mardi 1 décembre 2020

18 ANS ETUDIANTE DU VICE 4E PARTIE

 

Je m’appelle Shawn.

J’ai 18 ans.

Je suis une jolie beauté scandinave.

Je suis une brune aux yeux verts. J’ai des pieds fins et latins, des jambes longues bronzées, musclées qui inquiètent par leur perfection. Mon pénil est bombé, ouvert, couronné de noir. Ma pilosité brune couvre mon pubis. Je suis lisse entre les cuisses et j’ai une superbe croupe. Mon entrecuisse est lisse. Mes hanches s'incurvent et délimitent le ventre plat, délicieusement renflé autour du nombril, les hanches sont larges et rondes, mais sans lourdeur. La taille est affinée. Les seins parfaits intégralement bronzés sont un peu volumineux mais fermes, et leurs pointes marron clair, toujours dressées, cernées par une large aréole marron attirent le regard. J’ai une peau lisse et patine. Finition parfaite, un seul grain de beauté entre mes superbes seins. De longs cheveux plats blonds flottant comme des algues, battent mes épaules rondes et gracieusement athlétiques. Je suis intégralement bronzée. Mes yeux verts limpides s'allument, ma bouche charnue se fend. J’ai des sourcils bruns bien dessinés et des lèvres pulpeuses. J’ai de longs doigts fins et de belles mains. Je fais du 85B de poitrine, 56 de taille, 90 de hanches, 1,75 m.

Je porte des anneaux à mes grandes lèvres de ma chatte totalement lisse, un anneau doré avec une pierre précieuse à mon gros clitoris, pour me faire reconnaître.

 

18 ANS ETUDIANTE DU VICE 4E PARTIE

 

A mon arrivée à l’aéroport de Macao, des dizaines d’hommes et de femmes des autorités Chinoises me questionnent en Anglais sur mon passé, mes goûts sexuels, mes amants et mes amies. Je leur réponds sans hésitation. Mon passeport est déjà validé, avec mon accès.

Une superbe hôtesse Chinoise, Nam, coiffée d’un chignon, en tailleur avec une jupe droite, m’escorte jusqu’à l’hélicoptère Dauphin personnel de Yin Pin. Le pilote, une femme, Olympe, une jolie blonde, de 30 ans, aux petits seins me toise :

- Lotus Su, bienvenue à bord, tu as fait bon voyage. Désolé, pour les formalités, Yin Pin n’a pas pu négocier. Tu es très jolie. J’ai vécu en Scandinavie.

Je sombre dans un léger sommeil, du au décalage horaire.

Nous arrivons à la villa, à une heure de vol, sur le continent.

Yin Pin vient me prendre dans ses bras.

Elle s’est endormie, Monsieur.

- Ce n’est pas grave, elle a besoin d’un bon repos et Lotus du Désir va s’occuper d’elle.

 

17 octobre

Il est une heure du matin, quand j’émerge, nue, dans une chambre, menottée à mon lit, avec mes carcans de cuir.

- Où suis-je ?

- Reste zen, belle Lotus Su. On t’a menottée, pour que tu ne puisses pas t’échapper de ta chambre. Je suis Lotus du Désir, ta servante.

Lotus du Désir est une beauté Chinoise aux longs cheveux bruns, intégralement épilée, aux petits seins, nue à mes côtés.

Yin Pin arrive, Lotus Su se plie devant lui :

- Belle Lotus Su, je t’ai fait menottée. Car tu as pris des calmants et tu as besoin de repos, avec le décalage horaire.

- Détachez-moi, je ne suis pas une soumise, mais votre nièce, Yin Pin.

- Pour l’instant, tu restes ainsi. Je devrais te cravacher pour ton comportement. Mais j’attendrais demain. Tu es toute trempée, tu es excitée. Bon, je vais t’enculer, pour calmer tes envies.

Yin Pin m’encule avec la même vigueur qu’au Domaine. Je me retiens de jouir. Il éjacule sur mon pubis totalement lisse.

Il m’insère un gode anal réaliste avec des picots de trente-quatre par huit, qu’il cadenasse avec des chaînettes et à une ceinture de cuir autour de ma taille.

Je dois le garder pour la nuit. Je suis contrainte à connaître des orgasmes, par le prépuce qui se rétracte, lors des va-et-vient commandés à distance. Mon clitoris et mes mamelons sont tendus à l’extrême, la douleur devient plaisir. Un bâillon-boule étouffe mes râles, mon corps se cambre, mes cuisses vibrent.

Vers huit heures, j’émerge, à moitié pantelante, en sueur, par mes orgasmes nocturnes.

Un colosse bedonnant, chauve, moustachu, nu, 25 ans, avec un mandrin de trente-six par huit, me rejoint.

- Lotus Su, tu aimes l’anal. Je vais t’enculer, avant ton petit déjeuner. Tu es une pute.

Je ne peux répondre et je baisse les yeux et j’ouvre la bouche pour le sucer.

Il bande rapidement et m’encule libre, le gode anal retiré, à quatre pattes, me fesse magistralement. Je tente de me retenir.

Mais c’est trop tard, il éjacule en moi.

- Han Wuang, qui t’as autorisé à prendre Lotus Su. Lotus Su n’est pas une poupée sexuelle, mais la femme d’un de mes amis.

- Maître, je voulais l’enculer, car les Occidentales aiment ce plaisir.

- Désolé, Lotus Su, cet incident ne se reproduira plus. Han, tu iras à l’usine 225, section Y12, pour quelques jours. Lotus Su, va te laver, tu peux déjeuner, nue ou habillée, comme tu le désires, tongs de rigueur, pas de hauts talons sauf pour sortir. Je te corrigerais tout à l’heure.

Je me lave avec des seaux d’eau froide, mon anus est savonné et rempli par une poire de lavement d’eau froide. Je me retiens de jouir, devant Lotus du Désir.

Je rejoins nue et en tongs, les cheveux libres, Yin Pin, à la salle à manger, les yeux baissés, la bouche entrouverte, avec mes carcans de cuir qui ont durcis avec l’eau.

- Lotus Su, si tu veux me parler, tu es libre sous mon toit.

- Maître, que risque Han. Tout est de ma faute, j’ai joui sous le bâillon. Mon anus est trop sensible désormais.

- Tu n’as pas à connaître la sanction, belle Lotus Su. Tu es très belle nue avec tes cheveux libres. Tu pourras te maquiller, lors de venues de mes invités. Ecarte tes fesses.

Mon anus est encore un peu entrouvert, un peu de spermes reste.

Il m’encule à nouveau. Je me retiens de jouir.

- Tu vas devoir rester deux jours, menottée pour l’instant. Le temps que tu récupères du décalage horaire. Lotus Vice, Lotus du Désir, Annale Lotus, Lotus Câline et Nam sont mes protégées. Tu es une des « filles » de J H O. Ton contrat a commencé le 14 septembre pour le prince Omar puis pour moi, Yin Pin. Les hommes du prince Karim sont à tes trousses. Tu as plus de chance de rester en vie à ma villa, qu’en ville.

Les filles Lotus se ressemblent toutes, comme Lotus du Désir, toutes ont aussi sur la fesse gauche, marqué au fer rouge, un idéogramme pour les identifier, sauf Nam.

Elles prennent soin de moi, dans ma chambre.

Une des Lotus me dit en chinois :

- Les « filles » sont très recherchées pour leurs talents et car elles sont dociles et soumises. Tu fais la mission demandée, tu es bien payée.

Je lui réponds en chinois :

- Lotus Su tiendra ses engagements. Princes Omar et Soliman m’ont fait confiance. Je serais docile avec Yin Pin.

Yin Pin est surpris par ma maîtrise du chinois, que j’ai appris pendant mon sommeil durant le long vol.

Les Lotus portent elles aussi le même gode anal que moi, avec les chaînettes et la ceinture de cuir, baptisé Phallus du Désir.

Qu’au coucher du soleil, je suis autorisée à me promener nue, l’anus libre, après mon bain, dans le grand jardin, très sécurisée.

Vers 21 heures, on sonne.

Je rejoins Yin Pin et les Lotus. Nam est partie assurée un transport par hélicoptère.

- Commissaire Nin Wang (une beauté brune Chinoise aux longs cheveux libres, aux petits seins, en uniforme), de la brigade spéciale des mœurs, qui est Lotus Su ?

- Je suis Lotus Su, dis-je, en me montrant simplement vêtue d’un kimono court, sur mon corps nu, avec mes carcans de cuir, les yeux baissés.

- Des hommes du Golfe Persique tentent de vous recruter pour un certain Monsieur K, pour une forte somme d’argent. Ils sont sous surveillance. Votre vraie identité est Shawn H d’O, n’est-ce pas ? Une certaine Aimée est emprisonnée en Chine, pour divers délits avec six Chinois. Elle purge sa peine de trois mois et sera votre soumise à votre disposition à son retour en France. Les six Chinois sont en camp de rééducation. Yin Pin, votre position au sein du parti communiste, permet que Lotus Su alias Shawn demeure pendant son séjour, votre nièce.

- Que signifie ces événements, dis-je. Je suis une « fille » de J H O, donc J H O doit être prévenue elle aussi. C’est ma vie et la sienne qui sont en jeu.

- Tu es très intelligente, les avocats de J H O à Pékin étudient la solution juridique et judiciaire pour que Monsieur K et ses hommes soient mis hors d’état de nuire. Je vous laisse. Lotus Su, tu restes ici, jusqu’à nouvel ordre.

- Bien, commissaire Nin Wang, je reste au secret, dis-je.

Le départ du commissaire Nin Wang me met dans une situation délicate.

- Désolé, pour Aimée, c’est son implication qui l’a conduit en prison en Chine, dit Yin Pin.

Je n’ai rien à voir avec Aimée. Elle m’a livrée lesbienne au Domaine, pour que je devienne une « fille » de J H O.

