Je m’appelle Shawn.
J’ai 19 ans.
Je suis une jolie beauté scandinave.
Je suis une
brune aux yeux verts. J’ai des pieds fins et latins, des jambes longues
bronzées, musclées qui inquiètent par leur perfection. Mon pénil est bombé,
ouvert, couronné de noir. Ma pilosité brune couvre mon pubis. Je suis lisse
entre les cuisses et j’ai une superbe croupe. Mon entrecuisse est lisse. Mes
hanches s'incurvent et délimitent le ventre plat, délicieusement renflé autour
du nombril, les hanches sont larges et rondes, mais sans lourdeur. La taille
est affinée. Les seins parfaits intégralement bronzés sont un peu volumineux
mais fermes, et leurs pointes marron clair, toujours dressées, cernées par une
large aréole marron attirent le regard. J’ai une peau lisse et patine. Finition
parfaite, un seul grain de beauté entre mes superbes seins. De longs cheveux
plats blonds flottant comme des algues, battent mes épaules rondes et
gracieusement athlétiques. Je suis intégralement bronzée. Mes yeux verts
limpides s'allument, ma bouche charnue se fend. J’ai des sourcils bruns bien
dessinés et des lèvres pulpeuses. J’ai de longs doigts fins et de belles mains.
Je fais du 85B de poitrine, 56 de taille, 90 de hanches, 1,75 m.
Je porte des
anneaux à mes grandes lèvres de ma chatte totalement lisse, un anneau doré avec
une pierre précieuse à mon gros clitoris, pour me faire reconnaître.
18 ANS
ETUDIANTE DU VICE 5E PARTIE
25 avril de l’année suivante
J’ai fêtée mes 19 ans en mars. Je suis encore plus
prête à être ferrée et chiffrée.
Deux semaines après la naissance de ma fille
Olympe, le soir, vers 22 heures, à bord de ma Ferrari F40 rouge, Horace me
conduit au Domaine, comme soumise et non pas comme Maîtresse. Maître O dirige
la cérémonie. Justine est restée au pavillon de chasse avec Alizé et Astrid.
Je me suis intégralement épilée, fardée, parfumée,
habillée juste d’un corset blanc seins nus, sans jupe, chaussée de mules
blanches à talons de douze centimètres, avec mes carcans de cuir au cou, aux
poignets et aux chevilles, coiffée d’une queue-de-cheval. Je porte un masque de
nuit sur les yeux et un bâillon-boule.
Au Domaine, je suis tenue en laisse par Horace,
puis par un valet, nu sous son gilet, botté, que je ne connais pas encore.
Au salon, j’entends une voix masculine :
- Voici D A qui est retour parmi nous. Elle vient
s’offrir à nouveau à vous, doublement ouverte, sous son air de jeune femme,
adepte du BDSM, bisexuelle, libertine. Elle vous offre sa bouche dressée, son
clitoris tendu et excité tout comme ses mamelons, son écrin et son œillet
attendent vos queues bien dures, ses petits seins attendent vos caresses. Elle
est tout aussi une excellente actrice SM hard, double, fouet, godes de divers
calibres, même des amants canins. Elle est le profil recherché par certains
clients fortunés, dans le monde entier. Par mesure de sécurité, elle restera D
A. Approche de nos invités, belle D A, montre tes bijoux intimes et tes reins
tatoués, preuve de ton dressage.
Mon valet me tire au centre du salon, entre des
canapés, une table basse. Des téléphones portables me photographient, me
filment, les flash crépitent. On retire mon corset pour que je sois totalement
nue.
Les commentaires ne cessent de me complimenter sur
mon corps qui est resté superbe, malgré ma grossesse. Mes seins sont encore un
peu volumineux, pour un bonnet C désormais.
On me pose deux pinces à seins, avec de lourdes
pierres précieuses à mes mamelons. Mes mamelons s’allongent beaucoup et mes
seins se déforment vers le bas. Je ne ressens aucune douleur.
Je suis menottée au chevalet comme au premier jour,
enculée, fessée à plusieurs reprises par des amants inconnus, en me retenant de
jouir, malgré l’envie.
Cela dure une éternité. Mes seins tombent sous le
poids des pinces ensuite le sang cesse de circuler, le téton devient froid et
là je ne sens plus rien.
26 avril
Vers minuit, je quitte le salon, avec mon bijou
d’anus de calibre six centimètres, les fesses, les cuisses, les reins et mon
dos sont zébrés par les coups de cravache, de garcette et de chicotte, que je
connais déjà. Je suis tenue en laisse, nue, en mules, les cheveux libres, en
sueur, recouverte de spermes sur mes fesses et mon dos.
Je ne porte plus mon masque de nuit, je garde mes
yeux baissés, la bouche entrouverte.
C’est un bel étalon qui me tient en laisse, les
mains menottées dans le dos. Je suis toute excitée par ce rituel que j’avais
subie.
- Non, ma belle, tu ne vas pas au premier étage des
novices. Non tu vas dans l’autre aile, proche de l’annexe où tu as été offerte
à de superbes étalons. Tu te souviens. Moi, c’est J E, Jouisseur Ebène, ton
valet de nuit.
Jouisseur Ebène, l’étalon âgé de 24 ans, avec un
mandrin de trente-six par huit, qui m’a déjà séduit au premier séjour.
Nous traversons une cour éclairée par des lanternes
et gardée par des valets avec de superbes dobermans et dogues allemands,
excités par mon odeur de chienne.
A l’entrée de l’aile, deux valets, dans le même
uniforme, m’inspectent.
- Qui est-ce ? dit l’un d’eux, en se
masturbant.
- Désir Anal, une superbe soumise bisexuelle
doublement ouverte l’année dernière. Elle est très belle, la reine du plaisir
anal surtout. Anal Eros, tu la veux. Mon mandrin, elle en a l’habitude.
- Non, plus tard, je viendrais la voir à sa
chambre. Elle a désormais un vrai lit, cette beauté et un chevalet, dit Anal
Eros, dont je vois uniquement une belle queue en érection, avec un fer juste
sous les testicules épilés.
- Bon, je la conduis au rez-de-chaussée. Elle va
prendre une longue douche, pour se rafraîchir. Tu es une sacrée chienne, pour
exciter les chiens de la cour.
Je reste silencieuse.
Ma chambre est au fond du couloir, au
rez-de-chaussée, donnant sur le parc, avec une porte-fenêtre ouverte. Il y a un
vrai lit. Il n’y a pas de porte.
Pour la douche, dans une pièce entièrement
recouverte de miroirs et de glaces sur les murs et au plafond, au-dessus du
bac, une autre chaîne pend. Il m’attache les poignets et tira jusqu'à ce que
j’ai les bras en l'air et sur la pointe des pieds nus, les cuisses écartées. Il
pelote mes seins pour que je pisse. Je m’exécute dans sa bouche. Puis il
m’enfonce une canule dans mon anus libre du bijou, reliée à une poche d’eau froide avec un tuyau en
plastique souple, le tout accroché au mur, à côté de moi. Je dois rester cinq
minutes pour mon lavement anal. Il en profite pour me laver entièrement, me
laver les cheveux, tout en sollicitant mon gros clitoris tendu à l’extrême,
tout comme mes mamelons encore emprisonnés dans les pinces. La douleur et le
plaisir se combinent. Je me retiens de jouir. Mon bassin trahit mon plaisir.
- Tu es toute excitée. C’est normal, tu as
l’habitude, dit Jouisseur Ebène.
- Quelle élégance sous la douche, dit Anal Eros,
elle prend du plaisir avec la canule, tu as vu.
- Elle sera propre, dit Jouisseur Ebène. Elle a
besoin un peu de dormir. Demain, d’autres valets la donneront à ses amants
canins qui sont tous excités de son retour. Elle a reçu une vingtaine de queue
pour son retour, soit moins que son premier soir.
- C’est vrai, la chienne de premier choix. Son
Maître a fait le choix, dit Anal Eros, en rinçant mon corps. Je suis au bord de
l’orgasme. Je vais lui retirer la canule. Elle doit être propre.
Je me vide pendant un long moment. On me lave les
pieds avant de me faire sortir de la douche. Mes carcans de cuir sont durcis
par l’eau de la douche.
- Te vois toute belle, fraîche, ton oeillet est un
peu resserré. Mais tu me plais, Désir Anal, dit Anal Eros.
Le chevet d'un grand lit carré, très bas et couvert
de fourrures. Il y a une coiffeuse avec un gode anal réaliste et un miroir
devant mon lit, un tapis Le lit est recouvert d'une étoffe à très longs poils
qui imite la fourrure. L'oreiller, plat et dur comme le matelas, était en même
tissu, la couverture à double face aussi.
- Ma belle, dit Jouisseur Ebène, il faut
t’enchaîner, cuisses écartées surtout. Tu mouilles déjà.
Au mur, à peu près à deux mètres, se trouve un gros
anneau d'acier brillant, où un gros anneau brillant est scellé au mur où passe
une longue chaîne d'acier : l'une de ses extrémités s'entasse sur l'oreiller en
formant une petite pile d'anneaux, tandis que l'autre est retenue à un crochet,
sur le côté.
« Alors la belle dame », Anal Eros saisit les deux
mains. Il fait glisser l'un dans l'autre les deux anneaux de mes bracelets, ce
qui me joint étroitement les poignets, et ces deux anneaux dans l'anneau du
collier. Je me trouve donc les mains jointes à la hauteur du cou. Anal Eros
accroche l'anneau de la chaîne qui se trouve sur l'oreiller à celui du collier.
- Allonge-toi ma belle, dit Anal Eros.
