Je m’appelle Pénélope de Hauts Vallons, mais mes amis m’ont surnommés Shawn.
J’ai 19 ans.
Je suis une jolie beauté scandinave.
Je suis une brune aux yeux verts. J’ai des pieds fins et latins, des jambes longues bronzées, musclées qui inquiètent par leur perfection. Mon pénil est bombé, ouvert, couronné de noir. Ma pilosité brune couvre mon pubis. J’ai une superbe croupe. Mon entrecuisse est épilée, portant des anneaux à mes grandes lèvres de ma chatte, je garde ma toison pubienne velue. Mes hanches s'incurvent et délimitent le ventre plat, délicieusement renflé autour du nombril, les hanches sont larges et rondes, mais sans lourdeur. La taille est affinée. Les seins parfaits intégralement bronzés sont un peu volumineux mais fermes, et leurs pointes marron clair, toujours dressées, cernées par une large aréole marron attirent le regard. J’ai une peau lisse et patine. Finition parfaite, un seul grain de beauté entre mes superbes seins. De longs cheveux plats blonds flottant comme des algues, battent mes épaules rondes et gracieusement athlétiques. Je suis intégralement bronzée. Mes yeux verts limpides s'allument, ma bouche charnue se fend. J’ai des sourcils bruns bien dessinés et des lèvres pulpeuses. J’ai de longs doigts fins et de belles mains. Je fais du 85C de poitrine, 56 de taille, 90 de hanches, 1,75 m.
Mes grandes lèvres de ma chatte sont ferrées au nom du Marquis Héraut, mon gros clitoris est percé d’un anneau doré serti d’une pierre précieuse. Mais aussi mes reins sont tatoués A votre dévouée chienne Svetlana, je porte sur mes fesses les marques au fer rouge S sur ma fesse gauche et V sur ma fesse droite, lors de mes viols par le Docteur Sexe O Roy Mac.
INITIATION ANGLAISE 3e PARTIE
1er août de l’année suivante
Cela fait cinq mois que j’ai donné naissance à Jean Edouard, né de mon mariage avec le Marquis Héraut de Castel, âgé de 65 ans.
J’ai gardé le berger allemand Adam, mon amant canin et mes chevaux Zéphyr, Alizé et Sultan, plus Tornade Grand Sexe qui logent au haras proche de la résidence de Marquis Héraut de Castel.
La résidence est très surveillée avec des maîtres-chiens, des gardes montés, des caméras aux points stratégiques et un accès par la forêt, à six heures de l’hippodrome.
Alban et Hermine sont emprisonnés pour m’avoir mis sur mon compte les meurtres de Jean Edouard et de Brice.
Je garde ma Ferrari F40.
J’ai embauché Hyacinthe ma nounou et ma soubrette Rose, une jeune âgée de 18 ans, encore vierge anale.
Rose est une superbe brune aux seins plantureux, intégralement épilée, ancienne amie de Brice. Elle a interdiction formelle de nettoyer notre chambre et le bureau du Marquis. Rose est simplement vêtue d’un tablier et d’un chemisier blanc, le reste du corps nu et chaussée de mules à talons de douze centimètres à ses pieds nus, coiffée d’une queue-de-cheval, les yeux baissés en ma présence et celles d’hommes que je reçois.
Félix et Horace sont mes majordomes, habilités à venir dans ma chambre au premier étage, pour m’habiller, me satisfaire, me farder.
Je possède une collection de godes réalistes avec prépuce qui se rétracte, des double gode pour gode ceinture, des bijoux d’anus et des godes canins et je m’essaye sur des godes équins pour ma chatte très sensible.
Ma garde-robe abrite des robes et des bustiers seins nus à corselets, des corsets et des guêpières seins nus avec ou sans jarretelles, des chemisiers sans boutons et des jupes couvrant mes fers. Mais j’aime rester les seins, les fesses et les jambes nues pour toutes les saisons.
Je possède une grande salle de bains avec de nombreux miroirs et glaces pour me regarder, exhibitionniste, nue, me caresser, me masturber en pensant à mon nouvel amant. Il y a une grande douche, une grande baignoire, une coiffeuse muni d’un gode anal réaliste de Marquis, un bidet, ma collection de parfums et de maquillages et un urinoir avec une cuvette de toilette dans un des coins devant un grand miroir, où j’aime me caresser, en me soulageant.
Je passe l’été à me baigner nue dans ma piscine, avec mon gros bijou d’anus. Je reste tout autant femme, fardée et parfumée, un peu soumise et un peu Maîtresse pour les soumis que je dresse, pour Eros 6996.
Ce matin, je fais ma pute et ma soumise pour Marquis.
Vers 7 heures, je m’amuse à écarter et à refermer mes cuisses, pour l’exciter. Il aime ma chatte velue, depuis ma grossesse, surtout mon gros clitoris bien tendu, par l’excitation.
- Alors, ma pute Shawn, tu as été à la hauteur cette nuit, baise, sodomie et surtout tu as encore joui avec Adam, ma belle chienne.
- Oui, Maître, je suis ta pute et ta soumise. J’aime être une vicieuse.
- Suce-moi et je vais régler quelques affaires.
J’obéis, accroupie, cuisses écartées, à côté du lit, nue.
- Doucement, ma belle, tu es très en forme.
Il éjacule dans ma bouche et j’avale tout.
Je le laisse se laver. Je choisis mon bijou d’anus de la journée. Un XXL pour mon anus bien ouvert pendant la nuit de chienne, treize par sept pour 800 grammes. Il me prépare pour la journée. Ce soir, je serais enculée par Marquis, Félix et Horace, voir Adam.
Vers 9 heures, la Ferrari 812 de Marquis quitte la résidence par la grille automatique ouvert par Félix, qui est de permanence.
Horace me rejoint, nu, sous sa veste et botté.
- Shawn, je te fardes et t’habilles ensuite.
- Non, Horace, je vais rester nue pour l’instant. Je vais déjeuner près de la piscine.
Je croise Rose.
- Attention, à toi, Rose, Marquis et moi t’avons à l’œil. Tu es très vicieuse pour ton âge. Je sais que tu te masturbes en cachette, écoutant nos ébats. Tu sais que je peux te punir pour tes écarts de pute.
- C’est toi, la pute.
- Répète un peu, d’abord tu as interdiction de me tutoyer. Tu me vouvoies, je suis ta supérieure.
Soudain, elle va pour rejoindre sa chambre en face de la notre. J’aperçois un objet brillant entre ses fesses.
- Tiens, tu portes un bijou d’anus. On te l’a offert. Horace, cette chienne souhaite que tu l’encules.
- Non, Shawn, tu es une vraie pute. Tous ces hommes que tu reçois, Marquis le sait. Moi, j’aime les femmes.
- Tu arrêtes avec le mot pute. Tu me montres du respect.
- Madame Shawn, il faut que tu viennes à la grille. Habilles-toi.
- J’arrive. Horace encule Rose, avant que je la corrige à la cravache.
Bien, Shawn, elle va jouir avec ma grosse queue.
J’entre dans ma chambre, laissant Horace s’occupe d’elle dans sa chambre. Je l’entends qu’elle le suce.
Je mets une petite robe dos nu couvrant mes fers et mes sandales à talons de douze centimètres, sans maquillage et les cheveux libres.
Derrière la grille, se trouve un corps féminin nu. Je l’observe et je remarque à Félix :
- C’est normal pour une superbe blonde aux seins plantureux, nue, intégralement épilée, d’avoir des anneaux cadenassés aux petites lèvres de sa chatte, son gros clitoris est percé d’un lourd anneau avec une boule de lest, ses fesses sont marquées au fer rouge de lettres inconnues. Mais surtout, elle a été fouettée sur les fesses, les cuisses, les seins, les reins, le dos et la chatte. C’est une soumise. Je préviens le colonel Charles Alexandre, le major Natacha et le lieutenant Yannick et la brigade des mœurs du chef-lieu.
Dans l’heure, la rue est sécurisée par des véhicules de la gendarmerie et des vigiles de la sécurité de la résidence. Le médecin légiste, un bel étalon de 45 ans, Jean Emmanuel, m’annonce :
- Les lettres inconnues sont de l’arabe littéraire qui signifient « pute chienne Jasmine Eléonore » sur sa fesse gauche et sur l’autre fesse « Maître E S O R ». C’est donc la soumise de ce Maître, Shawn. Elle est morte depuis un certain temps. Je vais faire les examens. Elle a subi de nombreuses sodomies avec de gros sexes.
- Shawn, c’est normal qu’une soumise morte devant la grille de ta résidence, annonce Charles Alexandre.
- Non, on souhaite mon départ du village. C’est le Docteur Sexe qui est dessous.
- On n’a jamais retrouvé le Docteur Sexe depuis ton viol, annonce Natacha.
- Aucune caméra n’a rien remarqué me confirme la société des vigiles.
Charles Alexandre sait que je suis chez moi tout le temps. Je ne peux avoir tué cette soumise.
Le personnel est auditionné, mais Rose ne cesse de dire à Natacha, que je suis une pute et que Marquis me punit pour mes écarts. Natacha connaît la vérité sur mes activités.
Je retourne au salon, prendre mon petit déjeuner, au lieu de la piscine.
Les lieux sont vidés vers midi.
Rose vient me voir :
- Horace est un pervers. Il m’a enculé à sec. J’ai eu mal.
- Moi, aussi j’ai eu mal, lors de ma défloration anale. Tu cesses de te comporter comme une gamine. Tu seras cravachée dès aujourd’hui. Pour l’instant, tu vas lécher ma chatte et mon clitoris.
Je suis assise, nue, cuisses écartées, sur la chaise, empalée sur mon gode réaliste, l’anus défoncé par les va-et-vient du prépuce.
Rose ne s’exécute pas.
Félix arrive et plaque sa bouche contre ma chatte humide et mon clitoris, en la tenant fermement par les épaules.
- Lèche ma pute, je vais me soulager aussi dans ta bouche, avale tout.
L’effet est immédiat, je connais un violent orgasme anal et je pisse comme compris.
- Avale, t’as dit Shawn.
Je ne cesse que quand Rose a le visage recouvert de ma pisse.
- Va te laver et reviens ici de suite, nue, pour ta punition.
Horace la surveille. Nue, avec ses carcans de cuir, en mules, Rose me regarde fixement dans les yeux.
- Tu me défies, en plus Rose.
- Prosterne-la, cuisses écartées, elle va en avoir pour son compte. Horace, encule-moi pendant que je la cravache, cette allumeuse.
Je suis aux anges, enculée et cravachant à toute volée les fesses et les cuisses de Rose, qui gémit, tout en suçant Félix.
Marquis revient plus tôt et découvre la scène.
- Rose, t’as fait un coup en douce, ma chérie.
- Oui, elle se promène avec un bijou d’anus. C’est une fausse vierge anale. Horace l’a bien enculée. Je la corrige pour son manque de respect. Elle me tutoie et clame que je suis une pute.
- Tu as raison, Rose n’a ce qu’elle mérite.
Marquis prend le relais, pendant que Félix éjacule dans la bouche de Rose et Horace le fait de même.
Un orgasme anal me terrasse et je double mes coups de cravache.
Rose se relève, libérée et en sueur, m’interpelle :
- Toi, la pute, tu n’as pas me punir comme une gamine. Je suis libre de faire ce que je veux chez toi.
- Répète, dis-je, pantelante, prête à la gifler.
- Chérie, je vais m’en occuper, va te relaxer dans ton bain. Félix, prépare son bain à Shawn. Elle va se reposer dans sa chambre, portes-lui son repas.
- Bien, monsieur et pour Rose, quelle est la suite ?
- J’avise, Horace, préviens le chenil, qu’il faut saillir une chienne en dressage.
