dimanche 20 septembre 2020

LES PLAISIRS DE SOEUR VALERIE

 

Je m’appelle Sœur Valérie.

J’ai 20 ans.

Je suis une jolie beauté scandinave.

Je suis une brune aux yeux verts. J’ai des pieds fins et latins, des jambes longues bronzées, musclées qui inquiètent par leur perfection. Mon pénil est bombé, ouvert, couronné de noir. Ma pilosité brune couvre mon pubis. Je suis totalement velue entre les cuisses et j’ai une superbe croupe. Mon entrecuisse est velue. Mes hanches s'incurvent et délimitent le ventre plat, délicieusement renflé autour du nombril, les hanches sont larges et rondes, mais sans lourdeur. La taille est affinée. Les seins parfaits intégralement bronzés sont un peu volumineux mais fermes, et leurs pointes marron clair, toujours dressées, cernées par une large aréole marron attirent le regard. J’ai une peau lisse et patine. Finition parfaite, un seul grain de beauté entre mes superbes seins. De longs cheveux plats blonds flottant comme des algues, battent mes épaules rondes et gracieusement athlétiques. Je suis intégralement bronzée. Mes yeux verts limpides s'allument, ma bouche charnue se fend. J’ai des sourcils bruns bien dessinés et des lèvres pulpeuses. J’ai de longs doigts fins et de belles mains. Je fais du 85B de poitrine, 56 de taille, 90 de hanches, 1,75 m.

 

LES PLAISIRS DE SŒUR VALERIE

 

19 juin

Depuis l’âge de seize ans, je vis dans un couvent, ayant fait vœu de chasteté.

Mais cette année, mon attirance pour Père Alban, un homme du triple de mon âge, m’engage à changer mes vœux. J’ai une envie de lui, c’est le cardinal de la paroisse.

En effet, j’ai envie de jouir de son mandrin et d’offrir ma chatte encore vierge à son mandrin. Je tombe ce jour-là, dans une des bibles que je reçois, sur des photos de couples nus faisant l’amour. J’en suis toute excitée et me masturbe dans ma chambre, simplement vêtue de ma tenue de bonne sœur, la main dans ma culotte. Mon clitoris est tellement tendu que je connais mon premier orgasme.

Quand je retrouve ensuite Père Alban, pour sa visite hebdomadaire, je l’interroge :

- Mon père, puis-je connaître les chemins du plaisir ?

- Sœur Valérie, vos vœux de chasteté sont remis en question.

- Oui, je veux perdre ma virginité par vos soins.

Je retire ma culotte trempée que je lui remets.

J’apprends à le sucer, son mandrin imposant de trente-six par huit me comble. Je le suce comme sur les photos.

Je me penche sur le bureau, relevant ma jupe.

- Tu as les fesses nues, ma sœur.

- Prenez-moi, je vous offre ma chatte de vierge.

Sans attendre, je gémis un peu lorsqu’il me baise jusqu’aux testicules, mais une vague de plaisir m’irradie et je connais un orgasme plus violent et les jets de spermes du Père dans ma chatte.

Il me fait coulisser, pour mieux me faire jouir.

Je le nettoie.

- Pas un mot, à la Mère Supérieure, sur ma chatte déflorée, mon Père, ce sera notre secret.

Je repars dans ma chambre et je passe de longues heures à me caresser ma chatte que je doigte, me remémorant ma défloration et mon clitoris encore tendu.

 

25 juin

Vers 9 heures, en l’absence du Père Alban, je retrouve la Mère Supérieure, qui m’a éduquée.

- Sœur Valérie, vous souhaitez quitter le couvent, par votre lettre que j’ai reçu.

- Oui, Mère, je veux rejoindre une autre paroisse, pour connaître d’autres pratiquants.

- Tu es libre. Rien, ne te rien au couvent. Tu sort en tenue civile, ni trop provocante, ni stricte.

Dans ma chambre, je prépare ma valise. Je choisis une jupe droite, fendue derrière, fuchsia, sur mon porte-jarretelles et mes bas blancs, j’en oublie ma culotte et mon chemisier blanc sur mon soutien-gorge blanc, chausse des escarpins blancs à talons moyens, me coiffe d’une queue-de-cheval et me maquille pour la première fois.

A la sortie du couvent, je remarque une société de produits vendus au couvent.

Je m’y présente.

- Valérie, je suis à la recherche d’un stage dans votre société. J’ai des compétences à réaliser.

La belle secrétaire, une brune aux petits seins, en chemisier et minijupe me toise.

- Attendez une minute, venez faire un test de frappe. Je m’appelle Annabelle.

Je réalise le test en un temps chrono qui surprend Annabelle.

La patronne arrive. Elle est blonde aux seins plantureux, en tailleur strict sur ses seins nus cachés sous sa veste.

- Je m’appelle Comtesse Diane. Votre frappe m’a surprise, où avait-eu ce talent ?

- J’aime rédiger des textes en latin que je traduis en français.

- Venez dans mon bureau. Annabelle, prenez les appels.

Dans le luxueux bureau du second étage, donnant sur le couvent, la Comtesse m’ordonne :

- Déshabille-toi, je te veux totalement nue.

J’obéis.

- Tu es très belle, de superbes petits seins, une chatte et un pubis velus qui font faire des jalouses, car toutes sont épilées, de superbes jambes et de jolies mains et de jolis pieds. Il faudra me mettre tout ceci en valeur. Penche-toi et écarte tes fesses.

Elle enfonce sans ménagement ses doigts dans ma chatte.

- Déjà déflorée, mais un peu étroite à mon goût. Ton petit ami doit te baiser peu souvent dans le mois. As-tu été souvent sodomisée ?

 Je réponds :

- Non madame, je n'ai jamais été pénétrée par là...

- Comment, une petite garce aussi chaude que toi ne s'est jamais faite enculer ?

- Non, madame, je vous le jure...

- Une vierge anale peut avoir de la valeur. Il faudra y remédier dès aujourd’hui.

Elle m’enfonce un doigt bien lubrifié par ma mouille abondante dans mon anus, entre mes fesses que je tiens écartées. Puis un second, je gémis et je tends de serrer les fesses.

- Détends-toi, c’est une formalité. Pousse, pour me laisser t’enculer, ma belle garce.

Elle retire ses doigts, après mes premières jouissances anales,

On frappe à la porte. J’ouvre, nue, déchaussée.

C’est le responsable des relations humaines, un bel étalon du double de mon âge, prénommé Brice. Il exhibe son mandrin de trente-trois par huit en érection.

- Tu vas me sucer, Valérie.

J’obéis, son gros gland m’écarte bien ma bouche et il est à la limite de l’éjaculation, quand il se retire.

Il se déshabille.

- A quatre pattes, ma belle, tu as un œillet à remplir.

- Non, pas encore, je ne veux pas.

Mais trop tard, il m’encule jusqu’aux testicules d’une seule traite. Je gémis.

- On accepte d’être enculée, ma belle. Tu le seras tous les jours, jusqu’à assouplir ton œillet de pute anale.

Pour me relaxer, Diane me masturbe mon clitoris qui se tend, sous l’effet de mystérieuses gouttes et doigte aussi ma chatte resserrée par le mandrin qui m’encule.

Je jouis, alors que Brice éjacule en moi.

- Garde la position, Charles Edouard, le directeur de la comptabilité, doit aussi te prendre, pour ton premier jour.

Charles Edouard m’exhibe son mandrin de trente-cinq par huit et me l’enfonce d’une seule traite jusqu’aux testicules.

Fessée, je coulisse sur mon mandrin, puis je redresse mon torse jusqu’à toucher le buste de Charles Edouard avec son dos. Diane me dépose quelques gouttes sur mes mamelons qui se tendent.

Charles Edouard écarte les lèvres de ma chatte trempée, pour que Brice me baise simultanément.