C’est vrai. Tout se trouve dans un dossier confidentiel du Domaine. Certaines personnes y ont accès, dit Yin Pin.

Je m’endors menottée, pensant à mon avenir.

 

18 octobre

Vers 15 heures, Nam dépose un bel étalon, venant du Golfe Persique.

Je suis menottée dans ma chambre, l’anus libre.

Le bel étalon Amir de 35 ans me cherche dans la villa, mais il se trompe et va dans la chambre de Lotus du Désir.

Il la contraint à le sucer, puis il la baise sauvagement avant de l’enculer.

- Tu aimes ça, Lotus. Je vais te faire jouir.

De mon côté, j’hurle en chinois :

- Lotus, danger. Lotus, danger.

Yin Pin, Nam et les autres Lotus arrivent dans ma chambre puis dans celle de Lotus du Désir.

Lotus du Désir a été déflorée, avant d’être remise à son Maître.

Amir est arrêté, sans ma présence. La police Chinoise l’interroge, le place en prison jusqu’au paiement de sa caution et l’expulsion vers un pays d’accueil.

Lotus du Désir se console le soir, dans mes bras.

- Lotus Su apprends-moi l’amour lesbien, demande Lotus du Désir.

- Lotus du Désir, Lotus Su a interdiction de toucher ton corps. Lotus Su, tu lui apprendras comment caresser ton corps. Tu peux passer la nuit, totalement libre dans ta chambre.

Je suis surprise que Yin Pin me laisse avec Lotus du Désir.

Je me fais jouir sous sa langue, ses doigts et sa bouche comme si c’était mon premier ébat lesbien.

 

19 octobre

Vers 10 heures, libre, après ma toilette, fardée et parfumée, comme au Domaine, je revêts pour la première fois, une tenue plus adaptée, une robe longue devant jusqu’aux mollets, dénudant entièrement mes fesses et mes jambes, jusqu’aux reins, chaussée de tongs à talons de dix centimètres, coiffée d’un chignon, les ongles des mains et des pieds vernis de rouge.

- Tu es très belle, Lotus Su, dit Yin Pin. Mes invités vont bien s’occuper de toi. Amir quittera prochainement le pays. C’est un homme de l’avant-garde de Monsieur K. La police va surveiller tous les vols en provenance de tous les pays.

Mon téléphone portable sonne. Yin Pin me remet :

- Oui, qui est à l’appareil ?

- Madame J H O, ta renommée te précède. Tu fais tomber des hommes. Sache aussi qu’à titre personnel, tu es la baronne Shawn H d’O. Je suis ta sœur par alliance, je te donnerais plus de détails à ton retour en France.

- Madame J H O, je suis donc inutile en Chine, ne pouvant mettre en œuvre mes charmes.

- Si, Shawn, tu es utile sans le savoir. Les princes Omar, Soliman et Farid t’ont choisis comme seconde épouse, princesse Nora, la première est connue sous Annabelle Emeraude.

- Astrid, vous voulez dire. Elle est très dévouée. Je ne serais jamais à la hauteur.

- Tu le devras et ton pseudonyme Lotus Su sert à cacher ta vraie identité de princesse Nora. Mes contacts comptent sur toi. Tu dois servir avec respects les princes. Yin Pin est ton soutien.

- Bien, Madame J H O, je vais effectuer ma mission.

Puis, je me rends au salon. Je redonne mon téléphone portable à Yin Pin.

Là, deux superbes Adonis m’attendent avec Yin Pin.

- Ma nièce Lotus Su, elle est très docile. Elle est là pour votre service. Voici le docteur Jason, spécialiste de la sodomie, 35 ans, né aux Etats-Unis, naturalisé Russe. Le docteur Von Sados, spécialiste de la soumission, 40 ans, d’origine Allemande et Sud-Africain, pour qui la femme qui prend plaisir sous la cravache, comme toi au Domaine.

- Son œillet est serré à première vue, dit Jason.

- Oui, Jason, mon œillet est serré, mais il cache une ouverture bien élargie, dis-je.

- Nous verrons cela après le dessert, belle Lotus Su, dit Von Sados, en caressant mes fesses nues.

En effet, après le dessert, je suis prosternée, nue, mains jointes à mon cou. Les deux étalons dotés d’un quarante par huit pour Jason et d’un trente-huit par sept par Von Sados, m’enculent pendant plus de deux heures par alternance, je dois les sucer, avalant tout, les fesses cravachées.

Je suis pantelante, quand je me relève, au bord de l’évanouissement.

Je suis reconduite par Lotus du Désir et Annale Lotus à ma chambre, où elles me font ma toilette, mon anus dégouline de spermes.

Je m’endors.

 

22 octobre

Vers 3 heures du matin, je suis enlevée à la villa de Yin Pin par des inconnus, puis transportée à bord d’une fausse ambulance vers une zone portuaire.

Là, je suis menottée, les bras tendus en l’air, bâillonnée, nue, sur la pointe des pieds nus, fouettée sur les fesses, les cuisses et les reins à plusieurs reprises.

Des hommes bien montés m’enculent sauvagement et éjaculent sur mes fesses zébrées et mon pubis lisse, sans répit. Ils parlent en Arabe, en Chinois et en Russe.

Je suis une « fille » qui vaut de l’or, car je fais partie du Domaine.

- Le Baron Oscar, les Maîtres D et O doivent venir apporter la rançon prochainement.

Mais un des hommes annonce :

- Un Falcon est porté disparu dans le Golfe Persique. La pute ne sera pas libérée.

Ce n’est pas sans le savoir, que ma bague permet de localiser pour Madame Justine et ses alliés.

 

23 octobre

Vers 23 heures, la police chinoise me retrouve et me libère. Je suis transportée par hélicoptère dans une partie médicalisée de la villa, sous haute protection et soignée. Je ne porte plus mes carcans de cuir.

Je passe 48 heures dans le coma. Je ne reprends vie que le 25 octobre.

Je suis transférée que le 28 octobre, dès que le médecin personnel de Yin Pin juge que mon état le permet.

 

29 octobre

Vers 9 heures, heure de Paris, l’A350 Chinois personnel de Yin Pin me dépose à l’aéroport privé, après 11 heures de vol. Je suis vêtue d’une robe rouge à la chinoise, moulante, décolleté rond, longue jusqu’à la cheville, fendue jusqu’aux hanches mais dévoilant par transparente mes seins nus et mes fesses nues, maquillée et parfumée, coiffée d’un chignon et chaussée de sandales blanches à talons de douze centimètres. J’ai mis un manteau de fourrure pour mon retour en France. Je suis transférée en limousine au pavillon de chasse, non loin du Domaine.

La commissaire Vanessa Alexandra de la brigade des mœurs m’interpelle, tandis que je monte à bord de la limousine. Un garde de corps féminin de Yin Pin, une des Lotus, l’empêche de m’approcher.

Au pavillon de chasse, je suis conduite auprès de Madame Justine H d’O, qui m’attend, mesurant 1,75 m pour 92-65-92, blonde, en pull sur son corset seins nus et jupe longue, escarpins de douze centimètres et queue-de-cheval. Elle a 40 ans. C’est aussi une sportive en natation, équitation et véliplanchiste. Elle est l’épouse de Sir H d’O. C’est une soumise qui porte juste à son gros clitoris percé d’un anneau avec une pierre précieuse, la bague sertie d’un petit anneau à son annulaire gauche. Elle est doublement ouverte, ancienne lesbienne à 16 ans, elle devenue bisexuelle, soumise, docile et aimant faire l’amour avec les hommes, les femmes. Elle est assise sur le divan.

- Shawn, ma chérie, mon chaton, je me suis fait du souci lors de ta disparition. Tu es vivante. Tu peux rester le temps que tu veux ici. Tu es chez toi. Ton appartement est un lieu mal protégé. Le Domaine, les princes Omar et Soliman et surtout Farid ont mis tous leurs moyens pour te retrouver.

Je l’enlace, après avoir retiré mon manteau de fourrure, remis à un superbe majordome Africain noir. Deux soubrettes sont là aussi.

- Tu pleures, qu’il y a-t-il mon chaton ?

- Maître… Disparus dans le Golfe Persique…

- Comment tu es au courant, personne ne devait t’en parler avant ton retour. Tu es déjà en état de choc par ton viol en Chine. Tu as besoin de repos. Albane et Cyrielle, amenez-la à sa chambre, qu’elle soit douchée et qu’elle se repose. A midi, tu viendras souper, tu as besoin de reprendre des forces, mon chaton et surtout tu es ma fille adoptive. Farid m’a téléphoné pour avoir de tes nouvelles. Il pense souvent à la fille aux yeux verts de son enfance.

Je monte à l’étage. Je suis déshabillée, douchée. J’émerge un peu, mes lignes blanches marquent mon corps, où j’étais fouettée.

Nue, je me glisse sous la fourrure, comme au Domaine.

- Madame Justine, vous avez ici une certaine pute Shawn qui est rentrée de Chine après un voyage dans le Golfe Persique. Cette personne est recherchée pour le meurtre du Baron Oscar et de deux de ses amis. Je veux la voir immédiatement et la placée en garde à vue, pour l’interroger. Elle fait mine d’être malade, je la ferais examiner. Je suis le commissaire Vanessa Alexandra de la brigade des mœurs.

Puis, le lieutenant-colonel Hermine de Castel entre.

- Madame Justine H d’O, je suis le lieutenant-colonel Hermine de Castel, en charge à ce jour, de la protection des princesses Nora et Annabelle Emeraude devenu Jasmine. Un autre homme doit venir prochainement ici. Il sera escorté par mes hommes, sur ordre du général de brigade Jean Emmanuel. Commissaire, vous devriez renoncer à votre garde à vue. Les vrais coupables sont déjà arrêtés en Chine et dans le pays de ses Altesses Omar et Soliman.

- Lieutenant-colonel, vous mentez. J’ai des preuves.

