mardi 1 décembre 2020

18 ANS ETUDIANTE DU VICE 6E PARTIE

 

Je m’appelle Shawn.

J’ai 19 ans.

Je suis une jolie beauté scandinave.

Je suis une brune aux yeux verts. J’ai des pieds fins et latins, des jambes longues bronzées, musclées qui inquiètent par leur perfection. Mon pénil est bombé, ouvert, couronné de noir. Ma pilosité brune couvre mon pubis. Je suis lisse entre les cuisses et j’ai une superbe croupe. Mon entrecuisse est lisse. Mes hanches s'incurvent et délimitent le ventre plat, délicieusement renflé autour du nombril, les hanches sont larges et rondes, mais sans lourdeur. La taille est affinée. Les seins parfaits intégralement bronzés sont un peu volumineux mais fermes, et leurs pointes marron clair, toujours dressées, cernées par une large aréole marron attirent le regard. J’ai une peau lisse et patine. Finition parfaite, un seul grain de beauté entre mes superbes seins. De longs cheveux plats blonds flottant comme des algues, battent mes épaules rondes et gracieusement athlétiques. Je suis intégralement bronzée. Mes yeux verts limpides s'allument, ma bouche charnue se fend. J’ai des sourcils bruns bien dessinés et des lèvres pulpeuses. J’ai de longs doigts fins et de belles mains. Je fais du 85B de poitrine, 56 de taille, 90 de hanches, 1,75 m.

Je porte des anneaux à mes grandes lèvres de ma chatte totalement lisse, un anneau doré avec une pierre précieuse à mon gros clitoris, pour me faire reconnaître.

 

18 ANS ETUDIANTE DU VICE 6E PARTIE

 

19 mai de l’année suivante

Vers 8 heures, je suis en train de déjeuner, dans mon déshabillé en satin noir, transparent sur mes seins nus, jusqu’à mi-cuisse, fendue sur les côtés jusqu’aux hanches, pieds nus, les cheveux libres, non maquillée.

Je remarque qu’Albane et Cyrielle sont absentes, mais qu’il y a une nouvelle soubrette prénommée Jasmine.

En réalité, c’est Sven, l’homme qui m’a conduit au Domaine l’année dernière, devenu Jasmine la lopette, dressé au Domaine, vêtue d’une robe noire, d’un tablier blanc, un porte-jarretelles et des bas noirs, de mules noires à talons de douze centimètres, d’une perruque courte brune, maquillée comme une femme, intégralement épilé, aux anneaux dorés aux testicules, castré et féminisé jusqu’à la voix. Ses testicules sont étirés et retournés entre ses cuisses. Il a ses ongles des mains et des pieds vernis en rouge.

Je ne la connais pas. Elle fait le nettoyage du sol de la salle à manger.

J’ai l’impression qu’elle me drague, fixant tantôt mes fesses, mes seins et ma bouche.

Au moment de quitter la chaise, je glisse et me tords ma cheville droite.

Heureusement, que Sabrina, vêtue d’un kimono noir sur son corps nu, en mules blanches à petits talons, les cheveux libres, m’a vue. Elle aide à me relever.

- Mon chaton, tu as mal.

- Oui, aide-moi à m’allonger sur le divan. Quelle incompétente, cette nouvelle soubrette, dis-je. Aie… Arrête, j’ai mal à ma cheville…

- J’appelle ton médecin.

- Toi, la soubrette, on doit parler. Tu seras sévèrement punie.

- Shawn, tu es très belle en colère, dit la voix féminine de Jasmine.

- Tu connais mon prénom en plus. De mieux en mieux, tu as été engagée quand ?

- Dès ton retour, de chez Yin Pin, Madame est très inquiète. Mais Albane et Cyrielle t’ont bien fait jouir sous leurs caresses.

Justine arrive, vêtue d’un chemisier bleu sur son corps nu, en sandales blanches à talons de douze centimètres, les cheveux libres. La zone de ma chute est signalée par Sabrina.

- Fais attention à cet endroit, Shawn s’est tordue la cheville par cette incompétente. Au fait, où sont Albane et Cyrielle, Madame Justine ?