- Ta première double, ma belle pute anale, tu vas aimer.

Je connais un double plaisir, avec ma chatte resserrée, de leurs mêmes calibres.

Ils se retirent et je les nettoie tous les deux.

Diane profite de mon anus entrouvert pour m’insérer un gode réaliste veiné, me rappelant le mandrin de Père Alban, avec un prépuce rétractable, qui glisse le long du gland, ce gode s’allonge et rétrécit à chaque mouvement de va-et-vient grâce à son enveloppe ultra-souple qui s’étire ou se contracte en suivant les montées et descentes du gode. Il mesure vingt-cinq par sept, pour m’écarteler l’anus lubrifié par ma mouille. Mon clitoris est tendu plus longtemps ainsi que mes mamelons. Je suis excitée par ce procédé.

Une ceinture autour de ma taille, et l'on y accroche les trois chaînettes, une par derrière qui suit le sillon des fesses, et les deux autres par-devant, qui longent le pli des aines en contournant le triangle pubien. On les ajuste au plus court, de façon que le mouvement intérieur des muscles ne peut repousser le gode et permettre de se resserrer à l'anneau de chair qu'il doit forcer et distendre, et on les attache avec de petits cadenas, pour s'assurer que, lorsque je suis seule, je ne peux être tentée de me soulager de cette contrainte. Même avec mes mains libres, je ne peux pas retirer le gode qui me dilate l'anus.

- Finis les dessous, ma belle Valérie. Ici, jambes, fesses et seins nus de rigueur, dès que possible, tu seras offerte à la gente masculine, pour honorer d’abord ta chatte puis ton œillet de vierge anale.

Mon bassin ondule sur ce gode qui bouge en moi. Ma chatte dégouline de spermes de Brice, que j’essaie d’essuyer.

- Rejoins le bureau, tu restes nue jusqu’au déjeuner. Tu continues à mettre en forme les textes qu’Annabelle te donnes.

Je tente de résister aux regards concupiscents de la gente masculine, qui vient peloter mes seins aux gros mamelons longs et saillants, constamment tendus, mon clitoris est devenu gros comme une cerise, saillant et volumineux et me fait un peu mal. Je dois garder constamment les cuisses écartées, par l’écartèlement de mon anus.

J’ai du mal à me soulager aux toilettes.

Vers midi, je retrouve Diane.

- Tu vas t’habiller pour le restaurant. Désormais, voici ta garde-robe pour que tu sois constamment les seins, la chatte, l’anus et les jambes toujours nues, sous tes jupes ou tes robes ne soient plus longues que le milieu de tes cuisses avec  tes corsages ou chemisiers. Je vais te retirer le gode et vérifier ton ouverture.

Elle me doigte jusqu’à trois doigts.

- C’est mieux, mais tu le portes à ton retour jusqu’à ton départ. Tes mamelons et ton clitoris sont tendus et durs, tu es sexuellement excitée.

J’enfile un chemisier blanc sans boutons sur mes seins nus aux aréoles et aux mamelons peints au pinceau en rouge, dont la couleur est fixée par des glaçons comme ma bouche. Les petites lèvres de ma chatte encore trempée sont aussi peintes en rouge. Je suis parfumée longuement passé sur mes aisselles lisses et ma fourrure pubienne, dans le sillon entre les cuisses, dans le sillon sous les seins, et au creux des paumes, mes paupières sont légèrement ombrées. Je ne porte plus le gode anal.

Je met une jupe droite fuchsia fendue derrière et je garde mes cheveux libres. Je remets mes escarpins blancs à mes pieds nus.

- Voilà, tu es plus resplendissante, ma nouvelle pute anale. Tu t’appelles désormais Hermine la pute. Tu répondras qu’à ce nom uniquement dans ma société et dans tous les lieux que tu vas fréquentée.

Au restaurant, je suis la seule à une table de six. Les hommes me draguent, mais je réponds le moins possible à leurs exigences. Je dois m’asseoir en écartant ma jupe pour m’asseoir cul nu sur le cuir froid de la chaise.

Aux toilettes du restaurant, je croise une superbe brune aux seins plantureux, un peu plus grande que moi, la commerciale Pénélope, dans une superbe robe dos nu blanche, en sandales à hauts talons, les cheveux libres.

- Enfin, je découvre la fameuse Hermine la pute. Tu es une ancienne vierge anale. Tu vas apprendre vite à aimer les sodomies avec des étalons, entre filles et d’autres partenaires. Soulève ta jupe que je juge de ton œillet de pute. Tu connais le père Alban et sa grosse queue, il aime m’enculer. Il aura aucun mal avec toi.

Pénélope me doigte jusqu’à quatre doigts et un cinquième sur mon gros clitoris. Je jouis.

- Tu connais déjà Diane, Annabelle, Brice et Charles Edouard, mais tu es logée par Sacha, un pervers SM, qui aime les jeunes oies blanches comme toi. Si tu aimes les fessées, tu es servie.

Elle m’abandonne, pantelante, sans avoir joui sous ses doigts.

Je rentre au bureaux d’Annabelle. Je remet mon gode anal et me confie à Diane :

Madame, une inconnue m’a doigté mon œillet. Je n’ai pas pu jouir, elle est brune.

- C’est Pénélope, une sacrée garce, fouineuse, perverse. Elle aime beaucoup ton corps de grande beauté.

- J’ai un secret à vous confier : je suis une ancienne bonne sœur du couvent. Personne ne doit le savoir. Je connais bien le Père Alban et la Mère Supérieure.

- Ma belle, je le sais déjà. Mais tu as le vice en toi, depuis ton éducation stricte. Je vais le révéler à d’autres hommes. Sacha t’attends vers 19 heures à ton appartement avec Annabelle. Voici ta tenue pour ta sortie à ton appartement : un chemisier transparent sur un corset seins nus, une minijupe jusqu’au tiers de tes cuisses, des mules à talons de douze centimètres.

J’essaye le corset seins nus, que j’agrafes par-devant en commençant par les attaches du haut ; Puis je mets tes mains dans le dos et je tires sur les boucles et resserre progressivement le laçage en partant du haut vers le milieu puis en partant du bas vers le milieu. Le corset est parfaitement ajusté et que je me sens confortable. Je tire de toutes tes forces sur le lacet central pour bien marquer la taille et de l'affiner au maximum. J’ai des hanches de courtisane, un dos cambré et les fesses en arrière et mes seins tendent leurs mamelons, le corset moule le corps, pour en épouser les formes et les mettre en valeur.

Pour les mules à talons de douze centimètres à mes pieds nus, aux ongles vernis en rouge, comme les ongles de mes mains, me rendent mes jambes superbes, ma silhouette élancée et mes mollets et mes chevilles sont tendus, je dois redresser le buste et creuser les reins, lors de mes essais devant une glace en pied. Je refais mon maquillage.

Je suis au bord de l’orgasme anal, en marchant avec mes mules et mon corset que je dois garder. En effet, sans le savoir, je contracte mon anus par crainte qu’il ne tombe pas, stimulant ma chatte. Les va-et-vient combinés, à intensité progressive et ma contraction me font jouir. Je dois mordre mon index, lors que je rédige les textes.

Pénélope me rejoint :

- Alors, ma belle, tu viens du couvent. Je le savais, tu es trop prude. Une beauté comme toi devrait jouir rapidement sous mes doigts.

Diane apparaît :

- Miss Pénélope et Hermine dans mon bureau, de suite, j’ai à vous parler.

Dans le bureau, je découvre un chevalet.

- Pénélope, déshabille-toi rapidement.

- Mais, Diane, vous devrez plutôt dresser Hermine.

- Qui t’as autorisé de parler, Pénélope ?

Diane sort deux paires de clochettes.

- Hermine pose les sur les mamelons de Pénélope et je vais les mettre sur les tiens. Il faut sensibiliser tes mamelons aussi.

