Je m’appelle Shawn.
J’ai 18 ans.
Je suis une jolie beauté scandinave.
Je suis une brune aux yeux verts. J’ai des pieds fins et latins, des jambes longues bronzées, musclées qui inquiètent par leur perfection. Mon pénil est bombé, ouvert, couronné de noir. Ma pilosité brune couvre mon pubis. Je suis lisse entre les cuisses et j’ai une superbe croupe. Mon entrecuisse est lisse. Mes hanches s'incurvent et délimitent le ventre plat, délicieusement renflé autour du nombril, les hanches sont larges et rondes, mais sans lourdeur. La taille est affinée. Les seins parfaits intégralement bronzés sont un peu volumineux mais fermes, et leurs pointes marron clair, toujours dressées, cernées par une large aréole marron attirent le regard. J’ai une peau lisse et patine. Finition parfaite, un seul grain de beauté entre mes superbes seins. De longs cheveux plats blonds flottant comme des algues, battent mes épaules rondes et gracieusement athlétiques. Je suis intégralement bronzée. Mes yeux verts limpides s'allument, ma bouche charnue se fend. J’ai des sourcils bruns bien dessinés et des lèvres pulpeuses. J’ai de longs doigts fins et de belles mains. Je fais du 85B de poitrine, 56 de taille, 90 de hanches, 1,75 m.
Je porte des anneaux à mes grandes lèvres de ma chatte totalement lisse, un anneau doré avec une pierre précieuse à mon gros clitoris, pour me faire reconnaître.
18 ANS ETUDIANTE DU VICE 3E PARTIE
25 août
Vers 9 heures, après mon petit déjeuner, nue, dans mon salon, Maître O s’étant absenté, pour diverses activités, je téléphone à Phallus d’Or :
- Tu te souviens de mon exigence. Disons, j’ai une terrible envie de la queue de Six Orgasmes, dont j’ai aperçu une partie de son sublime corps, au bar le 26 juillet. Cela fait un mois, mais je fantasme sur lui. Maître O le sais, je suis enceinte depuis un mois et mon désir sexuel est décuplé. Maître O arrive à peine à combler mon désir en me baisant et m‘enculant tous les jours. J’en mouille d’avance. Je suis la secrétaire personnelle de Docteur Oscar en temps partiel. Je le suce de temps à autre. Tu n’es pas jaloux, d’être la pute de Docteur Oscar.
- Il va venir. Tu as le temps de te faire belle, de te doucher. Nullement, je ne serais jaloux de te savoir entre de bonnes mains. Aimée continue son dressage et connaît ses premières saillies anales canines. Elle est souvent cravachée, fouettée pour ses fautes. Elle sera ferrée prochainement.
Je me douche, me farde, me parfume et reste nue, pieds nus, devant Jasmine que j’ai sous mes ordres. Elle ne m’appelle pas Shawn, mais Désir Anal. Elle fait exprès de vouloir entrer dans ma chambre pour me voler mes bas, mais je la corrige.
Vers 10 heures, le barman, un bel étalon Africain noir, athlétique, 25 ans, arrive, élégamment vêtu, par l’ascenseur.
- Jasmine va t’occuper de Six Orgasmes. Il pourra te prendre aussi, il aime les jolis fesses de ma soubrette.
- Shawn, quel plaisir de te revoir, tu manques au club. Je connais les raisons de ton absence. C’est Jasmine, ta soubrette. Elle me plait aussi. Mais, c‘est toi d’abord, ma déesse du sexe. Suce-moi.
Accroupie, cuisses écartées, à côté du canapé, lui reste debout, je prends son mandrin de quarante par neuf en bouche.
- Jasmine vient regarder cette queue qui va te remplir aussi.
Jasmine, les yeux baissés, prend la même pose que moi.
- Tu veux le sucer, vas-y. Je vais me mettre en position, sur le canapé, comme cela tu pourras me voir jouir. S’il te plait, tu me mets trois pour moi et le reste pour Jasmine. Je dois me ménager.
- Ce sera fait, dit Six Orgasmes. Elle suce moins bien que toi, l’experte.
Elle fait sa jalouse. Tu te mets au travail, Jasmine ou il va t’aider, en gorge profonde.
Jasmine connaît un léger retrait lors de la gorge profonde.
- Tu avales jusqu’aux testicules, ma belle chienne.
Il éjacule dans sa bouche, mais il bande à nouveau, pour m’enculer
- Quel puits bien élargi, Jasmine est aussi bien élargie que toi, j’espère, dit Six Orgasmes. J’aime ton gros clitoris percé et tendu par l’excitation.
- Tu es seul juge. Elle s’ouvre bien. Pine-moi à fond jusqu’aux testicules.
Puis il m’encule après la levrette, prosternée et m’achève assise entre ses cuisses, pour trois éjaculations successives.
- Tu aimes des sodomies profondes.
- Tu m’exploses bien, j’aime être écartelée. Occupe-toi de Jasmine. Je te regarde.
- A ton tour, la soubrette, tu portes un harnais de sécurité, pour ne pas éjaculer la journée. Tu lui vides souvent ses testicules.
- Une fois tous les jours, aux toilettes de l’université par des amants, n’est-ce pas Jasmine. Punis-la pour sa gorge profonde ratée, s’il te plait.
Jasmine tente de se dérober, mais Six Orgasmes est costaud et la tient fermement par les hanches et donne de violents coups de reins, pour la prosterner.
- Non… Shawn… Pas encore…
- Elle t’a parlée ou j’ai rêvée, ma belle, dit Six Orgasmes.
- Laisse, mon chéri, double punition pour cette pute de soubrette. Elle est là juste pour faire son intéressante, dis-je, détendue. Mets-lui une bonne dose pour qu’elle comprenne. Elle est la traînée d’Aimée et de Charlotte Vanessa.
Six Orgasmes éjacule une première fois, puis il la reprend toujours à quatre pattes, bien cambrée cette fois-ci.
- Non…
- Tu dis non, mais tu dis oui, en réalité, tu mens devant ton Maître. Tu es une traînée, une pute de luxe.
- Continue, Six Orgasmes, à l’insulter. Je suis blasée.
- Désolé, ma chérie, je t’ai choquée. Tiens, ma chienne, e vais bien te remplir encore et tu suces encore ensuite.
Les bas sont recouverts de spermes. Jasmine est au bord de l’évanouissement.
- Allez, tu vas me sucer. Tu veux me sucer, ma chérie. Non, tu préfères te caresser, donne-toi du plaisir.
- Mais, Jasmine, tu es une traînée, regarde tes bas, tes fesses. Tu devrais être une soubrette impeccable. Tu veux mes bas, désolée. Tu la douches toute habillée et tu la fait promener au parc pour la faire sécher.
- Bien, ma chérie, tu es un ange.
- Shawn… J’ai mal aux fesses… Pas dans…
- Si ma belle chienne, tu vas avaler mon sperme et ma pisse. Comme cela tu pues.
Je me lève, après un orgasme en doigtant ma chatte et en masturbant mon clitoris. Je gifle Jasmine en lui griffant les testicules.
- Tu avales tout, on t’a dit, tu nous désobéi.
- Je ne peux…
- Elle va avaler immédiatement. Je l’emmène aux toilettes, pour un petit pipi, avant sa douche. Si elle salit ta salle de bains ou tes toilettes, elle doit tout nettoyer avec sa langue.
- Oui, c’est cela, tout doit propre. Je ne peux salir mes jolis pieds aux ongles vernis. Je dois m’habiller pour mon travail.
Jasmine fait de son mieux, retenant le sperme et la pisse, mais elle tâche les toilettes et la douche. Six Orgasmes la fait nettoyer. Cela prend une bonne heure.
