Nous gardons juste nos colliers de chien à nos noms.
Assise fesses nues sur le cuir de la chaise, cuisses écartées, je suis nourrie par le Duc et Olivia par le Marquis. Nous gardons les yeux baissés pendant tout le souper.
Aux toilettes pour hommes, nue et en mules, je suis sauvagement enculée, l’anus libre et des billets sont remis au Duc. Je dois même me soulager, debout à l’urinoir, enculée par un des clients. Je dois retarder mes orgasmes, fessée par chacun.
Je les suce et avale leurs spermes chauds en bouche.
Olivia se fait doigter aux toilettes pour femmes, en compagnie d’Alexandra.
Après le dessert, je suis prise en double pénétration, nue chez le Duc. Le Duc me baise tandis que le Marquis m’encule en me fessant. Je suis aux anges, mon clitoris percé est tendu à l’extrême par le frottement contre le pubis du Duc.
Je dors chez le Duc, offerte à ses dogues allemands, en compagnie d’Olivia.
Le Duc vient m’enculer pendant la nuit, quand je suis menottée par mon collier dans mon lit.
28 juin
A l’aube, je suis toute dégoulinante de spermes de mon anus entrouvert, expulsant le surplus. Olivia a joui de nombreuses fois, baisée et enculée.
Vers 7 heures, nous sommes prises en double pénétration jusqu’à midi, pour nous ouvrir l’appétit, avalant le sperme des étalons qui s’offrent nos services.
Au déjeuner, je mange empalée, enculée, sur le Duc, assise entre ses cuisses, nue, fardée et parfumée, la chatte et le clitoris léchés par Lancelot, les clochettes tintent entre mes cuisses humides. Je me retiens de jouir dans cette position. Il caresse mes reins, mes seins étirés par les clochettes, mes fesses qu’il écarte davantage.
- Que tu es belle dans le désir et le plaisir anal. Tu es la plus belle pute anale canine que j’encule.
- Oui, Duc, je suis ta pute anale canine. Atlas et Lancelot sont mes amants.
- Tu n’as plus besoin de gode anal, tu es largement ouverte de ton œillet. Tu seras quand même enculée et baisée tous les jours, même fouettée.
Sans débander, il me conduit au chevalet, pour me cravacher, je compte les coups, enculée par mon gode anal, cadenassé.
Le rituel continue jusqu’au 1er juillet, entre ébats lesbiens et sodomie par picots par le Duc de mon anus, en 69 torride avec Olivia. Les saillies anales canines quotidiennes pour m’élargir un peu plus l’anus.
1er juillet
Après un voyage de quatre heures, à bord d’un yacht, qui nous transfère depuis la villa du Duc, les yeux bandés, avec un bâillon-boule, menottées dans le dos, nues, fardées et parfumées, pieds nus, coiffée de nos chignons, nous débarquons sur le débarcadère aux planches en bois brûlantes.
Olivia porte un harnais au niveau des hanches, pour enculer une autre soumise avec un gode similaire à celui pour m’élargir. Je porte aussi ce harnais pour enculer Olivia et un dogue allemand m’encule, tandis que nous sommes fouettées pour nous faire avancer.
Nous rejoignons le bâtiment de la direction du « Club ».
La soumise se retire du gode d’Olivia et nous restons accouplées, enculées.
Libérées du masque, les yeux baissés, nous découvrons Maîtresse D.
- Voici, mes deux nouvelles gouines bisexuelles, Shawn, tu as déflorée la chatte d’Olivia et la dresser selon mes instructions et celles du Duc et du Marquis, tes Maîtres et des Maîtresses Alexandra et Pénélope. Ici, vous êtes des chiennes à part entière. Des dizaines de chiens en liberté, le sexe en érection, du berger allemand au dogue allemand sont là pour vous saillir, du lever du soleil jusqu’au coucher du soleil, telle de vraies chiennes. Arès est le meilleur dogue allemand pour enculer une soumise de premier choix comme toi, Shawn.
Je suis terrassée par une succession d’orgasmes anaux de plus en plus violents, je hurle sous le bâillon-boule.
- Les anneaux vont vous à merveille, les fers seront mieux pour vos superbes écrins humides. La marquage au fer rouge est un signe de votre docilité de soumise.
Olivia se fait aussi saillir enculer par un autre dogue allemand.
Nous sortons, saillies, nues, sous la chaleur matinale, à quatre pattes, chercher de l’ombre et à boire. Les serviteurs nous cravachent nos fesses pour nous forcer à avancer à genoux, attachées par leurs nœuds dans nos anus.
Libres de nos bâillons-boule, nous suçons simultanément deux dobermans, un chacune. Nous subissons une éjaculation simultanée dans nos bouches et nos anus.
La saillie anale canine dure entre une demi-heure à trois quart d’heure, selon l’excitation du chien. Des clochettes tintent à nos mamelons tendus, à chaque coup de rein de nos amants canins.
Une fois libérées, nos anus rougis sont enduits à nouveau de miel.
Nous devons choisir d’autres amants canins pour la journée. Je suis contrainte de choisir un autre dogue allemand et Olivia un doberman. D’autres chiens en réserve nous attendent sur l’île. Les râles de plaisir des soumises résonnent dans l’île. Les hommes servent à surveiller toute évasion de l’île et à nous fouetter.
Nous buvons des mélanges de stimulants sexuels avec des fruits et légumes phalliques sous forme de soupes ou en bouteilles. Nous buvons beaucoup et devons nous soulager, même attachées à nos amants canins. Cela est difficile, mais j’arrive.