Les clochettes tintent au moindre mouvement, émettant un tintement cristallin.

Nue, Pénélope est solidement immobilisée dans cette posture dégradante, le postérieur plus haut que la tête. Ses bras sont fixés le long des pieds avants, mes jambes le long des pieds arrières, et une large sangle m'est passée au niveau de la taille. Ses cuisses, légèrement fléchies sont empêchées de se resserrer par la largeur de la poutre, ainsi d'ailleurs ses fesses qu’elle ne peut refermer. Toute son intimité est ainsi très accessible. Pénélope est intégralement épilée, son anus est entrouvert.

Penchée en avant, les seins de Pénélope tombent sous le poids des pinces ensuite le sang cesse de circuler, le téton devient froid.

Je dois cravacher les fesses et les cuisses de Pénélope qui doit compter les coups.

- Tu connais le motif de ta punition, Pénélope.

- Oui, Maîtresse, je ne dois jamais dire du mal de mes collègues. Hermine a une vie passée que je dois pas connaître.

Je donne vingt coups de cravache sur ses fesses et autant sur ses cuisses. Elle mouille.

- Hermine, viens lécher la chatte et le gros clitoris percé de Pénélope.

Je m’applique et je suis surpris de l’anneau doré qui perce le gros clitoris. Pénélope jouit, sans l’autorisation de Diane.

- Tu me désobéis, Pénélope. Hermine double les coups.

J’obéis.

Pénélope est libérée, après avoir longuement enculée par Horace, le responsable des Eglises d’Afrique. Je suis subjuguée par son gros mandrin de quarante par sept, muni d’une gaine à picots, que je suce, avant qu’il l’enfile.

Pénélope le supplie :

- Non, Horace, je ne mérite pas cela.

Horace lui cingle les fesses avec un martinet.

- Toi, Hermine, tu vas me sucer et je vais te prendre aussi.

L’anus libéré du gode anal, bien ouvert, je m’abandonne à Horace, son mandrin sucé par Pénélope.

En appui arrière sur mes bras et sur mes jambes écartées, je reçois le mandrin d’Horace dans mon anus. Il est agenouillé et me fait coulisser jusqu’aux testicules.

- Quel superbe puits, un peu étroit, mais tu te détends facilement, Hermine.

- Oui, défonce-moi avec ta grosse queue.

Je connais un violent orgasme anal suivi d’une longue éjaculation.

- Comme tu as été sage, Hermine, voici ton bijou d’anus, me dit Diane, pour garder le sperme d’Horace. Il est déjà l’heure, ma chérie. Horace va continuer à corriger Pénélope.

Il est moulé sur un mandrin en érection de dix-sept par cinq. La section qui relie les deux extrémités est très fine et douce afin de laisser l’anus se refermer dessus sans gêne. La tige de la taille de l’auriculaire sert de support lorsque le sphincter se referme. Une pierre rose est visible entre mes fesses.

Je mets mon chemisier, une fois fardée et parfumée, gardant mon corset, ma minijupe ample, mes mules et garde mes cheveux libres.

Mes mamelons sont libérés des pinces à clochettes, qui me font un plaisir sexuel intense et inconnu. Mes seins sont devenus plus sensibles que mon anus.

Brice, Charles Edouard, Horace, quel plaisir d’être enculée par de tels mandrins imposants pour m’écarteler, pour m’initier à la sodomie, plaisir sexuel de soumise.

Les regards masculins concupiscents se portent sur mes seins. Annabelle m’accompagne à une demi-heure de marche.

Je mouille, dans l’attente de rencontrer Sacha, le pervers SM. J’ai l’attitude d’une Maîtresse SM.

Arrivées au pied de l’immeuble, nous allons au troisième étage, sur un appartement donnant sur le couvent. Sacha nous attends, nu, le mandrin de trente-huit par huit, muni d’une gaine à picots.

Je me déshabille prestement et je l’excite :

- Sacha, donnes-moi ta queue à ma bouche, mon œillet et à ma chatte. Je suis toute excitée, fesse-moi, cravache-moi, je suis toute à toi.

- Hermine, du calme, c’est Sacha qui décide, réplique Annabelle.

- J’aime ce corps. Elle me plait.

Accroupie, je suce le mandrin libéré de la gaine à picots. Il est gros, mais je m’applique, devant la grande glace, avec un crucifix de Jésus au-dessus.

- Dis donc, tu sais sucer, ma belle. J’ai hâte de te prendre. Tu es chaude.

Sacha éjacule dans ma bouche, j’avale tout.

En 69, avec Annabelle, sous moi, je découvre qu’Annabelle est intégralement épilée, son gros clitoris est percé tout comme celui de Pénélope. Je lui lèche son gros clitoris et doigte sa chatte et son anus entrouvert.

Elle me rend la pareille. Mais Sacha m’encule avec la gaine à picots. Je gémis un peu, mais une bonne série de fessées, me fait jouir.

- Fesse-moi encore, je suis ta pute anale.

Je m’empale jusqu’aux testicules, frottant mon gros clitoris sur les lèvres de la bouche d’Annabelle.

Puis je suis aussi cravachée sur les fesses, mon anus détendu se lubrifie davantage.

- Tu es une garce née, vicieuse en plus, anale, soumise. Tu as beaucoup de potentiels dans le SM.

Annabelle s’équipe d’un gode-ceinture avec le gode anal similaire et je dois m’empaler sur le gode, l’anus bien ouvert, en appui arrière sur mes bras et mes jambes écartées. Sacha me baise longuement sans la gaine à picots.

- Quelle chatte, tu mouilles abondamment.

- Oui, pine-moi à fond ma chatte de pute. Ce gode me fait beaucoup de bien.

- La double pénétration est un superbe plaisir pour toi, la novice. Viens t’enculer sur ma queue.

Je me retire et je me retire enculée jusqu’aux testicules. Je suis agenouillée sur le lit, les mains accrochées par derrière au cou de Sacha, tenue par ma cheville gauche, Annabelle me baise simultanément. J’ai mes mamelons douloureux, ainsi que mon gros clitoris.

- Viens me sucer, maintenant que ton puits est bien rempli de mon sperme chaud.

Je m’exécute. J’avale tout.

Il me remet mon bijou d’anus. Je me douche devant lui, me masturbant le clitoris, tandis qu’Annabelle pelote mes seins et joue avec mes mamelons tendus.

- Ton premier mois d’avance sera vite remboursé à ce train-là.

Sacha repart, avec quelques photos de moi, prise par lui et Annabelle.

Annabelle me fait un long 69, comblée par ma prestation sexuelle.

- C’est la première fois pour moi, la sodomie et la double pénétration.

- Tu te débrouilles très bien, pour une novice. Sacha va montrer tes photos à des amis, qui aiment les femmes à la chatte velue. Tu es bien payée. J’ai commencé comme ça, je suis la soumise de Sacha.

Annabelle me quitte, après une nouvelle douche jouissive.

Je dois porter un double gode, dans un slip, installé par Sacha, après le départ d’Annabelle. Les deux godes sont similaires à celui du gode anal.

- Ainsi, tu pourras jouir autant que tu veux, cette nuit. Demain, je continue ton dressage.

La lumière éteinte, les rideaux et les volets non fermés, je ne compte plus mes orgasmes, malgré mes mamelons et mon gros clitoris douloureux. Je suis en sueur et je dois me rafraîchir. Les godes bougent séparément ou simultanément à mon insu.

 

26 juin

Vers 7 heures, le téléphone sonne. Je décroche, à moitié endormie.

- Ma belle, je viens te chercher. Tu vas passer une nouvelle journée d’instruction. Tu es encore pas assez pute anale à mon goût. Sacha t’a donné du plaisir, tu en connaîtras plus avec moi.

Je me lève, me douche, me farde.