- Non, pas ça, Marquis, tout en le regardant dans les yeux. La chienne, c’est ta pute Shawn.
Le Marquis lui donne un coup de cravache sur la chatte et Rose s’évanouit.
Je me relaxe dans mon bain. Je suis surprise par mon maniement de la cravache.
Félix me passe l’éponge sur mon corps. Je repense à Jasmine Eléonore, qui est cette soumise ?
Après mon bain et une longue sodomie par Félix, je mange dans mon lit et je m’endors, en compagnie d’Adam.
Rose se fait enculer par les nombreux chiens du chenil, du berger allemand au dogue allemand, en passant par le malinois, le doberman et le colley. Elle est empêcher de gémir sous son bâillon O et elle est sévèrement cravachée et fouettée à la garcette par Horace, Marquis et ses amis venus du Eros 6996. Rose va passer quelques jours et nuits au Eros 6996, pour son dressage, ainsi que dans un lieu secret.
Hyacinthe se réfugie dans un lieu secret avec Jean Edouard, pour sa sécurité.
Vers 14 heures, en effet, un mystérieux appel féminin m’annonce :
- La pute Shawn a eu une liaison avec Jasmine Eléonore et cela a mal fini. Dommage, tu es très belle, mais il se pourrait que tu finisses comme elle.
Je le fais écouter à Marquis, qui prend aussitôt des mesures de sécurité. Nos avocats portent plainte contre X pour mensonges et atteinte à ma vie privée.
Vers 15 heures, alors que je suis à la piscine, à faire quelques longueurs, nue avec mon bijou d’anus, Félix me prévient de la présence d’une voiture de la gendarmerie.
Après une douche rapide près de la piscine, je revêts juste un tee-shirt noir sur mon corps nu, chausse mes sandales blanches à talons de douze centimètres et me coiffe d’une queue-de-cheval.
Un superbe jeune homme de 25ans entre et me fait le baise-main.
- Je suis l’adjudant Oscar de Hauts Vallons, votre cousin par alliance, depuis votre mariage avec Marquis. Je viens à propos de l’affaire Jasmine Eléonore. Tu es très sexy, Shawn.
- Je ne t’ai jamais rencontré auparavant. Marquis m’a caché ton existence.
Oscar ne sait plus où poser son regard, mes seins, ma bouche, mon pubis velu, mes fers, tout l’intéresse.
- Jasmine Eléonore est la future héritière d’un luxueux château mitoyen de l’hippodrome. Elle venait d’avoir 20 ans, était enceinte de trois mois d’un inconnu, car son ADN n’est pas référencé dans nos fichiers. Elle a fréquenté aussi la clinique où tu as été violée. Jasmine Eléonore était aussi amante de Marie Caroline, de Miss V et d’Hermine.
- Donc, une bisexuelle soumise en résumé, tout comme moi. Elle serait peut-être tombée enceinte par Docteur Sexe à tout hasard. Elle a subi des sodomies hors norme comme avec des chiens.
- Je n’en sais pas, le médecin légiste et le gynécologue se questionnent.
- Ca te dirait de passer quelques heures en dehors de ton travail, à mieux se connaître.
- Désolé, je suis en couple, mais ton corps m’intéresse.
Marquis arrive.
- Ma déesse vient de trouver un nouvel amant. C’est vrai que cela fait un an, que tu n’as pas joui d’autres étalons.
- Chéri, mais c’est mon cousin par alliance.
- Tout est possible, l’inceste est intéressant pour toi. Mets-toi nue devant Oscar.
J’obéis.
- Caresse-la, embrasse-la.
Oscar est un peu gêné, mais il m’embrasse et glisse sa main entre mes cuisses humides de désir, maladroitement.
Je jouis, lorsque ses doigts fouillent ma chatte resserrée par le bijou d’anus.
- Lèche ses doigts, ma belle.
J’obéis.
- Oscar, tu es désormais son nouvel amant. Tu viens quand tu veux, voir ta belle. Attention, Shawn n’est pas une pute, elle est une vicieuse qui aime les hommes, voir plusieurs à la fois.
- Bien, Marquis, je ferais tout pour satisfaire Shawn ou Pénélope.
- Tu m’appelles Shawn. Retourne à la brigade, pense à moi.
Oscar repart.
- Tu l’as bien allumée, avec ton tee-shirt.
- Cela fait longtemps que je n’ai pas usée de mes charmes.
Après le départ d’Oscar, une Range Rover manque à percuter la voiture de la gendarmerie, profitant de l’ouverture de la grille.
La Range Rover stationne près de ma Ferrari F40.
- C’est bien cela, c’est la voiture d’une pute, annonce une grande rousse à la poitrine plantureuse, en tailleur et jupe, en cuissardes à hauts talons, coiffée d’un chignon.
Marquis va la voir. J’ai juste le temps de me refaire une beauté et de mettre un dos nu avec ma jupe couvrant mes fers, mes mules à talons de douze centimètres, laissant mes cheveux libres. Adam m’escorte en descendant, il a dormi dans notre chambre et aboie devant l’intruse.
Je descends, en faisant claquer mes mules.
- Voici, la fameuse pute Pénélope, Marquis laissez-moi avec cette chienne.
- J’appelle mes avocats, Madame.
- Patricia Marie Sophie de Val Roy de Eve, journaliste, je t’ai téléphoné tout à l’heure, la pute.
- Madame, un peu de savoir-vivre, je suis une femme rangée, sérieuse et mariée.
- Mais tu es une pute d’Alban, de Miss V et de Maître H, la préférée de Roy Mac qui m’a fait marquée et ferrée comme une vulgaire prostituée de luxe.
- C’est une atteinte à ma vie privée. Qui vous autorise à venir chez moi ?
- C’est l’affaire Jasmine Eléonore, ta chérie. Mais aussi, c’est Rose qui m’a payée pour me donner des informations confidentielles.
Au même moment, le major Natacha et sa patrouille arrivent.
- Shawn, tu es importunée car ce Range Rover qui entre de façon cavalière.
- Major Natacha, c’est Oscar qui t’a prévenu.
- Non, c’est le signalement de la Range Rover qui pose problème. Le Range Rover a été aperçu non loin de la clinique, non loin de la péniche et surtout près du château où a vécu Jasmine Eléonore.
- Cela nous intéresse, dit Marquis.
- Elle va être conduite en garde à vue, pour violation de domicile, propos mensongers à ton encontre et surtout elle vient de perdre son emploi au journal.
- Toi, la gendarme et tes hommes, il faut interpeller cette pute Shawn, elle a commandité le meurtre de Jasmine Eléonore. J’ai les preuves.
Mais trop tard, les menottes sont passées, la Range Rover est remorquée. La sécurité est renforcée davantage, la gendarmerie patrouille dans les environs.
Vers 20 heures, alors que je sors de mon bain relaxant, Marquis m’annonce :
- Chérie, on sort ce soir. C’est une surprise, tu as besoin de voir du monde. Cette Patricia a été présentée à un juge d’instruction. Elle semble être l’amie de ton Docteur Sexe, qui a certainement tué Jasmine Eléonore.
Marquis m’offre une nouvelle robe transparente noire avec un haut seins nus, corseté et étroitement lacé, assorti à un boléro fermé au cou, transparent aussi, la jupe largement fendue devant jusqu’au-dessus de mon pubis fraîchement épilé, tout comme les lèvres de ma chatte, pour faire honneur à la soirée et discrètement fendue derrière, pour dénuder mes fesses. Fardée, parfumée, les ongles des mains et des pieds vernis en rouge, avec mon bijou d’anus, je chausse des escarpins transparents à talons de quinze centimètres, cambrant mes reins. Je me coiffe d’un chignon, dévoilant mon cou paré d’un superbe collier avec les mêmes pierres précieuses que l’anneau de mon clitoris.
En m’épilant le pubis, je découvre un fouet et une cravache entrecroisés marqué au fer rouge. Cela fait plus d’un an que je ne me suis pas épilé le pubis, ne faisant pas attention à cette marque au fer rouge.
- Ma chérie, c’est le sceau de DSC. Tu es des leurs. Je ne peux t’en dire plus. Cela pimentera la soirée.
- Qu’est-ce DSC, un club libertin SM, un lieu de dressage, je veux savoir.
- Désolé, c’est secret. Même moi, je ne pouvais penser que tu en serais. C’est encore le Docteur Sexe qui a du te marquer, lors d’un de tes viols.
Je ne me souviens pas.
Nous prenons ma Ferrari F40
Il me met un masque de nuit et je dois rester sans mon boléro, les cuisses écartées pendant tout le trajet.
Nous quittons la route de l’hippodrome pour une grande voie routière, avant de sortir en pleine campagne, à trois heures de route de la résidence. Le vent excite mes mamelons et mon clitoris complètement tendus. Je suis toute humide. La chatte mise en valeur, je sens les caresses plus précises des mains de Marquis. Je me retiens de jouir.
2 août
Vers minuit, la Ferrari F40 s’arrête. Je suis pantelante des doigtés experts de Marquis.
Nous sommes stationnés dans une grande allée, parmi d’autres luxueuses voitures.
Marquis me tient par la main, m’embrasse de temps à autre, pelote mes seins.
- Tu es encore plus belle, excitante, pour ta première sortie, ma déesse.
- Où sommes-nous, chéri ?
- Silence, tu dois juste obéir et restée silencieuse.
- J’ai juste envie de queues partout.
Nous montons l’escalier menant au rez-de-chaussée d’un luxueux château.
Nous marquons une pause.
Des mains étrangères me fouillent quelques instants.
- Très bien, Svetlana est attendue par ses invités, dit une des voix masculines à mon oreille, en me doigtant profondément ma chatte.
Nous traversons le hall d’entrée. Les commentaires sur ma tenue m’excitent.
- C’est la nouvelle pute de Maître H.
- Quelle croupe, elle aime l’anal, il paraît.
- C’est une authentique chienne, remarque cette démarche.
- J’aime sa chatte ferrée et son clitoris percé.
Je me sens un peu jugée. Mais c’est tout moi, en résumé.
Nous entrons dans le salon. J’ai droit de boire un verre de jus de fruit, avec un mélange de stimulants sexuels.
- Messieurs et Mesdames, voici Svetlana, la nouvelle pute que tout le monde envie. Elle aussi a très envie de vous. Soumise, chienne, pute, bisexuelle, une authentique lesbienne devenue vicieuse, annonce une autre voix masculine.
J’ai droit à des baise-main, des baisers sur ma bouche et de longues caresses de mes seins, ma chatte et mon clitoris et quelques fessées magistrales.
Quand Marquis me retire mon bandeau, je suis entourée par un parterre de couples masqués, nus, les étalons sont bien montés et les femmes sont toutes intégralement épilées, percées et tatouées, non marquées au fer rouge. Des miroirs reflètent mon corps, tous les regards portés vers moi, l’objet de toutes les envies et désirs vicieux.
- Alors, ma chérie, tu aimes.
Je suis subjuguée par le luxe, les attentions portées. Je garde mes yeux baissés, telle une soumise.
Un homme en costume d’hommes d’affaire, bel athlète blond, âgé de 60 ans, me conduit en aparté sans Marquis.
- Alors, enfin, je découvre la fameuse Svetlana. On m’a beaucoup parlé de toi, tes prouesses sexuelles, la découverte du vice caché en toi. Tu es encore plus belle, pute, que sur les photos et les vidéos de toi, dans le milieu SM. Shawn, Pénélope, Emmanuelle, tu te caches sous d’autres pseudonymes. Je me joins à mes condoléances pour Comtesse, ta chérie. L’auteur sera châtié, s’il est membre du DSC. Tu es ici chez toi, le Domaine Sévices Charmes. Tu es la Maîtresse des lieux. Tu aimes ce lieux.
- Pourquoi Svetlana ?