- Je m’impatiente, Jasmine. Je dois me doucher aussi, me faire belle. Bon, je vais me faire belle au salon. Cravache-la, tu la conduis ensuite au parc, Maître O doit rentrer un peu de bonne heure. Voici les clés.
Une fois fardée, parfumée, je revêts mon tailleur fuchsia avec mes sandales blanches à talons de douze centimètres, les cheveux libres. Mes vêtements sont déjà sorties de ma chambre, entre deux caresses.
- Tu es super sexy, dans ton tailleur, dit Six Orgasmes. Pour le prochain rendez-vous, on s’organise comment ?
- Tu aimes. Je suis une femme élégante pas comme cette pute de Jasmine. Tu actives, cravache-la bien sur les fesse, les testicules et les cuisses, pour qu’elle comprenne qu’on doit laisser les endroits propres. Je vais voir avec mon agenda.
Maître O arrive à l’improviste.
- C’est quoi, ces hurlements. Je pensais que c’est toi, ma chérie.
- Non, c’est Jasmine la sale, que cravache Six Orgasmes. Va admirer les dégâts, elle ne sait pas avaler. Elle va aller une bonne demi-heure au parc, pour se sécher. Elle rejoint ensuite le club pour sa seconde punition, n’est-ce pas Six Orgasmes. Six à douze queues à sucer et pour l’enculer, comme prévoit le règlement.
Je rejoins Docteur Oscar. Par caméra, j’observe la suite des événements. Je suis tout détendue, j’ai mis mon bijou d’anus. Je peux me doucher au cabinet.
Jasmine a rendez-vous avec la soumise Aimée pour une soirée Maîtres et soubrettes.
12 septembre
Vers midi, nous arrivons en convoi à une luxueuse villa sur la côte Normande, sur la Côte d’Albâtre. J’ai fait le voyage, allongée seule, sur la banquette arrière de la grande limousine blanche, conduite par MPA, pour allonger mes jambes et soulager mon dos. Je porte une robe courte blanche s’arrêtant à mi-cuisse et des mules à petits talons, les cheveux libres, juste mes mamelons et ma chatte sont fardés, ma toison pubienne repousse.
Mes seins sont un peu plus volumineux, je suis un régime pour rester en forme, j’aime de plus en plus mon ventre arrondi. Je me sens plus désirable, Maître O me baise dès qu’il peut et j’en éprouve le désir. Je me gode l’anus sensible. Je suis restée vicieuse.
C’est Sir Stephen et Maître O qui m’ont offert ce séjour pour m’oxygéner et me ressourcer, après mes examens universitaires. J’attends mon passage en seconde année.
Il y a deux superbes étalons musclés, Félix et Horace, deux amis de Sir Stephen pour satisfaire mon désir de faire l’amour avec des Africains noirs, depuis mon expérience réussite avec Six Orgasmes.
Nue, à la sortie de ma chambre au rez-de-chaussée, je rejoins la piscine, retrouver mes amants.
Ma chambre est luxueuse, avec un grand lit pour Maître O et moi, avec une grande baignoire et une douche selon mes envies, des glaces et des miroirs disposés pour refléter mon corps transformé et une cuvette, un bidet pour ma toilette intime et une coiffeuse pour me maquiller. Il y a aussi au rez-de-chaussée une grande salle à manger, un salon, les cuisines sont au sous-sol, avec le chef de Sir Stephen. Saphir et Vicieuse Annale sont là pour le service, je les loue à Sir Stephen, qui aime les enculer depuis leur arrivée il y a deux jours.
Au premier et au second étage, se trouvent les autres chambres et les pièces de dressage des soubrettes et d’Aimée, qui a interdiction de me croiser, elle est enfermée dans sa cellule, livrée à mes amants, qui l’enculent et la fouettent. Jasmine est louée à d’autres Maîtres et Maîtresses, elle avale mieux et prend du plaisir à se faire enculer par les hommes et les chiens.
- Voici, la déesse au ventre arrondi, Shawn, tu es très belle, dit Sir Stephen. Je ferais attention à toi, en te prenant.
Un bel Adonis musclé, de 45 ans, me toise, depuis mon arrivée à la piscine, faisant son beau, bandant déjà. Il est un peu plus grand que moi.
- C’est Sven, le neveu de Maître D, que tu connais.
- Sven, tu fais attention à moi. Je suis détendue, mais si tu fais le moindre écart, tu le payeras très cher.
- C’est toi la pute du Domaine. Déjà enceinte, tu ne perds pas de temps, dit Sven, tout sourire, en me draguant.
Je reste silencieuse. Mais il tente de caresser ma chatte entre mes cuisses tandis que je vais me baigner dans la piscine.
- Tu as besoin d’un coup de main, dit Sir Stephen. Elle est très sensible, Shawn.
Je fais mes longueurs sur le dos, avec mon bijou d’anus en place
- Cette caresse m’a excitée et m’a donnée envie de le corriger.
Mais en sortant de la piscine, il me sèche délicatement avec une serviette, après m’avoir longuement observée sous la douche, me rinçant.
Nous mangeons sur la terrasse. Je reste nue.
Le vicieux Sven me fait des clins d’œil, des bisous, tout pour me faire chavirer, mais je suis blasée.
Vers 14 heures, après le dessert, profitant du soleil, Sir Stephen m’enduit de crème solaire et je m’allonge sur le dos, sur la chaise longue, cuisses écartées, pour voir la réaction de Sven.
J’entends un gémissement. Sven s’est fait enculer par Lancelot, le dogue allemand de Maître D, qui se trouve à la villa.
- Tu as joué avec le feu, Sven. Lancelot, prends ton pied avec lui.
- Non, pas cela. Il m’encule, réplique Sven.
- Mais moi aussi, il m’a déjà enculée et j’ai beaucoup aimée.
- Tu es vicieuse, faire l’amour avec un chien.
- Sven, Shawn a son jardin secret, dit Sir Stephen. Ton comportement mérite un retour chez Maître D pour les bonnes manières avec les dames enceintes.
- Laisse-le gémir, Sir. Il a envie de moi, mais Lancelot a envie de le prendre.
- Tu as totalement raison. Caresse-toi si tu veux. Tu es libre de te caresser.
- Non, Félix va m’enculer devant Sven et Lancelot. Je suis chaude.
Félix se laisse sucer et il m’encule avec douceur. Je l’enserre avec mes jambes, enculée jusqu’aux testicules. Son mandrin de trente-huit par huit me comble.
- Quel puits, tu es bien ouverte.
- Je suis aussi ouverte que Sven avec Lancelot. Regarde comme il aime ça, cette chienne, ce qui excite Lancelot, qui redouble ses coups.
- Non… Arrête…
- Tu en as pour une bonne demi-heure à trois quart d’heure, ma chienne Sven. Tu veux devenir ma soubrette, tu te montres docile avec Lancelot.
- Je ne vais… Pas faire ta pute…. Pour toi…
- Tu es en mode orgasme, tout comme moi. Pilonne-moi et jouis en moi.
- Oui, je vais te remplir.
Je le suce, laissant un peu de sperme sur son gland et j’invite Félix à offrir son mandrin à sucer à Sven, encore enculé pour une seconde fois, car Lancelot a très envie de sa nouvelle chienne.
- Tu avales, Sven, ou je vais pisser dans ta bouche, dit Félix, joueur.
Sven échoue. Je le conduis dans ma chambre.
Vers 15 heures, nu, il doit revêtir sa tenue de soubrette comme Saphir et Vicieuse Anale, avec son harnais de chasteté que je cadenasse. C’est une clé que je mets à mon porte-clé dans un des tiroirs de ma chambre.
- Tu fais moins ta fière, Pute Anale Danoise. Ce sera désormais ton nom. Interdiction de te masturber ni d’éjaculer. C’est moi qui décide. Allez, dehors, pervers et vicieux, en silence et tu avales tout ce que Félix t’a offert.