On ouvre. C’est une superbe brune aux longs cheveux, musclé, en tailleur strict noir sur ses seins nus, en mules à hauts talons, coiffée d’un chignon.

- Tu baisses désormais les yeux et tu gardes ta bouche entrouverte en présence des hommes. J’ai un secret entre mes cuisses. Je vais te libérer du double gode, qui t’a bien ouverte pendant la nuit. Tu as eu de nombreux orgasmes.

- Oui.

- On dit, désormais, oui, Maîtresse S. Sacha t’a appris à obéir. Tu ouvres ta bouche uniquement pour gémir ou sucer.

- Oui, Maîtresse S, je peux m’habiller.

- Laisse-moi te regarder. Ecarte bien tes fesses musclées.

Elle me doigte longuement l’anus et ma chatte.

- Tu ondules ton bassin, retiens-toi de jouir, ma belle vicieuse.

Je résiste, mais je craque.

Elle a juste le temps de libérer mon anus.

- Tu te comportes comme une chienne en chaleur. Je vais te soulager. Allonge-toi sur le lit, cuisses écartées.

Elle retire sa jupe et m’encule avec son mandrin de trente-six par six, que je ne peux voir. Mes reins sont soulevés, enculée jusqu’aux testicules, mes jambes sont grandes ouvertes. Je suis tenue par les chevilles.

Elle me met un collier de cuir à mon cou. Il est fait en plusieurs épaisseurs de cuir, chaque épaisseur assez mince, au total pas plus d'un doigt, verrouillés par un système à déclic, qui fonctionne automatiquement comme un cadenas quand on le referme, et ne peut s'ouvrir qu'avec une petite clé.. Pour le collier, l'anneau pend devant le cou, reposant sur la saillie des clavicules, et brinquebale au rythme des mouvements de celui qui le porte.

Je tente de retarder mon orgasme anal qu’elle m’a refusée.

Maîtresse S connaît son affaire. Elle éjacule juste avant mon orgasme anal.

- Maintenant, tu vas me sucer et te faire belle.

J’obéis, accroupie, cuisses écartées. Je la nettoie. Elle me photographie aussi.

Parfumée, remise en beauté, je remets ma tenue d’hier. Elle met une laisse à l’anneau de mon collier.

Tenue en laisse depuis mon appartement, nous allons à un bar lesbien, pour mon petit déjeuner. Je remet mon bijou d’anus.

Mes mamelons sont tendus à l’extrême, exhibée. J’aime cette situation de soumise.

Au bar, je m’assois cul nu sur le haut tabouret, cuisses écartées, dévoilant ma chatte et mon pubis velu. Je fais l’objet des regards lesbiens qui me désirent.

Je dois ouvrir davantage mon chemisier pour des caresses lesbiennes de mes seins et l’étirement de mes mamelons. Les yeux baissés, je me retiens de jouir.

Après le petit déjeuner, je retrouve Diane en compagnie de Maîtresse S.

Je reste nue, en mules, tenue en laisse.

- C’est une excellente chienne, un peu trop étroite, mais elle comprend vite. 48 heures d’instruction par Sacha et moi, la rendront encore plus vicieuse.

- Oui, l’ancienne bonne sœur est une sacrée pute anale cachée. Elle s’est faite déflorée par Père Alban, un de nos fidèles amis de notre Club. Confie-la quelque temps à Dan et sa chérie muette Aimée. Elle doit révéler sa bisexualité de soumise.

- Allez, vient ma belle.

Nous allons au rez-de-chaussée, au bureau des expéditions. Je découvre Dan, un bel étalon musclé blond et sa chérie Aimée, une jolie brune aux petits seins, intégralement épilée, avec son gros clitoris percé.

- Approche, Hermine, que je vois cette superbe chienne anale.

Aimée s’occupe déjà de ma bouche dans un long baiser langoureux et de mes seins, équipés de clochettes remises par Maîtresse S.

- Tu veux lui défoncer sa chatte resserrée par le bijou d’anus, Dan, annonce Maîtresse S.

Elle est déjà toute trempée, Aimée, tu aimes sa bouche et ses seins.

Aimée le confirme par des gestes inconnus et elle lit sur mes lèvres mon désir.

Cuisses écartées, je subis le gros mandrin de Dan de quarante par sept. Je me retiens de jouir, sous la langue d’Aimée sur mes mamelons. Mes clochettes tintent à chaque coup de rein de Dan.

- Que tu es chaude, ton œillet doit bien ouvert, ma belle chienne.

- Elle a besoin de se faire enculer plus souvent à mon goût.

Libérée du bijou d’anus, je suis enculée jusqu’aux testicules, la chatte et le gros clitoris livrés à la langue et à la bouche d’Aimée.

- Tu es encore un peu étroite, mais détendue. Tu prends goût, ma chienne.

D’autres hommes me rejoignent et se relaient pour m’enculer, photographiée par Maîtresse S et Aimée.

J’avale leurs spermes dès qu’ils ont pris leurs plaisirs.

En une heure, une dizaine d’étalons m’ont enculée sauvagement, me fessant aussi. Je suis en sueur.

Je reprends mon souffle entre deux éjaculations en bouche.

- Allez, ma belle, au travail. Tu vas garder la boutique pour midi. Tu vas mettre ton gode anal.

- Oui, Maîtresse. Je réponds à vos désirs.

- Tu apprends vite, ma belle pute anale et vicieuse.

Au bureau, je reprends mes textes mêlant des phrases cochonnes pour me perturber. Je garde mes clochettes et ma laisse de chienne.

Pénélope n’est plus dans la société.

Vers midi, on sonne. Je descends nue avec mon gode, mes chaînettes et ma ceinture de cuir, en mules. Je suis seule.

Un superbe étalon Africain m’attends dehors, en tenue religieuse. Je lui ouvre la porte.

- Ma fille, vous êtes nue. Vous êtes très belle. Je m’appelle Père Désiré, le frère jumeau d’Horace.

- Entrez, mon père.

Il regarde mes fesses quand je le conduis au bureau. Les yeux baissés, je remarque qu’il bande à la vue de mon corps nu. Je prends sa commande.

Le père Désiré soulève sa soutane et exhibe le même mandrin qu’Horace et il me baise sur le champ, à quatre pattes sur mon fauteuil.

- Quel plaisir, Père Alban, avait raison, une telle beauté ne peut rester vierge.

- Prenez-moi, j’ai envie de toute votre queue en moi. Je vous suce ensuite.

Je suis tellement excitée, qu’il éjacule en moi.

Je le suce en retour, accroupie, cuisses écartées. Je lui murmure :

- Je suis l’ancienne Sœur Valérie du couvent.

- Je t’ai reconnue. Tu es entre de bonnes mains, ma vicieuse cachée.

Le Père Désiré repart. Je me refais une beauté et je remets la commande à Diane, en lui confessant mon entrevue.

Maîtresse S te garde pendant deux jours, pour ton instruction chez Sacha.

Rhabillée, tenue en laisse par Maîtresse S, je découvre le rez-de-chaussée de l’immeuble, entièrement capitonné, pour isoler du bruit.

Nue, déchaussée, je suis d’abord menottée au chevalet, similaire à celui de chez Diane, offert à deux godes similaires à ceux de mon slip que j’ai portée dans la nuit.

Je porte mes clochettes à mes mamelons constamment tendus par les gouttelettes appliqués par intervalle, tout comme mon gros clitoris.

Je subis les doubles pénétrations par les godes pendant plus d’une heure, avec des coups de cravache, de martinet et de garcette sur mes fesses et mes cuisses offertes. Je mouille abondamment, mon anus dégouline aussi. La garcette, de cordes assez fines, faite de sept lanières terminées chacune par plusieurs nœuds, et qui sont toutes raides, trempées dans l'eau, en m’en caresse l’intérieur de mes cuisses, je sens mieux combien les cordes sont humides et froides contre la peau tendre de l’intérieur de mes cuisses. L’intérieur de mes cuisses n’est pas épargné. Je jouis plus que je gémis sous les coups. J’ai droit à quelques coups sur mes reins.