Je m’assois sur le bord du lit, puis je me couche
prudemment sur le flanc. Le valet défait du crochet l'autre extrémité de la
chaîne et la tire : elle cliquète dans l'anneau, se tend. J’avance vers la tête
du lit, mes poings poussant mon menton.
Il ne reste plus qu'à m'enchaîner au mur, avec la
chaîne qui repose sur le lit et passe dans l'anneau au-dessus. Je ne peux
seulement me déplacer sur la largeur du lit, ou me tenir debout de chaque côté
du chevet. Comme la chaîne tire le collier au plus court, c'est-à-dire vers
l'arrière, et que les mains tendent à le ramener en avant, il s'établit un
équilibre, les mains jointes se couchent vers l'épaule gauche, vers laquelle la
tête se penche aussi.
Cuisses écartées, je sens des doigts sur ma chatte
trempée.
- Quel superbe écrin, je vais la prendre puis tu
l’encules ensuite, J E, dit Anal Eros.
Anal Eros possède un mandrin de trente-huit par
sept, circoncis.
Il s’allonge sur moi, en me baisant. J’entoure ses
reins de mes jambes, pour qu’il me donne du plaisir. Il inonde largement ma
chatte, après des mois d’abstinence.
- Elle a bien joui, la belle, dit Anal Eros. Une
sodomie, puis elle pourra dormir, doublement inondée.
Je suis enculée, allongée sur le dos, cuisses
écartées. Jouisseur Ebène est allongé face à moi, m’enculant jusqu’aux
testicules, jusqu’à mon orgasme, en éjaculant en moi.
- Tu es bien inondée pour cette nuit, dit Jouisseur
Ebène. Tu gardes tes cuisses écartées sous la couverture.
Jouisseur Ebène ramène sur moi la couverture. Il
éteint la lumière, mais le couloir reste allumé.
Je suis brûlante des fesses, des cuisses, des
reins, mais aussi ma chatte et mon anus remplis de spermes chauds de mes
valets. Je ne peux me caresser. Mais je jouis, en m’endormant. J’entends des
gémissements et des râles d’autres soumises du rez-de-chaussée.
Peu avant l’aube, Anal Eros revient, me retire ma
couverture, me contraint à fléchir mes jambes au maximum sur mon buste, dont il
a retiré mes pinces à seins. Il m’encule tête-bêche, mon anus bien lubrifié est
bien rempli. Je gémis un peu.
J’arrive à peine à avoir un orgasme anal.
Il se retire et me laisse mes jambes fléchies sur
mon buste. Je sens une atroce brûlure par le travers des fesses, et hurle. Il
me cravache à toute volée. Il n'attend pas que je me taise, et recommence
quatre fois, en prenant soin de cingler chaque fois ou plus, haut ou plus bas
que la fois précédente, pour que les traces soient nettes. Il a cessé que mes
larmes coulent dans ma bouche ouverte.
Il allonge mes cuisses, pour cingler le devant de
mes cuisses.
Le tout a duré une éternité. Je suis toute
mouillée.
Il me détache du lit et m’enchaîne debout, nue, les
cuisses écartées, les bras tendus en l’air, sur la pointe des pieds nus, à un
crochet devant la porte-fenêtre. Je garde la pose.
Je dois rester ainsi, ma chatte et mon anus
dégoulinent de spermes et de mouille mêlés. Il donne quelques coups de cravache
sur le devant de mes cuisses offertes.
Le vent frais cingle mes mamelons et mon clitoris.
Je jouis en silence.
Vers dix heures, je suis libérée par Sexe Pilon
Anal, âgé de 26 ans, un superbe brun, qui possède un mandrin de trente-deux par
huit. Accompagné de Défonce Sévices Dresseur, un valet blond, avec une soumise,
équipée d’une ceinture en cuir et de chaînettes, apportant la table roulante du
petit déjeuner. La table roulante porte du café, du lait, du sucre, du bain, du
beurre et des croissants. J’ai les jambes ankylosées par la pose longue.
- Mais avant, il faut lui fouetter les fesses, dit
Sexe Pilon Anal.
- Oui, elle aime ça, dit Défonce Sévices Dresseur.
Je suis enchaînée au crochet, prosternée sur le lit,
cuisses écartées. Je suis fouettée jamais assez fort pour me marquer, toujours
assez longtemps pour m’arracher des cris, des supplications et parfois des
larmes.
J’ai les fesse brûlantes, quand Sexe Pilon Anal me
détache.
Je gémis un peu. Défonce Sévices Dresseur en
profite pour m’enculer, en écartant mes fesses et enfonce son mandrin de
trente-six par huit jusqu’aux testicules. Je me retiens de jouir, mais le désir
est là. Il éjacule en moi, puis sur mes fesses.
- Elle va déjeuner, puis elle sera offerte ensuite,
dit Défonce Sévices Dresseur. Elle est bien ouverte.
- Tu n’as pas eu la chance de la prendre l’année
dernière. Elle réclamait dès le premier jour, dit Sexe Pilon Anal.
- Elle a l’habitude des grosses queues comme celle
des dogues allemands, dit Défonce Sévices Dresseur. Elle a de superbes seins et
il paraît qu’elle a un superbe regard. Mais non, tu ouvres tes yeux, tu seras
punie.
Les yeux baissés, je me lève. Sexe Pilon Anal me
remet mon bijou.
Les deux valets s’éclipsent.
- Je suis Pétale Vice. Je suis là pour le service.
Tu es très belle.
Pétale Vice est une grande blonde aux petits seins
percés d’anneaux dorés avec des pierres précieuses, son clitoris est percé
comme le mien et elle porte des fers à la chatte totalement lisse, comme son pubis.
Elle a été récemment fouettée. Elle est nue et en mules. Son bassin trahit son
plaisir d’être enculée par le gode anal.
Je déjeune.
Mais, un valet interrompt la présence de Pétale
Vice, qui se retire. C’est Défonce Sévices Dresseur.
- Allez, ma belle, prosterne-toi pour le port du
gode Désir Vicieux, fait pour toi. Aucune autre ne peux le porter.
J’obéis. L’anus entrouvert, je reçois un superbe
gode muni de picots, de bonne dimension, quarante par neuf, moulé de picots.
Son prépuce glisse le long du gland pour ma sodomie profonde, avec des
va-et-vient. Le gode en érection s’allonge et rétrécit à chaque mouvement de
va-et-vient grâce à son enveloppe ultra-souple qui s’étire ou se contracte en
suivant les montées et descentes du gode. C’est comme un vrai étalon
infatigable qui m’encule. Trois chaînettes pendent de la base du gode. Le valet
attache une étroite ceinture autour de ma taille, et l'on y accroche les trois
chaînettes, une par derrière qui suit le sillon des fesses, et les deux autres
par-devant, qui longent le pli des aines en contournant le triangle pubien
lisse. Il les ajuste au plus court, de façon que le mouvement intérieur des
muscles ne peut repousser le gode et permettre de se resserrer à l'anneau de
chair qu'il doit forcer et distendre, et on les attache avec de petits cadenas,
pour s'assurer que, lorsque je suis seule, pour me soulager de cette
contrainte.
- Te voilà équipée pour la matinée. Tu vas me
sucer, mains jointes et tu pourras rester encore un peu. Tu es bien reposée. Un
peu de maquillage, tu seras séduisante.
Accroupie, cuisses écartées, je m’exécute. Je
prends du plaisir anal avec cet étalon.
Défonce Sévices Dresseur éjacule dans ma bouche et
j’avale tout.
Les mains libres, je finis de déjeuner. Je ne peux
me caresser dans cette chambre.
Je me farde et me parfume, nue après ma douche
prise en compagnie de Sexe Pilon Anal, menottée au crochet.
Pétale Vice m’habille d’un corset, qui creuse la
taille et le ventre et monte jusque sous les seins, qu'une légère armature
maintenait écartés, et qu'un étroit rebord soutient si bien qu'ils sont
projetés en avant et paraissent d'autant plus libres et fragiles. La large jupe
se boutonne sur le corset, largement ouverte dans le milieu du dos de la taille
aux pieds, dénudant entièrement les fesses jusqu’aux reins et les jambes et
ouverte devant jusqu’au-dessus du pubis, pour mettre en valeur mes bijoux
intimes. Le corsage du haut décolleté dénude entièrement les seins. Un foulard
en dentelle cache entièrement les seins, assez transparent pour qu'on en
devient l'aréole, et pour qu'on comprend qu'ils soient libres. En retirant le
foulard, ils sont tout à fait nus.
Après cet essayage, je reste nue et en mules, pour
montrer que je porte Désir Vicieux.
Désormais, trois jours durant, entre son lever et
le repas de midi, puis entre la tombée du jour où je finis mon service et
l'heure de la nuit, dix heures généralement, où on m’y ramène enchaînée, nue,
je porte fixé au centre de ses reins le gode anal.
Je rejoins sans Pétale Vice, dans une antichambre
dallée de marbre où, devant la porte d’entrée de l’aile, deux autres valets
attendaient, deux dobermans bruns à leurs pieds, plus un colley.
Je me fais saillir par le colley, enculée jusqu’au
nœud, à quatre pattes, cambrée pendant une bonne demi-heure puis par les deux
dobermans, libérée du gode Désir Vicieux. Je suce les deux valets bien montés,
j’avale tout.
Je rejoins tenue en laisse le réfectoire, une salle
dallée, la table longue, en verre épais, pour que les valets puissent voir ce
que les soumises peuvent faire par-dessous, et chacune a pour siège un tabouret
rond recouvert de cuir. L’anus libre du gode Désir vicieux, je m’assois, au
contact du cuir lisse et froid sous mes cuisses, le plaisir d’avoir les fesses
nues sous mes tenues, les mains et les bouches à qui tout est permis, et le
silence fascinant. Le valet de permanence me menotte les mains dans le dos,
pour me nourrir et voir si je lève les yeux, mais je reste docile, empalée sur
un gode anal similaire à Désir Vicieux. Je garde les cuisses écartées, me
retenant de jouir.