Maître O me rejoint, en compagnie de PAD.
- Tu aimes ma PAD, mon chéri. Elle est très sexy. Déhanche-toi, bouge tes fesses, le bel Adonis féminisé. Je l’ai maquillée, épilation intégrale. Elle va apprendre à marcher rapidement en hauts talons, sans tomber. Je ne l’aide pas à se relever, cette chienne.
- Encore, une nouvelle amie de tes soubrettes, PAD. Elle est sublime, il faut la présenter à tes amants, Shawn, dit Sir Stephen.
- Oui, Lancelot et d’autres mâles en rut, pour sa sortie en ville.
- Non, elle ira faire les courses au coin, à pied, escortée par Lancelot, que tu promèneras. Tu mets ta plus belle robe, un peu décolletée et tu le tiens en laisse, dit Maître O, en caressant mon ventre, en me donnant un baiser langoureux. Tu es vengée, ma chérie.
- Jamais, je ne resterais habillée comme dans cette tenue de pute, dit Sven.
- Qui t’as autorisé à ouvrir ta jolie bouche maquillée, Horace, tu veux qu’elle te suce, avant sa promenade ?
Horace sort un mandrin similaire à Félix.
- Suce ma belle et gorge profonde, pour commencer, tu sortiras ensuite. Merci, mon amour, tu es directe.
PAD échoue encore une fois, mais doit recommencer. Elle se sent mal, mais cela n’est pas notre affaire.
- Viens prendre l’air, dis-je, habillée d’une robe au décolletée en V, noire, s’arrêtant à mi-mollets, mais un peu transparente pour mettre en valeur ma nudité, je garde mes mules à petits talons, coiffée d’une queue-de-cheval, fardée et parfumée. Lancelot est excitée par mon odeur de chatte en chaleur. Mais il sait que sa chienne PAD lui est destinée en premier.
Vers 16 heures, dans la rue, les regards masculins hésitent entre PAD et moi, Lancelot reste obéissant.
Au bout de la rue, je trouve une boutique de lingerie. Lancelot reste dehors.
- Bonjour, quel modèle de porte-jarretelles pour ma soubrette ?
Je donne une de mes tailles de porte-jarretelles.
- Oui, il me faut des bas assortis et PAD, c’est son nom, va les essayer et elle va les payer par carte.
Sir Stephen m’a donnée sa carte bleue et son code secret.
Lors de l’essayage, PAD exhibe son mandrin cadenassé à la jeune vendeuse, en laissant le rideau ouvert. Elle a 22 ans, brune aux cheveux courts, sexy, dans son chemisier rose et sa jupe blanche, en mules dorées à talons de douze centimètres, plus petite que moi.
- C’est un travesti, madame.
- Oui, il aime se promener avec mes dessous. Je l’ai déjà surpris. C’est sa punition, soubrette. Vous souhaitez le doigter. Elle est très sensible.
Je filme la scène avec mon téléphone portable.
- Tu te détends. Diane, va te donner du plaisir, n’est-ce pas.
Diane s’exécute, excitée par ce bel Adonis en porte-jarretelles et bas.
- Tu gémis, ses ongles longs sont douloureux. Tu seras offerte à Lancelot à ton retour, pervers et vicieux.
- Qui est Lancelot ?
- C’est mon amant que je lui offre, pour sucer et surtout la faire jouir.
- Shawn…
- Tu m’as appelée comment devant Diane ? Tu n’as aucun respect.
- Maîtresse…
- J’aime mieux ça. Tu vas les porter pour le reste de la journée. Tu te souviens du numéro de ta carte. Sinon, tu connais la punition.
Rhabillée en soubrette, PAD panique et neutralise sa carte bleue.
- Tenez voici le numéro de la banque de ma soubrette, vous voyez pour être dédommagée. Tu oublies ton numéro. Tu fais ta belle devant Diane. Je peux la louer pour votre chéri. Il sera la corrigée.
- Oui, Shawn, je peux vous voir à quelle adresse.
- Voici mon adresse, je tends la carte de visite de la villa.
- Je la connais. Je fais des livraisons. Vous désirez aussi des bas ou autres dessous pour votre grossesse. Tout sera gratuit, je me dédommage sur votre soubrette.
- D’accord, marché conclu, ma soubrette en échange de dessous, je vous attends. Avance la belle.
Vers 17 heures 30, au retour, PAD se casse un talon de ses mules, exhibant ses fesses nues à Lancelot.
- Mais, tu es maladroite. Lancelot, tu as envie. A quelques mètres de la villa, je vais te faire marcher à quatre pattes, ma chienne.
Les passants insultent ma soubrette. Je reste détendue.
Arrivant devant la villa, Sir Stephen a ouvert la porte.
- La chienne PAD a fait des siennes. Laisse-la enculée. Elle a cassé son talon, elle est maladroite. J’ai des mules à talons de quinze pour les remplacer. Elle me devra une nouvelle paire. Elle a bloqué sa carte, en faisant sa belle.
- Je vais te la punir sévèrement, je vais l’enculer et elle sucera Félix et Horace. Tu es d’accord.
- Oui, j’ai la vendeuse Diane qui doit venir avec des dessous. Je ferais un défilé lingerie à la piscine. Jolie beauté, je me ferais l’amour avec elle, si tu le désires.
- Shawn, tu es libre, dit Maître O. fais l’amour avec qui tu veux. PAD a besoin d’un bon dressage de chienne.
- Tu es un amour, mon chéri.
La saillie anale avec Lancelot dure au-delà de la demi-heure. Lancelot a une grosse envie. Je lui ai fais sentir ma chatte, en discrètement me doigtant à la boutique et je lui fais lécher mes doigts, d’où sa réaction avec PAD.
Vers 19 heures, Diane me rejoint. Elle a opté pour un tee-shirt blanc sur ses seins nus et un mini-short en jean qui met en valeur ses longues jambes bronzées, chaussée de sandales blanches à talons de dix centimètres.
- Voici, Diane, ma nouvelle chérie, je me réserve pour ce soir, messieurs. Vous avez ma soubrette à vous occuper.
- Tu es connaisseuse, Shawn, dit Félix. Toi, aussi, tu es encore plus désirable, avec tes rondeurs.
- Tu me dragues, Félix, mais Diane s’offrir, anale je présume.
Diane est un peu gênée par mes paroles.
- Ce n’est pas grave. Si tu n’aimes pas l’anal, alors je te gode la chatte.
- Je suis intégralement épilée, tu n’as pas de préférence, dit Diane.
- Epilée, non, j’aime les chattes lisses et humides. Moi, j’ai des bijoux intimes pour que tu me fasses jouir en 69.
- Tu m’excites, ma chérie Shawn. Cela ne te gêne pas que je t’appelle ma chérie. On est presque copine, après la bêtise de ta soubrette. Mon chéri, Dan, n’est pas contre pour les services de ta soubrette. C’est combien l’heure ?
- 500 mais je peux te faire 200, si tu la fais enculer par les amis de ton Dan.
- Tu es sérieuse en affaires, j’aime ça. Embrasse-moi, dit Diane.
Je lui fais un long baiser langoureux devant mes amants, tout en laissant tomber ma robe à mes pieds nus, déchaussée.
- Tu me plais davantage. où est ta chambre, ma belle et séduisante copine ? questionne Diane.
- Dis donc, elle sait mettre le charme lesbien en valeur, dit Horace un peu jaloux.
- Horace, tu me laisses avec ma Diane.
- Je te taquine. Tu redeviens une fille sage.
Nous allons dans ma chambre.
Les caresses se succèdent aux baisers, les godes remplissent nos chattes et nos anus. Diane connaît sa défloration anale en douceur.