- C’est vrai, elles ne sont pas venues ce matin, mon chaton, dit Justine.

- C’est Jasmine qui les a fait remplacer, dis-je. Déshabille-la, c’est un homme déguisé.

Justine s’exécute.

- Tu as totalement raison.

- C’est Sven, l’homme qui m’a offert au Domaine l’année dernière. Il souhaitait m’épouser et il est devenu homme soubrette pour mieux m’épier.

- Comment tu le connais, mon chaton, dit Sabrina, en ayant appeler le médecin.

- Sven, prosterne-toi devant tes Maîtresses. Justine, tu le conduis au sous-sol. Je vous rejoindrais plus tard.

- Ne bouge pas, ta cheville doit être douloureuse, dit Justine. allez, Sven, on va te corriger.

- Shawn, pas encore ça, je suis désolé. Ce n’est pas que je visais, mais Cyrielle.

Le médecin arrive et bande ma cheville. Je dois rester au repos, allongée.

- Vous avez de la chance, car cela aurait pu être plus grave, une entorse ou une fracture. Il faut quelques jours de repos et pas de hauts talons si possible. Vous me surprenez avec vos tenues sexy, votre Altesse.

- C’est l’héritage de Madame, dis-je.

Maître O arrive et me voit avec ma cheville bandée.

- Je suis au courant. Où est ce Sven ?

- Il est au sous-sol, tu peux le faire enculer, fouetter, tout ce que je désirerai lui faire, si je pouvais aller au sous-sol.

- Reste là, un homme et des femmes qui le corrigent, devraient suffire. Il sera renvoyé au dressage pour un long moment au Domaine et remis à une ou plusieurs Maîtresse. Je ne sais comment il t’a retrouvé.

Je dois rester allongée cinq jours avant de pouvoir remarcher, d’abord avec des petits talons. Horace me porte jusqu’à ma chambre, puis pour chaque repas, je le prends à ma chambre.

Je sors de temps à autre, pour prendre l’air, allongée sur une chaise longue.

 

28 mai

Vers 20 heures, nous sommes invités au château par le duc Pierre Edouard et la duchesse Marie Désirée, qui ont repris en main les écuries, après les événements passés.

Je porte une robe de soirée bustier noir avec des mules noires à petits talons, coiffée d’un chignon, maquillée et parfumée. La robe est discrètement fendue derrière et jusqu’aux hanches sur les côtés pour dévoiler mes fesses et mes jambes nues.

Nous parlons par sous-entendu des événements, de ma soumission et de ma passion pour les chevaux.

Bien sûr, Pierre Edouard tente de corriger le tir, depuis son interdiction de m’approcher que j’ai fait levée, dès que la Ferrari a roulé de nouveau.

- Baronne S ou dois-je t’appeler Shawn, devant ton chéri, dit Pierre Edouard.

- Duc, je décide qui m’appelle Shawn. Nous avons pas encore assez d’intimité entre nous, n’est-ce pas mon chéri ?

- Oui, Shawn a raison. Il faudrait disons un ébat sexuel avec elle, pour qu’elle prenne sa décision, dit Maître O.

- Oui, c’est cela. Je me sens mieux quand je connais mon amant sexuel.

 -Shawn, tu me surprends, dit Marie Désirée. Je pensais que tu souhaitais t’offrir sur le champ à mon chéri.

- C’est un malentendu, Marie. Tu as vu chez le carrossier, je décide. Si l’amant n’est pas la hauteur, il paye le prix fort.

- Les cinq millions pour la Ferrari ne seront pas remboursés, dit Pierre.

- Une partie seulement par votre assureur. Les dégâts occasionnés ont bien prouvé qu’ils sont le fait de votre 4x4, car je roulais à une vitesse normale. Je n’appuie pas sur l’accélérateur.

- Oui, Shawn est une conductrice très attentionnée, dit Maître O.

- Donc c’est la faute de la voiture qui est derrière toi, qui m’a contraint à t’endommager l’arrière de la Ferrari, dit Pierre.