Je sors de mon lit, revêts une robe longue avec un décolleté, blanche, sur un porte-jarretelles et des bas blancs, avec des escarpins blancs.

- Ce n’est pas fini ce brouhaha. On me cherche, Madame Justine.

- Shawn, tu dois rester au lit, s’il te plait.

- Non, on s’en prend à mes amis, dis-je. J’arrive.

- Tiens, la pute sort de sa planque. Vous la cachez de la vue des autorités judiciaires, dit la commissaire.

- Shawn a un lien de parenté avec moi, cela ne regarde que moi, dit Justine.

J’arrive devant les deux officiers, la commissaire blonde aux cheveux mi-longs de 35 ans est en civil, avec un pull et un jean, sa carte sortie, accompagnée de deux policiers en tenue et le lieutenant-colonel est une brune de 40 ans, coiffée d’un chignon, en uniforme, avec un capitaine homme et un lieutenant féminin.

- Vous avez des preuves. Je ne peux pas être en même temps en Chine et sur les terres de son Altesse Omar.

- Elle délire, dit la commissaire. On l’a vu chez Omar, le jour de l’accident.

- A bon, j’ai un sosie, dis-je. Karim l’a payée pour se faire passer pour moi.

Un bel homme barbu grisonnant entre, en pull et jean.

- Ma chérie Shawn, qui sont ses personnes qui viennent souiller ton honneur ?

- Qui êtes-vous ? questionne Justine.

Je fais un malaise.

On m’installe sur le divan, allongée.

- Shawn, c’est moi ton chéri, Olivier. Tu te souviens de notre première rencontre.

- O… Tu es vivant…

- Je peux m’expliquer, le général de brigade Jean Emmanuel a pris ma déposition et j’ai porté plainte contre X, en France et les autorités judiciaires de son Altesse Omar font de même.

Un civil en costume entre.

- Commissaire Vanessa Alexandre, vos supérieurs souhaitent vous voir à la direction centrale.

- Non, je fais passer les menottes à la pute Shawn, ce monsieur, Madame Justine et à leurs complices sur le territoire Français.

- Désolé, la gendarmerie assurant la protection de ses personnes, il vous faut l’aval de mes supérieurs.

- Toi, la pute Shawn, je t’embarque en premier, dit Vanessa.

- Laissez-la, elle est faible, dit Justine. Ce n’est pas une pute, c’est une soumise tout comme moi. O est notre Maître. Mes avocats vont prendre en charge l’affaire.

- Justine, tout est déjà prévu, dit Maître O.

- Lève-toi, la pute, vite fait. Tu simules, dit Vanessa.

- Son pouls est faible, dit Justine. Faites venir un médecin. Ramenez à sa chambre.

- Je m’y oppose, dit Vanessa.

Mais Vanessa est expulsée immédiatement.

Quelques instants après, je me retrouve dans ma chambre avec Justine et Olivier, un médecin. Je suis nue sous ma fourrure.

- Elle est surmenée. Je lui administre quelques médicaments. Sa grossesse ne doit pas être dérangée sous aucun prétexte. Un bon repos en totale quiétude serait souhaitable. Une infirmière va s’occuper d’elle. Elle ne doit quitter la chambre sous aucun prétexte et recevoir par espace régulier.

- Docteur, dit Justine. Elle est devenue fiévreuse, tremblante.

- C’est le contre-coup de plusieurs événements, dit Docteur. Elle va s’en remettre, mais il faut la ménager.

- Madame Justine, il y a une certaine princesse Jasmine qui demande audience, le lieutenant-colonel Hermine est restée, un officier de la garde est aussi présent.

- Je viens, Cyrielle, dit Justine.

- Je viens avec toi, Justine, dit Olivier.

- Non, tu restes avec Shawn, c’est ton épouse.

- Mariage… Emeraude… dis-je.

- De quoi elle parle, dit Olivier.

- Mystère, elle a des mots sans aucun sens, dit Justine.

- Où se trouve la princesse Nora ? dit Princesse Jasmine, vêtue d’une robe traditionnelle, en montant l’escalier, après que Cyrielle a voulu s’interposer.

- Votre Altesse Jasmine, elle est pour l’instant au repos, dit Justine.

- Quel est l’auteur de sa santé, je veux le rencontrer et lui dire deux mots ? dit Jasmine.

- C’est le commissaire Vanessa Alexandre.

- Oui, mes avocats s’occupent d’elle. Traiter son Altesse Nora de pute mais c’est une honte pour mon pays.

- Vous verrez son Altesse dans l’après-midi, dit Justine.

- Fayçal, tu sécurises la chambre de la princesse Nora. Seules les personnes habilitées pourront la voir. Faites sortir ce monsieur qui est avec elle.

- Désolé, c’est son futur époux dont elle est enceinte. Maître O, il m’a montré ses papiers.

- Je peux authentifier Maître O, dit Jasmine.

Elle vérifie la personne.

- C’est bien Maître O. Il a survécu à l’accident. C’est un miracle. Nora a beaucoup d’anges gardiens, le prince lui porte chance.

- Astrid, ravit de vous revoir. Devrais-je dire Altesse Jasmine, dit Olivier.

- Tu la connais, surprise Justine.

- Elle m’a conduit à bord de son jet privé chez le prince, peu après la remise du prince héritier Farid à ses 10 ans. Astrid connaît aussi ton chaton Shawn, bien avant, qu’elle soit remise au harem pour un court séjour.

- Astrid… Farid…

- Nora, je suis là. Reste couchée. Je viendrais te voir ensuite.

Je tente de me lever, mais je m’effondre dans un profond sommeil.

- Elle s’est endormie, sous l’effet des médicaments, dit Justine.

Fayçal garde ma porte de la chambre.

Je passe les deux jours, ne me levant que pour les repas.

Je suis apathique, passe mon temps à pleurer, m'alimente quasiment pas, ne réagissant à rien, je suis somnolente. Je brûle de fièvre. Justine et tout le monde s’occupent de moi.

Vers 20 heures, j’émerge, me lève, en mettant juste un kimono et des mules à petits talons, sans maquillage.

Olivier me soutient avec Cyrielle.

- Mon chaton, tu viens manger, dit Justine.

- Oui, Madame Justine, j’arrive, dis-je.

Mais devant l’assiette, je ne reste sans manger et me met à pleurer sans raison.

- Votre Altesse Nora, qu’avez-vous ? demande Astrid.

- Je me sens pas dans mon état normal. Je vais me recoucher.

- Mange un peu, quand même, dit Justine.

Je fais de mon mieux, mais je suis prise de douleurs intestinales.

Je dois aller me soulager et me doucher en douceur, avant de me recoucher.

Vers 23 heures, alors que Maître O me veille, Justine et Astrid partagent une chambre mitoyenne, le lieutenant-colonel Hermine assure la veille avec ses hommes au rez-de-chaussée, je demande à Maître O :

- Prenez-moi maintenant, enculez-moi.

- Mais…

- Il n’y a pas de mais. J’ai une énorme envie de toi.

Il s’exécute, m’encule brièvement jusqu’à l’éjaculation en moi et me met un bijou d’anus de calibre six centimètres. Je suis comblée.

Je me rendors.

 

30 octobre

Vers 8 heures, je me lève, mets mon kimono sur mon corps nu, laisse mes cheveux libres, met mes mules, sans me coiffer, ni me maquiller. J’ai très faim, mon estomac crie famine.

Je descends et je trouve Fayçal avec le lieutenant féminin Amandine, une superbe brune aux cheveux mi-longs, adjointe du lieutenant-colonel Hermine.

- Tiens, Shawn, vous êtes déjà levée, après les événements d’hier, je suis le lieutenant Amandine, adjointe du lieutenant-colonel Hermine. Vous êtes une sublime princesse.

- Cyrielle, puis-je avoir un petit déjeuner, dis-je. Fayçal, du courrier pour moi serait-il arrivé ?

- Oui, votre Altesse, voici une enveloppe à votre nom, de la part de l’ambassade.

-  Merci, Fayçal, vous donnerez les autres aux personnes présentes, dis-je. Est-ce normal, ce civil en pull et en jean, dans l’allée, lieutenant Amandine ?

Je vais me renseigner, dit Amandine, en partant.

Je déjeune.

Le civil force le passage et se présente devant moi et Fayçal.

- La pute Shawn n’est pas encore en garde à vue, ma collègue Vanessa n’a pas fait son boulot. C’est normal, la pute Shawn simule son état de santé. Je suis Pierre Thierry, adjoint de Vanessa.

- Veuillez quitter le pavillon de chasse, monsieur, dit Fayçal. Votre Altesse ne souhaite pas votre présence.

- Oui, elle préfère la belle Hermine. La pute est une gouine. Vanessa n’est pas assez bien à son goût. Tu es une princesse d’opérette, comme à dit Vanessa à ses supérieurs.

Fayçal lui montre un document diplomatique sur mon statut écrit en Français et les implications car le pavillon de chasse appartient au Prince Omar.

- A bon, je suis sur un territoire étranger. Je vais utiliser mes lois dans ton pays, princesse d’opérette.

- Qui est cet individu, princesse Nora ? dit Astrid, en robe de chambre, maquillée.

- Princesse Jasmine, cet individu est sur notre territoire et vient m’arrêter, ainsi que toi, les invités, pour un prétendu attentat contre un jet privé dans les eaux internationales, dis-je.

- Tiens, la police judiciaire vient t’arrêter. Mais mon chaton, c’est interdit. Ce sont les gardes du prince Omar qui doivent le faire. J’appelle nos avocats de suite.

- Encore, une princesse d’opérette et Amandine, tu dois l’aimer aussi, dit Pierre Thierry.

- Monsieur, veuillez quitter immédiatement le pavillon de chasse ou je vous fais placer en garde à vue pour violation d’un domicile diplomatique, dit Amandine.

- C’est la gendarmerie qui protège une criminelle.