- Continue, c’est divin d’être enculée, ma chérie.
- On s’y habitue surtout avec mon amant Lancelot.
- Ton amant n’est pas jaloux, ma chérie.
- Il aime aussi les fesses masculines. Tu aimes mes reins tatoués et mes bijoux intimes.
- Tu es soumise ou tu es bisexuelle ?
- Les deux, je suis joueuse au niveau sexuel. Continuons à nous faire jouir. Je sais que mes amants jouissent et éjaculent de notre spectacle.
En effet, PAD continue son dressage intensif, avec Saphir, en couple avec les hommes, qui prennent du plaisir.
- Ma Diane, si tu veux connaître les mêmes plaisirs que moi, mon chéri te conduira dès demain matin à ce lieu mystérieux. Il faudra accepter d’être offerte, cravachée comme le prouve mes marques blanches sur mes fesses, mes cuisses et mes reins, obéir à tout ordre, recevoir toute forme de sexe et surtout être docile avec tes nouveaux amis.
- J’accepte tout, si nous continuons notre relation, dit Diane.
- Embrasse-moi, gode-moi la chatte, l’œillet, je te donnerais du plaisir en retour.
Nous faisons l’amour jusqu’au souper, puis après le souper, jusqu’à l’aube.
13 septembre
Vers 3 heures du matin, Sir Stephen conduit Diane au Domaine pour 15 jours de dressage, qu’elle a accepté. Elle est désormais ma soumise.
Sir Stephen me ramène dans la journée, Candice, une jeune transsexuelle brésilienne aux petits seins, au sexe imposant, trente-six par huit, pour continuer mon séjour. Elle mesure 1,80 m.
Nous apprenons mutuellement, elle m’apprend les mots de Brésilien en échange de mots en Français pour nos relations amicales.
J’apprends à jouir, sans être pénétrée, par ses caresses sensuelles sur mon clitoris, ma chatte, mes seins et mon anus.
Elle aime mon œillet serré qui offre un puits bien élargi pour sa queue.
- C’est un œillet ou anus.
- Œillet, anus, c’est joli comme mots, en me doigtant.
- Chatte, écrin, (en lui désignant ma chatte humide d’excitation et) ceci est mon clitoris, bouton d’amour.
- Chatte, écrin, (en la caressant et en enfonçant ses doigts), clitoris (tandis que je guide ses doigts sur mon clitoris pour le caresser en douceur, pour me faire jouir). J’aime ces jolis mots et toi, tu es très jolie, belle, excitante. Tu n’es pas une pute, mais une déesse. Tes amants doivent aimer te prendre.
- Tu connais quelques mots en Français, ma Candice. Oui, j’aime être prise et jouir.
- J’avais un amant Français, un Sven. Il a subitement parti, pour une autre pute.
Je ne lui révèle que j’ai deux Sven en hommes soubrette qu’elle va découvrir et les éduquer, en les enculant et les faisant sucer.
Elle apprend toute l’anatomie de ma chatte, pour mieux la connaître avec ses doigts puis avec sa langue agile et experte, qui me font jouir rapidement.
Candice aime m’enculer et me baiser. C’est une première pour elle, Candice n’a jamais honoré une chatte. Je lui apprends, le plaisir que j’éprouve.
Ce n’est pas la première qu’elle encule une femme. Elle le fait souvent pour rendre jaloux leurs amis et amants.
Bien sûr, mes amants sont aussi enculés par elle, tandis que je suce celui qui est enculé, dans des 69 torrides sous lui.
Je me fais même saillir, enculée par Lancelot devant Candice, toute surprise et excitée.
Lancelot l’encule ensuite, après que Candice l’a sucé. Candice connaît une série d’orgasmes et une longue éjaculation comme moi.
Candice a découvert le plaisir anal canin.
Nous continuons nos découvertes sexuelles jusqu’au retour le 17 septembre à mon appartement.
Maître O accepte qu’elle loge chez moi. Elle me tiendra compagnie. J’ai besoin de compagnie, car Maître O doit aussi éduquer Diane et d’autres hommes soubrettes que j’ai récemment envoyés au Domaine.
28 septembre
Vers 14 heures, à mon appartement, je reçois Diane, soumise, avec des fers à ses grandes lèvres de sa chatte, intégralement épilée, son gros clitoris est percé comme le mien et elle est tatouée « A ta dévouée Shawn », prouvant mon appartenance. Ses fers sont au nom de la propriété de Sir Stephen, donc indirectement de moi. Maître D me l’a fait ramenée chez lui, pour sa remise à son Dan.
Son chéri, Dan, s’est occupé de PAD en l’absence de Diane, vient me voir, aussi.
Je suis nue, prête à m’offrir à lui, fardée, parfumée, fraîchement épilée depuis mon séjour Normand, où j’ai laissé repousser mes poils pubiens pour plaire à Maître O.
Il est un bel Apollon de 35 ans, athlétique, brun, bien monté.
Diane devenue Bi Anal Plaisir, son nom d’esclave, attends nue, agenouillée, cuisses écartées, les mains dans le dos, à mes pieds nus, au salon, la venue de son Maître, les yeux baissés, silencieuse.
Dan arrive, en costume d’hommes d’affaire, il est commercial dans une agence de casting de films classiques.
- Qui est Shawn ? Je recherche un homme, dit Dan.
- Mais, c’est moi Shawn. Je sais que cela provoque des réactions. Voici, ta nouvelle soumise, mon Dan, Bi Anal Plaisir, dressée pour te donner du plaisir. PAD a bien joui, en ta compagnie. Je te laisse aussi PAD. Tu auras deux soumises sous tes ordres.
- Diane, ma Diane, que tu es belle, dit Dan, prête à l’embrasser.
- J’ai dit Bi Anal Plaisir désormais. Tu vas me prendre, elle va te sucer, ainsi que moi, puis tu m’encules ensuite jusqu’à mon orgasme.
- Je vais la tromper.
- Bi Anal Plaisir est une bisexuelle. Elle a appris à se donner à d’autres, donc tu peux t’offrir à moi.
- J’aime tes bijoux intimes.
- Ta soumise porte une variante. Tu auras tout le loisir de les regarder de plus près, mon Dan.
Nous suçons, agenouillées côte à côte, ce mandrin de vingt-huit par sept.
- Tu aimes cette queue, après une longue absence. Elle est belle dans ta bouche dressée.
Puis Dan m’encule à quatre pattes, je me cambre, sous ses coups de reins. Il me fesse magistralement. Je râle de plaisir, jusqu’à son éjaculation combinée à mon orgasme anal violent.
Il reste un peu en moi et se retire.
Je remets mon bijou d’anus et je partage son sperme avec Bi Anal Plaisir, ainsi que ma mouille de ma chatte dégoulinant et je pisse dans la bouche de Bi Anal Plaisir, qui avale tout, comme on lui a apprise au Domaine.
- Elle a bien retenue sa leçon, BAP. Elle te sera dévouée. Mon œillet a été bien honorée, mon Dan. J’aime recevoir une belle queue.
- Shawn… Dit Diane.
- Non.
- Maîtresse Sévices, dit Diane.
- J’aime mieux ça, BAP, tu mérites que je te punisse. Dan le fera à ton retour. Tu lui dois obéissance tout comme à moi. Dan, tu m’envoies des photos et des vidéos de ta BAP ainsi qu’au Domaine.
Dan repart avec Diane, vêtue d’une robe semi-transparente, dévoilant sa nudité, en mules, silencieuse. Il m’a remis une enveloppe de 2.600 dont 100 en supplément, qui sera partagée au Domaine, selon un quota dont une part pour moi, comme toute soubrette mâle qui sont sous mes ordres. Je suis une Maîtresse qui a droit à sa part.