- Ah bon, tu me tutoies, Duc. On n’a pas encore couché ensemble et déjà tu me tutoies, dis-je surprise.

- Chéri, tu tutoies notre invitée, dit Marie.

- Laisse, il veut me draguer, dis-je. Montons à votre chambre, j’ai besoin de me rafraîchir et me soulager un peu.

Marie me conduit à l’étage.

- Il va pas un fort, ton chéri à mon attention. Il veut que je lui donne une bonne correction.

- Tiens, voici une chambre, avec une salle de bains et les toilettes.

- Tu dis à Pierre que j’exige ses excuses dans cette chambre et j’aviserais ensuite.

Je me déshabille, me remet mon maquillage, me soulage, assise sur la cuvette des toilettes, cuisses écartées, devant Marie.

- Tes fers ne te gênent pas, dit Marie. Tu as de superbes bijoux intimes.

- Non, ils sont fixés à mes grandes lèvres de ma chatte.

Je reste nue et en mules, attendant Pierre. J’ai discrètement retiré mon bijou d’anus.

Marie s’éclipse.

- Shawn, tu es très excitante. Mais tu peux retirer tes bijoux.

- Désolé, mes bijoux sont posés définitivement, ainsi que mon chiffre sur mes fesses, regarde. Tu veux m’enculer, vas-y, avant je dois te sucer, ta belle queue.

Je m’exécute, accroupie, cuisses écartées, déchaussée.

Il m’offre un mandrin de trente-six par huit. Il est bien dur dans ma bouche, quand je le prends en profondeur.

- Continue, Shawn, tu commences à me plaire.

- D’accord, alors baise-moi et encule-moi aussi. J’ai très envie de ta queue.

Assis au bord du lit, Pierre me défonce la chatte, empalée jusqu’aux testicules.

- Caresse-moi, je suis toute excitée.

- Tes seins, tes reins tatoués, tes fesses marquées, tout me plait. Tu es bien mouillée.

- Caresse aussi mon clitoris, je vais jouir davantage.

Pierre s’exécute.

Devant les miroirs sans tain, m’offrant devant Maître O et Marie Désirée.

- Shawn est une reine du désir. Regardez comment elle prend du plaisir, à le sucer, maintenant empalée sur lui.

- L’année dernière, elle était une lesbienne qui est une beauté bisexuelle soumise devenue maîtresse SM. Elle aime tous les plaisirs sexuels.

- Regardez, elle va se faire enculer par mon chéri.

Après mon orgasme, le clitoris sollicité, Pierre m’encule. Il s’installe sur le lit, m’invite à m’empaler sur lui, enculée jusqu’aux testicules. Je replie mes jambes, genoux vers mon buste, mes pieds agacent les jambes de Pierre. Il me fait coulisser sur son mandrin en me saisissant sous les cuisses humides, je suis écartelée par un double orgasme anal et une double éjaculation, car il est très endurant.

Pantelante, je me retire. Marie nous rejoint.

- Viens te doucher, ma chérie Shawn. Tu dois être toute propre, après ces plaisirs.

Je remets mon bijou d’anus pour conserver son sperme.

Nous prenons une douche lesbienne intense.

- Caresse-moi, embrasse-moi, lèche mon clitoris, je suis encore chaude, dis-je.

Marie se plie à mes désirs.

Au salon, je redescends nue, Maître O m’a pris ma robe et mes mules.

- Chérie, tu veux que je prenne moi aussi, dit Maître O.

- Oui, encule-moi, je suis ta chienne soumise.

A quatre pattes, je suis enculée jusqu’aux testicules, avec un nouvel orgasme, tout en suçant Pierre, qui m’encule dès que Maître O a éjaculé en moi et Pierre fait de même. Je les nettoie avec Marie Désirée.

- Tu es semble heureuse d’avoir joui, ma chérie, dit Marie.

- Oui, tu sais que j’aime être offerte à de superbes queues.

- Je peux me doucher une dernière fois, Pierre tu peux me caresser pendant que je me douche.