- Tu le sauras un jour. Amuse-toi, sexe, sévices et surtout soirée SM.
Des couples s’approchent de moi. Je me retrouve rapidement nue, pieds nus, déchaussée, les cheveux libres. Ils me caressent, mesurent mon plaisir.
En quelques minutes, je suis entourée d’une dizaine de mandrins que je suce, les yeux baissés, sans retenue, accroupie, cuisses écartées, constamment filmée depuis mon arrivée au Domaine.
On m’interpelle :
- Svetlana, donne-moi ta bouche… Ta chatte… Ton œillet, la belle pute.
Je ne sais plus où donner de la tête. Je continue à boire mes jus de fruits, agrémentés de ma mouille et de ma pisse, pour répondre aux exigences.
Vers deux heures du matin, une main inconnue me conduit au premier étage. Je suis en sueur, couverte d’un mélange de spermes et de mouille, sur mon corps.
-Tu as besoin d’une bonne douche, ma chérie Svetlana.
- Qui êtes-vous ?
- Je suis Vénus Chienne Câline. Je suis à ta disposition.
C’est une superbe brune fardée, aux petits seins percés d’anneaux avec des plumes qui caressent constamment le mamelon tendu, intégralement épilée, ferrée et ses reins sont tatoués A votre dévouée Svetlana. Ses cheveux sont mi-longs.
Nous entrons dans une grande salle de bains avec un miroir face à la douche, une canule et une grande fenêtre ouverte, le plafond est recouvert de miroirs.
Je m’abandonne à son éponge, sans jouir. Je ne fais pas attention aux couples voyeurs, qui se masturbent.
Redevenue présentable, fardée, je me prends une bouffée d’air frais, faisant tendre mes mamelons et mon clitoris. Mes hanches sollicitées par les mandrins qui m’ont donnés du plaisir, je me laisse masser.
- Viens, ma chérie, ici, c’est l’étage dédié aux putes anales uniquement. Tu as joui, doublement pénétrée. Tous les hommes présents sont tes amants, que tu suces et que tu reçois, enculée profondément, comme une pute. Tu ne peux rien leur refuser, ni les coups de cravache sur ton superbe corps. Tu mouilles d’excitation.
Dans la première chambre sans porte, escortée par mes voyeurs et remise par Vénus à six superbes étalons très bien montés, je me soumets à leurs désirs, enchaînant les positions sexuelles.
A la cinquième porte, je suis récompensée par cinq superbes chiens, des dobermans qui me font évanouir, enculée.
J’ai droit à un repos, vers quatre heures du matin, au troisième étage, portée par un inconnu, dans une luxueuse suite, entièrement recouverte de miroirs et de glaces sur les murs et au plafond, toute propre. Je suis allongée nue, cuisses écartées, sur des draps en satin.
Sur le lit aux draps de satin, j’émerge, allongée nue, dessus, quand Marquis et l’homme blond qui m’a accueilli, m’entourent, me caressent mes cheveux, mes seins et ma bouche. Je suis encore à moitié endormie.
- C’est une authentique pute anale, chienne, dit l’homme. Je ne suis pas présenté. Je suis le Vicomte Donatien de Sévices Mille Bon Plaisir, connu sous le Commandant, propriétaire du Domaine. Son œillet est resté encore un peu entrouvert. Remarquez aussi sa chatte est marquée à l’intérieur SV 19. Elle aime être fouettée et mouille de plaisir, c’est très rare. J’aime voir ce corps intégralement épilé, mis en valeur par ces bijoux intimes.
Je suis surprise par cette nouvelle marque.
- Vous ne voyez aucun inconvénient à ce que Svetlana reste quelques jours au Domaine, tout frais payé.
- Je vous la laisse. Elle a encore beaucoup à apprendre sur de nouveaux vices, dit Marquis.
- Messieurs, je suis autorisée à parler.
- Bien sûr, Svetlana, tu es mon invitée.
- Je serais fouettée, saillie et autres vices me seront permis.
- Ce sont les amis du Marquis et mes amis qui sont les seuls juges. Tu portes désormais tes carcans de fer, par ton statut. Vénus Chienne Câline te les mis lors de ta douche.
Je découvre mon collier qui m’entoure exactement le cou dans son milieu, suffisamment pour qu'il soit difficile de le faire tourner, et plus difficile encore d'y glisser un doigt entre la peau et le métal. De même, à mes poignets et à mes chevilles, juste au-dessus de l'articulation qui est laissée libre, les bracelets. Le collier et les bracelets sont de fer inoxydable, articulés et à demi rigides comme on fait en or certains bracelets-montres. Ils sont hauts de près de deux doigts et portent chacun un anneau de même métal. Je les garde jour et nuit, ni même pour me baigner. Mes seins, mes reins, mes cuisses et mes fesses sont zébrées par la cravache, la garcette et la chicotte tenues par les invités.
- Reste allongée, tu es dans ta chambre désormais. Tu viendras dormir tous les soirs en ma compagnie. Repose-toi, ma déesse du sexe. Tu es une épouse irréprochable, docile, dit le Commandant, en m’enfonçant son mandrin de trente-cinq par huit dans ma bouche, devant Marquis.
Je m’applique sans le faire jouir.
- Je vous laisse sa Ferrari.
- Bien sûr, mon chauffeur vous ramène. Doucement, ma belle, savoure. Tu es chaude. Tu vas jouir, abandonne-toi.
En effet, le Commandant sait comment me faire jouir, en jouant tantôt avec les lèvres de ma chatte sans la pénétrer et mon gros clitoris.
L’orgasme me submerge, tandis qu’il éjacule dans ma bouche.
Je me rendors.
Vers 9 heures, j’émerge. Vénus Chienne Câline m’apporte un bon petit déjeuner pour me préparer pour ma journée. Elle est vêtue d’une robe transparente au décolleté en V, dénudant entièrement ses seins nus, son pubis et sa chatte sont exhibées par une longue fente dans la jupe, ses fesses sont entièrement dénudées, une bande corsetée enserre sa taille affinée, avec ses carcans de fer au cou, aux poignets et aux chevilles, chaussée de mules à plate-forme de douze centimètres, coiffée d’une queue-de-cheval, fardée et parfumée.
Après le petit déjeuner, nue, j’entre dans une immense baignoire qui occupe la moitié de la pièce. Je m’accroupie, cuisses écartées, les yeux baissés, inconsciemment, prise en main par un superbe valet nu, qui me lave avec une grosse éponge. Il y a une canule dans la baignoire, insérée dans mon anus, pour mon lavement. Je me retiens de jouir. Des miroirs sur les murs et au plafond exhibent mon corps et celui du valet. Le Commandant m’observe de loin.
Une fois baignée et propre, Vénus Chienne Câline me farde et me parfume, assise sur le tabouret de la coiffeuse, cuisses écartées, empalée sur un gros gode anal canin moulé sur le sexe d’un dogue allemand, muni d’un puissant va-et-vient. Je mouille.
Une fois prête, je revêts ma tenue officielle, un boléro transparent fermé au cou, un corset seins nus, un pantalon totalement ouvert au niveau du bassin, dévoilant mon pubis lisse et mes fesses nues, formés par deux jambes retenues par un cordon, pour pouvoir abuser de moi, le tout de couleur blanc, mon bijou d’anus est mis en place, mes pieds nus sont chaussés de tongs à talons de dix centimètres, Ce sont de simples tongs avec une large bande en cuir dans laquelle on glisse le pied, une bande discrète empêche que les orteils glissent. Je suis coiffée d’un chignon et je porte un loup, pour mon statut de Maîtresse Svetlana. Je suis totalement lisse pour exhiber ma marque sur mon pubis.
Personne ne doit connaître mon identité sauf le Commandant et Marquis.
Au rez-de-chaussée, les mules claquent. Ce sont les douze soumises vêtues comme Vénus Chienne Câline qui sont conduites en deux colonnes, escortées par des valets tenant en laisse Adam et un superbe doberman. Vénus est dans l’une des colonnes.
Je suis conviée au balcon du premier étage à les voir conduites pour leurs saillies anales canines.
- Non, Svetlana, tu n’es pas conviée à ces saillies. Tu peux corriger les soumises rebelles et les soumis sous tes ordres. Ce soir, ce sera toi, qui sera saillie et honorée par des inconnus comme hier soir. Si tu veux jouir, je suis là pour te donner du plaisir. Tu as de l’occupation, comme maîtresse des lieux, avec des appels à passer avec ton téléphone portable, des visioconférences avec d’autres Maîtres qui t’ont envoyé leurs soumises à dresser. Tu te considères comme une Maîtresse SM. Tu es libre de me parler, en me regardant dans les yeux.
- Je me sens un peu gênée. Aucune queue pour me faire jouir, ni celle d’amants canins, je me sens frustrée sexuellement. Je ferais de mon mieux avec les autres Maîtres.
- C’est la rançon du succès, Svetlana. La pute Patricia va payer de t’avoir manqué de respect. Elle sera traitée comme une chienne en prison. Tu trouveras de quoi satisfaire ton désir sexuel sans hommes.
- Commandant, je suis ta chienne. Pine-moi la chatte et mon œillet en feu.
- Patience, va te promener, sur Sultan, pour te ressourcer. La nuit a été courte pour toi, ma belle.
Je me rends au box de Sultan. Il est déjà sellé. Je le monte sans mes tongs, pieds nus, mais empalée sur deux imposants sexes canins bien lubrifiés qui m’écartèlent et un discret stimulateur clitoridien.
Je suis escortée par deux autres valets montés, nus sous leurs gilets, bottés. Nous parcourons au trot et au galop pendant une bonne heure, avec quelques sauts d’obstacles sur le parcours dans la forêt voisine. Empalée sous mon propre poids, je connais de nombreux orgasmes violents.
Lors d’une pause, un des valets m’aide à me retirer des godes, et m’invite :
- Svetlana, tu veux sucer Sultan, pendant qu’on t’encule.
Je ne peux refuser. Le gland de Sultan m’ouvre bien la bouche et je fais de mon mieux, mon anus bien ouvert et rougi subit les assauts des deux valets.
Je suis aux anges, lorsque Sultan éjacule dans ma bouche, tandis qu’un des valets me remplit mon anus de son sperme chaud.
Nous rentrons au Domaine. Je suis en sueur, sous l’effet de la fellation chevaline et toute excitée.
Un des valets me remet discrètement mon gros bijou d‘anus.
Je monte me baigner. J’ai été surpris par les gémissements du pavillon de chasse non loin de l’écurie de Sultan.
- Tiens, tu aimes sucer les queues équines, ma belle, dit le Commandant au courant. Va te baigner, tu vas te reposer et tu téléphones ensuite.
- Bien, Commandant, c’est jouissif. Mais ma chatte ne peut recevoir un tel sexe.
- Tu te trompes, Pénélope. Huit centimètres de diamètre sont aptes à te satisfaire.
- J’essayerai alors, comme vicieuse.
Après mon bain, remise en beauté par Vénus Chienne Câline. Je remarque qu’elle porte des marques récentes de la garcette, elle a commis une faute.
Je me repose, mange dans ma chambre.
Je passe l’après-midi, à converser, dans ma tenue. Les Maîtres sont subjugués par mes talents.
Au coucher du soleil, le Commandant m’équipe d’un superbe gode réaliste dernier cri, avec une enveloppe ultra-souple qui s’étire ou se contracte en suivant les montées et descentes du gode, d’une hampe veinée en érection, d’un gros gland décalotté, d’un prépuce qui glisse le long du gland. Il mesure trente par huit. Je dois le porter, maintenu par des chaînettes cadenassées à une étroite ceinture autour de ma taille, et les trois chaînettes, une par derrière qui suit le sillon des fesses, et les deux autres par-devant, qui longent le pli des aines en contournant le triangle pubien. Elles sont ajustées au plus court, pour m’écarteler l’anus déjà bien sensible. Je ne peux être tentée de me soulager de cette contrainte anale. Une combinaison secrète sur mon téléphone portable active les va-et-vient et mon bassin ondule sur cet amant infatigable.