Candice loge chez moi, depuis mon séjour Normand. Elle m’apprend sa façon de cuisiner avec mes soubrettes Jasmine et PAD, deux éternelles jalouses, mais Candice les punit par de longues séances de sodomies et de gorges profondes avec éjaculation et pisse. Elle les dresse pour nous être plus dociles, à coups de cravache et de garcette qu’elle leur administre.
Nous faisons l’amour à deux ou à trois, selon l’agenda de Maître O qui a repris du service au Domaine, pour me remplacer. Je m’habitue à son corps mi-féminin et mi-masculin qui me surprend, me fait monter mon désir sexuel et surtout mon envie de me faire jouir autrement, après les femmes, les hommes et les chiens.
Je continue mon travail auprès du Docteur Oscar, qui s’offre à Candice.
Candice vient à l’université, suivre mes cours. Les étudiants sont surpris, lorsque Candice exhibe son mandrin à ces messieurs, dont certains se plient à la sucer et à se faire enculer par elle.
Les professeurs me font des cours particuliers dans les langues que j’étudie, en insérant du Brésilien, pour diversifier mon lexique de mots.
Elle aime mon côté élégante. Je la fais habiller par des amis. Elle aussi aime être les fesses nues, accessible tout comme moi. Nous aimons toutes les deux les hauts talons, mais ma grossesse me contraint à porter des talons plus petits, moins élégants.
Ce soir, exceptionnellement, je dois me rendre au Domaine, nue, sous ma robe transparente très courte, en sandales à hauts talons, les cheveux libres, fardée, parfumée, intégralement épilée, pour un rendez-vous secret dont je ne connais rien. C’est Phallus d’Or, avec mon ancienne Ferrari F40 qui m’accompagne, les yeux bandés. Je suis présentée sous le pseudonyme Chienne du Vice.
Vers 21 heures, je suis présentée à un Prince du Golfe Persique et un élégant Chinois très bien monté, par Baron Oscar.
- Voici, Omar, de 60 ans et Yin Pin, de 30 ans, sont tes nouveaux Maîtres. Tu seras offerte à eux, avec Maître O et un de tes soumis. Tu séjourneras un mois chez Omar, puis un mois chez Yin Pin. Ta grossesse t’autorise seulement des sodomies, mais tu leur plait, Omar peut aussi honorer ta chatte, ma belle Chienne du Vice. Tu seras ferrée et marquée peu après ton accouchement, d’ici avril. Tu parles Français, Grec, Italien et Espagnol, mais tu peux apprendre quels rudiments en Arabe et en Chinois pendant tes séjours. Elle garde ses bijoux intimes pour la reconnaître au harem et à la villa de Monsieur Yin Pin.
Nue, les yeux baissés, la bouche ouverte, je m’accroupis pour sucer mes nouveaux Maîtres. Omar possède un trente-deux par huit et Yin Pin un trente par sept.
- Je la prends en premier, dit Omar. Elle a un superbe œillet, quelle ouverture. Tu es libre de jouir, Chienne du Vice.
Je m’offre un orgasme anal puissant qu’il éjacule en moi, fessée magistralement tandis que je suce Yin Pin.
Puis Yin Pin m’encule avec la même vigueur et je jouis aussi, il éjacule en moi.
Je les nettoie tous les deux, comblée.
- Son surnom est mon chaton, car elle ronronne de plaisir, n’est-ce pas Chienne du Vice ?
- Oui, Maîtres, je ronronne quand je suis au sommet du plaisir.
- Va te doucher, fais-toi belle, dit Baron Oscar. Tu mettras ton gode Lancelot, avec ta ceinture et tes chaînettes, pour le voyage.
Devant les quatre hommes, je me caresse tout en me lavant. Je me farde, me parfume, m’enfonce avec aisance le gode Lancelot, me rappelant mon premier port le 3 juillet. Baron Oscar me le cadenasse, pour que je le garde quelques heures.
Je remets ma robe transparente, mes sandales, laissant mes cheveux libres, mes carcans de cuir remis par Baron Oscar.
Nous prenons une limousine blanche louée par Omar. Je dois m’offrir nue sur la banquette, avec juste ma ceinture et mes chaînettes, jusqu’à un aérodrome privé, sécurisé.
Vers 22 heures, un Falcon 900 immatriculé aux Bermudes, nous attend. Maître O est déjà là.
Mon soumis PAD monte dans un autre Falcon 900 immatriculé aux Iles Caïmans, sous bonne escorte.
Dans le Falcon 900, je suis accueillie par le pilote, un bel étalon de 40 ans, brun, et la copilote, une superbe blonde aux cheveux mi-longs, de 35 ans.
- Voici, Sven le Norvégien et Astrid l’Islandaise, qui vont te rendre ton vol agréable jusqu’à mon aéroport privé dans le désert. Une limousine te conduira ensuite au harem, dans ta suite, reliée par un passage secret à ma chambre. Tu t’appelles désormais Jasmine Opale. Tu porteras la tenue traditionnelle à ton arrivée. Tous les formalités douanières, passeport et autres formalités ont été accélérées avant ton arrivée au Domaine. Je suis heureuse que tu sois mon invitée d’honneur. Allonge-toi nue sur le divan, tu seras sanglée pour le décollage, puis tu pourras dormir ou te rendre utile, selon tes envies.
Je m’installe. Omar caresse mes cheveux, ma bouche, mes seins et surtout glisse sa main entre mes cuisses humides, que je lui tends, soumise, un peu tendue.
- Détends-toi, tu es entre de bonnes mains, dit Omar.
- Oui, dit Astrid, tu seras bien logée. Je loge au harem de temps à autre, pour satisfaire Omar, en dénudant son chemisier blanc, exhibant ses seins 92C, nus et aux mamelons percés d’anneaux avec de superbes pierres précieuses.
- Astrid est percée comme toi au clitoris et aux grandes lèvres de sa chatte, elle est intégralement épilée et doublement ouverte par le Maître O lorsqu’elle avait 16 ans. Dors, ma belle.
Je m’endors, sous les caresses d’Omar puis la langue d’Astrid, lors du vol automatique.
29 septembre
Vers 9 heures, heure locale, le Falcon 900 atterrit en plein désert. Je me suis remise en beauté, portant le pantalon transparent ouvert sur ma chatte et mon anus, un boléro couvrant mes seins nus, un voile couvre ma bouche et mes cheveux en chignon, je porte des mules à petits talons.
Le Falcon 900 avec Maître O et le soumis PAD atterrissent sur un autre aérodrome dédié aux hommes.
Astrid revêt sa robe traditionnelle, après avoir retiré sa tenue masculine.
Des limousines blanches nous attendent.
- Ahmed, Youssef et Hakim vous amenez Jasmine Opale au palais. Une escorte de princesse avec des motards et des gardes armés. Elle est l’invité personnel du Prince Karim, mon frère à qui je l’offre pour son nouveau jardin de délices.
- Bien, Prince, ce sera fait, dit Ahmed, un bel athlète Arabe de 25 ans.
Je monte à bord de la limousine, seule à l’arrière. Je n’ose me caresser, devant ses trois hommes.
Mon escorte est impressionnante, six motards à l’avant et six à l’arrière, plus d’autres sur les côtés, écartant la foule le long de la route menant au palais.
Astrid me suit dans une autre limousine.
Vers 10 heures, à l’entrée, je suis séparée des hommes et remise au harem. Je franchis une porte en compagnie d’Astrid.
La porte se referme derrière nous.
La pièce est immense, avec un bassin pour me baigner, me laver.