Pierre me fait encore jouir, puis je me refais une beauté, me rhabille.

 

29 mai

Nous rentrons vers une heure du matin, avec la limousine Cadillac DTS-L conduite par Svetlana, qui est la sœur jumelle de Tatiana, deux superbes beautés blondes Russes, 23 ans, un peu plus grande que moi, aux petits seins, aux longs cheveux.

Je dors nue, cuisses écartées, la main de Maître O entre mes cuisses encore humides de mes rêves érotiques.

Vers 8 heures, Maître O m’annonce, alors que je suis prête à aller déjeuner :

- Chérie, tu dois prendre une semaine de vacances avec tes amies, dans une résidence en bord de mer.

- Non, une princesse ne prend pas de vacances.

- Elles te sont offertes par les princes Omar et Soliman.

- J’accepte.

- L’A350 de Yin Pin va nous y conduire. Aucun bagage n’est nécessaire. Ta garde-robe et celles de tes amies sont déjà en double. Nous prenons les deux limousines Cadillac DTS-L pour rejoindre l’aéroport.

Vers 13 heures, l’A350 stationne sur le tarmac d’un aéroport proche de trois villas mitoyennes dans un quartier très sécurisé, à quatre heure de vol du pavillon de chasse. Les villas sont à une demi-heure de route, à bord de deux autres limousines Cadillac DTS-L.

Un bel Adonis a été interpellé.

Il me connaît. Il serait mon premier amour de mon adolescence, lesbienne. C’est Marc Victor, un bel Adonis de 25 ans, bien monté.

Je suis surprise de sa présence. Il travaille auprès de l’ambassade, est un ami de Maître O et des princes Omar et Soliman.

- Marc Victor, que fais-tu là, dis-je, vêtue d’une robe décolleté fuchsia, dos nu, avec une jupe éventail couvrant mes fers, chaussée de sandales blanches à talons de dix centimètres, les cheveux libres, maquillée et parfumée.

- Tu le connais, dit Hermine, en tee-shirt blanc et jupe noire, en escarpins noirs.

- Oui, c’est mon premier chéri quand j’étais lesbienne dans mon adolescente.

- Oui, vous savez, dit Marc, Shawn cachez son statut sexuel de lesbienne, en m’offrant son corps à caresser. Je lui ai même appris à sucer. Mais jamais je n’ai touché sa chatte ni son œillet.

- Quoi, tu le fréquentais, alors que tu avais des amies lesbiennes, dit Justine, en chemisier blanc et minijupe fuchsia, chaussée de mules blanches à talons de douze centimètres, coiffée d’une queue-de-cheval.

- Moi, aussi, j’ai fait comme mon chaton Shawn, dit Sabrina, en robe dos nu noire avec des sandales blanches à talons de dix centimètres.

- Depuis, je suis devenue une bisexuelle libertine soumise et prête à m’offrir à toi, tout comme mes centaines d’amants qui m’ont déjà prise.

- Déshabille-toi que je vois ton superbe corps, dit Marc.

Je m’exécute.

- Tu portes…

- Je suis ferrée et chiffrée, mes reins sont tatoués, de façon définitive. Si cela te plait, tu me fais l’amour ou bien, tu t’occupes de mes amies.

- Bon d’accord, je te fais l’amour.

- Je suis chaude, mes amies.

Nous montons à ma chambre que je partage avec Svetlana, qui est déjà là haut, nue, à se caresser.

- Svetlana reste là, tu vas me caresser mon clitoris ou le lécher en 69 sous moi.

Svetlana ne peut refuser. Svetlana a encore sa chatte et son pubis velu de son adolescence.

Je m’occupe de sa chatte encore vierge et Marc me pilonne la chatte trempée de désir, je jouis rapidement.

- Maître O m’observe par la porte entrouverte, avec Justine, toute nue, déchaussée.

- Caresse-moi, je mouille devant ce superbe spectacle. Shawn avec son premier amour et la belle Svetlana.

Svetlana est encore vierge, pas pour longtemps. Je connais Shawn.

- Moi, aussi, Shawn va la faire prendre par son Marc.