- Tu vas le porter jusqu’à l’arrivée des invités. Tu reste nue pour tout le monde puisse voir que tu portes ton Anal Phallus, et en mules, les cheveux libres, avec tes carcans de fer, fardée et parfumée, les yeux bandés.
J’accepte. Je dois cesser de marcher quelques instants, tant les vagues de plaisir me submergent. Je suis une vraie chienne en chaleur, allant jusqu’à me mettre à quatre pattes pour jouir, enculée par cet amant.
Vers 22 heures, les premiers couples arrivent. Je les attends, nue debout, les yeux bandés, cuisses écartées, pieds nus sur le marbre froid. Ils me caressent, forcent ma bouche entre deux râles de plaisir, mes mains sont jointes à mon collier. Les autres soumises sont violées dans le pavillon de chasse. Je suis l’invitée de la soirée.
- Quelle superbe chienne, cette beauté, elle mouille déjà d’excitation, dit l’un d’eux.
Les caresses succèdent aux fellations, pour me mettre en valeur. Je mets tout mon savoir-faire jusqu’à l’éjaculation en bouche, submergée par de nouvelles vagues anales.
Vers 23 heures, le Commandant me retire délicatement le gode, devant l’assistance. Mon anus est filmé en gros plan, on commente mon ouverture, ma lubrification. On me fouille jusqu’à quatre doigts, des langues et des doigts masturbent mon clitoris. Je me retiens de jouir.
Enfin, je suis enculée sauvagement, profondément, suçant, prise en double anale, avalant, avant d’être offerte comme pute anale dans les diverses chambres, le Commandant tient à réduire mes partenaires pour ne pas me fatiguer. Mes saillies anales canines sont très suivies, ainsi que ma première double pénétration canine.
3 août
Vers onze heures, j’émerge dans ma chambre, nue, toute propre, sans aucune trace de sperme, de sueur, parfumée.
- Tu as été au-delà des espérances, ma belle Pénélope. Je t’ai laissé dormir, tes hanches sont douloureuses, après les ébats nocturnes. Tu as même réclamer que je t’encules, dans ton sommeil. Je me suis exécuté, tu as connu un tel orgasme anal que tu t’es évanouie.
- Je ne me souviens plus très bien. Cette double pénétration canine m’a plongé dans une perte de connaissance jouissive.
- Repose-toi jusqu’à ce soir. Tu vas remettre ton gode pour ta nouvelle soirée.
Le rituel dure pendant huit jours.
11 août
Vers 8 heures, j’émerge, me libérant du Commandant, qui m’a enculée, en cuillères. Je suis toute trempée et mon anus dégouline de spermes.
Je remets mon bijou d’anus.
Le Commandant se réveille.
- Ma belle Svetlana, ton séjour prend fin aujourd’hui. Hier, tu t’es donnée au maximum du plaisir. Cela a plu aux invités. Tu sais que ton séjour a permis de récolter la somme de 20 millions, dont une partie te revient. Tu as été payée double car tu es ferrée, marquée et tu es membre de DSC. Tu peux rentrer chez Marquis, qui t’attend. Tu lui as manquée, mais les photos et les vidéos de toi l’ont surpris. Tu es une sacrée chienne vicieuse.
- Je suis d’abord ta chienne, Commandant.
- Va te baigner, Svetlana, te faire une beauté, déjeuner.
J’obéis. Mais ce n’est mon valet habituel, mais Vénus Chienne Câline devenue Maîtresse Vénus qui vient me baigner. Je ne suis pas menottée comme habituellement, mais je reste accroupie, cuisses écartées par habitude. Mes poils pubiens commencent à repousser et ma chatte se recouvre de poils, avec l’autorisation du Commandant.
- Svetlana, tu vas nous manquer. Je t’aime, Svetlana. Même si je ne connais ta vraie identité, ton amant a beaucoup de chance d’avoir une telle déesse du sexe.
- Embrasse-moi, Vénus. Cela fait longtemps qu’une femme ne m’a pas embrasser.
Vénus m’embrasse langoureusement, tandis ses mains pelotent mes seins aux mamelons tendus, puis glissent entre mes cuisses humides de désir et masturbent mon gros clitoris. Je jouis, embrassée.
Fardée, parfumée, Vénus me quitte. Le Commandant me retire mes carcans de fer. Je suis libre, tout en étant sa soumise officieuse. Je garde mes cheveux libres.
Sur le lit, je découvre une tenue stricte : un chemisier blanc, un porte-jarretelles à lacer et des bas blancs, une jupe éventail couvrant mes fers et une superbe paires de mules dorées à talons de douze centimètres. Je me regarde dans un des miroirs, mes reins, mes fesses, mes cuisses et mes seins portent les marques blanches de mes coups de cravache, de garcette et de chicotte.
Le Commandant m’aide à lacer mon porte-jarretelles, telle une poupée que l’on habille.
- Ta taille s’est bien affinée depuis tes débuts de soumise auprès d’Alban. Voici un cadeau pour ton œillet, c’est du sur mesure. Je ne vais pas te mettre Anal Phallus aujourd’hui, mais un autre sexe pour ma reine anale.
Il me l’enfonce en douceur, c’est le gland moulé de Sultan, de huit centimètres, sur un sexe réaliste de douze centimètres de long. Je gémis un peu, mais le plaisir anal l’emporte.
-Tu devrais l’essayer la prochaine fois, en pratique.
- J’y compte, Commandant.
Habillée, je retrouve ma Ferrari F40, avec Adam qui m’attends.
Le Commandant me guide par téléphone pour retrouver ma route. Il est 13 heures, j’ai pris un bon déjeuner avant de partir.
En approche de la grande voie routière, deux motards de la gendarmerie m’escortent. Je m’arrête.
- Je suis en infraction, messieurs.
- Non, ordre express du colonel Charles Alexandre et du Marquis, c’est pour faciliter votre retour chez vous, Marquise Pénélope Héraut de Castel.
- Je suis touchée, par autant d’attention.
Cela fait longtemps que l’on n’a pas appelé par ma vraie identité. Je suis trop habituée à Shawn.
A la résidence, je découvre ma nouvelle soubrette, Astrid. C’est une beauté de 18 ans, blonde aux petits seins, aux cheveux courts. C’est ma cousine doublement vierge encore, lesbienne comme à mes débuts.
Elle est vêtue d’une robe blanche courte et d’escarpins blancs à talons de dix centimètres.
- Astrid, tu m’as retrouvée.
- Pénélope, tu m’as manquée. Je suis au courant pour ton mariage, ton enfant, et les viols que tu as subi. Marquis m’a brièvement racontée lors de ton absence, pendant ton séjour au Domaine. Tu es encore plus resplendissante.
Au salon, Astrid est surprise, lorsque je suis nue, en mules, avec ma queue-de-cheval, mes bijoux intimes, mes tatouages, mes marques au fer rouge, sur mon corps musclé, assise cuisses écartées, devant elle, sur le canapé.
- Je suis une authentique soumise, Astrid. Tu me dois le respect. Tu dors dans l’ancienne chambre de Rose.
Rose a été condamnée pour atteinte à ma vie privée, par des fichiers piratés sur mon téléphone portable et d’autres fichiers de prostituées soumises de luxe, qu’elle vendait à Patricia.
- Tu es libre de te caresser, mais interdiction formelle de nettoyer notre chambre ni le bureau du Marquis. Tu fais aussi la cuisine. Tu viens me voir que si c’est important, compris.
- Oui, Pénélope, je serais obéissante.
- Tu m’appelles désormais Madame. Tu baisses les yeux devant moi, toute personne qui est invité chez moi. Je vais te transformer en une soubrette docile.
Adam se glisse entre mes cuisses et me lèche avidement ma chatte et mon clitoris, sans que je m’y oppose. Je commence à jouir.
- Madame…
- C’est la première fois que tu vois une femme jouir avec la langue d’un chien. Mais c’est habituel pour moi, même il me baise et m’encule mieux que tout homme. Tu devras y goûter.
Je lui fais porter aussi le gode Anal Phallus II, que m’a offert le Commandant pour sa défloration anale, cadenassée à sa ceinture de cuir. Elle le porte nue, sous son tablier et son corset seins nus, en mules, coiffée d’une queue-de-cheval, fardée et parfumée.
- Mais cela me fait mal dans mon puits.
- Tu vas t’y habituer. J’ai commencé comme cela.
Elle le porte pendant plusieurs jours, huit à dix heures par jour. La défloration de sa chatte se fera plus tard. Je la gode avec mon gode-ceinture dès que son anus est libre, le matin au lever, après le déjeuner et le soir avant mon coucher avec Marquis.
15 août
Vers 9 heures, une superbe BMW sportive entre.
C’est une ancienne épouse de Marquis, Justine Beau Rivage Châtel, mesurant 1,75 m pour 92-65-92, blonde, en tailleur sur son corset seins nus et jupe, escarpins de douze centimètres et queue-de-cheval. Elle a 40 ans et elle a un fils, James Victor de 20 ans. C’est aussi une sportive en natation, équitation et véliplanchiste. Elle est l’épouse du colonel Charles Alexandre et maîtresse de l’adjudant Oscar.
C’est une soumise de Maître VDS et de Maître H, dont elle porte les anneaux dorés à ses grandes lèvres de sa chatte et son gros clitoris percé d’un anneau avec une pierre précieuse, la bague sertie d’un petit anneau à son annulaire gauche. Elle est doublement ouverte, ancienne lesbienne à 16 ans, elle devenue bisexuelle, soumise, docile et aimant faire l’amour avec les hommes, les femmes et les chiens, surtout les dalmatiens.
Elle est venue voir l’épouse de Marquis, dont elle a eu des échos par Maître VDS. Elle est aussi connue sous Justine Vicieuse Sexe, au Domaine, où elle a passé une année de dressage intense. Je suis vêtue d’un simple paréo transparent sur mes hanches, le ventre plat, mes fesses rebondies et musclées et mes seins sont passés d’un bonnet B à un bonnet C. On devine mes fers entre mes cuisses.
Elle m’embrasse sur la bouche et Marquis lui fait le baise-main.
- Je vous laisse entre femmes, ma chérie. Tu es très belle, Justine.
Astrid nous rejoint, dans sa tenue de soubrette, avec son gode anal en place.
- Pénélope, je suis au courant de ton dressage. Mais on veut t’empêcher de connaître certains secrets du village, par ces mystérieuses morts. Je suis un peu au courant par Charles Alexandre, qui se démène sur tes affaires. C’est pour cela que je couche avec Oscar et j’envisage de coucher avec toi et cette superbe beauté. Tes fers te vont très bien entre tes cuisses.
- J’oublie, c’est Astrid, ma cousine, initiée au plaisir anal. Elle est très portée sur le sexe.
- Tu aimes te promener seins nus, fesses nues et jambes nues comme les soumises du Domaine. J’aime aussi, c’est pratique à l’usage.
Elle se déshabille et je suis subjuguée par sa beauté naturelle, elle a conservé uniquement son triangle pubien velu brun, sa chatte est totalement lisse, elle porte un discret tatouage VDCS sur les reins, souvenir du Maître VDS.
Nous faisons quelques longueurs, surveillées par Adam et Astrid, qui tient les serviettes pour nous sécher.
Elle m’avoue à demi-mot :
- Est-ce toi la propriétaire d’Alizé ? Je souhaiterais l’acquérir pour quelques saillies de ma jument Lady J des Haies.
- Il n’est pas à vendre. Je le monte souvent, tout comme mes autres chevaux. Je les suce aussi, c’est un goût particulièrement et leurs gros glands m’excitent.