Mais en vérité, le général de brigade Jean Emmanuel a fait venir une voiture de la préfecture et une voiture de l’ambassade, avec des civils.

- Princesses Nora et Jasmine, cet individu vous importune, dit le plus gradé. La préfecture va s’occuper de son cas.

- L’ambassade demande que cesse ses fausses informations sur nos Altesses, dit un membre de l’ambassade. Vos Altesses, le prince Omar souhaite que vos séjours se déroulent sans aucun problème.

- Merci, messieurs, dis-je. Vanessa et ce monsieur Pierre Thierry devraient être affectés à d’autres tâches, ils ont pris trop à cœur leurs arrestations.

- Oui, mon chaton, tu as totalement raison, dit Justine, en pull et jupe longue. J’ai entendu la conversation. Mais c’est un acharnement, on t’accuse sans aucune preuve fiable. Les avocats ont les éléments prouvant le contraire. Va te faire belle, mon chaton.

- Oui, Madame Justine, j’y vais. J’ai retrouvé un peu d’appétit, mais cette venue me l’a coupée.

- Tu mangeras ce midi, dit Justine.

- Une pute avec deux princesses d’opérette, c’est un superbe spectacle pour la brigade de mœurs. Tout ce monde en garde à vue, je suis promu et Vanessa aussi, dit Pierre Thierry.

- A bon, tu es promu, avec ta chérie. Je pense que tu es son fiancé, dis-je.

- Cela ne t’intéresse, princesse d’opérette, tu manques de respect, dit Pierre Thierry.

- Je te manque de respect, moi princesse Nora. Tu es sur mon territoire et je montre conciliante, dis-je.

Je disparais.

Pierre Thierry est aussitôt expulsé.

La journée est calme. Je mange normalement au déjeuner et au souper.

 

24 décembre

Vers 8 heures, Fayçal frappe à ma porte. Je suis encore endormie.

- Princesse Nora, une intruse a été interpellée, dans l’enceinte du pavillon de chasse. J’attends votre venue.

Je choisis un tailleur avec une jupe droite blanc, me maquille un peu, laisse mes cheveux libres et mets mes escarpins blancs à petits talons.

- Tiens, une brune qui ressemble à Vanessa. Elle se prénomme comment cette intruse, Fayçal ? Hermine, tu es là. J’ai hâte d’une discussion entre femmes.

- Tu es une gouine, la fausse princesse, dit Vanessa.

- Sabrina, journaliste Moyen Orient, pour une chaîne inconnue, dit Fayçal.

Je découvre le pot aux roses en retirant la photo et découvre la photo de Vanessa en blonde.

- Tiens, c’est Vanessa. Pierre Thierry n’est pas loin. Fouillez les environs.

- Je ne suis pas Vanessa, la pute, dit Vanessa.

- Je lui passe les menottes, Shawn, dit Hermine.

- Oui, tu la conduis à la section de recherches pour ses antécédents et une interdiction formelle de m’approcher à moins de cinq cent mètres décidée par le juge.

- Mon chaton, encore Vanessa, elle te colles un peu trop, dit Justine, en déshabillé satin noir sous une robe de chambre assortie, en mules à petits talons.

- Oui, Madame Justine, elle ne veut plus me quitter, passer des nuits à me faire l’amour lesbien. C’est une authentique gouine, dis-je.

- Tu peux le dire, une gouine qui colle mon chaton, dit Justine.

- Vanessa est expulsée et l’interdiction prend effet dans la semaine. Pierre Thierry est arrêté non loin, en faux gendarme.

- Shawn, viens me faire un câlin. Tu as retrouvé un joli teint, l’air frais te fait du bien. Au fait, avec Maître O, l’autre nuit, tu as joui avec lui, ou j’ai rêvé. C’est vrai, c’est ton futur époux. Le mariage est pour quand, mon chaton.

- J’ai oublié de fixer la date du mariage, Madame Justine.

- Oui, Madame Justine, ce sera Justine. Tu es ma fille adoptive que j’ai élevée avec Farid, à la demande du Prince Omar, pour sa sécurité.

- Je suis tombée amoureuse de Farid, alors que tu m’as élevée avec lui.

- Mais Farid a d’autres épouses dans son pays. Toi, tu es la seconde épouse du prince Omar et celle de Maître O.

- Je suis aussi amoureuse d’Hermine, Justine. Elle me plait, cela fait longtemps que je n’ai plus fait l’amour avec une femme.

- Demande-lui poliment si elle veut, dit Justine. Hermine, Shawn a une question pour vous ?

- Shawn ou princesse Nora, je vous écoute, dit Hermine.

- Entre nous et dans l’intimité, en dehors de toute personne étrangère au pavillon de chasse, tu m’appelles Shawn, dans les autres cas, ce sera princesse Nora.

- Oui, Shawn, je comprends. Quelle ta question ?

- Hermine, as-tu déjà des ébats avec une femme ? Je pense que tu es mariée, tu ne veux pas, je ferais avec.

- Shawn, je suis célibataire. J’ai peu fréquenté les hommes, même mes supérieurs. Une expérience lesbienne, je ne suis pas contre, mais pour ta grossesse.

- J’ai un appétit sexuel à satisfaire. Des fois, je dois me caresser en solo, dans mon lit. Maître O me prend de temps à autre. Ne sois pas jalouse, je suis bisexuelle et soumise. Si tu vois mes bijoux intimes, ne soit pas choquée. Dès mon accouchement, je porterais des fers à ma chatte et peut-être je serais chiffrée comme l’héroïne d’un livre que j’ai lu en Chine.

- Shawn, tu vas accepter de porter ces marques et d’être ferrée, dit Justine.

- J’assume mon statut de soumise jusqu’au bout, dit Shawn.

- Shawn, j’accepterais ton corps comme il est, dit Hermine. Je prends ma pause à 15 heures jusqu’à cinq heures. Tu ne me fatigues pas trop.

- Non, du tout, quelques caresses, voir quelques doigtés, je te préviens, je suis très sensible, dis-je.

- Ton Maître O va accepter ma présence en ta compagnie, dit Hermine.

- Mais Maître O est amoureuse de toi, Hermine.

- Quoi, mon chaton, Maître O est… dit Justine.

- Oui, il est amoureuse de moi, d’Hermine, de Justine, d’Astrid, d’Alban et de Cyrielle, dis-je. J’en suis fière que toi, Hermine soit choisie. Je vais me faire belle, en mode repos, pull sur mes seins nus et jupe en jean, sandales, queue-de-cheval, sans mon maquillage. Je rase ou non mon pubis et ma chatte, dont les poils ont repoussé.

- Tu es une naturelle, dit Hermine.

- Tu aimes, je laisse comme cela.

Je monte à ma chambre. Maître O a brièvement surpris ma conservation avec Justine et Hermine.

Assise nue, sur le bidet, cuisses écartées, je fais ma toilette intime et je mouille de désir pour Hermine et aussi pour Justine. Des ébats lesbiens avec Justine ce serait le summum du désir.

- Mon chaton Shawn, tu redeviens lesbienne ou tu restes bisexuelle.

- Tu es jaloux que je fasse l’amour avec Hermine. Elle te plait. Elle a un potentiel sexuel qu’il faut qu’elle révèle. Je ne vais pas la livrer au Domaine. Il me faut une autre beauté. Lotus Câline est la fille que je recherche.

- Tu veux que Lotus Câline soit dressée comme toi. Tu la connais à peine, mon chaton.

- Je la veux et je l’aurais, dis-je.

Je me coiffe, coiffe mes poils pubiens. J’enfile mon pull blanc à col long, moulant superbement mes seins nus aux mamelons constamment tendus, par l’excitation de mes ébats lesbiens avec Hermine, une jupe en jean entièrement boutonnée devant jusqu’à mi-cuisses et mes sandales blanches à talons de dix centimètres. Mes ongles des pieds sont vernis en rouge. Je peaufine ma queue-de-cheval.

- Comme ça, cela me plait, dis-je.

- Tu es sexy, mon chaton Shawn, dit Justine. Ce pull met en valeur tes superbes seins nus. Tu n’es pas frileuse.

- Non, la laine m’excite terriblement. Je suis toute humide, dis-je.

Vers 10 heures, nous sortons quelques instants dans le parc à l’arrière.

- Mon chaton Shawn, tu as mesuré l’effet de tes fers et tes chiffres sur les autres personnes qui ne connaissent pas les règles du Domaine.

- Oui, je sais, certains vont être gênés mais je le ferais au moment venu, dis-je. Embrasse-moi sur la bouche.

- Mais…

J’embrasse sur la bouche Justine très surprise.

- Tu aimes que je t’embrasse sur la bouche.

- Mon chaton Shawn, tu es très excitée sexuellement. Ces longues abstinences sexuelles ont eu de l’effet.

Hermine nous rejoint.

- Dis donc, c’est le parfait amour.

- Justine est ma mère adoptive, donc un baiser de la part de sa fille adoptive, cela ne peut se refuser, Justine.

- Non, c’est vrai, dit Justine embarrassée.

- Hermine, je t’attends nue dans ma chambre, je me serais un peu caressée avant en pensant à toi.

Hermine est aussi embarrassée.

- D’accord, je te rejoins vers 15 heures, lorsque je passe les consignes. Pour le souper, les princes Omar, Soliman et même le prince héritier Farid vous ont réservé un festin royal.

- J’ai hâte, dis-je.

Vers 14 heures, je monte dans ma chambre, me déshabille puis je réfléchis :

- Je garde mon pull et je vais me caresser avec la laine sur mes seins nus. Je mouille encore, j’ai trop envie.

Je décide de lire un roman érotique, pour m’exciter.

Cuisses écartées, sur mon lit, sur le dos, exhibant ma chatte velue à un des grands miroirs, je glisse délicatement mes doigts pour écarter les lèvres percées et de l’autre main, je pelote mes seins avec la laine.