Avant la tombée du jour, je suis conduite au bar,
dans le prolongement de l’aile où je dors, tenue en laisse, les mains libres.
Là, je suis offerte à trois beaux étalons
étrangers, un Allemand, un Chinois et un Sud-Africain, bien montés.
Le valet Phallus Sévices, 23 ans, un bel étalon
brun, en gilet sur son corps nu, botté, me surprend, avec ses trois étalons,
que je suce, sans mon foulard, offrant mes seins nus à leurs caresses, tout
comme mon gros clitoris. Ils m’enculent à tour de rôle, sans me faire jouir et
éjaculent sur mes fesses brûlantes par les claques magistrales.
- Tiens, Désir Anal, on se connaît, mais dès ton
arrivée, je savais que l’on se retrouverait. Tu es une belle dame.
Je reste concentrée pour avaler mes amants.
Phallus Sévices profite de mon anus ouvert pour
m’enculer jusqu’aux testicules, à quatre pattes, cambrée, avec son mandrin de
trente par huit. Je suis comblée et je me retiens de jouir.
- Quel œillet, tu es bien ouverte, ma belle. Il te
manque les fers et le chiffre, pour gagner davantage.
- Oui, cette beauté mérite d’être fouettée, dit le
Sud-Africain, prénommé Ken, qui m’offre encore son mandrin de vingt-sept par
huit en bouche.
- Tu es libre de la fouetter dans la chambre, elle
est pour toi, dit Phallus Sévices. Je te laisse, elle va me sucer et tu la fais
monter.
J’avale le sperme de Phallus Sévices.
Ken me fait monter avec un garçon d'hôtel qui ouvre
une chambre, montre le téléphone, la sonnette, et referme la portes.
Je me déshabille. Il caresse mes seins, étire mes
mamelons tendus et me doigte ma chatte et mon anus simultanément, devant une
glace à trois faces, qui dans est fixée à une paroi.
Il m’enchaîne au lit, prosternée et me cravache
longuement les fesses, les cuisses et les reins. Je me retiens de jouir.
- Tu mouilles quand je te cravache. Je vais
t’enculer un peu puis je te laisse un pourboire.
Il m’encule jusqu’aux testicules, me fessant et je
le suce, libre, accroupie, cuisses écartées.
Deux autres clients m’enculent et me fouettent
pendant mon service au restaurant.
A la tombée du jour, nue, j’ai droit à mon lavement
anal, accroupie, cuisses écartées, une canule insérée dans mon anus, inondée
d’eau froide. Je jouis un peu.
Une soumise me brosse les cheveux, me parfume. Je
suis conduite à ma chambre, rhabillée, tenue en laisse par Phallus Sévices.
- Tu t’es bien donnée, six clients pour un premier
jour. Tu seras ferrée et chiffrée le 30, ordre du Maître. J’aurai le temps de
prendre encore.
Je suis douchée, menottée et Phallus Sévices me remet
le gode anal, après une nouvelle sodomie, prosternée et enchaînée sur mon lit.
Je me retiens de jouir.
Au repas du soir, c’est Brice Anal Fesseur, un
superbe athlète musclé de 25 ans, en gilet sur son corps nu, en bottes
d’équitation, doté d’un mandrin de vingt-huit par huit, vérifie que le gode est
bien en place. Il me conduit, tenue en laisse, avec d’autres soumises en
colonne. Le colley est à mes côtés et deux dobermans à l’avant. Je rejoins le
même réfectoire, après ma douche, nue et parfumée, je le porte encore, et du
fait des chaînettes et de la ceinture, tout le monde peut voir que je le porte.
Brice Anal Fesseur me ramène ensuite à ma chambre.
Nue, agenouillée, cuisses écartées, sur mon lit, il
m’enchaîne, les mains au dos pour me reconduire.
Brice Anal Fesseur m’encule, l’anus ouvert et
lubrifié, pour me préparer.
Je rejoins une pièce au premier étage. Là, je suis
penchée en avant, les mains dans le dos, près de la cheminée, cuisses écartées.
Trois clients me contemplent, caressent mes fesses zébrées, qu’ils écartent et
m’enculent sauvagement pour voir mes réactions. Je me retiens de jouir, malgré
l’envie.
Bien ouverte, les saillies ont du bon. Vos soumises
devraient être saillies comme cette beauté, dit un des hommes.
Je dois sucer les trois hommes, surveillée par
Phallus Sévices et Brice Anal Fesseur.
- Quelle suceuse, dit Brice Anal Fesseur.
Sans attendre, la bouche remplie de spermes que
j’avale, docile, je dois me prosterner.
Un labrador m’encule en premier, jusqu’au nœud, je
connais trois orgasmes anaux en une demi-heure, puis un dogue allemand prend le
relais, sans me laisser le temps de me remettre de la saillie du labrador.
Enfin, un malinois m’encule. Cela fait trois saillies enchaînées en deux
heures. Les clients sont satisfaits. Je suis pantelante, en sueur, l’anus bien
ouvert et dégoulinant de spermes canins.
Je suis fouettée quelques instants, comptant les
coups de garcette sur mes fesses et mes reins, avant de longues sodomies par
les clients et les valets, allongée sur le dos, les jambes écartées et levées,
sans jouir. Ma bouche et mon pubis sont couverts de spermes.
27 avril
Je regagne ma chambre vers 3 heures du matin.
C’est Anal Eros qui me douche, fait mon lavement et
m’encule sauvagement, allongée sur le ventre. Il m’écarte les fesses brûlantes
et s’enfonce dans mon anus bien ouvert et lubrifié. Il va et vient, lorsqu'il
entre dedans, il se laisse tomber, faisant claquer son corps sur mes fesses. Il
me prend, allongée sur le dos, enculée aussi, cuisses écartées.
Je dois le sucer ensuite, pour avaler son sperme.
Mon anus entrouvert dégouline de spermes.
- Tu as aimée, ma belle. Repose-toi. Je vais te
caresser entre tes cuisses.
Il s’attarde sur mon gros clitoris pour me faire
jouir. Je me retiens et me lâche, une couverture mise sur moi.
Le rituel continue jusqu’au 30 avril.
30 avril
A l’aube, je suis menottée à mon chevalet, nue,
bâillonnée. On remplace mes anneaux dorés de ma chatte par deux fers, portant
les initiales de mes Maîtres et mon identité. Je suis marquée au fer rouge simultanément
sur ma fesse gauche d’un fouet et d’une cravache entrecroisés et sur ma fesse
droite du sceau du prince Omar, mon Maître. Je m’évanouis.
La tige de chaque fer est ronde, de l'épaisseur
d'un crayon, et il est oblong ; les maillons des grosses chaînes sont
semblables, formé de deux U qui s'emboîtent l'un dans l'autre, avec un ressort
intérieur sur lequel on doit forcer pour le faire pénétrer dans la rainure où
il se bloque. L'anneau est long comme deux phalanges du petit doigt, qu'on y
peut glisser. Chaque porte un disque de même métal et de même largeur que
l'anneau. Les fers me descendent jusqu'au tiers de la cuisse, et à chacun de
ses pas bougent entre mes jambes comme un battant de cloche, le disque gravé
étant plus lourd et plus long que l'anneau auquel il pend.
Les traces imprimées par le fer, hautes de deux
doigts et larges de moitié, sont creusées dans la chair comme par une gouge, à
deux ou trois millimètres de profondeur. Je ne les perçoit que difficilement,
mais en les effleurant je les perçoit sous le doigt.
Ensuite, je suis prise aux épaules et aux jarrets
et je suis allongée sur le lit, sous ma couverture, nue, les mains libres.
Vers 15 heures, je me réveille, Horace est à mes
côtés. Je me lève doucement, exhibant mes fesses marquées au fer rouge, dont je
découvre les symboles, mes fers se balancent à chacun de mes pas.
Je me douche une dernière fois, me farde, me
parfume. Je reçois une nouvelle bague, au majeur droit, reliée au poignet par
une fine chaîne, par un des Maîtres. Il me retire mes carcans de cuir. Je porte
aussi désormais une chaîne dorée autour de ma taille.
Horace est fier de me reprendre. Il examine mes
reins, mes fesses et mes cuisses fraîchement zébrés dans la nuit par les
clients et les valets. Je porte quelques marques sur mes seins.
Je revêts un corset blanc seins nus avec un boléro
fermé au cou, une jupe éventail grise, chausse des mules blanches à talons de
douze centimètres, les cheveux libres. Je port mon bijou d’anus calibre six
centimètres.
En sortant, je retrouve ma Ferrari F40, qu’il
conduit jusqu’au pavillon de chasse.
- Princesse Nora, le prince héritier Farid
t’attends avec Gouine Caresse numéro 1, ramenée du harem pour un court séjour.
Colonelle Hermine a interpellée une journaliste qui surveillait tes va-et-vient
entre le pavillon de chasse et le Domaine. elle t’attends. Au fait, Câline
Vicieuse, en plus d’être une fille de Madame Justine, est aussi adjudant de
gendarmerie de réserve, affectée à ta protection.
- On fouine sur moi. Mais, mes avocats vont s’occuper
d’elle. Mes fers et mes marques te plaisent, Horace. Ils vont plaire à Farid.
- Oui, tu es très élégante. Tout le monde sait que
tu es une authentique soumise du Domaine, votre Altesse.
- J’ai atteint le niveau maximal de mon dressage.