- Tu es une sacrée vicieuse équine. Disons 60 millions à débattre.
- Je vais y réfléchir.
Nous prenons une douche lesbienne, nous rappelant nos débuts. Les caresses mutuelles nous font jouir. Nous portons toutes les deux nos gros bijoux d’anus.
Nous enroulons juste une serviette autour de nos cheveux, séchées par Astrid, qui s’attardent sur nos fesses, nos seins et nos chattes.
- Justine, tu restes ici quelques jours. Ton chéri doit être très occupé. Tu me raconteras ta vie au Domaine, pour Astrid.
- Docteur Sexe le sadique, c’est lui, qui t’a marqué au fer rouge sur les fesses. Le tatouage sur tes reins est sublime. C’est Marquis qui t’a ferrée.
- Même dans ma chatte, je suis marquée au fer rouge. Je suis la soumise de Marquis, alias Maître H.
- Dis donc, c’est vrai que l’on dit que Shawn est une lopette anale, une chienne et une traînée accroc au sexe.
- D’où tu tiens ces informations, bien sûr, tu ne connais pas Shawn. Tu connais juste Pénélope.
- C’est Patricia qui m’a essayé de me soutirer des informations sur l’affaire.
- Une chose, Pénélope et Shawn sont la même personne. Shawn est mon diminutif, c’est un nom féminin aussi. Patricia s’est montré mal renseigné, ce n’est pas un bel Adonis.
- Pardonne-moi, je te présente mes excuses.
- Je couche moi aussi avec Oscar et tous les hommes qui me désirent, comme au Domaine et les femmes aussi, c’est mon côté gouine. J’ai découvert le plaisir que les hommes à se faire enculer par une femme avec un gode-ceinture au Domaine. Ils prennent du plaisir et éjaculent abondamment. Il faudra que tu prépares Astrid à son dressage, n’oublie pas, ma chérie.
Astrid attend les ordres.
- Justine, je vais te mettre le gode-ceinture pour enculer Astrid, avant le déjeuner de midi. Aujourd’hui, c’est toi sa maîtresse. Cela fait quatre jours que je l’encule avec le gode-ceinture.
Nous allons à ma chambre. Astrid attend dehors. J’enfonce le superbe gode réaliste anal canin moulé sur le sexe d’un doberman pour Justine, en interne du slip gode-ceinture. Nous libérons nos cheveux des serviettes, nous douchons rapidement, dans des caresses mutuelles, pour nous préparer.
- Il est imposant.
- Quarante par huit pour la préparer, elle commence à jouir. C’est le calibre de Félix et Horace. Ils l’enculeront un peu plus tard dans son dressage.
Au salon, Astrid se met nue, à quatre pattes. Son anus est enduit de sa mouille abondante. Anal Phallus II s’enfonce sans difficultés. Justine l’encule comme un homme, avec de puissants coups de reins, qui déclenche des va-et-vient du gode anal canin dans son anus très sensible. Astrid s’empale, fessée, léchant la chatte de Pénélope, qui jouit.
- Pénélope, je vais jouir avec ce gode. Tu commences à prendre du plaisir avec la langue d’Astrid. Astrid ondule son bassin.
- Tu vois, Astrid commence à avoir son puits bien assoupli, par mes multiples sodomies après le port de Anal Phallus II. Elle jouit maintenant.
Félix et Horace regardent ce trio lesbien. Sans attendre, dans ma position agenouillée, je me fait enculer par Félix. Je double mon plaisir.
- Oui, pine-moi à fond, Félix. Ma gouine Astrid me fait mouiller.
- Madame, tu es très en chaleur aujourd’hui.
Félix éjacule en moi, des orgasmes synchronisés se produisent pour Astrid et Justine.
Astrid suce Félix, qui s’est retiré de mon anus investi par Horace, dans la même position.
Justine nettoie Horace ensuite. Je mets mon bijou d’anus pour garder le précieux sperme de mes amants.
Nous préparons le déjeuner. Astrid est en tenue, Justine et moi nous sommes nues et en mules à talons de douze centimètres, les cheveux libres, Félix et Horace nous aident.
Prudence et Selim se joignent à nous. Prudence se met directement nue devant nous. Les masturbations lesbiennes se succèdent aux fellations jusqu’aux sodomies, assises entre les cuisses de nos amants, pour nos orgasmes. Astrid joue la voyeuse.
Marquis reste au Eros 6996, avec des amis pour qu’Astrid apprenne à sucer.
La journée risque d’être très torride.
L’après-midi à la piscine, à la sortie de la piscine, nue, je me fais saillir sur le champ par Adam, qui m’encule jusqu’au nœud, tout en léchant la chatte de Justine. Je connais de violents orgasmes en trois quart d’heure et une longue éjaculation.
Adam, reposé, encule aussi Justine et Prudence ensuite, me laissant le temps de me doucher et me masturber devant ce superbe spectacle de saillie. Je jouis à nouveau.
Après le souper, nous alternons les double pénétrations entre femmes, par nos amants.
Prudence a décidé d’offrir Justine à Selim, dans la chambre d’amis. Je suis offerte à Félix, Horace et Adam, pour de longues jouissances en double ou en solo, mais baisée ou enculée par Adam, pour combler mes désirs de vicieuse.
16 août
Vers 7 heures, alors que je quitte ma chambre, nue, mon bijou d’anus en place, encore un peu endormie, pieds nus, pour ne pas faire de bruit.
Mon téléphone portable sonne, sur la table du salon. Je décroche.
- Shawn, cela fait longtemps que je ne t’ai pas appelé. A tes 16 ans, tu étais ma muse de la photographie. Tu aimais que je t’embrasse sur la bouche, tes seins naissants, caresse ton pubis, mais jamais tu n’as voulu que je doigte ta jolie chatte d’adolescente.
- Oh oui, j’étais un peu timide. Maintenant, je suis devenue une vraie femme, très vicieuse, doublement ouverte.
- Tu te souviens du magazine Garçons Eros, que tu as feuilleté pendant une après-midi.
- Oui, je me suis masturbée sur une photo. C’étaient de superbes Adonis, bien montés comme je les aime maintenant. Surtout, un superbe jeune brun empalé, enculé sur un autre plus âgé musclé. Je fixais sa queue bien dure en érection. Je vais jouir, mon Sven.
- Caresse-toi la chatte, ton clitoris, j’arrive dans deux heures. Je porte les croissants et un cadeau pour ma déesse Pénélope de Mykonos.
- Tu es trop attentionné. Je te manque tant que cela, mon Sven.
- Regarde, ma belle, je vais jouir pour toi.
En direct, je découvre une vidéo de Sven exhibant son mandrin de trente-trois par huit, éjaculant. Je ne prête pas attention qu’une main masculine lui caresse les testicules. Je lui offre un de mes orgasmes, mes doigts enfoncés dans ma chatte trempée, un de mes doigts sur mon gros clitoris que je caresse.
- Tu es une sacrée vicieuse maintenant. A bientôt, ma Shawn, mon sublime regard vert. J’ai une surprise qui va te plaire, ma déesse du sexe.
- J’ai hâte, mon Sven.
Sven est de passage dans la région. Il a 35 ans et il vit en couple avec Yannis.
C’est mon premier baiser, quand j’étais encore gouine.
Il aimait me photographier sous tous les angles dès mes 16 ans.
Justine m’a surprise discrètement. Elle est nue, pieds nus, rafraîchie par une bonne douche.
- Qui est ce Sven, ma chérie ?
- Un superbe Apollon, bien monté, tu vas aimée. Attention, c’est mon Sven. Je te le prête.
- Tu es amoureuse de lui. Tu collectionnes toi aussi.
- Embrasse-moi et pas un mot à Prudence. Elle va l’adorer aussi. Selim, il a passé la nuit à m’enculer, tandis que Prudence m’a donnée des caresses lesbiennes jouissives sur mon corps.
Dans un long baiser langoureux et passionné lesbien, nous jouissons simultanément, nos mains entre nos cuisses mutuelles, taquinant nos clitoris et doigtant nos chattes humides.
Nous préparons le petit déjeuner tranquillement. Je monte, enfiler une nuisette sexy, couvrant à peine mes fesses, largement ouvert devant de la vallée de mes seins jusqu’au haut e mes cuisses, laissant apparaître mes fers.
Justine choisit juste un tee-shirt blanc sur ses seins nus.
Félix s’habille et surveille la grille.
Vers 9 heures, une Ferrari 812 rouge entre. C’est Sven et un superbe Adonis, inconnu à mes yeux.
Sven est devenu un superbe étalon musclé, élancé, brun, élégamment vêtu en homme d’affaires.
Je l’enlace dans mes bras, l’embrasse comme si c’était notre premier rendez-vous.
- Doucement, ma Shawn chérie, tu es excitée de me revoir. Je te présente Olivier, un de mes amis, âgé de 40 ans, bien monté à ton goût. Il est très intéressé par ton corps et n’a qu’une hâte, te donner du plaisir.
Olivier est un superbe étalon, plus grand que moi, jeune, svelte, mince, androgyne, barbu, en tee-shirt et pantalon.
Olivier me fait le baise-main ainsi qu’à Justine, puis à Prudence.
Je présente Sven à mes amies.
Sven et Olivier s’embrassent sur la bouche. Je me sens un peu gênée, mais je suis aussi une gouine. Mon côté lesbien reprend le dessus.
Je prends les croissants et nous entrons. Je retire ma nuisette sans prêté attention que Olivier ne me quitte pas des yeux, cherchant les moindres détails de mon corps nu, susurrant des mots à Sven. Adam reste assis, silencieux, observateur et n’aboie même pas en présence de Sven et d’Olivier. Je suis surprise.
- Cela combien de temps, que tu portes des bijoux intimes, ma Shawn ?
- Un an, tu aimes, cela m’est en valeur mon clitoris que tu aimes lécher et ma chatte ouverte à tes désirs. Justine en porte aussi.
Justine retire son tee-shirt et aussitôt, Sven guide la main d’Olivier vers mon clitoris tendu entre mes cuisses écartées. Je suis assise entre Sven et Olivier. Justine et Prudence s’occupent chacune de Félix et d’Horace, Selim est présent aussi, nu.
- Doucement, avec mon clitoris, il faut le caresser en douceur. Tu sembles novice.
Sven masturbe le clitoris de Justine qui commence à jouir, tout en mangeant son croissant.
Olivier prend un de mes seins avec douceur, le caresse, jouant avec mon mamelon tendu. Je commence à bien ruisseler entre mes cuisses.
- Ma Shawn, Olivier est expert en plaisir anal, mais n’a jamais caressé une femme. Tu comprends, ma Shawn.
- Il est… Olivier m’embrasse comme lorsqu’il a embrassé Sven.
Je suis surprise, par ce long baiser d’expert.
Pour embrasser, il a la note maximale. Sven embrasse avec la même intensité Justine.
Sven et Olivier se déshabillent. Je tombe sous le charme d’Olivier, exhibant un mandrin de trente-huit par huit par rapport au trente par sept de Sven.
Je suis hésitante.
- Ma Shawn, tu vas aimer ma queue dans ta bouche, m’annonce Olivier, qui me fait accroupir, cuisses écartées devant lui.
Je ne peux refuser.
- Merci, mon Sven, pour ce cadeau. Je vais l’initier à tous les plaisirs. Mon œillet lui sera ouvert rien que pour lui et toi, mon Sven.
Justine fait de même avec Sven. Je ne suis pas jalouse. Justine me filme avec Olivier.
Olivier se retient de jouir et sans attendre, il me fait empaler, enculée, face à lui, accroupie, exhibant ma chatte velue pour l’exciter. Il me laisse l’initiative. Prudence me caresse mes seins et m’embrasse, ce qui excite et fait bander davantage Olivier. Je suis au bord de mon orgasme anal, par ses coups de mandrin dans mon anus en feu.