Puis ma seconde main rejoint la première, je retire mon bijou d’anus. Aussitôt, les lèvres écartées, je me doigte la chatte et mon gros clitoris tendu tout comme mes mamelons sous mon pull, que je retire et en même temps, je me doigte l’anus encore un peu humide. Je commence à jouir, mon corps devient une vague de plaisir.

- Oui… Encore… C’est bon… Prends-moi… Oui… Viens…

Sans savoir que Hermine m’observe, venue un peu plus tôt.

J’explose dans un long orgasme, cambrée, pantelante.

Hermine a remplacé mes doigts dans ma chatte, laissant juste mon pouce sur mon clitoris et les autres dans mon anus.

- Tu es une sacrée coquine, mon chaton Shawn. Tu fais souvent quand tu étais en solo dans ton adolescence.

- Oui, je pensais à un bel Adonis nu, qui me prenait dans mon lit. Moi, les cuisses écartées, son sexe en moi et jouissant avec lui. Reprends-moi s’il te plait, avec tes doigts, ta langue. Déshabille-toi, je te veux toute nue. Tu aimes mon pubis et ma chatte velus. D’habitude, je suis intégralement épilée comme une soumise.

- Ton clitoris percé est superbe. Qui te l’a percée, mon chaton ?

- Tu veux le même, mais il faudra que je conduise en un lieu secret, en accord avec mon chéri.

- Non, je ne désire pas, avec le même clitoris que toi.

- Si, tu le désires, tout comme ta chatte toute lisse. Tu es une vraie brune, tes poils pubiens sont sublimes, tu devrais les laisser un peu repoussés en un magnifique triangle. On pourrait faire passer des chaînettes cadenassées à une ceinture de cuir, pour maintenir un sexe dressé.

- C’est un de tes fantasmes sexuels, mon chaton Shawn.

- Non, j’ai en porté un, avec ce dispositif pour m’élargir. Enfonce tes doigts dans mon œillet, tu verras.

Hermine s’exécute, nue, en 69 au-dessus de moi, tandis que je lui lèche sa chatte et son clitoris déjà tendu.

- Je peux m’être jusqu’à quatre doigts. Cela doit faire mal.

- Tu t’habitues rapidement, continue avec tes doigts, je vais jouir.

En effet, un orgasme anal me terrasse et serre les doigts de Hermine.

- Arrête, je ne peux les retirer.

- Attends… Oui… Encore…

- Enfin, je peux les retirer. Tu mouilles de là aussi, tu es très sensible.

Justine nous observe une partie de l’après-midi, entre deux séances de caresses sur mon lit, côte à côte, mains dans nos chattes mutuellement ou sous la douche, avec des baisers profonds et des râles de plaisir.

Astrid rejoint Justine.

- Shawn est avec…

- Chut, elle fait l’amour avec sa nouvelle chérie. Laissons-la. Elle est très amoureuse.

Vers 20 heures, je descends avec Hermine, qui a enfilé mon pull sur son corps nu, des mules que je lui ai prêtée. Moi, j’ai mis une robe de soirée bustier noir moulant mes seins nus et mon ventre, avec des escarpins noirs à petits talons, maquillée et parfumée comme j’ai fait de même à Hermine.

Le souper est royal. Je partage tout avec Maître O et Hermine.

Personne ne parle de nos ébats lesbiens.

Après le dessert, Fayçal me remet un cadeau :

- Princesse Nora, ce cadeau est destiné aussi à votre amoureuse.

- Tiens, mon amoureuse a droit à un cadeau en commun, dis-je.

- Oui, mon chaton Shawn, dit Hermine. C’est pour ton futur bébé. Ouvre.

Je découvre un roman érotique et un tableau qui portera le nom de mon futur bébé.

Je feuillette le roman érotique et je mouille sous ma robe et cela se voit.

- Mon chaton Shawn, tu as tâchée l’arrière de ta jolie robe.

- Je vais me changer. Hermine, tu vaste faire belle aussi. Le pull, il faut une tenue plus appropriée.

Dans la chambre, Hermine me questionne :

- Retire ton pull. Essaye ce corset seins nus, ce boléro et cette jupe, tu mets rien dessous.

- Mais cela est osé. Je ne peux les mettre, dit Hermine.

- Tu refuses. Je vais mettre juste mon boléro et la jupe.

- J’acceptes. Tu me serres mon corset, pas trop.

Hermine fait sensation dans sa tenue, courtisée. Mon boléro blanc fermé au cou, sur mes seins nus qui ont pris du volume, m’excite davantage avec le tissu.

Je soulève discrètement le boléro blanc et la jupe blanche d’Hermine, pour monter qu’elle a les seins, les fesses et les jambes nus comme une vraie soumise.

- Tu aimes, ma chérie, dis-je à l’oreille d’Hermine.

- Cela m’excite. Je comprends mieux pour tu es toujours nue dessous tes tenues.

- Oui, je suis accessible à toutes les queues.

Après le souper, je conduis Hermine à la chambre. Nous prenons une douche sensuelle, avant un long ébat lesbien, en 69, en positions érotiques, pour caresser nos chattes et j’initie Hermine à la sodomie avec un gode de petit calibre, puis je monte en diamètre. Hermine gémit un peu, mais la caresse de son clitoris la fait décoller. Je sais que mon chéri n’aura aucun mal à l’enculer, dès qu’elle sera prête.

 

25 décembre

Vers 3 heures, après un ultime orgasme lesbien, dans un 69, nous prenons une dernière douche.

- Shawn, je dois te quitter. Il faut que je prenne mon service, dit Hermine.

- Bien sûr, fait ton travail. Je te rejoins tout à l’heure. Je suis amoureuse de ce jeune adjudant-chef, comme il s’appelle, le beau brun athlétique, qui est souvent près de la grille ?

- Nathan, tu veux dire. Il a 23 ans et je ne sais pas s’il est marié.

- 23 ans, mais il fait jeune.

- Je vais voir comment organiser une entrevue entre vous deux. Justine ne va rien dire, mon chaton.

- Elle sait que je vais prochainement me marier. Toi, tu vas te marier aussi et Justine aussi, et vous serez officiellement des princesses : toi, c’est Opale et Justine, c’est Iris, c’est le prince Omar qui l’a décidé.

- Tu as tout prévu.

- Silence, discrétion, Astrid est aussi au courant. A tout à l’heure, je mouille d’avance.

En effet, nue sous ma couverture, je caresse délicatement mon clitoris déjà tendu et fouille ma chatte, pour me faire jouir.

Vers 7 heures, je descends nue sous mon manteau de fourrure et chaussée de cuissardes noires à talons de six centimètres, coiffée d’un chignon, sans maquillage. Je déjeunerais plus tard.

Je rejoins Hermine, en tenue polaire qui fait sa tournée, entre la grille et l’allée.

- Lieutenant-colonel, la nuit a été calme, dis-je.

- Princesse Nora, tu es déjà levée, dit Hermine.

- Oui, il se trouve où le bel Adonis de mes rêves, en écartant discrètement mon manteau, dos aux autres gendarmes et gardes personnels.

- Tu n’as pas froid, mon chaton.

- Non, j’ai très envie de lui.

- Adjudant-chef Nathan, venez voir la princesse Nora, s’il vous plait.

Nathan arrive. Il est encore plus beau de près que de loin.

- Princesse Nora, dont vous assurez la protection, souhaite vous parler.

- Lieutenant-colonel, je suis en service, dit Nathan gêné.

- Tu sais que tu fais de l’effet sur son Altesse.

- Oui, tu fais ton timide. Première rencontre avec une femme, je présume.

Il n’ose répondre. J’entrouvre discrètement mon manteau sur mon corps nu. Nathan me reconduit vers le hall d’entrée. Hermine nous escorte

- Votre Altesse, allez-vous mettre au chaud, dit Nathan.

- Tu n’es pas insensible. Tu es marié, je comprends. Dans le cas contraire, je te laisse réfléchir.

- Princesse Nora a raison. C’est une des « filles » de Madame Justine, une occasion pareille ne va pas se représenter de sitôt.

- Lieutenant-colonel, je ne peux pas.

- Tu ne veux pas, car en plus d’être timide, beau, séducteur, tu es puceau et tu ne veux pas le dire.

- Oui… Non…

- Tu hésites. Tu sais que connaît les hommes. Depuis le 20 juin, j’en ai des amants et je sais reconnaître les pervers, les sadiques, mais toi, je te classe comme un novice, qui bande à la vue de mon corps de déesse.

- Princesse Nora, tu vas pas un peu loin.

- Non, regarde, il n’arrête pas de passer de mes yeux, ma bouche, mes seins nus sous mon manteau et surtout entre mes cuisses.

- Votre Altesse, c’est d’accord. Je serais votre élève, mais dès la fin de mon service vers 21 heures. Je n’ai pas de copine encore.

- Pas de copine, même pas un bel homme viril, tu sais les homosexuels aiment les jolies femmes, dis-je pour le taquiner.

- Non, je suis célibataire. J’ai trop envie de vous Altesse.

- Enfin, tu te décides. Je déjeune, je choisis ma tenue et on se revoit tout à l’autre, au parc à l’arrière.

Nathan repart. Hermine m’interroge :

- Tu es sérieuse. Nathan est un puceau ?

- Oui, il me toise, il bande. Je vais voir au lit, ce qu’il sait faire. Un coup de main peut aider.

Vers 8 heures, Justine arrive, déjà habillée, en pull bleu et jupe longue blanc, en cuissardes à talons de dix centimètres, maquillée, les cheveux libres.

- Tu dragues, mon chaton Shawn. C’est Hermine ou le bel Apollon qui t’intéresse. Je sais pour Hermine, c’est déjà fait. Donc, c’est le bel Apollon. Il faudrait que je crée une agence pour louer des hommes. Il est craquant.

- 23 ans, célibataire, athlétique, et surtout jamais eu de relations avec une femme, c’est un don du ciel.