Pour me reposer, de la position à quatre pattes, je dois m’asseoir sur la selle d’un vélo d’appartement, toujours nue. Je n’aperçois le long et gros gode de quarante par huit, qui coulisse à travers la selle, et dont seulement le gland dépasse de cette dernière pour le moment.

Arrivé à hauteur du vélo, je m’assois directement, sous la menace de la cravache. Mon anus entrouvert est rempli par le gland réaliste. Mon heure de sodomie sur la machine et les sodomies matinales m’ont bien ouvert l'anus. Je retombe sous mon poids sur la selle, je m'empale sur le gode en poussant un râle profond. Mes pieds sont enchaînés au moyen de carcans de cuir à mes chevilles, faits comme mon collier, dans la partie exactement opposée à la fermeture, dans le milieu des épaisseurs de cuir, et n'ayant, presque pas de jeu, il y avait un anneau de métal, qui donnait une prise sur le bracelet, si on veut le fixer, car il est trop serré au bras. Mes mains sont fixées également dans des bracelets en cuir solidaires du guidon. Le gode est de bonne taille. Je pédale devant un écran de télévision diffusant un parcours de montée et de descente, mon gros clitoris est mis à contribution par une roulette de langues, qui m’excite davantage. Le gode me remplit bien, m’écartelant, coulisse bien. Mes cuisses sont sanglées pour que je ne puisse me lever en danseuse. La cravache cingle à nouveau mes fesses et mes cuisses pour m’encourager. Je suis en sueur, je bois un stimulant sexuel, qui accroît mes orgasmes anaux.

- Quelle courageuse, tu tiens la distance, continue, dit Maîtresse S.

Je n’ose répondre que je suis épuisée au bout d’une demi-heure.

Je suis libérée au bout de deux heures d’effort, rapidement douchée à l’eau froide et je suis fouettée, sur les cuisses, sur la pointe des pieds nus, à une Croix de Saint-André, face au couple, pour me remercier.

Je suis enculée par le couple sur le chevalet, avant de rependre une nouvelle série jusqu’au coucher du soleil.

Pantelante, à moitié évanouie, je suis menottée à un lit, bras et jambes écartés, livrée à des inconnus, je porte une cagoule laissant libre ma bouche. Je dois sucer et me faire enculer pendant une durée indéterminée. Je ne sais plus s’il fait jour ou nuit.

 

28 juin

A midi, après une ultime orgie anale, je suis enculée sans ma cagoule par Sacha et Maîtresse S. Libre, douchée, fardée et parfumée, je porte désormais à mon gros clitoris percé d’un anneau doré avec une pierre précieuse, comme mon bijou d’anus plus gros que celui du 26 juin, de vingt-cinq par six. Je me regarde dans la glace, mes fesses, mes cuisses, mes reins sont zébrés.

- Tu es encore plus excitante, après un bon dressage de pute anale, et soumise. Voici ton contrat que tu vas signer.

Je le signe. Sans savoir que mon premier mois de loyer de caution a été remboursé.

Je m’habille d’un boléro fermé au cou. Il suffit d'enlever le boléro pour que les épaules et les seins soient nus, et sans même enlever le boléro, de l'ouvrir, si l'on désire voir les seins. Une guêpière sans jarretelles complète ma tenue avec ma jupe éventail et mes mules à talons de dix centimètres. La guêpière est tenue rigide par de larges baleines très rapprochées, courbées vers l'intérieur au ventre et au-dessus des hanches, qu'un busc, sur un côté derrière, permettait de boucler et de déboucler. Par-derrière, un large laçage se serre ou se desserre à volonté. Elle est lacée aussi étroitement pour que ma taille et mon ventre se creuser sous la pression des baleines, qui sur le ventre descendent presque jusqu'au pubis, qu'elles dégagent, ainsi que les hanches. La guêpière est plus courte par-derrière et laisse la croupe entièrement libre. Je garde mes carcans de cuir et mon collier de cuir.

- Pas la peine de la retirer, les hommes font bon usage de ton œillet, ma belle Hermine, me susurre Maîtresse S.

En effet, en soulevant ma jupe éventail, les fesses nues, Maîtresse S qui m’a retiré mon bijou d’anus, m’encule sur le champ, sauvagement. Je me retiens de gémir.

Vers 14 heures, tenue en laisse, je retrouve Diane et Annabelle.

J’occupe officiellement le poste de Pénélope et je vais vendre nos produits aux couvents de la région, à bord de la Golf cabriolet de Pénélope.

Un jeune puceau de dix-huit ans m’a remplacé en mon absence. C’est un bel étalon, équipé du même gode anal qu’à mes débuts, laissant libre son mandrin en érection, sous les effets de la sodomie pour l’écarteler.

Libérée de ma laisse, je retrouve Nathan. J’ai retiré mon boléro pour exhiber mes seins nus.

- C’est toi, Hermine, me dit-il surpris.

- Tu me connais. Diane t’a montré mes photos de moi. Laisse-moi te sucer.

Le mandrin de vingt-trois par sept bande dans ma bouche. Je suis comblée.

Je mouille dans l’attente de le prendre pour me faire jouir.

Diane nous convoque.

- Hermine, Nathan sera ton soumis officiel. Tu dois le dresser et il doit t’assister pour ton emploi. Il perdra son pucelage en temps utile. Ta chatte sera son premier plaisir.

- Bien, Diane, j’ai vu que Pénélope a laissé une forte somme d’argent dans un coffre dans son bureau.

- Je vais la récupérer et la remettre à son nouveau Maître. Hermine, Sir Eros de Mon Plaisir, le gestionnaire de la société qui s’occupe des loyers de nos sociétés en Europe, souhaite te rencontrer immédiatement.

J’obéis. Diane cravache Nathan, pour s’être offert à moi, sans mon autorisation.

Sir Eros est un bel Adonis, doté d’un mandrin de quarante par huit, qu’il masturbe. Il a le même âge que Père Alban. Les yeux baissés, la bouche entrouverte, j’attends ses ordres.

Prestement nue, je suis toisée, fouillée dans ma bouche, ma chatte et mon anus, sans ménagement, mes seins sont pelotés. Je me retiens de jouir.

- Penche-toi en avant, cuisses écartées, je vais te pilonner.

Offerte, les mains sur le bureau, il enfonce jusqu’aux testicules son gros mandrin dans mon anus. Il me saisit aux hanches et m’écarte bien les fesses chauffées par ses claques magistrales. Ses testicules frottent mes fesses, je me retiens de jouir.

- Assis-toi sur ma queue, ma belle chienne.

Assise entre ses cuisses écartées, enculée jusqu’aux testicules, je ne peux me dérober à ses caresses sur mes seins, étirant mes mamelons tendus, sur mes reins, ma chatte trempée et masturbant mon clitoris tendu.

- Tu es bien écartelée, pour une pute anale.

- Sir…

- Pas un mot, ma chienne, je veux t’entendre jouir.

Les yeux baissés, je découvre un superbe berger allemand, le sexe en érection, tenu en laisse par une femme en tailleur strict noir, en escarpins noirs.

- C’est la fameuse Hermine, la chienne, dit-elle. Appelle-moi Maîtresse Janine. Tu vas aimer mon secret entre mes cuisses.

- A quatre pattes, maintenant, ma chienne, ordonne Sir Eros.

J’obéis, bras tendus pour offrir mes fesses bien rebondies. Janine me fait sucer le berger allemand prénommé Adam. J’aime son sexe en bouche. Je pense qu’il va me baiser.

Janine m’écarte bien les fesses et enfonce le sexe d’Adam dans mon anus encore ouvert, lubrifié par le sperme de Sir Eros.