Olivier se retire en partie, pour que Sven m’encule aussi. Je dois subir une sodomie en alternance, qui me fait exploser de plaisir. Mes fesses sont recouvertes de leurs spermes. Je les nettoie, surtout Olivier. Je suis exténuée, pantelante.
Olivier me prend dans ses bras musclés et m’allonge sur le canapé, cuisses écartées.
Le mandrin partiellement en érection, il m’encule encore, pour que je jouisse rien que pour lui. Il pose mes mollets sur ses épaules, je suis allongée sur le dos, offerte.
- Pine-moi encore, je suis ta chienne.
- Tu as un puits de déesse anale. Je vais te faire jouir, ma belle Shawn.
Je suis toute excitée, ses va-et-vient me font monter une énorme vague de plaisir anal, comme si c’était Adam qui m‘enculait. Olivier sait doser ses coups.
Après une ultime éjaculation dans mon anus, il se couche sur moi, pour un long baiser.
Je sens un poids supplémentaire, c’est Sven qui vient enculer Olivier, pour qu’il éjacule encore dans mon anus lubrifié. Sven me filme aussi.
Libérée de mes amants, je mets mon bijou d’anus. J’invite Olivier sous la douche, rien que nous deux.
Vers 11 heures, je laisse mon Sven nous rejoindre, s’il le désire, mais Prudence et Justine s’occupent de lui.
Olivier me prend dans ses bras et me conduit à ma chambre, telle une déesse épuisée. Justine suit discrètement et Olivier laisse la porte entrouverte. Adam entre discrètement.
Olivier me révèle :
- Au fait, tu te souviens à Fuerteventura, dans la villa où tu venais souvent, voir ton Sven et Oscar. Un après-midi, lors de ta venue, j’ai failli me noyer, mais tu t’enfuis, en pensant que je plaisantais. Mais heureusement que Sven et Oscar m’ont sauvé. Je suis un être sensible. A Fuerteventura, il n’en avait que Sven, Yannis et c’est tout, Oscar et moi, nous étions ignorés. Même le jour de tes premières règles et de ta première relation lesbienne avec une certaine Fleur, amoureuse d’Eros, que tu n’as jamais eu le privilège de rencontrer. Ton surnom de Shawn vient du célèbre acteur Sean, sur lequel tu fantasmais, toi la lesbienne. En cachette, Yannis te montrait des livres osés ainsi que des films pour t’instruire sur le BDSM, l’anal, la partouze, l’échangisme, les divers jeux sexuels vicieux voir la zoophilie. Depuis un an, tu t’es rattrapée, devenue soumise, prêt à tous les vices. Marquis sait tu es une libertine bien docile. Tu sais que c’est moi, qui masturbé ton Sven, lors de l’appel sur ton portable.
- Mon Olivier, d’où tu tiens tout ceci. C’est ma vie privée, j’informe qui je veux. Je m’excuse de mon comportement à Fuerteventura. J’étais folle amoureuse secrètement de Yannis. Les larmes commencent à couler, je suis toute tremblante comme une feuille et me console en enlaçant Olivier. Je sais que Sven est marié à Yannis.
- Tiens, ma Shawn montre un autre visage. C’est une femme mariée sage, qui veut cacher son passé osé. Je vais sécher tes larmes et tu te refais belle pour les autres. Pas un mot sur ce que je t’ai révélé. Adam doit être un excellent amant, quand Marquis n’est pas là. Tu veux que l’on se douche ensemble, ma belle Shawn ou Pénélope la vicieuse. Tu sais aussi que Oscar est un homosexuel, qui aime enculer les femmes au sens propre et au sens figuré. Quand à moi, je suis encore novice pour l’amour avec des femmes, je suis prêt à être ton élève, Maîtresse Svetlana.
Je reste silencieuse, prête à le gifler, pour ses révélations.
Mais Olivier me prend la main gauche et me glisse discrètement une bague sertie d’une pierre précieuse à mon majeur gauche, anticipe ma gifle et m’annonce :
- Tu me fais un caprice. Tu te tiens à carreau, sinon tout le monde va connaître la vraie Shawn.
Sous la douche, observée et filmée par Justine, les caresses se succèdent, je le suce, il me baise, empalée, le chevauchant, soutenue sous les cuisses, par ses bras musclés, mes seins contre son torse. Je connais un long orgasme, mon clitoris est très sollicité, ma chatte est écartelée par son gros mandrin. Je nettoie et avale tout des derniers jets de sperme d’Olivier.
Une fois séchée par lui, je me refais une beauté. Je reste toute nue et je chausse mes mules blanches à talons de douze centimètres, les cheveux libres, fardée et parfumée.
Je tiens la main à Olivier. Je suis surprise par la bague à mon majeur gauche, qui complète ma bague sertie d’un petit anneau à mon annulaire gauche et celle à mon majeur droit . Justine reste à l’écart et nous suit avec Adam.
Dans le salon, la table est mise. Olivier remarque qu’il n’y a que six chaises pour huit invités. Nous sommes que trois femmes Justine, Prudence et moi, et mes amants Félix, Horace, Sven, Olivier, Selim.
Olivier annonce à haute voix :
- Je me prends Shawn en anal, assise entre mes cuisses. Messieurs, je vous laisse Justine et Prudence. Pénélope, tu me suces, avant de t’asseoir entre mes cuisses, ma belle soumise.
Je suis un peu gênée. La honte m’envahit.
- Olivier, je m’excuse de mon comportement à Fuerteventura. Je suis ton amoureuse.
Les autres étalons restent bouche bée, même Justine et Prudence.
- Olivier t’a charmé, ma Shawn, annonce Sven.
- Oui, notre Shawn a été dompté par Olivier, annonce Selim.
- Mais non, vous voyez, c’est sa Shawn, elle le protège. Tout comme son Sven, elle l’adore, mais elle adore aussi son chéri, tout comme Yannis et surtout son Oscar, annonce Justine, empalée, assise entre les cuisses d’Horace, enculée sur Horace, qui est déjà en érection.
- Ma Justine, toi aussi, tu es au parfum, dit Sven.
Le silence règne dans le salon. Je suis embarrassée, je m’exécute, suçant Olivier, avant de m’empaler, enculée sur lui.
Jusqu’au dessert, pas un mot n’est prononcé. Prudence et Justine font le service, aidée par leurs amants Horace et Sven.
Pour le dessert, Sven annonce officiellement :
- Je vous annonce que Yannis va inviter prochainement Pénélope, Justine et Prudence à son anniversaire. Attention, il y aura des surprises, des partouzes masculines où ses dames se feront un plaisir.
- Répète un peu…. Pendant que l’orgasme anal m’envahit.
- Tu as très compris, ma Shawn. Yannis t’attend. Il a aussi envie de te faire monter au septième ciel. Tu n’as pas oublié le célèbre jour, où je t’ai vu en pleurs, lors de tes premières règles, le lendemain de ta première nuit de caresses par mes soins, refusant ma queue dans ta superbe chatte, que tu réservais à un soit disant prince charmant, la belle princesse Pénélope. Le lit était tout tâché, tu avais eu lâché un jet de mouille sur les draps, encore excitée. J’ai du te doucher, tu as lavé les draps pour cacher tes désastres intimes et je t’ai appris à mettre un tampon hygiénique pour la première fois. Mais depuis, tu n’en portes plus, comme tu es tombée enceinte.
Elle a la peur de sa vie, ma Shawn, annonce Prudence, prête à son orgasme anal.
- Mon Sven m’a consolée, tout en m’expliquant les règles. C’est la première fois qu’un homme me parlait de ce sujet, que j’ai discuté avec des femmes. Je lui ai posé plusieurs questions, tout en me laissant caresser ma chatte toute propre.
- Tu te souviens de la première fois où Yannis a voulu te fouiller ton œillet vierge.
- Non, pas cet événement, mon Sven.
- Ma Shawn protestait, lui disant que c’est douloureux, qu’il devait retirer ses doigts, que c’est sale. Ma Shawn a failli gifler son Yannis, retenu par la main de Yannis. Pour elle, une femme doit uniquement jouir de sa chatte.
- J’avoue que j’ai eu un peu mal, mais Yannis ne m’a pas enculée ce jour-là.
- Vicieuse anale, ma Shawn, annonce Oscar, qui débarque à l’improviste.
Car discrètement Félix a un appel d’Oscar.
- Mon Oscar, que fais-tu là avec ce bel étalon en ta compagnie ?
- Tiens en excellente compagnie, Justine ma maîtresse, toi ma maîtresse. Tiens, Sven, quel plaisir, les jouissances avec toi et tu n’es pas seul, le fameux marteau pilon anal est présent aussi. Moi, je te présente Nounours Conan.
Conan est un nom d’un de mes amants canins, le doberman du Domaine.
Conan est un superbe étalon, trapu, barbu, chauve, au buste velu, musclé, un peu plus grand qu’Olivier, très gentil.
- C’est toi, la sublime Shawn dont on parle souvent. Cela te dirait de voir ma belle queue, tu regardes mes muscles ma belle.
Pantelante de mon orgasme anal, suivi d’une longue éjaculation d’Olivier, je suis un peu déboussolée par l’annonce de Conan.
- Ma Shawn, annonce Sven, Yannis possède une villa sur la plage naturiste, avec piscine, jacuzzi et possède aussi un yacht pour des rendez-vous coquins entre hommes. Il a maintenant a 30 ans. Il n’a cessé de te draguer lors de tes vacances à Mykonos et à Fuerteventura, devant mes parents dès mes 16 ans. Yannis m’a même révélé que tu étais sa déesse en bikini. Il aimait surtout te branler la chatte et le clitoris jusqu’à la jouissance et tu n’a jamais fait sucer son superbe mandrin, sur lequel tu fantasmes des fois.
Je me retire d’Olivier, le suce et je pars me reposer près de la piscine.
La discussion s’engage entre Prudence, Justine et les hommes. Olivier m’observe discrètement. Adam est à mes côtés.
Vers 15 heures, alors qu’Oscar s’occupe de sa Justine, à l’enculer, Olivier annonce à haute voix :
- Vous savez, Ma Pénélope a d’un vice caché. Conan doit être un superbe amant, je ne parle de toi, Nounours. Mais Adam, c’est divin pour elle, quand elle est toute seule chez elle, c’est un concert de mélodies, dans la chatte, dans son puits interdit, dans sa bouche. Il paraît que aussi elle fait des gâteries à un superbe étalon noir, dont je ne connais pas le nom.
- Tu insinues quoi, mon Olivier, ma Pénélope a des tabous cachés. Si Adam est le berger allemand y présent, donc Conan serait un autre amant canin, annonce Justine. Moi, c’est Arès, mon chéri, un superbe dalmatien qui me monte très souvent, quand je suis seule. L’étalon noir serait-ce le trotteur français Alizé ?
Le silence règne. Shawn zoophile la coquine questionne.
Adam monte sur la chaise longue. Je suis allongée sur le ventre, toute nue, me séchant d’une bonne douche près de la piscine, cuisses un peu écartées.
Adam m’encule jusqu’au nœud. Je suis submergée par un nouvel orgasme anal assez violent.
Les yeux mi-clos, je suis entourée de l’assistance. Les hommes se masturbent devant le spectacle offert de la chienne Shawn enculée par son Adam, avec leurs téléphones portables allumés pour filmer.
Prudence et Justine observent, en se caressant mutuellement.
La saillie dure trois quart d’heure.
Juste avant l’éjaculation, ses messieurs se relaient pour éjaculer dans ma bouche grande ouverte par mes râles de plaisir. Je vais de mon mieux pour avaler les giclées de sperme, dont celle de Conan.