- Tu t’es déjà renseignée.

- Oui, Shawn sait faire parler les hommes. Ouvre ton manteau, mon chaton.

J’exhibe mon corps nu, aux mamelons tendus d’excitation.

- Tu te promènes nue par ce temps froid, tu vas prendre froid, mon chaton.

- Non, je suis réchauffée. Je vais déjeuner. Je m’habille ensuite, voyons mon tailleur sur un pull léger avec une jupe éventail, des sandales, une queue-de-cheval. Ce sera bien.

- La classe, l’élégance, pour son Altesse, tu es toujours au top.

- Princesse Iris, c’est évident, tu es amoureuse de mon chéri et de moi.

- Princesse…

Je pose le doigt sur la bouche de Justine.

- D’où tu sors ce titre, mon chaton.

- Tu n’as pas lu le contenu de l’enveloppe du 30 octobre. C’est vrai, tu dois gérer tes « filles ». Au fait, qui sont Alizé, Chantelle et Prudence ? C’est ton rendez-vous du 26.

- Tu es très curieuse. Alizé, tu la connais sous un autre pseudonyme. Chantelle aurait selon mes informations violer une de mes règles, faire l’amour avec une autre de mes « filles ».

- En parlant de règle, Hermine a le droit de me faire l’amour et aussi de m’appeler Shawn en intime, c’est une lettre que j’ai reçue, avec les sceaux des princes Omar, Soliman et Farid et le mien. Garde ceci, Hermine, Astrid est au courant.

- Ma Justine, tu vas punir Chantelle. Je m’en charge. J’ai un côté dominatrice.

- Tiens, tu es soumise et versatile. Tu m’étonnes.

- Oui, je peux enculer des soumis au gode ceinture, griffer leurs testicules bien pleins, les transformer en soubrette.

- Je ne connais pas ce dernier thème.

- Tu verras. Je monte. Hermine va assurer ta mission, surveille bien Nathan.

- Oui, Shawn, ce sera fait.

Vers 11 heures, habillée de ma veste de tailleur blanc, sur mon pull léger blanc dénudant mon ventre, moulant mes seins nus, ma jupe éventail que j’ai juste à lever, mes sandales blanches à talons de dix centimètres, coiffée de ma queue-de-cheval, fardée et parfumée, je surprends Cyrielle, la soubrette brune, aux petits seins. Je voudrais bien l’initier à mes plaisirs.

 -Cyrielle, vous avez des photos de Chantelle, Alizé et Prudence ?

- Oui, tenez..

- Tiens, Alizé est une soumise. Cela me plait, Cyrielle.

Alizé ressemble trait pour trait à Câline Vicieuse, une superbe blonde aux seins plantureux, du 95C. Sur le dos de la photo, pubis et chatte totalement lisses, avec des anneaux dorés à sa chatte et un bijou à son gros clitoris

Chantelle, la blonde mannequin, 1,80 m pour 90-66-90, aux longs cheveux, Américaine de Floride, n’a aucun détail physique sur sa chatte.

Enfin, Prudence me ressemble un peu, 1,78 m et les mêmes mensurations, aux cheveux mi-longs, sans détail physique de sa chatte. il est juste notée comme Chantelle, lesbienne, plus pour Chantelle, expérience anale. Ma Justine fait cela bien, pour ses clients.

Je redonne les photos et je mémorise mes cibles, surtout Chantelle. A-t-elle un faible pour Prudence des Bahamas ?

Vers 21 heures, j’attends Nathan, qui vient en civil, très élégant. Je le présente à Justine et à Astrid :

- Un de nos protecteurs, adjudant-chef Nathan, tu as réfléchis depuis ce matin.

- Oui, votre Altesse, c’est d’accord, dit Nathan.

- Non, on ne dit plus votre Altesse. Tu m’appelles Shawn entre nous jusqu’à la fin de ta pause, vers 3 heures, je crois.

- Oui, Shawn…

- On dit oui, Shawn mon chaton, dis-je pour le perturber.

- Oui, Shawn mon chaton, je suis prêt à être initier par vous.

- Tu cesse de me vouvoyer, on se tutoie, je suis plus jeune que toi.

- Shawn, tu arrêtes ton manège. Monte faire ce que tu sais faire le mieux, ma belle, dit Justine.

- Tiens, caresse mes fesses sous ma jupe pour commencer.

- Tu as les fesses nues…

- Il faut être accessible par tous les temps, mais j’aime sentir le vent frais remonter le long de mes jambes et mes fesses nues, c’est excitant.

A ma chambre, je lui demande :

- Déshabille-moi.

Il retire mon pull, caressant au passage mon ventre arrondi.

- Tu es enceinte.

- Tu n’as jamais vu une femme nue et enceinte. Tu me plait. Maintenant, ma jupe, mes sandales et mes cheveux.

Il s’exécute.

- Tu as de superbes jambes, de sublimes fesses musclées. Qu’est-ce tu as entre les fesses, qui brille ? Superbes pieds aux ongles vernis et ta longue chevelure de princesse.

- Tu aimes. Entre mes fesses, c’est pour que je sois prête pour tu prennes uniquement là. Ma chatte attend un heureux événement. Attends que ta chérie tombe enceinte. Tiens, tu devrais draguer Lotus Câline, ma protégée. Elle serait très bien pour toi. Je vais te sucer. Tu as une très belle queue.

Je m’accroupie devant un des miroirs, pour qu’il admire.

Justine et Maître O nous observent.

- Qui est cet étalon avec ma chérie ?

- Adjudant-chef Nathan, sous les ordres d’Hermine, un novice qui risque de devenir un amant pour mon chaton.

- Elle connaît le métier, dit Maître O. Où en est-on de ton affaire avec la « fille » Chantelle ?

- Mon chaton Shawn souhaite la corriger le 26. Tu es d’accord.

- Si elle décide, je ne peux lui refuser. Surtout, si sa copine vient.

Après l’avoir sucée, je m’offre à un mandrin de vingt par sept, c’est pas mal. Je retire mon bijou d’anus de calibre six.

- Tu vas me lécher mon anus ou le doigter, comme tu veux. Tu dois me lubrifier avec ma mouille de ma chatte.

Nathan plonge ses doigts dans ma chatte, qu’il écarte et caresse sans le savoir mon clitoris percé.

- Tu as…

- Oui, c’est mon clitoris, le siège de mes plaisirs quand je suis toute seule. Tu as déjà vu une femme se caresser, non. Tu me fais du bien avec tes doigts, continue encore un peu.

- C’est bon comme cela.

- Parfait, je me mets à quatre pattes et tu m’encules jusqu’aux testicules.

- Je vais te faire mal.

- Je suis déjà bien ouverte et je suis toute propre.

Nathan s’exécute et je serre sa queue pour qu’il éjacule. Justine me rejoint, nue et caresse mon clitoris tendu.

- Merci de ton aide, mon amant manque d’expérience. Mais il est bien calibré.

- J’ai vu. Nathan, continue à prendre les hanches de Shawn, pour la faire coulisser, elle va s’empaler sur toi.

- Bien… Je vais encore jouir…

- Ce n’est pas grave… Moi aussi…

Un nouvel orgasme anal me terrasse, par la sodomie profonde, mes pals et mon clitoris sollicité.

Justine l’aide à se retirer, dès que je desserre son mandrin encore un peu en érection.

- Pour une première fois, tu as été parfait. Tu veux voir me doucher ou tu viens avec moi, au choix. Non, tu préfères Justine, te nettoie ou moi, ou toutes les deux.

Nathan est gêné.

- Tu choisis, dit Maître O. Ce sont les deux plus belles femmes du monde devant toi.

- Toutes les deux, puis je te rejoins sous la douche, dit Nathan.

On se partage son sperme. Justine m’a remis mon bijou d’anus.

Sous la douche, je jouis encore sous ses caresses et il m’encule encore, penchée en avant. Il est très endurant et il éjacule sur mes fesses. Je me rince.

Il s’éclipse.

- Nathan, tu n’as pas encore fini. On marque une pause et on reprend ensuite, tu n’es qu’à ta première leçon.

- Bien, Shawn, je suis sous tes ordres.

- Considère-moi comme ton supérieur, Hermine et tu ne vas pas le regretter.

Justine et Maître O s’éclipsent.

 

26 décembre

Il est presque minuit, quand je décide, après de longues heures de caresses et de léchage de ma chatte et de mon clitoris et de nombreux orgasmes et éjaculations en 69 :

- Nathan, tu prends ton service à trois heures. Il nous reste encore une heure ensemble.

- Tu m’as tout appris, maintenant.

- Non, je dois t’apprendre à m’embrasser sur la bouche, comme si j’étais Lotus Câline.

- C’est simple.

- On essaye.

Nathan perd haleine et tombe sur le lit, dans les pommes.

- C’est simple. Tu es trop sensible. Je vais t’embrasser.

Il ouvre les yeux et continue le baiser.

Je me retire.

- On recommence, je veux un baiser langoureux, parfait, avec ma main entre mes cuisses, me doigtant mon œillet libre. Tu vas y arriver.

Il doit s’y reprendre, ne pouvant se contrôler.

La troisième tentative est la bonne.

Je le remercie, en lui offrant une de mes caresses en solitaire de mon corps, jusqu’à mon orgasme. Il m’embrasse langoureusement avant de partir se doucher.

Je le regarde se doucher, me caressant, en pensant à d’autres jeux avec lui.

- Nathan, tu n’oublies, Lotus Câline.

- Oui, Shawn, j’y penserais.

- Tu tiens ton engagement, je suis ton supérieur.

Il disparaît.

Chantelle et Prudence vont passer entre mes mains expertes.

Vers 10 heures, je descends après mon petit déjeuner, vêtue d’une robe au décolleté en V, blanche, longue jusqu’à mi-mollet, fendue sur les côtés jusqu’aux hanches, avec des escarpins blancs à petits talons, les cheveux libres, fardée, parfumée.