Il m’encule jusqu’au nœud. Je gémis un peu, mais une vague d’orgasmes anaux me submerge en trois quart d’heure. Je dois sucer en alternance Sir Eros et le superbe mandrin de trente par huit de Janine.

- Elle aime ça, pour une première saillie anale, dit Janine.

Adam éjacule longuement en moi.

Il se retire et je le nettoie.

Janine m’encule dans la foulée, en me faisant coulisser sur son mandrin, en s’agrippant à mes hanches.

- Quelle chienne, tu es superbe, enculée par Adam.

Elle éjacule à son tour et me remet le bijou d’anus. Je me rhabille.

Vers 16 heures, nous allons au parc, promener Adam. Je suis encore surprise et excitée de cette première saillie anale canine.

- Tu le seras fréquemment, chienne Hermine. Le parc est mitoyen de ton couvent, et conduit à des ruelles du quartier chaud, dont le palais du plaisir.

Nous faisons une halte au bar lesbien où j’ai pris mon petit déjeuner avec Maîtresse S.

Je me déshabille, pour m’offrir à leurs caresses et au léchage de ma chatte et de mon clitoris. Adam monte des lesbiennes en chaleur.

Janine m’offre à une superbe lesbienne blonde aux petits seins, au pubis velu, prénommée Iris la Chienne. Elle porte sur ses reins tatoué à l’encre noire Iris Chienne dévouée et sur ses fesses marquées au fer rouge, les lettres de son maître S E entrelacés sur la fesse droite et SJ sur la fesse gauche. Son gros clitoris est percé aussi d’un anneau doré avec une pierre précieuse et elle porte un gros bijou d‘anus.

Nous montons au second étage, à sa chambre sans porte, pour des jeux lesbiens. Elle me gode l’anus avec divers calibres, ma bouche est remplie par le mandrin de Janine, voyeuse.

- Hermine est facile, Janine. Elle a envie de tous les hommes qui la désirent. Le palais des plaisirs sera comblée. Adam l’a déjà prise.

- Oui, elle va encore jouir avec lui, dès que tu le désires, Iris.

A quatre pattes, je suis à nouveau enculée à plusieurs reprises par d’autres bergers allemands, du palais des plaisirs. Je suis photographiée et filmée pour la soirée. Je suis pantelante, après trois quart d’heure de saillie anale intense, mon anus s’est fait à leurs sexes.

Vers 20 heures, après une douche rapide à l’eau froide, fardée et parfumée par Iris Chienne, Janine me conduit dans l’ascenseur, tenue en laisse par mon collier, avec une cagoule ne laissant visible que ma bouche et ma queue-de-cheval, nue, avec mes mules.

Nous rejoignons le palais des plaisirs, en réalité, le Club SM, pour ma première sortie comme soumise.

L’accès au Club se fait par une clé dans le clavier de l’ascenseur.

Arrivée au sous-sol, je suis présentée comme une pute anale, une soumise et une chienne, qui tient à s’offrir pour les plaisirs des clients.

Je suis caressée de toutes parts, doigtée à l’envie, fouillée, suçant, offerte en double pénétration, enculée en solo, mais toujours la bouche remplie. Je ne compte plus le nombre de participants qui m’entourent, commentent, me photographient et me filment. Ma bouche est remplie de litres de spermes frais tout comme ma chatte et mon anus. Je suis fouettée sur un chevalet, à une Croix de Saint-André, à la cravache, au martinet et à la garcette, sur les fesses, les cuisses, les reins, le dos, mes mamelons sont étirés tout comme les grandes lèvres de ma chatte trempée par des pinces à clochettes.

Les orgies se succèdent sans répit.

On me fait boire un excitant sexuel mélangé à ma pisse et à ma mouille, que je bois sans me dérober.

Mes hanches sont douloureuses par les nombreux assauts que je subis, même par des bergers allemands, des dobermans, des malinois et des dogues allemands pour m’écarteler davantage. Je suis une vraie chienne en chaleur, baisée et enculée, prise en double pénétration canine, où je perds connaissance sous mes violents orgasmes.

 

29 juin

A l’aube, j’émerge, nue, menottée, les bras et jambes écartées, dans une luxueuse chambre, entièrement entourée de glaces et de miroirs sur les murs et au plafond, dévoilant mon corps couvert de sueur mêlée aux spermes, à la pisse de mes amants inconnus, sans ma cagoule. Je porte encore mes pinces à mes mamelons et à mes grandes lèvres et mon bijou d’anus.

Ma prostitution comme soumise m’a transformée en beauté digne, mes zones érogènes sont plus sensibles, plus belles.

Janine me rejoint :

- Pour une première, tu t’es donnée à fond. Le dressage a fait beaucoup de bien à ton corps de beauté sexuelle.

- Janine…

- Ne dit rien, repose-toi. La journée sera encore longue. Tu dois voir Père Désiré, pour sa commande. Pénélope est entre les mains d’alliés du palais du plaisir, pour payer son comportement vis-à-vis de Diane et de toi. Je vais te prendre, Sœur Valérie.

Janine me retire le bijou d’anus et m’encule, couchée sur moi, m’embrassant langoureusement, pelotant mes seins.

- Tu es bien ouverte, ma chienne. Si tu avais vu tes partenaires canins, tu aurais été aux anges. Ils aiment t’enculer comme une chienne. Tu es libre de jouir.

Un violent orgasme anal m’irradie, suivi d’un second, car Janine bande encore.

Vers 8 heures, j’ai droit à une nouvelle douche froide avec un lavement avec une canule dans l’anus, je suis fardée et parfumée. Je remets ma tenue de la veille. Janine me retire mes carcans de cuir, mais me laisse juste mon collier de cuir.

Une limousine me dépose devant la société.

Dan et Aimée me remettent la commande de Père Désiré et son adresse.

Il loge dans mon couvent.

J’ai mis une robe longue noire non décolletée, couvrant mes jambes nues jusqu’aux mollets, sur mon corps nu, des escarpins noirs, maquillée de façon non provocante, coiffée d’un chignon.

Je m’assois cul nu, dans la Golf cabriolet.

Au couvent, je me présente comme Hermine.

Père Désiré m’accueille :

- Ma fille, tu es très belle ainsi.

- Mon père, je mouille en repensant à nos ébats. Voici votre commande de votre visite.

Le père Désiré bande.

La Mère Supérieure nous rejoint dans le bureau de Père Désiré.

- Voici la remplaçante de la vicieuse Pénélope, qui s’offrait au premier venu au couvent, même quand Sœur Valérie faisait ses occupations.

Je libère mes cheveux.

- Sœur Valérie, c’est toi. Tu as beaucoup changée. Tu te tiens plus droite, ton regard est plus clair, tu ressembles à une jeune fille bien sage.

- Oui, Ma Mère, je suis sage et j’apprends beaucoup sur le bien-être de mes paroissiens. J’ai perdu ma virginité, n’en déplaise au Seigneur.

- Sœur Valérie, ta vie en dehors du couvent est la tienne.

La Mère Supérieure nous quitte.

Je suce discrètement le Père Désiré et je lui offre mes fesses nues pour une sodomie en règle. Je jouis discrètement, empalée sur son mandrin jusqu’aux testicules. Il est surpris par mes fesses zébrées.

- Je me flagelle les fesses, pour mes péchés, mon Père.

Il éjacule en moi et je le nettoie. Je repars avec l’argent de la commande.

 

Pendant la semaine, je fais la tournée des couvents, me donnant aux curés et confrérie masculine, pour leur remise de commande. Je suis encore plus pute que Pénélope.

Je me rends deux à trois fois au Club, sans savoir que je rencontre les mêmes clients dans la vie civile.

Sir Eros me fait saillir une à deux fois par jour dans son bureau, par les chiens de son amie Janine.

 

Je passe souvent la nuit soit avec Annabelle, soit Maîtresse S, soit Janine ou avec deux transsexuels pour satisfaire mon désir sexuel.