Le soir, après la douche à l’eau froide, sur un chevalet, un bon lavement anal, les litres de sperme canins sont récupérés dans des bassines, nues, nous sommes cravachées, fouettées à la garcette ou à la chicotte, selon nos fautes. La garcette, de cordes assez fines, faite de sept lanières terminées chacune par plusieurs nœuds, et qui sont toutes raides, trempées dans l'eau, car on m’en caresse les seins avec mes clochettes et l’intérieur de mes cuisses, je sens mieux combien les cordes sont humides et froides contre la peau tiède. La chicotte est un engin fait en deux parties, d'une part un manche en bois verni et de l'autre une tresse en cuir noir, reliés ensemble par une boucle qui forme charnière, de telle sorte que, quand on l'utilise avec habilité, le coup de poignet sur le manche donnait encore plus de vitesse à la tresse en cuir. Je mouille abondamment sous ces trois accessoires pour me punir.
Je compte les coups sans faillir. Mon dos, mes seins sont griffés par les amants canins, en plus des coups de fouet sur mes reins, mes fesses, mes cuisses et mon dos, aussi mes seins avec leurs clochettes.
Le soir, enchaînées dans nos lits, nous sommes accouplées, couchée l’une sur l’autre, avec un double gode anal dans nos anus, bouche contre bouche, seins contre seins, libérées des clochettes. Le gode anal est muni de picots et possède un va-et-vient automatique. Nous avons interdiction d’avoir des orgasmes sous peine de punitions.
2 juillet
A l’aube, nous sommes saillies, enculées sur nos chevalets, suçant d’autres amants canins.
Au lever du soleil, nous sommes fouettée devant les autres soumises, alignées, suspendues à un crochet, sur la pointe des pieds, les bras tendus, Maîtresse D choisit l’accessoire et la zone à fouetter. Nous restons trois heures, suspendues, cuisses écartées, avec interdiction de parler et de bouger.
Les saillies reprennent après le petit déjeuner rapide et une douche rapide à l’eau froide et nos anus enduits de miel, pour nos prochaines saillies de la journée.
Ce soir, exceptionnellement, Maîtresse D me fait une faveur, Olivia est accouplée avec une autre soumise.
- Ma chérie, Shawn, tu es une soumise très docile. Je dois te fouetter tous les jours, comme l’exige les instructions. Tu vas être livrée, nue, sur ton chevalet à des dizaines d’étalons très bien montés, pour t’enculer et te baiser, te fouetter, les yeux bandés. Tu les suceras et tu es libre de tes orgasmes. Ce sont eux qui décident de te fouetter.
Une fois en position, je suis complimentée sur ma grâce, ma docilité, ma disponibilité en double pénétration et ma bouche bien dressée.
Je ne sais combien ils sont, un ou dix pour me donner leurs plaisirs. Ma bouche, mon anus et ma chatte sont remplis de spermes chauds, je dois tout avaler, mes reins, mes fesses, mes cuisses sont fouettés aussi, avant ou pendant ou après m’avoir fait jouir.
Jusqu’à l’aube, aveugle, je suis livrée, pantelante, buvant beaucoup.
3 juillet
A l’aube, on me retire le bandeau, à la demande d’un des étalons que j’ai sucé et qui m’a fouettée.
- Je veux voir tes superbes yeux et t’enculer ensuite, comme ma pute anale canine.
Il m’encule avec une telle puissance de ses coups de bassin, je connais un premier orgasme anal en sa compagnie puis un second plus violent, fessée magistralement. Son mandrin de trente-deux par huit, avec une gaine à picots.
Au troisième orgasme anal, je suis cravachée.
Il se retire et éjacule encore dans ma bouche jusqu’à la dernière goutte. Il se prénomme Nicolas.
- J’ai enculée Olivia, qui fait partie de ma famille. Le Duc l’a initié à la sodomie à ses quatorze ans, avant de l’enculer avec sa queue à seize ans. Tu es un peu la sœur d’Olivia, donc je devais t’enculer aussi. Ton anus est bien assoupli, la pute anale canine. J’ai aussi enculée ton amie Aimée à ses quatorze ans et j’ai déflorée Aimée en la violant avec mes copains. Elle a aimé, c’est une future soumise comme toi, ma vicieuse. J’aurai du te violer aussi, mais j’avais à m’occuper de filmer et de photographier ton viol et ta soumission, ma belle vicieuse. Tu mouilles d’excitation.
Je suis choquée par les aveux de Nicolas. Aimée m’a trahie, elle va me le payer.
7 juillet
A l’aube, menottée au chevalet, nue, après une ultime saillie anale canine par deux dogues allemands à tour de rôle, l’anus dégoulinant de leurs spermes, malgré mon bijou d’anus moulé sur l’avant du sexe du dogue allemand.
Je suis marquée à l’intérieur de ma chatte des initiales de mon Maître. Je porte aussi à mes grandes lèvres épilées, mes fers à ses initiales.
Ce sont des anneaux de fer mat inoxydable. La tige en est ronde, épaisse comme un gros crayon de couleur, et ils sont oblongs : les maillons des grosses chaînes sont semblables. Chacun est formé de deux U qui s'emboîtent l'un dans l'autre. Le ressort intérieur sur lequel on doit forcer pour le faire pénétrer dans la rainure où il se bloque. Une fois posé, il est impossible de l'ôter. Chaque anneau est long comme deux phalanges du petit doigt, qu'on y pouvait glisser. A chacun est suspendu, comme un nouveau maillon, ou comme au support d'une boucle d'oreille un anneau qui doit être dans le même plan que l'oreille et la prolonger, un disque de même métal aussi large que l'anneau est long. Les fers qui trouent mes deux grandes lèvres de ma chatte me descendent jusqu'au tiers de la cuisse, et à chacun de ses pas bougent entre mes jambes comme un battant de cloche, le disque gravé étant plus lourd et plus long que l'anneau auquel il pend.