- Je vais te sucer toi aussi, j’aime ce calibre.

En effet, il a un mandrin de trente-huit par neuf.

- Tu suces en experte, dit Marc.

- Tu m’encules ensuite, Svetlana, Marc va te prendre aussi.

- Non, Shawn, pas ça…

- Ici, tu te soumets, Svetlana, même Tatiana aura droit à mon Marc, dis-je. Observe comment il me prend.

Svetlana doit regarder comment je suis enculée, à quatre pattes. Je jouis lorsqu’il éjacule en moi.

- Allez, Svetlana, tu vas le sucer et il te prendre. Je vais te regarder, tout en me caressant.

Svetlana fait de son mieux. Je dois lui montrer. Elle s’exécute.

Puis Marc la baise, allongée sur le dos, jusqu’aux testicules, en lui saisissant les cuisses pour éviter qu’elle se dérobe.

- Elle est étroite, mais elle va aimer.

- Oui, Marc, continue. J’aime.

- Tu vois, c’est facile.

Après son premier orgasme, Marc retarde son éjaculation et la prend à quatre pattes, pour l’enculer, après avoir lubrifié son anus avec sa mouille abondante.

- Non, pas…

- Tu obéis, Svetlana, ou je te fesse, dis-je, en ayant un nouvel orgasme en doigtant simultanément ma chatte et mon anus.

- Détends-toi, je vais te défoncer en douceur. Caresse ton clitoris.

J’ai mis quelques gouttes discrètement sur le clitoris et les mamelons de Svetlana.

- Oui, d’accord, prends-moi.

Marc éjacule en elle, après quelques va-et-vient et un orgasme anal avec la longue caresse de son clitoris.

Je tends mes fesses pour m’encule.

- Tu es encore un peu dur, prends-moi encore. J’ai envie de jouir.

Svetlana se retire, repue, doublement déflorée.

- Tu t’ouvres mieux que ta chérie Svetlana.

- J’ai l’habitude depuis l’année dernière. Mon œillet est assoupli par les nombreux assauts de mes amants. Je suis toute excitée en l’évoquant.

Justine me rejoint.

- Marc, Shawn a totalement raison. Elle aime se faire enculer par de gros calibres, n’est-ce pas mon chaton ? Svetlana regarde comment elle jouit.

Je suis en plein orgasme anal et il éjacule encore un peu.

Je le nettoie avec Svetlana pour sa première leçon de fellation.

 -Svetlana, on va se doucher. Tu vas me caresser, m’embrasser. Tu me considères comme si j’étais ta chérie.

- Votre Altesse…

- Tu m’appelles entre nous Shawn, Svetlana.

Le lien lesbien est noué entre nous.

- Shawn, il va me prendre encore comme aujourd’hui.

- Oui, plusieurs fois, je serais là pour t’observer. Marc peut me prendre aussi. Je ne suis pas jalouse, tu es très belle dans le désir.

Marc se fait sucer par Justine, pour son propre plaisir.

Une fois propre, nous prenons un long déjeuner servi par mon personnel du pavillon de chasse. Je reste nue, tout comme l’ensemble de nos amies pour exciter nos amants. Je m’encule sur Horace, devant Marc, assise entre ses cuisses.

Marc est nullement jaloux. Il paraît qu’il est amoureux d’une autre beauté.

- Ma chérie Shawn, tu dois apprendre que j’aime Océane, une des « filles » de Madame. Tu n’es pas jalouse.

- Moi, jalouse, Marc, nullement, j’ai hâte de la rencontrer. Horace, tu me remplis bien avec ton sperme. Nous referons l’amour encore.

- Tu vas te baigner à la piscine ou à la plage.

- Je suis ferrée. Je dois donc me baigner…

- Oui, tu te baignes nue, même quand tu n’avais pas tes fers, ma chérie, dit Maître O.  Les hommes aimeront ton corps nu, mis en valeur.

- J’accepte. Je me baignerais nue à la piscine et à la plage.

Après le déjeuner, je me douche et je fais quelques longueurs de piscine. Les villas communiquent par un chemin privé loin des regards.