 

7 juillet

Vers 10 heures, lors de mon passage au bureau de Charles Edouard, il m’annonce :

- Les deux loyers d’avance de ton appartement sont déjà remboursés. Tes photos et tes vidéos se vendent bien. Tu es très recherchée comme pute anale et surtout comme chienne.

- Merci, Charles Edouard, je ne savais que j’avais un tel potentiel sexuel et de soumise.

- Viens que je te défonce ton œillet bien assoupli désormais par tes amants quotidiens.

Nue, j’écarte bien mes fesses et je suis enculée, courbée sur le bureau, cuisses écartées.

- Quel plaisir de défoncer ton œillet de pute anale.

Je jouis sous ses coups, mon anus est devenu sensible, mon clitoris est tendu et mes seins pelotés, je suis aux anges.

- Cambre-toi davantage, tu es encore plus désirable. Combien de chiens t’ont prise ?

- Je ne sais plus, ils savent me faire jouir.

Il éjacule en moi et me remet mon bijou d’anus. Je le nettoie. Je me refais mon maquillage.

Mon puceau Nathan est dressé au Club par des Maîtres.

Cet après-midi, Diane me présente à un nouveau client.

- Voici, le Baron Donatien, il recherche des objets phalliques dans nos collections, qu’il transforme en gode pour ses amies.

Nue, en mules, je lui présente une collection de crucifix, de cierges et de supports.

Le Baron, un peu plus jeune que Sir Eros, m’ordonne d’écarter mes fesses, prosternée.

Il m’enfonce quelques instants un crucifix, des cierges de divers calibres dans mon anus. Je jouis lors des va-et-vient.

- Quelles superbes fesses zébrées, elle est fouettée souvent.

- Oui, Hermine est une fidèle du Club, réplique Diane.

- D’où son ouverture de son œillet par de longues et jouissives sodomies par ses Maîtres.

Le Baron sort son mandrin de vingt-cinq par huit et me l’enfonce d’une seule traite jusqu’aux testicules, en me fessant et en masturbant mon gros clitoris tendu.

- Retiens-toi de jouir.

- Baron…

- Silence, ma belle pute anale, tu es chaude.

Je tente de retarder mon orgasme, mais sous l’excitation, je jouis.

Il se retire et m’encule au moyen d’un gros gode de huit centimètres de diamètre avec des picots pour me punir. Je jouis, sous les fessées.

- Tu me plais, Hermine. Tu es la reine de l’orgasme anal. Nettoie-moi ma queue et avale tout.

J’obéis.

Le Baron repart avec sa commande que j’ai réalisée.

Je l’accompagne, nue, dans sa limousine, assise sur la banquette arrière, avec ma cagoule pour m’aveugler, coiffée de ma queue-de-cheval, mes carcans de cuir, les cuisses écartées. Je mouille énormément.

Nous rejoignons le bord de mer, en longeant le fleuve. Le trajet dure une éternité.

Les caresses de mes seins, l’étirement de mes mamelons tendus par les pinces à clochettes, mon clitoris masturbé, mes tentatives de ne pas jouir sont vaines.

Nous entrons par un parking souterrain sous une superbe villa sécurisée, gardée par des maîtres-chiens, les chiens aboient et me reniflent quand je sors, tenue en laisse, en mules.

- Plus tard, mes beaux, votre nouvelle chienne doit travailler d’abord, ordonne le Baron.

Nous entrons dans le hall d’entrée, au sol froid, en marbre.

On me fixe une barre d’écartement à mes chevilles, me déchausse. Je dois marcher à petits pas, les jambes écartées, menottée dans le dos.

- Voici, ma nouvelle chienne, Hermine, elle est prêtée par Sacha et Maîtresse S. Les pinces à ses grandes lèvres vont la préparer pour ses futurs marques de soumission. Son œillet a été bien élargi selon les vœux de ses Maîtres. Elle est docile, mais la cravache, le martinet et la garcette lui seront donnés à toute occasion. Agenouille-toi et viens sucer tes invités.

J’obéis et je m’applique, rappelée à l’ordre par la cravache sur mes fesses.

Je m’attends à être enculée, mais pas maintenant.

Je monte l’escalier de marbre menant à ma chambre au premier étage. La fenêtre est ouverte, déclenchant une excitation sexuelle énorme, sur mes mamelons et mon clitoris hyper sensibles.

Je suis menottée au lit, allongée sur le dos, bras et jambes écartées, sans ma cagoule, je garde ma barre d’écartement. Une chaîne est fixée à mon collier et une à la barre d’écartement. Je ne peux bouger. Le plafond et les murs sont recouverts de miroirs et de glaces reflétant mon corps.

Un superbe étalon Africain me toise, après m’avoir menottée au lit. Je garde les yeux baissés et al bouche entrouverte.

- Quel oeillet bien ouvert, ma belle chienne, tes amants canins vont te satisfaire. Tu vas t’habiller en soubrette pour t’occuper des invités. Tu vas rester un certain temps, menottée à ton lit, pour mesurer ta jouissance sans te masturber.

Il m’exhibe son mandrin similaire à celui d’Horace et je me mets à onduler mon bassin et je le supplie :

- Baise-moi, encule-moi, s’il te plait.

Ma chatte dégouline, sans retenue, mes mamelons et mon clitoris sont constamment tendus sous l’effet du vent frais.

L’étalon m’abandonne, après quelques coups de cravache sur l’intérieur de mes cuisses. Je suis constamment filmée et photographiée à mon insu.

Au coucher du soleil, j’ai joui de nombreuses fois sans me caresser. Cela me surprend.

Le Baron me rejoint, cagoulé, pour m’empêcher de voir son visage, le mandrin nu et libre.

- Alors, tu arrives à fantasmer seule. Tu seras enculée dès ce soir, par mes amis. Tu seras aussi une Maîtresse pour enculer mes amis.

Je suis douchée à l’eau froide, fardée et parfumée, mon anus est enduit de miel.

J’enfile mon tablier qui recouvre mon gode ceinture doté d’un gode réaliste de vingt-cinq par six. Le gode-ceinture cache un boîtier abritant un simulateur de sexe oral pour mon clitoris tendu, avec dix langues en silicone sur une roue, elles sont douces. Il y a les vitesses de rotation douce, moyenne et intense dans les modes avant, arrière et avant et arrière simultanés.

Affublée de ce gode-ceinture, je réalise mon fantasme, enculer un homme. Je ne porte plus ma barre d’écartement, mes pieds nus sont mis en valeur dans des mules à talons de douze centimètres et je garde ma queue-de-cheval.

Au rez-de-chaussée, je fais le service de l’apéritif au dessert, avec divers compliments. Je regarde constamment les mandrins des invités, répondant à leurs questions osées, sur mes goûts, mes amants.

Après quelques sodomies sauvages entre deux plats, je suis libérée du tablier, mange les restes des plats à la cuisine, en compagnie d’un berger allemand et d’un doberman, excités par mon odeur de chienne en chaleur. Ils ont interdiction de me saillir.

Le Baron m’offre le plaisir d’enculer les amis. Je ne peux distinguer si ce sont des hommes ou des transsexuels.

En les enculant, je masturbe leurs mandrins imposants, qui m’ont enculée. Je les conduis à leurs orgasmes, nettoyant mes mains recouvertes de leurs spermes.

Pour m’exciter, les langues lèchent mon clitoris tendu et le Baron m’encule ou un autre à chaque fois que j’encule un des amis. Je connais des orgasmes simultanés.

Je suis surprise par mes coups de reins.

Pantelante, peu avant l’aube, je suis offerte, menottée sur le lit, libérée du gode ceinture et du tablier, allongée sur le ventre, un coussin pour offrir davantage mes fesses, toujours enchaînée par mon collier et à la barre d’écartement.