Mon pubis est intégralement rasé, ainsi que les aines, le haut de mes cuisses et le périnée et je porte tatoué « Chienne Shawn pute anale suceuse dévouée ». Je me retrouve avec la chatte d’une jeune fille. Je porte les lettres D et S entrelacés sur ma fesse gauche et M et B sur la fesse droite.
J’abandonne ma longue chevelure pour une coupe à la garçonne. Mes carcans de cuir sont remplacés par des carcans en fer, mon collier m’entoure exactement le cou dans son milieu, suffisamment pour qu'il soit difficile de le faire tourner, et plus difficile encore d'y glisser un doigt entre la peau et le métal. De même, à mes poignets et à mes chevilles, juste au-dessus de l'articulation qui est laissée libre, les bracelets. Ils de fer inoxydable, articulés et à demi rigides comme on fait en or certains bracelets-montres. Ils sont hauts de près de deux doigts et portent chacun un anneau de même métal. Dès la fermeture de mon collier et de mes bracelets, je dois les garder jour et nuit, même pour me baigner.
Je suis longuement enculée sauvagement par des nouveaux étalons, qui éjaculent sur mes fesses et mon dos, zébrés par la chicotte, maniée par eux. Je retrouve connaissance, en les suçant et en avalant tout.
Je reste quelques jours au repos, menottée à mon lit, mains jointes à mon cou, cuisses écartées, le temps que les fers étirent bien mes grandes lèvres.
10 juillet
Je me lève et me découvre dans un grand miroir, je suis totalement lisse, désirable, ferrée et marquée. Mon tatouage sur mon pubis est désormais visible.
- Shawn, tu es sublime, avec ta taille affinée par le port d’une étroite ceinture de cuir lacée étroitement. Ton œillet répond à toutes les attentes d’une soumise de ton rang. Ton écrin sera sollicité aussi. Marquée et ferrée, tout le monde sait par ta bague, aussi que tu es à leur disposition, nue sous tes vêtements.
Avec Olivia, nous retournons à la villa du Duc, nues comme à notre arrivée.
Le Duc et le Marquis, Alexandra et Pénélope sont fières de nous, intégralement épilées, marquées et ferrées comme deux sœurs.
Fardées et parfumées, toutes les deux, après de longues doubles pénétrations par nos Maîtres et les chiens, pour fêter nos retours, une longue douche lesbienne bien méritée, nos lavements anaux, nous revêtons nos tenues : un corset monte jusque sous les seins nus, cravachés encore ce matin, projetés en avant, mettant en valeur nos mamelons tendus, chaussée de mules à hauts talons à nos pieds nus, et la taille étranglée dans nos corset. Une jupe éventail complète l’ensemble et un boléro fermé au cou, en relevant ma jupe, l’accès à ma chatte et mon anus est aisé.
Le Duc m’invite à conduire la Ferrari avec la plaque d’immatriculation C P A S.
J’ai déjà conduit. Olivia m’accompagne pour rendre visite à Aimée.
Vers 13 heure, je stationne la Ferrari dans l’allée devant la villa d’Aimée.
Nous sommes nues et en mules pour la surprise.
Aimée est nue, en compagnie de Félix et Horace, en double pénétration.
- Alors, Aimée, me voici de retour avec ma nouvelle chérie, Olivia Câline, la copine de Nicolas. Nicolas m’a tout raconté sur tes activités.
- Shawn, tu mens. Tu es ferrée et marquée comme Olivia Câline.
- Félix et Horace, retirez-vous j’ai une leçon à Aimée. Agenouille-toi ! Ouvre tes jambes !
Aimée se met à genoux, en les éloignant l'un de l'autre, et on lui défend de les rapprocher. Deux poignes d’Olivia pèsent sur ses épaules comme pour l'empêcher de se relever.
- Tu n’as jamais attachée ou suspendue ni fouettée ? Si t’attacher quelquefois, si vous te fouetter un peu, et que tu commences à y prendre goût, ça ne vaut pas. Ce qu'il faut, c'est dépasser le moment où il prend du plaisir, pour obtenir des larmes.
- Shawn, pas ça, je t’en supplie.
- La soumise ouvre sa bouche, réplique Olivia.
- Tu protestes, mais soumise Aimée, tu ignores les règles.
On sonne.
- Olivia, tu la tiens en respect, je reviens.
Une Ferrari blanche avec les initiales de la Brigade SM est stationnée. Un superbe étalon Africain nu sous son uniforme, de 42 ans, exhibant un mandrin de quarante par huit, botté et sa collègue, une superbe blonde aux seins plantureux, de 25 ans, mis en valeur par son corsage seins nus et sa jupe courte fendue devant sur son pubis tatoué et sa chatte ferrée, m’interroge, en voyant mes marques :
- Chienne Pute Anale Shawn, je présume, violée dans la villa d’Aimée le 19 juin et soumise éduquée dès le 26 juin, ancienne double vierge, annonce la blonde, le lieutenant Maîtresse X. Tu es resplendissante et tu correspond aux critères de recrutement de la brigade SM.