Les hommes se retirent, peu avant qu’Adam se retire et me lèche l’anus dégoulinant de son sperme.
Je me repose, reprenant mes esprits. Je suis aux anges, devant mes voyeurs. Je remet discrètement mon bijou d’anus pour garder le sperme chaud d’Adam.
Les hommes ne disent rien, ni Prudence et Justine.
Je vais pour monter dans ma chambre, nue, pieds nus, quand Olivier me retient par la main gauche.
- Tu t’éclipses. Tu as pris ton plaisir avec Adam, mais pas avec Conan. Tu te réserves pour ce soir.
- Au fait, ma Shawn, annonce Prudence, je suis invitée pour quelques jours, avec Selim. Nous partons prochainement. J’ai hâte de goûter à ton Conan.
- Lequel, le Nounours ou le doberman, Ma belle Prudence, tu es aussi vicieuse que moi.
- Non, ma Prudence serait plutôt Arès, pour se faire plaisir, annonce Justine. Toi, tu suces bien Alizé.
Vers 18 heures, je monte tout courant, en laissant mes mules à la piscine. Je laisse la porte entrouverte de ma chambre.
Discrètement, on me dépose mes mules devant la porte de ma chambre, avec un coffret à bijoux.
Je me douche longuement, tout en expulsant le sperme d’Adam, l’anus libre, sans faire attention, repensant à mes erreurs du passé. J’ai manqué un peu de respect à tous ces hommes. Je dois me reprendre.
Je récupère mes mules et ouvre le coffret à bijoux. C’est un superbe collier assorti à ma bague de mon majeur gauche. Olivier est un homme qui connaît comment séduire une femme.
Je mets ma guêpière seins nus blanche, mes bas blancs fixés aux jarretelles, sous une robe fuchsia fermée devant par un zip du col jusqu’au bas de la jupe couvrant mes fers, fardée et parfumée. La guêpière est lacée étroitement, dégage bien mon pubis et les hanches, elle est aussi plus courte par-derrière et laisse la croupe entièrement libre, pour faire usage de moi.
J’ai remis du vernis sur mes ongles des mains et des pieds, avant de mettre mes bas. Je glisse mes pieds gainés de soie dans mes sandales à talons de quinze centimètres. Je laisse mes cheveux libres.
Justine me rejoint.
- Au fait, je suis attendue au Domaine en ta compagnie, ma Shawn. Je dois me préparer. Le rendez-vous est à 22 heures. Le temps de faire la route jusqu’au Domaine, il faut nous hâter, annonce Justine. Tu es sublime avec ce superbe collier. Qui te l’offert, comme cette bague à ton majeur gauche ?
- Devine, ma Justine, un de mes amants du salon. Il est très attentionné.
- Ton Olivier, après ton Sven, j’ai compris ta tactique de séduction. Tu attendais juste Sven, mais Olivier, Oscar et Conan sont là en plus.
- Mon Olivier, ce n’est pas mon Olivier, notre Olivier à tous les trois, avec Prudence.
- Coquine, Olivier savait pour tes saillies canines et ta fellation équine. Il est très discret, observateur, il me plait. Il sait que je ne suis pas ferrée, car il m’a connue comme mannequin. Cela aurait gênant pour la lingerie et les maillots de bain, tout comme les marques au fer rouge sur les fesses comme toi. Il a été mon secrétaire personnel et connaît aussi le commandant.
Justine choisit la même guêpière seins nus que moi, noire, avec des bas noirs, sous une robe moulante noire sur ses seins, fendue discrètement derrière et cachant ses anneaux de sa chatte. Elle chausse des mules blanches à talons de douze centimètres. Elle se coiffe d’une queue-de-cheval.
Oscar s’éclipse discrètement avec Conan, qui a enculé Justine juste avant qu’elle me rejoigne.
En sortant de ma chambre, main dans la main, nous rejoignons le salon.
- Tiens, voici les belles de nuit, sexy, tu sors ma Shawn. Tu vas avec ta Justine. Tu nous laisse juste avec Prudence, annonce Olivier.
- Je reviens dans la nuit, mes amours. C’est soirée lesbienne, avec ma Justine. Entrée interdite aux hommes, c’est compris.
-Ta jupe est tâchée derrière. Tu n’as pas fait attention, annonce Olivier, en me regardant passer vers la sortie.
- Tu t’intéresses à ma tenue, coquin.
En effet, sans faire attention, le sperme d’Adam a coulé le long du dos de ma cuisse gauche et le long du dessous de mon bas, quand je l’ai enfilé.
Je conduis ma Ferrari F40, avec Justine à mes côtés.
Sven s’éclipse peu après. Olivier lui a donné un GPS pour me suivre discrètement.
Justine remarque mon portable.
- Les étalons t’ont envoyé des vidéos et des photos de ta journée, avec tes amants, Adam et avec surtout avec Olivier.
Un curieux message apparaît sur mon téléphone :
« Ma belle Shawn, je connais ton lieu de rendez-vous. Peut-être tu seras surprise. Signé MPA. »
- Ma Justine, tu connais ce MPA. Ce pseudonyme m’est inconnu.
- Moi non plus, je ne connais pas.
Mon téléphone portable sonne :
- Maîtresse Svetlana, je vous attends avec JVS. Les invités sont impatients de vous revoir.
- Commandant, nous sommes en route. Je suis escortée jusqu’au Domaine par deux motards de la gendarmerie comme à mon retour. C’est vous qui les a fait prévenir.
- Non, ce n’est pas mon genre. Peut-être ton mari, il te souhaite sous bonne garde.
Je remarque dans mon rétroviseur, les phares d’une Ferrari. Mais je pense à un mirage nocturne. Une autre Ferrari dans les environs, ce n’est pas possible.
Sven est présent aussi, pour photographier ma soirée SM.
Vers 21 heures, Sven arrive un peu avant, par un raccourci donné par le Commandant.
Sven indique aux valets :
- Si la Ferrari de Maîtresse Svetlana arrive, elle devra stationner devant l’entrée du hall. Vous la garez près de la mienne.
A 22 heures, nous entrons dans l’allée et les valets me font stationner devant le hall menant au rez-de-chaussée. Je tente de m’éclipser pour me changer, mais une nuée d’étalons me photographient avec des flashs, des téléphones portables, non vêtue en Maîtresse Svetlana.
Heureusement, qu’un galant homme réussit à me conduire aux toilettes pour hommes, pour que je puisse me changer.
Je porte mon boléro transparent fermé au cou, mon corset seins nus, mon pantalon, en gardant sans faire attention, mon porte-jarretelles et mes bas, mon bijou d’anus est mis en place, mes pieds nus sont chaussés de cuissardes à talons de dix centimètres. Je me coiffe d’un chignon et je porte un loup, pour mon statut de Maîtresse Svetlana. Je n’ai pas le temps d’épiler mon pubis et ma chatte, tellement occupée par mes amants à la résidence. L’homme galant m’aide à m’habiller, il porte une cagoule noire ne laissant visible que ses yeux et sa bouche, en veste noire, le reste du corps nu, en bottes et me toise, me susurrant :
- Maîtresse Svetlana, vous avez une superbe traînée le long de votre cuisse jusqu’au mollet gauche.
Je me regarde dans le miroir. C’est vrai. Olivier me l’a fait remarquée. Je tente de l’effacer, mais le sperme d’Adam commence à sécher et je fais de mon mieux.
Je rejoins les invités, le Commandant est présent. Il fait le baise-main à JVS, déjà en guêpière, bas et mules, entourée d’un groupe d’étalons, exhibant leurs mandrins imposants, prête à la prendre.
- Ma chérie, le Domaine a beaucoup changé depuis ma venue. Tu es resplendissante. Le Commandant pourrait te convoquer à la chambre du troisième étage, où il t’a déjà prise.
- Curieux, ce n’est pas dans les habitudes du Commandant, je fais mes prestations et il n’a jamais convoqué auparavant.
De superbes hommes-soubrettes, cagoulés, aux testicules épilés, munis d’anneaux dorés, avec un étireur de testicules, sous leurs tabliers, entièrement épilés, chaussés de mules à talons de douze centimètres, apportent les collations, se prosternent devant.
- Cela te plait, ces hommes-soubrettes, Maîtresse Svetlana, m’annonce Sven, caché sous un masque couvrant le haut de son visage, ne laissant apparaître que sa bouche, entièrement recouvert d’une combinaison noire, laissant visible que le mandrin nu en érection. Tu as omis d’épiler ton pubis et ta chatte. C’est vrai que la journée a été forte en émotion.
C’est toi, mon Sven.
Sven disparaît dans la foule.
Je m’occupe des invités, me faisant jouir, avec plusieurs.
Vers 23 heures, un cortège de valets escorte un superbe étalon cagoulé avec un bâillon O, nu, aux testicules percés de nombreux anneaux dorés, avec un étireur de testicules, pieds nus. Quel est ce superbe étalon ? Je me questionne.
17 août
Vers minuit, Sven découvre dans une des chambres, au sous-sol, le même superbe soumis escorté auparavant, nu, avec un étireur de testicules épilés, qui sont percés de nombreux anneaux dorés, debout, avec une cagoule ne laissant visible que sa bouche bâillonné avec un bâillon O, suspendu par les bras, menotté, dans une pièce sombre. Il a été fouetté sur les fesses, les cuisses et les reins.
Maître VDS invite Sven :
- Encule-le, mon Sven. Je vais rendre folle de rage, JVS.
Sven obéit.
Curieuse, je découvre la scène, en suivant Sven. J’en suis toute excitée et me masturbe discrètement, nue, ayant retiré mon corset, mon pantalon, mon boléro, mon porte-jarretelles et mes bas, ne gardant que mes cuissardes, avec mon loup de Maîtresse Svetlana. La pièce est équipée de discrètes caméras reliées aux téléphones portables des invités.
Des mains inconnues me pelotent les seins et masturbent mon clitoris, tandis que mes doigts fouillent ma chatte humide.
- Tu aimes, ma belle, dit une des voix masculines.
- Oui, fais-moi jouir. Je suis toute à toi.
Le comble est que Sven et Maître VDS sucent ce bel Adonis. Je suis au bord de l’orgasme.
Des vidéos défilent sur l’écran de télévision. Je suis surprise en croyant voir un étalon ressemblant à Yannis, enculé par un autre superbe Adonis cagoulé, nu.
Un mandrin imposant m’encule sans me prévenir jusqu’aux testicules.
- Tu aimes, que je te défonce l’œillet, grand ouvert pour ma grosse queue.
- Je suis toute chaude, pour toi.
J’explose dans un long râle. Mais la pièce étant insonorisée, on ne m’entend pas.
On retire la cagoule. Le soumis est en sueur. C’est Oscar.
L’homme se retire de moi et libère des jets de sperme sur mes fesses brûlantes par ses claques magistrales. Il disparaît.
Je me retourne, caresse mes fesses brûlantes et récupère le sperme que je lèche.
Je me retire aussi. Je n’ose avoué à Justine, ce trio homosexuel.
Dans une des chambres mitoyenne, je suis rattrapée par Sven, devant le Commandant.
- Tiens, ma belle Pénélope ou Shawn, selon les envies. Tu as assisté au dressage de ton amant Oscar, qui est en couple avec Conan. Mais aussi amant de JVS, tu ne connais pas tout.
- Commandant, je veux enculer Oscar.
- Désolé, c’est un soumis pour les Maîtres uniquement et non pas pour les Maîtresses. Mais au fait, c’est MPA qui t’a prise tout à l’heure, pendant la sodomie d’Oscar. Tu l’aimes, Maître H le sait. Encule-la profondément, Sire Vices. Elle est à toi, cette vicieuse.
Je me remets de mon orgasme anal par l’inconnu.