Je suis enculée longuement sans jouir, par les amis, pour me récompenser de les avoir enculée.

Ils éjaculent dans ma bouche, me fouettent les fesses et les cuisses. Le Baron me baise longuement et ma mouille mêlée à son sperme et ma pisse, sous l’effet de nombreux verres de stimulants sexuels mélangés à des jus de fruits, me sont donner à boire. J’accepte ce mélange.

 

Pendant la nuit, le berger allemand Conan et le doberman Hadès m’enculent à plusieurs reprises jusqu’au lever du soleil. Je suis attachée à leur nœud entre une bonne demi-heure jusqu’à trois quart d’heure. Ma chambre capitonnée couvre mes râles de plaisir. Mon anus dégouline de leurs spermes canins en excès. Je suis à moitié évanouie, à la sixième saillie par Hadès. Mes orgasmes anaux sont si violents et incontrôlables, tellement mon anus est devenu hyper sensible.

 

Je passe trois jours chez le Baron. Mon anus et le contour de mon clitoris sont constamment épilés. Mon corps porte des marques zébrées sur mes cuisses, mes fesses, l’intérieur de mes cuisses, mes reins et mon dos, pour chaque faute commise.

Je suis le plus souvent suspendue à un crochet, nue, les bras tendus, offerte au Baron, qui m’embrasse langoureusement sur la bouche, joue avec mes mamelons tendus et étirés par les pinces à clochettes, tout comme mes grandes lèvres humides de ma chatte par des pinces à clochettes elles aussi.

Le Baron est le seul à me baiser.

 

11 juillet

Après une série de saillies anales canines, menottée à mon lit, l’anus dégoulinant de spermes canins, je retrouve la liberté. Je suis à la fois une soumise docile et une Maîtresse aimant enculer les soumis.

Ma taille s’est affinée par le port quotidien de ma guêpière seins et de mon corset seins nus.

Vêtue de mon boléro sur mes seins nus, mes mamelons et mes grandes lèvres de ma chatte libérées des pinces, de ma jupe éventail et de mules à très hauts talons, fardée et parfumée, coiffée d’une queue-de-cheval, sans mes carcans de cuir, je suis conduite loin de la villa du Baron.

Ma belle chienne anale Hermine, tu as encore beaucoup à apprendre de ton dressage. Tu es constant payée par Diane, malgré ton absence sur ton lieu de travail.

Après six heures de route, le long de la mer, nous stoppons devant une porte cochère discrète.

Je descends seule. La limousine du Baron disparaît.

Je frappe à la porte cochère, qui s’ouvre.

L’endroit est sombre. J’entends des cris, des gémissements, des râles de plaisir.

- Avance, ma belle. Déshabille-toi, ici, tu es chez « Désir SM », le Domaine des jolies putes anales, adeptes du Club. Ton œillet a bien dégusté depuis ton initiation. Ton écrin aussi, mais aussi ta jolie bouche bien dressée est prête à sucer et à lécher. Tes seins sont devenus sensibles tout comme les lèvres de ta superbe chatte velue. Ton physique de petits seins, aux yeux verts, à la chatte velue est très recherché et demandé par les voyeurs devant leurs écrans.

Je suis nue.

L’homme cagoulé, nu, le mandrin en érection, imposant par son calibre neuf centimètres et court vingt-trois, me met un harnais qui immobilise mon cou, en gardant mon menton élevé et le cou étendu, mes bras immobilisés dans mon dos, avec un bâillon O pour que je garde la bouche ouverte constamment. Mes seins sont emprisonnés par des cordes pour les rendre plus désirables, avec des pinces à poids. Enfin, je reçois un gode tunnel pour que je garde la chatte ouverte.

Je suis conduite ensuite dans une pièce sombre.

Je dois sucer, avaler le sperme, sans répit, fouettée à tout moment, enculée selon les envies des occupants. Je ne sais combien ils sont. Mes mamelons sensibles me font un peu mal dans certaines positions. Je dois boire ma pisse mêlée à ma mouille et au sperme dans une coupelle.

Quand je rejoins ma cellule, sans confort, je suis enchaînée, debout, les bras tendus, sur la pointe des pieds, les cuisses écartées, fouettée à nouveau, avant d’être à nouveau offerte.

Le supplice dure trois jours consécutifs, sans savoir s’il fait jour ou nuit dehors.

 

14 juillet

A l’aube, je suis autorisée à enculer des soumis, sans connaître leurs visages. Je les masturbe, mais ils ne peuvent éjaculer, je griffe leurs testicules avec mes ongles, les godes sont munis de picots comme pour moi.

Je le fais pendant deux jours consécutifs, sous une lumière artificielle. Je suis fouettée, menottée au chevalet, enculée par des dogues allemands, pour me récompenser.

Ma chatte totalement lisse est percé de petits anneaux dorés à mes grandes lèvres étirées par des pinces à clochettes.

 

16 juillet

A l’aube, menottée à mon chevalet, je suis officiellement marquée au fer rouge sur ma fesse gauche « Chienne Hermine Anale Docile » et je suis marquée à l’intérieur de ma chatte des initiales de mon Maître. Je porte aussi à mes grandes lèvres, mes fers à ses initiales. Je porte ma bague serti d’un petit anneau à mon annulaire gauche.

Ce sont des anneaux de fer mat inoxydable. La tige en est ronde, épaisse comme un gros crayon de couleur, et ils sont oblongs : les maillons des grosses chaînes sont semblables. Chacun est formé de deux U qui s'emboîtent l'un dans l'autre. Le ressort intérieur sur lequel on doit forcer pour le faire pénétrer dans la rainure où il se bloque. Une fois posé, il est impossible de l'ôter. Chaque anneau est long comme deux phalanges du petit doigt, qu'on y pouvait glisser. A chacun est suspendu, comme un nouveau maillon, ou comme au support d'une boucle d'oreille un anneau qui doit être dans le même plan que l'oreille et la prolonger, un disque de même métal aussi large que l'anneau est long.  Les fers qui trouent mes deux grandes lèvres de ma chatte me descendent jusqu'au tiers de la cuisse, et à chacun de ses pas bougent entre mes jambes comme un battant de cloche, le disque gravé étant plus lourd et plus long que l'anneau auquel il pend Les marques imprimées par le fer rouge, hautes de trois doigts et larges de moitié leur hauteur, sont creusées dans la chair comme par une gouge, à près d'un centimètre de profondeur. Rien que de les effleurer, on les perçoit sous le doigt.

J’épouse au Club, le Baron, lors d’une orgie SM, où je suis nue, marquée et ferrée.

Je corrige Pénélope personnellement, tout en me faisant enculer telle une soumise par les invités tandis que les Maîtresses m’enculent avec d’imposants godes ceintures. J’encule aussi quelques soumis offerts.

Je vis à demeure à la villa du Baron. Je suis constamment nue, pour exhiber mes marques et mes fers, fardée et parfumée, mon anus enduit de miel.

Je suis libre de choisir mes amants soumis ou qui m’enculent et me fouettent.

Je suis saillie quotidiennement par Conan et Hadès et un dogue allemand Lancelot, soit dans ma chatte soit enculée en solo, soit en double pénétration devant les invités.

Le Baron me baise quotidiennement pour que j’assure une descendance à mon Maître. Mais d’autres Maîtres ont ce droit sur moi.

 

Dans les mois qui suivent, je tombe enceinte et je continue à être enculée et non fouettée.

Je donne naissance à des jumeaux, un garçon et une fille.

Je reprends mes activités sexuelles. J’ai gagné suffisamment d’argent pour restaurer le couvent où j’ai séjournée, je fleuris la tombe de Père Alban, mort d’une crise cardiaque.

 

Venez me retrouver, votre chienne et pute anale Hermine ou Valérie selon vos envies. J’ai hâte de recevoir vos hommages, mes amours, votre Hermine chérie.

 

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