Je reste une Princesse, une baronne par Madame Justine et aussi une mère. Ma
fille Olympe doit avoir la meilleure éducation possible. Farid me prendra par
la chatte si le désire, tout comme toi, Maître O et l’amant que je choisirais.
Devant le pavillon de chasse, je suis contrôlée. Je
m’y plie, le major Nathan est là, avec l’adjudant Alizé.
Nous allons devant le perron du pavillon de chasse.
La Ferrari F40 rejoint le garage, où se trouve la Ferrari F8 blanche de SH,
Shawn de Hauts Plaisir, la Ferrari F8 d’Astrid, la BMW Série 8 de Justine et la
DS de Maître O.
Un léger coup de vent, soulève ma jupe, devant
Astrid et Justine, dévoilant mes fers.
- Tu es très belle, épilée, ferrée, belle
princesse, dit Justine en chemisier bleu et jean, en escarpins blancs,
maquillée, les cheveux libres.
- Oui, je confirme, les hommes vont savoir ne plus
donner du regard, dit Astrid, en robe longue, au décolleté en V, noir, en
sandales noires. La journaliste indépendante Emmanuelle t’attend, menottée au
salon, avec Farid et Gouine Caresse numéro 1.
Farid a déjà commencé à l’interroger, en accord
avec le prince Omar, car elle est sur le territoire du prince Omar.
- Tiens, voici la fameuse pute, qui rentre je
présume d’une soirée spéciale au Domaine. Tu risques gros avec les mœurs,
prostitution, dressage et autres délits sexuels. Ca rapporte d’être une pute de
luxe. Je dois t’appeler Shawn, Désir Anal, Maîtresse S, ou chienne Lotus Su,
dit Emmanuelle, une séduisante blonde aux cheveux mi-longs, 30 ans,
92C, en tailleur avec jupe droite fuchsia sur un bustier noir, avec un
porte-jarretelles et des bas noirs, en sandales noires à hauts talons, coiffée
en chignon.
- Emmanuelle, tu as le choix : soumise à mon
plaisir, « fille » de Madame ou esclave sexuelle au harem du prince.
Dans tous les cas, tu seras épilée et dressée, dis-je.
- Oui, comme « fille », elle me plait,
son physique, reste à voir ses compétences sexuelles, dit Justine.
- Elle doit être une lesbienne, qui couche par
occasion avec des hommes, dis-je.
- Tu ne dois pas connaître ma vie sexuelle, la pute
Shawn, dit Emmanuelle.
- Ah bon, tu fouines sur moi et je dois connaître
tout sur toi. Un scoop à cinq millions pour ton journal, avec une rare entrevue
ave moi, désolé. Pas ce jeu avec moi, discrétion, je veux préserver mon
intimité, dis-je.
- Pour le harem, c’est le profil requis, surtout
elle parle plusieurs langues, dit Farid.
- Pour le Domaine, elle se donnera sans se dérober
à des invités fortunés, en échange de plaisirs. Tu seras déflorée et offerte
pendant quinze jours, puis tu seras livrée au harem, pour cinq millions que tu
n’auras pas, dis-je.
En aparté, dans un coin du salon, je téléphone au
journal, grâce à la carte de presse.
- Oui, ici, Shawn, Emmanuelle m’a avoué lors de
caresses, qu’elle souhaitait faire une longue entrevue. Je suis la secrétaire
personnelle d’une personne qui souhaite la discrétion. Emmanuelle va exiger
cinq millions pour la publication de l’article. Mais Emmanuelle a commis une
faute, cette personne discrète appartient à un membre influent de la diplomatie.
- Oui, Emmanuelle va recevoir cinq millions, sans
nous avertir, dit l’homme au téléphone.
- Oui, elle va perdre cette somme et vivre
élégamment dans le luxe. Il faut lui faire censurer tous ses articles
immédiatement. Les avocats font la faire condamner, pour fausses informations
sur l’identité de cette personne. Sa résidence est sécurisée et toute entrée
sans autorisation est sévèrement punie.
- Je comprends. Emmanuelle sera licenciée sur le
champ, dit l’homme.
- D’accord, j’en informe Emmanuelle. J’oubliais,
est-elle une vraie gouine dans la vie ? car elle a un œillet bien souple.
- Oui et non, elle fréquente des hommes de la haute
société et de la bourgeoisie, en se faisant passer pour une hétérosexuelle.
Mais en réalité, elle fréquente plusieurs journalistes féminins et des lieux
lesbiens.
- Merci, vous prenez en compte mon appel. Aucun
appel de votre journal ne sera autorisé à ce numéro.
- Bien, madame Shawn, c’est noté. Nos avocats vont
voir les avocats en question.
- Oui… Encore, tu es une sacrée lécheuse… Je vais
jouir…
- Que se passe-t-il ?
- C’est Emmanuelle qui me lèche le clitoris. Elle
me fait mouiller. Je vous quitte, j’ai une vague de plaisir qui m’irradie.
L’homme raccroche.
- Les jeux sont faits. Tu es licenciée, dis-je, en
caressant discrètement ma chatte sous ma jupe.
- Tu mens, pute Shawn.
- Je mens, c’est facile. Tu n’es pas en position de
discuter, Farid et Justine.
- Non, dit Farid. La sanction sera exécutée. Le
harem après le Domaine, c’est une sage décision.
- Surtout, comme « fille », il aurait
fallu que je m’assure qu’elle ne viole l’intimité de ma chérie, dit Justine.
- Oui, mon intimité, les « filles » ne la
connaissent pas, n’est pas Gouine Caresse numéro 1.
- Oui, Maîtresse, je ne connais que vous par votre
titre, Princesse Nora, dit Gouine Caresse numéro 1, déjà nue.
- Princesse Nora, c’est toi, dit Emmanuelle. Je
dois présenter mes excuses. Les autres pseudonymes sont des légendes dans les
milieux du sexe.
- Si l’on veut, je suis la mystérieuse Princesse
Nora. Mon passé et mes relations sont privés. Je préserve mon intimité, la
gouine. Je tiens, tu seras Gouine Caresse numéro 5, Domaine puis harem, ce sera
ta nouvelle vie.
Je déchire sa carte de presse et fais détruire tous
les documents administratifs trouvés dans son sac à main, les fichiers de son
appareil photo et de son téléphone portable par les gardes personnels du prince
Omar.
- Tu n’as pas le droit, dit Emmanuelle, les larmes
aux yeux.
- Tu pleures, mais cela ne me regarde pas. Tu
fouines, tu payes cash. Cinq millions, c’est une belle somme. Je trouverais un
moyen de les récupérer, d’abord en t’offrant au Domaine à un prix d’or, ferrée
et marquée à ma propriété.
Je retire ma jupe pour exhiber mes fers et mes
chiffres.
- Que tu portes sur les fesses et entre tes
cuisses ? dit Emmanuelle.
- Je suis la propriété de plusieurs Maîtres
désormais. Je peux m’offrir aux plus exigeants, pas toi, non dressée.
Déshabillez-la, on l’épile intégral, dis-je.
La belle Emmanuelle maîtrisée par Horace, se fait
rapidement déshabillée par Justine, Astrid et moi.
Nue, je la fais menottée dans le dos, avec des
bracelets en cuir, allongée sur le dos et l’épilation à la tondeuse commence et
finition au rasoir, cuisses écartées. Je lui mets quelques gouttes sur ses
mamelons et son clitoris pour la préparer.
Je lui cravache l’intérieur de ses cuisses, une
fois épilée et Horace la baise pour vérifier sa défloration et je la fais
enculer pour sa première fois par Horace, puis Farid, qui sont bien montés.
Elle gémit sous le bâillon-boule et pleure, sous la cravache que je lui
administre, car elle serre les fesses brûlantes sous les coups de cravache.
- Enfin, elle est doublement ouverte. On va la
remettre à ses Maîtres, dis-je. On la maquille et juste un corset seins nus, en
mules, les cheveux libres. Je me change, pour exciter les valets du Domaine.
- Elle sera très bien traitée, annonce Farid.
- Oui, enculée jour et nuit, de nombreuses fois,
par des hommes et par d’autres moyens que je déciderai. Elle sera une
authentique chienne d’ici deux semaines.
Emmanuelle pleure, la bouche bâillonnée et tente de
me répondre.
Je me change dans ma chambre, me douche rapidement,
me maquille et met une robe transparente blanche avec un décolleté en V
dénudant en grande partie mes seins nus aux mamelons tendus fardés et largement
fendue sur les côtés de mi-cuisse jusqu’aux hanches, devinant que j’ai les
fesses nues, avec un porte-jarretelles et des bas blancs, chaussée de sandales
blanches à talons de dix centimètres, les cheveux libres.
Je redescends. Il est 18 heures. Le temps de faire
l’aller-retour, je serais toute chaude des caresses de mes valets, dont je suis
la Maîtresse.
Bâillonnée, les yeux bandés, assise, cuisses
écartées, à mes côtés, nous rejoignons le Domaine.
La grille est déjà ouverte.
- Maîtresse, quelle est cette pute ? dit le
valet Jouisseur Ebène.
- Gouine Caresses numéro 5, c’est une lesbienne qui
veut devenir une soumise bisexuelle dressée à souhait. Tu exécutes mes désirs
SM sur elle.
- Bien, Maîtresse, elle se donnera sans se dérober,
cette chienne soumise. Réserve-lui Lancelot et ses amis.
Gouine Caresse numéro 5 est tenue en laisse par son
collier de cuir jusqu’au salon, livrée à d’autres hommes, pour sa première
soirée.
J’assiste de loin quelques instants. Elle hurle,
sans le bâillon, c’est bon signe.
Un premier berger allemand l’encule. Je mouille
d’excitation.