C’est Baiser Saphir, une grande brune aux petits seins, en pagne transparent qui m’accueille :
-Voici, la fameuse beauté du sexe Shawn ou D A selon les noms que tu portes, devenue Jasmine Opale. Tu auras des rivales pour ta beauté. Le Prince Karim est exigeant, avec les nominées et il te fouettera si tu lui désobéis. Tu as fait un long voyage. Je suis Baiser Saphir. Annabelle Emeraude, tu t’occupes de Jasmine Opale. Tu la conduis dans sa suite, qui domine le jardin du Désir. Tu la baignes, la masse, surtout tu la lubrifie bien. Je vais lui retirer le gode qu’elle portera dès que Karim l’aura prise.
- Bien, Baiser Saphir, dit Annabelle Emeraude, qui est en fait Astrid.
Astrid, nue, est très belle, avec ses seins nus dans son soutien-gorge seins nus, un pagne couvrant partiellement ses fesses nues, elle est pieds nus.
Nous quittons le bassin pour un long dédale de couloirs similaires, menant au troisième étage par des escaliers. Mes pieds nus sentent le marbre froid. Baiser Saphir m’a laissé mes carcans de cuir, je suis nue, sans mon gode anal retiré par Baiser Saphir.
- Voici ta suite, regarde, en bas, au rez-de-chaussée, c’est le jardin des Désirs, où selon la légende, la favorite du prince, donc toi, doit retrouver ton prince.
La chambre comprend un grand divan, des ouvertures sans rideau vers un balcon intérieur et une grande salle de bains avec une grande baignoire, une cuvette, du nécessaire de maquillage, de lavement et surtout des murs tapissés de miroirs et de glaces comme dans ma chambre.
- Karim ou Omar, je suis amoureuse d’Omar, Annabelle.
- Ce sont eux qui choisissent, tu n’as pas droit à la parole, en leur présence, dit Annabelle. Vient te baigner, tu es en sueur.
Dans une grande baignoire, je me glisse dans l’eau tiède.
- Accroupis-toi, cuisses écartées, ainsi je pourrais te laver ton intimité percée.
- Toi, aussi, tu es percée. Maître O est un Maître que je respecte.
- Il te fouette aussi.
- Oui, mais aussi je soumets des hommes soubrettes, des amants qui n’ont aucun respect pour moi. Je vais jouir, mon clitoris est tellement sensible tout comme mes mamelons.
- Je vois, je vais aller en douceur. Tu dois être resplendissante.
A la sortie du bain, Annabelle me farde, me parfume.
Encore nue, je reçois la visite de Nymphe Emeraude, une jolie brune aux seins 95D, intégralement épilée.
- Elle n’a pas encore revêtue sa tenue. Pressons, le conseiller du prince, Selim, qui souhaite la première en premier, pour la préparer.
- Quoi, Selim veut me prendre et pas les princes
- Pour qui, ce prend ce Selim, je suis destinée à Karim et Oscar, Nymphe Emeraude, dis-je.
- Ce sont les ordres. Il te cravachera si tu lui désobéis. Une fois dans le quartier des hommes, tu seras tenue en laisse, silencieuse, les yeux baissés, seins et fesses nues exhibées dans ta tenue, escortée. C’est la règle, soumise Jasmine Opale. Tu es très belle, intelligente. Selim est très possessif.
Je revêts un soutien-gorge seins nus, avec des pinces à seins ornés de plumes autour de mes mamelons tendus, une jupe longue, mais couvrant mon pubis et ma chatte, je reste pieds nus, avec des bracelets en fer cadenassé à mes chevilles et à mes poignets, qui remplacent mes carcans de cuir, mon collier est remplacé par une parure cadenassée, coiffée d’une queue-de-cheval.
Vers 11 heures, je franchis la porte de ma chambre menant aux appartements du prince Karim. Selim et deux superbes gardes en uniformes me prennent en charge.
Je suis tenue en laisse derrière eux.
- Quelle beauté, tes reins sont tatoués et tu es percée, comme une prostituée selon les traditions de ton pays, dit Selim, un bel Adonis bronzé, bien monté, de 40 ans. Messieurs, vous la prendrez aussi. A trois, elle adorera.
Nous rejoignons une pièce recouverte de tapis persans, avec des coussins.
Je me retrouve allongée sur le ventre, cuisses écartées.
- Prends-la en premier ordonne Selim.
Le garde est bien monté et il me baise sans ménagement, je jouis, mais il n’éjacule pas.
- Son écrin est bien ouvert, passons à son œillet, de cette Jasmine, dit Selim, en me tenant le menton. Tu es très docile.
Je garde les yeux baissés.
La sodomie est plus profonde par le second garde, qui me fesse magistralement.
- Prenons-la à trois, dit Selim. Je l’encule en premier.
Je me retrouve enculée par le trente-six par huit de Selim, qui est couché sous moi, le second garde me baise, en m’écartant bien les cuisses et je suce le premier garde qui m’a baisé. Je connais un violent orgasme.
- Selim, tu te ne gênes pas, dit une voix masculine inconnue. Ce n’est pas Omar.
- Jasmine Opale m’a autorisée à la prendre en double, elle est une prostituée. Elle me désire, votre Excellence.
- A bon, Jasmine Opale doit être offerte à toi, Selim. Libère-la, qu’elle vienne avec moi, dans ma chambre. Tu auras des comptes à rendre.
- Tu va honorer cette pute, cette chienne infidèle de Maître O.
- Tu me manques de respect, Selim, dis-je.
- Jasmine Opale, tu dois rester silencieuse, dit l’Excellence.
Je me prosterne devant lui, nue.
- Viens, Jasmine Opale, rhabille-toi, mes gardes vont t’escorter.
Vers 11 heures 30, dans la chambre de son Excellence, le frère jumeau d’Omar, Soliman, je fais mon possible pour m’excuser de mon comportement.
- Je m’excuse, dis-je, prosternée.
- Tu es excusée. Ici, dans ma chambre, tu es autorisée à parler. Tu es très belle. Je ne vais pas te cravacher, pour ta faute. Le prince Omar m’a demandé d’assurer ta sécurité. Le prince Karim souhaite t’épouser, mais seul un Prince de la même famille qu’Omar peut le faire. Tu seras ma favorite que je présenterais à Karim. Déshabille-toi, baigne-toi, tu dois être propre.
Soliman, au mandrin de trente-huit par huit, me comble dans la baignoire, caressant mon corps, j’ai gardé mes pinces à seins.
- Tu es très sensible, mon œillet doit l’être. Je ne toucherais pas ton écrin pour ne souiller ton ventre.
Je m’offre à lui dans le bain, à quatre pattes. Soliman m’encule avec douceur, me caressant mon clitoris et doigtant ma chatte. Je ne peux retenir mon orgasme qui le fait éjaculer. Je le suce et j’avale tout.
Vers midi, tenue en laisse, rhabillée, escortée par les gardes personnels de Soliman, je rejoins enfin les appartements d’Omar.
- Ton retard est excusé. Selim a été transféré aux sous-sols du Palais des Déserts, pour une durée illimitée. Tu as déjà joui avec Soliman, mon frère jumeau. Tu es libre de me parler.
- Omar, Karim souhaite me prendre comme favorite, dis-je, en me déshabillant.
- C’est son souhait, mais la loi s’applique à lui aussi. Tu passeras un mois en ma compagnie. Tout projet de Karim sera anéanti. Tu es toute pensive.
- Oui, je pense à mes amis. Jamais on a abusé de moi, sauf au Domaine. Prenez-moi.
Pendant une bonne heure, après un 69 torride, où j’offre mon anus à ses doigts avant qu’être enculée dans diverses positions devant deux beautés du harem, Nymphe Emeraude et Baiser Saphir. Mon anus dégouline de ses nombreuses éjaculations abondantes. Je le suce et j’avale tout.
Je suis épuisée.
Karim nous surprend. C’est un homme musclé de 45 ans, bien monté.