- Je suis avec Olivia Câline.
- Elle a aussi un superbe dossier SM, Olivia.
- Vous venez voir Aimée, je présume, les yeux toujours baissés, la bouche entrouverte, regardant le mandrin.
- Oui, dit le capitaine Maître D, elle a fait violée plusieurs jeunes filles pour les faire soumettre. Nicolas est au dressage au Club des soumis depuis votre retour du Club.
- Je peux vous sucer.
- Bien sûr, ma belle, tu as une très belle bouche bien dressée.
Je prends son mandrin et le fait éjaculer, j’avale tout.
- Dis donc, elle connaît son métier.
Mais le mandrin est encore dur et je suis enculée sur le champ par Maître D.
L’homme m’allonge sur le fauteuil de ma Ferrari. Il relève mes jambes et pose mes mollets sur ses épaules. Il m’encule en douceur puis sauvagement. Je me retiens de jouir.
- Tu es libre de jouir, ma belle, m’excite Maîtresse X.
Un violent orgasme anal me terrasse et il éjacule une dernière fois. Je le nettoie à nouveau.
Nous retrouvons Aimée et Olivia.
- En vertu des lois, Aimée, vous êtes en état d’arrestation et vous serez transférée auprès du Duc et du Marquis pour votre instruction avant de séjourner au Club.
- Shawn, tu n’as pas le droit, je suis ta chérie.
- Félix et Horace, comme agents spéciaux de la BSM, votre collaboration a permis de récupérer des précieuses données sur les délits d’Aimée.
Aimée est embarquée dans un fourgon cellulaire. Les trois étalons me prennent en double pénétration, m’enculant tour à tour, suçant et avalant.
Olivia et Maîtresse X font l’amour entre elles.
La villa d’Aimée m’appartient.
Puis je reçois la visite après le départ de Maître D et Maîtresse X, d’une soumise chauve, fardée, parfumée, marquée et ferrée.
C’est D99, qui revient d’un nouveau séjour au Club. Elle m’informe :
- Maîtresse C P A S, je suis votre nouvelle soumise, soubrette à votre disposition, sur ordre de Maîtresse D.
Je lui donne les instructions, pendant que je repose avec Olivia Câline, dans la chambre en compagnie de Félix et Horace, à qui nous racontons nos dressages collectifs.
D99 tente de s’offrir à mes amants, mais Hadès, mon amant canin, aboie pour m’avertir de sa présence.
- Hadès vient m’enculer, je veux ta belle queue en moi.
Prosternée, je suis enculée jusqu’au nœud. Félix et Horace cravachent D99 pour sa faute, au salon.
Hadès encule Olivia, le sexe encore en érection. Nous avons nos orgasmes anaux violents.
Avec Olivia, nous la fouettons avec la garcette et la chicotte, menottée à un chevalet, suçant Félix et Horace, qui éjaculent dans sa bouche de soumise.
Vers 17 heures, Olivia et moi sont convoquées pour notre recrutement à la BSM, sur les hauteurs de la ville, surplombant la villa de Maîtresse D.
Nous prenons la Ferrari, pendant que D99 continue ses tâches, surveillée par Félix et Horace, tenant chacun un martinet.
Au QG de BSM, un bunker, nous sommes reçues par Maîtresse X.
- Voici nos futures Majors S et O, vos tenues vont vous changer.
En effet, au vestiaire, nues, nous sommes soumises à un examen gynécologique, avec sodomie profonde par le gynécologue, un superbe étalon Africain, de trente-huit par huit. Je me retiens de jouir, malgré mon envie.
Puis nous sommes douchées, massées sexuellement et enfin, la tenue similaire de Maîtresse X nous pare, fardées et parfumées, chaussée de mules à très hauts talons, telles des putes de luxe.
C’est le lieutenant Maîtresse V qui s’occupe de nous faire visiter les lieux.
Des caméras filment les séances SM des villas, avec identification des soumises et punitions infligées. Je suis même surprise, excitée sexuellement, de voir une de soumise recevoir dans son anus, un gode anal de cinquante par onze. La soumise jouit, enculée.
- Major S, ce gode anal est une queue équine Cheval de Troie. Votre anus assoupli devrait aucun mal à jouir avec ce gode, comme il est assoupli.
Quand le gode est retiré, l’anus est rougi complètement distendu et boursouflé.
- Je désire essayer, Maîtresse V, intriguée.
- La BSM montée possède quelques reproducteurs pour des saillies équines.
Un étalon Africain s’approche de moi, encore impressionnée par la sodomie équine.
- Ma belle, Major S, ton corps et ta beauté vont de paire pour une saillie avec Sultan, qui vient de rentrer de sa patrouille. Je suis le colonel Maître Y, qui gère la BSM montée.
Il me prend par la main et me conduit dans un tunnel menant à un haras à l’extérieur.
Je découvre de superbes étalons équins, avec d’imposants sexes en érection.
- Quatre-vingt-cinq centimètres pour satisfaire ta curiosité, tu peux sucer Sultan. Mais avant, déshabille-toi, tu exciteras et caresseras avec ton corps nu son corps.
J’obéis, devant Sultan, un Selle Français. Maître Y a 47 ans.
Je m’accroupis, nue et en mules, devant ce sexe. Je suis fascinée par sa taille et n'y tenant plus, me met à le lécher avec gourmandise. J’arrive à peine à rentrer son gland dans ma bouche bien dressée. Maître Y me pelote les seins et mon clitoris tendu sous l’excitation sexuelle.