Un des invités, nu, me rejoint.
- Tu viens, te donner, ma belle, me dit-il à
l’oreille, en glissant sa main sous ma jupe.
- Bas les pattes, je suis la Maîtresse du Domaine.
Occupe-toi plutôt de Gouine Caresse.
- Je m’excuse. Je croyais…
- Tu y vas immédiatement.
Jouisseur Ebène le recadre et il encule Gouine
Caresse, après le berger allemand.
- Qui est cet invité, Jouisseur Ebène ?
- Ken, il t’a prise le 26 avril. Bon, il s’occupe
uniquement de Gouine Caresse, c’est ton ordre, belle Maîtresse.
- Oui, je rentre chez moi. D’ici le 16 mai, elle
doit être prête à tous les sévices SM qu’elle aura connue.
Cette scène de dressage SM m’a mis dans un état
d’excitation.
Vers 19 heures, je rentre avec ma Ferrari, escortée
par une voiture banalisée. Soudain, une voiture sportive avec un gros pare-choc
heurte violemment l’arrière de ma Ferrari, en voulant s’insérer entre nos
véhicules. Le choc est bref et j’ai le temps d’accélérer. La voiture est prise
en chasse par mon escorte et une autre voiture banalisée prend le relais.
De retour à la grille, les gendarmes regardent les
dégâts. Les feux arrières et la partie arrière sont endommagés.
- On recherche l’adresse de l’auteur de votre
incident, dit major Nathan.
- Faites, s’il a une épouse. Tu me l’as fait
convoquer ici. Ce chauffard va payer la note.
- Bien, votre Altesse, nos services vont faire des
relevés sur la Ferrari, dit Nathan.
- Je la laisse au garage.
La gendarmerie scientifique fait les relevés sur la
carrosserie.
Je n’ai rien au niveau physique.
Vers 21 heures, à la fin du souper, une Ferrari F40
entre par la grille. Ma voiture de remplacement arrive.
Nathan me contacte par téléphone :
- C’est la Duchesse Marie Désirée, l’épouse du
playboy qui piloté le 4x4 avec un gros pare-choc, qui vous a percuté.
- A bon, un 4x4 possède ce playboy. Il a de
l’argent, merci Nathan. Je m’en occupe.
J’ai gardé ma robe.
Cyrielle la fait entrer, après vérification des
papiers par Fayçal. Elle porte un tailleur avec jupe droite noir, sur des bas
noirs, en escarpins noirs, 45 ans, les cheveux libres blonds, plus grande que
moi.
- Qui êtes-vous pour me faire venir ici, dans ce
lieu sécurisé ?
- Duchesse, dit Justine, je suis la Baronne
Justine, voici ma fille Shawn. Votre chauffard a endommagé l’arrière de sa
Ferrari.
- Il a raison, elle ne sait pas conduire, Baronne.
- Je ne sais pas conduire. Dis donc, le
propriétaire du 4x4 connaît la valeur des dégâts, dis-je.
- Tu es une pute, Shawn, dit Diane. Donc, tu n’as
de problèmes financiers.
- Je suis une pute. C’est mal me juger, je suis une
membre de la famille d’un riche prince du Golfe Persique.
- Désolée, je m’excuse, votre Altesse.
- C’est mieux. Tu peux travailler pour la Baronne,
en échange des frais pour les réparations.
Entre-temps, les gendarmes échangent les Ferrari et
les plaques d’immatriculation, profitant de la luminosité. Marie Désirée est
trop occupée à parlementer.
- Vous voulez combien pour les réparations ?
- Cinq millions cash ou mes assureurs et mes
avocats trouveront un terrain d’entente.
- Je n’ai pas une telle somme. Le Duc Pierre
Edouard n’a pas cette somme, sur notre compte commun.
- Il fait quel métier, ton chéri.
- Il est collectionneur d’objets d’art et surtout
de jolies femmes. Tu feras partie de son tableau de chasse. Elégante, un peu
pute, intelligente et bien éduquée, c’est son style, comme j’avais ton âge.
- Tu retire le mot pute concernant Shawn, dit
Justine. Elle est très bien élevée. Je contacte ton assureur et mes avocats. Tu
en avoir besoin. Tu vas me laisser ta carte de visite avec tes coordonnées.
- Je suis connue sous le nom de Princesse Nora. Pas
un mot sur notre rencontre à ton chéri, sinon la note sera très salée. Je
dresse aussi les hommes, dis-je.
- Bien, mesdames, je vous quitte. Je dois préparer
le bain de mon chéri, nous sortons ce soir, dit la Comtesse.
Marie Désirée repart avec ma Ferrari F40,
accidentée, sans le savoir. Je contacte le carrossier pour une somme importante
pour la réparation. Un expert viendra plus tard.
Vers 23 heures, Marie Désirée m’appelle, alors que
je dors, car son playboy est sorti avec une fille, qui est en fait une
« fille » de Madame Justine, pour le tester.
- Pierre Edouard m’a laissé toute seule jusqu’à
demain matin. Ma Ferrari est accidentée. Ce n’est pas possible.
- Ton chéri l’a endommagé. Il va le payer, dis-je.
- Oui, vous avez un carrossier en vue.
- Oui, je l’appelle demain et on voit là-bas, Marie
Désirée.
Je me rendors, nue, sous les draps, avec Justine,
nue à mes côtés, après quelques ébats lesbiens torrides.
1er mai
Vers 8 heures, je me lève, après une nuit torride
avec Farid et Justine, qui m’ont fait jouir, dans diverses positions. Ma chatte
et mon anus dégoulinent de spermes. J’ai prévenu un ami carrossier pour la
réparation de ma Ferrari qui est devenue celle de la Duchesse.
- Allô, c’est la Baronne Shawn. Tout est prêt pour
recevoir la Duchesse. Je suis là dans une petite heure, je connais un
raccourci.
- Oui, Sabrina, ma secrétaire vous attend et mon
personnel attend la Duchesse. Vous garez votre voiture dans le parking du
personnel.
- Bien, à tout l’heure, je suis toute mouillée.
En effet, je me caresse ma chatte, avant de prendre
ma douche revigorante. Je me fais jouir en me doigtant, repensant à ma nuit
chaude. Une fois propre, l’anus bien lavé, je mets mon bijou d’anus. Je me
farde, me parfume, choisis ma tenue : un chemisier blanc sans bouton
laissant deviner mes seins nus, mon porte-jarretelles et mes bas blancs, une
jupe fuchsia couvrant mes fers, discrètement fendue derrière pour m’asseoir. Je
chausse mes sandales blanches à talons de douze centimètres, pour mettre en
valeur mes ongles de mes pieds vernis en rouge et une queue-de-cheval complète
ma tenue.
Je déjeune avec Horace.
- Tu surveilles la Duchesse. Gouine Caresse numéro
6 suce, se fasse enculer et baiser en double, fessée et la totale, filmée par
le personnel. Ce sera tarifée comme si elle était une des « filles ».
- Les tarifs sont de combien.
- Je m’en charge personnellement : 500 la
fellation, 700 la sodomie, 1500 la double, 2000 la fessée et plus si elle veut
d’autres plaisirs interdis par son chéri. Elle paye l’ensemble, ce ne sont pas
les hommes du carrossier. Tu as compris. La somme sera retiré en accord avec sa
banque. Elle m’a laissé les coordonnées.
- Elle acceptera.
- Peut importe, son chéri sera au première loge par
son téléphone portable à elle.
Arrivés chez le carrossier, vers 11 heures, nous
parquons la Ferrari F40 dans le parking du personnel. Sabrina nous accueille.
- Shawn, je présume, je suis Sabrina. Jacques
Charles vous attend au premier étage.
Sabrina est une superbe brune, 25 ans, 90C, vêtue
d’un tailleur avec jupe droite bleu sur un chemisier blanc, en escarpins
blancs, les cheveux en chignon.
Elle me plait.
- C’est mon ami Horace. S’il te plait, je le prête.
Tu me laisses ton bureau au rez-de-chaussée.
- Jacques…
- C’est Jacques qui décide. Je vais négocier. Tu
sais que personne ne peut résister à mes désirs.
En marchant, Sabrina entend le tintement de mes
fers et elle est intriguée.
- C’est quoi ce bruit ?
- C’est entre mes cuisses, je porte de longs bijoux
intimes, tu veux voir.
- Non, je m’interroge.
Jacques Charles nous reçoit. Un bel athlète de 55
ans, barbu, très élégant, qui me toise, dans son bureau.
- Baronne Shawn, vous êtes une légende dans le milieu
universitaire. Suceuse, reine anale, divers plaisirs, je vous engage si vous
faites l’affaire.
- Jacques Charles, avant de parler affaire, tu
t’occupes de faire rentrer l’argent pour les réparations de la Ferrari. Elle
doit pouvoir rouler, comme si elle sortait d’usine, avec contrôle de tous les
éléments.
- Bien, Shawn, je préviens mon personnel.
- Je viens avec toi, ce sera plus sûr. Horace, tu
me surveilles Sabrina. Je la rejoins tout de suite.
- Ma Sabrina, c’est ma secrétaire personnelle
dévouée et très exigeante pour les règlements.
- On verra. Elle est lesbienne, bisexuelle,
hétérosexuelle, SM, anale ou autres pratiques sexuelles ?
- Elle vous le dira, personnellement. Car la
duchesse est une authentique hétérosexuelle, adepte surtout du anal. Tu lui
fais défoncer son œillet et sa chatte par tous les calibres.
- Elle voudra.
- C’est toi le patron. Elle te paiera cash.
- Bien, Shawn…
- Où sont tes hommes, que je juge sur pièces.