- Voici la pute Jasmine Opale, qui m’est destinée et dont tu prends du plaisir avec. Mais cela est manque de respect. Je l’attendais dans ma chambre. J’ai du prendre Hermine Rose des Sables, qui a un œillet étroit, pas comme elle.
- Jasmine Opale n’est pas une pute. Elle est bien éduquée, a des connaissances sexuelles dont certaines filles du harem devraient s’inspirer. Elle est déjà enceinte, dit Omar.
- Oui, dit Soliman, Jasmine Opale est notre invitée pour un mois. Tu lui dois le respect. Dans son pays, ce que Selim a fait, est un viol qui est puni. Donc Selim sera condamné aux travaux forcés chez un de nos riches clients, Yin Pin. Jasmine Opale, tu dois avoir faim, tu vas manger au harem. Tu dois te reposer pour ce soir, le souper t’es dédié.
Les gardes personnelles d’Omar m’escortent tenue en laisse jusqu’au harem, rhabillée avec Nymphe Emeraude et Baiser Saphir.
Au harem, dans ma chambre, tout le harem est au courant de mon comportement vis-à-vis de Karim, à qui l’on doit le respect.
- Jasmine Opale, tu mesures la faute que tu as commise vis-à-vis de Karim, dit Nymphe Emeraude.
- Tu es jalouse, va t’offrir à Karim, moi, ce sera soit Omar soit Soliman. Ils savent me donner du plaisir. Je ne suis une pute, mais une femme qui aime le sexe, dis-je.
- Tu mériterais que je te cravache dit Baiser Saphir. Cela dépend de la décision des ministres et des princes.
- Tu me cravaches, alors que Selim et ses gardes m’ont violée, c’est permis dans ton pays, dis-je.
Annabelle Emeraude intervient :
- Oui, Jasmine Opale a raison. Elle serait cravachée, alors que Selim est un pervers.
- Attendons cet après-midi, la décision des ministres et des princes, dit Nymphe Emeraude. Tu as l’habitude d’être promenée en laisse, ta posture, tes yeux baissés, ta bouche entrouverte.
- Oui, au Domaine, on m’a offert à plusieurs hommes et même à des chiens pour m’élargir. Je me suis montrée docile avec mes Maîtres, dis-je.
Vers 15 heures, On frappe à la porte. C’est un garde personnel d’Omar qui remet une lettre à mon intention.
Je la lis
« Shawn ou Chienne du Vice ou Jasmine Opale, peut importe ton nom, ton comportement vis-à-vis de Karim mérite une sévère punition. Mais en échange, tu assureras l’éducation sexuelle du jeune prince héritier Farid, de 18 ans. Il est encore puceau, n’avait fait l’amour avec une femme. Tu l’initieras et Karim ne pourra pas te punir, car tu le feras dans la chambre des Princesses, non loin du harem. Rendez-vous ce soir à 18 heures, au jardin des Désirs, en robe longue, voile sur la bouche et sur tes cheveux, il doit juste voir tes yeux ouverts.
Soliman ».
- Alors, Jasmine Opale, quelle est la décision, questionne Baiser Désir.
- Je dois initier Farid pendant mon séjour, dis-je. Comment est ce Farid ?
- Tu vas t’occuper de Farid, ce bel Apollon, athlétique, bien éduqué. Certaines princesses occidentales envient de l’épouser. Tu seras sa favorite exclusive. Karim va être jaloux, ma belle Shawn, dit Baiser Désir. Comment tu dois te présenter ?
- Robe longue, maquillée, parfumée, avec un voile, des mules à petits talons, les cheveux libres, dis-je.
- Mesdemoiselles, il faut baigner Shawn, la faire belle, mais elle devra garder ses bracelets, lui faire une épilation intégrale, que sa peau soit douce, annonce Nymphe Désir.
Douze jeunes filles nues me rejoignent dans ma salle de bains. Je passe entre leurs mains, mon corps est savonné, rincé, puis les moindres poils sont rasés sur mes aisselles, mon pubis et autour de ma chatte, pour que je sois totalement lisse. Puis on masse mon corps, l’enduit de crème pour rendre ma peau douce. On me brosse mes cheveux, on me vernis mes ongles des pieds et des mains en rouge, me maquille, sans omettre mes paupières, ma bouche, mes mamelons, ma chatte. Je suis parfumée sur tout le corps, même dans ma chatte. Je gémis un peu. Je porte des bagues en plus de ma bague de mon annulaire gauche.
Une fois prête, nue, je quitte la salle de bains, sans les douze jeunes qui rejoignent le harem. Annabelle Emeraude me rejoint :
La touche finale pour couvrir ton corps nu, aucun dessous n’est permis pour la remise à Farid. Il veut un corps accessible.
La robe me couvre jusqu’aux mollets, avec un discret décolleté transparent sur mes seins nus, le voile est mis laissant juste visible mes yeux. Je suis incognito.
Je glisse mes pieds nus dans des mules brodées à petits talons.
Il est 17 heures 30.
Le temps de rejoindre le Jardin des Désirs par un dédale de passages secrets dans le harem.
Au Jardin des Désirs, tenue en laisse, les mains libres, par un des gardes personnelles d’Omar, je suis présentée.
- Farid, voici Shawn, connue sous Jasmine Opale, elle va t’initier, elle est très belle, intelligente. Selim l’a violée, a été puni selon les lois du pays.
- Quel superbe regard vert, tu as belle Occidentale, dit Farid. Père, je la conduis au lieu prévu, sous bonne escorte. Je la garde jusqu’au souper. Elle garde sa robe pour le souper et restera à mes côtés. Ce soir, je déciderais si elle reste au harem.
Je reste silencieuse.
- Viens, beauté au regard émeraude, tu es ici en sécurité. Yin Pin suit ton séjour, ainsi que les Maîtres du Domaine. Ton attitude mérite plus de respect, dit Farid.
Nous allons à la chambre des Princesses au second étage, dans l’espace entre les appartements princiers et le harem. Des gardes sécurisent le parcours. Farid me tient par la main, non pas en laisse.
A la chambre des Princesses, un grand lit nous attend, des jeunes filles du harem servent de servantes, voilées, des miroirs et des glaces sans tain sont placées aux endroits stratégiques, un grand balcon donne vers les hauts murs qui protègent le palais. Il y a une grande baignoire.
- Déshabille-toi. Je te veux nue, Shawn.
- Appelle-moi Jasmine…
- Non, tu seras Shawn en ma présence.
- J’accepte. S’il te plait, si je t’apprends mal certaines caresses sur ton corps, punis-moi.
-Tu es douce. Quelle beauté, ton dieu t’a donné une superbe bouche, de superbes seins aux mamelons tendus, serais-tu excitée ? J’aime ton clitoris percé et les lèvres de ton écrin percées. Ecarte tes fesses, que je vois ton œillet. Quelles superbes jambes et pieds, tu es désirable.
J’obéis, caressée par ses mains maladroite.
- Je suis excitée, prince héritier. J’ai envie de vous, mais je dois vous initier à vous sucer.
- Fais, mon chaton. Je suis ton élève.
Je m’exécute, le mandrin de seize devient dans ma bouche un mandrin de vingt par huit. Je suis aux anges.
- Doucement, je durcis. Je vais éjaculer.
Je ralentis le rythme et caresse ses testicules, pour l’amener doucement à l’éjaculation dans ma bouche.
Il éjacule, mais ce n’est pas grave. Je vais l’initier à me caresser.
- Pelote mes seins, en m’embrassant sur la bouche.
Il s’applique, mais je sens qu’il ne va pas pouvoir m’embrasser longtemps.
- Reprends ton souffle, lèche mes mamelons si tu le désires. Je prends ton autre main, pour caresser mon écrin, comme tu l’appelles. Je suis très sensible là aussi.