- Tu mouilles, ma belle. Quelle suceuse, tu continues encore un peu.
Sultan se met en érection et éjacule. J’avale une bonne partie d’une telle quantité de sperme.
Pour me préparer, il m’installe sur un chevalet, il me baise un peu puis m’encule sauvagement. Je me retiens de jouir, préférant me faire plaisir avec Sultan.
Enfin, le sexe équin de Sultan remplit ma chatte trempée jusqu’au fond de ma chatte, pour un superbe orgasme.
Sultan me baise mieux qu’un homme et qu’un chien. Je suis constamment filmée depuis ma fellation, Maître Y se masturbe devant ma saillie équine. Sultan bande davantage, par mes va-et-vient combinés aux siens.
Pendant ce temps, Maître Y n'arrête pas de photographier l'accouplement bestial tout en se masturbant.
Ma chatte est tellement distendue, lorsque Maître Y le retire, après son éjaculation.
Maître Y enduit mon anus de son sperme chaud. Mon anus s’ouvre et le gland entre sans problème, puis jusqu’à trente centimètres, pour ma première saillie anale équine.
Mon anus est dilaté davantage par la nouvelle érection de Sultan. Je gémis un peu, mais l’orgasme anal m’envahit.
Je coulisse sur sa queue en érection, enculée, dilatée, mon anus s’étant habituée à ce sexe.
- Pine-moi Sultan, mon puits t’appartient. Je suis ta pute chevaline.
Je suce Maître Y jusqu’à l’éjaculation en bouche et dans mon anus, simultanées.
- Quelle pute chevaline, Major S, tu es faites pour ce vice.
Le directeur la prit par les cheveux et se fit sucer jusqu'à la jouissance.
Maître Y sort le sexe débandé de mon anus rougi complètement distendu et boursouflé ce qui libère un flot de sperme.
Pantelante, le bijou d’anus remis en place, je frotte mes seins contre son corps chaud, masturbant le sexe de Sultan, comme si c’était un homme.
J’ai droit à un court repos dans la chambre de Maître, nue, après une bonne douche masturbatoire. Je fais des rêves SM, saillie par des chevaux, fouettée et suçant des sexes équins, qui me font mouiller et jouir, sans me caresser, seuls mes mamelons et mon clitoris tendus trahissent mon plaisir sexuel.
Maître Y me baise, avec mon bijou d’anus et je connais un violent orgasme, la chatte remplie de son sperme chaud.
- Alors, ma pute chevaline, tu te remets de tes émotions sexuelles.
- J’ai hâte de recommencer avec un autre étalon.
- Patience, après tes cours à la BSM, tu pourras venir faire la toilette à Sultan.
- Vous m’enculerez aussi, mon amant TTBM.
- Bien sûr, tu es destiné à cet usage, aussi. Major O va essayer aussi. Elle te ressembles.
Ma saillie est rajoutée à mon dossier SM, après un rapport détaillé et des vidéos pour le commandant de BSM.
Vers 20 heures, je rejoins ma chambre où se trouve Major O, nue comme moi, pour une bonne douche lesbienne masturbatoire. Je lui confie ma première saillie équine.
Je participe aux cours avec les vidéos de mon viol, qui sont détaillées par moi-même. Les soumis sont déjà condamnés au « Club ».
Je dors mal, envahie par mes fantasmes équins.
Pendant ma première nuit, je suis réveillée, nue, pieds nus et conduite dans une pièce, menottée à un banc, enculée à toute heure jusqu’à l’aube, suçant mes amants inconnus TTBM, dont le Maître Y.
J’ai même droit à une nouvelle saillie anale équine, menottée nue, sous le ventre d’Alizé, un trotteur Français, cuisses complètement ouvertes, une chaîne passant sur le dos d’Alizé immobilise mes bracelets de mes chevilles et mes bras sont tendus avec une chaîne autour du cou d’Alizé. Un dispositif me fait coulisser sur le sexe enfoncé sur quarante centimètres, pour m’enculer, lors de la promenade au manège. Son sexe en érection éjacule trois fois, par la masturbation d’un des officiers de la BSM montée, que je suce, pour étouffer mes râles sous les vagues de plaisir anal.
- Quelle sacrée pute chevaline, c’est rare qu’une pute jouisse enculée par nos chevaux. Elles gémissent, toi, ton œillet est bien préparé.
12 juillet
Lors de l’appel de 7 heures, j’apprends que je suis officiellement promue lieutenant S, Maîtresse Equine et Canine, par le colonel Maître E, âgé de 52 ans, suite à mes nombreuses saillies équines anales et vaginales. D’ici deux semaines, en fonction de mes 100 % de mes qualités vicieuses, je pourrai choisir mon affectation au sein de BSM.
Nous rééduquons mes muscles anaux pour lui rendre sa tonicité, à l'aide d'un appareil d'électrothérapie : il est maintenant redevenu tout à fait normal, tel un poinçon strié de rose, très serré, mais il peut s'ouvrir tout grand pour me faire enculer, par plusieurs séances par jour.
A midi, nous déjeunons, en uniforme, puis saillies équines avec pause à 16 heures et douche pour nouvelles saillies jusqu’au coucher du soleil, soin des chevaux.
A 22 heures, coucher, nue dans le lit, cuisses écartées, pour s’offrir aux officiers supérieurs.
15 juillet
Comme chaque jour, je suis enculée soit par Sultan soit par Alizé soit par Zéphyr, un pur sang arabe. Je redresse les jambes, je les passe par-dessus le dos du cheval, menottée par les chevilles, enculée partiellement.