Huit hommes en tenue sont déjà affairées sur la
Ferrari, estimant les travaux à faire. La Duchesse porte le même tailleur que
la veille, s’est éloignée.
- Votre Altesse,
vous êtes déjà là. Je pensais que votre présence…
Je viens voir l’état des dommages en plein jour. Il
t’a bien enfoncé l’arrière avec son 4x4, le pare-choc est du costaud pour le
4x4.
- Oui, Shawn, tout refaire va coûter au moins un
grand nombre d’heures de travail, plus les pièces détachées. Je contacte un
ami.
- Tu cherches les pièces sans aucun contact sauf
avec le constructeur, tu as compris.
- Mais…
- Exécution, tes hommes vont s’occuper de la
duchesse. Au travail, messieurs, elle est à vous, comme la Ferrari. Elle est
prête à l’usage. Elle fait très pute de luxe en tailleur, elle doit être très
élégante.
- Altesse…
Deux hommes la déshabillent. Je passe le téléphone
portable à Jacques Alexandre, qui la filme avec mon accord.
- Gros plan, tout ce que désire tes hommes, ils
l’auront avec elle. Elle aime tout. Je vais voir Sabrina. Horace, tu prends le
relais si nécessaire.
- Bien, ma chérie, elle sera docile.
Sabrina attend dans son bureau.
- Bon, ton patron va te demander d’appeler le
constructeur pour les pièces détachées, tu négocies aucun prix, le tout cash,
payé par la cliente et son chéri. Si tu es manque de trésorerie, tu contactes
mes avocats.
- Shawn…
- Tu m’appelles Altesse. Tu fermes le bureau, tu te
déshabilles. Je juge sur pièce.
Dehors, la Duchesse se fait prendre par les huit
hommes, le patron et Horace, pendant un long moment. Elle jouit et gémit selon
les positions.
Nue, Sabrina a des atouts, une fois les cheveux
libérés, son 90C est naturel, tout comme sa toison pubienne et sa chatte velue.
- Je suis hétérosexuelle, mais je préfère les
femmes comme vous, Altesse.
- Tu es une gouine refoulée. C’est ton patron qui
t’a déflorée, je présume. Moi aussi, je suis une ancienne gouine. C’est vrai,
qu’une femme fait mieux l’amour qu’un homme. Regarde mon corps, je suis très
belle.
- Tu portes des bijoux intimes au clitoris, à la
chatte, tu es tatouée sur les reins et sur les fesses. Tu es…
- Oui, je suis une soumise. Si tu veux, tu peux
devenir une de mes « filles », c’est bien payé, tu t’offres aux
femmes que tu désire que je te confie.
- Je désire porter des bijoux comme toi.
- Dans ce cas, c’est quinze jours de plaisirs
intenses sans repos. Tu aimes le plaisir, tu seras servie. Caresse-moi et je
prendrais la décision plus tard.
Sabrina m’embrasse sur la bouche, pelote mes seins
et glisse sa main entre mes cuisses humides. Elle ose à peine toucher mes
lèvres de ma chatte humide. Je retire mon bijou d’anus.
- Vas-y, doigte-moi ma chatte et tu veux aussi mon
œillet, il est à toi.
- Tu es large de l’œillet.
- En quinze jours, tu peux avoir le même, si tu
aimes l’anal.
- J’ai un peu pratiqué, mais cela ne m’a pas plu.
- L’homme qui t’a prise, t’a mal préparée. Lèche
mon œillet s’il te plait et caresse mon clitoris aussi.
Un orgasme me fait jouir.
- Tu vois, c’est facile.
Jacques Alexandre nous observe. Je le sais, Horace
m’a discrètement laissé un message.
- Allez, continue à enfoncer tes doigts dans ma
chatte, je vais me cambrer, penchée en avant, cuisses écartées. Tu aimes me
doigter.
- Tu es chaude.
- J’ai envie de toi, Sabrina.
- Jacques peut te prendre, si tu veux, Altesse.
- Je décide, ce n’est pas Jacques.
La chatte en feu et l’anus aussi, je reste nue.
- Sabrina, tu veux te faire la duchesse, vas-y.
J’ai à discuter affaires avec Jacques.
Jacques entre. Je reste nue, la chatte humide.
- La cliente est excitée, mais elle ne veut pas
certaines pratiques. On a du la fesser et l’enculer sauvagement.
- Tu me regardes, au lieu de regarder ma chatte
percée et mon clitoris, Jacques.
- Oui, votre Altesse Shawn. J’aime votre corps.
- Cela se négocie après. Tu as les coordonnées pour
les pièces détachées. Sabrina s’occupe du paiement. S’il te manque de l’argent,
tu fais venir la duchesse et elle s’offre à tes hommes. Tu as bien compris. Son
chéri complètera, si tes hommes aiment enculer.
- Votre Altesse, Pas jusque-là, violer un homme…
- Tu m’obéis ou je dis que tu as déflorée ta
Sabrina sans son accord, une lesbienne authentique.
- Votre Altesse, non, pas…
- Maintenant, tu m’encules et c’est moi, qui décide
quand je jouis. Mon œillet est bien lubrifié.
Le mandrin de vingt-cinq par six me comble en
partie, mais il éjacule trop rapidement à mon goût.
- Désolé, tu as échoué. Tu te plies à mes règles et
tout ira bien pour toi, tes hommes. Pas un mot à la duchesse et à son chéri,
sur le paiement cash. Je m’occupe personnellement de ta Sabrina. Tu embauches
la duchesse et tu te paies sur son salaire. Je veux Sabrina à 15 heures, devant
le Domaine, avec sa voiture personnelle.
- Bien, votre Altesse, je suis désolé d’avoir
éjaculé trop tôt. Quel œillet bien ouvert, tu es une soumise du Domaine.
- Tu me tutoies, maintenant. Je dresse des hommes.
Un conseil, Sabrina devra être à l’heure et pour la duchesse, elle pourra
partir, une fois la Ferrari remise en condition. Je te laisse une semaine pour
les premières réparations.
Vers 13 heures, je repars avec Horace.
Le Duc Pierre Edouard m’appelle via un transfert
d’appel :
- C’est toi, la pute conductrice de la Ferrari qui
roule à la vitesse que tu désires.
- Je suis une pute, première nouvelle, monsieur le
Duc. La Duchesse se donne en spectacle. C’est elle la pute. Elle paye les
dégâts, la note est très salée.
- Oui, j’ai une partie de mon compte bancaire qui
disparaît. La duchesse va me le payer.
- Au fait, Jacques Alexandre possède une belle
queue pour défoncer la chatte de ta chérie. Elle aime tout dans le sexe.
- Qui est ce…
- Jacques, il encule bien aussi dans tous les sens.
- C’est Jacques qui a mon argent.
- Au revoir, monsieur le playboy, je vais me faire
belle. J’ai un rendez-vous galant à honorer, dans mon nid d’amour. Tu ne me
rappelles pas, sinon tu devras t’expliquer devant mon chéri.
- Princesse, je m’excuse.
Je raccroche.
Je rentre me restaurer et je pars chercher Sabrina
que je ramène pour la présenter à Justine et à Farid. J’ai gardé ma tenue,
après une douche rapide.
Elle est embarrassée, car elle croit avoir perdu
son emploi.
- Ma chérie Shawn, je suis à la rue maintenant.
Jacques m’a tout avoué.
- Tu n’es pas à la rue, ma chérie. Je suis là, tu
vas être très surprise par le lieu où je t’emmènes. Le Domaine te sera destinée
si tu le désires, mais un conseil, j’ai d’autres propositions à te faire avec
des amis.
Arrivées au pavillon de chasse, Sabrina est
subjuguée par les lieux.
- Tu vis ici, ma chérie Shawn.
- Appelle-moi mon chaton, c’est plus sexy.
- Bien, mon chaton, je loge où ?
- Voici, Justine, dite Madame et Farid, mon chéri,
je vous présente Sabrina, l’ancienne secrétaire de Jacques Alexandre.
- Elle est très élégante. Elle peut devenir une de
mes « filles ». Il faudra juste qu’elle connaisse quelques plaisirs
sexuels pour répondre à l’exigence de mes clients, dit Justine. Mon chaton a du
goût.
- Pour moi, elle est au-dessus des critères, mais
si elle le désire, elle peut passer quelques jours comme toi, Shawn, auprès du
prince Omar, dit Farid.
- Je vais étudier vos propositions, dit Sabrina.
- Une annexe te sera donnée dans les 24 heures, tu
loges ici désormais. Tu fais partie de ce lieu secret, dis-je.
- Tu es sérieuse. Je n’ai pas de voiture.
- On va trouver une. Jacques devrait t’en fournir
une, rapidement.
Un ami qui connaît le constructeur me contacte
depuis l’Italie :
- Belle amie Shawn, j’ai toutes les pièces pour la
partie arrière. Il me faut juste un vol privé pour les amener à
destination, par la route, ce sera trop lent.
- Oui, je contacte un ami, qui possède des A350
pour les transférer. Il faudrait aussi du matériel pour voir si la carrosserie
et le châssis n’ont pas souffert du choc violent par le pare-choc.
- Je te les envoie dans le prochain vol.
- D’accord, tout est à la charge du client. Tu
envoies la facture à une adresse que je te joins.
- J’ai hâte de te revoir, la belle amie.
Je raccroche.
- C’est Donatien, un ami Italien, que j’ai connu
lors de mes séjours en Italie.
- Tu parles Italien aussi, dit Sabrina.
En quelques heures, Jacques va récupérer les pièces
à l’aéroport, sans facture envoyée au Duc. Le Duc doit vendre son 4x4 et
quelques objets pour les travaux.