- Tes mamelons sont durs sous ma langue, tu aimes que je pelote tes superbes seins.
- Oui… Je commence à prendre du plaisir, Farid…
- Je dois arrêter de caresser ton écrin, belle Shawn.
- Continue, enfonce tes doigts, pour me faire jouir. Ce sera tout pour l’instant, je dois me ménager.
J’explose dans une série de râles, mon corps se cambre, sur le lit, cuisses écartées, de la mouille dégouline de ma chatte, mon clitoris est tendu à l’extrême tout comme mes mamelons.
Farid continue à me doigter, jusqu’à ma fin des râles.
- Tu as une belle mélodie quand tu prends du plaisir, belle Shawn.
- Je te prendrais ensuite, quand tu désireras me prendre en bouche, dit Farid, nu, à mes côtés, caressant mon ventre et mes seins.
- Cela s’appelle une fellation, une pipe, une gorge profonde, je suis experte en buccal, en anal, en vaginal et en double.
- Tu prendras le souper à 20 heures. Tu restes à mes côtés, dans ta robe. Habille-la, nous allons à la salle à manger des appartements princiers, au centre du palais. Désolé, je dois te tenir en laisse jusqu’à ce lieu.
- Fais, Farid, je suis toute à toi, dis-je en arabe.
-Tu as appris où ces quelques mots.
- Au harem, on m’a donné quelques rudiments.
Tenue en laisse, en robe, je passe incognito. Il y a Omar, Soliman, Karim et d’autres jeunes filles du harem, offertes aux caresses des ministres, qu’elles sucent.
Karim ne me reconnaît pas.
- Farid, tu es accompagnée d’une jolie beauté Orientale. Qui est-elle ?
- C’est ma nièce Nora, des contrées des oasis du désert et de la mer. Elle est venue voir nos coutumes. Elle me ne quittera pas pendant son séjour. Karim, tu as interdiction de lui parler. Nora est muette depuis sa naissance.
Ce rôle me plait, mais mon excitation sexuelle est à son comble. Surtout, lorsque Farid glisse ses mains sous ma robe, pour caresser mes fesses.
Après le souper, je m’éclipse avec Farid, dans la chambre des Princesses. Je me déshabille et je reprends à sucer Farid en 69, il lèche ma chatte et doigte mon anus que j’ouvre, prête à le recevoir.
- Farid, tu vas enfoncer ta queue dans mon œillet. J’aime qu’on caresse mon clitoris pendant cet acte. Il se peut que je te serre ta queue, que tu éjacules, laisse-toi faire. Tu pourras te retirer ensuite et je te nettoierais avec élégance.
- Quel œillet, tu es élargie. Est-ce une tradition en Occident ?
- Oui, j’ai du porter divers objets sexuels de plus en plus larges, mais mon œillet est serré vu de l’extérieur. Oui, va jusqu’aux testicules sur mes fesses.
- Je suis au maximum, belle Shawn. Je fais quoi ensuite.
- Coulisse et je coulisse aussi. Oui… Comme ça…
- Je vais en douceur sur ton clitoris, tu es toute trempée, ton écrin brille.
- Oui… Défonce-moi…
- Encore, je vais te faire jouir.
-Je te serre... Reste en moi…
L’éjaculation se produit, combiné à mon orgasme anal. Je suis comblée.
Il se retire et je le nettoie, dans la salle de bains où tous les deux, sont baignés par les servantes.
Il est 22 heures.
- Tu vas passer la nuit et demain avant l’aube, tu retournes au harem. Je te prendrais à la même heure demain, vêtue de ta robe.
Omar et Soliman viennent voir les progrès. Farid raconte en détail mes talents de professeur sexuel.
- Farid, garde-la. Karim se questionne. Au harem, elle sera très surveillée. La porte à sa chambre sera gardée jour et nuit par des gardes dévoués, dit Soliman.
- Bien, Karim ne verra pas Jasmine Opale avant quinze jours. Yin Pin est subjuguée par ses talents. Il prévoit de lui trouver un emploi à la hauteur. Pas un mot à belle Shawn.
- Oui, je garde le silence.
Toute la conservation se fait en arabe, mais j’en devine les contours.
Pendant quinze jours, je me rends maquillée, parfumée et excitée auprès de Farid. Je deviens officiellement nièce Nora aux yeux du palais.
15 octobre
Vers 11 heures, dans la chambre des Princesses, alors que je dors nue, sans Farid, mais étroitement surveillée par les gardes, un des gardes de Karim fait irruption et tente de me violer. Je me débats, je fais sonner des pinces à seins à clochettes cachées par Farid.
Les gardes personnels d’Omar, ceux de Farid et ceux de Soliman arrivent avec leurs chefs.
- Que fais-tu, garde Hassan dans la chambre des Princesses. Nora est muette et elle a fait sonner les clochettes.
- Princes, je venais…
- Tu voulais la prendre pour toi et la remettre à Karim. Karim est jaloux. Il la veut comme sa soumise. Tu auras droit à quarante coups de fouet donnés par Nora et une autre sanction par les ministres. Nora fouette cet intrus.
Nu, Hassan bande, mais cela m’excite. Je revêts ma robe et je m’exécute.
Tenant le fouet de cordes, je dois me faire violence pour ralentir mes coups et ne pas frapper à toute volée. Le dos, les reins, les fesses et même les testicules sont zébrés.
- Quelle puissance, Nora, aucun homme ne te manquera de respect. Gardes, amenez Hassan dans les geôles princières. Son sort sera décidé.
Après le départ d’Hassan, Omar m’annonce :
- Tu dois quitter le pays dès aujourd’hui. Yin Pin a prévu un avion qui décolle à 5 heures de mon aéroport. Tu seras logée discrètement dans une suite de l’aéroport sous bonne garde.
- Mais…
- Les filles du harem ont prévu une diversion, dit Farid. Une autre beauté qui te ressemble piégera Karim.
- J’accepte. Prenez-moi encore. Je dois jouir.
Je suis offerte aux trois hommes, pour mon plus grand bonheur.
16 octobre
Vers 5 heures, heure locale du Golfe Persique, à l’aéroport où j’ai atterrit, à la suite très étroitement surveillée, vêtue d’une robe rouge à la chinoise, moulante, décolleté rond, longue jusqu’à la cheville, fendue jusqu’aux hanches mais dévoilant par transparente mes seins nus et mes fesses nues, maquillée et parfumée, coiffée d’un chignon et chaussée de sandales blanches à talons de douze centimètres. Je me fais plus facilement passée pour une Chinoise. J’embarque à bord d’un A350 Chinois, avec des hôtesses. Astrid fait partie de l’équipage pour une partie du voyage. C’est Chan Than, un bel Apollon de 45 ans, brun, un Chinois, qui est chargé de m’accompagner. Les formalités sont accélérées par les autorités princières.
- Nièce Lotus Su, ce sera votre nom sur le territoire Chinois, car vous êtes officiellement la nièce de Yin Pin, votre Maître. Voici un livret de quelques phrases en Chinois à connaître avant votre arrivée. Je suis Chan Than, un membre influent auprès du Domaine. Votre instruction a été parfaite. Votre initiation du prince héritier va porté ses fruits. Vous avez des questions ?
- Je suis nièce Lotus Su, mais serais-je punie par mon Maître.
- Seul, lui le décidera. Tu es une femme docile, tu auras de l’avancement. Omar t’a transféré une forte somme auprès ton Maître.
Nous quittons le Golfe Persique en Chine, à Macao, avant un transfert héliporté vers la villa de Yin Pin où j’atterrit à 22 heures, heure de Pékin. J’en profite pour dormir un peu, après la journée d’hier éprouvante. Je pleure un peu, car j’ai laissé Farid et les filles du harem.
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