Maître Y m’invite à une promenade à cheval. Je suis vêtue de mon nouvel uniforme, un boléro transparent, un corset seins nus et un short transparent ouvert pour ma chatte et mon anus, pieds nus. Je me retrouve empalée, sous mon propre poids sur deux godes moulés sur l’avant de sexe équin. Chacun s’allonge et rétrécit à chaque mouvement de va-et-vient grâce à son enveloppe ultra-souple qui s’étire ou se contracte en suivant les montées et descentes du gode. C’est comme un vrai étalon équin. Enculée et baisée simultanément, des sangles m’empêchent de bouger, lors du trot du cheval.
Je connais de violents orgasmes pendant la promenade vers la plage et le long des villas des Maîtres où des soumises et des soumis sont dressés à l’extérieur. Cette vision m’excite, mes mamelons sont tendus à l’extrême tout comme mon clitoris percé qui frotte sur les poils équins.
Au bout de deux heures, nous revenons au haras. Je suis sur Alizé.
Maître Y m’aide à descendre et m’enfonce sur le champ, le sexe d’Alizé, dans mon anus béant. Je jouis rapidement et Alizé éjacule en moi, puis Maître Y et les autres colonels, de superbes étalons musclés TTBM m’enculent sauvagement, profitant de mon anus distendu, lubrifié par le sperme d’Alizé.
De violents orgasmes anaux m’épuisent, je les suce en retour jusqu’à la dernière goutte.
Les promenades reprennent après le déjeuner consistant. Le même rituel a lieu avec Sultan puis Zéphyr. Je passe au manège, enculée sous Sultan, les fesses fouettées, décuplant mon plaisir anal.
Je suis enculée le reste de la journée, dans la chambre du Maître, à quatre pattes, allongée sur le dos, empalée, prise en double anale, une première pour moi, car mon anus peut recevoir deux mandrins simultanément.
24 juillet
Après l’appel, je regarde le tableau des promotions, je suis la meilleure élève de la promotion, Major O est seulement cinquième, par ses saillies équines uniquement vaginales, mais je vais la persuader de se faire enculer par mes amants équins.
Je suis affectée à la BSM montée. Mes amants sont heureux de me retrouver.
J’ai droit à une piscine privée, pour me baigner nue, avec mon bijou d’anus, un sauna mixte pour des orgies anales.
Chaque promenade avec mon gode anal équin uniquement me continue à des plaisirs incontrôlables.
Les amants qui m’accompagnent, souvent me font enculer par leurs montures que je suce, telle une pute chevaline.
Souvent, je dors nue avec mes amants équins, me donnant du plaisir, dans l’étable.
J’arrive à me faire prendre par huit chevaux en une journée, enculée à chaque fois et quelques fois alternant baise et sodomie.
Maîtresse D, le Duc et le Marquis assistent à mes saillies et m’enculent ensuite lors de leurs visites.
Major O commence à prendre du plaisir, enculée par mes amants équins. Je dois lui masturber son gros clitoris percé pour la faire jouir devant Maître Y et Maître E.
26 juillet
Nous prenons notre première journée de repos à la villa d’Aimée. D99 est toujours présente, offerte à des godes équins pour la dresser.
Avec Olivia, nous vivons constamment nues, jouant avec nos godes canins et équins comme deux lesbiennes soumises. Nos orgasmes nous épuisent, mais les longueurs de piscine nous rafraîchissent. Félix, Horace et Maître Y viennent nous enculer sur nos chaises longues où nous bronzons.
Nous continuons à muscler nos muscles anaux avec nos appareils.
La double anale devient fréquente pour nous deux, les putes chevalines.
Olivia a pris goût à ce vice.
Mais vers 18 heures, le devoir nous appelle. Rhabillée, je monte Zéphyr, le frère d’Alizé, avec mon gode anal équin sur ma selle, en compagnie de Maîtres E et Y.
Vers 19 heures, nous stoppons au retour, devant une villa donnant sur la plage. Un superbe athlète musclé de Sir V, de 60 ans, ressemblant au Baron, exhibe un mandrin en érection de trente-cinq par huit, qu’il masturbe devant moi. Je garde les yeux baissés, malgré mon orgasme anal en cours.
- C’est la nouvelle pute chevaline, lieutenant S, elle est très experte pour son âge.
On me fait descendre du gode et je suis aussitôt saillie enculée sur le champ devant Sir V. Il s’approche, enfonce son gland dans ma bouche, je le suce, tandis qu’il pelote et étire mes mamelons tendus, tout en alternant avec mon gros clitoris tendu percé et enfonçant aussi ses doigts dans ma chatte trempée d’excitation.
- Elle est facile, me dit Sir V. Elle a envie de tous les hommes qui la désirent, pour sa propre facilité.
Sir V éjacule dans ma bouche et je reçois presque simultanément une longue éjaculation de spermes chauds dans mon anus écartelé par Zéphyr.
Sir V bande à nouveau, à ma plus grande surprise.
Dans son jardin, à quatre pattes, je suis enculée jusqu’aux testicules, offrant ma bouche au mandrin de Maître E, de quarante par sept.
- Quel puits, c’est une superbe pute anale, ferrée et marquée. Son tarif est donc doublé. Mes amis vont être heureux de son séjour chez Sir V. Je peux la garder quelques jours.
Un orgasme anal me terrasse, Sir V éjacule en moi.
- Bien sûr, lieutenant S est toute à vous, Sir V. C’est une pute anale chevaline, adepte de la double anale et de la double pénétration, mais aussi un sexe canin dans son œillet, lui donne beaucoup de plaisir. Avale tout, ma belle.