Vers 14 heures, au débarcadère, devant ma villa, au centre, un luxueux yacht de cent mètres, le « Nora Désir », immatriculé aux Bermudes, accoste. Une superbe beauté brune, vêtue d’un paréo, pieds nus, les cheveux mi-longs en descend.

Elle me revient et m’annonce :

- Lady Sexe et Plaisir, Shawn, je présume. Tu es encore plus belle que sur les photos et les vidéos que je possède. Tu es ferrée et chiffrée. Sors de l’eau, que je t’examine de plus près.

Je m’offre allongée sur le ventre, cuisses écartées.

 -Ton œillet semble serré, mais tu es bien ouverte. N’est-ce pas Maître O ?

- Oui, c’est cela.

- L’avez-vous fait jouir juste avec vos doigts dans son œillet. Les femmes aiment ce plaisir.

Lady Sexe et Plaisir enfonce sa main délicatement avec ses doigts groupés dans mon anus bien lubrifié par le sperme. Je gémis un peu.

- Oui, c’est du calibre sept. Elle est détendue, c’est la première fois. Mais le gode que j’ai avec moi, devrait lui convenir.

Je ressens un plaisir anal me submerge et je commence à jouir.

- Ca y est, elle a pris goût. Prends ton pied. Tu es bien humide de l’œillet.

Elle retire ses doigts une fois la fin de mon orgasme.

- Allez, ma belle, tu vas porter ce gode main aux doigts groupés. Maître O, voici les clés des cadenas.

J’éprouve la même sensation avec sa main que je lèche. Le gode est maintenu par des chaînettes cadenassées à ma ceinture autour de ma taille.

- Dans deux ou trois jours, elle sera habituée à se faire défoncer l’œillet par une main.

- Oui, Maîtresse, je serais toute à vous.

- Tu es très docile, ma belle soumise Shawn. Tu es libre de te caresser, quand tu la portes, mais aucune queue dans ta chatte. Elle t’es retirée que quand Maître O le désire. Je te laisse, je reviens dans trois jours.

Après le départ de Lady Sexe et Plaisir, tout le monde a vu comment ses doigts m’ont rempli l’anus.

Marc est très surpris par mon ouverture avec cette main en moi.

- Tu n’as pas mal avec, ma chérie, dit Maître O.

- Non, c’est comme si ta main me défonce mon œillet de chienne.

Vers 17 heures, après ma douche lesbienne avec Svetlana, je reste nue, avec ma ceinture. Je jouis sur cette main en moi. Ma chatte ruisselle et mon clitoris tout comme mes mamelons sont constamment tendus comme ceux de Svetlana.

Tatiana est déflorée par Maître O en ma présence.

Jusqu’au souper, je garde la main en moi.

Maître O me la retire et me fait jouir avec ses doigts au lieu de son mandrin. Je connais un violent orgasme anal, tout en conservant ses doigts en moi.

Justine fait de même, même Marc essaye. Je suis sous des vagues successives de plaisir anal.

Pour la nuit, je me masturbe, en enfonçant mes doigts dans mon anus entrouvert et les doigts de Svetlana caressent ma chatte humide.

Ce rituel dure jusqu’au 1er juin.

 

1er juin

Vers 7 heures, je connais un nouvel orgasme anal, avec les doigts enfoncés de Maître O, pour bien me lubrifier et m’insérer le gode main. Je me douche, me farde, me parfume.

Vers 10 heures, le yacht « Nora Désir » revient. Lady Sexe et Plaisir porte la même tenue que la première fois. Je suis allongée sur la chaise longue, sur le ventre, bronzant nue, avec le gode en place.

Maître O est à mes côtés.

- La belle Shawn a pris du plaisir avec cette main. Je vais la récompenser. Jason et Danny vont s’occuper d’elle et de ses amies, ils sont très bien montés du huit pour son plaisir. Ils sont costauds et grands, elle va les aimer. Je vais lui retirer le gode.

- On me retire le gode, mais…

- Ne t’inquiètes pas, ma belle, tes deux étalons Africains vont te satisfaire.