Au même moment, Alizé arrive la première, en pull blanc et jupe éventail grise, chaussée de mules blanches à talons de douze centimètres, les cheveux libres, fardée comme au Domaine. Elle porte la même bague que moi et Justine. C’est bien une soumise.

Je lui fais la bise :

- Tu es C V, je suis D A.

- Oui, comment tu connais mon pseudonyme, Princesse Nora ? questionne Alizé.

- Tu m’appelles Maîtresse S, c’est tout, pour l’instant. Madame Justine est une ancienne du Domaine.

- Bien, Maîtresse. Cela fait longtemps que je n’ai pas vue, depuis le mois de juin.

Puis Chantelle arrive avec un chemisier blanc sur un soutien-gorge bien visible blanc, une jupe mi-longue noire sur des bas blancs, dont on voit les jarretelles, maquillée, en escarpins blancs à talons de douze centimètres, coiffée d’une queue-de-cheval.

- Qui est-tu, tu peux faire mannequin ou modèle de charme ? questionne Chantelle.

- Chantelle, je présume. L’anal ça te connaît, mon chéri va te faire jouir. C’est toi qui viole les règles de la maison, dis-je devant Justine, en robe noire toute simple, chaussée d’escarpins noirs à talons de douze centimètres, coiffée d’un chignon.

- Tu ne gênes pas. Tu t’appelles comment la fouineuse ?

- Chantelle, c’est ma fille Shawn. Tu lui dois le respect. C’est aussi une des « filles ». Ton comportement est une situation à corriger immédiatement, dit Justine.

- C’est cela, je couche avec Prude. Cela te gêne. Ta Shawn, je couche avec si je veux.

- Prude, pour Prudence, regarde elle arrive. Gouine Caresse, tu vas comprendre très vite, dis-je.

- Ma Prude, tu es là. Regarde ce modèle de charme, c’est la fille de Madame. Elle fait gouine. Tu coucherais avec elle.

Prude arrive avec une robe devinant qu’elle est nue dessous, blanche, moulant ses seins, dos nu.

- Prude, je suis Maîtresse S. Gouine Caresse numéro 1 t’a annoncé la punition pour violation des règles de Madame, dis-je.

- Non, c’est nouveau, dit Prudence. Tu me plais, je couches quand tu veux avec toi.

Maître O arrive pour superviser avec Astrid.

- Chantelle et Prudence, Maîtresse S va vous enseigner les bonnes manières. Toi, Alizé tu es déjà au parfum, dit Justine.

- Alizé, tu es la copine de cette Shawn. Elle est comment ? dit Chantelle. Tu portes aussi une jolie bague comme Justine et cette Shawn.

- Je peux te dire, je l’ai juste caresser et c’est tout, dit Alizé. 

- Alizé, tu as raison, tu m’as juste caresser. Mais Chantelle ne connaît quel genre de caresses j’ai connu pour devenir une bisexuelle docile.

- Non, pas ma chérie, dit Justine.

- Les deux Gouines Caresse vont goûter pour punition, Madame, dis-je.

- Tu arrêtes de m’appeler Gouine Caresse. Je suis gouine, pas ce surnom, dit Chantelle.

- Tu fermes ta jolie bouche, Chantelle. Tu es la première sur la liste. Viens, il faut que je donne les règles. Lève-toi et viens avec moi, dans le coin du salon.

Chantelle se lève et je lui prends un ses bras que je lui plaque dans le dos.

- Tu me fais mal.

- C’est rien par rapport aux punitions qui t’attendent. Tu te déshabilles là où nous allons de suite.

Nous passons un mur qui pivote et descendons un escalier sombre vers une pièce faiblement éclairée sans miroirs.

- On est où ?

- Tu fermes ta bouche ou je te bâillonne. Déshabille-toi rapidement.

- Tu portes de la lingerie de luxe. Finis les soutien-gorges, les slips, les porte-jarretelles et les bas. Je vais les brûler. Je cache pas tes seins et ta chatte. Je vais devoir te menotter les mains dans le dos.

- Non, tu n’as pas le droit.

- Tu fermes ta bouche.

Maître O arrive.

- Elle n’obéit pas, Maîtresse. La cravache va la calmer et un bâillon-boule aussi.

- Allez ma belle, prosterne-toi sur le lit, cuisses écartées.

Chantelle obéit, paniquée, avec le bâillon-boule mis en place. Elle porte les carcans de cuir aux poignets et une barre d’écartement. Maître O lui a menotté les mains dans le dos. Elle a le pubis taillé en une bande brune, la chatte épilée.

Justine a la vidéo en direct sans le son sur son téléphone portable.

Elle parle avec Prudence, Alizé et Astrid, pour la diversion.

Je lui donne cinq coups sur les fesses, les cuisses et l’intérieur de chaque cuisse, Maître O fait de même. Elle pleure. Je lui met quelques gouttes sur ses mamelons et son clitoris pour qu’ils soient constamment tendus à chaque excitation sexuelle.

- Tu pleures. Tu vas comprendre rapidement ma méthode. Maître, tu peux l’enculer un peu, pour voir comment son œillet s’ouvre.

- Bien sûr, cravache-la un peu avant.

Maître O donne cinq coups sur les fesses et les cuisses plus les reins.

Il enfonce ensuite son mandrin gainé de picots dans l’anus à sec.

Chantelle hurle sous le bâillon.

- Elle est bien ouverte. Je m’occupe de sa chatte. Elle est dite vierge.

Il change de gaine pour une gaine plus conséquente sans picots et s’enfonce jusqu’au fond de la chatte, pour la déflorer.

- Je la prends encore un peu, pour la faire jouir.

- Vas-y, elle sera doublement ouverte pour d’autres hommes. Mets-lui le bijou aussi en place.

- Bien, ma chérie. Qu’elle te suce pour te nettoyer.

Je retire le bâillon-boule à Chantelle pour qu’elle suce.

- Tu suces mon chéri. Tu as aimé ce qu’il t’a fait, soumise Gouine Caresse numéro 1. Numéro 2, même traitement.

Justine arrive. Elle voit pour la première fois, Chantelle sucer un homme.

- Alors, elle est déjà déflorée analement, mais elle était vierge de la chatte. Maintenant, elle est doublement ouverte. Tes riches clients vont pouvoir la faire jouir.

- Merci, elle m’a mentie. Je peux la cravacher.

- Prosterne-toi, Gouine Caresse numéro 1.

- Non, pas encore…

Chantelle gémit et je complète par une série de quelques claques magistrales sur ses fesses zébrées et brûlantes.

- Tu remontes avec moi. Je vais chercher ta copine gouine. Pas un mot sur ce qui t’est arrivée, sinon, tu auras de gros problèmes.

Elle reste silencieuse, nue, en escarpins.

- Chantelle…

- Toi, tu viens avec moi. On a parlé.

Arrivées dans la pièce

- Prudence, tu te déshabilles rapidement.

J’ai caché les dessous de Chantelle.

- Elle est pudique. Tu es très belle, tu es naturelle comme moi. Tu te caresses souvent en solo ou avec Gouine Caresse numéro 1.

- Qui est Gouine…

- Tu réponds, ou Maître O te cravache. Passe lui les carcans aux poignets et la barre d’écartement.

- Non, mais tu me retires ceux-ci.

- Tu donnes des ordres, dit Justine en lui mettant le bâillon-boule.

Les coups de cravache visent à plusieurs reprises par nous trois, les fesses, les cuisses, l’intérieur des cuisses et les reins. Prudence pleure. Elle est intégralement épilée du pubis et ainsi que sa chatte. J’en profite pour lui mettre aussi des gouttes sur ses mamelons et son clitoris.

- Elle comprend. Maître, la même chose que Gouine Caresse numéro 1.

Maître déflore la chatte jusqu’à l’orgasme, puis l’encule prosternée.

Justine est satisfaite.

- Tu as des contrats pour les deux. Ce soir, elles doivent être en missions.

- Oui, tu veux sélectionner les clients.

- Bien sûr, elles ont besoin d’un homme pour les consoler.

Je regarde les clients potentiels.

- Tiens, pour Gouine Caresse numéro 2, tu iras dans le Golfe Persique, avec Natacha et sa copine Diane Valérie, que Fayçal a interpellé autour du pavillon de chasse. Trois gouines vont divertir les hommes des princes. Je réserve un accueil pour Gouine Caresse numéro 1. Tu suces aussi et t’avale. Bois cette coupole, c’est ta mouille, celle de ta copine et un aliment supplémentaire. Tu ne recraches pas, sous le bâillon-boule.

Prudence est un peu gênée, mais s’exécute, car je manie la cravache.

- Justine, tu la ramènes au salon. Tu la confies à Fayçal. Dans quelques heures, je serais informée de ton arrivée au harem, dis-je.

- Non, pas le harem, je suis une « fille »…

- Non, tu ne fais plus partie du club très fermé de Madame, dis-je.

Justine fait redescendre Gouine Caresse numéro 1, qui ouvre la bouche sans autorisation.

- Tu as fais quoi à ma chérie. Tu vas me le payer, dit Chantelle.

- Cela te regarde. Toi, tu files en Louisiane, tu as toujours ton bijou en place. Tu as interdiction formelle de le retirer jusqu’à ton arrivée en Louisiane.

- Je vais faire quoi en Louisiane.

- Oui, le Duc Lee a besoin de tes services. C’est bien payé, dit Justine. Tu y passes deux semaines. Si jamais tu rates une épreuve, tu perds ton salaire des trois derniers mois.

- Vous n’allez pas…

- Tu ne discutes pas, la bouche non dressée, dis-je, en lui tenant le menton. Tu baisses les yeux devant et tous les hommes. Tu suces et tu cries avec ta bouche, c’est tout. Tu veux encore de la cravache ou être enculée à sec. Au choix, Gouine Caresse numéro 1.

- Non, j’obéis.