Ces mots vicieux à mon encontre, m’ont excitée et je me suis retrouvée, submergée par mon plaisir anal.
Maîtres E et Y repartent avec Zéphyr.
Deux autres athlètes du même gabarit de mandrin me rejoignent, de 65 ans et de 68 ans, me prennent en double pénétration debout, pour me faire jouir. Je suis doublement inondée.
Le premier, Sir D, me fixe à mon cou, un collier de cuir, similaire à celui que j’ai porté chez le Marquis de Désirs et Baisers Sadiques, avec mon nom Soumise Shawn. Le second, Sir M, me pince mes mamelons tendus reliés à des clochettes. Je suis tenue en laisse, nue, pieds nus.
Au salon, je suis prise en double anale par Sirs V et D, suçant Sir M.
- Quelle pute, son œillet est bien écartelé avec nos queues, dit Sir D.
- Elle est chaude et elle aime ça. Lieutenant S est la plus belle pute de BSM, dit Sir M, que je suce.
Un double orgasme anal me fait exploser, suivi d’une double éjaculation plus celle dans ma bouche.
Des billets sont glissés dans une tirelire.
- C’est 100 la sodomie, 150 la double pénétration, 200 la double anale et 500 enculée par un chien, annonce Sir V, quand je vois des hommes de leurs âges entrés, qui se sont masturbés lors de ma double anale filmée.
Vers 21 heures, je perds connaissance au cinquième ébat sexuel, en double anale, la seconde depuis que je suis avec Sir V.
- Laissons la belle, se reposer, elle s’est bien donnée. Elle aime les hommes mûrs, dit Sir V, en me portant vers ma chambre.
Nue, je suis lavée, allongée sur le lit, je ne sens plus mon corps. Ma chatte s’ouvre et se referme sous la grosse éponge. Mes mamelons sont libérés des pinces.
L’anus entrouvert, j’ai droit à un bon lavement anal, pour de nouveaux ébats sexuels. Je suis nourrie, la viande passée dans ma chatte.
Vers 22 heures, je retrouve d’autres hommes du même âge, à ma disposition, pour une soirée cravache, garcette et chicotte, menottée à un chevalet et bien sûr, enculée. Je porte à nouveau mes clochettes. Je mouille abondamment, sous les coups. Cela plait aux hommes, que je suce tout en étant fouettée.
27 juillet
Vers minuit, un des hommes, un ami de Sir V, me fait saillir par deux dogues allemands, Arès et Hannibal. Je reste plus d’une heure, enculée et attachée à chacun, décuplant mes orgasmes anaux plus violents.
Les invités me compliment, m’applaudissent et même double mon tarif saillie canine.
Je finis, sauvagement enculée par l’ensemble des invités, nourrie de leurs spermes en bouche que j’avale.
Je me couche, nue, après une longue douche masturbatoire devant Sirs V, M et D, qui logent dans la villa.
Pendant ma courte nuit, chacun vient m’enculer, non menottée à mon lit. Je me laisse faire, à quatre pattes, allongée sur le dos, empalée sur eux et allongée sur le ventre. Leurs spermes chauds sont gardés dans mon anus, avec mon plus gros bijou d’anus qu’ils possèdent, de six de diamètre.
28 juillet
Vers 9 heures, je me réveille, pantelante, de mes masturbations nocturnes et de mes longues sodomies de mes amants endurants.
Je trouve un papier, la chambre n’a ni volets ni rideaux, exhibant directement mon corps nu aux voisins voyeurs.
200 la sodomie, 350 la double pénétration, 400 la double anale et 800 enculée par un chien.
Je suis une sacrée pute pour de tels tarifs. Je me douche longuement, il n’y a pas de porte à ma chambre, entièrement recouverte de glaces et de miroirs même dans ma salle à bains avec un lavabo, un bidet, des cuvettes de toilette et une douche à l’eau froide.
Sir V me rejoint nu, le mandrin en érection.
- Tu émerges, tu as fait un gros somme. Fais ton lavement, tu dois être propre de l’intérieur.
Il m’observe, j’insère une poire de lavement pour me nettoyer l’anus. Je jouis.
- Suce-moi, pendant que tu fais ton lavement.
Accroupie, cuisses écartées, j’obéis. Il éjacule dans ma bouche.
Je me fais belle, tout en blanc et met un corset seins nus sous mon tee-shirt moulant mes seins nus aux mamelons fardés et une jupe éventail couvrant à peine mes fers, je me coiffe d’une queue-de-cheval, mon collier de cuir et je chausse des sandales à hauts talons, mes ongles des mains et des pieds sont vernis en rouge.
Sir V me promène en laisse, ainsi, mes mamelons et mon clitoris sont tendus à l’extrême par l’excitation sexuelle et l’exhibition. Je porte mon bijou d‘anus.
- Le village est juste dans la rue suivante. Tu vas aimée d’être exhibée.
- Sir V, j’ai hâte de me soumettre à d’autres mâles.
Je suis récompensée, au bout d’une demi-heure de marche, les yeux baissés, caressée de temps à autre, ma chatte, mon gros clitoris et mes seins sont sollicités, je me retiens de jouir, pour ne pas être punie.
Nous faisons une halte devant une discrète devanture.
Nous entrons, c’est un sex-shop avec diverses tenues érotiques et SM. Le gérant, un bel étalon de 60 ans, le mandrin nu, de quarante par huit, nous accueille.