Jacques est surpris par la rapidité de la
livraison, mais il sait que je veux de l’authentique. Il me donne les possibles
défauts dus au choc violent et comment y remédier. J’en fais une liste à
Donatien. Yin Pin fait des copies de qualité moindre qu’il fait échanger au
déchargement et repart avec des pièces de meilleure qualité pour des clients.
Sabrina apprend à mettre un porte-jarretelles et
des bas, s’habitue à être enculée en douceur, avec la masturbation de son
clitoris, pour jouir mieux et davantage. Je lui enseigne tout ce que je sais,
avec l’aide de Justine, notre Maîtresse.
Sabrina dort dans sa nouvelle maison. Je l’habitue
à dormir nue, à avoir sa chatte épilée, à se farder et à se parfumer comme moi.
Elle abandonne les dessous. Je lui mets quelques gouttes sur ses mamelons et
son clitoris pour tester son excitation sexuelle.
Nos ébats lesbiens sont fréquents. Je la prends
avec un gode-ceinture à double gode et gode anal interne de gros calibre,
l’habitue au bijou d’anus pour la relaxer. Elle fait de même, avec un double
gode et un gode anal de calibre moyen, pour son plaisir personnel.
Dès qu’un de mes amants est disponible, je la fais
enculer en douceur, en lui apprenant à jouir, en se caressant son gros clitoris
par l’excitation. Sabrina est très excitée, devenue petit à petit bisexuelle.
Elle ne craint plus les hommes et nous passons de longues douches lesbiennes, à
connaître nos corps.
6 mai
Vers 13 heures, je fais une courte apparition pour
piéger le Duc avec la Ferrari, qui a son arrière remis à neuf. Il reste
quelques réglages avant qu’elle roule à nouveau.
Sabrina possède désormais la Ferrari F8 blanche
anciennement SH que je lui offre.
Je suis vêtue d’une robe noire avec une jupe
éventail, qui se retrousse d'un geste, mais toujours à corselet montant jusque
sous les seins, et portée avec un boléro fermé au cou, chaussée d’escarpins
noirs à talons de douze centimètres, coiffée d’un chignon.
Le Duc tombe dans mon piège, car avec mes avocats,
il a interdiction de m’approcher à moins de deux mètres de moi et de même pour
la Duchesse, qui est dans le bureau de Jacques Alexandre. Je le drague, en
exhibant mes fesses nues, mes fers et mon chiffre. C’est un athlète de 60 ans,
bien monté. Il est venu en taxi, car il a du vendre le 4x4 du délit.
- Tu es une des fameuses putes du Domaine. J’ai un
château avec un haras, tu devrais y venir, faire ta belle.
- Tiens, il y a un château, à proximité du Domaine.
Je vis dans un lieu secret sécurisé, loin des regards.
Soudain, le major Nathan et d’autres gendarmes
l’interpellent, dès qu’il s’approche trop de moi, pour regarder la Duchesse
jouir avec Jacques Alexandre, qui lui a pris son argent.
- C’est toi, qui a monté ces ébats de mon épouse.
- Non,
c’est Jacques.
Il passe 48 heures en garde à vue, avant d’être
relâché.
7 mai
Vers 15 heures, Maître O me conduit dans sa DS avec
Sabrina, nous sommes toutes les deux nues, assises sur une serviette pour ne
pas salir les sièges. Sabrina est à l’arrière. Nous sommes fardées et
parfumées, je me suis intégralement épilée mais Sabrina garde sa toison
pubienne et sa chatte lisse. Nous avons juste des sandales blanches à talons de
dix centimètres et nous sommes les cheveux libres.
Nous passons devant un club discret près d’une
boulangerie, puis nous prenons une route qui longe la grille d’un parc, celui
du Domaine, gardée par des maîtres-chiens. Ce jour-là, un berger allemand et un
doberman sont présents.
Maître O stoppe sur le chemin forestier. Je vois au
loin six superbes Selle Français, avec des cavaliers en tenue.
Maître O s’occupe en premier de Sabrina, qui
s’offre enculée, ses pieds heurtent le plafond quand il lui relève les jambes
pour l’enculer. Il l’encule pendant une demi-heure avant de la faire sucer, en
enfonçant son mandrin dans la bouche de Sabrina, après son orgasme.
Les six chevaux passent à notre hauteur et ne
s’arrêtent pas. Je suis surprise par la longueur des sexes des étalons équins.
- Ma chérie Shawn, tu descends et tu attends le
retour d’un ou des six cavaliers. Tu vas t’offrir à eux.
Je libère mon anus de mon bijou, je me suis bien
lubrifiée et je mouille sans me caresser.
Debout, près de la portière passager, cuisses
écartées, j’attends, la vitre de ma portière est baissée tout comme celle de
Sabrina, qui s’est assise cuisses écartées.
Un cavalier revient avec son cheval Sultan. Il
s’arrête à ma hauteur, non loin des deux maîtres-chiens. Je baisse les yeux.
- Ma belle, que fais-tu là, nue, tu
m’attends ?
Je reste silencieuse.
Maître O lui annonce :
- Elle souhaite sucer ton étalon et tu l’encules
ensuite sur le champ.
- Je suis Alfred H, pour ton service, ma belle.
Viens, approche, Sultan va t’offrir sa belle queue. C’est la première fois que
je te croise ici. Tu viens pour t’entraîner au club. Une si jolie déesse doit
savoir sucer.
Je m’accroupis, cuisses écartées, mettant en valeur
mes fers et mes bijoux intimes.
Je ne fais le lien avec Anal Eros
Je fais de mieux avec le sexe de quarante-cinq en
bouche, sans les mains. L’étalon jouit et éjacule dans ma bouche. Je tente de
tout avaler.
Puis il en profite pour me glisser sous le cheval
et me fait baiser avec. Il bande à nouveau, m’écartelant et me remplissant
toute la chatte. Je jouis, tout en suçant Alfred. Sultan éjacule encore en moi.
Penchée sur le capot, Alfred H m’encule profondément
en me fessant.
- Tu es sacrément ouverte. Tu es une adepte, tu es
chiffrée. Tu me plais. Tu dois être une des putes chevalines du Duc. Tu es son
style. Je vais jouir.
Il éjacule dans mon anus, je suis tout excitée par
ses paroles, puis sur mes fesses brûlantes par les fessées et dans ma bouche
que j’offre accroupie, cuisses écartées.
J’ai pris beaucoup de plaisir avec Sultan. Je
voudrais recommencer.
Alfred remonte sur Sultan et repart vers le
château.
- Alors, cela t’a plu, ma chérie.
- Oui, on recommence quand.
Je dois vous présenter à Brice, le directeur du
haras. Je ne fais le lien avec Brice Anal Fesseur du Domaine.
Arrivés à la grille du château, nous sommes
contrôlés. Maître O possède nos papiers d’identité. Un des hommes
annonce :
Voici les nouvelles pouliches du haras, pour Brice,
une me plait.
Nous stationnons devant les marches menant au hall
d’entrée. Brice nous accueille en tenue de cavalier.
- Toi, on se connaît, en me désignant.
Je baisse les yeux, feignant de ne pas le
connaître, comme Alfred.
- Ta copine n’est pas mal non plus. Deux superbes
pouliches, mes étalons seront ravis.
Nous entrons au salon. Nous prenons une boisson.
Nous gardons nos cuisses écartées pendant toute la conversation.
- Combien, coûte le droit d’entrée pour mes
amies ?
- Si elles aiment le sexe, on peut négocier.
- Brice, la belle chiffrée a pris le sexe de
Sultan, tu peux lui faire un tarif spécial, dit Alfred.
- Montre-moi tes fesses, ma belle.
J’obéis.
- Ferrée, chiffrée et bouche bien dressée, tu va
avoir un droit d’entrée à la hauteur de tes compétences, ma belle. Quel est ton
prénom ?
- Elle s’appelle Baronne S, dit Maître O.
- Une Baronne très belle, qui se donne à Sultan,
c’est très rare, dit Alfred.
- Elle doit être prise en double, je vais étudier
le droit d’entrée. Elle peut revenir avec sa copine dans trois jours. Il y aura
la répartition des étalons avec les pouliches. Je peux la prendre, si elle le
veut, dit Brice.
Séance tenante, à quatre pattes, enculée par Brice
jusqu’aux testicules et suçant Alfred, devant Maître O et Sabrina, je me
soumets à leurs désirs. Je me retiens de jouir, malgré l’envie. Ils éjaculent
en moi.
- Bon, dans trois jours, Baronne et ta copine en
tenue d’équitation, si tu as une amie intéressée, elle peut venir aussi, dit
Brice, en se retirant de mon anus bien ouvert, dégoulinant de spermes, j’ai les
fesses brûlantes.
Vers 18 heures,
nous rentrons au pavillon de chasse. Je me douche longuement. Ces deux
hommes m’ont excitée sexuellement. Leurs visages ne me sont pas familiers.
Maître O me rejoint dans ma salle de bains, où
je finis de me rincer et je fais mon lavement anal :
- Tu trouves pas qu’ils sont un peu trop curieux
sur toi.
- Oui, cela me gêne. Hermine va leur régler leurs
comptes à ces deux. Notre escorte a des photos d’eux. Nous verrons où ils
travaillent en réalité. Ils m’ont bien cravaché les fesses, ces deux-là.
- Tu as raison.
- Mon chaton Shawn, tu te refais une beauté, dit
Justine, vêtue d’un chemisier blanc sur ses seins nus aux mamelons tendus et un
porte-jarretelles et des bas blancs, avec des mules à petits talons, les
cheveux libres, maquillée.