Je suis à quatre pattes, telle une chienne. Des voyeurs se pressent autour du lit, des miroirs sur les murs et le plafond reflètent ma sodomie profonde. Je suis tellement ouverte, que je jouis rapidement, bien lubrifiée par le sperme d’Adam.
- Adam t’a bien honorée à la piscine, annonce le Commandant. Tu te donnes à Conan, Sultan. Tu te comportes comme une chienne chevaline.
- Elle a son clitoris tendu à l’extrême et elle commence à me serrer avec son œillet, dit Sven.
- Elle prend son plaisir, quand on lui parle de ses amants canins. Tu es une jouisseuse anale, Pénélope. Maître H est au courant de ta journée et des autres journées avec tes autres amants. Cravache-lui les fesses.
Les coups de cravache de Sven sur mes fesses, décuple mon orgasme et un puissant jet de mouille inonde les draps.
Sven éjacule en moi, emprisonné dans mon anus en feu.
Sven se retire.
- Suce-le et nettoie-le, tu es une sacrée chienne, Pénélope.
J’obéis.
J’avale tout. Je vais pour me lever. Mais le Commandant m’offre son mandrin à sucer, ainsi que de ceux des voyeurs à sucer jusqu’à l’éjaculation dans ma bouche. Je suis humiliée, mais excitée aussi. Je m’exécute, sans les mains, avec les yeux baissés, redevenue simple soumise.
Vers deux heures du matin, le Commandant me tient par la main. J’ai eu le temps d’épiler le pubis et la chatte, dans une petite salle de bains, devant un grand miroir, et mes voyeurs que j’ai sucée. Je garde mon loup et mon corset seins nus, chaussée de mules à talons de douze centimètres, les cheveux libres.
La Rolls-Royce conduite par Nathan, débarque Olivier et Selim, masqués de loups, en tenue laissant juste visible leurs mandrins nus.
Le Commandant me fait monter au troisième étage, sans me laisser le temps de découvrir les nouveaux invités.
- Assis-toi sur le lit, cuisses écartées, les yeux baissés, Pénélope.
- J’ai commis une grosse faute, Commandant.
Tu écoutes et tu réponds ensuite.
- Sais-tu que JVS a dressé Oscar, bien avant ta soumission, lorsqu’elle avait ton âge. Autre chose, ton comportement à Fuerteventura est un total mépris de MPA. Tu t’es excusée auprès de lui. Tu savais que tu devais ce soir, je t’ai prévenu sur ton téléphone portable. Mais non, tu t’offres à un harem de Garçons Eros, qui aiment aussi prendre les déesses comme toi. Tu te comportes comme une authentique pute et Maître H le sait, mais il connaît ton côté libertine. J’envisage de dresser Astrid personnellement pendant une année. Tu auras des vidéos de son dressage. Tes caprices risquent de te coûter cher.
- Je reconnais que je vois un homme, je ne contrôle plus mes pulsions sexuelles. Devenue bisexuelle, j’ai besoin d’être prise à tout moment. MPA, je vais m’excuser auprès de lui. Je vais arrêter d’être capricieuse avec les hommes.
Une larme coule de mes yeux, submergée par l’émotion et mes fautes commises.
- Reprends-toi, tu pleures. Va te refaire une beauté.
Olivier écoute discrètement par la porte entrouverte de la chambre.
Soudain, Justine aperçoit Olivier et le bouscule.
- Ma Shawn, ma Pénélope ou Maîtresse Svetlana, c’est toi, qui a organisé la punition d’Oscar, mon amant et ton amant. Tu es une…
- Du calme, JVS, c’est moi personnellement, en accord avec ton mari. Oscar doit rester uniquement un soumis et non pas votre amant, mesdames. JVS, autre chose, toi aussi, tu t’es offerte depuis ton arrivée chez Pénélope. Tu n’es pas mieux, qu’une pute et une chienne.
- Non…
- Silence, tu répondras ensuite. Svetlana va te baigner. Tu as besoin de décompresser. Quant à toi, JVS, tu as interdiction formelle d’acquérir les chevaux de Svetlana, ils appartiennent au Domaine. Toi, aussi, tu pleures, c’est la vidéo d’Oscar, qui te fait craquer. Ton mari souhaite une épouse exemplaire, comme Svetlana. Finis les relations hors mariage. Tu as un fils à élever. Tu peux rester amie avec Svetlana.
Dans l’immense baignoire qui occupe la moitié de la pièce. Je m’accroupie, cuisses écartées, les yeux baissés, inconsciemment. Je m’insère la canule dans mon anus, pour mon lavement. Je me retiens de jouir. Des miroirs sur les murs et au plafond exhibent mon corps et celui d’un inconnu.
Sven m’attends, sans sa tenue, le mandrin en érection.
- Mon Sven, que fais-tu dans mon bain ?
- C’est un accord avec le Commandant. C’est confidentiel. Tu t’es comportée avec élégance avec tes invités.
- Prends-moi, encule-moi, je suis ta chienne.
- Mais avant, Ma Shawn, tu dois te faire prendre par MPA et lui présenter officiellement tes excuses, devant le Commandant et JVS.
Olivier entre nu, cagoulé. Il m’encule, l’anus libéré de la canule. Je suis offerte à quatre pattes, les yeux baissés, avant de jouir.
- MPA, je m’excuse de mon comportement à Fuerteventura.
- Très bien, ma belle Shawn, je t’autorise à jouir. Mais avant, il faut attendre Justine.
Le Commandant, tenant par la main, Justine arrive.
- Justine s’est excusée de son comportement. MPA t’encules, ma Svetlana. Tu t’es excusée auprès de lui. Il sait beaucoup sur toi, Svetlana, sans te le dire.
Je reste silencieuse, me concentrant sur mon plaisir anal. Selim m’observe aussi. Je le suce ainsi que Sven. Justine caresse mes seins et mon clitoris.
En quelques va-et-vient, Olivier éjacule longuement en moi. Il reste en moi après mon orgasme anal. Sven et Selim inondent ma bouche et je partage leurs spermes avec Justine, devant le Commandant.
Il est 4 heures du matin, quand nous quittons la salle de bains. Le Commandant m’autorise à dormir avec Sven et Olivier, pour me caresser uniquement, sans aucune jouissance de ma chatte et ni enculée. Je suis un peu frustrée, mais c’est ma punition.
Justine doit subir une longue double pénétration par le Commandant et Selim, avant le départ de Selim.
Nous quittons le Domaine vers 7 heures, un bon petit déjeuner nous rassasie. Sven reste au Domaine pour faire des photos du lieu.
Astrid a passé la nuit au Eros 6996 et une partie de la journée, pour son dressage et ses premières sodomies par de vrais étalons en rut.
Olivier se repose sur le canapé, Adam à ses côtés, Justine et moi dormons dans ma chambre.
Le Marquis revient à l’improviste. Selim et Prudence sont partis au lever du soleil, hors du département.
Il découvre Olivier en compagnie d’Adam. Puis il nous découvre, enlacées, seins contre seins, bouche contre bouche, comme deux lesbiennes.
Vers 10 heures, j’émerge et je descends nue. Olivier s’est éclipsé avec Sven, qui l’a récupéré sans même me dire au revoir. Je suis un peu triste de leur départ.
- Ma chérie Shawn, tu es toute pensive. Tes amis sont tous partis.
- Surtout, mon Olivier, il va me manquer plus que mon Sven.
Il essuie mes larmes. Je suis fiévreuse.
- Ma chérie Shawn, tu dois continuer tes aventures sexuelles libertines. Je ne te les interdit pas, mais avec modération.
- J’ai fautée avec mon Olivier. Je suis punie.
- Tu ne pensais qu’à toi. Ton Sven t’a préparée sans le savoir à avoir des relations sexuelles avec des hommes, tant que tu étais lesbienne. Je suis au courant de tes aventures passées.
- Comment, c’est mon Olivier encore.
- Non, je ne peux te donner ma source.
- Le Domaine m’a transformée en pute et en chienne, mais je suis ton épouse fidèle avant tout. Je te dois obéissance.
Mon téléphone portable sonne :
- Eh, ma Shawn, devine qui t’appelles ? Tu n’es au mieux de ta forme, les larmes sur ton visage. L’inconnu me voit en vidéo.
- On se revoit quand, mon Olivier. J’ai hâte de recevoir tes hommages à nouveau.
- Eh, non, ce n’est pas ton Olivier. C’est votre nouveau gynécologue, Sire Dan de Sade. Je vous attends à mon cabinet, pour votre visite. J’espère que vous êtes épilée. J’ai vu des photos de votre superbe chatte et je suis un habitué du Domaine. Je vous ai peut-être enculée, sans me reconnaître, devant un homme cagoulé, enculé par d’autres hommes.
- C’est vous, hier dans la nuit. J’aime comment vous m’avez enculée. Je n’ai jamais pris autant de plaisir, mais avec MPA c’était divin.
- Vous me raconterez, rendez-vous le 18 à 15 heures, à l’adresse du cabinet de la gynécologue, qui a suivi votre grossesse, belle déesse du sexe. Maîtresse Svetlana pour les intimes, je vous admire.
Il raccroche. Je suis toute surprise de cet appel. Je me mets à sourire.
- Tu vois, tu vas certainement aimer Sire Dan de Sade.
Justine me rejoint, ayant entendu de loin la conversation.
- Ma Shawn, je vais encore rester une journée chez toi. Je rompt avec Oscar, mais on reste amies toutes les deux. Sire Dan de Sade est mon gynécologue aussi. Il connaît les femmes mieux que quiconque, sauf notre Olivier. Il a un côté féminin développé. Il connaît aussi quelques-uns de mes secrets. Je dois m’occuper de mon fils James Victor. Je vais l’initier à la sodomie, pour remplacer ton amant Oscar.
- Non, tu ferais ça pour ce que je te fais, Justine.
- Oui, tu as le numéro de mon Olivier ou de ton Sven ?
- Je vais te les envoyer. Tu comptes les revoir, toi aussi. Mon cœur balance entre les deux. C’est mon côté chienne qui ressort.
Nues, avec Félix et Horace, nous sommes offertes en orgie à nos amants jusqu’au déjeuner. L’après-midi, je m’offre à notre duo lesbien, dans ma chambre, où se mêlent les godes réalistes, les godes canins, les gode-ceintures, les doigtés de nos chattes et de nos anus bien lubrifiés, multipliant nos orgasmes lesbiens, jusqu’à un bon repos.
Vers 20 heures, Sven m’envoie le soir, les photos du soumis Oscar. Je suis excitée. Sven m’avoue par téléphone
- Ma belle Shawn, je t’ai prise au Eros 6996, lors de tes soirées l’année dernière. Je n’ai pu le distinguer, les yeux bandés.
- Je t’ai donné du plaisir lors de ses soirées.
- Même, lors d’une double pénétration debout, Olivier t’a enculée et je te faisais jouir de la chatte, tu as explosé dans un violent double orgasme. Tu étais chaude ce soir-là.
- Sérieux, Olivier m’a enculée ce soir-là.
- Mais maintenant, que tu as offerte ta chatte à Olivier, il est prêt à recommencer avec n’importe quelle femme. Yannis t’attend dès que tu es disponible avec Justine et Prudence.
- J’ai dépucelé Olivier, mais il m’a enculée auparavant. Disons que c’était sa première pénétration d’une chatte.
- Je te laisse, on roule. Je t’aime et Olivier te fait un gros bisou sur ta délicieuse bouche.
Je me mets à sourire, heureuse de mon acte d’excuse.
Je passe la nuit, enculée à tout moment, par Félix ou Horace, que suce Justine, qui est elle enculée par Adam. Je ne dis rien sur l’appel de mon Sven.
Marquis doit préparer l’acquisition de l’hippodrome par notre couple, en accord avec Miss V et d’autres propriétaires de chevaux, sans Justine, qui n’est pas conviée.
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