- C’est la fameuse C P A S, ses photos m’excitent. Elle est encore plus belle en vrai. C’est une ancienne double vierge devenue bisexuelle, vicieuse, zoophile et une superbe suceuse. N’est-ce pas, vicieuse Shawn ?
Cela fait des jours, que je n’ai plus entendu mon prénom Shawn.
- Oui, monsieur, je suis une vicieuse.
- Déshabille-toi, que je m’occupes de toi.
Nue, l’homme m’annonce :
- Je m’appelle Dresseur de Vices, pour les chiennes comme toi. Masturbe-toi, j’ai des godes à ta disposition.
Les mains entre mes cuisses et sur mes seins, je jouis.
- Tu es suffisamment mouillée. Je vais te fesser pour te préparer, ma belle chienne.
- Fesse-moi, je suis ta chienne.
Penchée en avant, sur le comptoir, cuisses écartés, je reçois des dizaines de fessées, qui me font mouiller davantage.
Libérée de mon bijou d’anus, je suis enculée sur le champ, jusqu’aux testicules.
- Quel œillet large, ce n’est pas une légende. Elargie par des chiens et des chevaux, elle aime ça.
- Pine-moi à fond mon puits.
Sir V accentue mon désir anal, par des étirements de mes mamelons tendus et me masturbe violemment mon gros clitoris. Je connais un long et violent orgasme anal qui fait éjaculer Dresseur de Vices.
- Tu as pris ton pied, ma belle chienne. Je vais t’enculer encore à ma façon.
Muni d’une gaine à picots, il m’encule. Mon anus est tellement sensible, que je connais un second orgasme, sans le faire éjaculer. Les picots sont douloureux pour mon anus, mais je suis devenue insensible à la douleur, comme soumise.
Libéré des picots, je le suce et j’avale tout.
Je passe la matinée, offerte, enculée par les clients en échange de billets remis à Sir V, dont une partie me sera donnée vers midi, en plus de ceux que j’aurai à la fin de mon séjour.
Pantelante, en sueur, la bouche débordant de spermes, tout mon anus encore un peu élargi, je suis rapidement lavée et je soulage.
- Rhabille-toi, nous allons au restaurant.
Tenue en laisse, nous rejoignons à pied, un restaurant privé.
Le patron et les clients ne sont pas surpris de voir une beauté tenue en laisse.
Je mange nue, empalée à tour de rôle, enculée par les deux hommes. Je les nettoie après le dessert. Dresseur de vices donne des billets à nouveau.
Nous rentrons à la villa. Dans une des ruelles, deux hommes de 50 et de 55 ans, m’enculent, bien montés, et je les nettoie, en échange de billets.
Je peux me reposer, nue dans ma chambre, après une longue douche. Je plonge dans une longue sieste, avec des rêves SM.
Les trois hommes m’enculent pendant ma sieste.
1er août
A mon réveil, c’est Dresseur de Vices, qui m’encule avec sa gaine à picots, dans ma chambre.
Il m’invite à porter un gode triple sans harnais, habilement incliné, qui reste fermement en place à l'intérieur de ma chatte grâce à un insert lisse en forme de bulbe qui masse votre point-G, de sept par quatre tandis que le gode anal annelé de onze par trois emplit votre anus pour une excitation complète de votre intimité. À chaque va-et-vient, les sillons de la longue hampe de douze par quatre délivrent d'incroyables sensations à votre partenaire.
Je l’encule à mon tour et je prends du plaisir. Il éjacule dans ma main. C’est ma première expérience de sodomie d’un homme.
Sir V m’offre à dresser Nicolas, par le même procédé. Nicolas proteste et il est directement envoyé au Club des Soumis pour une longue durée, pour m’avoir insultée et manquer de respect vis-à-vis d’une femme.
Comme c’est mon anniversaire, je suis autorisée à enculer tous les amis de Sir V. Je porte toujours les marques récentes de la cravache, du martinet, de la garcette et de la chicotte sur mes fesses, mes cuisses, mon dos et mes seins, telle une soumise, réalisées par les amis de Sir V.
A 18 ans, j’ai suffisamment d’expériences sexuelles et je suis autorisée à épouser Sir V, qui me fait plusieurs fois par soirée, remplir ma chatte de son sperme, pour sa descendance. Sir V m’apprend qu’il est un de mes membres, donc je suis aussi une femme incestueuse.
Cela ne me gêne nullement de jouir avec Sir V.
En quelques jours, je tombe enceinte. Mes règles disparaissent ; mon ventre s’arrondit après quelques semaines, quelques mois. Je suis enculée tous les soirs, mais non fouettée, par Sir V et ses amis.
Malgré ma grossesse, après quelques mois, je garde mes superbes jambes et hanches, mon ventre grossit ainsi que mes seins. Je pratique du sport, avec un régime adapté. Le Docteur Anal Plaisir me suit dans son cabinet gynécologique et je suis enculée par lui et César, comme au premier jour, mais je suis aussi sa chienne et sa pute anale.
Quand j’accouche, je donne naissance à une superbe fille.
Mes doubles pénétrations reprennent, au haras de BSM. Je suis l’adjoint du Maître Y. Je dresse les nouvelles recrues à ma façon, souvent enculées par mes amants canins et équins et les indociles sont envoyées à Maîtresse D.
Si vous souhaitez me rencontrer, je suis ta Shawn adorée, mon œillet sera ouvert à ta queue, bel Adonis, je suis ta déesse anale.
Je t’attends, ta poupée Shawn.
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