- Très bien, tu deviens docile, enfin.

- Tu te rhabilles, la limousine t’attends et tu reviens dans deux semaines, pour une revue de détail. Finis les dessous, si tu en achètes en Louisiane, tu seras fouettée.

Chantelle obéit.

Elle part à bord d’un Falcon 2000 piloté par deux pilotes hétérosexuels qui ont l’habitude de dresser les lesbiennes, amis d’Astrid. Le vol risque d’être très mouvementé. Chantelle sera dressée au Domaine à son retour pour un séjour au Harem dans le mois qui suit.

Au salon, il reste Alizé et Astrid. Nous les rejoignons. Il est midi.

- On prend le déjeuner. J’ai faim, cela creuse, dis-je.

- Elles sont parties les deux, D A.

- Elles vont être bien dressées et possible entrée au Domaine, selon avis du Maître.

- Au fait, ma chérie, tu es la Maîtresse du Domaine, suite à la disparition de Baron Oscar, dit Maître O.

- Je prends du grade, princesse, baronne et maintenant Maîtresse du Domaine.

- Tu vas avoir une belle carte de visite, fille de Madame en plus, dit Justine.

Nous déjeunons.

Vers 17 heures, le harem me contacte. Le trio vient de passer sa première heure, livrée à plusieurs hommes bien montés. Les lesbiennes sont tatouées, marquées au fer rouge et leurs chattes et leurs clitoris sont percés.

Alizé passe l’après-midi et la soirée dans ma chambre. On raconte nos vies depuis le 20 juin. Alizé ignorait que je suis la fille de Madame.

 -Tu sembles zen, Shawn. Je peux t’appeler Shawn, dit Alizé.

- Oui, on fait partie du Domaine. Je veux que tu me caresses, comme j’étais ta copine, ta chérie.

- Mais, tu es une soumise.

- Je ne suis plus une soumise, ici. Tu es sur le territoire du prince Omar, je suis une princesse, qui exige des caresses.

Alizé ne perd pas de temps. Nous sommes nues, Justine et Astrid nous rejoignent et nous faisons l’amour lesbien à quatre.

Vers 23 heures, le client de Louisiane m’informe que Chantelle a du passé deux heures à l’aéroport suite à un problème avec son bijou, qu’il la punira chez lui.

 

2 janvier de l’année suivante

Vers 11 heures, Nathan arrive avec Lotus Câline.

Je suis vêtue d’un déshabillé en satin noir, transparent sur mes seins nus, jusqu’à mi-cuisse, fendue sur les côtés jusqu’aux hanches, pieds nus, les cheveux libres, non maquillée.

- Shawn, tu n’es pas encore habillée, dit Nathan.

- Tu es sexy, dans ton déshabillé, c’est pour mon chéri, dit Lotus Câline.

- Non, je viens de passer la nuit avec Justine. Je viens de me réveiller.

- Tu couches avec Justine, dit Nathan.

- Tu sais que je suis tombée enceinte avec Nathan. Tu l’as initiée.

- Oui, Lotus Câline, ton chéri a du potentiel. Je vais me changer, ma tenue ne plait pas.

Justine arrive, en pull, sans pantalon, en mules à petits talons, les cheveux en bataille, sans maquillage.

- Tiens, le bel étalon de ma chérie. Lotus…

- Oui, c’est bien Lotus Câline, Justine, elle est enceinte du bel étalon. Je lui laisse.

- Mais, mon chaton, tu peux coucher avec qui tu veux, marié ou non. Tu prends ton petit déjeuner.

- Oui, j’arrive.

- Elle est sexy, Justine aussi au réveil, dit Lotus Câline.

- Quelles superbes fesses nues, si je pouvais, dit Nathan.

- Vas-y, Justine est libre. Tu couches avec moi, Lotus Câline, ma mère Justine. Tu est libre, Nathan.

- Tu plaisantes, Shawn.

- Non, je te laisse Justine et moi, je m’occupe de Lotus Câline comme chez Yin Pin.

Je rejoins Justine.

- Au fait, le bel étalon souhaite te prendre, Justine.

- Tu es sérieuse. Je suis pas son style de femme. Il te préfère, toi.

Nathan arrive, pendant nous déjeunons.

- Justine, je peux vous caresser comme Shawn me l’a appris. Je lui laisse Lotus Câline en échange.

- Nathan, j’étudie la question.

Je glisse discrètement mon haut de mon déshabillé, caressant mes seins et je glisse ma main sous une des fentes, pour caresser mon clitoris.

- Oui… Oui… Encore…

- Qu’est-ce que tu fais ? dit Justine.

- Oui… Bien… Je suis toute humide…

Nathan pelote un de mes seins au mamelon tendu.

- Tiens, lèche mes doigts avec ma mouille…

- Shawn, tu arrêtes. D’accord, Nathan, tu vas me faire l’amour après le déjeuner.

Je soulève discrètement le bas de mon déshabillé, je glisse les doigts de Nathan dans mon anus libre et je m’empale dessus jusqu’à l’orgasme. Lotus Câline a tout vu.

- Shawn, tu as fini.

- Oui, enfin, j’ai joui. Je monte me changer.

Je m’exécute, je reste longtemps sous la douche, à me caresser. Je suis très excitée.

C’est Alizé, qui vit au pavillon de chasse, qui a vu mon spectacle, qui me rejoint nue.

- Tu es chaude, mon chaton Shawn, dit Alizé.

- Je t’autorise pour chaton. Caresse-moi, enfonce tes doigts, embrasse-moi.

Nathan arrive à l’improviste, sans Justine.

- Shawn…

- Nathan, tu n’es pas avec Justine. Elle ne te plait pas.

- Si, mais…

- Tu as ta chérie enceinte. Tu peux la tromper, mais je suis libertine bisexuelle soumise.

- D’accord.

Nathan disparaît et j’entends les râles de plaisir. Nathan s’offre Lotus Câline et Justine. Il est chanceux.

Mais un homme nous rejoint, pas Maître O, mais Horace, qui connaît les lieux. Je baisse les yeux et Alizé aussi.

- Horace, mon Maître, je suis prise en faute avec Câline Vicieuse. Je dois me soumettre à vos ordres.

- Non, princesse Nora, tu n’es plus ma soumise, mais une femme libertine bisexuelle tout simplement. Je veux te faire jouir, avec Alizé.

- Je ne peux refuser une telle demande. J’ai envie de cette belle queue. Alizé prend un gode-ceinture pour me prendre en double.

 -Tu es enceinte, dit Alizé.

- Je prends une position confortable et nous verrons.

Horace m’encule et Alizé me baise avec le gode avec un prépuce qui se rétracte. Je connais plusieurs orgasmes en quelques va-et-vient.

Nous suçons Horace, pour reprendre ensuite dans un 69, où il m’encule encore.

Cela dure jusqu’à 14 heures.

Puis nous prenons une douche lesbienne devant Horace, avant une douche avec Horace et moi.

- Tu es rayonnante, Shawn. Je suis fier de ta situation.

- Encule-moi encore, j’ai trop envie.

Horace s’exécute.

Horace s’éclipse et encule Justine à sa demande. Je me repose avec Alizé à mes côtés.

- Eh bien, tu es au sommet du désir, mon chaton Shawn.

- Oui, Horace m’a excité davantage. Je mouille encore. Gode-moi s’il te plait.

Alizé s’exécute et j’explose en un long orgasme.

Horace nous rejoint et me câline dans ses bras.

- C’est pour quand ?

- Pour avril, je crois. Je suis tellement demandée, avec mon agenda.

- Tu sais, Justine, n’a pas perdu la main. Je l’ai enculée, elle est encore bien ouverte.

- Tu fais tout ce que tu veux avec moi, Alizé, Justine, Hermine et les soubrettes. Elles sont toutes à toi et ainsi que moi.

- Maître, elle est très amoureuse, surtout de Nathan.

- Tu es un peu jalouse, Alizé. Tu sais que je dois épouser Maître O et Hermine, Justine épouse Maître O et Hermine, Astrid épouse Maître O et Hermine.

- Quels mariages ? dit Alizé.

- Oui, je suis enceinte, je dois officialiser mon union, pour que Maître O reconnaisse mon enfant.

- Elle a raison, comme princesse, elle a besoin d’un prince. Mais, Hermine… dit Horace.

- C’est mon amante, dis-je.

- Tu as une liaison avec la colonelle et le major Nathan, dit Alizé.

- Ils ont pris du grade.

- L’affaire du Falcon dans le Golfe Persique et la protection de toi et tes amis ont suffi, dit Justine, qui arrive. Horace, c’était divin, votre queue dans mon puits. Je n’ai jamais autant joui. Shawn, tu as pris beaucoup de plaisir le premier soir de ton arrivée au Domaine.

- Oui, cela est un peu douloureux, j’étais étroite, mais après quelques journées de sodomie, je prenais du plaisir.

- On fait une pause repas pour tout le monde, dit Justine.

- Justine, tu dois te marier prochainement, dit Alizé.

- Oui…

- Madame Justine ne doit pas connaître le nom de l’heureux élu.

Justine est embarrassée.

La cérémonie a lieu le soir, avec un accord avec les autorités diplomatiques et les autorités religieuses.

- Shawn H d’O souhaitait prendre pour époux Maître O, ici présent.

- Oui, je le veux.

- Shawn H d’O souhaitait prendre pour compagne Hermine, ici présent.

 -Oui, je le veux.

Je signe les papiers. Les autres unions sont célébrées.

Justine est sous le charme de Maître O.

- Shawn, tu es l’époux de Maître O, la seconde épouse du prince Omar et aussi Maître O est mon mari. Je ne comprends pas.

- Maître O remplace ton feu mari H d’O, dis-je.

- Il me fallait un homme dans ma vie. Tu es une entremetteuse. Nathan a épousé Lotus Câline.

Nous passons une longue soirée à faire l’amour jusqu’à l’aube.

 

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