- Au fait, tu sais que tu es ma nièce, Shawn, dit
Maître O. Tu es ma nièce depuis que Justine m’a rencontré. Je t’ai fait adoptée
après divers événements. Tu as été élevée avec Farid, jusqu’à son départ. Tu as
fait un sacré chemin. Comme je t’ai prise au Domaine, je n’ai pas révélé mon
lien de parenté.
- Tu as couché avec Shawn, mon chéri.
- Oui, mais elle a brisé un tabou, dit Justine.
Elle a aussi joui avec des chiens, il paraît.
- Oui, Justine, je me suis fais monter par des
chiens dans ma chatte et enculée aussi, au Domaine.
- Je devrais te punir pour ton comportement
d’allumeuse, mais je ne vais pas le faire, devant Hubert. Tu as les fesses
zébrées.
Le major Nathan surprend la conversation dans ma
chambre.
- Tu te fais belle, pour le souper, ma chérie. Pas
un mot sur notre secret, ma chérie.
- Oui, Madame Justine, je me tais. Je peux avoir un
peu d’intimité. J’attends des informations sur les deux du château.
Je quitte la douche et m’assois à ma coiffeuse,
nue, en me séchant.
Justine et Maître O croisent le major Nathan, sans
savoir qu’il a tout entendu.
Nathan frappe à ma porte.
- C’est Nathan, pour tes deux du château. Leurs
casiers sont vierges, mais ils n’ont pas de lieu professionnel connu, sauf le
château. Fais attention à toi, mon chaton.
- Major, tu me connais. Je suis sur mes gardes.
-Tu es la
nièce…
- Comment tu es au courant ? C’est un de mes
secrets de ma vie privée.
- Désolé, de t’avoir trahi un de tes secrets.
- Tiens, farde mes mamelons et ma chatte. Je
m’occupe de mes paupières.
Il obéit et va ma chatte ruisselante.
- Tu vas laisser repousser ta superbe toison
pubienne. Elle est très belle, mettant en valeur tes bijoux intimes. Lotus
Câline souhaite en porte aussi.
- Lèche mon clitoris.
Il obéit et je me fais jouir, libérant les orgasmes
que j’ai retenu.
Je mets un dos nu avec un décolleté en V, avec une
jupe ample, blanche, laissant deviner par transparence mes fers. Je chausse mes
mules blanches à talons de douze centimètres et coiffée de ma queue-de-cheval,
maquillée.
Sabrina opte pour une robe toute simple, avec une
jupe éventail, noire, sur un porte-jarretelles et des bas noirs, des escarpins
noirs à petits talons, les cheveux libres. Justine juste rajouté une jupe
blanche s’arrêtant à la lisière des jarretelles.
Le souper se passe sans aucune discussion sur mon
lien de parenté.
Justine me passe de la pommade sur mes fesses, pour
la nuit. Je n’ai pas trop envie de faire l’amour ce soir. Je suis pensive, me
questionnant sur mon passé.
8 mai
Au courrier, je reçois la carte de membre avec
comme étalon Sultan que je partage avec Dan, alias Défonce Sévices Dresseur.
Sabrina monte Etalon des Haies et Hermine que j’ai invitée pour ma protection,
monte Zéphyr.
Sur mon téléphone portable, je reçois la vidéo de
ma fellation de Sultan et ma scène de baise avec Sultan. J’ignore qui est
l’auteur, si les vidéos sont visibles sur d’autres contacts. Je me retiens d’en
parler.
Je me la repasse, en coupant le son. Je m’offre nue,
allongée sur le dos, cuisses écartées, en m’enfonçant un gode réaliste du même
calibre que Sultan dans ma chatte trempée d’excitation, et je m’offre un
violent orgasme. Je dois me doucher, car je suis en sueur.
Je me refais deux fois la vidéo avec le même
plaisir, en attendant de retrouver Sultan.
10 mai
Une limousine longue de cinq mètres Cadillac DTS-L
vient nous chercher, conduite par une superbe brune. Nous avons mis nos tenues
de cavalière, avec nos bottes, coiffées toutes de chignons, maquillées, parfumée.
Vers 14 heures, aux écuries, Brice ordonne :
- Sabrina, voici Etalon des Haies, tu le montes et
tu rejoins le manège avec Hermine sur Zéphyr. J’arrive avec la Baronne S. Dan,
tu viens.
Escortée par Brice et Dan, je rejoins par le box de
Sultan, mais un autre étalon.
- Non, pas Sultan, aujourd’hui, d’abord tu vas
retirer ta culotte de cheval. J’espère que tu t’es épilée.
J’obéis. Il regarde discrètement mes fers, mon
chiffre et mes reins tatoués.
- Regarde, c’est une des putes du Domaine, dit Dan.
Elle doit aimer se faire défoncer la chatte par Sultan. Aujourd’hui, on va
s’occuper de toi.
- Enfile le fameux pantalon à la place. Il te va à
merveille.
C’est un pantalon standard pour ce qui est des
jambes du pantalon mais d'être totalement ouvert au niveau du bassin, afin
probablement d'éviter une sudation trop importante. Cela dévoile par devant mon
pubis et par derrière mes fesses.
- Quelles superbes fesses, je vais te les
cravacher, penche en avant, cuisses écartées, dit Dan.
Je jouis au lieu de gémir.
- Ecarte-lui les fesses brûlantes et encule-la
profondément. Tu te retiens de jouir, comme elle montera plus facilement.
Le superbe selle Français Sexe Jouisseur m’attend
dehors.
L’anus lubrifié par le sperme de Dan, je dois
m’empaler sur un gode équin pour ma chatte et un gode canin pour m’enculer. Je
m’empale sous mon propre poids sur les deux. Mes cuisses sont finalement
sanglées pour que je ne puisse pas me lever de ma selle.
- Les cuisses sont bien sanglées, amène-la au
manège. Pine Bande à Mort va s’occuper d’elle ensuite, puis on la ramène
ensuite, seule, pour la finir.
Je fais des tours de manège, je suis au bord de
l’orgasme par les deux godes télécommandés, dont je sens les va-et-vient.
Mon anus libéré et rougi mais plus souple est
défoncé par l’entraîneur au manège, sur les conseils de Brice.
On m’aide à descendre au bout de quelques tours,
sans que Sabrina et Hermine me voient.
- Quel œillet bien ouvert et la chatte est bien
trempée, prosterne-toi pour Pine Bande à Mort.
- Elle a l’habitude des grosses queues et
profondément. Elle s’empale sur moi, dit Pine Bande à Mort, avec un trente-huit
par huit.
Vers 15 heures, à la limite de mon orgasme, on me
fait remonter et Brice me ramène à l’écurie.
Dan et Brice me libèrent.
Dans le box, Brice m’encule sur le champ et éjacule
en moi, je dois le sucer, sans savoir qu’il me filme avec son téléphone
portable.
- Dan prends-la encore une fois, par la finir et tu
la remplis bien.
Dan s’exécute, je m’offre à quatre pattes, les
fesses à nouveau cravachée par Dan. Je suis pantelante, j’arrive à peine à
jouir, tellement mon clitoris a été sollicité.
Je dois remettre ma culotte de cheval, toute
trempée par le flot de sperme dégoulinant de mon anus entrouvert, sans pouvoir
mettre mon bijou d’anus.
- Tu es très docile. On se revoit bientôt. Tu te
masturbes en pensant à ta journée, belle chienne, dit Brice.
Vers 17 heures, je passe le reste de la journée,
entre ma douche pour me nettoyer du sperme et mes pauses masturbation, devant
les vidéos envoyées par Brice, à fantasmer sur d’autres étalons.
Je dors très peu, sollicitant ma chatte et mon
anus, pour jouir, les orgasmes que je n’ai pas pu avoir aux écuries.
17 mai
Vers 14 heures, aux écuries, je dois enfiler une
culotte de cheval avec deux godes incorporés similaires à ceux que j’ai porté
il y a quelques temps.
Nous allons en forêt, Hermine et Sabrina partent
devant. Je subis les assauts des va-et-vient des godes télécommandés à distance
par le téléphone portable de Brice à mon insu, je suis montée sur Sultan.
Nous sommes assez éloignés d’Hermine et de Sabrina,
Brice veut me prendre, mais une patrouille de deux gendarmes montés, l’en
empêche.
- Baronne S, tu n’es pas très en forme. Qui est cet
homme ? dit Alizé.
- Brice, le responsable des chevaux au château.
- On a des questions à lui poser. On te ramène au
château sous bonne escorte, dit Alizé.
Nous retrouvons Hermine, Sabrina, Alfred et Dan.
Les gendarmes ont suffisamment de preuve pour mettre les trois hommes en garde
à vue pour tentative d’enlèvement, viol sans mon consentement au château et
diffusion des vidéos de moi, avec les chevaux.
Je dois apprendre aussi qu’ils sont des valets du
Domaine. Je dois recadrer les valets comme Maîtresse du Domaine.
Le soir, vers 20 heures, avant le souper, Maître O
me sermonne devant Justine :
- Ma chérie, tu t’es donnée en spectacle devant ces
hommes, portant des godes, ou empalée sur des godes, alors que tu devais
simplement monter à cheval.
- Je ne savais pas que le château est un lieu de
perversion.
Le duc et la duchesse vont reprendre les choses en
main. Tes dragueurs vont devoir s’expliquer et ils sont expulsés dans une autre
région. Au fait, le duc et la duchesse vont venir ici, le 21 mai, dans la
journée. Tu as une tenue adaptée. Vas te doucher et tu iras au château, une
fois les choses remises en ordre, pas avant. Heureusement, que Renée m’a
révélée les activités du château, liées à celle du Domaine.
Je reste silencieuse au souper et je me refuse de
faire l’amour à mon chéri, Maître O. Il comprend que je sois un peu perturbée
par les événements. Il me laisse tranquille.