Les yeux baissés, je découvre leurs superbes mandrins de trente-six et de trente-huit respectivement et huit de diamètre.

Sans attendre, Jason m’encule en premier, toujours allongée sur le ventre, cuisses écartées. Je suis bien lubrifié que je connais un violent orgasme anal qui le fait éjaculer. Il éjacule une seconde fois.

- Quel orgasme, ma belle, tu es très excitée. Tu m’as fait jouir aussi.

- Elle aime, dit Lady Sexe et Plaisir.

Danny me baise pour me remplir jusqu’au fond de ma chatte. Il éjacule deux fois en moi, une dernière fois dans mon anus écartelé par Jason.

- Lequel, tu préfères, questionne Maître O.

- Les deux me sont parfaits.

- Ils sont là jusqu’à la fin de ton séjour, ma belle, dit Lady Sexe et Plaisir.

- Mes amies seront ravies.

Lady Sexe et Plaisir repart avec son yacht.

- Shawn, tu viens te baigner dans la mer, dit Jason.

Je reste debout, face aux vagues ; écarte les bras, les jambes, reste droite et ne bouge pas. L’eau m’arrive un tout petit peu en dessous de mon pubis totalement lisse. Je profite des embruns sur tout son corps, en fermant les yeux. Les cuisses, le bas-ventre, tout est massé par les petites vagues, je m’en délecte un long moment puis me tourne pour que ces mêmes sensations soient ressenties sur mes fesses, je ferme les yeux et est transportée ailleurs. Mes mamelons sont bien dressés, je jubile. Jason se met derrière moi, plonger sous moi, se faufiler entre mes jambes et hop il remonte debout avec moi sur ses épaules. Ses mains sur mes cuisses pour me maintenir, j’ai les bras grands ouverts, on tourne sur place, on avance dans les vagues. Il me bascule en arrière, on se relève, on se prend l’un contre l’autre, nos corps frais à l’extérieur mais incandescents à l’intérieur. Nos lèvres goulûment se pressent, nos mains caressent mutuellement nos dos et nos fesses, puis les frissons de fraîcheur reprennent le dessus, on file à la piscine se sécher.

On profite un peu du soleil, on s’allonge, nus toujours. Jason et Danny caressent mon corps nu, depuis la hanche jusque dans mon cou, en effleurant à peine les mamelons, ce qui me fait vibrer, en montant et descendant, de manière discrète et légère. Ces caresses sont douces mais fort agréables et Jason m’embrasse tendrement sur la lèvre supérieure, puis inférieure, puis les mordille l’une après l’autre, un grand plaisir, Jason bande.

Bien sûr, les autres amies en profitent, tandis que je me repose de ces plaisirs.

Jusqu’au coucher du soleil, je me masturbe en regardant ces ébats sexuels. Tatiana et Svetlana sont enculées par ces deux étalons.

Ma chambre devient le lieu de mes double pénétrations avec Jason et Danny. Je ne compte plus mes orgasmes, ma bouche, ma chatte et mon anus dégoulinent de leurs spermes. Marc et Maître O m’enculent tandis que Jason et Danny m’enculent à tour de rôle.

 

5 juin

Vers 13 heures, Jason et Danny nous quittent. Nous rentrons au pavillon de chasse.

Vers 18 heures, je convoque Océane, pour lui donner les consignes sur le fait qu’aucune photo de moi ne doit être publiée, sous peine de lourdes sanctions. Elle respecte le contrat.

Océane est une jolie brune avec un 92C, aux cheveux courts, une lesbienne devient bisexuelle avec Marc Victor.

Marc Victor en fait les frais, pour ses relations avec moi, en violation des règles de l’ambassade et il est licencié.

Le duc et la duchesse nous rendent visite, pour des ébats sexuels à quatre.

 

Devenue princesse et baronne, je reste à votre disposition, mes futurs amants, pour des aventures torrides, mon œillet vous est ouvert à vos superbes queues, j’en joui d’avance.

Votre chérie Shawn.

 

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